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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

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Il y a 4 ans et 171 jours

L'OPPBTP s'associe au Pôle Habitat FFB pour améliorer la prévention sur les chantiers de construction de maisons individuelles

Conscients que la prévention des risques professionnels constitue un levier de performance globale des entreprises, les partenaires poursuivent désormais au niveau de chaque région le travail initié au plan national, grâce à des conventions destinées à mettre en place des actions concrètes.La prévention des risques, un enjeu multiple pour les constructeurs de maisons individuellesAvec 173.565 mises en chantiers en 2019, la construction de maisons individuelles représente à elle seule 42 % des chantiers de construction de logements neufs.Des progrès incontestables dans la prévention des accidents du travail et l’amélioration des conditions de travail ont été réalisés au cours des dernières décennies sur les chantiers de BTP, entraînant une baisse significative de la sinistralité. Pour autant, l’indice de gravité des accidents du travail sur les chantiers de construction de maisons individuelles reste supérieur à celui du BTP (43,2 pour 1.000, contre 34 pour 1.000). Cela s’explique notamment par la nature de leurs opérations, la typologie des entreprises impliquées, souvent de petite taille, ainsi que la gestion de la coactivité sur ces chantiers dont le maître d’ouvrage est souvent un particulier.Pourtant, l’implication des constructeurs de maisons individuelles dans une démarche de prévention des risques professionnels permet de faire évoluer favorablement les conditions de travail sur les chantiers, de lutter efficacement contre les accidents et les maladies professionnelles et par voie de conséquence, d’accroître la performance globale de ces opérations au bénéfice de chacun des opérateurs impliqués. La mise en place d’une telle démarche permet par ailleurs de renforcer une image positive du savoir-faire des constructeurs de maisons individuelles, que ce soit vis-à-vis de leurs clients, de leurs entreprises sous-traitantes ou de leurs collaborateurs.Un guide pragmatique pour servir de socle national en prévention à toute la professionEn accord avec ces constats, les constructeurs de maisons individuelles adhérents au Pôle Habitat FFB, la Cnam et l’OPPBTP, soutenus par la FFB et la Fédération des SCOP BTP, ont élaboré un Guide de bonnes pratiques en prévention des risques professionnels dédié à la construction de maisons individuelles. Celui-ci apporte un éclairage pratique et des conseils simples pour traiter prioritairement les risques de chutes, les questions d’hygiène, les troubles musculosquelettiques et la coactivité.Elaboré dans le cadre spécifique du maître d’ouvrage particulier qui construit pour son usage personnel en relation avec un constructeur de maisons individuelles, il représente une base commune solide de bonnes pratiques afin d’aider les constructeurs de maisons individuelles et leurs entreprises sous-traitantes à progresser en prévention tout en répondant à leurs obligations en matière de prévention des risques.Ainsi, le guide détaille les différentes phases d’une opération de construction de maison individuelle, revient sur la mission de la coordination SPS et les documents supports qui lui sont utiles et donne des exemples de solutions opérationnelles et faciles à mettre en œuvre sur les chantiers.Poursuivre le déploiement des actions au plus près des territoires grâce à des conventions de partenariat régionalesAlors que le Guide vient tout juste d’être édité, la mobilisation des partenaires se poursuit grâce à un plan d’action en régions. En effet, le Pôle Habitat FFB, l’OPPBTP, la FFB, la Fédération des SCOP BTP et la Cnam encouragent désormais leurs réseaux respectifs à se rapprocher pour s’approprier et déployer les bonnes pratiques de façon concrète sur les chantiers.Pour cela, les partenaires vont dans les prochaines semaines mettre en place des conventions opérationnelles signées, animées et pilotées par leurs représentations locales et les engageant à définir un plan d’action adapté aux ambitions, aux ressources et au niveau de maturité de chacun sur la question de la prévention.Chaque plan d’action s’articulera autour de trois objectifs communs :Mettre en œuvre les bonnes pratiques en favorisant l’engagement des constructeurs de maisons individuelles et de leurs sous-traitants. Cela passe en premier lieu par une large diffusion du guide, tant auprès des 1.040 adhérents de Pôle Habitat FFB qu’auprès du plus grand nombre de constructeurs de maisons individuelles, d’entreprises et de salariés du BTP intervenants sur ces opérations, ainsi que par la mise en place d’actions locales permettant de présenter les thèmes de prévention abordés dans ce guideDévelopper la culture prévention de l’ensemble des acteurs d’une opération deconstruction de maisons individuelles. Les partenaires pourront mettre en place diverses actions de formation, d’information et de conseil pour améliorer les pratiques relatives à l’évaluation des risques et développer une approche positive de la prévention au sein des opérations de constructionMesurer les apports en prévention des actions réalisées, auprès de chaque cible ousur chaque thème traité. Des visites de chantier pourront être organisées afin d’évaluer les bénéfices obtenus par la mise en place des pratiques, à l’aide d’un outil de diagnostic conçu spécifiquement à cet effetLe Guide de bonnes pratiques en prévention des risques professionnels dédié à la construction de maisons individuelles est disponible ici.
Il y a 4 ans et 171 jours

Le Havre utopique

Depuis le classement Unesco du centre-ville du Havre, le MuMa développe tout un projet d’invitations à des photographes et vidéastes pour accompagner et susciter le changement du regard porté sur... Cet article Le Havre utopique est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 171 jours

Obligation de rénovation énergétique des logements : les associations montent au créneau

CONVENTION CLIMAT. Plusieurs associations de défense de l'environnement ont écrit au président de la République pour lui demander de ne pas renoncer à l'obligation de travaux dans les passoires énergétiques, dans la loi de traduction des propositions de la Convention citoyenne pour le climat. Les arbitrages sont en cours, d'après la ministre chargée du Logement.
Il y a 4 ans et 171 jours

Une étude ministérielle sur les balcons pointe la nécessité de renforcer la réglementation

L'AFCAB (Association Française de Certification des Armatures du Béton) se félicite de cette publication qui devrait permettre d'avancer concrètement sur les recommandations faites dans cette étude.L'AFCAB alerte depuis plusieurs années maintenant les pouvoirs publics sur la recrudescence des effondrements de balcons et la nécessité de renforcer la réglementation relative aux armatures des constructions en béton armé. Les défauts de qualité de ces armatures et de leur mise en œuvre peuvent en effet fragiliser les balcons et même l'habitat dans son ensemble.L'étude de l'AQC confirme la nécessité d'un meilleur contrôle de la mise en œuvre des armatures pour assurer une sécurité optimale. L'AFCAB attend maintenant que le Ministère se saisisse de cette étude et de ses recommandations pour avancer concrètement sur des mesures à prendre. Ce sont les messages que l'association a fait passer lors d'une réunion récente avec les conseillers de la Ministre délégué au Logement Emmanuelle Wargon.Pour l'AFCAB l'urgence est là, les accidents continuent et il ne faut pas attendre de nouveaux accidents et surtout des drames comme celui survenu à Angers en 2016.
Il y a 4 ans et 171 jours

Comment estimer la valeur d’un bien commercial ?

Contrairement à l’immobilier résidentiel, les locaux professionnels ne sont pas simplement estimés en fonction du prix au mètre carré. Le calcul de la valeur des murs commerciaux dépend de l’emplacement des locaux, de leurs caractéristiques, de leur état et de leur situation locative. Ce calcul est une estimation délicate qui relève des compétences d’un professionnel expérimenté. Quelles sont les variables à prendre en compte ? L’estimation des murs commerciaux permet de calculer la valeur vénale sur la base du revenu annuel que le local peut générer, auquel on ajoute un taux de rendement adapté, généralement de 7%. Conditionnés par quelques variables, les murs commerciaux s’évaluent en fonction de l’emplacement qui est l’élément principal. En effet, l’état général du quartier, ainsi que les possibles rénovations à venir par la municipalité sont très importants dans l’établissement du calcul. Plus le local sera situé dans des zones de grande affluence, offrant ainsi la capacité à drainer du trafic, plus la rentabilité est assurée et plus son prix sera élevé. Rues piétonnes, centres commerciaux ou encore artères principales en centre-ville sont des emplacements de premier choix. La rentabilité des locaux commerciaux est généralement plus importante que celle des logements. Dans le cas d’un investissement, l’évaluation du prix de vente du local commercial prendra en compte la rentabilité de l’affaire éventuelle, et donc du loyer. Le prix est également fixé en fonction de la surface réelle et de la surface pondérée calculées en mètres carrés. La surface pondérée tient compte des lieux de passage, des sanitaires et des autres espaces non liés directement à l’activité commerciale. D’autres éléments peuvent également influer sur le prix de murs commerciaux tels que : L’existence ou non d’un dispositif anti-incendie, d’une sortie d’évacuation, d’une vitrine… De la qualité d’installation électrique, De l’année de conception, De la conformité aux normes récentes … Enfin, le type de commerce déjà installé ou qui prévoit d’être installé joue un rôle prépondérant pour la sécurité financière. Un local déjà occupé a l’avantage de simplifier la santé financière de l’entrepreneur en activité et évite d’avoir à en chercher un autre. Estimer la valeur des murs commerciaux libres ou occupés À l’inverse des logements, le prix des locaux commerciaux n’est pas lié au prix foncier du marché et ne se calcule pas en mètre carré, mais en fonction du rendement estimé du loyer. Le loyer peut effectivement apporter un rendement intéressant à l’investisseur. Il permet également de diminuer le risque de subir une chute de la valeur du local. Annexée par l’un des deux indices publiés par l’Insee, l’ICC (Indice du Coût de la Construction) ou l’ILC (Indice des Loyers Commerciaux), la valeur des murs est directement calculée par rapport au montant des loyers que le local peut générer. Les murs commerciaux peuvent être achetés libres ou occupés. L’article 121-178 du code du commerce prévoit que la valeur vénale d’un local commercial soit le prix à acquitter dans les conditions normales du marché. Ainsi, les professionnels ont établi qu’il est possible d’évaluer la valeur du local en tenant compte ou non, du fait qu’il soit déjà en location. Murs occupés Dans le cas de murs occupés, le local fait l’objet d’un bail commercial. Il est donc bien plus facile de déterminer le rendement annuel locatif. En effet, si le local a un bail en cours ou s’il a moins de 6 mois, alors la valeur des murs est dans la majorité égale à 10 fois le loyer annuel net hors taxes. Les professionnels en immobilier d’entreprise se servent de cette base qu’ils ajustent en fonction des variables citées plus haut pour déterminer la valeur des murs commerciaux. Murs libres Dans le cas de murs libres depuis plus de 6 mois ou s’ils n’ont jamais été occupés par des commençants, l’estimation est bien plus compliquée. L’estimation est basée sur de nombreux critères aléatoires pour déterminer le montant d’un loyer prévisionnel. L’évaluation doit se maintenir au plus proche des loyers pratiqués sur le marché pour un bien équivalent.
Il y a 4 ans et 171 jours

Les intercommunalités approuvent l’ambition et la méthode des contrats de relance et de transition écologique

Le président de l’association a évoqué les appels de l’AdCF, depuis plusieurs années, en faveur d’une refondation en profondeur des relations contractuelles entre l’Etat et les territoires. Ce temps est aujourd’hui venu.Précisés par la circulaire du 20 novembre adressée aux préfets par le Premier ministre, les contours des futurs contrats et leur méthode d’élaboration correspondent sur de nombreux points aux attentes des intercommunalités de France. Les contrats dits « intégrateurs » doivent, pour l’association, permettre de réduire la prolifération des appels à projets nationaux et la mise en concurrence des territoires. Ils doivent mettre fin à la superposition de multiples contrats ou programmes mal coordonnés sur le terrain.« Ce n’est pas d’un contrat de plus dont nous avons besoin, mais d’une contractualisation plus globale, pluriannuelle, appuyée sur nos projets de territoire. Il faut sortir de l’action publique en miette. C’est l’ambition que porte le nouveau dispositif et nous nous y retrouvons pleinement » a rappelé Sébastien Martin, président de l’AdCF.Dans le cadre du plan France relance, caractérisé par des crédits budgétaires très supérieurs à ceux mobilisés au cours des dernières années par les services de l’État et ses opérateurs, les futurs contrats doivent être les vecteurs d’une attribution beaucoup plus efficace et équitable des financements. Ils peuvent avoir un effet levier sur la commande publique des collectivités du « bloc local » (plus de 50% de la commande publique nationale), ce qui nécessite de territorialiser les crédits et d’encourager la réalisation de plans de relance locaux.
Il y a 4 ans et 171 jours

Des associations s'inquiètent d'une remise en cause de la rénovation énergétique des logements

Dans une lettre adressée vendredi à Emmanuel Macron, les signataires, dont Nicolas Hulot, ex-ministre de l'Environnement, ont appelé au maintien de cette obligation, qui est l'une des propositions de la Convention citoyenne pour le climat (CCC).Selon eux, "exclure, comme cela est proposé par certains ministères, l'obligation de rénovation globale du projet de loi viderait ce texte de son ambition sociale et climatique".La CCC, établie en 2019, s'était prononcée pour une rénovation énergétique obligatoire d'ici à 2040."La nécessité d'aller deux fois plus vite sur la rénovation énergétique (...) est largement documentée, notamment par le Haut Conseil pour le Climat (HCC)", rappelle la lettre.Mardi, le HCC avait affirmé que la France était à la traîne en matière de décarbonation du bâtiment et donc de son objectif de neutralité carbone en 2050.Les signataires rappellent que "28% de nos émissions de gaz à effet de serre proviennent en effet des bâtiments" et qu'"en moyenne, les dépenses pour se chauffer sont 50% plus importantes que celles causées par nos déplacements".Sont pointées du doigt notamment "les passoires énergétiques", soit des logements particulièrement énergivores et souvent précaires."Monsieur le Président, vous vous étiez engagé à faire disparaître les 5 millions de passoires énergétiques d'ici 2025. Force est de constater que les milliards du Plan de relance n'y suffiront pas", soulignent les signataires.Ils faisaient référence au plan de 100 milliards d'euros, dont 30 sont affectés à la "relance verte"."Le défi qui nous attend est bien plus grand: l'ensemble du parc de logements doit être rénové en moyenne à niveau BBC (bâtiment à basse consommation, ndlr) d'ici 2050", rappellent les associations.Les signataires, dont le Secours Catholique, la Fondation Abbé Pierre ou encore "France Nature Environnement", rappellent que "pour au moins 6,7 millions de personnes, le reconfinement est synonyme de froid et de privation".
Il y a 4 ans et 171 jours

"Une baisse généralisée, mais moins importante que prévu", Renaud Buronfosse (Evolis)

Délégué général du syndicat Evolis regroupant les fabricants d'équipements fluidiques, du BTP et de la manutention, Renaud Buronfosse livre son analyse de la situation de ces industriels à fin 2020.
Il y a 4 ans et 172 jours

L'éolien en mer, une "révolution pour la transition écologique" estime Annick Girardin

ENR. La ministre de la Mer, Annick Girardin, a signé une tribune dans le JDD du 29 novembre 2020, et souhaite que la France rattrape son retard dans un domaine d'avenir, et fixe un objectif : atteindre 25% de l'électricité française produite en mer d'ici à 2050.
Il y a 4 ans et 172 jours

Quand le géant du TP Colas s'intéresse aux particuliers

DIGITALISATION. Si la filiale route de Bouygues, Colas, a toujours réalisé des travaux chez les particuliers, ce service se structure depuis quelques années. Après avoir créé "Colas & Vous" en 2017, elle lance une start-up, My Living Bloom, qui vise directement le grand public, en utilisant les codes de l'intermédiation. Décryptage.
Il y a 4 ans et 172 jours

Altarea confirme sa place parmi les leaders mondiaux en matière de développement durable

Avec une note globale de 90/100, le Groupe se positionne au 4ème rang dans la catégorie « foncières de commerce cotées en Europe ». Ce classement vient saluer l’ambitieuse et volontariste stratégie RSE de l’entreprise et atteste de sa performance dans la durée, le Groupe ayant une note égale ou supérieure à 90/100 depuis 2016.Altarea conserve cette année encore la note A sur la dimension Transparence, témoignant de la transparence, de fiabilité́ et de l’exhaustivité́ de son reporting RSE.« Les résultats du GRESB 2020 viennent une nouvelle fois saluer nos engagements forts et de long terme pris en matière de RSE. Ils témoignent de notre capacité à travailler sur toutes les composantes du développement durable. Réduction de notre empreinte carbone, performance énergétique des bâtiments, préservation de la biodiversité des centres, impact positif local, dialogue avec les parties prenantes … notre Groupe réfléchit à l’évolution de l’immobilier pour garantir le développement durable et soutenable des villes. Cette responsabilité, au service de l’intérêt général, se traduit dans notre démarche RSE, qui est placée au cœur de notre stratégie business » indique Alain TARAVELLA, Président-Fondateur d’Altarea« Dans une année marquée par un contexte particulier, nous sommes extrêmement fiers d’obtenir ces résultats, qui témoignent d’un engagement sans faille de nos équipes Commerce et transverses, ainsi que d’une gestion exemplaire, rigoureuse et sur le long terme des enjeux RSE. Nous poursuivrons nos efforts sur la base des enjeux clés de notre politique RSE : le bas carbone, la biodiversité et l’impact positif sur nos territoires » déclare Nathalie BARDIN, Directrice du marketing stratégique, de la RSE, et de l’innovation.« Ces résultats sont une belle récompense pour toutes les équipes d’Altarea, fortement mobilisées autour des enjeux RSE, au service d’une réflexion sur la ville humaine et durable de demain. Notre démarche RSE appelée « Tous engagés ! » nous inscrit dans des actions concrètes et responsables envers nos clients, les villes et nos collaborateurs. Plus que jamais Altarea s’affirme comme un acteur exemplaire en la matière dans son secteur » conclut Eléonore DEVAUD, directrice RSE d’Altarea.Cette année encore, le Groupe a participé de manière volontaire, aux réflexions sur la résilience des villes. Face à des enjeux sociaux, sociétaux et environnementaux de plus en plus prépondérants, la ville de demain doit se transformer pour garantir toujours une haute qualité de vie à ceux qui l’habitent aujourd’hui comme à ceux qui y résideront demain.*GRESB : Global Real Estate Sustainability Benchmark, classement international de référence qui évalue chaque année la performance et la politique RSE des entreprises du secteur immobilier. En 2020, le GRESB a analysé les performances de 1 200 sociétés immobilières représentant plus de 96.000 actifs au total.**Green Star : plus haute catégorie du classement GRESB
Il y a 4 ans et 172 jours

Amazon: un permis de construire accordé près de Rouen

Le maire PS de Petit-Couronne, près de Rouen, a accordé un permis de construire à l'entreprise Gazeley qui a un projet contesté de plateforme pour le géant de la vente en ligne Amazon.
Il y a 4 ans et 172 jours

Les organismes HLM solides malgré les économies demandées au secteur

RAPPORT. Les bailleurs sociaux restent très largement dans une situation financière solide malgré les économies demandées depuis plusieurs années au monde HLM, estime l'organisme qui contrôle le secteur, jugeant que beaucoup ont trop réduit leurs investissements à cette occasion.
Il y a 4 ans et 173 jours

A Pélissanne, la médiathèque dans l’arbre de Dominique Coulon

Pour un budget de 3,34M€ HT, l’agence strasbourgeoise Dominique Coulon & associés a livré en décembre 2018 la rénovation et extension de la médiathèque de Pélissanne (Bouches-du-Rhône). Un projet de 982 m² auquel il convient d’ajouter l’aménagement du parc et la revalorisation d’un passage public (3 450 m²). Communiqué. La ville de Pélissanne est une […] L’article A Pélissanne, la médiathèque dans l’arbre de Dominique Coulon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 174 jours

Les Sénateurs rejettent unanimement la remise en cause des tarifs photovoltaïques

Solidarité Renouvelables, qui réunit plus de 300 acteurs de la filière, salue le soin avec lequel les Sénateurs de tout bord ont, pour pallier l’absence d’étude d’impact de la mesure par le Gouvernement, pris le temps d’apprécier sans préjugés les équilibres du secteur et les conséquences d’un reniement par l’État de sa signature.Il en ressort que :La confiance dans la signature de l’État est la clef de voûte du système. Sans elle, tout s’écroule, bien au-delà du solaire. Comment les acteurs des autres filières, et notamment l’hydrogène, le biogaz ou l’éolien offshore, pourraient-ils investir en confiance sur la base d’autres tarifs pareillement garantis par l’État ? La grande majorité des centrales visées par le projet gouvernemental a désormais des rendements financiers modiques, inférieurs à ceux des autres types de projets lancés ou soutenus par l’État (autoroutes, centrales nucléaires, etc.).Réviser les tarifs ferait peser un risque de solvabilité d’autant plus inopportun sur les acteurs concernés qu’ils sont déjà fragilisés par la crise : PME, agriculteurs, territoires ruraux…. Le Gouvernement est conscient de la nocivité de son projet puisqu’il fait le choix de ne cibler qu’une partie des contrats, transformant sa mesure en une forme d’expropriation.Solidarité Renouvelables réaffirme donc qu’il est nécessaire, dans l’intérêt de tous – finances publiques, entreprises, territoires, agriculteurs, entreprises, financeurs et citoyens attachés à l’environnement – de mettre rapidement un terme à cette révision brouillonne des tarifs.Au moment où la France perd quatre places dans le classement de novembre 2020 sur l’attractivité des pays en matière d’énergies renouvelables, où la Ministre de la Transition Écologique Barbara Pompili promeut la création d’un délit d’écocide, et où le Conseil d’État donne trois mois à la France pour prouver la réalité de son action pour le climat, ne sapons pas la confiance dans l’électricité renouvelable, énergie préférée des Français. Vous pouvez retrouver le manifeste du collectif et la liste des 300 signataires sur: https://solidariterenouvelables.org/
Il y a 4 ans et 174 jours

Les CSE pourront se réunir à distance jusqu'à la fin de l'état d'urgence sanitaire

Cette ordonnance élargit, à titre dérogatoire et temporaire, la possibilité de recourir à la visioconférence pour tenir les réunions des CSE jusqu'à la fin de l'état d'urgence sanitaire, actuellement fixée au 16 février.En effet, en l'absence d'accord entre l'employeur et les élus du comité, le recours à la visioconférence est actuellement limité à trois réunions par an."Dans le contexte d'état d'urgence sanitaire, ces mesures présentent le double avantage d'assurer la continuité du fonctionnement des instances, et notamment de permettre leur consultation sur les décisions de l'employeur induites par la crise sanitaire", souligne le gouvernement.Cependant, l'ordonnance permet aux élus de s'opposer à une réunion à distance lorsqu'il s'agit de consulter le CSE sur des sujets sensibles (licenciements économiques collectifs, mise en oeuvre des accords de performance collective, des accords portant rupture conventionnelle collective et de l'activité partielle de longue durée).Dans ce cas, la réunion se tient en présentiel, "sauf si l'employeur n'a pas encore épuisé sa faculté de tenir trois réunions annuelles par visioconférence, qu'il tient du droit commun", selon le gouvernement.Par ailleurs, le Conseil des ministres a adopté une autre ordonnance prolongeant l'indemnisation des chômeurs arrivant en fin de droits après le 30 octobre, c'est-à-dire après le début du confinement, comme l'avait annoncé Jean Castex.La durée de cette prolongation sera déterminée par arrêté de la ministre du Travail et de l'Emploi, et ne "peut dépasser le dernier jour du mois civil au cours duquel intervient la fin de l'état d'urgence sanitaire", donc le 28 février pour l'instant.
Il y a 4 ans et 174 jours

L'Insee révise en hausse, à +18,7%, le rebond de l'économie française au troisième trimestre

Le PIB reste toutefois "inférieur de 3,9% à son niveau du troisième trimestre 2019", précise l'Institut national de la statistique, qui explique notamment cette révision par une réévaluation de la consommation des ménages et de l'investissement en services.Ainsi, sur cette période marquée par le déconfinement et les vacances d'été, les dépenses de consommation des ménages ont "vivement" augmenté de +17,9%, après leur chute de 11,4% au deuxième trimestre, durant lequel le PIB avait plongé de 13,8%.Elles se rapprochent ainsi de leur niveau d'avant-crise, puisqu'elles sont en baisse de 1,3% sur un an, souligne l'Insee.Malgré un rebond conséquent de 23,9%, l'investissement reste lui en retrait de 4,8% par rapport à son niveau d'il y a un an.Avec une hausse des exportations supérieure à celle des importations, le commerce extérieur contribue lui positivement à la croissance du troisième trimestre, tandis que la variation des stocks y contribue négativement (-1,5 point).Fait notable, au troisième trimestre le revenu des ménages connaît sa plus forte hausse trimestrielle depuis 1983, souligne l'Insee, en hausse de 3,7%, après un recul de 2,6% au deuxième trimestre. Ces revenus sont aussi 1% supérieurs à ceux enregistrés sur la même période de l'an dernier.Avec la baisse du recours au dispositif du chômage partiel et le rebond de l'emploi, les salaires perçus par les ménages sont ainsi repartis à la hausse (+13,1%). Mais dans le même temps, les prestations sociales ont reculé de 6,2% même si elles "restent à un niveau élevé par rapport à leur niveau d'avant la crise sanitaire" (+5% sur un an), souligne l'Insee.Enfin, le taux de marge des entreprises s'est redressé au troisième trimestre à 30,3%, contre 27,8% au deuxième trimestre.Mais ce fort rebond de l'économie française ne sera qu'un feu de paille. La deuxième vague de l'épidémie, avec le couvre-feu puis le reconfinement décidé par le gouvernement, ont fait replonger l'activité depuis octobre.Elle s'affiche en recul de 13% en novembre par rapport au niveau d'avant crise, estime l'Insee, qui s'attend ainsi à une rechute du PIB entre 2,5 et 6% au dernier trimestre.Autre sombre perspective, le moral des ménages est tombé en novembre à son plus bas niveau depuis la crise des gilets jaunes en 2018.Pour l'ensemble de l'année 2020, l'Insee table sur une récession comprise entre 9 et 10%, comme la Banque de France. Le gouvernement anticipe lui une chute du PIB de 11% et a revu à la baisse sa prévision de rebond l'an prochain, à 6% au lieu de 8% précédemment, du fait du maintien de restrictions sanitaires au moins une partie de l'année 2021.
Il y a 4 ans et 174 jours

Collectivités : mode d’emploi pour des bâtiments publics sobres

Branle-bas de combat pour la rénovation énergétique des bâtiments des collectivités locales : à elles de repérer les projets prêts à démarrer et d’identifier les bonnes portes, pour consommer en deux ans 1,3 milliard d’euros dédiés à cet objectif. Pour les y aider, les ministres de la Cohésion des territoires et du Logement Jacqueline Gourault et Emmanuelle Wargon ont présidé un webinaire pédagogique, le 27 novembre. 2000 internautes les ont suivies.
Il y a 4 ans et 174 jours

La baisse des permis de construire de logements se confirmait en octobre, avant le reconfinement

Entre août et octobre, 93.100 logements ont été commencés, soit une progression de 3,8% par rapport à la même époque de l'an dernier, selon le ministère de la Transition écologique, dont dépend le Logement.Mais les permis de construire, qui permettent d'évaluer le niveau futur de la construction, ont vu leur nombre baisser de 9,0% en un an, à 102.900.Ces deux évolutions confirment celles observées un mois plus tôt, pour la période comprise entre juillet et septembre. Déjà, un léger rebond des mises en chantier avait accompagné une déprime persistante des permis.Le logement neuf peine donc à se redresser après un effondrement lors du deuxième trimestre, marqué par un strict confinement décrété par les autorités contre la propagation du coronavirus.A l'époque, les mises en chantier, qui indiquent quels logements ont concrètement commencé à être construits, avaient vu leur nombre reculer de près d'un quart. Quant aux permis de construire, leur quantité avait chuté de près de moitié.La situation ne s'est donc pas retournée pleinement dans les mois qui ont suivi, malgré un déconfinement général. Et les chiffres d'octobre ne prennent quasiment pas en compte le nouveau confinement, instauré à la toute fin de ce mois-là et destiné à durer presque jusqu'à la fin de l'année.Sur l'ensemble des douze mois écoulés à fin octobre, le nombre de mises en chantier recule en effet de plus de 5% et celui des permis de plus de 12%.
Il y a 4 ans et 174 jours

Les ingénieristes inquiets et fragilisés par une activité économique en berne

Massivement réorganisées autour du télétravail, deux entreprises sur trois ne parviennent toujours pas à occuper leurs équipes à 100%. Alors que 40% de la profession est confrontée à un allongement des délais de paiement, 35% des sondés déclarent anticiper des difficultés de trésorerie d'ici douze mois.Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie : « Le confinement que nous connaissons aujourd'hui a peu à voir avec celui de mars dernier. Si des nouvelles mesures d'assouplissement ont été annoncées par le président de la République, force est de constater que l'activité économique se poursuit en demi-teinte et que la relance se fait toujours attendre. Les ingénieristes ont basculé massivement en télétravail pour poursuivre leurs projets, mais voient leurs carnets de commande s'amenuiser et ne parviennent toujours pas à occuper leurs équipes à 100%. Les incertitudes quant à l'avenir restent fortes et les projets tardent à être lancés par les donneurs d'ordres publics et privés. C'est vrai dans le secteur industriel où, malgré le plan de relance, nos entreprises sont touchées de plein fouet par les crises automobile et aéronautique. Ça l'est aussi de la commande publique, où le bloc local doit mieux jouer son rôle de support de la relance. »Une réorganisation rapide en télétravail au service de la relance…Depuis le 28 octobre, les entreprises d'ingénierie ont massivement transféré leurs effectifs en télétravail, dans le respect du nouveau protocole sanitaire et afin de lutter contre la propagation de la pandémie. Avec 58% de leurs collaborateurs en distanciel et 13% en mission chez leurs clients (sites industriels, chantiers…), les ingénieristes accueillent ponctuellement sur site moins d'un quart de leurs ingénieurs et techniciens qui nécessitent d'avoir accès à des outils et équipements spécifiques. … qui se heurte au ralentissement de l'activité et au manque de visibilitéMalgré cette réorganisation, les sociétés d'ingénierie souffrent d'une baisse continue des prises de commande. Elles sont 65% dans ce cas, contre 58% le mois dernier. Le pôle industrie est le plus touché, avec 73% des répondants concernés, contre 57% pour le pôle construction. De même, 62% des sondés estiment que leur activité sera en baisse au premier trimestre 2021 par rapport à l'an dernier. Une proportion qui atteint 72% chez les ingénieristes du secteur industriel particulièrement impactés par la baisse d'activité des marchés aéronautique et automobile.Une situation complexe qui impacte l'optimisme des ingénieristes : 75% des répondants pensent que le redémarrage de l'activité sera lent sur un an au moins. C'est presque dix points de plus qu'au mois dernier.Allongement des délais de paiement, sous-occupation… des difficultés qui s'accumulentAlors qu'une entreprise sur deux pensait occuper ses équipes pleinement au mois de novembre, le reconfinement est venu doucher les espoirs. 38% seulement déclarent avoir des effectifs qui travaillent à 100%. C'est dix points de moins qu'en octobre. Une fois de plus, les entreprises d'ingénierie industrielle sont les plus touchées et seules 20% d'entre elles fonctionnent à leur régime nominal.Par ailleurs, 40% des répondants sont désormais confrontés à un allongement des délais de paiement, contre un tiers en octobre. Pour 13% d'entre eux, les retards s'échelonnent désormais entre +30 et +60 jours. Des situations critiques, qui peuvent notamment expliquer que 35% des sondés anticipent des difficultés de trésorerie dans les douze prochains mois. Syntec-Ingénierie, qui appelle à un rééquilibrage des relations contractuelles, souligne qu'en France, 25 % des défaillances de PME et TPE sont dues à des retards de paiement, selon le Cabinet de recouvrement ARC.
Il y a 4 ans et 174 jours

Pratiques anticoncurrentielles : l'Ordre des architectes une nouvelle fois condamné

JUSTICE. La condamnation de l'Ordre des architectes, pour pratiques anticoncurrentielles dans l'affaire du barème d'honoraires dans les marchés publics, a été confirmée en appel, un an après le jugement de l'Autorité de la concurrence.
Il y a 4 ans et 174 jours

La Région Hauts-de-France prend des engagements pour soutenir le bâtiment

RELANCE. Le 24 novembre 2020, Xavier Bertrand et la FFB ont signé un "pacte régional de relance, de confiance et de solidarité pour la filière du bâtiment" afin d'accélérer la relance dans le territoire, de soutenir l'activité des entreprises et de favoriser l'emploi local.
Il y a 4 ans et 175 jours

Blagnac : une extension du réseau de chaleur et une nouvelle chaufferie en cours de construction

Selon les prévisions de la municipalité, la nouvelle chaufferie de Blagnac devrait être connectée au nouveau réseau de chaleur à partir de l’année prochaine.
Il y a 4 ans et 175 jours

Lorenove et Lorebat fusionnent leurs services clients B to B, sous la conduite d’Emmanuel de Rodellec, nouveau responsable service client diffus

Si durant de nombreuses années, service client rimait principalement avec accueil physique en magasin, appels téléphoniques et courriers promotionnels, aujourd’hui les nouveaux modes de communication, l’avènement du digital et la compétitivité croissante ont impulsé l’évolution de nouvelles manières de travailler. Soucieux de l’opinion et de la satisfaction de ses clients, le Groupe Lorillard a toujours intégré le service client dans sa stratégie relationnelle et commerciale. En aucun cas considéré comme un SAV, le Service Client Lorillard est, tout au contraire, un ensemble de services offrant un suivi rigoureux des différentes étapes de commandes et de la satisfaction des clients. Aujourd’hui le Groupe est amené à repenser sa stratégie, en mutualisant ses services clients afin de les professionnaliser davantage. Et, l’arrivée d’un Responsable Service Clients, en la personne d’Emmanuel de Rodellec, vient articuler le regroupement de l’ensemble du personnel autour d’un nouveau pôle.   EMMANUEL DE RODELLEC, NOMMÉ RESPONSABLE DU NOUVEAU POLE SERVICE CLIENTS Annoncée début 2020, la politique de recrutement, en parfaite concordance avec le développement du Groupe, était la chronique d’une croissance annoncée pour l’année. Et, Lorillard comptait bien poursuivre ses nombreux recrutements en recherchant de nouveaux talents pour renforcer ses équipes. La crise sanitaire nationale aurait pu freiner, voire inverser, cette tendance ; mais même durant la période de confinement, le Groupe Lorillard n’a jamais cessé d’œuvrer pour son développement. Emmanuel de Rodellec en fait la bénéfique expérience puisque son recrutement s’est effectué durant les mois de confinement. Arrivé fin mai 2020, il étrenne le poste de Responsable du nouveau Service Clients, pour les clients B to B du Groupe. Cet ingénieur Arts et Métiers (ICAM) qui a intégré dans la continuité de ses études, la société OTIS – en tant qu’ingénieur chargé d’affaires – fait rapidement évoluer sa carrière vers la relation client. Les 15 années passées au sein d’OTIS vont lui permettre de confirmer et d’acquérir des compétences clés autour du pilotage d’activités commerciales et stratégiques, du management d’équipes techniques et de la planification d’activités. Précédemment disséminés dans différents services clients, les 10 salariés qui composent la nouvelle équipe ont été rassemblés, sous la conduite d’Emmanuel de Rodellec, afin de mutualiser les forces et compétences en un seul et même service. « Si Lorillard a choisi de mutualiser les compétences des services clients c’est dans le but d’offrir le meilleur des services à chacun de ses clients et de mettre en place une structure qui sera le socle de la performance de demain » précise Emmanuel de Rodellec.   LE SERVICE CLIENTS B TO B AU SEIN DU GROUPE LORILLARD Effectif depuis le mois de juillet ce nouveau pôle s’est structuré avec le service client Lorebat, rapatrié de Decazeville à Chartres et celui de Lorenove. Les 9 agences et 60 concessions Lorenove, les 600 clients artisans Lorebat, ceux du site Internet E-Lori, ainsi que les entités internes du groupe (HP Fermetures & Menuiseries, Molénat, Bourneuf, Plastibaie) sont les clients de cette nouvelle structure. « Le service client est parfois, à tort, assimilé à un SAV alors que dans nos métiers techniques, il fait référence à tout autre chose. Conseil, intégration, envoi en production et accompagnement pourraient être les mots clés qui nous définissent. Nous sommes au carrefour de la commande et de la mise en production. » explique Emmanuel de Rodellec. Ce nouveau service s’articule autour de 3 pôles : – Un pôle Support technique. 2 personnes, référents techniques, sont en charge de cette partie. Bien en amont des commandes, ils interviennent en tant que référents conseils pour les clients. Ils les aident dans la construction et la faisabilité technique du projet, le dimensionnement des produits, etc. A la disposition de l’artisan, du menuisier, du concessionnaire ou d’un commercial d’une entité Lorillard, les référents conseils sont sollicités pour examiner, ajuster ou valider les bonnes configurations des menuiseries d’un chantier. De formation technique, ils sont hautement qualifiés; ils sont également formés à l’écoute téléphonique et l’échange avec le client afin de posséder toutes les compétences relationnelles indispensables à leur rôle de conseil. Ainsi, leur consultation écarte tout risque d’un mauvais dimensionnement technique du chantier et favorise la conformité de la commande. – Un pôle Entrée de commande. 5 techniciens d’intégration des commandes sont en charge de ce pôle. A l’appui de leurs profils très techniques, ils ont pour mission de vérifier et d’intégrer les commandes des clients dans les systèmes de production. Qu’elles soient saisies à partir de Prodevis, reçues directement de CCS (leur outils configurateur de commande en ligne) ou issues du site de vente en ligne E-Lori, 100% des commandes produites passent entre les mains de ces techniciens. CCS est un outil qui assure autonomie, maitrise des délais, diminution des risques d’erreur aux clients qui choisissent de l’utiliser. – Un pôle Administration des Ventes 2 gestionnaires clients assurent cette partie et ont pour mission d’accompagner les clients au quotidien (suivi des commandes, livraison particulière, etc.). A la réception de tous les appels, ils aiguillent le client vers un contact spécifique selon sa demande et font le lien avec l’ensemble des services de l’entreprise. Cheville articulée entre la partie commerciale et la partie industrielle, le Service Clients est garant de toutes les spécificités qui constituent une commande. L’accusé de réception en est le document socle. Il engage l’entreprise et ses différents services dans la conformité de la définition technique du produit, du prix et du délai du produit commandé. Pas loin de 20 000 commandes, soit 55 000 configurations de produits sont intégrées par an par le pôle Entrée de Commande.   CULTIVER LA PERFORMANCE D’UN LEVIER RELATIONNEL Incontournable, le Service Clients est un levier relationnel stratégique capable d’amener un client à rester fidèle à une marque, voire même à la recommander ! Comme évoqué précédemment, la nécessité d’une haute qualité relationnelle engage le personnel du Service Clients Lorillard. Des formations seront déployées afin de mieux accompagner les clients dans leurs interrogations et sollicitations au travers de communications orales et écrites, concises et factuelles. Des projets, contribuants à la performance de la relation client, ont été mis en place ; notamment le nouvel outil CRM (Microsoft Dynamics) intégré en septembre dernier. Ce CRM, développé et adapté pour le Service Clients Lorillard, est actuellement déployé au sein de l’administration des ventes, pour être étendu par la suite aux 2 autres parties techniques. Il permet aux gestionnaires d’avoir une vision complète du compte : état du compte client, portefeuille de commandes, historique des devis, des communications, etc. Également, le service implémente des indicateurs chiffrés qui permettront de mesurer sa performance et sa qualité de service (nombre d’erreurs de saisie, le temps de traitement des sollicitations pour devis, délais d’intégration de commande ou encore les délais de livraison). « L’évolution et l’implémentation de ces indicateurs clés vont nous permettent de concevoir et mettre en place des plans d’actions dans une démarche d’amélioration continue » précise Emmanuel de Rodellec. « Nous mènerons également une enquête de satisfaction en ligne sur 15 jours afin de jalonner la perception de nos clients de manière factuelle. » « D’autres projets sur 2021 viendront renforcer nos capacités comme par exemple l’installation d’un système téléphonique connecté au CRM permettant un meilleur accueil en affichant instantanément la fiche client lors de la réception d’un appel » conclue Emmanuel de Rodellec. On le voit, le Groupe Lorillard se structure et modifie ses modes de fonctionnement de manière homogène et organisée afin de mieux densifier l’activité de son Service Client. Le sens du service et de la satisfaction client ont toujours été au cœur de la démarche du Groupe. Fidèle à ses principes, Lorillard est plus que jamais attentif à ses clients, à leurs besoins et tout particulièrement à leur satisfaction, parce que concevoir et vendre des menuiseries n’est pas leur seule finalité.
Il y a 4 ans et 175 jours

Cellodrain® Ultra, première solution d'isolation et de drainage des parois enterrées en polystyrène expansé graphité

Isolation thermique : grâce aux qualités du polystyrène expansé graphité, Cellodrain® Ultra bénéficie d’une excellente performance thermique (lambda λ de 0.031 W/(m.K) et permet d’atteindre des résistances thermiques très élevées, jusqu’à 6,45 m².K/W, en limitant les épaisseursDrainage des eaux pluviales : disposant d’une surface à ergots protégée par un géotextile, Cellodrain® Ultra assure une fonction de drainage performanteProtection de l’étanchéité : les bords feuillurés 4 côtés des panneaux forment une protection optimale de l’étanchéité du supportOutre sa performance thermique élevée, Cellodrain® Ultra offre des performances mécaniques permettant un enfouissement jusqu’à 3 mètres de profondeur. Il convient ainsi parfaitement pour la construction de bâtiments d’habitation ou les ERP (Établissements Recevant du Public). Grâce à une finition gaufrée sur la face arrière, Cellodrain® Ultra peut être posé facilement sur les murs porteurs en béton ou en maçonnerie (NF DTU 20.1). Véritable gain de temps sur le chantier, la solution Cellodrain® Ultra permet à la fois de réduire les ponts thermiques du plancher bas, les déperditions des parois enterrées (RT 2012 et RE 2020) et les risques de condensation sur les parois intérieures, sans avoir à poser plusieurs éléments. Il évite également l’accumulation d’eau contre les murs et permet de préserver le bâti sur le long terme. Pour proposer un nouveau produit à la fois performant thermiquement et capable d’assurer les fonctions de drainage et de protection, HIRSCH Isolation a associé plusieurs atouts pour proposer une solution unique.Cellodrain® Ultra Caractéristiques techniquesÉpaisseur (mm) 80 100 120 140 160 180 200R (m².K/W) 2,55 3,20 3,85 4,50 5,15 5,80 6,45Dimensions : 1 250 mm x 600 mm - Conductivité thermique : 0.031 W/(m.K) - Comportement au feu : Euroclasse ECellodrain®Ultra & Cellocem® Ultra : une solution globale pour les murs en soubassementPour assurer une parfaite continuité d’isolation thermique des murs enterrés jusqu’à l’isolation par l’extérieur des façades, HIRSCH Isolation propose une solution prête à l‘emploi avec les panneaux Cellocem® Ultra. Seul complexe d’isolation et de protection des soubassements certifié ACERMI en totalité (isolant + parement), Cellocem® Ultra associe un isolant en polystyrène expansé graphité et un parement en plaque ciment. Totalement imputrescibles, les panneaux Cellocem® Ultra assurent isolation et protection mécanique en une seule opération !L’association de Cellodrain® Ultra en partie enterrée et de Cellocem® Ultra en soubassement assure une solution optimale pour l’isolation et la protection des constructions. Fabriqué en France, Cellocem® Ultra est compatible bâtiment passif et BEPOS.
Il y a 4 ans et 175 jours

Contrat-cadre entre Paris-Ouest Construction et Resolving

Paris-Ouest Construction a signé un contrat-cadre avec Resolving. [©Resolving] Le groupe familial de bâtiment Paris-Ouest Construction vient de signer un contrat-cadre pluriannuel avec l’éditeur lyonnais Resolving. Ce dernier  accompagne la digitalisation des métiers de l’immobilier et de la construction. « Pour les 15 chantiers que nous menons en parallèle, les outils digitaux sont susceptibles d’être utilisés par 50 à 80 utilisateurs. explique Xavier Tournillon, directeur technique et de la transition numérique du bâtiment de Paris-Ouest Construction. Mais notre rôle ne se résume pas à imposer un nouvel outil, mais bien à accompagner le changement. C’est-à-dire tous les utilisateurs, pour engager le mouvement de transformation numérique de toute l’entreprise. » Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est Resolving ? Depuis quand êtes-vous en contact avec Paris-Ouest Construction ? Hakim Fagoul, directeur France de Resolving, nous explique les modalités du contrat-contrat signé avec Paris-Ouest Construction. [©Resolving] Hakim Fagoul : Depuis 17 ans, l’éditeur de logiciels français Resolving permet la transition numérique des acteurs de la construction et de l’immobilier. La stratégie mise en place par Paris-Ouest Construction visait à digitaliser l’ensemble de ses activités. Dans ce contexte, plusieurs tests et procédures de validation ont été réalisés sur plusieurs éditeurs pendant un an. Et c’est avec Resolving, que ce constructeur de logements, surtout présent en région parisienne, a signé en juin dernier un contrat-cadre pluriannuel. En effet, nous avons axé notre démarche sur ses collaborateurs terrain, qui doivent mener à bien des contrôles des différents aspects de mise en œuvre lors de la construction. Le but ? Les rendre encore plus performants au quotidien grâce aux modules de la solution Resolving. Comment cela a –t-il été rendu possible ? Paris-Ouest Construction a opté pour les modules de “Suivi des chantiers” et de “Gestion des réserves” (OPR), proposés par Resolving. Premier point  Les conducteurs de travaux de Paris-Ouest Construction vont effectuer une vérification dite “inopinée” du chantier. Ceci, avec des tablettes mobiles, comprenant une partie de l’offre Resolving, directement sur les plans, les maquettes BIM…Que les bureaux d’études ont validés en amont. Ceci, pour vérifier le travail en cours. Si les conducteurs de travaux découvrent une anomalie, ils la notifient directement au BE, via la plate-forme Resolving. Et surveillentalors la validation de correctifs. Ensuite, ils suivent que tout a été bien rectifié sur chantier. C’est un vrai canal de communication de contrôle. La sécurité est au centre des préoccupations de Paris-Ouest Construction. Deuxième point  Les conducteurs de travaux reçoivent des fiches de contrôle prévues et planifiées associées à des zones précises. Ceci, dans le cadre d’une démarche de contrôle qualité. Ils vérifient ainsi tous les points de contrôle de ces fiches. Dernier point A la fin du chantier, c’est le module “Gestion des réserves”, qui est utilisé par Paris-Ouest Construction et les architectes. Notre solution est globale et intégrée. Elle comprend ainsi le suivi de chantier, la gestion de la documentation (GED) et la gestion d’un projet en BIM. Et ce, toujours avec le même outil. Les consultants Resolving viendront en appui, pour mettre en place des méthodes de recueil, d’analyse et de standardisation des pratiques utilisateurs. Phases préalables à toute digitalisation effective des méthodes et process internes.  Propos recueillis par Muriel Carbonnet
Il y a 4 ans et 175 jours

Deux nominations chez Sika

Sika nomme Raffaella Marzi, directrice des ressources humaines et de la conformité, comme nouveau membre de la direction du groupe. [©Sika] Deux changements interviennent au sein des organes dirigeants de Sika. En effet, le chimiste suisse nomme Raffaella Marzi, directrice des ressources humaines et de la conformité, comme nouveau membre de la direction du groupe. Et recommande l’élection d’Esther Berrozpe Galindo au conseil d’administration, lors de la prochaine assemblée générale annuelle, qui se tiendra le 20 avril 2021. Le parcours de Raffaella Marzi En octobre 2014, Raffaella Marzi a rejoint Sika comme responsable conformité et conseillère juridique. Dans ce rôle, elle a développé la fonction de conformité, en renforçant les processus, les outils et les formations de Sika. En 2018, elle a contribué à la réussite de l’acquisition d’Index en Italie. Ceci, grâce à sa grande expérience et à sa connaissance des questions juridiques. Ainsi que des fusions et acquisitions. En juin 2019, elle a été nommée directrice des ressources humaines et de la conformité. Et a mené plusieurs initiatives clefs dans la stratégie 2023 de Sika. « Cette promotion confirme l’importance stratégique des ressources humaines. Nos collaborateurs sont au cœur de notre succès. Dans un monde en mutation rapide, nous devons préserver le fort sentiment d’appartenance de nos employés, fondé sur la confiance. Et être en mesure de créer un environnement de travail inclusif et attrayant, dont chacun souhaite faire partie. Les ressources humaines et la conformité contribuent fortement à ces objectifs et sont donc la clef de notre succès futur », déclare Paul Schuler, directeur général. Recommandation d’Esther Berrozpe Galindo De plus, le conseil d’administration de Sika recommande l’élection d’Esther Berrozpe Galindo au conseil d’administration. Cette dernière a travaillé pendant une vingtaine d’années pour la Whirlpool Corporation. De 2013 à 2018, elle a été membre de la direction du groupe et présidente de la région EMEA.  « Avec Esther Berrozpe Galindo, nous proposons une candidate dotée d’une forte personnalité et d’une grande expérience internationale de direction au sein d’une entreprise mondiale. Son expérience à la tête de sociétés dans différentes régions et son expérience du marketing seront un atout pour le conseil d’administration. Et renforceront notre structure actuelle. Je me réjouis de travailler avec elle à l’avenir », indique Paul Hälg, président du conseil d’administration.
Il y a 4 ans et 175 jours

UNPG : « Favoriser la biodiversité fait partie des gènes des carriers »

L’activité production de granulats a diminué de 80 % au plus fort de la crise. Mais la profession a mis les moyens en place pour que le BTP continue à fonctionner. [©Eurovia/Przemek Kulaga] Quelle est la conjoncture des granulats en France ? Alain Plantier : La fin de 2019 et le mois de janvier 2020 laissaient augurer une année “correcte” au minimum. Depuis mars, nous avons eu des soubresauts énormes, avec un arrêt total de l’activité. Au plus fort de la crise sanitaire, cette dernière était descendue à 20 % de celle d’une année “normale”. Mais en moyenne, entre mars et mai, on était plutôt sur du 35 % à 40 %. Avec des disparités. La dégringolade a été très importante dans les métropoles, davantage que dans les zones rurales. Ce qui a aggravé les conséquences sur notre activité, étant donné le poids de ces marchés. Mais notre profession a joué le jeu. Le gouvernement avait décidé que la construction devait continuer à fonctionner. Aussi, même si la demande était faible – les grands travaux se sont arrêtés –, nous avons mis un certain nombre de choses en place pour que le bâtiment et les travaux publics puissent continuer à travailler. Et nous avons constitué des stocks en prévision du redémarrage. L’activité a-t-elle repris ? L’activité production de granulats a diminué de 80 % au plus fort de la crise. Mais la profession a mis les moyens en place pour que le BTP continue à fonctionner. [©Eurovia/Przemek Kulaga] A. P. : Elle a été plus longue à reprendre dans les métropoles. Mais on est loin d’avoir rattrapé ce qu’on a perdu. Aujourd’hui, nous sommes à un rythme comparable à celui de l’année dernière et nous risquons de terminer l’année sur une baisse de l’ordre de 15 %. La crise et les élections municipales reportées ont provoqué un arrêt total des commandes publiques. Nous redoutons que les entreprises, craignant pour leurs carnets de commandes, n’aillent pas trop vite dans la réalisation des travaux, afin de lisser leurs activités.   Comment les carriers se sont-ils organisés pendant la crise sur le plan sanitaire ? A. P. : Dès le début de la crise sanitaire, l’UNPG a travaillé sur la protection des salariés – qui est fondamentale pour nous. Nous avons été l’une des premières professions à sortir des protocoles sur l’équipement validés par l’Etat. Ces derniers ont été mis en place de manière très rapide. Même si les carrières comptent peu de personnels, il existe des lieux de concentration, qui ont nécessité des mesures adaptées : bureaux, réfectoires, vestiaires, sanitaires. Il y a aussi des tâches qui imposent une certaine proximité comme les phases d’entretien. Ou encore des moments particuliers comme les changements de postes, qui impliquent l’acheminement des personnels dans un véhicule. Dans les cas des engins, au changement de conducteur, il faut désinfecter la cabine. Je pense qu’un certain nombre des mesures vont rester pérennes. Qu’on ne reviendra jamais à la situation initiale. Par exemple au pont-bascule, nous avions éliminé les plexiglas entre les personnels et les clients. nous venons de faire marche arrière.  La crise a incité la société à s’interroger sur la protection de l’environnement. Où en est-on du recyclage des produits du BTP ? Les rapaces nocturnes nichent dans les carrières, y compris en activité. [©Unicem] A. P. : Nous travaillons sur ces sujets-là depuis plus de 30 ans. A présent, nous recyclons 80 % des matériaux issus du BTP – un chiffre reconnu par l’Ademe2. Nous sommes l’une des filières de recyclage, qui fonctionne le mieux. Seul, l’acier est devant nous, avec 90 %. Nous bénéficions d’une organisation qui met en œuvre des zones de transit. Nous transportons les matériaux vers des centres de retraitement où ils sont recyclés à 100 %. Ou dans des carrières où ils sont mélangés avec des matériaux de premier usage. Mathieu Hiblot : Les bonnes pratiques se sont mises en place sur les chantiers. Et nous avons une filière qui fonctionne très bien, avec des performances qu’il n’est pas facile de retrouver même si on peut toujours les améliorer. Mais nous craignons les conséquences du projet de REP3. Le texte de loi laisse entendre que les déchets en mélange pourraient être aussi considérés comme triés. Or, pour pouvoir recycler les produits de chantier dans le béton, il ne faut pas qu’il y ait d’éléments indésirables. Nous redoutons une perte de qualité à l’entrée et une atteinte à notre performance environnementale. Comment incluez-vous la biodiversité dans vos préoccupations environnementales ? Réaménagement en zone humide à la carrière Chouvet, à Warluis (60). [©Unicem] M. H. : Le réaménagement des carrières est intégré dès la phase projet des exploitations, car nous devons rendre les terrains à leur propriétaire ou à une collectivité. Cela nous incite à restituer la biodiversité d’origine, voire davantage. Depuis les années 1970, la profession a mené de nombreuses études de ce qu’on appelle aujourd’hui le génie écologique.  Avec l’Unicem et en collaboration avec le ministère de la Transition écologique et solidaire, nous venons de publier un guide fondé sur notre doctrine4 relative à l’impact de nos activités, afin de renforcer l’accompagnement de nos adhérents, des bureaux d’études et des services administratifs. Pouvez-vous nous citer des exemples concrets ? Réaménagement en zone humide à la carrière Chouvet, à Warluis (60). [©Unicem] M. H. : Dans une carrière, on n’exploite pas toutes les surfaces en même temps. On décape la terre à un endroit pendant qu’on exploite une autre partie. Et que l’on réaménage une troisième zone. On peut être conduit à déplacer des habitats, recréer des mares provisoire, afin que des espèces présentes là où elles sont puissent rester et se développer. Nous nous intéressons par exemple aux abeilles sauvages, des insectes pollinisateurs qui vivent dans des galeries creusées dans le sable, un habitat que l’on peut recréer. D’autres animaux colonisent les roches meubles, comme l’hirondelle des rivages. En roche massive, on va intéresser différents oiseaux qui viennent y nicher : hiboux, grands-ducs…  Ces dispositions peuvent être onéreuses !  A. P. : Depuis très longtemps, le monde des carriers sait que la réalisation d’une carrière n’est qu’une parenthèse dans le paysage et que les exploitations doivent servir à favoriser la biodiversité. Cela fait partie de nos gènes et notre métier ne se conçoit qu’avec une vision d’ensemble de la carrière. De sa création à son réaménagement, en concertation totale avec les parties prenantes : riverains, associations, élus. Il y a 25 ans, on créait beaucoup de bases de loisirs. A présent, nous réalisons davantage de réserves ornithologiques. Notre métier s’adapte à l’évolution sociétale et a même été précurseur. Nous avons mis en place la première des chartes pour labéliser nos réaménagements dans les années 1990. Ce système a été complété par une charte RSE. La carrière de demain intégrera-t-elle davantage les préoccupations environnementales ? Les rapaces nocturnes nichent dans les carrières, y compris en activité. [©Unicem] A. P. : Nous allons vers une certaine automatisation. Avec des installations de plus en plus informatisées, mais aussi un travail sur les nouvelles énergies. Aujourd’hui, nous travaillons sur l’automatisation d’un certain nombre de chaînes de façon à être plus vertueux, moins consommateurs d’énergie. Les installations de traitement sont électriques. Et l’on est aussi passé à l’électrification du transport avec les bandes transporteuses. Mais il reste les problèmes d’engins de chargement et de transport. Les constructeurs travaillent sur les énergies nouvelles, mais il manque encore des solutions pour les gros engins. Propos recueillis par Michel Roche 1Union nationale des producteurs de granulats.2Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie. 3Responsabilité élargie des producteurs. La loi impose de nouvelles obligations, en termes de collecte et de recyclage des matériaux sur les chantiers.4“Eviter, réduire, compenser : un guide de référence pour protéger la biodiversité”.
Il y a 4 ans et 175 jours

Après 33 ans à la tête de Profils Systèmes, Christophe Derré nomme Aymeric Reinert Directeur Général

« C'est un plaisir et une fierté pour moi de vous annoncer la nomination d'Aymeric Reinert au poste de Directeur Général à compter du 1er Janvier 2021. Depuis 17 ans que nous travaillons ensemble étroitement, nous avons, grâce à vous tous, fait évoluer PROFILS SYSTEMES tant en taille qu'en efficacité. Nous avons su rester toujours et de loin les plus innovants et les plus « iconoclastes » au niveau des produits comme du marketing dans notre métier. Je reste à ses côtés en soutien et toujours à votre disposition. » C'est ainsi que s'est exprimé Christophe Derré auprès des salariés, clients et partenaires de Profils Systèmes en cette fin d'année 2020.Créée en 1987 par Christophe Derré, la société gammiste aluminium, spécialisée dans la conception de profilés pour le bâtiment et plus particulièrement la menuiserie, a commencé avec deux salariés et une comptable à mi-temps dans un local de 1000m2 à Castries dans l'Hérault. En 1992, elle lance les premiers concepts de gammes de menuiseries « design », où la recherche de l'esthétique et de la cohérence créée une vraie rupture avec les produits du marché. En 1995, elle cherche à intégrer les phases amont de fabrication et commence par l'isolation thermique, puis le laquage. En 1998, Christophe Derré, soucieux de poursuivre l'intégration industrielle et de faire du « MADE IN FRANCE », décide de franchir le pas de l'extrusion des profilés aluminium. PROFILS SYSTEMES rejoint alors le groupe ALIPLAST pour démarrer ensemble cette nouvelle aventure. Parallèlement, la politique d'innovation continue et le design devient LA culture d'entreprise.En 2003, Aymeric Reinert vient renforcer le Bureau d'Études et en prend la direction. La presse d'extrusion démarre la même année, ainsi qu'une augmentation des capacités de laquage avec une nouvelle ligne verticale. L'entreprise poursuit son très fort développement. Pour y faire face, Aymeric Reinert est nommé Directeur Général Adjoint en 2014 tout en restant Directeur du Bureau d'Études. C'est la parfaite application de la volonté du groupe CORIALIS d'un management stable et expérimenté dans ses filiales.
Il y a 4 ans et 175 jours

RE 2020 : la FFB inquiète

Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « L’orientation politique pour la RE 2020, si elle a le mérite d’être clairement affichée, manque de réalisme ». [©ACPresse] La Fédération française du bâtiment (FBB) s’inquiète des objectifs et des délais annoncés. Qui lui semblent irréalistes. Ceci, alors que les ministres Barbara Pompili et Emmanuelle Wargon ont présenté les orientations, la méthode et le calendrier de la Réglementation Environnementale 2020 (RE 2020). Elle n’est pas la seule, les industriels du secteur sont même plutôt remontés ! Toutefois, la fédération se félicite d’avoir été entendue sur la nécessaire progressivité de l’exigence carbone prévue par la RE 2020.  La future règlementation s’apprête à remplacer l’actuelle RT 2012. Ceci, pour construire les bâtiments responsables de demain. A savoir, moins énergivores, dotés d’une empreinte carbone réduite et mieux adaptés au changement climatique. • Premier point Dans la RT 2012, l’utilisation du gaz pour le chauffage était prônée. Cela a d’ailleurs donné lieu à des investissements conséquents. Qui ont été faits tant pour développer le gaz “vert” que pour maintenir un réseau de distribution de qualité. De plus, les solutions alternatives peinent à devenir compétitives.Et là patatras, cette source d’énergie se trouvera exclue dès 2021 des maisons individuelles neuves ! Puis, de l’ensemble des logements neufs à compter de 2024. « Au-delà de l’incohérence de ces choix politiques, il s’agit là de la mort annoncée à terme d’une filière porteuse d’emplois qualifiés. Choix d’autant plus désastreux que les équipements concernés s’avèrent en majorité produits en France », indique la FBB dans son communiqué de presse. • Deuxième point  S’agissant des matériaux utilisés, l’arbitrage prévoit qu’en 2030, la construction bois deviendra la norme pour la maison individuelle. Et sera très couramment utilisée pour la structure des logements collectifs. « La FFB est favorable à un accroissement de l’utilisation des matériaux biosourcés. Cette trajectoire sous-estime les nécessaires adaptations des différentes filières. Ceci,  compte tenu des parts de marchés actuelles et du manque de visibilité sur les capacités de production françaises. » De plus, la fédération déplore qu’aucune information ne soit donnée quant aux seuils applicables aux bâtiments tertiaires visés aussi par la réglementation dès l’été prochain. • Troisième point  En parallèle, la FFB regrette l’absence de présentation d’une étude technico-économique globale. Et ne partage pas les 3 à 4 % de surcoûts immédiats annoncés, qui sont largement sous-évalués, selon elle. Le risque d’éviction des ménages les plus modestes est réel.  • Dernier point La FFB demande une reprise des discussions pour étudier plus finement et de manière transparente les impacts économiques à court et moyen terme.  Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « L’orientation politique, si elle a le mérite d’être clairement affichée, manque de réalisme. Nous n’avons pas besoin de “jouer aux apprentis sorciers” en cette période de grave crise économique d’une intensité jamais connue. Dont les premiers effets seront ressentis dans le BTP l’année prochaine. C’est vouloir mettre de la complexité lors d’une année de reprise économique, en méconnaissant les délais nécessaires pour adapter les filières. Ce sont des dizaines de milliers d’emplois mis en danger inutilement, dans l’industrie et le BTP ».
Il y a 4 ans et 175 jours

Eurovia et ElectReon réalisent en Allemagne un projet pilote de route à recharge électrique par induction

La question de la recharge en énergie est essentielle au développement de l'électromobilité. La technologie de charge inductive d’ElectReon directement intégrée à la chaussée permettra une charge sans contact à la fois lorsque le véhicule est à l'arrêt et pendant la conduite.Ce projet est une première en Allemagne. Il vise à équiper dans un premier temps, début 2021, les voiries du centre de formation d’EnBW sur une longueur totale de 100 mètres (90 mètres de charge dynamique / 10 mètres de charge statique). Dans un second temps, 600 mètres de voirie publique reliant le centre de formation à la ville de Karlsruhe seront construits. La société de transport public de Karlsruhe a l'intention d'utiliser ce système pour charger ses bus.Le partenariat entre Eurovia et ElectReon permet d’offrir des solutions complètes de routes à induction : Eurovia assure la promotion de la solution ElectReon en l’intégrant dans son offre « produits » et prend en charge la conception, la construction et l’entretien des plateformes de recharge. ElectReon fournit, pour sa part, la technologie de recharge, y compris l'installation, l'exploitation et la maintenance. Le projet implique également VIA IMC (filiale d’Eurovia et de VINCI Highways) pour la conception du projet avec ElectReon et Omexom (VINCI Energies) pour les raccordements électriques.Ce projet fait suite à une collaboration précédente dans le cadre de prototypes en Suède et en Allemagne où Omexom avait également participé.
Il y a 4 ans et 175 jours

RE2020 : satisfaction de la filière bois

La filière forêt-bois tient à saluer l’ambition de la future norme environnementale RE 2020, suite aux orientations annoncées par le ministère de la Transition écologique. Elle se félicite de l’engagement affiché par le Gouvernement en faveur de la réduction de l’empreinte climatique du secteur de la construction. Comme le soulignent les ministres, le bois et les matériaux biosourcés ont effectivement un rôle à jouer pour relever ce défi. Cependant, les professionnels de la filière ont pris acte de la décision de retarder l’entrée en vigueur des seuils. Ils assurent qu’ils prêteront une attention rigoureuse à ce que ces échéances ne desservent pas l’ambition de la RE2020. Ils veulent éviter que ce qui est présenté comme des obligations de résultat se traduise in fine par un statu quo contraire aux ambitions exposées par le Gouvernement et attendues par les Français. L’annonce de l’instauration de seuils d’exigence carbone est de nature à favoriser l’essor d’une mixité renforcée des matériaux de construction, que la filière bois appelle depuis longtemps de ses vœux.   Photo : Construction par Matis de la structure bois de Green Office Enjoy. Lot O9 – ZAC Clichy Batignolles. Bouygues Immobilier. 75017 Paris. 23 juin 2017
Il y a 4 ans et 175 jours

Le PLU-H, un outil agile pour relever les défis du Grand Lyon

Collectivités locales - Mixité fonctionnelle, logement abordable, densification… Le document métropolitain a les moyens de ses ambitions.
Il y a 4 ans et 175 jours

Centre

Sélection de projets à surveiller dans votre région : Ouest - Chaque semaine, grâce à la veille réalisée par son partenaire « Vecteur Plus », « Le Moniteur » sélectionne des projets « à surveiller » (intentions de maîtres d'ouvrage, actes administratifs, décisions d'urbanisme, logements autorisés, etc. ).
Il y a 4 ans et 175 jours

Le gouvernement confirme qu'il n'y aura pas de baisse de financement de l'apprentissage à la rentrée 2021

Réunis lundi soir avec les partenaires sociaux, Jean Castex et Elisabeth Borne "leur ont indiqué que le niveau de prise en charge des contrats d'apprentissage ne baissera pas à la rentrée 2021" afin de "maintenir la bonne dynamique de l'apprentissage" pendant la crise. Mais la question reste posée pour les années suivantes car l'équilibre financier du système "reste un objectif", souligne le ministère.A la suite de la réforme de l'apprentissage de 2018, le financement des CFA a été transféré des régions aux branches professionnelles et repose depuis cette année sur une prise en charge de chaque contrat d'apprentissage: à chaque fois qu'un jeune signe un contrat, le centre perçoit une somme - appelée "coût contrat" - censée couvrir ses frais pédagogiques, selon un barème national par diplôme établi par France Compétences, l'instance en charge du financement de l'alternance et de la formation professionnelle.France Compétences a ainsi validé plus de 20.000 coûts de formation, souvent proposés par les branches (5.000 euros pour un CAP maçon, 8.000 euros pour un ingénieur de l'école des Mines de Saint-Etienne, etc.). Mais les dépenses se sont envolées car l'apprentissage a atteint un niveau record en 2019 (+16% de contrats) qui devrait être maintenu, voire dépassé en 2020 grâce aux primes à l'embauche (5.000 euros pour un apprenti mineur, 8.000 euros pour un majeur) décidées cet été.Parallèlement, les ressources ont diminué du fait de la crise - la contribution formation des employeurs étant assise sur la masse salariale -, ce qui a contribué à détériorer la situation de France Compétences. Celle-ci s'est vue en conséquence allouer une dotation de 750 millions d'euros pour équilibrer son budget en 2021.Pour rétablir structurellement l'équilibre, un rapport Igas-IGF avait proposé cet été de diminuer le niveau de ces "coûts contrats" dès 2021, ce qui inquiétait les CFA."Or, compte tenu des contraintes opérationnelles et de coûts supplémentaires considérables que fait peser la crise sur les CFA, le gouvernement a décidé (...) d'attendre les remontées des comptabilités analytiques pour commencer plus progressivement l'exercice. Dans ce cadre, il appartiendra au conseil d'administration de France Compétences de déterminer les modalités précises et le calendrier de la convergence", explique le ministère dans son communiqué.
Il y a 4 ans et 175 jours

Le Conseil d'État annule deux points très contestés de la réforme de l'assurance-chômage

Cette décision n'a cependant pas d'impact immédiat puisque, du fait de la crise économique, le gouvernement a suspendu l'application de la réforme, décidée par décret en juillet 2019, jusqu'au 1er avril 2021.Dans un communiqué, la ministre du Travail Elisabeth Borne estime d'ailleurs que les concertations en cours avec les partenaires sociaux pour tenir compte de la crise "permettront de proposer des solutions conformes à la décision du juge".Mais, dans sa décision, le Conseil d'Etat annule le point le plus contesté par les syndicats de la réforme rédigée par l'ex-ministre du Travail Muriel Pénicaud: les modalités de calcul de l'allocation. Il estime que cela "porte atteinte" au principe d'égalité entre allocataires.Pour une raison de forme, il annule aussi l'instauration d'un bonus-malus sur la cotisation chômage de certaines entreprises, critiquée par le patronat.La juridiction n'a en revanche pas remis en cause le durcissement des conditions d'affiliation ni l'introduction d'une dégressivité pour les hauts revenus, également critiqués par les syndicats.Les syndicats se sont unanimement félicités de "cette première victoire"."Il faut amplifier la lutte pour obtenir l'annulation totale d'une réforme profondément injuste", a réagi la CGT; pour la CFDT, le gouvernement "doit plus que jamais renoncer à sa réforme".La disposition annulée est au coeur de la philosophie de la réforme voulue par Emmanuel Macron qui jugeait que le mode de calcul actuel n'incite à pas à la reprise d'un emploi stable.La réforme prévoyait que le salaire journalier de référence, base de l'allocation mensuelle, soit calculé non plus sur le total des salaires divisé par les jours de travail des 24 derniers mois mais sur ce total divisé par l'ensemble des jours, y compris non travaillés, de la période.Dans l'esprit du gouvernement, cette modification visait à corriger un système plus favorable, pour le même nombre d'heures de travail, à celui qui a des contrats fractionnés par rapport à celui qui a un temps partiel en continu.Mais cela pénalisait fortement les "permittents", ceux souvent précaires qui alternent chômage et contrats courts."Du fait des règles qui ont été retenues, le montant du salaire journalier de référence peut désormais, pour un même nombre d'heures de travail, varier du simple au quadruple", constate le Conseil d'Etat. "Il en résulte (...) une différence de traitement manifestement disproportionnée au regard du motif d'intérêt général poursuivi".Selon l'Unedic, avec la réforme, 840.000 nouveaux entrants toucheraient une allocation plus faible qu'avec les règles actuelles. La baisse serait en moyenne de 24% (de 902 à 689 euros net par mois). Leur indemnisation durerait en revanche 18 mois au lieu de 12.Bonus-malus reporté ?L'autre point annulé par le Conseil d'Etat est l'instauration d'un bonus-malus sur la cotisation d'assurance-chômage payée par les entreprises dans sept secteurs grands consommateurs de CDD courts et d'intérim (hébergement-restauration, agroalimentaire, transports, plasturgie...).Mais elle est annulée pour une raison mineure, le juge estimant que le dispositif de bonus-malus renvoyait, pour certaines modalités, à un arrêté là où il aurait fallu un décret.La fédération de la plasturgie s'est dite cependant satisfaite de cette décision et demande au gouvernement de "renoncer au nom de la sauvegarde économique à une nouvelle mise en place pour les prochaines années".Dans les discussions en cours, le gouvernement a proposé de reporter d'un an l'entrée en vigueur du bonus-malus, qui ne s'appliquerait que sur la cotisation 2023.Côté chômeurs, le ministère du Travail a proposé de revenir sur le passage de 4 à 6 mois de travail (sur les 27 derniers) pour ouvrir des droits, mais uniquement pour les jeunes de moins de 26 ans.Le seuil de rechargement des droits passerait de six mois (prévus dans la réforme) à quatre.Quant à la dégressivité pour les demandeurs d'emploi ayant eu auparavant un salaire de plus de 4.500 euros brut, celle-ci, d'un montant de 30%, interviendrait au bout de 8 mois au lieu de 6.Ces aménagements n'ont pas du tout satisfait les syndicats, et une prochaine réunion est prévue début décembre.
Il y a 4 ans et 175 jours

A Bordeaux, Pierre Hurmic lance son plan de végétalisation de la ville

Le maire vient de lancer son programme de verdissement et en appelle à tous, en commençant par les petits Bordelais.
Il y a 4 ans et 175 jours

Les prix des appartements pourraient baisser à Paris, selon les notaires

MARCHÉ. La chute importante des transactions immobilières en Ile-de-France devrait emporter une "stagnation, voire une légère baisse" des prix sur certains segments et dans certaines zones de la région, estiment les notaires du Grand Paris.
Il y a 4 ans et 175 jours

Le moral des ménages français au plus bas, un frein de plus à la relance

"Les ménages sont beaucoup moins optimistes sur leur situation financière future" et la proportion de ceux "estimant qu'il est opportun de faire des achats importants baisse fortement", a constaté jeudi l'Institut national des statistiques et des études économiques (Insee).Par rapport à octobre, l'indicateur qui reflète la confiance des ménages perd quatre points et tombe à 90, la moyenne de longue période étant de 100.La population est devenue beaucoup plus pessimiste concernant l'évolution de son niveau de vie, le solde d'opinions négatif, c'est à dire anticipant une dégradation, atteignant -65 en novembre, contre -46 en septembre et -25 sur une moyenne de longue période.En avril, lors du premier confinement, le moral des ménages n'avait chuté qu'à 95 points, alors même que l'activité avait freiné d'environ 30% contre seulement 13% prévus par l'Insee pour le mois de novembre.Mais de l'avis général, la crise sanitaire dont on pouvait espérer une sortie rapide au printemps, ne pourra pas être surmontée au cours des tout prochains mois, même avec l'arrivée sur le marché de plusieurs vaccins."On s'attend maintenant à ce que l'économie et la situation sanitaire aient partie liée au moins jusqu'à la mi-2021", déclarait la semaine dernière Julien Pouget, responsable du département conjoncture de l'Insee.Aussi le gouvernement a-t-il ramené de 8% à 6% sa prévision de croissance pour l'an prochain, après une récession sans précédent de 11% attendue en 2020.Peur du chômageAutre mauvais signe pour la consommation et la reprise de l'économie, "la part des ménages estimant qu'il est opportun d'épargner augmente à nouveau", alors que les Français devraient accumuler cette année environ 100 milliards d'euros d'épargne supplémentaire, soit l'équivalent des dépenses prévues pour le plan de relance.Mais pour que ce bas de laine, détenu selon l'OFCE à 70% par les 20% de ménages les plus aisés, soit dépensé ou investi dans l'économie productive, il faut que la confiance soit de retour, or celle-ci paraît avoir été plus entamée par le deuxième confinement que par le premier, même si la réouverture des commerces le 28 novembre et la période des fêtes de fin d'année devraient relancer la consommation.L'un des principaux freins à cette confiance est la crainte du chômage, qui atteint ainsi son plus haut niveau depuis juin 2013, en augmentation de quatre points par rapport à octobre, rapporte encore l'Insee.Tandis que des grands groupes comme Danone, Sodexo ou IBM ont annoncé ces derniers jours des coupes dans leurs effectifs, une entreprise de taille intermédiaire (ETI) sur trois prévoit de réduire les siens au cours des trois prochains mois, selon une enquête publiée mercredi par leur organisation professionnelle, le METI.Et si les dispositifs de soutien aux entreprises et à l'emploi ont permis jusqu'ici d'éviter une explosion des licenciements, la situation pourrait se dégrader si le soutien budgétaire n'est plus au rendez-vous, a mis en garde l'assureur-crédit Euler Hermes dans une étude selon laquelle une entreprise européenne sur quatre court un "risque de trésorerie" en 2021.Mais la poursuite de ces soutiens, qui en 2020 coûteront 34 milliards d'euros pour le chômage partiel et 20 milliards pour le Fonds de solidarité, implique un creusement encore plus important du déficit de l’État, alors que la dette publique devrait atteindre 120% du produit intérieur brut (PIB) cette année.
Il y a 4 ans et 175 jours

Myral dévoile les 24 nouveaux coloris de la collection Les Intemporels pour sa solution d'ITE

« Un nouveau cap est désormais franchi pour Myral, celui de la performance au service de l'esthétique ! » Ces mots sont ceux de Sylvain Bonnot, président de Myral. Ils démontrent la volonté d'innovation du groupe industriel qui, au travers des nouveaux coloris de la gamme Les Intemporels, souhaite renouveler durablement le positionnement de sa solution d'ITE.Pour élaborer des nuances équilibrées et pertinentes, en cohérence avec les attentes du marché, le groupe Myral s'est fait accompagner dans toute la phase de conception par Nacarat, agence spécialisée dans le design couleur. Forte de son expertise spécifique sur l'identité et le patrimoine coloriel des marques et des territoires, l'agence a mis au cœur de sa stratégie deux objectifs centraux : créer une gamme innovante à partir des tendances et des pratiques contemporaines de la couleur et du matériau de façade, et emprunter aux couleurs locales pour que cette nouvelle gamme puisse facilement s'intégrer dans le paysage urbain.Un large choix de couleurs et d'aspects adapté à la conception architecturale contemporaineCe renouvellement offre un panel de couleurs harmonieuses, actuelles et plus à même de toucher les marchés de l'architecture contemporaine et du bâti particulier, notamment dans le but de mieux s'intégrer aux paysage urbain et péri-urbain en France. Directement inspirés des nuances présentes sur le territoire français, ils sont le témoignage concret d'une diversité des patrimoines bâtis, locaux, qu'ils perpétuent aujourd'hui dans la conception architecturale contemporaine.Les 24 nouveaux coloris Myral s'organisent autour de 5 univers, chacun représentant un extrait de voyage, du Nord au Sud et d'Ouest en Est du territoire français. Dans chaque univers, le portrait de l'une des 24 couleurs illustre l'air du temps et les tendances 2020-2022.Terres de lumièreSur une grande partie Nord, la construction sérielle en briques est un leitmotiv. Les badigeons de lait de chaux blanchissent les appareillages ordinaires dont les reliefs irréguliers affleurent sous cette épaisse couche de blanc. Les enduits très légèrement colorés du pays de la Loire se marient avec les tuffeaux de calcaire blanchâtre et les ardoises bleutées. Ceux de l'Île de France varient davantage dans leurs tonalités : blanc, beige et grisé, jusqu'à l'ocre jaune. Les grands ports atlantiques sont pleins de lumière. La pierre de taille aux délicates nuances dorées, révèle sa minéralité sous les lumières rasantes et les ombres projetées. Partout, les façades classiques recherchent la plus grande blancheur, mêlant pierres claires taillées, staffs et enduits blancs.Terres d'oxydeLes briques rouge-violacé à brunes bâtissent les villes et villages du nord composant un paysage architectural homogène. Un pied en Centre-Est, et le calcaire blond illumine la Bourgogne, faisant écho aux Côtes d'Or. Au Midi, les briques s'allongent et s'adoucissent dans les orangés. Les influences italiennes se manifestent dans les villes-capitales des massifs alpins par des colorations ocre soutenu. À l'extrémité méridionale, les tonalités chaudes, orange à rouge, s'intensifient et font chanter les façades des rues étroites et pentues.Monts et bocagesLa pierre de silex éclatée est une rareté à dénicher sur les façades des côtes du nord et parfois au beau milieu des campagnes des hauteurs du pays.Au centre, les reliefs basaltiques ont nourri le bâti de leurs pierres de lave sombres. Les mortiers blonds les éclairent. La pierre de molasse verte jalonne les hauts-reliefs, s'associant à la chaux, au pisé, aux granits et aux pierres de champs élevant des bâtisses multi-centenaires.Méridien sudLes pierres aux éclats mordorés sont la marque d'un climat continental contrasté. Les schistes et les grès captent ces nuances dans toute leur intensité. Leurs notes chaudes, jusqu'aux cuivrées, accompagnent la rigueur des saisons.Les chromaticités douces et éclaircies sont réservées aux littoraux et aux bords de Loire, dont les enduits et les granits font écho à la lumière changeante. La pierre de lave a des accents brunis qui la ramènent à la terre et révèle des villages aux allures troglodytes. Plus bas, les enduits ocres délavés composent le paysage des provinces sud, symbole de Méditerranée. Les pigments naturels d'oxyde de fer affleurent sur les façades de maisons rayonnantes.Méridien nordÀ l'extrémité septentrionale se trouve la pierre bleue, uniforme et compacte comme un marbre. En lisière de côtes, le granit émerge. Riche de tonalités denses, parfois sombres, il varie du gris au violet en passant par le bleu. Il compose le paysage austère du bâti littoral. Au cœur des montagnes, les schistes répondent au granit gris et dialoguent avec les enduits teintés de sables alluvionnaires. La pierre est endurante et résiste au passage du temps et au climat rigoureux.Un projet ? Besoin d'informations ? Prenez contact avec Myral !Les nouveaux coloris se déclinent en 5 aspects et matérialités qui réinventent la couleur :Clin veiné boisPlisséClin lisseLisseStructuréLa solution d'isolation par l'extérieur Myral M32Le revêtement de façades intégrant un isolant de type P.I.R, conçu, fabriqué et commercialisé par Myral, allie esthétique, rapidité de pose et efficacité énergétique (lambda de 23 mW/m.K.). Réalisé à la dimension du calepinage, la longueur des pans est variable, de 1,5 ml à 14 ml (contre 1,5 à 2 ml pour les panneaux de bardage traditionnels). Les revêtements de façades Myral peuvent être posés en vêture ou en vêtage sur tous les types de construction, à l'horizontale ou verticale. Deux épaisseurs sont disponibles, le M32 et le M62. La solution est un investissement pérenne avec une durée de vie estimée dans l'analyse du cycle de vie à plus de 50 ans.Les produits d'isolation thermique par l'extérieur proposés par Myral sont fabriqués en FranceIls sont certifiés et sous Avis Technique du CSTB, pour répondre à l'ensemble des besoins d'isolation de façades, en logements collectifs ou individuels, en bâtiments tertiaires ou en équipements publics, en neuf ou en rénovation.Un projet ? Besoin d'informations ? Prenez contact avec Myral !
Il y a 4 ans et 175 jours

Kawneer : une nouvelle organisation pensée au service des clients et de la croissance

Kawneer, fabricant de systèmes architecturaux en aluminium, a toujours placé le client au cœur de ses préoccupations. Afin d’être toujours plus à l’écoute de leurs attentes et de leurs marchés, Raphaël DERICBOURG, Directeur Général de Kawneer Europe du Sud et Nord-Est Europe, procède à une évolution stratégique de l’organisation interne de l’entreprise. Accélérateur de croissance, le nouveau Service Marketing Business Développement, dirigé par Corinne ORTUNEZ, va permettre à Kawneer de conforter son leadership et développer ses parts de marché en apportant une offre dédiée à chaque typologie de clientèle (industriels de la menuiserie, grands projets et habitat). Nouveau Service Marketing Business Développement, support de croissance Concepteur gammiste de systèmes architecturaux, Kawneer Europe du Sud s’appuie historiquement sur 3 segments de marché : • le marché traditionnel de la menuiserie et de la véranda, • les clients industriels, • les grands projets en France, en Espagne, au Portugal mais aussi à l’Export (Afrique). Jusqu’à présent, l’organisation commerciale de Kawneer gérait l’ensemble de ces différents marchés. « Grâce à la mise en place du nouveau Service Marketing Business Développement, nous allons créer un back office solide qui va nous permettre de développer et d’affiner notre relation client par typologie, d’accroître nos parts de marché et d’identifier les axes prioritaires pour accélérer notre croissance » explique Raphaël Dericbourg. Une organisation en 4 pôles Le Service Marketing Business Développement est dirigé par Corinne Ortunez. Elle bénéficie de multi-compétences commerciales, logistiques et produits acquises dans les différentes fonctions qu’elle a occupées au sein de Kawneer depuis plus de 20 ans. Au sein de ce nouveau service, 4 pôles ont été créés : • Le service commercial interne, en charge de la gestion des commandes et initialement rattaché au service logistique. Ce changement a pour but d’intensifier la relation client et les initiatives commerciales opérationnelles de Kawneer, • Kawneer Industrial Service, dédié aux clients industriels de Kawneer en leur offrant une approche complète répondant à leurs besoins spécifiques, • Grands Projets, constitué d’une force de vente identifiée, sur les marchés français et ibérique, pour renforcer l’équipe commerciale actuelle et doper notre conquête de nouveaux marchés. • L’activité Réseau Initial : pour accélérer le développement du réseau Initial grâce à l’animation commerciale et à une démarche industrielle performante permettant la création de produits à forte valeur ajoutée. « Le métier de gammiste a évolué. Le nouveau Service Marketing Business Développement va nous permettre de créer des synergies entre les différents pôles afin d’améliorer la pertinence de notre offre autour des besoins spécifiques de nos clients en termes de produits, services et logistique. Cela permettra également de booster notre développement vers l’ensemble des segments de marché sur lesquels nous évoluons » explique Corinne Ortunez. Avec cette nouvelle organisation, Raphaël Dericbourg entend « que Kawneer conforte, d’ici 3 ans, son leadership, développe ses parts de marché et reste la référence de ses clients. L’entreprise doit devenir le gammiste incontournable dans le secteur de la menuiserie générale et industrielle ainsi que pour les Grands Projets en France et à l’export. » http://www.kawneer-france.com
Il y a 4 ans et 176 jours

La hausse des prix du logement s’atténue avec la crise mais cela ne profitera pas à tous

"La hausse des prix se poursuit (...) mais elle s'atténue", a résumé jeudi la notaire Elodie Frémont, à l'occasion de la présentation des chiffres trimestriels du marché du logement ancien.Celui-ci sort de plusieurs années de progression ininterrompue des prix, avec comme symbole le cas de Paris où le mètre carré a passé l'an dernier le seuil symbolique des 10.000 euros.Depuis, une crise économique majeure s'est installée avec l'épidémie de coronavirus, et une récession massive est au programme cette année en France.Les effets, pour autant, se font attendre sur le marché du logement.Fait le plus notable: les ventes ont chuté à la suite du strict confinement mis en place au printemps. Fin septembre, il y en avait eu moins d'un million en un an, une première depuis fin 2019 et le ralentissement sera sûrement accentué par le nouveau confinement instauré tout novembre.Mais le véritable enjeu est de savoir si les logements finiront par coûter moins cher. Et, sur ce plan, le mouvement demeure encore timide.Au troisième trimestre, en gros l'été 2020, ils ont encore progressé de 5,2% par rapport à un an plus tôt, selon l'Insee. Cela reste un ralentissement, comparé au précédent trimestre (+5,6%).Surtout, ce phénomène touche la province comme l'Île-de-France, même si cette opposition est simpliste et ne rend pas compte des différences entre campagnes, petites villes et grandes métropoles comme Lyon et Marseille."Les 11.000 euros du mètre carré parisien ne seront pas atteints en fin d'année et certainement pas en janvier", a admis Mme Frémont.Plafonnement des loyersReste qu'il y a loin entre un ralentissement de la flambée des prix et une véritable baisse. Celle-ci n'est pas impossible mais elle attendra certainement de longs mois pour se concrétiser.Les prix des logements français pourraient reculer de 2% l'an prochain, estime ainsi l'agence de notation Moody's.Elle remarque que l'immobilier suit généralement de près la croissance économique. Or, avec un recul de quelque 10% du produit intérieur brut (PIB) attendu cette année, la baisse des prix est probable.A priori, il s'agit d'une bonne nouvelle. S'il est plus facile de se loger pour les Français, cela contribue en retour à faire repartir l'économie, en facilitant par exemple le fait d'habiter près de son travail.Seulement, selon Moody's, la baisse des prix ne voudra pas dire que les logements deviendront globalement plus abordables. Car tout le monde n'en profitera pas autant."C'est la première fois qu'une crise affecte les gens de manière aussi différenciée", soulignait en début de semaine Vincent Allilaire, l'un des experts de l'agence, lors d'une conférence."Les secteurs (...) les plus affectés sont ceux qui emploient des employés aux revenus les plus modestes et les plus jeunes", remarque-t-il, avançant que ces catégories risquent d'avoir du mal à emprunter de l'argent pour acheter un logement.Cette sélection s'avère déjà sensible dans les chiffres sur les crédits immobiliers. Elle est d'autant plus marquée que les autorités financières demandent depuis un an aux banques de prêter à des conditions un peu moins favorables.Puisque les logements deviendront de moins en moins accessibles financièrement, l'agence Moody's prévoit encore une autre évolution, cette fois politique."Il va y avoir de plus en plus de régulations à visée sociale", a estimé M. Allilaire, la plus emblématique restant le plafonnement des loyers.De fait, plusieurs grandes villes, dont Lyon et Bordeaux, se sont portées candidates ces dernières semaines auprès du gouvernement pour lancer une telle mesure, rejoignant ainsi Paris qui l'a réinstaurée l'an dernier.
Il y a 4 ans et 176 jours

La hausse des prix du logement s’atténue avec la crise mais cela ne profite pas à tous

"La hausse des prix se poursuit (...) mais elle s'atténue", a résumé jeudi la notaire Elodie Frémont, à l'occasion de la présentation des chiffres trimestriels du marché du logement ancien.Celui-ci sort de plusieurs années de progression ininterrompue des prix, avec comme symbole le cas de Paris où le mètre carré a passé l'an dernier le seuil symbolique des 10.000 euros.Depuis, une crise économique majeure s'est installée avec l'épidémie de coronavirus, et une récession massive est au programme cette année en France.Les effets, pour autant, se font attendre sur le marché du logement.Fait le plus notable: les ventes ont chuté à la suite du strict confinement mis en place au printemps. Fin septembre, il y en avait eu moins d'un million en un an, une première depuis fin 2019 et le ralentissement sera sûrement accentué par le nouveau confinement instauré tout novembre.Mais le véritable enjeu est de savoir si les logements finiront par coûter moins cher. Et, sur ce plan, le mouvement demeure encore timide.Au troisième trimestre, en gros l'été 2020, ils ont encore progressé de 5,2% par rapport à un an plus tôt, selon l'Insee. Cela reste un ralentissement, comparé au précédent trimestre (+5,6%).Surtout, ce phénomène touche la province comme l'Île-de-France, même si cette opposition est simpliste et ne rend pas compte des différences entre campagnes, petites villes et grandes métropoles comme Lyon et Marseille."Les 11.000 euros du mètre carré parisien ne seront pas atteints en fin d'année et certainement pas en janvier", a admis Mme Frémont.Plafonnement des loyersReste qu'il y a loin entre un ralentissement de la flambée des prix et une véritable baisse. Celle-ci n'est pas impossible mais elle attendra certainement de longs mois pour se concrétiser.Les prix des logements français pourraient reculer de 2% l'an prochain, estime ainsi l'agence de notation Moody's.Elle remarque que l'immobilier suit généralement de près la croissance économique. Or, avec un recul de quelque 10% du produit intérieur brut (PIB) attendu cette année, la baisse des prix est probable.A priori, il s'agit d'une bonne nouvelle. S'il est plus facile de se loger pour les Français, cela contribue en retour à faire repartir l'économie, en facilitant par exemple le fait d'habiter près de son travail.Seulement, selon Moody's, la baisse des prix ne voudra pas dire que les logements deviendront globalement plus abordables. Car tout le monde n'en profitera pas autant."C'est la première fois qu'une crise affecte les gens de manière aussi différenciée", soulignait en début de semaine Vincent Allilaire, l'un des experts de l'agence, lors d'une conférence."Les secteurs (...) les plus affectés sont ceux qui emploient des employés aux revenus les plus modestes et les plus jeunes", remarque-t-il, avançant que ces catégories risquent d'avoir du mal à emprunter de l'argent pour acheter un logement.Cette sélection s'avère déjà sensible dans les chiffres sur les crédits immobiliers. Elle est d'autant plus marquée que les autorités financières demandent depuis un an aux banques de prêter à des conditions un peu moins favorables.Puisque les logements deviendront de moins en moins accessibles financièrement, l'agence Moody's prévoit encore une autre évolution, cette fois politique."Il va y avoir de plus en plus de régulations à visée sociale", a estimé M. Allilaire, la plus emblématique restant le plafonnement des loyers.De fait, plusieurs grandes villes, dont Lyon et Bordeaux, se sont portées candidates ces dernières semaines auprès du gouvernement pour lancer une telle mesure, rejoignant ainsi Paris qui l'a réinstaurée l'an dernier.
Il y a 4 ans et 176 jours

Voirie Réseaux Divers (VRD) au sommaire de Solutions & Performances n°4

Pour son numéro du mois de novembre, Solutions & Performances s'intéresse à la VRD (Voirie-Réseaux-Divers). La préservation, la collecte, le traitement, la gestion, la distribution de l'eau, et les enjeux liés aux réseaux sont donc traités dans les différentes rubriques de la lettre du CSTB dédiée aux produits et système constructifs. Enjeux dresse un état des lieux de la ressource en eau et des réseaux de l'Hexagone qui doivent être optimisés pour préserver la ressource, tout en maintenant une distribution d'eau de qualité en France. La rubrique Actualités vous fournit les dernières informations sur la Révision des Cahiers des clauses techniques générales éditées par l'ASTEE, applicables aux marchés publics de travaux de génie civil. Malfaçons se concentre sur les eaux parasites qui infiltrent les réseaux d'assainissement, avec des conséquences sur l'environnement, l'entretien et la gestion des réseaux. Le chemisage pour la rénovation des réseaux d'eaux est au menu de Parole d'expert, découvrez cette technique en vidéo. Les châteaux d'eau s'érigent dans nos paysages depuis le milieu du 20ème s., il existe désormais des procédés sous Avis Techniques pour établir un diagnostic et déclencher une réhabilitation si nécessaire. C'est à lire dans la rubrique Innovations. Tendances est dans cette édition consacrée aux Structures Alvéolaires Ultra Légères, les SAUL, procédés innovants qui permettent de capter des eaux de pluies, pour une restitution optimisée au milieu récepteur. Dans la rubrique Le CSTB'Lab & les Start-up, découvrez RESO 3D, application innovante de géoréférencement des réseaux souterrains, sur smartphone, qui bénéficie de l'accompagnement de l'accélérateur de jeunes pousses du CSTB. Et toujours la rubrique Certificats – sur les procédés d'adduction et d'évacuation des eaux -, un décryptage dans Process et les Éditions-Formations du CSTB en lien avec la VRD. Solutions & Performances - Numéro 4 : « Voiries Réseaux Divers (VRD) » PDF 1.19 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !