Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

(41590 résultats)
Il y a 4 ans et 327 jours

Rénovation : le ministre défend l'axe "incitatif puis coercitif"

OBLIGATION DE TRAVAUX. Le ministre de la Ville et du Logement, Julien Denormandie, est revenu au Sénat sur les propositions de la convention citoyenne pour le climat en matière de rénovation énergétique. Il salue le travail effectué et assure qu'il va dans le sens des projets gouvernementaux.
Il y a 4 ans et 327 jours

Reprise des chantiers : FFB et Action Logement signent une charte

SURCOÛTS. La fédération du bâtiment et l'organisme paritaire de logement social ont signé, le 23 juin, un partenariat déclinant les "bonnes pratiques à mettre en place sur les chantiers", et notamment la gestion des surcoûts.
Il y a 4 ans et 327 jours

Critères de choix des crochets d’ardoise

Pour la réalisation de vos travaux de toiture, les crochets d’ardoise jouent un rôle important, afin de garantir l’aspect esthétique et la longévité de votre charpente. Compte tenu des enjeux, vous ne pouvez pas vous résoudre à sélectionner ces accessoires au hasard. Donc, il est essentiel de miser sur des produits de bonne qualité. Pour ce faire, demander conseil auprès d’un couvreur et réussir ainsi à discerner les caractéristiques à retenir. Selon la configuration de votre chantier, le choix des matières est également un facteur primordial. Dans cette optique, un professionnel vous informera que les conditions de pose sont notamment déterminantes. Caractéristiques spécifiques des crochets d’ardoise A la base, les crochets d’ardoise sont conçus pour répondre à vos différents besoins, notamment en fonction de votre architecture ou du climat dans votre région. Dans ce sens, vous avez la possibilité de sélectionner entre des matières telles que l’inox, la cuivre… Pour déterminer le choix des meilleurs modèles, un expert se fiera aux critères qui les caractérisent particulièrement. A savoir, le mode d’arrimage de votre accessoire, pour lequel vous pouvez opter pour une pointe à planter ou bien une agrafe. Si vos toitures sont faites d’ardoises en fibrociment, la forme de la tige peut être droite ou bosselée. Par contre, si vos revêtements sont en ardoises naturelles avec une inclinaison assez faible, un professionnel vous conseillera d’autres types de crochets. Autrement, pour la fixation de vos tuiles, votre entrepreneur devrait s’équiper d’une pince. Il vérifiera par la suite à partir de l’épaisseur du liteau l’écartement de l’agrafe. Tandis que l’écartement de la pince sera calculé selon l’épaisseur des couvertures. Et pour soigner la finition, il ne manquera pas de prendre en compte de la longueur de la griffe et de la pointe. En tout cas, c’est l’ensemble de toutes ces spécificités qui vous permettra d’arrêter vos préférences sur une référence précise. Tri sélectif des crochets d’ardoise Pour ce faire, un couvreur basera essentiellement son choix en fonction des critères inhérents à votre environnement. A savoir, la sélection d’une gamme inox pour une résidence située dans une zone rurale non polluée. Certes, il est suffisamment résistant mécaniquement. Toutefois, il n’est pas recommandé si vous vous trouvez en bord de mer ou non loin d’un lotissement industriel. Dans ce cas, il faut opter pour un autre type d’inox plus résistant à l’attaque de dioxyde de soufre dans l’atmosphère. Un alliage destiné particulièrement pour les travaux en zone urbaine, industrielle et même dans une localité respirant l’air marin. Autrement, le professionnel orientera votre choix, selon les conditions de pose de vos couvertures. Les cuivres leur donneront un bel aspect esthétique tout en les valorisant. De plus, elles offrent l’avantage de combattre efficacement l’apparition des mousses sur votre toit. Autrement, leur composition est faite d’un mélange d’inox avec une résine couleur anthracite ou noire, pour résister aux ultraviolets et rester discret. En d’autres termes, si vous souhaitez miser sur la longévité et la qualité de vos charpentes, l’intervention d’un expert tel que ce couvreur qui se trouve dans la Marne est indispensable. Il dispose en effet des compétences essentielles, afin de vous vous aider à trouver les accessoires adaptés à votre structure et vous fournir de belles prestations. Donc, autant prendre l’assurance que votre projet sera mené à bien, grâce au concours d’un spécialiste, avec des matériaux d’excellente facture.
Il y a 4 ans et 327 jours

"Des espaces de travail de proximité sur chaque îlot d'Euromed 2" (H.Parant)

ENTRETIEN. Hugues Parant, directeur général d'Euroméditerranée, détaille pour Batiactu comment l'établissement public d'aménagement peut participer à la relance du secteur, notamment sur l'extension de l'OIN, où les promoteurs sont priés de prévoir des espaces de vie collective en pieds d'immeubles.
Il y a 4 ans et 327 jours

Conventions citoyennes, un programme présidentiel en différé

D’habitude, un président, entouré d’experts, propose un projet que le gouvernement, entouré d’experts, met en œuvre. Ce projet, ou programme, est ensuite expliqué par la presse au public afin qu’il en comprenne les tenants et aboutissants. Aujourd’hui, en France, c’est l’inverse. Ce sont les citoyens qui proposent et le président qui essaye de se faire […] L’article Conventions citoyennes, un programme présidentiel en différé est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 327 jours

Professionnels, tout savoir sur les masques FFP2

Dans le contexte de crise sanitaire actuel, la demande de masque augmente de jour en jour. Cependant, tous les masques disponibles sur le marché sont très variés dans leur composition et n’offrent pas le même niveau de protection. Les masques FFP2 représentent l’une des options les plus efficaces pour se protéger contre les maladies, et notamment, contre le coronavirus. Depuis le 11 mai, le port du masque est vivement conseillé et deviendra même obligatoire dans certaines situations comme dans les transports publics. Il est donc grand temps de vous informer sur le sujet, que vous soyez professionnels du bâtiment, de tout autre secteur et même à titre particulier. Le masque FFP2 de A à Z, et bien plus encore, toutes nos explications dans la suite de cet article. Qu’est qu’un masque FFP2 et quels sont ses caractéristiques ? Les masques FFP (Filtering Facepiece particles ou pièce faciale filtrante) sont des masques dits de protection respiratoire qui couvrent à la fois la bouche et le nez. Leur caractéristique principale est de protéger leur utilisateur contre l’inhalation de gouttelettes ou de suspensions virales présentes dans l’air qui pourraient être contagieuses. On retrouve 3 types masques FFP : Les masques FFP1, qui ont la capacité de filtrer au moins 80 % des aérosols. Les masques FFP2, qui ont la capacité de filtrer au moins 94 % des aérosols. Les masques FFP3, qui ont la capacité de filtrer au moins 99 % des aérosols. Le masque FFP2, qui nous intéresse ici, est donc un masque très performant lorsqu’il est utilisé de la bonne manière. Ce n’est en revanche pas le plus efficace, puisque ce titre revient au masque FFP3. Concernant les masques FFP, plusieurs formats existent sur le marché, à savoir : des masques coques, des masques 2 plis ou 3 plis, ou encore les masques becs de canard, entre autres. Quels sont les autres types de masques ? Les masques FFP2 sont aujourd’hui très difficiles à trouver et la majorité des stocks sont réservés au personnel de santé et aux agents du service public. Toutefois, il existe des alternatives pour se protéger. Attention, celles-ci ne sont pas aussi efficaces que les masques FFP. Il s’agit : Des masques chirurgicaux qui constituent davantage un complément aux gestes barrières (lavages de main, distanciation sociale …), et dont l’utilisation se limite à 4 heures maximum. Des masques « grand public » ou « alternatifs » à usage non-sanitaire. Il s’agit de masques également destinés à compléter les gestes barrières et qui sont pour la plupart lavables et réutilisables. Ces deux types de masques sont aujourd’hui ceux que l’on trouve le plus facilement en pharmacie, dans les grandes surfaces ou dans les autres enseignes autorisées à en vendre. Certaines communes prennent également l’initiative d’en distribuer gratuitement à leurs habitants. Enfin, il est possible de fabriquer soi-même son propre masque en tissu. Pour cela, des patrons et tutoriels validés par l’Afnor (l’Association française de normalisation) sont disponibles sur le web. Quelle protection offre un masque FFP2 contre le coronavirus ? Le masque FFP2 offre un bon niveau de protection contre le coronavirus, mais pour cela, il doit être utilisé de façon optimale, c’est-à-dire, correctement positionné pour éviter les zones d’infiltration. Cette catégorie de masque filtre l’air inspiré, mais aussi l’air expiré. Il protège donc d’une contamination par inhalation. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est actuellement principalement réservé au personnel médical. Le port du masque FFP2 permet aussi d’empêcher les projections de postillons chargés d’agents infectieux d’une personne malade vers une autre. Cela limite donc fortement les risques de contamination de personne à personne. Toutefois, même en mettant parfaitement son masque FFP2, le risque zéro n’existe pas. En effet, les risques de contamination indirecte sont toujours présents puisque le coronavirus peut également nous contaminer en s’infiltrant par les yeux. Ainsi, si l’on touche une surface contaminée puis que l’on se frotte les yeux, il est possible de contracter le coronavirus. C’est pourquoi le respect des gestes barrières et notamment du lavage de main restent primordiaux. En complément du port du masque, comment se protéger au mieux face au coronavirus ? Si l’on dispose d’un masque FFP2, il est important d’adopter certaines bonnes pratiques permettant de se protéger au mieux face aux virus comme le Covid-19. Ces pratiques sont les mêmes pour tous les autres types de masque. La première consiste à respecter la durée d’utilisation. En effet, aucun masque n’est à durée illimitée et concernant le FFP2, celle-ci varie entre 3 et 8 heures selon les modèles. Ensuite, le lavage régulier des mains est indispensable. Pour cela, on utilise une solution hydroalcoolique si l’on est à l’extérieur, ou de l’eau et du savon si l’on est chez soi. Il faut notamment se laver les mains avant de mettre son masque et après l’avoir retiré. Parallèlement, on se lave les mains toutes les 2 heures environ et chaque fois que l’on touche une surface potentiellement contaminée chez soi ou en dehors du foyer. Il faut également éviter de se toucher le visage. Même si cela reste très compliqué, c’est une règle à adopter. Enfin, le masque FFP2 doit être changé dès lors que l’on a mangé ou bu, ou s’il est humide. Finalement, dernière règle à respecter lorsque l’on retire son masque : le faire toujours par les lanières sans toucher le masque en lui-même qui pourrait être contaminé. Ensuite, on le place dans un plastique que l’on ferme et que l’on jette immédiatement. Où se procurer un masque FFP2 et à quel prix ? À l’heure actuelle tous les masques FFP2 sont réservés au personnel médical ainsi qu’à certaines professions à risque plus exposées au risque de contamination. Le grand public n’a donc pas la possibilité de s’en procurer. Seuls les masques chirurgicaux et les masques grand public en tissu sont disponibles dans plusieurs points de vente : pharmacie, bureaux de tabac, et en grande surface, notamment. À noter que : Le prix des masques grand public en tissu varie entre 2 et 5 euros suivant leur durée de vie. Le prix des masques chirurgicaux est plafonné à 0.95 centimes l’unité.
Il y a 4 ans et 327 jours

Photovoltaïque : MyLight Systems reconnu « Champion de l’Innovation 2020 »

Ondine Suavet, co-fondatrice de MyLight Systems, fait partie des 21 lauréats mondiaux distingués par l’organisme intergouvernemental Mission Innovation
Il y a 4 ans et 327 jours

Plan de relance, RE2020, Pac hybride, "Ma prime rénov" : le gaz monte au créneau

ÉCONOMIE. Souhaitant apporter sa pierre au plan de relance que le Gouvernement devrait présenter en septembre prochain, GRDF a dévoilé une dizaine de propositions visant à placer le gaz au centre de la reprise économique et, bien sûr, de la transition énergétique. Méthanisation, construction/rénovation, mobilité et sécurité constituent les quatre axes de cette batterie de mesures.
Il y a 4 ans et 327 jours

Une étude pointe les "inégalités de destin" des familles modestes selon les régions

Plutôt qu'une opposition - couramment évoquée - entre territoires ruraux et urbains, ou entre centres-villes et "France périphérique", cette étude réalisée par France Stratégie met en évidence des "inégalités de destin" entre régions."Avoir grandi dans une zone rurale ou périurbaine ne réduit pas les perspectives de niveau de vie des enfants d'origine modeste", concluent les auteurs, Clément Dherbécourt et Gustave Kenedi.En revanche, "les territoires à faibles perspectives de niveau de vie sont concentrés dans le Nord et au Sud du pays: anciennes régions Languedoc-Roussillon et Nord-Pas-de-Calais, Corse, départements de l'Aisne, des Ardennes, du Var et du Vaucluse", détaillent-ils.Pour répondre à la question "dans quelle mesure le niveau de vie d'une personne dépend-il du lieu où elle a grandi ?", les deux économistes ont étudié des données statistiques concernant 80.000 personnes, enfant d'ouvriers ou d'employés, nés entre 1970 et 1988. Ils ont croisé le niveau de vie actuel de ces personnes avec le lieu où elles ont passé leur adolescence - qu'elles y habitent toujours ou pas.Résultat: les "perspectives de revenus à l'âge adulte augmentent avec le niveau de richesse du territoire d'origine". Ainsi, les personnes d'origine modeste ayant grandi en Ile-de-France ont un niveau de vie médian à l'âge adulte de 1.730 euros, contre 1.474 euros pour ceux ayant grandi dans le Nord-Pas-de-Calais.Cela s'explique par les différences de richesse entre régions et aussi par le fait que, partout, les ménages modestes sont nettement moins mobiles que les familles aisées.Or, "ce qui distingue vraiment les régions à faibles perspectives de niveau de vie des autres, c'est le niveau de vie très faible des non-diplômés du supérieur qui n'ont pas émigré" dans d'autres régions, observent les auteurs.Pour tenter de résorber ces disparités, les pouvoirs publics devraient donc réfléchir à des "incitations à la mobilité" pour aider certains ménages à "rejoindre des régions à meilleure perspective d'emploi", suggèrent-ils.Cependant, cela ne doit pas être selon eux la seule piste d'action car changer de région peut avoir un "coût important sur le bien-être des individus".Pour les économistes, il convient donc également d'envisager dans ces territoires les plus défavorisés des "incitations socio-fiscales à la relocalisation de postes de travail de qualité", mais aussi d'y développer des emplois publics.
Il y a 4 ans et 328 jours

La gendarmerie met fin à l'occupation du chantier d'une église controversée

Les forces de l'ordre ont mis fin à l'occupation du chantier d'une église par des militants écologistes dans le village de Saint-Pierre-de-Colombier, au coeur d'un parc régional ardéchois.
Il y a 4 ans et 328 jours

La "Silicon Wadi", projet israélien controversé à Jérusalem-Est

Dans une vidéo, la municipalité de Jérusalem vante la centralité et le "potentiel" du quartier palestinien de Wadi al-Joz, situé en contrebas de la Vieille ville et ceinturé par de grands axes routiers.Environ 250.000 m² seront alloués à des entreprises de la high-tech, 50.000 à des commerces en tout genre et 50.000 de plus à des hôtels, pour un coût total de 2,1 milliards de shekels (538 millions d'euros), explique la municipalité.Comme si Dubaï était transplanté dans les faubourgs palestiniens de la Ville sainte.Pour réaliser cette vision futuriste, les autorités de Jérusalem doivent relocaliser 200 commerces, ateliers et boutiques.Ce projet pourrait signifier la mort du garage familial de Fathi al-Kurd, 77 ans, qui a pignon sur rue depuis 1966 à Wadi al-Joz."Nous ne pouvons pas faire face à ce gouvernement, mais nous souhaitons au moins qu'il nous offre une alternative", confie M. Al-Kurd à l'AFP. "Mon fils a quatre enfants, s'il ne travaille pas une semaine, lui et les siens auront faim.""Un employé municipal est déjà venu nous voir l'été dernier pour nous dire que l'expulsion se préparait", dit son fils, Mohannad.En Israël, pays qui se surnomme la "start-up nation", le secteur des hautes technologies compte pour 10% des emplois et près de 50% des exportations. Et la mairie de Jérusalem espère transformer Wadi al-Joz, qui concentre de nombreux garagistes, mécaniciens et carrossiers, en "nouveau centre high-tech de Jérusalem-Est".Sous occupation de l'État hébreu depuis 1967, Jérusalem-Est est le foyer de 300.000 Palestiniens et 200.000 colons juifs.Les terrains destinés à la "Silicon Wadi" ("wadi" signifie vallée en arabe, en référence à la "Silicon Valley" américaine) restent la propriété de familles palestiniennes.Parmi elles, celle de Nayef Al-Kiswani assure posséder 3.000 m² dans le secteur. Chemise bleue, assis devant sa quincaillerie, il affirme qu'il y a bien eu des pourparlers avec la municipalité sur ce projet.Mais lui aussi veut sa part du gâteau. "Je veux obtenir une indemnisation financière et obtenir des licences pour construire des magasins, des bureaux et des appartements", espère-t-il."Ce projet des forces d'occupation existe et notre opposition n'y changera rien, mais il ne faut pas tout perdre non plus", dit-il, mi-résigné, mi-stratège.Pour l'économiste Mohammed Qirsh, si les propriétaires sont expulsés sans contrepartie, les pertes financières leur seront "désastreuses". Ceux qui ont reçu un avis d'expulsion envisagent de former un comité pour contester la décision."Judaïsation"?Devant l'entrée de sa carrosserie, Khalil al-Hawash estime que le projet de "Silicon Wadi", dont le slogan est "les rêves deviennent réalité", a pour but de "vider la ville de ses habitants palestiniens".Lui aussi se demande si la mairie va lui donner une compensation ou l'aider à se réinstaller ailleurs. "C'est comme s'ils nous lâchaient au milieu de nulle part et nous disaient 'débrouillez-vous'", se désole ce père de quatre enfants.Selon la mairie, le projet doit au contraire permettre de réduire les inégalités économiques à Jérusalem-Est, grâce à la création de 10.000 emplois.Il "augmentera le taux d'emploi des femmes de Jérusalem-Est" et "accroîtra la confiance entre les habitants de cette partie de la ville, la mairie et le gouvernement", promet la mairie.Kamal Obeidat, le président de la Chambre de commerce palestinienne de Jérusalem fustige un projet qui ambitionne selon lui d'"effacer" certains secteurs de la ville pour les "judaïser".Khalil al-Tufakji, chercheur à l'Association des études arabes de Jérusalem, abonde aussi dans ce sens. Sous couvert d'investissements, la "Silicon Wadi" fait la promotion d'une vision "politique", juge-t-il. Et celle-ci s'incarne dans le développement d'un Jérusalem-Est sans ses commerçants palestiniens.
Il y a 4 ans et 328 jours

L’OPPBTP donne ses recommandations en cas d'Alerte canicule

Face à la forte hausse de températures prévue pour les prochains jours, l’OPPBTP (Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics) accompagne les professionnels du bâtiment pour travailler en toute sécurité. L’Organisme leur indique les différentes précautions à suivre sur les chantiers pour se protéger du soleil tout en respectant les mesures de précautions sanitaires liées au Covid-19.
Il y a 4 ans et 328 jours

Surcoûts sanitaires : une circulaire sans ambition selon Syntec-Ingénierie

La circulaire diffusée par le gouvernement concernant la prise en charge des surcoûts liés aux mesures de sécurité sanitaire ne pose aucune obligation absolue. Le syndicat des ingénieurs redoute un vide juridique.
Il y a 4 ans et 328 jours

Frans Bonhomme accompagne la reprise d'activité du BTP

Leader de la distribution en France et en Espagne, sur les marchés de Travaux Publics, Aménagement Extérieur, Assainissement Non Collectif et Bâtiment, le Groupe Frans Bonhomme se positionne pour soutenir la reprise des chantiers.Selon Pierre Fleck, Président du Groupe, « Alors que notre secteur, notamment les Travaux Publics, a été un des plus touchés par la crise, nous sentons depuis quelques semaines une forte reprise aussi bien en France qu'en Espagne. Nous continuons à rouvrir nos points de vente, notre site e-commerce connaît une très forte progression des commandes et dès aujourd'hui nos équipes commerciales repartent au contact de nos clients et prospects. Aussi bien sur nos sites qu'en télétravail nos collaborateurs sont extrêmement mobilisés au service des acteurs des Travaux Publics et du Bâtiment. C'est grâce à leur engagement et à leur expertise que Frans Bonhomme va retrouver progressivement les voies du retour à un niveau d'activité proche de l'avant-crise. »Cette reprise d'activité du groupe se poursuit parallèlement aux pourparlers avancés avec ses actionnaires et ses prêteurs afin d'apporter de nouveaux moyens financiers pour renouer avec la dynamique de gains de parts de marché qui a été accélérée par l'acquisition de DMTP fin 2019.
Il y a 4 ans et 328 jours

Feuille de route en 3 axes pour l'Agence nationale de cohésion des territoires

COLLECTIVITÉS LOCALES. Lors de son conseil d'administration, le 17 juin, la présidente de l'ANCT Caroline Cayeux a présenté le socle sur lequel s'appuiera l'agence, pour soutenir les projets des territoires dans un contexte de relance de l'économie.
Il y a 4 ans et 328 jours

Un lycée-campus rénové à Corbeil-Essonnes

REPORTAGE. Dix ans après avoir remporté le concours lancé par la région, les agences De-So et Terreneuve ont livré, en 2019, l'opération de réhabilitation-extension d'un des plus grands établissements scolaires d'Ile-de-France, le lycée Robert Doisneau, à Corbeil-Essonnes. En multipliant les petites touches, les architectes ont transformé le campus de huit hectares.
Il y a 4 ans et 328 jours

Le Sénat présente dix-sept mesures pour sauver et relancer les PME, le commerce et l'artisanat

Élaborées en coordination avec le bureau de la Délégation aux entreprises, présidée par Élisabeth Lamure, ces mesures poursuivent deux objectifs principaux :à court-terme, sauvegarder le tissu commercial et artisanal français, en évitant une vague de faillites dont l'impact économique, social et sur le dynamisme de nos territoires serait dramatique ;préparer l'avenir et relancer durablement ces secteurs, en renforçant leur situation financière, en accélérant la numérisation des PME-TPE et en soutenant le commerce de proximité.Pour Serge Babary, « nombre de commerçants et d'artisans sont dans une situation critique, et ne bénéficieront pourtant pas du prolongement des aides annoncé par le Gouvernement. Ce dernier obéit à une logique sectorielle (restauration, culture, événementiel), ce qui le conduit à oublier les entreprises, souvent des PME, qui dépendent fortement de ces secteurs sans pour autant bénéficier de la même visibilité médiatique. L'approche doit au contraire être fondée sur les difficultés économiques concrètes, et inclure les entreprises tout au long de la chaîne d'approvisionnement ou de production ».En conséquence, les sénateurs préconisent de maintenir le Fonds de solidarité jusqu'au 31 décembre, non pas uniquement pour les entreprises de certains secteurs, mais pour toutes celles qui continuent d'enregistrer une baisse de 50% de leur activité. De la même façon, ils appellent à une prolongation de l'activité partielle et de sa prise en charge à 100% par l'État pour les entreprises qui continuent d'enregistrer de lourdes pertes d'exploitation. Une baisse du taux de TVA pour les secteurs les plus touchés est également proposée : elle présente l'avantage soit de bénéficier aux consommateurs, si elle est répercutée dans les prix, soit de permettre aux entreprises de reconstituer leur trésorerie, ce dont elles ont un besoin urgent.En outre, si les prêts garantis par l'État et les reports de charges se sont révélés être des solutions efficaces à très court terme, ils augmentent fortement l'endettement des PME et érigent un mur de la dette qu'elles risquent de ne pas pouvoir franchir, au détriment de leurs capacités d'investissement et de développement. Pour y faire face, les sénateurs appellent à renforcer les fonds propres des TPE-PME via des prêts participatifs ou des obligations convertibles, en lien avec les régions.Par ailleurs, la crise a mis en lumière les conséquences d'une des fragilités majeures des PME françaises : leur insuffisante numérisation, qui se traduit pour les commerçants par un faible recours aux ventes en ligne.Comme le rappelle Élisabeth Lamure, présidente de la Délégation aux entreprises, « face à l'interdiction d'accueil du public, les seules entreprises qui ont pu compenser – légèrement ‑ leurs pertes de chiffre d'affaires sont celles qui ont procédé à des ventes en ligne, soit via une livraison directe, soit sous la forme de click & collect ou de drives, à hauteur environ de 20 à 25% de leur chiffre d'affaires habituel. Or si 70% des consommateurs achètent et paient en ligne, seule une PME sur huit fait usage de solutions de vente en ligne, ainsi que le notait l'an dernier un rapport de la Délégation ».Par conséquent, les sénateurs proposent la mise en place d'un crédit d'impôt à la numérisation des PME, à destination des chefs d'entreprise et des salariés, qui couvrirait notamment une partie des dépenses de formation, d'équipement, et de services annexes. Ils préconisent également le déploiement à l'échelle nationale d'une plateforme publique, qui permettrait le référencement des commerçants et artisans qui le souhaitent, la publicité de leur catalogue de produits et services et de procéder à des ventes en ligne. Cet outil pourrait être la généralisation de la plateforme « Achatville », initiative bienvenue du réseau des chambres de commerce et d'industrie, aujourd'hui circonscrite à 29 départements.La relance de ces secteurs passe également, bien entendu, par celle du commerce de proximité. Pour Anne Chain-Larché, « le commerce de proximité, loin de se réduire à une activité de vente ou de prestation de services, joue avant tout un rôle social fondamental, alliant contacts humains, conseils au client, valorisation et maintien de savoir-faire précieux, animation des principaux lieux de vie et de socialisation. La relance du commerce de proximité est donc certes un enjeu économique, mais c'est aussi une nécessité vitale d'un point de vue sociétal, un atout fondamental de l'aménagement du territoire ».Il est ainsi proposé de préserver le FISAC (Fonds d'intervention pour la sauvegarde de l'artisanat et du commerce), d'augmenter fortement ses fonds et de mieux associer les élus locaux à ses décisions. Par ailleurs, un vaste plan de communication nationale afin de sensibiliser les consommateurs à l'importance du commerce de proximité et à ses difficultés pourrait être lancé.Enfin, l'apprentissage, pierre angulaire de l'artisanat, risque de connaître une « année noire » en 2020 si les carnets de commande restent peu remplis et que les employeurs n'embauchent pas d'apprentis. Ainsi que le note Fabien Gay, « cette situation est particulièrement grave : il ne s'agit pas seulement d'une hausse du chômage, qui à elle seule est déjà une conséquence dramatique de la crise. Il s'agit également d'une fragilisation de la capacité de la France à se redresser. En effet, les contrats non signés en 2020 représentent autant de compétences en moins pour les années à venir ».Si les mesures de soutien à l'artisanat annoncées par le Gouvernement le 4 juin vont dans le bon sens (notamment l'aide à l'embauche), les sénateurs proposent de les compléter et de revenir sur une inégalité de traitement qu'elles induisent entre jeunes. En effet, l'aide n'est versée que pour les formations au-dessous du niveau « licence pro ». Cette inégalité de traitement est difficilement compréhensible : une entreprise qui embauche un jeune en master peut également faire face à une chute drastique de son activité.« Surtout, un jeune en master a tout autant besoin d'être embauché à l'issue de sa formation qu'un jeune en bac pro, par exemple. Nous proposons donc d'octroyer cette aide quel que soit le niveau de diplôme préparé », explique Fabien Gay.Pour Sophie Primas, présidente de la Commission des affaires économiques, « les commerçants et artisans affrontent là une troisième crise en deux ans, après avoir perdu 30% de leur activité pendant la crise des gilets jaune et subi une baisse de fréquentation en décembre 2019 du fait des mouvements sociaux. Leur survie est en jeu, de même que celle de leurs fournisseurs. Il est absolument fondamental que le plan de relance qui leur est destiné ne se limite pas aux secteurs encore interdits d'accueil du public. Ces dix-sept recommandations prennent la mesure de cette urgence ». Pour lire l'étude : cliquez ici
Il y a 4 ans et 329 jours

Dépôts sauvages de déblais sur la Côte d'Azur: 4 entreprises mises en examen

Onze mises en examen ont été prononcées dans le trafic de déblais de chantier sur la Côte d'Azur dont sont soupçonnées plusieurs entreprises de BTP de la région, selon le parquet de Draguignan.
Il y a 4 ans et 329 jours

Massifier la rénovation énergétique des logements

Ce dimanche, les 150 Français tirés au sort et composant la Convention Citoyenne pour le Climat ont remis au gouvernement leurs propositions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Parmi elles : rendre la rénovation énergétique des logements obligatoire. Soit 20 millions de logements à rénover dont environ 7 millions de passoires thermiques.
Il y a 4 ans et 329 jours

Olivier Sassi quitte l'EPA Nice Ecovallée

CARNET. Le directeur général de l'Etablissement public d'aménagement Nice Ecovallée a quitté ses fonctions le 15 juin. C'est la directrice générale adjointe de l'EPA, Sarah Bellier, qui assure l'intérim.
Il y a 4 ans et 329 jours

Élection du nouveau Bureau de l'Association Qualitel

Aux côtés des autres membres du Bureau, représentants des organisations et instances du secteur, il accompagnera les grandes orientations stratégiques de l'Association QUALITEL pour les 5 années à venir, en cohérence avec les enjeux actuels et futurs du logement.Faire progresser la qualité du logement, avec et pour tous les acteursCréée en 1974, l'Association QUALITEL poursuit une mission centrale : faire progresser la qualité du logement pour un habitat confortable, sain, sûr et durable, en phase avec son temps. Pour ce faire, elle exerce des activités d'information du grand public, de certification, de recherche, d'évaluation et expertise et de formation professionnelle.À travers ces travaux, elle accompagne les grands enjeux de l'habitat, en cohérence avec les transitions environnementale, énergétique et numérique, mais aussi en termes de santé et de confort. Elle contribue ainsi à des avancées concrètes. Pour exemples :Une meilleure connaissance du ressenti des particuliers en matière de qualité du logement, et ainsi, des progrès restant à faire, avec des données inédites recueillies chaque année dans le cadre du Baromètre QUALITEL - IPSOS ;L'élévation du niveau de performances des logements, avec la certification NF Habitat - NF Habitat HQE, dans une approche multicritère intégrant les nouveaux enjeux du secteur et anticipant les tendances émergentes ;Le déploiement du numérique, dans le cadre de la certification avec l'intégration d'outils collaboratifs, et à travers des travaux dédiés au carnet numérique du logement, en appui aux actions des pouvoirs publics sur ce sujet.Fondamentales pour l'habitat de demain, ces thématiques seront notamment au cœur des priorités stratégiques de QUALITEL pour les 5 années à venir, sous la direction du nouveau Bureau de l'Association.Le nouveau Bureau de QUALITELLe nouveau Bureau de l'Association QUALITEL est composé de 10 membres, parmi lesquels :Bertrand Delcambre, réélu Président de l'Association QUALITELReprésentant du ministre en charge du Logement et Président de l'Association depuis 2015, Bertrand Delcambre a été reconduit dans ses fonctions.Ingénieur Général des Ponts, des Eaux et des Forêts, il passe l'essentiel de sa carrière professionnelle au Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) dont il est élu Président en 2008.En 2014, Sylvia Pinel, ministre du Logement, de l'Égalité des Territoires et de la Ruralité, le nomme Ambassadeur du Numérique dans le Bâtiment, puis Président du Plan Transition Numérique dans le Bâtiment. En 2015, il rejoint l'Association QUALITEL.Chantal Jannet, réélue vice-Présidente de l'Association QUALITELVice-Présidente de la Fédération nationale Familles rurales, administratrice de l'Union nationale des associations familiales (UNAF), Chantal Jannet a exercé diverses responsabilités dans les domaines de la consommation, du logement et du droit des femmes. Elle siège notamment au Bureau du Conseil National de la Consommation et à la Commission d'évaluation et de contrôle de la médiation de la consommation (CECMC). Elle préside également le Fonds de dotation de QUALITEL qui agit en faveur du logement des personnes défavorisées.Ainsi constitué, le nouveau Bureau accompagnera l'élaboration et la mise en œuvre des nouvelles orientations stratégiques de l'Association QUALITEL, s'inscrivant dans la continuité des actions engagées ces dernières années et en cohérence avec les enjeux et thématiques émergentes du logement. Ainsi, notamment :Rénovation énergétique, biodiversité, qualité de l'air intérieur, économie circulaire et bas carbone : ces sujets seront, par exemple, au cœur des évolutions apportées au référentiel de certification NF Habitat - NF Habitat HQE, présentées dans les prochains jours ;Déploiement du numérique, y compris dans une dynamique de services pour les particuliers : CLÉA, espace numérique du logement lancé il y a quelques semaines pour la maison individuelle, sera déployé dès cet été à tout le logement, accessible aux professionnels et aux particuliers ;Accompagnement de la montée en compétences des professionnels, avec un large programme de formations couvrant toutes les thématiques du logement : BIM, énergie et environnement, nouveaux modes constructifs, qualité et santé, réglementations.Etc.« Je remercie les membres du Conseil d'administration pour leur confiance renouvelée. J'ai particulièrement apprécié la qualité de nos échanges au fil de ces 5 dernières années. La diversité de leurs expertises et de leurs attentes, représentatives de celles de l'ensemble du secteur, y compris des consommateurs, nous ont permis de mener à bien de grands projets fédérateurs et essentiels pour faire progresser la qualité du logement.Je remercie aussi les équipes de QUALITEL et de ses filiales pour leur dynamisme et la force de leur engagement.Ensemble, nous poursuivrons, accélèrerons et intensifierons nos actions pour accompagner au mieux tous les acteurs, a fortiori dans ce contexte de crise sanitaire et économique inédite. Nous le savons, et cela s'est plus que jamais confirmé ces derniers mois : l'habitat est au cœur des préoccupations de chacun. Nous devons continuer à faire de sa qualité, notre priorité. »Bertrand Delcambre - Président de l'Association QUALITEL
Il y a 4 ans et 329 jours

Rockwool dévoile son Rapport Développement Durable 2019

Des objectifs axés notamment sur la réduction des émissions de CO2, l'extension de son offre de recyclage à 11 pays et la diminution des déchets de production de 18% en 2019. S'il confirme ainsi la réduction de 4% de ses émissions de CO2 sur la production de ses produits par rapport à 2015, ROCKWOOL garde le cap des objectifs en matière de réductions des émissions de CO2 du groupe de 10% d'ici 2022 et de 20% d'ici 2030En plaçant les enjeux de développement durable au centre de sa politique, ROCKWOOL poursuit les efforts nécessaires à ses objectifs en se montrant toujours plus innovant et éco-responsable chaque année. Des objectifs déclinés également à travers une campagne de sensibilisation aux économies d'énergie et à l'efficacité énergétique auprès des professionnels et du grand public lancée en mai dernier.Décarboner ses opérations : plus qu'une ambition, une priorité pour ROCKWOOL« Nous mesurons l'impact de chacun de nos produits et de nos process autour des trois éléments de base de la durabilité : la lutte contre le changement climatique et la maîtrise des émissions de CO2, le développement de l'économie circulaire, le bien-être et la sécurité dans son logement. ROCKWOOL s'est engagé à respecter 10 des Objectifs de Développement Durable (ODD) mis en place par les Nations Unies. », explique Gaëtan Fouilhoux responsable Affaires Publiques ROCKWOOL France. En 2019, l'outil d'évaluation environnementale Trucost a estimé que 100% des produits ROCKWOOL étaient propices à la réalisation des ODD. Le Groupe évalue son avancement à travers ses propres indicateurs évaluant l'impact de ses produits sur les ODD concernés en termes de performance et d'avantages apportés.L'année 2019 s'est avéré très positive pour les mesures environnementales mises en place par ROCKWOOL, à commencer par ses émissions de carbone. En effet, l'isolation des bâtiments ROCKWOOL vendue en 2019 économisera, tout au long de sa durée de vie, 100 fois le carbone émis pendant sa production et permettra d'économiser près d'1 milliard de tonnes de CO2.Poursuivant les efforts de 2018, ROCKWOOL a encore fait baisser cette année l‘intensité des émissions de CO2 de sa production de 4% par rapport à 2015, année de référence. L'objectif du Groupe est toujours d'atteindre une réduction des émissions de CO2 de 10% d'ici 2022 et de 20% d'ici 2030. Au Danemark, berceau du Groupe et laboratoire de référence pour ces mesures, la réduction de ces émissions vise même les 70% à 2030.Adopter et promouvoir l'approche circulaire partout dans le mondeROCKWOOL continue d'exploiter au maximum la recyclabilité naturelle et quasi infinie de la laine de roche. En 2019, le groupe a ainsi réduit de 18% les déchets de production mis en décharge depuis 2015, grâce à des investissements dans le recyclage interne. Des recherches sont constamment menées pour accroître cet impact dans les années futures. ROCKWOOL a également étendu son offre de services de recyclage à 11 pays, au nombre de 10 en 2018, en intégrant la Suisse. Pour rappel, l'objectif est de porter ce nombre à 30 d'ici 2030. En France, ROCKCYCLE, la solution pour récupérer les déchets de chantier, continue de se déployer auprès des clients afin d'optimiser le recyclage sur les chantiers.Accentuer sa contribution à la réalisation des Objectifs mondiauxEn 2019, ROCKWOOL a décidé d'accentuer ses efforts en ajoutant un nouvel indicateur qui apporte une contribution particulière à l'ODD 8 : Travail décent et croissance économique, surveillant désormais les emplois et la valeur économique qu'ils génèrent directement ou indirectement, ainsi que la valeur économique de l'énergie économisée par ses produits. Les produits d'isolation ROCKWOOL vendus en 2019 devraient permettre aux clients de ROCKWOOL d'économiser environ 77 milliards d'euros en besoin énergétique.Préconisant depuis longtemps la rénovation des bâtiments comme solution climatique efficace, le Groupe ROCKWOOL soutient activement les objectifs du Pacte vert de la Commission européenne. En France, toujours en 2019, ROCKWOOL a aussi souligné son engagement de longue date en faveur des économies d'énergie en signant la charte FAIRE qui regroupe l'ensemble des acteurs publics et privés de la rénovation énergétique.« En tant que leader de l'isolation en laine de roche, ROCKWOOL entent ainsi maintenir le cap de sa contribution à la concrétisation des Objectifs mondiaux. », précise Gaëtan Fouilloux.
Il y a 4 ans et 331 jours

Les professionnels déplorent le maintien des recommandations du HCSF sur les crédits immobiliers

Parmi ces mesures, celle de "laisser inchangé à 0% le coussin de fonds propres bancaires contra-cyclique" au vu des "circonstances actuelles et pour soutenir l'offre de crédit aux entreprises, notamment les TPE et PME qui dépendent fortement du financement bancaire", indique le HSCF dans un communiqué.Le "coussin contra-cyclique" est une réserve supplémentaire de capital à mettre de côté par les banques en cas de retournement de la conjoncture financière.Ce coussin s'élevait à 0,25% des fonds propres des banques depuis le 1er juillet 2019, et devait être augmenté à 0,5% en avril. Conséquence du Covid-19, il a été supprimé dès le 18 mars.Rappelant que les acteurs financiers français ont abordé cette crise dans une position "solide" avec des réserves de capital renforcées, le Haut Conseil continue d'appeler à "une attitude responsable" les banques et assurances en matière de distribution de dividendes, rachats d'actions et versements de rémunérations variables.Le HCSF, qui rassemble notamment le ministère de l'Économie et la Banque de France, anticipe par ailleurs "une reprise d'activité rapide" sur le marché immobilier tout en rappelant ses recommandations de prudence dans l'octroi de crédits immobiliers: pas d'emprunt supérieur à une durée de 25 ans et respect d'un taux d'endettement à 33%.En toile de fond "les risques pour le système financier restent toutefois à un niveau élevé, compte tenu de l'ampleur des pertes économiques déjà subies et à venir", estime le HCSF, soulignant "l'incertitude sanitaire et la trajectoire de la reprise".D'où également le maintien de sa mesure dite "grands risques", en vigueur depuis mai 2018, consistant à réduire l'exposition des grandes banques aux grandes entreprises endettées en limitant leur exposition à ces dernières à un niveau maximum de 5% de leurs fonds propres éligibles.Cette mesure vise aussi à faciliter "la mise en œuvre des dispositifs de soutien au financement des entreprises", explique-t-il.Sur la possible création d'une structure de défaisance, ou "bad bank", une source proche du HCSF écarte cette option."Ce n'est pas à l'ordre du jour actuellement en France (...) le secteur financier est tout a fait à même d'absorber cette crise et même d'accompagner les entreprises françaises dans cette crise en faisant plus de prêts", estime cette même source.Les primo-accédants encore plus pénalisés face à l'emprunt immobilier selon La Centrale de FinancementLes primo-accédants sont une source naturelle de la production de crédit immobilier. Avec la crise sanitaire, ceux-ci ont été fortement impactés par la baisse de leur pouvoir d'achat, ne leur permettant plus de s'engager sur un projet d'emprunt immobilier. La décision du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) risque d'aggraver la situation d'un pan de la population déjà suffisamment meurtri par la crise...« Le maintien de ces mesures restrictives par le HCSF (pas d'emprunt supérieur à une durée de 25 ans ni d'endettement au-delà de 33%) aura pour effet premier de pénaliser encore davantage les primo-accédants, déjà fortement affectés par l'augmentation du chômage partiel. C'est une véritable mauvaise nouvelle pour le marché du crédit immobilier.Celui-ci s'était naturellement régulé avec la crise sanitaire et ce, sans intervention du HCSF. Le premier semestre 2020 illustre d'ailleurs cette tendance avec 200 000 transactions immobilières de moins par rapport à l'année passée. Alors que nous envisagions sereinement la reprise, la décision du HCSF n'envoie aucun signe positif pour l'encourager et la favoriser... Cette position inflexible et intransigeante est en totale contradiction avec les annonces formulées par le gouvernement et les pouvoirs publics souhaitant, à l'inverse, dynamiser l'activité économique. Le marché du crédit immobilier porte notre économie, Il est donc plus que jamais urgent d'en assouplir les conditions d'accès ! »Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de FinancementLCA-FFB déplore le maintien des recommandations du HCSFÀ l'heure où les remontées de terrain sur la très forte dégradation de l'activité commerciale du secteur se confirment dans les statistiques du marché, au moment où le Gouvernement prépare un plan de relance de la construction, LCA-FFB s'étonne que le HSCF confirme sa position. Ces règles conduisent à fortement contraindre la distribution de crédits immobiliers, avec des effets qui se font durement ressentir (en particulier par les jeunes ménages et les familles modestes). L'enquête conduite début juin par LCA-FFB auprès de ses adhérents montre que 75% d'entre eux constatent un net durcissement des conditions d'octroi des prêts immobiliers, proportion en hausse de 11 points par rapport à la précédente enquête de fin avril.À fin avril, les ventes de maisons neuves en secteur diffus se sont écroulées de 36% sur trois mois en glissement annuel[1] et de 59% sur le mois d'avril. À fin mars, selon les données publiées par le Ministère du Logement[2], les réservations de logements neufs auprès des promoteurs immobiliers ont chuté de 24% par rapport au premier trimestre 2019 (-24% pour le collectif et -29% pour l'individuel groupé) et les mises en vente de logements enregistrent un recul de 28% sur cette même période.Grégory Monod, Président de LCA-FFB : « le maintien des recommandations du HCSF est incompréhensible au regard de la maîtrise des risques par le système financier français, qui ne montre toujours pas de signes de fragilité, et alors que la situation du logement neuf se dégrade fortement. Le violent trou d'air provoqué par la crise du Covid-19 va lourdement frapper nos entreprises et nos emplois. Un plan de relance d'envergure, à court et à moyen terme, et à la hauteur des enjeux du secteur est indispensable.Dans l'immédiat, il faut permettre aux établissements de crédit d'accompagner les particuliers dans la réalisation de leurs projets. Ensuite, il faut prendre des mesures pour améliorer la solvabilisation des ménages et séduire les investisseurs disposant d'épargne. Les outils peu coûteux qui ont fait leurs preuves par le passé doivent être privilégiés : prêt à taux zéro, APL Accession, dispositif Pinel.Il est urgent de les renforcer car sans une réaction rapide, le pire est à craindre ! »[1] CGI Bâtiment/Caron Marketing, indicateur Markemétron.[2]Service des données et études statistiques (SDES) / Enquête sur la commercialisation des logements neufs (ECLN)
Il y a 4 ans et 331 jours

Le gouvernement devrait reporter d'un an la révision de la fiscalité du gazole

"A la demande des professionnels, et dans le cadre des mesures de soutien aux entreprises face à la crise, on a accepté de décaler d'un an l'entrée en vigueur de la suppression de l'avantage fiscal sur le GNR pour l'ensemble des secteurs concernés", a indiqué à l'AFP un porte-parole du ministère de l'Économie et des Finances.Cette suppression devait s'effectuer de façon progressive, en trois paliers successifs: avec une hausse de la fiscalité le 1er juillet 2020 puis le 1er janvier 2021, avant l'élimination complète de la niche fiscale au 1er janvier 2022.Un amendement du gouvernement sera déposé dans le cadre de la troisième loi de finances rectificative pour décaler ce calendrier et supprimer entièrement l'avantage fiscal au 1er juillet 2021, explique-t-on à Bercy."On décale l'entrée en vigueur (d'un an) pour protéger les entreprises et leur trésorerie, mais par contre, il n'y aura pas de progressivité: on ira directement au taux de droit commun (...) La suppression (en totalité) de cet avantage fiscal sera effective six mois avant la date prévue initialement", insiste-t-on au ministère.Les entreprises du bâtiment et des travaux publics étaient très mobilisées ces derniers mois pour réclamer le maintien du taux préférentiel sur la taxe frappant l'usage du GNR afin de surmonter les graves difficultés économiques générées par la crise sanitaire du Covid-19 et le confinement."Je me réjouis que le gouvernement ait finalement accédé à notre demande de bon sens, dans le contexte de crise et de difficultés de trésorerie (...) Le maintien du premier relèvement de taxes au 1er juillet aurait exacerbé les tensions au sein de nos entreprises", a observé jeudi Bruno Cavagné, président de la Fédération nationale des Travaux publics, dans une réaction transmise à l'AFP.De son côté, l'organisation CNATP (artisans des travaux publics et du paysage) a salué jeudi soir un résultat obtenu selon elle grâce à son "travail sans relâche (...) depuis des semaines", tout en évoquant des points de "vigilance" sur l'application de cette mesure, notamment des points techniques comme la coloration du carburant.
Il y a 4 ans et 331 jours

Atelier Data : Casa no cercal

C’est à Cercal dans la région du Centre au Portugal que l’agence d’architecture Atelier Data a réinterprété la maison traditionnelle portugaise en érigeant une villa solaire qui s’intègre parfaitement au paysage vallonné alentour. Casa no cercal est une maison de 195 mètres carrés ouverte sur la nature. Fascinés par les reliefs de la région, les architectes d’Atelier Data ont choisi de valoriser la relation de la villa avec les éléments naturels environnants, notamment les collines et la rivière. Les architectes ont ainsi abaissé les frontières entre intérieur et extérieur grâce à des fenêtres et des portes vitrées coulissantes qui laissent entrer la lumière naturelle et offrent de belles vues sur le paysage. Dans la même logique, ils ont également agencé plusieurs patios, des petits espaces extérieurs plus confidentiels, qui font circuler la lumière dans la maison, et crée une grande salle de séjour qui ouvre de plain-pied sur une grande terrasse prolongée par une couloir de nage. À l’intérieur, le blanc règne en maître absolu. Partout des meubles dépareillés, des matières naturelles, des céramiques colorées distillent un esprit estival. Une véritable ode à la nature ! Pour en savoir plus, visitez le site d’Atelier Data. Photographies : © Richard John SeymourLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 331 jours

Une relance verte aux contours encore flous

"Notre priorité est de reconstruire une économie forte, écologique, souveraine et solidaire", déclarait encore le président Emmanuel Macron il y a quelques jours.Estimant qu'il fallait "créer les emplois de demain par la reconstruction écologique qui réconcilie production et climat", il a plaidé pour "un plan de modernisation du pays autour de la rénovation thermique de nos bâtiments, des transports moins polluants, du soutien aux industries vertes".Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire répète aussi depuis des semaines que le plan de relance, prévu pour la rentrée, devra "faire de la France la première économie décarbonée d'Europe".Investissements massifs? Incitations fiscales? Contribution des territoires? Engagements contraignants? A quelle échelle de déploiement? L'exécutif s'est peu avancé sur la manière de concrétiser ses engagements."La décarbonation sera un fil rouge de toutes nos décisions même si cela nous force à faire des choix difficiles" à l'égard de certains projets ou entreprises, assure-t-on à Bercy.Moment de véritéJusqu'à présent, les plus de 460 milliards d'euros de soutien public déployés face à la crise intègrent très peu de contraintes ou de contreparties écologiques. La priorité était de sauver entreprises et emplois, se défend le gouvernement.Les aides aux secteurs aéronautique et automobile ont été teintées de vert, avec des primes à l'achat de véhicules électriques, une réduction des vols intérieurs ou des investissements dans l'avion à hydrogène.Mais on est loin du compte, ont regretté ONG et élus écologistes, quand les pouvoirs publics devraient mobiliser "seulement" 7 à 9 milliards d'euros de plus par an pour financer la transition écologique, selon l'Institut de l'économie pour le climat (I4CE)."On vient de dépenser 130 milliards d'euros en trois budgets rectificatifs. Il fallait les soutiens d'urgence, mais est-ce que la place de la transition écologique était suffisante? La réponse est non, toujours pas", pointe le député Matthieu Orphelin (ex-LREM). En particulier, "il n'y a rien eu sur la modération du transport aérien à long terme"."Un moment de vérité s'ouvre à nous: on veut un virage plutôt qu'un mirage", appuie Véronique Andrieux, du WWF.Une certitude: le plan de relance devrait faire la part belle à la rénovation thermique des bâtiments. Mais d'autres plans sur le sujet lancés par le passé n'ont pas eu le succès escompté."Une priorité sera donnée aux bâtiments publics (crèches, écoles, hôpitaux, universités)" et aux Ehpad, même si les travaux sont "parfois difficiles à déclencher car l'État n'a pas toujours la main", au côté des régions et communes, indique-t-on à Bercy et à l'Écologie.Hydrogène, train, citoyensLe gouvernement compte ainsi sur le milliard d'euros accordé aux collectivités pour leurs investissements.Le recours à cette enveloppe "devra être conditionné aux investissements dans la transformation écologique et sociale, et exclure tout investissement climaticide", comme "des rocades ou des ronds-points", réclame la Fondation Hulot.Car la France, qui vise la neutralité carbone d'ici à 2050, n'est pas sur cette voie. Ses émissions de gaz à effet de serre ont reculé depuis 1990, notamment dans l'industrie manufacturière, mais transports, résidentiel, agriculture restent de forts contributeurs. Et ce bilan n'inclut pas l'empreinte des importations.Le plan gouvernemental prévoit de soutenir l'hydrogène vert, technologie d'avenir pour les transports volumineux, l'industrie et le stockage d'énergie. Un appel à projet franco-allemand est dans les tuyaux, indique-t-on à Bercy, alors que les Allemands viennent d'annoncer un plan de 9 milliards.Et quid du train? Rien n'a encore été annoncé, même si le gouvernement a "des ambitions très fortes sur le ferroviaire" et compte accompagner la SNCF, assure à l'AFP la ministre de l'Écologie Elisabeth Borne.La compagnie nationale, qui a perdu 4 milliards d'euros de revenus avec la crise, risque de devoir reporter des investissements, a prévenu son président Jean-Pierre Farandou.
Il y a 4 ans et 331 jours

Le gouvernement assouplit les règles de la commande publique

Les entreprises en redressement judiciaire et qui "bénéficient d'un plan de redressement", jusqu'ici empêchées de se porter candidates à la commande publique, ne pourront plus être exclues des procédures de passation de marchés publics, prévoit notamment cette ordonnance."Les pratiques des acheteurs sont en effet diverses et il convient de sécuriser l'accès de ces entreprises en voie de redressement aux marchés publics", a justifié le gouvernement dans le compte-rendu du conseil des ministres de mercredi.Les acheteurs publics seront également désormais tenus de réserver directement ou indirectement au moins 10% de la valeur estimée de leurs marchés globaux à des petites et moyennes entreprises (PME) et à des artisans."La part que les candidats à ces marchés globaux s'engagent à confier à des PME ou à des artisans devient en outre un critère obligatoire de sélection des entreprises titulaires", affirme le gouvernement.Ces deux mesures resteront en vigueur jusqu'au 10 juillet 2021, précise le texte de l'ordonnance.Troisième évolution: lorsque le chiffre d'affaires d'une entreprise est un critère d'attribution d'un marché public, l'administration concernée "ne [tiendra] pas compte de la baisse du chiffre d'affaires intervenue au titre du ou des exercices sur lesquels s'imputent les conséquences de la crise sanitaire liée à l'épidémie de Covid-19", prévoit l'ordonnance.Cette mesure s'appliquera jusqu'à fin 2023.Par ailleurs, deux autres textes prévoyant d'autres allègements des passations des marchés publics sont actuellement examinés par le Conseil d'État, a indiqué le ministère de l'Économie à l'AFP.Le premier prévoit un relèvement temporaire à 70.000 euros du seuil nécessitant une publicité de mise en concurrence pour une commande publique, afin de faciliter la candidature des PME.Le second relève à 100.000 euros le seuil des marchés publics pour la fourniture de denrées alimentaires périssables, ceci afin de permettre aux entreprises d'écouler les stocks importants réalisés pendant le confinement, en particulier de viandes ayant dues être congelées, explique-t-on à Bercy.
Il y a 4 ans et 332 jours

Bruno Cavagné, un 3e mandat de “combat” à la FNTP

Pour son 3e mandat à la tête de la FNTP, Bruno Cavagné milite pour l’adoption de deux plans de relance. [©FNTP] Dans un contexte de crise, Bruno Cavagné, 57 ans, a été réélu président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) . Ceci, pour un troisième mandat de trois ans. Ce mandat de “combat” s’ouvre dans une période de crise sanitaire et économique inédite. Bruno Cavagné milite ainsi pour l’adoption de deux plans de relance. D’abord, un plan d’urgence pour soutenir l’investissement public local. Puis, un plan de transformation au service de la transition écologique. Bruno Cavagné sera entouré d’une équipe renouvelée représentative des métiers, des territoires et des typologies d’entreprises de travaux publics. « C’est une course contre la montre » « Les administrateurs de la FNTP ont souhaité me renouveler leur confiance dans cette période, qui s’annonce très difficile pour le secteur des travaux. Et je les en remercie. Mon seul combat est aujourd’hui de surmonter la crise que nous vivons. Et pour ce faire, je plaide pour l’adoption en urgence d’un plan de soutien à l’investissement public local et d’un plan de transformation de nos infrastructures au service de la transition écologique. Le temps nous est compté et c’est une course contre la montre qui s’engage avec le gouvernement. Plus il tardera à engager ces plans, plus les dommages de la crise seront profonds dans notre secteur », estime Bruno Cavagné.  Celui-ci est toujours investi dans le groupe Giesper, à Toulouse, spécialisé dans les activités de génie civil, de canalisations, de VRD, de gros œuvre, de peinture, de recyclage, d’hôtellerie et de promotion. Homme d’échanges, Bruno Cavagné s’est impliqué dans la vie professionnelle comme dans son entreprise, depuis de longues années. Ainsi, Il est membre du bureau du Medef (Mouvement des entreprises de France), conseiller du Conseil économique, social et environnemental (Cese) au titre de la vie économique et du dialogue social. Et administrateur de BTP Banque, de la SMAvie BTP et de la Caisse nationale des entrepreneurs de travaux publics (CNETP). Il est aussi vice-président de la SGAM BTP, vice-président du Conseil d’orientation des infrastructures.
Il y a 4 ans et 332 jours

Kadoor de Thirard, l'ouvre porte au pied qui facilite le quotidien après le Covid-19

Créé par l'agence LS Design et fabriquée par Thirard, Kadoor est une solution très pratique au quotidien et (presque) sans contact pour tous les professionnels en milieu hospitalier, industries, entreprises, lieux publics et particuliers.Kadoor, où comment ouvrir et fermer facilement les portes avec le pied !Kadoor a été pensé pour rendre l'ouverture des portes accessible à tous. En complément d'une poignée classique, l'ouverture au pied est rendue possible grâce à une béquille installée en bas de la porte. Poignées haute et béquilles basses sont reliées par un câble (ou une tige métallique fine) placé le long de l'ouvrant.En appuyant sur la béquille basse - la pédale - avec un pied, la poignée haute s'actionne. Le système de câble et de biellettes Kadoor entraine la rotation du carré et le retrait du pêne ½ tour. La serrure est ouverte, la porte est libérée. Elle peut donc être ouverte puis refermée en la tirant ou la poussant avec le pied. Des caoutchoucs placés sur les béquilles basses facilitent encore les mouvements exercés sur la porte avec le pied.Kadoor est un dispositif discret et très simple à installer. En seulement quelques minutes, toute porte intérieure devient plus accessible. Pour ouvrir les portes, c'est vraiment le pied !Kadoor libère vos mouvements !Kadoor est ingénieux ! Il permet l'accessibilité à toutes les personnes se déplaçant les mains prises par des colis, des documents ou même des cafés… Ce système apporte également une solution pour certaines personnes ayant un handicap en leur permettant de gagner en autonomie.Cet ouvre porte est aussi un accessoire « propre » puisqu'il évite tout contact avec les mains. Il sera donc très utile dans un environnement industriel, des cuisines ou des ateliers, où l'on est souvent amené à avoir les mains sales.Permettant une ouverture des portes sans contact, Kadoor devient par extension une réponse évidente et indispensable aux problématiques de sécurité sanitaire actuelle. Une solution plus hygiénique que l'ouverture des portes avec les mains !Kadoor, c'est la simplicité et la sécurité au service de tous !Pensé par LS Design, fabriqué par Thirard, Kadoor réinvente l'ouverture de porte pour améliorer le bien-être de tous vos collaborateurs quel que soit le secteur : médical, industrie, entreprises de service, artisanat, salons de coiffure, restaurants… ou même particuliers en recherche de solutions astucieuses pour leur garage, Kadoor permet d'ouvrir la majorité des portes intérieures tout en assurant une utilisation saine et accessible au plus grand nombre !Le nouveau Kit main libre Kadoor MK1 (garniture sur rosace) est disponible dès juillet 2020 au prix public de 49.76 euros TTC
Il y a 4 ans et 332 jours

Artificialisation : les propositions de la convention climat

AMÉNAGEMENT. La convention citoyenne va discuter, entre le 19 et le 21 juin, ses 150 propositions pour le climat. Parmi celles-ci, six concernent la lutte contre l'artificialisation des sols, dont l'interdiction ferme d'urbaniser tant que des friches subsistent dans "l'enveloppe urbaine existante". Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, s'est prononcée pour un référendum sur certaines des propositions des citoyens tirés au sort.
Il y a 4 ans et 332 jours

ISOcomble s'adapte en cette période délicate

En adaptant parfaitement ses méthodes selon les exigences actuelles dues au contexte sanitaire, toutes les agences ont pu reprendre leur activité depuis mi-avril pour le côté technique, et le 11 mai pour l'activité globale. Zoom sur l'accompagnement du réseau en cette situation délicate et sur cette dynamique reprise.Cette période de crise sanitaire aura été un véritable défi pour bon nombre d'entreprises. Cependant, des dispositifs d'aide ainsi que des initiatives de la part de certaines sociétés ont permis de faire face à certaines difficultés. C'est pourquoi ISOcomble a particulièrement mis l'accent sur l'accompagnement complet de son réseau mais aussi auprès des particuliers, afin de préserver la santé et le bien-être de chacun malgré les tensions existantes.Suite à l'annonce du confinement et à la fermeture des agences, Stéphane Lagneaux, Directeur réseau ISOcomble, a tenu à garder un lien régulier avec les franchisés, en les informant par téléphone ou par email sur toutes les démarches possibles susceptibles de les aider. Puis, selon le souhait et la capacité de chacun, des chantiers ont pu reprendre chez les particuliers, en respectant à la lettre les mesures d'hygiène et de sécurité via les préconisations de l'OPPBTP (L'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics).Stéphane Lagneaux précise : « Avant toute intervention, les équipes veillent à obtenir de la part du client la garantie de non contamination par le Covid-19 ainsi qu'un accord d'intervention. Nous insistons également sur la nécessité d'interagir le moins possible avec les experts ISOcomble sauf si nécessaire au moment de la signature des fins de travaux ou lors de l'état des lieux, en respectant les gestes barrières et en portant l'équipement de sécurité indispensable. »Grâce à des dispositifs clairs et précis informant les clients de manière détaillée sur le déroulement de la future intervention des équipes ISOcomble, tous les chantiers initialement prévus ont pu aboutir, soit un par jour par franchisé, et ce, dans de bonnes conditions sans que la qualité du travail effectué ne soit altérée. Par ces différentes actions, l'enseigne met en lumière ses atouts essentiels : la qualité des relations humaines via un accompagnement quotidien, l'ancrage local des agences de proximité ISOcomble et la qualité des travaux réalisés par des experts qualifiés pour rendre les habitats plus sains.Cela fait déjà plusieurs semaines que l'enseigne prépare sa reprise d'activité totale pour revenir au plus vite à des niveaux d'activité important. Dans ce sens, le réseau a axé ses réflexions autour d'actions de communication spécifiques permettant de valoriser le concept écologique, en plus de rappeler que l'opération « Coup de Pouce Isolation » se poursuit pour une isolation à partir de 1 euro.Un accent mis sur la communication digitaleEn vue d'optimiser la reprise d'activité totale des agences de proximité dès le 11 mai, le réseau a choisi d'accompagner ses franchisés sur tous les fronts. Notamment sur le volet digital avec un lancement prochain de campagnes SMS géolocalisées ainsi que des envois d'emailings ciblés, venant soutenir l'ancrage local des 20 agences existantes. Ces actions seront réalisées dans le but de gagner davantage en contacts qualifiés et d'accompagner au mieux l'ensemble du réseau en cette période transitoire. C'est pourquoi ISOcomble entend davantage occuper le terrain digital, plus que jamais dans l'air du temps, en accentuant sa présence sur les réseaux sociaux.Ces opérations ont pour but de se rapprocher des consommateurs vivant à proximité des agences et également de les rassurer sur les bonnes pratiques en cette période de reprise.Des atouts essentiels assurant la réussite du réseauTout en s'adaptant aux exigences actuelles face au contexte sanitaire, les équipes continuent d'assurer une isolation de qualité avec l'isolant le plus performant et durable existant sur le marché, ISOtextil, fabriqué à partir de chutes de vêtements neufs recyclés. Par ailleurs,il bénéficie d'un atout supplémentaire et non négligeable, une garantie de 15 ans, unique sur le marché.De plus, afin de répondre aux besoins des particuliers et s'adapter à tous les budgets, l'opération « Coup de Pouce Isolation » via les mécanismes de Certificats d'Économie d'Énergie (CEE) se poursuit. Celle-ci participe amplement à la progression des agences ISOcomble tant en franchise qu'en succursale, témoin de l'engouement des consommateurs souhaitant bénéficier d'une isolation de qualité effectuée par des experts qualifiés et de proximité, à un prix minime.
Il y a 4 ans et 332 jours

Les solutions créatives de sols textiles Balsan à la portée de tous avec BIMobject

Audrey Chanvril, Responsable Prescription chez Balsan, fabricant de sols textiles, livre sa vision sur l’engagement BIM du groupe. Le groupe Balsan en quelques mots Balsan est un fabricant français de sols textiles en lés et dalles avec des usines au cœur du Berry dans l’Indre, près de Châteauroux. Balsan, fondé en 1751, est le spécialiste français des revêtements de sol textiles et fabrique des moquettes en dalles et en rouleaux pour différents marchés tels que les espaces tertiaires et commerciaux, les hôtels et restaurants, les cinémas, sans oublier l’activité résidentielle. En tant que prescriptrice, j’apporte des solutions créatives et décoratives à nos promoteurs, architectes, aménageurs et bureaux d’études parisiens, grâce à une large gamme de produits et de coloris. Balsan compte 220 employés dont la majorité se situe en France – entre les personnels de production, administratifs et les équipes commerciales. Je n’oublie pas mes collègues à l’étranger générant près de 45% du Chiffre d’affaires. Les produits Balsan ont des domaines d’application divers à la fois sur des réalisations en neuf ou en rénovation pour des logements collectifs et tertiaires. Nos clients sont la maîtrise d’ouvrage publique, privée, la maîtrise d’œuvre, les entreprises générales, les entreprises de pose et le réseau de distributeurs professionnels. Produits BIM Balsan sur BIMobject Pourquoi Balsan s’est-il lancé dans une démarche BIM ? Balsan est activement engagé dans la démarche BIM depuis 2019. Nos motivations sont nombreuses. Tout d’abord, le BIM est un outil de travail d’avenir dans lequel Balsan croit très fortement. Nous souhaitons offrir à nos clients prescripteurs la possibilité de travailler leurs projets en amont avec nos produits, facilitant ainsi leur intégration dans leurs projets. Le BIM est la parfaite expression de l’évolution des métiers de la conception et de la construction et nous voulons y être associés. En plus d’apporter des solutions techniques et décoratives, nos produits sont désignés et fabriqués en France, et nous savons combien nos clients y sont sensibles. L’organisation Balsan par sa force de vente, son service clients et ses usines, est taillée pour répondre aussi bien aux prescripteurs qu’aux entreprises et assurer le bon suivi des projets conséquents. Quels sont les défis liés au BIM auxquels vous devez faire face ? La création et la mise à jour des objets BIM sont très consommatrices de temps et il a fallu mettre en place les ressources nécessaires pour y parvenir. Heureusement, nous avions déjà beaucoup d’éléments suite à la refonte récente de notre site internet pour lequel beaucoup d’éléments avaient été regroupés. Notre service Marketing s’est montré très réactif. En externe, notre défi est de faire connaître à nos clients cette nouvelle possibilité d’intégrer nos produits dans leurs projets et nous devons redoubler nos efforts de communication pour les informer et les accompagner. Quelles sont vos motivations de disposer d’objets BIM ? Balsan a de tout temps été précurseur dans son domaine et nous pensons qu’il est important de bien suivre les évolutions des marchés et des méthodes de travail. La révolution numérique ne s’arrête pas en marche et le monde du bâtiment prend un nouveau virage avec l’arrivée du BIM. Donner les bons produits et outils à nos clients et prescripteurs pour travailler est une de nos priorités. Les objets BIM permettent d’intégrer tous les aspects de nos références, à la fois déco, techniques qu’environnementaux. Nous cherchons à faciliter la vie de nos clients en leur apportant les bonnes réponses. De plus, les objets BIM permettent des mises à jour rapides. Il est clair que rapidité et optimisation des process permettront de générer des économies pour tous. Après avoir étudié les différentes possibilités s’offrant à nous, BIMobject nous est paru comme étant le portail le plus utilisé et adapté à nos clients et à notre couverture géographique. Prduits de revêtements de sols Balsan sur BIMobject La collaboration entre Balsan et BIMobject nous donne satisfaction. Les échanges sont fluides et les collaborateurs de BIMobject disponibles. La notoriété du portail est appréciable ainsi que les délais de développement et la qualité des objets. Votre entreprise a-t-elle retiré des bénéfices avec le BIM ? Même s’il est un peu tôt pour répondre à cette question, je pense que cela nous permettra de mieux faire connaître nos produits et de nous intégrer sur un plus large panel de projets. Pourquoi participez-vous au salon BIM World avec BIMobject cette année ? Encore tout récent sur la plateforme BIMobject, participer au salon BIM World cette année nous offrira l’occasion de communiquer sur notre présence. Il sera également intéressant d’avoir un retour direct de nos prescripteurs afin d’apporter les compléments ou améliorations nécessaires. Showroom parisien Visitez le site Balsan pour connaitre tout l’univers et les collections de ce fabricant de sols textiles. Parcourez les 36 familles de produits Balsan disponibles sur la plateforme BIMobject.
Il y a 4 ans et 332 jours

L’avenir des Champs-Elysées

L’idée de végétaliser l’avenue des Champs-Elysées est celle qui émerge le plus fortement. [©PCA-Stream] Pendant la période de confinement, alors que les espaces culturels étaient fermés, le Pavillon de l’Arsenal et l’agence d’architectes PCA-Stream ont lancé la version virtuelle de l’exposition “Champs-Elysées : Histoire et Perspectives” L’occasion de revenir sur l’histoire, mais aussi sur l’avenir de “la plus belle avenue du Monde”. Le public ayant été invité à réinventer les “Champs”. En effet, particularité de l’évènement, cette visite immersive était aussi participative. Parents et enfants pouvaient, depuis leur canapé, se promener sur les Champs-Elysées du futur et en devenir les co-constructeurs. Plus de 2 000 propositions et 450 000 votes Le Comité Champs-Elysées et Make.org dévoilent aujourd’hui les résultats de cette consultation citoyenne. Cette dernière s’est déroulée du 14 février au 4 juin 2020. Soit avant, pendant et après le confinement. Et peut se lire en filigrane comme une synthèse des attentes des Franciliens pour “la ville d’après”. Avec près de 100 000 participants, il s’agit de la plus vaste consultation jamais réalisée dans le cadre d’un projet de réaménagement urbain. Les citoyens étaient invités à répondre à une question simple : “Qu’aimeriez-vous changer pour améliorer les Champs-Elysées ?” Parmi les 2 000 propositions, 6 grandes idées ont été plébiscitées. Les 6 idées par ordre d’importance Idée 1 – Végétaliser l’avenue est le concept, qui émerge le plus. Il s’agit de “verdir” l’artère, avec des plantations d’arbres, arbustes ou l’installation de parcs.  Idée 2 – Créer une véritable promenade piétonne des Tuileries jusqu’à l’arc de Triomphe, en facilitant la traversée des piétons (notamment de la place de la Concorde). Idée 3 – Le meilleur partage de l’espace public entre les différentes mobilités apparaît comme une priorité pour les citoyens.  Idée 4 – Les citoyens plébiscitent la promotion d’une offre de commerce plus authentique et plus française. Valorisant davantage le savoir-faire, la gastronomie et l’art de vivre français. Ceci, plutôt que des grandes chaînes internationales perçues comme aseptisées et peu différenciantes.  Idée 5 – Préserver ou revaloriser les éléments patrimoniaux de l’avenue comme les lampadaires, les colonnes Morris, les façades haussmaniennes, les pavés et les jardins historiques.  Idée 6 – Enfin, les citoyens plaident pour préserver la sécurité et la tranquillité de l’avenue. D’une part, en intensifiant la lutte contre les pickpockets et les sollicitations non-désirées. D’autre part, en renforçant les efforts en matière de propreté. M. C.
Il y a 4 ans et 332 jours

Rénovation énergétique : le « Non au tout électrique » de 18 organisations

Dix huit organisations militantes pour la performance énergétique demandent au Premier ministre de revoir les points essentiels des réglementations thermiques en révision : RE 2020, DPE et label BBC.
Il y a 4 ans et 332 jours

La FNTP annonce le report d'un an de la suppression du GNR

Dans un communiqué publié dans la soirée du 18 juin, la Fédération des Travaux publics explique que le gouvernement va accéder à cette demande dans le cadre du projet de loi de finances rectificative dont l'examen débute la semaine prochaine à l'Assemblée nationale.
Il y a 4 ans et 332 jours

Plus de verdure, de piétons et de commerces de proximité pour les Champs-Élysées

Au total, 96.702 personnes (Parisiens, Franciliens ou autres) ont participé à cette consultation citoyenne lancée du 14 février au 4 juin, à l'initiative du Comité des Champs-Élysées, structure qui regroupe tous les grands acteurs de l'avenue.Les participants, invités à répondre à la question "Qu'aimeriez-vous changer pour améliorer les Champs-Élysées ?", ont formulé "plus de 2.000 propositions", et produit "450.000 votes", qui ont permis de faire remonter "huit idées prioritaires", note le Comité des Champs-Élysées, qui y voit "une synthèse des attentes des Franciliens pour +la ville d'après+".Parmi ces idées prioritaires, les participants ont d'abord plébiscité l'idée de verdir l'avenue avec des plantations d'arbres et arbustes ou l'installation de parcs, mais aussi de développer la pleine terre et les sols poreux afin de favoriser l'écoulement des eaux et la constitution d'îlots de fraîcheur.Ils réclament ensuite de "créer une véritable promenade piétonne des Tuileries jusqu'à l'Arc de Triomphe, en facilitant la traversée des piétons, en multipliant les points d'eau, les toilettes publiques, les bancs et les endroits pour faire une halte gratuite".Ils souhaitent également un "meilleur partage de l'espace public entre les différentes mobilités", avec le développement des vélos mais "sur des pistes délimitées et bien séparées des automobiles et des espaces piétons (idem pour les trottinettes)", et "une réduction de l'espace réservée à l'automobile", sans pour autant souhaiter une piétonnisation intégrale des Champs-Élysées.Autres propositions plébiscitées, la présence sur l'avenue de commerces de proximité et valorisant "le savoir-faire, la gastronomie et l'art de vivre français plutôt que des grandes chaînes internationales", la valorisation et la préservation "des éléments patrimoniaux de l'avenue comme les lampadaires, les colonnes Morris, les façades haussmaniennes, les pavés et les jardins historiques", et le maintien des sites historiques de culture (musées, cinémas et théâtres).Enfin, les participants à l'enquête plaident pour "la sécurité et la tranquillité de l'avenue", en "intensifiant la lutte contre les pickpockets et les sollicitations non-désirées", et "en renforçant les efforts en matière de propreté".Les conclusions de la consultation seront remises à l'ensemble des candidats à l'élection municipale.Cette consultation citoyenne accompagnait l'exposition "Champs-Élysées histoire & perspectives", présentant un projet de réaménagement urbain de l'avenue par l'architecte Philippe Chiambaretta, prolongée exceptionnellement jusqu'au 6 septembre à cause de l'épidémie de coronavirus.
Il y a 4 ans et 332 jours

La nouvelle aide MaPrimeRénov pour la rénovation des logements peine à convaincre

"Depuis janvier 2020, 47.775 dossiers ont été déposés et les premières aides ont été versées pour les travaux terminés", a annoncé dans un communiqué l'Agence nationale de l'habitat (Anah), qui dépend du ministère du Logement.Cette prime a été instaurée cette année afin de remplacer le précédent système de crédit d'impôt. L'idée est de rendre l'aide beaucoup plus attirante en permettant aux ménages de vite récupérer de l'argent au lieu d'attendre des mois après la réalisation des travaux.Mais les chiffres de l'Anah témoignent d'un rythme nettement inférieur aux attentes du gouvernement qui souhaitait, en début d'année, que 200.000 primes soient attribuées en 2020.Entretemps, la crise du coronavirus est arrivée, d'abord sanitaire puis économique face à l'arrêt ou au ralentissement contraint de multiples activités à la suite de strictes mesures de confinement."Malgré la crise sanitaire, l'Anah constate un dynamisme continu sur l'ensemble de ses programmes", y compris hors de MaPrimeRénov', a nuancé l'agence.Elle "a réussi à maintenir près de 70% d'activité en moyenne dans l'instruction et le traitement des dossiers".Certains observateurs ont, de fait, lié le difficile démarrage de Maprimerenov' à d'autres facteurs que la crise sanitaire."Il semble que l'objectif initial de primes à accorder (200.000) ne puisse être atteint en raison des effets de la crise sanitaire et peut-être aussi de la grande complexité de ce dispositif", avançait fin mai un rapport de la commission des Finances de l'Assemblée nationale.Le montant de l'aide dépend en effet de plusieurs variables, entre les travaux envisagés et le niveau des revenus du ménage qui la demande.Le rapport parlementaire faisait par ailleurs état d'objectifs désormais moins ambitieux de la part de l'Anah, qui prévoit d'octroyer entre 104.700 et 135.600 primes cette année.La rénovation des bâtiments reste un objectif particulièrement mis en avant au plus haut niveau de l'État. Dimanche, le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé qu'elle ferait l'objet d'un plan dédié dans le cadre de ses projets de relance d'après-crise.
Il y a 4 ans et 332 jours

Immobilier tertiaire : entre recul d'activité et enjeux de développement durable

ETUDE. Certivéa, organisme de certification des bâtiments tertiaires, a interrogé des acteurs de l'immobilier tertiaire afin de savoir comment se portait leur activité. Il les a aussi questionnés sur les défis du développement durable. Téléchargez l'infographie.
Il y a 4 ans et 332 jours

«Le bâtiment peut être un amortisseur du chômage», Frédéric Carré, nouveau président de la FFB Occitanie

Nouveau président de FFB Occitanie, il vient d’être élu pour 3 ans, Frédéric Carré — dirigeant du groupe Carré spécialisé en métallerie et en menuiserie aluminium — tire les premières leçons de la crise sanitairs en tant que responsable régional de la fédération.
Il y a 4 ans et 332 jours

La rénovation thermique des logements, le miracle économique douteux de l'État

"Un plan de modernisation du pays autour de la rénovation thermique de nos bâtiments": c'est la promesse faite dimanche par le chef de l'État, Emmanuel Macron, dessinant les premiers axes d'un projet de relance pour sortir de la crise du coronavirus.L'idée est ancienne. Cela fait plus d'une décennie que s'enchaînent les plans en faveur d'une rénovation à grande échelle des bâtiments, notamment les logements, pour mieux les isoler et donc dépenser moins d'énergie.Début 2018, l'actuel gouvernement promettait déjà d'arriver à rénover 500.000 logements par an. Les derniers chiffres en date, fournis à l'AFP par le ministère du Logement, s'en rapprochent avec 380.000 rénovations dans les logements privés et 100.000 dans les HLM, en moyenne sur les dernières années.Cette politique s'inscrit dans un discours partagé bien au-delà de l'actuelle majorité, notamment chez les écologistes: la rénovation énergétique des logements serait une panacée qui permet à la fois de protéger l'environnement et de faire gagner de l'argent aux Français, en diminuant les factures de gaz et d'électricité.Ces dernières semaines, un autre argument a gagné de l'ampleur. La rénovation des bâtiments va créer "des centaines de milliers d'emplois", selon Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique, un argument crucial à l'entame d'une crise économique à l'ampleur sans précédent.Mais "le risque, c'est qu'on crée de la mauvaise rénovation énergétique par des emplois très peu qualifiés", prévient auprès de l'AFP l'économiste Matthieu Glachant, qui a travaillé sur l'évaluation des politiques publiques de rénovation des bâtiments."L'enjeu, c'est d'améliorer la qualité", insiste-t-il. "Et si on se met à faire de la relance là dessus, j'ai peur que ça rate un petit peu. Car ce que fait la relance, c'est améliorer la quantité."M. Glachant est enclin au scepticisme car il a évalué, à partir de données observées entre 2000 et 2013, les économies vraiment réalisées par les particuliers sur leur facture après des travaux de rénovation énergétique.La réalité est très décevante par rapport aux modèles promus par les pouvoirs publics. Une dépense d'un millier d'euros se traduit en moyenne par une économie annuelle de moins de 10 euros. Autrement dit, il faut plus d'un siècle pour rentabiliser son investissement.Politique injusteCes données remettent en cause le bien-fondé du système français d'incitations. Il est largement basé sur le principe d'une subvention octroyée en fonction des travaux réalisés et non des résultats observés ensuite."Les subventions, ça déresponsabilise les gens sur les résultats des travaux: moins il y a de reste à charge, moins vous faites des efforts pour trouver un bon artisan", avance M. Glachant.Ces résultats décevants ne sont par ailleurs pas spécifiques à la France. Aux Etats-Unis, aussi, plusieurs études montrent d'importants écarts entre prévisions et factures.Comment expliquer un décalage aussi systématique ? Les économistes interrogés par l'AFP avancent que les modélisations rendent difficilement compte des situations très variables selon les logements."Il peut y avoir aussi un effet rebond: vous allez augmenter le thermostat parce que ça coûte moins cher" après les travaux d'isolation, remarque Stefan Ambec, spécialiste de l'économie de l'environnement.L'inefficacité économique des subventions n'est en outre pas leur seul problème. Elles posent aussi un souci d'équité sociale car, en s'adressant aux propriétaires, elles gonflent le portefeuille de ménages généralement plus aisés."C'est le problème de la régressivité de cette politique: on fait des transferts de pauvres à riches", souligne M. Ambec, par ailleurs sceptique sur les ambitions du gouvernement en matière de créations d'emplois.Certes, l'exécutif a récemment exclu les ménages les plus aisés de l'actuelle prime, dite MaPrimeRenov'. Mais cela revient aussi à réduire la portée de cette aide, alors même qu'il se dit plus ambitieux que jamais en matière d'environnement."Il y a un arbitrage entre efficacité - combien de logements on va rénover - et équité", admet M. Ambec qui, comme de nombreux économistes, favorise plutôt une politique de taxation des dépenses d'énergie pour inciter à des travaux efficaces.
Il y a 4 ans et 332 jours

La CPME demande l'abandon des protocoles sanitaires en entreprise après le 10 juillet

Au moment où le gouvernement a décidé d'alléger les consignes sanitaires dans les écoles, "il serait incohérent de maintenir le protocole national de déconfinement et les guides métiers de bonnes pratiques sanitaires, au-delà de la fin de l'état d'urgence sanitaire", indique l'organisation dans un communiqué.Les mesures imposées aux entreprises, comme la fourniture d'équipements de sécurité (masque, gel, etc.) aux salariés ou les consignes de distanciation sociale "représentent des coûts importants qui minent la productivité et freinent la reprise d'activité", justifie la CPME."Il est maintenant impératif de tenir compte de la situation réelle et de déconfiner totalement les entreprises en imposant le seul respect des gestes barrières. Quitte à réinstaurer les mesures qui s'imposent en cas de reprise de la pandémie", ajoute-t-elle.
Il y a 4 ans et 332 jours

L'AMF alerte sur l'augmentation des arnaques liées aux investissement dans les parkings

L'AMF indique avoir reçu "de nombreux signalements" de personnes ayant été escroquées et ayant versé de fortes sommes d'argent pour investir dans des places de parking, notamment "d'aéroports européens", en échange de la promesse fallacieuse d'un rendement élevé."Il n'y a en réalité aucune acquisition ni location de parkings derrière ces offres frauduleuses", affirme le gendarme boursier dans un communiqué.A chaque fois, la méthode utilisée est la même: les victimes sont démarchées par "téléphone ou mail", avant d'être redirigées vers une plateforme en ligne et de signer un faux contrat de location.Ces sites "usurpent les noms d'acteurs financiers ou de groupes cotés en bourse du secteur de la construction pour rendre leur offres plus crédibles", précise l'AMF.L'autorité cite l'exemple d'un retraité ayant perdu "ses économies" après avoir succombé à une offre venant soit-disant d'un "directeur d'une société immobilière ayant son siège en Allemagne" et envoyé 50.000 euros avec l'espoir d'un rendement de 4,5% sur un an.Elle appelle de nouveau à la vigilance sur "les informations données par les sociétés que cela soit à l'oral ou à l'écrit" et rappelle que ce n'est pas parce qu'une société n'a pas fait l'objet d'une mise en garde de la part de l'AMF qu'elle est autorisée à fournir des services financiers.Les publicités sur les réseaux sociaux sont particulièrement "les terrains de prédilection des escrocs pour hameçonner leurs futures victimes", souligne le régulateur.Le gendarme français des marchés n'a eu de cesse de mettre en garde ces derniers temps contre les nouvelles arnaques dans le vin, l'or et les cheptels de vaches.Parmi les autres placements particulièrement incriminés figurent ceux en diamant, cannabis, terres rares, cryptoactifs, grands crus ou devises internationales ("forex").Et avec la crise du coronavirus, l'AMF a récemment tiré la sonnette d'alarme devant des sites proposant d'investir dans la chloroquine, le whisky, ceux promettent un crédit en moins de 3 jours sans aucune condition ou de fausses cagnottes en ligne.Depuis le début de l'année, plus de 200 sites ou entités frauduleux sont venus gonfler les listes noires publiées sur le site Assurance Banque Épargne Info Service (ABEIS).
Il y a 4 ans et 333 jours

Le gouvernement propose au BTP des mesures pour alléger les coûts liés à la crise

Après avoir lancé un cri d’alarme collectif, le secteur du BTP a pris connaissance des mesures de soutien annoncées par le gouvernement dont certaines inédites. Mais insuffisantes selon la FFB.
Il y a 4 ans et 333 jours

Ouverture de Nature Urbaine, la plus grande ferme urbaine en toiture d'Europe

S'ouvrir sur la ville c'est aussi s'ouvrir aux aspirations de ses habitants, et l'agriculture urbaine en fait partie.Située sur le toit du pavillon 6 de Paris Expo Porte de Versailles, Nature Urbaine est une création de Agripolis et Cultures en Ville et sera, à terme, la plus grande ferme urbaine en toiture d'Europe.Le rooftop maraîcher occupera alors une surface de 14.000 m² sur laquelle plus d'une vingtaine de maraîchers produiront, en saison, plus de mille fruits et légumes chaque jour, issus d'une vingtaine d'espèces différentes.Avec une eau et des nutriments qui circulent en boucle totalement fermée, la technique utilisée permet de ne pas capter la pollution urbaine et de proposer des produits extrêmement sains. Les choix de variétés et de nutriments permettent de produire des fruits et des légumes, de qualité, savoureux, cultivés sans pesticides, dans le respect des cycles de la nature, en plein Paris.Pour aller plus loin, Nature Urbaine offre de nombreux services : Les Carrés Parisiens, espaces potagers en location pour les riverains, des ateliers découverte et des visites pédagogiques autour de l'agriculture urbaine.Pour les entreprises, deux lieux sont privatisables pour organiser un séminaire, une réception, une conférence… : La Serre, espace luxuriant et La Pergola, située au cœur des cultures maraîchères.L'ambition de Nature Urbaine est de faire de cette ferme urbaine un modèle à l'échelle mondiale en matière de production responsable. Il s'agit d'installer une végétalisation productive pour organiser une forme de résilience environnementale et économique de la ville de demain.Pour Pascal Hardy, Président de Nature Urbaine : « Nous sommes aujourd'hui les seuls à développer ce type de ferme. Notre objectif est de démontrer la viabilité et la pertinence de l'agriculture urbaine sur ce type de site. De par sa taille et la technique de culture employée, la ferme va produire une quantité importante de fruits et légumes. Mais au regard de la consommation parisienne, cela représente une goutte d'eau !Une des missions de Nature Urbaine est de sensibiliser et de développer des réflexions et usages nouveaux dans les choix de consommation.Avec la crise sanitaire actuelle, les Français ont pris conscience de l'importance de notre agriculture en général et des circuits courts en particulier. Nature Urbaine est un levier pour un Paris plus résilient. Il permet la création de lien social, une reconnexion des Parisiens à la nature, la sensibilisation au mieux manger, un approvisionnement en produits frais et locaux, le développement nature en ville, de la biodiversité, la création d'emplois verts… »Sur la terrasse panoramique, un restaurant et un bar au concept unique sont conçus par Le Perchoir. Leurs cartes seront confectionnées à partir des produits cultivés sur place.Les dates d'ouvertureLundi 22 juinAccueil des locataires des Carrés parisiensA partir du mercredi 1er juilletAccueil du grand public pour les visites-découvertes de Nature Urbaine et de l'agriculture urbaine (avec ou sans dégustation), séances de yoga (le samedi de 17h30 à 18h30 et le dimanche de 11h00 à 12h00) et atelier Aromates & cocktail, le potager au cœur de l'apéritif (en partenariat avec MAGIMIX).Réservation en ligne : nu-paris.com, rubrique Activités – ParticuliersA partir du 1er septembre Ouverture des espaces événementiels La Serre et La Pergola.