Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

(41600 résultats)
Il y a 4 ans et 217 jours

Chaleur et froid : la filière de l'efficacité énergétique veut aller "beaucoup plus vite"

DÉCARBONATION. Un an après que le Gouvernement ait présenté une trentaine d'actions visant à développer les réseaux de chaleur et de froid renouvelables, les professionnels de l'efficacité énergétique tirent la sonnette d'alarme. Pour garantir la transition écologique du pays, ils demandent à l'exécutif d'aller "beaucoup plus vite et plus loin".
Il y a 4 ans et 217 jours

Évolution de la santé financière des entreprises du BTP entre 2008 et 2019

La baisse de la valeur ajoutée se poursuitLa valeur ajoutée (VA) des entreprises du BTP reste en deçà du niveau observé en 2008. Les difficultés rencontrées sont notamment l'augmentation du prix des matières premières et une activité sous tension dans certaines régions qui favorise une concurrence vive entre les entreprises.L'affaiblissement de ce taux de VA est un indicateur d'alerte à suivre. Si elle devient insuffisante pour couvrir les frais de fonctionnement, l'entreprise aura des difficultés à atteindre son point mort et donc à générer des bénéfices. Dans cette hypothèse, les structures financières ne peuvent plus se renforcer.Le poids de la main d'œuvre dans la VA diminueLe coût des charges de personnel par rapport à la valeur ajoutée est en baisse en 2019. En effet, ces charges représentent environ 82% de la valeur ajoutée pour les activités du Gros-Œuvre (vs. 84% en 2018), 77% pour les Travaux Publics (vs. 80% en 2018). Ces niveaux restent cependant supérieurs à ceux de 2008.Avant la Covid-19, le contexte de marché (carnets de commandes plutôt longs, conjoncture favorable) pesait sur la masse salariale et sur la sous-traitance, entraînant des tensions pour recruter et/ou conserver les bons éléments. Aujourd'hui, même si la profession manque de recul, il est probable que la crise actuelle ait un effet significatif sur le marché de l'emploi.Redressement de la rentabilitéDepuis 2016, la rentabilité des entreprises du BTP (résultat net/chiffre d'affaires) se redresse d'année en année et retrouve sur 2019 son niveau de 2008 (situé alors à 2,5% pour les Travaux Publics et 3,1% pour le Gros-Œuvre). Elle atteint respectivement en 2019, 2,8% pour le Gros-Œuvre, 2,9% pour le Second Œuvre et 3,1% pour les Travaux Publics. Ce rebond provient d'un redressement de l'excédent brut d'exploitation des entreprises, mais aussi de frais financiers modérés (taux faibles).Recul de la part des entreprises en perte en 2018Depuis 2015, la part des entreprises en perte recule chaque année tous secteurs confondus. Une rupture particulièrement significative par rapport à 2008 dans le secteur des Travaux Publics (8,8% vs. 11,5% en 2008) et du Second Œuvre (9% vs. 12% en 2008).Des délais clients en nette diminutionAprès une augmentation marquée sur 2015-2017, les délais clients moyens apparaissent en nette diminution depuis 2 ans avec une baisse marquée en 2019. Les niveaux de 2008 sont de retour avec des délais constatés de 83 jours dans le Gros-Œuvre, 88 jours dans le Second-Œuvre et 90 jours dans les Travaux Publics.A noter, la clientèle publique, les litiges sur situations de travaux, les décomptes généraux et définitif et les retenues de garanties non cautionnées contribuent toujours à l'alourdissement du poste clients des entreprises du BTP.« L'amélioration de la productivité, une politique d'investissements prudente et le niveau bas des taux d'intérêts compensent la contraction de la valeur ajoutée, permettant à la rentabilité de revenir au niveau de 2008.Nous attendions des chiffres 2020 meilleurs que 2019 pour le bâtiment, mais la crise sanitaire et économique nous amène à revoir significativement nos prévisions. Il apparaît aujourd'hui plus que jamais indispensable de prévoir et d'anticiper les sources de financement du cycle d'exploitation (mobilisation du poste clients, cautions sur marchés, encours assurés chez les fournisseurs, …), et de renforcer la culture des fonds propres qui consiste à capitaliser régulièrement les résultats. Et ce, d'autant plus dans le contexte actuel où la trésorerie est artificiellement soutenue par les différentes mesures mises en place au printemps (report de charges, chômage partiel, gel des prêts et des crédits baux, prêts garantis par l'État, …). »Sylvie LOIRE-FABRE, Présidente du Directoire de BTP Banque
Il y a 4 ans et 217 jours

"Zéro chômeur longue durée": feu vert du Sénat avec des modifications

Le texte a été voté en première lecture à main levée, avec les voix des groupes LR, centriste, RDPI (ex LREM), RDSE à majorité radicale et Indépendants. Il avait été adopté à l'unanimité à l'Assemblée nationale.Bien que soutenant l'expérimentation, la gauche a voté contre. Le PS a regretté de ne pas avoir obtenu "toutes les garanties souhaitées", tandis que le CRCE à majorité communiste et les écologistes déploraient une proposition de loi "éloignée de l'esprit originel" de l'expérimentation.Députés et sénateurs vont maintenant tenter de se mettre d'accord sur un texte commun, faute de quoi une nouvelle lecture sera organisée dans chacune des chambres, le dernier mot revenant à l'Assemblée.La ministre du Travail Elisabeth Borne a défendu "un texte nécessaire dans cette période d'incertitude et de difficultés accrues pour les plus précaires", souhaitant le voir "aboutir au plus vite".L'idée des "TZCLD" est de mobiliser les sommes destinées à l'indemnisation du chômage pour financer des entreprises à but d'emploi (EBE) qui recrutent en CDI des chômeurs de longue durée, payés au Smic pour des activités utiles socialement et non concurrentes des emplois existants.La proposition de loi vise à étendre à 50 nouveaux territoires, pour 5 ans, une expérimentation lancée début 2017 et menée aujourd'hui dans dix "territoires" de 5.000 à 10.000 habitants. Ils accueillent 13 EBE employant plus de 800 salariés dans des activités de maraîchage, bûcheronnage, recyclage de métaux ou réparation de vélos.Le Sénat n'a touché ni à la durée, ni au champ de l'expérimentation, malgré la mobilisation des élus PS qui souhaitaient aller au-delà des 50 nouveaux territoires."Aucun territoire prêt ne doit être laissé de côté", a souligné pour sa part Elisabeth Borne, affirmant sa volonté de parvenir d'ici la CMP "à une rédaction offrant le plus de flexibilité possible".Les sénateurs se sont en revanche opposés à un financement obligatoire par les départements, prévu par la proposition de loi.Cette modification, fustigée à gauche, constitue le principal point d'achoppement avec le gouvernement. "Aucun projet d'expérimentation ne se fera contre la volonté des départements, mais la mobilisation d'un département doit logiquement se traduire par sa contribution au financement de l'expérimentation", a affirmé Mme Borne.L'Etat contribue largement au financement de l'expérimentation, à hauteur de 18.000 euros par an, par emploi, alors que la part des départements est de l'ordre de 1.500 euros.La proposition de loi comprend par ailleurs d'autres mesures pour simplifier l'insertion par l'activité économique (IAE), comme la suppression d'un agrément obligatoire auprès de Pôle Emploi.Elle crée un "CDI inclusion" pour des personnes de plus de 57 ans en difficulté, ou met en place l'expérimentation d'un "contrat passerelle", afin de faciliter le recrutement en entreprises classiques de personnes en fin de parcours d'insertion.Les sénateurs ont en outre créé, avec le soutien du gouvernement, un dispositif "temps cumulé", visant à permettre le cumul d'un contrat d'insertion avec un autre contrat de travail à temps partiel. La gauche s'y est opposée, craignant "une dérive".Le Sénat a enfin adopté un amendement de dernière minute du gouvernement visant à permettre, à titre expérimental, la mise en place d'une instance de dialogue social spécifique aux Structures de l'insertion par l'activité économique et aux salariés en insertion.
Il y a 4 ans et 217 jours

Rencontre avec : Inger Marie Jensen Hansen

En septembre dernier, l’éditeur de mobilier danois Carl Hansen & Søn a ouvert sa première boutique parisienne. Rencontre avec Inger Marie Jensen Hansen, responsable des accessoires, des boutiques et des sites de la marque. En 2017, après avoir pris sa retraite de son poste de médecin-cheffe du service des maladies rhumatismales et de directrice de la recherche à l’Hôpital universitaire d’Odense, Inger Marie Jensen Hansen, l’épouse de Knud Erik Hansen – l’actuel dirigeant de Carl Hansen & Søn – a rejoint la société. Aujourd’hui, elle est responsable des lignes d’accessoires, de tous les flagship stores et des boutiques en ligne. À l’occasion de l’ouverture de la première boutique parisienne de Carl Hansen & Søn, Inger Marie Jensen Hansen s’est confiée à la rédaction de Muuuz. Muuuz : Pouvez-vous nous raconter l’histoire de Carl Hansen & Søn ?Inger Marie Jensen Hansen : Depuis plus de 112 ans, nous sommes spécialisés dans la fabrication artisanale de meubles d’exception qui donne vie à des concepts de design visionnaires. Notre histoire remonte à 1908, lorsque l’ébéniste danois Carl Hansen ouvre un petit atelier de meubles sur l’île danoise de Fionie. Depuis lors, le succès de l’entreprise repose sur deux idées fondamentales : un engagement sans compromis en faveur du meilleur savoir-faire artisanal et des alliances avec des designers talentueux qui réinventent et affinent sans cesse le concept de design moderne. En 1934, le fils de Carl, Holger Hansen, reprend l’entreprise. À seulement 23 ans, Holger se révèle être la personne qu’il fallait, au bon endroit, au bon moment. Sa formation en ébénisterie, combinée à son ambition et au courage lié à son jeune âge, lui permet de développer l’entreprise en augmentant la productivité et en participant à des salons internationaux. En 1962, après avoir dirigé avec succès l’entreprise de son père pendant près de trois décennies, Holger meurt subitement d’une crise cardiaque. Les fils de Holger, Knud Erik et Jørgen Gerner, n’ont respectivement que 11 et 16 ans – trop jeunes pour lui succéder. La femme de Holger, Ella Hansen, prend la décision courageuse de reprendre l’entreprise familiale jusqu’à ce que ses jeunes fils atteignent l’âge adulte – une décision audacieuse pour une femme sans éducation en 1962. Le fils aîné, Jørgen Gerner, entre dans l’entreprise en 1973 et succède à sa mère en tant que directeur général en 1988. Le fils cadet, Knud Erik Hansen, prend la relève en 2002 et aujourd’hui, la petite menuiserie créée à Odense il y a plus d’un siècle est devenue une entreprise internationale de design.Quel a été le cheminement parcouru depuis la création de l’entreprise ? Aujourd’hui, quelle est sa démarche ?Depuis que Knud Erik Hansen, le petit-fils de Carl Hansen, est devenu la troisième génération à la tête de l’entreprise familiale en 2002, Carl Hansen & Søn a considérablement étendu sa présence internationale. Aujourd’hui, les meubles que nous fabriquons sont disponibles partout dans le monde et nous avons des flagship stores et des showrooms à New York, San Francisco, Tokyo, Osaka, Paris, Londres (Belgravia et Clerkenwell), Milan, Stockholm, Oslo, Copenhague et Gelsted, ainsi que des filiales commerciales en Europe, au Moyen-Orient, aux États-Unis, au Japon et à Hong Kong. Dans les années à venir, nous prévoyons d’en ouvrir d’autres dans un plus grand nombre de villes. Pourtant, malgré tous ces changements, notre engagement centenaire à produire des meubles classiques d’envergure internationale n’a pas évolué. Notre siège social se trouve maintenant dans la ville de Gelsted, sur l’île danoise de Fionie, et nous fabriquons également nos meubles dans nos sites de production voisins afin de garantir la meilleure qualité possible. Nous utilisons une combinaison de techniques traditionnelles et de nouvelles technologies pour créer un design moderne et intemporel. Depuis le début de la fabrication jusqu’au moment où nos meubles prennent place dans un nouvel espace intérieur, nous sommes guidés par le dévouement à des pratiques honnêtes et durables qui respectent l’héritage de notre fondateur et de nos designers. Quel est le processus de développement de vos meubles ?Depuis 2002, le PDG de Carl Hansen & Søn, Knud Erik Hansen a préservé l’héritage de cette dernière en matière de design, élaboré une stratégie pour les nouveaux talents et trouvé l’équilibre idéal entre artisanat et technologie. En pratique, cela signifie que Carl Hansen & Søn a automatisé le dur labeur qui épuisait auparavant les ébénistes, tout en veillant à ce que l’artisanat joue un rôle clé dans la production de classiques du design. Une fois que les machines informatisées ont découpé les différents éléments du meuble et assuré une qualité uniforme en vue du traitement ultérieur, les ébénistes prennent le relais pour assembler, polir, huiler, rembourrer, tisser et donner à chaque pièce cette finition particulière que seul un artisan qualifié peut apporter. Carl Hansen & Søn continue à respecter les traditions de l’artisanat et à s’appuyer sur les connaissances et l’expérience acquises au fil des générations. Les ébénistes et les tapissiers expérimentés continuent à exercer leurs métiers respectifs, tandis que les maîtres tisserands emploient un large éventail de techniques pour la production des sièges et des dossiers. L’étroite collaboration entre le nouveau designer et le fabricant aboutit à une culture où les défis de l’artisanat continuent à stimuler le développement de nouveaux designs.Depuis la création de l’entreprise, quelle est la relation entre Carl Hansen & Søn et les différents designers avec lesquels elle collabore ? Holger Hansen, fils de Carl Hansen, avait un œil sur Hans J. Wegner dans les années 1940, quand Wegner était encore un jeune ébéniste danois peu connu. En 1949, après avoir terminé ses dessins de nouvelles chaises, Wegner fait le trajet à bicyclette de Copenhague à Odense – une journée entière de trajet – où se trouvait l’entreprise de meubles de la famille Hansen. Une fois sur place, Wegner s’installe dans la villa de la famille Hansen, et dort dans la chambre du plus jeune fils, Knud Erik. Dès le début, les créations de Wegner sont uniques et sans précédent. Au cours de ses trois premières semaines, Wegner conçoit quatre chaises – CH22, CH23, CH24 et CH25. Wegner utilise des éléments modernes tels que des dossiers cintrés à la vapeur, des formes organiques, des bois clairs et des sièges tissés dans des constructions complexes qui aboutissent à des objets simples et élégants. La première collection de Wegner pour Carl Hansen & Søn est dévoilée en 1950 et connaît un succès immédiat. Malgré les premières réactions mitigées de la part des clients, la chaise Wishbone est ensuite surnommée « chaise nationale du Danemark », ce qui démontre la nature visionnaire du design de Wegner. L’intérêt pour la première collection ne se limite pas au Danemark et, en 1952, Holger Hansen crée un réseau de distributeurs agréés aux États-Unis. Avec ce succès commercial, Holger Hansen – qui a misé sur le jeune architecte – peut pousser un soupir de soulagement. Aujourd’hui, Carl Hansen & Søn continue à travailler en étroite collaboration avec le Hans J. Wegner Design Studio, en tant que premier fabricant mondial de meubles Wegner. Outre Wegner, Carl Hansen & Søn collabore également avec des designers et architectes célèbres tels que Kaare Klint, Børge Mogensen, Ole Wanscher, Nanna Ditzel et bien d’autres.Comment choisissez-vous les designers pour les nouvelles collaborations ? Quelles sont vos dernières collaborations ?Au fil des ans, Carl Hansen & Søn s’est attaché à préserver les classiques du design danois tout en continuant à élargir sa collection pour représenter de nouveaux créateurs influents. Notre objectif : réunir sous un même toit la crème des designs de meubles modernes les plus emblématiques. Nous nous associons également à des designers contemporains qui défendent les principes fondamentaux de la modernité danoise, à savoir la simplicité, la fonctionnalité et l’artisanat, tout en insufflant une nouvelle vie aux espaces modernes. Ces collaborations sont ancrées dans un respect commun pour une conception et une production réfléchies, et dans des perspectives qui apportent de nouvelles dimensions à notre catalogue. Notre partenariat avec le designer danois Rikke Frost, avec lequel nous avons lancé le canapé Sideways en septembre 2020, incarne ces valeurs.Et comment trouver et choisir des pièces dans les archives ?Nous recherchons dans les archives en étroite collaboration avec les proches des créateurs. Naturellement, nous tenons également compte de la demande et de notre collection, afin que le nouveau produit ait un sens. Pouvez-vous nous parler de la ligne d'accessoires ? La ligne d’accessoires Carl Hansen & Søn enrichit notre gamme de produits existante avec des articles uniques et inspirants provenant du Danemark et du monde entier. Tous les accessoires de Carl Hansen & Søn partagent un design de qualité, des couvertures tissées à la main jusqu’aux vases audacieux en verre, en passant par les chemins de table complexes cousus à la main et les miroirs fabriqués de mains d’expert. Chaque pièce est choisie avec soin pour apporter beauté, charme et chaleur aux intérieurs. Pourquoi avez-vous choisi d'installer votre flagship store à Paris ? Quels sont les défis et les objectifs de ce nouveau lieu ?Paris est un haut lieu du design. Les lignes classiques de notre collection correspondent bien au goût parisien. Aussi, comme la France est un marché émergent pour nous, avec des clients exigeant une qualité et un savoir-faire artisanal haut gamme, nous avons estimé qu’il était temps d’investir dans un lieu de vente, conformément à notre stratégie d’expansion internationale dans les grandes villes du monde, afin de pouvoir faire connaître Carl Hansen & Søn à un public plus large. Avec un flagship store, nous pouvons être en contact direct avec nos clients, ce qui nous permet de leurs offrir une expérience d’achat encore meilleure et de mieux comprendre le marché. Pour en savoir plus, visitez le site de Carl Hansen & Søn. Visuels : © Carl Hansen & SønLa Rédaction
Il y a 4 ans et 217 jours

Thierry Repentin, nouveau président de l'Anah

CARNET-NOMINATION. Le maire de Chambéry, ancien ministre et ancien président de l'USH et du CSCEE, vient d'être nommé président de l'Anah, l'agence nationale de l'habitat.
Il y a 4 ans et 217 jours

La Fédération des Ascenseurs demande la pérennisation du crédit d'impôt pour l'accessibilité des logements

Face à cette échéance, la Fédération des Ascenseurs interpelle Gouvernement et élus en faveur de la pérennisation de ce crédit d'impôt prévu à l'article 200 quater A du Code Général des Impôts (CGI). Sa pérennisation et sa révision (faute d'ajustement opéré depuis 5 ans) permettraient d'étendre de façon significative l'installation de solutions de mobilité verticale facilitant le maintien à domicile.L'interpellation du Président de la Fédération des Ascenseurs« La mobilité verticale et ses solutions (monte-escaliers et élévateurs verticaux/ascenseurs) sont de réels facilitateurs du maintien à domicile, alors que nos aînés expriment massivement le souhait de vieillir durablement chez eux et en sécurité. 39% des Français placent d'ailleurs la mobilité verticale comme équipement n°1 pour bien vieillir chez soi, en témoigne le 5e baromètre Ipsos ‘Les Français et l'ascenseur' dévoilé le 30 septembre dernier »« C'est pourquoi notre Profession lance aujourd'hui ce cri d'alerte dans le cadre du Projet de Loi de Finances pour 2021, et se mobilise pour la pérennisation de ce crédit d'Impôt afférent aux dépenses d'équipements en faveur des personnes âgées ou handicapées. Cette aide financière est indispensable aux seniors pour leur permettre de s'équiper d'un monte-escalier ou bien d'un élévateur vertical/ascenseur de maison grâce auquel ils vont pouvoir (bien) vieillir chez eux. Et nous appelons même au doublement de son montant. »Guillaume Fournier Favre, Président de la Fédération des AscenseursLa mobilité verticale au service du maintien à domicileDans le cadre des travaux menés en faveur du maintien à domicile, la sécurisation de la mobilité des seniors est un axe important. À ce titre, la réduction du risque de chute dans l'escalier (qui est la 1ère cause d'accident domestique chez les seniors) est une réelle priorité, qui trouve dans l'installation d'équipements de mobilité verticale une solution concrète. Facilitateurs d'autonomie, ils permettent de retarder de plusieurs années le déménagement des seniors.Et si l'adaptation du logement en vue du maintien à domicile permet de rester plus longtemps chez soi, elle contribuera plus largement à une mise en tension moindre des hôpitaux ainsi que des EHPAD. C'est l'un des nombreux points soulignés par l'étude du cabinet Asterès de mars 2018 sur les bénéfices sociaux et économiques de l'équipement des logements en ascenseur. Tout en pointant le niveau de sous-équipement de la France, cette étude ‘Mobilité et ascenseur – Enjeux économiques de l'équipement d'ascenseur dans les logements' dessine la perspective globale d'un milliard d'euros d'économies réalisables par an dans l'hypothèse d'un niveau d'équipement en phase avec la démographie française.
Il y a 4 ans et 217 jours

Préventica lance “la semaine digitale de la santé-sécurité au travail”

L’édition de Préventica en présentielle de 2020 est reportée à 2021 [©Préventica] En raison de la situation sanitaire en France et suite aux mesures prises par le Préfet du Nord, Préventica Nord France est dans l’obligation de reporter son édition 2020. Cependant, afin de répondre aux besoins des acteurs de la filière, l’organisateur du salon lance “la semaine digitale de la santé-sécurité au travail”. Ainsi, du 19 au 23 octobre prochains, la plate-forme digitale est mise à disposition des acteurs économiques du Nord de la France. Cette semaine “digitale” offre la possibilité aux exposants et aux participants de se rencontrer virtuellement, grâce à un système de demandes de contact et de prise de rendez-vous en ligne. De plus, lors de cette semaine, quelque 60 web-conférences gratuites seront programmées sur les thématiques du télétravail, du stress, de l’organisation du travail … Pour retrouver l’ensemble des web-conférences et s’inscrire gratuite, rendez-vous sur le site de Préventica Nord France. Plus de 200 professionnels de la santé et de la sécurité au travail seront présents en ligne. Ceci, pour échanger et donner des conseils en direct.  La version présentielle de Préventica Nord France, est quant à elle, reportée en 2021, dans un contexte que l’on espère tous meilleur.
Il y a 4 ans et 217 jours

LafargeHolcim lance ECOPact, la plus large gamme de bétons bas carbone du marché

La nouvelle gamme de bétons ECOPact est issue de la démarche Lafarge 360 lancée en juillet 2019 pour mener la transition écologique dans le secteur des matériaux de construction. Une démarche ambitieuse destinée à accompagner les maîtres d'œuvre, maitres d'ouvrages et constructeurs de toutes tailles dans la conception de bâtiments bas carbone et ancréé dans l'économie circulaire.ECOPact s'appuie ainsi sur l'échelle d'évaluation 360Score qui affiche en toute transparence l'impact sur l'environnement des produits LafargeHolcim. Cette gamme vient en complément des services d'eco-conception 360Design, un simulateur en ligne pour calculer l'empreinte carbone du gros œuvre d'un bâtiment et ainsi optimiser la performance environnementale d'un projet.Les solutions ECOPact, une gamme complèteECOPact propose un taux de réduction carbone de 30 à 50%. Cette solution est disponible sur tout le territoire national et ne change pas les usages et pratiques de construction traditionnels.ECOPact A est une solution qui va plus loin en offrant un taux de réduction carbone de 50 à 70%. Cette performance est notamment obtenue grâce aux innovations de formulation et permet de conserver les modes constructifs habituels.ECOPact AA est une solution de rupture en termes d'innovation et de réduction carbone puisqu'elle propose un taux de réduction supérieur à 70% grâce à des liants dont les performances sont exceptionnelles. Pour cette gamme de solutions, LafargeHolcim accompagnera ses clients dans le cadre, notamment, d'usages spécifiques.ECOPact A+ est une solution à impact carbone neutre compensé. Ce béton neutre en carbone obtenu par la compensation se compose d'un béton Ecopact A et d'achat de crédits carbone certifiés par un organisme international.« LafargeHolcim s'engage, pour ses clients, dans la voie d'une construction plus responsable, plus circulaire et tout aussi performante. La gamme de bétons bas carbone Ecopact que nous proposons aujourd'hui est une innovation supplémentaire pour construire plus responsable. Avec Ecopact, nous complétons l'éventail de notre gamme de bétons pour répondre aux attentes sur le sujet, et elles sont fortes ! » précise François Petry, Directeur Général LafargeHolcim France.LafargeHolcim dispose aujourd'hui du portefeuille de solutions et produits bas carbone le plus large du secteur, s'appuyant sur une organisation de R&D à la pointe de l'industrie et un réseau mondial d'innovation fortement axé sur le développement de produits durables : 40% des brevets concernent des solutions bas carbone, et plus de 50% des efforts de R&D sont consacrés à des projets bas carbones.LafargeHolcim est également la première entreprise mondiale de matériaux de construction à signer l'engagement "Business Ambition for 1,5°C" et à se fixer des objectifs intermédiaires de réduction carbone validés par l'initiative Science Based Targets (SBTi), alignés sur la trajectoire net zero.ECOPact, déjà des références en coursECOPact convient à tous les types d'ouvrage - logements collectifs, individuels, bâtiments tertiaires, infrastructures - et fait déjà l'objet de chantiers : c'est le cas avec les 296 logements pour étudiants conçus par la maîtrise d'œuvre Kern&associés architectes urbanistes et dont le maitre d'ouvrage est le CROUS d'Aix-En-Provence.D'autres projets sont en cours, comme par exemple le chantier de la Faculté d'Economie et de Gestion de Aix-en-Provence, ou l'Institut Médico Educatif de la Roque d'Anthéron.« Avec ECOPact nous avons conçu des bétons responsables qui rendent la construction bas carbone possible pour tous les chantiers, ceux du quotidien comme les plus ambitieux. D'autres développements innovants sont en cours pour enrichir la gamme et répondre précisément aux évolutions du marché » Michèle Duval, Directrice des gammes produits et services LafargeHolcim France.
Il y a 4 ans et 217 jours

Les détails de l'aide aux maires densificateurs et du fonds friches dévoilés

RELANCE. Un communiqué et une note du Gouvernement précisent les contours des deux dispositifs d'aide aux collectivités pour éviter l'artificialisation : l'aide à la densification et le fonds friche.
Il y a 4 ans et 218 jours

Petites villes de demain : Buffon tire la renaissance verte de Montbard

« Buffon, c’est notre cathédrale verte ». Le credo de Laurence Porte, maire de Montbard (Côte-d’Or) et professeure d’histoire, a emporté l’adhésion de l’Etat. Avant même la publication de la liste définitive des Petites villes de demain que l’Agence nationale pour la cohésion des territoires accompagnera jusqu’en 2026, la sous-préfecture figure parmi la dizaine de références citées par l’entourage de Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires, pour promouvoir ce programme.
Il y a 4 ans et 218 jours

Les Journées Professionnelles de la Construction sont reportées en 2021

Ces Journées se tiendront maintenant, toujours au centre des congrès de Lyon, le mardi 29 et mercredi 30 juin 2021.Initialement prévues en avril adossées à l'Assemblée générale, le confinement général avait contraint la CAPEB à les décaler en octobre. Les toutes récentes décisions du préfet de la région AURA imposent aujourd'hui que l'événement soit reporté à l'année prochaine.En effet, la CAPEB ne souhaite faire prendre aucun risque aux délégués et aux exposants qui étaient inscrits, quelle que soit l'issue des 15 jours d'application que le préfet de la région réservera à ses annonces.La CAPEB remercie ses partenaires qui l'ont d'ores et déjà assurée de leurs participations en 2021. Les professions de la CAPEB, par la voix de ses 8 présidents d'UNA, envisagent avant la fin 2020 des rencontres informelles ou digitales avec leurs délégués de métiers au sein de chaque CAPEB départementale.
Il y a 4 ans et 218 jours

350 M€ d'aide à la "relance de la construction durable" pour les collectivités

Cette aide sur 2 ans est destinée aux collectivités territoriales développant des programmes de logements denses autorisés à la construction du 1er septembre 2020 au 31 août 2022. Elle permettra aux collectivités de contribuer au financement des équipements et espaces publics permettant d’améliorer le cadre de vie des habitants.
Il y a 4 ans et 218 jours

Saint-Gobain double sa production de matériaux biosourcés d'isolation

Le directeur général France du groupe, Guillaume Texier, a salué dans le plan de relance "un effort sans précédent pour pousser la rénovation énergétique", qui arrive à "un moment propice".Saint-Gobain veut "aider à aller plus vite et à lever certains freins" pour soutenir cet effort, a-t-il déclaré lors d'un point-presse.Saint-Gobain a présenté une série d'actions en ce sens, dont une formation RGE en ligne pour les artisans du secteur, l'information du grand public sur les solutions techniques d'isolation ou encore un dispositif de "mécénat d'entreprise" par lequel des salariés du groupe pourront aider des associations.Le groupe, qui est un fabricant de matériaux isolants, va aussi mettre l'accent sur ses innovations, comme des solutions biosourcées à base de laine de bois, à côté des matériaux plus classiques comme la laine de verre et la laine de roche.Un investissement de 5 millions d'euros va permettre, d'ici 2023, de doubler la capacité de l'usine de fibre de bois de Mably, avec la création de 30 à 40 emplois à la clé.Les matériaux biosourcés ne représentent encore que 3 à 4% du marché de l'isolation, mais leur croissance annuelle est de 15%, selon Saint-Gobain.L'enseigne de distribution pour le bâtiment, Point.P, a lancé il y a quelques mois un catalogue de 1.500 références de produits biosourcés.Le groupe va d'autre part utiliser la start-up qu'il a développée, Kandu, pour proposer aux acteurs publics un diagnostic gratuit du confort de leurs bâtiments, prenant en compte les conforts thermique et acoustique, la qualité de l'air et la lumière, en vue d'une rénovation.Selon Saint-Gobain, la rénovation énergétique a un potentiel important, avec en France 7 à 8 millions de logements très énergivores (classes F et G), dont près de 5 millions de "passoires thermiques"."Le secteur du bâtiment est bien reparti au cours de l'été, mais il y a quand même de grosses incertitudes sur ce qui se passe derrière", a indiqué M. Texier. "Donc il y a un besoin de mettre de la relance économique et (...) la rénovation, c'est la manière la plus rapide de mettre en place de la relance", a-t-il ajouté.
Il y a 4 ans et 218 jours

L'Assemblée adopte un projet de loi et sa mesure antisquatteurs

L'Assemblée nationale a adopté le projet de loi de "simplication de l'action publique" pour faciliter les démarches des entreprises, des particuliers, dont un nouveau dispositif antisquatteurs.
Il y a 4 ans et 218 jours

Syndicats et patronat appelés à discuter du partage de la valeur en entreprise

Patronat et syndicats sont invités à commenter ces idées qui ne sont "ni exhaustives, ni intangibles" d'ici au 23 octobre, avant le lancement d'une concertation lors de la deuxième "conférence de dialogue social", le 26 octobre à Matignon.Dans ce document, le ministère se fixe comme objectif de "mieux lier la rémunération du travail à la performance de l'entreprise, que celle-ci soit économique ou sociale".A cette fin, il propose "la création de dispositifs de rémunération variable collective simplifiés pour les petites entreprises", ainsi que "le développement de l'actionnariat salarié, par exemple en distribuant une part d'actions gratuites aux salariés au titre de la participation ou en renforçant l'incitation au versement d'épargne salariale dans les fonds d'actionnariat salarié".La participation est aujourd'hui le seul dispositif d'épargne salariale dont la mise en place est obligatoire pour les entreprises d'au moins 50 salariés. D'après la Dares, en 2019, sur un nombre total de 3,8 millions de salariés bénéficiaires de la participation, seulement 115.000 travaillaient dans des entreprises de moins de 50 salariés. Le montant moyen versé a été de 1.393 euros.L'intéressement est un dispositif facultatif, ouvert à toutes les entreprises. En 2018, seuls 10,5% des salariés des entreprises de 10 à 50 salariés étaient couverts par un dispositif d'intéressement, contre 60% pour les entreprises de plus de 250 salariés et 32% toutes entreprises confondues. Le montant moyen versé était de 1.622 euros.S'agissant des opérations d'actionnariat salarié, la Dares indique qu'en 2017, 1,7% des entreprises de 10 salariés ou plus, employant 8% des salariés, ont mis en place une opération d'actionnariat salarié avec une part nettement plus importante parmi les sociétés cotées (32,1%). Il y a environ 3,5 millions de "salariés-actionnaires" en France.Le ministère veut aussi "renforcer l'égalité dans le partage de la valeur entre salariés et notamment entre les femmes et les hommes". Il préconise notamment "l'évolution de l'index de l'égalité professionnelle qui pourrait passer par la création d'un nouvel indicateur présentant la part de femmes parmi les cadres dirigeants".
Il y a 4 ans et 218 jours

La SGP lance la consultation pour le premier marché de conception-réalisation de la ligne 15 Ouest

Le maître d’ouvrage du Grand Paris Express a envoyé le dossier de consultation des entreprises aux groupements ayant répondu à l’avis d’appel public à la concurrence, publié en février dernier. Le marché, qui couvre la partie sud de la ligne 15 Ouest, comprend la conception et la réalisation de cinq gares, d’environ 14 kilomètres de tunnel et de 17 ouvrages de service, dont une partie en tranche optionnelle.
Il y a 4 ans et 218 jours

Deux nouveaux présidents des Collèges SNBPE Pays de la Loire et Centre-Val de Loire

Stéphane Venon (LafargeHolcim) devient président du Collège SNBPE Pays de la Loire. Il succède à William de Warren (Unibéton), qui est nommé à la présidence du Collège Centre-Val de Loire. [©SNBPE] Stéphane Venon (LafargeHolcim) devient président du Collège SNBPE Pays de la Loire. Il succède à William de Warren (Unibéton/HeidelbergCement), qui est nommé à la présidence du Collège Centre-Val de Loire. William de Warren succède ainsi à Yann Ouzilleau (Unibéton). Lors de leurs mandats de président de Collège, Stéphane Venon et William de Warren souhaitent poursuivre les actions syndicales impulsées par leurs prédécesseurs. Il s’agira, d’une part, de continuer à développer les actions liées à la sécurité sur les chantiers. Et en particulier, de promouvoir les bonnes pratiques auprès des chauffeurs de camions-toupies. D’autre part, les actions régionales continueront à mettre en exergue la performance environnementale du BPE. Ceci, afin de répondre aux enjeux futurs du secteur, tels que les exigences du bâtiment bas carbone. Le parcours de Stéphane Venon La mission de Stéphane Venon ?« Mon effort sera porté sur la mise en avant des arguments du BPE pour répondre aux enjeux environnementaux. Et surtout, à la performance carbone du bâti »,explique Stéphane Venon. Titulaire d’un diplôme d’ingénieur, Stéphane Venon a rejoint le groupe Lafarge en 1995. Il passe plusieurs années au sein du département spécialisé dans la qualité et l’innovation du béton, en France et à l’international. Il est ensuite nommé à la tête de l’agence Normandie Maine de LafargeHolcim Bétons en février 2016. Le 1er janvier 2018, Stéphane Venon prend la direction générale de l’agence Pays de la Loire LafargeHolcim Bétons France.  Le parcours de William de Warren L’objectif de William de Warren ?« En premier lieu, il s’agira de continuer à développer les actions liées à la sécurité sur les chantiers. Et en particulier, de promouvoir le non-maniement des bennes par les chauffeurs des camions-toupies et à promouvoir la profession, son savoir-faire et sa technicité », indique William de Warren. Diplômé de l’Ecole supérieure de gestion de Paris, William de Warren a occupé différentes fonctions au sein du groupe Italcementi qu’il a rejoint en 2000. Il s’est  vu confier des responsabilités marketing chez Unibéton. Puis, plusieurs postes au sein de Ciments Calcia et pour Italcementi à l’international. Il est nommé directeur commercial Unibéton Méditerranée à partir de 2009. Depuis le 1erj uillet 2018, William de Warren est directeur de la région Unibéton Ouest Pays de la Loire. 
Il y a 4 ans et 218 jours

La maîtrise d'oeuvre propose son propre projet de CCAG à l'Etat

MARCHES PUBLICS. Les organisations professionnelles représentant la maîtrise d'oeuvre viennent de proposer à Bercy un cahier des clauses administratives générales (CCAG) spécifique à leur fonction.
Il y a 4 ans et 218 jours

Le Congrès des Maires et les Rencontres Territoires Innovations du SMCL auront bien lieu

Le Congrès des Maires et le Salon des Maires et des Collectivités locales prendront leurs quartiers à l’Accor Arena du 24 au 26 novembre prochain. L’épidémie de Covid a obligé les organisateurs à revoir ces événements. Explications…
Il y a 4 ans et 218 jours

La crise sanitaire interroge les artisans, commerçants et chefs d'entreprise sur leur future retraite

71% des actifs seniors déclarent s'être posé des questions sur les conséquences possibles de la crise sanitaire sur leur future retraiteLa crise sanitaire a modifié les conditions de travail de nombreux actifs âgés de 50 à 62 ans: 41% d'entre eux déclarent avoir pratiqué le télétravail. Parmi eux, 44% des salariés et surtout les trois quarts des cadres (76%) sont concernés. Par ailleurs, le contexte de crise a fait évoluer la situation professionnelle d'un peu plus d'un quart des actifs âgés de 50 à 62 ans, concernés par une période de chômage ou d'activité partielle et/ou par une baisse de rémunération.Toutes ces situations ont conduit les actifs à quelques années de la retraite à se projeter dans la suite de leur carrière professionnelle, à anticiper la préparation de leur retraite ou à l'appréhender différemment. La moitié d'entre eux (51%) estiment que le contexte de crise pourrait les inciter à revoir leur rapport à la retraite. Un tiers (33%) avouent avoir déjà commencé à y réfléchir. La proportion monte à 54% chez les artisans, commerçants, chef d'entreprise, plus impactés que d'autres catégories par une baisse de revenus. Le montant de la retraite : 1ère source de questions et de motivation de départ à la retraiteParmi les questions que se posent aujourd'hui les actifs âgés de 50 à 62 ans sur leur future retraite, deux sujets arrivent en tête : le montant de leur future retraite et le nombre d'années qu'il leur reste à travailler pour avoir une retraite suffisante, pour plus de 80% d'entre eux. Ces actifs avouent d'ailleurs que l'aspect financier pèse fortement dans le choix de leur départ à la retraite (84%) avec notamment la volonté d'acquérir un pouvoir d'achat suffisant.Parmi leurs autres questionnements, les sondés déclarent se soucier également de l'impact que peuvent avoir sur leur future retraite leurs choix de vie personnels et professionnels (74%). Enfin, et le contexte actuel pouvant y contribuer, 70% d'entre eux avouent s'interroger sur les possibilités de fin de carrière accessibles dans leur situation (retraite anticipée, retraite progressive, dispositif carrière longue…).L'importance de conseils personnalisés pour étudier les possibilités de fin de carrière Pour répondre à leurs questions et les aider à préparer leur départ à la retraite, plus de 70% des actifs âgés de 50 à 62 ans soulignent l'importance de conseils et services personnalisés (77%). Principalement pour savoir ce à quoi ils auront droit une fois à la retraite compte-tenu de leur parcours, mais aussi pour être accompagnés dans leurs réflexions et choix futurs, et notamment sur les possibilités et aménagements de fin de carrière. Ils sont plus nombreux encore (80%) à requérir un accompagnement personnalisé pour faire le point sur les démarches administratives à effectuer. A noter que les femmes, parfois confrontées à un parcours professionnel moins linéaire, sont plus intéressées par des conseils personnalisés sur les dispositifs de prolongation d'activité (surcote, majorations ou cumul emploi-retraite) que les hommes (74% contre 66%). Les caisses de retraite sont les premières sources d'information sur la retraitePour répondre aux interrogations des actifs et à leur besoin d'accompagnement, les organismes de retraite proposent des services et outils d'aide à la décision gratuits et communs à l'ensemble des régimes de retraite. Ainsi, ils sont accessibles en ligne sur les espaces personnels des sites www.lassuranceretraite.fr ou www.agirc-arrco.fr. Les actifs ont notamment la possibilité de consulter en ligne leur relevé de carrière ou de calculer le montant et l'âge de leur départ à la retraite. Plus des trois quarts des actifs âgés de 50 à 62 ans déclarent connaître ces deux services en ligne. En revanche, de la connaissance des outils à leur utilisation, un pas reste à franchir : seul un de ces actifs sur deux indique avoir eu recours au simulateur de retraite en ligne. De même, moins de la moitié d'entre eux savent que certains organismes de retraite offrent la possibilité de joindre un conseiller retraite en ligne et seuls 10% déclarent y avoir eu recours.La majorité des actifs âgés de 50 à 62 ans (54%) identifient les caisses de retraite comme principales sources d'information sur la retraite. Les actifs déclarent se tourner également vers leur environnement professionnel, leur entourage familial ou d'autres acteurs privés.« La crise sanitaire est comme pour chaque évènement majeur intervenant dans une vie l'occasion d'une prise de recul sur sa situation personnelle et professionnelle, sur ses aspirations actuelles et futures. Pour les actifs à plus ou moins dix ans de l'âge de la retraite, le contexte les amène à reconsidérer leur rapport à la retraite et à s'interroger. Pour autant, leurs interrogations restent conformes à celles qui nous sont posées habituellement : À quel moment vais-je partir à la retraite et combien vais-je toucher ? C'est pour répondre à leur besoin d'informations et de conseils propres à chaque situation personnelle, que nous organisons tous les ans les Rendez-vous de la retraite. Nous allons au-devant des actifs pour leur proposer sur une semaine des créneaux d'information en ligne, par téléphone ou dans l'un des 230 points d'accueil ouverts cette année avec l'Assurance retraite, à travers le territoire. L'événement qui est une fois encore un grand succès doit permettre d'offrir un coup de projecteur à l'offre d'accompagnement que nous mettons gratuitement à la disposition des actifs »François-Xavier Selleret, Directeur de l'Agirc-Arrco« Les « Rendez-vous de la retraite » nous donnent une belle opportunité d'aller à la rencontre de nos assurés et de répondre à leurs questions actuelles, dans le contexte de crise sanitaire. Ils illustrent notre volonté commune d'offrir à l'assuré un service global et simplifié : c'est une nouvelle étape dans la coopération entre l'Assurance retraite et l'Agirc-Arrco ! Cet évènement est également l'occasion de valoriser les services développés par nos équipes. Forts des expériences et savoir-faire des deux régimes, nous misons sur la synergie entre les services digitaux et l'accueil en Carsat et Cicas pour répondre au plus près des besoins des assurés. Pendant six jours, 40 000 rendez-vous sont proposés au public : ils permettront d'obtenir une information personnalisée, gratuite et experte sur la retraite. En raison du contexte sanitaire, cette opération est prévue en présentiel et en distanciel. Les conseillers mobilisés seront amenés à répondre à toutes les questions posées par les assurés, qui peuvent reconsidérer leur retraite prochaine ou future selon l'impact de la crise sanitaire sur leur situation personnelle et professionnelle. »Renaud Villard, Directeur de l'Assurance retraiteMéthodologie de l'ÉtudeCette étude a été réalisée en ligne du 17 au 23 septembre 2020 par OpinionWay, pour le compte de l'Assurance retraite et de l'Agirc-Arrco, auprès d'un échantillon de 2004 personnes représentatif de la population française active âgée de 50 à 62 ans. L'échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d'âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d'agglomération et de région de résidence. La marge d'erreur pour un échantillon de 2000 personnes est de 1, à 2,2 points. OpinionWay a réalisé cette enquête en appliquant les procédures et règles de la norme ISO 20252Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante : « Sondage OpinionWay pour L'Assurance retraite et l'Agirc – Arrco » et aucune reprise de l'enquête ne pourra être dissociée de cet intitulé.
Il y a 4 ans et 218 jours

La consultation pour un marché de conception-réalisation sur la ligne 15 Ouest est lancée

GRAND PARIS EXPRESS. La Société du Grand Paris a adressé le dossier de consultation des entreprises aux groupements qui avaient répondu à l'avis d'appel public à la concurrence, le premier lancé pour les 4 contrats de ce type, début février 2020.
Il y a 4 ans et 218 jours

Le FMI s'attend à un rebond de 6% du PIB en France en 2021, moins qu'espéré par le gouvernement

Alors que le FMI évoquait en juin une chute record de 12,5% du Produit intérieur brut français (PIB), il devrait finalement reculer de 9,8% cette année. En 2021 en revanche, la France, qui connaît une recrudescence inquiétante des contaminations, devrait renouer avec une croissance inférieure à la hausse de 7,3% projetée en juin par l'institution de Washington.En corrigeant fortement sa prévision pour 2020, le FMI se situe désormais dans la moyenne des projections pour la France, entre le gouvernement (-10%) et la Banque de France (-8,7%).Pour l'année prochaine en revanche, l'institution de Washington estime la croissance à un niveau inférieur à celui projeté par le gouvernement (+8%) ou la Commission européenne (+7,6%).La France devrait cependant faire mieux que la zone euro en 2021 (+5,2%), et moins bien cette année (-8,3%).La révision des prévisions pour la France reflète l'évolution de la conjoncture internationale telle que prévue par le FMI, à savoir une récession moins prononcée que prévu cette année, mais une reprise plus laborieuse à partir de l'an prochain.Ainsi, le FMI table désormais sur une contraction du PIB mondial de 4,4% cette année, contre 5,2% estimé en juin. Mais il a une nouvelle fois révisé en baisse le rythme de la reprise attendu l'an prochain (+5,2%).Le Fonds relève que la France fait partie des pays, avec l'Australie, le Japon et l'Espagne, où la courbe des contaminations, qu'ils avaient réussi à "aplanir", remonte.La pandémie de coronavirus a causé la mort de plus d'un million de personnes et 33 millions de cas sont recensés, des chiffres en forte hausse par rapport à juin (7 millions de cas et 400.000 morts supplémentaires).En revanche, la France est le pays où le rebond de la consommation post-confinement a été le plus marqué, ce qui explique que la récession devrait être moins forte cette année: ainsi, par rapport à un niveau 100 en décembre, les ventes de détail y ont chuté en avril de 35 points avant de remonter en flèche pour quasiment retrouver en août leur niveau de décembre.
Il y a 4 ans et 218 jours

L’architecture, sport de combat ou art martial ?

Aux armes combattant(e)s ! Il y a sept ans déjà paraissait le livre de Rudy Ricciotti L’architecture est un sport de combat – conversation pour demain*. Nous y sommes. Il y eut entretemps François Hollande, la loi ALUR, puis Emmanuel Macron et enfin la loi ELAN. Que du beau monde pour se préoccuper de l’Architecture ! Un […] L’article L’architecture, sport de combat ou art martial ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 218 jours

"Aujourd'hui, une école sur 2 n'est pas ventilée. Il y a donc urgence !", S. Séguro, Aldes

INTERVIEW. Comment Aldes, spécialiste de la qualité de l'air intérieur, se positionne sur son marché ? Quels sont ses défis ? Quelle est sa stratégie pour sensibiliser le grand public à la qualité de l'air ? Stéphane Séguro, directeur du développement de la France, Europe de l'Ouest et de l'export Europe répond à nos questions.
Il y a 4 ans et 218 jours

ConstruirAcier récompense 10 projets d'architecture en acier aux échelles variées et expressions fortes

« Ce palmarès témoigne et exprime à quel point l'acier est bien cet outil indispensable à la fabrication d'immeubles dont la destination ne se résume pas au monde industriel mais s'élargit aux ouvrages dont l'usage est domestique, le contenu technique ou la dimension publique accomplie. »-Francis Soler, Président des 6e Trophées Eiffel Déléguée générale et directrice de la communication de ConstruirAcier, Charlotte Flores a salué l'audace architecturale des réalisations primées et rappelé que la filière acier-construction s'inscrit bien dans cette dynamique créative. « Le matériau acier propose aujourd'hui des solutions innovantes pour construire bien, fiable, rapide, responsable, durable, résilient, économique et performant, a-t-elle souligné. La crise sanitaire et économique que traverse le monde et la France pousse aujourd'hui à reconsidérer les schémas d'action et de pensée dans la construction. Patrimoniale, industrielle et architecturale, pleinement ancrée dans les territoires avec ses 175 000 emplois, dotée d'une forte capacité de production, la filière acier-construction est prête pour apporter le meilleur dans la construction française et participer aux grands chantiers des métropoles ». Les 10 lauréats des 6e Trophées Eiffel dans 10 catégories sont…Catégorie APPRENDRE - regroupe tous les lieux d'enseignement publics ou privés, centres de formation, crèches Lycée Léonard de Vinci, St Germain en LayeMaître d'ouvrage : Région Ile-de-France, Maîtrise d'ouvrage déléguée : IDF Construction DurableArchitecte : TANK Architectes & COSABET : Bollinger + GrohmannConstructeur métallique : Baudin-ChâteauneufConstructeur : Colas Catégorie ARCHITECTURE ET INGENIERIE (nouvelle catégorie 2020)Hippodrome PARIS LONGCHAMPMaître d'ouvrage : France GALOPArchitecte : Dominique Perrault ArchitecteBET : TRACTEBELBE METAL : JAILLET-ROUBYCatégorie DIVERTIR -regroupe stades, gymnases, salles de sport, équipements culturels...Halle multifonctionnelle - Le forûm, Soults-sous-ForêtsMaître d'ouvrage : Commune de Soultz-Sous-Forêts, HohwillerArchitecte : RHB ArchitectesBET : ALEC STRUCTUREConstructeur métallique : WILHELM SACatégorie FRANCHIR - regroupe viaducs, ponts, passerelles et tout ouvrage de franchissement Passerelle de l'Aiguille Rouge, Bourg-Saint-MauriceMaître d'ouvrage : ADSArchitecte : SG ArchitecteBET : KEOPSConstructeur métallique : Bellet IndustrieCatégorie HABITER - regroupe logements collectifs ou individuelsVilla Rohan, BordeauxMaître d'ouvrage : Natcha COSTAArchitecte : Atelier CambiumBET : C3Constructeur métallique : C2BCatégorie TRAVAILLER - regroupe immeubles de bureaux, bâtiments de production, de logistiques, de commerce... BT6 – Réhabilitation d'un entrepôt et surélévation du bureaux, BèglesMaître d'ouvrage. SCI Terres NeuvesArchitecte : Nadau Architecture / Faye Architectes et AssociésBET : IBCConstructeur métallique : SOBLACOCatégorie INNOVATION - présente une innovation architecturale et environnementale majeureSuper Pausée, PloemelMaître d'ouvrage : La Belle FolieArchitecte : vous architectureBET : Yohann LesléConstructeur métallique : BfactoryCatégorie PRIX SPECIAL RESTRUCTURATION (nouvelle catégorie 2020 souhaitée par Francis Soler). Carré Michelet, la DéfenseMaître d'ouvrage : Gecina (Eurosic)Architecte : Cro&Co ArchitectureBET : CE IngénierieConstructeur métallique : Gagne Catégorie VOYAGER - regroupe gares, aéroports, pôles de transport, parkings, téléphériques...Nouveau Terminal T1, Aéroport de Lyon-Saint ExupéryMaître d'ouvrage : Aéroports de LyonArchitecte : Rogers Stirk Harbour – Partners / ChabanneBET : Technip TPS Catégorie INTERNATIONAL - présente un projet architectural internationalDen Blå Planet, l'aquarium national du Danemark, CopenhagueArchitecte : 3XNMaître d'ouvrage : The Building Foundation, Den Blå PlanetComposition du jury des Trophées Eiffel 2020Président du Jury :Francis Soler, architecteJacques Sebbag, architecte, archi5Olivier Leclercq, architecte, vice-président de la maison d'architecture, Île-de-FranceMitsu Edwards, ingénieure directrice adjointe, Eckersley O'CallaghanAmélie Luquain, architecte et journaliste spécialisée, Le MoniteurNadège Mével, rédactrice en chef EXEGilles Davoine, rédacteur en chef de AMCChristophe Leray, rédacteur en chef de Chroniques d'architectureDavid Abittan, rédacteur en chef de tema.archiChristine Le Nouy, secrétaire générale SCMFPour Stéphane Herbin, architecte, Directeur du département Innovation au CTICM (centre technique et industriel de la construction métallique), présent lors de la remise des Trophées Eiffel « Il faut construire, encore plus aujourd’hui, en s’interrogeant sur « le bon matériau au bon endroit ». « A travers ces trophées, nous en avons une belle illustration. Au-delà de ses propriétés de protection anti-feu, de légèreté et de solidité, l’acier permet de répondre aux préoccupations environnementales et aux enjeux de l’économie circulaire. Les solutions constructives de l’acier sont propices à l’économie de ressources et au réemploi. Elles permettent de s’associer à tout autre matériau pour aborder la construction neuve et la rénovation. Grâce à la poutre cellulaire, il est possible de gagner un étage en plus tous les sept niveaux. Les produits de construction en acier sont aussi recyclés jusqu’à 98 % pour les poutres.Engagée dans le Comité Stratégique de Filière « Industries pour la construction », la filière place l’innovation au cœur de ses priorités : transition numérique et industrie du futur, fabrication additive, BIM, traçabilité et modularité grâce à la préfabrication, déconstruction programmée, prévention de la production de déchets… Dans l’analyse du cycle de vie qui prend en compte 26 indicateurs, l’acier a des résultats très significatifs concernant 25 critères en matière d’impact de zone photochimique, de déchets, d’eau…Le critère carbone, quant à lui, est un sujet de recherche avancée pour limiter son impact. L’acier est un matériau démontable, évolutif, qui favorise la réhabilitation, la surélévation et la mixité des matériaux. Ces atouts sont à prendre en compte aujourd’hui. »
Il y a 4 ans et 218 jours

Schöck confirme son expertise en ITE et ITI avec plusieurs réalisations dans les Hauts-de-France

Toujours à Lille, dans la ZAC Arras, c'est une résidence étudiante de 130 appartements doublée de 43 logements collectifs qui accueillent les solutions Schöck. Deux autres bâtiments résidentiels ont également été équipés de rupteurs de ponts thermiques, l'un à Roubaix, dans le cadre de la reconversion d'un ancien site des 3 Suisses, l'autre à Armentières.Un florilège de réalisations qui montre l'étendue du savoir-faire de ce fervent défenseur de l'homogénéité de l'enveloppe des bâtiments sachant répondre à toutes les configurations de chantiers possibles : qu'il s'agisse de façades en briques, en béton peint et matricé, ou encore de mur rideau, à l'instar de la richesse des systèmes constructifs particulièrement variés des façades dans le Nord.Biotope de Lille, mode constructif en ITE et façade rideau74 balcons en porte-à-faux traités thermiquement et structurellement grâce aux 450 unités de rupteurs Schöck Rutherma® type K, K-BH et ESi ; 470 m2 de prémurs isolés avec environ 2 000 connecteurs thermiques Schöck Isolink®.Le 27 décembre 2019, la Métropole Européenne de Lille s'est vue remettre les clés du bâtiment qui doit accueillir prochainement ses 30 000 m2 de bureaux sur 7 étages, au cœur du 3ème quartier d'affaires de France (après Paris et Lyon).Imaginé par les architectes Henning Larsen Architects (Copenhague) et Keurk Architectures (Lille), avec pour maître d'ouvrage Linkcity Nord-Est et constructeur Bouygues Bâtiment Nord-Est1, le Biotope s'avère ambitieux en matière de qualité environnementale, affichant 5 certifications BREEAM, WELL, E+C-, Biodivercity et Wiredscore. Sa conception s'appuie sur la recherche du bien-être et de la performance de ses occupants, en favorisant notamment la lumière (via de grandes ouvertures donnant sur des terrasses végétalisées) et l'usage de matériaux naturels comme le bois ou la pierre.Initialement envisagé dans le cadre de la candidature de Lille à l'accueil de l'Agence Européenne des Médicaments, le bâtiment devait être réalisé en seulement un an et demi. Cette rapidité de construction est restée un objectif majeur quand la MEL s'est finalement vue confier le projet. En vue de garantir l'homogénéité thermique du bâtiment, Schöck a été retenu pas Bouygues Construction pour la fabrication et la livraison de rupteurs adaptés à la configuration de ce chantier.Autre critère qui a imposé Schöck sur le marché : le fait que ses solutions soient les seules du marché sous Avis Technique en configuration sismique en ITE, or le bâtiment, de catégorie d'importance 3, est construit en zone 2.C'est ainsi que Schöck a déployé 200 ml de rupteurs Schöck Rutherma® type K pour les balcons en porte-à-faux classiques et 100 modèles Schöck Rutherma® type K-BH pour les balcons décalés vers le haut (décalage de 30 à 60 cm par rapport au nu supérieur du plancher). 150 unités complémentaires Schöck Rutherma® module ESi, garantissant une reprise des efforts sismiques, ont été intercalées entre les éléments Schöck Rutherma® type K et K-BH.Notons également que 470 m2 de prémurs isolés au rez-de-chaussée ont intégré des connecteurs thermiques Schöck Isolink® pour garantir l'homogénéité de l'enveloppe du bâtiment.En droite ligne de sa politique d'accompagnement client et la traçabilité de ses produits, Schöck a assuré un suivi complet des différentes phases d'intégration des rupteurs dans les balcons chez le préfabricant et sur le chantier auprès de Bouygues Construction afin de s'assurer que les rupteurs suivent la ligne courbe des balcons.Schöck Rutherma® type KLe rupteur Schöck Rutherma® type K, affichant un corps isolant de 80 mm d'épaisseur, est un élément structurel et thermique pour les balcons en porte-à-faux. Améliorant les performances acoustiques en termes de bruits d'impacts selon le référentiel QUALITEL H&E, les rupteurs Schöck présentent donc une valeur ajoutée thermique ET acoustique.Schöck Rutherma® type K-BHCette variante du type K s'applique dans des configurations où le nu supérieur de la dalle du balcon est décalé par rapport au nu supérieur de la dalle intérieure.Schöck Isolink®Ces connecteurs en fibres de verre représentent une alternative aux armatures en acier inoxydable pour le raccord des parois en béton des panneaux sandwich ou mur à coffrage et isolation intégrée. Avec des avantages exceptionnels : résistants au milieu alcalin et à la corrosion, ces connecteurs se révèlent faciles à découper et bénéficient d'une très faible conductivité thermique.Schöck Rutherma® module ESiPour répondre à des exigences parasismiques, des modules type ES ou ESi (Eléments Sismiques) existent en ITE et peuvent être mis en place afin d'être conforme à la réglementation en vigueur.Lille, Zac ArrasSchock participe à la construction d'une résidence étudiante de 130 appartements en ITI et d'un collectif de 43 logements, via ses rupteurs Schöck Rutherma® DF.Au sein de la dynamique Zac Arras Europe, où vient de s'implanter la nouvelle chambre des métiers ainsi que de nombreux sièges sociaux (dont le groupe Décathlon), bénéficiant également de nouveaux équipements sportifs et culturels, Schöck est intervenu, en 2019, à la fois sur une résidence étudiante de 130 appartements et un immeuble de 43 logements (NF Habitat et RT 2012) pour Bouygues Immobilier.La singularité de la résidence étudiante, à l'accès sécurisé avec un bel espace paysager central, se situe dans ses façades matricées signées par l'Agence Zig Zag Architecture. En effet, on associe souvent un mur matricé à l'impossibilité d'y poser des rupteurs. Or, Schöck maîtrise parfaitement l'exercice. Dans le cadre d'un rendu matricé, un seul arrêt de bétonnage s'avère nécessaire au lieu des deux habituels : c'est cette solution clé en main que propose Schöck.La pose de rupteurs Schöck Rutherma® type DF a été réalisée intégralement sur chantier et là-encore l'entreprise de maçonnerie a pu apprécier l'accompagnement et le suivi dispensés par les intervenants Schöck. L'interaction et les échanges réguliers avec l'entreprise de construction Holbat, le BE Thermique et le BE Structure, afin d'atteindre la conformité RT 2012 de l'immeuble collectif, ont véritablement contribués au succès du projet.Les rupteurs dalle-façade ont été mis en place sur les planchers intermédiaires (situés entre 2 logements) et les planchers hauts (toiture terrasse).Concernant les 43 logements collectifs, 30 ml de rupteurs Schöck Rutherma® type Ki ont également été mis en œuvre sur les coursives.Schöck Rutherma® type DF, DF-VMEléments de jonction entre la dalle intérieure et la façade, les rupteurs type DF comportent, en partie inférieure, 4 pattes de fixation par mètre qui peuvent être agrafées au coffrage pour assurer un maintien optimal lors du coulage béton de la dalle : une sécurité garantissant une stabilité renforcée du rupteur sur le plancher.Schöck Rutherma DF vient de célébrer ses 20 ans d'ATec et se révèle le seul rupteur du marché à bénéficier d'une FDES, affichant un impact carbone de 14.4 kgCO2/ml contre une valeur INIES de 120 kgCO2/ml calculée par le CSTB. Un véritable atout pour les architectes et les bureaux d'études thermiques quant à leurs choix de solutions techniques pour atteindre les labels du E+ C- !Roubaix et ArmentièresRespectivement 44 et 33 appartements collectifs, ayant bénéficié d'un traitement des ponts thermiques en ITIA Roubaix, porté par le promoteur BC Neoximo et signé par l'agence Maes Architectes et Urbanistes, le projet a consisté à convertir un ancien entrepôt des 3 Suisses et à construire une résidence neuve de 44 logements. Au-delà du traitement classique des liaisons dalles-façades avec des rupteurs, Schöck Rutherma® type DF (251 ml au total), l'intérêt de cette réalisation portait sur une solution globale de fourniture de rupteurs associée à la celle des coffrages de rives de dalles Schöck ASE. Dans le cas de la résidence de Roubaix, 216 unités d'une longueur de 1,25 ml (longueur spécifique pour un usage chantier) ont été nécessaires pour coffrer les rives de dalles.Concernant la résidence de 33 logements d'Armentières conçue par l'agence Delassus Dumoulin Prévost Architectes et réalisée pour Pierres & Territoires de France Nord (du T2 au T4), des rupteurs Schöck Rutherma® type Ki30 ont été retenus afin de traiter les ponts thermiques des balcons en ITI (80 ml) et assurer l'homogénéité de la façade. Soulignons que pour ce chantier, un intervenant Schöck est passé à chaque niveau de plancher (PH RDC, PH R+1 et PH R+2), s'assurant que les équipes de construction étaient correctement formées à la pose des rupteurs.Schöck ASERappelons que Schöck ASE répond à la réalisation d'éléments de construction en béton apparent - rives de prédalle, balcon, mur, coffrages de poutre, ou encore coffrages de rive dans une configuration de pose avec rupteurs - dont la surface homogène (en béton fibré extrudé C40/50), sans bulles ni aspérités, représente un véritable atout esthétique.Livrés prêts au montage, dans une longueur maximale de 2.70 ml, il suffit simplement de couper ces ASE pour obtenir la dimension et l'angle souhaités. Leur assemblage est également facilité grâce aux clips de jonction droits et d'angles qui assurent un alignement parfait, les queues d'arondes créant une liaison mécanique avec le béton frais.
Il y a 4 ans et 218 jours

6e Trophées Eiffel d’architecture Acier : 10 ouvrages à l’honneur

La 6e édition du concours organisée par ConstruirAcier, l’organisme de promotion de la filière acier français, a récompensé les œuvres architecturales de 10 maitres d’ouvrages et architectes de projet.
Il y a 4 ans et 218 jours

Le nouveau parking du lycée Heinrich-Nessel à Haguenau sera mis en service en 2022

D’ici 2022, le parking du lycée Heinrich-Nessel dans le Bas-Rhin s’ouvrira au public.
Il y a 4 ans et 218 jours

Saint-Cyr-en-Arthies : le projet éco-hameau se concrétise

Le premier éco-hameau en milieu rural de la Région Île-de-France sera construit dans le village de Saint-Cyr-en-Arthies.
Il y a 4 ans et 218 jours

Soumission à une enquête publique du projet canal de Compiègne à Passel

Une enquête publique est ouverte du 5 octobre au 5 novembre 2020 sur le projet de construction du canal de Compiègne à Passel.
Il y a 4 ans et 219 jours

LafargeHolcim lance EcoPact

EcoPact convient à tous les types d’ouvrages et fait déjà l’objet de chantiers. Ici, l’Institut médico-éducatif de La Roque-d’Anthéron (13). [©3AArchitectes et Associès] Engagé dans la réduction des émissions de CO2 et la valorisation des ressources, LafargeHolcim France innove. Ceci, en proposant EcoPact, une nouvelle offre de bétons permettant d’aller jusqu’à un impact neutre en carbone. Une démarche initiée en 2019, avec Lafarge 360. Ainsi, LafargeHolcim avait pour ambition de mener la transition écologique dans le secteur des matériaux de construction. En 2020, l’industriel va encore plus loin. « Cette nouvelle offre béton neutre en carbone s’inscrit dans notre démarche Lafarge 360 pour construire plus responsable. Avec EcoPact, nous complétons l’éventail de notre gamme de bétons pour répondre aux fortes attentes de nos clients et de nos marchés », indique François Petry, directeur général LafargeHolcim France. La gamme EcoPact notée 360Score A+ La gamme EcoPact s’appuie ainsi sur l’échelle d’évaluation 360Score, qui affiche en toute transparence l’impact sur l’environnement des produits LafargeHolcim. Cette gamme vient en complément des services d’éco-conception 360Design. Ce dernier est un simulateur en ligne, qui calcule l’empreinte carbone du gros œuvre d’un bâtiment. Et ainsi optimiser la performance environnementale d’un projet. La gamme EcoPact se décline en quatre solutions : • EcoPact “classique” propose un taux de réduction carbone de 30 à 50 %. Cette solution est disponible sur tout le territoire national et ne change pas les usages et pratiques de construction traditionnels. • EcoPact A est une solution qui va plus loin, en offrant un taux de réduction carbone de 50 à 70 %. Cette performance est obtenue grâce aux innovations de formulation et permet de conserver les modes constructifs habituels. • EcoPact AA est une solution de rupture, en termes d’innovation et de réduction carbone. Puisqu’elle propose un taux de réduction supérieur à 70 % grâce à des liants, dont les performances sont exceptionnelles. • EcoPact A+ est une solution à impact carbone neutre compensé. Ce béton obtenu par compensation se compose d’un béton EcoPact A et d’achat de crédits carbone certifiés par un organisme international. « Avec EcoPact, nous avons conçu des bétons responsables qui rendent la construction bas carbone possible pour tous les chantiers. Ceux du quotidien comme les plus ambitieux. D’autres développements innovants sont en cours pour enrichir la gamme et répondre précisément aux évolutions du marché », conclut Michèle Duval, directrice des gammes produits et services LafargeHolcim France.
Il y a 4 ans et 219 jours

Jeunes pousses sur gratte-ciels : l'agriculture sur les toits de Singapour décolle

Ce site de 930 m2 est l'une des exploitations agricoles qui bourgeonnent sur les toits d'immeubles du petit État d'Asie du Sud-Est désireux d'augmenter la production alimentaire locale pour être moins dépendant des importations.Depuis plusieurs années, le gouvernement encourage ces initiatives, s'inquiétant d'une possible baisse des rendements agricoles dans le monde à cause du changement climatique ainsi que de perturbations dans les importations dues aux tensions commerciales. Mais la pandémie leur a donné encore un nouvel élan."Il y a une erreur commune qui est de croire que l'on ne peut pas faire de l'agriculture à Singapour par manque d'espace", note Samuell Ang, qui dirige l'exploitation Edible Garden City, située sur le toit du centre commercial."Mais nous voulons changer cela".Des fermes urbaines sont apparues dans de nombreuses villes, mais les exploitations sur les toits sont une solution particulièrement adaptée aux zones très densément peuplées comme Singapour, qui importe 90% de ses produits alimentaires.L'agriculture, secteur autrefois important à Singapour, a décliné à mesure que le pays est devenu un centre financier et commercial hérissé d'immeubles. Aujourd'hui, seulement 1% de sa surface est agricole.Ces dernières années, les parcelles cultivées sur les toits se sont multipliées dans la cité de 5,7 millions d'habitants.L'an dernier, les autorités ont indiqué vouloir produire localement 30% de la nourriture d'ici 2030 et viser une augmentation de la production de poisson, d'œufs et de légumes.Depuis que le coronavirus a augmenté les risques de perturbations de la chaîne d'approvisionnement, le gouvernement a accéléré ces projets, annonçant que les toits de neuf parkings deviendraient des exploitations. Il a injecté 30 millions de dollars singapouriens (19 millions d'euros) pour le développement du secteur."Amortir le choc"Mais elle a aussi implanté des potagers dans des lieux plus inattendus, comme une ancienne prison, des conteneurs et des balcons d'appartements.Ces exploitations n'emploient que des pesticides naturels, comme l'huile de neem qui repousse les nuisibles."Nous voulons passer le message que l'on peut faire pousser sa propre nourriture. Et démontrer que l'on n'a pas vraiment besoin de grandes parcelles", souligne Samuell Ang.Il cultive plus de 50 variétés, des aubergines, à l'okra, le fruit de la passion sauvage, des fleurs comestibles et des jeunes pousses.La société expérimente différentes techniques: dans un conteneur, elle teste un système hydroponique, une culture hors-sol.La production de Edible Garden City est récoltée et livrée le même jour, surtout à des restaurants, mais les consommateurs peuvent aussi s'abonner pour recevoir des livraisons régulières de fruits et légumes.Pour William Chen, directeur d'un programme dédié à la nourriture, la science et la technologie à l'université technologique Nanyang de Singapour, les fermes urbaines sont "une façon d'amortir le choc des ruptures de chaînes d'approvisionnements"."Les exploitations sur les gratte-ciels de Singapour sont certainement une option intelligente", remarque-t-il.Mais il y a des limites à ce que l'on peut produire dans un pays de la taille de la ville de Los Angeles."Nous n'avons pas de fermes d'élevage et nous n'avons pas le luxe de pouvoir consacrer des terrains au riz"."Faire pousser du riz ou du blé en intérieur serait très onéreux voire impossible".De plus, Singapour ne dispose pas d'agriculteurs qualifiés. "Nous pouvons embaucher des gens intéressés par l'agriculture mais ils n'ont pas assez d'expérience", explique Samuell Ang.
Il y a 4 ans et 219 jours

Maçonnerie armée Ytong : une solution coupe-feu économique

La maçonnerie armée, l'innovation Ytong pour des murs coupe-feu économique et rapide à monterClassé A1, il est incombustible et assure une excellente résistance au feu. Grâce à ses propriétés minérales, il est étanche aux flammes et aux fumées et limite fortement l'élévation des températures dans les cellules mitoyennes.Sains et durables, les murs et cloisons séparatives Ytong offrent une protection incendie haute performance. Parmi les solutions coupe-feu proposées, les maçonneries armées en béton cellulaire se distinguent par leur rapidité de pose et leur légèreté. Au sein des projets de bâtiments tertiaires et industriels, elles permettent d'optimiser la mise en œuvre, en érigeant en un temps record des murs coupe-feu de grandes dimensions, et de réaliser ainsi d'importantes économies de temps et d'argent.Pour les projets du futur centre commercial Maine Street situé au sud de l'agglomération du Mans à Ruaudin (72), qui offrira une surface commerciale d'environ 27 000 m2 avec une quarantaine de boutiques, et de la chocolaterie Ethiquable à Fleurance dans le Gers (32), qui regroupera la production, l'entrepôt, les bureaux et une boutique ouverte au public, ce sont deux solutions différentes de maçonneries armées coupe-feu Ytong qui ont été retenues.En tenant compte des contraintes de chacun de ces chantiers, le service technique de Xella a préconisé des techniques constructives optimisées. Ainsi, l'Ytong Gigabloc a été mis en œuvre de manière mécanique pour Maine Street, tandis que des blocs Ytong Compact 20 associés à Ytofor ont été posés manuellement pour l'usine Ethiquable.Maçonnerie armée et blocs Ytong grand format : la haute performance coupe-feuGrâce à la nature minérale du béton cellulaire, ses propriétés intrinsèques et sa forte résistance thermique, les solutions maçonneries armées Ytong sont particulièrement adaptées aux applications coupe-feu. Incombustibles, leur point de fusion se situe à environ 1200°C, et elles ne dégagent aucun gaz toxique ou inflammable.Aurélien REGNIER de l'entreprise BCG qui a réalisé le gros-œuvre et le génie civil du projet Maine Street, décrit les enjeux du projet : « Il s'agissait de construire un hypermarché relié à des magasins de retail pour une surface de 27 000 m2. La problématique des murs coupe-feu était centrale car ils devaient séparer les nombreuses cellules commerciales mitoyennes qui comptent des magasins « à risque » (généralement les espaces de restauration intègrent des cuisines). Les solutions coupe-feu Ytong s'adaptaient parfaitement à ses contraintes. »Le béton cellulaire étant doté de propriétés coupefeu répondait largement aux exigences du programme.« Le matériau présente plusieurs intérêts. Sur le plan technique, sa légèreté par rapport à l'aggloméré ignifuge ou au béton facilite sa manutention et sa mise en place. Les Gigabloc d'Ytong requièrent l'utilisation d'engins mais leur manipulation et leur pose restent bien plus aisées qu'avec du béton qui est beaucoup plus lourd. Le béton cellulaire est également plus performant en matière d'isolations phonique et thermique.En tout, nous avons dû monter 20 murs coupe-feu en béton cellulaire de 32 à 40 m de long et de 7 à 8 m de hauteur. La maçonnerie armée permet de réaliser ces murs très longs et très hauts en se passant de poteaux intermédiaires et chacun a pu être érigé en une semaine.Le service technique de Xella nous a été d'un grand soutien pour le dimensionnement. Grâce à l'étude technique menée par leur service, nous avons pu déterminer les produits et détails de la maçonnerie ainsi que les principes de fixation des blocs. Outre les tors de 10 posés à chaque rang dans la longueur, les murs sont accrochés à la charpente métallique du bâtiment par des fixations «fusibles». Le service technique a déterminé le type de fixation nécessaire en fonction des zones et des charpentes métalliques pour y accrocher chaque mur. »Ingénieur du service technique Xella, Vincent SENECLAUZE ajoute : « Le cahier des charges du projet Maine Street requérait 3H de coupe-feu. Comme notre béton cellulaire est très performant, nous atteignons 3H avec des blocs de 10 cm d'épaisseur, mais lorsqu'il s'agit de murs aux dimensions importantes, d'autres paramètres rentrent en compte. Nous avons émis une note technique pour un produit donné avec ses caracté- ristiques, les dimensions, le degré coupe-feu, la réponse au feu ainsi qu'une hypothèse d'effort au vent et le référentiel de la norme de dimensionnement utilisée, qui est l'Eurocode 6.Ces calculs ont permis de valider la solution des Ytong Gigabloc 15. Le choix de cette solution constructive est exceptionnelle pour des murs de cette dimension (épaisseur 15 cm). Ils mesurent 120 x 62,5 cm et sont rainurés sur leur partie haute. Dans cette rainure, une armature standard, un tor de 10 à chaque rang, renforce la résistance du mur. »Quant au projet de la nouvelle usine Ethiquable, l'entreprise L2C, missionnée par le promoteur Essor Agro pour le gros-œuvre et les travaux de murs coupe-feu, a fait le choix de la solution Ytong Compact 20 avec l'armature Ytofor.Son directeur Vincent Soury témoigne des atouts de la solution : « Le béton cellulaire réalise de belles performances en matière de coupe-feu et de résistance thermique. C'est le compromis idéal pour ce type de programme, une usine accueillant également du public. Une performance coupe-feu 2H était requise. »Une mise en œuvre plus rapidePour le bâtiment Ethiquable, le choix s'est porté sur une mise en œuvre manuelle avec les blocs Ytong Compact 20 et l'armature Ytofor.Vincent Soury de l'entreprise L2C raconte : « Le procédé reste traditionnel. Le montage à joint mince est pratique car le poids du mur reste léger. Les atouts de cette solution sont indéniablement la légèreté et la facilité de mise en œuvre. L'Ytofor est une armature, conditionnée sous forme de rouleau, qui se pose tous les rangs pour supprimer les raidisseurs et les chaînages en béton armé. L'avantage d'Ytofor, c'est qu'on a plus du tout de chaînage à créer, ce qui rend l'exécution hyper rapide. On gagne au moins 50% du temps passé grâce à ces solutions de maçonnerie sèche, car rien n'arrête la main d'œuvre avec Ytofor. On peut monter jusqu'à 55m² dans la journée. »Vincent SENECLAUZE (Xella) pointe les performances techniques de la solution : « La mise en œuvre d'Ytofor tous les rangs, là c'est tout les 25 cm, permet d'obtenir un meilleur renforcement mécanique de la structure du mur, avec une armature répartie sur toute la hauteur. Grâce à Ytofor, nous améliorons les capacités de dilatation.Le caractère innovant d'Ytofor peut parfois susciter des questions, mais nous rassurons nos interlocuteurs car nous disposons de toutes les certifications sur son dimensionnement et sa mise en œuvre. De plus, l'accompagement de notre équipe technique permet une une réponse personnalisée et optimisée pour chaque projet.Nos techniciens-démonstrateurs interviennent à toutes les phases du chantier : pose, démonstration... »Pour Aurélien REGNIER (BCG) qui a mis en œuvre des Ytong Gigabloc sur Maine Street « La pose a été réalisée par 4 personnes : un opérateur commandait une grue, une personne au sol aidait à manipuler les blocs, et dans une nacelle 2 personnes étaient respectivement chargées du positionnement des blocs et de la réalisation des joints. Sur le dessus des Ytong Gigabloc, une rainure accueille un tor de 10 que l'on fixe avec du mortier colle YtongFix, permettant ainsi une construction plus propre. »Les performances environnementales du béton cellulaireLes solutions maçonneries armées Ytong répondent aux objectifs de performances énergétiques, critères également décisifs pour le bâtiment de la chocolaterie Ethiquable. L'enseigne a choisi de répondre au cahier des charges de l'appel à projet In'NoWatt de la Région Occitanie, une certification qui se situe au-delà du référentiel HQE et récompense les opérations innovantes de construction qui limitent leur consommation énergétique avec une empreinte carbone la plus basse possible tout au long de leur cycle de vie.Aurélien REGNIER (BCG) atteste également de la durabilité de la maçonnerie Ytong utilisée dans le cadre du projet Maine Street : « Le béton cellulaire est pour ainsi dire inusable. La durée de vie du matériau est excellente. »Solutions de protection incendie coupe-feu en maçonnerie armée Zéro chaînageYTONG GIGABLOC – une solution de montage rapide (grue ou élévateur nécessaire)Léger, isolant et de grandes dimensions, Ytong Gigabloc (120 x 62,5) permet de monter très rapidement des murs coupe-feu de grande envergure, à l'aide d'une petite grue de chantier. Cette pose facilite les manipulations, réduit considérablement le temps de mise en œuvre et est plus économique.De plus, existants en deux dimensions, les blocs sont facilement coupables, ce qui assure une pose rapide et une parfaite adaptabilité sur le chantier.Enfin, ils assurent la sécurité des personnes et des équipements grâce à leur haute performance coupefeu (EI 240) et leurs excellentes propriétés thermiques qui permettent de mieux résister aux sinistres.Ytong Compact 20 associé à YtoforL'association des murs Ytong Compact avec l'armature Ytofor dans les joints horizontaux renforce la résistance aux efforts transverses et apporte une grande liberté pour la conception et la réalisation de murs coupe-feu. Elle supprime les chaînages horizontaux et verticaux et simplifie la mise en œuvre du chantier (jusqu'à 25% plus rapide à poser).L'armature métallique Ytofor s'intègre directement dans les joints de la maçonnerie en remplacement des chaînages habituels verticaux et horizontaux. Economique et rapide à poser, elle ne nécessite ni béton coulé, ni chaînages, ni accessoires spécifiques.
Il y a 4 ans et 219 jours

Précarité énergétique dans les copropriétés : des ménages moins en difficulté énergétique que dans le parc social

Afin de mieux comprendre la situation des copropriétaires en précarité énergétique, l’Observatoire National de la Précarité Energétique (ONPE) vient de publier une étude sur ce public. Le parc des copropriétés est celui qui compte le moins de ménages en situation de précarité énergétique. Selon l’indicateur « Enveloppe », 1,3 million sont en précarité énergétique sur un parc qui compte 7,2 millions de ménages, soit 18% d’entre eux. Bien que moins nombreux que dans le parc social, ces ménages présentent des caractéristiques similaires : – Des ressources financières trois fois plus basses que la moyenne des occupants des copropriétés (12 942 €/an contre 37 035 €/an) ; – Des dépenses énergétiques moyennes par m2 plus élevées (23 €/m2 contre 19 €/m2) ; – La taille de la copropriété : 62% des ménages concernés résident dans des immeubles de moins de 10 logements ; – L’année de construction du logement : 76 % des ménages précaires énergétiques habitent un logement construit avant la réglementation thermique de 1974. 38% d’entre eux déclarent avoir eu froid au cours de l’hiver précédent l’enquête contre 18% en moyenne pour l’ensemble des ménages en copropriétés. Enfin, il apparaît que le poids du loyer et des charges de copropriétés grève le budget des occupants du parc de copropriétés. Un quart des ménages en précarité énergétique dans les copropriétés déclarent d’ailleurs avoir eu des difficultés pour payer le loyer ou les charges au cours des 24 derniers mois précédents l’enquête. Un parc hétérogène qui rend complexe l’approche de la précarité énergétique Pour bien saisir le phénomène dans les copropriétés, on note également que de grandes disparités sont notables selon le statut d’occupation des ménages : les locataires sont plus touchés. En effet, parmi les 1,3 million de ménages en précarité énergétique dans les copropriétés, près de 8 ménages sur 10 sont locataires (78%). Le jeu d’intervenants est complexe puisqu’il compte le syndicat de copropriété et son gestionnaire, les associations et bureaux d’étude, et l’Etat/départements/collectivités. Le traitement du phénomène dépend beaucoup de la nature de la relation entre ces acteurs. En effet, pour une rénovation efficace, l’ensemble des parties prenantes doit se mettre d’accord au même moment pour engager des travaux lourds et couteux. Alors qu’une rénovation efficace nécessite de traiter la copropriété dans son intégralité, l’intérêt personnel immédiat des copropriétaires peut primer sur l’intérêt de l’immeuble à plus long terme. Ainsi, la forte proportion de locataires couplée à la complexité du montage d’opérations de rénovation et à la pluralité d’acteurs en présence constituent un frein à des travaux de rénovation énergétique. Graphique : à la question « Votre ménage a souffert du froid, était-ce dû à… », les ménages enquêtés par l’ENL ont pu indiquer plusieurs raisons. 11% des ménages en précarité énergétique (selon l’indicateur TEE_8%_3D) dans les appartements du parc privé ont indiqué ressentir le froid dans leur logement en raison d’une installation de chauffage insuffisante, ils étaient également 2% à déclarer que cette sensation de froid était liée à une panne durable de l’installation de chauffage, 8% à une limitation du chauffage en raison de son coût, 14% à une mauvaise isolation du logement. La précarité énergétique est définie par l’ONPE selon plusieurs indicateurs : – Le taux d’effort énergétique (TEE) est le rapport entre les dépenses d’énergie et les revenus du ménage. Le « TEE_8%_3D » considère un ménage en situation de précarité énergétique lorsque ses dépenses énergétiques sont supérieures à 8% de son revenu et son revenu par unité de consommation (UC) est inférieur au troisième décile de revenu. – L’indicateur Bas Revenu Dépenses Elevées, rapporté au nombre d’UC du ménage (« BRDE_UC »), identifie les ménages dont le reste à vivre par UC (revenu par UC dont sont déduites les dépenses liées au logement hors énergie) est inférieur à 60% de la médiane et dont les dépenses d’énergie sont supérieures à la médiane des dépenses d’énergie. – L’indicateur Froid est un indicateur subjectif basé sur le ressenti des ménages en matière de confort thermique. L’enquête nationale logement (ENL) 2013 prend en compte 7 motifs de froid : installation de chauffage insuffisante ; panne de l’installation de chauffage ; mauvaise isolation ; limitation du chauffage en raison du coût ; coupure d’énergie liée à un impayé ; mauvais réglage ou mise en route tardive de l’installation ; autres raisons. – L’indicateur « FR_PRECA_3D » ne comptabilise que les ménages en situation de précarité énergétique répondant aux deux critères suivants : déclarer une sensation de froid liée à au moins l’un des cinq premiers motifs, c’est-à- dire ceux considérés comme significatifs d’une situation de précarité énergétique et avoir un revenu par unité de consommation inférieur ou égal au troisième décile. Source : Etude thématique ONPE édition 2020 – Qui sont les ménages en précarité énergétique dans les copropriétés du parc privé ?
Il y a 4 ans et 219 jours

Bétons bas carbone : signature d’un partenariat entre CEMEX et Hoffmann Green Cement Technologies

CEMEX en France vient de signer un partenariat avec Hoffmann Green Cement Technologies, concepteur et producteur de ciments bas carbone. CEMEX avait annoncé en février 2020 une nouvelle stratégie pour le climat, traduisant son engagement à progresser vers une économie neutre en carbone. Son ambition : réduire ses émissions de CO2 de 35 % d’ici 2030 et atteindre la neutralité carbone en 2050. Lancée en 2018, la gamme de bétons bas carbone Vertua© répondait déjà aux attentes sociétales de développer des bâtiments économes en énergie et à faible empreinte carbone. Hoffmann Green Cement Technologies, quant à lui, conçoit et produit des ciments présentant une empreinte carbone significativement réduite par rapport au ciment traditionnel. La société a mis au point plusieurs technologies pour produire des ciments bas carbones destinés à l’ensemble des marchés du secteur de la construction. Le ciment H-UKR, désormais fourni à CEMEX, est une solution basée sur un système d’activation sans aucun ajout de clinker dans sa formulation. Une solution innovante permettant de proposer une nouvelle formulation de béton Vertua© ultra zéro avec une empreinte carbone neutre.
Il y a 4 ans et 219 jours

TERREAL s’engage dans la deuxième phase de son mécénat pour la sauvegarde du Château de La Salvetat Saint-Gilles en Occitanie

  A l’occasion des Journées européennes du Patrimoine, TERREAL, acteur historique de la terre cuite engagé dans la pérennisation des patrimoines architecturaux français, officialise la signature de la deuxième phase de son mécénat aux côtés de la Fondation du Patrimoine et de la Mairie de La Salvetat Saint-Gilles. Dans la continuité des travaux d’urgence entrepris depuis février 2018, cette deuxième phase correspond à la rénovation complète de la toiture du pavillon Est du château Raymond IV, soit 370 m2 de couverture de cet édifice emblématique de la région de Toulouse. Un chantier de sauvegarde du patrimoine mené en pleine crise sanitaire Château Raymond IV – ©Mairie de La Salvetat Saint-Gilles Depuis son acquisition par la Mairie en décembre 2016, le Château de La Salvetat Saint-Gilles, classé Monument Historique, est au centre d’un vaste chantier de sauvegarde ayant débuté par la restauration du pavillon Ouest, de ses planchers et de la toiture. La deuxième phase de travaux s’annonce encore plus ambitieuse avec tout un travail de reconstitution de la charpente, modelée sur celle de la première tour. Un travail de reprise en sous oeuvre a également été conduit, car cette partie avait été soumise au fil des années aux intempéries, et les murs, infiltrés d’eau, menaçaient de s’effondrer. Jean-Louis Rebière, architecte en chef des Monuments Historiques, témoigne : « Nous avons constaté que le château a été rénové par ajouts et retranchements successifs. Les pièces ont ainsi été recoupées au cours des siècles. Nous avons trouvé dans les décombres du pavillon Est des éléments de plafonds peints ainsi que des carreaux vernissés, tous deux vestiges du XVIIème siècle. A l’issue de la restauration en cours, il pourra être envisagé de restaurer ces précieux vestiges puis de les présenter de façon muséale. »  Un travail de longue haleine pour les différents acteurs du projet qui ont dû s’adapter face à la crise de la Covid-19.  « La situation sanitaire a certes retardé le chantier, mais nous en avons aussi profité pour travailler la charpente en atelier. Aujourd’hui, nous avons repris à trois personnes sur le chantier et nous amorçons tout juste la pose des tuiles. La vie continue ! », explique Sébastien Laffite de l’entreprise Rodrigues-Bizeul, spécialisée dans la restauration de bâtiments historiques.  De son côté, Jean-Louis Rebière souligne : « La mise à l’arrêt du chantier pendant le confinement était problématique surtout pour des raisons climatiques. Nous venions de restaurer le premier pavillon et de réaliser la consolidation des murs et arases du pavillon Est. Il y aurait pu avoir des désordres au niveau des maçonneries exposées aux intempéries, mais finalement le chantier s’est tenu convenablement et nous avons pu reprendre là où nous l’avions laissé. » Une tuile de la gamme Monuments Historiques sélectionnée pour les travaux de rénovation Possédant une implantation locale historique en Occitanie, TERREAL a souhaité s’associer au projet de sauvegarde par un don de tuiles plates de la gamme Monuments Historiques.  La tuile Pompadour en coloris brun-noir a été choisie par l’architecte pour son aspect patiné, semblable aux anciennes tuiles utilisées à l’époque, permettant ainsi de « retranscrire la temporalité de l’édifice et son authenticité ».  Principalement destinée à la restauration des toitures des bâtiments anciens de caractère ou des demeures d’exception, la gamme de tuiles Monuments Historiques est fabriquée à l’usine de Montpon en Dordogne qui existe depuis la fin du XIXe siècle. Les coloris et textures de ces tuiles plates sont obtenus par sablage et poudrage vitrifiés lors de la cuisson à près de 1000°C. L’emploi de ces matériaux inertes assure une longévité exceptionnelle contre l’érosion et la décoloration.  TERREAL a livré 28 palettes de tuiles et 2 palettes d’accessoires de toiture (arêtiers, rives) pour la restauration du pavillon Est, dont la toiture était complètement effondrée. La rénovation complète de la couverture devrait être achevée à l’automne 2020. Cette livraison vient compléter le don en 2018 de 40 palettes de tuiles pour la réfection des 260 m2 de toiture du pavillon Ouest du château.  François Arderiu, Maire de La Salvetat Saint-Gilles, précise : « Grâce au travail remarquable de nos charpentiers-couvreurs qui ont oeuvré avec passion, y compris durant le confinement, la dernière tranche de sauvegarde des toitures pourra être finalisée dès cet automne ».  La Mairie projette un bel avenir pour cet édifice, avec notamment l’étude de l’aménagement en parc des terrains entourant le Château, pour offrir au public un nouvel espace de convivialité et de divertissement. Des travaux complémentaires de restauration sont également envisagés pour permettre une ouverture à la population et aux futurs visiteurs, et faire de ce monument historique un équipement culturel. François Arderiu conclut : « Très vite, ce chantier visible depuis le centre de notre village, a suscité un engouement de la part de la population, concrétisé par les nombreux dons de particulier auprès de La Fondation du Patrimoine ainsi que par la sélection de ce projet pour la première édition du Loto de la mission Bern. Cette générosité des particuliers et des entreprises locales, telles que TERREAL, vis-à-vis de notre patrimoine historique, nous permettra de financer de nouvelles tranches de travaux sans surcoût notable pour notre commune. A ce titre, nous tenons vivement à remercier tous les acteurs de cet élan solidaire pour la protection de notre patrimoine ». Rénovation de la charpente du pavillon Est – ©Mairie de La Salvetat Saint-Gilles   La Fondation du patrimoine, opérateur financier de la mission Bern, a lancé une souscription publique afin de collecter des fonds pour financer ce projet en complément du financement des travaux, principalement supporté par l’Etat, la région Occitanie, le département de la Haute-Garonne et la commune de La Salvetat Saint-Gilles. Construit par Raymond IV, comte de Toulouse, entre 1088 et 1096, cet édifice est un véritable poste d’observation et de défense, situé sur l’arrête d’un plateau dominant de 90 mètres d’altitude. Le château a gardé son caractère de forteresse à travers les âges et a connu quelques « enjolivements » à la Renaissance, notamment des fresques et décors au pochoir datant du XVIIème siècle qui se situent dans la coursive surplombant la cour intérieure. A la Révolution, le propriétaire du château fut guillotiné sur la place du Trône à Paris. La propriété fut saisie, morcelée et vendue comme bien national. Depuis le XVIIIème siècle, plusieurs propriétaires se sont succédés et ont apporté quelques modernités.   A propos de la Fondation du Patrimoine Première organisation privée de France dédiée à la sauvegarde du patrimoine de proximité le plus souvent non protégé par l’État, la Fondation du Patrimoine est un organisme sans but lucratif créé par la loi du 2 juillet 1996. Reconnue d’utilité publique par le décret du 18 avril 1997, elle a pour mission de sauvegarder et mettre en valeur le patrimoine bâti, mobilier et naturel. Fédératrice et mobilisatrice autour d’une cause nationale, la Fondation du Patrimoine participe activement au renforcement de l’attractivité des territoires en devenant un partenaire privilégié des acteurs locaux et un moteur efficace du développement économique local et durable. Très proche du monde entrepreneurial, la Délégation régionale Occitanie-Pyrénées de la Fondation du Patrimoine a lancé depuis 2016 sept clubs d’entreprises, unissant ainsi des entreprises départementales et régionales prêtes à s’investir pour la préservation et la mise en valeur du patrimoine, et donc du territoire. Plus d’informations : www.fondation-patrimoine.org A propos de TERREAL Inspiré par plus de 150 ans de savoir-faire dans les matériaux de construction en terre cuite, TERREAL crée des solutions innovantes pour l’enveloppe du bâtiment. A travers 4 activités (couverture, solaire, structure, façade et décoration), 21 sites de production dans le monde dont 16 en France, plus de 2200 collaborateurs et 412 millions d’euros de chiffre d’affaires (CA consolidé avec 100% de GSE Intégration), TERREAL contribue à l’amélioration de l’habitat en accompagnant ses clients dans la création de projets, porteurs de bien-être pour les hommes et de respect pour l’environnement. En révélant au quotidien toute la beauté de la terre cuite dans chaque réalisation, TERREAL fait rejaillir son énergie au service de ses partenaires et de leur imagination. Plus d’informations : www.terreal.com
Il y a 4 ans et 219 jours

Lancement d'un appel à compétences pour restaurer Notre-Dame de Paris

ARTISANAT. L'établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris vient de lancer un appel à compétences pour la restauration de l'édifice.
Il y a 4 ans et 219 jours

Plan de relance : le débat sur les contreparties des entreprises est "légitime" selon Castex

"Ce débat sur les contreparties, il n'est pas nouveau, il n'est pas illégitime", a expliqué sur Franceinfo le chef du gouvernement pour qui "il faut toujours se demander comment est utilisé l'argent public, c'est absolument sain dans une démocratie"."Je ne dis pas que c'est un faux débat, puisque je vous ai dit qu'il était légitime" mais "il doit se traiter entreprise par entreprise, dans le cadre du dialogue social d'entreprise", a-t-il insisté."Il faut que les instances du dialogue social dans les entreprises, à chaque fois que celle-ci est éligible ou bénéficie du plan de relance, que ces instances soient saisies", a ajouté le Premier ministre."C'est une chose qui est saine, ça ne veut pas dire qu'il faut qu'elles aient un droit de véto, c'est un droit de regard", a-t-il précisé.Le chef du gouvernement a aussi répété son opposition à une possible contribution exceptionnelle des plus favorisés pour financer la relance."La relance économique, j'en suis intimement convaincu passe par la confiance et la visibilité. J'ai dit dès ma prise de fonction, dès mon discours de politique générale, qu'il n'y aura pas d'augmentation d'impôts, je maintiens très clairement ma position", a-t-il martelé.Les députés s'emparent lundi du premier volet du projet de loi de finances pour 2021, porteur de baisses d'impôts pour les entreprises face à la crise du Covid-19. Au total, ce sont 100 milliards d'euros qui sont prévus pour favoriser la reprise.La gauche et quelques voix LREM comptent réclamer des contreparties écologiques et sociales aux aides aux entreprises.
Il y a 4 ans et 219 jours

De nouvelles mesures pour encourager l’achat de voitures électriques

Prime à la transition, bonus pour l’achat d’un véhicule électrique d'occasion, multiplication des bornes de recharge : le gouvernement a annoncé le 12 octobre une série de mesures pour encourager l’usage des voitures électriques.
Il y a 4 ans et 219 jours

Les RER métropolitains sur les rails

FERROVIAIRE. SNCF Réseau a remis le 9 octobre 2020 au ministre délégué en charge des Transports, Jean-Baptiste Djebbari, son rapport sur la mise en oeuvre de service express métropolitains, type RER. Des transports du quotidien dont la loi d'orientation des mobilités prévoit le déploiement.
Il y a 4 ans et 219 jours

Les Journées nationales de l’architecture – 5e édition

Le ministère de la Culture organise les 16, 17 et 18 octobre 2020 les Journées nationales de... Cet article Les Journées nationales de l’architecture – 5e édition est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 219 jours

5e baromètre "Les Français et l'ascenseur" réalisé par Ipsos pour la Fédération des Ascenseurs

« Tournée à la fois vers aujourd'hui et vers demain, cette nouvelle enquête confirme que pour plus de 7 Français sur 10, la présence d'un ascenseur avant 4 étages est nécessaire. Et pour près de 6 Français sur 10 (58%), l'ascenseur figure (avec le siège monte-escalier ou l'élévateur) en leader des solutions pour le maintien à domicile ! Deux chiffres forts qui attestent du caractère indispensable de ces équipements de mobilité aux yeux des Français. »Guillaume Fournier Favre, Président de la Fédération des AscenseursUne attente très forte des Français en 2020 : l'extension à la mobilité verticale des aides à la rénovation des logementsEn lien avec l'actualité de la rénovation des logements, ce 5e baromètre a sondé l'opinion des Français sur les aides financières pour cette rénovation. Aides dont le Gouvernement fait un axe fort du volet BTP de son plan de relance.Les Français sont unanimes quant à un élargissement de ces aides financières à l'équipement en solutions de mobilité verticale : près de 9 Français sur 10 (89%) y sont favorables. Plus d'un tiers (38%) le jugent même essentiel. Une installation dont l'intervention est rentabilisée en quelques mois, qui rend de façon concrète le logement plus accessible et qui facilite la mobilité pour améliorer le quotidien des personnes à mobilité réduite, qu'il s'agisse des personnes âgées ou de tout un chacun dans certaines occasions de sa vie quotidienne. Une des réponses à l'enjeu crucial du maintien à domicile que la Fédération soutient depuis des années.De façon concrète, s'ils étaient mieux informés sur les aides existantes pour s'équiper (en ascenseur, élévateur domestique, monte-escalier, plateforme élévatrice…), 6 Français sur 10 déclarent que cela les inciterait à doter leur immeuble ou leur maison (66% dont 22% certainement).Dans le cas d'un logement en habitat collectif, 7 Français sur 10% attendent que cette information provienne de leur gestionnaire, bailleur ou syndic.Une autre contribution majeure de la mobilité verticale aux yeux des Français : permettre le maintien à domicileLa crise du coronavirus a fait ressurgir d'une façon très vive le souhait des Français de pouvoir vieillir chez eux. Et face aux défis de la perte d'autonomie liée au grand âge, la mobilité des seniors a plus que jamais besoin d'être facilitée pour les aider à rester plus longuement à leur domicile.N'oublions pas, le vieillissement de la population française s'accentue avec 40% de la population qui devrait avoir plus de 65 ans en 2040[1].L'opinion des Français intègre désormais pleinement l'importance et le rôle que peuvent jouer les équipements de mobilité verticale.En effet, les solutions de mobilité verticale (par le biais d'un ascenseur pour un appartement ou bien d'un élévateur ou monte-escalier pour une maison individuelle) sont leaders lorsqu'il s'agit du 1er choix, avec un total de 39%. S'en suivent la salle de bain adaptée pour 33% des Français, puis les sanitaires adaptés pour 10% d'entre eux.Et que pensent les Français de l'équipement des lieux publics ? Globalement satisfaisante, avec 4 axes d'améliorationAlors que l'ascenseur demeure le moyen de transport le plus utilisé avec plus de 100 millions de trajets par jour en France[2], il est omniprésent dans le quotidien de tous et en particulier dans les lieux publics.Les Français sont aujourd'hui globalement satisfaits du niveau d'équipement de ces nombreux lieux : 81% jugent les aéroports et (grandes) gares bien équipés, 78% les bureaux, 75% les centres commerciaux, 67% les parkings, 54% les lieux culturels/musées/cinémas.Pour bien vivre en résidentiel, 7 Français sur 10 jugent l'ascenseur nécessaire avant le 4e étageLe plébiscite des Français pour disposer d'un ascenseur en logement collectif est majeur, la loi ELAN ayant rendu obligatoire fin 2019 la présence d'ascenseurs à partir du 3e étage dans le neuf.La preuve avec ces chiffres qui vont plus loin encore : un tiers des Français (32%) juge l'ascenseur nécessaire à partir du 2e étage. Parmi eux, 43% des femmes et 50% des hommes de plus de 60 ans sont de cet avis. Pour 43%, c'est dès le 3e étage que l'ascenseur est nécessaire, et enfin 19% à partir du 4e. Soit au total 75% de l'opinion pour qui l'ascenseur est nécessaire avant le 4e étage.Et cet équipement reste de façon récurrente un critère décisif pour près d'un Français sur deux quand ils choisissent un nouveau logement, en location comme à l'achat. Pour 19% c'est même un critère systématiquement, pour 30% la plupart du temps.Avec une certaine forme de logique, près de 6 Français sur 10 (54%) de plus de 60 ans ont ce critère de décision à l'esprit, pour 26% d'entre eux il est systématique.Alors que le confinement a obligé des millions de Français à passer bien davantage de temps chez eux, leur expression d'un besoin de bien y vivre s'est faite encore plus vive depuis.Pour cela, accéder facilement à son logement en accomplissant les tâches courantes du quotidien (le transport des courses, l'accompagnement d'un proche âgé ou de ses jeunes enfants) passe par le besoin de pouvoir utiliser un ascenseur.Cette forte attente est certainement liée aux principales situations dans lesquelles la présence d'un ascenseur a pu manquer aux Français en 2020.Il a manqué à :59% pour déplacer des charges occasionnelles (déménagement, encombrants, objets volumineux, valises…)53% des 60 ans et plus l'ont ressenti en 2020 (vs 59% de l'ensemble). Et ‘face à eux', ce sont 7 jeunes sur 10 (73%) entre 18-24 ans qui ont eu ce ressenti (vs 59% de l'ensemble), vraisemblablement parce qu'ils prennent souvent une part active à ce type de ‘transport'.56% pour porter des charges du quotidien (courses, sacs…)Ce sont même près de 7 jeunes sur 10 (67%) parmi les 25-34 ans qui ont souvent ce ressenti, possiblement rattaché à une situation de famille avec jeunes enfants (vs 56% de l'ensemble)53% en étant accompagnés par des proches âgésIci également, ce ressenti est éprouvé par les jeunes, par 57% des 18 à 24 ans qui soutiennent ou ont été amené à soutenir des parents âgés voire leurs grands-parents.40% en étant accompagnés par des enfants en bas âgeDont 45% des 25-34 ans qui déclarent avoir ressenti ce manque d'ascenseur pour se déplacer dans ce cas.36% pour se déplacer suite à un accident de la vieUn jeune sur deux (49%) entre 18 et 24 ans a regretté le manque d'ascenseur en étant dans cette situation (vs 36% de l'ensemble).23% pour sortir de chez soiPrès d'un Français sur 4 s'est senti pénalisé en 2020 dans son besoin de sortir de chez lui parce que son logement n'est pas équipé d'un ascenseur. Un besoin qu'un jeune sur trois de moins de 35 ans (29%) a éprouvé également (vs 23% de l'ensemble).Les jeunes aussi aiment l'ascenseurL'ascenseur semble manquer davantage aux jeunes qu'aux plus âgés au quotidien : souvent aux 25-34 ans dans des situations qui les concernent au quotidien (avec de jeunes enfants, avec des courses) ; mais souvent aussi aux 18-24 ans.On peut y voir la preuve que l'ascenseur est devenu un équipement de ‘base' pour les plus jeunes générations, et non plus un luxe. Jeunes qui d'un point de vue sociologique sont davantage urbains et donc plus à même d'avoir besoin d'un ascenseur pour rejoindre des étages élevés (versus les personnes plus âgées vivant davantage en maison individuelle).En parallèle de ces situations avérées de besoin, les Français expriment aussi des attentes au niveau des (nouveaux) services les plus souhaités dans l'ascenseur.Deux se distinguent :Pour 36% des Français, un système de commande vocale (d'appel, fermeture/ouverture des portes…), une nouveauté qui prend tout son sens en cette période Covid-19 et qui connaît déjà des applications.Pour 31%, un strapontin ou un siège, un souhait en adéquation avec le vieillissement de la population.« Plus que jamais, la mobilité verticale permise par les ascenseurs, escaliers roulants, élévateurs et plateformes, sièges monte-escaliers est un enjeu de société et un besoin fort chez les Français. Alors que les logements sont engagés dans un grand plan de rénovation, les Français souhaitent qu'ils intègrent la mobilité verticale, non seulement pour leur vie de tous les jours mais aussi en songeant au maintien à domicile où la mobilité doit être facilitée. »« Alors que l'immobilier et les Français font face au manque de logements neufs, nous découvrons avec cette étude qu'un tiers de la population (29%, dont 41% des -35 ans) est favorable à la construction de bâtiments hauts de plus de 6 étages. Cet indicateur va dans le sens de notre message, qui est qu'une densification urbaine raisonnée et durable est possible avec la surélévation des bâtiments pour peu que la mobilité verticale y ait bien sa place. Et la profession des ascensoristes et élévatoristes est prête à relever ce défi avec les promoteurs et les constructeurs. »Guillaume Fournier Favre, Président de la Fédération des AscenseursMéthodologie de l'enquête :Étude réalisée auprès d'un échantillon national représentatif de 988 personnes de la population française âgée de 18 ans et plus. L'échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, âge, profession de l'individu, région et catégorie d'agglomération, dans le respect de la norme internationale ISO 20252 ‘Études de marché, études sociales et d'opinion'.Dates de terrain : du 25 au 28 août 2020. Étude réalisée sur Internet via le panel Ipsos en ligne.[1] Source : Insee[2] Source : Fédération des Ascenseurs
Il y a 4 ans et 219 jours

Le gouvernement mobilise 30 millions d'euros pour développer des services express métropolitains

La loi d'orientation des mobilités a souligné la nécessité de mieux développer les alternatives à la voiture dans les grandes agglomérations et métropoles françaises, en s'appuyant sur le réseau ferroviaire existant, à l'image de la région parisienne ou de certaines métropoles étrangères.Le ministère des transports va mobiliser une enveloppe spécifique de 30 M€ dans le cadre du plan de relance pour accélérer la mise en œuvre de « services express métropolitains »Ces moyens supplémentaires permettront d'aider les collectivités locales qui souhaitent s'inscrire dans cette démarche à réaliser de premières améliorations sur les infrastructures et à lancer la programmation d'opérations dans de futures contractualisations avec l'État sur les infrastructures.Dans cette perspective, le Gouvernement a chargé SNCF Réseau de réaliser un schéma directeur des « services express métropolitains », remis officiellement ce jour à Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué, chargé des transports.Après le Léman Express entre Genève et Annemasse inauguré en décembre 2019, plusieurs territoires pionniers en France se sont déjà lancés dans la démarche, notamment au niveau de l'étoile ferroviaire de Strasbourg : la création en cours d'une quatrième voie entre Strasbourg et Vendenheim permettra le développement des dessertes vers Mommenheim et Haguenau à l'horizon 2022. Cette opération de 117 M€ est financée à hauteur de 41 M€ par l'État dans le cadre du CPER. Avec les 30 M€ supplémentaires du plan de relance en faveur des services express métropolitains, l'État est au rendez-vous pour assurer l'objectif ambitieux de doubler la part modale du transport ferroviaire autour des grands pôles urbains d'ici 10 ans grâce à la création de services ferroviaires plus attractifs. Il s'agit, pour les agglomérations qui en feront le choix, de construire un projet commun à l'ensemble des acteurs de la mobilité, et notamment aux Régions et aux autorités organisatrices des mobilités. Le schéma directeur de SNCF Réseau, prévu par la loi d'orientation des mobilités, sera un excellent outil pour appuyer ces démarches.Jean-Baptiste Djebbari
Il y a 4 ans et 219 jours

La filière électrique estime représenter un potentiel de 200.000 emplois à créer d'ici 2030

Réalisée sous l'égide du Ministère du Travail, avec le soutien du Ministère de la Transition écologique, et avec l'appui du cabinet PwC, cette étude, au périmètre inédit, permet d'appréhender concrètement les évolutions à venir des emplois et des compétences de la filière électrique.Des emplois et des métiers au service de la transition énergétiqueCette étude a permis de dresser, pour la première fois, une cartographie des emplois et métiers de la filière électrique qui rassemble 30.000 entreprises, de toutes tailles (des groupes internationaux aux PME-TPE qui représentent près de 40% des acteurs de la filière), réparties sur l'ensemble du territoire. Elle emploie 600.000 personnes, dont la moitié intervient sur le système électrique ( production d'électricité - nucléaire, thermique, renouvelable – transport et distribution d'électricité), l'autre moitié intervenant sur les marchés des bâtiments (neuf et rénovation), de l'industrie, des infrastructures équipant la ville et les solutions de mobilité.