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Il y a 4 ans et 291 jours

Myral, le premier système d'ITE à base combustible à obtenir un classement coupe-feu 30 minutes

Ce PV, qui vient d'être certifié par le laboratoire Efectis, valide la démarche du groupe de faire reconnaître les performances coupe-feu de son système quelques mois après le durcissement de la législation en la matière. La question est désormais : pourquoi le système Myral ne serait pas reconnu comme un écran thermique exigé pour la pose sur COB ou sur IMH ?C'était le 11 août dernier, un arrêté publié au « Journal officiel » faisait évoluer les règles de protection contre l'incendie. Poursuivant leur démarche de rénovation de cette réglementation en tirant les conséquences du drame de la tour Grenfell à Londres, les pouvoirs publics précisaient les contours de la loi concernant la rénovation des façades des immeubles de moyenne hauteur (IMH) d'habitation. Le texte indiquait que figure, parmi les deux solutions constructives autorisées par l'article R. 122-33 du CCH issu du décret, « le système de façade est constitué de matériaux pratiquement incombustibles à l'exception d'un sous-ensemble protégé par un écran thermique. » Et de préciser : « un sous-ensemble du système peut ne pas être classé au moins A2-s3, d0, à condition qu'il soit protégé par un écran thermique […]. L'écran thermique a une performance de résistance au feu EI30 et l'efficacité du système de façade est démontrée par une appréciation de laboratoire. » Ces règles imposent donc aux solutions d'isolation par l'extérieur, à base d'isolants combustibles, d'être recouvertes d'un écran thermique coupe-feu 30 minutes.Une nouvelle étape dans la démarche réglementaire de Myral face au risque incendieAu regard de cette nouvelle donne, le bureau d'études du groupe Myral, qui mène depuis plusieurs années une politique de recherche et de tests sur la réaction au feu de sa solution d'ITE, a souhaité proposer une voie différente dans l'appréhension des solutions intégrant une masse combustible.« Forts de la mise en œuvre de notre produit (vêture/vêtage) qui supprime la lame d'air (potentielle responsable de l'effet cheminée lors d'un incendie), de ses multiples systèmes possibles (combinaisons avec différents types de renforts d'isolant) et de la campagne de tests que nous avons menée (classement M, puis essai SBI, puis 6 essais LEPIR), nous étions convaincus d'avoir tous les atouts pour prouver que notre le système Myral est pertinent en terme de résistance au feu. C'est pour cette raison que nous avons engagé des essais coupe-feu avec le laboratoire spécialisé Efectis. »- Julien Bagnard, responsable développementObjectif : prouver que le système Myral, composé du M32 et de l'isolant Kooltherm K15 de Kingspan, pouvait être reconnu coupe-feu pendant 30 minutes. Achevée début mars, après deux essais d'orientation puis deux essais de certification, cette campagne est un succès puisque le laboratoire Efectis vient de remettre le PV qui classe le système EI30. Une première en France pour un produit d'isolation de façade à base combustible !Quid de la participation du système Myral au rôle d'écran thermique ?L'obtention de ce classement EI30 montre que, même intégrant un isolant polyuréthane, un système protégé par un parement en aluminium peut tenir 30 minutes face à un incendie dans des conditions défavorables… Et donc protéger le bâtiment et ses habitants. Ce qui correspond aux règles pour entrer dans la catégorie des écrans thermiques. De quoi faire évoluer le texte de loi ? C'est la question qui est désormais posée aux décideurs. En effet, les impacts sur les secteurs de la rénovation et de la construction de logements neufs seraient importants. Au moment, où les réglementations imposent de plus en plus de résistance thermique, proposer des produits performants, de faibles épaisseurs et économiques, est un enjeu, notamment sur les marchés de la Construction sur ossature bois (COB) et des IMH, qui sont donc tous les deux soumis à la mise en oeuvre d'un écran thermique assurant la sécurité incendie…Revêtement de façade isolant M32Le revêtement de façades intégrant un isolant de type P.I.R, conçu, fabriqué et commercialisé par Myral, allie esthétique, rapidité de pose et efficacité énergétique (lambda de 23 mW/m.K.). Réalisé à la dimension du calepinage, la longueur des pans est variable, de 1,5 ml à 14 ml (contre 1,5 à 2 ml pour les panneaux de bardage traditionnels). Les revêtements de façades Myral peuvent être posés en vêture ou en vêtage sur tous les types de construction. Deux épaisseurs sont disponibles, le M32 et le M62. La solution est un investissement pérenne avec une durée de vie estimée dans l'analyse du cycle de vie à plus de 50 ans. Personnalisable (selon conditions*), le nuancier Myral offre un large choix de couleurs et différentes gammes de finitions.
Il y a 4 ans et 291 jours

Sika : La ViscoChape joue à domicile

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. La chape a été coulée sur un primaire d’accrochage, la réserve de la dalle limitant les options. [©SNC] Il est un proverbe qui dit : “On n’est jamais mieux servi que par soi-même”. Pour les bureaux de sa centrale de Communay (69), SEBM, société du groupe Martel, l’a appliqué à la lettre. Afin d’en réaliser l’aménagement, la centrale a en effet fourni, pour elle-même, 90 m2 de chape fluide ciment. « Nous avons fait le choix d’une pose dite “adhérente,” explique Richard Guillet, gérant de la Société nouvelle de carrelage (SNC), en charge du coulage. Habituellement, sur ce type de bâtiments, la pose est désolidarisée, il nous suffit de couler la chape. Mais la réserve entre la dalle et le niveau fini était trop réduite. Nous avons donc posé en adhérent, en utilisant un primaire d’accrochage, le weberfloor 4716. » La chape a ensuite été coulée sur une épaisseur de 35 mm. Une pose de chape adhérente C’est la ViscoChape C2O-F4 de Sika, qui a été choisie pour ce chantier à domicile. [©SNC] La chape en question est une ViscoChape C20-F4 de chez Sika. « SEBM propose cette solution à ses clients, il était donc logique que nous nous fournissions sur place. D’autant que nous travaillons depuis un an avec Sika pour nos chantiers du quotidien », indique Richard Guillet. Et même si la centrale n’était qu’à quelques mètres du chantier, les moyens mis en œuvre pour sa livraison sont restés identiques à ceux utilisés pour les chantiers plus distants. En effet, les Avis techniques des chapes balisent le mode de fourniture…  « La chape a été livrée par l’intermédiaire d’une toupie, qui alimentait notre pompe à chape fluide. Une Putzmeister SP 20 THF. Deux compagnons se sont ensuite chargés de couler la Viscochape. Evidemment, la proximité de la centrale a facilité l’approvisionnement et nous avons pu réaliser l’ensemble des travaux en à peine 4 h. Et pas de trace du moindre problème de rhéologie », sourit Richard Guillet. Pionnier de la chape fluide sur Lyon Longs de 15 m, les bureaux ont nécessité un joint scié de pré-fissuration. « Nous avons fait ce joint le lendemain du coulage. Après séchage et dans la foulée de l’aménagement des murs, nous avons réalisé la pose du carrelage. » Couler la chape, puis poser le carrelage, SNC y est un habitué. « Nous coulons des chapes fluides depuis 25 ans, nous faisons partie des pionniers de cette solution dans la région du Grand Lyon. » Installé à Brindas, commune située à l’Ouest de Lyon, l’entreprise compte sept compagnons chapistes, organisés en trois équipes, chacune avec sa pompe à chape (deux Putzmeister et une Turbosol). Pour un total de 7 000 m3 coulés par an. « Nous avons également une dizaine de poseurs de carrelage. Les équipes travaillent en complément, même si toutes nos chapes ne sont pas forcément pour nos propres poses de carreaux », conclut Richard Guillet. De même que des chantiers aussi proches de la centrale de production de la chape restent une exception… Yann Butillon
Il y a 4 ans et 291 jours

In'li et Axa créent une foncière pour le logement intermédiaire

PARTENARIAT. Action Logement et la filiale immobilière de l'assureur Axa vont s'associer pour créer près de 20.000 nouveaux logements dans Paris et sa région au cours des dix prochaines années, ont-ils annoncé le 30 juillet.
Il y a 4 ans et 291 jours

Ça bouge dans les chapes fluides. Dossier

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Le ragréage Weberfloor 4032 est déversé sur le sol à l’avancement, par petites quantités. [©ACPresse] Qu’elles soient à base de ciment ou de sulfate de calcium (anhydrite), les chapes fluides ont le vent en poupe. Chape année, elles grignotent des parts de marché face aux chapes dites “traditionnelles”. Preuve de cette tendance de fond, l’historique Union des entrepreneurs de carrelage du bâtiment vient de modifier son nom et se dénomme à présent Union nationale des entrepreneurs carreleurs, chapistes et projeteurs de polyuréthane. « La chape et le polyuréthane sont deux éléments essentiels des marchés de nos adhérents. Il est donc normal que notre syndicat affiche ces différents savoir-faire », confirme Nadège Ombe Njiamo secrétaire générale de l’Unecp-FFB. Les choses vont même plus loin puisque les chapes fluides, jusqu’à peu encore considérées comme des technologies innovantes, s’apprêtent à basculer dans le traditionnalité. Sachant que les premières d’entre elles sont arrivées sur le marché il y a près de 30 ans, il était temps… Mais qu’on se rassure, la bascule sera très progressive et ne concernera, pour commencer, que quelques types de chapes, qui verront ainsi disparaître leur besoin d’Avis techniques. Ne reste plus qu’à publier les textes de mise en œuvre de ces chapes fluides “traditionnelles”, avant le 31 décembre 2021. En attendant, l’ancienne et la nouvelle école s’affrontent, par chantiers interposés. Cette nouvelle approche a ainsi été retenue par le musée des Arts décoratifs, dans l’enceinte même du Louvre. Mais aussi par la Comédie de Clermont-Ferrand ou encore l’hôpital Louis Mourier, à Colombes (92). Certains bétonniers adoptent même les chapes fluides, pour eux-mêmes ! Très instructif… Dossier réalisé par Yann Butillon et Frédéric Gluzicki Mini-sommaire Unecp : « La chape est une part essentielle des travaux de nos adhérents »Entre changements et évolutionsAnhydritec : Le musée des Arts Décoratifs revoit ses planchersChryso, de plus en plus actif dans la chapeSika : La ViscoChape intervient à domicileTechnisol joue la Comédie à Clermont-FerrandSaint-Gobain – Weber : Ragréage turbo pour l’hôpital Louis MourierQuoi de neuf, côté produits et équipements ?
Il y a 4 ans et 291 jours

Nexity résiste à la crise mais reste prudent pour l'avenir

"Malgré une crise d'une dureté inouïe, Nexity est resté profitable au premier semestre", a souligné Alain Dinin, PDG du groupe, dans un communiqué de présentation de ses résultats semestriels.Entre janvier et juin, Nexity a engrangé 1,7 milliard d'euros de revenus, soit un repli de 6,7% par rapport à un an plus tôt. Son bénéfice net s'est effondré de 87,5% à 6,6 millions.Ces résultats sont dans la lignée des autres grands promoteurs ayant déjà publié leurs chiffres, dont Kaufman & Broad et Icade. Tous ont subi les conséquences du confinement, qui a forcé pendant des semaines de multiples chantiers à l'arrêt, mais plutôt limité les dégâts.Plus que les revenus eux-mêmes, qui reflètent des transactions passées, ce sont les chiffres de réservations qui témoignent de la santé des ventes. Comme ses concurrents, Nexity fait, à ce titre, état d'un franc rebond en juin.Au total, ses ventes de logements représentent même, pour tout le semestre, un montant supérieur à ce qu'il était un an plus tôt.Toutefois, elles chutent auprès des particuliers. Ce sont les gros investisseurs qui ont soutenu les ventes et sont désormais majoritaires au sein des réservations."Il n'y a donc pas destruction de la demande, mais substitution de la demande", a résumé M. Dinin.A ce titre, Nexity met en avant le rôle de CDC Habitat, déjà évoqué par plusieurs promoteurs français. Ce groupe est la filiale dédiée au logement de la Caisse des dépôts, elle-même bras financier de l'état, et a promis d'acheter des dizaines de milliers de logements pour faciliter la sortie de crise.Désormais, vu le contexte particulier du premier semestre, Nexity s'attend à une "nette amélioration" de ses résultats au second semestre, mais prévient qu'ils ne retrouveront pas le niveau d'un an plus tôt.Surtout, contrairement à ses grands concurrents, le groupe s'abstient de donner de nouvelles prévisions annuelles, "compte tenu des incertitudes persistantes en matière sanitaire, économique et sociale".
Il y a 4 ans et 291 jours

Le Lavoir : le bassin public devenu espace de travail

L’Atelier Confetti signe la réhabilitation du Lavoir, un bâtiment du XIXe siècle situé dans le 12e arrondissement de... Cet article Le Lavoir : le bassin public devenu espace de travail est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 291 jours

Technisol joue la Comédie à Clermont-Ferrand

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Le chantier de la Comédie est implanté sur l’ancien site de la gare routière de Clermont-Ferrand. [©Technisol] Préfecture du Puy-de-Dôme, la ville de Clermont-Ferrand était l’une des rares villes de taille moyenne, en France, à ne pas disposer d’un lieu majeur dédié à la culture. Etait, car fin 2017, la première pierre de la Comédie de Clermont-Ferrand a été posée. Dessiné par l’architecte portugais Eduardo Souto de Moura, lauréat du prix Pritzker en 2011, le lieu, certifié “Scène nationale”, disposera d’une salle de 850 places à son ouverture, au printemps 2020. Les travaux comprennent la rénovation et la réutilisation en hall d’accueil de l’ancienne gare routière, réalisation de Valentin Vigneron dans les années 1960. Un site classé. Outre la scène principale et le hall, l’ensemble comptera aussi une brasserie et une salle dite de “tous les possibles” : cube transformable en une seconde scène, un lieu d’exposition et de conférence, voire en boîte de nuit. L’ensemble de ces lieux, notamment le hall d’accueil, la salle transformable et la brasserie Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 292 jours

Photographies de la rénovation de la chenille du Centre Pompidou

Installée en 1976 à l’ouverture du Centre Pompidou, la succession d’escaliers mécaniques dénommée « chenille » qui permet au public d’accéder aux niveaux supérieurs du bâtiment présente aujourd’hui d’importants signes de vieillissement. La chenille s’étend sur 11 trames de 12,80 m ; elle grimpe le long de la façade sur six niveaux et comprend 10 escalators. L’objectif des travaux lancés en 2018 est de réaliser une rénovation conforme à l’existant, tout en adaptant...
Il y a 4 ans et 292 jours

Les nouvelles règles européennes sur le travail détaché entrent en application

Cette directive, que les États membres avaient deux ans pour transposer et qui s'applique à partir du 30 juillet, consacre le principe "A travail égal, rémunération égale sur un même lieu de travail".Un salarié détaché par une entreprise établie à l'étranger bénéficiera désormais de la même rémunération qu'un salarié employé par une entreprise établie localement réalisant les mêmes tâches. Jusque-là il était simplement soumis au respect du salaire minimum.Le texte prévoit aussi l'application des conventions collectives du pays d'accueil aux travailleurs détachés, qui pourront ainsi bénéficier des mêmes primes ou encore des mêmes remboursements que les nationaux.Les cotisations sociales du travailleur détaché demeurent cependant celles de son pays d'origine, ce qui fait le coût du travail d'un détaché peut rester inférieur à celui d'un national.La directive limite le détachement à 12 mois, pouvant être prolongé de six mois. Au-delà, un statut de détachement de longue durée est créé, à partir duquel le salarié bénéficiera de tous les droits applicables aux salariés nationaux, à l'exception des dispositions relatives à la conclusion et à la rupture du contrat de travail.Le texte ne concerne pas le transport routier. Celui-ci a fait l'objet d'une législation à part qui vient d'être définitivement adoptée par le Parlement européen début juillet.La directive permet également de nouvelles sanctions contre les fraudes et une transparence renforcée pour le détachement en chaîne, quand une entreprise étrangère de travail temporaire met des intérimaires à la disposition d'une autre entreprise étrangère qui effectue une prestation en France."C'est une étape importante", s'est réjouie la ministre du Travail Elisabeth Borne dans un communiqué.La ministre veut aller plus loin car "depuis 10 ans, le recours au travail détaché en France a plus que doublé. La nature dérogatoire et temporaire de ce dispositif a, dans certains cas, été dévoyée et certains travailleurs sont accueillis dans des conditions qui ne sont pas acceptables", souligne-t-elle.Une concertation doit s'ouvrir avec les partenaires sociaux à la rentrée pour élaborer d'ici la fin de l'année des plans de réduction de recours au travail détaché dans les secteurs les plus concernés (BTP, agriculture...).
Il y a 4 ans et 292 jours

Les nouvelles règles de l'activité partielle de longue durée entre en vigueur vendredi

Ce décret était très attendu des entreprises intéressées par ce dispositif, principalement pour l'instant dans l'aéronautique mais pas uniquement. Le motoriste Safran a déjà négocié un accord avec ses syndicats jusqu'à la fin 2022 afin d'éviter tout licenciement en France. D'autres équipementiers et Airbus envisagent de le faire.Cette mesure, intitulée dans le décret "dispositif spécifique d'activité partielle en cas de réduction d'activité durable", est née d'une idée des partenaires sociaux de la métallurgie. Elle vise à inciter les entreprises durablement impactées par la crise "à garder leurs salariés et leurs compétences pour être prêtes quand l'activité repartira", selon la ministre du Travail Elisabeth Borne.Dans ce but, le dispositif autorise une réduction du temps de travail jusqu'à un maximum de 40% d'heures chômées, compensées par l'État plus fortement que le chômage partiel de base, sous condition d'un accord collectif au niveau de l'établissement, l'entreprise, le groupe ou la branche.Sur la base "d'un diagnostic sur la situation économique", cet accord, d'une durée de 6 à 24 mois, doit "définir les activités et les salariés concernés, la réduction maximale de l'horaire de travail et les engagements en matière d'emploi et de formation professionnelle".Sur les heures chômées, le salarié touchera 84% de son salaire net (ou 70% de son brut), calculé à partir d'une rémunération maximale de 4,5 Smic. Comme celles-ci sont au maximum de 40% de son temps de travail, cela lui garantit 93% de son salaire net.De son côté, l'entreprise recevra une compensation de 85% de l'indemnité versée au salarié, (soit 15% de reste à charge) pour un accord conclu avant le 1er octobre et 80% pour un accord conclu après.La réduction de l'horaire de travail "s'apprécie pour chaque salarié concerné sur la durée d'application du dispositif". Elle ne peut être supérieure à 40% de l'horaire légal mais une dérogation à 50% est possible dans des cas exceptionnels avec accord de l'administration.L'accord "peut" aussi prévoir "les conditions" dans lesquelles les dirigeants et actionnaires "fournissent des efforts proportionnés à ceux demandés aux salariés".Les frais de formation pendant la période pourront être pris en charge à hauteur de 80% par l'Etat et le compte personnel de formation des salariés pourra aussi être mobilisé.
Il y a 4 ans et 292 jours

De l’argent frais pour le groupe Rabot Dutilleul

On peut fêter ses cent ans et avoir besoin d’argent. C’est le cas du groupe Rabot Dutilleul qui, malgré son âge, a entrepris une mutation profonde visant à s’adapter aux changements en cours dans le monde de la construction. Pour trouver les fonds nécessaires, l’entreprise nordiste va céder sa filiale de promotion Nacarat. Le groupe Procivis Nord, autre acteur immobilier régional, va en devenir l’actionnaire majoritaire en septembre ont annoncé les entreprises le 28 juillet 2020.
Il y a 4 ans et 292 jours

L'État débloque 600 millions d'euros pour les régions qui saluent "une révolution"

"On va faire taire toutes nos guéguerres, toutes nos différences légitimes (...) pour montrer que nous savons agir dans le même sens", a plaidé le Premier ministre avant de parapher cet accord avec le président de l'Association des régions de France, Renaud Muselier."Nous sommes très satisfaits de ce qu'on vient de signer", a abondé M. Muselier, rendant un hommage appuyé à M. Castex avec qui il a "en 15 jours débloqué une situation très complexe que nous n'avions pas réussi à débloquer en trois ans".Les collectivités ont nourri des relations sur courant alternatif avec l'ancien Premier ministre Edouard Philippe et avec Emmanuel Macron. Fin mai, les régions avaient claqué la porte d'une réunion avec le gouvernement, s'estimant oubliées d'un plan d'urgence de 4,5 milliards d'euros principalement fléché vers les communes et départements.Et Emmanuel Macron avait voulu en juin, selon des présidents de région, conditionner l'aide de l'Etat à un report des élections régionales, scénario finalement balayé par Jean Castex mi-juillet.Alors que M. Castex multiplie les gestes et déclarations de bonnes intentions envers les territoires depuis sa prise de fonctions, la réconciliation avec les régions vient conforter sa stratégie.Un chèque de 600 millions d'euros en crédits d'investissement leur est donc apporté, sachant que les régions, dotées d'importantes compétences en matière d'emploi, formation, transport ou encore économie, devront être des relais précieux dans la mise en oeuvre du futur plan de relance attendu fin août."Est ce que c'est assez ? C'est jamais assez", a souri M. Muselier, qui évalue à 1,2 milliard d'euros l'impact de la crise sur les finances des régions. Mais "c'est une très bonne décision", a-t-il encore salué.Autre signe d'apaisement, la confirmation de la compensation totale de la baisse des impôts de production, décidée par l'exécutif pour stimuler la compétitivité des entreprises. Cette coupe claire de 20 milliards d'euros vient directement toucher les régions, qui en percevaient 7 à 10 milliards, notamment via la cotisation sur la valeur ajoutée (CVAE)."Il n'était pas question que ça vienne aggraver les difficultés financières des régions, donc nous prenons nos responsabilités", a déclaré Jean Castex.Les régions se verront donc affecter une fraction équivalente de la TVA, dont le rythme d'évolution suivra le dynamisme au niveau national.En échange, les régions s'engageront à investir massivement dans la relance, jusqu'à 20 milliards d'euros. Cela s'effectuera dans le cadre des contrats de plan Etat-Région 2021-2027 qui seront discutés entre septembre et décembre et dont les axes forts tourneront autour de la transition écologique, la recherche, la cohésion sociale, la santé, la formation professionnelle ou encore la modernisation des infrastuctures de transport.Il est aussi demandé aux régions d'alimenter un "fonds de sauvegarde" mobilisable en cas de nouvelle crise et d'améliorer les mécanismes de péréquation entre régions.Enfin, régions et Etat sont convenus de collaborer étroitement dans la mise en oeuvre du plan de relance, notamment dans les secteurs de l'automobile et l'aéronautique et dans la mobilisation des fonds européens.
Il y a 4 ans et 292 jours

Cinov et Syntec-Ingénierie s’élèvent contre le décret du 18 juin

Dans un communiqué commun, Cinov et Syntec-Ingénierie appellent les pouvoirs publics à supprimer une disposition du nouveau décret du 18 juin dernier. [©Cinov] Dans un communiqué commun, Cinov et Syntec-Ingénierie appellent les pouvoirs publics à supprimer une disposition du nouveau décret du 18 juin dernier. En effet, ce dernier fragilise un peu plus l’ingénierie privée par rapport au secteur public. Et met en danger les emplois dans les territoires. Ce décret permet « l’extension à la maîtrise d’œuvre du champ de l’assistance technique des départements ». Alors que la maîtrise d’œuvre demeurait jusqu’ici l’apanage de l’ingénierie privée, selon les dispositions du décret n° 2019-580 du 14 juin 2019. Qui excluait ce type de missions de l’assistance technique fournie par les départements. Ce décret vient supprimer cette disposition et ainsi perturber un secteur touché par la crise économique et la pandémie du Covid-19. Fragilisé par la crise sanitaire… Le secteur de l’ingénierie privée représente un maillon dynamique et essentiel de l’économie des territoires. Ce sont ainsi 16 000 entreprises employant 265 000 collaborateurs. Elles fournissent des services fondamentaux et innovants aux collectivités territoriales dans de nombreux domaines. Composées en grande partie de PME et TPE, ces entreprises sont à la pointe de projet innovants pour les territoires. La crise du Covid-19 a placé ces acteurs en grave difficulté. Dépendantes de la commande publique, les entreprises d’ingénierie ont subi des baisses d’activité de 30 à 40 %1. La conséquence du gel des contrats en cours, de la suspension des appels d’offres et du report des élections municipales. Malgré la reprise d’une partie de l’activité, elles resteront dans une situation financière précaire au second semestre 2020. … Et par une concurrence déloyale Depuis plusieurs années, l’ingénierie publique et para-publique étend son périmètre. Et ne cesse de conquérir des parts de marché au détriment de l’ingénierie privée. On estime que les TPE et PME ont perdu environ 7 Md€ de chiffre d’affaires et plus de 10 000 emplois entre 2011 et 20172. Et cela impacte la croissance et la création d’emplois dans les territoires. L’ingénierie privée de proximité est en effet un levier de croissance important pour de nombreux secteurs d’activité économique. Et un élément déterminant de l’attractivité économique des territoires. Décret du 18 juin : le cœur de l’ingénierie attaqué « Ce décret imposé sans aucune concertation avec les acteurs entraînera de façon certaine une baisse de la commande publique pour le secteur de l’ingénierie privée. Une telle politique met en danger l’activité d’entreprises locales et la préservation d’emplois hautement qualifiés dans les territoires. Sans garantie aucune que l’ingénierie publique y supplée demain, faute de moyens et d’expertises. C’est l’avenir de l’ingénierie privée dans les territoires, qui est en jeu. Donc des pans entiers de l’économie qui sont fragilisés en plein contexte de crise. » Alors que l’activité des bureaux d’études est déjà fragilisée par les conséquences de la crise du Covid-19, Syntec-Ingénierie et la Cinov-Ingénierie en appellent ainsi aux pouvoirs publics. Les deux structures se demandent pourquoi ce texte a été inscrit dans le plan de relance d’Emmanuel Macron. D’autant qu’il risque  de mettre en péril l’économie existante. « Pourquoi décider de fermer des parts de marchés aux bureaux d’études d’ingénierie privée ? », lancent-ils. 1Source : enquête Cinov et Syntec-Ingénierie.2Source : étude de l’Opiiec sur les conséquences en termes d’emploi et de formation de la baisse des investissements sur l’activité d’ingénierie de la construction, 2017.
Il y a 4 ans et 292 jours

Les Génies de la construction récompensent 8 lauréats

L’édition 2020 des Génies de la construction s’est adaptée au contexte de crise sanitaire liée au Covid-19, par la mise en place d’un dispositif exceptionnel. [©DR] Le concours “Les Génies de la Construction !” est organisé en partenariat avec le ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse. Ainsi que les diverses fédérations, organismes et associations du BTP (notamment l’Ecole française du béton). Il est ouvert aux élèves et étudiants des collèges, lycées et établissements du supérieur. Ce concours contribue à une meilleure orientation scolaire et professionnelle des jeunes. Ainsi qu’à donner du sens et concrétiser les enseignements, à faciliter le travail transversal et collectif d’une équipe d’élèves et d’étudiants. Et enfin, à inscrire la transition numérique dans les apprentissages et l’éducation à l’avant-poste de la transition écologique. Pour sa 16e édition, 8 projets lauréats ont été retenus, issus de productions répondant aux problématiques d’un territoire intelligent, durable et connecté Sous le signe du Covid-19 Mais les choses ne se sont pas passées comme les autres années, Covid-19 oblige. En effet, cette édition 2020 s’est adaptée au contexte de crise sanitaire, par la mise en place d’un dispositif exceptionnel. La date de dépôt des projets a ainsi été reportée, pour que les jeunes puissent finaliser leurs projets initiés depuis le mois de septembre 2019. Afin de remplacer l’habituelle soutenance des projets devant un jury, les équipes ont été invitées à réaliser une vidéo de présentation de leur projet. Les dossiers ont été déposés sur une plate-forme dédiée. Afin que les jurys des différentes catégories du concours puissent évaluer les travaux à distance. Et sélectionner parmi les projets les lauréats du concours. 171 équipes étaient initialement engagées dans le concours. 29 d’entre elles ont pu mener leur projet à terme, malgré le contexte de la crise sanitaire. Palmarès 2020 des Génies de la Construction ! Catégorie « Collège » (élèves du cycle 4)– 1er prix : collège Pierre Loti (Rochefort – académie de Poitiers) Projet “Les digues fractales” – 2e prix : collège Pierre Hyacinthe Cazeaux (Hauts-de-Brienne – académie de Besançon) Projet “La friche en herbe– 3e prix : collège Claude Bernard (Le Havre – académie de Rouen) Projet “Le campus maritime”Prix “Pro” : collège Les Fontanilles (Castelnaudary – académie de Montpellier) Projet “Reconstruction du collège” Catégorie “Sup” (étudiants de l’enseignement supérieur)– 1er  prix (ex æquo) : IUT de Chambéry (académie de Grenoble) Projet “Rénovation du four à pain des Gros Louis d’en Haut” – 1er prix (ex æquo) : université de Cergy-Pontoise (académie de Versailles) Projet “Construction de la passerelle Marianne” – 3e prix : Arts et Métiers – Campus d’Angers (académie de Nantes) Projet “SimCities Durables” – Mention spéciale du jury “Vidéo coup de cœur” : Esitc Caen (académie de Caen) Projet “Concrete & Scraps”.
Il y a 4 ans et 292 jours

Erosion côtière: le sénat vote l'indemnisation des propriétaires du "Signal"

URBANISME. Le Sénat a voté, fin juillet avec l'approbation du Gouvernement, les modalités d'une indemnisation des propriétaires du "Signal", cet immeuble de Soulac-sur-Mer (Gironde) devenu un symbole de l'érosion côtière.
Il y a 4 ans et 292 jours

La passation des marchés publics de travaux simplifiée pour un an

Le gouvernement a décidé de relever temporairement le seuil de dispense de procédure pour les marchés publics de travaux afin d'accélérer la relance de l'économie.
Il y a 4 ans et 292 jours

La Fondation du patrimoine ouvre son label aux villes de 20.000 habitants

Il était jusqu'à présent réservé aux communes rurales de moins de 2.000 habitants et aux secteurs patrimoniaux remarquables. Réservé à l'origine aux seuls immeubles bâtis, il est également élargi aux parcs et jardins.Ce label constitue une reconnaissance par la Fondation du patrimoine de la qualité patrimoniale d'immeubles non-protégés par L’État au titre des monuments historiques. Il permet à leurs propriétaires, sous conditions, de déduire de leurs impôts tout ou partie des travaux réalisés de l'impôt sur le revenu.Depuis sa création, la Fondation du patrimoine a délivré plus de 21.000 labels. Cet outil permet de soutenir la restauration, faite dans les règles de l'art, de nombreux éléments du patrimoine rural (fermes, moulins, granges, demeures historiques, etc.) et participe aux actions de redynamisation économique des territoires. De nombreuses communes en étaient néanmoins exclues. Désormais, en s'appliquant aussi aux centres-bourgs, notamment dans le cadre de programmes de rénovation et d'embellissement, il servira à lutter contre leur dévitalisation et contre l'étalement urbain source de raréfaction des espaces agricoles et naturels. Outre les propriétaires éligibles, ce sont de nombreuses petites et moyennes entreprises du secteur de la restauration et de l'artisanat qui bénéficieront de cette mesure de relance économique. Grâce au soutien du Gouvernement et des parlementaires, l'action de la Fondation du patrimoine en faveur du patrimoine culturel contribue à la relance économique par la culture.L'obtention du label ouvre droit à un régime fiscal calqué sur celui des monuments historiques et peut rendre possible l'ouverture d'une campagne de dons sur un bien privé. Attribué pour 5 ans, le label permet aux propriétaires privés d'un immeuble non protégé, visible depuis la voie publique ou visitable, de déduire 50 à 100 % de leurs travaux de couverture et de façade de leur revenu imposable, selon la subvention accordée par la Fondation du patrimoine. Cette aide fiscale est octroyée afin de leur permettre de réaliser des travaux de restauration de qualité, qui contribuent à préserver l'authenticité de notre patrimoine local.Les délégations régionales de la Fondation du patrimoine, dans le cadre d'un travail conjoint avec les architectes des Bâtiments de France, veillent à la sélection des projets de restauration et effectuent un contrôle de la conformité à la fin des travaux. Elles garantissent ainsi la crédibilité du label accordé et le bien-fondé de l'aide publique consentie. La Fondation du patrimoine a conclu des partenariats avec de nombreuses communes, intercommunalités, départements et régions qui soutiennent l'attribution de ce label afin de préserver le patrimoine, l'emploi et l'attractivité.La Fondation du patrimoine tient à remercier les parlementaires de la commission de la Culture du Sénat, notamment Mme Dominique Verien, sénatrice de l'Yonne, qui avaient initialement proposé cette mesure au sein d'une proposition de loi, aujourd'hui reprise dans la loi de finances rectificative, ainsi que le ministère de la Culture pour son soutien.
Il y a 4 ans et 292 jours

Haut-Rhin : Des génies imprimés dans le béton

Les génies des sciences seront imprimés sur les bétons de la résidence Trianon, à Saint-Louis. [©Trianon Résidence] Sur la partie française de Saint-Louis, sise sur le territoire de la métropole tri-nationale de Bâle, Trianon Résidences fait sortir de terre un complexe de 141 logements en sept résidences. « Il y a trois ans, nous avions construit une résidence avec des façades dépolluantes sur la commune de Saint-Louis, explique Cédric Simonin, Pdg de Trianon Résidences. La municipalité était très contente du résultat. Elle nous a donc recontactés pour ce nouvel espace, sur un terrain lui appartenant. » L’idée proposée est une éco-résidence avec deux points d’innovation : des façades en béton imprimé et des bornes d’éco-mobilité développées avec Renault. « J’ai rencontré Fabrice Davenne, directeur de Daven Design, qui m’a parlé de sa technique d’impression de motifs sur des façades en béton. Cette résidence était l’occasion rêvée de mettre en pratique cette technique. » Sept façades ont donc été dédiées à sept grands inventeurs, qui seront représentés par leurs portraits ou leurs inventions. « Les inventeurs seront choisis via un grand concours, en respectant la parité et l’humanité de ces génies. Albert Einstein et Nikola Tesla devraient en faire partie. Pour le reste, le choix est vaste… » Ces façades seront complétées par une œuvre d’artiste, dans les halls d’entrée, en lien avec les portraits. Ainsi que par des zones numériques pédagogiques pour découvrir la vie et les créations de ces inventeurs. « Dans l’idéal, les parcs des résidences deviendront des lieux d’apprentissage pour les écoles locales. » Début des travaux cet été, pour une livraison en 2021.
Il y a 4 ans et 292 jours

Bruno Jacquemin, délégué général de A3M

A partir du 1er septembre 2020, Bruno Jacquemin rejoindra l’Alliance des minerais, minéraux et métaux (A3M), en tant que délégué général. [©A3M] A partir du 1er septembre 2020, Bruno Jacquemin rejoindra l’Alliance des minerais, minéraux et métaux (A3M), en tant que délégué général. « En venant chez A3M, Bruno Jacquemin va mettre ses compétences et son énergie au service de toutes les entreprises de l’Alliance. Et plus largement de la filière mines et métallurgie, confrontées à une accélération des transformations stratégiques. Ceci, dans le cadre de la relance de l’économie française post-Covid19 », indique Stéphane Delpeyroux, président de l’Alliance. Et Bruno Jacquemin d’indiquer : « J’aborde ma mission chez A3M avec gravité et enthousiasme : gravité parce que la période est particulièrement difficile pour les entreprises de la filière mines/métallurgie dans le context post Covid-19. Et enthousiasme parce qu’il y a une réelle prise de conscience en ce moment de l’impact stratégique de la filière pour fournir les industries nationales de manière sécurisée. Et aussi parce qu’A3M a une gouvernance renouvelée, jeune, dynamique et exigeant. Avec une équipe qui me semble très motivée pour jouer parfaitement son rôle auprès de nos membres ». Son parcours Ingénieur civil des Mines, Bruno Jacquemin (54 ans) est un spécialiste des relations entre les entreprises, les pouvoirs publics et les territoires. Après une expérience entrepreneuriale, il a été le collaborateur aux affaires économiques pendant 6 ans d’André Rossinot (maire de Nancy et ministre de la fonction publique). Notamment, comme chef de cabinet à la mairie de Nancy. Puis, il a rejoint le réseau des Chambres de commerce et d’industrie pendant une quinzaine d’années, dirigeant la CCI Alsace. Et, celle du Loiret. Il a ensuite fondé son cabinet de coaching et de conseil dédié à l’accompagnement de dirigeants face à des situations d’innovation de rupture. Et ce, en lien avec des fonds d’investissement et des accélérateurs de start-up.
Il y a 4 ans et 292 jours

Coup d'œil sur Chapelle international #3: mixité juxtaposée, par Ignacio Prego

Le Grand Prix de l’urbanisme 2020 est décerné à la paysagiste Jacqueline Osty. La distinction, attribuée par le ministère de la Transition écologique aux professionnels de l'aménagement du territoire pour leur participation à faire progresser la fabrique urbaine, lui sera officiellement remise à la fin de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 292 jours

Sécurité des cathédrales : la question des installations électriques à étudier

La sécurité des cathédrales n'est pas qu'"une question d'argent", elle "est complexe" en raison de leurs dimensions et leur accès, a jugé la ministre de la Culture Roselyne Bachelot.
Il y a 4 ans et 292 jours

Le renouvelable dont le biogaz, des énergies à développer avec les agriculteurs

Le secteur agricole a un rôle important à jouer dans la production d'énergies renouvelables, souligne un rapport qui appelle à une meilleure (in)formation des agriculteurs et à plus de soutien public.
Il y a 4 ans et 292 jours

Jacqueline Osty, la paysagiste faiseuse de ville, lauréate du Grand prix de l'urbanisme 2020

Le Grand Prix de l’urbanisme 2020 est décerné à la paysagiste Jacqueline Osty. La distinction, attribuée par le ministère de la Transition écologique aux professionnels de l'aménagement du territoire pour leur participation à faire progresser la fabrique urbaine, lui sera officiellement remise à la fin de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 293 jours

Le Royaume-Uni va consacrer 705 millions de livres à ses frontières en vue du Brexit

Dans une tribune publiée dans le Sunday Telegraph, le ministre d'État Michael Gove a assuré que cette somme permettrait de s'assurer que les "nouvelles frontières" du pays soient prêtes dès que le Royaume-Uni "reprendra le contrôle".Interrogé sur Sky News dimanche matin, il a garanti que la frontière serait prête au 1er janvier 2021, après la fin de la période de transition instaurée pour permettre aux deux anciens partenaires de négocier leur relation après le Brexit, entré officiellement en vigueur le 31 janvier dernier.Cet investissement, qui inclut dépenses de personnel - recrutement d'environ 500 agents de la police aux frontières - et d'infrastructures, devrait faire de cette frontière "la plus efficace du monde d'ici à 2025", a ajouté M. Gove dans sa tribune.Que Londres et Bruxelles trouvent un accord sur leur relation post-Brexit ou non, "nous serons en dehors du marché commun et de l'union douanière quoi qu'il arrive", a souligné Michael Gove sur la BBC.Un nouvelle session de négociations doit se tenir la semaine du 20 juillet à Londres avec l'Union européenne.Sur la BBC, Michael Gove a évoqué "des progrès" malgré les "divisions" qui demeurent, expliquant qu'il se voulait "optimiste" sans être "enthousiaste à l'excès".Il s'est également efforcé de se montrer rassurant après la fuite cette semaine d'un mail dans lequel la ministre du Commerce international Liz Truss avertit que le plan adopté par le gouvernement risque de favoriser la contrebande et de porter préjudice au pays sur la scène internationale.Dans cette lettre adressée à M. Gove et au ministre des Finances Rishi Sunak, révélée par le site Business Insider, elle souligne que l'approche graduelle du gouvernement britannique, où les contrôles ne seraient pas mis en oeuvre immédiatement sur tous les bien importés depuis l'UE, serait "vulnérable" à des poursuites devant l'Organisation mondiale du commerce."Cela fait partie du processus naturel au sein d'un gouvernement qu'un ministre mette à l'épreuve les propositions" d'un autre, a estimé Michael Gove.Le gouvernement va également lancer une vaste campagne d'information à destination des entreprises et des particuliers et "saisir les opportunités" qui selon le gouvernement émergeront grâce à la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, votée lors du référendum de juin 2016.
Il y a 4 ans et 293 jours

L'ampleur du trou d'air de l'économie française au printemps sera dévoilée vendredi

Dans sa dernière prévision à la mi-juin, l'Institut national des statistiques évaluait le plongeon à 17% par rapport au trimestre précédent, tandis que la Banque de France l'a estimé début juillet à 14% sur la même période et que le consensus des analystes de l'agence Factset est de 15,3%.La raison principale de cet effondrement: six semaines de confinement en avril et mai, après deux en mars qui avaient déjà fait chuter le PIB de 5,3% au premier trimestre.Aujourd'hui encore, "c'est dur de jauger quelle sera exactement la perte d'activité parce qu'on est dans un climat très instable", explique Arno Fontaine, économiste France chez Natixis, qui prévoit un plongeon compris entre 15% et 16%.Quoi qu'il en soit, le chiffre de l'Insee restera dans ses annales comme un record absolu depuis que l'Institut a commencé à compiler cet indicateur de référence en 1949.Les deux plus fortes baisses trimestrielles du PIB avaient jusque-là été enregistrées au premier trimestre 2020 et au deuxième trimestre 1968, affecté à l'époque par la grève générale en mai, mais qui avait été suivi par un rebond de +8% à l'été.La remontée devrait cette fois être d'autant plus vigoureuse que la dégringolade fut abyssale: l'Insee prévoit +19% pour le troisième trimestre, Natixis +16% et la Banque de France +14%.Plusieurs indicateurs publiés la semaine dernière confortent l'idée d'une reprise dynamique.L'activité du secteur privé s'est ainsi nettement redressée en juillet, en particulier dans les services, selon un indicateur provisoire publié par le cabinet Markit.D'après le cabinet de conseil BCG, la France connaîtrait même la "reprise la plus forte d'Europe".Côté emplois, "le plus dur est devant nous"L'Insee a aussi fait état d'un regain de confiance en juillet des chefs d'entreprise, qui jugent bonnes les perspectives d'activité dans la plupart des secteurs."En mai et juin, c'est la consommation qui a fait rebondir l'activité, l'investissement pas du tout", relève de son côté Philippe Waechter, directeur de la recherche chez Ostrum Asset Management."Il y a une composante qui rebondit fortement, c'est la consommation des ménages", relève aussi M. Fontaine.Et pourtant, le moral de ces mêmes ménages, qui avait commencé à se redresser en juin suite au déconfinement, a de nouveau fléchi en juillet, a rapporté mercredi l'Insee.Et si la consommation a dans l'ensemble bien repris, le début des soldes a été "peu dynamique", a relevé la fédération Procos du commerce spécialisé.En conséquence, la part des Français qui estime qu'il est opportun d'épargner augmente pour le troisième mois consécutif, d'après l'Insee, et alors que la mobilisation des 100 milliards d'euros d'épargne supplémentaires prévus cette année jouera un rôle décisif dans la reprise.Côté entreprises, "il y a plus de difficultés bien sûr pour l'investissement", car "elles ont acquis énormément de dette pendant la période de confinement", note M. Fontaine."Les entreprises ont des niveaux d'activité qui sont très faibles et l'incertitude étant très forte, elles n'ont aucune envie d'investir", constate aussi M. Waechter."C'est ça l'élément-clé des prochains mois, et associé à cela, leur comportement sur l'emploi", souligne cet économiste."Je continue à estimer que le plus dur est devant nous" en matière d'emplois et de faillites, a déclaré pour sa part mardi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire devant la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale.Aussi le gouvernement se refuse-t-il pour l'instant à revoir sa prévision de recul du PIB pour l'année 2020, qu'il chiffre à 11%, alors que l'Insee ne s'attend qu'à 9%.La situation sur le front de l'emploi s'annonce notamment compliquée avec l'arrivée de 700.000 jeunes sur le marché du travail à la rentrée et un risque de multiplications de faillites et de plans sociaux avec l'arrêt d'un certain de dispositifs d'aides, dont le chômage partiel pour la plupart des secteurs.
Il y a 4 ans et 293 jours

12 monuments historiques de Nouvelle-Aquitaine en bande dessinée

Dans le cadre de la priorité gouvernementale donnée à l’éducation artistique et culturelle, la DRAC Nouvelle-Aquitaine a conçu, en partenariat avec la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image, un programme de valorisation du patrimoine historique protégé dédié aux jeunes. La DRAC Nouvelle-Aquitaine avait choisi 12 monuments historiques, à raison d’un par département, représentatifs de la diversité du patrimoine protégé : une église monolithe, un bateau des années 1980, un canal aux moines, une tour médiévale, une grotte magdalénienne, une bourse du travail Art déco, un prieuré sur les chemins de Compostelle, un château Renaissance, une maison royale, des roches gravées, un château fort, un four à flammes. La Cité internationale de la bande dessinée et de l’image à Angoulême, à l’issue d’un appel à candidatures, a repéré 12 auteurs de bande dessinée pour un travail de création avec des jeunes d’école primaire, de collège, en centre social, en institut médico-éducatif, et en centre éducatif fermé. Les auteurs, Pierre Marty, Nicolas Gazeau, Pierre Maurel, Grégory Jarry, Troub’s, François Ayroles, Amélie Laval, Thomas Gosselin, Thierry Gioux, Otto T., Anne-Perrine Couët et Lenon ont animé des ateliers de pratique artistique d’une quinzaine d’heures, chacun avec un groupe de jeunes, à l’automne 2018. En 2019 l’exposition a été montrée dans plusieurs villes de la région, elle sera à nouveau présentée dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine les 19 et 20 septembre 2020. https://fr.calameo.com/books/0000232474b126e580b42  
Il y a 4 ans et 293 jours

La construction de logements redémarre fort en juin, mais la baisse des permis de construire inquiète

Au deuxième trimestre, le nombre de logements mis en chantier s'est établi à 74.700, soit un recul de 24,2% par rapport à un an plus tôt, selon le ministère de la Transition écologique, dont dépend le Logement.Ce chiffre est particulièrement élevé, ce qui est logique puisque le second trimestre couvre largement la période de strict confinement mis en place entre mi-mars et début mai contre le Covid-19. De nombreux chantiers ont été contraints à l'arrêt.Mais il faut mettre cet indicateur en regard d'un précédent chiffre, publié voici un mois, sur la période comprise entre mars et mai. Celui-là témoignait d'un effondrement de près de moitié des mises en chantier, toujours sur un an.Cela signifie donc que la construction de logements est très nettement repartie en juin, alors que le gouvernement avait fait de la reprise des chantiers un symbole du rebond économique.En revanche, le tableau est moins favorable pour les permis de construire. Leur évolution est cruciale, car elle donne une première idée du niveau à venir de la construction de logements.Or, au second trimestre, leur nombre a chuté de 43,6% - toujours par rapport à la même époque de 2019 -, un recul équivalent à celui annoncé pour la période comprise entre mars et mai.Au-delà du confinement, qui a gelé pendant plusieurs semaines l'examen par les autorités locales des demandes de construction, d'autres facteurs ont, selon les professionnels, ralenti les procédures.Ils citent notamment la timidité des élus locaux à l'approche des municipales, une situation classique mais prolongée par le report du second tour à fin juin, trois mois après la date initialement prévue.
Il y a 4 ans et 293 jours

Qui, de Marcel Rogemont ou d'Emmanuelle Cosse, prendra la tête de l'USH ?

LOGEMENT SOCIAL. L'ancienne ministre du Logement Emmanuelle Cosse aura face à elle le conseiller départemental d'Ille-et-Vilaine Marcel Rogemont, qui préside la Fédération des OPH dans la course à la présidence de l'Union sociale pour l'Habitat.
Il y a 4 ans et 293 jours

Des propositions pour une relance par les territoires

COLLECTIVITES LOCALES. La délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation de l'Assemblée nationale a dévoilé 13 recommandations dans le but d'intégrer pleinement les territoires dans le plan de relance, et en faciliter l'application au plus près du terrain et des acteurs locaux. Des propositions dans lesquelles le secteur du BTP pourrait par ailleurs trouver quelques réponses à la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 293 jours

Haut-Rhin : Des parements signés GCP Applied Technologies

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Les bétons de l’hôpital Emile Muller de Mulhouse bénéficient d’un traitement matricé. [©GCP Applied Technologies] L’hôpital Emile Muller de Mulhouse, l’un des centres hospitaliers les plus importants de la région, a fait sa mue fin 2018. Ceci, pour accueillir un tout nouveau pôle Femme-Mère-Enfant. Un centre qui compte désormais onze salles d’accouchement de niveau 3, avec un service de réanimation et un service de soins intensifs en néonatologie. Mais aussi cinq salles d’échographie et quatre blocs opératoires. D’un point de vue architectural, l’hôpital compte 2 000 m2 de façades en béton matricé. Des décors préfabriqués par BCS Préfabrication, à l’aide à la matrice Pieri Roche 90 ter de GCP Applied Technologies. « Nous avons fourni au préfabricant 67 m2 de cette matrice, qui est celle qui compte les reliefs les plus marqués chez nous, indique Florian Dorian, responsable commercial de la zone Grand-Est. Ce sont des matrices qui sont réutilisables une centaine de fois. » En complément, l’industriel a aussi livré 2 000 m2 de Pieri Protec HDL. « C’est un égalisateur de parement minéral mat, à base de résine acrylique et de ciment. Il a pour fonction de rendre homogènes les couleurs des parements, qui ont été préfabriquées sur une longue période, et dans des conditions météorologiques différentes. Car la couleur des parements n’était pas unie à la base. » D’habitude appliqué au rouleau, l’égalisateur a été, cette fois, mis en œuvre au pistolet par l’entreprise Sofater, spécialiste de l’utilisation de ce type de produits.
Il y a 4 ans et 293 jours

L'ingénierie privée demande au gouvernement la suppression d'une disposition destructrice d'emploi

La Fédération CINOV et Syntec-Ingénierie, les deux organisations professionnelles représentatives de l'ingénierie privée, ont sollicité un entretien auprès du gouvernement pour connaître les motivations d'une telle décision et demander sa suppression.Un secteur stratégique fragilisé par la crise sanitaire…Le secteur de l'ingénierie privée représente un maillon dynamique et essentiel de l'économie des territoires. Ce sont ainsi 16.000 entreprises employant 265.000 collaborateurs qui fournissent des services fondamentaux et innovants aux collectivités territoriales dans de nombreux domaines (infrastructure, bâtiment, eau, énergie, acoustique, ergonomie, mobilité...). Composées en grande partie de PME et TPE, ces entreprises sont à la pointe de projet innovants pour les territoires.La crise du COVID-19 a placé ces acteurs en grave difficulté. Fortement dépendantes de la commande publique, les entreprises d'ingénierie ont subi des baisses d'activité de 30 à 40% (sources : enquête CINOV et Syntec-Ingénierie*…), dues au gel des contrats en cours, à la suspension des appels d'offres et au report des élections municipales. Malgré la reprise d'une partie de l'activité, elles resteront dans une situation financière précaire au second semestre 2020.…et par une concurrence déloyale du secteur publicDepuis plusieurs années, l'ingénierie publique et parapublique étend son périmètre d'intervention et ne cesse de conquérir des parts de marché au détriment de l'ingénierie privée et en particulier des TPE-PME qui composent majoritairement la filière construction. On estime que celles-ci ont perdu environ 7 milliards d'euros de chiffre d'affaires et plus de 10.000 emplois entre 2011 et 2017 (source : étude de l'OPIIEC sur les conséquences en termes d'emploi et de formation de la baisse des investissements sur l'activité d'ingénierie de la construction, 2017) et cela impacte directement la croissance et la création d'emplois dans les territoires. L'ingénierie privée de proximité est en effet un levier de croissance important pour de nombreux secteurs d'activité économique et un élément déterminant de l'attractivité économique des territoires.Décret du 18 juin : le cœur de métier de l'ingénierie attaquéLe décret du 18 juin 2020 n°2020-751, relatif à l'assistance technique fournie par les départements à certaines communes et à leurs groupements, est venu fragiliser encore davantage les entreprises d'ingénierie privée car il ouvre les missions de maîtrise d'œuvre, autrefois réservées aux entreprises d'ingénierie, au secteur public. Ce décret imposé sans aucune concertation avec les acteurs entraînera de façon certaine une baisse de la commande publique pour le secteur de l'ingénierie privée. Une telle politique met en danger l'activité d'entreprises locales et la préservation d'emplois hautement qualifiés dans les territoires, sans garantie aucune que l'ingénierie publique y supplée demain, faute de moyens et d'expertises. C'est l'avenir de l'ingénierie privée dans les territoires qui est en jeu donc des pans entiers de l'économie qui sont fragilisés en plein contexte de crise.C'est pourquoi, la Fédération CINOV et Syntec-Ingénierie demandent à ce que soit rétablie dans les meilleurs délais la disposition suivante prévue dans le décret n°2019-580 du 14 juin 2019 – « l'assistance technique ne comprend pas les missions de maîtrise d'œuvre telles que définies à l'article R. 2431-1 du code de la commande publique ».« Alors que le gouvernement sollicite l'ingénierie privée pour construire le plan de relance de l'économie, il attaque parallèlement ce secteur si stratégique pour l'emploi et l'attractivité des territoires en accentuant encore davantage la concurrence avec le secteur public » - Frédéric Lafage, Président de la Fédération CINOV.« La crise qui frappe la France est sans précédent et nos entreprises sont profondément touchées. Plus que jamais, l'heure doit être à la collaboration. Ingénierie publique et privée sont complémentaires. Mais pour qu'elles travaillent en bonne intelligence, il est crucial que chacun reste sur ses missions et champs d'expertises : pré-AMO, suivi de missions… pour l'ingénierie publique d'un côté ; AMO, conception et maîtrise d'œuvre pour l'ingénierie privée de l'autre. Une nouvelle disposition du décret n°2019-580 du 14 juin 2019 vient briser cet équilibre et créer une distorsion de concurrence. Elle doit être purement et simplement supprimée. »« Cette fois, à travers la maîtrise d'œuvre, c'est le cœur même du métier qui est visé et cela ne peut être envisagé sous peine de voir disparaitre progressivement l'ingénierie privée dans les territoires et d'accroître considérablement la fracture territoriale. On rappellera que depuis maintenant 5 ans, CINOV et Syntec-Ingénierie demandent aux pouvoirs publics, sans succès, une concertation pour délimiter l'action de l'ingénierie publique et créer les complémentarités nécessaires entre ingénierie publique et privée. »- Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie
Il y a 4 ans et 293 jours

Exposition : Christo et Jeanne-Claude. Paris !

Depuis le 1er juillet, le Centre Pompidou dédie une grande rétrospective au couple formé par Christo Vladimiroff Javacheff (1935-2020) et Jeanne-Claude Denat de Guillebon (1935-2009), mettant à l’honneur les œuvres les plus emblématiques de leur période parisienne. L’occasion de (re)découvrir la carrière, la démarche et le processus de création de ce couple, dont le travail a marqué les esprits !  « Mes projets sont des œuvres de site. » Voilà comment Christo définissait ses projets monumentaux, des empaquetages temporaires de monuments, tels l’empaquetage du Pont-Neuf à Paris (1985) et celui du Reichstag à Berlin (1995), aux interventions du duo dans le paysage comme le rideau de nylon orange reliant deux massifs dans le Colorado (1972), les îles encerclées de tissu rose fuchsia dans la baie de Biscayne en Floride (1983) ou encore le mastaba de barils installé sur le lac Serpentine au Royaume-Uni (2018). Loin de se limiter à la dimension spectaculaire de l’œuvre de Christo, l’exposition intitulée « Christo et Jeanne-Claude. Paris ! » au Centre Pompidou présente les œuvres parisiennes du couple dans un parcours dense, mais fluide. La commissaire Sophie Duplaix a choisi d’aborder la diversité des pratiques de Christo et Jeanne-Claude, en mettant l’accent sur leur période parisienne (1958-1964) et le projet The Pont-Neuf Wrapped (1975-1985). Réunissant près de 80 œuvres, la première partie de l’exposition retrace les débuts de Christo et Jeanne-Claude, de leur rencontre en 1958 à leur installation à New York en 1964. La deuxième section, quant à elle, rassemble un ensemble de 337 pièces – des dessins, des collages, des études, des documents d’archives, des objets, des photographies, une maquette – pour présenter la genèse de l’empaquetage du Pont-Neuf à Paris. Cette exposition didactique, centrée sur les années parisiennes de Christo, parvient à rendre compte assez justement de l’évolution du travail de ce couple iconique, et permet au public de comprendre la complexité de leur art. Un préambule à l’ambitieux empaquetage de l'Arc de Triomphe, prévu pour septembre 2021. Christo et Jeanne-Claude. Paris !, du 1er juillet au 19 octobre 2020, au Centre Pompidou (75004).Pour en savoir plus, visitez le site du Centre Pompidou. Visuels : 1) The Pont-Neuf Wrapped, Paris, 1975-1985 © Christo 1985, Photo © Wolfgang Volz2) Mur provisoire de tonneaux métalliques – Le Rideau de fer, rue Visconti, Paris, 27 juin 1962 © Christo 1962, Photo © Jean-Dominique Lajoux3) Portrait empaqueté de Jeanne-Claude, 1963, polyéthylène, cordeau, huile sur toile signée Javacheff, montés sur panneau de bois peint, 78,5 × 51,1 × 5,1 cm, Collection Museum of Contemporary Art San Diego © Christo 1963, Photo © Christian Baur, Basel4) Purple Store Front, 1964, bois, Plexiglas, métal, peinture émaillée, tissu, papier, lumière électrique235 × 220 × 35,5 cm, Collection de l’artiste © Christo 1964, Photo © Wolfgang Volz5) The Pont-Neuf Wrapped, Paris, 1975-1985 © Christo 1985, Photo © Wolfgang Volz6) The Arc de Triumph (Project for Paris, Place de l'Etoile – Charles de Gaulle) Wrapped © Christo 2018, Photo © André GrossmannLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 293 jours

Tout savoir pour gérer les câbles dans ses bureaux

Le management d’une entreprise ne concerne pas seulement les aspects comme l’organisation du travail, le rendement des employés, la gestion des ressources humaines ou même les budgets. Gérer les câbles électriques ou les câbles réseau du système informatique est un autre volet important du travail d’un dirigeant. La mise en place d’une bonne gestion des câbles est une obligation qui incombe à tout type d’entreprise. Les principaux avantages de cette politique sont : la longévité, la bonne organisation du travail et une meilleure fonctionnalité des équipements électriques et électroniques. Les atouts d’une bonne gestion des câbles De nombreuses raisons peuvent justifier la mise en place d’un bon management des câbles. Premièrement, il y a la sécurité. Travailler dans des bureaux exige de vous une bonne organisation des câbles qui s’y trouvent afin d’assurer la sécurité des occupants. Certains de ces câbles appartiennent au réseau électrique. C’est donc eux qui assurent l’alimentation des ordinateurs, des imprimantes, des photocopieurs, des appareils de chauffage, des projecteurs LED… Deuxièmement, il y a le gain de temps. Repérer le bon câble en fouillant dans un amas de câbles peut parfois s’avérer une tâche très ardue. Le gain de temps s’obtient au travers d’une solution permettant d’identifier chaque câble. C’est la mission dévolue aux étiquettes ou étiqueteuses. Ces deux produits facilitent l’identification des câbles et vous aident à vite les retrouver derrière votre ordinateur. Troisièmement, il y a l’économie. Un bon rangement des câbles offre en plus de la sécurité, une optimisation de leur fonctionnement. Piétinements et entortillements contribuent à détruire les câbles, au fil du temps. Le Neat Patch vous permet d’éviter ces désagréments. L’installation de ces systèmes de rangement vous permet d’économiser. Quatrièmement, il y a la propreté. Les câbles entassés ou emmêlés prennent trop de poussière. Comme cette poussière peut être source d’ennuis sur le plan sanitaire, nous vous conseillons l’achat d’un organisateur de câbles, en guise de solution. Grâce à cet accessoire, vous pouvez enrouler plus facilement le reste des câbles. Autre avantage, cela facilite le nettoyage des espaces de travail. Cinquièmement, il y a le professionnalisme. Un bureau bien rangé laisse généralement une impression positive aux usagers, clients et partenaires. À contrario, un espace désorganisé et mal rangé jettera l’anathème sur son occupant. L’utilisation des chemins de câbles est la solution que nous vous conseillons pour mettre un terme à ce désordre et à cet encombrement. Le commutateur PoE, une alternative aux câbles L’insuffisance ou l’inexistence des câbles ou d’un port réseau est le lot d’un grand nombre d’entreprises. Cela peut constituer un véritable handicap si vous souhaitez faire une installation comme la mise en place d’un système de communication unifié communément appelé téléphonie IP. La solution dans ce cas consiste à faire recours à un commutateur PoE. Pour ce faire, la présence d’un réseau dans la pièce où le dispositif sera installé est nécessaire. Une difficulté subsiste cependant. Le commutateur a besoin d’une alimentation électrique pour son fonctionnement. Autrement dit, si le circuit électrique est défectueux ou si une panne survient, aucun des appareils installés ne pourra fonctionner. Quoi qu’il en soit, cette situation n’est pas sans solution. En effet, les experts conseillent l’utilisation d’un commutateur dont l’alimentation se fait via une entrée PoE. Ce dernier doit en outre être liée à un commutateur principal. Ce type de port permet de connecter un maximum de quatre appareils. En dehors de celle issue du commutateur principal, aucune autre source d’alimentation ne sera requise. Dès lors, un service continu et ininterrompu dépendra de la source qui alimente le commutateur principal. D’autres équipements comme les systèmes de vidéosurveillance et les points d’accès Wi-Fi peuvent être connectés de la même façon. Il ne faut donc pas croire que l’absence de câbles puisse empêcher d’une quelconque façon la mise en place des systèmes de communication unifiée, tant s’en faut. Comment faire pour réussir une bonne gestion des câbles dans vos bureaux ? Il est difficile d’aimer la façon dont les câbles jonchent le sol et s’emmêlent. C’est pourquoi beaucoup font l’effort de les cacher ou de les rendre discrets autant que possible. Il n’est pas aisé de trouver la formule parfaite en matière de management des câbles, mais en suivant quelques pistes, vous parviendrez à un bon résultat. Tout commence par le choix d’un mobilier de bureau adapté à vos besoins. Table, chaise et meubles de rangement doivent être choisis avec soin pour leur qualité. Optez pour des modèles modulables en fonction des espaces et qui prennent peu de place. Cela facilite la configuration de vos lieux de travail. Vous pouvez y associer des accessoires décoratifs qui vous faciliteront la vie. Beaucoup parmi eux sont vendus sur le commerce et permettent de ramener la joie et la gaieté dans vos bureaux. D’autres ont pour but de maintenir le bureau en parfait état de propreté. Vous pouvez recourir aux attaches adhésives. Bien que leur pose soit délicate, leur rôle est de maintenir les câbles en bon ordre. Quelques astuces pour dissimuler les câbles dans vos bureaux Utilisez une boîte en forme d’usine pour la déco de votre bureau et le rangement des câbles. Ce type d’accessoire peut être acheté sur le commerce ou fabriqué par soi-même selon le concept « Do it yourself ». Accessoire décoratif, la multiprise se place à l’intérieur de la boîte et seuls les câbles en ressortent pour alimenter les différents appareils : smartphone, ordinateur, imprimante, etc. Vous pouvez aussi cacher votre multiprise en vous servant d’un boîtier ayant une dimension adaptée à ce dernier. Ce type d’accessoire peut se poser sur le sol ou sur la table du bureau. Muni d’un couvercle, ce boîtier est une solution à la fois discrète et très design pour le rangement des câbles et des multiprises. Les boîtiers de ce type existent aussi en formule murale. Les caractéristiques du boîtier mural sont l’esthétique et le design. Ils servent à dissimuler les prises murales ou les multiprises. Si vous avez beaucoup de câbles, le recours à un cache-câbles flexible peut s’avérer utile pour dissimuler les câbles qui relient votre ordinateur à l’unité centrale.
Il y a 4 ans et 293 jours

Les Fondations Velux renouvellent leur soutien au développement de l'association Acta Vista jusqu'en 2025

LES FONDATIONS VELUX sont des fondations actionnaires à but non lucratif de droit danois. Villum Kann Rasmussen, le fondateur du Groupe VELUX (dont la vocation est d'améliorer le cadre de vie grâce à l'entrée de lumière naturelle et d'air frais par le toit), a créé ces fondations dans un double but : assurer l'indépendance et la pérennité de l'entreprise quel que soit le devenir des successions familiales, et restituer à la société une grande part des bénéfices de l'entreprise, afin de servir à des projets d'intérêt public. Depuis leur création en 1971, LES FONDATIONS VELUX ont apporté leur soutien à de nombreux projets au Danemark, en France et dans le monde, dans des domaines scientifiques, sociaux ou culturels, dont 178 millions d'euros en 2019. Un domaine d'intérêt particulier est celui d'améliorer la formation et l'enseignement professionnels des jeunes en Europe.L'association ACTA VISTA utilise le patrimoine historique comme levier d'inclusion et de pédagogie à destination de personnes éloignées de l'emploi. Plus de 500 personnes en difficulté entrent chaque année sur un parcours de formation qualifiant aux métiers de restauration du patrimoine bâti et d'accompagnement vers l'emploi. Les actions menées par l'association permettent à ces demandeurs d'emploi de se rebâtir un avenir tout en restaurant dans les règles de l'art des sites prestigieux.Forte de ses 20 ans d'expertise dans la restauration du patrimoine, ACTA VISTA développe désormais un nouveau pan d'activités consistant à ouvrir et animer des équipements culturels au sein des lieux qui lui ont été confiés, comme ce sera le cas dans les années à venir à La Citadelle de Marseille, sur le Vieux-Port.En juillet 2020, LES FONDATIONS VELUX renouvellent officiellement leur confiance pour la phase 2 du développement d'ACTA VISTA. Axé sur le triptyque inclusion professionnelle, transmission des savoir-faire, éducation culture et patrimoine, le soutien des FONDATIONS VELUX à 5 ans accompagnera :L'essaimage du projet ACTA VISTA dans de nouvelles régions françaises, via l'installation de pôles régionaux et d'équipes dédiées, à l'image du pôle pilote basé à la Citadelle de Marseille.Le développement d'une offre culturelle et pédagogique à la Citadelle de Marseille, qui ouvrira prochainement au public, complétant le modèle social d'ACTA VISTA par la restitution du patrimoine aux citoyens.L'impulsion d'une démarche internationale visant la mise en liens avec des projets similaires porteurs de bonnes pratiques, d'inspiration, de renforcement, voire de partenariats potentiels.La finalité à 5 ans : le changement d'échelle de ce projet à fort impact social, l'adéquation aux besoins d'éducation, d'emploi, de formation et de redynamisation du patrimoine sur les territoires d'implantation.
Il y a 4 ans et 293 jours

EDF et Jinko vont construire la centrale solaire la plus puissante au monde à Abu Dhabi

La future centrale, d'une capacité installée de 2 gigawatts (GW), "sera la plus puissante au monde et alimentera en électricité l'équivalent de 160.000 foyers locaux chaque année", soulignent les deux groupes dans un communiqué commun.Le contrat a été attribué par la société Emirates Water and Electricity Company (EWEC), pour une mise en service prévue en 2022 dans la région d'Al Dhafra, à 35 kilomètres au sud de la ville d'Abu Dhabi.EDF Renouvelables et Jinko Power détiendront chacun 20% des parts du projet. Les 60% restants seront détenus par les acteurs publics locaux TAQA et Masdar."Il s'agit également de la première centrale d'une telle envergure à utiliser des modules bi-faciaux", qui permettent de capter le rayonnement solaire des deux côtés des modules photovoltaïques, soulignent les deux lauréats.Le consortium explique avoir présenté l'offre la plus compétitive, "avec un coût moyen de production de l'électricité de 1,35 cent USD par kilowattheure".L'énergie solaires a bénéficié ces dernières années d'une forte chute des coûts, tandis que des projets de plus en plus gigantesques se sont développés.Le parc de Bhadla en Inde représente ainsi une capacité installée totale de plus de 2,2 GW, ce qui en ferait le plus puissant au monde. Mais il s'agit d'un complexe avec des lots successifs remportés par plusieurs acteurs."Al Dhafra est le plus puissant projet solaire qui sera raccordé en un point", souligne-t-on chez EDF Renouvelables.Riches en pétrole et en gaz, les Emirats arabes unis veulent diversifier leur bouquet énergétique en développant notamment les renouvelables mais aussi le nucléaire. Le pays explique vouloir produire 50% de son énergie à partir de sources "propres" d'ici 2050.
Il y a 4 ans et 293 jours

Coup d'œil sur Chapelle international #2: 400 mètres de bois mouvant, par A.26 architectures

Le Grand Prix de l’urbanisme 2020 est décerné à la paysagiste Jacqueline Osty. La distinction, attribuée par le ministère de la Transition écologique aux professionnels de l'aménagement du territoire pour leur participation à faire progresser la fabrique urbaine, lui sera officiellement remise à la fin de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 293 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE VICTORIA, UN LUMINAIRE LED À TRÈS HAUT RENDEMENT POUR L’ÉCLAIRAGE EXTÉRIEUR PROFESSIONNEL ET PUBLIC

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente VICTORIA un nouveau luminaire LED à très haut rendement conçu par la société néerlandaise Innolumis. Ce luminaire « tête de candélabre » convient parfaitement à l’éclairage extérieur toutes hauteurs, professionnel et public. Il permet d’économiser jusqu’à 80% d’énergie. Conçu en aluminium (LM6), le luminaire LED VICTORIA est disponible en trois versions (mini, standard, maxi), une douzaine de puissances allant de 6W à 200W, trois optiques (étroite, médium, large) et plusieurs températures de couleur (3000K, 4000K, 5000K, Golden Orange, Bat Light). Son flux lumineux atteint 28 000 lm avec une efficacité lumineuse de 140 lm/W en 3000K. Il possède un angle d’inclinaison de -15° à +15°, un diamètre de mât de 48 à 76 mm,  un indice de protection IP66 et une température de fonctionnement comprise entre -40°C et +50°C. Il peut fonctionner sur variateur 1-10V standard et programmable. Sa durée de vie L80B10 est de 100 000 heures. Avec son disjoncteur intégré, le boîtier du luminaire LED VICTORIA peut être ouvert sans outils et il est possible d’intervenir immédiatement en toute sécurité dès son ouverture. Les sources lumineuses LED et le driver sont remplaçables. La tête du luminaire est modulable et réparable même après la période de garantie de 5 ans. Diverses solutions d’éclairage intelligent sont intégrables en option au luminaire LED VICTORIA conçu pour fonctionner par exemple avec les connecteurs Zhaga. Installé sur des mâts allant de 3 à 14 mètres, le luminaire LED VICTORIA convient aux installations d’éclairage extérieur, professionnel et public, dédiées à la sécurité des activités et des déplacements de personnes et de biens sur les routes, aires de parking ou de chargement, zones d’activités et sites professionnels. Application : Exemple d’installation de luminaires VICTORIA    EAS SOLUTIONS s’est vu confier début 2020, la rénovation de tous les éclairages des parkings de la base logistique EUROLOGISTIC à Villabé. En remplaçant 124 éclairages traditionnels au sodium 400W, énergivores et obsolètes, par 124 luminaires LED VICTORIA 175W, EAS SOLUTIONS améliore la qualité de l’éclairage, avec une température de couleur de 3000K conformément à la nouvelle législation de l’éclairage extérieur, et réduit d’environ 2/3 la consommation d’énergie. Instantanément, cette dernière passe de 59 520 kWh à 21 700 kWh par an. A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis plus de 10 ans, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 4 ans et 293 jours

Architectes et producteurs unis pour le développement des matériaux biosourcés

CONSTRUCTION. Le Comité de liaison des architectes, des agriculteurs et des producteurs de produits biosourcés de la région Ile-de-France lance huit propositions pour développer les matériaux biosourcés produits localement.
Il y a 4 ans et 293 jours

Planet, le premier sac de ciment qui offre une empreinte carbone neutre

S'y ajoute un emballage qui se désagrège dans la bétonnière pour une mise en œuvre facilitée et sans déchet!Doté de la notation 360Score A+, Planet est le sac de ciment le plus éco-responsable disponible sur le marché français, une nouvelle innovation issue de la démarche Lafarge 360 engagée en 2019 pour mener la transition écologique dans le secteur des matériaux de construction.Un sac de ciment qui rassemble les meilleurs savoir-faire environnementauxA l'écoute des acteurs du négoce et de la GSB, soucieux de répondre aux attentes de leurs clients pour des produits plus respectueux de l'environnement, LafargeHolcim a conçu une offre spécialement adaptée au format du sac de ciment qui se compose :Du ciment le plus optimisé en carbone de la gamme Lafarge, dont le poids CO² est réduit de -65% par rapport à un CEM I. Produit dans nos usines de la Malle (13) et du Havre (76), ce ciment est 100% français et comporte 66% de matériaux recyclés (laitier).D'un certificat de compensation volontaire neutralisant l'émission résiduelle du ciment. Les certificats d'économie de CO² sont certifiés par un organisme international.D'un emballage qui se désagrège dans la bétonnière au contact des granulats (technologie Mixopack), générant zéro déchet et facilitant la manipulation pour une moindre pénibilité au travail. Cette dernière préoccupation est renforcée par le choix d'un emballage unique de 25kgs pour éviter le port de charge lourde sur les chantiers.Disposant de la note 360Score A+, la plus élevée de l'échelle d'évaluation de la performance environnementale des produits LafargeHolcim, le sac PLANET sera disponible sur l'ensemble du territoire français.Contribuer à la construction durable, en France et à l'étranger Pour compenser les émissions de CO² résiduelles du ciment contenu dans le sac PLANET, LafargeHolcim sélectionne des éco-projets qui promeuvent des modes constructifs économes en CO² et qui facilitent l'accès à un habitat décent et abordable aux populations locales de pays en développement.Par ces innovations en matière de construction durable, LafargeHolcim et ses clients concourent à préserver les ressources naturelles tout en améliorant l'habitat. Les crédits carbones issus de ces éco-projets sélectionnés sont certifiés par des labels de qualité qui respectent des critères exigeants en matière environnementale et sociale.
Il y a 4 ans et 293 jours

Coup d'œil sur Chapelle international #1: l'AUC repense la ville productive

Le Grand Prix de l’urbanisme 2020 est décerné à la paysagiste Jacqueline Osty. La distinction, attribuée par le ministère de la Transition écologique aux professionnels de l'aménagement du territoire pour leur participation à faire progresser la fabrique urbaine, lui sera officiellement remise à la fin de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 294 jours

Quels outils pour les professionnels du BTP et de la rénovation ?

Par ses fonctions et ses usages, l’immobilier occupe bien une place de choix dans de nombreuses régions. Ce secteur propose divers offres et services pour procurer un réel bien-être et permettre de faire de bonnes opérations économiques. Par ailleurs, pour construire ou rénover, il est indispensable de faire appel à des professionnels de la construction. Ces professionnels ont une utilité capitale dans la réussite des différents projets. En tant que professionnel du BTP, il est donc essentiel d’avoir de bonnes compétences. Si vous offrez ces services, vous pourrez tirer un excellent profit des outils technologiques conçus pour cet usage. Des outils pour les services de construction Pour proposer des services liés à la construction, il est bien indispensable d’avoir de bonnes spécifications et un véritable savoir-faire. Toutefois, bien plus que ces bonnes compétences, les services de construction doivent également montrer une véritable compétitivité. En effet, sur ces marchés concurrentiels et pointus, il est nécessaire de pouvoir idéalement se distinguer de la masse. Dans le milieu de la construction immobilière, des outils numériques apportent aujourd’hui d’excellents atouts. Ces derniers peuvent être généralistes ou destinés à des activités spécifiques. Ainsi, vous pourriez notamment profiter de logiciels performants pour des professions comme la plomberie, la peinture, l’électricité, l’isolation ou encore la métallerie. Votre partenaire travaux Design 3D Renovation apporte notamment d’excellentes garanties. En effet, cette entreprise spécialisée et qualifiée propose des solutions sur mesure pour davantage de compétitivité. De plus, avec ces solutions numériques, vous êtes généralement en mesure de proposer des maquettes réalistes des services que vous comptez offrir. Ainsi, vous avez plus de facilités à convaincre vos potentiels clients. D’un autre côté, ces logiciels permettent dans certains cas d’assurer une meilleure gestion de tous les processus liés à la construction. En outre, avec ces derniers vous pourriez aussi bien avoir de meilleures dispositions notamment pour signer des contrats d’assurance construction bénéfiques. Un large éventail d’activités concernées Les outils professionnels pour les agences de construction immobilière sont d’une grande utilité. Ils concernent aussi bien la construction et la rénovation. De même, quel que soit le service offert pour des travaux de construction, il est généralement possible de s’équiper d’un logiciel réellement efficace. D’une part, pour la platerie et l’isolation, vous pourrez profiter d’une excellente assistance qui permet de réaliser de meilleurs travaux de ratissage, de bandage ou encore de pose de bandeau de plâtre. D’autre part, pour des installations électriques également, il est possible de s’équiper de certains outils servant à offrir de meilleurs services. De plus, en tant que spécialiste de plomberie, d’aménagement, de peinture ou de décoration, vous pourrez également faire de meilleures expériences. Elles se trouvent parfois à travers des logiciels dédiés à la tâche. De même, elles peuvent concerner d’autres dispositifs servant à avoir une meilleure gestion des clients, des commandes ou encore de la communication. En outre, selon son secteur d’activité, il faut préalablement bien s’équiper. Votre agence de construction professionnelle devrait notamment être en mesure de proposer d’excellentes prestations en isolation thermique, en salle de bain ou encore en dégâts des eaux.
Il y a 4 ans et 294 jours

La guerre des Malouins contre Airbnb

"On est en train de perdre notre ville. Tout est aseptisé, on ne s'y retrouve plus", se désole Véronique Deschamps, Malouine de 57 ans. "On n'a pas reconstruit Saint-Malo après la Guerre pour en faire un Disneyland", tonne-t-elle.Coiffeuse à domicile, installée dans la ville fortifiée depuis 1993, elle a été la première à monter au créneau dès 2018. "Nos voisins sont devenus des clients Airbnb qui nous bousculent avec leurs valises et ne daignent pas nous saluer", écrivait-elle dans une tribune.Nuisances sonores, dégradations et palier occupé par les valises ou les ballots de draps: Mme Deschamps décrit une "qualité de vie altérée" par la présence d'une location Airbnb dans sa vieille bâtisse divisée en appartements.Loin d'être isolé, le phénomène se repère aux boites à clés, qui fleurissent sur les murs de granit de la ville fortifiée. Ouvertes grâce à un digicode, ces boites permettent au touriste de passage de prendre possession de son appartement.En réaction, un collectif anti-Airbnb s'est monté, rassemblant 70 à 80 personnes, selon Franck Rolland, cofondateur avec Véronique Deschamps. "Notre collectif est contre les multipropriétaires qui en font un business. Pas contre les habitants qui louent une chambre pour arrondir leurs fins de mois", souligne M. Rolland.Désertification du centre ville, spéculation immobilière, disparition des commerces du quotidien... sont quelques uns des griefs relevés par le collectif."Des effets néfastes qui s'allient à des tendances qui étaient déjà là", note Thomas Aguilera, chercheur à Sciences Po Rennes, qui évoque aussi un "effet TGV" qui a mis Saint-Malo à 2 heures 15 de Paris.117.000 voyageurs accueillisLa vieille ville, assaillie de touristes dès les beaux jours venus, a perdu un quart de sa population entre 1999 et 2016 tandis que les prix de l'immobilier ont flambé de plus de 20% ces cinq dernières années à l'échelle communale. Des services publics comme La Poste ont fermé. "Et regardez la pharmacie, c'est devenu une biscuiterie", pointe Mme Deschamps, en traversant la rue principale."En moyenne saison, on entend les valises passer. Ils vont dans des appartements et nos hôtels sont vides", regrette aussi Patricia, patronne de l'Hôtel des Abers. "Dans notre rue, c'est une mafia d'Airbnb: il y a des immeubles entiers, c'est que des appartements à louer."Selon le site d'analyse de données AirDNA, 2.491 logements étaient référencés sur les plateformes Airbnb ou Abritel au 2e trimestre à Saint-Malo, après un pic à plus de 3.000 en 2019. Airbnb parle pour sa part de 117.000 voyageurs accueillis l'an dernier.La question est prise au sérieux par l'équipe municipale du nouveau maire (LR) Gilles Lurton. "Ça fait partie des premiers dossiers de la mandature", assure le 1er adjoint Jean-Virgile Crance, par ailleurs président du groupement national des chaînes hôtelières."On ne veut pas que Saint-Malo devienne un parc d'attraction", assure-t-il, en évoquant une possible restriction, dans la vieille ville, du nombre d'appartements à louer par propriétaire.Mais si les moyens de régulation existent, ils sont limités et peuvent souvent être détournés. "Les villes n'ont pas assez de poids pour décider de leur propre régulation, elles peuvent bricoler", remarque Thomas Aguilera. "Que peut faire une petite ville face au premier hébergeur au monde basé à San Francisco ?"Airbnb met en avant les 285.000 euros de taxes de séjour reversés à la ville chaque année et dénonce des critiques "pas fondées" et "totalement déconnectées de la réalité des hôtes à Saint-Malo".La plateforme a d'ailleurs monté un "club d'hôtes" pour défendre ses intérêts, argumentaires à l'appui. Son "animateur" Thierry Dorance-Houssay, retraité rennais de 65 ans, veut que les "hôtes" soient entendus par les pouvoirs publics. "Des gens font des investissements, il faut qu'ils aient une forme de rentabilité", plaide-t-il, en proposant une "charte du locataire".
Il y a 4 ans et 294 jours

La crise sanitaire démultiplie les demandes de locations de logements

Le rush a démarré dès le déconfinementDès le début du déconfinement, la location a repris très rapidement sur PAP.fr : les recherches ont progressé de +50% au mois de mai. « Nous avons immédiatement constaté un afflux d'offres et de demandes, mais nous pensions qu'il s'agissait d'une conséquence d'un rattrapage des mois précédents pendant lesquels le marché locatif avait été complètement bloqué. » explique Corinne Jolly.Mais au fil des semaines, loin de se tasser, la hausse des recherches s'est amplifiée : +75% en moyenne en juin 2020*. « Là, il n'y a pas de doute, on est au-delà du rattrapage : c'est la saison estivale qui démarre en avance pour les locations. » poursuit la Présidente de PAP.fr.Les étudiants ont démarré leurs recherches dès le mois de Juin 2020, ils représentent aujourd'hui 29% des dossiers déposés sur PAP.fr, contre 21% en mai 2019. Mais ils sont fortement concurrencés par les travailleurs, qui veulent également déménager cet été et qui représentent encore 71% des dossiers*.* Résultat d'une étude menée par PAP.fr sur les recherches de location réalisées sur son site du 1er au 30 juin 2020 comparé au 1er au 30 juin 2019Un afflux d'offres, notamment en location meubléeDeuxième grande tendance, les offres de logements proposées à la location sont plus nombreuses : +39% d'annonces en juin 2020 *, par rapport à juin 2019.De nombreux logements ont été libérés plus tôt par les étudiants cette année, notamment lorsqu'il a été annoncé que les études supérieures se dérouleraient à distance jusqu'à la prochaine rentrée.D'autre part, on observe que les locations meublées représentent, en ce moment, 56% de l'offre des locations, alors qu'elle ne représentait que 47% de l'offre avant le confinement. Deux phénomènes peuvent l'expliquer :Les logements libérés en avance sont surtout des logements étudiants, et donc des logements meublés.Les propriétaires de logements en location vacances ont décidé de passer leur logement en location meublée, au moins le temps de voir comment évolue la situation.Les recherches évoluent aussi : + de demandes, + d'espaces verts + de maisonsComme pour l'achat, la tendance est à la recherche de biens avec espaces verts. Les recherches de maison progressent de 96%, tandis que les recherches d'appartement de 68%.Malgré cela, le phénomène est moins marqué et moins significatif que pour les acquisitions. En effet, les recherches de maison ne représentent encore que 15% des recherches de location.En Ile-de-France : Explosion des recherches de location surtout pour la Grande CouronneTous les départements d'Ile-de-France, comme pour l'achat, connaissent une forte hausse de recherches de biens à louer. La hausse de recherches de locations des départements de la Grande Couronne est également plus importante que celle de la petite Couronne et Paris a la progression la plus faible : + 63%.*La Seine-et-Marne connaît la plus forte hausse : +140%, suivie du Val d'Oise : +113%, des Yvelines : +110%, de l'Essonne : +104%.L'Oise, département limitrophe de l'Ile-de-France progresse également fortement avec +97%*.On constate donc également pour la location, une demande des franciliens de s'éloigner de la petite couronne pour bénéficier de logements avec plus de superficie, si possible d'espaces verts et de maisons. Les locataires cherchent, comme les propriétaires, plus de verdure et plus d'espace. Ces nouvelles recherches sont le résultat du confinement passé dans des appartements trop étroits sans extérieur. Les aspirations des franciliens évoluent même en location.En Province : Ruée vers les demandes de location : +117% à Grenoble, +101% à Rennes !En Province, ce phénomène d'éloignement des métropoles est moins visible, probablement car les prix Immobiliers permettent de mieux se loger tout en restant en ville. Mais toutes les grandes métropoles françaises voient leurs recherches de biens à louer exploser. Grenoble et Rennes sont à + de 100%, Poitiers, Bordeaux, Nantes, à + de 70%. Il va être dur de se loger cet été. Les familles avec enfants qui ont été mutées cet été, les jeunes travailleurs qui cherchent leur premier logement et les étudiants, vont devoir jouer des coudes pour trouver leur cocon.On constate cependant que la situation est très disparate selon les différentes villes. Ainsi, Toulouse enregistre la progression la plus faible, certainement en raison des difficultés liées au secteur aéronautique qui commencent à se faire sentir sur le marché Immobilier.* Résultat d'une étude menée par PAP.fr sur les recherches de location réalisées sur son site du 1er au 30 juin 2020 comparé au 1er au 30 juin 2019
Il y a 4 ans et 294 jours

Les salons et foires pourront se tenir à nouveau à partir du 1er septembre

EVENEMENTIEL. C'est un ouf de soulagement que les professionnels de l'événement ont poussé lundi 27 juillet. Franck Riester, ministre en charge du Commerce extérieur et de l'Attractivité, a annoncé la réouverture des foires et salons à partir du 1er septembre, sans jauge limite.