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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

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Il y a 5 ans et 41 jours

Les Journées Expertise & Construction du Cérib, reportées à 2021

Chacune des éditions des Journées Expertise & Construction réunit plusieurs centaines de personnes sur le site du Cérib, à Epernon. [©ACPresse] Le Covid-19 continue ses ravages dans le domaine de l’événementiel. Les passionnées de course automobile ont déjà noté les nouvelles dates des 24 Heures du Mans, reprogrammées la 3e semaine de septembre. Le compte à rebours du festival breton des Vieilles Charrues vient d’être définitivement stoppé : le rendez-vous n’aura pas lieu. Tout comme le Festival de théâtre d’Avignon, qui à lui-aussi d’être annulé pour cette année 2020…  Côté béton, les Journées Expertise & Construction du Cérib suivent le même chemin. Elles n’auront donc pas lieu dans leur 6e édition, reportées à 2021. Même si la nouvelle date n’a pas encore été communiquée, un simple coup d’œil sur le calendrier laisse présager sa tenue le 1er juillet 2021. C’est-à-dire le 1er jeudi du mois, comme pour chacune des cinq éditions précédentes. Quant au futur programme, il est bien trop tôt pour le détailler. Mais rien n’interdit de penser qu’une partie des interventions “2020” – celles moins liées à l’actualité – pourraient être reprises en 2021. La réponse définitive sera connue dans un peu plus d’un an, à partir de maintenant.
Il y a 5 ans et 42 jours

La “location” prête pour la reprise de l’activité

La Fédération nationale des distributeurs, loueurs et réparateurs de matériels de construction et de manutention se veut rassurante. [©DLR] Dans le cadre de la crise Covid-19, la commission “Location” de la Fédération nationale des distributeurs, loueurs et réparateurs de matériels de construction et de manutention (DLR) se réunit chaque semaine en visio-conférence. Elle souhaite réaffirmer que la très grande majorité de la profession de la location est prête à la réouverture des sites et des chantiers. Ainsi qu’à accompagner la reprise de l’activité de ses clients, tous secteurs confondus. Les procédures opérationnelles de protection, gestes barrières et désinfection des machines sont en place chez les loueurs.  Pour des raisons de sécurité sanitaire, les portails d’accès aux agences sont fermés, mais néanmoins, celles-ci fonctionnent en mode “drive”. « Une grande part de l’activité de la profession suit celle du BTP. Les entreprises de location de matériels attendent impatiemment la réouverture des chantiers de leurs clients. C’est aussi le cas, pour les activités liées à la logistique, à l’industrie, au secteur portuaire, à la grande distribution… », peut-on lire dans un communiqué de presse. La DLR se veut rassurante : « Les loueurs sont d’ores et déjà prêts. Ils seront les partenaires actifs de la reprise de l’activité de leurs clients, dès que ces derniers les solliciteront ». Deux guides en plus En parallèle, la Fédération a déjà publié deux guides pratiques : “Mettre en place l’activité partielle” et “Bonnes pratiques relatives aux mesures de prévention du risque sanitaire” . Souhaitant ainsi offrir des outils concrets de travail aux entreprises. Ces documents seront actualisés suivant les évolutions législatives et réglementaires. Et resteront valables tant que les mesures d’urgence seront en vigueur.
Il y a 5 ans et 42 jours

Studio Adrien Gardère x Bien Urbain – atelier d’architecture : Les Galeries de la Mode du Musée des Arts Décoratifs

En collaboration étroite avec le Studio Adrien Gardère, les architectes de Bien Urbain – atelier d’architecture, Guillaume Cantardjian, Nicolas Cèbe et Jérôme Stablon, repensent avec un regard contemporain les Galeries de la Mode du Musée des Arts Décoratifs de Paris (1er arrondissement). Une intervention subtile qui met en valeur l’écriture architecturale du bâtiment historique tout en sollicitant la créativité des scénographes. Au Musée des Arts Décoratifs, les galeries vouées à présenter les expositions temporaires sur la mode se déploient dans l'aile Rohan du Louvre bordée à la fois par le jardin des Tuileries et la rue de Rivoli. À la demande de l’institution, et grâce au mécénat de Stephen et Christine Schwarzman, les Galeries de la Mode ont été entièrement repensées par les équipes du Studio Adrien Gardère, qui s’est associé pour ce projet avec les architectes Bien Urbain – atelier d’architecture, le designer lumière Alexis Coussement ACL et le bureau d’études BETOM.L’aile Rohan avait fait l’objet dans les années 1990 d’une rénovation rendant difficilement visible la structure architecturale de l’édifice. Les architectes ont donc articulé la rénovation des galeries autour de la valorisation du patrimoine afin de révéler à nouveau les caractéristiques de cet édifice iconique. Les espaces d’expositions temporaires ont en effet été intégralement débarrassées des éléments superflus. Les murs, sols et plafonds sont désormais laissés bruts, et simplement stabilisés par une lasure minérale. Un nouvel escalier en béton, sculptural et discret, relie les deux étages. Les architectes ont également placé entre chaque refend des vitrines autonomes et modulables. Ces objets flexibles permettent de modifier facilement l’organisation des salles d’exposition, et garantissent aux scénographes une plus grande liberté de création lors de la conception d’un accrochage. Devenues de véritables « machines à exposer », les Galeries de la Mode du Musée des Arts Décoratifs peuvent enfin accueillir des scénographies variées. La réouverture de ces espaces a d’ailleurs été marquée par la scénographie minimaliste et efficace du Studio Adien Gardère réalisée pour l’exposition « Harper’s Bazaar, premier magazine de mode ». Cet événement, qui rend hommage au célèbre magazine de mode américain, donne ainsi à voir soixante créations de haute couture et de prêt-à-porter, et plusieurs contributions de grands artistes, illustrateurs et photographes à la revue, dans une mise en scène audacieuse. Une réhabilitation brillamment menée. Pour en savoir plus, visitez le site du Studio Adrien Gardère et de Bien Urbain – atelier d’architecture.Photographies : Luc BoeglyLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 46 jours

Dossier : 6 chaises design iconiques

Il paraît que la mode est un éternel recommencement. Pourtant, certains objets traversent le temps sans jamais prendre une ride ! C’est le cas de ces six chaises iconiques qui continuent de fasciner les amateurs de design, années après années. Signées Charlotte Perriand, Gae Aulenti ou Philippe Starck, retour sur des assises aux caractères uniques. La chaise Bold par Big Game pour Moustache, 2009Célèbre pour ses courbes sensuelles et son design ludique, la chaise Bold, conçue par le collectif Big Game pour l’éditeur Moustache, réinterprète la chaise en tube d’acier typique du Bauhaus. Mais là où elle se démarque de sa cousine, plus froide et rigoureuse, c’est grâce au traitement unique apporté par Grégoire Jeanmonod, Elrich Petit et Augustin Scott de Martinville. Ici, pas de dossier mais une ligne continue en mousse qui dessine l’assise et les piétements. Un graphisme léger mis en valeur par ses multiples déclinaisons colorées. . La chaise Panton par Verner Panton pour Vitra, 1967Née de la rencontre entre le designer Verner Panton et Willi Fehlbaum – travaillant alors pour l’éditeur Vitra – , dans les années 1960, la chaise Panton matérialise le souhait du designer de créer une chaise empilable. Résulte de ses recherches une assise des plus graphiques en forme de S. Le duo conçoit alors un modèle en plastique polypropylène, offerte dans une variété de couleurs. Reconnaissable entre mille, la chaise Panton est sans doute l’icone du design pop des années 1960/1970 ! . La chaise Masters par Philippe Starck et Eugeni Quitllet, 2009En 10 ans, la chaise Masters, imaginée par le touche-à-tout Philippe Starck et le designer catalan Eugeni Quitllet – élu Créateur de l’année 2016 à Maison & Objet –, est devenue une véritable icône du design. Et pour cause, cette pièce a de quoi être inspirée. Reprenant les ligne de la chaise Tulip (Eero Saarinen), de la Série 7 d’Arne Jacobsen et les contours de la Plastic Chair du couple Eames, la Masters est caractérisée par une forme graphique marquée et un assemblage d’entrelacs. Sa structure en polypropylène teinté en assure la robustesse quand sa multitude de coloris lui permet de se réinventer, années après années. .    La chaise DSW par Charles et Ray Eames pour Vitra, 1950En 1948, les designers américains Charles et Ray Eames présentent une chaise dotée d'une coque métallique d'assise moulée au concours « International Competition for Low Cost Furniture Design » organisé par le Museum of Modern Art de New York. Ils décrochent le deuxième prix. Suite à cette réussite, Charles et Ray Eames souhaitent produire la chaise en série. Ils testent alors quantité de matériaux et repèrent la résine polyester. Solide, cette matière leur permet de développer des nouvelles assises moulées et de les fabriquer industriellement. Le couple imagine aussi une grande variété de piètements, qui peuvent être associés avec ces différentes coques. En 1950, les Eames Fiberglass Chairs débarquent sur le marché et leur grande flexibilité créative séduit immédiatement les consommateurs. Dans la chaise DSW, la coque d'assise en plastique se marie parfaitement au piètement en bois. . Chaise longue basculante B306 par Charlotte Perriand en collaboration avec Le Corbusier et Pierre Jeanneret, 1928-1929 Bien qu’elle soit restée longtemps dans l’ombre de ses collègues, Le Corbusier et Pierre Jeanneret, Charlotte Perriand est l’une des figures majeures de l’architecture moderne. Architecte humaniste et femme libre, elle a dessiné des meubles qui sont devenus iconiques. En 1929, elle présente la très célèbre chaise longue basculante, imaginée en étroite collaboration avec Le Corbusier et Pierre Jeanneret, dans un appartement idéal conçu pour le Salon d’Automne, et reconstitué en 2019 à l’occasion de la rétrospective « Le monde nouveau de Charlotte Perriand, 1903-1999 » à la Fondation Louis Vuitton. .  La chaise April par Gae Aulenti pour Zanotta, 1964Architecte de renom, créatrice surdouée et scénographe talentueuse, l’Italienne Gae Aulenti a su imposer sa vision avant-gardiste de l’architecture, de la décoration, du design et de l’urbanisme à une époque où les secteurs de la création étaient dirigés par les hommes. Dessinée en 1964, sa chaise pliante April, avec son assise et son dossier en tissu et ses articulations métalliques délicates, est représentative de son style audacieux. La Rédaction
Il y a 5 ans et 47 jours

Modules à ossature bois pour des hôpitaux de campagne ?

Un collectif d’acteurs du bâtiment a répondu à l’appel lancé par le ministère de la Défense afin d’aider à trouver des solutions innovantes de soutien pour la prise en charge des malades dans des hôpitaux de campagne durant la crise du Covid-19. Initié par Smart Building Alliance, le projet réunit Batimat et plusieurs intervenants du secteur de la construction. Le projet imaginé rassemble de nombreuses innovations : fabrication hors-site, conception BIM, suivi de projet transversal et ingénierie concourante, ouvrages durables et réutilisables pour d’autres missions, formation en e-learning des équipes de montage, etc… La solution inédite  prévoit de déployer des unités réalisées en modules bois, comprenant environ 15 chambres de soins intensifs et les locaux associés, sur une base de 2 unités sous 6 semaines environ, puis 2 à 4 unités toutes les deux semaines en fonction des besoins.  En s’appuyant sur 7 centres de production déjà présents sur l’ensemble du territoire, la capacité de production permettrait ainsi d’exploiter, à proximité des hôpitaux, 105 lits à partir de 15 mai et 210 lits à partir du 30 mai. Le collectif a transmis le projet au ministère de la Défense et se tient à la disposition des pouvoirs publics.  Membres du collectif  Maîtrise d’ouvrage : Nacarat Conception et production : AIA Division Projets Hospitaliers ; Dhomino ; Leco Réalisation : Spie Batignolles ; Snerct ; Compagnie de Construction ; Douillard Construction ; La Maison abordable Gestion des risques, sécurité et conformité, assistance technique, BIM : Socotec Fourniture des matériaux de construction et mobilisation du réseau artisan : Saint-Gobain Gestion de la logistique et des transports : IDEA Logistique Sourcing et approvisionnement des composants : EXSO Support juridique : Cabinet GB2A Coordination des actions : Batimat ; Leco
Il y a 5 ans et 47 jours

Les citoyens au coeur de la refondation du salon des maires

« Accompagner les maires au bénéfice des habitants et des citoyens » : nouvelle directrice du salon des maires et des collectivités locales (SMCL), Stéphanie Gay-Torrente résume son cahier des charges par cette formule. Du 24 au 26 novembre à la Porte de Versailles à Paris, l’édition 2020 devrait se dérouler dans la foulée du second tour des élections municipales, à l’aube d’une mandature placée sous le signe de la transition écologique.
Il y a 5 ans et 48 jours

Rencontre avec : Damien Carreres

L’agence lyonnaise Damien Carreres vient de réaliser un intérieur haut en couleur pour le restaurant Le Miraflores à Lyon. À cette occasion, la rédaction de Muuuz s’est entretenue avec le fondateur de l’agence, Damien Carreres. Muuuz : Depuis 2004, vous évoluez dans l’univers de l’architecture d’intérieur. Comment décririez-vous votre démarche ? Damien Carreres : À l’agence, nous développons une approche assez globale de notre métier. Nous réalisons toujours des projets sur mesure, que ce soit des projets résidentiels privés comme des maisons, des appartements et des chalets, ou des projets publics tels que des boutiques, des hôtels ou des restaurants. La démarche est toujours la même : nous cherchons à répondre au mieux aux attentes des commanditaires pour répondre à un mode vie ou un objectif commercial. Il s’agit de comprendre comment les futures propriétaires ou les clients vont vivre dans le lieu. Nous privilégions une approche contextuelle plutôt que conceptuelle. Une fois que nous avons compris pour qui se destine le lieu, notre idée se précise. L’ergonomie, le volume architectural, la décoration en découlent naturellement. Comment définiriez-vous votre processus créatif ?En amont de chaque projet, nous cherchons à comprendre ce que les commanditaires – un couple, une famille ou une marque – souhaite. Nous mettons un point d’honneur à ne pas tomber dans l’écueil des tendances éphémères pour concevoir des lieux intemporels. Pour le restaurant étoilé Le Miraflores, par exemple, nous avons d’abord cherché à comprendre le parcours du chef étoilé péruvien Carlos Camino, et l’essence de son savoir-faire. Le lieu comprend deux entités, la brasserie contemporaine YKA et le restaurant gastronomique Miraflores. La brasserie est un espace dynamique caractérisé par un bar rétroéclairé bleu laqué. On y déguste des cocktails savoureux et des ceviches péruviens traditionnels. La table gastronomique, quant à elle, propose un voyage gustatif et olfactif au Pérou. L’histoire du chef et les saveurs de sa cuisine sont évoquées jusque dans les moindres détails de la décoration. Des voiles sont suspendues au plafond pour faire écho à la pêche, une activité est très importante au Pérou. Nous articulons ainsi la conception d’un lieu et sa décoration autour des valeurs des commanditaires. Notre vision du sur mesure réside dans cette relation que nous établissons avec chacun de nos clients. Pour les projets privés, nous nous questionnons sur le mode de vie des commanditaires : comment la maison va-t-être habitée dans le temps ? Comment les membres de la famille ou du couple s’organisent-ils chez eux au quotidien ? Nous accompagnons les propriétaires de la réorganisation spatiale à la décoration, en passant par le choix des matériaux, afin de transformer l’espace en un lieu de vie beaucoup plus agréable. Notre approche est profondément humaine. Où travaillez-vous ? Aujourd’hui, nous travaillons partout en France, mais aussi à l’étranger. Nous avons imaginé l’intérieur d’une maison à Barcelone en Espagne et l’espace d’un hôtel de charme – séjour yoga et kitesurf – à Dakhla dans le sud du Maroc. Vous développez aussi des collections d’objets et assurez la direction artistique de certains lieux. Comment choisissez-vous vos collaborations ? Nous avons édité une collection d’objets baptisée « Bôme » pour Matières Grises, un studio qui dessine et fabrique du mobilier d’extérieur. La collection, pensée autour de la modularité et de la personnalisation, comprend une barre en bois ou en aluminium sur laquelle on peut suspendre des rangements tels que des boîtes, des jardinières ou encore des tablettes. Cette collaboration est née d’une idée, qui avait été développée lors de la réalisation du restaurant Fruisy, mais qui était restée à l’état de projet à l’époque. Côté direction artistique, nous jouons un rôle majeur dans la conception de l’identité de certains lieux. Pour des restaurants, nous avons réalisé le logo, les cartes et les tenues des serveurs. Pour le restaurant L’Interlude, par exemple, nous avons détourné la traditionnelle toile de Jouy et réalisé un papier peint très original sur lequel sont représentés des figures et des objets emblématiques de la ville de Lyon. Rien n’est laissé au hasard. Parlez-nous de votre association à David Beltramelli en 2016 ? J’ai toujours aimé partager. David Beltramelli a commencé à l’agence comme stagiaire, puis comme salarié. Notre association est ensuite arrivée naturellement. L’équipe est aussi composée de trois personnalités talentueuses, deux architectes d’intérieur, Juliette Dif et Laury Petit Jean, ainsi que la décoratrice Margot Carreres, une ancienne styliste. Ensemble, nous travaillons à répondre au mieux aux attentes de nos clients en posant chacun un regard personnel sur celles-ci. Pourriez vous nous dire un mot sur vos deux dernières réalisations, les châtelets de Combloux et l’appartement de Lyon ? À Combloux, nous avons décorés trois chalets voisins pour des propriétaires différents. Pour chaque chalet de 700 mètres carrés, nous avons envisagé une rénovation privilégiant le rustique sur le contemporain, car les commanditaires souhaitaient se sentir à la montagne. Les chalets ont été rénovés dans un souci d’authenticité, mais avec quelques touches contemporaines. Par exemple, les poteaux-poutres sont visibles, mais le rétroéclairage et les luminaires sont contemporains. Dans ces trois chalets, les pièces ont aussi été pensées à échelle humaine. À l’agence, nous prenons le parti pris de l’humain, donc nos réalisations sont toujours proportionnées à la taille humaine. À Lyon, nous avons transformé un appartement du 6ème arrondissement en un cocon familial pour deux soixantenaires. L’appartement a été entièrement pensé à l’image de ce beau couple de voyageurs passionnés de design. L’espace de l’appartement a été organisé en fonction du mode de vie et des envies des commanditaires. Il est modulable pour une vie à deux ou à plusieurs, car les propriétaires voulaient pouvoir accueillir leurs petits-enfants. L’alcôve tout en bois de la cuisine, semblable à une coque de bateau, donne une dimension conviviale à la pièce, alors que le bureau avec sa paroi vitrée donnant sur la salle de séjour est une pièce à la fois confidentielle et ouverte sur le salon. Ici, les espaces sont aussi chaleureux qu’intimistes. Dans nombreux de vos projets « Lieux publics » comme Le Miraflores ou la Clinique de chirurgie esthétique de Saint-Étienne, vous travaillez l'association de couleurs vives. Pourquoi ? Les couleurs ne sont pas anodines. Elles permettent de créer des perspectives, dynamiser un lieu ou révéler des espaces. Dans beaucoup de projets, la couleur apporte beaucoup au niveau de la décoration. Dans les lieux publics, elle est mise au service d’une signature visuelle, car elle sert à surprendre et interpeler des potentiels clients. L’impact visuel a son importance. Dans les réalisations privées, les couleurs sont présentes, mais utilisées avec parcimonie. Quel serait votre projet rêvé ? J’aimerais faire un kebab très haut de gamme, avec un véritable travail de réflexion sur l’espace, son identité et sa dynamique. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Damien Carreres. Photographies :1) Portrait d’équipe © Sabine Serrad2) Miraflores © Sabine Serrad3) Portrait associés © Sabine Serrad4) Chalet de Combloux © Erick Saillet5) YKA © Sabine Serrad6) YKA © Sabine Serrad7) Miraflores © Sabine Serrad8) Miraflores © Sabine Serrad9) Miraflores © Sabine Serrad10) Chalet de Combloux © Erick Saillet11) Appartement Lyon 6ème arrondissement © Sabine Serrad12) Clinique d’esthétique © Sabine Serrad Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 49 jours

Exposition 2020 à Dubaï, la France favorable au report

La France est favorable au report d'un an, du fait du coronavirus, de l'Exposition universelle 2020 prévue en octobre à Dubaï.
Il y a 5 ans et 49 jours

Réparation structurale des bétons : Quelles solutions ?

Les mortiers de réparation redonnent aux ouvrages leurs fonctions d&rsquo;origine. [©ACPresse] Par le malencontreux mouvement d’une main invisible ou d’un lutin maléfique, selon les dires, nos téléphones portables peuvent finir par terre. C’est souvent avec effroi que leur propriétaire retrouve leur écran fissuré, brisant leur cœur à tout jamais… Ils n’ont d’autres choix que de remplacer le résultat de cette scène de crime par un nouvel élément. Et c’est là que les choses se compliquent. Quel écran, quelle qualité, quels outils, quel réparateur ? Tant d’interrogations en suspens… Et si le téléphone, tant aimé, se retrouve en contact avec l’eau, les répercussions peuvent être pires. Le monde du béton fonctionne un peu sur le même schéma. Lorsque le matériau a subi des dégâts, causés par une main coupable ou toujours ce farfadet maléfique, et plus sérieusement à cause de son environnement, de sa qualité ou des effets du temps, plusieurs solutions s’offrent aux maîtres d’ouvrage qui veulent engager des travaux de restauration. Les industriels proposent tous des gammes de produits pour répondre aux différentes problématiques, qui touchent la réparation des bétons. Ces mortiers se plient à la norme européenne NF EN 1504, qui détermine “Les termes relatifs aux produits et systèmes utilisés pour la réparation, la maintenance et la protection, la restauration et le renforcement des structures en béton…” Son paragraphe 3 définit les caractéristiques de réparation structurale (classes de mortier R3 et R4) et non structurale (R1 et R2).  Dossier préparé par Sivagami Casimir Cantillana : Livraison sur chantier Le Betoreno FI402 s’applique manuellement ou par projection.[©Cantillana] Touche à tout dans l’univers du béton, Cantillana dispose d’une large gamme de produits dédiés à sa réparation. Ainsi, l’industriel propose un mortier structural renforcé de fibres et de polymères. Le Betoreno FI402 est classé R4 selon la NF EN 1504-3. Ce mortier est bien adapté à des applications en milieux agressifs, tels que ceux exposés à l’eau de mer ou aux sulfates. La densité élevée du produit permet une mise en œuvre sur support exposé à la carbonatation, à la pénétration d’humidité et/ou d’huile. Enfin, Betoreno FI402 est résistant à la corrosion et à la saponification. La gamme Betoreno se compose aussi des solutions HB001, un primaire d’adhérence pour les systèmes de réparation de béton et protection anti-corrosion d'armatures en métal, conformément à la NF EN 1504-7. Ou encore, du Betoreno FS301, un mortier de surfaçage renforcé de polymères de classe R3. En termes de services, Cantillana propose des livraisons sur chantier, via des silos et citernes pour la recharge. Cette activité est présente depuis le début des années 1990 en Belgique et dans le Nord de la France. En région parisienne, l’industriel a renforcé sa logistique avec l’usine de Cormeilles-en-Parisis (95), suite au rachat des activités mortier/béton projeté de Socli, en juillet 2017. Cermix : Prêt à un emploi rapide Cermix a fourni ses solutions pour la réparation des bétons armés du pont de Saint-Pierre-du-Vauvray (27). [©Cermix] Avec son Cermirep Rapid R3, Cermix propose le mortier de réparation le plus polyvalent de sa gamme. Applicable à la truelle, sans ajout d’eau, la solution se présente sous la forme d’un mono-composant contenant des ciments spéciaux adjuvantés par des résines. A prise rapide, le mortier s’adapte aux réparations de tuyaux en béton, d’angles et de piliers, de poutres ou encore d’allèges de balcons dégradés par la corrosion des armatures. Sans chlorure, non corrosif, le Cermirep Rapid R3 n’affecte pas les armatures. Le mortier dispose d’une résistance à la compression de 15 MPa après 2 h et 45 MPa après 28 j. Conforme à la NF EN 1504-3, le produit de Cermix est compatible avec les bétons de classe d’exposition (selon la EN 206-1) : X0, XCI, XC2, XF1, XA1, XA2 et XA3. Le Cermirep Rapid R3 est conditionné dans des sacs de 25 kg. GCP Applied Technologies : Renforcé de fibres Dans sa gamme de produits, GCP Applied Technologies dispose de l’Omnitek RM Fiber. [©GCP Applied Technologies] De classe R4, selon la NF EN 1504-3, l’Omnitek RM Fiber de GCP Applied Technologies s’utilise pour la réparation des bétons aussi bien à la verticale qu’à l’horizontale. Ce mortier dédié au reprofilage de joints, d’angles, d’éléments pré-moulés endommagés et de structure s’adapte aux constructions exposées à l’eau de mer, à des environnements corrosifs ou au gel. L’Omnitek RM Fiber est ainsi doté d’une bonne résistance à la carbonatation, aux chlorures, aux cycles gel-dégel et aux produits chimiques. Du côté de sa formulation, la solution de GCP Applied Technologies est composée de polymères modifiés. Assurant ainsi une meilleure adhérence. Elle est renforcée de fibres pour garantir une réparation durable sans fissures en surface. La consistance dure et malléable de l’Omnitek RM Fiber s’applique manuellement de manière rapide et facile. En termes de résistance à la compression, le mortier affiche 40 MPa à 24 h et 80 MPa à 28 j Groupe RGD : Haute conductivité Parmi ses derniers grands chantiers, le Groupe RGD a fourni plusieurs solutions pour la réparation de la base sous-marine de Lorient (56). [©Groupe RGD] Dans la catégorie des mortiers de réparation structurels, le Groupe RGD dispose d’une large offre. A l’image du mortier coulable à retrait compensé Exocem G3 PVA. Ou encore, du Maxrite 500, une solution renforcée par des fibres synthétiques pour la réparation des supports exposés à une grande agressivité ambiante. Pour le béton armé ou précontraint, le Groupe RGD propose aussi le Ruredil X Mesh Gold. Ce mortier est constitué d’une maille de fibres de PBO (polyparaphénylène benzobisoxazole) et d’une matrice inorganique stabilisée, conçue pour rendre solidaire la maille au support de béton. Distributeur exclusif des produits de l’Italien Drizoro, le groupe a rajouté à sa gamme le Maxrite Cathodic. « Ce mortier se compose de fibres de carbone et de particules de graphite, explique Richard Guérin, gérant du Groupe RGD. Il se caractérise par une conductivité très élevée propice à la protection cathodique. » Le Maxrite Cathodic est classé R4, selon la NF EN 1504-3. Imerys : De bonnes résistances Imerys propose une vaste gamme de solutions minérales de réparation. [©Imerys] Imerys propose une vaste gamme de solutions minérales pour la construction. Le mortier de réparation SewperCoat a plus de 27 ans de métier ! Composé à 100 % d’aluminate de calcium, le produit est un habitué des infrastructures d’assainissement sanitaires : regards, chambres de pompage, collecteurs principaux ou encore stations d’épuration… Appliqué en plusieurs passes, par voie humide, sèche ou sablon, le SewperCoat permet de réaliser une couche de protection dense et durable. Capable de résister à la corrosion, il développe de bonnes résistances mécaniques, tout en minimisant et éliminant les sources d’infiltrations et d’exfiltrations. Sa prise rapide autorise une prompte remise en service. Imerys met aussi à disposition le Fondag DG. Ce mortier combine des granulats synthétiques d’aluminate de calcium très durs et denses, avec un liant d’aluminate de calcium. Il s’adapte aux cycles de températures élevées, jusqu’à 1 100 °C et basses, jusqu’à – 180 °C, ainsi qu’aux chocs thermiques répétés. Le Fondag DG offre une bonne résistance à l’abrasion, à l’érosion et à l’usure. Il se met en œuvre uniquement par projection en voie sèche, mais une variante, le Fondag E, peut être utilisé de façon traditionnelle dans les mêmes domaines. Mapei : Proche des applicateurs Le Planitop 400 F de Mapei est un mortier de réparation fin, qui peut être appliqué au sol, sur les murs et aux plafonds. [©Mapei] Mapei offre une gamme complète de mortiers de réparation des bétons, structurels et non structurels. Le Planitop 400 F est un mortier de réparation fin technique sans fibre, qui peut être appliqué au sol, sur les murs, en sous-faces et aux plafonds. Classé R3 selon la norme EN 1504-3, il peut être mis en œuvre en une passe de 3 à 40 mm et bénéficie d’une prise et d’un séchage rapides (fin de prise en 20 mn). « Très appréciée sur chantier, sa couleur grise était parfois jugée trop foncée par rapport au béton, explique Gaétan Dujardin, chef de produit. Notre laboratoire R&D de Saint-Alban a ainsi travaillé sur une formulation améliorée, permettant d’obtenir une couleur plus claire après séchage et pour mieux répondre aux attentes des utilisateurs. » La performance du mortier a été renforcée et son domaine d’utilisation élargi. Le Planitop 400 F peut être désormais utilisé sur une épaisseur allant jusqu’à 7 cm en sol et mur, tout en respectant les règles traditionnelles de mise en œuvre de ce type de produits. « Les entreprises applicatrices de Planitop 400 F ont aussi constaté un pouvoir adhérent plus important, rendant son application encore plus facile. » MC Chimie : Sécurité incendie Le Nafufill KM 250 de MC Chimie s’adapte aux exigences de sécurité incendie nécessaires dans la construction de tunnels. [©MC Chimie] MC Chimie dispose d’une large gamme de produits pour la formulation du béton et son traitement. Dans la famille des mortiers de réparation, l’industriel présente le Nafufill KM 250. Cette solution fibrée permet le reprofilage pour la remise en état de béton structurel ou non structurel, selon les termes de la EN 1504-3. Son atout majeur réside dans sa capacité à répondre aux exigences de sécurité incendie nécessaires pour la construction civile et résidentielle, tout comme dans la construction de tunnel. Le Nafufill KM 250 répond à la norme ISO 834 et jouit d’une classification au feu F90/F120. De plus, ce mortier peut s’adapter à l’enrobage d’anodes, selon la EN 12696, pour le principe de réparation “Protection cathodique contre la corrosion des armatures dans le béton”. Dans sa gamme, MC Chimie propose aussi les mortiers Nafufill KM 230, classé R3, et Nafufill LM et Nafufill KM 220 qui, eux, répondent respectivement aux classes R1 et R2. Pagel : Un accompagnement technique Pagel propose des différents mortiers selon la destination. [©Pagel] Pagel est spécialisé dans la fabrication et la commercialisation de mortiers techniques. Dans le domaine de la réparation, il s’est concentré sur les solutions structurelles répondant aux catégories R3 et R4 de la NF EN 1504. « Nous disposons de plusieurs gammes selon les cas de figure, détaille Raoul Six, Pdg de Pagel. Mais, il est essentiel pour nous de différencier nos mortiers PCC1et CC2. C’est notre approche technique et nous considérons que c’est important de faire cette démarche auprès de nos clients. »En effet, ces deux types de mortiers sont soumis à des tests différents. Ils n’auront alors pas la même destination. Les mortiers R4 PCC seront dédiés aux ouvrages d’art, tandis que les CC seront à privilégier dans le cadre de travaux d’ouvrages fermés, de type parkings, moins exposés au soleil ou au vent. Pour les bâtiments plus classiques, l’industriel propose des solutions R20 à prise rapide ou encore sa gamme U, un micro-béton universel. Pagel dispose aussi des mortiers de réparation à haute résistance chimique, à l’image du KA-PH1 ou du KA20. « Nous travaillons en direct avec nos clients et nous proposons à la location, de matériels de mise en œuvre. C’est fondamental d’accompagner jusqu’au bout, car nous abordons des sujets très techniques. » 1Polymere Concrete Cement (ciment hydraulique polymère) avec une adjuvantation < 1 %. 2Concrete Cement (hydraulique) avec une adjuvantation > 1 %.   Parexlanko : Une solution pour chaque situation Le 735 Lankorep Rapide est recouvrable par peinture dans les 24 h qui suivent la mise en œuvre. [©Parexlanko] Racheté par Sika en 2019, Parexlanko a conservé l’étendue de sa gamme. Pour la réparation des bétons, l’industriel ne manque par de solutions. Le 731 Lankorep Structure dispose d’une bonne tenue à l’eau de mer et sulfatée, ainsi qu’aux sels de déverglaçage. Ce mortier fibré à retrait compensé est composé de sables, de ciments spéciaux, de fibres et d’additifs. Il peut s’appliquer par passe de 5 à 70 mm. De son côté, le 733 Lankorep Blanc se distingue par sa couleur, qui met en valeur les bétons. Parexlanko indique aussi que ce mortier peut être coloré. Sa faible porosité retarde la progression de la carbonatation. Il est conditionné en sac de 25 kg longue conservation. Le 735 Lankorep Rapide est, comme son nom l’indique, rapide… En effet, il est recouvrable, par peinture, dans les 24 h qui suivent sa mise en œuvre. Classé R4, selon la NF EN 1504-3, il s’applique pour la réparation des surfaces de béton, des épaufrures, des nids d’abeilles ou encore des nez de marches et des pièces préfabriquées. Il peut s’utiliser aussi pour la restructuration d’ouvrages dégradés, le renforcement de structures affaiblies, à l’image des balcons. Et peut se mettre en œuvre dans le cadre de traitement des gorges et des cueillies en travaux de cuvelage, et des fissures passives. PCI : Tous les besoins Le PCI Nanocret R4 Fluid se prête bien aux cas de forte densité d’armatures. [©PCI] Façades, colonnes, piliers de ponts, sols… Dans le domaine de la réparation des bétons, l’industriel PCI (BASF France – Division Construction Chemicals) s’attaque à tous types de surfaces. A travers ses gammes PCI Polycret et PCI Nanocret, il balaie de nombreux besoins, en termes de thixotropie, de rapidité ou encore de résistance… Par exemple, le mortier fibré PCI Polycret 317 dispose de hautes performances mécaniques et d’une bonne adhérence sur support. Son pH élevé permet une passivation des aciers. Le PCI Nanocret R4 Fluid est, comme son nom l’indique, une solution coulable. Ce mortier fluide se prête bien aux cas de forte densité d’armatures. En effet, il est auto-plaçant et ne requiert pas de vibration, même dans des structures renforcées. Enfin, le PCI Polycret 423 Rapid s’adapte bien aux situations de remise en service rapide. Même en conditions extrêmes. Ses fibres permettent de compenser le retrait et de minimiser le risque de fissuration. PRB : De bonnes résistances mécaniques Le PRB Répar R3 PR s’applique de manière verticale, horizontale et/ou en sous-face. [©PRB] Le PRB Répar R3 PR s’adapte bien à la réparation structurelle des bétons. Ce mortier fin, rapide et fibré dispose d’une bonne résistance mécanique en compression et en flexion. Il affiche ainsi 15 MPa en compression à 24 h et 35 MPa à 28 j. Parmi ses domaines d’usage, la solution de PRB s’applique de manière verticale, horizontale, en sous-face et que ce soit en extérieur ou en intérieur. Il permet la restructuration d’ouvrages dégradés, la réparation et le rebouchage d’épaufrures. Le PRB Répar R3 PR peut aussi s’utiliser pour le traitement des fissures passives. En termes de préparation, il nécessite environ 4 l d’eau potable par sac de 25 kg. Ce mortier fibré se met en œuvre manuellement en passes successives de 5 à 100 mm. Le produit de PRB se lisse avec une lisseuse ou par talochage avec une taloche en polystyrène ou en plastique. Saint-Gobain Weber : Anti-corrosion intégré Le weber.rep surface est un mortier fibré, bénéficiant d’une fonction anti-corrosion. [©Saint-Gobain Weber] Saint-Gobain Weber propose le weber.rep surface. Ce mortier fibré bénéficie de 3 fonctions : anti-corrosion, réparation et surfaçage. La caractéristique anti-corrosion est importante pour l’industriel. En effet, Saint-Gobain Weber estime qu’en France, 75 % des volumes de réparations structurales des bétons nécessitent un passivant pour traiter les armatures : une opération coûteuse, technique et chronophage. Avec cette solution, il compte bien libérer les professionnels de cette contrainte. De classe R3, selon la NF EN 1504-3, cette solution s’applique par passes de 5 à 50 mm, avec un temps de prise de 90 mn. Il peut se mettre en œuvre dans des immeubles collectifs ou encore des bâtiments commerciaux et industriels, en neuf ou en rénovation. Saint-Gobain Weber dispose aussi du mortier de réparation de classe R4 weber.rep rapid. Ce produit peut s’utiliser pour toutes les réparations ponctuelles. Sika : Au top ! Le Sika Monotop 311 FR est aussi disponible en version claire. [©Sika] Avec une vaste gamme de mortiers, l’industriel suisse Sika propose plusieurs solutions de classe R3 et R4 selon la NF 1504-3. Le Sika Monotop 311 FR est prêt à gâcher. Rapide, le mortier est formulé sur la base d’un liant hydraulique modifié et de fibres. Il se met en œuvre dans le bâtiment, les ouvrages d’art et le génie civil. De consistance pâteuse, il existe en gris et gris clair. Le Sika Monotop 410 R est résistant à l’eau de mer et sulfatée, selon la NF EN 18837. Et dispose d’une bonne tenue aux sels de déverglaçage avec un pH élevé passivant l’acier. De son côté, le Sikatop 122 FR est un mortier prédosé, comprenant un composant A (résine en émulsion) et un composant B (ciment PMES et charges spéciales). Il se met en œuvre dans le cadre de la réparation des bétons des ouvrages exposés à l’ambiance marine ou aux sels de déverglaçage. Sa formulation lui confère une montée en résistance rapide et de fortes résistances mécaniques finales. t-mix : Pompable sur de grandes longueurs Le MP2R de t-mix est enrichi en résine et en fibres synthétiques. [©t-mix] Spécialisé dans la fabrication et la commercialisation de mortiers prêts à l’emploi, t-mix dispose de manière naturelle de solutions pour la réparation des bétons. Classé R4, le MP2R répond aux exigences de la NF EN 1504-3. Ce mortier fibré industriel à projeter par voie mouillée s’adapte à plusieurs cas d’utilisation. Il peut aussi bien servir au renforcement et à la réparation d’ouvrages souterrains, qu’au rejointoiement et remplissage de joints d’ouvrages maçonnés et souterrains. Le MP2R est efficace pour le confortement de voûtes et pieds droits de réseaux d’assainissement ou pour le re-chemisage de galeries. Ici, t-mix assure une consistance plastique et une bonne adhérence du produit même en sous-face. Le mortier a l’avantage de pouvoir être pompable sur de grandes longueurs. Enrichi en résine et en fibres synthétiques, il affiche une bonne résistance aux milieux agressifs, aux eaux sulfatées et à l’abrasion. Vicat VPI : Pour toutes les contraintes spécifiques Le Répachrono de Vicat VPI propose une prise plus rapide. [©VPI] Vicat Produits Industriels (VPI) est un acteur majeur sur les marchés du second œuvre du bâtiment, dans le domaine des bétons projetés et de l’étanchéité des ouvrages de génie civil dédiés au traitement des eaux. L’industriel propose une vaste gamme de produits consacrée à la réparation des bétons. Ces solutions s’adaptent aux différentes problématiques relatives aux contraintes spécifiques de mise en œuvre et aux types d’ouvrages. Elles intègrent des mortiers structurels de réparation, tels que le Répastructure R3, le Répatech R4 et le Répachrono R4. Toutes ces offres répondent aux exigences des normes et de la réglementation en vigueur. Le Répatech R4 dispose d’une résistance élevée aux eaux agressives. Il est applicable de manière mécanique et est certifié “Contact eau potable”. Le Répachrono propose, quant à lui, une prise plus rapide. Se prête bien à une utilisation en basse température ou pour une remise en service urgente. Il permet un reprofilage des points singuliers, tels que les nez de balcons. Sa très fine granulométrie garantit une finition impeccable. En 2020, VPI poursuivra de façon active son développement dans le domaine de la réparation et du renforcement des ouvrages.
Il y a 5 ans et 50 jours

Zoom sur : Kevin Rouillard

Après deux expositions personnelles, « Uma Historia de formas quebradas » et « 7/7 » à La Junqueria (Lisbonne) en 2018 et « Soudure et Mayonnaise » à la Galerie Thomas Bernard (Paris) en 2020, c’est au tour du Palais de Tokyo de présenter l’œuvre de l’artiste contemporain Kevin Rouillard dans un nouvel événement culturel intitulé « Le Grand Mur ». À la fois sculpteur et archéologue du présent, Kevin Rouillard inscrit sa pratique artistique dans un processus de récupération étonnant. Zoom sur un plasticien, qui semble questionner, avec ses grands assemblages de matériaux, la pratique artistique même : comment créer aujourd’hui à l’aune de la crise écologique ? Après l’obtention de son diplôme à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris en 2014, Kevin Rouillard (né en 1989) se fait rapidement repérer. Dès 2014, il est en effet exposé dans plusieurs expositions collectives – « A couteaux tirés » à la Friche Belle de Mai, (Marseille) et « Empiristes » à la Villa Emerige (Paris) en 2015 – ou personnelles – « Collision » à la Chimney gallery (New York) et « Extrait (tôle, choc) Barricade » à L'Assaut de la menuiserie (Saint-Etienne) en 2017. Il décroche aussi le Prix Fondation François de Hatvany en 2015, puis le Prix SAM Art en 2018. Aujourd’hui, il vit et travaille à Marseille. Sculpteur contemporain, Kevin Rouillard développe un processus de création singulier : il réalise des grands assemblages de tôles monochromes à partir d’objets collectés tels que des bidons, brûlés ou dépliés. Ces panneaux métalliques très visuels évoquent à la fois le secteur ouvrier et la circulation des biens dans une économie mondialisée. Le plasticien raconte le point de départ de son œuvre et sa manière de travailler la matière en ces termes : « Un jour, mes parents m’ont rendu visite à Marseille : ils cherchaient à se procurer des bidons pour envoyer des choses au Cap Vert. […] Ces bidons sont restés un moment à l’atelier. Après leur expédition, il y a toute une chaîne de recyclage de ces contenants qui s’organise. Le bidon est démantelé jusqu’à entrer dans la composition d’autres objets ou même d’éléments architecturaux. Les artisans découpent, martèlent, aplatissent la tôle d’une façon assez similaire à ce que je fais de mon côté. » Loin de collecter les objets de manière obsessionnelle, Kevin Rouillard les cherche, les récupère, les étudie et les travaille à la manière des artisans recycleurs. Durant son processus de création, l’artiste les transforme en des surfaces planes colorées et s’approprie ses trouvailles. Les objets ainsi métamorphosés se réinventent et se dévoilent au regard des spectateur·rice·s, tout en attestant, en creux, de l’omniprésence des objets dans la société consumériste actuelle. Avec l’exposition « Le Grand mur » organisée dans le cadre de la première partie de la saison Fragmenter le monde, Kevin Rouillard retranscrit symboliquement sa propre vision du Mexique à travers des assemblages métalliques monumentaux afin d’offrir un autre niveau de lecture du contexte géopolitique mexicain. Il a en effet imaginé les œuvres présentées au Palais de Tokyo lors d’un séjour au Mexique, et évoque donc avec ces œuvres la barrière États-Unis-Mexique. Pour en savoir plus, visitez les sites du Palais de Tokyo et de la&nbsp;Galerie Thomas Bernard. Photographies : Vues de l’exposition « Le Grand mur » de Kevin Rouillard, Palais de Tokyo (21.02 – 17.05.2020) © Marc Domage Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 50 jours

Ubalt Architectes : Moulin

L’agence d’architecture d’intérieur parisienne Ubalt Architectes, fondée en 2015 par Mylène Vasse et Nastasia Potel, métamorphose un appartement de Montreuil (93) en un loft minimaliste blanc, noir et gris rehaussé par des touches de couleurs subtiles. C’est l’une des réalisations les plus représentatives de la palette surprenante du duo, mêlant ici lignes graphiques, couleurs délicates et matières travaillées. Les architectes Mylène Vasse et Nastasia Potel ont pris le parti de la créativité pour aménager ce loft de 110 mètres carrés. L'appartement est réparti sur deux niveaux organisés autour d'un patio principal. L’espace jour – le salon et la cuisine – est en effet installé au rez-de-chaussée, tandis que les chambres et les salles de bain sont placées à l’étage. Derrière une porte d'entrée jaune citron se trouve la pièce centrale du loft : une grande salle de séjour, composée notamment d’un escalier en acier vert pastel, dont le socle se transforme en une large banquette en terrazzo moucheté noir et blanc, ainsi que d’une grande bibliothèque en marbre vert, qui devient blanche et s’étend jusqu'à l'étage. Cet espace de vie donne également sur une cuisine sobre en acier inoxydable et le patio. Les touches de couleurs et les matériaux réfléchissants ou polis rythment les espaces de l’appartement, quand les miroirs de la cuisine multiplient les arrivées de lumière. La transition entre intérieur et extérieur s'estompe alors, et la lumière semble envahir tout l'espace du rez-de-chaussée. Le tandem signe un cocon contemporain, où se déploie en toute discrétion l’imagination des architectes. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Ubalt Architectes. Photographies : Ubalt Architectes Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 53 jours

Dossier : 8 photographes qui subliment le monde extérieur à travers leur fenêtre

En cette période exceptionnelle de confinement causée par la pandémie de Covid-19, la fenêtre devient la seule ouverture sur l'extérieur, une issue symbolique, voire une échappatoire propice au rêve. Cette semaine, la rédaction de Muuuz vous proposer de voyager sans même quitter votre canapé grâce à une sélection des plus belles photographies réalisées depuis les lucarnes des artistes. De Willy Ronis à Gail Albert Halaban, en passant par Helmut Newton, voici huit clichés de fenêtres avec vue. &nbsp; Gail Albert Halaban, Out of My Window, «&nbsp;Paris views&nbsp;», 2012 Pour nous, parisiens aux appartements étroits, ouvrir sa fenêtre signifie aussi bien faire entrer un peu l’extérieur chez nous que visiter le logement de nos voisins d’en face. Une proximité caractéristique des grandes villes exploitée par la photographe américaine de 50 ans Gail Albert Halaban dans sa série Out My Window, débutée il y a près de 10 ans. A travers ses clichés pris depuis des fenêtres du monde entier, l’artiste explore la tension entre vie privée et espace publique, mettant en scène des protagonistes dans leur quotidien. Un travail qui place l’humain au coeur de son habitat et qui prouve qu’il y a de la vie partout, même entre quatre murs. . Laurent Kronental, Les yeux des tours, 2017 Petit chouchou de la rédaction, Laurent Kronental capture les édifices emblématiques de la cité Picasso de Nanterre (92) dans sa série&nbsp;Les Yeux des Tours. Depuis les appartements des locataires, le photographe propose un ensemble de clichés onirique où les contours uniques des fenêtres – en goûte d’eau, en cercle ou en carré – encadrent des vues sur un quartier des Hauts de Seine à l’identité marquée. Une ode aux ouvrages architecturaux érigés par Emile Aillaud entre 1973 et 1981. . Jordi Huisman, Rear Window, 2014 A travers sa série Rear Window, le photographe néerlandais de 38 ans Jordi Huisman porte son attention sur la vue depuis l’arrière des bâtiments résidentiels, mettant ainsi en lumière l’influence de l’homme sur son environnement. Alors qu’à son inauguration, un bâtiment est un ensemble homogène et uniforme, une fois investi par ses habitants, les balcons évoluent en fonction de l’occupant. Tantôt abritant une antenne parabolique, tantôt zone de stockage ou bien même petit jardin, ces espaces extérieurs en disent long sur leurs propriétaires. Une exposition de petits détails, non sans importance. . André Vicente Gonçalves, Windows of the World, «&nbsp;Paris&nbsp;», 2016 Si les yeux sont les fenêtres de l’âme, pour le photographe André Vicente Gonçalves, les fenêtres sont sans doute les yeux de l’architecture. Eléments aussi essentiels qu’ornementaux, les lucarnes et autres baies vitrées deviennent, derrière son objectif, les stars de la série Windows of the World, ensemble photographique mettant en scène des ouvertures aussi diverses que variées provenant des quatre coins du monde. Traversant les époques et rassemblant les cultures, le travail de l’artiste portugais rend hommage à des éléments marqueurs d’une histoire et d’une esthétique. Une mise en lumière poétique. . Willy Ronis, Vincent aéromodéliste, Gordes, Vaucluse, 1952 Figure de proue de la photographie dite humaniste, le photographe français Willy Ronis pose un regard sensible sur la condition ouvrière, la banalité du quotidien, les autres, la rue, la ville, mais aussi sur les paysages solaires du Luberon, où il s’installe en 1972. Dans Vincent aéromodéliste, Gordes, Vaucluse, pris depuis une fenêtre de sa maison familiale de Gordes, il immortalise à la fois l’insouciance de l’enfance et l’atmosphère si particulière de ses séjours en Provence. . Luigi Ghirri, L'Île Rousse, « Kodachrome », 1976 « Kodachrome », série emblématique du style poétique de Luigi Ghirri, rassemble un corpus de photographies couleur prises dans les années 1970. Ces images, qui subliment un quotidien volontiers banal, résument parfaitement la démarche du maître de la couleur italien : « Je m’intéresse à l’architecture éphémère, à l’univers de la province, aux objets considérés comme de mauvais goût, kitsch, mais qui, pour moi, ne l’ont jamais été, aux objets chargés de désirs, de rêves, de souvenirs collectifs […] fenêtres, miroirs, étoiles, palmiers, atlas, globes, livres, musées et êtres humains vus par l’image. » . Helmut Newton, Bergstrom over Paris, 1976 Le très célèbre photographe australien Helmut Newton s’est forgé un nom dans le milieu de la mode en travaillant pour des magazines et des marques prestigieuses. Dans Bergstrom over Paris, il photographie son modèle – une jeune femme nue se regardant dans un miroir – dans une chambre avec une vue imprenable sur Paris. Ici, Helmut Newton joue avec les codes du voyeurisme : le cadrage, le reflet dans le miroir et la vue plongeante confèrent à la photographie une forte dimension érotique. . Elina Brotherus, Hôtel de Sebald 2, « Sebaldiana. Memento Mori », 2019 Diplômée en art et en chimie analytique, l’artiste finlandaise Elina Brotherus mène une exploration minutieuse du monde à travers des autoportraits singuliers. Dans sa série intitulée « Sebaldiana. Memento Mori », elle s’inspire des écrits de l’écrivain allemand Winfried Georg Sebald sur la Corse et se met en scène en contemplatrice de la nature dans un hôtel et dans les paysages désertés de l’île. Elle rend ainsi hommage à l'Île de Beauté et à son écrivain préféré, mais aussi à sa mère, Ulla Brita Brotherus, née la même année que W. G. Sebald en 1944.&nbsp; La Rédaction
Il y a 5 ans et 53 jours

Fenêtre sur vidéos

Franck Lefebvre pris en photo lors de ses tournages en Italie. [©Franck et Florence Lefebvre] Une démarche singulière. Un type de médias peu connu du grand public, savant mélange de vidéos et de photos à diffuser sur sa TV. Un art insolite, appelé “World Vidéo Art”. Le résultat&nbsp;: des “paysages-vidéos”, des “tableaux-vidéos” ou encore des “fenêtres numériques”. Franck Lefebvre est un artiste lillois, en dehors de ses heures de travail officielles, durant lesquelles il dirige une PME de nettoyage des chantiers et de la voirie. Ceci, à l’aide de balayeuses&#8230; Le secteur de la construction est décidément bien petit. Quand la TV se transforme en tableau numérique Sa passion pour le paysage et l’image a poussé Franck Lefebvre à développer une technique, qui associe les contraintes de la vidéo à toutes les spécificités de la photo. « J’ai imaginé le cadre du futur. Une photographie d’un paysage sur un écran ultra fin, rendue subtilement vivante grâce à la vidéo. J’ai créé le concept du tableau numérique. On est avant tout sur du paysage, en capture longue durée. Sans travelling. Sans mouvement de caméra. Recréant une “fenêtre numérique” ou un “tableau-vidéo” », explique l’artiste. Au sein de sa collection de “tableaux-vidéos”, on retrouve la campagne, la mer, la montagne… Une collection constituée au fil du temps et de ses voyages en famille. « C’est un projet au long cours. J’ai créé pour cela ma société “Atmosphère Vidéo” en 2012. Mais le marché n’est pas encore assez mûr. Je propose un produit de rupture. La télévision n’est pas faite que pour regarder un film, une émission&#8230; C’est aussi un objet de décoration, pouvant parfaitement s’intégrer dans le salon d’un particulier comme dans le hall ou la salle d’attente d’une société. Cependant, le public n’est pas encore prêt. Pourtant, les marques LG et Samsung présentent déjà, dans leurs modèles haut de gamme, des modes “Ambiant” ou “Wall-paper”, qui permettent de transformer l’écran en tableau. » A disposition sur YouTube Franck Lefebvre pris en photo lors de ses tournages en Islande. [©Franck et Florence Lefebvre] Et puis, comme beaucoup de sociétés en cette ère de pandémie, celle de Franck Lefebvre s’est retrouvée à l’arrêt. Il s’est donc mis à travailler sur ses vidéos et à commencer à entendre dans des émissions les problématiques du stress lié au confinement… Il s’est dit, «&nbsp;mais pourquoi pas mettre à disposition du grand public une partie de mon fonds de “paysages relaxants” sur YouTube. Ceci, pour aider les gens à s’évader, à améliorer leur quotidien, à surmonter cette épreuve. J’aurai participer à ma façon à faire “sortir” les gens de leur confinement ». Une belle initiative&nbsp;! En attendant la fin de cette crise sanitaire, Franck Lefebvre continue ses projets. Une importante collection de tableaux, fruit de 5 ans de travail. Et une application pour la télévision verra peut-être le jour d’ici la fin 2020 ou au début de 2021. A suivre donc… Muriel Carbonnet
Il y a 5 ans et 54 jours

Première édition des Trophées bâtiments résilients

La MRN, l’AQC et Construction21 ouvrent les trophées à toute personne physique ou morale ayant les compétences de représenter des bâtiments exposés à au moins un aléa naturel et climatique. [©MRN/AQC/Construction21] A l’occasion de ses 20 ans, la Mission risques naturels (MRN), en partenariat avec l’AQC et Construction21, lance la 1e édition des Trophées bâtiments résilients. «&nbsp;Les dommages suite à des évènements naturels et climatiques sont trop souvent imputables à un défaut d’adaptation du bâti et non à l’intensité des phénomènes, expliques Pierre Lacoste, président de la MRN. A travers les Trophées bâtiments résilients, les assureurs souhaitent faire prendre conscience de la nécessité de mettre en accord les qualités attendues d’un bâtiment avec les aléas naturels auxquels il sera confronté tout au long de son cycle de vie.&nbsp;» En effet, le concours s’intéresse aux constructions ayant été réalisées pour faire face à un ou plusieurs phénomènes de types&nbsp;: séismes, mouvements de terrain, avalanches ou encore feux de forêts, cyclones et tempêtes… Les modalités des Trophées bâtiments résilients Pour cette première édition, la MRN, l’AQC et Construction21 ouvrent les Trophées à toute personne physique ou morale ayant les compétences de représenter les bâtiments soumis (avec l’accord du maître d’ouvrage, si différent). Ces derniers, qu’ils soient public ou privé, résidentiel ou tertiaire, commercial, industriel ou culturel doivent être assurés et situés en France (métropolitaine et Outre-Mer). Ces bâtiments ou démonstrateurs, réalisés et livrés entre le 1er janvier 2015 et le 20 septembre 2020, doivent être exposés à au moins un aléa naturel et climatique. Le projet présenté peut aussi bien concerner les constructions neuves que les reconstructions, les extensions et les rénovations globales. Le jury examinera 4 critères principaux&nbsp;: le caractère résilient du bâtiment, la reproductibilité, le coût et le caractère innovant des solutions ou de l’approche mis en œuvre. Les candidats auront jusqu’au 30 juin 2020 pour déposer leur dossier. Le jury de ces 1er Trophées bâtiments résilients délibèrera en septembre pour une remise de prix en octobre. Il récompensera 3 projets dans les catégories “Prix habitat individuel”, “Prix habitat collectif”, “Prix tertiaire et industriel” et attribuera 2 spéciaux&nbsp;: un “Grand prix” et le “Prix innovation”. Les inscriptions se font par &#8211;> ici.
Il y a 5 ans et 55 jours

La fondation Jacques Rougerie lance la 10e édition de son concours d’architecture

Dans un contexte international inédit, la fondation Jacques Rougerie &#8211; Institut de France lance sa 10e édition du concours international d’architecture. [©Fondation Jacques Rougerie] C’est dans un contexte international inédit lié à la pandémie du Covid-19, qu’est lancée la 10e édition&nbsp;du concours international d’architecture. Ceci, à l’initiative de la fondation Jacques Rougerie – Institut de France. Cette année encore, cette édition encourage&nbsp;«&nbsp;la création, l’audace et la capacité à imaginer les visions d’anticipation d’un monde à venir&nbsp;».&nbsp;Les jeunes générations d’architectes, d’ingénieur(e)s, de designers, d’étudiant(e)s et de professionnel(le)s sont donc invitées à concevoir les habitats de demain. Ainsi qu’à s’exprimer sur leur propre vision de ces mondes inédits qui s’ouvrent.«&nbsp;La réponse aux problématiques de confinement dans les projets architecturaux attendus prend une tonalité toute particulière cette année&nbsp;», peut-on lire dans un communiqué de presse. Ce qui va changer la donne des expérimentations architecturales des futurs participants. Ainsi, la fondation Jacques Rougerie&nbsp;s’adresse à toutes celles et ceux qui souhaitent proposer des projets architecturaux biomimétiques innovants pour les océans, pour l’espace ou pour le littoral. Engagée vers un avenir durable et résilient,cette jeune génération a&nbsp;une conscience aigüe des grands changements climatiques actuels et à venir. La fondation fait appel à leur imagination sur l’évolution des modes de vie dans nos sociétés. Et à leur volonté de construire autrement dans le respect de la biodiversité et pour le bien commun de tous. Une actualité liée à la pandémie du Covid-19 «&nbsp;L’actualité nous le rappelle avec force &#8211; aujourd&rsquo;hui plus que jamais – que nous devons relever les grands défis sociétaux et environnementaux de notre planète. La crise internationale que nous vivons démontre qu&rsquo;il nous faut modifier nos modèles en profondeur. Et agir pour construire un futur durable et résilient. Nous devons penser autrement, avec audace et détermination les modes et les cadres de vie de demain. Ceci, en nous appuyant sur les richesses et l&rsquo;intelligence de la nature. Et en créant des liens entre les sciences et les arts. C&rsquo;est dans ce contexte inédit que s’ouvre aujourd&rsquo;hui la&nbsp;10eédition de notre concours international d&rsquo;architecture.[…] Nous remettrons les Prix de ce concours le 9 décembre prochain à l&rsquo;Institut de France à Paris,explique&nbsp;Jacques Rougerie, architecte et membre de l&rsquo;Institut de France. Trois Grands prix et trois prix Focus distingueront les lauréats C’est ainsi que trois Grands prix et trois prix Focus récompenseront les lauréats. Ceux-ci ont jusqu’au 30 septembre prochain pour s’inscrire au concours d’architecture et proposer leurs projets. &#8211; Catégorie “Innovation et architecture pour la mer”Grand Prix : 7 500€Prix Focus &#8211; Le village sous la mer&nbsp;: 2 500€ &#8211; Catégorie “Innovation et architecture pour l’espace”Grand Prix – 7 500€Prix Focus &#8211; Le village lunaire&nbsp;:2 500€ &#8211; Catégorie “Innovation et architecture, liées à la montée des océans”Grand Prix : 7 500€Prix Focus &#8211; Le littoral africain&nbsp;: 2 500€ Pour déposer votre candidature jusqu&rsquo;au 30 septembre 2020, rendez-vous sur le site Internet de la&nbsp;fondation.
Il y a 5 ans et 55 jours

Graal Architecture : Centre de loisirs de Jaurès

La ville d’Athis-Mons (91) se voit doté d’un nouveau centre de loisirs. Conçu par l’agence parisienne Graal Architecture, le monolithe de 610 mètres carrés est caractérisé par une façade rythmée en béton teinté dans la masse d’une couleur rosée. Installé sur un site complexe, le bâtiment assure la liaison avec le reste du quartier. Zoom sur un ensemble qui articule les différentes échelles de cette partie de la ville avec panache. Le projet, mené par Graal Architecture, répond à deux problématiques distinctes&nbsp;: proposer un équipement adapté à la pédagogie ouverte tout en palliant à l’augmentation démographique de la ville. Installé sur une plaine alluviale située entre la Seine et l’Orge définie par ses infrastructures ferroviaire, le bâti prend place dans une zone en marge du développement urbain, s’étendant quant à lui au sud-ouest et au nord-est de la commune. L’implantation du complexe Jaurès permet alors de connecter cet espace au centre ville, en créant notamment une ouverture sur l’église Notre-Dame de la Voie. Pensé comme un ensemble indissociable de son secteur fluvial, le Centre de loisirs est posé sur un socle minéral d’environ un mètre de hauteur, permettant à la fois de «&nbsp;rendre la parcelle résiliente à la montée des plus hautes eaux&nbsp;», comme le souligne le cabinet, et de soustraire les enfants à une exposition visuelle depuis la rue, tout en ouvrant les espaces intérieurs vers l’extérieur. Côté conception, les maîtres d’oeuvre misent sur une façade à l’identité marquée longeant les voies du chemin de fer sur 40 mètres. Le parti pris ici est étonnant compte tenu du programme. Les couleurs vives habituelles font désormais place à une enveloppe dynamique composée de voile en béton courbé à la couleur située entre le rose et le gris et surplombé d’une toiture végétalisée. «&nbsp;Il s’agit en définitive de dépasser l’imaginaire lié aux bâtiments de petite enfance pour mettre en place un élément qui rassemble et protège. » Graal architecture Les espaces intérieurs jouissent du même traitement brutaliste où béton et larges baies vitrées sont réchauffée par une présence subtile du bois. L’ensemble comprend des salles d’ateliers sobres, pouvant être adaptés à une large gamme d’activité, ainsi qu’une cuisine pédagogique entrant en contact direct avec le grand hall et l’extérieur afin de sensibiliser les enfants à la gestion des déchets. Pour en savoir plus, visitez le site de Graal Architecture Photographies&nbsp;: Schnepp Renou Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 56 jours

Paris Expo Porte de Versailles accueille un centre de dépistage du Covid-19

Viparis, filiale de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris Île-de-France et du groupe UnibailRodamco-Westfield, a annoncé accueillir un centre de dépistage au Covid-19 sur son site de Paris Expo Porte de Versailles.
Il y a 5 ans et 56 jours

Intelligences numériques ou comment l’IA remplace nos neurones

Intelligence des jeux ? Cyber zoo ? Qu’ont les arbres à raconter de l’intelligence artificielle IA ? L’exposition « Neurones, les intelligences simulées », proposée dans le cadre du Festival Mutations / Créations 4, au Centre Pompidou à Paris, proposait [&#8230;] L’article Intelligences numériques ou comment l’IA remplace nos neurones est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 56 jours

L’OCDE demande des mesures fortes face au Covid-19

Angel Gurria est le secrétaire général de l&rsquo;OCDE. [©OCDE] Réunis par visio-conférence en fin de semaine dernière, les dirigeants du G20 ont été appelés à intensifier leurs efforts par Angel Gurria, secrétaire général de l’OCDE. L’Organisation de coopération et de développement économiques a expliqué à cette occasion que chaque mois, le confinement entraînait une perte de 2 % dans la croissance du PIB annuel. Le seul secteur du tourisme pourrait voir son activité plonger de 70 % cette année&nbsp;! Pour Angel Gurria, les pays ne doivent pas se soustraire à leurs obligations sanitaires. «&nbsp;Les coûts élevés imposés par les mesures de santé publique prises aujourd’hui sont nécessaires, afin d’éviter des conséquences bien plus tragiques. Et un impact bien pire sur nos économies demain. Des millions de morts et l’effondrement des systèmes de santé nous décimeraient au niveau financier et en tant que société. La priorité des gouvernements est donc de ralentir cette épidémie et de sauver des vies humaines.&nbsp;» Vers un Plan Marshall mondial Pour l’OCDE et son secrétaire général, il est urgent de mettre en place un Plan Marshall mondial, qui s’appuierait sur six points dits “essentiels”. A commencer par la recapitalisation des systèmes de santé et épidémiologiques. Mais aussi la mobilisation de tous les leviers macro-économiques : politiques monétaires, fiscales et structurelles. Il faut aussi lever les restrictions commerciales actuelles, en particulier pour les fournitures médicales nécessaires. Ainsi qu’apporter un soutien aux pays en voie de développement et à faible revenu, qui sont vulnérables. Sans oublier de partager et de mettre en œuvre les meilleures pratiques, afin de soutenir les travailleurs et tous les individus, qu’ils aient un emploi ou pas. Et enfin, de maintenir les entreprises à flot, notamment les petites et moyennes entreprises, avec des programmes de soutien pour les secteurs les plus affectés, tels que le tourisme. Recul des PIB en conséquence du confinement. [©OCDE] Pas assez de recul Pour l’OCDE, il est encore difficile d’analyser les conséquences économiques du Covid-19 et des confinements qui en découlent. Les différentes économies nationales ne devraient pas réagir de la même manière. « Dans toutes les économies, cet impact vient en grande partie du coup porté à la production du commerce de détail et de gros, ainsi que sur les services professionnels et immobiliers. Il existe des différences notables entre pays dans certains secteurs. Ainsi, l’arrêt de la production dans le domaine des transports est par exemple assez important dans certains pays, tandis que le déclin des activités touristiques et de loisirs est très problématique dans d’autres. L’impact des fermetures d’entreprises pourrait entraîner une réduction de 15 %, ou plus, du niveau de production dans les économies avancées et les principales économies de marché émergentes. Dans l’économie médiane, la production déclinerait de 25 %. » Impact par pays selon la nature de l’économie. [©OCDE]
Il y a 5 ans et 56 jours

Layher vous forme à distance

Durant la période de confinement imposé, Layher France met en place des sessions de formation en vidéos-conférences et de e-learning gratuits. [©Layher] Via sa filiale Layher Formation,&nbsp;Layher France permet à ses clients et à ses collaborateurs d’enrichir et/ou de conforter leurs connaissances sur le métier de l’échafaudage. Et ce, grâce à des webinaires de formation 100 % gratuits. Une bonne idée pour profiter de manière différente de la période de confinement liée à la pandémie de&nbsp;Covid-19. De plus, à l’issue de ces vidéos-conférences, un accès à la plate-forme e-learning sera attribué à ceux qui souhaitent aller plus loin et se former davantage. Huit thèmes seront abordés lors de ces webinaires :&#8211; Législation et responsabilité des entreprises (durée&nbsp;: 1 h).&#8211; Conception des échafaudages (durée&nbsp;: 45 mn).&#8211; Résistance et charges admissibles (durée&nbsp;: 45 mn).&#8211; Stabilisation des échafaudages (durée&nbsp;: 45 mn).&#8211; Les échafaudages particuliers &#8211; Parties 1 et 2 (durée&nbsp;: 2 x 30 mn).&nbsp;&#8211; Responsabilités liées aux EPI – Harnais (durée&nbsp;: 45 mn).&#8211; Dessiner une façade avec Windec et Sketchup (durée&nbsp;: 45 mn). Pour plus d’informations et inscription, rendez-vous ici.   
Il y a 5 ans et 56 jours

Comment louer son matériel de coffrage ?

1 – Pourquoi est-il pertinent de louer son coffrage&nbsp;? Vue du matériel sur le parc Peri de Meaux (77). [©Peri] Les coffrages sont une partie essentielle de la construction en béton des bâtiments et des ouvrages de génie civil. La location permet aux entreprises de traiter avec des experts. Ces entreprises ont alors l’assurance d’avoir le produit adapté à leurs besoins, en matière de sécurité, de productivité et d’un point de vue financier.&nbsp; Cela leur permet surtout d’éviter les gros investissements. D’autant que selon le produit ou la gamme, la location peut être disponible sous 3 j. Elle est aussi un moyen de se dispenser des complications liées au stockage sur parc ou à la maintenance des outils. [Inscrits] 2 – Comment procède-t-on pour louer son matériel&nbsp;?&nbsp; Bureau d’études Peri, sur le site de Meaux. [©Peri] Tout commence par un rendez-vous, pour comprendre le besoin du client. Le but est de savoir ce qu’il veut faire, comment et quand. Ce qui permet de déterminer la meilleure solution.&nbsp; C’est le bureau d’études, qui prend ensuite le relais, afin de concevoir une première offre de solutions. Si cette dernière est validée, le chiffrage est proposé. Celui-ci dépend de la technicité et du temps de location de l’équipement. Puis, vient le temps de la négociation, notamment autour de ce qui est compris dans le prix ou pas.&nbsp; Ensuite, le bureau d’études réalise les plans détaillés de l’opération en 2D ou en 3D, fournit la liste du matériel, les notes de calculs et, pourquoi pas, les plans de conception pour l’atelier. Après la validation de cette étude par le client, la livraison est préparée. Le transporteur est sélectionné, le listing de l’ensemble des pièces est édité et des photos des chargements sont prises.&nbsp; 3 &#8211; Comment distingue-t-on son propre matériel (parc) de celui qui est loué&nbsp;? Un camion chargé, prêt à rejoindre un chantier. [©Peri] C’est rarement un problème. En général, les produits sont peints ou marqués aux couleurs du propriétaire. Les loueurs (coffreurs ou sociétés indépendantes) ont aussi des couleurs, qui leur sont propres. Le matériel est donc identifiable. Et les produits sont de toute façon distingués via leurs étiquettes. La plupart des acteurs du marché travaillent aussi sur des systèmes de puces RFID mis en place sur les coffrages. Toutefois, cette technologie se limite, pour le moment, à quelques références. 4 &#8211; Une fois le chantier achevé, comment se passe la restitution&nbsp;?&nbsp; Matériel de coffrage en cours d’utilisation sur un chantier. [©Peri] Il y a deux types de retours&nbsp;: soit partiels, soit complets.&nbsp; Pour les retours partiels, le client doit prévenir le loueur que la restitution est anticipée (quelques jours suffisent). C’est le temps nécessaire pour préparer ce retour. Le client peut prévoir le transporteur ou le loueur peut le gérer. A l’arrivée du camion, des photos du chargement sont prises, puis le matériel est compté avec précision&nbsp;: une fois pour le quantitatif et une fois pour le qualitatif, en règle générale. Un bon de retour est ensuite édité et envoyé au client, avec les manques et/ou les dégradations, s’il y a lieu.&nbsp;La procédure est identique dans le cas d’un retour complet du matériel. Mais inutile de prévenir, la date ayant été fixée à l’avance.&nbsp;Le matériel est ensuite lavé, réparé si besoin, puis rangé pour repartir sur le circuit.&nbsp; 5 &#8211; Que se passe-t-il en cas de perte ou d’éléments abîmés&nbsp;?&nbsp; Matériel de coffrage en retour du chantier. [©Peri] En cas de perte ou si le matériel a vraiment disparu, la liste de l’équipement manquant est tout de suite envoyée au client. Il faut confirmer avec lui la possibilité d’un autre retour. Si le produit est manquant, il est facturé selon les accords, qui ont été précédemment établis lors du contrat de location. En fonction des cas, cela peut être soumis à de la négociation.&nbsp; En cas de matériel abîmé, il faut tout de suite des photos, qui sont envoyées au client. Ce dernier peut venir constater par lui-même, dans un délai maximal de 30 j. Dans le cas où le problème est réparable, une proposition de chiffrage des coûts lui est faite. En général, les réparations se font en interne, pour en garantir la qualité. Enfin, si le matériel est irréparable, une proposition de facturation est envoyée au client. Là encore, il peut y avoir négociation. Le client peut récupérer le matériel, mais il est signifié qu’il n’est pas réutilisable. Sinon, le coffrage est envoyé au recyclage, pour en valoriser les constituants. 6 &#8211; Peut-on prolonger une location ou restituer le matériel par anticipation&nbsp;? Atelier de nettoyage et de reconditionnement du matériel, sur le site de Meaux. [©Peri] Il est plutôt rare que la demande soit de raccourcir la durée de la location. Dans les contrats figure une période incompressible, qui est de 30 j, en général. Si le chantier est arrêté pour des causes météorologique ou technique, le contrat peut, bien sûr, être raccourci.&nbsp; Il est bien plus probable que le contrat soit allongé. Dans ce cas, le prix est d’abord calculé sur le premier mois. Puis, au jour le jour. Ceci étant prévu dans le contrat de départ.&nbsp; Il arrive aussi &#8211; assez souvent &#8211; que le client demande du matériel en plus. A ce stade, la négociation se fait en fonction du prix unitaire du contrat de départ, du volume de matériel et de temps de mise à disposition.&nbsp; 7 &#8211; Location longue durée, avec option d’achat&#8230; Ces types de services sont-ils proposés par les loueurs de matériel de coffrage&nbsp;?&nbsp; Atelier de montage d’un matériel de coffrage réalisé à façon. [©Peri] Oui, la location longue durée peut être proposée à des prix adaptés à la durée de location. Pour la location avec option d’achat, elle doit être proposée en collaboration avec un organisme bancaire, en fonction de la quantité de matériel, du type de matériels et de la durée du contrat. 8 – Quels sont les types de matériels, qui peuvent faire l’objet d’une location&nbsp;? De très nombreuses gammes de matériels sont disponibles à la location. En premier lieu, cela dépend de l’offre du coffreur ou du loueur indépendant. Cela va du classique coffrage de voile aux coffrages pour poteaux, dalles, aux systèmes sur mesure pour tunnels, en passant par les outils circulaires. S’y ajoutent les étaiements classiques ou de grandes charges, ainsi que les échafaudages. Et, enfin, toute une gamme d’accessoires. A vrai dire, tout est possible en fonction de la porte à laquelle on frappe&nbsp;! Sujet réalisé en collaboration avec Consuelo Mendez Cristobal, directrice commerciale Ile-de-France chez PERI PERI, spécialiste du coffrage Fondée en Bavière, en Allemagne, en 1969, PERI, qui signifie “autour” en grec, est l’un des plus gros fournisseurs de coffrages au monde. Il est présent dans 70 pays, avec 160 dépôts et 9 500 collaborateurs. Et réalise un chiffre d’affaires estimé à 1,6 Md€. En France, PERI compte 130 employés, 2 dépôts et 5 agences et affiche un chiffre d’affaires de 35 M€ en 2019. Dont 65 % proviennent de la location des coffrages. A ce niveau, l’industriel dispose d’un parc locatif d’une valeur de 100 M€ en France, et 70 autres pays disposant aussi de réserves, pour répondre à tous les besoins. [/inscrits]
Il y a 5 ans et 57 jours

JCPCDR : Appartement Saint-Denis

Paris regorge de surprises&nbsp;! La preuve avec cet appartement étonnant de 75 mètres carrés situé rue Saint-Denis. Entre ouvrage haussmannien et inspiration scandinave, le projet signé JCPCDR est un ensemble contemporain, lumineux et fait la part belle aux volumes atypiques, caractéristiques de la capitale. Une source d’inspiration pour tous les citadins qui souhaiterait rafraichir leur décoration&nbsp;! Ah Paris&nbsp;! Ses grandes avenues, son patrimoine et ses toits uniques… Si la ville a de quoi faire rêver le monde entier, y vivre relève d’une autre paire de manches. Appartements étroits, longs couloirs et perte d’espace, tel est le quotidien d’un grand nombre de parisiens. Pour palier à ces problèmes de volume tout en conservant le charme unique des appartements de la capitale, l’agence JCPCDR rénove un logement de 75 mètres carrés au corridor long et étroit pour en faire un deux chambre lumineux et fonctionnel. L’entièreté de l’appartement a été repensé pour pouvoir y ajouter une seconde chambre ainsi qu’un dressing. Les espaces de circulation ont été regroupés au centre de l’habitation afin valoriser les pièces de vie au maximum et de les orienter vers les deux fenêtres situées aux extrémités.Dans le but de mieux définir ces espaces, les architectes jouent avec les hauteurs de sol et les différences de matériaux. Ainsi, le parquet à chevron – caractéristique de ce genre d’ouvrage – se mêle à un revêtement blanc laqué, mariage parfait entre édifice traditionnel et ajout contemporain. Cette combinaison de genres constitue d’ailleurs l’un des fil conducteurs du projet de JCPCDR. L’ensemble comprend, en plus de ses deux chambres, un espace salon, salle à manger et cuisine, le tout associant bois, blanc laqué, marbre et mobilier scandinave épuré. Chaque meuble, conçu sur mesure par le studio d’architecture, est indissociable du projet. Avec comme contrainte principale d’optimiser la lumière, les concepteurs misent sur une palette claire et chaleureuse. Le blanc apparaissant comme le choix le plus lumineux, la couleur est ici déclinée sur des lignes nettes et graphiques, et réveillée par des touches de bleu profond et de laiton luxueux. Résultat&nbsp;? Un appartement ergonomique et bien dans son temps. Défi révélé pour JCPCDR&nbsp;! Pour en savoir plus, visitez le site de JCPCDR Photographies&nbsp;:David Foessel Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 58 jours

Zoom sur : Tara Donovan

Plasticienne et sculptrice contemporaine américaine, Tara Donovan détourne des objets du quotidien pour créer des installations, des sculptures et des dessins, souvent monumentaux, et toujours poétiques. Aujourd’hui représentée par la Pace Gallery à New York, elle expose ses étonnantes accumulations aux États-Unis et à l’étranger. Zoom sur une artiste qui sublime l’ordinaire. Durant ses études, Tara Donovan commence à expérimenter un langage artistique personnel en utilisant des objets industriels, vendus en magasin et définis par leur fonction, tels que des assiettes en carton, des boutons, des cure-dents, des clous, des crayons à papier, des gobelets, des épingles, des pailles, du papier ou encore du ruban adhésif. Après l’obtention de son Bachelor of Fine Arts à la Corcoran School of the Arts and Design (Washington) en 1997, puis de son Master of Fine Arts à la Virginia Commonwealth University (Virginie) en 1999, elle est rapidement exposée dans des galeries et des institutions américaines. Du 15 décembre 1999 au 17 janvier 2000, sa première exposition personnelle d’ampleur intitulée « Tara Donovan : Whorl » donne à voir ses sculptures à la Corcoran Gallery of Art, à Washington, D.C. L’année suivante, Tara Donovan participe à la prestigieuse biennale du Whitney Museum of American Art à New York, et à plusieurs expositions collectives. Dans les années 2000, elle affirme davantage son langage artistique et conçoit des installations in situ dans des galeries, notamment dans les espaces de la Ace Gallery à New York et à Los Angeles. Ses œuvres produites ainsi, comme Transplanted (2001), Nebulous (2002) et Styrofoam Cups (2003), sont devenues emblématiques de son processus créatif. Dans ses créations les plus célèbres, Tara Donovan accumule des objets prosaïques, des objets de la vie de tous les jours, qui sont voués à être jetés, pour créer des œuvres surprenantes, tantôt biomorphiques, tantôt abstraites. Chaque sculpture est réalisée à partir d’un seul et même produit manufacturé, utilisé en quantité et de manière répétitive. En développant une forme artistique si singulière, la plasticienne confronte le public à des installations visuelles, qui jouent sur les textures des matériaux utilisés et interagissent avec l’espace dans lequel elles s’insèrent. Tara Donovan aime aussi explorer les possibilités de son propre processus créatif. Depuis plusieurs années, elle s’intéresse à la notion d’écran et réalise des compositions bidimensionnelles ou en bas-relief, qui sont encadrées et accrochées au mur. Ses Drawings (Pins), composés d’épingles en acier, par exemple, altèrent la perception du spectateur avec des illusions d’optique, l’invitant à reconsidérer son rapport au réel. Au lieu de dissocier l’art de la vie, Tara Donovan explore le potentiel créatif de l’objet, et transcende le quotidien. Son usage systématique d’objets manufacturés érige au rang d’art le banal tout en conférant à son œuvre une dimension critique. À l’heure de la surconsommation et de la crise écologique, son travail questionne notre rapport au monde, à la nature et à l’artificialité. Pour en savoir plus, visitez le site de la Pace Gallery Photographies : 1) Portrait de Tara Donovan à côté de sa sculpture Untitled (Mylar) © Tara Donovan2) Tara Donovan, Colony, 2005, crayons, 10,2 cm x 345,4 cm x 288,3 cm, © Tara Donovan3) Tara Donovan, Untitled, 2015, Slinky®s, 248,9 cm x 792,5 cm x 2,5 cm © Tara Donovan4) Tara Donovan, Untitled, 2014, acrylique et adhésif, 306,1 cm x 431,8 cm x 393,1 cm) © Tara Donovan5) Tara Donovan, Drawing (Pins), 2012, tableau, peinture et épingles en acier, 91,4 cm x 91,4 cm x 6,4 cm © Tara Donovan6) Tara Donovan, Untitled (Pins), 2004, épingles, 99,1 cm x 99,1 cm x 99,1 cm © Tara Donovan7) Tara Donovan, Untitled (Styrofoam Cups), 2003/2008, gobelets en polystyrène et colle, dimensions de l'installation variables © Tara Donovan Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 59 jours

Expo photos : Wake up! par Erik Johansson

Erik Johansson a un imaginaire qui lui est propre. Cette exposition offre une plongée dans son univers à travers une sélection de photos qui explore le rapport de l’Homme à la Nature. À l&#8217;institut suédois. Jusqu’au 14 juin 2020. Ces [&#8230;] L’article Expo photos : Wake up! par Erik Johansson est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 60 jours

Nouvelle stratégie pour le CNDB

Après avoir fêté ses 30 ans en octobre 2019, le CNDB a présenté fin février sa nouvelle organisation et la stratégie pour quatre années à venir. Présidé par Samuel Gardavaud, le Comité national pour le développement du bois continuera sa mission de promotion du bois en ciblant plus particulièrement&nbsp; les&nbsp; architectes et bureaux d’études (60 %), les acteurs de la maîtrise d’ouvrage &#8211; promoteurs ; élus ; bailleurs publics et privés (30 %), ainsi que les entreprises et acteurs de la construction (10 %). Parmi les actions annoncées pour 2020 : une série de visites d’opérations CLT à Paris et dans les régions («&nbsp;Les matinales CLT&nbsp;») ; la campagne de communication bois.com et son site web dédié ; deux nouveaux ouvrages («&nbsp;Détails d’architecture&nbsp;» et «&nbsp;Le logement collectif bois&nbsp;») ; une étude de benchmark menée avec et pour France Bois 2024… Sarah Laroussi, directrice du CNDB a par ailleurs annoncé le lancement de 3 partenariats de référence correspondant aux besoins de communication et d’accompagnement d’une cible : Untec pour les économistes, Unsfa pour les architectes et&nbsp; Fédération française de Gymnastique pour le grand public. Des rendez-vous trimestriels seront également organisés sous forme de circuits de visite, petits-déjeuners débat, colloques…www.cndb.org
Il y a 5 ans et 60 jours

Le Carrefour international du Bois reporté à 2021 !

Le Carrefour international du Bois (CIB), prévu en mai au Parc des Expositions de Nantes, est reporté au mois de février 2021. La décision a été prise par les organisateurs de l’évènement, dans le contexte de la crise sanitaire mondiale, après la concertation avec l’ensemble des parties prenantes. Avec 85 pays représentés, 37 % des ses exposants et 29 % de ses visiteurs internationaux, le Carrefour international du Bois figure parmi les plus importantes manifestations organisées dans le secteur du bois au niveau mondial. Seul événement de cette envergure à être organisé par et pour les professionnels, le salon reçoit également le soutien de France Bois Forêt et de toutes les fédérations, organisations, syndicats liés à la forêt et au bois. «&nbsp;La filière bois se doit, plus que jamais, être solidaire pour relever les défis à venir dans les prochains mois. La situation exceptionnelle nous imposait d’agir avec avec calme et réflexion&nbsp;»,&nbsp;souligne Pierre Piveteau, président du CIB. «&nbsp;L’équipe a interrogé l’ensembles des exposants et partenaires pour choisir une date de report qui puisse convenir au plus grand nombre. Le bureau d’Atlanbois a alors acté pour les mercredi 3, jeudi 4 et vendredi 5 février 2021. Cette date permettra ensuite de repositionner le salon en mai 2022 dans son cycle habituel et laisse le temps à toutes les entreprises de préparer sereinement la reprise de leurs activités.&nbsp;» www.timbershow.com
Il y a 5 ans et 60 jours

Lancement de la 1ère édition des Trophées Bâtiments Résilients

La Mission Risques Naturels (MRN) lance, en partenariat avec l'Agence Qualité Construction (AQC) et Construction21, avec le soutien de la Fédération Française de l'Assurance (FFA) et du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire, la première édition des Trophées Bâtiments Résilients.
Il y a 5 ans et 60 jours

Trophées bâtiments résilients, réponse aux risques naturels et climatiques

Architectes, maîtres d&#8217;ouvrages, bureaux d&#8217;études, inscrivez vos bâtiments résilients &#8211; neufs, rénovés ou reconstruits ! Jusqu’au 30 juin 2020. La Mission Risques Naturels (MRN) lance, en partenariat avec l&#8217;Agence Qualité Construction (AQC) et Construction21, avec le soutien de la Fédération [&#8230;] L’article Trophées bâtiments résilients, réponse aux risques naturels et climatiques est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 60 jours

L’architecte Jean-Jacques Fernier, l’homme de Courbet, est décédé

Ce 25 mars 2020, l’architecte Jean-Jacques Fernier est décédé à Paris. Il avait remporté avec son associé André Biro, le Grand-Prix international d’urbanisme et d’architecture en 1969. Jean-Jacques Fernier était aussi un homme de l’Art, dévoué à l’étude de l’œuvre du peintre Gustave Courbet. Diplômé en 1961, Jean-Jacques Fernier s’est très vite vu remettre le Grand-prix international d’urbanisme et d’architecture avec son associé André Biro en 1969. Architecte...
Il y a 5 ans et 61 jours

Exposition : Ban

Après une première édition à L’Orfèvrerie de Saint-Denis (93) l’année dernière, l’exposition « BAN » revient en 2020 avec une version augmentée aux Magasins généraux, à Pantin (93), le centre de création fondé par BETC. L’événement rassemble les œuvres de douze photographes professionnels, ainsi que les écrits et les photographies de jeunes du Red Star Lab – un club de football, dont l’enjeu principal est de favoriser l’égal accès à la culture. Le parcours aborde la notion de marginalité par la photographie et révèle sa capacité à explorer des problématiques contemporaines afférentes à la société d’une manière douce, subjective et singulière. « Qu’est-ce qu’être au ban, qu’est-ce qu’être à part, à côté d’un monde, à côté des autres ? » C’est la question à laquelle les artistes confirmés et les jeunes licenciés répondent avec des images et des textes. Cette exposition, imaginée et conçue par les commissaires Marie Benaych et Henrike Stahl en collaboration étroite avec les jeunes du Red Star Lab, explore les différentes manifestations du ban – un groupe, une bande, une faction – au XXIème siècle. Loin de porter un jugement sur un lieu, un groupe ou une situation, tous les photographes s’adressent à un public et cherchent à éveiller chez lui une émotion ou un sentiment de solidarité. Certains s’intéressent à la France. Louisa Ben documente les « Zones Grises » du Mirail à Toulouse (31) et Antoine Massari capture les styles vestimentaires des Lyonnais les plus âgés, tandis que Anton Renborg raconte le quotidien de Constantin dans son camp de Rosny-Sous-Bois (93). Henrike Stahl et Marvin Bonheur photographient tous les deux les oubliés de la Seine-Saint-Denis (93). Valérie Kaczynski, quant à elle, retourne en Alsace, sa région natale, et met en scène la vie&nbsp;de quatre frères et de leur mère, qu'elle connaît depuis son enfance, dans le quartier minier où ils ont grandi. Elle réalise sa série « Outsiders » en collaboration avec la styliste Ally Macrae pour sublimer le quotidien des habitants de&nbsp;la petite ville de Wittelsheim. D'autres ont le souci de présenter ce que peut signifier pour eux le ban à l’étranger. Lucien Courtine magnifie un Japon estival quand Aurélien Gillier donne à voir le milieu hippique à Ouagadougou (Burkina Faso). Adrien Vautier dépeint le mode de vie des travellers irlandais et le duo formé par les photographes Cassia Tabatini et Marcelo Alcaide célèbre la jeunesse brésilienne dans une série poétique aux allures de campagne publicitaire pour Courrèges. La scénographie, minimaliste et travaillée, invitent les visiteur·euse·s à déambuler d’une image à l’autre dans le vaste espace vitré dédié à l’accrochage, en établissant un va-et-vient original entre les photographies suspendues et les textes posés à même le sol. L’exposition, qui rouvrira ses portes dès la fin du confinement, proposera également un programme d’ateliers et d’événements, imaginé par les commissaires et les membres du Red Star Lab, et accessible à tou·te·s gratuitement. Un événement collaboratif bienvenu, qui présente avec justesse les diversités du ban. Pour en savoir plus, visitez le site de l'exposition «&nbsp;BAN&nbsp;»&nbsp;et des Magasins Généraux Photographies : 1) © Tabatini/Alcaide 2) © Aurelien Gillier3) © AdrienVautier4) © Aurelien Gillier5) © HenrikeStahl6) © Leo Doriano7) © Marvin Bonheur Léa Pagnier &nbsp;
Il y a 5 ans et 61 jours

Le Mipim de Cannes annulé, une nouvelle formule proposée

SALON. Le salon immobilier de Cannes, qui devait avoir lieu du 2 au 5 juin 2020, a été annulé sous sa forme habituelle, en raison de l'épidémie de Coronavirus. Les organisateurs proposent une alternative virtuelle et un événement en septembre. Détails.
Il y a 5 ans et 61 jours

Expo virtuelle : Intelligence artificielle et architecture

EXPOSITION. Le Pavillon de l'Arsenal propose, en cette période confinée, une visite virtuelle de l'exposition "Intelligence artificielle et architecture", inaugurée le 27 février. Des origines de la modularité dans les années vingt-trente, aux incroyables possibilités offertes par les programmes en développement à Harvard, Berkeley ou au MIT aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 61 jours

Webinaires gratuits ARCHICAD

Pour soutenir les étudiants en architecture et leurs enseignants dans cette période de confinement, Abvent met en place un nouveau dispositif qui leur est réservé : Les Abvent Education Lives qui se déclinent en deux temps. Un nouveau cycle de présentations en ligne des logiciels à l&rsquo;intention des étudiants en architecture, tous les jeudis à 18h00 à 18h30, à partir de jeudi 26 mars. Au programme du premier rendez-vous : les concepts et fondamentaux d’ARCHICAD. Les jeudis suivants seront consacrés aux outils et fonctionnalités d’ARCHICAD. Ce sont les étudiants eux-mêmes qui en détermineront le programme en indiquant leurs centres d&rsquo;intérêt : outil Mur-Rideau, outil Escalier et Garde Corps, les IFC… Tous les 3 jours, à partir de vendredi 26 mars, Abvent mettra à disposition en ligne un nouveau tutoriel accessible sur : Facebook Abvent Education. www.facebook.com/AbventEducFrance/
Il y a 5 ans et 62 jours

UNTEC : le rendez-vous des professionnels de la construction reporté

Comme vous le savez de nombreux évènements ont été reportés suite aux décisions gouvernementales prises par rapport à l&rsquo;avancée du Coronavirus &#8211; Covid 19. La 48ème édition d’UNTEC, le congrès&hellip;Cet article UNTEC : le rendez-vous des professionnels de la construction reporté est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 62 jours

Lancement des Trophées Bâtiments Résilients

Architectes, maîtres d&rsquo;ouvrages, bureaux d&rsquo;études, inscrivez vos bâtiments résilients ! La Mission Risques Naturels (MRN) lance, en partenariat avec l&rsquo;Agence Qualité Construction (AQC) et Construction21, avec le soutien de la&hellip;Cet article Lancement des Trophées Bâtiments Résilients est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 62 jours

Se former pendant le confinement

Plusieurs solutions existent pour se former pendant le confinement. [©Affaires photo créée par tirachardz &#8211; fr.freepik.com] Depuis près de 10 jours, le monde connaît une crise aussi bien sanitaire qu’économique… Le secteur du BTP est, lui aussi, paralysé entre l’arrêt de certains chantiers, des changements au sein des usines de production, mais aussi, la fermeture des CFA et centres de formation. Si certains peuvent poursuivre leurs activités par le télétravail, d’autres se retrouvent parfois au chômage technique, partiel ou ont posé des congés. Chacun compte, comme avec un calendrier de l’Avent, le jour où les repas de famille ou entre amis reprendront. En attendant, il faut trouver de quoi s’occuper. Plusieurs organismes mettent à disposition des outils pédagogiques ou des Mooc (Massive open online courses). L’Afpa diffusera durant 3 mois des modules gratuits sur www.mooc.afpa.fr. De nouveaux outils seront régulièrement mis en ligne pour aider à réfléchir sur son projet professionnel : recherche d’emploi, découverte des métiers du numérique, activer son compte personnel de formation ou encore préparation de l’entrée en formation. L’organisme met aussi à disposition des CFA des Mooc. Les titres professionnels du BTP concernés par ce programme sont : chef d’équipe gros œuvre, façadier-peintre, chef d’équipe aménagement-finitions et technicien d’études du bâtiment en dessin de projet. Pour la continuité de la formation des jeunes apprentis, le CCCA-BTP a créé et mis à disposition, via une rubrique dédiée sur son site Internet&nbsp;: ccca-btp.fr, des contenus pédagogiques. Assurer la continuité de la formation Les utilisateurs ont ainsi accès à des modules de formation, guides méthodologiques, sitographies, supports audiovisuels&#8230; Ces dispositifs sont immédiatement exploitables par les formateurs des organismes de formation aux métiers du BTP, dans les domaines de l’enseignement général (français, mathématiques et sciences…) et de l’enseignement professionnel (dans toutes les filières métiers). « Nous disposons de l’expertise et de l’expérience pour répondre à la situation exceptionnelle que nous connaissons, grâce aux modalités que nous avons déjà expérimentées et déployées aux 77 CFA du BTP à gouvernance paritaire, explique Jean-Christophe Repon, président du CCCA-BTP. C’est ce qui nous permet aujourd’hui d’être réactifs et d’être en mesure de proposer des solutions de cette ampleur. C’est aussi ce qui fait l’honneur de nos professions du bâtiment et des travaux publics pour assurer la continuité de la formation des jeunes à nos métiers. » De son côté, le Plan Bâtiment durable poursuit ses Mooc. Sur son site www.mooc-batiment-durable.fr, plusieurs sessions débuteront les prochains jours. A l’image des thématiques : Construire en terre crue aujourd’hui le 31 mars 2020 ou encore le biomooc – Découvrir le bâtiment biosourcé animé par Karibati et Ville & Aménagement durable. L’Ademe propose aussi sur sa plate-forme www.formations.ademe.fr des outils pédagogiques. Sur Infociments, les professionnels pourront participer le 31 mars à un Webinar nommé : “Guide environnemental du gros oeuvre : Faites les bons choix constructifs pour atteindre les objectifs de la RE 2020”. Sur inscription, cette conférence sera animée par Laurent Truchon, de Cimbeton et Yannick Ondo, de Cogeci. Enfin, parmi toute l&rsquo;offre, Novabuild s&rsquo;intéresse à la construction résiliente et bas carbone. Le collectif des acteurs engagés vers la construction durable en Pays de la Loire diffusera son Webinar le 1er avril. C&rsquo;est aussi la date du top départ du Mooc Bâtiment Passif et bas carbone. En effet, la Maison Passive a décidé de rejouer son cours en ligne en ces temps perturbés. Il s’adresse aux professionnels comme aux particuliers ayant un projet de conception ou de construction.
Il y a 5 ans et 62 jours

Un nouveau concours récompense les bâtiments résilients

RISQUES NATURELS. Construction21 lance, avec la Mission risques naturels et l'Agence qualité construction, les Trophées bâtiments résilients, nouveau concours visant à diffuser les bonnes pratiques en matière de résistance aux aléas naturels ou climatiques. Tous les types de bâtiments sont concernés.
Il y a 5 ans et 64 jours

[Livre ] le Tour de France des Maisons Écologiques par Anatomies d’Architecture

Mathis Rager et Raphaël Walther, architectes diplômés d&#8217;État, accompagnés d’Emmanuel Stern, anthropologue diplômé de Craterre sont partis sur les routes de France à la recherche de la maison écologique idéale. Après avoir accueilli leur exposition dans le cadre du cycle de conférences Bellastock BRIN! Storming en mars 2019, le livre est finalement sur le point [&#8230;]
Il y a 5 ans et 67 jours

Confinés et cultivés: 3 conférences à voir en ligne

Bravant le coronavirus, Renzo Piano, Bjarke Ingels et Philippe Rahm s&#39;installent dans le salon des architectes confin&eacute;s. Leurs derni&egrave;res&nbsp;conf&eacute;rences sont disponibles en ligne. Trois &eacute;v&eacute;nements &agrave; l&#39;image de leurs orateurs, &agrave; &eacute;couter&nbsp;entre deux sessions de t&eacute;l&eacute;travail. 1. L&#39;&eacute;motion Renzo Piano Il&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 5 ans et 68 jours

Exposition : Houses for Superstars, l’architecture hypermédiatisée

Jusqu’au 15 mars, l’exposition « Houses for Superstars, l’architecture hypermédiatisée » organisée par la villa Noailles à Hyères (83), aborde l’hypermédiatisation de l’architecture par le prisme des maisons de stars. Une première pour le centre d’art d’intérêt national du Var, dont le bâtiment historique incarne la rencontre entre des commanditaires stars, les mécènes mondains Charles et Marie-Laure de Noailles, et un architecte moderniste célèbre, Robert Mallet-Stevens. Luxueuses, excentriques ou démesurées, ces résidences de vedettes ravissent les fans à l’image de la vie de leurs propriétaires. Dans le cadre de son cycle annuel d’expositions d’architecture, la villa Noailles choisit cette année de mettre à l’honneur les maisons de stars, réalisées ou restées à l’état de projet, imaginées par des grands noms de l’architecture. Les commissaires de l’exposition, Audrey Teichmann, directrice de la Galerie Laurence Bernard à Genève (Suisse), ainsi que Benjamin Lafore et Sébastien Martinez Barat, fondateurs de l’agence MBL architectes, ont divisé le parcours en trois sections rendant compte des enjeux de ces architectures réalisées pour des vedettes. La première, intitulée « Couples star », est l’occasion de questionner le statut de ces maisons extravagantes où se déploient souvent un goût pour l’excès, une volonté de contrôle et l’affirmation d’une notoriété. La section présente en effet les projets architecturaux, réalisés ou non, de personnalités publiques promues par les médias. On y retrouve notamment la maison moderniste (non réalisée) d’Adolf Loos pour la performeuse Joséphine Baker, la résidence en bois d’Horace Gifford pour le styliste Calvin Klein et la villa futuriste (non réalisée) en forme d’Œil oudjat, symbole protecteur dans l’Égypte antique, pour la top Naomi Campbell. La deuxième réunit deux talents de la photographie d’architecture, François Halard et Romain Courtemanche. À l’occasion de l’exposition, les commissaires ont invité ces deux personnalités à immortaliser la Cupola, demeure mythique construite par Dante Bini en 1969 pour le couple formé par l’actrice sulfureuse Monica Vitti et le cinéaste de génie Michelangelo Antonioni. Ces deux séries inédites subliment les courbes de ce dôme en béton, si singulier, installé Costa Paradiso en Sardaigne (Italie), et aujourd’hui abandonné. Enfin, le dernier temps du parcours présente ce que peut être une maison de star aujourd’hui. La villa Noailles a en effet donné carte blanche à six architectes pour imaginer l’édifice d’une star de leur choix, comme un remake de la compétition « House for a superstar » lancée par l’architecte japonais Arata Isozaki en 1976 qui proposaient à des architectes internationaux de dessiner une demeure pour une célébrité. Accattone esquisse une maison écologique sur pilotis pour la militante Greta Thunberg, DIXNEUFCENTQUATREVINGTSIX conçoit des espaces futuristes pour les Spice Girls, Etienne Descloux dessine un cocon intimiste pour la chanteuse Mariah Carey, Octave Perrault modélise des intérieurs luxueux pour l’influenceuse Kylie Jenner, Marc Leschelier élabore une maison insolite pour l’actrice Jayne Mansfield et le bureau d’architecture et d’urbanisme UR combine décoration dépouillée et lumière tamisée dans une demeure destinée au spationaute Thomas Pesquet. Dans l'exposition « Houses for Superstars, l’architecture hypermédiatisée », les commissaires n’hésitent pas à mêler projets réels et fictionnels, historiques et contemporains, afin de dégager les spécificités des maisons de stars, où l’imagination créative des architectes semble pouvoir s’exprimer sans entraves. Pour en savoir plus, visitez le site de la villa Noailles Photographies :&nbsp; Partie 1 de l’exposition • Adolf Loos pour Josephine Baker, Maison (non réalisée), Paris, France, 1927 • Horace Gifford pour Calvin Klein, The Calvin Klein House, Fire Island, États-Unis, 1972, © Sloan Yee • Horace Gifford pour Calvin Klein, The Calvin Klein House, Fire Island, États-Unis, 1972, © Sloan Yee • Luis de Garrido pour Naomi Campbell, Eye of Horus House (non réalisée), Isla Playa de Cléopâtre, Turquie, 2011, © Luis de Garrido Partie 2 de l’exposition • François Halard, La Cupola, Costa Paradiso, Sardaigne, Italie, 2020, commande photographique pour l’exposition © François Halard • François Halard, La Cupola, Costa Paradiso, Sardaigne, Italie, 2020, commande photographique pour l’exposition © François Halard Partie 3 de l’exposition • DIXNEUFCENTQUATREVINGTSIX pour les Spice Girls, Houses for Superstars, 2020 • Marc Leschelier pour Jayne Mansfield, Houses for Superstars, 2020, © Luc Bertrand, copyright villa Noailles • UR pour Thomas Pesquet, Houses for Superstars, 2020 Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 68 jours

Coronavirus : Nordbat dévoile ses nouvelles dates

Le salon Nordbat, qui était fixé du 1er au 3 avril au Grand Palais de Lille, a été reporté en raison de l'épidémie de Coronavirus. L'événement vient d'annoncer ses nouvelles dates.
Il y a 5 ans et 68 jours

Le phare du Cap Ferret se refait une beauté

La réhabilitation extérieure du phare du Cap Ferret, qui a débuté en 2018, marque la fin de travaux de restauration d’envergure effectués dans le respect de la double fonction de l’édifice : établissement de signalisation maritime et marqueur patrimonial du littoral. Trois semaines durant, cinq cordistes de l’entreprise Adour Travaux Spéciaux (ATS) ont œuvré pour redonner ses couleurs à l’emblématique phare. 1 000 m2 de façade ont été restaurés. Une intervention qui s’est faite en plusieurs étapes. « La dernière rénovation datant de 2 000, il a été nécessaire d’effectuer un décapage complet car la superposition des différentes couches de peinture remet en cause l’adhérence de l’ensemble », précise Loïc Fruchard. « C’était la première fois depuis 40 ans que le phare était mis à nu. Du coup, le décapage a été plus long que prévu. 15 jours ont été nécessaires pour décomposer les 3 couches de peintures anciennes » poursuit-il. « Nous avons travaillé avec un décapant 4 0 0 SO de la société DPE. Pendant qu’une équipe l’appliquait au rouleau sur des segments de 2 m de large, une autre équipe nettoyait le fut avec un karcher haute pression de 300 bars, ce qui nous a permis de retirer environ 2 tonnes de résidus de peinture qui ont été récupérés pour être recyclés ». Avant de repeindre, la phase de préparation a fait l’objet de tous les soins. Les équipes d’ATS ont appliqué un produit anti-mousse, réparé les fissures avec un enduit de rebouchage à prise rapide et recouvert la structure originelle, d’un fixateur pigmenté en phase solvanté, K’Fix S de l’entreprise Unikalo. Son très bon pouvoir pénétrant en fait une excellente couche d’accroche sur un support brut. Compte tenu de son exposition au vent et à l’humidité, le phare nécessitait une peinture très résistante. Une couche de peinture blanche RAL 9016 K’Flex Extrem Lisse utilisé en système I3 a été appliquée. La technologie EXTREM assure une longévité accrue du film et des teintes, ainsi qu’une grande résistance à l’encrassement biologique et atmosphérique. Pour la partie supérieure, la technologie K’olor Tech a été privilégiée afin de garantir une teinte rouge vif RAL 3020 résistante aux UV et aux infrarouges. Photo : Anaka
Il y a 5 ans et 68 jours

Grand Prix AFEX 2020: les 10 finalistes en images

Bravant le coronavirus, Renzo Piano, Bjarke Ingels et Philippe Rahm s&#39;installent dans le salon des architectes confin&eacute;s. Leurs derni&egrave;res&nbsp;conf&eacute;rences sont disponibles en ligne. Trois &eacute;v&eacute;nements &agrave; l&#39;image de leurs orateurs, &agrave; &eacute;couter&nbsp;entre deux sessions de t&eacute;l&eacute;travail. 1. L&#39;&eacute;motion Renzo Piano Il&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 5 ans et 69 jours

Quel bilan pour le salon Eurobois ?

Le salon du bois, Eurobois, qui s'est déroulé du 04 au 07 février à Lyon, a rencontré un large succès. Découvrez les chiffres de l'évènement.