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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

(41598 résultats)
Il y a 4 ans et 299 jours

LafargeHolcim enrichit son ciment bas carbone Galaxim Planet

LafargeHolcim France enrichit sa gamme Galaxim Planet, avec un CEM II/B-LL 42,5 R. [©Willy Berré] LafargeHolcim France enrichit sa gamme Galaxim Planet, avec un nouveau ciment à l’empreinte carbone réduite de 25 %. Ce ciment est destiné aux professionnels du BPE. L’industriel a développé ce CEM II/B-LL 42,5 R sur ses sites de Port La Nouvelle (11) et de Sète (34). En direction de la région Languedoc-Roussillon, cette nouvelle offre est issue d’une production 100 % locale. Et devrait atteindre 100 000 t/an de ciment dès 2021. Une innovation issue de la démarche “Lafarge 360”, qui vise à rendre plus responsable le secteur de la construction. Un ciment moins carboné, mais tout aussi performant Les caractéristiques de ce ciment ? L’augmentation de la part de calcaire à hauteur de 23 % (contre 12 % dans le CEM II/A-LL 42,5 R). Ceci est rendu possible grâce au broyage séparé du clinker et du calcaire. De plus, une plus grande proportion de clinker est remplacée par un composant local et pérenne, dont la production sans cuisson génère peu de CO2. Ainsi, le CEM II/B-LL 42,5 R garantit aux professionnels du BPE des qualités de résistance, de rhéologie et de temps de prise. Similaires aux ciments classiques. De plus, ce nouveau ciment bas carbone a été conçu pour répondre aux nouvelles exigences de performance environnementale. Les différentes simulations démontrent que le CEM II/B-LL 42,5 R permet d’atteindre les exigences du référentiel E+C–.
Il y a 4 ans et 299 jours

AIA Life Designers et AWMountassir remportent le concours international d'architecture pour le nouveau Centre Hospitalier Universitaire de Rabat

Une tour jardin bioclimatique pour accueillir le nouveau CHUD'une surface totale de 130.293 m², le futur CHU sera composé de l'hôpital général d'une capacité de 916 lits, de l'Institut de la Ligue cardiovasculaire avec 90 lits, d'un centre d'enseignement et de conférence et d'un internat.Imaginé par les architectes et ingénieurs d'AIA Life Designers et d'AWMountassir, le projet se structure autour d'une tour jardin bioclimatique de 140 mètres de haut et de son socle s'ouvrant sur un parc de 6,5 hectares. Cette tour jardin s'annonce comme un symbole de la modernité, de la qualité des soins et de l'engagement écologique du Maroc.Un projet qui répond aux enjeux environnementaux et climatiquesLe projet s'inscrit dans les engagements du groupe AIA Life Designers de développer des projets architecturaux au service des populations à la conception environnementale exemplaire.La qualité et la cohérence globale du projet en termes d'énergie, de confort et de biodiversité, répond ainsi aux enjeux de la crise écologique.Des dispositifs sont mis en œuvre pour lutter efficacement contre l'effet d'îlot de chaleur. Le projet met l'accent sur la performance de l'enveloppe, la diminution de l'albedo1 et l'optimisation du phénomène d'évapotranspiration grâce aux parcs, aux jardins suspendus, aux patios et aux toitures végétalisées.La conception bioclimatique passe d'abord par une réduction des besoins énergétiques en mettant à profit l'orientation nord-ouest pour les chambres qui bénéficient ainsi de ventilation naturelle et de protection solaire. Vient ensuite la récupération d'énergie grâce à des systèmes à très haute efficacité. Le projet est aussi producteur d'énergie renouvelable grâce à 3.000 m² de panneaux photovoltaïques sur la toiture du hall, et de panneaux solaires thermiques au sommet de la tour.L'humain et la nature au cœur du projet : signature des engagements du groupe AIA Life DesignersLa composition architecturale du futur hôpital IBN SINA met la santé de l'homme au cœur du projet et trouve une harmonie avec son environnement.Pour Olivier de La Barre, Président de AIA Life Designers : « la santé ne se limite pas à prodiguer des soins mais passe aussi par le bien-être et l'harmonie avec la nature. Nous défendons une architecture de la santé, qui prend soin des patients et de l'environnement ».Le projet multiplie les lieux de détente et de respiration verte avec de nombreux espaces extérieurs et intérieurs au bénéfice des patients, du personnel et des visiteurs.Des terrasses végétalisées s'installent dans une faille verticale ciselée à l'angle nord de la tour, à l'abri du soleil et du vent. Cet « angle actif » relie des jardins suspendus extérieurs grimpant jusqu'au sommet de la tour où une cafétéria offre une vue panoramique sur le parc, la ville et l'océan.Le hall d'accueil, à la croisée de la ville et des unités médicales, intègre le parc en son sein. C'est une place publique, à la fois extérieure et intérieure, protégée sous la canopée de lames métalliques et naturellement ventilée.Les contextes urbains, paysager et climatique guident la conceptionEntre ville et océan, le long d'un axe urbain majeur, le projet est un nouveau repère dans la capitale, visible de loin grâce à sa tour aux reflets vibrants. L'espace qu'elle libère au sol devient un vaste parc qui s'inscrit dans le prolongement de la coulée verte parcourant Rabat. Cet environnement naturel fait le lien entre l'hôpital et la ville à travers une longue séquence paysagère jalonnée de bassins et parcourue de cheminements doux. L'hôpital s'installe à l'extrémité de ce continuum d'espaces verts qui pénètre à l'intérieur du hall d'accueil, puis prolifère sur la toiture et grimpe le long d'une faille jusqu'au sommet de la tour. Les émergences du projet, que sont la tour hospitalière et l'institut de la ligue cardiovasculaire, se tournent vers l'Atlantique afin d'optimiser les vues sur l'océan et profiter du vent marin qui irrigue de ventilation naturelle le hall d'entrée et les chambres.Pour s'adapter à la course du soleil, le projet se pare d'une enveloppe composée de lames de métal perforé. Tantôt façade, tantôt verrière, cette peau protège et génère de l'énergie tout en unifiant les éléments du projet en prenant une forme comme sculptée par le vent.Fiche technique du projet :Maîtrise d'Ouvrage : Ministère de la Santé Royaume du Maroc.Maîtrise d'œuvre :Architectes : AIA Architectes + AWMountassirIngénierie : AIA Ingénierie + TPFI (structure) + A2MO + 8'18Environnement : AIA EnvironnementPaysage : AIA TerritoiresAcoustique : Tisseyre + Partners (Rabat)Programme : Hôpital général (916 lits), Institut de la ligue cardiovasculaire (90 lits), Centre d'enseignement et de conférences, Internat.Surface : 130 293 m² SDOCalendrier : Concours : 2019, livraison prévue : 20231 L'albedo : pouvoir réfléchissant d'une surface
Il y a 4 ans et 299 jours

Journées nationales de l'architecture 2020: appel à contributions

La cinquième édition des Journées nationales de l'architecture se tiendra du 16 au 18 octobre 2020. Architectes, maîtres d'ouvrage, établissements de valorisation de l'architecture, organismes professionnels, etc. sont invités à inscrire sur l'agenda de leur région, les événements qu'ils […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 299 jours

Plombé par la crise dans les hôtels, Covivo réduit fortement ses objectifs

"L'hôtellerie est clairement impactée par la crise, c'est une année noire et historique pour ce secteur", a noté auprès de l'AFP Christophe Kullmann, directeur général du groupe, à l'occasion des résultats semestriels.Ces derniers s'inscrivent en nette baisse. Par rapport à la même période de l'an dernier, les revenus reculent de 7,5% à 302 millions d'euros et le bénéfice récurrent, indicateur de référence du secteur, de 12,4% à 192 millions.Covivio, qui n'avait pas redonné de prévisions depuis l'arrivée du coronavirus, s'attend donc désormais à une nette baisse de son bénéfice en 2020.Il table sur 380 millions d'euros, soit une centaine de millions en moins que ses précédents objectifs. Ce serait un recul de plus de 15% par rapport à 2019, alors qu'il prévoyait à l'origine une hausse.Covivio souffre principalement de sa présence dans les hôtels. C'est l'un des grands secteurs du groupe, qui détient également des bureaux et des logements à travers plusieurs grandes villes européennes.Or, la crise sanitaire a été catastrophique pour le secteur du tourisme. De nombreux pays ont fermé leurs frontières pendant plusieurs semaines au printemps et, parallèlement, interdit à beaucoup d'établissements d'accueillir du public.C'est surtout au Royaume-Uni que Covivio a été affecté par la fermeture obligatoire des hôtels jusqu'à juillet.Pour autant, tout en soulignant que les hôtels ne représentent qu'un sixième de son portefeuille, le groupe ne compte pas réduire son exposition à ce secteur."On est persuadé que ça reprendra" car les hôtels répondent au "besoin primaire" de se déplacer, a assuré M. Kullmann, prévoyant néanmoins une année 2021 toujours difficile dans ce secteur.Le groupe signe des résultats nettement plus favorables dans les bureaux et les logements, avec une progression de ses revenus semestriels dans les deux cas et un taux très faible d'impayés face à la crise.Dans les bureaux, "les seuls impayés importants que l'on a, ce sont les entreprises qui travaillent dans l'événementiel", a remarqué M. Kullmann, soulignant que les locataires de Covivio sont généralement de grands groupes.
Il y a 4 ans et 299 jours

Plombé par la crise dans les hôtels, Covivio réduit fortement ses objectifs

"L'hôtellerie est clairement impactée par la crise, c'est une année noire et historique pour ce secteur", a noté auprès de l'AFP Christophe Kullmann, directeur général du groupe, à l'occasion des résultats semestriels.Ces derniers s'inscrivent en nette baisse. Par rapport à la même période de l'an dernier, les revenus reculent de 7,5% à 302 millions d'euros et le bénéfice récurrent, indicateur de référence du secteur, de 12,4% à 192 millions.Covivio, qui n'avait pas redonné de prévisions depuis l'arrivée du coronavirus, s'attend donc désormais à une nette baisse de son bénéfice en 2020.Il table sur 380 millions d'euros, soit une centaine de millions en moins que ses précédents objectifs. Ce serait un recul de plus de 15% par rapport à 2019, alors qu'il prévoyait à l'origine une hausse.Covivio souffre principalement de sa présence dans les hôtels. C'est l'un des grands secteurs du groupe, qui détient également des bureaux et des logements à travers plusieurs grandes villes européennes.Or, la crise sanitaire a été catastrophique pour le secteur du tourisme. De nombreux pays ont fermé leurs frontières pendant plusieurs semaines au printemps et, parallèlement, interdit à beaucoup d'établissements d'accueillir du public.C'est surtout au Royaume-Uni que Covivio a été affecté par la fermeture obligatoire des hôtels jusqu'à juillet.Pour autant, tout en soulignant que les hôtels ne représentent qu'un sixième de son portefeuille, le groupe ne compte pas réduire son exposition à ce secteur."On est persuadé que ça reprendra" car les hôtels répondent au "besoin primaire" de se déplacer, a assuré M. Kullmann, prévoyant néanmoins une année 2021 toujours difficile dans ce secteur.Le groupe signe des résultats nettement plus favorables dans les bureaux et les logements, avec une progression de ses revenus semestriels dans les deux cas et un taux très faible d'impayés face à la crise.Dans les bureaux, "les seuls impayés importants que l'on a, ce sont les entreprises qui travaillent dans l'événementiel", a remarqué M. Kullmann, soulignant que les locataires de Covivio sont généralement de grands groupes.
Il y a 4 ans et 299 jours

Le grand rendez-vous des Français avec le patrimoine

Le grand rendez-vous annuel des Français avec leur patrimoine se déroulera bien les samedi 19 et dimanche 20 septembre 2020 autour du thème retenu dans toute l’Europe « Patrimoine et éducation : apprendre pour la vie ! ». Le temps d’un week-end et partout en France, propriétaires publics et privés de monuments historiques, membres d’associations de protection et de valorisation du patrimoine, conservateurs du patrimoine, restaurateurs de biens et d’objets patrimoniaux, guides-conférenciers, architectes en chef des monuments historiques… se mobiliseront pour accueillir les visiteurs dans le respect des recommandations sanitaires qui seront en vigueur au moment de l’événement. Il sera proposé aux scolaires, dès le vendredi 18 septembre, via l’opération « Levez les yeux ! » conduite en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse, de (re)découvrir sous la conduite de leur enseignant le patrimoine qui les entoure. Sortir de la classe, regarder autour de soi le cadre de vie et ses éléments patrimoniaux, ou se rendre dans un édifice, y apprendre son histoire, celle d’un objet ou d’un geste patrimonial et sa signification dans un contexte local, régional, national voire européen. C’est également l’occasion de découvrir des métiers, des savoir-faire, prendre conscience de l’importance de la protection de ce patrimoine pour leur génération et celles à venir, et aussi, s’émerveiller devant la beauté artistique et architecturale qui se présentent à leurs yeux.
Il y a 4 ans et 299 jours

Un learning center qui fait corps avec les calanques, par Rémy Marciano

Entre 1900 et 2012, 165 sanctuaires ont été bâtis dans un territoire comprenant, outre le département du Rhône, le nord de la Loire autour de Roanne. Un patrimoine à redécouvrir grâce à la somme établie par Maryannick Chalabi et Violaine Savereux-Courtin, respectivement conservatrice en chef honoraire du patrimoine et conservatrice […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 300 jours

Amende pour un militant contre le mal-logement

Kevin Vacher, membre du Collectif du 5 Novembre, un mouvement né dans le sillage du drame de la rue d'Aubagne et de la mort de huit personnes dans l'effondrement de deux immeubles le 5 novembre 2018, était initialement poursuivi pour violences volontaires en réunion avec préméditation, soit un délit. Mais les faits ont été requalifiés en "violence" lors de l'audience mardi, soit une simple contravention.La ville de Marseille avait porté plainte contre ce sociologue, cheville ouvrière du Collectif du 5 novembre, après son irruption, avec d'autres manifestants, en septembre 2019, dans les locaux de Marseille Habitat, qui avait expulsé les habitants d'un logement insalubre la veille. Lors de cette intervention, une employée de ce bailleur social avait été très légèrement blessée à un pouce."Nous contestons toujours les faits sur le fond et nous nous gardons la possibilité de faire appel", a précisé Kevin Vacher à l'AFP, en regrettant "la volonté de l'ancienne majorité municipale et du parquet de politiser cette affaire": "Dix mois de procédure judiciaire, deux procès renvoyés, tout ça pour une ecchymose et une porte que j'aurais maintenue ouverte".Tout au long de cette procédure, le collectif avait dénoncé une "tentative d'intimidation et de criminalisation (des) luttes", affirmant que cela ne faisait "que renforcer (sa) détermination à continuer son action pour la justice et au service des délogés".
Il y a 4 ans et 300 jours

L'aide à l'embauche des jeunes sera accordée jusqu'à un salaire de 2 Smic selon des syndicats

Initialement, elle devait se limiter aux salaires de 1,6 Smic mais le Medef avait jugé que cela exclurait les jeunes les plus qualifiés dont les salaires d'embauche peuvent être supérieurs.Cette aide - techniquement "une compensation de cotisations" - sera versée trimestriellement par tranches de 1.000 euros et pourra être touchée pour l'embauche d'un jeune de moins de 25 ans en CDI ou en CDD d'au moins trois mois, selon ces sources. Avec ce seuil relevé, elle devrait concerner la très grande majorité des jeunes embauchés.Elle durera au maximum un an, soit 4.000 euros pour un CDI ou un CDD d'au moins un an.Elle concernera toutes les embauches qui auront lieu dans les six mois après l'entrée en vigueur du dispositif, probablement en septembre.Selon ces sources, le ministère a évoqué un budget d'1,2 milliard d'euros pour l'opération et tablerait sur 600.000 embauches.Interrogé, le ministère du Travail n'a pas voulu confirmer ces informations mais a indiqué qu'elles seraient dévoilées dans la présentation du plan jeunes, "au plus tard jeudi".
Il y a 4 ans et 300 jours

Vicat se muscle dans le Grand-Est

ACQUISITION. Le cimentier Vicat annonce avoir fait l'acquisition d'une entreprise spécialisée dans les granulats implantée dans la région Grand-Est.
Il y a 4 ans et 300 jours

Les escroc fragilisent le marché de la rénovation et les aides associées

La FFB alerte sur les dérives constatées depuis que les pouvoirs publics ont intégré les offres à 1€ comme politique de rénovation énergétique. Elles dévalorisent les travaux et permettent à des escrocs de capter à bon compte les Certificats d’Économie d’Énergie associés en bâclant les travaux. C’est ce qu’il vient de se passer avec l’Isolation Thermique par l’Extérieur à 1€ mise en place en 2020. Pour palier à ça, le gouvernement a modifié les critères de MaPrimeRénov’, nouveau dispositif qui n’a pas sept mois d’existence ! Depuis le 15 juillet, le montant de l’aide pour les travaux d’ITE a été abaissé à 60 €/m² pour les ménages modestes et 75 €/m² pour les ménages très modestes (contre respectivement 75 €/m² et 100 €/m² auparavant). De plus, la surface éligible de murs isolés se trouve dorénavant limitée à 100 m² par opération. Pour Olivier Salleron, le nouveau Président de la FFB, « ces dispositions pénalisent avant tout les ménages modestes et les entreprises qui travaillent bien. En revanche, elles ne règlent pas le problème de fond, puisque les intermédiaires peu scrupuleux bénéficieront toujours des CEE, qui suffisent à financer une intervention de piètre qualité. En outre, ce rabotage introduit à nouveau de l’instabilité dans le principal mécanisme public de soutien à la rénovation énergétique. Il tombe au plus mal, alors que MaPrimeRénov’ peine à monter en puissance, et brouille le message du gouvernement qui annonce depuis plus d’un mois un grand plan de rénovation énergétique. »
Il y a 4 ans et 300 jours

La période de crise aurait favorisé l'accès au crédit immobilier des ménages aisés

Pour ce faire, une analyse comparative des différentes transactions ou dossiers traités entre avril et juin 2020, par rapport à la même période en 2019, a été effectuée. A quel type de profils la crise a-elle-profité ? Dans quelles conditions et pour quels projets ?Alors que le secteur immobilier a été fortement impacté par la crise, un signal fort en faveur de la reprise était attendu. La récente décision du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) de maintenir les mesures restrictives relatives à l'octroi de crédit immobilier (limitation de la durée des prêts à 25 ans et taux d'endettement inférieur à 33%) est donc une véritable mauvaise nouvelle pour le marché. Une décision qui aura pour conséquence directe de limiter encore davantage l'accès à la propriété des emprunteurs les plus modestes, à commencer par les primo-accédants, déjà particulièrement affectés par la crise économique... Malgré cette conjoncture inédite et une légère augmentation des taux de crédit constatée au mois de juillet 2020, les conditions d'emprunt demeurent favorables, plus particulièrement pour les prêts sur une durée de 10 et 25 ans.Retour sur la période de crise : des banques plus exigeantes au profit des emprunteurs au dossier le plus solide !Dans un contexte de forte incertitude, les banques sont restées prudentes et ont parfois joué sur une légère augmentation des taux. Elles ont par ailleurs privilégié les meilleurs dossiers [1] afin d'éviter le risque de défaut. Dressant un état des lieux de la période de crise (avril, mai et juin 2020), La Centrale de Financement a également constaté une augmentation du montant moyen du prêt, dont la hausse la plus marquante a été constatée en comparant les mois de mai 2019 et 2020. Sur cette période, le montant moyen des prêts contractés a augmenté de 14,24% (pour les dossiers finalisés).« La hausse du montant du prêt pourrait notamment trouver une explication dans l'augmentation des prix de l'immobilier, engendrant une hausse structurelle du montant des crédits contractés sur la période analysée. » - Sylvain Lefèvre, président de la Centrale de FinancementCette augmentation des prix de l'immobilier dispose d'un impact direct sur le profil des emprunteurs en mesure d'accéder au crédit. Il s'agit principalement de ménages aisés, dont le revenu moyen s'élève à 57 171€ en moyenne entre avril et juin 2020 (pour les dossiers finalisés). Sur la même période, en 2019, le revenu moyen s'élevait à 53 419€. Le revenu moyen des ménages emprunteurs au deuxième trimestre 2020 est donc supérieur de 7,02% par rapport au deuxième trimestre 2019.Sur les trois derniers mois étudiés, la période de crise est restée favorable à l'emprunt à deux puisque la part des prêts montés par des emprunteurs en couple est relativement stable par rapport à la même période en 2019.La crise a également conforté l'attrait des ménages pour l'achat d'une résidence principale. En effet, la part consacrée à l'acquisition d'une résidence principale s'élevait à 85% en moyenne sur le deuxième trimestre 2019, contre 87% sur la même période en 2020.Pour l'ensemble des dossiers de prêts montés et finalisés étudiés, la Centrale de Financement a constaté une augmentation du montant d'apport entre le deuxième trimestre 2019 et 2020. En effet, la part d'emprunteurs dont l'apport est inférieur à 10 000 € a baissé sur la période étudiée.Les durées de prêts se sont également allongées entre 2019 et 2020, sur les mois d'avril, mai et juin. Les dossiers de prêts montés en mai ont par exemple vu leur durée moyenne augmenter de 6 mois, et de 3 mois en juin, entre 2019 et 2020.L'apport personnel de plus en plus indispensable pour les primo-accédantsAlors que les primo-accédants ont été particulièrement impactés par la crise, avec la mise en chômage partiel de nombre d'entre eux, ces derniers se sont retrouvés fortement pénalisés face à l'emprunt immobilier. Leur proportion par rapport au nombre total d'emprunteurs a globalement diminué sur la période d'avril à juin entre 2019 et 2020. La part du nombre de primo-accédants est donc passée de 34% pour les dossiers finalisés en avril 2019 à 26% en avril 2020. Toujours concernant les dossiers finalisés, cette part est passée de 37% en juin 2019 à 33% en juin 2020.Afin de sécuriser leurs dossiers, les banques ont requis un apport personnel de plus en plus conséquent, notamment pour couvrir les frais de notaire ou de garantie.« Dans une période où l'accès au crédit pour les primo-accédants peut être plus compliqué, le besoin de conseil et d'accompagnement est plus que jamais indispensable. Par certains mécanismes permettant de s'adapter à la situation de chacun, comme la délégation d'assurance, La Centrale de Financement a la possibilité de construire des solutions de financement respectant les limites fixées par le HCSF et permettre à son dossier d'obtenir une réponse favorable. » déclare Sylvain Lefèvre.Une demande d'apport plus importante dans l'ancien que dans le neuf !Le montant de l'apport demandé dépend également du type de projet de l'acquéreur ! La Centrale de Financement a par exemple comparé trois projets dans le département de la Seine Maritime : un achat dans le neuf, un achat dans l'ancien, et la construction d'une maison, pour un montant total de 220 000 euros chacun. Pour le projet dans le neuf, la demande d'apport personnel s'élève à 8 765 euros (frais de notaire et coût de l'hypothèque compris), et à 10 049 euros pour le projet de construction (frais de notaire et coût de l'hypothèque compris). En revanche, pour le projet dans l'ancien, l'apport personnel nécessaire est de 18 315 euros (frais de notaire et coût de l'hypothèque compris). À montant total égal, il est donc plus difficile d'accéder à la propriété dans l'ancien en raison du besoin d'un apport personnel plus élevé.« Un marché de l'ancien atone aurait pour conséquence directe de freiner le dynamisme du neuf. Ces marchés sont interdépendants : l'un ne peut être vigoureux que si l'autre l'est également ! Par exemple, un retraité habitant à la campagne souhaitant vendre son bien ancien pour investir dans le neuf en centre-ville ne pourra le faire que s'il trouve un acheteur. » soutient Sylvain Lefèvre.Juillet 2020, un mois toujours favorable à l'emprunt malgré une légère hausse des tauxLes taux ont légèrement augmenté par rapport au mois précédent. Hormis pour les prêts d'une durée de 10 et 25 ans pour lesquels les taux baissent, ils augmentent pour les durées comprises entre 12 et 20 ans, ainsi que pour ceux d'une durée de 7 ans. Cette hausse à l'arrivée de la période estivale s'explique en partie par la volonté des banques d'anticiper une certaine baisse de la demande pendant les congés annuels. Malgré ces hausses des taux, les conditions d'emprunt restent extrêmement bonnes, avec des taux à des niveaux toujours avantageux.Ainsi, avec les taux annoncés ce mois-ci, pour un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000€ sur 20 ans à 1,29 %, la mensualité s'élèvera à 851.22 euros avec un coût total de crédit de 24 292,8 euros.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de juillet 2020 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées augmentent de 0,02% pour les prêts sur 7 et 20 ans. Pour les prêts sur une durée comprise entre 12 et 15 ans, les taux ont augmenté de 0.04%. En revanche, pour les emprunts d'une durée de 10 ans et de 25 ans, les taux ont respectivement diminué de 0.02% et 0.01%.Les meilleurs taux immobiliers de juillet 2020 par durée d'empruntLes meilleurs taux du mois de juillet augmentent légérement par rapport à ceux du mois de juin pour l'ensemble des durées d'emprunt. Un emprunteur bénéficiant d'un très bon dossier pourra donc solliciter un financement, avec un taux qui reste très avantageux.Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en juin 2020L'emprunteur type du mois de juin 2020
Il y a 4 ans et 300 jours

PLFR3 : de menues mesures pour le BTP

DECRYPTAGE. Le 3e projet de loi de finances rectificative a fait l'objet d'un accord au Parlement, en commission mixte paritaire, le 21 juillet 2020. Batiactu revient sur les mesures qui concerneront les acteurs du BTP et seront adoptées définitivement par les deux chambres dans les prochains jours.
Il y a 4 ans et 300 jours

La sécurité des cathédrales n'est "pas seulement une question d'argent"

"L'urgence va être de faire en sorte que toutes les installations électriques soient vérifiées et que les cathédrales soient toutes dotées de systèmes de détection d'incendie et de détection de fumée, que les plans d'évacuation des œuvres soient mis en œuvre et parfaitement cohérents", a-t-elle argumenté lors de la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée Nationale."Mais ne nous faisons pas d'illusions, ce n'est pas seulement une question d'argent: la mise en sécurité des cathédrales est quelque chose de complexe, parce que ce n'est pas un musée, pas un château qu'on visite: c'est un lieu de culte, de prière, de partage, dans lequel on rentre évidemment sans discrimination et en toute liberté", a-t-elle souligné."Comment mettre en sécurité, avec des détecteurs de fumée, une nef qui fait 37,5 mètres de hauteur... C'est la responsabilité de tous et de toutes de garder la sécurité de nos cathédrales", a insisté Mme Bachelot.La ministre de la Culture était interrogée sur le plan "sécurité cathédrales" de son ministère qui concerne 89 édifices cultuels dont l'Etat est propriétaire. Adopté après l'incendie, en avril 2019, de Notre-Dame de Paris par l'ancien ministre Franck Riester, ce plan est doté de 2 millions d'euros en 2020, en sus des 40 à 45 millions d'euros affectés annuellement aux cathédrales.Les investigations de la police judiciaire se poursuivent à Nantes pour tenter de déterminer l'origine du sinistre qui s'est déclaré samedi matin. L'enquête a révélé l'existence de trois points de feu distincts.L'un des pistes envisagées par le sacristain de la cathédrale est celle d'un court-circuit électrique.La plupart des incendies qui se déclarent chaque année dans les églises et cathédrales ne sont pas la conséquence d'actes criminels. Les installations électriques défectueuses sont à l'origine de quelque 30% des sinistres, selon les experts du patrimoine.
Il y a 4 ans et 300 jours

SWISS KRONO s’équipe d’une pelliculeuse pour garantir la qualité de ses panneaux décoratifs

Fin 2018, SWISS KRONO, acteur majeur sur le marché des matériaux à base de bois, dotait son outil de production de Sully-sur-Loire d’une nouvelle presse à mélaminer pour renforcer sa présence sur le marché des panneaux décoratifs. Plaçant la qualité au cœur de ses préoccupations, SWISS KRONO poursuit sa politique d’investissement en s’équipant d’une pelliculeuse. Représentant un investissement de 800 KE, la nouvelle pelliculeuse appose un film usinable sur les panneaux décoratifs mélaminés One World pour préserver leur qualité. A toutes les étapes, les panneaux mélaminés SWISS KRONO, réputés pour leur résistance et leur durabilité dans le temps, sont ainsi protégés des rayures en usine lors de leur manipulation, durant leur livraison et lors de l’usinage réalisé par les professionnels, clients de SWISS KRONO (négoces, industriels, menuisiers, architectes, …). Collection One World, une multitude de décors SWISS KRONO commercialise de nombreux décors tendances et originaux sous la Collection One World déclinée sur toutes ses gammes de panneaux décoratifs mélaminés, stratifiés et bandes de chants destinées à l’aménagement d’intérieur et à l’agencement.   https://www.swisskrono.fr/
Il y a 4 ans et 300 jours

Commerce en ligne : Pompili propose un moratoire sur les projets de nouveaux entrepôts

La proposition portée par Mme Pompili, qui avait signé une tribune en ce sens il y a quelques semaines avant de prendre ses fonctions, n'a pas été tranchée encore au niveau gouvernemental, précise-t-on, confirmant une information de RTL.Dans son discours de politique générale mercredi, le Premier ministre Jean Castex a promis la mise en place d'un moratoire pour l'installation de nouveaux centres commerciaux dans les zones périurbaines, "pour lutter contre l'artificialisation des sols".La proposition de Mme Pompili, qui ne se veut "pas anti e-commerce" dit-on au ministère, est liée à des raisons de "cohérence des politiques publiques", afin de lutter contre cet étalement urbain et revitaliser les centres-bourgs.La nouvelle ministre suggère le lancement d'une mission parlementaire, "en lien avec Bercy", pour dresser un état des lieux de l'impact économique et environnemental de l'essor des entrepôts logistiques en France. Un moratoire sur les installations nouvelles, dont la durée reste à préciser, serait imposé en attendant ses résultats.Interrogé par l'AFP, Amazon a indiqué vendredi ne pas avoir "d'information spécifique sur un potentiel moratoire" concernant ces dépôts et n'a pas souhaité commenter.Le géant américain défend son rôle en matière d'emploi (30.000 emplois directs et indirects en France, dont 9.300 directs sur les 200.000 du commerce en ligne, selon une porte-parole).Le Syndicat des indépendants (SDI), qui représente notamment les commerçants de proximité, a pour sa part "accueilli favorablement" cette proposition qui permettrait "un rééquilibrage" entre commerces de centre-ville, grandes surfaces de périphérie et commerce en ligne."Cette proposition, si elle est appuyée par le gouvernement, permettra de revitaliser les centres-villes et de soutenir la relance des commerces de proximité. Ces derniers ont été durement touchés par la crise sanitaire et les mouvements sociaux qui ont précédé, et ils sont aujourd'hui dans une détresse économique qui les laisse sans armes face à la concurrence des acteurs du e-commerce", a commenté Marc Sanchez, secrétaire général du SDI.Pour les Amis de la Terre, "l'annonce de Barbara Pompili crée de l'espoir mais la bataille au gouvernement est loin d'être gagnée".Pour l'ONG, "une différence de traitement" entre les entrepôts de commerce en ligne et les zones commerciales serait "injustifiée d'un point de vue juridique, économique et environnemental".
Il y a 4 ans et 300 jours

Les chaudiéristes biomasse, inquiets, demandent un plan de relance pour le bois-énergie

FILIÈRE BOIS. L'activité des entreprises du bois-énergie, qui était bien partie en début d'année, a été impactée de plein fouet par la crise du Covid-19. Le Syndicat français des chaudiéristes biomasse a adressée une lettre au gouvernement de Jean Castex pour lui demander un plan de relance dédié, articulé autour de la communication, de la formation et de l'incitation.
Il y a 4 ans et 300 jours

Plan de relance français: entre 4 et 5 milliards d'euros pour le bâtiment

Entre 4 et 5 milliards d'euros seront affectés au secteur du bâtiment dans le cadre du futur plan de relance, a annoncé Emmanuelle Wargon, ministre déléguée  chargée du logement.
Il y a 4 ans et 300 jours

De nouvelles réalisations en Stonepanel de Cupa Stone

Avec un large choix de couleurs, de formes et de formats, le parement en pierre qui donne du relief aux murs intérieurs et extérieurs est une excellente alternative aux revêtements utilisés habituellement pour des décors rustiques voire contemporains ! Très tendance, il réserve bien des surprises en matière de déco. Zoom sur 4 nouvelles réalisations Cupa Stone.Dans le jardin : les parements stonepanel bien intégrés aux paysagesLes parements Stonepanel® permettent une multitude de réalisations pour aménager et décorer le jardin : les murets et bordures en pierre naturelle se fondent harmonieusement dans la végétation et nécessitent peu d'entretien. Les parements Stonepanel® les habillent avec brio en offrant des lignes asymétriques qui accrochent le regard et dynamisent l'espace.Stonepanel® SaharaGneiss multicolore de teinte marron avec des nuances de gris d'aspect sobre et rustique.Format standard : 60 x 20 cm x 3-5 cmPrix public indicatif TTC : 120,67 €/m2Ce muret en ardoise se caractérise par des lignes épurées, la pierre est fine et allongée, et offre une esthétique minimaliste pour un bel effet déco. De quoi vous inspirer pour créer des aménagements qui sortent de l'ordinaire !Stonepanel® Jet Noir Lames FinesL'ardoise traditionnelle aux nuances de noir et de gris s'adapte parfaitement aux aménagements extérieurs.Format standard : 60 x 20 cm x 2-4,5 cmPrix public indicatif TTC : 126,00 €/m2 hors poseVue sur la ville : une vraie terrasse urbaineLes propriétaires ont aménagé ce petit espace sur le toit, en terrasse facile à vivre, pour se reposer, se détendre et recevoir des amis sans pour autant jardiner. Ils ont choisi un parement dans des teintes gris/bleu pour son aspect très naturel et décoratif ; c'est cet habillage du mur qui souligne ici l'originalité et fait toute la différence !Stonepanel® NordicCe quartzite aux nuances grises et bleues transmet fraîcheur et clarté pour un style très contemporain. Format standard : 60 x 20 cm x 3-5 cmPrix public indicatif TTC : 119,48 €/m2 hors poseDonner son empreinte à la maison avec la pierre naturelleEnvie de nouveautés ou de relooker sa maison, pensez aux solutions hautement esthétiques de Cupa Stone, les parements en pierre naturelle Stonepanel®. La gamme complète répond à tous les styles et permet de créer des décors exclusifs. Elle connaît un regain d'intérêt pour toutes les constructions ou rénovations soucieuses d'écologie et d'environnement.Cette maison incarne l'esprit du sud, alternant simplicité et modernité sur fond de douces tonalités mêlant design épurés et matériaux bruts. Les parements confèrent un cachet et une personnalité aux façades avec un effet d'enrochement plus vrai que nature !Stonepanel® MarinaPierre lumineuse et élégante avec des tonalités crème et rose claire. Ce panneau est idéal pour créer des projets contemporains. Format standard : 60 x 20 cm x 3-5 cmPrix public indicatif TTC : 120,67 €/m2 hors poseLes + produitsL'installation des panneaux est simple et facile. Elle n'implique pas l'utilisation de machines spécifiques.La pose est dix fois plus rapide que la pose traditionnelle (20m2 en moyenne/jour).Le panneau ne nécessite aucun travaux de nettoyage pendant au moins une dizaine d'années ; l'aspect visuel du parement reste impeccable dans la durée.Les déchets et les pertes dues aux coupes sont largement diminués durant le chantierLe système de fixation breveté et homologué, en acier inoxydable, permet l'installation à plus de 2 mètres de hauteur (Avis technique, CSTB).La base de ciment renforcée (3 cm d'épaisseur) par une armature en fibre de verre garantit la tenue des pierres.Le parement en forme de « S » rend les joints invisibles et assure un aspect homogène à la surface installée.Tous les produits en pierre naturelle sont disponibles exclusivement dans les 11 agences du réseau Cupa Stone en France.A découvrir sur le site internet : www.cupastone.fr
Il y a 4 ans et 300 jours

Pollution de l’air : le Conseil d’État met l'Etat à l'amende

Le gouvernement n’agit pas contre la pollution atmosphérique ? Le Conseil d’État lui impose une astreinte de 10 millions d’Euros par semestre de retard
Il y a 4 ans et 300 jours

Vicat renforce sa présence en Moselle

Pour renforcer sa présence dans la région Grand-Est, le groupe Vicat a fait l’acquisition de la société Sablières Dier, entreprise familiale, présente sur le territoire Mosellan depuis 1956. Cette acquisition garantit sur le long terme une consolidation des activités granulats et de leur développement en local et participe à renforcer la proximité de Vicat dans ses territoires d’implantation.
Il y a 4 ans et 300 jours

Un nouveau marché de déploiement de fibre optique attribué dans la Manche

RÉSEAUX. Avec ce nouveau contrat en conception-réalisation, le département compte sur une couverture de 100% de son territoire d'ici à 2025.
Il y a 4 ans et 300 jours

Tunnel Lyon-Turin: 4 puits à 220 Millions d'euros pour le groupement Vinci

Le promoteur public chargé de l'opération a attribué la réalisation de quatre puits de ventilation du tunnel de base à un groupement d'entreprises piloté par Vinci pour un montant de 220 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 300 jours

Le groupe Icade, reflet de l'immobilier face à la crise

La crise "fait un trou d'air en 2020 mais l'effet dans le temps sera assez limité", a assuré à l'AFP Olivier Wigniolle, directeur général d'Icade, à l'occasion des résultats semestriels mardi.Son bénéfice net semestriel a chuté de 89%, par rapport à un an plus tôt, à cinq millions d'euros. Le "cash-flow net courant", plus représentatif des performances, a reculé de 7,8% à 161,3 millions d'euros, et les revenus de 8,3% à 622 millions.Sur toute l'année, Icade estime que la crise privera ses résultats d'une centaine de millions d'euros, mais espère en récupérer presque la moitié en 2021.Ces chiffres dressent des perspectives pour l'ensemble du secteur immobilier au-delà de la seule situation du groupe, au capital dominé par le public via la Caisse des dépôts.En effet, Icade joue sur de multiples tableaux. Il fait construire des logements, loue des bureaux et possède des établissements de santé, essentiellement des cliniques et maisons de retraite.Le groupe accélère depuis plusieurs années dans cette dernière activité."On ne savait évidemment pas que le Covid allait arriver", a souligné M. Wigniolle. "Mais à rebours, ça valide cette stratégie. L'immobilier de santé, on va en avoir plus besoin demain qu'hier."Le patron d'Icade évoque notamment le "Ségur de la santé". Lancées en pleine épidémie, ces négociations entre gouvernement et monde de la santé viennent d'aboutir à la promesse de vastes investissements.Signe qu'Icade croit toujours beaucoup à la santé, et pas seulement en France, le groupe a annoncé mardi l'achat pour 145 millions d'euros de maisons de retraite, largement situées en Allemagne, au groupe Orpéa qui continuera à les exploiter.Sur le même modèle, "peut-être verrons-nous les hôpitaux publics externaliser (vendre) une partie de leurs murs, même s'il est trop tôt pour le dire", a avancé M. Wigniolle.Le logement rebonditL'immobilier de santé, est une niche, mais les résultats d'Icade donnent d'autres indications sur un univers beaucoup plus vaste, le logement. Elles sont plutôt rassurantes, dans la lignée de chiffres déjà donnés par un grand concurrent, le promoteur Kaufman & Broad, début juillet.Les revenus ont certes chuté face à l'interruption de nombreux chantiers lors du strict confinement contre le virus au printemps. Mais les réservations, gage de futures rentrées d'argent, ont fortement rebondi dès le déconfinement."Objectivement, ce n'était pas le pronostic que nous faisions", s'est félicité M. Wigniolle, estimant que le confinement fait émerger une "aspiration à un logement de meilleure qualité".Néanmoins, plus que les particuliers, ce sont les grands investisseurs qui ont soutenu les ventes et les dominent désormais. Leurs réservations ont doublé par rapport à un an plus tôt."C'est une classe d'actifs qui leur semble assez intéressante dans le contexte actuel", a remarqué M. Wigniolle, évoquant un "niveau de risque extrêmement limité".A ce titre, Icade a annoncé une énorme vente - 1.000 logements - à la filiale de logements de la Caisse des dépôts, CDC Habitat.Certes, la transaction se fait en famille, vu les liens entre Icade et la Caisse, mais elle n'est pas isolée. Kaufman & Broad avait aussi souligné l'immense appétit de CDC Habitat qui a promis de financer des dizaines de milliers de nouveaux logements face à la crise.Reste le cas des bureaux. La crise va-t-elle se traduire par la faillite de multiples locataires, entraînant une déprime générale de l'immobilier d'entreprise ?Icade n'observe pas de défaillances en série, mais a renoncé à percevoir plusieurs mois de loyers auprès des plus petites entreprises, de l'argent qu'il ne récupérera jamais.Quant aux bureaux eux-mêmes, vont-ils devoir changer de visage alors qu'entreprises et employés se sont - parfois difficilement - habitués au travail à domicile ?"Je ne sais pas si le travail dans les immeubles de bureaux va être très affecté par la crise", a éludé M. Wigniolle. "On n'en est pas encore là."
Il y a 4 ans et 300 jours

Sécurité et accessibilité des piétons durant un chantier

Du fait de la transformation perpétuelle du paysage urbain, les chantiers se multiplient dans les villes et, avec eux, les difficultés de circulation pour les différents usagers de la route. Parmi eux, le profil le plus sensible est celui des piétons, qui doivent faire l’objet d’une attention particulière en matière de sécurité et d’accessibilité, durant toute la phase de travaux.  Intérêts de la prise en compte des piétons durant un chantier  Il n’est pas toujours simple de se déplacer dans une rue ou un quartier en chantier. Si les raisons de réaliser des travaux publics sont variées, les usagers qui cohabitent dans l’espace urbain le sont tout autant. Aussi, pour limiter les risques liés à l’impact de travaux sur le cheminement des piétons, tout un ensemble de règles et de préconisations sont mis en place. Leur objectif est double :  garantir la sécurité des piétons face aux risques liés au chantier et à la circulation,  conserver une accessibilité du cheminement pour l’ensemble des piétons.  Ces notions de sécurité et d’accessibilité sont d’autant plus importantes qu’elles englobent les personnes valides, mais également celles porteuses d’un handicap, ainsi que les personnes dites “en situation de mobilité réduite”, comme les femmes enceintes, les personnes avec poussette ou chariot, les usagers étrangers ne comprenant pas la langue, les piétons distraits par leurs écouteurs, etc.  Les obligations quant à la sécurité et à l’accessibilité des piétons  Afin d’assurer l’accessibilité et la sécurité des piétons durant la phase de chantier d’un espace public, les acteurs du BTP sont soumis à des obligations réglementaires, ainsi qu’à la mise en place d’une signalisation claire.  Obligations réglementaires  Qu’il s’agisse d’entreprises privées ou de collectivités publiques, les obligations réglementaires sont issues des textes réglementaires à la coordination pour la sécurité et la protection de la santé (SPS) sur les chantiers.  Ainsi, comme dans le cadre légal général, l’accessibilité doit être garantie par le biais de passages piétons, ressauts, équipements, mobiliers et cheminements. Par ailleurs, tous les chantiers ont obligation d’assurer la continuité du cheminement piéton en priorisant l’accès au trottoir ou l’aménagement sécurisé d’une portion de chaussée. La traversée de celle-ci ne doit être envisagée qu’en dernier recours.  La réglementation fixe également des largeurs minimales de cheminement, afin d’assurer la libre circulation des individus sur l’espace public.  Obligations de signalisation temporaire  La signalisation a pour rôle d’alerter et guider les usagers de la voie public pour garantir leur sécurité. Également, elle va leur permettre d’adapter leur comportement face à une situation de circulation perturbée.  Ainsi, en milieu urbain, différents balisages doivent former une barrière physique entre le cheminement et l’espace de travaux, afin d’assurer la sécurité sur la voie publique et sur le chantier. Par ailleurs, la position et l’encombrement du chantier doivent être signalés et si l’équipement nécessaire aux travaux déborde sur le trottoir, un espace minimum de 1,40 mètre doit être aménagé pour garantir la circulation des usagers, quelle que soit leur situation.  Quid de l’accessibilité et la sécurité des cyclistes ?  En plus des usagers piétons, une attention particulière doit être portée à la sécurité et à l’accessibilité des cyclistes. En effet, lors de chantiers les pistes et bandes cyclables peuvent se trouvées coupées ou déviées. Il est alors nécessaire d’instaurer une signalisation temporaire efficace, au moyen de panneaux ou de marquages au sol.  En l’absence d’une prise en compte des cyclistes, ceux-ci peuvent se trouver en situation gênante, s’ils empruntent le cheminement piéton, un passage généralement réduit, vélo à la main. Également, leur sécurité peut être altérée par une continuité sur la chaussée, dans des conditions dégradées si celle-ci est réduite, abîmée ou que la circulation est interrompue.
Il y a 4 ans et 300 jours

Logement social : quels moyens pour la France après l'accord sur le plan de relance européen ?

Le plan de relance européen de 750 Mds € adopté mardi 21 juillet au terme d’un sommet "historique" entre les chefs d’État de l’Union ouvre de nouvelles voies de financement aux bailleurs sociaux français. Tour d’horizon avec la mission Europe de l’USH.
Il y a 4 ans et 301 jours

Réouverture à Rouen de l'Aître Saint-Maclou, édifice médiéval rare

"Des centaines de compagnons (menuisiers, peintres, restaurateurs, etc)", ont participé à ce chantier de 14 millions d'euros, précise la collectivité propriétaire des lieux. La région Normandie et l'État ont participé à hauteur de respectivement 4 et 2,2 millions d'euros.L'édifice du XIVe siècle se compose d'une cour fermée, entourée de galeries à pans de bois ornées d'éléments de décoration en pierre ou boisés.L'élément le plus saillant de la restauration est la réouverture d'une galerie entre les deux rues qui encadrent le monument historique.L'aître sera ouvert du lundi au dimanche en accès libre et gratuit. Des visites guidées sont également proposées pour expliquer par exemple le crâne à triple faces sculpté de la façade ou la cloche de la cour.Une galerie installée dans les ailes nord de l'aître et abritant des expositions ouvrira au public le 8 août.Selon Alain Bardin, coordinateur du projet de réhabilitation, "Rouen est la seule ville d'Europe à posséder un décor de danse macabre sculptée au sein d'une cour carrée".Avant rénovation, l'Aître attirait en moyenne plus de 300.000 visiteurs par an.Jusqu'en 2014, le monument était occupé par l'école des Beaux-Arts de Rouen.
Il y a 4 ans et 301 jours

Concessions d'autoroutes : le Conseil d'État rejette la requête d'un militant écologiste

Raymond Avrillier, 72 ans, espérait l'annulation d'un accord qui prévoyait une hausse des tarifs autoroutiers chaque année entre 2019 et 2023 pour compenser le gel des tarifs décidé en 2015 sous la pression de Ségolène Royal, alors ministre des Transports et de la transition énergétique.Cet ancien élu à la ville de Grenoble réclamait également l'annulation, pour "excès de pouvoir", de plusieurs clauses de ce même protocole d'accord, conclu le 9 avril 2015, qui accordaient aux sociétés autoroutières un allongement de leurs concessions en échange des travaux à réaliser.Dans sa décision, dont l'AFP a obtenu copie, le Conseil d'État a notamment estimé que la requête de M. Avrillier était "entachée d'une irrecevabilité manifeste" car "l'intéressé", qui "se prévaut de sa qualité de contribuable", ne "peut (...) être regardé comme un tiers susceptible d'être lésé dans ses intérêts de façon suffisamment directe et certaine"."Les clauses du protocole relatives (...) à la mise en œuvre du protocole dont M. Avrillier demande l'annulation sont dépourvues de caractère réglementaire", a ajouté le Conseil d'État, précisant que la seconde requête de l'ancien élu n'est pour cette raison "pas non plus recevable".Le 18 mars 2019, le Conseil d'État avait enjoint Bercy de communiquer à M. Avrillier - à l'origine de plusieurs affaires judiciaires embarrassant Nicolas Sarkozy et d'un scandale impliquant l'ancien maire de Grenoble Alain Carignon - les documents relatifs à cet accord après plusieurs refus du ministère.La haute juridiction avait estimé que "le protocole transactionnel" signé par les deux ministres compétents à l'époque - Emmanuel Macron pour l'Économie et Ségolène Royal pour les Transports - "constitue un contrat administratif et présente le caractère d'un document administratif communicable".
Il y a 4 ans et 301 jours

La beauté du patrimoine d’Outre-mer

Les 12 régions et collectivités plurielles qui forment l’Outre-mer sont dotées d’un patrimoine riche et diversifié. On y retrouve de magnifiques paysages et une architecture hors-du-commun. Découvre certains de ses édifices portés par les projets du Loto du patrimoine  sélectionnés lors de la Mission Stéphane Bern.   L’habitation Zévallos au roule  ©Fondation du patrimoine Construite en 1850, cette maison réunit des codes des bâtisses des Cajuns de Louisiane avec sa structure en brique et en fer. Aujourd’hui, elle est au cœur d’un vaste projet de développement et de valorisation : les savoir-faire ancestraux seront employés pour sa restauration mais l’objectif est également d’y édifier un musée et d’y organiser des spectacles. Projet emblématique de la Guadeloupe pour cette année, l’habitation Zévalos retrouvera son aspect d’origine une fois le chantier achevé. Découvrir le projet >             Le Pont suspendu de la rivière de l’Est ©Fondation du patrimoine Perdu au milieu de la végétation, ce pont suspendu date de 1893. L’objectif était alors de relier la région Est à celle du Nord et de développer l’industrie sucrière par le transport des cannes. Aujourd’hui, ce patrimoine aux airs de décor de cinéma est dans un état préoccupant. Projet emblématique de La Réunion, sa restauration permettra de le rendre de nouveau accessible au public mais également d’en faire un pôle d’attractivité touristique et économique favorisant le commerce d’artisanat et de produits locaux. Découvrir le projet >               L’église du Sacré-Cœur de Balata ©Fondation du patrimoine Le projet retenu pour la Martinique est l’église du Sacré-Cœur de Balata. L’architecture de l’édifice évoque le monument éponyme parisien tout en proposant une adaptation tropicale du style romano-byzantin. Il s’agit d’un lieu de culte mais également d’un site touristique ouvert au public au sein duquel sont organisés des concerts et des spectacles. La restauration de l’église permettra de la sauvegarder et de lui permettre de résister au climat local et aux infiltrations. Découvrir le projet >             L’église Saint-joseph d’Iracoubo  ©Fondation du patrimoine En Guyane, l’église Saint-Joseph d’Iracoubo est le témoin d’une mobilisation des habitants. En effet, les travaux débutent en 1887 grâce aux dons des villageois. Elle conserve entre ses murs un décor peint réalisé par le bagnard Pierre Huguet, entre 1892 et 1898, ce qui ajoute au caractère exceptionnel des lieux. Les affres du temps et notamment l’humidité fragilisent cette église qui a désormais besoin d’une restauration. Les abords seront également mis en valeur. Découvrir le projet >             Soutenez d’autres projets sur : le site internet
Il y a 4 ans et 301 jours

Aperçu sur les différents travaux d’aménagement publics

Pour développer le tourisme dans un pays ou une ville, il est indispensable d’aménager ou de créer un certain nombre d’infrastructures. L’objectif est d’attirer un maximum de visiteurs tous les ans pour booster l’économie de la région ou du pays en question. Pour concrétiser un projet de ce genre, il est préférable de recourir à l’expertise d’une entreprise spécialisée en travaux d’aménagement public. Le terrassement : une branche des travaux d’aménagement publics Pour des projets de construction ou d’extension, par exemple, les travaux de terrassement s’imposent. Il s’agit d’une opération qui consiste à préparer un terrain destiné à l’édification d’une structure. Et donc, pour mener à bien les travaux, il faut se munir d’un parc de matériel conséquent et d’une main-d’œuvre qualifiée. À noter qu’il existe deux types de terrassements : le remblai et le déblai. Le premier consiste à déplacer des terres prélevées sur le terrain à construire afin d’uniformiser la surface, tandis que le déblai permet d’enlever des terres pour rabaisser le niveau de terrain, puis de l’aplanir. Ensuite, il va falloir charger les terres enlevées dans un véhicule afin de les déplacer pour le déblai. Terrasser signifie également préparer le sol en déplaçant des quantités importantes de terres ou de roches pour mettre le sol à niveau. Ainsi, on pourra réaliser certains ouvrages tels qu’une habitation ou une route. Avant de lancer le chantier, le terrassier effectue en amont un diagnostic. Le prestataire peut également s’occuper de la réalisation de bordures esthétiques en fonction des attentes des clients. Concernant le coût, tout dépend du type de sol du terrain, de son emplacement, de sa longueur, de la difficulté d’accès, etc. La création des réseaux divers Les travaux publics englobent également les travaux liés aux besoins primaires des consommateurs en matière d’hygiène. Cela concerne aussi bien le milieu urbain que le milieu rural. On parle ici des opérations d’assainissement et d’épuration des eaux usées. Concrètement, elles consistent à faire évacuer ces dernières ainsi que les eaux domestiques de chaque foyer par un réseau d’assainissement collectif. On cherche à dépolluer les eaux et les sols grâce à un système d’évacuation. Cette étape des travaux peut de même consister à la mise en œuvre d’un réseau d’approvisionnement en eau. Il s’agit ici de construire des structures facilitant l’acheminement de l’eau potable dans des zones, comme le quartier, la région, la ville, voire un pays entier. Certaines entreprises s’occupent de la pose de graviers pour créer des allées piétonnes, par exemple. Aussi, elles sont spécialisées dans la pose d’enrobé en vue de créer des chaussées ou une piste d’aviation. D’autres proposent leur savoir-faire dans des travaux de génie civil. Il s’agit des travaux de construction de tout type de bâtiment, allant des petits édifices aux gratte-ciels. Cela concerne également la réhabilitation et la rénovation d’une structure déjà existante. Ces travaux sont divisés en 4 parties, à savoir la construction d’infrastructures de transport, la construction de barrages, la construction d’infrastructures urbaines et de structures industrielles. Pour la concrétisation des travaux, il est recommandé de demander plusieurs devis auprès de plusieurs sociétés de construction.
Il y a 4 ans et 301 jours

Pour Paris, ville d’histoire, il faut une flèche

Une solution radicale permettant de régler le problème des embouteillages et de la pollution à Paris serait-elle susceptible de réconcilier un président de la République nostalgique et une maire de la capitale allergique à l’automobile, tous deux œuvrant de concert à la ville-musée ? Le 9 juillet dernier, avec sa décision de restaurer Notre-Dame à l’identique, […] L’article Pour Paris, ville d’histoire, il faut une flèche est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 301 jours

Les dirigeants du BTP combatifs et prêts à faire évoluer leur organisation pour la reprise

Si des inquiétudes pointent quant à leur trésorerie ou leur carnet de commande, les dirigeants se disent prêts à « réentreprendre », quitte à sacrifier leurs vacances cet été. L'étude rappelle aussi que les dirigeants du secteur sont des travailleurs particulièrement débordés.Patrick Miliotis, directeur général de la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur : « La Fondation interroge chaque année depuis 6 ans les dirigeants français sur leur état de santé physique et psychique. Il nous paraissait incontournable de prendre leur pouls suite à la crise sanitaire et surtout à l'heure de la relance. Cette enquête nous montre que la combativité des entrepreneurs, leur aptitude à s'adapter, à résoudre des problèmes, à saisir des opportunités sont plutôt exacerbées par la crise avec une capacité de résilience en augmentation. Notre mission est d'accompagner ces entrepreneurs à chaque étape de la reprise pour les aider à réentreprendre sans s'épuiser. »Dans le secteur du BTP / Industrie, près d'un entrepreneur sur deux va sacrifier ses congés d'étéA l'heure de la relance, les dirigeants d'entreprises de BTP / Industrie sont en première ligne pour assurer la reprise des chantiers, organiser le retour des équipes sur le terrain, relancer la chaîne d'approvisionnement en matériaux… Pour nombre d'entre eux, la perspective de s'éloigner de l'entreprise n'est tout simplement plus d'actualité. 47% des dirigeants du secteur prévoient ainsi d'écourter, annuler ou reporter leurs congés d'été. Un taux supérieur à la moyenne globale de 44%.Des dirigeants combatifs et agiles, dont les business modèles semblent avoir bien résisté à la criseInterrogés sur leur état d'esprit vis-à-vis de la relance, les chefs d'entreprises français révèlent un très fort sentiment de combativité (92%). Sentiment partagé par 90% des sondés du secteur BTP/Industrie.Pourtant prêts à s'adapter, les dirigeants du secteur sont 76% à se dire ouverts aux opportunités professionnelles. Plus d'un chef d'entreprise du secteur sur deux (59%) prévoit également de mettre en place une nouvelle organisation du travail au sein de sa structure.En bonne forme physique, les entrepreneurs BTP / Industrie se sentent en revanche débordésInterrogés sur leur forme physique, les dirigeants du secteur BTP / Industrie affirment dans leur grande majorité se sentir en bonne forme (81%). Une situation comparable aux chiffres généraux (85%).Pour autant, ils se disent bien souvent stressés (45%) et confient se sentir beaucoup plus débordés que la moyenne (63% vs. 54% au global).Les entrepreneurs du secteur moins inquiets que la moyenne, la trésorerie et le carnet de commande restent les premières sources d'inquiétudeDans ce contexte économique complexe et incertain, 40% des dirigeants du secteur se disent inquiets, un taux remarquablement inférieur à celui du commerce (54%), beaucoup plus durement impacté par la crise.Au global, les sources d'inquiétudes sont logiquement fléchées sur la trésorerie, citée par 82% des personnes interrogées et le carnet de commande, évoqué à 72%.Des chefs d'entreprises particulièrement confiants pour l'avenir de leur activitéPortés par leur volonté d'agir et de « ré entreprendre », les femmes et hommes interrogés ont fait part d'une grande confiance en l'avenir.A l'échelle du secteur, les sondés sont 82% à se dire confiants pour leur vie personnelle ; 78% pour leur situation professionnelle et 73% pour la situation financière du foyer.Les dirigeants du BTP / Industrie dénotent une fois de plus par leur confiance plus marquée que la moyenne pour l'avenir de leur activité : 79% vs. 74% au global.Soutenus par leurs proches dans la reprise, les dirigeants entendent désormais mieux profiter de leur familleAlors que le déséquilibre vie privée et vie professionnelle a longtemps été vu comme une fatalité pour les entrepreneurs, la préservation de la vie de famille est aujourd'hui unanimement considérée comme une priorité.Pour 63% des chefs d'entreprises du secteur, le confinement leur a permis de mieux profiter de leurs proches. Ils ressortent de cette période avec le sentiment d'être soutenus par leurs proches (80%) pour aborder la reprise. Un taux toutefois inférieur à la moyenne globale de 88%.Ces femmes et ces hommes dirigeants entendent aujourd'hui mieux préserver cet équilibre. Ils sont ainsi unanimement décidés (93%) à mieux profiter de leur famille tout au long de l'année et 91% à déclarer vouloir continuer à pratiquer une activité sportive pour se maintenir en forme.Un cycle de webinaires et un guide inédit pour aborder les enjeux santé pour l'entrepreneur face à la relanceTout au long de ces prochaines semaines, la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur déploie un dispositif spécial pour aborder les problématiques de la santé et de la prévention face aux risques d'épuisement pour les entrepreneurs.Un cycle de 3 webinaires « Comment ré entreprendre sans s'épuiser » se déroule du 6 au 8 juillet en partenariat avec les CCI. Il est complété par la sortie du guide inédit « L'Entrepreneur en forme », réalisé sous la direction du médecin psychothérapeute Gérard Ostermann avec le regard de nombreux experts et des témoignages d'entrepreneurs.Méthodologie :Étude réalisée par l'institut OpinionWay pour la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur auprès d'un échantillon de 802 dirigeants d'entreprises représentatif des TPE, PME et ETI françaises (1 à 4999 salariés), dont 191 entreprises du secteur BTP/Industrie.L'échantillon a été interrogé du 12 au 22 juin 2020 par téléphone. La représentativité de l'échantillon est assurée par un redressement sur les critères de taille d'entreprise et de secteur d'activité, après stratification par région de résidence.
Il y a 4 ans et 301 jours

L'agriculture doit contribuer plus à la production d'énergies

Le rôle de ce secteur, qu'il s'agisse de produire de l'électricité, du gaz ou des carburants, "est un sujet majeur aux implications multiples pour l'environnement et le climat, pour ses conséquences en matière d'aménagement des territoires, d'organisation des filières et des exploitations agricoles", relève l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).Parmi les propositions, destinées à orienter le plan de relance économique du gouvernement attendu fin août, le rapport appelle à "développer de manière prioritaire la méthanisation" qui permet de produire du biogaz à partir de déchets organiques.Les rapporteurs de la mission, le député (LREM) Jean-Luc Fugit et le sénateur (PS) Roland Courteau, "déplorent les ambitions trop modestes" de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE).Alors que la loi a fixé en 2015 "un objectif ambitieux de 10%" de biogaz dans la consommation de gaz en 2030 (soit 39 à 42 TWh), la PPE de 2016 visait 8 TWh injectés dans le réseau en 2023, ramenés à 6 TWh en 2020, regrette le rapport, soulignant au passage que la définition de la feuille de route énergétique de la France devrait incomber au Parlement, non au gouvernement.Parmi leurs autres propositions: doter d'un volet agricole la recherche sur les énergies, renforcer le conseil auprès du monde agricole et intégrer ces projets dans les politiques d'aménagement des territoires.Les pouvoirs publics devraient "encourager l'appropriation des infrastructures de production d'énergie par les agriculteurs plutôt que par les énergéticiens seuls ou des opérateurs tiers", ajoutent les parlementaires.Dans l'éolien et le photovoltaïque, "les agriculteurs se contentent souvent de mettre à disposition des ressources foncières", notent-ils, relevant que leur appropriation "permettrait aussi de faire évoluer les regards sur ces filières" parfois difficilement acceptées.Enfin il faudrait soutenir l'agrivoltaïsme, des panneaux solaires mobiles qui, installés au-dessus des plantations, évitent d'utiliser du foncier supplémentaire, notent les auteurs.Selon le rapport, le secteur agricole, avec au moins 50.000 exploitations concernées, assure déjà 20% de la production d'énergies renouvelables (soit 3,5% de la production nationale d'énergie), dont 96% de la production nationale de biocarburants, 26% du biogaz, et via son foncier 83% de l'éolien, 13% du solaire photovoltaïque.
Il y a 4 ans et 301 jours

Gare du Nord : "le lancement des travaux aura lieu" (E. Wargon)

GRANDS PROJETS. Le Gouvernement a confirmé, devant les sénateurs, son intention de lancer la rénovation de la Gare du Nord en l'état, malgré l'opposition de nombreux acteurs, dont la mairie de Paris, et plusieurs architectes de renom.
Il y a 4 ans et 301 jours

Un contrat routier de 183 M€ pour Vinci au Canada

Le ministère des Transports de la province de l’Alberta a retenu, pour la réalisation du segment sud du périphérique de Calgary, le groupement d’entreprises composé de filiales de Vinci (65 %) - Carmacks, filiale d'Eurovia, mandataire du groupement, et Vinci Construction Terrassement - et de la société canadienne Graham (35 %).
Il y a 4 ans et 301 jours

Le projet d'autoroute A45 définitivement abandonné

INFRASTRUCTURE. La déclaration d'utilité publique de l'autoroute A45, qui devait relier Saint-Etienne à Lyon, a expiré mi-juillet. Ce qui conduit automatiquement à l'abandon définitif du projet au grand dam des collectivités locales.
Il y a 4 ans et 301 jours

Rénovation : "les marchés seront là, il faut après que chacun aille les chercher" (Griset)

CONJONCTURE. Les nouveaux reports de charges dont pourront bénéficier les petites entreprises ont été confirmés par le ministre délégué aux PME, qui a aussi indiqué les pistes d'évolution des PGE envisagées par Bercy. Alain Griset a en outre appelé les artisans du bâtiment à "aller chercher les marchés" de la rénovation énergétique.
Il y a 4 ans et 301 jours

Le logement reste un ministère "entier", assure sa nouvelle ministre

Le ministère du Logement reste "entier", notamment sur ses enjeux sociaux, et ne se limitera pas aux questions d'environnement malgré son rattachement à l'Ecologie a assuré Emmanuelle Wargon.
Il y a 4 ans et 301 jours

Bruno Le Maire souhaite renforcer la régulation des concessions autoroutières

"Le modèle de délégation de service public à des entreprises privées a apporté la preuve de son efficacité mais la condition, c'est que la régulation soit améliorée", a déclaré le ministre devant la commission d'enquête du Sénat sur les concessions autoroutières.M. Le Maire, qui était directeur de cabinet du Premier ministre Dominique de Villepin, de 2006 à 2007, au moment de la privatisation des sociétés d'autoroutes, a jugé que cette opération avait été "réussie"."L'Etat n'a pas vocation à gérer des autoroutes", a-t-il affirmé, estimant que les gestionnaires privés étaient "mieux à même, mieux équipés" pour cela. Mais il a souligné que l'Etat restait propriétaire des infrastructures, n'ayant fait que céder ses parts dans les sociétés gestionnaires.Il a estimé que l'Etat en avait tiré "le meilleur prix", avec 14,8 milliards d'euros de recettes.Selon le ministre, la qualité de service a été au rendez-vous, grâce notamment à 22 milliards d'euros d'investissements réalisés par les sociétés concessionnaires. "Nous avons un des meilleurs réseaux autoroutiers au monde", a déclaré M. Le Maire.Reconnaissant que les tarifs étaient "chers" pour beaucoup d'usagers, il a assuré qu'ils ne s'étaient pas envolés et avaient "augmenté en suivant un rythme proche de celui de l'inflation et conforme aux règles prévues dans les contrats".Mais il a reconnu qu'il y avait "matière à amélioration" sur la régulation des concessions."Les hypothèses sous-jacentes aux contrats ne prévoyaient pas la baisse très forte des taux d'intérêt qui a permis aux sociétés concessionnaires de réduire leurs frais financiers, en refinançant leurs dettes à des conditions plus favorables. C'est un point fondamental", a-t-il dit.M. Le Maire a jugé "impératif pour les prochaines concessions de pouvoir réévaluer" ce coût de financement "pour que le concessionnaire ne bénéficie pas d'une sur-rentabilité".Il a notamment proposé de réduire la durée des contrats à 15 ans pour des infrastructures "qui ne nécessitent pas d'investissement massif dans les années à venir" et d'instaurer une "clause de rendez-vous tous les cinq ans qui permet de réévaluer les taux de retour sur investissements cibles"."Je ne crois absolument pas à l'opportunité d'une renationalisation de ces autoroutes", a-t-il dit, estimant qu'elle aurait un coût "considérable pour les finances publics, compris entre 45 et 50 milliards d'euros" et "serait un très mauvais investissement".
Il y a 4 ans et 301 jours

Center Parcs de Roybon: Pompili satisfaite, la commune de Roybon effondrée

Barbara Pompili, nouvelle ministre de la Transition écologique salue l'abandon du projet de domaine Center Parcs à Roybon (Isère), tandis que le maire de Roybon se dit effondré.
Il y a 4 ans et 302 jours

Le Sénat vote une prime à l'embauche plus large

Le premier dispositif, évalué à 400 millions d'euros, propose aux entreprises de moins de 250 salariés une prime à l'embauche pour tout CDI ou CDD de plus de six mois, d'un montant de 4.000 euros maximum sur deux ans. Avec une majoration de 50% pour l'embauche de jeunes de moins de 26 ans en sortie de formation initiale, soit 6.000 euros.Hormis pour les jeunes, pour lesquels il n'y aurait pas de plafond, le bénéfice d'une telle prime serait limité aux embauches de salariés jusqu'à 1,6 SMIC.Le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt a contesté une prime "trop large", attribuée "quel que soit l'âge" et a appelé les sénateurs à "se rallier à l'amendement" du gouvernement sur l'emploi des jeunes.Présenté dimanche, cet amendement a été rejeté par le Sénat, le rapporteur général Albéric de Montgolfier (LR) jugeant que le dispositif adopté par la chambre haute dans la nuit "satisfait pleinement l'intention du gouvernement".Le gouvernement proposait une enveloppe d'un milliard d'euros pour tirer "les conséquences budgétaires" de l'annonce du président de la République le 14 juillet "de mettre en place un dispositif exceptionnel de réduction du coût du travail, à hauteur de 4.000 euros par an pour les jeunes".Le porte-parole du groupe LREM au Sénat Julien Bargeton a défendu "un geste significatif", qui "témoigne de la riposte" du gouvernement face à l'urgence de la situation économique et sociale.Le Sénat a en revanche voté deux amendements du gouvernement en faveur de l'apprentissage. Le premier ouvre 744 millions d'euros de crédits en autorisations d'engagement pour le financement de la mesure incluant les contrats de professionnalisation dans l'aide exceptionnelle à l'apprentissage.Le second prévoit le financement à hauteur de 7 millions d'euros de la protection sociale des jeunes qui auront commencé une formation en CFA entre le ler août et le 31 décembre 2020 et qui n'auront pas signé de contrat d'apprentissage entre 3 et 6 mois après le début de leur formation.Dans la nuit de samedi à dimanche, le Sénat a également voté une mesure de bons d'achat ou de chèques loisirs de 400 euros pour 6 millions de foyers modestes, dans leurs activités culturelles et touristiques, y compris pour des prestations hôtelières ou dans la restauration.Le Sénat a voté ce dispositif de 2,4 milliards d'euros contre l'avis du gouvernement."Pour les ménages les plus modestes, nous avons clairement préféré affecter les moyens dont nous disposons au financement de l'activité partielle et du fonds de solidarité avec l'objectif de préserver l'emploi et les compétences d'un maximum de Français", a réagi le ministre Olivier Dussopt, opposé à cet amendement.
Il y a 4 ans et 302 jours

La fibre optique pourvoie aussi les emplois

Les infrastructures numériques très haut débit, et en particulier la fibre optique, ont pris bonne part dans la résilience de la France pendant la crise COVID. La transition numérique des entreprises et des collectivités, ainsi que l’accompagnement des citoyens, font partie des priorités du gouvernement à travers le plan France très haut débit et l’accélération des déploiements de fibre optique. Les métiers de la fibre optique représentent plus que jamais une opportunité pour l’emploi en France. Le volume d’emplois mobilisables d’ici 2022 est en hausse de près de 30% par rapport aux projections établies en 2017 pour déployer le très haut débit sur l’ensemble du territoire français. Le nombre d’emplois nécessaires au déploiement1 de la fibre optique en France devrait mobiliser 27 000 personnes pour atteindre un pic d’emplois en 2022, et une demande qui reste forte jusqu’en 2024. L’évaluation conduite en 2017 annonçait 22 000 emplois pour un pic en 2021. Source : dernière étude menée dans le cadre de l’Engagement pour le Développement de l’Emploi et des Compétences (EDEC) « Fibre Optique » signé entre le Ministère du Travail, l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires, les branches (FFB, FNTP, UIMM, HumApp), les fédérations professionnelles membres d’Objectif Fibre (FFIE, FFTélécoms, FIEEC, InfraNum, SERCE) et les OPCO (Constructys, OPCO2i et AKTO).
Il y a 4 ans et 302 jours

Erosion côtière : le sénat vote l'indemnisation des propriétaires du "Signal"

Cet amendement, défendu par le gouvernement, "précise le cadre juridique permettant d'utiliser les crédits de 7 millions d'euros du programme prévention des risques, dédié à l'indemnisation de propriétaires de biens dans des immeubles rendus inhabitables par l'érosion côtière", a expliqué Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l'Économie.Le texte prévoit une indemnisation des propriétaires des lots de l'immeuble Le "Signal" de Soulac à hauteur de 70% de la valeur vénale estimée, sans que ne soit pris en compte le risque d'effondrement, a-t-elle précisé.Le versement de l'indemnité qui doit être demandé avant le 31 décembre 2021 est conditionné à deux points:"Le transfert de la propriété du bien à une personne publique identifiée en accord avec le représentant de l'Etat dans le département" et "la renonciation de la part des propriétaires à toute demande indemnitaire faisant l'objet d'un contentieux en cours ou futur".Les propriétaires des 78 appartements - surtout des résidences de vacances - avaient été évacués en 2014 par arrêté préfectoral, à la suite d'un recul marqué du trait de côte, du fait des fortes tempêtes de l'hiver 2013-2014.Ils ont mené sans succès une longue bataille judiciaire pour faire reconnaître l'érosion dunaire au titre des risques naturels donnant droit à indemnisation, comme la submersion marine ou les mouvements de terrain."C'est l'occasion de clore une histoire de six ans, faite de rebondissements, d'atermoiements, où des gens ont perdu du jour au lendemain leur lieu d'habitation et vont de procédure en procédure avec toutes les angoisses et les inquiétudes que cela suscite", a expliqué la sénatrice LREM de Gironde Françoise Cartron."Ce sont des familles modestes qui parfois ont dû être relogées à la va-vite dans des caravanes, leur appartement étant rendu inhabitable du jour au lendemain. Cet amendement va aussi permettre à la ville de Soulac de tourner la page et de concevoir un projet d'aménagement et d'embellissement de ce lieu qui aujourd'hui est occupé par une ruine", a-t-elle ajouté.Pour la sénatrice PS de Seine-Maritime Nelly Tocqueville, ce dossier doit alerter la représentation nationale sur "la problématique de l'érosion de nos littoraux"."La situation du Signal risque de se reproduire de façon bien plus systématique qu'on ne le croit dans les années à venir", a-t-elle mis en garde.
Il y a 4 ans et 302 jours

Le soutien aux énergies renouvelables va coûter bien plus cher en 2021

FINANCES PUBLIQUES. L'Etat devra compenser plus de 10,5 milliards d'euros de charges pour les énergies renouvelables en 2021, d'après la dernière délibération de la Commission de régulation de l'énergie. Les charges de service public augmentent pour leur part de 12%, du fait de la croissance continue du parc de renouvelables et d'installations de biométhane, mais aussi de l'impact du confinement sanitaire.