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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Divers

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Il y a 4 ans et 123 jours

Nouvelle mise à jour du Guide de préconisations sanitaires face à la Covid-19

Le Guide de préconisations sanitaires face au Covid-19 est disponible en téléchargement sur le site de l’OPPBTP. [©OPPBTP] Suite à l’annonce du gouvernement en janvier 2021, un couvre-feu généralisé de 18 h 00 à 6 h 00 est entré en vigueur sur l’ensemble du territoire français. Comme le bâtiment et les travaux publics figurent parmi les secteurs essentiels au bon maintien de l’économie, leurs activités sont donc maintenues. Alors que le nouveau protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés a été publié, l’OPPBTP met à jour les mesures sanitaires pour le secteur. En accord avec les recommandations du Haut conseil de la santé publique.  Ce qui change Depuis le 10 janvier 2021, les salariés présentant des symptômes de la Covid-19 ou étant désignés comme cas contacts peuvent obtenir un arrêt de travail à effet immédiat. Et ceci, sans délai de carence. Ils doivent en faire la demande sur le site de l’Assurance maladie. Toutefois, les employés pouvant pratiquer leur activité depuis leur domicile se voient écarter de cette solution.Le guide rappelle aussi que le télétravail reste à privilégier, si l’activité le permet. Par ailleurs, les règles de sécurité et de distanciation sociale sur les chantiers doivent être respectées, voire même renforcées. Ainsi, le guide préconise une vigilance accrue lors des pauses et une aération régulière des locaux. L’OPPBTP invite tous les acteurs du secteur du BTP à télécharger la nouvelle application TousAntiCovid sur leur téléphone mobile.  Par ailleurs, l’organisme met à disposition des affiches de prévention pour les entreprises. Ces dernières sont disponibles dans la Boîte à Outils Covid-19 sur le site internet de l’OPPBTP. De plus, pour faciliter la compréhension des nouvelles préconisations par l’ensemble des professionnels, un guide de synthèse récapitulative est joint avec le guide complet. Enfin, les équipes de l’OPPBTP restent mobilisées et disponibles pour les entreprises du secteur, aussi bien en présentiel qu’en distanciel. Elles sont joignables pour répondre aux différentes questions grâce au service Prévention BTP en Direct.  
Il y a 4 ans et 125 jours

Nouvelle image de marque et nouvelle identité graphique pour Unilin Insulation

Avec 6 usines, dont une implantée en France, Unilin Insulation est leader sur le marché des panneaux de toiture et 2ème producteur européen de plaques isolantes en polyuréthane.Afin d’affirmer son identité européenne, d’harmoniser ses gammes de produits dans tous les pays par une architecture claire facilement identifiable, Unilin Insulation adopte une nouvelle image de marque et une nouvelle identité graphique : Unilin Insulation for smart living.Une nomenclature produit unique pour tous les paysDans le cadre de sa nouvelle image de marque, Unilin Insulation fait évoluer ses solutions d’isolation thermiques et acoustiques pour les murs, le sol et les toitures plates et en pente. Elles sont désormais réunies dans deux gammes distinctes :Utherm, gamme de plaques isolantes, souligne par un pictogramme représentant le soleil, les propriétés thermo-isolantes optimales des produits. La gamme se décline comme auparavant, en fonction de la destination de l’isolation, avec de nouvelles dénominations :Utherm FloorUtherm WallUtherm RoofUtherm SarkingUne gamme Comfort est créée. Elle rassemble tous les produits bi-matière apportant un bien-être au sein du logement, première motivation des Français pour rénover (48%).La gamme ISOCOMBO et ses deux déclinaisons SARKING et WALLdisparaissent et intègrent ainsi l’appellation Utherm Comfort.Usystem, gamme de solutions de panneaux de toiture et autres éléments structurels En adoptant une langue commune et universelle pour tous les pays,Unilin Insulation réinvente la gamme Trilatte au profit d’Usystem qui regroupe les éléments structurels, tant séparés que sous la forme de produits préfabriqués complets. Le pictogramme dans le logo symbolise les éléments tout-en-un et faciles à installer.Totalement repensée, cette nouvelle gamme rassemble des produits adaptés aux dernières réglementations énergétiques et répondant à toutes les demandes en termes de performances d’isolation.Pour faciliter la lecture de celle-ci, Unilin Insulation adopte une architecture claire, selon une structure logique. Tous les produits commencent par la marque Usystem. Ils se déclinent ensuite par :l’application : Roof pour les panneaux de toiture et Wall pour les cloisons ;le type de panneau : OS pour les caissons chevronnés, DS pour les panneaux sandwich chevronnés, SW pour les panneaux sandwich ou PR pour les systèmes préfabriqués ;un USP, c’est-à-dire la mise en avant d’un avantage unique du panneau (Comfort, Easy Airtight, Mineral Wool, ...) ;Les faces intérieures des panneaux de toiture reçoivent également un nouveau nom européen constitué du matériau suivi éventuellement du coloris (comme par exemple EXPRIM Blanc de lune qui devient Wood White, Plâtre qui devient Gyp, Medium qui devient MDF, ...)UNILIN INSULATION FOR SMART LIVING : une nouvelle identité graphiqueRegroupant le logotype, le nom de l’entreprise, la division et la baseline, le nouveau logo forme un tout compact et clairement lisible qui affirme l’unité de la marque. La nouvelle identité graphique renforce l’image de la marque en tant que partenaire fiable, offrant des solutions complètes d’isolation innovantes et intelligentes qui garantissent confort et qualité de vie optimum.Avec une seule image de marque pour tous les pays et un nouveau logo, Unilin Insulation simplifie la lecture de ses gammes et se positionne comme le référent européen de l’isolation.
Il y a 4 ans et 128 jours

Stretto Huguenot d’Edilians : 1ère tuile plate pour les faibles pentes

Présentée en avant 1ère lors de la dernière édition du salon ARTIBAT, la tuile terre cuite plate STRETTO Huguenot d’EDILIANS se distingue par sa forme et son schéma d’écoulement d’eau brevetés qui lui confèrent une étanchéité hors norme pour ce type de produit. Aujourd’hui, ces performances exceptionnelles sont confirmées par le CSTB qui vient de délivrer à EDILIANS un avis technique de type ATEx, autorisant sa mise en œuvre sur toiture à faible pente.   L’unique tuile plate du marché autorisée pour les faibles pentes Reconnaissance de la capacité d’innovation d’EDILIANS, cette ATEx de type a formule une appréciation favorable à l’utilisation de la tuile STRETTO Huguenot pour la réalisation de toitures à des pentes inférieures, et à des longueurs de rampants supérieures, à celles du DTU 40.23.   Grâce à son design spécialement étudié, la tuile STRETTO Huguenot a passé avec succès tous les essais effectués par le Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction. Démontrant ses performances exceptionnelles d’étanchéité, les résultats de ces tests ont conduit le comité d’experts réunis au sein du CSTB à émettre un avis favorable pour sa mise en œuvre en dehors des standards requis par le DTU. Ainsi, en zone géographique protégée ou normale, la tuile STRETTO Huguenot peut être posée avec des pentes plus faibles qui peuvent atteindre jusqu’à 40 % (avec écran de sous-toiture) pour des longueurs de rampants jusqu’à 8 m de projection horizontale. Selon les conditions d’application, elle peut même être installée pour des longueurs de rampants jusqu’à 12 m. Une première pour une tuile plate dont le domaine de pose interdit d’aller traditionnellement en-deça de 60 % de pente minimum (avec écran de sous-toiture) !   STRETTO Huguenot, une véritable tuile plate, grande, design et performante Produite sur le site de St Germer de Fly, la tuile XXL STRETTO Huguenot bénéficie des atouts reconnus de l’argile de Beauvais. D’une grande qualité de fabrication, elle associe une résistance mécanique exceptionnelle et une étanchéité optimale. Compatible avec les tuiles photovoltaïques EDILIANS et disponible avec une gamme d’accessoires spécifiques coordonnés (tuile de ventilation, tuile à douille 160 conforme VMC, tuile doublis de faîtage et tuile d’égout, 1⁄2 tuile, tuile 3⁄4, rive individuelle gauche et droite), la tuile STRETTO Huguenot se décline en coloris Flammé Rustique, Ardoisé et Vallée de Chevreuse.   Premier fabricant à obtenir une ATEx sur une tuile plate pour une mise en œuvre en faible pente, EDILIANS invite les maîtres d’œuvre à repousser les limites de leur créativité. A l’esthétique résolument contemporaine, la tuile STRETTO Huguenot, sur des toitures à faible pente mais aussi en bardage, ouvre ainsi la voie à de nouvelles perspectives architecturales. http://www.edilians.com
Il y a 4 ans et 128 jours

Le réseau d'architecture d'intérieur Notes de Styles prépare ses collaborateurs à la RE2020

Autrement dit, tous les nouveaux bâtiments devront être pensés et construits de manière à produire autant d'énergie qu'ils n'en consomment. Afin de limiter la pollution liée aux émissions de CO², la RE2020 s'appuiera sur 4 piliers : l'isolation, l'énergie, l'innovation et l'empreinte carbone.Directement impacté par cette nouvelle réglementation, le secteur de l'architecture va devoir repenser son mode de fonctionnement. Jérémy Hérard, gérant et fondateur du réseau Notes de Styles, s'intéresse de près à la RE2020 qui ouvre de nouvelles perspectives aux architectes.Une réglementation qui repose sur 4 piliersL'isolationUne bonne isolation et l'utilisation de matériaux de qualité vont permettre aux bâtiments de mieux conserver la chaleur et de réduire leur empreinte carbone. La résistance thermique devra aussi être plus importante : elle était de R≥8 (en m2.K/W) en neuf dans la RT2012 et passera à R≥10 avec la RE 2020.« L'isolation est le point clé de la RE2020. En effet, on nous demande de diviser par 6 les dimensions du total des fuites d'air : on passe désormais de la taille d'une feuille A4 à la taille d'une carte de crédit ! Pour cela, nous accordons notamment une attention toute particulière à l'isolation naturelle et biosourcée. Conçue à base de matière renouvelables fabriquées à partir de fibre végétale ou animale, elle offre un rendement efficace et durable en termes de confort thermique. Nous privilégions également certains matériaux comme les panneaux de fibre de bois, laine de bois, laine de chanvre, liège, paille, ouate de cellulose… »Guillaume Detollenaere, Gérant de l'agence Notes de Styles des Côtes d'ArmorL'énergieAfin de répondre aux nouveaux objectifs énergétiques fixés par la RE2020, les énergies renouvelables vont occuper une place croissante dans les constructions neuves et les rénovations. Panneaux solaires ou photovoltaïques, géothermie, éolien, pompe à chaleur etc, ces dispositifs couplés à un système de gestion intelligente de l'énergie permettront de produire l'électricité nécessaire à tous les équipements de la maison.« Pour atteindre le niveau Energie E3 ou E4, la production et la consommation domestique d'électricité renouvelable devient incontournable. En effet, il ne s'agira plus de revendre son électricité mais de l'auto-consommer pour couvrir partiellement (niveau E3) ou intégralement (niveau E4) les besoins annuels du foyer en matière d'éclairage, de chauffage, de bureautique, etc. ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesLa RE 2020 imposera également 2 nouveaux usages pour le calcul de la consommation d'énergie : l'utilisation des appareils ménagers et des appareils électroniques (ordinateurs, télévision, réfrigérateur) ainsi que les effets du carbone de la construction. Cette notion de consommation d'usage du bâtiment s'inspire notamment des réglementations adoptées par d'autres pays européens, comme par exemple le label allemand Passivhaus.Enfin, la RE2020 va permettre de combler un défaut souvent pointé du doigt : la RT2012 se basait sur les consommations estimées. Désormais, les particuliers pourront suivre en temps réel leur consommation et leur production d'énergie.L'innovationL'isolation thermique des nouvelles constructions va demander l'intégration de nouveaux matériaux plus efficaces, capables d'accumuler la chaleur afin de réduire la consommation énergétique. Pour cela, la domotique s'avère être une solution particulièrement efficace : elle doit permettre de contrôler avec davantage de précision les équipements de chauffage et de climatisation, afin d'ajuster au mieux la consommation.« Je propose systématiquement aux clients qui se lancent dans une rénovation d'installer un thermostat intelligent. Ce thermostat permet de réaliser en moyenne 30% d'économies en réglant la température en fonction de la détection des personnes dans la maison. La domotique permet également d'éteindre automatiquement les lumières et de fermer les volets pour conserver l'énergie dans le bâtiment en hiver et le garder frais en été. J'invite d'ailleurs mes clients à voir l'installation de ces systèmes comme un investissement à long terme car les économies réalisées couvriront rapidement leurs coûts ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesUne digitalisation des métiers de la construction reste néanmoins indispensable pour pouvoir traiter des données volumineuses, nécessaires à la valorisation et à l'optimisation des empreintes énergétiques et carbone. Pour cela, Jérémy Hérard recommande aux professionnels du secteur l'utilisation du BIM (Building Information Modeling), réponse logicielle et organisationnelle parfaitement adaptée à ces enjeux.Le réseau Notes de Styles s'intéresse à la digitalisation depuis plusieurs années. Jérémy Hérard a d'ailleurs développé l'application Vitruve en 2018. Celle-ci permet à l'ensemble des parties prenantes - clients, architectes, maîtres d'œuvre et professionnels du terrain - de suivre en temps réel l'évolution des chantiers.L'impact carboneSelon l'Ademe, les bâtiments représentent 45% de notre consommation énergétique et 27% des émissions de gaz à effet de serre en France. La RT2012 permettait déjà depuis presque 10 ans de construire des maisons qui ne produisent pas plus de 50 kWh/m²/an. La RE2020 va donc venir renforcer cette norme en obligeant les constructeurs à produire des maisons auto-suffisantes.« La consommation annuelle maximale d'énergie autorisée sera de 0 kWh/m² ! Nous avons bon espoir que la plupart des bâtiments ne se limitent pas à la neutralité. A terme, l'objectif est de construire des bâtiments à énergie positive (BEPOS) qui créent plus d'énergie qu'ils n'en consomment (jusqu'à 12 kWh/m²/an). Le coefficient d'énergie primaire (Cep) de l'électricité sera ramené de 2,58 à 2,3. Il faudra donc se limiter à 2.3 kWh d'énergie primaire pour produire 1 kWh d'énergie électrique finale »Adrien Maury, Gérant de l'agence Notes de Styles de MontpellierAinsi, les architectes et les constructeurs vont devoir évaluer très précisément leur propre impact environnemental lors des phases de construction et d'exploitation de leurs projets: prise en compte du carburant pour les trajets, calcul de la pollution sur les livraisons, choix des matériaux… Avec la RE2020, l'empreinte carbone devra se calculer sur une durée de vie de 50 ans.« Les stratégies de construction vont donc être entièrement repensées avec l'arrivée de cette nouvelle réglementation, ce qui va permettre une redistribution des filières courtes en France. Les constructeurs vont davantage se tourner vers des fournisseurs français pour s'assurer de la qualité des produits mais aussi pour diminuer l'empreinte carbone des livraisons ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesLa formation à la RE2020 : un incontournable pour le réseau Notes de StylesJérémy Hérard met un point d'honneur à former régulièrement l'ensemble de ses collaborateurs à toutes les nouvelles réglementations. Les équipes ont d'ailleurs été sensibilisées à la RE2020 dès 2019. Afin d'assurer le respect de ces nouvelles normes, le réseau s'engage également à ne travailler qu'avec des partenaires et des fournisseurs qui maîtrisent cette nouvelle réglementation.« Ce changement de mentalité dans les constructions ne doit pas venir uniquement des particuliers. C'est aux entreprises d'être force de conseil et de proposition et de s'investir dans ces nouvelles réglementations respectueuses de l'environnement. C'est pourquoi il m'a semblé indispensable de sensibiliser et former l'ensemble de mes équipes afin qu'ils mettent en place ces nouvelles façon d'aborder l'architecture, avant même que la réglementation n'entre en vigueur ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesL'application de la RE2020 fortement conseillée pour des travaux de rénovationSi les nouvelles habitations et les projets d'extension sont directement concernés, les projets de rénovation le sont finalement aussi tout autant.« Même si la RE2020 n'est pas obligatoire dans le cadre d'une rénovation, nous le conseillons fortement à l'ensemble de nos clients. Dans un premier temps cela leur permet d'être propriétaires d'une maison qui possède les mêmes avantages que le neuf, accompagné du charme de l'ancien. Et dans un second temps ils deviennent éligibles à des aides financières comme le crédit d'impôt. Les dépenses liées à la RE2020 peuvent rapidement être remboursées grâce à cela mais aussi avec les économies d'énergies qui en découlent ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de Styles
Il y a 4 ans et 128 jours

Porsche fait appel à l'expertise technique de SPIE

SPIE Nuhn, filiale de SPIE Deutschland & Zentraleuropa, est responsable de cette réalisation. À l'avenir, le nouveau Porsche Experience Center offrira aux visiteurs ses propres circuits de pilotage (dont des pistes tout-terrain) pour faire découvrir ses véhicules directement sur place, ainsi que diverses salles de conférence, un restaurant et un lieu exclusif pour les réunions et les événements.SPIE a réalisé les installations électriques du nouveau centre Porsche Experience Hockenheimring. Les travaux, entamés en janvier 2019, sont aujourd'hui arrivés à terme. Les deux sociétés poursuivent leur fructueuse coopération : pour une consommation énergétique plus efficace et durable, SPIE prévoit d'installer au Porsche Experience Center un système de contrôle à distance de l'éclairage.Des services électriques exhaustifsPIE a réalisé toutes les installations de base de ce nouveau site d'environ 4500 m². Les équipes y ont notamment installé l'éclairage (dont celui de sécurité) et les systèmes d'alarme incendie et d'alerte vocale. « Pour ce qui est des installations d'éclairage, nous avons bénéficié de notre longue expérience dans la mise en place d'éclairages spéciaux complets dans le domaine de l'organisation d'événements et de la restauration. Par exemple, les éclairages ont été spécialement adaptés et conçus pour la marque Porsche », explique Paul-Erwin Oswald, chef de projet chez SPIE Nuhn. Les équipes de SPIE ont posé, au total, quelque 90 kilomètres de câbles, 30 kilomètres de fibre informatique et 45 kilomètres de lignes électriques basse tension. En outre, 350 détecteurs de fumée, 160 boîtes de sortie au sol et 1850 luminaires ont été montés. Le design de toutes les installations, des systèmes de support de câbles apparents jusqu'aux spots individuels des objets exposés, a été conçu sur mesure pour Porsche.La prochaine étape de cette fructueuse coopération est déjà en cours de planification : « Nous préparons une application pour le contrôle à distance des lumières, avec des motifs d'éclairage spécialement adaptées à l'exploitation des salles. Une fois cette solution mise en œuvre, le client pourra contrôler l'éclairage de l'ensemble du bâtiment depuis une tablette, et agir ainsi sur la consommation énergétique de l'installation », poursuit Paul-Erwin Oswald. À l'avenir, cette technologie permettra à Porsche d'actionner les différentes lampes du système d'éclairage de manière flexible à partir d'un câblage réduit. Les lampes peuvent être combinées afin de former différents jeux de lumières, qui peuvent être ensuite sauvegardés et activés à tout moment.Un contrat réussi grâce à une collaboration efficaceUn des facteur de succès importants a été l'excellente coordination et l'accord entre le développeur, le client et les sous-traitants - avec des circuits de décision courts et suffisamment de souplesse en cas de changements à brefs délais. « Nous avons travaillé en étroite collaboration avec le développeur Emodrom Bau und Grund GmbH et notre client Porsche afin de répondre à toutes les exigences dans les délais impartis. Cette coopération directe nous a permis de mener à bien notre mission à la plus grande satisfaction du client », ajoute Andreas Erich, responsable opérationnel de SPIE Nuhn. « Ce contrat a été extraordinairement passionnant pour nous, du début à la fin. C'est pourquoi nous sommes très heureux de pouvoir dire que la coopération tout au long du processus d'aménagement a été fidèle au slogan de Porsche : "We accelerate your emotions" (Nous accélérons vos émotions). »
Il y a 4 ans et 129 jours

Les solutions Owatrol® pour la rénovation des bois

Le bois d’extérieur est un matériau vivant qui requiert des soins dédiés comme pour la peau d’un visage. Laissé aux intempéries, UV et passages répétés, il vieillit, perd de son éclat, se tache, voire s’abîme. Mais avant toute décision de rénovation il faut diagnostiquer l’état du bois pour faire les choix adaptés.Dégriser : l'option NET-TROL®Le bois ne comporte pas de protection antérieure. Il a subi le cycle de vieillissement « eau + UV + pollution » et présente un aspect gris sale en surface. Il faut dégriser pour raviver, nettoyer et redonner son aspect d’origine au bois. NET-TROL®, apporte son expertise et dégrise quasi en instantané !Comment :La formule en gel facilite l’application du NET-TROL® et son pouvoir ultra mouillant lui permet d’agir en 15 minutes.Application / 15 minutes d’action / Rinçage à l’eau / Support impeccable comme à l’origine.Déshuiler : l'option AQUANETT®Le bois est noirci, encrassé suite à l’application d’huiles diverses souvent mal adaptées (lin, ...). La salissure est incrustée dans les fibres, seule l’action d’un déshuileur va réussir à venir à bout des huiles colmatées avec les UV qui obstruent les pores du bois. La puissance d’AQUANETT® remplit le contrat immédiatement.Comment : Grâce à sa formule en gel et son fort pouvoir mouillant, AQUANETT® pénètre dans le bois pour dissoudre toutes les graisses agglomérées dans le bois.Application / 5-20 minutes d’action / Rinçage à l’eau / Neutralisation / Le support est neufDécaper : l'option DILUNETT® ou PREPDECK®Le bois est lasuré ou peint, avant de pouvoir travailler dessus, il doit d’abord être débarrassé de tous ses résidus filmogènes. Pour cela, il faut impérativement décaper et l’action du DILUNETT® va permettre d’éliminer toutes les anciennes couches de peintures, lasures ou vernis et d’enlever les taches récalcitrantes.Comment :La composition ultra technique du DILUNETT® lui permet d’éliminer jusqu’à 8 couches de peintures.Le plus : Sans solvant, sans C.O.V, non volatil et ne desséchant pas, il reste actif longtemps garantissant l’élimination totale des différents revêtements.L’option PREPDECK® 2 en 1 :Pur il décape et en version diluée, il permet au bois d’un support neuf de se déglacer en quelques heures, autorisant ainsi l’application rapide d’une protection sur un bois neuf au lieu d’attendre 3/4 mois que les pores se soient ouverts.NB :Après l’AQUANETT®, le DILUNETT® ou le PREPDECK®, il est impératif de stabiliser le support avec une application de NET-TROL® après le rinçage avant l’application de la finition.Mise en situation : remise en état d’une terrasse en ipé5 ans après sa pose, une terrasse en ipé commence à montrer des signes de vieillissement sous l’effet des UV et des intempéries. Plusieurs entretiens au saturateur ont déjà été effectués mais au bout de 6 ans, on ne peut plus « faire une maintenance simple » il faut tout nettoyer et appliquer à nouveau une protection.Cette terrasse fait toute l’originalité de la maison et la rénovation est délicate si l’on veut préserver la piscine et redonner son éclat au bois. Après l’analyse du bois, il a été décidé de déshuiler tout l’ensemble, l’AQUANETT® présentant l’avantage de ne pas avoir d’incidence sur l’eau de la piscine.AQUANETT® a donc été appliqué sur tout l’ensemble en prenant soin de protéger les murs. Après le rinçage, la passe obligatoire de NET-TROL® a neutralisé le support et permis de d’éclaircir le bois pour retrouver l’éclat d’origine. La terrasse est prête à recevoir sa protection finale.
Il y a 4 ans et 130 jours

La lente restauration des Bas-reliefs de la Roche-Guyon

Après bientôt deux siècles, la terre cuite des bas-reliefs du château de La Roche-Guyon était rongée par la cristallisation des sels, principalement le gypse. Pour conserver ces œuvres, il a fallu extraire les sels de la terre cuite et la protéger contre une nouvelle contamination. Les quatre bas-reliefs ont été restaurés par Olivier Rolland, sous le contrôle scientifique et technique de la conservation régionale des monuments historiques (Serge Pitiot puis Colette Aymard, puis Marie Monfort) et du conservateur des antiquités et objets d’art Christian Olivereau. Deux premiers reliefs, dans les murs de la nef, ont été déposés fin 2010. En 2011, des tests prudents, par étapes, sur des fragments de taille croissante, ont montré que cette terre cuite supportait un séjour prolongé dans l’eau, ce qui a permis son dessalement par bains successifs de longue durée en 2012 et 2013. Les deux reliefs dessalés et restaurés, montés de manière réversible et sécurisée sur un support étanche, ont été reposés au printemps 2014. Fin 2016, les deux derniers reliefs, dans l’abside, ont été déposés à leur tour. La dépose mit à jour des restes d’esquisses des mêmes reliefs peintes à l’huile sur le fond de plâtre qui devaient servir de modèles avant exécution car elles sont conformes aux bas-reliefs réalisés. Les reliefs ont été dessalés par bains en 2017 et 2018 et doivent être prochainement reposés en respectant les restes d’esquisse qu’ils couvriront à nouveau. La DRAC Île-de-France a fait le choix de recouvrir les peintures de mise en place qui ne sont en rien comparable à l’œuvre originale. Il s’agit d’une simple mise en place très littérale qui reproduit l’emplacement et le contour des personnages des bas-reliefs. Contrairement aux sculptures, elles ne sont pas dégradées, ce qui montre que l’œuvre a trouvé un équilibre mécanique physique et chimique avec la paroi qu’il serait risqué de perturber par une dépose. Déposer une peinture murale n’est pas du tout un acte anodin mais une opération si risquée qu’elle n’est pratiquée qu’en cas de destruction ou de dégradation trop grande du support, ce qui n’est pas le cas ici. En effet, il s’agit quelle que soit la technique retenue d’un arrachement de la couche picturale du support qui occasionne systématiquement des pertes de matières (le support étant cassant et friable) et met en péril sa conservation à long terme. Le fait qu’elle soit gorgée de sels plaide d’autant plus pour un maintien en place qui évite de perturber l’équilibre dans lequel elle se trouve. La transposer sur un support après arrachement tout en la conservant dans la chapelle humide présenterait d’énormes risque pour la conservation des peintures à long terme. Ici, la DRAC a donc appliqué le principe de précaution qui consiste à la maintenir en place au prix d’un recouvrement, selon sa structure initiale telle qu’elle a été conçue. Le procédé adopté est totalement réversible et protecteur. Photo : Bas-reliefs restaurés, Clair et Pience, futurs martyrs, mettent en terre le corps de Saint Nicaise – DRAC Île-de-France  
Il y a 4 ans et 131 jours

Joker pour les artisans non RGE

La qualification « chantier par chantier » permet aux artisans qui n’ont pas la qualification RGE de faire bénéficier à leurs clients les aides de l’État pour le financement des travaux de rénovation énergétique. Elle est mise en application dans une expérimentation qui va durer deux ans, avec un triple objectif : lutter contre la fraude, renforcer la crédibilité du dispositif RGE et rendre accessible la qualification RGE aux TPE. La Capeb seule à demander la mise en place de cette expérimentation a fait part de sa satisfaction. Elle est convaincue que le succès de la rénovation énergétique passera par le recours aux entreprises artisanales du bâtiment présentes sur le territoire. Ainsi la massification prônée par les pouvoirs publics devrait plus facilement voir le jour avec un plus grand nombre d’entreprises en capacité de réaliser des travaux aidés. Depuis le 1er janvier 2021, la dérogation à la qualification RGE peut être utilisée pour 10 des 17 catégories de travaux soumises à des critères de qualification des entreprises (catégories de travaux n° 1 et 7 à 15). D’autres travaux autour des énergies renouvelables (n° 2 à 6) seront ajoutés à la liste en avril. L’arrêté prévoit l’expérimentation, pour une durée de deux ans. La qualification-chantier est validée par Qualibat, Qualifélec ou Qualit’EnR. La délivrance répond à deux critères :  conformité du dossier de candidature et  organisation d’un contrôle de réalisation par l’organisme de qualification-chantier. En amont des travaux, l’entreprise fournit un dossier de candidature contenant le devis des travaux qui comporte la mention que l’entreprise doit pouvoir être accompagnée par une personne représentant l’organisme de qualification-chantier, jusqu’à trois mois après la date d’achèvement du chantier et cela afin que cette dernière ne puisse se voir refuser l’accès au site, afin de satisfaire à l’exigence de contrôle et une clause suspensive de l’exécution du devis, si le dossier n’est pas accepté par l’organisme de qualification-chantier. La qualification-chantier est délivrée par l’organisme après instruction et examen de la recevabilité du dossier de candidature. Un justificatif est alors fourni par l’organisme de qualification-chantier à l’entreprise. Ce justificatif précise que la qualification-chantier est valable pour le chantier faisant l’objet de la demande, identifié par l’adresse de réalisation des travaux, telle que mentionnée sur le devis ; la catégorie de travaux concernée et la date de début des travaux, identifiée par la date de signature du devis par le maître d’ouvrage. Après la réception des travaux, le chantier fait l’objet d’un contrôle systématique. Il ne peut être délivré plus de trois qualifications-chantiers à une entreprise, toutes catégories de travaux confondues, par un ou plusieurs organismes de qualification-chantier, sur la durée de l’expérimentation. Cette expérimentation est ouverte aux entreprises justifiant d’une activité d’au moins deux ans.
Il y a 4 ans et 131 jours

Scalian développe Simul'Aides pour l'Ademe, un simulateur d'aides pour les travaux de rénovation

Mandatée par l'ADEME, SCALIAN, entreprise française spécialiste de la transformation, dans les milieux de haute complexité, réalise l'application Simul'Aides. Déployée sur le site gouvernemental FAIRE, Simul'Aides permet à tous les particuliers de réaliser une estimation des aides financières dont ils peuvent bénéficier lors de travaux de rénovation. Le Ministère de la Transition Écologique contribue activement à la définition des évolutions de Simul'Aides en l'utilisant comme un des principaux outils en relais du dispositif d'accompagnement des ménages.Simul'Aides, l'outil d'estimation d'aides lors de travaux de rénovationEn 2015, l'ADEME (l'Agence de la transition écologique) lance un appel d'offres pour la création d'une application permettant d'estimer les aides auxquelles les particuliers peuvent prétendre lors de travaux de rénovation. L'ADEME souhaite pouvoir disposer d'un outil facilement paramétrable et évolutif qui permette de prendre en compte la législation actuelle et future, notamment les règles d'éligibilité et de cumul d'aides.« Simul'Aides est un projet complexe : l'application doit prendre en compte de nombreux paramètres, en assurant à la fois une maintenance et des mises à jour très régulières. En effet, les estimations d'aides pour les ayants droit évoluent très rapidement. Le moteur que nous avons conçu devait donc répondre à ce besoin d'évolutions permanentes mais aussi à la multiplicité des aides : catégories de travaux et origines des aides (nationales, régionales, départementales, …). », précise Gatien Mellion, chef de projet chez SCALIAN.Spécialisée dans les projets numériques d'envergure, SCALIAN remporte l'appel d'offres et commence alors à travailler sur le projet, baptisé Simul'Aides.Un projet régional déployé au niveau nationalInitialement créée pour la seule région Haute-Normandie, Simul'Aides a tant convaincu qu'elle a par la suite été déployée dans d'autres régions jusqu'à couvrir tout le territoire, y compris l'Outre-mer.C'est en 2020, sous l'impulsion d'Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée auprès de la Ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, qu'il a été décidé de déployer Simul'Aides sur le site gouvernemental Faire.fr afin de permettre à l'ensemble des citoyens de connaitre les aides auxquelles ils ont droit en cas de travaux de rénovation.« C'est tout un travail de refonte du site et d'ergonomie qui a été mené à l'automne par les équipes de SCALIAN. Créée en 2015 pour être utilisée à un niveau régional, l'application doit désormais supporter un afflux de connexions 20 fois plus important cette année et répondre à des attentes de design plus moderne. Ce projet nous donc a mis face à un véritable défi technique et ce, avec un calendrier très serré ! Un vrai challenge remporté grâce à l'organisation des équipes de SCALIAN en collaboration avec celles de l'ADEME et à leur fort investissement vis-à-vis de cette application dont la visibilité a été démultipliée. », complète Eric Foquet, Directeur de projet chez SCALIAN.Depuis le début de l'année 2020, 1 million de simulations ont été effectuées sur l'application. Plus de la moitié d'entre-elles a été effectuée à partir d'octobre 2020, avec la mise en place de la nouvelle aide MaPrimeRénov, ayant entrainé une très forte affluence sur le site.
Il y a 4 ans et 132 jours

Réhabilitation de logements sociaux : La résidence Bel Air s'anime d'enduits personnalisés

A Sannois (Val d'Oise), la résidence Bel Air a belle allure depuis la rénovation de ses façades. Propriété de CDC Habitat, filiale de la Caisse des Dépôts, elle abrite 143 logements répartis dans cinq immeubles construits en 1975. Le premier bailleur de France avait déjà modernisé les logements. « Il restait à améliorer les performances énergétiques des cinq bâtiments par l'isolation des façades », explique Thierry Brocheriou, responsable de groupe opérationnel à la Direction de la Maîtrise d'Ouvrage. L'objectif est d'atteindre un niveau de performance BBC Effinergie Rénovation, certification NF Habitat.Une consultation est lancée fin 2017 afin de conclure un marché de conception-réalisation pour ces travaux d'isolation thermique par l'extérieur.Respect de l'architecture d'origineParmi les trois groupements sélectionnés pour proposer une offre, c'est l'équipe constituée de l'Agence Olivier Cabanes Architecte (AOCA), de l'entreprise Demathieu Bard et du bureau d'études Sogeti qui est retenue. Un point fort de sa proposition est le respect de l'architecture d'origine. Les cinq bâtiments R+4, R+7 et R+9 sont animés par des arêtes en béton préfabriqué qui rythment les façades et affirment leur verticalité. Placés aux angles des bâtiments et entre les rangées de fenêtres, ces éléments verticaux présentent deux faces concaves qui les relient de part et d'autre au mur de façade.Comment apporter une isolation thermique par l'extérieur sur de tels reliefs sans dénaturer l'aspect des façades ? Olivier Cabanes trouve la solution avec la toute nouvelle offre proposée par Sto : des panneaux de polystyrène expansé cintrés à la demande. En fonction du rayon de courbure demandé, les plaques courbes sont produites à partir d'un bloc de polystyrène en enlevant la matière superflue. Ces surfaces courbes seront revêtues du même enduit que la façade tandis que la partie plate en saillie sera habillée d'aluminium. « Sa teinte changeante en fonction de l'ensoleillement, du blanc au doré, rappelle les jeux de lumière sur les émaux qui recouvraient à l'origine les allèges et les pignons aveugles des immeubles », souligne l'architecte.Effet déperlantRompu aux opérations de réhabilitation de logements sociaux, Olivier Cabanes se dit souvent insatisfait des enduits appliqués dans le cadre de l'isolation thermique par l'extérieur des bâtiments : « Ils s'encrassent en quelques années ». Il choisit donc pour cette opération un produit qui promet d'être plus durable : l'enduit StoLotusan K. Ce revêtement de façade à fonction autonettoyante reproduit la microstructure de la feuille de lotus qui présente une surface microstructurée, réduisant considérablement la surface de contact de l'eau. Les gouttes de pluie perlent sur la surface, entraînant les salissures avec elles.Sur le chantier de Sannois, l'enduit StoLotusan K est appliqué en finition sur un système d'isolation thermique par l'extérieur StoTherm Classic. Après quelques reprises de maçonnerie, les panneaux isolants de polystyrène expansé sont collés sur le support en béton puis fixés au moyen de chevilles. Un enduit de marouflage (StoArmat Classic plus) est appliqué sur l'isolant et un treillis d'armature en fibre de verre est noyé dans son épaisseur. Enfin, l'enduit de finition grésé StoLotusan K vient recouvrir le tout.Place à la créativitéUne autre proposition de l'équipe AOCA-Demathieu Bard-Sogeti a séduit le maître d'ouvrage : animer quatre murs aveugles grâce à des éléments d'enduit préfabriqués. Encore une innovation Sto ! Le concept Sto-Ecoshapes consiste à coller ces éléments en façade sur un système d'ITE Sto ou sur une maçonnerie verticale. L'architecte détermine le format, la couleur et la texture des éléments d'enduit. Il réalise ainsi son motif unique et crée son plan de calepinage en toute liberté. Il peut combiner les parements de façade avec de l'enduit traditionnel et jouer avec des joints plus ou moins contrastés. Bref, le concept se prête à des compositions de façades très originales, pour un coût maîtrisé.Olivier Cabanes propose de réaliser quatre motifs différents qui apportent une identité à chaque immeuble et associe le maître d'ouvrage ainsi que la Mairie de Sannois au choix des motifs et des teintes. Deux des motifs soulignent la verticalité des immeubles en assemblant de longues plaquettes rectangulaires de trois teintes différentes. Un calepinage plus cinétique reproduit des cubes en associant des losanges de trois teintes et trois textures différentes. Enfin, un quatrième mur est habillé de chevrons en trois teintes.Mise en œuvre soigneuse« Cette proposition nous a séduits, explose Thierry Brocheriou, car elle permet une création originale de l'architecte, tout en étant assez économique. Mais elle nécessite d'être mise en œuvre par une entreprise très soigneuse. »Consulté par l'entreprise Demathieu Bard qui recherchait un sous-traitant pour réaliser l'ensemble des travaux de façade, Sto a proposé l'entreprise PMR (Plaquette Maçonnerie Ravalement) qui a fait la preuve, depuis près d'une quinzaine d'années, de sa compétence dans la pose de plaquettes. Le fondateur et gérant de cette société de 38 personnes, Murat Delikaya, et le conducteur de travaux, Firat Doner, apprécient l'assistance d'un technicien d'application envoyé par Sto pour les premiers jours du chantier de pose du système Sto-Ecoshapes.« La pose des éléments a été réalisée par trois compagnons, décrit le conducteur de travaux. La colle et le mortier de jointoiement sont un seul et même produit teinté dans la masse. Celui-ci est étalé à la taloche crantée sur le support (le mortier de marouflage de l'armature de l'ITE) puis les éléments préfabriqués sont posés dans le mortier frais et pressés à l'aide d'un rouleau. Les joints sont ensuite lissés à l'aide d'un pinceau légèrement humide avant un deuxième passage au pinceau sec. »« Nous sommes fiers d'avoir réalisé la première application de produits Ecoshapes sur un chantier de taille importante en France, complète Murat Delikaya. Et nos compagnons ont trouvé cette technique agréable à travailler. »Fiche techniqueType de bâtiment : rénovation de logements sociauxLocalisation : rue des Maraîchers, 95118 SannoisSurface de façade traitée : 6.000 m²Maître d'ouvrage : CDC-HabitatGroupement conception-réalisation : Agence Olivier Cabanes Architecte AOCA, entreprise Demathieu Bard, BET SogetiEntreprise applicatrice : PMRDate du chantier : août 2019 – février 2020Solution utilisée : système d'isolation StoTherm Vario, enduit StoLotusan K, peinture StoColor Lotusan® et éléments d'enduit préfabriqués Sto-Ecoshapes l'échauffement. Ravalement de classe D2
Il y a 4 ans et 136 jours

Les régions mettent un pied dans l’infrastructure ferroviaire

Les petites lignes ferroviaires abordent 2021 sur le bon rail. Le 1er janvier, l’entrée en vigueur du décret d’application de l’article 172 de la loi d'orientation sur les mobilités (LOM) a ouvert un nouveau chapitre de la décentralisation ferroviaire : les régions deviennent gestionnaires d’infrastructures. Après la propriété du matériel roulant, la maîtrise des tarifs et celle de l’exploitation, cette nouvelle étape achève leur mutation en ensemblier du chemin de fer.
Il y a 4 ans et 136 jours

Le 3ème Challenge Start-ups Construction Tech® dévoile ses lauréats

Les membres du jury, qui se sont exceptionnellement réunis de manière virtuelle, ont sélectionné 5 lauréats. Et pour la première fois, 3 mentions spéciales ont été décernées. Les start-ups retenues l'ont été pour la qualité de leurs solutions et pour la réelle valeur ajoutée qu'elles apportent au secteur. À noter que parmi ces lauréats et mentions spéciales, Rebartek AS est originaire de Norvège et Weavair du Canada.Pour cette nouvelle édition, les membres du jury ont tenu à saluer « la mobilisation des start-ups qui ont présenté des dossiers de qualité et des solutions très concrètes. ». Ils ont aussi noté la présence de plus en plus importante de solutions prenant en compte les préoccupations environnementales.Prochaine étape : webinaire le 15 janvier 2021 de 9h00 à 11H00Les tendances des candidatures au 3ème Challenge Start-ups Construction Tech seront décryptées.Les 5 lauréats et les 3 mentions spéciales pitcheront leur solution.Le jury annoncera le Grand Lauréat du 3ème Challenge Start-ups Construction Tech®Pour vous y inscrire : cliquez iciLes lauréatsART & FACT INNOVATION (Catégorie : Impression 3D)Art & Fact Innovation conçoit des pylônes destinés à accueillir les opérateurs de téléphonie mobile, en impression 3D en béton ultra haute performance. Ces derniers sont désignés et architecturaux, et s'intègrent aux paysages. Ils sont personnalisables et adaptables, et bénéficient d'une empreinte carbone plus faible que les mâts traditionnels. Ils peuvent être végétalisés ou peints.Les partenaires de Art & Fact Innovation sont des structures spécialistes dans leur domaine : Ingénierie : Lamoureux et Ricciotti / Impression 3D : XtreeE / Montage : FreyssinetFondateur : Denis WEHRLÉAnnée de création : 2018Site internet : artetfact.euKEYCLIC(Catégorie : Smart Building)Keyclic est une plateforme collaborative qui simplifie la gestion d'incidents au quotidien. 100 % digitale cette plateforme permet de gérer les services post livraison d'un programme immobilier répondant à 3 enjeux majeurs de ces périodes :La clarté et la simplicité des demandesL'efficacité dans le traitementLa satisfaction des clientsFondateurs : Baptiste YVENAT et Julien BOYÉAnnée de création : 2014Site internet : keyclic.comPANGA(Catégorie : Smart City)Actuellement, la plupart des données sont envoyées et traitées dans le Cloud, avant d'être renvoyées et utilisées à leur point de départ : c'est ce qu'on appelle le Cloud Computing. Panga est convaincu que l'avenir de l'IoT passe par l'Edge Computing : traiter la donnée là où elle est produite. Panga développe une solution pour Smart Building et Smart City basée sur une architecture réseau locale unifiée pour les bâtiments et les quartiers, construite sur des systèmes distribués, sécurisés et résilients (Grid & Edge computing) afin de délivrer des services aux usagers.Fondateur : Patrick SIMONAnnée de création : 2015Site internet : panga.frQARNOT BUILDINGS(Catégorie : Énergie renouvelable)Qarnot a été fondé il y a près de dix ans autour d'une idée écologique et de bon sens : valoriser la chaleur perdue des serveurs informatiques pour chauffer des bâtiments, dans une logique d'économie circulaire numérique : la chaleur, déchet des uns dans l'informatique devient la ressource précieuse des autres dans le bâtiment. Ainsi, Qarnot a créé des datacenters à placer directement dans les bâtiments, sous forme de radiateurs (pour chauffer les pièces) et de chaudières (pour chauffer l'eau) pour chauffer écologiquement grâce à la chaleur dégagée par le calcul informatique. Dans cette logique d'écologie et d'économie, Qarnot a aussi développé un logiciel de gestion énergétique pour le bâtiment.Fondateurs : Paul BENOIT et Miroslav SVIEZENYAnnée de création : 2010Site internet : qarnot.comREBARTEK AS(Catégorie : Robotique)Rebartek est une startup qui conçoit et préfabrique des barres d'armatures automatiques. Rebartek est spécialisé dans le domaine de la robotique. La solution est construite en deux temps : premièrement, un robot permet de construire la structure des barres d'armatures, qui est ensuite installée sur le chantier. À défaut d'assembler chaque barre à la main, le robot peut-lui-même les assembler et construire « l'armature ». Cette solution permet de gagner en temps et en main d'œuvre. La deuxième partie de la solution est un logiciel automatisé. Cela permet de personnaliser complètement les plans des structures des « armatures » et de donner les instructions au robot. Grâce à ce logiciel automatisé, Rebartek économise 20 % des matériaux.Fondateur : Max TROMMERAnnée de création : 2018Site internet : rebartek.comMentions spécialesBIOXEGYmention spéciale « Green tech »Le bio mimétisme est une approche R&D / R&I inédite qui consiste à s'inspirer de l'ingéniosité des mécanismes du vivant. Bioxegy est un bureau d'études et d'ingénierie spécialiste du bio mimétisme. Il intervient auprès de grands groupes, ETI et PME, tous secteurs confondus, en France et en Europe.Fondateurs : Sidney ROSTAN et Simon de MYTTENAEREAnnée de création : 2018Site internet : bioxegy.comCUEILLETTE URBAINEmention spéciale « Agriculture urbaine »Cueillette Urbaine propose la vente et l'exploitation de fermes urbaines productives et écologiques clés en main, l'installation de potagers participatifs en entreprise et l'animation d'ateliers sur la sensibilisation à l'écologie et la cuisine de saison.Fondateurs : Paul ROUSSELIN et Pierre-Frédéric BOUVETAnnée de création : 2016Site internet : cueilletteurbaine.comWEAVAIRmention spéciale « Qualité de l'air »La solution de Weavair est un dispositif de capteurs intelligents, ainsi qu'un logiciel de prédiction pour les systèmes de distribution de l'air permettant de réduire le risque de transmission des maladies et participer à la baisse des coûts.Fondateur : Natalia MYKHAYLOVAAnnée de création : 2018Site internet : weavair.comProchaines étapes :15 janvier 2021 : Pitch des lauréats et élection du Grand Lauréat ;Mise en ligne de tous les candidats dans l'Annuaire Digital Construction Tech® ;3 au 6 octobre 2022 : Présence du Grand Lauréat sur le secteur Construction Tech® à BATIMAT.Le Jury du Challenge Start-ups Construction Tech®Stéphanie Bigeon-Bienvenu : Directrice de la communication et du digital, OPPBTP (l’Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics) ;Solène Bordenave : Senior consultant, Impulse Partners ;Delphine Eyraud-Galant : Déléguée Smart Up Bâtiments, Gimélec;Emilie Garcia : Responsable financement innovation, BPI France ;Emmanuel Natchitz : Directeur du développement, ESITC Paris ;Franck Le Nuellec : Directeur marketing, développement et innovation stratégique, CCCA-BTP ;Guillaume Sever : Responsable suivi des participations, BPI France ;Ara Shahnazaryan : Conseiller en stratégie et transformation numérique, S.H. Conseil ;Thomas Volpi : Directeur, Houzz ;Bénédicte Winter : Senior Manager Energy, Building & Environmental Technologies, GTAI (Germany Trade & Invest).
Il y a 4 ans et 137 jours

Marc Mimram | Paysages de gravité

Le 14 juillet 2016, j’ai eu la chance d’être invité par Farrokh Derrakshani, directeur du Prix Aga Khan d’Architecture, à une conférence au V&A Museum de Londres, intitulée « Beyond The Bridge ». Dans la liste des orateurs, j’ai vu la biographie d’un homme appelé Marc Mimram. Chronique-photos d’Erieta Attali. Je ne savais pas qui […] L’article Marc Mimram | Paysages de gravité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 137 jours

Taxe d'habitation, relance des territoires, allégement des impôts de production... ce qui change au 1er janvier 2021

Découvrez ce qui change le 1er janvier 2021À compter du 1er janvier, la taxe d'habitation (TH) va être totalement supprimée pour les résidences principalesDepuis 2020, 80% des foyers étaient totalement dégrevés de taxe d'habitation. Les 20% de foyers restants seront progressivement exonérés jusqu'à la suppression totale de la TH en 2023.Un nouveau schéma de financement des collectivités locales entre en vigueur en 2021 leur permettant d'être intégralement compensées de la perte du produit de taxe d'habitation.Allégement des impôts de production en faveur des entreprisesDans le cadre de la politique de relance, les impôts de production sont allégés en faveur des entreprises, au moyen d'une division par deux du taux de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) et d'un nouveau mode de calcul de la valeur locative des locaux industriels. Les effets sur les ressources des collectivités sont neutralisés.Automatisation progressive du fonds de compensation de la taxe sur la valeur ajoutée (FCTVA)À l'initiative du Gouvernement, la loi de finances pour 2021 prévoit l'automatisation progressive du FCTVA à compter du 1er janvier 2021. Cette automatisation consiste à remplacer l'examen manuel des dossiers de demande de remboursement envoyés aux préfectures par un calcul automatique dans une nouvelle application dédiée sur la base des dépenses imputées sur un ensemble de comptes éligibles. Il s'agit donc d'une simplification pour les collectivités, qui seront à terme très largement déchargées de la transmission de dossiers papier spécifiques.De nouvelles enveloppes en faveur de la relance dans les territoiresAprès le vote d'une enveloppe de 1 Md€ au cours de l'été 2020 en faveur de l'investissement du bloc communal, de nouvelles enveloppes en faveur pour la relance dans les territoires sont adoptées dans le cadre de la loi de finances pour 2021, en plus des dispositifs classiques de soutien à l'investissement public local, dont les montants sont tous reconduits :650 M€ pour promouvoir la rénovation thermique des bâtiments des communes et EPCI ;300 M€ en faveur de la rénovation thermique des bâtiments des départements ;600 M€ en faveur des investissements des régions.Prorogation de dispositifs de soutien aux territoires en difficultéProrogation jusqu'en 2022 de sept dispositifs de soutien aux territoires en difficulté qui devaient arriver à échéance à la fin de l'année 2020 : les zones de revitalisation rurale (ZRR), les zones franches urbaines-territoires entrepreneurs (ZFU-TE), les zones d'aide à finalité régionale (AFR), les zones d'aide à l'investissement des petites et moyennes entreprises (ZAIPME), les bassins d'emploi à redynamiser (BER), les bassins urbains à dynamiser (BUD) et les zones de développement prioritaire (ZDP).L'ensemble de ces zonages concernerait au total 13.900 communes en France, soit près de 40% des communes.
Il y a 4 ans et 137 jours

704 Clavex+ HP, un mortier hautes performances signé Parexlanko

Parexlanko innove avec le 704 Clavex+ HP, un mortier de scellement et de calage hautes performances à retrait compensé pour des environnements exigeants. [©Parexlanko] Parexlanko innove avec le 704 Clavex+ HP, un mortier de scellement et de calage hautes performances à retrait compensé pour des domaines d’applications très larges et des environnements exigeants. Ce mortier polyvalent à base de liants hydrauliques maintient des performances mécaniques élevées en épaisseurs de 5 à 150 mm. Il s’adresse surtout au génie civil (les tabliers et les piles d’ouvrage d’art). Mais il assure aussi le calage de machines industrielles lourdes et/ou à fortes vibrations. Et le clavetage de poutres, de poteaux et d’éléments préfabriqués en béton, l’assemblage d’éléments en béton précontraint… Une granulométrie très fine Disposant d’une granulométrie très fine de 0/1,6 mm, le 704 Clavex+ HP offre une très haute fluidité, lui permettant d’assurer des calages de faibles épaisseurs. Et ce, tout en offrant une résistance mécanique très élevée : 12 MPa à la flexion et 60 MPa à la compression. Son double taux de gâchage, sa consistance coulante ou plastique. Ainsi qu’un large temps de prise autorisent son pompage sur de longues distances. En effet, le début de prise se situe entre 6 h 15 et 16 h 00 (6 h 15 à 35 °C, 8 h 30 à 20 °C et jusqu’à 16 h 00 à 5 °C). Ce mortier peut être en contact avec de l’eau potable (château d’eau). Mais il résiste aussi à l’eau de mer et aux eaux sulfatées.   
Il y a 4 ans et 138 jours

Nouveau mortier de scellement et de calage hautes performances polyvalent 704 Clavex+ HP

Ce mortier s’adresse spécifiquement au génie civil (les tabliers et les piles d’ouvrage d’art) mais il assure également le calage de machines industrielles lourdes et/ou à fortes vibrations (broyeurs, concasseurs, presses hydrauliques, rails etc.).704 CLAVEX+ HP assure aussi le clavetage de poutres, de poteaux et d’éléments préfabriqués en béton, l’assemblage d’éléments en béton précontraint, la reprise de sous-œuvre de fondations de bâtiments et le scellement d’armatures, de tirants, de tiges filetées, de tiges d’ancrage, etc.Un mortier hautes performancesPour répondre aux besoins de chantiers exigeants, 704 CLAVEX+ HP de PAREXLANKO a été conçu pour offrir une polyvalence sans égal tout en maintenant des performances mécaniques très élevées. 704 CLAVEX+ HP est adapté aux épaisseurs allant de 5 à 150 mm.Disposant d’une granulométrie très fine de 0-1,6 mm, 704 CLAVEX+ HP offre une très haute fluidité lui permettant d’assurer des calages de faibles épaisseurs, tout en offrant une résistance mécanique très élevée. Son double taux de gâchage, consistance coulante ou plastique ainsi qu’un large temps ouvert et d’un large temps de prise autorisent le pompage de 704 CLAVEX+ HP sur de longues distances. En effet, le début de prise se situe entre 6h15 et 16h (6h15 à 35°C, 8h30 à 20°C et jusqu’à 16h à 5°C).Une résistance à toute épreuveLe mortier de scellement et calage 704 CLAVEX+ HP s’adapte à tous les environnements. Il peut ainsi être en contact avec de l’eau potable (château d’eau), mais résiste à l’eau de mer et aux eaux sulfatées. Après 28 jours, 704 CLAVEX+ HP affiche une résistance mécanique exceptionnelle de 12 MPa à la flexion et de 60 MPa à la compression.Un mortier répondant à tous les critères de certificationFort de ses performances élevées, 704 CLAVEX+ HP est certifié :CE, NF030 scellement et calage.Il est conforme à la NF 1504-6 scellement mais aussi à la NF P18-821 calage catégorie 7.Bénéficie d’une CLP, lui permettant d’être en contact avec l’eau potable (Conformité aux Listes Positives).PV EGIS “résistance à l’écaillage” selon la XP P 18-420.PV EGIS “Résistance au Gel Sévère” selon NF P18-424.Caractéristique techniquesConstituants actifs à base de liants hydrauliques.Poudre grise prête à mouiller.Granulométrie : 0 - 1,6 mm.Densité pâte : 2,2 environ.pH du mortier : 12,5.D.P.U. à 20°C : 1 h 30 en scellement / 1 h 30 en calage.Essai d’aptitude à la mise en place selon P18 832 : surface de bulles < 5 %.
Il y a 4 ans et 139 jours

Les régions, nouveaux gestionnaires d'infrastructures ferroviaires

RÉSEAU FERRÉ. Un décret d'application de la loi d'orientation des mobilités a été publié au Journal officiel le 31 décembre 2020. Celui-ci détaille les conditions selon lesquelles la gestion des petites lignes ferroviaires peut être transférées aux régions.
Il y a 4 ans et 139 jours

Résultats de la 17ème édition des Pyramides d'Or de la FPI

Entièrement rénovées en 2016, sous l'impulsion d'Alexandra François-Cuxac, Présidente de la FPI, les Pyramides sont centrées sur les sujets essentiels de la Fédération : innovation, qualité, performances techniques, esthétique, responsabilité dans la conduite des opérations, relation-client et émergence de nouveaux talents. Cette année le concours était présidé par Jean-Louis Borloo, ancien Ministre d'Etat. La cérémonie nationale de remise de prix de la 17ème édition du concours s'est tenue le 16 décembre 2020, en Web Live TV et a été ouverte par Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée au Logement.« En se portant candidat au concours le plus exigeant du secteur, les promoteurs immobiliers adhérents de la FPI ont témoigné de leur engagement à mettre leurs méthodes et programmes en cohérence avec les transformations sociétales, numériques et environnementales, les mutations des usages et les attentes de leurs clients. Face à un contexte exceptionnel, nous avons tout fait pour maintenir ce concours, dans les régions et au niveau national, envers et contre tout...Nous avons pu nous appuyer sur nos partenaires fidèles, sponsors de chacun des prix, nos chambres régionales et nos adhérents. »Alexandra François-Cuxac, Présidente de la FPI FranceLa Pyramide d'Or - Grand prix national - parrainé par SOCFIMLe lauréat est : « Asnières SO HO » de COGEDIM et COFFIM à AsnièresArchitecte : Yann FranconiePrix de l'immobilier d'entreprise - parrainé par SMABTPLe lauréat est : « MA.AT » de DEMATHIEU-BARD à ArcachonArchitecte : Laurent Portejoie – atelier d'architecture King Kong FivePrix de l'innovation industrielle - parrainé par le Groupement des Industriels de la Prescription (GIP)Le lauréat est : « Brazza – Les volumes capables » de EDEN PROMOTION à BordeauxArchitecte : Michel Hardoin- Atelier 6 ArchitecturePrix de la mixité urbaine - parrainé par Chevreuse CourtageLe lauréat est : « L'Etoffe » de NACARAT et NODI à Villeneuve d'AscqArchitecte : De Alzua ArchitectesPrix de la conduite responsable des opérations - parrainé par ApaveLe lauréat est : « Novadiem » de BOUYGUES IMMOBILIER à ToulouseArchitecte : Cobe ArchitecturePrix du bâtiment bas-carbone – parrainé par EDFLe lauréat est : « Origine » du Groupe CISN à Saint-NazaireArchitecte : Asa GimbertPrix des premières réalisations - parrainé par les Banques PopulairesLe lauréat est : « L'Eveil » de NEOPROMOTION à Castelnau-le-LezArchitecte : IPC Laurent BesnierPrix du grand public - parrainé par GRDFElection du lauréat en direct lors de l'émission en Web Live TV. Les participants de la cérémonie de remise de prix ont voté, en direct, parmi les 3 programmes suivants, sélectionnés par le jury national des Pyramides d'Or : « Paris Kyoto Babylone » de BOUYGUES IMMOBILIER, à Aix-les-Bains, architecte Chambre et Vibert « Le Bird » de KIC au Touquet, maître d'œuvre Projex Ingénierie « Lucinia », LE CREDIT AGRICOLE IMMOBILIER à Couëron, maître d'œuvre : Huca Architectes.Le lauréat est : « Le Bird » de KIC au Touquet,Maître d'œuvre : Projex IngénieriePrix BIM & Data – parrainé par SOCOTECLe lauréat est : « Les Terrasses de Jade » de LP Promotion à ToulouseArchitecte : Taillandier architectes Associés
Il y a 4 ans et 143 jours

Top 10 des actualités les plus lues sur Batinfo en 2020

10 - Le Gouvernement valide les préconisations sanitaires proposées par les entreprises du BTP pour la reprise des chantiersLe Gouvernement et les organisations professionnelles des entreprises du BTP s’étaient engagés le 21 mars dernier à réunir les conditions d’une poursuite de l’activité du bâtiment et des travaux publics en sécurité pour les salariés. Cet engagement se concrétise par un guide de bonnes pratiques destinées aux entreprises du BTP diffusé depuis le 2 avril.Lire l'article9 - Le catalogue Collections d'extérieurs 2020 Bradstone et Carré d'Arc vient de paraîtrePaysagistes et particuliers accueillent toujours avec la même curiosité créatrice le catalogue annuel Collections d’extérieurs édité par Fabemi, richement fourni en dallages, pavages et accessoires des marques BRADSTONE et CARRÉ D’ARC. Sans oublier les produits de finition IDÉAL JARDIN qui déclinent leurs qualités et fonctions en fin d’ouvrage, suivis du Cahier technique dédié à la pose et à l’entretien.Lire l'article8 - Mise à jour des préconisations de sécurité sanitaire concernant le port de masques sur les chantiersLe Ministère du Travail vient d'informer l'OPPBTP de l'avis suivant de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) sur les conditions d'utilisation des masques alternatifs.Lire l'article7 - Coronavirus : Le bâtiment et le gouvernement proches d'un accord pour les chantiersLe ton se calmait vendredi entre le gouvernement et le secteur du bâtiment, après plusieurs jours de désaccord sur la nécessité ou non d'interrompre les chantiers face à la crise du coronavirus, les deux parties se disant proches d'un accord.Lire l'article6 - Coronavirus : Le BTP et le gouvernement trouvent un accord pour la poursuite des chantiersLe gouvernement et les professionnels du bâtiment et travaux publics ont annoncé samedi avoir trouvé un terrain d'entente afin de maintenir l'activité de la plupart des chantiers malgré l'épidémie de coronavirus.Lire l'article5 - Quelles sont les attentes des Français en matière de logement et d'aménagement intérieur ?L'Association QUALITEL publie la quatrième édition de son Baromètre annuel consacré à la Qualité du logement, en partenariat avec Ipsos. Cette étude de grande ampleur – 2600 personnes interrogées – mesure les attentes des Français en matière de logement et d'aménagement intérieur.Lire l'article4 - Les professionnels sidérés par les nouvelles règles d'urbanisme qui menacent la construction de logementPlusieurs ordonnances prises en application de la loi sur les mesures d'urgence liées à la crise du Coronavirus, adoptée le 22 mars dernier, viennent d'être publiées. La LCA-FFB alerte sur certaines d'entre elles qui menacent de porter un coup d'arrêt brutal à la filière bâtiment pour les six prochains mois.Lire l'article3 - Covid-19 : Les PME alertent sur les refus de chômage partiel malgré les promesses du gouvernementLa Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) a alerté mercredi sur l'augmentation des cas de refus de chômage partiel, malgré l'élargissement de ce dispositif par le gouvernement pour préserver l'emploi face à la crise actuelle induite par le coronavirus.Lire l'article2 - Le secteur du bâtiment s'insurge contre la décision du gouvernement de poursuivre les chantiersFace à la crise du coronavirus, le conflit s'aggrave depuis plusieurs jours entre le secteur du bâtiment et le gouvernement: les professionnels veulent arrêter leurs chantiers, mais les autorités insistent pour maintenir une activité économique jugée essentielle.Lire l'article1 - En quoi le nouveau Diagnostic de Performance Énergétique est-il inédit ?Auparavant un diagnostic destiné à informer sur la performance énergétique du bien, voire à encourager le potentiel acquéreur à réaliser des travaux de rénovation énergétique, le Diagnostic de Performance Énergétique (D.P.E.) deviendra le 1er juillet 2021 l'outil de référence dans la lutte contre les logements les plus énergivores et les plus polluants. Qu’est-ce qui va changer et quel sera l’impact sur le secteur de l’immobilier ?Lire l'article
Il y a 4 ans et 143 jours

Nouvelles scies Biturbo Bosch : des outils sans-fil plus puissants que jamais pour travailler le bois

Conçues pour offrir une puissance maximale avec les batteries ProCORE18V, ces scies Biturbo sont plus performantes que toutes les scies sans-fil Bosch actuelles.Les 4 scies Biturbo sont aussi performantes avec une seule batterie que de nombreux modèles du marché à 2 batteries ou appartenant à une catégorie de voltage supérieure. Leurs performances exceptionnelles résultent d’une adéquation parfaite entre l’électronique, la batterie et leur moteur haute performance sans charbon de conception spéciale.Les professionnels du bois peuvent compter sur une puissance jusqu’ici réservée aux modèles filaires de 1.600 à 1.800 W avec les nouvelles scies Biturbo Bosch Professional. Les scies circulaires sans-fil GKS 18V-68 GC / GKS 18V-68 C Professional s’adressent aux charpentiers et couvreurs souhaitant tronçonner rapidement et de façon fiable des poutres ou panneaux agglomérés grossiers d’une épaisseur maximale de 70 mm.La GKT 18V-52 GC Professional est la première scie plongeante de la gamme 18 V. Elle permet de réaliser des coupes précises jusqu’à 40 mm d’épaisseur et d’effectuer des coupes nettes dans des panneaux avec un rail de guidage. Elle s’adresse particulièrement aux menuisiers et cuisinistes. La scie à onglets radiale GCM 18V-216 Professional estégalement une nouvelle venue dans la gamme 18 V. Permettant de découper des profilés d’ossatures en bois, des lames de parquet ou des plinthes, elle est idéale pour les travaux d’aménagement intérieur et offre avec 70 mm la plus grande capacité de coupe de sa catégorie. Les 4 scies Biturbo sont aussi performantes avec une seule batterie que de nombreux modèles du marché à 2 batteries ou appartenant à une catégorie de voltage supérieure. Leurs performances exceptionnelles résultent d’une adéquation parfaite entre l’électronique, la batterie et leur moteur haute performance sans charbon de conception spéciale. Capables d’exploiter le plein potentiel des batteries ProCORE18V de 8,0 et 12,0 Ah, ces scies conviennent parfaitement pour un usage intensif dans le cadre d’applications exigeantes.Scies circulaires sans-fil GKS 18-68 GC/GKS 18-68 C : performance et maniabilitéLes scies circulaires sans-fil GKS 18V-68 GC Professional et GKS 18V-68 C à technologie Biturbo sont idéales pour le bois et le bois composite. La GKS 18V-68 GC Professional est 15 % plus rapide et 225 g plus légère (avec une batterie de 8,0 Ah) qu’un modèle filaire comparable de 1 800 W. Ergonomique, sa poignée avant de type étrier assure une meilleure maniabilité même en position inclinée.Sa capacité de coupe est de 68 mm et la profondeur de coupe est intuitive et très facile à régler : une simple pression sur un bouton suffit.Adaptées à une utilisation avec rail de guidage, les 2 scies disposent d’une interface utilisateur permettant de prérégler la vitesse via un smartphone, de vérifier l’état de l’outil et le niveau de charge de la batterie. Elles sont également équipées d’un frein rapide, d’un mode ECO assurant 30 % d’autonomie en plus, d’une protection contre les surcharges, d’une protection anti-redémarrage, d’un variateur de vitesse et d’un blocage de broche.Scie plongeante sans-fil GKT 18V-52 C : un design extrêmement compactLa scie plongeante sans-fil GKT 18V-52 GC Professional Bosch se distingue par son design compact qui la rend très facile à manier et à transporter. Sa technologie Biturbo et sa batterie ProCORE18V permettent de disposer deperformances de coupe équivalentes à celles de scies plongeantes filaires de 1 620 W. La GKT 18V-52 GC Professional permet de travailler près des bords, jusqu’à 10 mm d’un mur, ce qui est sans équivalent dans sa catégorie.Elle est conçue pour les coupes de format et coupes plongeantes dans le bois, le bois composite, les planches et panneaux ainsi que l’aluminium et le verre acrylique.Pour un travail sans poussières, cet outil peut être utilisé avec des sacs à poussière ou avec le système Click & Clean Bosch ainsi qu’avec les systèmes de rails de guidage. Il dispose de la fonction Constant Speed, d’un mode ECO pour atteindre jusqu’à 20 % d’autonomie en plus, d’une interface utilisateur et d’un préréglage de vitesse par application mobile sur smartphone.Scie à onglets radiale sans-fil GCM 18V-216 : Ergonomie et légèretéAvec sa capacité de coupe de 70 mm, la scie à onglets radiale sans-fil GCM 18V-216 Professional Bosch offre une multitudes d’applications que n’importe quelle autre scie à onglets radiale avec une lame de 216 mm. Elle permet un changement de lame particulièrement rapide et sans clé avec une vis de serrage et offre une grande fiabilité, qu’il s’agisse de couper des plinthes, des éléments d’ossatures en bois, des bois carrés, d’effectuer des coupes biaises dans des panneaux ou de raccourcir des lames de parquet.La scie GCM 18V-216 est conçue pour un usage mobile. Sa poignée ergonomique permet de la transporter facilement d’une seule main après avoir bloqué la tête basculante et la fonction radiale. Elle dispose également d’un laser pour la ligne de coupe, d’un éclairage LED et d’un sac à poussière pour un travail propre. Le Professional 18V System Bosch assure la compatibilité avec les anciens et nouveaux outils électroportatifs et chargeurs de la même catégorie de voltage. Bosch propose également une large gamme d’accessoires optimisée pour une utilisation sur les scies sans-fil : les lames « Expert for » et « Standard for » avec technologie carbure qui prolongent l’autonomie de la batterie et contribuent à une meilleure efficacité.
Il y a 4 ans et 144 jours

Delta Dore crée le pole Smart IoT Solutions, une nouvelle étape dans l’interopérabilité au profit de la smart home

Fort d’un savoir-faire reconnu et de l’écosystème le plus large pour le pilotage des équipements de la maison, Delta Dore passe à la vitesse supérieure. Le groupe structure l’ensemble de ses activités IoT et Smart Home en créant l’entité Smart IoT Solutions. A destination de tous les professionnels de l’habitat, ce nouveau pôle est composé de trois piliers : « Your IoT », « Your services » et « Your interface ». L’objectif ? Accompagner les industriels à chaque étape de la transformation digitale de leurs offres de produits & services pour les logements, de la création, à l’exploitation, en passant par la conception. Delta Dore entend ainsi conforter son expertise et être moteur dans les prochaines grandes étapes de l’écosystème IoT.Avec 38 milliards d’objets connectés à internet dans le monde en 2020 (+ 285% par rapport à 2015 – source : IDC), l’univers IoT fait partie du quotidien, et particulièrement pour la maison qui ne cesse d’évoluer au fil des années. A titre d’exemple, les appareils d’équipement de la maison représentent à eux seuls 57 % des ventes d’objets connectésen 2020.Cette multitude d’équipements et d’écosystèmes soulève un point : comment garantir uneexpérience simple et intuitive autour de la smart home ?Une question qui impacte autant les industriels (concevoir des équipements pilotables à distance) que les utilisateurs finaux (interagir de manière fluide sur une interface unique donnant accès à un grand nombre de solutions).« L'avenir de la maison intelligente nécessitera l'interopérabilité et la collaboration de nombreux écosystèmes, et plus largement une unification de l'expérience utilisateur. Notre ambition est de concevoir des solutions améliorant le confort de chacun, sécurisant l’habitat et participant à la transition énergétique. Nous entendons renforcer nos collaborations avec nos clients et partenaires technologiques. Nous voulons accompagner nos clients industriels dans l’évolution de leurs offres, par exemple en les aidant sur des aspects tels que la connectivité. Cela implique également l’interopérabilité de nos offres avec celles d’autres acteurs du marché, y compris de nosconcurrents » explique Stéphane Lemerle, Directeur du pôle Smart IoT Solutions.Delta Dore, le partenaire de choix dans la transformation digitale de l’habitatAvec une expertise de 50 ans dans la fabrication de solutions et dans la conception de produits en marque blanche, Delta Dore a su s’imposer sur le segment de la smart home avec près de 250 000 box domotique Tydom vendues.2020 : un nouvel ancrage dans l’Internet des objets et la transformation digitale de l’habitatLes attentes des clients et partenaires, l’évolution des usages, combinées à la force de l’écosystème smart home Delta Dore le plus large du marché, a naturellement amené la marque à structurer son expertise avec la création du pôle Smart IoT Solutions.L’équipe est composée de divers profils : ingénieur, architecte IoT, UX designer, chef de projets dédiés, développeur travaillant en mode agile. Sa mission est d’accompagner dans la transformation digitale de leurs offres les gestionnaires immobiliers, les fournisseurs de services d'énergie, les fabricants d'équipements, les constructeurs de maisons, les sociétés de maintenance, les agrégateurs d'énergie, les fournisseurs de services…Smart IoT Solutions : une activité pensée pour chaque étape de la Smart Home« Smart IoT Solutions se met au service de nos clients, leur apportant une expertise et des solutions qui leur permettent d’accélérer tout en conservant l’entière propriété de leurs données et la primauté de leurs contacts clients. Smart IoT Solutions aide à créer de la valeur, pas à en prendre », développe Stéphane Lemerle.Le groupe applique une stratégie claire et sur-mesure au service des professionnels avec comme objectif principal : créer de la valeur auprès de leurs clients.Au travers de trois offres complémentaires, Delta Dore propose ainsi un accompagnement unique sur le marché, allant de la conception de devices, à la proposition de nouveaux services et jusqu’à la création des interfaces.Your IoT : des solutions pour entrer ou évoluer dans le monde de l’IoT, via la création ou laréutilisation de devices, et connecter et piloter facilement ses équipements (connecteurs,box domotiques et digitalisées, modules, logiciels...) via une plateforme IoTYour services : une offre de services accessible via la plateforme IoT de Delta Dore pourapporter une valeur ajoutée aux fonctions à destination des utilisateurs.Your Interface : réalisation d’interfaces et applications smartphones sur-mesure pour unemeilleure expérience client (possibilité de pilotage via des assistants vocaux, large gammede télécommandes et switches connectés...)> ELM LEBLANC : offrir de nouveau services grâce à l’intégration de protocole radioLe système Optibox permet aux bailleurs sociaux et entreprises de maintenance de piloter et superviser, à distance, un parc de chaudières. Il permet aussi de proposer aux utilisateurs finaux, de nouveaux services comme le suivi des consommations.« Notre projet était un challenge technique qui a été relevé grâce à l’expertise radio des équipes Delta Dore et à leur savoir-faire industriel. Nos clients sont satisfaits du service innovant que nous leur apportons. ». Marc Trela, Directeur marketing produits.> SWAO : des fenêtres connectées alliant confort et sécuritéL’objectif était de développer un capteur pour permettre aux clients de connaître l’état(ouvert/fermé/en aération) de leur fenêtre afin de sécuriser leur habitat et réaliser des économies d’énergies.Un capteur qui peut aussi être couplé au système d’alarme pour faire une protection périmétrique et à la gestion du chauffage pour le couper en cas d’ouverture des fenêtres.« Le capteur I-SECURE® s’inscrit dans une démarche « origine France », Delta Dore était donc le partenaire idéal avec ses experts et sa production basée en Bretagne. Notre projet continue d’évoluer grâce aux retours terrain et à l'interactivité avec les équipes qui nous accompagnent au long cours. » Nicolas Robin, Directeur technique fenêtres.> WELL’COM : volets, portes de garage et stores connectés avec l’écosystème TydomLes volets, portes de garage, stores extérieurs ou intérieurs équipés de moteurs Well’com peuvent être pilotés à distance, réagir en fonction d’un scenario prédéfini ou même être contrôlés à la voix. Grâce à une compatibilité totale avec la Smart Home Delta Dore, Well’com permet ainsi aux utilisateurs de sécuriser leur maison, gagner en confort et contribuer à une meilleure performance thermique de leur habitat en hiver comme en été.« Conscients des enjeux qui s’ouvrent pour une maison plus confortable, plus sûre et plus performante, nous avons développé des produits permettant de bénéficier de tous les avantages qu’offre la Smart Home en intégrant nos produits dans l’application Tydom et en nous appuyant sur l’expertise globale de Delta Dore. » Pascal Ischoffen, Responsable de projets Well’com.> ARISTON THERMO s’intègre au logement connecté by Delta DorePour répondre au marché en pleine expansion du logement connecté, le groupe a souhaitérendre les solutions Ariston et Chaffoteaux compatibles avec l’écosystème Delta Dore.« Grâce au développement d'une passerelle nos clients peuvent piloter nos chaudières et pompes à chaleur depuis une interface Delta Dore. Le mode de fonctionnement local permet la régulation modulante et multizone du générateur depuis un boitier d’ambiance Delta Dore ainsi que le relevé de consommations RT2012. En mode connecté, il est également possible de gérer son confort thermique à distance depuis l’Application Smartphone Tydom. » Benjamin d'Erceville, Chef de produit connectivité.La prochaine étape ?Début 2021, Delta Dore ouvre son portail développeurs, un nouveau pas vers l’ouverture avec la mise à disposition des API facilitant ainsi l’intégration des équipements et des services de la Smart Home.
Il y a 4 ans et 145 jours

Rente solaire : le Conseil Constitutionnel donne raison au gouvernement

L’article 225 de la loi finance qui prévoit la réduction du tarif d’achat de l’électricité photovoltaïques pour les contrats conclus entre 2006 et 2010, a été validé par le Conseil Constitutionnel par décision du 28 décembre 2020. Il a retoqué tous les arguments des parlementaires qui contestaient la révision des contrats des gros producteurs d&rsquo;énergie solaire avec l&rsquo;Etat. La réduction des tarifs diminuera le montant de la compensation due par l’État au titre des charges de service public de l’énergie dès 2021, soit environ 400 millions d&rsquo;euros selon le gouvernement. Pour les sages, l’article 225, qui affecte directement les dépenses budgétaires de l’année à venir, a sa place dans une loi de finances. Ils rappellent, en outre, qu&rsquo;il est loisible au législateur d’apporter à la liberté contractuelle, qui découle de l’article 4 de la Déclaration de 1789, des limitations liées à des exigences constitutionnelles ou justifiées par l’intérêt général, à la condition qu’il n’en résulte pas d’atteintes disproportionnées au regard de l’objectif poursuivi. La baisse importante et rapide des coûts de production des installations photovoltaïques au sol ou sur grande toiture, qui avait été mal anticipée lors de la fixation des conditions tarifaires, a eu pour conséquence une augmentation considérable du profit généré par certaines installations de production d’électricité bénéficiant de ces contrats. En adoptant les dispositions contestées, le législateur a entendu remédier à la situation de déséquilibre contractuel entre les producteurs et les distributeurs d’électricité et ainsi mettre un terme aux effets d’aubaine dont bénéficiaient certains producteurs, au détriment du bon usage des deniers publics et des intérêts financiers de l’État, qui supporte les surcoûts incombant aux distributeurs. Ce faisant, le législateur a poursuivi un objectif d’intérêt général. Si la réduction tarifaire affecte un élément essentiel des contrats conclus en application des arrêtés précités, le législateur a veillé à ce qu’elle préserve en tout état de cause la rentabilité des installations. En effet, cette réduction devra aboutir à ce que le prix d’achat corresponde à une rémunération raisonnable des capitaux immobilisés, compte tenu des risques inhérents à leur exploitation. À cet égard, la réduction du tarif tient compte de l’arrêté tarifaire au titre duquel le contrat est conclu, des caractéristiques techniques de l’installation, de sa localisation, de sa date de mise en service et de ses conditions de fonctionnement. D’autre part, si les nouveaux tarifs résultant de l’application des dispositions contestées sont de nature à compromettre la viabilité économique du producteur, il est prévu que, sur demande motivée du producteur et sous certaines conditions, les ministres chargés de l’énergie et du budget fixent au cas par cas, sur proposition de la Commission de régulation de l’énergie, un niveau de tarif ou une date de prise d’effet de ce tarif différents ou allongent la durée du contrat d’achat. Dès lors, compte tenu du motif d’intérêt général poursuivi et des garanties légales qui précèdent, l’atteinte portée par les dispositions contestées au droit au maintien des conventions légalement conclues n’est pas disproportionnée. En ce qui concerne le grief tiré de la méconnaissance du principe d’égalité devant la loi, selon l’article 6 de la Déclaration de 1789, la loi « doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse ». Le principe d’égalité ne s’oppose ni à ce que le législateur règle de façon différente des situations différentes, ni à ce qu’il déroge à l’égalité pour des raisons d’intérêt général, pourvu que, dans l’un et l’autre cas, la différence de traitement qui en résulte soit en rapport direct avec l’objet de la loi qui l’établit. Les dispositions contestées instituent une différence de traitement entre les installations d’une puissance supérieure à 250 kilowatts, auxquelles s’applique la réduction tarifaire, et celles dont la puissance est inférieure ou égale à ce seuil, qui n’y sont pas soumises. Le législateur a entendu mettre un terme aux effets d’aubaine excessifs résultant de l’application des tarifs prévus par les arrêtés adoptés entre 2006 et 2010. Or, le législateur a pu considérer que les producteurs dont les installations ont une puissance supérieure à ce seuil ont bénéficié d’une rentabilité significativement supérieure à celle des autres producteurs du fait des économies d’échelle réalisées et des prix d’acquisition des matériels qu’ils ont pu négocier. Dès lors, ils sont placés, au regard de l’objet de la loi, dans une situation différente des autres producteurs. Par ailleurs, la différence de traitement contestée est en rapport direct avec l’objet de la loi. Il résulte de tout ce qui précède que l’article 225, qui ne méconnaît pas non plus la garantie des droits, le principe d’égalité devant les charges publiques ou l’objectif de valeur constitutionnelle d’intelligibilité de la loi, ni aucune autre exigence constitutionnelle, doit être déclaré conforme à la Constitution.
Il y a 4 ans et 153 jours

Conlit Ductboard 120, l'isolant qui protège du feu les conduits métalliques de ventilation et de désenfumage

Conlit Ductboard 120 est un panneau rigide en laine de roche incombustible recouvert, sur une de ses faces, d’un film d’aluminium renforcé. Il dispose d’une résistance au feu EI 120, soit 120 minutes de protection garanties.Les conduits de ventilation et de désenfumage traversent généralement plusieurs locaux. Si un incendie se déclare, une mauvaise protection du système aéraulique contre le feu accentue le risque de propagation des flammes. La protection de ces conduits à l'aide du système Conlit Ductboard limite considérablement ce risque et apporte des minutes supplémentaires aux opérations de secours et d’évacuation.Conlit Ductboard sera en vente dès le mois de décembre auprès des Responsables prescription ROCKWOOL.La laine de roche est un produit hygroscopique, non hydrophile inorganique et de dimensions stables, garantissant la durabilité des performances et du produit. La couche d’aluminium noire renforcée offre une finition élégante et facile d’entretien. Grâce à son épaisseur faible (90mm), Conlit Ductboard 120 est facile et rapide à installer.ROCKWOOL propose également la Colle Conlit, pour l’assemblage des panneaux Conlit Dutcboard entre eux et sur les supports en acier.
Il y a 4 ans et 153 jours

Wedi et Hansgrohe s'allient pour développer le marché français de l'encastré dans la salle de bain

Alors que l’encastré est très développé dans les pays limitrophes (environ une salle de bain sur deux), il représente sur le territoire national une vraie opportunité de développement qui pourrait conduire les industriels à doubler leur chiffre d’affaires. On compte actuellement 1 salle de bain rénovée sur 10 qui intègre une solution encastrée, soit seulement 10% du marché, malgré des bénéfices évidents autant pour les installateurs que les particuliers.Pour simplifier et étendre le recours à l’encastré sur toute la chaîne de valeur, depuis le distributeur et jusqu’au particulier, wedi et Hansgrohe misent sur la complémentarité de leurs produits, qui associés ensemble, créent un vrai système constructif pour une douche étanche, rapide à installer, et esthétique.Un système constructif innovant et 100% étancheEn s’associant, wedi et Hansgrohe combinent les points forts de leurs deux solutions afin de proposer un ensemble design et étanche.Fondée il y a 37 ans par Helmut Wedi, maître carreleur qui lui a donné son nom, wedi est devenue une marque incontournable et leader sur le marché du bien-être et de l’agencement de la salle de bain. Ses matériaux de construction prêts à l’emploi, ses éléments pour douche de plain-pied, et ses modules design sont aujourd’hui reconnus pour leur étanchéité, leur fiabilité et leur installation simple et rapide. Les produits wedi sont légers, propres à découper, et faciles à manipuler pour l’installation d’une douche. La matière des panneaux, le polystyrène extrudé, permet une étanchéité à 100% de toutes les installations wedi.De son côté, Hansgrohe façonne l’univers de la douche depuis plus de 120 ans. Fidèle à son ADN, le groupe est unanimement reconnu pour son confort de douche. Le fruit d’un enveloppement total, une palette de jets régulièrement enrichie, un large choix de design et la garantie d’un investissement durable au travers d’un produit testé en usine qui traversera les années. Du côté du montage, le corps d’encastrement iBox Universal Hansgrohe assure une gestion du chantier en toute sérénité : adapté à tous les murs entre 58 et 105 mm, il garantit une étanchéité parfaite via ses joints en caoutchouc totalement hermétiques au niveau des 4 raccords, et pourra être réexploité pour une évolution de la douche via 200 sets de finitions disponibles.De nouvelles opportunités business pour les artisansFace aux évolutions du marché, wedi et Hansgrohe innovent afin de proposer des produits qui correspondent aux besoins et à la réalité sur le terrain des artisans pour les aider à valoriser et dynamiser leur activité. Les deux industriels font le constat que le marché actuel de la douche ne permet plus aux artisans de faire valoir leurs compétences. La solution la plus plébiscitée, la colonne de douche, apparente, simple et peu technique à installer pour un bricoleur averti, a banalisé le savoir-faire des professionnels. L’encastré, promu par le partenariat entre wedi et Hansgrohe, remet les compétences de l’installateur au cœur de la pose et élargit ses opportunités business. Ces solutions nécessitent un savoir-faire et une maîtrise parfaite, quasiment inaccessible à celles et ceux qui ne sont pas du métier. Cette valeur ajoutée permet aux professionnels de retrouver des marges saines, de valoriser leur main d’œuvre et leurs produits, tout en montant en gamme leurs installations.La cloison modulaire : Une innovation conjointe primée lors des Salles de Bains Remarquables 2020Pour aller plus loin, les deux industriels ont lancé un produit pré-assemblé en usine, avec leurs deux solutions combinées: la cloison modulaire avec iBox intégrée. Les tubes multicouches sont directement intégrés dans la cloison pour une facilité de mise en œuvre : l’intervention est limitée au raccord eau chaude/eau froide. La pose de la cloison modulaire se fait en 90% de temps en moins par rapport aux méthodes classiques qui utilisent la maçonnerie ou les plaques de plâtres. L’installateur est assuré de réaliser une installation rapide, pérenne et à forte valeur ajoutée. Grâce à sa pose accessible et facile, le produit s’ouvre à toutes les typologies d’installateurs quelle que soit leur formation.Lever les freins chez les distributeurs, les artisans et les particuliersPour démocratiser le recours à l’encastré, wedi et Hansgrohe souhaitent en faciliter sa vente et sa mise en œuvre.Côté installateurs, les freins sont principalement la peur d’une fuite d’eau et d’une salle de bain sinistrée. Au travers de leurs centres de formations respectifs de 250m2 pour Hansgrohe à Antony (92) et 150m² pour wedi à Lyon, sont proposées des formations pratiques qui permettront aux artisans d’avoir les bons réflexes pour une installation rapide, étanche et de haute qualité. Des manuels de mise en œuvre « pas-à-pas » viendront compléter les outils mis à disposition des professionnels en janvier 2021.Pour le distributeur, le recours à l’encastré peut signifier un chiffrage complexe à effectuer, avec une longue liste de références à intégrer dans un devis. Pour répondre à ce défi, Hansgrohe dispense une formation commerciale sur l’encastré par le biais de son équipe de vente. En s’appuyant sur un guide de choix, les vendeurs de salles d’expositions se verront guidés au travers des bénéfices utilisateurs, des étapes clés du chiffrage, d’un outil de sélection de produits à la carte, ou plus simplement de 15 packs commandables en une seule référence.Et enfin, ce programme n’aurait certainement pas les mêmes retombées sans le lancement d’une offre de recrutement, ayant vocation à progressivement prendre le relai des colonnes de douches. C’est ainsi qu’Hansgrohe propose des packs dès 579€, soit le prix d’une colonne dans le réseau pro, pour encourager le transfert.L’encastré, une solution esthétique pour les particuliersLes solutions encastrées permettent de réaliser des salles de bains élégantes et minimalistes en mettant en valeur le carrelage, véritable clou de la salle de bain depuis quelques années. L’encastré est aussi plus facilement modulable et permet d’adapter la disposition de la douche aux contraintes de la salle de bain pour un rendu esthétique adapté aux volontés des consommateurs.
Il y a 4 ans et 155 jours

Entretien de façade : quelles sont les principales opérations à prévoir?

Au même titre que les autres composants de la maison, la façade a besoin d’un entretien régulier. En effet, différentes sortes de saletés s’accumulent à sa surface à mesure que le temps passe. Des fissures peuvent également apparaitre. Pour préserver son bon état, des travaux d’entretien doivent être effectués. Justement, nous allons voir les principales opérations à prévoir à cet effet. Le nettoyage de la façade Il est essentiel de nettoyer les murs extérieurs de la demeure régulièrement. En effet, la présence des mousses, des lichens et des algues sur la façade peut être à la source de sérieux problèmes. Non seulement ils gâchent l’esthétique de la maison, mais ces végétaux indésirables sont à l’origine des infiltrations d’eau et des fissures au niveau de la façade. Pour le nettoyage de cette dernière, il est conseillé de faire appel à un professionnel comme https://www.entreprise-renovation-44.fr/ qui est un entreprise de ravalement dans la Loire Atlantique. Pour nettoyer les murs extérieurs d’une bâtisse, ce professionnel a recours à différentes techniques. En fonction de l’état du mur, il opère un nettoyage à haute pression, un gommage de la façade, à son hydrogommage, au ponçage, etc. La réparation des fissures sur les murs Le nettoyage met à nu la façade de la maison. Après le retrait des différentes saletés, des fissures et des trous peuvent être visibles sur les murs. Comme ils constituent une ouverture qui favorise les infiltrations d&rsquo;eau, il faudra les colmater rapidement. Néanmoins, sachez qu’un ravalement de façade pourrait être entrepris dans la mesure où ceux-ci ébranleraient la solidité de la structure. Pour le colmatage des fissures, le façadier se sert d’un enduit de réparation spécial. La nature de celui-ci est généralement fonction de celle de la façade à traiter. Ainsi, si vous décidez d’entreprendre vous-même les travaux, prenez le soin de vous renseigner sur la nature de ce matériau avant son achat. L’application d’un traitement hydrofuge sur la façade Maintenant que la façade a été nettoyée et réparée, on procède à son hydrofugation. Concrètement, un produit hydrofuge sera pulvérisé à sa surface. Bien que cette opération demeure facultative, sa mise en œuvre est fortement recommandée. En effet, l’application du traitement hydrofuge présente de nombreux avantages. D’une part, il freine le développement des végétaux parasites. Comme susmentionnés, ces derniers peuvent être à la source de sérieux dégâts. D’autre part, ce traitement optimise l’étanchéité des murs extérieurs. Il rebouche leurs pores et permet même de traiter les problèmes d’humidités lorsqu’ils ne sont pas trop importants. Enfin, le produit hydrofuge rend la surface de la façade moins vulnérable à l’encrassement. Celle-ci préservera alors sa propreté plus longtemps. Néanmoins, sachez qu’il existe différents types de produits hydrofuges. Ici encore, il faut tenir compte des spécificités des murs avant l’application du traitement. Ainsi, nous vous conseillons de demander l’avis d’un façadier au préalable. Pour conclure, la façade de notre maison a besoin d’un entretien régulier. Des travaux doivent être effectués afin de préserver son bon état. En conséquence, il faudra le nettoyer pour éliminer les différentes sortes de pollutions. Les fissures et les trous sur les murs extérieurs du logement doivent également être rebouchés pour éviter les problèmes d’infiltration d’eau. Pour terminer, la façade fera l’objet d’un traitement hydrofuge.
Il y a 4 ans et 156 jours

La CHAPE XXs® d'Edilteco® lauréate de la 13ème édition des Trophées du Négoce

LA CHAPE XXs®, deux fois plus légère qu’une chape traditionnelle, est lauréate des Trophées du Négoce 2020 dans la catégorie Rénovation.Une Chape légère et polyvalenteSolution innovante, LA CHAPE XXs® est prête à l’emploi et compatible avec tous les revêtements de sols. Cette chape légère et fibrée est destinée à améliorer l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques en conformité avec la NF EN 13813.Elle doit sa légèreté aux billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 - 3mm). La densité du mélange - 1.200 kg/m³ – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle et admet une épaisseur d’application minimale de 1 cm (en pose adhérente sur béton), 2 cm (en pose désolidarisée sur bois), 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.).Une isolation acoustique optimaleDestinée aux applications intérieures et extérieures, LA CHAPE XXs® permet d’isoler et de traiter acoustiquement les différents types de supports existants dans les immeubles collectifs et les maisons individuelles.Ses performances en matière d’affaiblissement acoustique permettent une absorption efficace des bruits de chocs (talons, chute d’objets, déplacement de mobiliers etc.).Une mise en œuvre plus simpleLA CHAPE XXs® présente une grande facilité de mise en œuvre, permettant de réduire les délais de pose. Cette simplification est liée au fait que LA CHAPE XXs® est parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur. Sa consistance mousseuse permet une application efficace lors de la mise à niveau et une parfaite planéité.Une fois mise en œuvre, LA CHAPE XXs® est prête à recevoir directement un carrelage collé ou un autre revêtement. 24 heures suffisent pour la pose d’un revêtement céramique, 36 heures pour un sol souple et textile sur ragréage et 48 heures pour un parquet flottant.Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples.Polyvalente, LA CHAPE XXs® est utilisée pour tout type de chantiers, en maison individuelle ou en immeuble collectif, pour des travaux neufs ou en rénovation, et sur tout type de revêtements de sol : plancher béton ou bois, dalle béton, carrelage collé, carrelage scellé, parquet flottant, parquet collé, revêtement stratifié, moquette ou encore sol souple...
Il y a 4 ans et 156 jours

Le gouvernement passe en force sur la révision rétroactive des contrats solaires

Pendant deux mois, les acteurs de l'énergie solaire se sont mobilisés afin d'expliquer les conséquences de cette mesure au Gouvernement, aux députés et aux sénateurs. Ces échanges ont démontré que le projet de révision des contrats photovoltaïques, mené sans étude d'impact ni consultation préalables, était lourd de conséquences pour la filière française des énergies renouvelables :Risque de faillite pour plusieurs centaines d'agriculteurs engagés dans le photovoltaïque (environ la moitié des 850 contrats visés),Risque d'insolvabilité pour la très grande majorité des centrales qui sont endettées, menaçant directement la viabilité des producteurs qui les opèrent, essentiellement des acteurs indépendants ancrés dans les territoires,Dégradation des conditions de financement des énergies renouvelables, fragilisant l'atteinte des objectifs de la Programmation Pluriannuelle de l'Énergie (PPE),Perte d'attractivité de la France aux yeux des investisseurs, notamment étrangers, engagés dans le déploiement des énergies renouvelables,Gain financier nul, et potentiellement perte, pour les finances de l'État.A l'écoute du terrain et des territoires, de nombreux élus se sont mobilisés pour alerter le Gouvernement sur ces risques. Ainsi, le 27 novembre dernier, le Sénat avait voté à l'unanimité la suppression de l'article concerné – les sénateurs ayant jugé, à juste titre, que cette mesure constituait une grave remise en cause de la parole de l'État. Au cours de l'examen en seconde lecture à l'Assemblée Nationale cette semaine, de nombreux députés de tous bords se sont mobilisés à leur tour, en déposant des sous-amendements permettant d'en atténuer les conséquences mortifères. Tous ces élus ont jugé que cette mesure était inopportune, dangereuse et contraire à la volonté des Français de voir le solaire continuer son développement. Seul le gouvernement est inexplicablement demeuré sourd aux arguments fondés de l'ensemble de la profession et des parlementaires.Solidarité Renouvelables annonce qu'elle poursuivra sa mobilisation en continuant de faire entendre la voix des professionnels du renouvelable pendant la phase d'élaboration du décret d'application, tout en étudiant tous les recours juridiques possibles.Le vote qui s'est tenu le 16 décembre à l'Assemblée n'est qu'une étape, et il est encore temps pour le Gouvernement de renoncer à ce projet néfaste et anachronique. A l'heure où le Président Emmanuel Macron annonce un référendum pour inscrire la défense du climat dans la Constitution, le moment ne saurait être plus mal choisi pour saborder la filière renouvelable française.Vous pouvez retrouver le manifeste du collectif et la liste des 300 signataires sur http://solidariterenouvelables.org/
Il y a 4 ans et 156 jours

Mobilisation d'un front anti-JO en Seine-Saint-Denis

A l'appel de plusieurs associations et collectifs citoyens, une centaine de personnes se sont rassemblées il y a quelques jours sur l'Aire des Vents à Dugny pour "sauver" cette parcelle du parc départemental de Georges-Valbon, qui doit accueillir le village des médias puis sera transformé en écoquartier de 1.300 logements et commerces.Dans cette grande pelouse de 20 hectares qui accueille traditionnellement la Fête de l'Huma, des barrières ont déjà été installées pour marquer la zone de construction. "Regardez autour de vous, des trottinettes, des couples qui se promènent, des joggeurs et des enfants", décrit Youcef Tatem, du collectif "Notre parc n'est pas à vendre"."C'est un parc populaire, de cohésion sociale, pourquoi nous l'enlever ?", s'interroge ce retraité de 74 ans qui s'est battu en 2015 contre le projet de Central Park à la française de 2.000 immeubles en lisière du parc labellisé Natura 2000."Pourquoi bétonniser cet endroit ? On manque d'espaces verts dans le département, c'est une aberration écologique", estime Christian Bernard, originaire de Bondy qui vient tout juste d'achever sa marche nordique dominicale.Pour Anne Guyonnet, il ne s'agit pas d'"être contre les JO qui vont permettre d'obtenir des infrastructures en Seine-Saint-Denis" mais de s'interroger sur l'impact environnemental qui est "la grosse cata", estime cette cheffe de projet artistique de 50 ans."Les JO n'est plus la fête populaire où on regardait les exploits de Carl Lewis à la TV", considère cette habitante du Blanc-Mesnil.Entre distribution de soupe chaude et tracts, France Boulay confie qu'il avait l'habitude de promener ses enfants sur l'Aire des Vents. "Je trouve dommage de vendre un bien public à des promoteurs immobiliers", regrette-t-il.Pour cet ancien agent de maintenance, "il suffit d'héberger les journalistes dans les hôtels du Bourget comme c'est le cas lors du salon international de l'aéronautique"."Mépris"Le rassemblement à Dugny s'inscrit dans le "Toxic tour" organisé par le comité citoyen de vigilance des JO-2024.Il s'agit d'une série de visites guidées sur les sites olympiques de Seine-Saint-Denis, afin de montrer "les impacts concrets en termes de pollution, de nuisances et d'endettement public qu'auront les décisions politiques des JO-2024", explique Marianna Kontos.Sous la banderole: "JO-Paris 2024, intox et pillage de la Seine-Saint-Denis", le comité de vigilance a organisé une première étape mi-novembre dans les rues de Saint-Ouen et Saint-Denis.Le front anti-JO a fait une halte devant le chantier du village olympiqueet le quartier Pleyel.Depuis plus d'un an, des habitants et des parents d'élèves de ce quartier mènent un combat judiciaire contre un projet d'aménagement d'échangeurs autoroutiers qui doit desservir le village des athlètes.Une bretelle d'entrée et de sortie d'autoroute reliant l'A1 et l'A86 va être créée à proximité d'un groupe scolaire fréquenté par 700 enfants."On asphyxie des enfants au nom des JO et au détriment du département. On se fiche de nous parce qu'on est pauvres", a lancé Hamid Ouidir, parent d'élève à la FCPE 93, lors d'une prise de parole."On nous méprise, la Solideo (société de livraison des ouvrages olympiques) et le département ne nous parlent pas", se désole Benjamin Darras, de l'association "Vivre à Pleyel" qui avec 14 autres requérants ont déposé un recours devant le Conseil d'Etat, plus haute juridiction administrative en France.Ils avaient remporté une première bataille avec la suspension des travaux mais la Cour administrative d'appel de Paris a donné en octobre le feu vert au démarrage des travaux.A Dugny, parmi les indignés des JO de Paris 2024, figure aussi le collectif de la défense des jardins ouvriers d'Aubervilliers, réuni autour de la bannière: "On veut des potirons, pas du béton !"Un hectare de leur potager, situé dans une zone très urbanisée, va disparaître au profit d'un centre aquatique d'entraînement et d'une gare du Grand Paris.L'établissement public Grand Paris Aménagement, propriétaire des jardins, a promis "une compensation"."Tous ces projets d'aménagement se font au détriment du 93, on se demande ce que l'on va gagner avec les JO", déclare amer Hugo Coldeboeuf, du collectif de la défense des jardins ouvriers.
Il y a 4 ans et 156 jours

Podcast #3 – Renforcer une structure par des matériaux composites

ACPresse – Renforcer une structure – Raconté par Yann Butillon ACPresse · Renforcer une structure par des matériaux composites à base de fibres de carbone Quelles sont les solutions permettant un renforcement structurel d’un ouvrage en béton&nbsp;? Plusieurs raisons imposent de renforcer une structure en béton&nbsp;: impact accidentel ou incendie, erreur de conception ou de positionnement des armatures, mise en conformité d’un ouvrage existant ou encore changement de destination de l’ouvrage. Selon le type d’ouvrages, la nature de la dégradation, le moment de l’intervention ou l’accessibilité au chantier, les techniques de renforcement peuvent être différentes. On en dénombre six différentes. A un moment ou à un autre, un ouvrage aura besoin d’un entretien plus ou moins poussé, d’une réparation, voire d’un renforcement structurel. [©ACPresse] a &#8211; La projection d’un béton Projeter du béton sur une structure constitue la première solution de renforcement. Cette technique présente toutefois quelques inconvénients&nbsp;: elle est bruyante, émettrice de poussières et nécessite pas mal de manutention. Sans compter la création d’une surépaisseur et de poids sur la structure existante. La projection de béton constitue une des alternatives techniques, permettant une réparation et/ou un renforcement structurel. [©ACPresse] b &#8211; La précontrainte additionnelle par post-tension Cette technique est bien adaptée aux ouvrages de génie civil. Elle voit la mise en tension des câbles de précontrainte à l’extérieur de l’ouvrage. Son avantage est de permettre une importante reprise d’efforts. En bâtiment, sa mise en œuvre est beaucoup plus complexe, car elle impose des équipements lourds et un savoir-faire particulier. c &#8211; Le renforcement en sous-œuvre Il s’agit ici d’injecter en sous-sol un coulis ou un mortier qui, une fois durci, reprendra les efforts de l’ouvrage situé au-dessus. Bien maîtrisée et pérenne, cette technique reste limitée aux fondations, impose beaucoup de manutention, de produits et nécessite des équipements de mise en œuvre particuliers. &nbsp;&nbsp; d &#8211; Le renforcement par plats métalliques Cette technologie consiste à coller et à cheviller des plats métalliques sur une structure en béton. La reprise d’efforts est importante et il y a peu d’immobilisation de l’ouvrage. Mais le métal est sensible à la corrosion. e &#8211; Le renforcement par profilés métalliques La mise en place de profilés métalliques demande de la manutention, du personnel et d’importantes étapes de chantier (engravures dans la structure existante pour scellement des poutres, mise en place de sabots…). On rapporte des épaisseurs supplémentaires qui peuvent être importantes et pas toujours compatibles avec des gabarits de passage imposés. Les profilés métalliques sont lourds et difficiles à manutentionner. Et peuvent être sensibles à la corrosion. f &#8211; Le renforcement par éléments composites Ces éléments de renfort sont constitués de fibres (de carbone, de verre ou d’aramide) maintenues dans une matrice (résine). Légers, les composites de renforcement se déclinent en plusieurs sous-familles et domaines d’emplois. Leur rôle est d’apporter une matière sans surépaisseur sur un ouvrage existant pour le renforcer et assurer ainsi une meilleure tenue, aussi bien à la flexion, qu’au cisaillement. Légers, les composites de renforcement se déclinent en plusieurs sous-familles et domaines d’emploi. [©Mapei] Quels sont les domaines d’emploi des composites de renforcement&nbsp;? A vrai dire, les applications sont multiples. Cela va du renforcement de poutres, de trémies ou d’ouvertures, au chemisage de poteaux. L’application de composites de renforcement permet une augmentation de la résistance à la flexion, une réduction des effets du cisaillement ou une annulation du flambement. En effet, le manque de cadres dans une poutre aboutit à une hausse de l’effort de cisaillement. Idem avec le manque de cerces dans un poteau circulaire, qui peut induire du flambement. Quels sont les différents types de matériaux composites à base de fibres de carbone&nbsp;? Et pour quels usages&nbsp;? Il existe plusieurs types matériaux de renforcement à base de fibres de carbone, dont les principaux sont&nbsp;: les tissus, les lames et les mèches d’ancrage. Tous offrent un module d’élasticité élevé, les rendant aptes à reprendre des contraintes mécaniques importantes. Ces trois types sont proposés par Mapei, industriel qui nous a aidés à préparer le présent Béton Pratique. Les tissus s’appellent Mapewrap C Uni-Ax. Les lamelles sont baptisées Carboplate. Les mèches d’ancrage se nomment Mapewrap C Fiocco. a &#8211; Le tissu carbone Elément souple par définition, le tissu carbone permet d’enrober une surface pour en épouser au plus près la forme. C’est la solution idéale pour envelopper, par exemple, un poteau et une retombée de poutres. Le tissu impose l’utilisation d’un primaire d’imprégnation du support, puis d’une colle époxy spécifique. Collage de tissus carbone au niveau de la jonction entre deux poutres et un poteau. [©Mapei] b &#8211; La lamelle carbone Comme son leur nom l’indique, les lamelles carbone présentent une forme linéaire, plate et assez étroite. Elles se mettent en œuvre en sous-face de poutres ou de planchers par collage époxy. Elles peuvent se chevaucher pour former un quadrillage (cas des renforts d’ouverture). Il est aussi possible d’utiliser des lamelles en partie supérieure d’ouvrages. Dans ce cas, la création d’engravures est nécessaire pour intégrer et protéger les lamelles ainsi positionnées. &nbsp; Renforcement de la sous-face d’une poutre de pont à l’aide de lamelles en carbone. [©Mapei] c &#8211; La mèche d’ancrage carbone La mèche se décompose en deux parties. D’un côté, le jonc (ensemble de fibres et de résine durcie maintenues dans une sorte de fourreau) et le fouet (ensemble de fibres libres non enduites). La partie “jonc” est à ancrer dans des trous pré-percés dans la structure à renforcer. Quant à la partie “fouet”, elle vient se positionner, par exemple, sur les retombées de poutres. Et éventuellement, sur des tissus carbone déjà en place pour assurer un parfait raccordement de l’ensemble. Mèches carbone et leur mise en œuvre. [©Mapei] Quelles sont les limites d’emploi et les précautions à prendre&nbsp;? a &#8211; Que dit la réglementation&nbsp;? A ce jour, les solutions de renforcement par matériaux composites à base de carbone ne bénéficient d’aucune uniformisation normative ou de certification. En France, les Avis techniques délivrés par le CSTB constituent les seuls documents certifiés et reconnus. Dans ce contexte, les industriels proposant ces solutions doivent former les bureaux d’études techniques et les entreprises applicatrices. b &#8211; Bon à savoir avant de commencer Le support à renforcer doit être sec. Il doit être poncé pour obtenir une surface propre et plane. Sa résistance à l’arrachement doit être d’au moins 1,5 MPa. Enfin, il faut s’assurer que l’ouvrage renforcé ne soit pas exposé de manière continue à une température supérieure de 45 °C de manière continue (ou à 58 °C de façon ponctuelle). En effet, les colles époxy sont sensibles à la chaleur, peuvent devenir visqueuses au-delà de ces températures, et perdre leur rôle mécanique au sein du composite. Dans le même ordre d’idées, une protection au feu est indispensable, si la vérification de la stabilité au feu de l’ouvrage le demande. Préparation du support à renforcer. Ici, l’opération de ponçage. [©ACPresse] Avec nos remerciements à Mapei pour l’aide technique apportée à la préparation de ce document.
Il y a 4 ans et 157 jours

Jean-Marc Golberg réélu Président du SNBPE

Titulaire d'un PhD en géologie, pétrologie et géochimie de l'Université de Montpellier, Jean-Marc Golberg rejoint Lafarge en 1988 comme ingénieur qualité bétons et granulats. Il occupe ensuite différentes fonctions dans les activités granulats et bétons en France avant d'être nommé directeur de l'agence bétons Provence en 1996. En 1998, Jean-Marc Golberg prend la direction de l'agence bétons Bretagne.En 2003, il devient directeur général de Lafarge granulats Ouest, puis rejoint en janvier 2009, le centre de recherche mondial du groupe Lafarge à l'Isle d'Abeau (Isère) en tant que directeur recherche & développement bétons et granulats. En septembre 2013, Jean-Marc Golberg est nommé directeur général béton pour la France.Durant son premier mandat, Jean-Marc Golberg a fait de sa priorité et de celle du SNBPE la reconnaissance des qualités techniques, économiques, sociales et environnementales du béton prêt à l'emploi. Un intérêt tout particulier a également été porté sur le fait de communiquer davantage sur l'utilisation plus importante des granulats recyclés dans le béton, mais aussi de communiquer dans un objectif de convaincre que le béton est un matériau recyclable indéfiniment de toutes les solutions constructives, qu'elles soient horizontales ou verticales.Les grandes orientations du second mandatLors de ce deuxième mandat, Jean-Marc Golberg souhaite poursuivre le travail entamé ces dernières années, en tant que Président du SNBPE. La priorité sera donnée à la création de synergies toujours plus importantes avec les autres acteurs de la Filière Béton. Avec, notamment, un objectif à court terme, d'amener les Pouvoirs Publics à revoir leur copie concernant la nouvelle méthode de calcul de l'empreinte carbone, dite ACV dynamique, dans le cadre de la RE2020. Le SNBPE souhaite proposer une démarche vertueuse pour tous les matériaux de construction afin qu'ils se décarbonent et participent à la recherche de solutions constructives environnementalement mieux disantes et ce, en application de ce que prévoyait la Loi ELAN.Jean-Marc Golberg souhaite également faire valoir le caractère inerte du béton durci et que cela soit pris en compte par les Pouvoirs Publics dans les décisions qu'ils prendront quant à la gestion des déchets du bâtiment prévue dans la Loi sur l'Économie circulaire.
Il y a 4 ans et 157 jours

Le ruban StripLED 230 VAC de Clareo pensé pour les chantiers

Avec la promesse d’une application en toute simplicité, le ruban StripLED 230 VAC de Clareo est pensé pour l’éclairage des... Cet article Le ruban StripLED 230 VAC de Clareo pensé pour les chantiers est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 158 jours

EDILTECO® lauréat de la 13ème Édition des Trophées du Négoce avec La Chape XXS®

Organisés par INFOPRO, les Trophées du Négoce récompensent les meilleures initiatives et innovations de la distribution du bâtiment. Cette 13ème édition s’est commuée en un évènement 100 % digital au cours duquel le palmarès 2020 des meilleures innovations des distributeurs et industriels en bâtiment, a été dévoilé ce mardi 15 décembre. LA CHAPE XXs®, deux fois plus légère qu’une chape traditionnelle, est lauréate des Trophées du Négoce 2020 dans la catégorie Rénovation. &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; UNE CHAPE LÉGÈRE ET POLYVALENTE Solution innovante, LA CHAPE XXs® est prête à l’emploi et compatible avec tous les revêtements de sols. Cette chape légère et fibrée est destinée à améliorer l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques en conformité avec la NF EN 13813. Elle doit sa légèreté aux billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 – 3 mm). La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle et admet une épaisseur d’application minimale de 1 cm (en pose adhérente sur béton), 2 cm (en pose désolidarisée sur bois), 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). &nbsp; UNE ISOLATION ACOUSTIQUE OPTIMALE Destinée aux applications intérieures et extérieures, LA CHAPE XXs® permet d’isoler et de traiter acoustiquement les différents types de supports existants dans les immeubles collectifs et les maisons individuelles. Ses performances en matière d’affaiblissement acoustique permettent une absorption efficace des bruits de chocs (talons, chute d’objets, déplacement de mobiliers etc.). &nbsp; UNE MISE EN OEUVRE PLUS SIMPLE LA CHAPE XXs® présente une grande facilité de mise en oeuvre, permettant de réduire les délais de pose. Cette simplification est liée au fait que LA CHAPE XXs® est parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur. Sa consistance mousseuse permet une application efficace lors de la mise à niveau et une parfaite planéité. Une fois mise en oeuvre, LA CHAPE XXs® est prête à recevoir directement un carrelage collé ou un autre revêtement. 24 heures suffisent pour la pose d’un revêtement céramique, 36 heures pour un sol souple et textile sur ragréage et 48 heures pour un parquet flottant. Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples. Polyvalente, LA CHAPE XXs® est utilisée pour tout type de chantiers, en maison individuelle ou en immeuble collectif, pour des travaux neufs ou en rénovation, et sur tout type de revêtements de sol : plancher béton ou bois, dalle béton, carrelage collé, carrelage scellé, parquet flottant, parquet collé, revêtement stratifié, moquette ou encore sol souple…
Il y a 4 ans et 158 jours

Logement, pub, 5G: Macron revient sur trois dossiers chauds de la Convention citoyenne pour le climat

Logement"On n'a pas fini les travaux," a assuré le président, tout en livrant plusieurs pistes.La convention prône la rénovation énergétique obligatoire des bâtiments d'ici à 2040, avec un système progressif de prêts et subventions. Mais d'après les premiers arbitrages connus, le gouvernement veut supprimer les passoires thermiques en 2028 et bloquer les loyers pour les bailleurs. "Ne sous-estimez pas le fait que c'est une mesure révolutionnaire," a lancé M. Macron."Jusqu'où on va dans l'obligation de la contrainte?", a interrogé M. Macron, estimant que "rendre la rénovation obligatoire, ça veut dire qu'on fait porter la contrainte sur chaque ménage", notamment lors de la vente d'un logement.Il s'est par contre dit favorable au système de "guichet unique" (aide, subventions, travaux...), proposé par la CCC."Je souhaite qu'on puisse le faire dès le début de l'année prochaine (...) qu'on puisse se donner 3 mois" pour "essayer de bâtir cette solution", a-t-il dit.PublicitéLa CCC propose d'interdire la publicité pour certains produits particulièrement polluants, et mettre en place l'information des consommateurs basée sur un "carbone-score" des produits.Le gouvernement a pour l'instant arbitré en faveur de la seule interdiction de la publicité directe pour les énergies fossiles, dont M. Macron a reconnu qu'elle n'aurait qu'un "impact très faible".Il a souhaité "qu'on regarde l'impact concret" d'une éventuelle interdiction de la pub sur les produits frappés d'un malus écologique. Mais il a surtout souligné qu'une interdiction causerait, selon annonceurs et diffuseurs, "un énorme problème économique", notamment pour la presse et la télévision.Il a souligné qu'au moment de la création de la loi Evin, souvent citée en exemple par les défenseurs d'une telle mesure, "il n'y avait pas internet". "Le paradoxe, c'est qu'on risque d'interdire la publicité (...) sur des acteurs qui contribuent à financer la création en France et qui font de l'emploi en France, mais on ne saura pas les interdire chez les acteurs qui ne payent déjà pas d'impôt en France", a-t-il dit, citant les plateformes en ligne.Il s'est par contre clairement prononcé pour "mettre dans la loi l'obligation d'avoir un score-carbone" évaluant les produits et "mettre nos concitoyens en situation de choisir les produits et de pouvoir les comparer" grâce par exemple à une application grand-public, comme il en existe pour l'alimentaire.5GLa convention préconisait un moratoire sur son déploiement en l'attente notamment d'études sur son impact sanitaire et environnemental. Emmanuel Macron avait fait monter la tension en taxant ironiquement cette proposition de "modèle Amish"."Ne considérez pas que ce soit mon joker du tout", a-t-il lancé à la représentante de la CCC qui l'interrogeait à ce sujet, blaguant sur le fait qu'elle ait "pensé très fort aux Amish et à votre serviteur" en posant sa question.Il s'est dit "favorable à ce qu'on fasse ce suivi", mais s'est fermement prononcé pour cette innovation sur laquelle "on a déjà commencé à prendre du retard". "Vous ne faites pas de réindustrialisation par le numérique, vous ne faites pas d'internet des objets si vous n'avez pas de 5 G," a-t-il martelé.Il a par contre souhaité "regarder les impacts en terme de renouvellement permanent des matériels et là vous avez raison, ces objets là sont très polluants"."Ce n'est pas simplement lié à la 5G", a-t-il souligné en souhaitant que soit "évalué le coût environnemental" de ces usages et en s'engageant à ce "qu'on n'essaie de contraindre le système pour réduire la part d'émissions de ce mode de consommation"
Il y a 4 ans et 159 jours

Assurance chômage : les concertations reprendront "début janvier", annonce Borne

Sur l'assurance chômage, "on a eu beaucoup d'échanges avec les partenaires sociaux. Entre-temps, on a eu une décision du Conseil d'État (fin novembre, ndlr) qui a annulé des dispositions sur le bonus-malus (...) et considéré que le dispositif issu de la réforme de 2019 sur le calcul du salaire journalier de référence (SJR) soulevait des questions d'égalité de traitement", a rappelé la ministre lors d'une visioconférence avec l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis)."Compte tenu de tout ça et du fait qu'on veut évidemment tirer pleinement les conséquences de la décision du Conseil d'État, on reviendra vers les partenaires sociaux plutôt début janvier", a-t-elle ajouté, alors qu'une réunion devait initialement se tenir en décembre.Du fait de la crise économique, le gouvernement a suspendu l'application de la réforme, décidée par décret en juillet 2019, jusqu'au 1er avril 2021.Interrogée pour savoir pourquoi le gouvernement n'avait pas choisi de redonner la main aux partenaires sociaux sur ce dossier, elle a répondu: "je ne suis pas très sûre qu'ils en aient envie". Elle a également estimé qu'il y avait "un chemin" concernant les modalités de calcul de l'allocation pour répondre à la difficulté mise en avant par le Conseil d'État sur le SJR.Sur le sujet du télétravail, Mme Borne a par ailleurs indiqué qu'il faudrait confirmer la possibilité d'un assouplissement en janvier "en fonction des indicateurs sanitaires", ce qui sera fait "dans la semaine".La ministre avait dit vouloir proposer de revenir à "au moins un jour par semaine" sur site, alors que la règle actuelle veut que 100% des tâches télétravaillables soient télétravaillées. Et ce avant de laisser la main aux partenaires sociaux qui viennent de conclure un accord interprofessionnel, qui, a-t-elle précisé devant l'Ajis, ne nécessite "pas de transcription législative".La ministre a encore indiqué qu'elle discuterait vendredi avec les partenaires sociaux des travailleurs des plateformes "avec l'objectif d'aboutir au cours de l'année 2021: d'abord sur la question de la représentation" de ces travailleurs "et dans un deuxième temps sur la protection sociale", le récent rapport Frouin étant une des "briques" versées à la concertation.La question des travailleurs de la "deuxième ligne" face au Covid-19 sera aussi abordée vendredi, la mission qui planche sur ce sujet devant faire, selon Mme Borne, une "restitution" sur l'identification des métiers concernés et présenter "les critères" proposés pour apprécier la qualité de ces emplois.
Il y a 4 ans et 160 jours

Le prolongement à Saint-Ouen de la ligne 14 du métro parisien ouvre lundi

Après une courte cérémonie, ce tronçon de 5,8 km entre Saint-Lazare et Mairie de Saint-Ouen sera mis en service à 16H00, selon Ile-de-France Mobilités et la RATP. La ligne 14, qu'on appelle encore parfois "Meteor", est la dernière née du réseau métropolitain. Inaugurée par Jacques Chirac en octobre 1998 entre Madeleine et Bibliothèque François-Mitterrand, elle a été prolongée au nord à Saint-Lazare en décembre 2003 et au sud à Olympiades en juin 2007, et faisait jusqu'à présent 8,6 km de long.La présidente du conseil régional et d'Ile-de-France Mobilités Valérie Pécresse vante "l'une des lignes les plus modernes du monde", la seule du réseau parisien accessible aux handicapés, aussi.L'idée de prolonger cette ligne de métro automatique jusqu'à Saint-Ouen remonte à 2007: elle est alors apparue comme la solution la plus satisfaisante pour soulager le nord de la ligne 13, dont les deux branches ploient sous la charge. Avec la promesse de la délester du quart de son trafic. Le prolongement de la ligne 14 doit aussi mieux desservir des secteurs en plein développement avec le nouveau quartier des Batignolles, le Tribunal de Paris ou encore les nombreux bureaux qui sortent de terre à Saint-Ouen.Ouvert avec trois ans de retard, le nouveau tronçon comporte quatre stations assez monumentales, celle de Porte de Clichy, desservant le Tribunal, n'ouvrira toutefois qu'en janvier, ainsi qu'un dépôt construit pour accueillir des rames dernier cri plus longues, achetées à Alstom. Au-delà, les travaux battent leur plein pour de nouveaux prolongements tant au nord, jusqu'à Saint-Denis Pleyel (Seine-Saint-Denis), qu'au sud, jusqu'à l'aéroport d'Orly (Essonne), juste à temps pour les jeux Olympiques en 2024. Avec au passage le changement du système d'automatisation, toujours fourni par le groupe allemand Siemens.La ligne fera alors 27 km de long, et devrait transporter 1 million de voyageurs par jour, contre 550.000 avant la pandémie.La Société du Grand Paris (SGP) a couvert 59% des 1,4 milliard d'euros du dépensés pour le prolongement jusqu'à Saint-Ouen, Paris 21% et la région Ile-de-France 14%.Ile-de-France Mobilités finance de son côté le matériel roulant (620 millions pour le moment) et couvre le déficit d'exploitation.
Il y a 4 ans et 160 jours

LafargeHolcim : un nouveau four pour Martres-Tolosane

Avec nos remerciements à LafargeHolcim. Un mouchoir de poche. Ainsi peut être décrite l’emprise du chantier de construction du nouveau four de la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane, en Haute-Garonne (31). Conséquent, l’équipement doit s’insérer entre les deux fours existants, en service jusqu’à la fin des travaux, et un silo de stockage. « C’est une opération d’un montant de plus de 100 M€. Soit l’investissement le plus important réalisé par le groupe en France depuis 40 ans », souligne François Pétry, directeur général de LafargeHolcim France et Belgique. En fait, ces travaux s’inscrivent dans un plan global plus large de 300 M€ d’investissements sur l’ensemble des sites répartis sur le territoire national.  La nouvelle ligne de cuisson (four et tour de pré-chauffage) doit s’inscrire dans la zone comprise entre les fours en service et le silo en béton qu’on devine à gauche. [©ACPresse] A travers ce programme, LafargeHolcim cherche, en premier lieu, à pérenniser son unité de production, tout en l’inscrivant dans les préoccupations environnementales actuelles et futures.&nbsp;«&nbsp;Les anciens fours ont respectivement été mis en service en 1956 et en 1966&nbsp;», rappelle Jean-Louis Sibioude, directeur de l’usine. Ils ont fait plus que leur temps.&nbsp;«&nbsp;Le nouveau four doit permettre de diminuer la consommation d’énergie électrique et thermique de la cimenterie de près de 20 %, donc son empreinte carbone. Ceci, en rendant possible la valorisation d’une part beaucoup plus importante des déchets.&nbsp;» En cours de construction, la future tour de pré-chauffage culminera à près de 100 m de haut. [©ACPresse] Le chantier de construction s’inscrit dans un véritable mouchoir de poche. [©ACPresse] Une&nbsp;haute technologie à basse émission de CO2 Dans sa future configuration, le site devrait tripler son taux d’utilisation de combustibles de substitution. Ici, l’industriel s’inscrit encore plus dans l’économie circulaire. En proposant un exutoire pour nombre de matériaux pouvant se substituer aux combustibles fossiles.&nbsp;«&nbsp;Grâce à ce nouveau dispositif, nous allons passer de 20 à 80 % de substitution&nbsp;», confirme Jean-Louis Sibioude. Un taux qui devrait être atteint à terme. C’est-à-dire dans les 12 à 18 mois après l’entrée en fonctionnement de la cimenterie “version 2020”.&nbsp; Elément central de l’usine, le nouveau four dit “MK3” présente une longueur de 64 m pour 4,30 m de diamètre. Il s’agit d’un four dit de “haute technologie à basse émission de CO2”. Il est alimenté en énergie par une tuyère Pillard. Ce four remplacera les deux existants &#8211; qui seront démantelés -, pour offrir une capacité de production en hausse de 20 %. Ainsi, il sera en mesure de fabriquer environ 550&nbsp;000 t de clinker par an. Soit plus de 770&nbsp;000 t de ciments, contre 650&nbsp;000 t aujourd’hui. Elément clef de l’investissement de 120 M€ destiné à moderniser l’ensemble de la ligne de production de la cimenterie, le montage du four s’est déroulé du 23 au 26 novembre dernier. Les 6 éléments (viroles) ont pu être assemblés grâce à d’importants moyens de levag. A savoir, trois grues mobiles de 250 t, 450 t et 500 t, ainsi qu’une grue à tour parmi les plus grandes en Europe (140 m). Opération de bétonnage de la superstructure de la tour de pré-chauffage. [ACPresse]L’ensemble des bétons représente un volume de l’ordre de 11 000 m3. [©ACPresse] Enfin une tour de pré-chauffage Mais la véritable nouveauté du site sera la tour de pré-chauffage. Culminant à près de 100 m de haut, elle abritera le dispositif de pré-calcination, conçu et fourni par CBM. Celui-ci verra se croiser les gaz chauds sortant du four et la farine crue qui donnera naissance au clinker.&nbsp;«&nbsp;La température dans la zone de pré-calcination oscille entre 300 °C en haut et 900 °C en entrée de four, détaille Jean-Louis Sibioude.&nbsp;Cette technologie assure environ 50 % de la cuisson de la farine.&nbsp;» Surtout, cette tour de pré-chauffage est le point d’entrée privilégié de l’essentiel des combustibles de substitution&nbsp;: pneus déchiquetés, combustibles solides de récupération (CSR) et autres copeaux de bois. «&nbsp;Il y a des discussions avec d’autres industriels locaux, cherchant des déchets à valoriser en combustibles&nbsp;», reprend François Pétry. Et Jean-Louis Sibioude, de compléter&nbsp;:&nbsp;«&nbsp;Tous les combustibles alternatifs proposés sont testés de manière très précise. Afin de connaître leur composition chimique, pour ne pas dégrader la qualité de notre clinker, donc des ciments produits&nbsp;». En d’autres termes, LafargeHolcim &#8211; ni aucun cimentier d’ailleurs &#8211; ne brûle pas n’importe quoi dans ses fours&#8230; Ces massifs constituent les supports du futur four MK3 de la cimenterie de Martres-Tolosane. En arrière-plan, les deux fours actuels. [©ACPresse] Les segments du nouveau four attendent d’être installés et assemblés entre eux pour former un ensemble de 64 m de long pour 4,30 m de diamètre. [©ACPresse] Des pneumatiques entiers Un des points singuliers de la cimenterie de Martres-Tolosane est la mise en place d’une installation d’introduction de pneumatiques entiers, directement dans le four1.&nbsp;Cette approche permet d’éviter la phase préalable de déchiquetage.&nbsp;L’atelier a été mis en service en 2016, dans le cadre d’une précédente phase de travaux. Mais entrant dans le projet global de modernisation. Il a nécessité un investissement de 2,1 M€, dont 400 000 € financés par l’Ademe. Et a été construit sur mesure par ATS Walter. Pour assurer l’approvisionnement en pneumatiques, LafargeHolcim s’est rapproché d’un collecteur. Qui travaille avec des garagistes auprès desquels les pneumatiques sont récupérés. Celui-ci les trie et les lave avant de les livrer à la cimenterie. La collecte est opérée en local, dans le cadre de contrats pluriannuels avec engagement de fourniture des volumes minimaux. La capacité de traitement de l’atelier atteint 8 000 t/an de pneumatiques. Ce qui représente 15 % de l’apport thermique d’un des deux fours actuels de l’usine.&nbsp;&nbsp;«&nbsp;Les pneumatiques n’ont pas d’impacts négatifs sur la qualité de la production, ni sur l’environnement de l’usine&nbsp;», rappelle Jean-Louis Sibioule. Bien au contraire, même. La fraction minérale, pour l’essentiel constituée de la trame en acier du pneumatique, assure l’apport en fer. Supprimant ainsi les besoins de compléments extérieurs. Ceci, en plus de l’apport énergétique&#8230; Assemblage de la partie inférieure du broyeur Loesche. [©ACPresse] Partie supérieure du broyeur, en cours de pré-assemblage. [©ACPresse] Pour la durée des travaux, l’atelier “pneumatiques” a été déplacé de l’autre côté des fours. [©ACPresse] Près de 11&nbsp;000 m3 de béton Pour les besoins de la construction du nouveau four, l’atelier “pneumatiques” &#8211; du moins, la zone de stockage, de tri et de préparation &#8211; a été déplacé de l’autre côté des fours. En effet, la position initiale de cet atelier tombait au droit des massifs supports en béton du nouveau four. Outre la cuisson, les travaux de rénovation de la cimenterie de Martres-Tolosane se concentrent aussi sur le broyage amont. Qui permet l’obtention de la farine crue, et sur son acheminement en direction du pré-calcinateur. En aval, un nouveau refroidisseur IKN à grille pendulaire. Il vient se connecter sur le processus de fabrication et de stockage des ciments.  Le broyeur cru constitue le dernier élément imposant de la nouvelle ligne de production. De type vertical, il s’agit du modèle LM3000 2+2 de Loesche. Par rapport à l’ancienne installation, il devrait permettre de diviser par deux la consommation énergétique.  Bien que les équipements industriels occupent le devant de la scène, l’opération de transformation de l’usine n’en est pas moins consommatrice de béton. Ainsi, à l’image de Boccard, qui pilote le pré-assemblage des équipements, l’entreprise de BTP Eiffage Génie Civil assure la construction de la superstructure non métallique. Si les bétons restent classiques, ils représentent tout de même 11&nbsp;000 m3, à mettre en regard des 4&nbsp;000 t d’équipements et des 3&nbsp;000 t de charpentes métalliques. «&nbsp;Des bétons fournis par LafargeHolcim, à partir d’une centrale à béton proche de l’usine&nbsp;», indique en conclusion Didier Michel, directeur du projet de modernisation pour LafargeHolcim.&nbsp; Les deux fours originels de la cimenterie de Martres-Tolosane ont été mis en service en 1956 et en 1966. Ils seront démantelés après 2020. [©ACPresse] En jaune, toutes les parties conservées de l’usine. En gris et bleu, les parties nouvelles. [©LafargeHolcim] 1Lire CBPC 930, supplément de BLM n° 67, de novembre/décembre 2016. Un nouveau terminal ferroviaire Excentrée par rapport à l’actuelle zone de travaux de la cimenterie de Martres-Tolosane, une toute nouvelle unité de chargement de clinker est en service depuis quelques mois sur le site. Elle se substitue à un poste de chargement manuel (à l’aide d’une chargeuse sur pneumatiques). Cette installation permet à l’usine une expédition en direction de la station de broyage d’Angoulême, en Charente (16), distante de 400 km. Il s’agit de la seule partie de l’ex-cimenterie de La Couronne, qui soit restée en service, suite à l’arrêt de la production de clinker, du fait de la fermeture de sa carrière mitoyenne, dont le gisement était épuisé. Confiés à Chovet-DB2i (groupe Demathieu & Bard), les travaux ont nécessité un investissement de 4,4 M€. La pièce principale du dispositif est une trémie d’une capacité de 1 000 t, soit les deux tiers d’un train complet d’une vingtaine de wagons. De fait, cette trémie a un peu le rôle d’un stock-tampon. Elle présente un diamètre de 10 m, pour une hauteur utile (sans le cône) de 11 m. L’ensemble de la superstructure culmine à 24 m. Elle bénéficie de deux sorties : la principale, réservée au chargement des trains, et l’optionnelle, dédiée en remplissage de citernes sur semi-remorques. La reconfiguration de la zone a imposé de dévier la voie ferrée existante pour l’axer sous la trémie et, en même temps, répondre aux contraintes relatives au gabarit réglementaire des wagons. Afin de s’inscrire dans la charte environnementale du groupe LafargeHolcim, tout un système anti-poussière d’extraction, de transfert et de vidange du clinker dans les wagons a été mis au point par Chovet-DB2i. Grâce à cette nouvelle installation, le remplissage d’un wagon de 66 t se fait dorénavant en 10 mn et celui d’un train complet de 1 500 t, en 6 h. Grâce à sa nouvelle installation, la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane peut remplir de clinker un train complet de 1 500 t en 6 h.[©LafargeHolcim]
Il y a 4 ans et 160 jours

Des maires de la Côte d'Azur dénoncent des pénalités arbitraires pour non-respect des quotas de logements sociaux

"Nous dénonçons une injustice, un arbitraire car nos communes se retrouvent carencées au titre de la loi SRU (Solidarité et renouvellement urbains)", a déploré David Lisnard, maire LR de Cannes au cours d'une conférence de presse avec ses voisins du Cannet, Mandelieu-La Napoule et Villeneuve-Loubet.Chacune de ces quatre communes se voit contrainte, en application de la loi SRU, de verser, selon les cas, des pénalités comprises entre 1 et 1,8 million d'euros par an, et ce chaque année pendant trois ans.Depuis 2000, la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains impose aux communes de plus de 3.500 habitants (1.500 en Ile-de-France) de disposer d'ici à 2025 de 20% de logements sociaux, un taux relevé à 25% en 2014, excepté pour certaines communes qui justifient d'une situation locale particulière.Le taux de logement social à Cannes est de 17%, mais "raisonner en valeur absolue en niant le fait que nous avons eu des inondations et que nous ne voulons pas bétonner est totalement arbitraire", selon M. Lisnard, alors que la ville est pénalisée pour ne pas avoir atteint les objectifs fixés.Le maire qui reproche à l'Etat de "déjuger les représentants locaux qui tiennent compte de la réalité du territoire" a indiqué vouloir "attaquer au tribunal administratif" cet arrêté de carence "inique"."Du jour au lendemain, des territoires déjà urbanisés de manière très dense comme la Côte d'Azur se retrouvent avec l'obligation de produire des milliers de logements, et si on ne le fait pas, on est sanctionné", a dénoncé Sébastien Leroy, maire LR de Mandelieu-La Napoule.Il a décidé lui aussi de contester en justice les pénalités imposées à sa commune."Aujourd'hui, un responsable gouvernemental a donné l'ordre à ses services, huit semaines après les intempéries de la Vésubie, un an après les intempéries de 2019 et cinq ans après celles de 2015, d'ignorer ouvertement un message d'alerte de ses propres services sur le risque inondation (...) afin de pouvoir appliquer la doctrine politique de l'Etat", a martelé M. Leroy.Lionnel Luca, maire LR de Villeneuve-Loubet, a annoncé vouloir faire un recours gracieux auprès du préfet avant d'engager d'autres actions, dénonçant "une course à l'échalote" qui conduit à la "bétonnisation".
Il y a 4 ans et 163 jours

La Filière Béton dénonce le “greenwashing” de la RE 2020

Après l’annonce des grandes lignes de la&nbsp;future&nbsp;RE 2020, faite le 24 novembre dernier, les réactions n’en finissent pas de pleuvoir. Déjà, une bonne partie des acteurs de la construction a&nbsp;dénoncé la modification de la comptabilisation du carbone. «&nbsp;Une dérive de la loi qui favorisera le bois au détriment de l’innovation dans les solutions constructives&nbsp;», indiquent les intéressés. A savoir, les&nbsp;filières béton, terre cuite, construction métallique et isolants&#8230; Bien entendu, de son côté, la&nbsp;filière bois «&nbsp;se félicite des orientations de la RE 2020 [&#8230;] et de la reconnaissance de la méthodologie de l’analyse de cycle de vie dynamique. C’est une avancée historique&nbsp;». La guerre semble belle et bien déclarée.&nbsp; Les entreprises de la Filière Béton représentent 67 000 emplois directs, répartis sur 4 400 sites, dont dépendent aussi 200 000 emplois indirects. [©ACPresse] L’industrie cimentière pèse près de 2 Md€ C’est dans ce contexte que la&nbsp;Filière Béton vient de lancer une première salve. Ceci, à travers un document intitulé “Greenwashing et distorsion de concurrence n’ont pas leur place dans la RE 2020”. Sept pages qui détaillent toutes les incohérences, selon elle, de l’entrée en application de l’Analyse de cycle (ACV) dynamique simplifiée.&nbsp;«&nbsp;Le ministère de la Transition écologique [&#8230;] ignore la réalité du tissu productif français. [&#8230;] Le choix [d’introduire l’ACV dynamique simplifiée] questionne la poursuite des investissements de décarbonatation des entreprises de la Filière Béton, voire condamne à brève échéance leur présence dans l’Hexagone.&nbsp;» Les propos sont forts, sans doute à la hauteur des enjeux dans la balance. Est-il utile de rappeler que l’industrie cimentière pèse près de 2 Md€ de chiffre d’affaires en France&nbsp;? Que les entreprises de la Filière Béton représentent 67 000 emplois directs, répartis sur 4 400 sites, dont dépendent aussi 200 000 emplois indirects&nbsp;? Visiblement, oui&nbsp;! L’ACV dynamique issue d’une étude canadienne Mais qu’est-ce que cette ACV dynamique&nbsp;? Le fruit d’une unique étude produite au Canada par l’institut Craig et en partie financée par l’industrie du bois canadien&#8230; C’est ce que rappelle aussi la Filière Béton. Sa vocation est d’introduire une perspective temporelle de stockage du carbone dans les matériaux. En France, la&nbsp;DHUP, c’est-à-dire la Direction de l’habitat, de l’urbanisme et des paysages, rattachée au ministère de la&nbsp;Transition écologique, a fait de choix de la simplifier. Et de choisir un horizon temporel à 100 ans.&nbsp;«&nbsp;Une manière de considérer que le CO2et les autres gaz à effet de serre captés au départ ne seront jamais restitués. Effacés d’un coup de baguette magique&nbsp;!&nbsp;», fulmine&nbsp;Philippe Gruat, président de la Filière Béton.&nbsp; La mixité des matériaux, avec une dominante du bois : l&rsquo;avenir de la construction en France ? [©ACPresse] En réalité, cette approche va aboutir à contracter une dette carbone auprès des générations futures, en prétendant répondre à l’urgence climatique. Pour mémoire, en 2017, selon l’Agence internationale de l’énergie, la France représentait 0,9 % des émissions de CO2 mondiales. Et ce, toutes sources confondues. Dans ces émissions, les matériaux de construction pèsent environ 10 %, dont la moitié pour le béton&#8230;&nbsp; L’empreinte carbone d’un bloc béton Il est vrai que la&nbsp;loi Elan exige la prise en compte de la contribution au stockage du carbone de l’atmosphère pendant la durée de vie des bâtiments. Cependant, cette obligation questionne et appelle quatre observations de la part de la Filière Béton. Déjà,&nbsp;«&nbsp;l’intérêt climatique du stockage temporaire du carbone dans le bois est loin d’être scientifiquement démontré&nbsp;». Ensuite,&nbsp;«&nbsp;appliquer la loi Elan n’impose pas de bouleverser le système actuel des ACV&nbsp;». D’autant que&nbsp;«&nbsp;l’ACV dynamique n’est utilisée dans aucun pays d’Europe&nbsp;». Et enfin,&nbsp;«&nbsp;la méthode de l’ACV dynamique simplifiée n’a fait l’objet d’aucune validation scientifique&nbsp;».&nbsp; A travers son document, la Filière Béton dénonce nombre d’absurdités. Une des plus amusantes est de voir passer l’empreinte carbone d’un&nbsp;bloc béton de + 13 kg de CO2à &#8211; 37 kg uniquement en remplissant ses alvéoles de copeaux de bois&nbsp;! Deux avantages à une telle solution&nbsp;: la capacité isolante du bloc béton sera augmentée et le bois sera protégé contre les risques de feu&#8230;&nbsp;A priori, ce n’est pas la conclusion qu’imagine la filière bois, quand elle déclare que&nbsp;«&nbsp;cette mesure [introduction de l’ACV dynamique simplifiée] est de nature à favoriser l’essor d’une&nbsp;mixité́ renforcée des matériaux de construction&nbsp;». Mention présente dans son communiqué de presse du 25 novembre 2020. Remplir les alvéoles d&rsquo;une bloc béton de copeaux de bois ferait passer son empreinte carbone à &#8211; 37 kg ! [©ACPresse] Et la sécurité au feu des constructions en bois&nbsp;? Enfin, la Filière Béton estime que l’ACV dynamique simplifiée n’est autre qu’une opération de “greenwashing”. Donc une décision purement politique, dans une volonté avouée du tout bois. Sans compter que ce choix va nécessiter une transformation profonde des forêts françaises. Et,&nbsp;a priori, un important recours aux importations de bois d’œuvre pour répondre à la hausse de la demande qui s’annonce&#8230;&nbsp; Quant à la&nbsp;sécurité au feu des constructions en bois &#8211; qui inquiète beaucoup les pompiers, cela va de soi -, le document de la Filière Béton ne l’évoque pas. Mais le sujet risque de se retrouver très vite sur la table. Tout comme les aspects plus sociétaux. Dans un pays patrimonial, attaché à la pierre, à la transmission des biens, les Français ont-ils tous envie d’habiter dans une maison en bois, sans doute plus chère à la construction&nbsp;? Et dont la valeur à 50 ou 100 ans reste une grande inconnue.&nbsp;&nbsp;&nbsp; En savoir plus... Télécharger le document “Greenwashing et distorsion de concurrence n’ont pas leur place dans la RE 2020” en cliquant sur l'image. [©Filière Béton - Décembre 2020] &nbsp; Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 163 jours

JASMIN, le nouveau parquet à bâtons rompus par DESIGN PARQUET

Indémodable et chaleureux, le parquet offre une réelle plus-value à toutes les décorations intérieures, classiques ou contemporaines. Avec sa nouvelle gamme de parquet en chêne à bâtons rompus Jasmin, Design Parquet anime les sols avec élégance.  Un parquet graphique au rendu unique Avec ses lignes graphiques, le parquet en chêne Jasmin à bâtons rompus, rythme le sol avec élégance. Les lames, de dimensions uniformes, sont posées à angle droit les unes par rapport aux autres, à 90°. Présentant des motifs de chevron, Jasmin donne des perspectives uniques et du caractère à la pièce qu’il revêt. Orientées dans le sens de la lumière, les lames offrent une tonalité homogène au parquet Jasmin. Posées perpendiculairement à la lumière, le rendu de teintes est beaucoup plus contrasté. Jasmin, un parquet à bâtons rompus pour tous les intérieurs Pour répondre à toutes les contraintes de confort des secteurs de l’habitat et du tertiaire (résistance à l’usure, pose sur sol chauffant/rafraîchissant), le parquet Jasmin à bâtons rompus est proposé dans la collection Design Déco : en parquet massif chêne, matériau durable et authentique pouvant être poncé pour lui redonner de l’éclat ; en parquet Loft Pro semi-massif chêne (parement de 4,5 mm d’épaisseur) qui allie la durabilité du massif à la stabilité d&rsquo;un contrecollé. En version Premier, Rustique ou Campagne, Jasmin présente, selon les modèles, des petits nœuds en surface et de légères variations de couleur. Il se décline en finitions structurée, huilée et sciage light laissant apparaître en surface de légers coups de scie, pour s’adapter à tous les goûts et tous les styles. Selon un calepinage précis, la pose s’effectue en flottante (uniquement pour le parquet Loft Pro), collée ou clouée, et l’assemblage par rainures et languettes. http://www.designparquet.fr/
Il y a 4 ans et 164 jours

Les normes de construction d’un EPHAD

Pour des raisons de sécurité, la construction d&rsquo;un EHPAD (établissement d&rsquo;hébergement pour personnes âgées dépendantes) est soumise à des normes bien définies. Comme l&rsquo;indique son nom, cet établissement accueille des seniors ayant perdu leur autonomie. De fait, il est important que le bâtiment qui les abrite soit sécurisé afin de garantir leur bien-être, leur confort et surtout leur sécurité. De multiples réglementations relatives à la prévention des dangers ainsi qu&rsquo;à la gestion des accidents doivent donc être respectées, notamment celles indiquées par l&rsquo;Institut national de recherche et de sécurité (INRS). Alors, quelles sont les actions de sécurité qui doivent être menées lors de la construction d&rsquo;un EHPAD pour assurer aux pensionnaires un cadre de vie agréable et sécurisé ? On vous dit tout dans cet article. Poser des bandes podotactiles Également connue sous le nom de bande d&rsquo;éveil, la bande podotactile est une surface de sécurité extérieure ou intérieure destinée aux personnes malvoyantes ou aveugles. Elle est identifiable au contact avec le pied ou à la canne blanche, d&rsquo;où son adjectif podotactile. Ces surfaces sont fournies avec des clous podotactiles en forme de dôme. En fonction du matériau utilisé, le clou podotactile sera collé, frappé ou vissé pour former la bande. En général, il est conseillé d&rsquo;opter pour les clous podotactiles en inox parce qu&rsquo;ils offrent plus de résistance ainsi qu&rsquo;une meilleure durabilité. Cependant, vous pouvez en trouver en laiton, en fibre de verre ou en aluminium. D&rsquo;après la loi, ce dispositif est obligatoire dans un EHPAD pour annoncer un danger tel qu&rsquo;un quai, un passage piéton ou une structure en hauteur. La bande doit donc être installée en haut de tous les escaliers, quel que soit le nombre de marches. Elle assurera ainsi la sécurité des seniors malvoyants ou aveugles en les prévenant de la présence imminente d&rsquo;un escalier. Ils pourront donc prendre les mesures nécessaires pour éviter une chute. Pour un usage optimal, les bandes podotactiles installées dans un EHPAD doivent respecter différentes normes à la conception et à la pose. Les bandes d&rsquo;éveil sont soumises à la norme P98-351. Il est question d&rsquo;un document technique dont l&rsquo;application a été rendue obligatoire suite à la publication d&rsquo;un décret. Pour les EHPAD, cette norme fixe les propriétés géométriques des clous, les caractéristiques des matériaux, le contraste visuel et les règles d&rsquo;installation qui doivent être respectées. Les caractéristiques géométriques tiennent compte de la largeur de la surface podotactile et des dimensions des clous. Pour un escalier, la largeur minimale de 40 cm est requise. Les clous doivent avoir une forme de dôme avec un diamètre de base de 25 mm et une hauteur de 5 mm. Il est essentiel de les disposer en diagonale avec un espacement de 37,5 mm entre chaque plot. Les matériaux de conception doivent faire l&rsquo;objet de tests relatifs au risque de glisse, au feu, à la fumée et à l&rsquo;indentation. Ces tests permettent de s&rsquo;assurer de la durabilité de la bande et confirment sa conformité. Un accent particulier doit être mis sur le classement de réaction au feu qui doit être supérieur à F3. Conformément à la norme NF P98-351, le contraste représente l&rsquo;écart de lumière réfléchie entre la bande podotactile et la surface sur laquelle elle est installée. Ce paramètre doit être de 0,70 si la bande d&rsquo;éveil est plus foncée que le support et de 2,30 dans le cas contraire. Enfin, selon le principe de freinage, la bande doit être placée en retrait du risque pour permettre au senior de ralentir son élan. De fait, une distance variant entre 28 et 50 cm de la première marche est requise. Installer du matériel adapté à l&rsquo;évacuation des personnes âgées En dehors des surfaces podotactiles, d&rsquo;autres équipements de sécurité doivent être installés au sein d&rsquo;un EHPAD en fonction de chaque section : La prévention du danger d&rsquo;incendie Dans un EHPAD, la prévention du risque d&rsquo;incendie passe principalement par la mise en place d&rsquo;un dispositif de sécurité incendie. Il s&rsquo;agit d&rsquo;un ensemble de matériel qui garantit la sécurité des pensionnaires et facilite les évacuations. Il est principalement composé d&rsquo;équipements de désenfumage, de détection des incendies et de signalisation des sorties. À cela s&rsquo;ajoutent les clapets coupe-feu ainsi que les portes qui permettent d&#8217;empêcher la propagation du feu et de la fumée. La loi exige aussi de réduire le nombre d&rsquo;étages pour simplifier les évacuations des seniors en situation de handicap en cas de danger. Enfin, conformément à la circulaire du 12 décembre 2006 relative au tabagisme dans les structures sociales, des règles rigoureuses doivent être prises pour empêcher les résidents de fumer dans leur lit. Cette disposition doit, à priori, être intégrée dans le règlement intérieur de votre établissement. Les alarmes lumineuses pour les seniors malentendants Spécialement conçues pour les malentendants, les alarmes lumineuses les informent du danger et de l&rsquo;évacuation en cours. Ce dispositif émet une lumière de couleur blanche ou rouge avec une intensité minimale de 0,5 cd/m². Les barres de maintien Dans un établissement d&rsquo;hébergement pour personnes âgées dépendantes, l&rsquo;intégrité physique de chaque résident doit être protégée. C&rsquo;est pour cette raison que la pose de barres d&rsquo;appui ou de maintien est nécessaire. Celles-ci doivent être présentes dans les toilettes, les douches, à côté du lit du pensionnaire, etc. Sur le marché, il existe de nombreux modèles (droite, longue, courte, en T) adaptés à des besoins particuliers. La main courante Il est question d&rsquo;un système de sécurité qu&rsquo;il faut fixer en hauteur de part et d&rsquo;autre d&rsquo;un escalier si celui-ci est composé de plus de 3 marches. La main courante sert de point d&rsquo;appui pour les résidents à mobilité réduite. Pour une performance maximale, la main courante doit s&rsquo;étendre au moins de la deuxième marche de l&rsquo;escalier à l&rsquo;avant-dernière. La hauteur de ce dispositif se situe généralement entre 0,8 et 1 mètre. Elle doit être suffisamment solide pour ne pas représenter un danger pour les pensionnaires. Il est recommandé aux gestionnaires de structures accueillant des personnes âgées de choisir des mains courantes en inox, en métal ou en aluminium. Les modèles en corde sont à proscrire. En définitive, un EHPAD est une structure dont l&rsquo;environnement doit être propice à la sécurité des seniors dépendants qui y sont accueillis. Pour ce faire, il est indispensable d&rsquo;installer des systèmes d&rsquo;éveil, d&rsquo;aide à l&rsquo;équilibre et de prévention incendie.
Il y a 4 ans et 164 jours

Master Builders Solutions : Première cellule ERP de sols décoratifs

Masters Builders Solutions crée la première cellule Etablissements revenant le public de sols décoratifs et techniques, dédiée aux architectes. [©Master Builders Solutions] Une nouveauté chez Master Builders Solutions (MBCC Group)&nbsp;: la création de la première cellule ERP de sols en résine décoratifs et techniques, dédiée aux maîtres d’œuvre et maîtres d’ouvrage. Ceci, afin d’accompagner ces professionnels dans leur choix de solutions adaptées. Et d’assurer une prescription optimale dans leurs projets architecturaux. En effet, Master Builders Solutions est parti du constat que l’offre des revêtements de sols décoratifs et techniques dans les Etablissements recevant le public était complexe et vaste. Plusieurs paramètres influent sur ce marché. Et par voie de conséquence, rendent difficile un choix judicieux pour les prescripteurs. En effet, l’industriel a remarqué une augmentation de demandes et besoins des types de revêtements à base de résine. Mais aussi des recommandations sanitaires de plus en plus présentes, le besoin d’avoir un sol esthétique plébiscité par les usagers. Et enfin, la nécessité de faire gagner du temps aux professionnels.  Un accompagnement même à l’international Cette cellule met à leur disposition un ensemble de moyens et d’outils structurés et pluriels. Les prescripteurs pourront ainsi recevoir une information complète tant réglementaire, technique qu’économique et sanitaire. Basée en Ile-de-Fance et mobile dans l’Hexagone, elle est dirigée par Laurent Dessard, directeur commercial revêtements à base de résine. Et animée par Jeremy Gallez et José-Victor Alves, qui s’appuient sur un service technique dédié et des technico-commerciaux. Mais aussi sur un service clients, ainsi que sur un retour d’expérience post-application. Petit plus : le service fonctionné aussi pour l’international, à destination des agences françaises d’architecture bâtissant à l’étranger. Et devant se tenir informées de la réglementation, des usages et techniques des autres pays.
Il y a 4 ans et 164 jours

Spie batignolles expérimente l'impression 3D pour gagner en performance sur ses chantiers

« Nous sommes persuadés de l'intérêt de la technique de l'impression 3D pour développer de petits éléments en béton, dont la réalisation traditionnelle est généralement chronophage. Ces techniques permettront d'améliorer les conditions de travail de nos collaborateurs sur le chantier, notre productivité et in fine notre performance. »Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignollesL'impression 3D dans le bâtiment : un vaste champs des possiblesBien que l'impression 3D, ou tridimensionnelle, ait fait l'objet d'un tout 1er dépôt de brevet au début des années 80, son essor remonte surtout à 2010 avec l'impression de premiers objets réalisés à base de différentes matières telles que le plâtre, le plastique...Si cette technologie commence à être employée dans le secteur du bâtiment, elle concerne principalement à ce stade la construction de petites maisons individuelles, ou l'impression d'éléments décoratifs non structurels. Rien qui n'ait encore permis de véritables changements organisationnels dans le BTP, un secteur lourdement confronté à une pénurie de main d'œuvre.Spie batignolles s'empare du sujet pour développer l'emploi de cette technique sur ses chantiers, avec la volonté d'aller plus loin. Spie batignolles initie ses premiers cas d'usage d'impression 3D bétonSpie batignolles s'est fixé pour objectif d'utiliser l'impression 3D béton sur des éléments réplicables incorporés à l'ouvrage lorsque cette technique présente une alternative intéressante aux méthodes traditionnelles.Deux exemples d'application directe de ce nouveau mode constructif : le coffrage de nœuds de poutres complexes et la réalisation de boîtes de réservation.1-Les nœuds de poutres sur poteaux concentrent des charges importantes sur des surfaces réduites. Dans la conception de certains planchers complexes, la géométrie définitive de ces nœuds est bien souvent unique : 3 ou 4 poutres, de largeur, de hauteur et d'angle différents doivent être clavetées ensemble sur le même poteau. En méthode traditionnelle, la réalisation du coffrage de ces ouvrages est consommatrice de matériaux à usage unique, de temps passé, elle se fait en plusieurs phases, et elle est potentiellement source de non-qualité.Fort de ce constat, la direction technique de Spie batignolles a eu la volonté de trouver une solution résolvant au mieux l'ensemble de ces problèmes.En partenariat avec XtreeE, Spie batignolles a conçu, imprimé, puis mis en œuvre le coffrage d'un nœud de poutre, incorporé à l'ouvrage, à la forme géométrique complexe, permettant le clavetage des poutres sur le poteau en une seule phase.« Le premier prototype réalisé à l'échelle 1 sur un nœud de trois poutres conséquentes nous a permis de valider le procédé. Cet essai a répondu à une majorité de nos exigences avec des résultats très concluants. Il nous incite à poursuivre nos développements afin de rendre ce procédé encore plus performant et de l'étendre sur plusieurs projets dès 2021. »Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignollesDans ce 1er cas, les équipes industrialisent « hors site » le coffrage du nœud de poutre. L'utilisation de la maquette numérique liée à l'impression 3D permet à la direction technique de réaliser de manière très rapide une pièce complexe unique qui simplifiera la réalisation de l'ouvrage sur site.2 - Les boîtes de réservations font partie des coffrages les plus basiques généralisés sur un chantier. Traditionnellement réalisées en bois, elles servent à prévoir le passage des différents réseaux électriques, CVC et plomberie après coulage des voiles en béton. Bien qu'indispensables, leur mise en œuvre ne nécessite aucune expertise technique particulière mais occasionne un temps passé significatif.Spie batignolles et XtreeE sont parvenus à imprimer des boites de réservation prêtes en 24h seulement en employant le béton Ductal® qui présente l'avantage de sécher très rapidement et de se solidifier fortement. Les boîtes ainsi mises en œuvre sont incorporées à l'ouvrage fini et n'ont pas besoin d'être retirées.Les essais réalisés sur chantier ont permis de valider cette application de l'impression 3D.Dans ce 2ème cas, Spie batignolles industrialise « hors site » la réalisation de boîtes de réservations en série. Grâce au BIM, les réservations sont optimisées (nombre, standardisation des dimensions), et les boîtes imprimées en 3D permettent de supprimer de nombreuses tâches telles que la réalisation de la boîte en bois, le décoffrage en hauteur après coulage, ou encore l'évacuation du bois - rendu non réemployable - dans les bennes à déchets.L'impression 3D béton, moteur de l'industrialisation du BTPDans ces 2 exemples d'application de l'impression 3D, l'objectif final est d'industrialiser l'acte de construire depuis la conception jusqu'à la mise en œuvre sur le chantier, au service d'une meilleure performance. Ce nouveau mode constructif conduit à adapter le « sur mesure » ou la « grande série » à partir de la maquette numérique. A chaque fois, ce process permet de gagner en sécurité (moins de travaux en hauteur), en qualité de réalisation (élément fini incorporé à l'ouvrage), en délai et en performance économique.Avec la conception de ces premiers éléments constructifs issus de l'impression 3D, Spie batignolles s'engage pleinement dans l'ère du BTP 4.0 et continue à travailler sur de nouveaux développements réunissant les caractéristiques de récurrence, résistance, durabilité et sécurité.« Ce nouveau mode constructif, ouvre d'importantes perspectives et participera à une profonde transformation de nos métiers du BTP vers une industrialisation croissante, tant ses atouts sont indéniables en termes de rentabilité, de qualité de réalisation, de délai d'exécution et de sécurité. »Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignolles
Il y a 4 ans et 165 jours

L'État présente un Centre de ressources sur l'adaptation au changement climatique

Ce Centre de ressources est créé dans le cadre du deuxième Plan national d'adaptation au changement climatique (PNACC-2) qui couvre la période 2018-2022. Ce Plan comprend 58 actions pour adapter, d'ici 2050, les territoires de la France métropolitaine et d'outre-mer aux changements climatiques régionaux attendus.Le Centre de ressources sur l'adaptation au changement climatique a été développé par le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (CEREMA), sous le pilotage du ministère, et en partenariat avec l'Agence de la transition écologique (ADEME) et Météo-France.« Le changement climatique n'est pas une notion lointaine géographiquement ou abstraite dans le temps : les dérèglements du climat ont bien lieu actuellement, tout autour de nous et partout en France. Les épisodes climatiques extrêmes, tels que les canicules et sécheresses, les feux de forêts ou bien les inondations, sont devenus de plus en plus intenses et fréquents. Notre agriculture, nos forêts, de nombreuses activités économiques sont touchées par les évolutions rapides du climat. Face à cette réalité, notre devoir est de nous y préparer afin de protéger au mieux les Français, à la fois leur bien-être mais aussi leur environnement. Avec ce nouveau centre de ressources, nous nous donnons les moyens de partager largement toutes les informations nécessaires à une meilleure préparation face à ces risques. » Barbara Pompili, ministre de la Transition écologiqueLes émissions passées de gaz à effet de serre accumulées dans l'atmosphère rendent désormais inéluctables certains impacts sur les populations et l'environnement : hausse des températures moyennes ; vagues de chaleur de plus en plus fréquentes, de plus en plus sévères et s'étendant au-delà des périodes estivales traditionnelles ; précipitations plus intenses, même dans les régions où la quantité annuelle de précipitations diminuera ; accélération de la hausse du niveau des mers... L'État se doit de mieux informer et mieux sensibiliser les populations afin ainsi de préparer sur le long terme la société à vivre avec un climat différent.Le Centre de ressources sur l'adaptation au changement climatique a pour objectif d'accompagner tout acteur engagé dans une démarche d'adaptation en lui donnant accès à un ensemble complet de ressources adaptées aux différents secteurs d'action.Sont donc disponibles en ligne et pour tous :une cartographie des initiatives locales ;un répertoire des acteurs locaux ;les appels à projet en cours, etdes formations proposées sur le sujet.Cinq parcours utilisateurs (élu, technicien de collectivité, particulier, acteur économique, bureau d'études) permettent d'accéder à des informations personnalisées sur la réglementation en vigueur, les impacts attendus du changement climatique et les solutions existantes.Tous les thèmes de l'adaptation au changement climatique sont traités : les impacts du changement climatique sur la santé (y compris au travail), l'eau, l'agriculture, la forêt, les sols, la biodiversité, les risques naturels, l'urbanisme, la mobilité, la pêche et l'aquaculture, le tourisme et le secteur financier.Des pages spécifiques regroupent les informations régionales. Un moteur de recherche permet d'accéder à différentes ressources : rapports, fiches, projets de recherche... Et des liens sont faits vers les projections climatiques locales réalisées par les chercheurs français, comme via le portail DRIAS ou encore l'application de Météo-France ClimatHD.Le Centre de ressources inclura également à terme un volet international en support aux actions d'aide au développement de la France et des acteurs français de l'Agenda mondial de l'action pour le climat, y compris un rôle de veille afin d'apprendre des autres pays.
Il y a 4 ans et 165 jours

BRIGA, renaissance d’une ville oubliée

Depuis sa redécouverte à la fin du XVIIIe siècle, le site antique du Bois-l’abbé (Eu, Seine-Maritime) n’a cessé de passionner la population locale, les érudits et chercheurs, qui ont entrepris de nombreuses fouilles, principalement sur un grand sanctuaire. Depuis 2006, une fouille programmée, menée par Étienne Mantel (DRAC Normandie) et Stéphane Dubois (INRAP), a porté d’abord sur le centre monumental, puis sur un quartier proche où on découvre les maisons et l’équipement urbain. Ces recherches extensives démontrent la genèse d’une ville antique aux origines gauloises, aux confins nord-ouest de l’Empire romain. À partir du Ier siècle avant notre ère, la ville se monumentalise et s’agrandit progressivement, équipée d’un théâtre, de thermes (bains publics), d’une basilique et d’un grand temple. Les nombreux blocs architecturaux sculptés ainsi que les fastueux décors d’enduit peints, très rares en Gaule du Nord, en témoignent. La découverte en 2007 d’une exceptionnelle statuette de Mercure en argent souligne l’importance de cette divinité tutélaire au sein des cultes locaux de la petite ville gallo-romaine. Il y a un peu plus de 2000 ans, cette ville s’appelait BRIGA. Exposition du 26 Décembre 2020 au 16 Mai 2021 au musée des Antiquités de Rouen &nbsp;