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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

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Il y a 4 ans et 209 jours

RT 2020 : quel type de chauffage installer ?

La RT 2020 est sur le point d’entrer en vigueur pour les nouveaux bâtiments. Actuellement, la RT 2012 se concentre sur les chaudières gaz à condensation et les pompes à chaleur air-eau pour le chauffage des maisons. Ceci devrait changer avec le développement de la nouvelle réglementation thermique et ses exigences en matière de chauffage domestique. Qu’est-ce que la RT 2020 ? La RT 2020 (Réglementation Thermique 2020) est un ensemble de lignes directrices pour les nouveaux bâtiments. Elle entrera en vigueur le 1er janvier 2021. Son objectif principal est de créer des BEPOS (Bâtiments à Energie Positive), soit des constructions qui devront générer plus d’énergie qu’elles n’en consomment. Pour toute personne souhaitant construire une maison, la RT 2020 sera appliquée en fonction de la date à laquelle les travaux auront commencé. Si votre maison a été construite avant cette norme, vous n’êtes pas concerné. Toutefois, dans le cas où la construction devrait se faire après sa mise en place, elle devra être strictement respectée, sinon la mairie ne pourra pas délivrer de permis de construire. Parmi les éléments qui doivent respecter cette norme on retrouve les matériaux utilisés pour la construction, les isolations thermique et acoustique, ou encore le chauffage.   Les différents types de chauffage autorisés par la RT 2020 Avec l’entrée en vigueur de la RT 2020, l’objectif de consommation annuelle sera de 12 kWh/m² au lieu de 50 kWh/m² pour la RT 2012. Par conséquent, contrairement aux années précédentes, de nombreux systèmes de chauffage devront être évités. Par exemple, une chaudière gaz à condensation ne fera plus partie des installations de chauffage conseillées. Il faudra en effet opter pour des systèmes à énergie solaire ou au bois et des pompes à chaleur géothermique, air-eau ou bien air-air. L’énergie produite par ces dernières étant en moyenne quatre fois supérieure à l’énergie qu’elles consomment, elles répondent parfaitement au besoin de la RT 2020.   Quel système de chauffage choisir ? Le système de chauffage à privilégier pour répondre aux exigences de la RT 2020 dépendra de votre emplacement et de votre maison. Ces détails ne peuvent en effet être ignorés pour répondre au besoin de construire des BEPOS. Les systèmes à énergie solaire Si vous vous trouvez dans un environnement où les journées sont régulièrement ensoleillées, vous devez évidemment opter pour un système de chauffage fonctionnant à l’énergie solaire. En effet, le climat sera optimal pour ce type de chauffage. Vous pouvez pour cela installer des panneaux photovoltaïques. Les chauffages au bois Le chauffage du bois par un poêle ou chaudière à granulés est une option qui se veut écologique. L’impact carbone de ces produits est quasiment nul après fabrication. En effet, la quantité de dioxyde de carbone émise par les gaz de combustion est similaire à la quantité utilisée pour faire pousser des arbres utilisés comme combustible. Cependant, sachez que les poêles sont plus adaptés aux maisons dont la capacité et la surface sont petites. Les PAC Les pompes à chaleur (PAC) sont des équipements plus chers, mais leurs performances ne sont plus à prouver. Le principal avantage de ces derniers est qu’ils permettent de produire du chauffage et de l’eau chaude sanitaire et ainsi réduire la consommation d’énergie. Parce qu’il est situé à l’extérieur de la maison, lorsque la température descend en dessous de zéro, le coefficient de performance diminue. Néanmoins, les modèles plus récents sont plus résistants au froid et peuvent maintenir leurs performances à des températures atteignant les -7°C et continuer à chauffer jusqu’à -20°C. C’est par exemple le cas pour la pompe à chaleur air-eau. Dans le cas des pompes à chaleur géothermiques, elles peuvent être protégées des effets néfastes extérieurs grâce à l’isolation naturelle de la terre. Toutefois, il est nécessaire d’obtenir l’approbation de sa municipalité pour l’installation des PAC. En effet, certains lieux ne sont pas adaptés.
Il y a 4 ans et 209 jours

Weber : toujours fier et toujours plus vert

La filiale façades et sols de Saint-Gobain a dévoilé le 19 octobre les nouvelles orientations de sa politique de responsabilité sociale et environnementale intitulée « vert et fier ». Sa Directrice Générale, Charlotte Famy et son Directeur des ressources humaines, Jean-Bernard Morvan, ont accepté de détailler cette feuille de route pour le Moniteur.
Il y a 4 ans et 209 jours

Jacques Perotto est élu Président de CINOV SYPAA

Après une année au cours de laquelle il a co-piloté le syndicat avec Gérard Pinot, Président sortant, M. Perotto entend poursuivre le travail amorcé sur la constitution de référentiels qui puissent permettre de catalyser toutes les démarches liées à la programmation – à l'échelle d'un bâtiment, d'un projet urbain et d'un territoire – et de structurer les missions d'AMO.Fort de 40 années d'expertise dans ces domaines, Jacques Perotto a notamment fondé en 1986 l'entreprise de conseil en management AGORA, située à Lyon. Auparavant, il avait participé à la création de l'association CEGES qui, de 1981 à 1986, faisait figure de précurseur dans la mise en place de dispositifs innovants en matière d'aide à la création d'entreprises.Diplômé de l'Institut d'Etudes Politiques de Lyon et d'un DEA Sociologie et économie urbaine de l'Université Lyon II, M. Perotto entend mettre son expérience au service du syndicat, de ses adhérents et de la profession dans son ensemble.CINOV SYPAA, un syndicat au cœur des transformations à l'œuvreA la tête de CINOV SYPAA, Jacques Perotto s'est fixé comme objectif majeur de poursuivre la représentation des métiers de la prestation intellectuelle du conseil en urbanisme, notamment ceux des programmistes et des AMO. Il souhaite aussi renforcer la représentativité du syndicat, sa notoriété et son influence, et promouvoir la reconnaissance des qualifications professionnelles de la branche. M. Perotto entend, enfin, faire valoir l'intérêt de la formation et de la mise à jour continuelle des compétences au sein de la profession.Dans le contexte de crise sanitaire que nous connaissons actuellement, CINOV SYPAA souhaite encourager les bonnes pratiques professionnelles au service d'une économie responsable, et dynamiser les actions entre les métiers de l'urbanisme vis-à-vis des transformations de la société (économique, sociale, technologique et environnementale). Jacques Perotto entend aussi alerter sur les difficultés auxquelles est confrontée la filière. « La crise sanitaire a eu un impact important sur nos activités, qui reposent essentiellement sur la consultation », explique-t-il. « Au cœur des méthodologies que l'on met en œuvre, le travail d'équipe est essentiel, nos métiers sont donc peu compatibles avec la généralisation du télétravail... En effet, nous travaillons la plupart du temps de manière collaborative, en co-intervention entre professionnels, en concertation avec les parties prenantes à un projet et en co-production avec les équipes clients, pour lesquelles l'écoute, l'échange et le rapport humain sont primordiaux ! »La concurrence du secteur public constitue l'autre difficulté majeure à laquelle sont confrontés les programmistes en architecture et urbanisme. « Localement, beaucoup de nos concurrents sont des structures publiques et parapubliques, face auxquelles nous pouvons difficilement créer un rapport de force favorable, même si nous sommes souvent plus agiles et plus imaginatifs. Nos adhérents ont le sentiment que la crise a renforcé la concurrence déloyale de ces structures », déplore M. Perotto.Ce mandat sera donc l'occasion pour Jacques Perotto et le nouveau Conseil d'administration de mobiliser les adhérents autour de ces enjeux, de renforcer la place des programmistes sur les questions liées à l'évolution des territoires, d'agir pleinement sur la qualité du cadre de vie et de faire valoir le point de vue d'une profession totalement impliquée dans les mutations et les transitions en cours.
Il y a 4 ans et 209 jours

Un nouveau délégué général pour Inoha

CARNET-NOMINATION. Succédant à Valérie Dequen, Pierre-Emmanuel Bois est le nouveau délégué général d'Inoha, association professionnelle regroupant les Industriels du Nouvel Habitat.
Il y a 4 ans et 209 jours

Les solutions qui existent en cas de refus d'octroi d'un Prêt garanti par l'Etat

AIDES. Mesure emblématique parmi les dispositifs mis en place par le Gouvernement pour soutenir les entreprises durant la crise économique du Covid-19, le Prêt garanti par l'Etat, ou PGE, n'est pas systématiquement accordé aux demandeurs. D'autres outils spécifiques existent néanmoins pour les sociétés en difficulté.
Il y a 4 ans et 209 jours

Coronavirus : le guide de l’OPPBTP évolue avec le couvre-feu

En réaction aux nouvelles mesures adoptées par le gouvernement le 15 octobre, l’OPPBTP a présenté, le 22 octobre, une nouvelle version de son « Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d’épidémie de coronavirus SARS-CoV-2 ». Les évolutions concernent principalement les zones de couvre-feu et les personnes vulnérables à risque.
Il y a 4 ans et 209 jours

Lancement de deux appels à projets nationaux pour développer la filière hydrogène

En application de sa stratégie nationale pour le développement de l’hydrogène décarboné en France, le gouvernement lance deux appels à projets pour constituer des écosystèmes territoriaux autour de l’hydrogène et développer les briques technologiques et les démonstrateurs pour la production, le transport et l’usage de l’hydrogène.
Il y a 4 ans et 209 jours

Vinci construction réalisera un complexe de recyclage à Londres

Vinci confirme son engagement environnemental via la construction d'un futur complexe de recyclage londonien qui comprendra un centre de tri, un centre de recyclage et un lieu d’accueil du public.
Il y a 4 ans et 209 jours

Alstom signe une lettre d'intention pour une ligne de métro à Bagdad

La lettre d'intention a été signée lundi à Matignon à l'occasion de la visite officielle du Premier ministre irakien Moustafa al-Kazimi en présence du chef du gouvernement français Jean Castex, a précisé Alstom dans un communiqué.Il s'agit de construire une ligne de 20 km de long comportant 14 stations. Le projet inclut la fourniture par Alstom du matériel roulant, des systèmes électromécaniques, des voies, ainsi que les travaux de génie civil associés, confiés au groupe sud-coréen Hyundai Engineering & Construction.Il est encore trop tôt pour évoquer un montant ou une date d'ouverture de la ligne, a indiqué une porte-parole d'Alstom à l'AFP.Le groupe français discute depuis des années avec les autorités irakiennes.Il avait déjà signé en décembre 2017 un protocole d'accord pour ce projet. Le montant des travaux était alors évalué entre 2,1 et 2,5 milliards de dollars, pour une ouverture espérée en 2023.Le même document évoquait le développement de deux lignes de métro aérien dans la deuxième ville du pays, Bassora (sud-est).Alstom avait auparavant signé, en 2011, un accord préliminaire pour la construction d'un métro à Bagdad, de même qu'un protocole d'accord pour la construction d'une ligne de train à grande vitesse entre Bagdad et Bassora.
Il y a 4 ans et 209 jours

Le Sacré-Cœur de Montmartre est désormais inscrit aux monuments historiques

L'inscription de la basilique avait été proposée par la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) d'Ile-de-France. La commission régionale du patrimoine et de l'architecture (CRPA) a donné à l'unanimité un avis favorable le 13 octobre dernier, recevant le soutien explicite de la ministre de la Culture Roselyne Bachelot.Le dossier va être transmis à la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA), chargée de statuer sur le classement du site: un statut encore plus favorable pour la protection d'un monument historique.Selon le code du patrimoine, un édifice inscrit monument historique peut recevoir jusqu'à 40 % de subventions de l'Etat pour ses travaux de conservation et de rénovation, tandis qu'un édifice classé peut bénéficier de subventions sans limites de pourcentages.La basilique, édifiée dans les années 1870 sur les plans de l'architecte Paul Abadie, ainsi que ses abords, sont concernés par cette procédure d'inscription et de classement: cela concerne notamment le square Louise Michel, lieu de commémoration de la Commune. C'est en partie sur la Butte Montmarte qu'elle est née il y a 150 ans et a été réprimée.Tous les signaux sont au vert pour un classement au premier semestre 2021, soulignait-on mercredi au ministère.150 ans après la Commune, ce nouveau statut a une signification symbolique de réconciliation, puisqu'il protège en même temps un lieu du culte catholique et le théâtre de la révolte du peuple de Paris, souligne-t-on encore de même source.Depuis 2012, l'Etat a entrepris d'étendre la protection des édifices religieux parisiens, et des églises comme la Trinité en ont profité.Symbolisant dans le monde entier Paris aux mêmes titres que Notre-Dame ou la Tour Eiffel, le Sacré-Cœur est visité (hors période Covid) par 10 millions de personnes par an. La basilique monumentale a longtemps enflammé le débat entre cléricaux et anticléricaux. Sa construction avait répondu à un voeu émis en octobre 1871 pour "expier" la défaite de la France face à l'armée prussienne. Mais la première pierre n'avait été posée qu'en 1874, soit après la Commune.Au total 66 églises sont protégées (inscrites ou classées) à Paris, sur 1.950 sites et édifices qui le sont. Environ 44.500 édifices sont protégés en France.
Il y a 4 ans et 209 jours

Eiffage : un contrat de 140 M€ pour la construction du nouveau siège social de Lidl

En même temps que l'annonce du contrat de 140 M€ signé avec Lidl pour la construction de son siège français, la major a présenté sa nouvelle politique de communication autour de ses actions pour la décarbonation, « rendre visible l’invisible ».
Il y a 4 ans et 209 jours

Les aides de Bercy seront étendues aux nouvelles régions impactées par le couvre-feu

SOUTIEN. L'élargissement du Fonds de solidarité et le report des échéances sociales et fiscales acté pour novembre devraient également concerner les nouvelles régions où le couvre-feu sera vraisemblablement étendu ce 22 octobre, d'après le ministre chargé des PME, Alain Griset. Le système des PGE sera lui aussi aménagé.
Il y a 4 ans et 210 jours

Crise sanitaire, plan de relance Bâtiment et rénovation globale : le programme FEEBAT accompagne les professionnels

Pour soutenir, l'activité du bâtiment et encourager la transition énergétique, le gouvernement a renforcé MaPrimeRénov' afin d'encourager les propriétaires à réaliser des travaux de rénovation globale. La condition préalable ? La réalisation d'un audit énergétique avant travaux par un professionnel qualifié auditeur énergétique en maison individuelle, pour quantifier les économies d'énergies et proposer plusieurs scénarii de travaux au particulier.Les formations AUDIT Reno et DynaMOE préparent les entreprises et artisans de travaux, ainsi que les architectes et maîtres d'œuvre, à la réalisation de cet audit, grâce à des formations de qualité répondant au décret 2018-416 du 30 mai 2018 sur l'audit énergétique en maison individuelle.AUDIT Reno et DynaMOE sont des portes d'entrée privilégiées vers les qualifications d'auditeurs énergétiques en maison individuelles, et notamment la qualification 19.11 de l'OPQIBI pour les maîtres d'œuvre.Formations FEEBAT : des formats souples, individualisés et parfaitement adaptés au contexte sanitaireFace aux risques sanitaires actuels et parfaitement en phase avec le développement du digital/numérique, FEEBAT s'est adapté en créant des programmes en distanciel ou alternant présentiel/distanciel. Le module RENOVE Distanciel propose 21 heures de formation à distance réparties en 7 classes virtuelles. Le module AUDIT Reno mixe 6 heures de présentiel en une seule journée et une partie distancielle à raison de 8 heures, réparties entre des activités en autonomie sur son ordinateur ou sa tablette et des classes virtuelles avec un formateur et ses pairs.Les avantages sont indéniables : une plus grande souplesse dans la gestion de l'emploi du temps des professionnels formés et une approche sur mesure grâce à la partie en distanciel. Les connaissances acquises à distance sont par la suite mobilisées lors de la partie présentielle et les échanges entre pairs et avec le formateur expert métier en sont alors facilités.FEEBAT accompagne également les formateurs dans cette mutationSélectionnés pour leurs compétences techniques et pédagogiques, les formateurs et organismes de formation disposent désormais, via FEEBAT, de sessions de prise en main des nouveaux modules mis à leur disposition. FEEBAT a spécialement créé à leur intention des « formations d'appropriation » pour leur permettre d'être parfaitement à l'aise avec les 3 modules derniers nés :AUDIT Reno (1 journée d'appropriation), RENOVE Distanciel (½ journée d'appropriation sur l'animation de classe virtuelle) et DynaMOE (3 journées d'appropriation).A retenir : à l'occasion de la mise en place de DynaMOE, FEEBAT a lancé sa première communauté d'acteurs de la formation. Cette nouvelle plateforme conçue comme un véritable espace de partage permet de simplifier, capitaliser et dynamiser les échanges entre formateurs, organismes de formation et FEEBAT. Un moyen pour ces acteurs de rester parfaitement connectés pour faire évoluer et améliorer l'offre de formation !FEEBAT, un programme soutenu par les représentants de la Filière Bâtiment avec plus de 180.000 personnes formées FEEBAT est développé et soutenu par les pouvoirs publics (ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, Ministère de la Cohésion des Territoires, ministère de la Culture, ministère de l'Education Nationale et de la Jeunesse, l'ADEME), les représentants de la Filière Bâtiment, la CAPEB, le FFB, l'ATEE, le CNOA, les SCOP du BTP, et le CCCA-BTP.Initié en 2007, porté et financé par EDF dans le cadre du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) et des fonds de la formation continue issus de la collecte des entreprises, le Programme FEEBAT (Formation des professionnels aux économies d'énergie dans le bâtiment) est devenu incontournable en matière de transition et d'efficacité énergétique. Depuis plus de 12 ans, c'est LA référence de la formation des professionnels.
Il y a 4 ans et 210 jours

Covid-19 : nouvelle mise à jour pour le guide de l'OPPBTP

SANTÉ DES SALARIES. L'Organisme professionnel de prévention du BTP vient d'annoncer avoir publié une sixième version de son guide de préconisations liées à l'épidémie de covid-19.
Il y a 4 ans et 210 jours

Les parlementaires renoncent à la résiliation "à tout moment" de l'assurance d'emprunt immobilier

Des parlementaires étaient réunis en commission mixte paritaire pour tenter de trouver un texte de compromis sur le projet de loi dit "Asap", qui rassemble une série de simplifications administratives.Dans l'accord trouvé, les élus des deux chambres sont revenus à la version du Sénat s'agissant de l'assurance emprunteur.La date d'échéance pour une résiliation de contrat est la date d'anniversaire du contrat ou "toute autre date d'échéance prévue au contrat". Mais la résiliation ne pourra pas se faire "à tout moment", comme le souhaitaient des députés et l'association UFC-Que Choisir.L'article précise que l'assureur doit informer "chaque année" l'assuré sur "un support papier ou durable" de son droit de résiliation et de ses modalités."Même si l'Assemblée voulait aller plus loin, l'article initial des sénateurs est un vrai plus pour les consommateurs", considère le rapporteur du texte Guillaume Kasbarian, député LREM.La ministre déléguée à l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, s'était prononcée contre la résiliation à tout moment: "Les banques vont monter le coût de l'assurance, la perversité de ce dispositif pourrait être que les plus vulnérables paient plus", avait-elle estimé.La France compterait quelque 6 millions de particuliers détenteurs d'un crédit immobilier, générant environ 6 milliards d'euros par an de cotisations d'assurances, selon des chiffres fournis dans le rapport de la commission.Après le compromis trouvé, le projet de loi Asap va faire l'objet d'un ultime vote mardi au Sénat et mercredi à l'Assemblée, valant adoption définitive.Il a pour but de faciliter les démarches des administrations, entreprises et particuliers, avec comme tête de gondole un dispositif visant à simplifier l'expulsion de squatteurs de résidence secondaire.
Il y a 4 ans et 210 jours

La collecte sur le Livret A depuis le début de l'année à un niveau record

La collecte de septembre est cependant restée élevée avec un montant net de 1,26 milliard d'euros, a signalé mercredi la Caisse des dépôts qui gère ce placement, le plus populaire en France après l'assurance vie.C'est le mois le plus faible depuis février, avant que la pandémie de Covid-19 ne frappe la France et n'engendre plusieurs mois de confinement. C'est également moins bien que les 2,25 milliards d'euros du mois d'août mais supérieur de 26% à septembre 2019, sachant que le mois de la rentrée est traditionnellement un mois de collecte faible.S'il signale un "retour à la normale" en septembre, Philippe Crevel, directeur du Cercle de l'épargne, note tout de même que "le déficit de consommation entre mars et mai n'a pas été comblé dans les mois qui ont suivi"."Les ménages ne sont pas en mode consommation, mais en mode prudence", du fait de la situation sanitaire, souligne-t-il, tandis que la France fait face à une accélération de la pandémie de Covid-19.La collecte sur les Livrets de développement durable et solidaire (LDDS) n'a, elle, été que de 20 millions d'euros en septembre.Pour autant, depuis 2008, les Français ont l'habitude de retirer plus d'argent qu'ils n'en déposent sur le LDDS en septembre et la performance de 2020 témoigne donc d'une collecte supérieure à la moyenne.Additionnés, le Livret A et le LDDS engrangent une collecte nette de 1,28 milliard d'euros en septembre, et de 32,74 milliards depuis le début de l'année, ce qui est également un record.Le Livret A finance essentiellement le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements. À fin septembre, 443,7 milliards d'euros étaient placés au total sur les deux, soit une hausse d'environ 8% sur un an.
Il y a 4 ans et 210 jours

Etat-Régions : sous l’entente cordiale, une inquiétude persistante

Le cœur des régions de France balance, à l’issue de leur congrès du 19 octobre à Marseille. Satisfaites du climat de confiance confirmé par le Premier ministre à cette occasion, elles s’inquiètent des reports successifs de la publication des mandats de négociation attendus dans les préfectures de région en vue des futurs contrats de plan.
Il y a 4 ans et 210 jours

La poésie urbaine de Pejac

“Distance sociale” est une intervention en trompe-l’œil, qui crée l’illusion d’une profonde crevasse sur la surface rigide d’un mur en béton. [©Pejac @pejac_art] Lorsqu’on parle de l’artiste urbain Pejac (né en 1977), les termes qui viennent sont “message”, “adaptation” et “trompe-l’œil”. Peu importe qu’il travaille sur papier, sur toile, en public ou dans la rue, l’Espagnol a une énorme capacité à adapter son travail. Ceci, afin de faire passer un message clair et puissant. On peut qualifier Pejac de “poète urbain” et de rêveur. « La mélancolie et l’humour sont la locomotive de mes œuvres. Ils créent un langage poétique, dont l’essence ne repose pas sur la beauté simple, mais sur la face cachée de tout », explique Pejac. Bien que la rue soit son domaine de prédilection, Pejac peint aussi sur toile. Son art est provocateur et critique, capable d’arrêter l’observateur dans son élan. Mais tout en subtilité. A l’extérieur, il utilise pochoirs, peinture et bombes pour orner les villes au gré de son imagination. A l’intérieur, il modifie la réalité à l’aide de ses toiles ou des collages sur ses fenêtres. Pejac sait détourner des objets de leur quotidien et leur donner un sens différent. Il ouvre les portes de l’univers de la poésie, mais aussi celui de la réflexion. Pejac et la crise sanitaire Ses dernières œuvres ? Pejac en  a récemment créé trois à l’hôpital universitaire Marqués de Valdecilla, dans sa ville natale de Santander, au Nord de l’Espagne. A savoir “Distance sociale”, “Surmonter” et “Soin”. Regroupées dans le projet intitulé “Force”, ces réalisations graphiques montrent le besoin d’être fort. Qualité nécessaire dans le monde où nous vivons aujourd’hui, avec la pandémie et la crise sanitaire. Avec “Force”, l’artiste aborde 3 aspects différents de la situation actuelle. Et propose les moyens avec lesquels nous pourrions y répondre. « L’idée de mon projet est un geste de gratitude envers les personnels de santé de Valdecilla. Ceci, pour leur travail, en général et pendant la crise de Covid, en particulier. Je leur offre ce que je fais le mieux, c’est-à-dire la peinture », insiste Pejac. Et de poursuivre : « Dès le premier instant, l’hôpital a été réceptif et enthousiaste. Ce qui a permis au projet de se dérouler de manière harmonieuse et facile. De plus, on m’a donné une totale liberté de création. Ce fut un luxe d’avoir la confiance et le soutien de l’établissement tout entier ». Trois aspects de la pandémie L’artiste urbain Pejac a voulu représenter la blessure que cette pandémie a laissée. [©Pejac @pejac_art]« Dès le premier instant, l’hôpital a été réceptif et enthousiaste. Ce qui a permis au projet de se dérouler de manière harmonieuse et facile. De plus, on m’a donné une totale liberté de création. Ce fut un luxe d’avoir la confiance et le soutien de l’établissement tout entier. » [©Pejac @pejac_art]Au milieu de la foule, Pejac a inclus des scènes de retrouvailles, d’empathie, de soins et d’amour. Suggérant une porte vers un avenir meilleur et plein d’espoir. [©Pejac @pejac_art] “Distance sociale” est une intervention en trompe-l’œil, qui crée l’illusion d’une profonde crevasse sur la surface rigide d’un mur en béton. Réalisé à partir d’innombrables silhouettes humaines qui tentent d’y échapper. L’artiste urbain a voulu représenter la blessure que cette pandémie a laissée. Si l’image sert de métaphore, elle propose aussi littéralement la distance sociale comme moyen de les réparer. Au milieu de la foule, Pejac a inclus des scènes de retrouvailles, d’empathie, de soins et d’amour. Suggérant une porte vers un avenir meilleur et plein d’espoir. “Surmonter” représente la silhouette d’un enfant recréant avec ses mains “Le champ de blé avec des cyprès” de Vincent Van Gogh. [©Pejac @pejac_art]“Surmonter” est la deuxième pièce de la série, qui a été réalisée avec l’aide de jeunes patients en oncologie. [©Pejac @pejac_art]Le personnel de santé de l’hôpital universitaire Marqués de Valdecilla, dans sa ville natale de Santander, au Nord de pays. Devant la fresque “Surmonter”. [©Pejac @pejac_art] “Surmonter” est la deuxième pièce de la série, qui a été réalisée avec l’aide de jeunes patients en oncologie. Représentant la silhouette d’un enfant recréant avec ses mains “Le champ de blé avec des cyprès” de Vincent Van Gog. L’œuvre est en quelque sorte un miroir du travail de Pejac, réalisé en Norvège de 2015. Montrant un garçon peignant “Le cri” d’Edvard Munch avec ses voitures-jouets. Dans “Surmonter”, l’enfant est debout sur un fauteuil roulant. Il œuvre plus haut que les autres. « C’est quelque chose que nous – en tant que société – pourrions faire : prendre cette crise et l’utiliser pour nous propulser en avant »,suggère l’artiste. “Soin” est la dernière réalisation peinte qui décrit poétiquement la nouvelle dynamique de la relation imposée par le virus Covid entre les patients et les personnels de santé. [©Pejac @pejac_art]Pejac a aussi ajouté un sentiment de sérénité et de beauté, en transformant les ombres des personnages en des étangs colorés et paisibles avec des nénuphars. [©Pejac @pejac_art]Pejac rend hommage à l’un de ses peintres préférés, Claude Monet. [©Pejac @pejac_art] Enfin, “Soin” est la dernière réalisation peinte qui décrit poétiquement la nouvelle dynamique de la relation imposée par le virus Covid entre les patients et les personnels de santé. Tout en se tenant physiquement à distance et en ne se regardant que l’un l’autre, leurs silhouettes dépeignent le besoin et le souhait de revenir au contact physique. Pejac a aussi ajouté un sentiment de sérénité et de beauté, en transformant les ombres des personnages en des étangs colorés et paisibles avec des nénuphars. Rendant ainsi hommage à l’un de ses peintres préférés, Claude Monet. Un peu de douceur dans ce monde qui va mal… Muriel Carbonnet Instagram : @pejac_artTwitter : @Pejac_art
Il y a 4 ans et 210 jours

Un important chantier de rénovation débutera en novembre au Mont-Saint-Michel

Cette restauration est réalisée en raison d'une "dégradation sanitaire importante du bâtiment", avec "une altération de la pierre ainsi que des infiltrations d'eau", note le CMN dans un communiqué de presse."Certaines parties sont en effet recouvertes d'une couche très dense de lichen et de mousse, des surfaces conséquentes de parements se délitent et les ardoises des couvertures, vieilles de près de 150 ans, doivent être changées", ajoute le CMN.Pour réaliser ce chantier, d'un budget de près de sept millions d'euros, il sera nécessaire de monter des échafaudages d'une hauteur équivalente à celle de l'Arc de triomphe de Paris pour restaurer quelque 8.000 m2 de façades du bâtiment.Un ascenseur sera même installé le long de la façade afin d'accéder plus rapidement aux niveaux supérieurs du chantier, où une trentaine de compagnons interviendront.L'abbaye du Mont-saint-Michel, qui a rouvert le 15 juin après une fermeture liée à la pandémie du Covid-19, restera ouverte au public pendant la restauration."Les travaux seront réalisés par Degaine, filiale de VINCI Construction France, spécialisée dans la restauration des bâtiments classés ou inscrits à l'inventaire des monuments historiques", précisé le CMN.L'abbaye du Mont-Saint-Michel, qui a accueilli plus d'1,4 million de visiteurs en 2019, a fait l'objet de plusieurs campagnes de restauration ces dernières années, dont la statue de l'archange Saint-Michel (2016) ou le cloître (2017).
Il y a 4 ans et 210 jours

Coronavirus: des retards dans les chantiers du métro de la RATP

La crise sanitaire a entraîné des retards dans les chantiers du métro dans la région parisienne, dont les prolongements des lignes 4 à Bagneux (Hauts-de-Seine) et 12 à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).
Il y a 4 ans et 210 jours

Le notariat élit David Ambrosiano à sa présidence, les débats relancés sur l'ouverture de la profession

"David Ambrosiano, 50 ans, notaire à Fontaine - Isère -, a été élu président du Conseil supérieur du notariat", a annoncé dans un communiqué cette institution, qui chapeaute l'ensemble de la profession en France.M. Ambrosiano, qui succède au notaire parisien Jean-François Humbert, a immédiatement demandé à suspendre l'ouverture en cours de la profession, dans la lignée des précédentes prises de position du Conseil.Cette libéralisation, très relative, a eu lieu dans le cadre de la "loi Macron", adoptée en 2015 quand l'actuel président de la République était ministre de l'Economie.Elle a, concrètement, débouché sur la création de plusieurs centaines de nouveaux offices de notaires, alors que les nouveaux arrivants devaient jusqu'alors hériter d'une étude déjà existante, à de très rares exceptions près.Cette ouverture suscite l'opposition, vive au début puis plus contenue par la suite, des instances de la profession qui craignent les conséquences économiques d'une ouverture à la concurrence jugée trop brusque."Une pause dans les créations est nécessaire pour permettre le développement des offices créés récemment, et ne pas casser notre maillage territorial unique", a demandé mardi M. Ambrosiano.Peu avant l'été, l'Autorité de la concurrence, qui fournit régulièrement au gouvernement une feuille de route pour mener cette ouverture, a déjà promis de tenir compte des effets de la crise sanitaire et économique du coronavirus sur la profession.Le notariat a, néanmoins, récemment subi une défaite juridique devant le Conseil d'Etat à ce sujet. L'institution a refusé ce mois-ci d'annuler les dernières créations d'offices, décidées fin 2018 par le gouvernement en suivant l'avis de l'Autorité de la Concurrence.
Il y a 4 ans et 210 jours

Barbara Pompili prend plusieurs mesures pour inciter à produire sa propre électricité en milieu rural

« L'autoconsommation, c'est ce qui permet à chacun de devenir son propre producteur d'électricité, par exemple grâce à des panneaux solaires installés sur le toit de sa maison, et de pouvoir en faire bénéficier les consommateurs voisins. C'est une logique que je veux massifier dès lors que l'énergie proviendra de sources renouvelables. Jusqu'à présent, cette pratique de partage entre un producteur et ses voisins était limitée à un rayon d'1 kilomètre. J'ai décidé d'étendre ce rayon à 10km en zone rurale pour augmenter la capacité de chaque citoyen, entreprise ou collectivité à participer à la transition énergétique tout en réduisant ses charges. » a déclaré Barbara Pompili.Actuellement, près de 78 000 installations en autoconsommation sont raccordées en France, pour une puissance totale de 320 MW. Le Gouvernement souhaite aujourd'hui aller plus loin en accélérant le développement de l'autoconsommation en électricité des Français. L'autoconsommation collective permet en effet à un groupe de personnes de consommer l'électricité qu'ils produisent grâce à leurs propres moyens, souvent à partir de panneaux solaires photovoltaïques.En novembre 2019, le ministère avait déjà pris des dispositions pour faciliter les opérations d'autoconsommation collective. Tous les habitants situés dans un rayon de 1km autour de la source de production d'électricité pouvaient accéder à l'énergie ainsi produite.L'expérience de l'année écoulée a montré que ce rayon pouvait être trop petit dans les zones rurales, du fait de la dispersion des auto-consommateurs potentiels. Afin de répondre à cette particularité, il sera désormais possible pour les opérations situées dans une zone rurale de demander une dérogation dans la limite d'un rayon de 10 km, soit une surface totale 100 fois plus importante qu'actuellement.Cet arrêté aura un impact concret en permettant l'émergence d'opérations actuellement en projet, comme le projet des centrales villageoises du Val de Quint par exemple.Par ailleurs, le ministère de la transition écologique a mis en consultation une nouvelle version des cahiers des charges pour les appels d'offres destinés à attribuer le soutien aux énergies renouvelables sur la période 2021-2026. Cette nouvelle version qui concerne les appels d'offres pour les opérations d'autoconsommation prévoit une formule de rémunération plus simple, qui devrait permettre ainsi à plus de projets de candidater. Enfin, le plafond de puissance pour les projets pouvant candidater sera augmenté, en passant de 1 MW à 10 MW.Enfin, le futur arrêté tarifaire pour les projets photovoltaïques sur bâtiment qui augmente le plafond de 100 à 500kW et qui a reçu un avis favorable du Conseil supérieur de l'énergie est en cours de notification auprès de la Commission européenne. Il facilitera l'autoconsommation pour les installations entre 100 et 500 kW et permettra qu'une partie de l'électricité produite puisse être autoconsommée.
Il y a 4 ans et 210 jours

Tempête Alex : les architectes se sont mobilisés

CATASTROPHE NATURELLE. Immédiatement après le passage de la tempête Alex dans les Alpes-Maritimes, un appel à volontaires, lancé par le Conseil régional de l'Ordre des architectes et Architectes de l'urgence, a permis l'envoi de 23 volontaires sur place. Récit.
Il y a 4 ans et 211 jours

Rapprochement entre Action Logement et la Fédération des EPL

TERRITOIRES. Dans le contexte de réorganisation des bailleurs sociaux et d'implication croissante d'Action Logement dans les villes moyennes, la FedEPL et Action Logement affichent leur volonté de collaborer.
Il y a 4 ans et 211 jours

Nouveau report de charges sociales et fiscales pour le mois de novembre 2020

FISCALITÉ. Suite aux nouvelles mesures de couvre-feu décrétées pour freiner la reprise de l'épidémie de Covid-19, le ministère de l'Economie a acté un nouveau report pour les échéances sociales et fiscales du mois de novembre 2020. Les entreprises ayant des difficultés financières sont notamment concernées.
Il y a 4 ans et 211 jours

L'exécutif présente un projet de loi pour prolonger l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 16 février inclus

L'exécutif entend aussi pouvoir appliquer des mesures de restrictions de circulation, de rassemblements ou d'ouvertures des établissements au moins jusqu'au 1er avril 2021, sur tout ou partie du territoire et en fonction de la situation épidémique, selon le même texte.L'Assemblée nationale siègera exceptionnellement samedi et dimanche pour examiner ce projet de loi qui fera ensuite la navette au Sénat.Rétabli samedi dernier par simple décret, l'état d'urgence sanitaire est pour l'heure en vigueur jusqu'au 16 novembre. L'extension au-delà d'un mois de ce régime d'exception nécessite un vote du Parlement.L'état d'urgence sanitaire, créé à l'occasion de la crise du Covid-19, avait déjà été mis en place du 23 mars au 10 juillet 2020. Un régime transitoire, permettant certaines restrictions, avait ensuite été appliqué, jusqu'à ce qu'Emmanuel Macron, au vu de la dégradation des indicateurs sanitaires, ne décide la semaine dernière d'un tour de vis.L'état d'urgence autorise, si nécessaire, à limiter voire interdire les déplacements, ou à instaurer des confinements partiels ou complets de la population.Le projet de loi présenté mercredi offre donc ces armes à l'exécutif jusqu'au 16 février inclus, même si rien ne l'empêche d'y mettre fin de manière anticipée et localisée.Quand l'état d'urgence sera levé, entrera alors en vigueur le régime juridique transitoire tel qu'il a été appliqué à l'été 2020, au moins jusqu'au 1er avril 2021. Cette base légale permet par exemple aux préfets de départements d'imposer le port du masque, ou encore de fermer des cafés et restaurants en cas de regain de l'épidémie.Le texte ne fait aucune mention d'un report des élections départementales et régionales, demandé par certains à l'image du président de l'Assemblée Richard Ferrand qui a dit mercredi "souhaiter" un décalage. Un report passerait par l'adoption d'un projet de loi ad hoc.Le texte arrivé mercredi sur la table du Conseil des ministres habilite aussi le gouvernement à prendre un certain nombre d'ordonnances jusqu'au 1er avril 2021, notamment en matière d'emploi et du code du travail. Il ouvre notamment la possibilité à l'exécutif de prolonger le dispositif d'activité partielle au-delà du 31 décembre 2020, avec une indemnisation totale pour les secteurs les plus touchés par la crise.Des adaptations législatives sont enfin prévues avec le déploiement des tests rapides antigéniques, qui permettent d'obtenir des résultats en 15-20 minutes.
Il y a 4 ans et 211 jours

Convention climat : l'architecture de la future loi présentée aux citoyens

La ministre de la Transition écologique a présenté aux membres de la Convention citoyenne pour le climat (CCC) et à des élus "l'architecture" de la future loi qui doit reprendre une partie des propositions de la CCC, a-t-on appris mardi de sources concordantes."J'ai présenté aujourd'hui avec (le ministre chargé des Relations avec le Parlement Marc Fesneau) l'architecture du projet de loi d'application des propositions de la @Conv_Citoyenne", a indiqué Barbara Pompili sur Twitter lundi soir.Cette présentation a été faite lors de la première réunion du groupe de travail qui réunit députés et membres de la CCC, dans l'objectif de l'élaboration de cette loi qui doit être présentée en Conseil des ministres d'ici à la fin de l'année.5 grands thèmesCette loi devrait être décomposée en cinq titres reprenant les cinq grands thèmes sur lesquels les 150 citoyens ont travaillé: consommer, produire et travailler, se déplacer, se loger et se nourrir, selon une source proche de la réunion.Certains axes plus précis comme l'encadrement de la publicité, l'information des consommateurs, la rénovation énergétique des bâtiments ou encore l'artificialisation des sols seront également développés, a-t-on appris de même source. "Dans chaque chapitre, on voit des grands thèmes qui vont être repris, mais pas le contenu précis", a commenté mardi Grégoire Fraty, coprésident de l'association "les 150" qui regroupe 130 des 150 citoyens."Ça va dans le bon sens, mais c'est normal qu'on ne retrouve pas toutes nos billes vu que ce projet de loi ne reprend que 40% de nos mesures", a-t-il indiqué à l'AFP.146 mesures retenues sur les 149 présentéesParmi les 149 mesures de la CCC présentées en juin, le président Emmanuel Macron s'est engagé à en reprendre 146, sortant trois "jokers".Selon le ministère de la Transition écologique, 40% des mesures doivent passer par voie législative (en grande majorité dans cette loi spécifique), 20% dans le projet de budget 2021, 10% par voie réglementaire, 5% relèvent de négociations internationales et le reste d'"autres modalités".D'ores et déjà, une cinquantaine de mesures sur les 146 sont totalement ou en cours de mise en œuvre, a assuré une source gouvernementale.Six ont été incluses dans le budget 2021 dont le premier volet vient d'être voté à l'Assemblée (hausse du forfait mobilité durable, baisse des taxes sur le carburant des avions de tourisme, création d'un malus au poids des voitures...), mais pas la révision du barème de l'indemnité kilométrique dans l'impôt sur le revenu, finalement écartée et qui devrait revenir en partie par voie règlementaire.Le gouvernement doit prochainement mettre en ligne un tableau de bord qui permettra de suivre le devenir de chaque mesure.Cette évaluation risque de provoquer des contestations de la part des ONG qui estiment que nombre des annonces ne sont que partiellement en ligne avec les propositions des citoyens, propositions qu'elles accusent le gouvernement de "détricoter".Dans une lettre adressée au président de la République la semaine dernière, l'association "les 150" a elle regretté l'absence de "soutien clair" du gouvernement à leurs propositions et le manque d'"ambition générale" pour le climat alors que l'objectif de la CCC était de réduire les émissions de gaz à effet de serre de la France d'au moins 40% d'ici à 2030.
Il y a 4 ans et 211 jours

Atlas de la grotte Chauvet-Pont d’Arc

La monographie de la grotte Chauvet-Pont d’Arc est la publication officielle qui rend compte de l’ensemble des recherches pluridisciplinaires et pluri-institutionnelles soutenues par le ministère de la Culture, menées dans la grotte depuis 1997. Son premier tome, Atlas de la grotte Chauvet-Pont d’Arc, a pour objectif d’offrir au lecteur la possibilité de circuler dans la grotte par l’intermédiaire d’une riche iconographie, d’observer par lui-même et de comprendre les paysages souterrains dans lesquels s’inscrivent les œuvres pariétales et les vestiges archéologiques. Les quatre parties de l’Atlas (méthodologie, contexte, cartographie des sols, conservation) sont construites autour des cartes qui rendent compte des différentes acquisitions, analyses et représentations des données permises par ces vingt années de recherche. Ouvrage exceptionnel au service d’une recherche interdisciplinaire exceptionnelle, l’Atlas de la grotte Chauvet-Pont d’Arc propose, sous la forme d’un atlas classique de nombreuses approches et conceptions spatiales novatrices : approche spatialisée d’un lieu d’activité et de créativité humaines, approche spatiale d’un site archéologique, découpage spatial d’une entité géographique du monde naturel qui est aussi un lieu d’expression symbolique collectif. http://www.editions-msh.fr/livre/?GCOI=27351100204910
Il y a 4 ans et 211 jours

Le Sacré-Cœur bientôt un monument historique ?

Un siècle après la consécration de la Basilique, la DRAC Île-de-France a engagé le processus pour protéger le Sacré-Cœur au titre des monuments historiques. À ce jour, elle ne bénéficie d’aucune protection au titre des monuments historiques, ce qui reflète la progressive et parfois difficile reconnaissance du patrimoine du XIXe siècle. La basilique s’est pourtant imposée comme une référence en matière d’architecture religieuse au moins jusque dans les années 1950, et est devenue un édifice parisien incontournable voire iconique pour les nombreux visiteurs de la capitale. Ce projet de protection a d’abord fait l’objet d’un examen en commission régionale de l’architecture et du patrimoine d’Île-de-France le 13 octobre 2020, en vue d’une inscription au titre des monuments historiques. La commission régionale en ayant formulé le vœu, la basilique pourra ensuite être proposée au classement après consultation de la commission nationale, et sur décision de la ministre de la Culture.
Il y a 4 ans et 211 jours

Appel à projets : création de deux œuvres artistiques éphémères pour cacher les travaux du ministère de la Culture

Le ministère de la Culture met en œuvre le « projet Camus » de regroupement de ses services d’administration centrale sur trois sites au lieu de sept actuellement. Dans ce cadre, le ministère entreprend des travaux de modernisation et lance un marché pour la réalisation de deux créations artistiques éphémères sur les habillages extérieurs des installations de chantiers de l’hôtel de Valois et de l’immeuble des Bons-Enfants (Paris 1e). Chacune des deux œuvres sera installée sur la voie publique, le temps des travaux, de janvier à novembre 2021. Cette commande a aussi pour but de montrer la vitalité de la création visuelle contemporaine. Périmètres : Hôtel de Valois : deux palissades de chantier et habillage d’un échafaudage à partir de janvier 2021 (bâche tendue). Immeuble des Bons-Enfants : une palissade de chantier à partir de juin 2021 (installations situées à proximité, sans co-visibilité). Déroulé de la procédure : 1e phase : candidature sur dossier, sélection de 3 dossiers mi-novembre, 2e phase : rendu des offres mi-décembre, sélection du lauréat : courant décembre 2020 pour une installation en janvier 2021. Dépôts des candidatures sur www.marches-publics.gouv.fr Numéro de consultation : 2020-24-CAMUS Photo : ministère de la Culture, immeuble des Bons-Enfants, photographe : Mehrak Hans Lucas
Il y a 4 ans et 211 jours

Logement: l'ex-ministre Thierry Repentin à la tête de l'Anah

L'ancien ministre Thierry Repentin prend la présidence de l'Agence nationale de l'habitat (Anah), l'organisme qui octroie les aides publiques à la rénovation des logements privés.
Il y a 4 ans et 211 jours

Le Nouvel Habitat a un nouveau Délégué Général : Pierre-Emmanuel BOIS

Pierre-Emmanuel BOIS, 51 ans, vient d’être nommé Délégué Général d’Inoha, association professionnelle regroupant les Industriels du Nouvel Habitat. Il succède à Valérie Dequen qui a quitté ses fonctions fin Septembre. Diplômé d’un DEA de l’Institut d’Etudes Politiques de Lyon, Pierre-Emmanuel BOIS, 51 ans, a débuté sa carrière en 1995 comme Assistant Parlementaire à l’Assemblée Nationale avant de rejoindre l’univers des fédérations professionnelles. Dès 1998, il devient adjoint au Secrétaire Général de la CGAD / Confédération Générale de l’Alimentation en Détail avant d’occuper, pendant 14 ans, le poste de Délégué Général de l’UNEP /Union Nationale des Entreprises du Paysage. Il rejoint en 2016 la Confédération Générale des Planteurs de Betterave (CGB) et en 2018 l’Union Nationale des Métiers de l’Evénement comme Délégué Général. « Investi depuis toujours dans les associations professionnelles, je pense que leur rôle est d’apporter la vision de l’évolution de leur secteur d’activité tant auprès de leurs adhérents que des pouvoirs publics pour les éclairer dans les décisions à prendre » explique Pierre-Emmanuel BOIS. Sous la présidence de Jean-Luc GUÉRY, Pierre-Emmanuel BOIS s’attachera à « consolider les actions entreprises par Inoha ces dernières années autour du concept du Nouvel Habitat, mais aussi renforcer la relation avec les distributeurs et les pouvoirs publics au bénéfice de l’ensemble des acteurs du secteur. Nous devons également développer l’offre de services pour attirer de nouveaux adhérents, mettre en place des partenariats avec d’autres fédérations en lien avec notre univers. Enfin, il est primordial de communiquer auprès des adhérents sur l’action d’Inoha, mais aussi auprès du grand-public pour montrer en quoi cette industrie du nouvel habitat est essentielle et faire rayonner beaucoup plus le secteur ». Interrogé, Jean-Luc GUÉRY déclare « je suis ravi de l’arrivée de Pierre-Emmanuel BOIS au sein d’Inoha. Il a pour mission essentielle d’accompagner nos adhérents dans ce monde où la notion de Nouvel Habitat prend, plus que jamais, tout son sens ». http://www.inoha.org
Il y a 4 ans et 211 jours

Covid-19 : Éliminer le virus grâce à l'éclairage UV-C et les nouvelles technologies Signify

Dans le cadre des dernières annonces du gouvernement, l'éclairage UV-C se révèle de plus en plus important pour, entre autres, désinfecter l'air et les objets. Cela contribue notamment à renforcer la protection sanitaire au sein des maisons de retraite, établissements scolaires, commerces alimentaires, magasins de détail, ou encore dans l'industrie, les bureaux et les transports publics. L'efficacité des sources de lumière UV-C de Signify sur l'inactivation du SRAS-CoV-2, le virus à l'origine de la COVID-19, a été validée par l'université de Boston.Les professionnels du marché français pourront désormais s'équiper, aussi bien de luminaires de désinfection UV-C Philips destiné à la désinfection de l'air, des systèmes de désinfection de surface que de chambres de désinfection UV-C Philips pour l'assainissement des objets.Comment agissent les UV-C ?Les UV-C désactivent l'ADN et/ou l'ARN des micro-organismes, y compris les virus et les bactéries, les rendant inoffensifs. Les lampes UV-C de Signify émettent un pic de rayonnement à 254 nm, ce qui est proche du pic d'efficacité germicide et donc idéal pour désinfecter l'air, les surfaces et les objets.L'éclairage UV-C a fait ses preuves et est reconnu comme un désinfectant efficace. Aucun pathogène connu ne résiste à l'UV-C. L'efficacité des sources de lumière UV-C de Signify pour désinfecter le SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, a été récemment validée par un test de laboratoire de l'université de Boston, qui a démontré que les sources de lumière UV-C de Signify désactivent le SRAS-CoV-2 en quelques secondes, avec un taux d'élimination des germes et bactéries de l'ordre de 99,9%.Dans un monde où les organisations cherchent de nouveaux moyens de poursuivre leurs activités en toute sécurité afin de fournir le meilleur service à leurs clients, Signify les accompagne dans leurs plans de sécurisation des espaces de travail pour renforcer la sécurité sanitaire.« Plus que jamais, il est essentiel de pouvoir avoir recours à des solutions de décontamination efficaces. Avec 35 ans d'expérience dans le domaine de l'éclairage UV-C, nous avons acquis une solide expertise en matière d'applications. Et la situation actuelle, en France et dans le reste du monde nous amène à développer une nouvelle gamme de luminaires et de chambres de désinfection par UV-C, idéales pour une utilisation dans les bureaux, les commerces, les usines, les zones d'accueil, les écoles et les toilettes publiques ».François Darsy, Responsable Marketing, chez SignifySolutions de désinfection de l'airLuminaires de désinfection UV-C Philips Upper-Air : Signify propose des dispositifs de désinfection de l'air par UV-C à montage mural ou au plafond. Installé sur un mur à une hauteur typique de 2,3 à 3 m, les luminaires Upper-Air désinfectent l'air en continu et silencieusement dans la partie supérieure de la pièce avec un puissant rayonnement UV-C. Combinés à un réflecteur et à un système optique, ce système assure aux personnes de pouvoir continuer à travailler dans les parties inférieures d'une pièce en toute sécurité. Les appareils de désinfection de l'air ambiant par UV-C permettent de désinfecter l'air en continu. Ces luminaires sont parfaitement adaptés aux maisons de retraite, aux bureaux, aux commerces de détail, aux magasins d'alimentation, à l'hôtellerie, aux écoles, aux banques, ainsi qu'aux lieux culturels et de divertissement (cinémas, salles de théâtre, salles de sport), les toilettes publiques, les hôpitaux et autres zones à forte fréquentation.Solutions de désinfection des objetsChambre de désinfection Philips UV-C : Cette chambre est destinée à la désinfection instantanée d'objets et appareils portatifs. Fournissant une dose de désinfection de 80 mJ/cm², la chambre désactive à plus de 99,9% le virus SARS-CoV-2 en une minute. Ces chambres sont dotées de fonctions avancées pour assurer une désinfection en toute sécurité, notamment grâce à des capteurs sur les portes d'accès, des serrures magnétiques pour empêcher l'ouverture accidentelle de la porte et des trappes d'inspection. Un écran de maintenance permet de surveiller la durée de vie des lampes ou encore la dose d'UV diffusée. Les objets que l'on peut désinfecter ainsi comprennent les objets à usage partagé tels que les casques d'écoute, les scanners à main et les outillages divers. La chambre peut également être utilisée sur les vêtements et les tissus, ce qui en fait une solution idéale dans les magasins de mode pour la désinfection des vêtements après utilisation dans les cabines d'essayage. La chambre de désinfection Philips UV-C n'est pas destinée et ne doit pas être utilisée pour désinfecter des dispositifs médicaux ou à des fins médicales.Systèmes de désinfection des surfacesIl s'agit d'un système modulaire basé sur une installation fixe de luminaires au plafond qui est utilisée à des moments choisis pour désinfecter une pièce ou un espace clos avec un puissant rayonnement UV-C. La réglette UV-C Philips permet de désinfecter les zones de contacts fréquents, telles que les salles de réunion, les restaurants, les supermarchés, les toilettes ou les bâtiments publics.Installation et sécuritéLes solutions de désinfection des surfaces par UV-C nécessitent la mise en place impérative de procédures rigoureuses pour garantir la sécurité des individus. Les luminaires UV-C ouverts nécessitent un usage en enceinte fermée ou un lieu à accès contrôlé avec un protocole de sécurité qui garantit que, pendant le fonctionnement des UV-C :Il n'y a pas de personnes présentes pendant le fonctionnement de l'UV-C Le lieu est verrouillé pendant le fonctionnement de l'UV-C Aucun accès involontaire ne peut se produire pendant le fonctionnement de l'UV-C.Ce type de système doit être dimensionné, installé et maintenu par un professionnel certifié du réseau de Value Added Partner de Signify qui appliquera des protocoles et outils standardisés à cet effet. L'installation doit être réalisée par un professionnel, afin d'éviter tout risque d'exposition des êtres humains et des animaux, car l'UV-C peut provoquer des lésions cutanées et oculaires.L'utilisation sûre des UV-C est rendue possible par les normes existantes et les nouvelles directives de l'industrieLes dangers potentiels liés à l'utilisation des UV-C sont bien compris, et des mesures de protection appropriées sont décrites dans les normes pour les prévenir. Au début de l'année 2020, la Global Lighting Association (GLA) a réuni des experts de l'industrie et a permis d'élaborer des directives de sécurité pour les technologies UV-C de la GLA², qui définissent ces mesures de protection supplémentaires. Ces lignes directrices aident les fabricants à s'assurer que les produits UV-C sont fabriqués, installés et complétés en respectant des procédures rigoureuses et encadrées et cela afin de garantir une utilisation sûre à tout moment. Signify, l'un des leaders du secteur de la technologie UV-C, a contribué à l'élaboration de ces lignes directrices, en mettant à profit ses années d'expérience en matière d'application et en les partageant avec l'ensemble du secteur afin de permettre l'utilisation la plus large et la plus sûre possible de cette technologie pour faire face à la pandémie actuelle.Alors que les normes seront détaillées dans les années à venir, et que la CEI et d'autres organismes de normalisation ont commencé à le faire, les principales exigences de sécurité sont couvertes de manière adéquate par les réglementations existantes et les lignes directrices du GLA sur la sécurité des UV-C.
Il y a 4 ans et 211 jours

Crise sanitaire et plan de relance Bâtiment : Comment FEEBAT accompagne-t-il le mouvement ?

Depuis le 1er octobre, une rénovation globale de maison individuelle peut bénéficier d’une aide conséquente avec MaPrimeRénov’. Cette aide peut être cumulée avec les certificats d’économies d’énergie. Pour soutenir, l’activité du bâtiment et encourager la transition énergétique, le gouvernement a renforcé MaPrimeRénov’ afin d’encourager les propriétaires à réaliser des travaux de rénovation globale. La condition préalable ? La réalisation d’un audit énergétique avant travaux par un professionnel qualifié auditeur énergétique en maison individuelle, pour quantifier les économies d’énergies et proposer plusieurs scénarii de travaux au particulier. Les formations AUDIT Reno et DynaMOE préparent les entreprises et artisans de travaux, ainsi que les architectes et maîtres d’œuvre, à la réalisation de cet audit, grâce à des formations de qualité répondant au décret 2018-416 du 30 mai 2018 sur l’audit énergétique en maison individuelle. AUDIT Reno et DynaMOE sont des portes d’entrée privilégiées vers les qualifications d’auditeurs énergétiques en maison individuelles, et notamment la qualification 19.11 de l’OPQIBI pour les maîtres d’œuvre. Formations FEEBAT : des formats souples, individualisés et parfaitement adaptés au contexte sanitaire Face aux risques sanitaires actuels et parfaitement en phase avec le développement du digital/numérique, FEEBAT s’est adapté en créant des programmes en distanciel ou alternant présentiel/distanciel. Le module RENOVE Distanciel propose 21 heures de formation à distance réparties en 7 classes virtuelles. Le module AUDIT Reno mixe 6 heures de présentiel en une seule journée et une partie distancielle à raison de 8 heures, réparties entre des activités en autonomie sur son ordinateur ou sa tablette et des classes virtuelles avec un formateur et ses pairs. Les avantages sont indéniables : une plus grande souplesse dans la gestion de l’emploi du temps des professionnels formés et une approche sur mesure grâce à la partie en distanciel. Les connaissances acquises à distance sont par la suite mobilisées lors de la partie présentielle et les échanges entre pairs et avec le formateur expert métier en sont alors facilités.     Pour plus d’information, merci de contacter le service de presse au 01 40 21 08 13 ou cattoire@cattoire.com
Il y a 4 ans et 211 jours

Le débat public sur l'éolien marin en Normandie pointe inquiétudes et manque d'information

En plus des trois parcs déjà prévus sur la façade normande, non encore construits, le gouvernement en a annoncé un quatrième, qui serait attribué d'ici 2021 pour mise en service en 2028.Entamé en novembre 2019, le débat, achevé en août, s'est tenu dans "un contexte critique", sur fond de crainte des pêcheurs quant aux conséquences du Brexit sur le rétrécissement de leur zone d'activité, note la commission.Cinquième débat normand en dix ans, celui-ci s'est "engagé sur un fond de déjà-vu, de défiance envers le maître d'ouvrage (l'État, NDLR) et d'incrédulité quant aux apports réels des études d'impact", souligne la synthèse.Pour la première fois pourtant, il était organisé très en amont du projet, les participants étant invités à se prononcer sur sa localisation et celle d'autres parcs potentiels.Ils ont ainsi défini des zones "intouchables" pour cause de ressource halieutique ou de patrimoine (plages du Débarquement, Etretat...). Ils l'ont aussi souhaité loin des côtes (au-delà de 30 km), ou, pour certains, près des trois parcs déjà prévus afin d'en limiter les coûts.Dans ses recommandations, la commission suggère notamment à l'État de permettre la pêche dans les nouveaux parcs, comme cela se fait en Europe du Nord.Elle relève aussi une forte demande de planification de la mer pour faire cohabiter les usages et "sortir des décisions au coup par coup". Il existe bien un "+document stratégique de façade (DSF)+" mais il est "insuffisant", explique à l'AFP Francis Beaucire, président de la commission, créée pour superviser ce débat.La recherche scientifique, associée à l'expérience des usagers, doit en outre être développée pour établir l'impact des activités éoliennes sur la faune marine et "lever les controverses inutiles", note M. Beaucire.Au-delà, la commission demande à l'État de mettre à disposition du public "un bilan écologique et économique complet de toutes les sources de production électrique, nucléaire compris", pour mieux faire comprendre ses choix en matière de ressources énergétiques.Le gouvernement a jusqu'au 19 janvier pour répondre.La France a depuis 2012 attribué sept projets éoliens marins. De difficultés administratives en blocages judiciaires, aucun n'est encore en activité, et le premier à démarrer devrait être Saint-Nazaire en 2022.
Il y a 4 ans et 211 jours

L'État a reçu pour près de 8 milliards d'euros de projets pour la rénovation des bâtiments publics

"Plus de 4.000 projets de rénovation pour près de huit milliards ont été proposés", a annoncé l'exécutif dans un communiqué.Le gouvernement a fait de la rénovation énergétique l'un des grands axes de son plan de relance, qui a été annoncé à la rentrée et vise à sortir durablement l'économie de la crise engendrée par le Covid-19.Il compte consacrer presque sept milliards d'euros sur deux ans à ce thème et la plus grande partie de ce budget - quatre milliards - doit alimenter un vaste plan de rénovation des bâtiments publics.Celui-ci comprend deux grands volets: d'un côté, les seuls établissements d'enseignement et de recherche, comme les universités, et, de l'autre, administrations et différents établissements publics.Ce sont ces acteurs qui ont présenté les huit milliards d'euros de projets annoncés mardi et parmi lesquels une sélection devra donc être effectuée dans l'idée de lancer les travaux dès l'an prochain.Pour l'essentiel des projets, ce sont les préfets de région qui effectueront la sélection lors des prochaines semaines.Mais, pour les plus coûteux - plus de cinq millions d'euros ou plus de huit millions en Île-de-France -, les décisions seront arrêtées d'ici environ un mois par le gouvernement lui-même.L'ensemble des dossiers retenus doit être annoncé avant le 30 novembre.
Il y a 4 ans et 211 jours

Le gouvernement présente des mesures pour assurer la continuité de l'approvisionnement en électricité cet hiver

Le 11 juin dernier, à l'occasion d'une présentation de l'évaluation des besoins en électricité pour les mois à venir, RTE a souligné l'impact de la crise sanitaire et du confinement qui ont conduit à décaler les travaux de maintenance des réacteurs nucléaires normalement réalisés au printemps et en été et qui ont donc réduit la disponibilité du parc en hiver. Le ministère avait annoncé des mesures pour contribuer à l'équilibre du système électrique pendant l'hiver 2020-2021 : optimisation du planning d'arrêts et de maintenance des réacteurs nucléaires pour assurer une disponibilité maximale durant l'hiver, coup de pouce pour l'installation de thermostats à hauteur de 150 euros, campagnes de sensibilisation aux économies d'énergie, soutien à l'effacement.L'effacement désigne des contrats passés entre des opérateurs spécialisés et des entreprises ou des particuliers qui acceptent, pendant quelques minutes ou quelques heures, de réduire ou différer certaines de leurs consommations pour soulager le réseau électrique en période de pointe. Cela peut concerner des procédés industriels, ou encore le chauffage ou la production d'eau chaude de particuliers volontaires. Les entreprises ou particuliers qui passent ces contrats y gagnent en consommant mieux, à des moments où l'énergie est moins chère et moins carbonée, et en bénéficiant du soutien apporté par l'État.L'appel d'offre finalisé aujourd'hui va permettre de réduire les consommations pendant les pointes de 1,5 Gigawatt, soit l'équivalent de la puissance de plus d'une centrale nucléaire. L'effacement contribue à la sécurité d'approvisionnement et peut permettre d'éviter de faire appel à des moyens fossiles.Pour atteindre ce résultat, le dispositif de soutien à l'effacement a été renforcé pour augmenter les capacités d'effacement pour l'hiver prochain : le plafond de prix de l'appel d'offres a été doublé, passant à 60k€/MW pour l'année 2021 ; une bonification pour les nouvelles capacités d'effacement qui pourraient se rendre disponibles dès le mois de novembre 2020 a également été mise en place.Ces mesures ont rencontré un grand succès. Barbara Pompili désigne aujourd'hui 59 projets lauréats de l‘appel d'offres pour l'année 2021. Ils représentent un volume total de 1509 MW qui a presque doublé par rapport à l'appel d'offres pour l'année 2020. Parmi ces 1509 MW de projets sélectionnés, 371 MW seront disponibles dès novembre-décembre, contribuant à la sécurité d'approvisionnement dès le début de l'hiver.
Il y a 4 ans et 211 jours

La tuile solaire made in France

La Fabrique de tuiles solaires Sunstyle vient d’être lancée ce jour, en présence de la Ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili. Cette dernière a pu découvrir les différentes facettes de la fabrication des tuiles solaires “made in France” fabriquées dans la Vienne à Châtellerault, qui ambitionnent de fournir 1 GW de tuiles solaires à l’horizon 2025. La tuile Sunstyle est une plaque de verre texturée protégeant des cellules solaires. Sa capacité de production est de 115Wc pour une tuile noire, et de 85Wc si elle est colorée. Elle a été distinguée parmi les premières solutions labellisées par la Fondation Solar Impulse, en tant que technologie innovante et viable pour protéger l’environnement. La tuile Sunstyle regroupe deux fonctions en un seul et même produit : couverture étanche et production énergétique. Sa taille (870 x 870 mm) permet une installation simple et rapide. Elle n’exige quasiment aucun entretien et est un élément de construction d’une grande longévité. Ainsi, elle représente une économie à long terme pour le bâtiment, puisque l’on estime que le coût de l’équipement est amorti au bout de 10 à 14 ans.
Il y a 4 ans et 211 jours

Le Gouvernement désigne une centaine de lauréats pour les appels d'offres ENR

RENOUVELABLES. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a annoncé ce 20 octobre 2020 la centaine de projets lauréats des appels d'offres Energies renouvelables (ENR). Les installations en question, qui regroupent des éoliennes et des panneaux solaires, devraient développer une puissance totale de 600 MW et bénéficier d'un tarif d'achat garanti de l'électricité produite.
Il y a 4 ans et 212 jours

A 130 ans, Dény Security recrute pour partir à la conquête de nouveaux marchés en France et à l’international

Acteur français reconnu dans le domaine de l’organisation des sites à forte implication sécuritaire, Dény Security conçoit, développe et produit des gammes complètes de matériels et de systèmes permettant d’assurer une condamnation sécurisée des accès, et une bonne circulation des flux humains autorisés. En cette année anniversaire, l’entreprise basée à Saint Blimont (80), filiale d’un groupe européen indépendant côté en bourse, annonce un plan de recrutements destinés à renforcer son équipe commerciale dans le cadre de sa stratégie de développement en France et à l’étranger.   Une puissance commerciale Confiée à Antoine Douville, promu Directeur des Ventes à 31 ans après bientôt 10 ans au sein de la société en tant que Responsable Commercial puis Export, la force de vente de Dény Security se distingue par une présence marquée sur le territoire et un contact direct avec ses clients finaux utilisateurs. Cette organisation permet à la PME de 140 personnes de maîtriser parfaitement leurs problématiques de contrôle d’accès quels que soient les secteurs d’activité dans lesquels ils évoluent. Pour promouvoir l’ensemble de ses solutions dédiées à la mise en sécurité, Dény Security s’appuie sur un réseau commercial désormais organisé en trois pôles : • l’activité historique composée de deux responsables régionaux (Ouest, Est) et d’une équipe terrain de 15 collaborateurs qui se répartissent le territoire national par département. Outre le suivi proactif de la clientèle existante afin de consolider la position de Dény Security, ils ont en charge le développement de partenariats locaux solides avec tous les acteurs du secteur (clients, installateurs, menuisiers…), • une cellule « projets » dans laquelle trois personnes se consacrent aux grands comptes tels que les aéroports, le secteur du transport ferroviaire ou celui des banques…, avec, pour chacun un expert dédié. Elles ont aussi pour mission de trouver des projets de construction ou de rénovation d’envergure sur lesquels Dény Security interviendra depuis l’appel d’offres jusqu’à la livraison des produits sur site, • une cellule « prospection » qui vient d’être créée afin d’identifier les dossiers à potentiel parmi les leads entrants. En parallèle, le département Export qui réalise environ 15% du chiffre d’affaires de Dény Sécurity vise les mêmes objectifs.   L’humain et l’innovation au cœur de cet enjeu stratégique de développement Pour réussir à conquérir ces nouveaux marchés et déployer une approche commerciale par métiers, notamment pour le secteur de l’hôtellerie, Dény Security s’est donné les moyens de ses ambitions et a mis en place un plan de recrutements avec des embauches de profils motivés et dynamiques. En complément, Dény Security a investi dans des outils de veille afin d’aider sa force de vente à avoir une vision du marché la plus précise possible. L’objectif : identifier de façon rapide et efficace là où l’entreprise peut se positionner. Disposant d’une large gamme de solutions en parfaite adéquation avec les besoins de ses clients et prospects, Dény Security mobilise en permanence son bureau d’études pour se positionner sur ses marchés cibles. En témoignent, le travail effectué sur la serrure LSS, spécialement conçue pour le secteur bancaire, et plus récemment l’écosystème Optimal développé pour le tertiaire.   Grâce à cette nouvelle organisation commerciale, Dény Security, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 22,5 millions d’euros en 2019, vise une progression annuelle à deux chiffres sur ses marchés cibles. http://www.deny-security.com
Il y a 4 ans et 212 jours

Des ventes exceptionnelles du patrimoine immobilier ont dopé les gains de l’État l'an dernier

Initialement, le gouvernement avait prévu que les cessions immobilières lui rapportent 320 millions d'euros en 2019, précise le gouvernement dans ce document annexé au projet de budget 2021.Cet écart s'explique principalement par la conclusion de la vente de la deuxième partie de l'Ilot Saint-Germain, situé dans le VIIe arrondissement de Paris, à la Régie immobilière de la ville de Paris, et qui a rapporté à elle seule plus de 368 millions d'euros.Ce montant est bien supérieur à ce qu'en attendait l'État, qui avait évalué ce bien "entre 198 et 222 millions d'euros".De même, la vente de l'hôtel de Seigneley dans le VIIe arrondissement, propriété du ministère de l'Économie, a rapporté à l'État 61 millions d'euros.Mais ces gains exceptionnels ne devraient pas être réédités cette année. "Pour le début de l'année 2020, la répartition par ministère des cessions 2020 subit les effets de la crise sanitaire", note le gouvernement.Ainsi entre le 1er janvier et le 3 août, 271 biens ont été cédés pour un montant de 47 millions d'euros.Le plan prévisionnel d'environ 260 millions d'euros de cessions par an pour la période 2020-2022 s'annonce ainsi difficile à tenir.Par ailleurs, depuis 2013, l'État s'est engagé à céder chaque année du foncier public avec une décote afin d'y faciliter la construction de logements sociaux.L'an dernier, 13 nouvelles cessions ont eu lieu (après 18 en 2018, 21 en 2017 et 34 en 2016). Au total, les 120 réalisées depuis 2013, doivent permettre la construction de 11.000 logements, dont 8.500 logements sociaux, représentant un effort financier de l'État de 226 millions d'euros via les décotes accordées, précise le gouvernement dans ce document.Désormais, l'État a vendu ses biens "les plus liquides" et la nouvelle stratégie de gestion de son patrimoine, établie fin 2018, prévoit de "conserver et de louer les immeubles inutiles, mais présentant un intérêt particulier, par exemple, en raison de leur situation géographique, de leur configuration, de leur valeur patrimoniale".Une dizaine de sites parisiens ont d'ores et déjà été identifiés.
Il y a 4 ans et 212 jours

Territorialisation de la relance : « Ce n’est qu’un début » !

La territorialisation de la relance attendra. La lisibilité de cette perspective n’aura guère progressé, à l’issue de la Conférence des territoires réunie ce 20 octobre par le Premier ministre Jean Castex, dominée par l’actualité sanitaire et sécuritaire.
Il y a 4 ans et 212 jours

4 000 candidatures à l'appel à projets pour la rénovation énergétique des bâtiments de l'Etat

Dans le cadre de "France Relance", un appel à projets a été lancé le 7 septembre dernier pour définir et sélectionner les opérations de rénovation énergétique des bâtiments de l’État. Le gouvernement se félicite à présent du succès de ce dernier, avec plus de 4 000 candidatures de projets.
Il y a 4 ans et 212 jours

Armacell France accueille son nouveau Directeur Général, Damien Nowak pour développer ses marchés

Titulaire d'une maitrise de commerce, gestion et marketing, Damien Nowak bénéficie d'une expérience forte au sein de multinationales industrielles. Homme de terrain, à plusieurs reprises en charge de marchés stratégiques concurrentiels B to B sur le territoire français, il a su mener au succès ses équipes et faire remporter la satisfaction clients. Fin connaisseur du marché français B to B sur les secteurs bâtiment et construction il a su détecter les besoins clients, développer des marchés et délivrer de la valeur aux clients au-delà des habituels standards.Marié et père de 4 enfants Damien Nowak est engagé dans plusieurs projets valorisant l’humain, est passionné par la découverte de cultures et de territoires mais également de sports qu'il a pu pratiquer à haut niveau.« Je suis très enthousiaste à l'égard de ce nouveau défi et de la possibilité d'avoir un impact direct sur le développement d'Armacell France. Je retrouve sur nos marchés très concurrentiels à tous les niveaux, grand nombre de similitudes avec des marchés sur lesquels j’ai pu travailler ardemment. Armacell France, dont la qualité des produits et des services est plébiscitée, est bien placée pour répondre aux besoins clients et devenir une entreprise encore plus forte et plus leader, au service du marché. Je m’y atèle déjà avec toute mon équipe ! »Damien Nowak, Directeur Général Armacell France