Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

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Il y a 4 ans et 177 jours

Les visites immobilières pourraient reprendre "prochainement"

CONGRES FNAIM. La ministre chargée du Logement, Emmanuelle Wargon, a assuré les professionnels de l'immobilier de la Fnaim, réunis en congrès, le 24 novembre, que les visites pourraient reprendre "en même temps que la réouverture des commerces". Elle a également évoqué le dispositif d'obligation de travaux selon l'étiquette énergétique en cours d'élaboration.
Il y a 4 ans et 177 jours

Le P-DG de SNCF Réseau compte sur une nouvelle directrice de cabinet

CARNET/NOMINATION. Une ancienne conseillère du Premier ministre a rejoint SNCF Réseau pour remplacer Radia Ouarti.
Il y a 4 ans et 177 jours

Würth se lance dans la formation pour les professionnels

Dans un environnement où tous les métiers sont soumis à des évolutions technologiques et normatives, Würth France Formation (WFF) se distingue en proposant directement aux entreprises des solutions de formation de leurs équipes.Un partenariat avec APAVE, leader des formations sécurité et santé au travail, renforce l'expertise de Würth France Formation dans le domaine.Dorénavant, les professionnels peuvent accéder à un véritable catalogue de formations sur tout le territoire national. Grâce à ses 30 formateurs internes et au partenariat avec APAVE, Würth France Formation accompagne les professionnels dans le développement de leurs compétences. La signature « Notre plus belle entreprise, c'est d'accompagner la vôtre » fait une nouvelle fois sens.Würth France Formation propose des formations en INTER (les formations ont lieu sur l'un des sites de Würth France) ou en INTRA (dans les locaux du client). Les formations sur mesure sont également possibles.Notre organisme de formation externe est référencé au DATADOCK, ce qui permet à nos clients de bénéficier de financements paritaires ou publics. Les demandes de prise en charge doivent être adressés aux OPCO (Opérateur de Compétences) concernés.Retrouvez le catalogue des formations proposées par Würth France Formation en cliquant ici.
Il y a 4 ans et 177 jours

A Arcueil, un bâtiment pour cadres célibataires signé Enia architectes

Le 25 septembre 2020, Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée auprès de Florence Parly, ministre des Armées, a posé à Arcueil (Val-de-Marne) la première pierre du chantier de construction du plus grand bâtiment pour cadres célibataires (BCC). Un bâtiment pour militaires célibataires ? En tout cas un bâtiment à 12M€HT dont la livraison est attendue fin 2021. La […] L’article A Arcueil, un bâtiment pour cadres célibataires signé Enia architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 178 jours

Avec Skywater® Soprema rend utile l'eau des toits terrasses

La nécessité de doter les villes de solutions permettant de réduire les risques s’impose. Comment ? En favorisant les îlots de fraîcheur urbains et en apportant aux bâtiments la capacité de tempérer leur environnement.SOPREMA a regroupé ses solutions de gestion intégrée des eaux de pluie au sein de la gamme Skywater® qui a vocation à rendre utile l’eau des toits terrasses :Des solutions à installer en toiture pour profiter de la pluie là où elle tombeFondées sur la nature, elles favorisent la biodiversité et rafraîchissent les villesConformes aux Plans Locaux d’Urbanisme (PLU), elles permettent une gestion des eaux de pluie à la parcelleEn France, le bâtiment est responsable de 45% de la consommation énergétique et 25% des gaz à effet de serre. La construction durable est la voie à privilégier dès aujourd’hui et dans les années à venir. Le dérèglement climatique est bien là, inondations et canicules en sont les manifestations. Nous devons donc agir et réinventer le bâti ! La solution : construire mieux et durable en limitant au maximum notre impact sur l’environnement pour contrer ces effets dévastateurs.L’eau est le bien le plus précieux que nous ayons mais aussi l’un des plus destructeurs, nous le voyons bien lorsque des pluies diluviennes s’abattent sur la France, avec des épisodes d’une grande soudaineté et violence. Aujourd’hui, la gestion des eaux de pluie se place au cœur des enjeux des territoires. Elle devient l’affaire de tous : collectivités, aménageurs, entreprises et même particuliers.La crise sanitaire, que la France connaît depuis mars 2020, a modifié le rapport de chaque individu avec son quotidien, son environnement, ses habitudes. Dans ce contexte, les entreprises du bâtiment ont plus que jamais des responsabilités à la fois environnementales et sociétales. La relance doit se faire en faveur de la transition écologique et énergétique.Chez SOPREMA, nous concevons et proposons des solutions concrètes assurant efficacité et amélioration de notre cadre de vie. Nous mettons à la disposition de nos clients une gamme de solutions qui répond aux enjeux environnementaux, à travers une maîtrise des eaux de pluie en milieu urbain. Nous l’avons baptisée Skywater®.Ces solutions s’appliquent en toiture, domaine d’expertise de SOPREMA.15 à 35% de la surface d’une ville est recouverte de toits ce qui veut dire que le potentiel d’action est grand ! Les systèmes de végétalisation des toitures Sopranature®, solutions fondées sur la nature, contribuent à favoriser la biodiversité et rafraîchir la ville. Elles sont aussi parfaitement conformes aux Plans Locaux d’Urbanisme (PLU). Pour dimensionner ces toitures végétalisées et leurs performances hydrauliques (abattement et régulation de débit), nous avons même mis au point le logiciel Privilège. Il fonctionne à partir des données locales de météo et de réglementation du projet.La gamme Skywater® permet de gérer les eaux de pluie que ce soit par abattement pluvial - évapotranspiration et/ou régulation de débit. Nous n’avons rien à perdre à changer nos habitudes en utilisant ce type de solutions qui contribuent à l’évolution de notre profession et sont à la fois vertueuses et efficaces.Pierre-Étienne Bindschedler,Président Directeur Général du groupe SOPREMA.Le dérèglement climatique nécessite de réinventer le bâtiSelon les experts du GIEC(1), il ne semble plus faire de doute que l’activité humaine soit la cause du réchauffement climatique. Ces mêmes experts reconnaissent également que le grand cycle de l’eau est lui aussi directement impacté par cette même activité.Le dérèglement climatique est à l’origine de phénomènes environnementaux sévères tels que les inondations des villes et les îlots de chaleur urbains (ICU) causés par les canicules.Leur point commun ? L’eau. Dans le premier cas un trop-plein, dans le second un trop peu.Faire de l'eau de pluie une ressource pour la villeLes recommandations des agences de l’eauLes 6 agences de l’eau françaises (Rhône-Méditerranée et Corse, Rhin-Meuse, Artois-Picardie, Seine-Normandie, Loire-Bretagne, Adour-Garonne) ont pour mission de protéger la qualité de l’eau des 6 bassins métropolitains.En tant qu’établissements publics du ministère chargé du développement durable, elles émettent des recommandations de surveillance, de gestion et de maîtrise de l’eau. Elles contribuent à réduire la pollution, et favorisent : une gestion équilibrée et économe de la ressource en eau, l’alimentation en eau potable, la régulation des crues et le développement durable des activités économiques.Actrices de la mise en œuvre de la politique publique de l’eau, elles exercent leurs missions dans le cadre de programmes d’actions pluriannuels avec pour objectif final l’atteinte du bon état des eaux (directive cadre sur l’eau d’octobre 2000).Dans le cadre du traitement des eaux pluviales, elles encouragent les collectivités à mettre en œuvre des techniques alternatives.La maîtrise d’ouvrage, exposée et responsable de la gestion de l’eau au niveau de la parcelleLa réglementation locale sur les eaux pluviales est décrite dans les Plans Locaux d’Urbanisme (PLU) ou les règlements d’assainissement : Limitation de débit en sortie de parcelle dès 1L/s/Ha. Consigne d’abattement à partir de 4 mm/j, se généralisant à 10 mm/j. C’est pourquoi, le maître d’ouvrage à la responsabilité d’intégrer la gestion des eaux pluviales dès la conception du bâtiment et des espaces verts (infiltrants ou pas).L’intégration de solutions, de préférence en toiture pour libérer du foncier au sol, participe à l’obtention du permis de construire. La délivrance de celui-ci se fait sur remise de documents justifiant la mise en place de systèmes de gestion des eaux pluviales.Grâce à son expertise et son savoir-faire en matière de gestion des eaux pluviales et végétalisation, Sopranature® est en mesure d’accompagner le projet dès ses prémices pour son bon développement.Les collectivités territoriales intègrent les recommandations dans les PLUSous l’influence des actions menées par les agences de l’eau et de leurs recommandations, les villes, communes et grandes métropoles se dotent progressivement de législations locales permettant une meilleure gestion des eaux de pluie.Skywater®, gamme de solutions pour rendre utile l'eau des toits terrassesSOPREMA a regroupé ses solutions de gestion intégrée des eaux pluviales au sein de la gamme Skywater®.Elle réunit un ensemble de solutions à installer en toiture, pour pouvoir profiter de la pluie là où elle tombe et la rendre utile.Fondées sur la Nature, elles favorisent la biodiversité et rafraîchissent la ville.Conformes aux Plans Locaux d’Urbanisme, elles permettent une gestion des eaux de pluie à la parcelle, une limitation de débit dès 1 L/s/ha et/ou un abattement de 4 à 16 mm/j selon les consignes actuelles.
Il y a 4 ans et 178 jours

Pourquoi choisir un portail autoportant ?

Il existe 3 sortes de portails : battant, coulissant et autoportant. Le portail autoportant est le dernier né de la série. Il fait suite à des évolutions technologiques qui lui permettent d’offrir de nombreux avantages à ses propriétaires. Voici lesquels… Les avantages du portail autoportant Qu’est-ce qu’un portail autoportant ? Le portail autoportant ressemble beaucoup au portail coulissant, à la grande différence près qu’il ne nécessite pas de ligne de rail au sol pour s’ouvrir et pour se fermer. Il est donc suspendu à quelques centimètres du sol par des piliers, grâce au système mécanique du train de galets sur lequel coulisse le tablier. Son ventail peut pour autant être très long, jusqu’à plus de 5 mètres. Il peut aussi se décomposer en 2 vantaux autoportés pour être encore plus long si besoin. Il présente de nombreux avantages… Travaux de maçonnerie quasi inexistants Si le portail battant ne nécessite pas de longrine au sol pour actionner les vantaux, le portail autoportant non plus, contrairement au modèle coulissant. Selon la longueur du portail désirée, les travaux de maçonnerie peuvent être relativement importants. Il faut une mise à niveau parfaite au sol pour un glissement sur roues sans encombres. Avec le portail autoportant, vous évitez ces travaux de maçonnerie. Il faut quand même installer un plot en béton pour recevoir la motorisation et le système de galets, mais c’est nettement plus facile et rapide à monter qu’un longrine. Cela sous-entend qu’un particulier peut construire lui-même son plot ! Un portail moins cher Si le vantail du portail autoportant n’est pas moins onéreux que celui du portail coulissant, il n’empêche que la facture est nettement moins conséquente dans la mesure où les travaux de maçonnerie sont simples et rapides à exécuter. Comme chacun le sait, la main d’oeuvre alourdit considérablement le budget. Installation sur tous types de sols Du sable, de la terre, un sol mouvant ou en pente… Peu importe avec le portail autoportant puisque seul le plot doit être solide et plat. Là où le portail battant ne peut être installé à cause des variations de hauteur du sol, le portail autoportant n’est pas confronté à ce problème à plusieurs centimètres de hauteur. Une infaillibilité à toute épreuve L’ouverture du portail coulissant peut être bloquée à cause de débris coincés dans le rail, de la neige, de la glace… Le vantail peut même dérailler. Le portail battant peut quant à lui s’essouffler (le moteur) en cas de vents puissants. Là encore le portail autoportant ne subit pas ces désagréments. Un entretien inexistant Tout le système d’ouverture est protégé dans le plot. Il n’y a donc aucun entretien à effectuer. Un portail esthétique Une fois votre portail autoportant installé, vous verrez vos voisins s’ébahir devant. Il faut avouer qu’avec ce genre de modèle, vous pouvez aisément embellir votre propriété. Pas de longrine disgracieuse, pas de motorisation ni de tablier visible, mais un beau vantail qui semble défier les lois de la gravité ! Vous avez maintenant tous les éléments en main pour comparer les avantages du portail autoportant avec les 2 autres modèles. Et la meilleure note revient donc à l’autoportant sans hésitation, même si le portail battant présente un certain charme avec son ouverture « à l’ancienne ». Quel matériau choisir ? C’est souvent la même question : combien ça coûte un portail autoportant ? La réponse ne peut bien sûr pas être donnée instantanément. Il faut tenir compte de la longueur et de la hauteur du portail autoportant, mais également du matériau choisi… L’aluminium Comparé aux autres matériaux tels que le bois, l’acier ou le fer forgé, la fabrication de vantaux en aluminium est relativement récente (une vingtaine d’années). Il est aujourd’hui dominant car il présente de nombreux avantages pour un portail, qu’il soit autoportant, coulissant ou battant. Résistant L’aluminium ne rouille pas, ne s’oxyde pas, résiste à toutes les variations de températures, ne subit pas les attaques du sel, des UV, etc… Bref il est idéal de ce point de vue. Moderne L’esthétique du portail en aluminium est résolument moderne et contemporaine. Il est possible de lui donner un aspect plus traditionnel mais il faut faire appel au sur mesure. Toutes dimensions Les vantaux peuvent sans difficulté dépasser les 5 mètres de longueur pour plus de 3 mètres de hauteur. Léger L’aluminium est léger et ne réclame pas autant d’énergie de la part de la motorisation qu’un portail en bois ou en acier. Il y a donc une carte à jouer pour acheter un moteur moins performant donc moins cher. Matériau coûteux l’aluminium coûte relativement cher. Cependant la fabrication en grande série de vantaux permet aujourd’hui d’accéder à ce matériau pour un montant abordable. Le bois Le bois n’a que des inconvénients, mais c’est beau, c’est chaleureux. Beaucoup d’entretien Il y a des régions où il vaut mieux éviter d’installer un portail en bois. Même avec de l’entretien, ce matériau va vite se dégrader. Même dans une région plus tempérée, sans agressions excessives d’UV, de sel marin, de neige, de pluie, le bois réclame de l’entretien régulier. Il faut donc le protéger de plusieurs couches de vernis, et ce assez fréquemment. Un budget important Un portail en bois imposant réclame un moteur puissant et donc cher. Et le bois en lui-même représente également un budget élevé. Le portail en bois donne vraiment beaucoup de cachet à la clôture et à la propriété. Il est certain qu’il s’harmonise à la perfection avec une ancienne bâtisse, mais c’est un matériau qu’il faut chérir en permanence à l’extérieur. Le PVC Le PVC est le matériau le moins cher. Mais d’un point de vue esthétique il n’a pas grand intérêt. Il est possible aujourd’hui de sortir du blanc et de bénéficier d’une palette de couleurs importante. En plus de son prix accessible, son entretien est inexistant et il est très léger. Cependant il faut parfois savoir dépenser un peu plus et s’offrir une belle vue quand on arrive devant son portail. D’autant que l’investissement que représente l’installation d’un portail autoportant est censé durer plusieurs dizaines d’années. L’acier L’acier revient à la mode, et les belles propriétés sont pourvues d’un portail conçu dans ce matériau. Il s’adapte visuellement très bien avec les maisons anciennes mais également modernes. Mais l’acier est très lourd et lui aussi réclame de l’entretien contre la corrosion et la rouille. Maintenant que vous avez toutes les cartes en main pour choisir votre portail autoportant, vous n’avez plus qu’à décider si vous faites appel à un artisan pour l’installer ou si vous vous retroussez les manches ! Attention toutefois à respecter les règles mises en place par la commune concernée…
Il y a 4 ans et 178 jours

Lorenove lance la V2 de l’application My Lorenove

De nouvelles fonctionnalités pour optimiser la stratégie de communication des concessionnaires et simplifier les échanges au sein du réseau.  Depuis fin 2018, Lorenove mets à la disposition des concessionnaires et agences, l’application My Lorenove. Outil digital conçu pour fédérer le réseau, ce service permet aux concessionnaires et agences de suivre efficacement les actualités de la tête de réseau et vise à faciliter la communication entre eux. La version 2 vient tout juste d’être développée et intègre de nouvelles fonctionnalités. Pensées en concertation avec les concessionnaires, les évolutions visent à optimiser leur travail quotidien et leur réactivité.   3 NOUVELLES FONCTIONNALITES Adoptée par plus de 150 utilisateurs, l’application My Lorenove est entrée dans les usages quotidiens des concessionnaires. C’est d’ailleurs à l’appui de leur participation que 3 nouvelles fonctionnalités ont été développées pour répondre à leurs attentes, et, notamment : – Reporter les demandes de contact du site Internet de Lorenove sur l’application. Il est désormais possible pour les concessionnaires d’être informés en temps réel des demandes de contact de leur région qui émanent du site Internet. L’application et le site sont reliés, et, chaque utilisateur est associé à son point de vente. Ainsi, chaque demande est renvoyée vers le profil du concessionnaire au sein de l’application. Cette fonctionnalité leur permet d’être informés rapidement afin d’être plus réactifs pour répondre aux demandes et prendre contact partout, où qu’ils soient. – Disposer des liens essentiels. Un nouvel onglet de l’application référence les liens web essentiels aux concessionnaires afin de leur permettre d’avoir accès très facilement à leurs contenus, comme : leurs réseaux sociaux, l’interface de téléchargement des différents outils mis à leur disposition par la tête de réseau, le back-office de leur site web, le catalogue, etc. – L’envoi de photos. L’application permet désormais aux concessionnaires de transmettre instantanément au siège des photos des chantiers qu’ils réalisent. Une fois réceptionnées, les photos sont traitées et publiées sur le mini site local (du concessionnaire) hébergé sur celui de Lorenove. Cette nouvelle fonctionnalité permet aux concessionnaires de créer de l’actualité sur leur site mais surtout, facilite et simplifie la publication des photos de leurs réalisations. En outre, ces publications sont très appréciées des internautes, elles favorisent les visites et les contacts. UN OUTIL POUR MAINTENIR LE LIEN ENTRE LES CONCESSIONNAIRES. L’application interne My Lorenove a été conçue pour permettre de fédérer et d’informer l’ensemble des membres du réseau. Elle offre aux concessionnaires la possibilité d’accéder à des informations utiles sur les opérations commerciales, les offres spéciales, les nouveaux produits, les actualités de la marque, etc. Par ailleurs, les notifications peuvent prévenir l’ensemble des utilisateurs de la publication d’un nouveau contenu et leur permettre de gagner en réactivité. Au-delà de son utilisation première, My Lorenove doit permettre également d’intégrer les nouveaux concessionnaires. De prochaines évolutions sont réfléchies en ce sens. Les concessionnaires requièrent la création d’un chat interne leur permettant de discuter entre eux via messagerie instantanée pour le partage d’expériences, ou encore la création d’un forum donnant lieu à des échanges sur des questions et thématiques communes, et au partage des bonnes pratiques.   La digitalisation du réseau est devenue un véritable enjeu pour Lorenove, et l’application My Lorenove est un outil précieux qui vise à fédérer et maintenir un lien mobile et permanent avec l’ensemble des concessionnaires. Car Lorenove le sait, l’existence même et la croissance du réseau se fondent autour des informations échangées entre les différents acteurs et de la qualité de la relation qui les lie.    
Il y a 4 ans et 178 jours

Effondrement d'immeubles à Marseille: un ex-adjoint conteste sa mise en examen

"La mise en examen de M. Ruas a été faite dans des conditions qui ne nous paraissent pas conformes au droit. La précipitation du parquet à communiquer à ce sujet, au mépris du principe élémentaire de présomption d'innocence, atteste d'une volonté certaine de justifier une procédure éminemment contestable", écrivent ses avocats dans un communiqué, confirmant une information de La Provence. "Nous formerons un appel nullité sur la validité de la convocation de la mise en examen" de Julien Ruas "qui est parfaitement innocent", écrivent encore Olivier Pardo, Benjamin Mathieu, Jérémie Nataf et Erick Campana. Presque deux ans jour pour jour après le drame, le parquet de Marseille avait annoncé jeudi la mise en examen de l'élu des chefs d'homicides involontaires par violation délibérée, blessures involontaires par violation délibérée, mise en danger délibérée d'autrui. Il était dans le précédent exécutif LR notamment chargé de la prévention et la gestion des risques. Deux autres mises en examen ont été prononcées dans le cadre de cette instruction, celle du syndic de la copropriété du 65 rue d'Aubagne, le seul des deux immeubles qui était occupé au moment de la catastrophe, et celle du bailleur social Marseille Habitat. Cette société d'économie mixte de la ville de Marseille était propriétaire du deuxième immeuble qui s'est effondré, sis au 63 de la rue d'Aubagne et dont l'accès avait été condamné en 2017. L'effondrement des deux immeubles de l'hyper centre populaire de Marseille le 5 novembre 2018 avait fait huit morts et mis en lumière l'ampleur du problème des logements insalubres dans la deuxième ville de France dirigée pendant 25 ans, jusqu'à l'été dernier, par le maire LR Jean-Claude Gaudin. Ce dernier a apporté son soutien à son ancien adjoint la semaine dernière, évoquant "un élu exemplaire, par son dévouement, sa disponibilité, et son écoute". Le conseil municipal de Marseille a adopté lundi sous les applaudissements la proposition de la maire écologiste Michèle Rubirola de baptiser "place du 5 novembre 2018" une placette du quartier de Noailles, au milieu de la rue d'Aubagne, à proximité des lieux du drame. "Deux ans après l'effondrement de la rue d'Aubagne, Marseille meurtrie se souvient", a lancé l'édile devant les élus marseillais, dédiant leurs votes "à la mémoire des huit personnes qui sont mortes (...) dans (cette) catastrophe urbaine".
Il y a 4 ans et 178 jours

Paris lance une réflexion sur l’espace public et le design urbain

Fin 2021, la Ville de Paris rendra public son manifeste pour une nouvelle esthétique parisienne dont elle lance l’élaboration. Elle veut notamment doter l’administration parisienne d’un référentiel d’actions sur le design et le mobilier urbains. Un autre objectif vise à désencombrer l’espace public.
Il y a 4 ans et 178 jours

Anru : Emmanuelle Wargon disposée à "discuter" d'une augmentation des fonds

QUARTIERS PRIORITAIRES. Le Gouvernement a assuré lundi que 1% des 100 milliards d'euros du plan de relance serait bien destiné aux quartiers défavorisés. Il se dit ouvert à une discussion sur les "besoins complémentaires" de financements pour la rénovation urbaine.
Il y a 4 ans et 178 jours

Décollecte de près d'un milliard d'euros pour le Livret A en octobre

Très précisément, la décollecte, ou collecte négative, a atteint 940 millions d'euros en octobre, détaille la Caisse des dépôts dans un communiqué.Ce résultat n'est pas véritablement une surprise en soi, octobre étant traditionnellement un mois durant lequel les retraits ont souvent tendance à excéder les dépôts. En octobre 2019, le montant de la décollecte avait ainsi atteint plus de deux milliards d'euros.Octobre 2020 marque toutefois le premier mois de décollecte pour le Livret A en 2020, année marquée par la crise du Covid-19 et durant laquelle les épargnants ont massivement garni ce placement dont les gains sont garantis, défiscalisés et l'ensemble des fonds disponible à tout moment.De son côté, le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) a connu une évolution similaire : les montants d'épargne retirés de ce placement ont dépassé les sommes déposées à hauteur de 80 millions d'euros, ce qui constitue là aussi le premier mois de décollecte pour ce livret depuis le début d'année.Ainsi, la décollecte enregistrée par le Livret A et le LDDS réunis s'est montée en octobre à un peu plus d'un milliard d'euros au total.Nonobstant ce résultat, ces deux livrets continuent d'afficher un niveau historiquement élevé de collecte depuis le début d'année, avec presque 32 milliards moissonnés entre janvier et fin octobre.Le Livret A finance essentiellement le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements. À fin octobre, 442,7 milliards d'euros étaient placés au total sur les deux, soit une hausse d'un peu plus de 8% sur un an.
Il y a 4 ans et 178 jours

Gare du Nord : la Ville de Paris donne son accord à un projet modifié

ÉQUIPEMENTS. La SNCF et la Mairie de Paris ont annoncé, le 23 novembre, un accord pour réduire le projet controversé de rénovation de la Gare du Nord, avec un nouveau bâtiment moins haut, comportant moins de commerces, mais qui ne sera achevé qu'après les jeux Olympiques de 2024.
Il y a 4 ans et 178 jours

Le gouvernement promet que 1% du plan de relance ira bien aux quartiers défavorisés

"Nous avons d'ores et déjà (...) pris cet engagement de flécher 1 milliard d'euros directement pour les quartiers politique de la ville à travers plusieurs chantiers: celui de l'insertion et de l'emploi (...) le secteur associatif, le secteur de l'éducation, tout ce qui est renouvellement urbain, donc la mobilité, les commerces de proximité, l'attractivité du territoire", a déclaré la ministre déléguée chargée de la Ville Nadia Hai.Cette réunion, avec une dizaine de maires de toutes étiquettes politiques, fait suite à l'"appel au secours" lancé par une centaine d'élus, inquiets de la "détresse sociale et économique" dans laquelle la crise sanitaire due au Covid-19 a plongé ces quartiers.Ils plaidaient donc pour qu'un milliard du plan de relance, appelé "1% solidarité", soit fléché vers les "territoires en décrochage"."L'enjeu qui va être le nôtre aujourd'hui", a-t-elle ajouté, est d'"accompagner les collectivités pour solliciter ce plan de relance et qu'il leur parviennent directement dans les territoires".Sans faire d'annonce précise, les ministres présents lundi se sont en effet attachés à démontrer que plusieurs mesures, dans le plan de relance, pouvaient déjà bénéficier aux quartiers défavorisés, même si elles n'ont pas été clairement identifiées comme telles.Ainsi, la ministre du Travail Elisabeth Borne a-t-elle évoqué les 6,7 milliards d'euros débloqués pour la formation et l'insertion des jeunes, l'extension de la garantie jeunes... Et la ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon a souligné la progression du programme de renouvellement urbain dont l'enveloppe a été portée à 10 milliards d'euros."On peut être oublié dans de grandes politiques d'ensemble", a expliqué lors d'une conférence de presse des maires à l'issue de la réunion Hélène Geoffroy (PS), élue de Vaulx-en-Velin (Rhône). "Le risque est d'annoncer des montants et finalement, de manière opératoire, qu'ils ne soient pas mis en oeuvre".L'enjeu pour les élus, ont-ils expliqué, est désormais d'"amener les moyens qu'on nous annonce sur le terrain".Pour cela, les élus signataires de l'appel du 14 novembre souhaitaient la mise en place d'un "Conseil national des solutions", doté de 75 millions d'euros.Si cela n'a "pas retenu l'attention du gouvernement", dixit Mme Hai, les élus sont bien déterminés à le créer eux même. Ils ont annoncé la première réunion de ce conseil pour le 14 décembre.
Il y a 4 ans et 178 jours

Effondrement d'immeubles à Marseille: l'ex-adjoint Julien Ruas conteste sa mise en examen

Julien Ruas, ex-adjoint de l'ancien maire de Marseille Jean-Claude Gaudin, a annoncé lundi 23 novembre par la voix de ses avocats son intention de faire appel de sa mise en examen dans l'enquête sur l'effondrement de deux immeubles en 2018 qui avait fait huit morts.
Il y a 4 ans et 178 jours

Fastned remporte l'appel d'offres pour des stations de recharge ultrarapides sur les autoroutes françaises

Fastned est spécialiste du développement et de l'exploitation d'infrastructures de recharge ultrarapides où les conducteurs peuvent charger leur véhicule électrique pour gagner 300 km de distance d'autonomie en 15 minutes avant de reprendre leur trajet. Basée à Amsterdam, la compagnie hollandaise a construit 129 stations de recharge ultrarapides à travers les Pays-Bas, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Belgique depuis sa création en 2012. Fastned est coté en bourse chez Euronext Amsterdam.Le contrat avec l'APRR permettra à Fastned de développer un réseau de stations de recharge ultrarapides sur 9 sites desservant directement l'autoroute de Paris à Lyon, la route vers la Suisse ainsi qu'autour de Dijon, s'assurant que les chauffeurs de véhicules électriques peuvent voyager sans difficulté sur l'Autoroute du Soleil, de la capitale de la France jusqu'à Lyon. C'est la première fois que Fastned remporte un appel d'offres pour une infrastructure de recharge en France et c'est la première fois que l'APRR fait un appel d'offres public pour une infrastructure de recharge pour véhicule électrique.La construction des stations de recharge est prévue pour 2021 après quoi Fastned sera capable de les exploiter durant 14 ans. Sur chacun des sites, Fastned prévoit de construire une vaste station de recharge permettant de charger jusqu'à 16 véhicules simultanément. Cela permettra à des centaines de voitures par jour de recharger sur chaque site. Les stations comprendront un toit composé de cellules photovoltaïques sur une structure de bois certifié FSC, et délivreront une énergie 100% renouvelable dérivée d'un mélange d'énergie éolienne et solaire.Michiel Langezaal, PDG de Fastned : « Nous sommes ravis d'avoir été sélectionnés par l'APRR pour réaliser et exploiter des prestations de services sur les recharges ultrarapides de neuf aires de service. Ces sites assurent une entrée solide de Fastned sur le territoire français. De plus, cela prouve la transparence des procédures publiques pour émettre des contrats d'exploitation pour accélérer la réalisation d'infrastructures de recharge. Nous avons hâte de travailler en étroite collaboration avec APRR pour construire une meilleure infrastructure pour les conducteurs de véhicules électriques et jouer notre rôle à la hauteur des ambitions de la France pour le climat. »La vente des batteries de véhicules électriques (cela exclut les hybrides) dans l'UE a augmenté de 191% au cours des trois dernières années, mais le nombre de points de recharge n'a augmenté que de 58% (restant sous les 200 000), selon l'Association des constructeurs européens d'automobiles (rapport de l'ACEA). Les constructeurs automobiles et les responsables politiques craignent que le manque d'infrastructures de recharge limite l'adoption des véhicules électriques, même quand des gouvernements comme celui du Royaume-Uni cherchent à bannir les ventes de véhicules essence et diesel d'ici 2030.Caractéristiques des stations : Dans les stations électriques Fastned, les conducteurs et conductrices ajoutent 300 kilomètres d'autonomie à leur véhicule en seulement 15 minutes Chaque station a une capacité de chargement de centaines de voitures par jour Fastned distribue uniquement de l'énergie renouvelable qu'elle soit éolienne ou solaire
Il y a 4 ans et 178 jours

Gestion des fluides : Nicoll et Aliaxis à la conquête de la prescription et du neuf

Spécialisée dans la gestion des fluides depuis 60 ans, la société Nicoll, intégrée au groupe Aliaxis depuis 2003, fait évoluer ses marques et sa stratégie pour devenir leader sur ses marchés.
Il y a 4 ans et 179 jours

Velux rejoint l'initiative RE100 qui regroupe les entreprises engagées à utiliser 100% d'électricité renouvelable

RE100 est une initiative mondiale pilotée par The Climate Group en partenariat avec CDP, deux organisations internationales à but non lucratif. Cette initiative réunit désormais plus de 260 des entreprises les plus influentes du monde, engagées à utiliser 100% d'énergie renouvelable sur plus de 140 marchés dans le monde.« La planète est confrontée à une crise grave en termes de climat et de biodiversité, ce qui nécessite des mesures exceptionnelles. Conformément aux valeurs de notre entreprise, nous cherchons toujours à faire plus que la majorité des entreprises ; c'est pourquoi nous avons rejoint RE100 dans le cadre de notre engagement à parvenir à la neutralité carbone à vie, en assumant la responsabilité non seulement de notre avenir, mais également de notre empreinte carbone historique. En rejoignant RE100, nous nous engageons à nous approvisionner en électricité 100% renouvelable d'ici 2023 », a déclaré David Briggs, Directeur Général du Groupe VELUX.Tout cela s'inscrit dans le cadre de la nouvelle stratégie « Sustainability Strategy 2030 » du Groupe VELUX, qui s'engage à réduire considérablement ses émissions de carbone futures en suivant la trajectoire la plus ambitieuse de 1,5°C visée par l'initiative SBTi (scope 1, 2 et 3) et à capturer l'équivalent de son empreinte carbone historique depuis sa création en 1941 – soit 5,6 millions de tonnes de CO2. La réalisation de cet objectif s'appuie sur des projets de préservation des forêts et de la biodiversité développés pour lutter contre le changement climatique et stopper la destruction des habitats naturels. D'ici 2030, VELUX sera une entreprise neutre en carbone (scope 1 et 2) et aura réduit de moitié les émissions de CO2 de l'ensemble de sa chaîne de valeur (scope 3). L'utilisation d'une électricité 100% renouvelable aidera l'entreprise, parallèlement à d'autres mesures, à réaliser son objectif 2030 de neutralité carbone. Par ailleurs, à l'occasion de la Semaine du climat de New York, des entreprises de premier plan ont rejoint l'initiative RE100, dont PepsiCo (agroalimentaire, États-Unis), Intel (technologies de 2 l'information, États-Unis), Asics (habillement, Japon), Sanofi (santé, France), SKF (roulements et joints, Suède) et McCain (agroalimentaire, Royaume-Uni).Collectivement, les membres de l'initiative RE100 créent une demande d'électricité renouvelable suffisante pour alimenter un pays du G20. Selon les estimations de BloombergNEF (BNEF), ils devront investir plus de 98 milliards de dollars dans l'énergie propre pour atteindre leurs objectifs RE100, une vaste source de financement pour reconstruire une économie verte.« Je suis ravie de voir de plus en plus d'entreprises ouvrir la voie en matière d'énergie 100% renouvelable. La COVID-19 ne les freine pas ; l'énergie propre est là pour rester et le moment est venu d'investir », a déclaré Helen Clarkson, Directrice Générale, The Climate Group.
Il y a 4 ans et 179 jours

L'envol de Nat'H Nature Harmonie, la start-up des nichoirs du bâtiment

Les nids de martinet ont redonné du sens à sa vie professionnelle : ancien directeur d’usines de préfabrication béton dans la région de Marseille, Olivier Winock s’apprête à boucler le premier exercice de la SAS unipersonnelle Nat’H - Nature Harmonie, avec un chiffre d’affaires de 50 000 euros.
Il y a 4 ans et 179 jours

La prorogation du prêt à taux zéro et du Pinel jusqu'à fin 2022 est adoptée

Les députés ont adopté la prorogation des deux principales aides à l'achat d'un logement, le prêt à taux zéro et le dispositif Pinel jusqu'à fin 2022, lors de l'examen du projet de loi de finances 2021.
Il y a 4 ans et 179 jours

Freud renforce sa présence en France

Freud est un leader mondial dans l'industrie des outils de coupe et le plus grand fabricant de lames de scie circulaire haut de gamme au monde. Depuis 1962, Freud conçoit et produit une large gamme de lames de scie circulaire, mèches carbure, fraises brasées, porte-outils et plaquettes de qualité supérieure. 2020 marquera un tournant dans la stratégie de Freud en France.
Il y a 4 ans et 180 jours

Groupe CB, gérer le difficile équilibre de contraintes antinomiques

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91 Vincent Amossé, directeur général de la filière “Granulats”, et Patrice Verchaeve, directeur général de la filière “Industrie du béton”. [©Gérard Guérit] Les activités du groupe CB sont organisées autour de trois pôles : granulats, bétons “classiques” (prêts à l’emploi et préfabrication) et bétons réfractaires. « Notre défi le plus important est de faire savoir, de montrer ce que nous faisons. De démystifier les bétons modernes, leurs modes de confection. Et donc de faire progresser l’acceptabilité de la part des élus comme du grand public », explique Patrice Verschaeve, directeur général de la filière “Industrie du béton” du groupe CB. Pour Vincent Amossé directeur général de la filière “Granulats”, « l’exploitation des granulats reste parfois mal perçue. Car nous prenons en quelques années ce que la planète a mis des millénaires à constituer. Ce raisonnement un peu réducteur est de manière progressive ancré dans les esprits. Nous devons donc en tenir compte ». Malgré les progrès importants réalisés et plus de 2 M€ investis, la récente période de confinement a mis en exergue certaines nuisances, dont les poussières. Elles ont été plus mal ressenties par les riverains, qui sont restés des journées entières à leur domicile. Le groupe CB doit aussi faire face à la problématique de sites de production, au départ implantés au milieu des champs et qui se retrouvent, avec les années, entourés de zones habitées. « L’évolution est incontournable par la sensibilité accrue aux questions environnementales, par le durcissement des différentes réglementations. Mais aussi du fait de l’arrivée en responsabilité locale de majorités très soucieuses des questions environnementales et sociétales », conclut Patrice Verschaeve. Les granulats, au cœur des évolutions environnementales L’activité “granulats” du groupe CB s’est accélérée avec la poursuite du déploiement d’un réseau de plates-formes de distribution en Ile-de-France, l’acquisition d’une carrière en Rhône-Alpes et, plus récemment, de deux carrières au Canada. La gestion des eaux reste un point majeur de l’exploitation des sites. Les eaux doivent être remises dans le milieu naturel, avec un niveau de propreté parfois supérieur à celui d’origine. Le groupe CB a aussi investi dans la modernisation des systèmes de lavages des roues de camions, qui salissaient parfois les routes alentour en quittant les sites de production. Les poussières sont captées en grande majorité à la source. Et comme l’explique Vincent Amossé : « Nous avons la chance d’intervenir sur des sites exempts de silice. Ce qui n’empêche pas d’avoir dû réaliser de gros investissements vis-à-vis du captage des poussières ». Sur chaque site, le groupe CB a mis en place des Commissions locales de concertation et de suivis (CLCS), qui permettent d’informer les élus, les riverains et les associations. Cette démarche intègre aussi la préservation des sites, en maîtrisant les évolutions du paysage induites par l’activité extractive. Face au défi de la gestion des ressources naturelles, l’industriel propose des produits alternatifs dans le but de pérenniser les gisements. De répondre aux tendances actuelles d’économie circulaire. Et enfin, d’anticiper les exigences futures des donneurs d’ordre. Cette évolution se traduit par la commercialisation de laitiers cristallisés de hauts fourneaux sous forme de graves , par la valorisation de déchets de construction et de co-produits de carrière. Les activités du groupe CB sont concernées au premier plan par les différentes contraintes environnementales.[©Gérard Guérit] Imaginer de nouveaux modes de distribution pour les bétons Le groupe CB possède 17 sites de production de BPE répartis dans les départements du Pas-de-Calais, du Nord, de la Seine-Maritime et de l’Oise. Il se voit contraint de réaliser de lourds travaux, voire de procéder à des reconstructions complètes pour les centrales les plus anciennes. La préfabrication représente 7 % de l’activité “béton”, avec une usine principale basée à Samer (62). La conception des nouveaux sites vise l’auto-suffisance en eau. Les eaux de process sont récupérées et entrent dans la composition des bétons. Les eaux de ruissellement sont collectées, canalisées et réutilisées. Ou encore, traitées et rejetées dans le milieu naturel, en cas de surplus. Enfin, les retours béton et les effluents des bassins de décantation sont mélangés et réutilisés dans la filière de recyclage. Autre innovation, l’industriel propose le CuB’Drive, un camion 8x4 qui se déplace sur les chantiers avec ses réserves de ciment, de sable, de granulats et d’eau. La fabrication du béton se fait en direct sur le site. Il offre ainsi la quantité de béton, dont a besoin le client. Il n’y a pas de gaspillage, ni de transports inutiles. La consommation d’eau de lavage est très réduite. « Nous sommes les premiers à développer de manière industrielle cette activité en France », précise Patrice Verschaeve. Le groupe CB produit aussi des bétons réfractaires, avec des contraintes environnementales proches : gestion et rejet des eaux, réutilisation des matières premières, des déchets et des rebuts de fabrication… Ce camion dénommé “CuB’Drive” fabrique directement le béton sur le chantier. Ce qui limite les gaspillages et réduit les consommations d’eau.[©Gérard Guérit] De l’environnement à la prévention En interne, les contraintes environnementales rejoignent les contraintes de prévention. Vincent Amossé détaille différentes actions réalisées sur les sites de production de granulats : « Nous investissons sur le confinement des installations, avec un travail de fond sur les moyens d’aspiration. Malgré ces actions “à la source”, tous les salariés interviennent avec masques, lunettes et protections auditives. D’une façon générale, nous investissons dans toutes les actions liées à la qualité de vie au travail. Nous avons d’ailleurs très peu de turn-over. Nous bénéficions d’une réputation justifiée, qui aide le personnel à rester de manière durable dans l’entreprise ». Concernant l’activité “béton”, la direction a engagé une démarche de protection vis-à-vis des sources de bruits (malaxeurs – ceux des centrales à béton). La crise sanitaire a aussi impliqué la mise en place de bulles de protection autour des pupitres de commande. Les opérateurs ont constaté que ces dispositions, en principe provisoires, apportaient plus de confort. Elles seront au final conservées et améliorées. « Nous travaillons enfin à rendre plus accueillants nos sites de production par la création d’œuvres de Street Art, de vêtements de travail siglés aux couleurs vives, la participation à différents évènements locaux… Tout ce qui peut permettre au personnel des centrales, qui se sent parfois un peu isolé, de retrouver fierté et reconnaissance », ajoute Patrice Verschaeve. La rencontre du Street Art et d’une centrale à béton : deux mondes a priori éloignés, mais qui aident à tirer vers le haut l’image d’équipements perçus comme qu’utilitaires.[©Gérard Guérit] Réduire l’empreinte carbone Pas de politique environnementale sérieuse sans une volonté forte de réduction de l’empreinte carbone. Le groupe CB livre environ 9 Mt/an de granulats, dont un tiers par voie ferrée. Le but est de passer de 30 à 40 % des livraisons pour ce mode de transport. En parallèle, le groupe travaille avec SNCF Réseau, afin de passer de la traction Diesel à la traction hybride, voire 100 % électrique, à terme. Pour cela, il reste à électrifier quelques kilomètres de voies sur son réseau privé, et les derniers kilomètres pour accéder à ses plates-formes parisiennes, mais aussi à ses clients embranchés. A titre d’exemple, quelque 30 trains par semaine alimentent 4 plates-formes sur le secteur du Grand Paris. Et près de 10 trains hebdomadaires rejoignent le site d’ArcelorMittal, à Dunkerque. Le fret ferroviaire permettrait une réduction des émissions de CO2 : l’équivalente de plus de 50 000 camions/an en moins sur les routes. L’autre axe vise à faire passer les engins qui fonctionnent au gazole non routier (GNR), à l’hybridation, voire à l’électrification. Un projet complexe, face aux contraintes de couple, de puissance et d’autonomie des véhicules lourds. Dans ce contexte, le groupe CB allonge certains tapis transporteurs en fond de carrière, afin de réduire les distances de roulage de ses chargeuses. Il incite aussi ses transporteurs à utiliser du bio-carburant, moins émetteur de CO2, dans le cadre du renouvellement de leur flotte. Le groupe CB livre 9 Mt/an de granulats, dont un tiers par voie ferrée. Ce chiffre devrait atteindre 40 % à court terme.[©Gérard Guérit] Dossier réalisé par Gérard Guérit. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91
Il y a 4 ans et 180 jours

Intermat – World of Concrete Europe : Le salon de la reprise ?

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91 Isabelle Alfano, directrice des salons Intermat et World of Concrete Europe. [©Comexposium] Nous sommes à quelques mois d’Intermat et World of Concrete Europe. Comment se présente ce double évènement ? Intermat et World of Concrete Europe sont bien inscrits dans l’agenda des entreprises. Ce double évènement devrait être considéré par beaucoup comme le salon de la reprise.Au moment du confinement du printemps dernier, nous étions en avance en nombre d’inscrits, en comparaison à 2018. Et la commercialisation s’est poursuivie durant cette période. Début septembre, nous avons constaté une reprise forte des commandes. Aujourd’hui, 70 % des espaces disponibles ont déjà été réservés. Nous attendons entre 1 400 et 1 500 exposants. Mais surtout, nous n’avons pas enregistré d’annulation… Il y a un engagement intense de la part des futurs exposants. Tous ont la volonté de participer et se projettent déjà dans l’édition 2021. Pour cette édition, le salon est organisé autour de cinq pôles d’expertise, dont le tout nouveau pôle “Nouvelles technologies”… L’organisation par pôles a bien fonctionné en 2018. Nous en reprenons le principe. Surtout, nous intégrons les “Nouvelles technologies”. Ce nouveau pôle sera bien identifié. Le village “Start-up” y sera rattaché, tout comme un forum, dont le programme est en cours d’élaboration. Ce sera le second espace de conférences après celui du World of Concrete Europe.Je crois beaucoup à l’organisation par pôles. Les exposants profitent d’un univers qui leur parle. Et pour les industriels multi-sectoriels, nous assurons le lien entre les différentes compétences, via des rappels, des parcours de visite… La situation sanitaire est dans toutes les conversations. Etes-vous inquiète ? Avez-vous prévu un plan B en cas d’évolution négative de la pandémie ?  Nous sommes à quelques mois du double évènement… Difficile aujourd’hui de faire un pronostic. Nous constatons juste que les industriels se mettent en ordre de marche. De notre côté, nous préparons un plan d’action compte tenu d’une situation évolutive. En premier lieu, avec un protocole sanitaire commun avec les autres organisateurs de salons, nous réalisons unguide de bonnes pratiques à distribuer à tous les visiteurs et exposants. Le recrutement des visiteurs est le second volet de notre plan d’action. Nous allons nous concentrer sur la zone européenne. Ce qui n’exclut pas un visitorat plus lointain… Enfin, les dispositifs digitaux seront renforcés pour permettre à chacun de profiter au mieux du rendez-vous. Nous restons dans une perspective positive et poursuivons la construction du salon.  Woc Europe s’inscrit dans le pôle “Bâtiment” d’Intermat. Comment ces deux évènements cohabitent-ils finalement ?  Intermat nourrit Woc Europe et Woc Europe nourrit Intermat. Même si les deux évènements sont liés, nous les gérons comme deux entités distinctes, avec chacune leur identité spécifique.Côté exposants, nombre d’acteurs de premier plan de la filière béton ont déjà confirmé leur présence. On peut citer Cifa Zoomlion, Putzmeister, Quadra, Quali Parts & Services, Schwing-Stetter ou encore Somero. Dernière belle surprise en date, l’arrivée du constructeur turc BétonStar, qui vient de réserver un stand conséquent pour sa première présence à Paris.  Le Forum du Woc Europe va présenter un cycle de conférences liées au béton. Quel en sera le fil conducteur ? Les conférences s’articuleront autour de grandes thématiques déjà identifiées. Le programme s’annonce riche : réparation et maintenance des ouvrages d’art, travaux souterrains, bétons bas carbone, béton et économie circulaire, RE 2020, construction hors site, bétons connectés, nouveaux procédés. Pour animer ces sessions, nous allons nous appuyer sur les sachants de la filière. L’ensemble de ces conférences doit se dérouler pendant toute la durée du salon et tout au long de chaque journée. Les Concrete Demos constituent l’autre évènement phare du Woc Europe. Comment seront-elles organisées ?  Il est important que les Concrete Demos bénéficient d’une espace qui leur soit propre. Et proche du secteur “Woc Europe”. Les démonstrations y sont consacrées au travail du béton. Le public visé est aussi différent, comparé à la zone Intermat Demo, où l’on manipule de la terre, avec de grosses machines…   Propos recueillis par Frédéric Gluzicki  Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91
Il y a 4 ans et 180 jours

Extension-Restructuration du Lycée Nadar de Draveil, par Ropa & Associés

L’agence Ropa & Associés Architectes a été désignée en octobre 2020 lauréate du concours de maîtrise d’œuvre lancé par la Région Ile-de-France pour l’extension de capacité du Lycée Nadar à Draveil (Essonne). Un projet de 4 000 m² SHON (hors restructuration) pour un budget travaux de 13 M€ HT. Livraison prévue en Septembre 2024. Communiqué. […] L’article Extension-Restructuration du Lycée Nadar de Draveil, par Ropa & Associés est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 181 jours

L’Aerolithys débarque à Nantes

Le camion Aerolithys parcourt les routes de la région nantaise pour faire découvrir son concept de béton mousse. [©Aerolithys] Dans la région nantaise, Stonart a investi dans un béton mousse coulé en place depuis une centrale mobile. Baptisé Aerolithys, le système a été conçu par la marque italienne Isoltech. « Il s’agit d’une technologie utilisée depuis des années aux Etats-Unis et dans certains pays d’Europe, dont l’Italie, explique Jackie Fronteau, gérant de Stonart. Le béton mousse permet de réaliser des remblais légers, des chapes de ravoirage, des toits-terrasses, de l’isolation sous dallage ou des remplissages géotechniques. » Composé de ciment, d’eau d’additifs fluidifiants et d’un agent moussant, le béton mousse présente, selon les besoins, une densité allant de 200 à 400 kg/m3. « C’est la solution parfaite pour remplir les parois entre les tunnels et les roches, par exemple, ou pour combler les trous lors d’effondrement. C’est une technologie qui a déjà largement fait ses preuves, mais qui doit mieux se faire connaître en France. D’autant que sa production depuis le camion dédié permet une totale indépendance. » Pour le moment en démonstration dans la région nantaise, le camion Aerolithys devrait rapidement partir à l’assaut de l’Ile-de-France. Avant de faire des petits. « Notre idée est d’installer la marque avec d’autres investissements, puis de créer des franchises un peu partout en  France. Tout en restant le distributeur exclusif d’Isoltech », conclut Jackie Fronteau.
Il y a 4 ans et 181 jours

Paris veut se refaire une beauté

Après de nouvelles pistes cyclables et la rénovation de grandes places (de la Bastille, d'Italie, Nation,...), Anne Hidalgo, réélue en juin maire de la capitale, compte poursuivre son objectif de rénover en réduisant la place de la voiture et adapter la ville au changement climatique.Cette ambition doit bientôt s'appliquer aux petits objets de la rue: la mairie ouvre une consultation pour "rationaliser" et renouveler le mobilier urbain en lançant des concours de design, pour une restitution finale prévue en septembre 2021.La majorité socialiste veut ainsi s'attaquer à un grief régulier, celui d'une ville sale et mal entretenue. "Paris s'enlaidit d'année en année avec une constance effrayante", fustige l'opposante Nelly Garnier, élue LR au Conseil de Paris. "Les millions utilisés pour la rénovation des grandes places n'a servi qu'à en faire des lieux plus dysfonctionnels, et pas végétalisés", ajoute-t-elle, "c'est un échec absolu"."Paris est la plus belle ville du monde ? Les Parisiennes et les Parisiens ne semblent aujourd'hui plus tout à fait d'accords avec ce constat", reconnaît Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la Maire de Paris chargé notamment de l'urbanisme et de l'architecture.Paris, presque vide de touristes étrangers depuis huit mois en raison de la pandémie du Covid-19, a vu son paysage chamboulé: des terrasses de cafés étendues à coup de palettes de bois bancales, et des pistes cyclables temporaires délimitées avec des plots et blocs de béton jaunes fluo, même sur la mythique avenue de l'Opéra, que certains estiment défigurée.Des aménagements faits "dans l'urgence au détriment de l'esthétique", convient Emmanuel Grégoire. Mais l'élu, qui a développé sa vision dans une note pour la fondation Jean Jaurès, y voit aussi une "accélération extrêmement forte" de la rénovation urbaine de la capitale.Si l'exécutif parisien souhaite "préserver et prolonger" l'esthétique qui fait la renommée de Paris, il dit aussi refuser "tout conservatisme qui nous mènerait à faire de Paris une ville-musée, plongée dans le formol".Forêt ou "cendrier" ?Il ne s'agit donc pas de supprimer les colonnes Morris, ces hauts piliers de réclame, ou les fontaines Wallace, icônes du Paris haussmannien de la Belle époque. "Cette esthétique incroyable fonctionne toujours", considère l'urbaniste Jean-Christophe Choblet, qui travaille pour la mairie de Paris. "Mais ça n'empêche pas des formes contemporaines", ajoute-t-il.Pour commencer, explique Emmanuel Grégoire, "il faut rationaliser, simplifier le mobilier urbain pour clairement supprimer ceux qui ne semblent pas indispensables aux usages de la ville," lance-t-il, mentionnant notamment les panneaux de circulation - "à l'heure de l'ultra développement du GPS, est-il utile d'avoir à Montparnasse un panneau qui vous indique comment aller à République en voiture?""Il faut repenser la place de la nature sur l'espace public", ajoute M. Grégoire qui évoque l'installation de "poubelles végétalisées", de "bancs anti-voitures" ou de "brumisateurs".L'urbaniste Morgane Delarc, qui a étudié de récents aménagements parisiens, souligne que le mobilier urbain permet d'obtenir une "continuité patrimoniale" d'un quartier à l'autre.Pour coordonner ce long chantier, qui doit passer par de nouvelles règles inclues dans la réforme du plan local d'urbanisme, la mairie souhaite nommer un architecte en chef, un designer en chef et un paysagiste en chef.Le rôle de ce dernier sera de travailler sur la "végétalisation de l'espace public", la mairie compte installer de petites forêts sur une poignée de grandes places parisiennes."Mme Hidalgo ment, ce n'est pas possible de planter des arbres" en plein Paris, récuse l'opposante Nelly Garnier. "On fait des dessins d'architectes, puis vous allez vous retrouver avec un pot en plastique qui va devenir moitié cendrier, moitié poubelle"."La véhémence a toujours été une caractéristique des débats sur l'esthétique parisienne", répond Emmanuel Grégoire, rappelant qu'au lancement des travaux en 1887 de nombreux artistes et intellectuels avaient dénoncé, "l'érection de l'inutile et monstrueuse Tour Eiffel" devenue depuis l'emblème mondialement connu de Paris.
Il y a 4 ans et 181 jours

Dubaï Frame ou le vernis d’Adapta Color

L’architecte mexicain Fernando Donis, basé à Rotterdam, lauréat parmi 926 candidats d’un concours organisé en 2008 par la municipalité de Dubaï et la société allemande ThyssenKrupp Elevator, a conçu le Dubaï Frame, qui sera livré en 2019. La structure est habillée de panneaux perforés en aluminium. Collection Eternal High Gloss d’Adapta Color. Près de la […] L’article Dubaï Frame ou le vernis d’Adapta Color est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 181 jours

Le gouvernement révise à la baisse le rebond attendu de l'économie française en 2021

Cette hypothèse repose sur trois éléments sanitaires: "un ralentissement de l'activité économique de l'ordre de 12%" en novembre avec le reconfinement, "le maintien de règles sanitaires dans les mois qui viennent pour prévenir la reprise de l'épidémie", et "pas de troisième confinement en France en 2021", a-t-il détaillé lors d'une conférence de presse téléphonique.Cette nouvelle prévision sera intégrée au projet de loi de finances pour 2021, actuellement en discussion au Parlement. Le gouvernement avait déjà aggravé fin octobre à -11% sa prévision de récession pour 2020.Face à une reprise économique moins forte que prévu et au maintien de protocoles sanitaires au-delà du déconfinement et sur la durée, certains secteurs risquent de subir encore longtemps les conséquences de la crise, comme l'hôtellerie-restauration ou les clubs sportifs.Si le ministre n'a pas débouché l'horizon de ces professionnels en évoquant une date de réouverture, il a assuré que le gouvernement allait prolonger le soutien à ces entreprises.Outre davantage de moyens pour le chômage partiel ou les exonérations de charges, il a évoqué une modification du fonds de solidarité qui pourrait permettre aux entreprises de choisir une "prise en charge des pertes d'exploitation" selon "un pourcentage qui reste encore à déterminer", plutôt que les 10.000 euros proposés actuellement.Le dispositif de soutien aux fonds propres des entreprises, jugé insuffisant par de nombreux économistes, pourrait aussi être renforcé.Même chose pour l'aide aux plus démunis, dont la crise accentue les difficultés: "nous ferons ce qui sera nécessaire", a voulu rassurer le ministre, citant par exemple les dépenses croissantes pour le RSA.Ces mesures aggraveront le déficit et la dette pour 2021, a prévenu Bruno Le Maire, mais les nouvelles prévisions du gouvernement ne seront connues que début décembre.Malgré tout, le ministre espère toujours revenir d'ici à 2022 au niveau d'activité d'avant la crise. Mais ce retour sera "décalé à fin 2022", a-t-il concédé.Il compte en particulier sur le plan de relance pour y parvenir, sous le feu des critiques de la part de l'opposition et d'économistes.Bruno Le Maire a de nouveau défendu sa stratégie "complémentaire" entre la relance et les mesures de protection prises ces derniers mois et encore existantes dans le budget pour 2021.
Il y a 4 ans et 181 jours

Rénovation globale du logement : Coût, aides, freins ?

Gage d'économies d'énergie réelles, combinée à une sensibilisation des ménages sur les éco-gestes pour diminuer leur consommation d'énergie, cette démarche permettrait d'éviter à la France l'« échec » allemand [2]. De quelles aides bénéficie un ménage pour ce type de travaux aujourd'hui ? Quels freins subsistent ? Hellio, spécialiste des économies d'énergie, fait le point...La rénovation globale, la garantie d'un confort et d'économies durablesLa rénovation globale se définit par la réalisation de travaux d'économies d'énergie réalisés globalement sur l'ensemble des postes énergivores d'un logement.Dans le cadre du plan de relance, et dans une volonté de massification de la rénovation énergétique de l'habitat, le gouvernement fait émerger ce cap en annonçant une nouvelle « aide à la rénovation complète du logement ». Deux aides cumulables ont été annoncées:Les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) [3] : Coup De Pouce Rénovation globale d'une maison individuelle [4]Ma Prime Rénov' Rénovation globale [5]Quelles sont les conditions d'éligibilité ?Maison chauffée au charbon ou fioul ou gaz hors condensationDes travaux réalisant un gain énergétique d'au moins 55% versus la consommation initialeTous les équipements de chauffage ou de production d'eau chaude sanitaire doivent être remplacés.Travaux réalisés via un audit énergétique, contrôlés par un « bureau de contrôle indépendant »Si le bénéficiaire le souhaite avec l'aide d'une assistance à maîtrise d'ouvrageLes français veulent réaliser une rénovation globale de leur maison, combien ça coûte ?Pour aider le particulier à appréhender le reste à charge d'une rénovation globale, Hellio a réalisé plusieurs simulations de cas concrets, en prenant en compte les différents critères qui impactent le montant des aides (type de ménage et localisation géographique) :La rénovation globale : un cap à tenir car les freins persistent !Un coût des travaux trop important pour les ménagesSelon une étude de l'Ademe [6], la démarche de rénovation globale est encore très faible : seulement 418 personnes sur une population de 260.000 propriétaires en maison individuelle s'y sont engagées. Le coût est le premier frein : un projet de rénovation globale représente en moyenne 35.000 € à 70.000 € de dépenses pour un ménage aisé, pour une surface d'au moins 135 m² [7]. Et force est de constater que les travaux tels que l'isolation des murs sont les moins financés par les aides [8]…Cette démarche est encore plus loin d'être acquise pour les ménages en situation de précarité qui privilégient les frais pour se déplacer ou les produits de consommation de première nécessité… Un constat accentué par la crise économique et sanitaire du Covid-19.L'organisation des travaux et le manque d'artisans qualifiésPlusieurs corps de métiers sont nécessaires pour mener à bien un tel projet. L'organisation et l'optimisation des travaux sont un deuxième frein : les artisans capables de gérer une rénovation globale ou de travailler en groupements sont rares. Sans compter que peu sont aujourd'hui qualifiés pour réaliser ce type de travaux (RGE Offre globale ou CERTIBAT Offre globale). Selon la Fédération Française du Bâtiment (FFB), sur les 49.000 entreprises qualifiées RGE en 2020, seulement 200 sont labellisées RGE Offre globale.Un réel savoir-faire dans l'optimisation des artisans s'avère nécessaire : les variables de temps, pour coordonner l'intervention sur ce type de chantiers, et de coûts, pour la réalisation des travaux, peuvent être affinées.Le secteur peine à se structurer, faute de financements et de maturité pour proposer une rénovation multiposte.La sous-information du grand publicEnfin, les avantages d'un projet de rénovation globale pour les ménages restent très peu connus : valorisation du bien immobilier, économies réalisées sur la facture qui, souvent, compensent l'investissement réalisé sur le long terme, ou encore la qualité de vie à l'intérieur de son logement (confort, humidité, qualité de l'air…).En résumé, pour devenir une réalité et être massifiée, la démarche de rénovation globale devra s'affranchir de l'ensemble de ces obstacles !« Que ce soit côté ménages que côté entreprises de travaux, le marché n'est aujourd'hui pas encore mûr. Il faut tenir ce cap de la rénovation globale car la situation devrait évoluer par le volontarisme de certains acteurs : Hellio en fait partie. Une solution à court terme serait de poser des premiers jalons, comme passer par un bouquet de travaux – isolation des combles, planchers, murs et équipement de chauffage – avec garantie de gain énergétique, et permettre aux artisans de travailler ensemble sur ces lots »Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques Hellio[1]Audition d'Emmanuelle Wargon à l'Assemblée Nationale du 21 juillet 2020[2]Article Le Monde – En Allemagne, les rénovations énergétiques des bâtiments n'ont pas fait baisser la consommation – 4 octobre2020 [3]Retrouvez plus d'information sur les CEE sur le site du Ministère de l'Ecologie ici[4]https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000039001462/2020-10-27/[5]https://www.economie.gouv.fr/particuliers/prime-renovation-energetique[6]Étude de l'Ademe sur la typologie des ménages ayant réalisé des travaux de rénovation – octobre 2019 – P. 43[7]Idem P. 44[8]Guide des aides financières de l'ADEME – 2020
Il y a 4 ans et 181 jours

La filière bois demande plus d'ambition sur la RE2020 et le calcul carbone des matériaux

NEUTRALITÉ CARBONE. À l'heure où la Réglementation environnementale 2020 (RE2020) doit faire l'objet des derniers arbitrages par le Gouvernement, les professionnels du bois estiment que le texte manque d'ambition dans sa forme actuelle. La filière demande à ce que la future réglementation impose des objectifs clairement établis de baisse des émissions de gaz à effet de serre.
Il y a 4 ans et 181 jours

Quartiers défavorisés: Macron demande au gouvernement de recevoir les élus inquiets

Emmanuel Macron a demandé au gouvernement de recevoir les élus inquiets pour les quartiers défavorisés durant la crise et qui lui avaient lancé un "appel au secours".
Il y a 4 ans et 181 jours

Christine Gilliot devient directrice opérationnelle “Sols & Revêtements” du groupe CSTB

Christine Gilliot a été nommé directrice opérationnelle “Sols & Revêtements”, par Etienne Crépon, président du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB). Etablissement public à caractère industriel et commercial, le CSTB, spécialiste de l’innovation dans le bâtiment, s’est engagé à “garantir la qualité et la sécurité des bâtiments”. Le parcours expérimenté de Christine Gilliot Portrait de Christine Gilliot, nommée directrice opérationnelle sols & revêtements. [©Raphaël Dautigny] Après un passage dans une filiale du groupe Lafarge en Recherche et Développement, Christine Gilliot intègre le CSTB en 1999. A cette époque, elle évolue comme ingénieure évaluation, dans le domaine des “Enduits, Mortiers et Colles”. Mais à partir de 2001, sa carrière prend un autre tournant. Christine Gilliot est à la tête de plusieurs divisions dans le domaine des sols et des revêtements. En 2010, elle dirige la division “Revêtements, Etanchéité, Enduits et Colles”. Mais au bout de 10 ans, elle doit céder sa place, pour devenir la directrice opérationnelle “Sols & Revêtements” du CSTB. Un beau parcours qui est loin de s’achever. Au fil des années, les responsabilités, dont elle a fait l’objet, ont fait naître chez elle une expertise indéniable dans ce domaine. Christine Gilliot est devenue une spécialiste des produits, solutions et process relatifs aux revêtements et systèmes de sols. Les enjeux de la direction opérationnelle “Sols & Revêtements” Les nouvelles missions de Christine Gilliot, en tant que directrice opérationnelle “Sols & Revêtements”, seront capitales. En effet, cette dernière pilotera l’ensemble des travaux menés dans ce domaine. Et devra accompagner « les acteurs de la construction dans la conception, l’innovation, le développement des performances et le choix de ces matériaux, systèmes et procédés », explique le communiqué du CSTB. Fraîchement créée, cette direction rassemble plusieurs activités, telles que la recherche et expertise, les essais, l’évaluation, ainsi que la certification. Les équipes travailleront sur des enjeux clefs pour la performance et la sécurité. A l’image de la glissance des sols, en intérieur, en extérieur, dans les gares, parkings…  Mais aussi de la compacité, afin de réduire l’épaisseur des systèmes. « Je suis ravie de prendre la responsabilité de la direction opérationnelle “Sols & Revêtements” du CSTB », déclare Christine Gilliot, au sujet de son nouveau poste. Et de poursuivre : « Les matériaux, systèmes et procédés développés dans ce domaine participent à la performance globale et à la durabilité de l’ouvrage. A travers ses activités, la direction “Sols & Revêtements” accompagne la filière dans la prise en compte de ces enjeux clefs. Et globalement nos clients, les fabricants, dans leurs démarches d’innovation et d’amélioration des performances, et les maîtres d’ouvrage, dans le choix des matériaux et systèmes les plus pertinents pour leurs projets ».
Il y a 4 ans et 181 jours

L'Etat refuse le classement d'une chapelle vouée à la démolition à Lille

Le ministère de la Culture a officialisé le rejet d'une demande de classement de la chapelle Saint-Joseph de Lille, datant du XIXème siècle, vouée à être démolie sur le site d'un futur campus.
Il y a 4 ans et 181 jours

Ferrer Sud et Martinazzo BTP : La vie rêvée de Pascal Carlos

Retrouvez cet article dans le n° 91 de Béton[s] le Magazine De salarié, Pascal Carlos est devenu entrepreneur, à travers la reprise de Ferrer Sud et de Martinazzo BTP. [©ACPresse] Le BTP est riche de belles histoires. Et celle de Pascal Carlos mérite d’être racontée. Cadre dirigeant dans un grand groupe – NGE, en l’occurrence -, il a fait le choix de voler de ses propres ailes. « Le virage de la cinquantaine, même si les projets que l’on me proposait en interne restaient intéressants », indique Pascal Carlos. Sans doute une impression d’avoir fait le tour du sujet… « J’avais la certitude que des propositions de reprise d’entreprises allaient se présenter à moi. »Ainsi, non pas une, mais deux opportunités sont arrivées presque en même temps. « Le dirigeant de l’entreprise Martinazzo BTP, une PME basée en Lozère, a appris qu’un repreneur potentiel était sur le marché. » C’est ainsi que Pascal Carlos est devenu entrepreneur, comme il en avait le souhait. Une transition simple en apparence, Jean-Luc Martinazzo ayant accepté d’accompagner le nouveau dirigeant durant deux ans. A vrai dire, la difficulté est venue de la situation sanitaire liée au Covid. « Nous sommes encore en mode dégradé, compte tenu des mesures de protection et de distanciation à mettre en place. Chaque jour, nous perdons encore un quart d’heure de travail », souligne Pascal Carlos.  Repris en plein confinement La seconde opportunité est apparue un peu par hasard. « Lors d’une réunion à la FFB de l’Hérault, j’ai annoncé mon départ de NGE. Un des dirigeants de Ferrer Sud était dans la salle. Deux jours plus tard, il sollicitait un rendez-vous. »Il cherchait à céder ses parts. L’affaire s’est conclue en plein confinement, à la fin du mois d’avril 2020.  « Une seule entreprise était suffisante pour moi. Mais cette seconde reprise était une belle occasion d’intégrer un autre territoire : la région de Montpellier. Finalement, j’ai mis tous mes œufs dans deux paniers différents ! »Sans compter la grande complémentarité entre les deux sociétés et les synergies qui pouvaient en découler. Avec un chiffre d’affaires de 3 M€, Martinazzo BTP est avant tout une PME rurale de gros œuvre, qui travaille aussi la pierre, intervient en rénovation et fait un peu de génie civil. Ses chantiers oscillent entre 10 000 € à 1 M€. Ferrer Sud se concentre sur les opérations de gros œuvre en logements collectifs, à 80 % pour le secteur privé, avec des chantiers d’une valeur comprise entre 1 et 3 M€. Côté chiffre d’affaires, l’entreprise se situe à près de 11 M€ par an.  Une double stratégie de développement Qui dit “deux entreprises”, dit aussi “double stratégie de développement”. Car, c’est là le nouveau défi pour Pascal Carlos. Déjà, il n’y aura pas de fusion entre les deux entités. « Ce sont des marques fortes sur leurs territoires respectifs, les faire disparaître pour créer autre chose à la place irait à l’encontre de toute logique. »En revanche, élargir les champs de compétences, voire les territoires d’intervention constitue une suite rationnelle. Ainsi, Martinazzo BTP a vu l’ouverture d’une succursale à Rodez (12). L’objectif pour l’entreprise est de doubler son chiffre d’affaires à 3 ans. « Je souhaite devenir aussi un partenaire des entreprises agréées Monuments historiques pour intervenir sur les parties “béton”. J’ai de plus pour objectif d’entrer sur les marchés Enedis, afin de réaliser de petites opérations de travaux publics », dévoile Pascal Carlos. Pour Ferrer Sud, les ambitions sont toutes autres. Aller davantage sur les marchés publics et surtout tertiaires, « afin de créer une complémentarité avec l’existant ». Pour cela, Pascal Carlos compte recruter de nouveaux conducteurs de travaux. Enfin, Ferrer Sud sera aussi à l’affût d’opérations de réhabilitation structurelle, tels le curage et le désamiantage. Ou encore le renforcement de fondations. De beaux développements en perspective… Retrouvez cet article dans le n° 91 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 181 jours

Los Angeles s'allie à Google pour cartographier ses arbres et lutter contre la chaleur

"C'est un nouvel outil puissant et nous sommes la première ville dans le pays à faire ça", s'est félicité le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, en présentant le programme "Tree Canopy Lab".L'outil développé par Google "nous permet d'évaluer rapidement les zones de notre ville ayant la plus grande densité de population, le moins d'arbres et les températures les plus élevées", a résumé l'élu.L'enjeu est de taille pour cette ville de 4 millions d'habitants, qui s'étend sur plus de 1.300 km2, entre la mer et des vallées au climat quasi-désertique. Dans la vallée de San Fernando, les températures moyennes en juillet et août oscillent actuellement autour de 33°C et des projections estiment que d'ici vingt à trente ans, elles seront d'au moins 35°C pendant 120 jours par an sous l'effet du changement climatique.La couverture végétale, en particulier la canopée des arbres, joue un rôle important pour conserver la fraîcheur au niveau du sol dans les villes. La concentration de rues goudronnées et de bâtiments peut créer des "îlots de chaleur" aux conséquences sanitaires et environnementales parfois graves, surtout combinées avec les effets de la pollution atmosphérique, une constante à Los Angeles.Tree Canopy Lab a déjà permis de mettre en lumière le fait que plus de la moitié des habitants de Los Angeles vivent dans des zones où la canopée représente moins de 10% de la surface, et que 44% d'entre eux sont exposés à des risques de chaleur extrême, relève Google.Photos aériennes et intelligence artificielleConcrètement, ce nouvel outil s'appuie sur une base de données constituée à l'aide d'images prises par des avions durant le printemps, l'été et l'automne, couplée à l'intelligence artificielle développée par Google et Google Earth."Nous pouvons localiser précisément tous les arbres d'une ville et calculer leur densité (...) Pour obtenir des informations encore plus détaillées sur la canopée d'une ville, des photos prises dans le spectre infra-rouge détectent des couleurs et des détails que l'oeil humain ne peut percevoir et compare les images prises sous différents angles", poursuit la firme californienne.Une intelligence artificielle spécialisée dans l'identification des arbres passe automatiquement en revue ces images et produit une cartographie de la canopée facilement utilisable (insights.sustainability.google/labs/treecanopy)."Avec cet outil, la ville de Los Angeles n'a plus besoin de s'appuyer sur des études manuelles longues et coûteuses, qui peuvent nécessiter de recenser les arbres dans chaque pâté de maison ou utilisent des relevés obsolètes", affirme Google."Notre partenariat avec Google est l'aboutissement d'un long travail et nous sommes très heureux d'avoir cet outil qui nous permettra de comprendre quels sont les besoins et d'établir rapidement des priorités", a déclaré Rachel Malarich, responsable des forêts de Los Angeles, un poste créé en 2019 par Eric Garcetti.La ville s'était fixé pour objectif de planter 90.000 arbres d'ici la fin de 2021 et de continuer à en planter 20.000 chaque année par la suite.Google a souligné que l'outil développé pour Los Angeles allait être prochainement étendu à "des centaines d'autres villes" afin de soutenir ce genre d'initiatives.
Il y a 4 ans et 181 jours

Groupe Peri en première ligne sur l’impression 3D

Cet article est à retrouver dans le n°91 de Béton[s] le Magazine. Depuis 2 ans, le fabricant allemand de coffrages et d’échafaudages, Peri, s’intéresse de près à l’impression 3D béton. « Nous avons une équipe dédiée qui fonctionne comme une start-up, explique Jan Grumann, en charge du développement de cette l’activité au sein du groupe Peri. Nous travaillons sur le modèle économique et l’implantation de cette discipline sur le marché. L’impression 3D va devenir de plus en plus importante. Et ce, sur différents segments du marché de la construction. Nous sommes leaders dans notre secteur d’activité et l’innovation tient une place importante dans le groupe. C’est donc naturellement que nous souhaitons être en première ligne dans le développement de l’impression 3D. » Développer de nouveaux marchés Depuis 18 mois, l’industriel a conforté sa présence dans ce domaine, en entrant dans le capital de la société danoise Cobod, spécialiste de l’impression 3D béton. « Nous voyons bien le potentiel de cette technologie, complète Markus Woehl, directeur de la communication interne de Peri. C’est pour cela que nous avons investi dans Cobod. Ce sont des leaders dans l’impression 3D béton. Cependant, nous ne sommes pas une entreprise de construction. Notre but n’est pas “d’imprimer” des maisons, mais plutôt, d’introduire cette technologie sur le marché. Nous souhaitons comprendre cette technologie, comprendre comment elle fonctionne et la développer. » Et Jan Grumann de conclure : « Aujourd’hui, l’impression 3D est encore une jeune industrie. Elle n’a pas d’impact sur notre activité “classique”, parce que nous nous inscrivons dans un segment que nous ne touchions pas auparavant : le logement individuel ou le petit collectif, qui sont plutôt construits en briques ou en bois. C’est une façon d’étendre nos savoir-faire ». Peri a conforté sa présence dans l’impression 3D, en entrant dans le capital de la société danoise Cobod. [©Peri] Une première maison en Allemagne En tant que partenaire de Cobod, Peri a pu lancer l’impression 3D béton de sa première maison en Allemagne. « Nous développons cette technologie pour qu’elle soit prête pour le marché et le projet de Beckum en est une preuve », explique Markus Woehl, directeur de la communication interne du groupe Peri. C’est donc à Beckum, en Westphalie, que l’industriel a mis en marche l’imprimante montée sur portique Bod2. « Ce système nous permet de construire de grandes structures et d’éviter de recalibrer l’imprimante à chaque fois », détaille Jan Grumann, en charge du développement de l’activité impression 3D dans le groupe Peri. Ainsi, la Bod2 offre une vitesse d’impression de 1 m/s. Soit l’équivalent de 10 t/h de béton mis en œuvre. Pour l’occasion, Peri a travaillé avec HeildelbergCement pour la formulation de “l’encre”. La structure de la maison disposera de murs creux à triple épaisseurs. Ceux-ci seront ensuite remplis d’un isolant. Peri a “imprimé” sa première maison en Allemagne, à Beckum avec la Bod2. [©Peri] La construction de la maison de Beckum – impression, second œuvre, et aménagement – devrait s’achever en mars 2021. Aller plus loin : Dossier : L'impression 3D Imprimer tout ou une partie d’une construction plutôt que de la couler en béton. Mais est-ce vraiment l’avenir de la construction ? Quelles sont les limites de ce procédé ? Qu’en est-il des matériaux utilisables ? Il est temps d’en savoir plus... Trois questions à… Céline Florence, responsable de la chaire “Béton”, à l’ESTP Paris Parmi ses 10 laboratoires, l’ESTP Paris accueille la chaire “Ingénierie des bétons” depuis 2014. Céline Florence en est la responsable. Elle nous parle de l’impression 3D et comment cette discipline s’est installée sur les paillasses. Constructions 3D développe le plug & play Lutter contre le mal-logement grâce à une technologie de pointe ? C’est l’objectif de Constructions 3D. La start-up développe des solutions clefs en main sur le principe du “plug & play”. Au pays de l’ultra-personnalisation avec le groupe Saint Léonard « De façon générale, l’impression 3D nous permet d’évoluer », déclare Bertrand Malet, directeur développement et R&D du Groupe Saint Léonard. Comment la discipline embrasse-t-elle le monde de la préfabrication ? Dans la construction hors site, les deux peuvent se compléter mutuellement. C’est tout du moins ce que croit le groupe. Vicat : sur terre comme en mer Concernant l’impression 3D, Vicat met un point d’honneur à travailler en partenariat. Ces collaborations permettent au groupe de développer des produits spécifiques pour ce domaine. Focus sur 3 projets avec Olivier Martinage, ingénieur R&D et chargé de projet impression 3D. Ciments Calcia : « Un prémix bien dosé et bien pesé » Comment les cimentiers s’emparent-ils de l’impression 3D ? Patrick Mézière, responsable projet innovation chez Ciments Calcia, nous explique la démarche du groupe HeidelbergCement. L’incontournable XTreeE CQue ce soit en France ou dans le monde, XtreeE a réussi à s’imposer comme un acteur incontournable de la fabrication additive. Saint-Gobain Weber Beamix, dans le concret Saint-Gobain Weber Beamix, filiale néerlandaise du groupe éponyme, dispose de sa propre usine d’impression 3D béton, à Eindhoven. Une façon de développer son savoir-faire et de prendre part à des projets concrets. Cemex, le matériau en ligne de mire Le groupe Cemex explore l’impression 3D depuis plusieurs années. Quel présent et quel avenir pour la technologie ? Réponses avec Davide Zampini, directeur de la R&D du groupe. Impressions lunaires Comment vivre de manière durable sur la lune ? Spécialisé dans l’impression 3D, l’industriel texan Icon a été chargé de trouver des réponses à travers le projet Olympus.
Il y a 4 ans et 181 jours

Les recours contre le projet autoroutier à Rouen rejetés par le Conseil d'Etat

"Compte tenu de l'importance du projet et eu égard aux mesures de prévention de compensation ou d'atténuation prévues par le maître d'ouvrage, les inconvénients qu'il présente, pour importants qu'ils soient notamment en terme de coût, de conséquences ou de risques pour l'environnement (...) ne présentent pas un caractère excessif de nature à le priver de son caractère d'utilité publique", estime la haute juridiction administrative dans une décision dont l'AFP a obtenu une copie.Les recours émanaient de plusieurs associations dont France nature environnement (FNE) et de plusieurs communes proches de Rouen. Ils visaient le décret du 14 novembre 2017 qui déclare d'utilité publique ce projet d'autoroute reliant l'A28 et l'A13.Certes le projet présente un "coût très élevé", évalué entre 20 et 23 millions d'euros par km, "du fait notamment des ouvrages de franchissement de la Seine que sa construction impliquera et surtout des nombreux investissements et mesures complémentaires que nécessitera la réduction de son incidence environnementale et des autres nuisances qu'il risquerait d'engendrer", reconnaît le Conseil d'Etat.Et il s'inscrit "dans un environnement vulnérable notamment au regard de la ressource en eau". Il est "susceptible d'entraîner des risques de pollution accidentelle des aquifères ou d'accroître certains risques d'inondations" et "il engendrera notamment "une augmentation des émissions de CO2 de 50.000 tonnes par an, la destruction de 146 hectares boisés et de plusieurs centaines d'hectares de sols naturels ou agricoles".Mais "sa valeur actualisée nette socioéconomique demeure positive dans presque tous les scénarios, sauf en cas de croissance nulle", estime la haute juridiction.L'étude d'impact conclut en effet "à un impact net neutre voire positif en termes d'exposition des populations, compte tenu des bénéfices attendus de l'éloignement du trafic routier, notamment des poids lourds des zones densément peuplées", argumente-t-il.Et, concernant la ressource en eau, l'étude d'impact prévoit "des mesures d'évitement, de réduction et de compensation".Les 886 millions d'euros d'investissement prévus incluent une "subvention d'équilibre d'un montant de 55% représentant 489 millions", rappelle le Conseil d'Etat.Les collectivités locales s'étaient engagées à hauteur de 245 millions d'euros. La Métropole rouennaise s'était engagée à hauteur de 66 millions d'euros selon FNE.Mais le nouveau président PS de la Métropole, Nicolas Mayer-Rossignol, a pris ses distances avec ce projet durant la campagne des élections municipales. M. Mayer-Rossignol n'était pas joignable dans l'immédiat.
Il y a 4 ans et 181 jours

Energie solaire: l'Assemblée vote la révision à la baisse de certaines aides

L'Assemblée nationale a voté la révision à la baisse du soutien à certains parcs solaires, une mesure du gouvernement qui juge leur rentabilité "excessive", du fait de la réduction des coûts de production.
Il y a 4 ans et 182 jours

Avec sa première campagne TV, Saunier Duval cherche à gagner en notoriété

COMMUNICATION. Le fabricant de système de production d'eau chaude et de chauffage, Saunier Duval, a lancé une grande campagne de communication multicanale afin d'accroître sa notoriété auprès du grand public. Découvrez le levier publicitaire utilisé ainsi que le plan de communication.
Il y a 4 ans et 182 jours

Décentralisation : les élus territoriaux résistent au désespoir

L’exaspération des collectivités monte d’un cran. Les présidents des associations des maires, des intercommunalités, des départements et des régions – François Baroin, Sébastien Martin, Dominique Bussereau et Renaud Muselier – se sont réunis le 19 novembre au Sénat autour de la même mise en garde : attention à la recentralisation !
Il y a 4 ans et 182 jours

Dominique Cottineau, nouveau Délégué général de l’UICB

Dominique Cottineau, 51 ans, vient d’être nommé Délégué Général de l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB). Il était précédemment, au sein de l’association Promotelec, en charge des relations avec les acteurs institutionnels et politiques territoriaux sur l’ensemble du territoire national. Ayant suivi et accompagné les enjeux et les évolutions des dernières réglementations thermiques, il a fait de la sobriété environnementale des bâtiments et de ses composantes un de ses thèmes de prédilection.
Il y a 4 ans et 182 jours

Sateco au long cours

Le monocoque de Benjamin Dutreux vient de franchir l’Equateur dans le cadre du Vendée Globe Challenge. [©Team Omia – Water Family] 0° 6’ 46’’ S et 28° 43’ 24’’ O. Ces coordonnées GPS marquent un point, au milieu de l’Atlantique, à tout juste 11 km au Sud de l’Equateur… C’est là que se situait Benjamin Dutreux, ce jeudi 19 novembre à la mi-journée. Agé d’une trentaine d’années, le jeune homme réalise ici un rêve. Celui de participer à la 9e édition du Vendée Globe Challenge, tour du monde en solitaire à la voile. Il se classe aujourd’hui en 10e position. A 259,36 nm (nautiques marins), soit 480,33 km, derrière Alex Thomson, en tête de la course. Le monocoque de Benjamin Dutreux vient de franchir l’Equateur dans le cadre du Vendée Globe Challenge. [©Team Omia – Water Family] Pourtant, ce rêve a failli ne pas se réaliser, après la défection contrainte d’un de ss principaux partenaires. Et c’est tout juste 66 j avant le départ qu’Omia, PME de fabrication de cabines de peinture pour l’industrie, rejoint l’aventure de la Water Family [Lire encadré].  « C’est dingue comme la vie réserve de belles surprises, raconte Benjamin Dutreux. C’est une belle rencontre au bon moment avec Omia et Stéphane Galichet, son président. Un appel, un soir, par un ancien actionnaire de Sateco qui nous a mis en relation. Le projet a été monté en très peu de temps […] C’est au cœur de leur démarche, comme les autres PME qui nous entourent, d’être innovant dans la manière de communiquer et fédérer leurs clients et salariés. Comme toute entreprise en pleine crise, il faut trouver les idées pour rebondir et se démarquer. L’engagement avec la Water Family permet de prolonger leurs démarches et d’aller encore plus loin. » Sateco est l’un des sponsors officiels du skippeur Benjamin Dutreux. [©Team Omia – Water Family]L’Omia – Water Family est un monocoque de 18,28 m, d’un déplacement (poids) de 8 t. Sa surface de voile atteint 700 m2. [©Team Omia – Water Family]L’équipe de l’Omia – Water Family. [©Team Omia – Water Family] Entre Omia et Sateco Ainsi, Omia occupe une place centrale sur la coque et la grand-voile du navire [lire encadré] de Benjamin Dutreux, aux côtés d’un de ses partenaires historiques : Sateco ! Le spécialiste du coffrage métallique, installé Mirebeau, dans la Vienne. Le monocoque est un bateau de classe Imoca. [©Team Omia – Water Family] L’industriel accompagne le skippeur depuis plusieurs années déjà. « Il a y quatre ans, nous étions sponsor de l’équipe de basket de Poitiers, qui jouait en Pro A, explique François Guilloteau, président de Sateco. Après trois saisons, nous avions la volonté de faire autre chose… » Mais toujours dans le milieu du sport « encourager les jeunes à faire du sport est une action positive ». Le hasard a conduit Sateco à croiser un partenaire qui lui a fait une proposition. Pourquoi ne pas « sponsoriser un jeune skippeur et l’accompagner dans la Solitaire du Figaro » ? Le destin de Sateco et de Benjamin Dutreux était scellé ! « Le skippeur nous a présenté un projet plus ambitieux. D’abord la Solitaire du Figaro, puis le Vendée Globe Challenge, poursuit François Guilloteau. Nous avons accepté le défi. » Mais à condition de ne pas être tout seul pour le Vendée Globe…  Un vecteur de cohésion L’idée de la voile a rapidement séduit Sateco. Elle véhicule de belles valeurs et constitue un bon rappel des politiques RSE des entreprises. Si Sateco a un peu mis en avant ce sponsoring à l’extérieur, il en a fait surtout profiter l’interne. « Cet accompagnement de Benjamin Dutreux est un fort vecteur de cohésion des équipes. Nous avons organisé des sorties en mer. Pour certains, la voile fut une véritable découverte. » Par ailleurs, l’action de Water Family est aussi en phase avec les valeurs que Sateco cherche à soutenir. « Ce type d’action permet de sortir un peu de l’image traditionnelle, très “béton” du coffrage, conclut François Guilloteau. Cela montre que nous savons regarder d’autres choses. » Frédéric Gluzicki La Water Family, c’est quoi ? Benjamin Dutreux, sur son monocoque Omia - Water Family. [©Team Omia - Water Family] “Water Family - Du flocon à la vague” est une association d’intérêt général dont le programme pédagogique Water Responsable est reconnu par le ministère de l’Education Nationale. Elle a vocation à éduquer et à sensibiliser à la préservation de l’eau, de la santé et celle de la planète. Ceci, en valorisant les bonnes pratiques et la consommation responsable. Son action a débuté il y a dix ans déjà. « Le cœur du message est l’eau virtuelle ou indirecte : cette eau que nous consommons et polluons sans le savoir chaque jour à travers notre alimentation, nos objets et nos actions, explique le skippeur Benjamin Dutreux. Le crédo de Water Family ? Agir à la source ! A la source car l’eau est la matière première de tous nos biens de consommation. Et à la source car son action prioritaire vise les jeunes générations, l’éducation étant la clé pour un changement durable de la société. » En 2020, la Water Family fédère plus de 150 ambassadeurs sportifs, 1 000 professionnels et 20 000 jeunes sensibilisés (par an) dans les écoles et sur les évènements. Elle souhaite rassembler tous ceux qui agissent et ont envie d’agir pour demain. Le monocoque de Benjamin Dutreux Le monocoque de Benjamin Dutreux a déjà remporté la Route du Rhum, en 2010. [©Team Omia - Water Family] Le monocoque de Benjamin Dutreux n’est pas un perdreau de l’année. Il a une histoire. Mis en service en juillet 2007, il est celui qui a parcouru le plus de milles en mer. C’est un bateau de classe Imoca (International Monohull Open Class Association). C’est-à-dire dont la longueur de la coque est comprise entre 59 et 60 pieds (17,98 m et 18,29 m). Il a été conçu par l’architecte néo-zélandais Bruce Farr. Aux mains de Sébastien Josse, puis de Roland Jourdain, ce bateau a remporté la Route du Rhum, en 2010. Il s’est toujours distingué comme un des monocoques les plus aboutis de sa génération. C’est le Japonais Kojiro Shiraishi qui l’avait mené lors du dernier Vendée Globe, après une refonte complète. Mais a démâter à l'entrée de l’océan Indien... Ainsi, le monocoque Omia - Water Family a connu d’autres noms : Spirit of Yukoh, Neutrogena, Hugo Boss, Estrella Damm.
Il y a 4 ans et 182 jours

REXEL FRANCE DISTRIBUE LES APPLICATIONS DE CONCEPTION D’INSTALLATIONS ELECTRIQUES ET SOLAIRES DE L’EDITEUR TRACE SOFTWARE

St Romain (76), le 19 novembre 2020. Trace Software annonce la signature d’un contrat de distribution avec REXEL France, expert mondial pour le domaine de l’énergie. Le contrat concerne l’ensemble de l’offre de l’éditeur français : elec calc , elec calc EP, elec calc BIM et la suite archelios. Ces applications, permettent de dimensionner et d’exploiter des installations électriques basse et haute tensions ainsi que tous types d’installations solaires. Le contrat de distribution s’inscrit dans la stratégie de Rexel France d’offrir à ses clients les outils et les services associés à l’achat des équipements électriques. La gamme elec calc est une offre multi fabricants moderne et unique sur le marché, largement utilisée par les bureaux de contrôles, elle dispose de la marque ELIE BT et est indépendante de tout fabricant. Les produits distribués par Rexel France nécessitent une application pour être dimensionnés. Avec l’arrivée de la maquette numérique, Rexel France souhaite accompagner ses clients depuis la prescription jusqu’à l’exploitation des installations. Les applications de Trace Software ont été intégrées à l’écosystème Rexel et sont directement connectées au site web Rexel.fr. Cette intégration offre des gains de temps importants et une prise en compte des contraintes prix et délai très en amont des projets. « Trace Software propose aujourd’hui au marché des produits modernes très pédagogiques qui seront des outils essentiels pour nos clients. Nous avons avec Trace Software un ADN commun, le métier de l’électricien, l’innovation et la proximité avec le client. Cet éditeur de 30 ans d’existence possède une agilité remarquable qui est complémentaire au fonctionnement de Rexel France. Sa vision produit lui a permis de figurer parmi les principaux éditeurs de logiciels électrotechniques dans le monde. Collaborer avec Trace Software est parfaitement en ligne avec notre stratégie qui est d’accompagner nos clients et de leur apporter de la valeur de façon pérenne. » Indique Julien Neuschwander, Directeur Innovation et Services Rexel France. « Nos équipes et moi-même sommes extrêmement fiers de travailler avec Rexel France. Nous sortons d’une période intense de R&D qui nous permet de proposer des solutions de calcul modernes sans aucun doute les plus élaborées sur le marché. Notre offre multi fabricants et notre solution Open BIM unique ont vraiment été déterminantes dans la décision de Rexel France. Ce contrat est pour nous une belle récompense et une reconnaissance de nos travaux de R&D et de notre vision des outils de conception d’installations électriques. La signature de ce contrat s’inscrit dans notre volonté de prendre le leadership des outils de conception et calcul d’installations électriques en Europe. » indique Etienne Mullie, Président fondateur et responsable R&D de Trace Software. A propos de REXEL Rexel, expert mondial de la distribution professionnelle multicanale de produits et services pour le monde de l’énergie, est présent sur trois marchés : résidentiel, tertiaire et industriel. Le Groupe accompagne ses clients pour leur permettre de gérer au mieux leurs activités en leur offrant une gamme adaptée et évolutive de produits et services de maîtrise de l’énergie pour la construction, la rénovation, la production et la maintenance. Présent dans 26 pays, à travers un réseau de plus de 1 900 agences, Rexel compte plus de 26 000 collaborateurs. Son chiffre d’affaires a atteint 13,74 milliards d’euros en 2019. A propos de Trace Software Depuis plus de 30 années Trace Software conçoit des applications pour la conception et l’exploitation d’installations électriques et solaires pour le bâtiment et l’industrie. Les solutions de Trace Software couvrent les besoins depuis le chargé d’affaires jusqu’à l’exploitation en passant par le dimensionnement des réseaux. Trace Software est également présent sur le marché de la maquette numérique avec une plateforme complète de conception d’installations électriques en Open BIM. Trace Software est distribué en Europe, Afrique, Amérique du Sud et en Asie via des distributeurs et des filiales en Allemagne, Espagne, Maroc et Chine.
Il y a 4 ans et 182 jours

Effondrements de la rue d'Aubagne : un ex-adjoint au maire de Marseille et un syndic mis en examen

Ancien adjoint de Jean-Claude Gaudin, Julien Ruas était notamment chargé de la prévention et la gestion des risques dans l'équipe du maire LR de Marseille à l'époque des faits. Le cabinet Liautard était quant à lui le syndic de la copropriété du 65 rue d'Aubagne, le seul des deux immeubles qui était occupé au moment de la catastrophe.
Il y a 4 ans et 182 jours

Les différents types de bassins de jardin

A l’instar des époques royales ou des jardins asiatiques, les bassins apportent une touche différente à votre jardin. Point d’eau, il sert aussi de petite structure en soi pour personnaliser les lieux ou accentuer le côté un peu nature sauvage. On retrouve de nombreux modèles. Retrouvez leurs caractéristiques pour connaître le bassin adapté à votre jardin. Le bassin en béton Dans un contexte plus moderne, le bassin en béton est très prisé. Il est surtout très apprécié pour son côté esthétique. En effet, on peut se laisser aller avec des formes et des délimitations très nettes comme celles d’une piscine. L’autre point positif aussi c’est que ce type de bassin est durable dans le temps à condition qu’il soit bien réalisé. Il est adapté à tous les terrains car il n’y a aucune contrainte de taille. Même après une construction parfaite, ce type de bassin est toujours exposé à des risques de mauvaise étanchéité et de fissures. Étant donné que l’eau reste retenue par le béton, il est possible aussi qu’elle devienne sale. Il est ainsi conseillé de l’évacuer avec une pompe à eau. C’est une machine spéciale pour traiter les eaux usées. Elle évacue les impuretés en quelques dizaines de minutes seulement selon la capacité du bassin. Au mieux, installez une pompe bassin pour que l’eau reste toujours propre. Choisissez un modèle convenant à votre bassin. Le bassin préformé Le bassin préformé donne cette impression d’être assez naturelle. De plus que son installation est très facile à mettre en place mais avec un cout assez élevé par rapport aux autres bassins. Mais cet investissement important s’accompagne d’une excellente durabilité. Malheureusement, pour ce qui est des dimensions, on ne peut pas trop se laisser aller. Les bassins préformés ont une capacité de 3 000 litres au maximum. Etant donné comment il est construit, les formes sont assez limitées mais le résultat reste agréable à voir. Le bassin rivière Le bassin rivière est sans doute le plus naturel des bassins de jardin. Par contre, il faut déniveler un terrain pour avoir ce bassin chez soi. On retrouvera surtout ce bassin dans les jardins en longueur mais aussi ceux qui sont spacieux. Le bassin en aval pourra accueillir de l’eau et servira de réserve pour un long moment. Étant donné sa forme, une quantité assez importante de pierres sera utilisée pour que le bassin maintienne aussi bien sa forme que sa taille. Ce type de bassin valorise votre coin de jardin et embrasse avec perfection la nature. Le bassin contemporain S’inscrivant dans l’ère actuelle, le bassin contemporain constitue un parfait mariage avec des logements disposant de structures définies. Le bassin prendra plusieurs formes mais toujours géométriques. Il sera conseillé pour les personnes qui recherchent des formes précises. Avec une disposition assez simple, il donnera de la vie à votre jardin. D’autant plus qu’on peut se laisser aller avec des petites marches en bois autour pour améliorer le côté un peu champêtre. Le bassin dit naturel Il est appelé ainsi car c’est celui qui revêt le plus fidèlement une forme entièrement naturelle. Il trouvera surtout ses marques dans un jardin immergé dans la nature. Le bassin naturel reprend les droits sauvages de la nature. Son évolution dépendra de son environnement ainsi que toutes les plantes qui l’entourent. C’est une excellente option pour créer de la biodiversité. Il laissera vivre quelques poissons et les grenouilles qui y trouveront également leur compte.  Il est conseillé pour les jardins très spacieux et les amoureux de la nature telle qu’elle se présente. En guise de décoration, on peut installer un petit pont en bois.