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Il y a 4 ans et 294 jours

« Nous avons travaillé sur la trésorerie des entreprises », Christian Mouchard, Partenord Habitat

Deux mois et demi après le déconfinement, Christian Mouchard, directeur du département Patrimoine chez Partenord Habitat (46 000 logements), détaille pour Le Moniteur les procédures mises en place et les surcoûts engendrés. Le bailleur social du département du Nord a choisi de prendre en charge la moitié des dépenses causées par les précautions sanitaires à respecter par les entreprises face au risque Covid-19 sur les chantiers.
Il y a 4 ans et 294 jours

Malgré la pandémie, le marché du crowdfunding immobilier poursuit sa progression

Principaux indicateurs184 millions d'euros collectés (+43% par rapport au S1 2019) pour financer 229 projets (+7%)76,6 millions d'euros remboursés (+82% par rapport au S1 2019) concernant 139 projets (+48%)9,4% de rendement annuel moyen, pour des investissements d'une durée de 21 mois en moyenneUne forte concentration des projets dans le résidentiel (86% des projets financés)Une polarisation régionale des investissements. L'Ile-de-France capte près de 50% de la collecte.Un taux de retard de moins de 6 mois de 9,48% (+ 3,07 points par rapport à l'année 2019) et un taux de retard de plus de 6 mois de 10,10% (+2,41 points par rapport à l'année 2019). Le taux de défaut reste quasi stable à 0,74% (+0,17 point).Un volume de collecte et de remboursement en forte hausse sur un anAvec 184 millions d'euros collectés sur les six premiers mois de l'année, le secteur du crowdfunding immobilier poursuit sa croissance continue (+43% par rapport à la même période l'an dernier). Même tendance du côté des remboursements, qui ont représenté 76,6 millions d'euros, contre 42 millions l'an passé (+82%).La répartition mensuelle de la collecte révèle une certaine stabilité du marché, avec près de 94M€ d'investissements au T1 contre plus de 90M€ au T2. Ces chiffres démontrent que malgré la crise sanitaire, le marché est resté particulièrement actif notamment grâce à la digitalisation du secteur ayant favorisé la continuité de l'activité.Une nette accélération de la collecte a été enregistrée sur la fin du mois de mai et le mois de juin, illustrant un retour des investisseurs sur les plateformes de crowdfunding immobilier.On remarque également que malgré la forte hausse des montants collectés, le nombre de projets financés est lui en légère progression (+7%), s'expliquant par une plus grande taille des opérations financées (803 570€ en moyenne, en hausse de +16,6% par rapport à l'année 2019). Un signal positif pour le marché, alors que 2019 avait déjà connu une progression de +27,8% du montant moyen des opérations, s'expliquant en partie par le relèvement du plafond de collecte pour les plateformes de crowdfunding à 8 millions d'euros au lieu de 2,5 millions par opération dans le cadre de la loi Pacte.Une forte polarisation régionale des investissementsIle-de-France (89,2M€), Auvergne-Rhône-Alpes (23,4M€), Région Sud (15M€). A elles seules, ces trois régions - qui constituaient déjà le TOP 3 régional du marché en 2019 - ont concentré près de 70% de la collecte totale du marché français du crowdfunding immobilier au premier semestre.Les autres régions particulièrement actives sur la période ont été la Nouvelle Aquitaine (14M€), l'Occitanie (11,7M€) et dans une moindre mesure les Pays de la Loire (8,7M€) et le Grand Est (6,6M€). Un rendement annuel moyen de 9,4%, la durée moyenne d'investissement en baisseIndicateur scruté par les investisseurs, le rendement annuel moyen proposé pour les opérations financées au premier semestre était de 9,4%. En légère hausse par rapport au rendement du premier semestre 2019 (+0,2 point), il devrait a minima se stabiliser sur l'année 2020. Alors que les promoteurs ont vu certains de leurs chantiers se prolonger en raison des mesures sanitaires, cela va de fait entraîner un blocage plus long de leurs fonds propres sur ces projets. Pour dégager de nouveaux fonds propres afin de se positionner sur d'autres opérations, ils pourraient être amenés à proposer des rendements plus élevés afin d'accélérer leurs levées de fonds.Si l'on se fie aux données communiquées par plusieurs plateformes, représentant 50% de la collecte totale du marché, les projets ont attiré en moyenne 490 investisseurs qui ont placé 1640€. Combiné au rendement et à la durée moyenne de placement, ces chiffres permettent de calculer un gain moyen de 270€ brut par projet dans lesquels les épargnants ont investi.Le résidentiel monte en puissance et représente la majorité des projets financésParmi les 229 opérations immobilières financées au premier semestre, 86% d'entre elles concernaient des opérations résidentielles. C'est nettement plus qu'au premier semestre 2019 (79%). Plusieurs explications à cette hausse, d'une part l'augmentation constante des projets marchands de biens sur le marché dont la proportion a quasi doublé par rapport à l'an dernier passant de 24 à 38% des projets. D'autre part, on constate depuis 2019 l'émergence de nouveaux projets de co-living, une diversification qui préfigure une évolution intéressante pour le marché. Le crowdfunding immobilier se démocratise également en tant qu'outil de financement de nouvelles formes d'habitats urbains, renforçant le lien social, en adéquation avec les aspirations des nouvelles générations notamment.Les autres classes d'actifs enregistrent toutes une légère baisse sur les 6 premiers mois de l'année par rapport à la même période l'an dernier.Le « projet moyen » financé durant le premier semestre était une opération résidentielle de 40 logements en Ile-de-France, réalisée par un opérateur réalisant un chiffre d'affaires de 11 millions d'euros. Les retards de remboursement en légère hausse, le taux de défaut moyen reste stableLe taux de retard moyen, qui prend en compte uniquement les dépassements de l'échéance contractuelle maximum depuis 2012, est en hausse de 3,07 points sur les retards de moins de 6 mois, et de 2,41 points pour les retards de plus de 6 mois par rapport à l'année 2019. Ils s'élèvent respectivement à 9,48% et 10,10%. Dans le détail, on remarque que seulement quelques acteurs concentrent des retards conséquents.Quant au taux de défaut moyen, calculé sur la base des projets ayant subi une perte en capital et/ou une perte des intérêts depuis 2012, est évalué à 0,74%, en hausse de 0,17 points. Dans une démarche de transparence, l'agrégateur de projets Hello Crowdfunding actualise tous les mois les données sur le déroulement des différents projets, permettant ainsi d'identifier les projets en retard.Etude réalisée auprès de 26 plateformes ouvertes ou ayant financé des projets immobiliers, et immatriculées auprès de l'AMF ou de l'ACPR (données analysées sur la période de janvier à juin 2020) : Anaxago, Beefordeal, Clubfunding, Euroraiser, Finple, Fundimmo, Gwenneg, Homunity, Immocratie, Immovesting, Inidev, Koregraf, La première brique, Look and fin, Lendopolis, Lymo, Monego, My Capital immo, October, Pret-up, Raizers, Upstone, Vatel Direct, Weeximmo, Wesharebonds, Wiseed.Analyse des résultatsPar Jérémie Benmoussa, Président du directoire de FUNDIMMOAprès un 1er trimestre très dynamique, nous pouvions nous interroger sur la réaction des épargnants et des promoteursaprès l'annonce du confinement, et nos activités ont repris un rythme soutenu. C'est un enseignement fort de la période compliquée que nous avons traversé, le crowdfunding immobilier est installé dans le paysage à la fois en tant que produit d'épargne et de financement pour les promoteurs. Sans préjuger de la suite, les chiffres globaux de ce 1er semestre qui atteignent de nouveaux records, nous rendent confiants pour les prochains mois.Du côté des promoteurs, les mesures sanitaires ont provoqué un arrêt ponctuel des chantiers qui ont aujourd'hui quasi-intégralement repris. Quelques retards administratifs ont également été enregistrés en lien avec le décalage des élections municipales, qui sont désormais derrière nous. Le résultat de ces dernières dans quelques grandes villes pourraient avoirdes effets à long terme sur la conception des opérations immobilières pour répondre à la volonté citoyenne d'une meilleure prise en compte des enjeux environnementaux. Pour autant ce serait plus une accentuation d'une tendance de fond qui préexistait bien avant les élections qu'un changement radical, ce mouvement est déjà en marche chez les opérateurs immobiliers. Qu'ils s'agissent d'immobiliers de bureaux ou de logements, la valeur verte a désormais un véritable sens, notamment pour les investisseurs.Ces ralentissements pourraient avoir deux principaux effets dans les mois à venir. D'une part, un retard de quelques mois des projets, durant lesquels, et c'est important de le souligner, les intérêts des investisseurs - définis contractuellement - continueront à courir. D'autre part, l'allongement des chantiers va bloquer les fonds propres des promoteurs sur les projets durant des périodes plus longues. Ces-derniers devront donc nécessairement trouver des leviers pour dégager de nouveaux fonds propres indispensables au lancement de toute nouvelle opération.In fine, cette situation peut constituer un levier de croissance additionnel pour le marché du crowdfunding immobilier, d'autant que le besoin important et rapide de liquidité pourrait inciter les promoteurs à mieux rémunérer les investissements. Reste également à analyser l'évolution des comportements des épargnants dans les prochains mois, eux qui auraient mis quelques 60 milliards d'euros de côté durant le confinement. Le succès des dernières levées de fonds réalisées depuis mi-mai, malgré un délai de collecte parfois un peu allongé, semble confirmer l'attrait des investisseurs vers ce produit désormais connu par plus d'1/3 des Français*.*Étude OpinionWay pour FUNDIMMO, Janvier 2020
Il y a 4 ans et 294 jours

Dimensions of Reality : Female Minimal

À la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin, l’exposition Dimensions of Reality : Female Minimal met à l’honneur quatorze artistes femmes pionnières de l'abstraction géométrique, qui sont longtemps restées dans l’ombre de leurs confrères masculins. Replacer ces artistes femmes dans l’histoire de l’art abstrait, et plus largement dans l’histoire de l’art, tel est l’objet de cet événement inédit. L’exposition Dimensions of Reality : Female Minimal réunit quatorze artistes femmes du XXe siècle mues par le même désir d’émancipation, qui ont contribué à bouleverser l'abstraction géométrique telle qu’elle a été portée par les hommes, mais qui ont été évincées de l’histoire de l’art et sont encore méconnues du grand public. À travers une sélection réfléchie d'œuvres datant des années 1920 au début des années 1980, les commissaires Anke Kempkes et Pierre-Henri Foulon ont choisi, d’une part, de différencier le « minimal » de « l’art minimal » pour élargir le cadre spatiotemporel habituel de ce mouvement né dans les années 1960 aux États-Unis, et, d’autre part, de contester les discours d’une histoire de l’art canonique masculine, en rendant visibles plusieurs artistes femmes remarquables qui ont joué un rôle central dans l’évolution de l’art abstrait en Europe et en Amérique. Malgré la pluralité des contextes historiques, géographiques et culturels dans lesquels chacune de ces artistes a créé, les œuvres présentées à la galerie donnent à voir un ensemble cohérent, qui révèle la dimension « émancipatrice » de leur approche de l’art abstrait tout en s’intéressant à des aires géographiques, qui avaient été jusque-là négligées, comme l’Europe de l'Est et l’Amérique latine. Au fil du parcours, le public découvre avec émerveillement les œuvres de Feliza Bursztyn, Rosemarie Castoro, Maria Lai, Liliane Lijn, Verena Loewensberg, Mary Miss, Kazuko Miyamoto, Vera Molnár, Marlow Moss, Lucia Moholy, Lydia Okumura, Loló Soldevilla, Magdalena Więcek et Shizuko YoshikawaL’exposition Dimensions of Reality : Female Minimal appelle à en finir avec une histoire de l’art discriminante, et a donc le mérite de réhabiliter quatorze artistes femmes qui sont injustement moins connues que les figures les plus célèbres de l’art minimal, telles Carl Andre, Dan Flavin, Donald Judd ou encore Sol LeWitt. L’initiative de la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin témoigne de la volonté récente de plusieurs lieux culturels de réévaluer la contribution des artistes femmes à la création en les inscrivant enfin dans une histoire de l’art décloisonnée. Dimensions of Reality : Female Minimal, du 22 février au 25 juillet 2020, à la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin (93500). Pour en savoir plus, visitez le site de la Galerie Thaddaeus Ropac. Photographies : © Charles Duprat, Courtesy Galerie Thaddaeus Ropac London · Paris · SalzburgLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 294 jours

Artificialisation des sols en Île-de-France et habitat collectif neuf

A l'heure de la relance, il s'avère impératif de conjuguer les nouveaux besoins accentués par cette crise inédite et croissance verte. Pour accélérer l'émergence d'une ville durable et résiliente, il faut la (re)construire car, bien qu'indispensable, rénover le tissu existant ne pourra suffire. L'Île-de-France, figure d'excellence pour la faible artificialisation des solsDepuis le Plan biodiversité de 2018, le Gouvernement français s'est fixé l'objectif « Zéro artificialisation nette », également appelé « ZAN ». Il s'inscrit dans un objectif de neutralisation des impacts des villes sur la biodiversité et le changement climatique.Région dense par excellence, l'Île-de-France fait pourtant figure d'exception vertueuse en matière d'artificialisation des sols, comme en témoigne l'étude menée par l'Institut Paris Région* et publiée en janvier 2020. Ainsi, en Île-de-France, seulement 590 hectares nets ont été consommés en 2017, correspondant à 840 hectares brut artificialisés auxquels doivent être soustraits les 250 hectares renaturés. Il est important de noter que l'Île-de-France a la plus faible artificialisation de France au regard de l'activité accueillie : 133 m² étaient artificialisés par habitants et emploi en 2015 pour une moyenne nationale de 460 m² (hors Île-de-France). A contrario, la région Centre Val-de-Loire artificialisait 606 m² par habitant et emploi la même année. L'habitat collectif neuf, réduction de l'artificialisation des sols et accélération des transformations Toujours selon l'étude de l'Institut Paris Région, sur les 840 hectares artificialisés en 2017, seulement 3% étaient destinés à l'habitat collectif contre 42% destinés aux carrières, décharges et chantiers, 23% aux espaces ouverts artificialisés, 14% à l'activité et 10% à l'habitat individuel. Comment conjuguer la sobriété foncière, qui s'impose comme un impératif environnemental, et le besoin en logements considérable, tout particulièrement en Île-de-France, véritable locomotive économique et territoire le plus attractif de France voire d'Europe ? Outre les enjeux de préservation des sols et de la biodiversité, car elle est souvent en elle-même créatrice de jardins et facteur de renaturation, la construction neuve apporte également des réponses à de nombreux enjeux en étant facteur de cohésion et de durabilité. Les performances environnementales des logements neufs répondent à des standards très élevés qui se renforcent encore avec la future RE 2020. La construction d'aujourd'hui et de demain répondra aux besoins des ménages et accélérera la transition vers une société décarbonée. Construire dense, c'est aussi tendre vers une urbanisation plus sobre en consommation d'espace laissant ainsi plus de place à la nature, à l'extérieur et à l'intérieur de la Ville.Pour Marc VILLAND, Président de la FPI IDF : « Le débat autour de l'artificialisation des sols est tronqué. Il est urgent de dédiaboliser la ville et démystifier la densité. Un changement de paradigme s'impose pour faire avancer durablement notre société et apporter des réponses concrètes aux besoins des franciliens en matière de logement et d'urbanisme ». *Source : L'institut Paris Région 2020 - MOS 1982 à 2017, présenté à l'occasion des ateliers du ZAN
Il y a 4 ans et 294 jours

Rockwool innove pour accélérer le développement de la rénovation énergétique des logements

Signataire de la charte FAIRE, ROCKWOOL participe activement à débloquer les freins qui subsistent et contribue à réaliser les économies d'énergie nécessaires à l'atteinte des objectifs environnementaux nationaux. Dans ce contexte de massification de la rénovation énergétique et devant la complexité des dispositifs d'aides, ROCKWOOL propose aux professionnels et aux particuliers des solutions pour mieux comprendre la réglementation et les opportunités de financement. Un acteur industriel au service de la préservation de l'environnementLe parc immobilier français, résidentiel et tertiaire, contribue à lui seul à l'émission de 16% des émissions de gaz à effet de serre en France. Pour atteindre les objectifs gouvernementaux de neutralité carbone d'ici 2050, les émissions devraient être réduites par 10. Un défi ambitieux qui passe notamment par la rénovation de 500 000 logements par an jusqu'à 2050. En effet, 7 millions de logements sont encore mal isolés et un Français sur cinq se trouve en situation de précarité énergétique. Autre enjeu, offrir à chacun une meilleure compréhension des dispositifs d'aides au financement et des solutions disponibles. ROCKWOOL, présent en France depuis 40 ans et un des acteurs industriels incontournables de la rénovation énergétique, est pleinement engagé dans ce combat pour préserver de la planète.Garantissant l'efficacité et la pérennité des travaux engagés, leur durabilité et le confort des occupants, l'isolation thermique se présente comme l'investissement le plus rentable, à condition de choisir des matériaux de qualité. La laine de roche ROCKWOOL, ressource naturelle, inépuisable, résistante et recyclable à l'infini est l'une des solutions les plus efficaces et durables en matière d'isolation thermo-acoustique. Elle possède également d'excellentes propriétés en protection incendie et conserve ses performances pendant plus de 55 ans. Grâce à leur recyclabilité à l'infini, les produits ROCKWOOL sont respectueux de l'environnement.ROCKWOOL engagé dans l'innovation continue de ses produits pour réduire la consommation énergétiqueÀ travers la charte FAIRE, ROCKWOOL s'est engagé à soutenir le Plan de Rénovation énergétique des bâtiments qui vise à faire baisser la consommation énergétique et à éradiquer la précarité énergétique en 10 ans. Un engagement également basé sur une politique d'innovation continue de ses produits et son adhésion à des organismes collectifs français et internationaux tel le C40 Cities Climate Leadership Group qui regroupe les 96 des plus grandes villes du monde.« Lors du confinement, les Français ont redécouvert l'importance du confort thermique et pris conscience des enjeux environnementaux. C'est pourquoi les industriels comme ROCKWOOL se doivent de souscrire pleinement à une politique de rénovation énergétique efficace et pérenne qui prend aussi en compte la lutte contre la précarité énergétique de nombre de nos concitoyens. La rénovation énergétique des bâtiments doit permettre d'enrayer à termes le nombre de passoires énergétiques dans notre pays tout en réduisant les factures d'énergie et en améliorant le bien-être des foyers ».- Rafael Rodriguez, DG de ROCKWOOL FranceDes services et des solutions pour rendre encore plus accessibles les travaux de rénovation énergétiquePour accompagner au plus près ses clients et répondre aux besoins d'informations des particuliers comme des professionnels sur les dispositifs d'aides et sur le choix des produits, ROCKWOOL développe au quotidien des services et des solutions pour rendre encore plus accessibles les travaux de rénovation énergétique et participer ainsi au développement économique de la filière :Des outils de simulation en ligne et de visualisation 3D pour permettre aux particuliers comme aux professionnels d'évaluer leurs besoins. Grâce à son système de visualisation 3D, ROCKWOOL aide les particuliers à mieux comprendre la rénovation par l'isolation de façon très visuelle : l'outil 3D permet de visualiser toutes les applications possibles en maison individuelle pièce par pièce (certaines applications sont également valables pour les appartements, comme l'isolation des cloisons ou des murs par l'intérieur) et découvrir également les produits adaptés à chaque application.Un outil de calcul pour combles et toitures inclinées pour trouver la solution ROCKWOOL la plus adaptée à votre comble ou toiture inclinée.Des webinaires pour permettre aux artisans de mieux maîtriser les propriétés des produits et solutions.Des campus formation pour les artisans afin de les aider dans une mise en œuvre rapide et efficace des travaux.Des formations pour permettre aux professionnels de mieux comprendre la charte réglementaire et obtenir le label RGE, les accompagner dans les meilleures solutions en laine de roche.Des brochures accessibles à tous depuis le site pour découvrir les aides disponibles au financement de son projet
Il y a 4 ans et 294 jours

EAS Solutions présente Victoria, luminaire LED à très haut rendement pour l'éclairage professionnel et public

Conçu en aluminium (LM6), le luminaire LED VICTORIA est disponible en trois versions (mini, standard, maxi), une douzaine de puissances allant de 6W à 200W, trois optiques (étroite, médium, large) et plusieurs températures de couleur (3000K, 4000K, 5000K, Golden Orange, Bat Light). Son flux lumineux atteint 28 000 lm avec une efficacité lumineuse de 140 lm/W en 3000K. Il possède un angle d'inclinaison de -15° à +15°, un diamètre de mât de 48 à 76 mm, un indice de protection IP66 et une température de fonctionnement comprise entre -40°C et +50°C. Il peut fonctionner sur variateur 1-10V standard et programmable. Sa durée de vie L80B10 est de 100 000 heures.Avec son disjoncteur intégré, le boîtier du luminaire LED VICTORIA peut être ouvert sans outils et il est possible d'intervenir immédiatement en toute sécurité dès son ouverture. Les sources lumineuses LED et le driver sont remplaçables. La tête du luminaire est modulable et réparable même après la période de garantie de 5 ans.Diverses solutions d'éclairage intelligent sont intégrables en option au luminaire LED VICTORIA conçu pour fonctionner par exemple avec les connecteurs Zhaga. Installé sur des mâts allant de 3 à 14 mètres, le luminaire LED VICTORIA convient aux installations d'éclairage extérieur, professionnel et public, dédiées à la sécurité des activités et des déplacements de personnes et de biens sur les routes, aires de parking ou de chargement, zones d'activités et sites professionnels.Application : Exemple d'installation de luminaires VICTORIA EAS SOLUTIONS s'est vu confier début 2020, la rénovation de tous les éclairages des parkings de la base logistique EUROLOGISTIC à Villabé. En remplaçant 124 éclairages traditionnels au sodium 400W, énergivores et obsolètes, par 124 luminaires LED VICTORIA 175W, EAS SOLUTIONS améliore la qualité de l'éclairage, avec une température de couleur de 3000K conformément à la nouvelle législation de l'éclairage extérieur, et réduit d'environ 2/3 la consommation d'énergie. Instantanément, cette dernière passe de 59 520 kWh à 21 700 kWh par an.
Il y a 4 ans et 294 jours

Fraudes à la rénovation énergétique : la DGCCRF a contrôlé 469 établissements en 2019

RÉGLEMENTATION. La lutte contre la "quasi-mafia de la rénovation à 1€" a occupé une bonne partie des équipes de la DGCCRF, qui a rendu public son bilan d'activité 2019. Les contrats de construction de maisons individuelles ont également donné lieu à de nombreux contrôles.
Il y a 4 ans et 294 jours

Susanna Fritscher fait battre le pouls du Centre Pompidou-Metz - Exposition

Le Grand Prix de l’urbanisme 2020 est décerné à la paysagiste Jacqueline Osty. La distinction, attribuée par le ministère de la Transition écologique aux professionnels de l'aménagement du territoire pour leur participation à faire progresser la fabrique urbaine, lui sera officiellement remise à la fin de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 294 jours

GNR : les entreprises de BTP refusent de colorer elles-mêmes leur carburant

MATERIEL. Quelques jours après une réunion avec le ministère de la Transition écologique les représentant du BTP, des pétroliers et des distributeurs, sur la mise en place d'une coloration spécifique du carburant pour remplacer le gazole non routier, les entreprises montent au créneau, pour contrer une proposition qu'elles jugent "dangereuse et coûteuse".
Il y a 4 ans et 294 jours

Parc départemental des Chanteraines : Une rénovation des voiries en circuit (presque) fermé

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Bétons avec incrustation de granulats de spilite. [©Cimbéton] Inauguré en 1978, le parc départemental des Chanteraines est un espace vert d’une centaine d’hectares, à cheval sur les communes de Gennevilliers et de Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine). Ce poumon vert est vécu comme un espace naturel, au cœur d’un secteur très urbanisé. Et fortement maillé par un réseau de routes, d’autoroutes et de voies ferrées. Il comprend deux étangs réalisés sur d’anciennes gravières, une ferme pédagogique, démontée et remontée pierre par pierre depuis le Vexin voisin. Le lieu est même devenu une réserve ornithologique de choix, avec la présence de 120 à 150 espèces d’oiseaux, migrateurs ou non. Dans cet environnement créé de toutes pièces, mais qui apparaît si naturel, le département des Hauts-de-Seine a décidé en 2018 de Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 294 jours

Chronologie et ambitions du projet de rénovation de la gare du Nord à Paris

2017-2020 : Les dates-clé du projetLe projet autorisé le 6 juillet 2020 a été déclaré d'intérêt général au terme d'un processus démocratique et en respectant toutes les obligations légales qui s'imposaient :Février 2017 : loi sur le Grand Paris. La loi autorise expressément SNCF Gares & Connexions à procéder à la rénovation de la Gare du Nord en faisant appel à un investisseur privé. Il est spécifié qu'il n'y aura pas de mobilisation d'argent public et que cet investisseur privé supportera seul le financement et les risques de l'opération qui mobilise des investissements à hauteur de 600 millions d'euros.Mai 2017 - Février 2019 : Lancement et déroulement d'un appel d'offres public européen. Au terme de cette procédure concurrentielle, qui est aujourd'hui définitive car elle n'a pas été contestée, SNCF Gares & Connexions a désigné Ceetrus comme co-investisseur pour créer la SA Gare du Nord 2024.Juin - Juillet 2017 : Déroulement de la première concertation publique, prévue par les dispositions applicables au projet.9 Juillet 2018 : Présentation à la presse du projet par SNCF, Ceetrus et la Ville de Paris.24 Octobre 2018 - 26 février 2019 : Ouverture de la procédure de droit d'initiative permettant de demander l'organisation d'une concertation préalable au titre du code de l'environnement par la commission nationale du débat publique.Mars - Avril 2019 : Seconde concertation publique organisée volontairement par la SA Gare du Nord 2024.Octobre 2019 : Avis favorable de la Commission Nationale d'Aménagement Commercial.Novembre 2019 à Janvier 2020 : Déroulement de l'enquête publique, au terme de laquelle la Commission d'enquête publique a rendu un avis favorable au projet le 25 février 2020.6 Juillet 2020 : Délivrance du permis de construire par le Préfet de la Région d'Ile-de-France Le dossier de permis de construire a donc reçu l'avis favorable de la commission d'enquête publique et des services instructeurs, des architectes des bâtiments de France, des responsables des monuments historiques mais aussi de la Préfecture de police de Paris.Une méthode concertée avec les parties prenantes dont la ville de ParisDès le lancement du projet en mai 2017, un comité de coordination partenarial a été mis en place, réunissant l'Etat, la Ville de Paris, la Mairie du 10ème arrondissement, Ile de France Mobilités et la RATP. Il a donc permis d'associer étroitement l'ensemble des acteurs à chacune des étapes du projet.La Ville de Paris, à l'instar des participants au comité partenarial a été consultée dans la définition du programme. Pendant la phase d'analyse des projets, plus de 200 réunions ont été organisées avec l'ensemble des services de la Ville. Elles ont abouti à plusieurs accords structurants.Un Projet Urbain Partenarial conclu le 9 mai 2019 entre la Ville de Paris et la SA Gare du Nord 2024 porte sur l'amélioration des espaces publics dans le quartier de la Gare du Nord et l'amélioration de la desserte de la gare. La SA Gare du Nord 2024 s'est engagée à financer à hauteur de 6.509.375 euros TTC (soit 75 % du coût total estimé des travaux, soit 8,7 millions d'euros) les équipements publics autour de la gare du Nord.Un protocole signé en juillet 2019 entre la Ville de Paris, la SA Gare du NORD 2024 et SNCF Gares & Connexions acte des accords stratégiques sur la solidarité, l'intermodalité (notamment la création de 2.000 places de stationnement pour vélos en plus du nombre équivalent de places créées directement par la Ville de Paris), la qualité de la programmation commerciale et culturelle, les dimensions du bâtiment ou encore sur les apports et innovations écologiques de la future Gare du Nord.La SA Gare du NORD 2024 a également pris l'engagement de mettre en place des modalités de concertation avec la mairie de Paris et la mairie du 10ème arrondissement et d'information transparente et régulière des riverains sur les avancées du projet. Dans une lettre transmise à SNCF Gares & Connexions le 7 mai 2020, la Ville de Paris a formulé le souhait de travailler autour des 5 chantiers suivants : « un calendrier phasé selon les priorités et contractualisé entre les parties prenantes » ;« l'abandon de la séparation des flux d'entrée et de sortie » ; « la dé-densification du projet » ; « une plus grande ouverture sur le quartier » ; « l'amélioration de l'intermodalité ».De nombreuses réunions organisées en mai et juin 2020 regroupant les services de la Ville de Paris, Ceetrus et SNCF Gares & Connexions ont débouché sur des propositions d'évolution saluées par l'ensemble des parties prenantes du projet lors d'une réunion tenue sous l'égide du Préfet de la Région d'Ile-de-France le 23 juin 2020 en présence des représentants de la Ville de Paris, de la mairie du 10ème arrondissement, de Ceetrus, de la SA Gare du Nord 2024 et de SNCF Gares & Connexions. La Ville de Paris n'a toutefois pas signé le protocole qui actait l'accord des parties.SNCF Gares & Connexions et la SA Gare du Nord 2024 souhaitent poursuivre le dialogue avec la Ville de Paris pour aboutir à un nouvel accord acceptable par toutes les parties.A l'issue de ce processus, le Préfet de la Région d'Ile-de-France, fort de la parfaite régularité du dossier et de son instruction, a délivré le permis de construire le 6 juillet 2020.Les points forts du projet de rénovationD'après les enquêtes clients menées par SNCF Gares & Connexions, les voyageurs comme les riverains font face à de sérieuses difficultés aussi bien à l'intérieur (inconfort de l'attente, manque de lisibilité des espaces) qu'à l'extérieur de la gare (insécurité, malpropreté, multiplication des trafics illicites).Le projet a pour objectif de placer la gare du Nord au niveau des autres grandes gares européennes, tant en termes d'équipements, d'accessibilité, d'intermodalité que de capacité. Et, ce avec une perspective d'une entrée en service pour les Jeux Olympiques de 2024.La modernisation de l'infrastructure ferroviaire : La Gare du Nord est une infrastructure vitale pour Paris, l'Île-de-France, les Hauts de France et le Nord de l'Europe. Rénovée en 2001 pour accueillir 500 000 visiteurs, elle se trouve être largement saturée aujourd'hui avec plus de 700 000 personnes la fréquentant chaque jour. Les estimations montrent que la fréquentation de la gare du Nord devrait progresser pour atteindre près de 900 000 personnes par jour en 2030 (en raison de l'augmentation annuelle de fréquentation des RER B et D, des reports attendus suite au prolongement du RER E vers l'Ouest, ainsi que de l'augmentation continue des déplacements par TGV, Eurostar et Thalys). Le projet va améliorer les liaisons entre la gare de surface TRANSILIEN et la gare souterraine banlieue. Il est vital pour le développement du transport ferroviaire en Ile-de-France comme vers l'Europe du Nord.Le renforcement de l'intermodalité : Le projet renforce la place accordée vélo (+ 2.000 places en plus de celles que la Ville de Paris s'est engagée à créer).Un modèle de développement durable : Le Projet entend s'affirmer comme un modèle de développement durable, ancré dans le souhait de relance verte des Français. Il a ainsi été conçu pour limiter au maximum son impact sur l'environnement et mettre en œuvre une démarche développement durable ambitieuse tout au long de sa vie.La SA Gare du Nord 2024 ambitionne une construction bas carbone, qui se traduira notamment par l'obtention de 4 certifications parmi les plus exigeantes : BREEAM Outstanding, Well Gold, Label Énergie Carbone (E+C-) niveau E3C1 et Biodiversity.Afin de réduire la consommation en ressources et en énergies, le projet aura recours à des panneaux photovoltaïques et à au nouveau système de récupération des eaux de pluie.Une fois rénovée, la gare offrira aux habitants du quartier un nouvel espace vert de 11.400 m² dont 6.000 m2 accessibles à tous. Ce parc paysager en toiture représentera un îlot de fraicheur au sein de la Gare et du quartier. Il permettra de créer une zone perméable et favorisera le retour de la biodiversité avec plus de 10.000 m² de végétaux, dont 150 arbres nouvellement plantés.Une nouvelle vie dans la gare pour les voyageurs et les habitants du quartier.En 2018, lors de la présentation du projet, la Ville de Paris indiquait que la gare du Nord « sera plus accueillante, plus verte, plus sûre, et mieux intégrée à son quartier ».A ce titre, la gare du Nord :améliorera l'accueil de tous les voyageurs, avec une priorité pour ceux atteints de handicaps, notamment grâce à la création de plus de 100 nouveaux ascenseurs et escalators ;comprendra une offre de services et de commerces de proximité de qualité, complémentaires de ceux existants dans le quartier ; par ailleurs, l'organisation de la gare du Nord facilitera l'accès aux services essentiels comme un cabinet médical, La poste, ou à ceux correspondant aux nouveaux besoins des voyageurs, comme un atelier de réparation de vélo ou encore des vestiaires ;comprendra des jeux pour les enfants, de terrains de sport et de tables de pique-nique, ainsi que des fontaines à eau ;offrira une programmation culturelle de qualité.Un projet permettant la création de 800 emplois pendant la phase des travaux et de plus de 2.000 emplois dans la phase d'exploitation de la gare du Nord rénovée.
Il y a 4 ans et 294 jours

Les foires et salons professionnels rouvriront à partir du 1er septembre

Le nouveau ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, Franck Riester, a rencontré ce lundi 27 juillet les principaux organisateurs des foires et des salons professionnels. Après avoir été annulés en présentiel à cause de la pandémie, ces événements reprendront à partir du 1er septembre. Un soulagement pour la profession et les entreprises participantes.
Il y a 4 ans et 294 jours

26 maîtres d’ouvrage exemplaires

L’appel à projets « 50 maîtres d’ouvrage exemplaires » a été lancé le 12 mars 2020 sur la plateforme DÉMOCLÈS. Co-financé par l’ADEME et ecosystem, il va permettre à 50 maîtres d’ouvrage d’acquérir des pratiques d’exemplarité dans leurs futurs chantiers en matière de gestion et de valorisation des déchets lors des opérations de démolition et de réhabilitation de bâtiments. 26 premiers maîtres d’ouvrage ont été retenus et entament progressivement leur programme d’accompagnement. La seconde session de recrutements pour cet appel à projets est d’ores et déjà ouverte avec une date limite de dépôt des dossiers de candidature fixée au vendredi 18 septembre 2020. Deux types d’accompagnements au choix sont proposés : – Avec une « approche globale » Il s’agit d’accompagner le maître d’ouvrage dans l’évolution de ses pratiques pour l’ensemble de ses futurs chantiers, indépendamment de tout chantier en cours. – Autour d’un « chantier exemplaire » Il s’agit d’accompagner le maître d’ouvrage sur une opération spécifique de démolition ou de réhabilitation qui lui servira de démonstrateur en vue d’une généralisation de ses pratiques. 18 maîtres d’ouvrage retenus ont fait le choix d’un accompagnement global : – BREST METROPOLE HABITAT – FRANCE LOIRE – LOIRE HABITAT – MISTRAL HABITAT – REGIE IMMOBILIERE DE LA VILLE DE PARIS (RIVP) – VALOPHIS HABITAT OPH 94 – NEOTOA – REGION AUVERGNE-RHONE-ALPES – VILLE DE PARIS – ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER D’AUVERGNE – ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE L’ÎLE-DE-FRANCE – ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE NOUVELLE AQUITAINE – ASSISTANCE PUBLIQUE – HOPITAUX DE PARIS – SNCF GARES & CONNEXIONS – SNCF IMMOBILIER – NEXITY – LA FABRIQUE DES QUARTIERS LILLE – SPL ENSEMBLE 8 maîtres d’ouvrage retenus ont fait le choix d’un accompagnement sur un chantier test : – 1001 VIES HABITAT – ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER NORD PAS DE CALAIS – OPAC 36 – OPALY – SARTHE HABITAT – CONSEIL REGIONAL CENTRE VAL DE LOIRE – GRENOBLE-ALPES METROPOLE – SOLIHA PAYS BASQUE
Il y a 4 ans et 295 jours

L'unique propriété privée de l'île Sainte-Marguerite dans la baie de Cannes change de mains

Mise en vente au prix de 45 millions d'euros selon le quotidien Nice-Matin, "Le Grand Jardin" appartenait depuis une dizaine d'années à un magnat indien, Vijay Mallya.Elle s'est vendue en toute discrétion "à la barre du tribunal de commerce dans le cadre d'un règlement judiciaire" et à l'insu de la municipalité, selon la mairie de Cannes.Une opération critiquée par la gauche cannoise qui y voit le symbole de la fuite en avant de Cannes dans le tourisme de luxe, parlant d'un projet "privé, élitiste et anti-écologique" et exigeant le retour de la propriété dans le domaine public pour que "l'accès à la beauté et à la nature ne (soit) pas réservé à une caste d'hyper riches", selon le mouvement Génération-s."C'est la énième cession de ce site et (il) a toujours été fermé au public", s'est défendu au dernier conseil municipal le maire LR David Lisnard. "Il n'y aura pas d'hôtel!", a-t-il assuré, rappelant que le Plan local d'urbanisme l'interdisait.La propriété, qui pourra cependant être louée, dès le prochain festival de cinéma de Cannes selon Nice-Matin, s'étend sur environ 1,3 hectare protégé par un mur d'enceinte datant du 17e siècle.Elle abrite une villa principale, une autre maison, une tour de guet et un jardin botanique classé comme "remarquable", ainsi qu'une piscine et un héliport."Une fois rénovée, Le Grand Jardin sera l'une des destinations les plus exclusives de la Côte d'Azur (...) et offrira une douzaine de chambres (...) Un bateau, de cinéma de plein-air et une clinique esthétique complèteront la gamme de services offerts", a vanté Ultima Capital, dans un communiqué.Les implantations de cette société se lisent comme le bottin des lieux de villégiatures des plus fortunés: Gstaad, Crans-Montana, Genève (Suisse), Courchevel, Megève (France) et Corfou (Grèce), avec au total 42 hôtels, résidences, chalets, villas et emplacements."La ville n'aurait pas pu investir une telle somme dans l'acquisition d'un bien de ce type, sachant que d'autres priorités existent en matière de politique sociale et de projets de requalification de l'espace public", a également fait savoir vendredi la mairie.
Il y a 4 ans et 295 jours

Emmanuelle Wargon a constitué son cabinet

CARNET-NOMINATION. Deux arrêtés parus au Journal officiel du 25 juillet désignent les membres de la ministre déléguée chargée du Logement Emmanuelle Wargon.
Il y a 4 ans et 295 jours

Les entreprises d'ingénierie alertent sur la baisse des commandes qu'ils subissent

L'ingénierie, qui intervient en phase amont dans les secteurs industriel et de la construction, enregistre toujours une contraction de ses prises de commandes, selon la dernière édition du Baromètre économique de Syntec-Ingénierie. Avec des investissements qui restent atones dans les études et la conception, c'est, en cascade, tous les acteurs de l'écosystème qui seront impactés à moyen et long termes – équipementiers, fournisseurs, constructeurs, entreprises de travaux publics, etc.« Le niveau d'activité de l'ingénierie est un indicateur avancé de ce que sera l'activité économique dans 6 mois. Malgré les efforts salutaires du gouvernement, la machine économique est à la peine et la reprise paraît lointaine. C'est une mauvaise nouvelle pour notre profession, bien sûr, mais plus largement pour l'ensemble des acteurs économiques. Pour préserver nos entreprises et nos emplois, il faut de toute urgence investir massivement dans les projets mais aussi dans la formation de nos collaborateurs. »- Pierre Verzat, président de Syntec-IngénierieUn marché qui reste atone…L'ingénierie accompagne maîtres d'ouvrages et industriels dans la conception et réalisation de leurs projets industriels et de construction (aéronautique, automobile, environnement, construction, infrastructures, industrie, énergie, chimie, numérique, etc.).Plus d'un mois après le déconfinement, le marché reste atone et 80% entreprises d'ingénierie souffrent d'une baisse des commandes. Un niveau qui reste comparable à celui du 17 mars et qui grève le taux d'occupation des équipes. Seules 15% des entreprises interrogées déclarent avoir des collaborateurs occupés à 100% et au global, les répondants estiment que 75% de leurs effectifs seront encore sous-occupés à la rentrée de septembre.Seul un quart des entreprises d'ingénierie pense pouvoir retrouver en octobre un niveau d'activité comparable à celui de l'an passé à la même période, essentiellement dans les secteurs d'activités les moins exposés.… et des entreprises qui restent confrontées à des difficultés de trésorerieSous l'effet de la crise, les délais de paiement continuent de s'allonger. Pour 1/3 des entreprises, ils ont dépassé les 15 jours et pour 10%, ils se hissent désormais à un mois. Cette tendance est liée au marché privé pour 83% des répondants.Dans le même temps, les 2/3 des entreprises d'ingénierie interrogées s'inquiètent de voir leur trésorerie mise à mal par le ralentissement de l'activité économique. Pour près d'1 entreprise sur 2, le risque est imminent et se situe dans les 6 mois à venir ou moins. Une situation compliquée, qui explique que 54% des répondants estiment désormais que la reprise sera lente et pas avant un an au moins (vs. 43% début juin).Un retour au bureau qui s'accompagne d'une amélioration de la productivitéFait nouveau : la productivité des équipes repart enfin à la hausse et 1 dirigeant d'entreprise sur 2 l'estime désormais stabilisée. En parallèle, on observe une inversion de la part des équipes en télétravail. Alors que les éditions précédentes comptabilisaient 41% des collaborateurs en télétravail, en juin ils ne sont plus que 31% à travailler depuis leur domicile et 39% ont retrouvé le chemin du bureau.Dans le même temps, l'activité partielle baisse en proportion mais se maintient à un niveau élevé : 10% des effectifs en moyenne y sont toujours soumis. En l'espace de 2 semaines, l'on compte 4 fois plus de salariés en formation pour développer leurs compétences et préparer l'avenir.« Après le déconfinement, l'assouplissement au 24 juin du protocole sanitaire en entreprise a marqué un pallier décisif vers la reprise économique. Le tout-télétravail a été un incroyable palliatif à la crise, mais il était évident qu'il ne pouvait devenir un substitut pérenne. Il était urgent pour nos collaborateurs de se retrouver, de faire équipe, de confronter leurs idées pour innover… Il n'est pas étonnant de voir que le retour au bureau s'est accompagné partout d'un regain de productivité de nos équipes. Le télétravail se généralisera, c'est certain et souhaitable, mais un nouveau point d'équilibre est à trouver. » - Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie*Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents au cours de la semaine du 22 juin. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l'industrie et la construction et dans tous les secteurs d'activité d'ingénierie.
Il y a 4 ans et 295 jours

La future prime pour la rénovation énergétique des logements accessible à tous les revenus dès 2021

Le dispositif "MaPrimeRénov'", installé progressivement au début de l'année pour remplacer le système de crédit d'impôt pour travaux d'économies d'énergie (CITE), ne concerne aujourd'hui pas les plus aisés, au grand dam des organisations de lutte contre le réchauffement qui craignent que les projets de rénovations s'en trouvent freinés."Tous les Français seront éligibles à cette aide" à partir de 2021, a indiqué Mme Wargon au Figaro de samedi.La prime sera aussi utilisable pour les travaux en copropriétés, et ouverte aux propriétaires bailleurs (et pas seulement aux propriétaires occupant leur logement), précise-t-elle.A lui seul, ce dispositif va voir son budget accru, assure encore la ministre: "Le montant exact n'est pas encore défini, mais il devrait être bien supérieur au milliard d'euros", contre 800 millions prévus aujourd'hui pour prime et CITE cumulés.A ce stade pourtant, "MaPrimeRénov'" a attiré moins de 50.000 ménages depuis le début de l'année, un rythme très inférieur aux 200.000 attendus par le gouvernement sur 2020, notamment du fait de la crise sanitaire, selon un bilan dressé en juin par l'agence chargée de la distribuer.Pour expliquer cette déception, un rapport de la commission des Finances de l'Assemblée nationale a aussi pointé "la grande complexité du dispositif", aux montants variables.Le bâtiment est le deuxième secteur le plus émetteur de gaz à effet de serre en France. Le pays compte plus de 7 millions de logements "passoires" (étiquetés F ou G), une situation qui peine à s'améliorer.Pour changer d'échelle, les experts prônent notamment de passer à des rénovations globales, plutôt qu'à des rénovations par étapes ou par gestes. La Convention citoyenne pour le climat a pour sa part recommandé de rendre ces travaux obligatoires, par exemple lors de changements de propriétaires.Mme Wargon avait indiqué mi-juillet qu'au total "4 à 5 milliards" d'euros seraient consacrés au bâtiment et à la rénovation thermique, dont une bonne partie à la rénovation des bâtiments publics.Le 14 juillet, Emmanuel Macron a promis "un grand programme de rénovation", en commençant par les écoles et les Ehpad, sans toutefois évoquer le caractère obligatoire proposé par la Convention citoyenne.
Il y a 4 ans et 295 jours

L'ancien député PS Alain Cacheux, figure du logement social, est décédé

Alain Cacheux, ancien député PS, est décédé ce dimanche soir, a annoncé la fédération PS du Nord. L'homme politique, qui a été notamment président de la Fédération nationale des Offices Publics de l'Habitat (FOPH) de 2011 à 2018, était très engagé sur le sujet du logement social.
Il y a 4 ans et 295 jours

120 000 passoires thermiques et les chaudières au fuel vont disparaître

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique et Emmanuelle Wargon, en charge du logement ont annoncé une série de mesures à la suite du 5e conseil de défense écologique du 27 juillet 2020. Un projet de loi sera présenté fin septembre, fruit du travail de plusieurs groupes de réflexion cet été. Le conseil de défense écologique s’est concentré sur des mesures concernant le logement et le transport issues de la convention citoyenne. La rénovation énergétique des bâtiments et la lutte contre la précarité énergétiques sont prioritaires. « Nous avons tout à gagner à développer une filière du bâtiment tournée vers la rénovation pour développer des emplois d’avenir non délocalisables et ancrés dans les territoires » a indiqué Barbara Pompili, la ministre de la Transition écologique. Emmanuelle Wargon a annoncé les mesures : lutter contre les passoires thermiques en introduisant par décret la notion de performance énergétique de logements décents à compter du 1er janvier 2023, les locataires vivant dans des passoires thermiques pourront exiger devant le juge que les propriétaires entreprennent des travaux, le magistrat pourra geler le loyer ou interdire la location. Tous les logements dont la dépense énergétique dépasse 500 kWh/m2 de chauffage par an (soit 120 000 logements locatifs aujourd’hui) sont concernés. A compter du 1er janvier 2022, le remplacement des chaudières au fuel ou à charbon sera accéléré, en obligeant un renouvellement avec des chaudières moins polluantes. On ne pourra plus installer de nouvelles chaudières au fuel en France, la conversion les artisans chauffagistes sera appuyée par le gouvernement. Les aides aux ménages seront renforcées, 2 milliards seront ajouté au budget des aides contre 800 millions actuellement pour Maprimrénov. Par ailleurs, le chauffage extérieur des terrasses sera interdit, les portes des ERP climatisés ou chauffés obligatoirement fermées.
Il y a 4 ans et 295 jours

Un sculpteur tchèque dessine une maison flottante imprimée en 3D

Coulée en béton spécial à Ceske Budejovice (sud), la maison devrait être acheminée à Prague en août."J'ose dire que c'est le tout premier bâtiment flottant imprimé en 3D dans le monde", a dit à l'AFP Michal Trpak, le cerveau du projet.Le design de la maison, qui peut être imprimée en 48 heures, s'inspire de la morphologie des protozoaires et comprend un salon avec une cuisine, une chambre et une salle de bains, le tout d'une surface de 43 m²."Les maisons 3D s'adapteront aux gens ou au paysage. Le robot ne se soucie pas du contour", a déclaré Trpak au milieu du bourdonnement d'un bras mécanique à bec posant patiemment, couche après couche, des bandes successives de béton."Cette maison est conçue comme celle de loisirs à la campagne, idéale pour un couple ou une petite famille", a précisé M. Trpak, qui s'est inspiré de projets d'habitations imprimées en 3D aux Pays-Bas.Si le prototype semble à son dessinateur encor cher, "une deuxième génération devrait coûter environ trois millions de couronnes (112.600 euros) et la troisième environ la moitié de ce prix", estime-t-il.Une fois imprimés, les modules de la chambre et de salle de bain seront fixés à un noyau en bois avec de grandes fenêtres, et recouvertes d'un toit.La maison sera ensuite transportée à Prague, installée sur un ponton et remorquée jusqu'au quai sur Vltava où elle restera pendant deux mois."Nous n'avions pas de terrain pour l'installer, et de toute manière, pour ce faire, il faut un permis de construire ce qui prend jusqu'à deux ans", a expliqué M. Trpak.Mais sur une rivière, "vous n'avez besoin que du consentement de l'organisme responsable de la navigation, ce qui est beaucoup plus rapide", a-t-il ajouté.Selon lui, le toit et les murs de cette maison inspirée par la nature peuvent être recouverts de plantes.La construction a certes rencontré des problèmes, le béton utilisé étant sensible aux changements de température lors du durcissement."Nous continuons à chercher et à développer (le projet, ndlr). C'est un processus d'essais et d'erreurs", a rappelé M. Trpak.
Il y a 4 ans et 295 jours

iQspot réduit la consommation énergétique des bâtiments tertiaires de 15% !

iQspot réduit la consommation énergétique des bâtiments tertiaires de 15% ! 95% du parc de bâtiments tertiaires (bureaux professionnels, commerces, établissements d’enseignement, établissements de santé, locaux sportifs, locaux culturels, entrepôts,…) n’est pas équipé de moyens d’analyse en temps réel des consommations énergétiques. Pourtant, tous les ans, les réglementations RSE contraignent les propriétaires et les locataires à fournir des reportings de plus en plus exigeants. Et la tendance est à la hausse selon les dernières directives du décret tertiaire ! Pour répondre à ce besoin réglementaire et environnemental, iQspot a développé une solution clé en main qui permet d’avoir accès aux consommations énergétiques des parcs immobiliers et d’être alerté en temps réel des anomalies de consommation pour mieux en maîtriser la performance. Après trois années d’utilisation de la solution, Imodam revient sur une collaboration efficace qui lui a permis de réaliser 15% d’économies dès la première année. Le seul acteur sur le marché à collecter les données multi-fluides en temps réel. Depuis 2015, iQspot a développé une solution légère et clé en main par abonnement destinée aux foncières et gestionnaires immobiliers pour collecter en temps réel les données énergétiques de leur parc de bâtiments et ainsi faciliter les diminutions de consommation. La solution capte et agrège en continu les données émises par des capteurs basse consommation installés sur les compteurs (eau, gaz, électricité, réseaux chaud/froid…), puis les algorithmes analysent les données pour mieux piloter l’activité des bâtiments et alerter les gestionnaires en temps réel. iQspot détecte ainsi automatiquement les consommations inhabituelles, mesure l’impact des travaux de réparation ou d’amélioration et étudie le comportement des bâtiments en fonction de la météo, pour agir efficacement en faveur de la transition énergétique immobilière. A date, c’est le seul acteur en France à proposer un suivi aussi complet  tous fluides en temps réel. « iQspot est la seule solution du marché, à notre connaissance, permettant réellement une lecture instantanée des consommations. Les autres solutions examinées proposaient au mieux un relevé journalier, au pire des factures mensuelles : inopérant dans tous les cas pour analyser ce qui se passe et agir sur le terrain.” précise Cédric Jounel, Directeur Technique d’Imodam Une solution qui répond à une obligation réglementaire et qui crée de la valeur. Suite à la publication du décret tertiaire en juillet 2019, tous les bâtiments à usage tertiaire d’une superficie supérieure ou égale à 1000m² ont l’obligation de réduire de -40% d’ici 2030 (puis -50% d’ici 2040 et -60% d’ici 2050), leur consommation d’énergie finale. Le 10 avril 2020, un nouvel arrêté est paru précisant notamment les modes de calcul pour réduire la consommation en fonction de l’année de référence choisie par l’assujetti. En cas de non-atteinte des objectifs, une mise en demeure sera effectuée entraînant une amende pouvant aller jusqu’à 7500€. Les sanctions reposent également sur le « Name & Shame », qui va répertorier le nom des sociétés qui ne se seraient pas acquittées de leurs obligations. Un dispositif qui aura un réel impact sur la valorisation des actifs d’une entreprise. Ces mesures drastiques correspondent en outre à une pression de plus en plus forte des preneurs à bail et obligent les foncières et gestionnaires immobiliers à muscler leurs actions pour répondre aux obligations et à améliorer la performance de leurs bâtiments. [Zoom sur le Business Case iQspot x Imodam] 15% d’économies d’énergie sur le parc d’actifs d’Imodam réalisées dès la première année d’utilisation de la solution d’iQspot. Le cabinet Imodam gère le patrimoine immobilier de nombreux fonds et investisseurs (immeubles de bureaux, commerces et habitations de standing…), soit environ 70 actifs sur Paris et la région parisienne. Afin de certifier et améliorer la note BREEAM In-Use de ses actifs, Imodam cherchait un outil de suivi et de pilotage des fluides (énergie, eau) qui relève les consommations et surveille les données en temps réel. Il souhaitait pouvoir prévenir avec beaucoup de réactivité ses équipes et acteurs sur le terrain (facility, agents CVC, plombiers…) de la présence éventuelles d’anomalies de consommation. Imodam a fait appel à iQspot, seul acteur du marché à proposer un pilotage des données multi-fluides en temps réel. Dès la première année, 15% d’économies avaient été réalisées, grâce à la détection de chasses d’eau qui fuyaient ou par le remplacement des éclairages des parties communes par des LED par exemple. Outre ces économies très significatives, Imodam a également été satisfait de pouvoir rendre compte aux locataires des économies effectuées et de l’intérêt des investissements réalisés. Cédric Jounel, Directeur Technique d’Imodam ajoute même : « Nous avons équipé notre premier immeuble en 2017, puis avons continué chaque année depuis. Nous avons commencé par installer la solution pour relever les consommations d’électricité, puis celles d’eau, et enfin celles des réseaux urbains. Nous avons donc pris une grosse avance sur le décret tertiaire à venir et les déclarations à faire sur la plateforme OPERAT.” _______________________________________________________________________________________________________________ À PROPOS iQspot est le fruit de la rencontre entre deux ingénieurs Julien Bruneau et Quentin Enard. Deux docteurs convaincus que la technologie peut servir de grandes ambitions écologiques, notamment dans le domaine de l’immobilier, responsable de 40% des consommations énergétiques et de 20% des émissions de gaz à effet de serre (GES). En 2015, ils créent iQspot, une solution pour faciliter et valoriser les diminutions de consommations dans les bâtiments à usage tertiaire. En savoir plus : www.iqspot.fr
Il y a 4 ans et 295 jours

Ma PrimeRénov accessible à tous dès 2021

RÉNOVATION. La ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, a annoncé l'extension du dispositif à tous les propriétaires, sans condition de revenus, ainsi qu'aux bailleurs dès l'an prochain.
Il y a 4 ans et 295 jours

L’ingénierie privée fragilisée à cause d’un décret

Alors que la maîtrise d’œuvre demeurait jusqu’ici l’apanage de l’ingénierie privée, selon les dispositions du décret n°2019-580 du 14 juin 2019 qui excluait ce type de mission de l’assistance technique fournie par les départements, un nouveau décret paru le 18 juin 2020 n°2020-751 vient supprimer cette disposition et ainsi fragiliser un secteur que l’on promet par ailleurs d’aider à travers le plan de relance à venir. La Fédération CINOV et Syntec-Ingénierie, les deux organisations professionnelles représentatives de l’ingénierie privée, ont sollicité un entretien auprès du gouvernement pour connaître les motivations d’une telle décision et demander sa suppression. Ce décret relatif à l’assistance technique fournie par les départements à certaines communes et à leurs groupements, est venu fragiliser encore davantage les entreprises d’ingénierie privée car il ouvre les missions de maîtrise d’œuvre, autrefois réservées aux entreprises d’ingénierie, au secteur public. Ce décret imposé sans aucune concertation avec les acteurs entraînera de façon certaine une baisse de la commande publique pour le secteur de l’ingénierie privée. Une telle politique met en danger l’activité d’entreprises locales et la préservation d’emplois hautement qualifiés dans les territoires, sans garantie aucune que l’ingénierie publique y supplée demain, faute de moyens et d’expertises. C’est l’avenir de l’ingénierie privée dans les territoires qui est en jeu donc des pans entiers de l’économie qui sont fragilisés en plein contexte de crise. La Fédération CINOV et Syntec-Ingénierie demandent à ce que soit rétablie dans les meilleurs délais la disposition suivante prévue dans le décret n°2019-580 du 14 juin 2019 – « l’assistance technique ne comprend pas les missions de maîtrise d’œuvre telles que définies à l’article R. 2431-1 du code de la commande publique ».
Il y a 4 ans et 298 jours

La Ville de Paris préempte le Lavoir moderne parisien à la Goutte d'Or

La municipalité dirigée par la socialiste Anne Hidalgo, qui vient d'être reconduite pour un nouveau mandat, "s'engage pleinement aux côtés des acteurs culturels pour sauvegarder ce bâtiment historique et maintenir son ambition culturelle", selon un communiqué."Elle proposera un projet ambitieux pour ce lieu devenu mythique de par les combats qui y sont rattachés". Une initiative portée par Christophe Girard, adjoint à la culture, Ian Brossat, adjoint au logement, et Eric Lejoindre, maire PS du 18e.Décrit par Emile Zola dans son roman "l'Assomoir", le mythique lavoir de la rue Léon, construit en 1870, fut exploité jusqu'en 1953. En 1968, après des années d'abandon, il a été transformé en salle de théâtre. Il est aujourd'hui géré par l'association "Graines de soleil", soutenue par la Ville.La municipalité s'est positionnée à plusieurs reprises en faveur de la conservation de la partie historique du bâtiment et du maintien de l'activité théâtrale, qui permet de soutenir de jeunes compagnies aux esthétiques variées."La préemption permettra de sauvegarder ce bâtiment représentatif de l'architecture faubourienne. (...) Elle permettra également la réalisation à cette adresse de logements", en plus de la partie artistique, a annoncé la mairie.Le Lavoir moderne parisien a été pendant plus de 30 ans un lieu de culture et de rencontres artistiques pluri-disciplinaires avec une orientation fortement marquée vers les jeunes auteurs."Le lavoir moderne Parisien est un lieu dédié à la création contemporaine résolument ancré sur son quartier. Son pari est de faire confiance aux jeunes compagnies, de promouvoir et de produire des formes et des écritures nouvelles", indique-t-il sur son site internet.
Il y a 4 ans et 298 jours

L’Union sociale pour l’habitat annonce le report en septembre 2021 de son 81ème Congrès

 L’Union sociale pour l’habitat a décidé de reporter la tenue de son 81ème Congrès, initialement prévu du 22 au 24 septembre 2020 au parc des expositions de Bordeaux.  Le décret n°2020-860 pris en application de la loi du 9 juillet 2020 organisant la sortie de l’état d’urgence sanitaire pour la période du 11 juillet 2020 au 30 octobre 2020 inclus, alors qu’il autorise de nombreuses formes de manifestations, notamment sportives ou culturelles, dispose en effet que les Etablissements recevant du public (ERP) de type T (établissements à vocation commerciale destinés à des expositions, foires-expositions, salons ayant un caractère temporaire, salles d’exposition à caractère permanent n’ayant pas une vocation de foire ou de salon) ne peuvent accueillir de public. Le Congrès Hlm, qui accueille chaque année plusieurs milliers de congressistes et de visiteurs et plus de 300 structures exposantes, entre dans cette catégorie.  Cette situation est sans précédent pour l’USH, et la contraint par conséquent à reporter le 81ème Congrès Hlm qui se tiendra donc du 28 au 30 septembre 2021 à Bordeaux.  Ce report, historique et rendu nécessaire par les circonstances, ne privera pas le Mouvement Hlm de sa capacité à faire connaitre ses propositions et ses projets pour la relance économique, et à peser dans le débat public, alors même que la question du logement a retrouvé, dans le contexte de la crise que nous connaissons, toute son importance. L’Union sociale pour l’habitat organisera donc à l’automne, à Paris, une journée consacrée aux objectifs de la relance, et aux moyens nécessaires pour construire, collectivement, une relance juste et durable.  Pour Jean-Louis Dumont, président de l’Union sociale pour l’habitat, « Le Congrès Hlm est un événement politique et économique majeur pour un secteur – le logement social – qui comprend 80.000 salariés et administrateurs, loge 11 millions de personnes, construit chaque année plus de 100.000 logements et investit près de 18 milliards d’euros dans l’économie française. C’est avec tristesse, mais aussi avec responsabilité et gravité que nous avons pris la décision de ce report. Le 81ème Congrès Hlm se tiendra donc à Bordeaux, en septembre 2021, et le Mouvement Hlm y donne d’ores et déjà rendez-vous à ses partenaires politiques, associatifs, économiques ».  Plus d’infos sur : https://www.union-habitat.org
Il y a 4 ans et 298 jours

Les artisans demandent que la réduction des impôts de production bénéficie à la totalité des entreprises

Tout en "partageant" l'opinion du ministre de l'Économie Bruno le Maire sur ces impôts "stupides et néfastes", l'U2P, qui représente surtout des artisans et des professions libérales, "demande que la réduction des impôts de production bénéficie à la totalité des entreprises, quel que soit leur taille ou leur niveau de chiffre d'affaires", selon un communiqué.Le gouvernement n'a pas encore décidé quels impôts de production seraient concernés par la baisse de 20 milliards d'euros sur deux ans qu'il a annoncée, mais M. Le Maire s'est dit favorable à une baisse de la CVAE (cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises) qui ne concerne que les entreprises réalisant plus de 500.000 euros de chiffre d'affaires.La C3S (contribution sociale de solidarité des sociétés) ne concerne pour sa part que celles dont le chiffre d'affaires dépasse 19 millions d'euros."Seule la CFE - contribution foncière des entreprises - s'impose à toutes les entreprises qui réalisent un chiffre d'affaires annuel supérieur à 5.000 euros. Autant dire que la quasi-totalité des entrepreneurs individuels, sociétés, associations, fondations et entreprises publiques y est assujettie", relève l'U2P."Par souci d'équité et dans l'intérêt de l'ensemble de l'économie du pays, l'U2P invite donc le gouvernement à engager la réduction des impôts de production en commençant par une baisse de la CFE", poursuit cette organisation dont l'ancien président Alain Griset est devenu ministre délégué aux PME du gouvernement Castex.La baisse des impôts de production fera partie du plan de relance de l'économie française que M. Le Maire doit présenter en conseil des ministres le 24 août.
Il y a 4 ans et 298 jours

La reprise s'accélère en France, mais la prudence reste de mise

Les bons signaux se suivent et se ressemblent ces derniers jours: l'activité du secteur privé s'est ainsi nettement redressée en juillet, en particulier dans les services qui ont été durement touchés par la crise, selon un indicateur provisoire très suivi, publié vendredi par le cabinet IHS Markit."La demande intérieure commence enfin à reprendre, un nombre croissant d'entreprises reprenant leurs activités, tandis que les dépenses des consommateurs commencent à retrouver des niveaux plus habituels", a souligné Eliot Kerr, économiste chez IHS Markit, cité dans un communiqué.Jeudi, l'indicateur de climat des affaires publié par l'Insee témoignait déjà d'un regain de confiance en juillet des chefs d'entreprises, qui jugent bonnes les perspectives d'activité dans la plupart des secteurs.Cocorico: la France connaîtrait même "la reprise d'activité la plus forte d'Europe", selon un baromètre publié vendredi par le cabinet de conseil BCG. Après avoir connu toutefois une des plus fortes chutes.Selon ce baromètre, la consommation repart notamment très fort en France, plus rapidement qu'en Allemagne ou au Royaume-Uni, tout comme l'activité du secteur automobile."Depuis plusieurs semaines nous enregistrons des indicateurs positifs qui traduisent l'efficacité de nos mesures", s'est félicité le ministre de l'Economie Bruno Le Maire jeudi devant les députés, une allusion aux 460 milliards d'euros de moyens publics mobilisés depuis la mi-mars.La Banque de France s'attend d'ailleurs à un rebond de 14% du PIB au troisième trimestre, et l'Insee, plus optimiste, table sur une progression de 19%, après une chute de 17% au deuxième trimestre."trop fragiles"Mais Bruno Le Maire a jugé ces résultats "trop fragiles pour que nous révisions nos prévisions de croissance pour le moment". Le gouvernement prévoit toujours une contraction de 11% du produit intérieur brut (PIB) cette année, quand l'Insee table sur une baisse de 9% et la Banque de France de 10,3%."Nous continuerons à nous battre pour (...) faire mieux" que ces -11%, a toutefois assuré le ministre. Le plan de relance de 100 milliards d'euros, dont une partie des mesures sera appliquée dès la rentrée, notamment celles sur l'emploi des jeunes, devrait y contribuer, avant un plein effet l'an prochain.Car la rentrée s'annonce pleine de dangers pour l'économie française. Le chômage pourrait augmenter fortement avec une arrivée compliquée des jeunes diplômés sur le marché du travail. Les risques de faillites et de plans sociaux pourraient croître eux aussi avec l'arrêt d'un certain nombre de dispositifs d'aides d'urgence."Le retour à la normale est loin d'être acquis", juge ainsi Julien Manceaux, économiste chez ING. "Dans le secteur des services, la confiance se situe juste au-dessus de son plus bas niveau de la crise de 2009. Ce seul constat montre à quel point le rebond du déconfinement est relatif", détaille-t-il dans une note.Dans le commerce aussi, on fait grise mine. Le début des soldes est "peu dynamique", selon la fédération Procos, qui regroupe les acteurs du commerce spécialisé. Et depuis le 1er janvier, les ventes de ses adhérents accusent en recul de près de 30% par rapport à l'an dernier."La situation reste très compliquée pour nombre de magasins, la rentrée et la fin d'année seront déterminantes", prévient Procos, rappelant que "le commerce est un secteur à très fort enjeu sur le front du risque social et de l'impact territorial". Une allusion aux difficultés de nombreuses enseignes (Camaiëu, André, Naf Naf...) qui laissent augurer fermetures de magasins et suppressions d'emplois.En matière d'emploi justement, "s'il y a une amélioration considérable pour les contrats d'intérim ou temporaires, (...) les intentions d'embauche hors travail temporaire ne sont guère plus élevées qu'au creux de la crise de 2009", note aussi Julien Manceaux, illustrant selon lui "les doutes (...) quant au niveau d'activité qui caractérisera cette nouvelle normalité post-covid".
Il y a 4 ans et 298 jours

Les 3 start-up lauréates du projet Numériser l'existant

Ces solutions digitales innovantes représentent une avancée technologique majeure pour accompagner les professionnels du secteur de la rénovation énergétique des bâtiments et ainsi faciliter et encourager les travaux. Un sujet plus que jamais d'actualité, évoqué lors de la dernière allocution d'Emmanuel Macron sur le plan de modernisation, ainsi que des débats de la Convention citoyenne pour le climat.Numériser l'existant : un challenge inédit pour des solutions numériques plus adaptées à la rénovation énergétique des bâtimentsParmi les thématiques des 9 projets du programme national PROFEEL, la « numérisation de l'existant » constitue le point de départ de toute opération de rénovation. Le numérique, et en particulier la modélisation 3D du bâti, est en effet un puissant outil de conception et de vente : il permet de raccourcir les process et rassurer les clients.« L'enjeu du projet est de réduire les coûts de numérisation, améliorer la qualité de la saisie et simplifier l'ergonomie des outils, pour les rendre plus accessibles aux professionnels concernés, afin de réaliser un diagnostic plus précis, rapide et économique au moment d'établir des scénarios de travaux de rénovation énergétique ». - Xavier Bernard, responsable de projets AQC, pilote du projetL'équipe du projet, porté par l'AQC et ADN Construction, a lancé à l'automne 2019 un challenge entre start-up. Celles-ci devaient proposer le développement d'une solution digitale sous la forme d'une plateforme web ou application pour smartphone ou tablette, interopérable avec les logiciels BIM, à destination des professionnels du bâtiment travaillant chez un client particulier (TPE et PME en priorité). 30 candidatures ont été reçues, dont 4 finalistes, puis 3 lauréats ont été choisis par un jury composé de professionnels du bâtiment et de l'innovation numérique, bénéficiant d'une dotation globale de 420 000 euros.Le programme PROFEEL, lancé en avril 2019 par le ministre d'Etat François de Rugy et sa secrétaire d'Etat Emmanuelle Wargon, est dédié à l'innovation technologique au service de la rénovation énergétique des bâtiments et s'inscrit dans le cadre du Plan initié par le gouvernement en 2018. Porté par 16 organisations professionnelles, il se compose de 9 projets opérationnels, qui visent à développer et apporter des outils et solutions concrètes et accessibles aux professionnels du bâtiment, en amont, pendant et après les travaux de rénovation.3 lauréats pour 3 outils innovants de numérisationBimeo et sa solution ARtoBuild, LevelS3D ainsi que WiseBim sont les 3 lauréats du challenge Numériser l'existant. Les start-up bénéficieront dans les prochains mois d'un soutien financier et technique du programme PROFEEL pour intégrer à leur solution de nouvelles fonctionnalités, qu'elles feront tester par étapes à des beta utilisateurs. Les premiers livrables des outils devraient être finalisés dès l'automne 2020, suivis de nouvelles versions ou fonctionnalités au 1er semestre 2021.Les 3 solutions lauréates :ARtoBuild de Bimeo Le scan 3D ultra rapide et précis en quelques clicsARtoBuild est une solution inédite développée par Bimeo, plateforme collaborative BIM, à destination des professionnels du bâtiment, récompensée en 2019 aux cérémonies du BIM d'Or et des Trophées de la Construction. Cette application, compatible avec le dernier iPad pro pour son capteur ultra-précis (technologie Lidar), permet de scanner en 3D simplement et rapidement n'importe quelle pièce.A partir de son interface, les pièces sont assemblées et la maquette numérique est générée au format. Le financement de PROFEEL permet à Bimeo de développer de nouvelles fonctionnalités, telles que la gestion de l'épaisseur des parois, l'ajout d'objets type radiateur, éclairage…, ou encore la possibilité d'annoter la maquette avec des cotations.S3D Capture de LevelS3D Appli, cloud et IA pour un rendu 3D completLevelS3D est une start-up fondée en 2012 par Yannick Folliard, labellisée JEI (Jeune Entreprise Innovante). Elle a conçu l'application mobile de numérisation S3D Capture, accessible et à bas coût sous forme d'abonnement ou offres à l'acte, compatible avec des smartphones et tablettes équipés d'un capteur de profondeur intégré (compatible sur l'Ipad pro). Basée sur la technologie de nuages de points, elle permet de scanner une habitation aussi facilement qu'en filmant, puis de générer automatiquement et instantanément le modèle 3D. Grâce au financement du projet, LevelS3D prévoit trois phases de développement des nouvelles fonctionnalités : prépositionnement des nuages de points, ajout de photos pour un rendu plus réaliste, et intégration d'IA pour identifier en 3D des objets et éléments du bâti.Plans2BIM de WiseBIM L'innovation unique qui transforme les plans 2D en 3DWiseBIM est une start-up issue du Commissariat à l'Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA) créée en 2017 qui accompagne les gestionnaires de patrimoines immobiliers dans leur transition numérique du bâtiment vers le BIM. Plans2BIM, son logiciel en mode SaaS, en cours de déploiement, sera disponible sur abonnement ou par jetons. Basée sur des algorithmes, cette solution permet de transformer automatiquement et très rapidement en maquette 3D IFC n'importe quel plan architectural 2D, ainsi qu'éditer et enrichir la maquette, via la plateforme en ligne, sans avoir à se déplacer sur site. Le financement obtenu permet à la start-up de finaliser le développement du logiciel, dont des modules pour obtenir rapidement les dimensions d'intérêt ainsi que pour assembler les différents niveaux du bâtiment en une maquette unique.
Il y a 4 ans et 298 jours

Découvrez les 10 malfaçons les plus coûteuses dans le Bâtiment

OBSERVATOIRE. L'Agence qualité construction vient de publier sa liste des malfaçons les plus fréquentes et coûteuses dans le secteur de la construction. Explications avec Philippe Estingoy, directeur général de l'organisme, contacté par Batiactu.
Il y a 4 ans et 298 jours

Le Gouvernement finalise son plan post-Covid pour l'emploi des jeunes

INSERTION. Après des tractations avec les partenaires sociaux et quelques cafouillages, l'exécutif a fini par présenter son plan post-Covid en faveur de l'emploi des jeunes, intitulé "Un jeune, une solution". Elisabeth Borne, la ministre du Travail, est revenue ce 24 juillet au matin sur les mesures arrêtées, ainsi que sur la réforme de l'assurance-chômage et l'activité partielle.
Il y a 4 ans et 298 jours

Le Maire souhaite renforcer la régulation des concessions autoroutières

Bruno Le Maire, a plaidé pour un renforcement de la régulation des concessions autoroutières, en souhaitant des contrats plus courts et des rendez-vous réguliers pour réévaluer leur rentabilité.
Il y a 4 ans et 298 jours

AOS fête ses 3 ans d'existence

Grâce à son logiciel de gestion très simple d'utilisation, les équipes d'AOS fluidifient les échanges d'informations et permettent aux acteurs du BTP de se focaliser sur leur cœur de métier. En trois ans l'entreprise est devenue un acteur incontournable du secteur, avec plus de 10 milliards d'euros de travaux commandés par ses 400 clients depuis son lancement.La digitalisation est un enjeu majeur pour les acteurs du bâtiment, que l'on soit Maître d'Ouvrage, Maître d'Oeuvre, Entreprise Générale ou encore Entreprise du bâtiment. Et après ce que nous avons vécu avec le confinement en ce début d'année, le digital a une réelle place à prendre pour aider cette industrie et soutenir l'économie en raccourcissant les délais de décision.Le processus d'Appel d'Offres fait partie des missions longues et fastidieuses du métier de Donneur d'Ordres (Maître d'Ouvrage, Maître d'OEuvre, Entreprise Générale). C'est pourtant un moment crucial pour qu'une opération puisse voir le jour. C'est le moment où l'on va confronter le chiffrage d'un chantier à la réalité du marché. AOS digitalise ce processus en automatisant les tâches telles que le lancement, le suivi et l'analyse comparative des offres. Et depuis Mai 2020, AOS propose une offre de signature électronique, diminuant ainsi le temps de travail et le risque d'erreur permettant aux acteurs du BTP de se concentrer sur leur coeur de métier : construire.L'entreprise s'est rapidement imposée comme une référence et est aujourd'hui le leader de la digitalisation des consultations d'Entreprises dans le BTP. Depuis trois ans, AOS collabore avec de nombreux clients prestigieux dans l'hexagone, les Dom Tom, la Belgique mais aussi le Luxembourg, parmi lesquels : NEXITY, ICADE, BNP, SOGEPROM, LIDL, GIFI... En deux ans de commercialisation, AOS a ainsi lancé plus de 2.000 projets immobiliers, représentant plus de 10 Milliards d'euros de travaux sur sa plateforme et a dépassé le seuil de 400 clients, 15 000 Entreprises B2B et plus de 40 000 utilisateurs.La scale-up a également signé un partenariat stratégique avec deux acteurs majeurs du monde de l'immobilier : Attestation Légale et KaIiti, leaders respectivement dans la gestion de conformité fournisseurs et suivi de chantier et de livraison. Au quotidien, les trois entreprises travaillent en synergie.Évolution du nombre de commandes passées :2017 : création d'AOS2018 : 360 millions d'euros2019 : 4 034 millions d'euros2020 (janvier à juin) : 10 320 millions d'euros« Nous sommes fiers du chemin parcouru. Dans les années à venir, AOS va continuer d'asseoir sa position de leader, pour devenir un pure player de l'industrie du BTP. Nous ne souhaitons pas nous étendre à d'autres industries mais plutôt capitaliser sur notre expertise dans ce secteur. Nous avons à coeur d'accompagner nos clients de bout en bout, du lancement d'un projet en consultation jusqu'à la signature des marchés et la capitalisation des ratios de construction. Et je suis d'autant plus fier de pouvoir assurer un développement Tech 100% AOS et made in France ! »- Alexandre Brochot, Président Cofondateur d'AOSEn trois ans, l'entreprise est passée de 2 associés à 70 collaborateurs. D'ici 2021, elle compte doubler ses effectifs, pour accélérer son développement tant en France qu'à l'international. Depuis sa création, AOS a levé plus de 4 millions d'euros, auprès d'investisseurs et de partenaires bancaires, dont BPI France.
Il y a 4 ans et 298 jours

Haute-Loire : Nouvelle usine pour nouveau producteur Air’Bloc

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Inauguration de l’usine rénovée de Pomel Béton. [©Pomel Béton] Entreprise du groupe Gedimat depuis 2010, Pomel Béton est spécialisée dans la fabrication d’éléments en béton pour la construction. Elle vient de faire évoluer son usine, afin de pouvoir produire l’Air’Bloc du GIE Perin. « Fin 2018, nous avons souhaité renouveler l’outil de production pour suivre l’évolution du marché, confie Christophe Foucault, directeur administratif et financier de Pomel Béton. Nous nous sommes équipés d’une presse de marque Quadra et d’une rectifieuse. Nous avons complété cette chaîne de fabrication d’un mousseur pour remplir les alvéoles des blocs béton d’un produit isolant. Un concept développé par le GIE Perin. » Ainsi à Vergongheon, Pomel Béton va continuer à fabriquer des blocs classiques, mais aussi, des blocs rectifiés et des blocs isolants Air’Bloc. Tous les matériaux composant ces nouveaux produits sont issus de carrières situées dans un rayon de 20 km autour de l’usine de Vergongheon. Afin de limiter l’impact carbone dans le process de fabrication.  L’industriel intervient dans le Cantal, la Haute-Loire et le Puy-de-Dôme. « L’inauguration de cette nouvelle usine était aussi l’occasion de présenter tous nos nouveaux produits, poursuit Christophe Foucault. D’abord, l’Air’Bloc, exploité sous licence, et les longrines pour les fondations de bâtiments. Enfin, les blocs Titan XL à emboîtement pour murs de soutènement. Nous sommes fiers de présenter ces nouveaux savoir-faire aux élus, à tous nos clients et fournisseurs, et aux acteurs du bâtiment de la région. »
Il y a 4 ans et 298 jours

Le patrimoine des Lieux de culte lyonnais - Livre

Entre 1900 et 2012, 165 sanctuaires ont été bâtis dans un territoire comprenant, outre le département du Rhône, le nord de la Loire autour de Roanne. Un patrimoine à redécouvrir grâce à la somme établie par Maryannick Chalabi et Violaine Savereux-Courtin, respectivement conservatrice en chef honoraire du patrimoine et conservatrice […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 298 jours

Les grands groupes restent les principaux bénéficiaires des marchés autoroutiers

TRAVAUX PUBLICS. L'Autorité de régulation des transports (ART) a rendu public son 5e rapport sur les marchés passés par les sociétés concessionnaires d'autoroutes et les travaux réalisés en 2019. Des travaux qui permettent de faire le point sur la conduite du plan de relance autoroutier, l'évolution des marchés et des entreprises à qui ils profitent.
Il y a 4 ans et 299 jours

Georgelin promeut les métiers d'art sur les palissades de Notre-Dame

Le président de l'Etablissement public présentait sur les palissades de la rue du Cloître, le long de la cathédrale, une exposition de photos, "Les bâtisseurs d'aujourd'hui : les corps de métiers au coeur du chantier de sécurisation de Notre-Dame"."La loi me demande à moi de valoriser les métiers d'art. Nous espérons le faire en montrant l'excellence, en suscitant des vocations", a-t-il argué, soulignant qu'il y a "sûrement un gisement important d'emplois". Plus de quarante entreprises interviennent sur le chantier.L'acceptation par l'Elysée d'une reconstruction à l'identique et l'abandon du geste architectural novateur qu'Emmanuel Macron avait souhaité, est le choix du "bon sens, de la fidélité, de la loyauté et de l'amour de l'art gothique", a-t-il plaidé."C'était le voeu des donateurs, de la quasi-totalité des grands architectes, et des Français dans leur immense majorité, si on avait fait un réferendum", a-t-il argué."Nous entrons dans une nouvelle phase, car nous savons maintenant que nous reverrons la flèche de Viollet-Le-Duc, nous allons rebâtir la charpente selon des modalités qui restent encore à préciser et nous reconstruirons la couverture du grand comble en plomb, quels que soient les combats qu'il faudra mener", a-t-il martelé."Entre 150 à 180 personnes travaillent sur le chantier qui connaît un dynamisme qu'il n'avait jamais connu avant, et nous allons monter en puissance. Très vite nous allons passer à 300/450 personnes d'ici la fin de l'année", a-t-il estimé.Il a défendu le plomb pour "la couverture du grand comble": "tous les toits des grands monuments de Paris et des grandes cathédrales françaises sont en plomb". Et "il y a des moyens de traiter le plomb de façon à ce qu'il ne soit pas une atteinte à la santé".Quant à la charpente en chêne, cela "représente 1.000 à 2.000 arbres, c'est à dire 0,0125 de la production française de chênes", a-t-il argumenté.L'exposition montrant les diverses phases et aspects du sauvetage de la cathédrale, réalisées par le photographe Patrick Zachmann (Magnum), met en valeur quelques-uns des corps de métiers -charpentiers, cordistes, échafaudeurs, grutiers, maîtres verriers, tailleurs de pierre et maçons.
Il y a 4 ans et 299 jours

Castex annonce un plan à 6,5 milliards pour "mettre le paquet" sur l'emploi des jeunes

"Le gouvernement a décidé de mettre le paquet sur l'emploi des jeunes parce que nous savons qu'en temps de crise ce sont ceux qui +morflent+ les premiers", a souligné le Premier ministre en présentant ce plan "un jeune, une solution" depuis Besançon.Pour aider les entreprises qui hésitent à embaucher en ce moment, le gouvernement, comme annoncé par Emmanuel Macron le 14 juillet, instaure une prime pour tout jeune de moins de 25 ans recruté entre août et janvier sur un contrat d'au moins trois mois.Cette "compensation de cotisations" sera de 1.000 euros chaque trimestre pendant un an maximum.Si le patronat a obtenu que l'aide soit versée jusqu'à un salaire de 2 Smic, au lieu de 1,6 initialement, pour intégrer les plus diplômés, il a cependant répété que les embauches étaient d'abord liées à l'activité."Si vous n'avez pas d'activité, même si vous avez des aides, vous n'aurez pas d'embauches", a prévenu François Asselin (CPME), pour qui beaucoup dépendra de l'efficacité du plan de relance attendu fin août.Les syndicats avaient eux mis en garde contre "les effets d'aubaine" et plaidé pour que l'aide soit réservée aux embauches en contrats longs.Le plan reprend aussi les aides, déjà en vigueur depuis le 1er juillet, pour les embauches de jeunes en alternance d'ici fin février: 5.000 euros pour un apprenti ou un contrat de professionnalisation de moins de 18 ans, 8.000 euros pour un majeur.Pour Jean Castex, qui a visité dans la matinée un centre de formation d'apprentis où il a pu échanger avec de nombreux jeunes, l'apprentissage est "au coeur des contradictions françaises". "On sait que ça marche et pourtant ça reste encore quand on n'a pas réussi. Il faut impérativement le valoriser", a-t-il martelé.Retour des contrats aidésOutre 100.000 places supplémentaires en service civique, ce plan prévoit 300.000 "parcours d'insertion" pour les jeunes les plus éloignés de l'emploi et 200.000 places supplémentaires en formation.Pour les jeunes en échec dans l'enseignement supérieur, 100.000 nouvelles formations qualifiantes ou pré-qualifiantes seront ainsi proposées "dans les métiers d'avenir" (transition écologique, santé, numérique, secteurs prioritaires du plan de relance). Par ailleurs, le plan marque le retour des "contrats aidés" dans le secteur marchand, qui avaient été supprimés en 2017 par la nouvelle majorité (sauf en outremer), mais en les ciblant sur les jeunes les plus éloignés de l'emploi.Sont ainsi prévus 60.000 "contrats initiative emploi" (CIE) pour des jeunes rencontrant des difficultés particulières d'insertion, dont une partie du salaire est financée par l'Etat.Dans le secteur associatif ou public, les contrats aidés ("Parcours emplois compétences", au nombre de 94.000 en 2019) seront augmentés de 60.000 en 2021."Peut-être que par le passé, les contrats aidés, on a été un peu dans le traitement statistique du chômage. Là on sera très attentifs à la qualité de l'accompagnement", a promis la ministre du Travail, Elisabeth Borne.Le plan prévoit aussi 50.000 entrées supplémentaires en 2021 en Garantie jeunes, un dispositif d'insertion géré par les Missions locales pour les jeunes sans emploi ni formation avec un accompagnement renforcé pendant un an et une allocation mensuelle de 497 euros.Cependant, "nous fixer les objectifs, dégager des moyens substantiels, c'est bien, mais si nous ne nous préoccupons pas de leur mise en oeuvre, nous n'atteindrons pas le résultat escompté", a prévenu Jean Castex. "Et pour cela, il n'y a pas trente-six méthodes: la première, c'est celle du dialogue social", a-t-il ajouté en souhaitant qu'il soit déployé au niveau "des territoires".Dans chaque région, le conseil régional, l'Etat et les partenaires sociaux définiront ainsi, avec les acteurs économiques, les secteurs prioritaires vers lesquels faire porter l'effort de formation.
Il y a 4 ans et 299 jours

ITE et risque incendie : un an après la sortie des textes, les acteurs s'adaptent

ENQUÊTE. Il y a un an, paraissaient les textes renforçant la sécurité incendie dans les immeubles de quatrième famille, désormais rebaptisés "immeubles de moyenne hauteur" (IMH). Deux sinistres récents, ayant eu lieu sur des tours d'habitation HLM, ont rappelé le risque planant sur de nombreux bâtiments munis d'un système ITE obsolète. Batiactu fait le point avec le ministère du Logement, l'Union sociale pour l'habitat, Immobilière 3F et les industriels du polystyrène et du bois.
Il y a 4 ans et 299 jours

Michel Cadot est nommé délégué interministériel aux JO 2024

CARNET-NOMINATION. L'actuel préfet de la région Île-de-France, Michel Cadot, est nommé délégué interministériel aux Jeux olympiques 2024. Il est remplacé par Marc Guillaume, ancien secrétaire général du gouvernement récemment débarqué.
Il y a 4 ans et 299 jours

Dette, soutien aux secteurs sinistrés et aux jeunes : ce qu'il faut retenir du nouveau budget

Récession et detteCe nouveau projet de loi de finances rectificative (PLFR 3) table sur un recul de 11% du PIB en 2020, au lieu de 8% auparavant, soit la plus forte récession en France depuis 1945.Avec les dépenses supplémentaires pour soutenir l'économie et cette récession record, le gouvernement anticipe un creusement du déficit public à -11,5% du PIB environ, contre 3% l'an dernier.La dette publique devrait augmenter de plus de 250 milliards d'euros et s'envoler à 121% du PIB, alors qu'elle avait atteint 98,1% l'an dernier. La France figure ainsi parmi les pays européens les plus endettés.45 milliards pour les secteurs sinistrésLe gouvernement va débloquer environ 45 milliards d'euros pour soutenir les secteurs les plus touchés par la crise.Ce montant recouvre des mesures budgétaires et un soutien à la trésorerie des entreprises.Le tourisme bénéficiera de 18 milliards d'euros. Cette somme englobe les mesures de chômage partiel, les prêts garantis par l'État, près de 3 milliards d'euros d'exonérations sociales ou encore les reports d'impôts. Mais l'Umih, principal syndicat de l'hôtellerie-restauration, a dit jeudi sa déception "au regard des objectifs affichés au départ par le gouvernement".L'industrie automobile profitera de 8 milliards. Outre l'aide au chômage partiel et les emprunts garantis, ce montant inclut un milliard d'euros pour soutenir la demande de véhicules et un milliard afin d'encourager les investissements pour produire les voitures hybrides et électriques en France.L'État consacrera 15 milliards d'euros à l'industrie aéronautique et au transport aérien, dont 7 milliards de prêts accordés à Air France-KLM.En échange de ces mesures de soutien, les députés ont voté une disposition LREM réclamant des engagement écologiques "forts" des grandes entreprises, via la publication annuelle d'un rapport sur le sujet. L'opposition de gauche y voit du simple "greenwashing" et un "leurre", faute de vraies contreparties.Le gouvernement va aussi dédier 600 millions d'euros supplémentaires aux start-up technologiques, en créant notamment un fonds d'investissement. Des mesures sont aussi prévues pour les secteurs de la culture et du BTP.Le texte entérine en outre une aide de 4,5 milliards d'euros aux collectivités.Embauche des jeunesCe PLFR3 intègre des mesures du plan jeunes dévoilées par le gouvernement. Parmi elles, une prime maximum de 4.000 euros accordée aux entreprises pour l'embauche jusqu'en janvier 2021 d'un jeune, jusqu'à un salaire de deux Smic, au lieu de 1,6 Smic initialement.Cette "compensation de cotisations", versée trimestriellement par tranche de 1.000 euros, pourra être touchée pour l'embauche d'un jeune de moins de 25 ans en CDI ou en CDD d'au moins trois mois. Le gouvernement espère 450.000 embauches.Ce nouveau budget prévoit aussi 744 millions d'euros en autorisations d'engagement pour l'aide exceptionnelle à l'apprentissage, et 50 millions d'euros pour le financement du repas à un euro pour les étudiants boursiers.Transports franciliensLes parlementaires ont rajouté 180 millions d'euros aux 425 millions d'acompte prévus en 2020 pour la société de gestion des transports franciliens Ile-de-France Mobilités, selon le rapporteur Laurent Saint-Martin (LREM). Le renflouement des transports franciliens, durement touchés par la crise du coronavirus, fait l'objet d'un bras de fer entre la majorité et la présidente (ex-LR) de la région Ile-de-France Valérie Pécresse.Au niveau national cette fois, le texte prévoit 250 millions supplémentaires pour l'agence de financement des infrastructures de transports de France (AFITF). A cause du confinement, cette agence va subir une nette baisse de ses ressources, notamment de la fraction de la taxe de solidarité sur les billets d'avion qui lui est attribuée, ou des amendes des radars routiers.Quelque 75 millions d'euros sont par ailleurs prévus pour renouveler et "verdir" la flotte de véhicules de police et gendarmerie.IndustrieLe gouvernement a rajouté durant la discussion parlementaire une enveloppe maximum de 490 millions d'euros, dont 50 millions mobilisables à court terme, pour décarboner l'industrie, financer l'industrie du futur ou des projets de relocalisation industrielle. Le but est de "lancer un appel à projets très vite" sur ces trois sujets, a souligné le ministre délégué aux Comptes publics Olivier Dussopt.
Il y a 4 ans et 299 jours

L'Etat veut "inciter les particuliers à faire appel aux artisans pour rénover", A. Griset

ENTRETIEN EXCLUSIF. Suite à un déplacement en Seine-Saint-Denis pour rencontrer des entreprises du BTP, le ministre délégué aux PME, Alain Griset, s'est entretenu avec Batiactu sur le décret relevant le seuil de passation des marchés publics à 70.000 €. Il est également revenu sur les mesures en faveur de la rénovation énergétique sur lesquelles planche actuellement le Gouvernement en vue du plan de relance.
Il y a 4 ans et 299 jours

Le gouvernement simplifie la passation des marchés publics de travaux pour accélérer la relance

Un décret "visant à faciliter temporairement la conclusion de marchés publics" dans les secteurs "prioritaires" est ainsi paru au Journal officiel (JO) jeudi."Il vise à créer ou maintenir des emplois en facilitant l'accès aux entreprises à des marchés publics dans nos territoires", a commenté le ministre de l'Économie, Bruno le Maire, cité dans le communiqué.Le seuil au-dessous duquel sont supprimées toute une série de formalités (publication et mise en concurrence formelle, notamment) passe pour un an de 40.000 à 70.000 euros hors taxes pour les marchés publics de travaux.Le décret permet ainsi "aux acheteurs de contracter directement et donc rapidement avec des entreprises, et d'accélérer ainsi la reprise économique dans ce secteur qui mobilise une main d'œuvre nombreuse", souligne le communiqué.Un message fort de soutien au BTPSon entrée en vigueur "est un message fort de soutien au secteur du BTP principalement composé de PME et TPE", a souligné le ministre délégué aux petites et moyennes entreprises (PME), Alain Griset. Ces entreprises "pourront se positionner sur des chantiers d'envergure notamment dans le cadre du plan massif de rénovation énergétique des bâtiments".Le décret facilite également pendant cinq mois l'achat - pour un montant jusqu'à 100.000 euros - des denrées alimentaires produites et stockées pendant la crise sanitaire et qui seront livrées avant le 10 décembre.L'objectif est à la fois de lutter contre le gaspillage alimentaire et de soutenir les producteurs agricoles, durement affectés par le confinement."Cette simplification des procédures des marchés publics" va permettre "d'écouler les stocks créés lors de la crise Covid, tout en facilitant le fonctionnement de la restauration collective publique", a précisé le ministre de l'Agriculture, Julien Denormandie.
Il y a 4 ans et 299 jours

Le retour aux règles antérieures de l'assurance chômage ne sera pas rétroactif

Le texte met en application la suspension jusqu'au 1er janvier de la réforme de l'assurance chômage, y compris de la première partie en vigueur depuis le 1er novembre sur le durcissement de l'ouverture des droits. Ce report avait été annoncé vendredi par Jean Castex aux syndicats, à leur grande satisfaction.Depuis le 1er novembre, il fallait avoir travaillé au moins six mois sur les 24 derniers pour ouvrir des droits, au lieu de quatre mois sur les 28 derniers.Mais ce retour aux règles antérieures ne s'appliquera que pour les "travailleurs privés d'emploi dont la fin du contrat de travail intervient entre le 1er août et le 31 décembre 2020", selon le projet de décret révélé par l'agence AEF.Il ne concernera donc pas les personnes ayant perdu leur emploi entre novembre et août, ce qui aurait contraint Pôle emploi à recalculer leurs droits.En outre, le retour aux quatre mois sera calculé sur les 24 derniers mois et non 28.Enfin le seuil permettant un rechargement des droits, lorsqu'on travaille pendant sa période de chômage, restera aligné sur les conditions d'affiliation et sera donc de quatre mois (au lieux de six) alors qu'il n'était que d'un mois avant le 1er novembre."Le décret ne correspond pas aux annonces sur le retour aux règles antérieures. On ne peut être que surpris, c'est un petit accroc", a réagi Eric Courpotin (CFTC) auprès de l'AFP. "Cela pose la question de la parole du Premier ministre", a renchéri Michel Beaugas (FO).Au ministère du Travail, on explique "avoir pris la décision qui se rapproche le plus possible des règles antérieures et qui soit techniquement faisable par Pôle emploi pour être le plus rapidement opérationnel pour les demandeurs d'emploi".Avec la suspension de la réforme, "on a accédé à une demande forte des syndicats", rappelle-t-on.Le projet de décret acte aussi le report de la dégressivité au bout de six mois pour les hauts revenus et de la modification du calcul de l'indemnisation.Celle-ci, qui devait intervenir le 1er septembre et aurait pénalisé ceux qui alternent contrats courts et chômage, pourra être revue lors d'une concertation à la rentrée.
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Plus de moyens dédiés à l'écologie en 2021

FINANCES PUBLIQUES. Le 23 juillet, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire et le ministre délégué chargé des comptes publics Olivier Dussopt ont lancé le débat d'orientation des finances publiques pour 2021 au Parlement. De quoi poser les premiers jalons du futur budget.