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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

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Il y a 4 ans et 358 jours

La Cour des comptes inquiète des prêts accordés à la filière du nickel en Nouvelle-Calédonie

"Le risque pour l'État de ne pas être remboursé de certains de ses prêts n'est pas négligeable et la situation des entreprises aidées est loin d'être redressée", a-t-elle souligné dans son référé consacré à "vingt ans de soutien financier de l'État à la filière du nickel en Nouvelle-Calédonie"."Compte tenu du départ annoncé par Vale de son site calédonien", la Cour des comptes recommande à l'État de "s'assurer du remboursement du prêt accordé en 2016", rappelant qu'il s'élevait à 200 millions d'euros et qu'il avait été accordé à Vale Canada "pour surmonter les difficultés de trésorerie" de Vale Nouvelle-Calédonie.Le groupe brésilien envisageait alors la "mise sous cocon" de son site d'extraction de nickel si l'État français ne soutenait pas sa filiale calédonienne.Malgré ce soutien, Vale a annoncé l'année dernière son retrait de Nouvelle-Calédonie, mais s'est "jusqu'à présent acquitté des intérêts dus. Il convient de s'assurer du remboursement de ce prêt, qui doit, au plus tard, intervenir de façon échelonnée entre 2021 à 2026", souligne-t-elle.Dans ce même référé, la Cour juge aussi sévèrement un "prêt risqué" accordé en 2011 par l'Agence française de développement (AFD), d'un montant initial de 170 millions d'euros, à la société minière du Sud Pacifique (SMSP).Malgré une restructuration l'an dernier qui a maintenu l'encours du prêt à 56 millions, "le risque de non remboursement du prêt de l'AFD demeure, comme en témoigne le provisionnement élevé de la créance par l'AFD", constate le référé.La Cour revient également sur le projet de construction d'une nouvelle centrale électrique, dite "centrale pays", qui dispose d'une garantie de l'État de 320 millions d'euros. "Compte tenu de l'exposition importante de la puissance publique, la Cour recommande de clarifier les conditions du fonctionnement futur et du financement de la centrale avant d'octroyer la garantie de l'État", souligne-t-elle.Elle demande aussi au ministère des Comptes publics de supprimer l'actuel dispositif de défiscalisation en faveur des investissements productifs, jugé "coûteux et complexe", et de le remplacer par des mécanismes de soutien accordés par les collectivités de Nouvelle-Calédonie et, le cas échéant pour les projets les plus importants, par des aides financières de l'État ou de Bpifrance.
Il y a 4 ans et 358 jours

La 17e édition d’ARTIBAT reportée à 2021

Le salon de la construction ARTIBAT est reporté au mois d'octobre 2021. La crise sanitaire aura eu raison de cette 17e édition... Cet article La 17e édition d’ARTIBAT reportée à 2021 est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 358 jours

Cinq leaders de l'industrie lancent l'édition 2020 du "Construction Startup Competition"

Sous le slogan « You are the missing piece » (Vous êtes la pièce manquante), les cinq acteurs clés de l'industrie invitent tous les entrepreneurs du monde entier ayant des solutions de construction innovantes à participer à l'édition de cette année en soumettant leurs projets du 19 mai au 26 juillet 2020. Les gagnants seront évalués dans cinq domaines d'opportunité au sein du secteur, allant des villes et bâtiments intelligents à l'optimisation de la gestion de la chaîne d'approvisionnement, la construction avec des matériaux ou méthodes innovants, l'optimisation de la productivité, l'efficacité et la qualité dans la gestion quotidienne des projets, entre autres.CEMEX Ventures, Ferrovial, Hilti, Leonard du groupe VINCI et NOVA de Saint-Gobain se sont réunis autour de l'édition 2020 du « Construction Startup Competition » afin d'apporter leur soutien à des start-up qui brisent les paradigmes de l'un des secteurs les moins digitalisés et les plus fragmentés. Ils uniront leur expertise et leurs ressources pour stimuler les start-up grâce à leur connaissance des infrastructures, des matériaux et des équipements, entre autres disciplines.Les personnes qui souhaitent participer peuvent s'inscrire sur la page web de CEMEX Ventures (https://www.cemexventures.com/startup-competition-2020/). Une fois que les cinq entreprises organisatrices auront évalué toutes les propositions, elles offriront aux start-up les plus prometteuses une série d'opportunités supplémentaires, allant d'ateliers à des projets pilotes ou des investissements. Pour cette quatrième édition du « Construction Startup Competition », les entreprises gagnantes seront invitées à Chicago, aux États-Unis, pour présenter leurs solutions à un public composé de leaders mondiaux de l'innovation, de l'investissement et de la construction, cet évènement devant en principe se tenir les 2 et 3 décembre 2020.L'implantation mondiale des cinq sociétés organisatrices permet aux start-up établies n'importe où dans le monde de participer au concours, leur donnant ainsi la possibilité d'étendre leurs activités à de nouveaux marchés géographiques. La position qu'occupent ces cinq leaders dans la chaîne de valeur de la construction offre aux participants une grande visibilité des défis auxquels l'industrie est confrontée, ainsi qu'un accès à un portefeuille actif de contacts importants. Ces éléments leur permettent de nouer des liens avec de nouveaux investisseurs et entreprises axés sur l'innovation. En outre, le concours offre aux participants la possibilité de tester et de mettre en œuvre leurs solutions avec l'un des cinq organisateurs.La forte montée en puissance des éditions précédentes - au sein desquelles le nombre de candidats a augmenté d'année en année - a permis de développer un écosystème de plus d'un millier de start-up, issues de plus de 80 pays, axées sur l'industrie de la construction. Le concours 2020 « Construction Startup Competition » vise à compléter une vision des nouvelles solutions émergentes dans l'industrie, à faciliter un examen efficace des opportunités d'investissement et à créer une communauté d'acteurs engagés à résoudre les défis de l'industrie d'un point de vue innovant, technologique et durable.Pour plus d'informations sur l'édition 2020 du « Construction Startup Competition », rendez-vous sur le site https://www.cemexventures.com/startup-competition-2020/.
Il y a 4 ans et 359 jours

Photographies de Jean-Christophe Ballot : l’autre visage de Paris confiné

Le photographe Jean-Christophe Ballot nous livre son récit photographique saisissant de la ville de Paris au temps du confinement, qu’il intitule « Paris. Paris silencieux, Paris déserté, Paris confiné, mais Paris éblouissant ! », en échos au discours du Général de Gaulle au lendemain de la libération de Paris en août 1944. L’exposition virtuelle est présentée par la galerie Galéa, sur le site Artsy. Les photographies de ces paysages urbains racontent l’autre visage du confinement :...
Il y a 4 ans et 359 jours

LIPPI fait confiance à BIMobject et à Polantis pour le développement et la publication de ses objets BIM

Pierre-Yves Laurent, Responsable de Marque chez LIPPI, fabricant français de portails et clôtures, revient sur les innovations produits et la démarche BIM de LIPPI. Du choix des matériaux à une proximité clients Créateur français d’Univers d’aménagements extérieurs innovants et inspirants à destination des professionnels, des particuliers et des collectivités, LIPPI conçoit et fabrique, depuis 1963, des portails, clôtures, mobiliers et accessoires colorés et modulables pour profiter des espaces en toute liberté . LIPPI a une politique de commercialisation omnicanale : Prescripteurs (architectes, bureaux d’études…), donneurs d’ordres Professionnels de la pose Paysagistes Clients sous enseignes (marchands de matériaux, grandes surfaces spécialisées) Réseaux de concessionnaire sous enseigne Lippi UniversZ Lippi LIPPI propose à la fois des gammes classiques de portails et clôtures, mais a su se démarquer avec des gammes plus sélectives et innovantes. LIPPI a défini une véritable stratégie de différenciation à forte valeur ajoutée pour ses clients suivant plusieurs axes : Être précurseur dans le BIM. LIPPI a été l’un des premiers fabricants de portails et clôtures à modéliser une partie de son portefeuille produits en BIM Avoir une véritable conscience environnementale, nous sommes un partenaire « éco-responsable » disposant de la triple certification ISO Qualité, Sécurité, Environnement, RSE (label Lucie). 17 gammes de nos produits sont labellisées « Origine France Garantie », label qui s’obtient difficilement auprès d’un organisme indépendant pour certifier l’origine française d’un produit. Cette responsabilité est pensée à chaque instant : la fabrication des produits est propre, le choix des matériaux, les emplois sont locaux, moins de rejets, moins de chutes, réduction des emballages… Proposer une forte personnalisation des produits les clôtures et portails sont fabriqués à la demande avec une palette de couleurs élargie de 30 couleurs. Les couleurs proposées par son partenaire AkzoNobel sont choisies par une designer interne et suivent les tendances pour illuminer les espaces. Lippi colors Proposer des services de qualité autour des produits, services clients, services après-vente BIM, un levier de performance et de mise en relation S’intéresser au BIM fut une évidence pour LIPPI. Il y a quelques années, les autres fabricants de clôtures ne disposaient pas de fichiers BIM, nous avons su être précurseur, nous démarquer en développant nos fichiers BIM. En effet, les clôtures et les portails font partie intégrante d’un bâtiment et de son environnement. L’objectif de LIPPI est d’embellir les extérieurs et créer un écrin pour les bâtiments.  Nous avons créé deux gammes de produits spécifiques, plus innovantes et adaptées aux besoins des prescripteurs.  Ces derniers sont attentifs à nos produits et nos solutions leur plaisent beaucoup. La volonté de LIPPI est à la fois d’embellir un bâtiment mais également la ville. Nous souhaitons développer la visibilité de nos produits, qu’ils soient connus, achetés et posés. Nous offrons des produits complémentaires, plus innovants à la clôture classique. En effet, les villes demandent des produits modernes, esthétiques, colorés tout en gardant des fonctionnalités techniques, sécuritaires et modulables de l’unicité visuelle et stylistique. Cela fait écho à notre raison d’être « Vivre heureux ensemble » C’est une fierté pour l’entreprise de voir les produits LIPPI dans des réalisations car les portails s’intègrent parfaitement au design, à l’esthétique du bâtiment. Le BIM renvoie une image moderne de nos produits. Nous avons choisi de développer une partie de notre gamme en BIM, les produits à forte valeur ajoutée esthétique et technique et notamment ceux qui intéressent le plus les architectes. Une fois nos produits en BIM, nous les avons publiés sur la plateforme Polantis et aujourd’hui sur BIMobject (Polantis appartient à BIMobject). Nous avons été très vite surpris par l’adoption de nos produits par les architectes, par le nombre de téléchargements et de vues de nos produits.  Nous avons gagné des marchés, des chantiers grâce au BIM : du fait de proposer des obejets BIM et d’être présent sur la plateforme Polantis et BIMobject. Les architectes nous contactent pour des demandes de prix. Polantis a su relayer une demande d’un architecte et nous avons conclu un important marché. En effet, proposer une bibliothèque d’objets BIM sur ces plateformes, permet à nos produits d’être au bon endroit, au bon moment. Tous les prescripteurs qui consultent BIMobject et Polantis peuvent nous contacter pour avoir des informations complémentaires sur nos produits. Nos produits gagnent en visibilité sur ces plateformes. Les plateformes de contenu BIM sont des vitrines de nos produits. Cette présence réduit l’action de prescription fastidieuse et souvent appliquée au mauvais moment avec les bureaux d’architectes. Maintenant, ils ont accès à notre bibliothèque quand ils en ont besoin. Cela est beaucoup plus efficient.  LIPPI sur le salon BIM World les 7 et 8 octobre ! Cette année, LIPPI participe au salon BIM World aux côtés de BIMobject et Polantis pour échanger directement avec les prescripteurs, donneurs d’ordre, collectivités et mieux comprendre leurs besoins. Une démonstration des produits BIM LIPPI aura lieu sur le stand BIMobject, stand G21/H20. BIMobject et LIPPI vous offrent l’entrée sur le salon avec le code : EXH-VIS-585275. Nouvelles dates pour le salon BIM World Paris cette année ! Découvrez les produits LIPPI disponibles pour  ARCHICAD, Revit, SketchUp et en IFC sur BIMobject; En savoir plus sur les produits LIPPI en visitant leur site internet.
Il y a 4 ans et 360 jours

Appel à projets pour la Biennale d’architecture de Seoul (SBAU 2021)

Un appel à projets international est lancé afin d’identifier les œuvres qui pourraient être présentées dans l’exposition « Thematic » et « Cities » de la Biennale d’architecture et d’urbanisme de Seoul (SBAU 2021) en Corée du sud. L’intention est de rassembler les travaux réalisés ou projetés dans une centaine de villes du monde entier. Jusqu’au 30 juin 2020. […] L’article Appel à projets pour la Biennale d’architecture de Seoul (SBAU 2021) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 362 jours

Valode&Pistre et Spacemaker signent un partenariat de R&D pour accroitre l'usage de l'IA dans l'immobilier

Spacemaker développe un logiciel qui permet à partir de l’analyse des données physiques d’un site, de la réglementation, et des facteurs environnementaux, d’optimiser le potentiel constructible d’un terrain et de faciliter les interactions entre promoteurs, architectes, bureaux d’études et collectivités lors des premières phases d’une opération (en particulier lors des études d’avant-projet).Connue pour ses réalisations spectaculaires et de grands chantiers tels que l'extension de la ville de Monaco, la tour Saint-Gobain, les fermes urbaines de Paris (sur le toit du Parc des expositions – Porte de Versailles), ou encore la rénovation de la Gare du Nord, l’agence Valode&Pistre utilise désormais la plateforme Saas de Spacemaker pour concevoir plus rapidement et plus efficacement plusieurs de ses projets résidentiels actuels. Pionnière dans l’utilisation d’outils numériques, ce partenariat est un nouvel atout pour le développement de l’agence et la réalisation de projets transformant.« Nous avons conscience chez Valode&Pistre que les nouvelles technologies créent de nouvelles opportunités et qu’elles ne sont pas un obstacle à la créativité architecturale et à la maitrise d’un projet, au contraire. L'intégration de l'IA aux études d'avant-projet est une étape logique dans l’évolution de notre activité. Nous sommes donc ravis de pouvoir contribuer au perfectionnement de la technologie Spacemaker qui va nous aider dans des contextes différents. Nous collaborons étroitement pour que les méthodes et outils nécessaires aux études d'avant-projet puissent gagner en efficacité. L’utilisation de l'IA et de la plateforme va nous permettre d'analyser pour chaque site plus de concepts en moins de temps, tout en nous permettant de disposer de nombreuses données pour renforcer nos prises de décision. » - Jean Pistre, co-dirigeant du Groupe Valode&PistreLes équipes de Valode&Pistre bénéficient d’une formation et d’un accompagnement dédié des équipes de Spacemaker, et collaborent pour adapter le logiciel aux spécificités culturelles et réglementaires françaises, perfectionner ses fonctions existantes et co-construire ses futures fonctionnalités. La valeur ajoutée de la connaissance des métiers de conception et BIM de Valode&Pistre permet à Spacemaker d’avoir une vue complète sur les besoins des concepteurs français dans ce contexte d’évolution des métiers et d’intégration des technologies.« Notre plateforme d'IA est la toute première du genre dédiée aux études d’avant-projet, il est donc important pour nous de poursuivre nos investissements dans la recherche et le développement. En tant que partenaire officiel en France, Valode&Pistre va nous faire profiter de leurs expériences et nous fournir des enseignements précieux pour continuer à adapter la solution aux besoins spécifiques des architectes français. Un partenariat avec une agence aussi connue et réputée est un atout pour continuer à être pertinent dans notre approche, développer efficacement notre produit et délivrer une véritable valeur-ajoutée à nos clients dans le monde entier » - Havard Haukeland, PDG de SpacemakerAvec ses solutions utilisant l’intelligence artificielle, Spacemaker entend répondre aux besoins de conception durable et plus rapide puisque certaines analyses nécessaires aux études d'avant projet qui nécessitaient auparavant plusieurs semaines, sont désormais délivrées en quelques minutes. En associant l’automatisation de données et la conception basée sur l'IA, Spacemaker ouvre la voie à une planification plus collaborative et transparente.
Il y a 4 ans et 363 jours

Exposition : Imagined, for uncertain times

Musées fermés, galeries éteintes et espaces culturels en berne : le moins que l’on puisse dire, c’est que ces derniers mois n’ont pas été les plus prolifiques pour les amateurs d’expositions. Heureusement, certains commissaires ne manquent pas de ressources et déjouent intelligemment les réglementations pour contenter les férus de design. Visite d’« Imagined, for uncertain times », une exposition 2.0 qui présente des pièces de design dans une scénographie imaginative virtuelle. Conçue par le studio américain soft-geometry, « Imagined, for uncertain times » rassemble un collectif de 11 designers indépendants venus des quatre coins du monde. L’idée de cette exposition virtuelle leur est venue suite à la première semaine de confinement qui a malheureusement bousculé tous les plans estivaux du studio : plus de salons, plus d’expositions, plus de commandes … Des contraintes extrêmes qui, loin de brider la créativité du duo composé de Utharaa L Zacharias et Palaash Chaudhary, les poussent au contraire à exploiter leur imagination afin de connecter les designers entre eux, grâce à l’utilisation des nouvelles technologies. Première expérience de commissariat du studio, l’exposition rassemble 11 studios, issus des coups de coeur de soft-geometry. Nous pouvons ainsi découvrir les œuvres d’Eimear Ryan de l’Argot Studio (Paris, France), de Laurids Gallée (Rotterdam, Pays-Bas), de Léa Mestres (Paris, France), de Benjamin Gillespie d’Ovuud (Philadeliphie, USA), de Supertoys Supertoys (Rotterdam, Pays-Bas), de Vidivixi (Mexico, Mexique), de Voukenas Petrides (New-York, USA) et de Yeon JinYoung (Séoul, Corée du Sud), toutes mises en scène grâce à une succession d’images 3D réalisées par Nicolas Canellas du SPOT Studio (Barcelone, Espagne). Ce dernier prend ainsi rapidement la place de Directeur artistique sur ce projet et imagine une galerie épurée et aérienne située en plein milieu d’un lac, uniquement habitée par les différents ouvrages des artistes. Un espace serein, hors du temps, qui invite à la déconnexion. Le nom de l’exposition, « Imagined, for uncertain times » renvoie également aux notions d’imaginaire et d’incertitude, concepts inévitables en cette période de pandémie. C’est sur ces deux idées que se sont penché les designers qui ont conçus des œuvres spécialement pour l’événement ou bien repensé certaines pièces existantes pour qu’elles s’inscrivent à la perfection dans cette expérience. Alors que de nombreux événements ont du être reportés – la Biennale d’architecture de Venise en tête de file –, l’initiative de soft-geometry permet de repenser les modèles d’exposition et de continuer à faire vivre le paysage culturel, malgré le confinement. Pour en savoir plus, visitez le site de soft-geometryPhotographies : Nicolas CanellasZoé Térouinard
Il y a 4 ans et 363 jours

Sol et solaire : un couple franco-allemand fécond

La compétitivité de l’énergie photovoltaïque passe par les centrales au sol. Cette leçon se dégage de la conférence donnée le 27 mai par l’Office franco-allemand pour la transition énergétique (Ofate), avec 250 participants. Malgré ses progrès technologiques, la filière reste handicapée par sa gourmandise foncière.
Il y a 4 ans et 364 jours

Webinaire "Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool" les 4 & 10 juin 2020

Un meilleur traitement des déchets issus des activités du secteur du bâtiment est aujourd’hui primordial. Engagé dans cette lutte, ROCKWOOL, leader de la production d’isolants en laine de roche, souhaite partager ses solutions en invitant les acteurs du bâtiment à découvrir comment mener à bien un chantier d’isolation de manière productive, durable et écologique. Rendez-vous les 4 et 10 juin prochains pour un webinaire special “Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool” !Dans le souci de répondre constamment aux besoins de la rénovation et de la construction neuve, le secteur du bâtiment consomme une quantité de ressources considérable. Résultat : une production annuelle de plus de 40 millions de tonnes de déchets. Pour autant, ce secteur constitue bien l’un des piliers des enjeux du développement durable et de la lutte contre le réchauffement climatique. Dès lors, quelles solutions sont mises à la disposition de ses acteurs pour assurer une meilleure gestion des déchets sur les chantiers ? Déjà sensible à ces enjeux, notamment à travers son programme de recyclage des déchets de chantiers ROCKCYCLE et animé par une volonté de transfert des connaissances, ROCKWOOL invite l’ensemble des acteurs du bâtiment souhaitant faire rimer leurs chantiers avec durabilité et écologie à participer à deux webinaires autour du thème « Durabilité et Recyclage des Solutions Rockwool », animé par Colas Lévêque, Responsable Prescription Nationale chez ROCKWOOL. Au programme, 2 sessions de 45 minutes vous attendent :Jeudi 4 juin à 11hMercredi 10 juin à 11hLors de ce webinaire vous découvrirez : Comment les isolants ROCKWOOL en laine de roche assurent une plus grande pérennité de l’ouvrage Comment les solutions ROCKWOOL contribuent à lutter contre le changement climatique, développer l’économie circulaire et assurer le bien-être des occupants Les services de recyclage de déchets proposés par ROCKWOOLPour s’inscrire, rien de plus facile, cliquez ici
Il y a 4 ans et 364 jours

Valérie Sfartz, Artibat : « Les exposants nous demandaient de nous positionner »

La directrice du salon Artibat explique sa décision de report de l’édition 2020, annoncée mardi 25 mai.
Il y a 5 ans et 0 jours

Le salon Artibat est reporté aux 13, 14 et 15 octobre 2021

Alors que le salon ARTIBAT était quasiment complet au mois de mars (+ de 800 exposants pour 40 000 visiteurs attendus), l'élan et l'énergie déployés par tous pour que cette édition soit exceptionnelle, ont été freinés net par la pandémie mondiale actuelle.Cette décision de report d'une année a été motivée avant tout par les retours des exposants inquiets de la tenue du salon dans un contexte économique compliqué et par les dispositions sanitaires qui devraient très certainement continuer à s'appliquer au mois d'octobre. Conditions sanitaires indispensables et nécessaires mais qui semblent trop contraignantes pour envisager sereinement un Salon ARTIBAT, basé sur l'échange, la proximité et la convivialité. Une recette qui a fait ses preuves depuis 32 ans déjà.Valérie Sfartz, Directrice du Salon ARTIBAT, précise : « Cette décision nous a semblé indispensable à prendre compte-tenu du contexte d'incertitude face à la reprise économique de l'ensemble de notre secteur d'activité comme aux conditions sanitaires à mettre en œuvre pour garantir la sécurité de tous. Nous avons également acté ce report dès à présent afin de permettre aux différents acteurs du salon (exposants et prestataires) de reporter leurs investissements pour la prochaine édition d'ARTIBAT.» Et de conclure : « Nous remercions tous nos exposants, nos partenaires presse, nos prestataires, les institutionnels et le Parc des Expositions de Rennes pour leur compréhension et leur soutien dans ce report. Nous aurons le plaisir de nous retrouver les 13, 14 et 15 octobre 2021 à Rennes, dans de meilleures circonstances, pour recharger les carnets de commande et vivre le salon ARTIBAT comme ce moment privilégié attendu de rencontres, de business et d'échanges. D'ici là, prenez bien soin de vous et bonne reprise à tous.»
Il y a 5 ans et 0 jours

Artibat, repoussé d’un an !

Le salon Artibat est reporté au mois d’octobre 2021. [©Artibat] Les feux étaient au vert pour le salon Artibat. Quasiment complet au mois de mars avec plus de de 800 exposants pour 40 000 visiteurs attendus. L’élan a été freiné net par la pandémie mondiale de Covid-19. Ceci vient d’obliger la Capeb Pays-de-Loire à reporter le salon d’une année, pour l’organiser du 13 au 15 octobre 2021… Cette décision de report a été motivée avant tout par les retours des exposants. Inquiets de la tenue du salon dans un contexte économique compliqué. Et par les dispositions sanitaires qui devraient très certainement continuer à s’appliquer au mois d’octobre. Conditions sanitaires indispensables et nécessaires, mais qui semblent trop contraignantes pour envisager sereinement un salon. Par définition basé sur l’échange, la proximité et la convivialité.  Rendez-vous en octobre 2021 « Cette décision nous a semblé indispensable à prendre, compte tenu du contexte d’incertitude. Aussi bien face à la reprise économique de l’ensemble de notre secteur d’activité, qu’aux conditions sanitaires à mettre en œuvre pour garantir la sécurité de tous. Nous avons aussi acté ce report dès à présent, afin de permettre aux différents acteurs du salon, exposants et prestataires, de reporter leurs investissements pour la prochaine édition », explique Valérie Sfartz, directrice du salon. Et de conclure : « Nous aurons le plaisir de nous retrouver les 13, 14 et 15 octobre 2021 à Rennes, dans de meilleures circonstances. Ceci, pour recharger les carnets de commande et vivre le salon Artibat comme ce moment privilégié attendu de rencontres, de business et d’échanges. D’ici là, prenez bien soin de vous et bonne reprise à tous ». 
Il y a 5 ans et 0 jours

Artibat reporté en 2021

COVID-19. Du fait de la crise sanitaire et de ses conséquences économiques, les organisateurs du salon Artibat, qui devait se tenir à Rennes en octobre prochain, ont annoncé aujourd'hui reporter cette édition à l'année prochaine.
Il y a 5 ans et 5 jours

Au Caire, l'installation de quatre sphinx antiques en pleine ville fait polémique

Vieux d'environ 3.500 ans, les sphinx à tête de bélier et corps de lion ont longtemps orné le temple de Karnak, dévolu au dieu Amon, l'une des principales divinités du panthéon égyptien.Leur transfert début mai sur la place Tahrir, épicentre de la révolte populaire de 2011, a été un déchirement pour certains Louxoriens."Je suis contre le transfert des statues. Ça m'attriste", a regretté Ahmed Idriss, un député du gouvernorat de Louxor."Louxor est un musée à ciel ouvert qu'il aurait mieux valu développer car la valeur des monuments est liée à leur emplacement historique", a-t-il ajouté.Les quatre pièces de grès ont été installées autour d'un obélisque de granite rose trois fois millénaire portant une représentation du roi Ramsès II, pharaon de la XIXe dynastie (1301-1236 avant J.-C.).Ce dernier avait été déplacé quelques mois plus tôt du site archéologique de Tanis, dans le delta du Nil."Objets inestimables"Ce projet urbanistique, lancé par les autorités en 2019, s'est attiré les foudres d'archéologues, de militants et d'universitaires, en raison notamment de l'exposition des pièces antiques à la pollution et à l'érosion.Fin 2019, une pétition demandant l'arrêt des travaux a été adressée au président Abdel Fattah al-Sissi.Invoquant la Convention de Venise (1964) pour la restauration et la préservation des monuments, les avocats du Centre égyptien pour les droits économiques et sociaux (ECSR), une ONG locale, ont même entamé une procédure judiciaire dénonçant la mise en danger "d'objets inestimables".La Convention de Venise a été adoptée par l'Unesco en 1974 et signée la même année par l'Égypte."L'importante pollution sur la place Tahrir va dégrader les objets (antiques)", qui risquent de perdre leur valeur historique, a mis en garde sur Facebook l'égyptologue Monica Hanna.Au cœur de la capitale égyptienne, la place Tahrir est très souvent embouteillée et enfumée.Tahrir héberge plusieurs bâtiments importants dont le musée égyptien, très prisé des touristes, où se trouvent des milliers d'objets antiques et le "Mogamma", un grand bâtiment de style soviétique qui abrite des services administratifs.C'est devant ce dernier que s'étaient réunis en janvier-février 2011 les manifestants de la révolte qui a balayé Hosni Moubarak, après 30 ans de règne.En décembre, M. Sissi annonçait que le transfert des statues sur la place la doterait d'une "touche de civilisation".Pourtant, "Tahrir", qui signifie "Libération", n'est pas dépourvue d'histoire aux yeux de l'architecte Ayman Badr."La place n'a pas besoin d'être décorée avec des éléments historiques (...) Sa valeur historique réside dans sa mémoire", estime-t-il.Entre autres transformations, les autorités prévoient d'unifier la couleur des façades qui entourent la place, d'ajouter de l'éclairage et de réduire le nombre de panneaux publicitaires.Face aux craintes de voir les statues vandalisées, le ministre du Tourisme Khaled al-Enany a affirmé que des piédestaux avaient été construits "afin que personne ne puisse les toucher" et assure que les nouveaux monuments de la place seront régulièrement entretenus.AttractivitéLa date d'inauguration de cette transformation symbolique reste inconnue --les sphinx et l'obélisque attendent sous emballages.Le patrimoine antique de l'Égypte constitue une source importante d'attractivité et alimente l'économie du tourisme, vitale pour le pays.Comme partout ailleurs dans le monde, ce secteur, qui représente 5% du PIB égyptien, est à l'arrêt depuis le début de la pandémie de nouveau coronavirus.En dépit des arguments officiels, M. Badr demeure perplexe quant au bien-fondé du nouvel agencement de la place.Selon lui, les sphinx et l'obélisque sont "éclipsés" par les imposantes constructions qui entourent la place.Mahmoud Zaki, guide touriste à Louxor, considère, lui, que les adversaires du projet "ne se rendent pas compte" de la gloire que représente la présence de ces œuvres sur "la plus célèbre des places d'Égypte".Un avis que partage l'expert en égyptologie Ali Abu Deshish: "Ça n'a pas de sens que des obélisques égyptiens se trouvent sur des places aux quatre coins du monde et qu'il n'y en ait pas sur Tahrir".
Il y a 5 ans et 6 jours

Dossier : Retour sur 5 expositions design de 2019

Alors que la plupart des musées et des galeries restent encore fermés durant cette période exceptionnelle de déconfinement, la rédaction de Muuuz revient sur cinq événements design qui ont marqué l’année 2019. « Fontaines » à la Galerie de SèvresSuite à sa résidence à la Manufacture de Sèvres, le jeune designer français Arthur Hoffner était célébré à la Galerie de Sèvres (1er arrondissement) du 19 juin au 28 septembre 2019. A l'occasion de cette manifestation, il réinventait une nouvelle fois la fontaine d'intérieur. . « Moderne Maharahag. Un mécène des années 1930 » au MADEn 2019, le MAD – ancien musée des arts décoratifs – rendait hommage au plus dandy des maharajah : Yeshwant Rao Holkar II. Amoureux de la modernité européenne, cet esthète venu d'Indore a construit le Palais Manik Bagh, premier édifice moderniste de la région. Quand raffinement oriental rencontrait l'avant-garde du Vieux Continent. . « Le monde nouveau de Charlotte Perriand » à la Fondation Louis VuittonDisparue il y a vingt ans, la designer et architecte Charlotte Perriand a fait l'objet d'une grande rétrospective à la Fondation Louis Vuitton en 2019. Longtemps demeurée dans l'ombre de ses confères masculins, Le Corbusier en tête de file, elle reprenait la place qui lui a toujours été due grâce à cette exposition d’ampleur. . « Utopia, art et design italiens » à la galerie Tornabuoni ArtA la galerie Tornabuoni Art (3ème arrondissement), la manifestation « Utopia, art et design italiens, imaginée par la galerie en collaboration avec l’architecte français Charles Zana, mettait à l’honneur l’effervescence créative dans l’Italie d’après-guerre. Cet événement inédit explorait ainsi les synergies entre art et design italiens. . « Éternel » à la Carpenters Workshop GalleryDans le vaste espace parisien de la Carpenters Workshop Gallery (4ème arrondissement), l’architecte-designer italien Vincenzo De Cotiis s’exposait pour la première fois en France. A l’occasion de cet accrochage monographique, il présentait des pièces d’exception, à la fois brutes et sensuelles, qui témoignaient de l'évolution de sa pratique du design vers l'art. La Rédaction
Il y a 5 ans et 6 jours

Exposition : Le Milieu est bleu

Au Palais de Tokyo, l’artiste plasticienne allemande Ulla von Brandenburg (née en 1974 à Karlsruhe) crée des mondes fictionnels marins et ruraux où elle accorde une grande place à l’imaginaire. Orchestrée par Ulla von Brandenburg en collaboration avec le commissaire Yoann Gourmel, l’exposition « Le Milieu est bleu », qui rassemble des installations, des performances, des projections, des sculptures, invite les visiteur·euse·s à plonger dans l’univers onirique si particulier de la plasticienne.Ulla von Brandenburg déploie dans le Palais de Tokyo des dispositifs immersifs et sensoriels inspirés du théâtre et de ses conventions. Dans le parcours, elle a fait le choix de dévoiler la verrière du toit habituellement dissimulée et définit cinq espaces avec des grands tissus, fabriqués par l’artiste elle-même ou récupérés à l’Opéra de Varsovie. « Le tissu me permet de camoufler, de cacher, d’habiller le cube blanc du musée et par là de changer les systèmes de valeurs et les cadres de pensée. J’utilise des tissus pour créer des espaces dans lesquels on peut prétendre se trouver ailleurs, tomber pour ainsi dire dans d’autres mondes », explique d'ailleurs Ulla von Brandenburg dans un entretien avec Merel van Tilburg. Ainsi, elle met en scène des mondes fantasmatiques étranges où les spectateur·euse·s deviennent acteur·rice·s des œuvres. Après la Whitechapel Gallery à Londres (2018-19) et le Musée régional d’art contemporain Occitanie à Sérignan (2019), Ulla von Brandenburg nous prouve une nouvelle fois que l’art est un théâtre, un divertissement à la fois ludique et didactique, accessible à toutes et à tous.  Pour en savoir plus, visitez le site du Palais de Tokyo. Photographies : Ulla von Brandenburg, Le milieu est bleu, 2020, vue de l’exposition « Le Milieu est bleu » d’Ulla von Brandenburg, Palais de Tokyo (21.02 – 01.09.2020) © Aurélien MoleLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 6 jours

Franklin Azzi : l’architecte sera l’invité de l’édition de septembre de Maison & Objet

L'architecte Franklon Azzi sera la guest star de l'édition 2020 de Maison & Objet. Les organisateurs ont confirmé le 13 mai dernier que le salon devrait... Cet article Franklin Azzi : l’architecte sera l’invité de l’édition de septembre de Maison & Objet est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 6 jours

Un ranch moderne récemment achevé dans une ancienne ferme de noix de pécan, au Texas

Fulshear, Texas. Une vaste résidence moderne composée de quatre bâtiments a récemment été construite sur une ancienne ferme de noix de pécan, à quelques kilomètres de Houston.David Wersebe, qui travaille dans le domaine de la redevance minière à Houston, a conçu lui-même le projet de plus de 550 m², développé sur le ranch familial de 85 hectars. Il a engagé un architecte pour établir les plans de construction.« À l'origine, j'ai construit cette maison pour moi. Si elle ne se vend pas, il est possible que je m'y installe », explique David Wersebe. « Nous aimerions la vendre aux alentours de 3 millions de dollars, ce qui est envisageable au vu de la culture équestre particulièrement importante ici. »La demeure, actuellement sur le marché, mêle des éléments de son site d'origine, un verger de pacaniers, avec des matériaux complémentaires à cet environnement. Du calcaire texan et des poutres provenant d'une grange amish vieille de 200 ans, tous deux taillés à la main, encadrent la vaste entrée, tandis que de grandes fenêtres métalliques sur mesure ouvrent sur un paysage naturel. Le bois durable modifié Kebony Character, spécifié comme revêtement pour les quatre façades, reflète la dimension naturelle mais moderne de la maison.« Le revêtement en bois Kebony fonctionne extrêmement bien sur ce projet », souligne David Wersebe. « Le fait que le bois prenne une patine gris argenté au fil du temps lui permet de se fondre harmonieusement dans son environnement. »La maison est organisée autour de quatre « capsules » distinctes : la capsule centrale accueille le salon, la cuisine et les autres espaces partagés ; les capsules nord et sud comprennent respectivement les chambres d'amis et la suite principale. Un garage climatisé distinct peut accueillir quatre voitures et comprend une porte de hangar qui ouvre sur un auvent, deux espaces de travail surélevés, ainsi qu'une terrasse d'observation sur le toit.Les quatre structures sont couvertes de métal, et comportent des auvents conçus sur mesure avec des treillis irrigués. La capsule centrale abrite un salon en chêne blanc sur deux étages, couronné d'un plafond cathédral ; son porche arrière comprend une terrasse en porte-à-faux surplombant le lac Lucille, avec un patio couvert et une cheminée à bois. Un pont à ossature en acier et à parois vitrées, offrant une vue imprenable, mène à la suite principale. Cette maison unique en son genre est entourée de terrains de polo et d'installations équestres.* La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 5 ans et 7 jours

Julien Denormandie annonce "72% de reprise d'activité sur les chantiers"

Dans le secteur du bâtiment, "l'activité repart. (...) Ce matin, nous sommes à 72% de reprise d'activité" selon les chiffres des fédérations, a dit Julien Denormandie pendant Le Grand Rendez-vous d'Europe 1/CNews/Les Echos dimanche. Depuis la fin du confinement lundi 11 mai, le gouvernement met l'accent sur ce secteur pour incarner la reprise économique à laquelle il souhaite assister.M. Denormandie avait annoncé mardi sur BFMTV qu'il visait l'objectif d'une "reprise de tous les chantiers avant la fin du mois" alors que cette proportion n'était que d'un gros tiers début avril.Un objectif "illusoire" selon le président de la Fédération française du bâtiment (FFB), interrogé en début de semaine par l'AFP. Pour lui, les freins ne sont "pas du fait des entreprises, mais des clients qui ne peuvent pas ou ne veulent pas" reprendre dans l'immédiat les travaux pour des raisons sanitaires, ou de la nécessité de renégocier les contrats en raison de coûts supplémentaires.
Il y a 5 ans et 7 jours

La Biennale d'architecture de Venise repoussée à 2021

"La décision de repousser à mai 2021 la Biennale d'architecture est due à la constatation de l'impossibilité de réaliser, dans les délais nécessaires, une exposition aussi complexe d'envergure mondiale", expliquent-ils dans un communiqué.Cette biennale, intitulée "Comment allons nous vivre ensemble?" (How will we live together?) se déroulera du 22 mai au 21 novembre 2021."Ces derniers jours ont clarifié la réalité que nous affrontons", a déclaré Roberto Cicutto, président de la Biennale de Venise qui chapeaute plusieurs événements, notamment le plus célèbre, la Mostra du cinéma."Avec le plus grand respect pour le travail fourni par tous, les investissements réalisés par les participants et considérant les difficultés que connaissent tous les pays (...) nous avons décidé d'écouter ceux, et ils sont la majorité, qui ont demandé le report de la Biennale d'architecture", a ajouté M. Cicutto.Venise accueille en alternance une biennale d'art contemporain, les années impaires, et une biennale d'architecture les années paires. Cet ordre sera donc inversé dans les deux prochaines années puisque l'art contemporain sera accueilli par la Cité des Doges en 2022. Créé en 1893, la Biennale d'architecture est considérée comme une des plus prestigieuses manifestations artistiques en Europe et dans le monde.La Mostra a, en revanche, confirmé il y a un mois qu'elle se tiendrait comme prévu du 2 au 12 septembre prochain.
Il y a 5 ans et 7 jours

2M26 : La Petite Maison

Nichée dans la prairie, La Petite Maison de 2M26 n’a pourtant rien du logement de Charles Ingalls et de sa famille. Résidence secondaire perdue dans la verdure, l’ensemble utilise le bois d’une façon résolument contemporaine. Retour sur un petit édifice qui a tout d’un grand. Conçue par le studio de création basée à Kyoto, La Petite Maison est une maison d’hôtes située en Charente Maritime, dans la petite commune de Guitinières. Un site bucolique où coexistent des champs, un bois et un verger que les architectes ont tenu à préserver au maximum grâce à une empreinte réduite et l’usage de matériaux locaux et recyclables. Construite sur site – avec l’aide des propriétaires – à partir d'un socle de béton, la structure est réalisée à base de planches de Douglas. La maison de bois d'une surface de 35 mètres carrés est fermée par deux couches de portes et de volets coulissants, protégeant des vents parfois violent de la région. Une présence massive d’ouvertures sur le paysage qui promet également de nombreuses variations de vues sur l’environnement.« Dans un espace minimum, nous offrons de nombreuses possibilités pour ouvrir la maison aux alentours, au soleil et à l’air. » 2M26A l’intérieur de cette résidence pensée pour deux personnes, quatre pièces cloisonnées par des écrans mobiles comprennent notamment un patio sans toit couvert, offrant à cet espace de vie un éclairage zénithal sans pareil. Dans la partie salon, le mobilier, également signé 2M26, fait la part belle au bois de sapin Douglas de la région grâce à une interprétation contemporaine de ce matériau plein de possibilités.Une invitation à la contemplation. Pour en savoir plus, visitez le site de 2M26Photographies : DRZoé Térouinard
Il y a 5 ans et 7 jours

La Biennale de Venise 2020 se tiendra en 2021

Déjà décalée de plusieurs mois pour faire face à la crise sanitaire, l'inauguration de la prochaine Biennale internationale d'architecture de Venise est finalement reportée à mai 2021. Les architectes du monde entier avaient bon espoir de redécouvrir la Sérénissime en août 2020. Le coronavirus aura finalement […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 8 jours

EnerJ-meeting Lyon : rendez-vous le 17 novembre 2020

EVENEMENT. La deuxième édition d'EnerJ-meeting en région se tiendra à Lyon, le 17 novembre 2020, au palais de la bourse. Au programme, conférences, networking, exposition des innovations et rendez-vous d'affaires.
Il y a 5 ans et 8 jours

Audi talents 2020 : Les lauréats

Créé en 2007 par Audi France, le programme de soutien à la jeune création Audi talents récompense chaque année plusieurs artistes émergents. Après une délibération virtuelle, le jury pluridisciplinaire indépendant a annoncé les lauréats de l’édition 2020. On vous dévoile les trois projets retenus, qui seront prochainement exposés au Palais de Tokyo. Marie-Sarah Adenis, Ce qui tient à un filDiplômée de l’ENS-Ulm (2009) et de l’ENSCI-Les Ateliers (2017), la biologiste-designeuse Marie-Sarah Adenis part de la biologie pour développer des projets innovants. Avec Ce qui tient à un fil, elle propose une réflexion sur le génome en nous plongeant dans une nature génomique, de « la forêt chromosomique » au « jardin des hélices ». . Charlie Aubry, P3.450Après des études aux Beaux-Arts de Toulouse, Charlie Aubry décide d’associer travail sonore et travail plastique en détournant des objets quotidiens divers. Avec son projet P3.450, le jeune artiste nous propulse vers un futur proche, où les données collectées virtuellement par une intelligence artificielle deviennent matérielles. Son œuvre dystopique questionne ainsi les conséquences des nouvelles technologies sur notre vie. . Henri Frachon et Antoine Lecharny, Abstract design manifestoHenri Frachon et Antoine Lecharny, deux designers industriels formés à l’ENSCI-Les Ateliers, réinventent le design en imaginant une exposition inaugurale célébrant un design abstrait et conceptuel. Dans Abstract design manifesto, le duo réinvente le design en reformulant les codes et les usages de la discipline. Pour en savoir plus, visitez le site d’Audi talents. Photographies : 1) Marie-Sarah Adenis, Ce qui tient à un fil © Marie-Sarah Adenis et Paul Bonlarron2) Charlie Aubry, P3.450 © Charlie Aubry3) Henri Frachon et Antoine Lecharny, Abstract design manifesto © Henri Frachon et Antoine LecharnyLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 8 jours

Le DLR reporte son congrès à avril 2021

Le congrès DLR a été reporté à avril 2021, toujours à Nice, en raison de la pandémie du Covid-19. [©DR] La crise sanitaire actuelle continue de faire reculer la bonne tenue de salons. Ainsi, prévu à l’origine les 26 et 27 mars derniers à Nice, le congrès DLR a été annulé. Mais bien entendu, ce n’est que partie remise. La prochaine édition du rendez-vous annuel de la fédération des matériels de construction et de manutention est, d’ores et déjà, programmée les 1er et 2 avril 2021. Toujours à Nice. « Ce rendez-vous majeur des acteurs de la filière sera l’occasion de se retrouver et de dresser le bilan. Ceci, après la longue période de confinement, de désorganisation et de reprise de l’activité qu’auront alors traversé le pays et la profession », indique la fédération. Par ailleurs, le conseil d’administration de DLR a décidé de tenir son assemblée générale par voie dématérialisée, le 19 juin prochain. Enfin, il a reporté l’élection de son futur président à 2021. Bertand Carret, qui préside la fédération depuis 4 ans, ayant accepté de poursuivre son mandat jusqu’à cette date…
Il y a 5 ans et 8 jours

Penser la dignité des personnes âgées, par Dominique Coulon & associés

Déjà décalée de plusieurs mois pour faire face à la crise sanitaire, l'inauguration de la prochaine Biennale internationale d'architecture de Venise est finalement reportée à mai 2021. Les architectes du monde entier avaient bon espoir de redécouvrir la Sérénissime en août 2020. Le coronavirus aura finalement […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 8 jours

Architect@Work Lyon reporté en 2021 !

Le salon Architect@Work Lyon est reporté, pour la seconde fois, au jeudi 3 et vendredi 4 juin 2021, sous les même conditions et configuration. Cet article Architect@Work Lyon reporté en 2021 ! est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 9 jours

La Biennale de Venise à nouveau reportée en 2021

La Biennale de Venise annonce que la 17e exposition internationale d’architecture – « How will we live together ? » est reportée à 2021, du samedi 22 mai au dimanche 21 novembre. La Biennale de Venise avait annoncé en mars dernier un premier report de la date d’ouverture de l’exposition internationale d’architecture, en raison de la crise sanitaire mondiale liée au Covid-19. La Biennale d'architecture de Venise, initialement prévue du 23 mai au 29 novembre 2020, devait ouvrir...
Il y a 5 ans et 11 jours

Comment mieux isoler son domicile contre le bruit ?

Le bruit que font les enfants, la télévision allumée à toute heure ou la pratique du sport dans le salon augmentent le bruit dans les maisons, ce qui rend le travail à domicile plus difficile. Ne pas disposer d’un bon confort acoustique peut réduire notre concentration jusqu'à 48%, comme le souligne ROCKWOOL, leader de la fabrication d’isolants en laine de roche, un matériau durable et recyclable.Nous avons en tête que notre santé ne dépend que du régime alimentaire ou de l'exercice physique que nous faisons. Pourtant, un environnement bruyant peut causer, par exemple, des problèmes cardiaques. De plus, le bruit augmente le stress de 27% et diminue la productivité de 12%. Face à cette situation, améliorer l'acoustique des bâtiments en utilisant une isolation en laine de roche est une bonne méthode, car elle agit comme une barrière antibruit, isole et contrôle les vibrations. En raison de ses propriétés, ce matériau réduit l'impact acoustique provenant de l'extérieur ou du bâtiment lui-même.Le bruit, une nuisance invisibleLorsque nous choisissons une maison, nous le faisons en fonction du prix, de l'emplacement et des critères esthétiques, mais nous ne tenons généralement pas compte du confort acoustique qu'elle peut offrir. En réalité, c'est essentiel, car nous passons la majeure partie de notre temps à l'intérieur ; aujourd’hui, avec le confinement, ce phénomène a augmenté. Par conséquent, il est essentiel de miser sur des bâtiments durables, sûrs et confortables, pour ainsi augmenter la qualité de vie.La laine de roche, qui est au cœur des produits ROCKWOOL, est un matériau isolant et versatile qui absorbe le bruit. Son utilisation vous permet d’éviter d’entendre les pas des voisins sur le sol, les conversations dans la pièce d’à côté ou le déplacement de meubles, entre autres. Par conséquent, isoler correctement son logement est nécessaire pour se concentrer, être plus efficace au travail et être plus détendu.Comment isoler son appartement si les co-propriétaires s'opposent à la rénovation de l'immeuble ?Il n'est pas facile de convenir avec les voisins d'effectuer des travaux dans le bâtiment. Pour isoler votre appartement lorsque les voisins s'opposent à la réhabilitation complète du bâtiment, vous pouvez avoir recours à l'isolation par l'intérieur. Grâce à cette technique, il est possible de rénover uniquement l’appartement lui-même afin d’améliorer son confort acoustique et thermique. L'isolation en laine de roche, en raison de sa densité élevée est extrêmement résistante à la circulation de l'air, ce qui réduit et absorbe le bruit, rendant calmes les espaces auparavant bruyants.
Il y a 5 ans et 11 jours

Dossier : 6 architectures ayant défrayé la chronique

Comme l’art contemporain, l’architecture comprend elle aussi son lot de débâcles. Entre architectes avant-gardistes et public retissant, la discipline est parfois teintée de scandale. Cette semaine, Muuuz vous propose un retour en images sur les ouvrages les plus décriés de ces dernières années. La canopée des Halles, Patrick Berger et Jacques Anziutti, 2016Nous avons tous connu le quartier des Halles en travaux, centre névralgique de la capitale pourtant impraticable. Mais depuis 2016, le « ventre de Paris » est dotée d’une structure mi-excavé, mi-surhaussé comparée à une « vulgaire soucoupe volante » par les habitants du quartier. Jack Lang, ancien Ministre de la Culture et actuel président de l’Institut du monde arabe, qualifiera même l’ouvrage de « crime contre la beauté ». Un ouvrage qui divise les foules depuis désormais 4 ans. . La Tour Orbit, Anish Kapoor et Cecil Balmond, 2012Surnommée la « tour Eiffel ivre » par les britanniques, la tour Orbit s’élève à 115 mètres de haut dans le paysage londonien. Dessinée à l’occasion des Jeux Olympiques de 2012 par l’artiste fantasque Anish Kapoor et l’ingénieur Cecil Balmond, le moins que l’on puisse dire c’est que la réception de l’ouvrage a été plutôt mauvaise. Comme celle de la Tour Eiffel, souligne d’ailleurs Kapoor, malicieux. . La Pyramide du Louvre, Ieoh Ming Pei, 1985-1989En 1983, le président de la République François Mitterrand confie la construction du hall d’entrée du musée du Louvre à l’architecte sino-américain Ieoh Ming Pei. Lorsque l’architecte visionnaire présente son idée de structure pyramidale transparente à la Commission nationale des monuments historiques en 1984, le projet suscite la polémique. Inspirée par les monuments funéraires égyptiens, la Pyramide du Louvre destiné à accueillir les nombreux visiteurs du musée est fortement critiquée. En 1985, le maire de Paris Jacques Chirac propose de simuler la pyramide pour apaiser la controverse. Lors de l’inauguration de la Pyramide du Louvre au grand public en 1989, l’œuvre semble avoir déjà été adoptée par les Parisiens. . La Torre Agbar, Jean Nouvel, 2005Immeuble de bureaux indissociable de la skyline de Barcelone (Espagne), la Torre Agbar ne fait pas l’unanimité. Alors que Jean Nouvel assure s’être inspiré des montagnes de Montserrat et des geysers, les espagnols l’appellent entre eux « el supositori », soit le suppositoire. On est loin de la poésie des paysages géologiques catalans... .  MAXXI, Zaha Hadid, 2002-2009L’architecte irako-britannique Zaha Hadid remporte le concours d’architecture lancé par le maire de Rome Francesco Rutelli en 1998 grâce à son projet de bâtiment spectaculaire voué à abriter MAXXI, le musée national des arts du XXIème siècle. La construction du monument est longue. Son coût faramineux. Très controversé par les Italiens, l’édifice valu pourtant à l’architecte de décrocher le prix Stirling en 2010. . Le Centre Pompidou, Gianfranco Franchini, Renzo Piano et Richard Rogers, 1971-1977Lieu culturel désormais iconique, le Centre Pompidou a été très controversé tout au long des années 1970. En 1969, le président de la République Georges Pompidou lance un concours international car il souhaite faire construire un centre national d’art et de culture sur le plateau Beaubourg, situé en plein cœur du Marais. Le projet audacieux et résolument contemporain des trois architectes, Gianfranco Franchini, Renzo Piano et Richard Rogers, est sélectionné par le jury. Durant la construction du bâtiment, et même après son inauguration en 1977, l’édifice provoque de virulents débats. Comparé à « une raffinerie de pétrole », « un hangar » ou « un tas de ferrailles » par ses détracteurs, ce nouveau complexe architectural divise la scène artistique française. Aujourd’hui, le Centre Pompidou est un monument incontournable de la capitale, et la marque s’exporte à l’international. La Rédaction
Il y a 5 ans et 11 jours

Du mobilier urbain en bambou à Marseille

Depuis quelques mois, un ensemble de petits mobiliers urbains parés de bambou orne la cité phocéenne pour le confort de ses habitants.  Dessinées par l’agence D&A (Devillers et Associés) développées, fabriquées et posées par la société SERI, leader du petit mobilier urbain, ces structures modulables allient solidité et élégance d’une structure en acier et d’une assise en bambou MOSO®. Baptisée PACHA, la nouvelle gamme de mobiliers modulables comprend une table de pique-nique, des bancs et banquettes, des chaises et tables basses dans un style contemporain, voire intemporel, aux finitions qualitatives et naturelles.  Une solution technique autour de l’acier et du bambou Développée dans le cadre d’un appel d’offres, la gamme de petits mobiliers urbains baptisée PACHA représente une solution pérenne pour résister aux intempéries sans accuser les outrages du temps. « L’entretien constitue l’un des points sensibles d’une assise et nous recherchions un matériau performant qui puisse répondre à cette problématique. Nous avons développé en collaboration avec l’agence D&A une solution technique fabriquée en France qui se démarque par la qualité du piétement en acier et de l’assise en bambou MOSO®, un matériau durable avec une longévité exceptionnelle. Cette solution s’est démarquée sur un certain nombre de points, en particulier la résistance et la durabilité qu’elle peut offrir avec une classe d’emploi 4, mais également sa dureté qui permet par exemple, de minimiser la taille du renfort central du banc, et ainsi, de gagner en esthétisme. » commente Stanislas PHILIPPE, Directeur Commercial chez SERI. Un procédé naturel et unique de thermo-traitement à 200°C appliqué sur la gamme MOSO® Bamboo X-treme® lui confère la plus haute classe de durabilité possible selon les normes européennes. L’un des grands avantages concerne son faible entretien. Etant donné que les propriétés ignifuges sont obtenues par le procédé de haute densité et le procédé thermique, il n’est pas nécessaire de procéder à un traitement ultérieur pour conserver ses caractéristiques. Résistants aux intempéries, les tasseaux Bamboo X-treme® sont également moins sensibles au vandalisme que de nombreux bois d’usage courant grâce à leur dureté. Enfin, la gamme PACHA a été créée avec une seule section de carrelets Bamboo X-treme (40*60) ce qui facilite l’entretien des différents mobiliers. Le choix de la solidité et de la performance environnementale Le choix du bambou MOSO® fait également écho au modèle de fabrication vertueux de SERI. Grâce à sa croissance rapide (jusqu’à 1m par jour) mais aussi parce qu’il dispose de propriétés avantageuses et supérieures à la majorité des bois, le bambou MOSO® est l’une des alternatives les plus prometteuses pour le développement durable. Sa culture ne provoque pas de déforestation et durant sa croissance, le bambou MOSO® capte plus de CO2 que l’émission produite durant l’ensemble de sa production et de son transport. Les bambous MOSO® ont un bilan carbone neutre sur l’ensemble de leur cycle de vie. Le bambou MOSO® est également facile à recycler, il peut être utilisé comme matière première pour faire des panneaux agglomérés ou brûlé dans une centrale d’énergie thermique ou dans un site de biomasse pour produire l’électricité. Enfin, fabriqués dans des usines ISO 9001 et ISO 14001, les produits sont conformes aux normes les plus strictes en matière de qualité, de sécurité et de protection de l’environnement.   À propos de D&A (Devillers & Associés) Fondée par Christian Devillers, Equerre d’Argent, Grand Prix de l’urbanisme, l’agence D&A dispose de compétences diversifiées pour répondre de façon globale et à toutes les échelles aux demandes de la ville d’aujourd’hui dans une dynamique multiscalaire et multidisciplinaire : du grand territoire aux villes et aux quartiers en renouvellement ou en reconversion, du traitement paysager et urbain des infrastructures de transport aux ouvrages d’art et de l’architecture … au mobilier urbain ! À propos de SERI La société SERI, issue des fonderies de Châtellerault, a été créée en 1921 par Jean LENOIR. Forte d’une expérience acquise dans la fabrication de produits industriels de grande qualité et toujours à l’écoute de son environnement, l’entreprise a développé son savoir-faire pour devenir depuis 1979 la référence comme concepteur et fabricant de mobilier urbain. Aujourd’hui, les collectivités locales, les bureaux d’études, les architectes et designers reconnaissent les compétences de SERI pour la conception et la fabrication industrielle de mobiliers urbains. SERI est considéré comme le spécialiste des grands aménagements urbains. www.seri.fr À propos de Moso Avec une expérience de près de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 80 collaborateurs au total. www.moso.eu/fr  
Il y a 5 ans et 12 jours

Le plan d'économies du groupe ADP réévalué à 450 millions d'euros

"Nous avons présenté [mardi] au conseil d'administration un plan d'économies qui pourrait être au total pour le groupe de 450 millions d'euros, dont 293 millions pour ADP SA (qui regroupe Orly, Paris-Charles-de-Gaulle, NDLR), ceci incluant l'activité partielle pour environ 75 millions d'euros", a indiqué M. de Romanet lors de l'Assemblée générale du groupe qui s'est tenue en visio-conférence.Fin mars, ces économies avaient été évaluées à "375 millions dont 230 millions pour ADP SA", a-t-il ajouté.Pour réduire ses coûts de fonctionnement, ADP a fermé début avril et pour une durée indéterminée l'aéroport d'Orly et regroupé l'ensemble des activités à CDG, au nord de Paris.Neuf compagnies aériennes basées à l'aéroport du sud de la région parisienne ont demandé à l'État, dans une lettre ouverte, de fixer au 26 juin la date de réouverture de l'aéroport."Il est hors de question de fermer Orly par principe, même si ça nous fait beaucoup d'économies, mais nous ne pouvons pas rouvrir Orly pour un tout petit nombre de lignes aériennes", a indiqué M. de Romanet mardi, précisant qu'ADP étudiait "avec toutes les parties prenantes les paramètres qui [leur] permettraient de rouvrir dans les meilleures conditions".Selon M. de Romanet, à partir du 1er avril, la baisse du trafic passager "s'est élevé à -98% dans la quasi-totalité" des quelque 25 aéroports que gère le groupe, directement ou indirectement, dans le monde.La reprise du trafic "pourrait commencer au mois de juin", mais atteindrait "50 à 60% du trafic habituel simplement à l'automne", a-t-il ajouté. Sur la base d'une baisse du trafic entre 55 et 65% en 2020, le chiffre d'affaires du groupe, qui avait atteint 4,7 milliards d'euros en 2019 s'établirait entre 2 et 2,5 milliards, a-t-il ajouté, rappelant que la trésorerie du groupe s'élevait à 1,4 milliard d'euros au 31 mars avant le placement d'un emprunt obligataire de 2,5 milliards d'euros."Le groupe est bien armé pour faire face en termes de liquidités à cette rupture en termes de trafic aérien", a assuré M. de Romanet.
Il y a 5 ans et 13 jours

Le ministère du Travail publie un guide du télétravail

"Pour réussir le #déconfinement, les entreprises doivent recourir au maximum au #teletravail. Après avis des partenaires sociaux, nous publions ce jour un guide pour aider les entreprises et les salariés dans cette organisation du travail", a tweeté la ministre Muriel Pénicaud.Ce guide sera destiné aux "entreprises qui jusqu'ici n'étaient pas habituées au télétravail et qui n'avaient pas mis en place d'accord et de charte, qui ne savent pas toujours comment organiser le télétravail", avait expliqué la ministre jeudi lors de la conférence de presse d'Édouard Philippe sur le déconfinement.Selon le ministère, environ cinq millions de personnes sont en télétravail actuellement."Nous comptons aussi sur la responsabilité de chaque entreprise en particulier pour continuer à recourir au télétravail au maximum de ce qui est possible et tout particulièrement en Ile-de-France où c'est crucial", avait-elle ajouté.Des responsables syndicaux ont critiqué cette initiative car ils souhaitent garder la main sur un tel guide et réfléchissent également à l'organisation d'une négociation interprofessionnelle sur le télétravail."Si le résultat de la négociation arrive en septembre-octobre, c'est intéressant pour le futur mais ce ne sera pas opérationnel pour la phase qui vient", leur avait répondu Muriel Pénicaud.
Il y a 5 ans et 13 jours

«L’installation des conseils municipaux est un soulagement», Nicolas Isnard, maire de Salon-de-Provence

Réélu dès le premier tour des municipales, Nicolas Isnard (LR), maire de Salon-de-Provence, ville des Bouches-du-Rhône de 44 836 habitants et commune-membre de la métropole Aix-Marseille Provence, salue la décision de l’Etat d’installer les conseils municipaux. Elle permettra à la commune de participer à la relance économique en utilisant notamment le levier de la commande publique.
Il y a 5 ans et 13 jours

Rencontre avec : Alexia Chevrollier

Après avoir obtenu son DNSEP à l'École Nationale Supérieure d'Art de Dijon (2012), l’artiste Alexia Chevrollier a étudié la philosophie à l’université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis (2014-16), puis l’esthétique à l'université Paris-Sorbonne (2016-18). Alexia Chevrollier mêle depuis pratique artistique et réflexions théoriques. Rencontre avec une jeune plasticienne qui « met en scène » les matières. Muuuz : Quand je vous ai rencontrée, j’ai découvert des peintures, des sculptures, des vidéos, des photographies, où il est toujours question de matières. Pouvez-vous nous parler un peu de votre pratique éclectique ?Alexia Chevrollier : Mon travail peut être défini par la notion de mouvement. Il n’est pas figé dans le temps ni dans une seule et même pratique. Je refuse de répondre à une technicité car je privilégie les matériaux. J’aime me définir comme une metteuse en scène de matières plutôt que comme une artiste plasticienne. Dans mes œuvres, je mets en scène les matières comme un metteur en scène dirige les corps. Je cherche toujours à révéler toutes les qualités des matériaux. Pour décrire votre processus de création, vous parlez d’une « déréalisation de la matière ». Qu’est-ce que cela signifie ? J’emploie l’expression « déréalisation de la matière » pour décrire mon travail autour de la rouille, qui est à la fois pictural et sculptural. Quand on est sculpteur, on utilise souvent des matériaux qui doivent être pérennes, car il y a une notion d’élévation et de construction. À partir de ce constat, je me suis demandée comment un matériau robuste comme le métal pouvait s’exprimer autrement, et j’ai choisi de déconstruire les propriétés mêmes de la matière en la rendant liquide. La « déréalisation de la matière » permet ainsi de détourner la robustesse première du métal. Comment sont nées vos peintures qui « déréalisent la matière » ? Mon désir de « déréaliser de la matière » vient de plusieurs cheminements de pensée. L’idée est d’abord d’inverser la qualité propre d’un matériau. Mais il y a aussi une part de hasard. Un jour, les jus d’oxyde de fer que je conservais dans des boîtes métalliques ont attaqué leurs contenants et se sont répandus sur le sol de mon atelier. J’ai alors pris des feuilles et des chutes de toile pour éponger le liquide. Les œuvres issues de cet événement fortuit sont à la fois métalliques et organiques. J’ai depuis développé cette pratique de peinture de rouille. Je me suis aussi inspirée des usines abandonnées. J’aime pouvoir imaginer les vies antérieures d’un lieu. Le métal est très présent dans les anciennes usines, des casiers aux tableaux électriques. Dans les usines en friche, on observe souvent des coulures de rouille qui évoquent le passage du temps. Mes peintures réalisées avec du jus de rouille sont des faux-semblants d’acier Corten, un acier auto-patiné utilisé par l’artiste Richard Serra dans ses sculptures, mais elles ne sont pas vraiment des peintures. Ce sont des œuvres de sculptrice plutôt que de peintre. Elles évoluent car elles s’oxydent en fonction de la teneur en oxygène et du taux d’humidité du lieu. Ces toiles réagissent constamment avec leur environnement, ce qui les rapproche encore une fois de la sculpture. À l’inverse, dans mon travail de jus de rouille sur toile libre, on s’éloigne des toiles de métal semblables à des plaques d’acier Corten. J’aime peindre ces toiles désincarnées par terre dans mon atelier. En les peignant au sol, je ne mets pas de distance entre mon corps et la toile. Une fois que la toile est sèche, je la mets en scène en la pendant au mur, ou en la plaçant sur des barres métalliques. J’aime inscrire le sol de mon atelier dans ma toile. L’atelier est le lieu caché de l’artiste, le support de toutes ses erreurs et de toutes ses réussites. Je laisse une empreinte, celle de mon atelier, mais aussi toutes celles des ouvriers et des artistes qui ont travaillé dans ce lieu avant moi. J’aime évoquer les histoires des espaces vécus dans mes peintures. Dans votre œuvre, l’artisan occupe une place centrale. Pouvez-vous nous expliquez votre démarche ? L’artisan occupe effectivement une place très importante dans mon œuvre. Je suis fascinée par les artisans. Je valorise la collaboration avec l’artisan car je refuse d’être commanditaire d’un savoir-faire. Je suis plus intéressée par la réaction de la matière que par le geste de l’artisan. Lorsque je travaille avec un artisan, je lui demande de sortir de son savoir-faire contrôlé en l’emmenant vers des positions d’inconfort. Je deviens alors « chorégraphe » de sa gestuelle. Que signifie pour vous ce travail collectif ? Ce travail collectif est très important pour moi. Je ne prétends pas apprendre un nouveau savoir-faire. J’ai envie d’être surprise et de rester assez naïve devant une matière. J’aime conduire l’artisan vers un terrain qu’il ne connaît pas, une situation qu’il ne maîtrise pas. J’ose espérer que mon intervention marque aussi les artisans. Quelle relation entretenez-vous avec les artisans avec lesquels vous collaborez ? Les considérez-vous comme des artistes ? L’artisan n’est pas à mon service. Nous sommes tous les deux au service de la matière. J’aime le hasard de la rencontre avec chaque artisan. Par exemple, quand j’ai commencé à travailler avec le maître verrier Stéphane Pelletier de l’Atelier Gamil, il y a tout de suite eu une complicité. J’ai d’ailleurs réalisé de nombreuses œuvres avec lui, notamment Souffle, Soulèvement, The Breath of fountain, Entropie et Lulu. Une relation de confiance doit exister entre l’artisan et moi pour que la collaboration soit possible. Tout l’enjeu de mon film Contre Taylor sur le travail d’un maître charbonnier est de montrer le passage de la construction à la déconstruction de la matière à travers le geste de l’artisan. Je pense que la différence entre l’artisan et l’artiste se cristallise autour de la sphère marchande. L’artiste est autant producteur que l’artisan, mais l’artiste est sans doute un mauvais artisan. L’artiste contemporain explore souvent différents médiums mais il ne les maîtrise pas forcément, tandis que l’artisan connaît et maîtrise très bien un seul savoir-faire. Certains artisans ont marqué durablement mon parcours. Pourquoi les matières vous fascinent-elles ? Les matières racontent des histoires. J’entretiens un relation très sincère avec elles. En 2017, j’ai réalisé Condition (structure), une sculpture éphémère constituée d’une structure en bois de charpente sur laquelle était posée une petite sculpture en terre crue. Je joue ici sur l’équilibre entre la robustesse des éléments en bois et la petite sculpture en terre cuite, mais je m’intéresse surtout aux histoires de ces matériaux. Les fragments de charpente utilisés dans mon œuvre avaient été récupérés par une architecte dans une veille maison pour construire un escalier. L’architecte m’a prêté ces fragments de bois le temps de mon exposition personnelle « La fabrique des possibles. Paysages crus » à la Chapelle du Carmel de Chalon-sur-Saône en 2017. En mettant en scène ces morceaux de bois, je dialogue avec les matières. Certaines de vos œuvres sont immersives, d’autres s’inscrivent dans l’espace. Que souhaitez-vous provoquer chez le regardeur ? Je cherche toujours à parler au regardeur. Dans ma dernière exposition personnelle « À force égale » au CRAC de Champigny-sur-Marne en 2019, j’ai choisi de créer un jeu entre extérieur et intérieur pour intégrer le visiteur à l’espace. Je prends toujours en compte le corps du spectateur. L’œuvre fonctionne en elle-même, mais le spectateur a son importance dans la logique de l’œuvre. Avec le temps, mes sculptures et mes peintures évoluent. Si le visiteur vient se confronter plusieurs fois à mes œuvres, il peut découvrir les transformations visibles de mes travaux, des « inframouvements » perceptibles dans le temps. Le regardeur se situe au centre de ma pratique. Dans mes œuvres, je viens contrarier la vitesse et le rendement qui nous sont imposés par la société capitaliste en confrontant le spectateur au rythme de la matière. Je l’invite en effet à se questionner. Tant mieux si le spectateur s’ennuie devant mes œuvres car ce hors-temps lui permet d’accéder à un autre monde. Aujourd’hui, prendre le temps est devenu un acte de résistance car chaque minute est rentabilisée.Dans un texte récent, vous racontez déjà l’impact du confinement sur votre travail. Pouvez-vous nous en parler ?La crise sanitaire actuelle causée par le Covid-19 m’a permis de mettre à l’épreuve ma pratique artistique. Avec ce printemps 2020, l’humanité est obligée de se mettre en pause, et peut alors choisir de se reconnecter à des activités essentielles. Durant le confinement, j’ai décidé de réfléchir sur la création post-confinement. Comment créer après la crise sanitaire ? Comment s’adapter à la situation actuelle ? J’ai imaginé un espace avec plusieurs œuvres, que les visiteurs peuvent caresser. Ce projet en devenir serait à la fois une invitation à recréer du lien et une invitation à produire une installation collective. Chaque visiteur pourrait venir modifier mes créations et introduire sa propre énergie. J’aimerais produire des œuvres interrelationnelles, et conférer ainsi à mon travail une dimension collective. Cette installation serait mon appel à sortir de l’individualité. Pour en savoir plus, visitez le site de l’artiste Alexia Chevrollier. Photographies : Portait, vues des expositions « À force égale » et« La fabrique des possibles. Paysages crus » © Nicolas Briet, Vue de l’atelier © Marie Docher, Extrait de la vidéo Contre Taylor, 2014-2017, film, 1h45 min © Alexia Chevrollier.Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 14 jours

Art on display et déconfinement : quelle scénographie pour les architectes ?

Dans tous les cas de figure, il est certain que les musées vont devoir repenser leurs espaces de monstration liés aux nouvelles problématiques de circulation. Rencontre avec Penelope Curtis, commissaire de l’exposition Art On Display 1949-1969, sur la scénographie d’exposition à l’heure de la réouverture des Musées. Juste avant le confinement lié au Covid-19, s’est […] L’article Art on display et déconfinement : quelle scénographie pour les architectes ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 14 jours

Intermat 2021 fourbit déjà ses armes

Isabelle alfano, directrice du salon Intermat. [©Comexposium] Alors que le déconfinement s’amorce tout juste, l’édition 2021 d’Intermat fourbit ses armes. Ce nouveau millésime se veut porteur d’avenir. Après les 55 j d’enfermement que chacun vient de vivre, on ne peut espérer moins ! « Dans ce contexte qui impacte notre secteur, l’heure est malgré tout de se projeter positivement dans l’après-crise du Covid-19, souligne Isabelle Alfano, directrice du salon Intermat. Nous sommes de tout cœur aux côtés de nos partenaires et de tous ceux déjà engagés dans la réussite de notre événement. Nous sommes persuadés qu’Intermat 2021, loin de cette période troublée, permettra de renouer avec un marché de la construction aux perspectives à nouveau positives. Et ce, en rassemblant Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? 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Il y a 5 ans et 14 jours

Covid-19 : 400 agences Loxam se mobilisent pour accompagner la reprise progressive des chantiers

Un réseau de 300 agences assure la couverture globale du territoire pour les livraisons de chantier. Pour cela, les procédures d'hygiène et de sécurité mises en place dès les premiers jours du confinement sont rigoureusement poursuivies, en parallèle des recommandations du guide de l'OPPBTP.80% du réseau ouvertAujourd'hui, ce sont plus de 80% du réseau des agences Loxam qui sont en activité, avec 400 agences en mode drive et/ou livraison, en toute sécurité.L'ouverture de ces agences permet de mailler le territoire national et d'assurer une proximité avec de nombreux chantiers. Ainsi, les distances parcourues pour les livraisons sont limitées et - de facto - les risques de propagation du virus du Covid-19 d'un endroit à un autre.Les agences fonctionnent en appliquant les protocoles sanitaires les plus exigeants éprouvés depuis 5 semaines déjà dans le cadre d'un Plan de Continuation d'Activité (PCA) conforme aux principes de santé et sécurité au travail du Groupe certifiés ISO 45001. Parmi les mesures appliquées : le strict respect d'une distance de sécurité de 2 mètres entre personnes, l'instauration de zones de ‘quarantaine' avec des sas Départ et Retour pour les enlèvements/restitutions de matériels (y compris sur les chantiers), le nettoyage et la désinfection des machines entre chaque location, la priorité donnée aux échanges électroniques…" Notre Groupe est là, motivé et organisé pour accompagner - dans les meilleures conditions de sécurité et de santé - les professionnels qui reprennent leur activité en leur proposant un service de qualité et des process éprouvés depuis plus d'un mois déjà (début de la mise en place d'un plan de continuité dans notre réseau). Grâce à la mobilisation et à la détermination de nos équipes, c'est bientôt l'ensemble de nos 500 agences qui va être rouvert sur tout le territoire, nous permettant de répondre aux demandes des professionnels, ainsi que des particuliers. ", déclare Olivier Grisez, Directeur général de Loxam.Comment louer en toute sécurité dans le réseau LOXAM Pour retrouver les recommandations des agences Loxam face au Covid-19, rendez-vous à cette adresse. Priorité n°1 à la sécurité et à la santé" La sécurité pour tous et partout - tant pour nos collaborateurs que pour nos clients - est plus que jamais une priorité absolue pour notre Groupe. C'est d'ailleurs dans cette optique nous sommes en train d'équiper notre réseau des équipements nécessaires à un accueil prochain dans nos agences, avec la mise à disposition de gel hydroalcoolique, l'installation de parois plexiglass pour les comptoirs d'accueil ….", ajoute Loubna Bonneroy, Directrice Organisation & Méthodes chez Loxam.
Il y a 5 ans et 14 jours

Vracs de l’Estuaire revoit son site Internet

Vracs de l’Estuaire vient de revoir son site Internet. [©Cimat-Cimaf] Dès la page d’accueil affiché, la couleur est annoncée : “Le ciment devient agile”. Si on en doutait encore, la confirmation est là. Vracs de l’Estuaire, c’est le ciment avant tout. Un ciment régulier et produit en France, juste à côté du Havre (76). La matière première – à savoir, le clinker – provient, elle, de plus loin. Du Maroc pour être précis. Vracs de l’Estuaire ne cache d’ailleurs pas ses origines. Il suffit d’attendre quelques secondes pour que l’information apparaisse, toujours sur la page d’accueil : « Nous sommes l’acteur français du groupe international Cimat – Cimaf ». Cimat, comme Ciments de l’Atlas, Cimaf, comme Ciments d’Afrique, groupe familial marocain à la tête huit cimenteries. A quoi s’ajoutent cinq autres, en cours de construction. Ce qui donnera, à terme, une capacité de production de près de 9 Mt/an de ciment. L’unité française est la première établie en Europe. Il s’agit d’un centre de broyage de clinker et de production de ciments. Vracs de l’Estuaire se définit comme une alternative pour les acteurs du BTP en quête de souplesse. D’où la signature, sans équivoque : “Le ciment devient agile”.  Entre Internet, LinkedIn et Twitter  Tout juste mis en ligne, le nouveau site Internet se présente comme sa vitrine numérique. Il reprend les fondamentaux de sa nouvelle identité visuelle, dévoilée fin en 2019, lors du salon Batimat. A travers de ses différentes rubriques et son blog intitulé “Notre magazine”, le site met en avant aussi bien les engagements que l’offre des Vracs de l’Estuaire, en passant par son expertise. Et les exemples de réalisations témoignent de la confiance que les plus grands acteurs du BTP ont déjà accordée à ce cimentier encore jeune sur le marché français… Pour compléter la refonte de son site internet, Vracs de l’Estuaire a ouvert une page LinkedIn. Le contenu est porté par des collaborateurs de l’entreprise. Et un compte Twitter doit suivre dans les mois à venir. L’objectif avoué est de développer sa visibilité de marque employeur et de créer une véritable communauté autour de son activité.  Une zone de chalandise cimentière de 350 km Implantée dans la zone portuaire du Havre, l’usine de broyage de clinker de Vracs de l’Estuaire produit une gamme de ciments. Ceux-ci sont labélisés CE et bénéficient de la marque NF. Cette production est destinée aux centrales à béton, aux usines de préfabrication et aux négoces de matériaux. La zone de chalandise pour les livraisons en vrac, sous 24 h, est de 350 km autour du site. Pour le conditionnement en sacs de 35 kg ou 25 kg, le délai d’approvisionnement est de 5 j au maximum.
Il y a 5 ans et 15 jours

Les CFA pourront rouvrir le 11 mai

"Ils seront capables d'accueillir leurs équipes dès lundi, puis les apprentis et les stagiaires en formation continue, à condition de respecter pleinement le protocole de déconfinement", a précisé la ministre lors de la conférence de presse de présentation des mesures de déconfinement.La reprise progressive de l'accueil "permettra de combiner la formation à distance et les formations sur site", a souligné le ministère du Travail dans un communiqué.Un guide pour les salariés et employeurs des CFA et organismes de formation, élaboré avec les organisations professionnelles du secteur, sera rendu public cette semaine par le ministère du Travail.Par ailleurs, les 440 missions locales, qui accompagnent plus d'un million de jeunes de 16-25 ans à la recherche d'un emploi ou d'une formation, rouvriront également progressivement à partir du 11 mai.
Il y a 5 ans et 15 jours

Batiik Studio : La galerie Amélie, Maison d’art

La galeriste française Amélie du Chalard a confié à Batiik Studio la conception de son Art Room. Située au 8 rue Clauzel dans le 9ème arrondissement de Paris, la galerie Amélie, Maison d’art expose des œuvres variées et accueille des résidences artistiques dans un espace d’exposition pensé comme une maison de ville. À la demande de la galeriste Amélie du Charlard, l’agence d’architecture d’intérieur et de design Batiik Studio a transformé deux appartements nichés dans un bâtiment historique de la capitale en un endroit atypique, entre galerie d’art, showroom et lieu de vie. La galerie Amélie, Maison d’art prend aujourd’hui place dans un espace spacieux – 230 mètres carrés répartis sur deux niveaux –, et lumineux – un duplex doté de grandes surfaces vitrées. Conçu comme une maison de ville, ce lieu culturel propose aux visiteurs de découvrir la collection dans un espace aménagé, ce qui leur permet de se projeter immédiatement dans l’univers de la collection. La galeriste avait déjà séduit collectionneurs et amateurs d’art en organisant des expositions temporaires dans son propre appartement. De l’entrée à la salle de séjour, en passant par la chambre et la salle de bain, toutes les pièces de la galerie font la part belle aux œuvres et objets sélectionnés par Amélie du Chalard à travers des mises en scène travaillées. Aux antipodes de l’intérieur aseptisé du « white cube », la galerie Amélie, Maison d’art invite les visiteurs à découvrir des gravures, des objets, des peintures, des photographies, des sculptures et des vidéos, dans un intérieur aménagé comme celui d’un logement. Sous la houlette de Rebecca Benichou, les architectes de Batiik Studio ont toutefois privilégié la sobriété afin que les œuvres présentées soient toujours mises en valeur. Ils ont donc opté pour un espace majoritairement décloisonné et des murs blancs, et ont conservé certains éléments architecturaux historiques – des poteaux Eiffel et des poutres Hausmann en bois –, mais mariés avec des touches contemporaines. Au rez-de-chaussée comme à l’étage, chaque pièce devient l’écrin des créations exposées. Pour en savoir plus, visitez le site de Batiik Studio et le site de la galerie Amélie, Maison d’art. Photographies : © Bertrand FompeyrineLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 15 jours

Emetteur d’Europe 1 : La cathédrale des ondes

A 317 m d’altitude, le bâtiment s’étend sur 82 m de longueur, 43 m de largeur et 16 m de hauteur maximale. [©Marco Kany] En 1954, la Sarre est toujours sous occupation française (même système économique). De fait, nombre de bâtiments sont réalisés par des architectes français. Afin de contourner la contrainte issue du système de radiodiffusion française de droit public, à l’extérieur des contours de la France naissent des radios dites “périphériques“ (Luxembourg, Monaco, Andorre et la Sarre pour Europe 1). Le projet de cet émetteur est imaginé par Jean-François Guédy (1908-1955), son premier grand projet, sorti fraîchement de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts. L’avant-projet de mars 1954 révèle une architecture futuriste dotée d’une tour d’émission massive. Si la toiture du hall, rappelant une feuille de palmier est portée par un système de raidisseurs disposé en éventail, la construction cependant n’était pas réalisable selon ce tracé de légèreté. Ainsi, les architectes Bernard Lafaille (1900-1955) et René Sarger (1917-1988) sont engagés pour revoir la copie. Flanquée de studios de télévision, de bureaux, de locaux sociaux et d’une tour-antenne, le grand hall de l’émetteur en forme de cœur et l’extraordinaire forme de toiture constituent ainsi le centre du complexe. Le bâtiment s’étend sur 82 m de longueur, 43 m de largeur et 16 m de hauteur maximale. Un “psychodrame technique”. De gauche à droite : Eugène Freyssinet prend les opérations en mains pour reconstruire la couverture. En renforçant les fondations, les ancrages périphériques, ainsi que les éléments porteurs, Eugène Freyssinet parvient à sauver le dessin et la forme mis au point par Guédy et Lafaille. La hall majestueux de l’émetteur Europe n° 1 à Feldberg. [©Marco Kany] Le choix architectural d’origine a conduit à une structure novatrice, constituée d’une coque béton à double courbure, de 5 cm d’épaisseur, bordée par une poutre ceinture en béton armé, elle-même appuyée sur les fins poteaux périphériques que l’on peut voir en façade. L’effet de voûte ne peut se mobiliser qu’en cas de blocage horizontal des ponts d’appuis (contreforts de nos cathédrales), contreforts inexistants dans le projet et supposés être remplacés par quelques tirants transversaux. L’effet de poussée des pseudo-voûtes de coque est d’ailleurs complété (et probablement dominé), par la poussée également transversale au bâtiment des arcs formant la poutre-ceinture, chargés par les effets de suspension de la coque en direction longitudinale. La combinaison en tension dans le sens de la longueur du bâtiment et en pseudo-compression dans le sens de la largeur est extrêmement difficile à évaluer dans les années 1950.  L’ouvrage ressemble au contour d’une goutte d’eau très aplatie ou d’une coquille Saint-Jacques. Eugène Freyssinet le comparait à un cœur. Les façades sont constituées de hautes vitres enserrées entre des poteaux très élancés, espacés d’environ 3 m environ et donc la hauteur va de 4,5 m vers la pointe de la goute à 9,5 m au milieu du bord opposé, en culminant à 16 m aux deux bords les plus éloignés. Les sommets des poteaux sont ainsi dans demi-plans, légèrement inclinés sur l’horizontale, formant un dièdre comme un livre ouvert, dont l’arête joint la pointe au milieu de la façade. Environ 3 000 m2 intérieurs sont couverts sans appuis intermédiaires par un voile mince en béton armé de 5 cm d’épaisseur, ayant une courbure concave vers le haut dans le sens perpendiculaire à l’axe de symétrie, et vers le bas dans le sens de cet axe. Ce voile, qui forme donc une voûte, est lié à une puissante ceinture supportée par les poteaux et donc chaque moitié, de part et d’autre de l’axe, forme dans un demi-plan une sorte d’arc prenant appui côté pointe sur un massif fixe. De l’autre sur une béquille articulée, est sous-tendu par trois puissants tirants rayonnants à partir de la pointe. La toiture suspendue en béton armé devait être sertie dans un cerclage périphérique, afin de pouvoir créer un espace libre de points porteurs. La poutre de rive devait être contenue par des tenseurs complémentaires, pour être appuyée sur trois points porteurs significatifs. Au début de l’été 1954, la construction est bien avancée. C’est alors que le directeur technique de l’entreprise chargée des travaux demande au bureau technique de lui indiquer la surélévation qu’il faut donner à chaque étai pour qu’après le décoffrage le voile, qui descend sous son propre poids, se trouve à sa cote théorique. Après plusieurs jours, il apprend que ces flèches atteignent par endroits au moins 70 cm, autant dire que l’opération de décoffrage lui paraît impossible. Au même moment, ce directeur technique dirige la construction d’un pont  franchissant la Sarre, en béton précontraint selon les procédés Freyssinet. L’idée lui vient de remplacer les armatures de béton armé, inertes, qui arment le voile et l’accrochent à la couronne, par des câbles Freyssinet traversant la couronne. Et en les tendant, de soutenir le poids du béton du voile, pour assurer le décoffrage, sans avoir à toucher aux étais. Soumis au bureau technique, ce projet est accepté. Une note technique justifiant les parties précontraintes de l’ouvrage doit être fournée…, mais elle ne le sera que partiellement (sans justification relative à la résistance de l’ouvrage). Le dossier de demande de permis de construire pour le projet fut déposé en avril 1954. Les notices de calcul jointes ultérieurement au dossier révèlent que la toiture s’affaisserait d’environ 70 cm à l’issue du décoffrage. Au vu de cette éventualité, on envisage de changer de principe constructif, en tentant d’intégrer dans le concept statique le système de béton précontraint mis au point par Eugène Freyssinet (1879-1962). Cette alliance de deux principes statiques différents échoua, et il se produisit au cours du processus de mise sous tension les 8 et 9 septembre 1954 une fissuration irréparable de la toiture.  Le “psychodrame” technique va alors débuter. Refuser de commencer les mises en retard aurait risqué de déclencher des pénalités de retard. Période de congés et précipitation de l’entreprise pour coller aux demandes d‘Europe 1 s’ajoutèrent. Et là, ultime erreur, les mises en tension commencèrent. Cela commença plutôt bien, mais le voile de béton se déchira sur toute la longueur du bâtiment. Dans le projet initial, les tirants étaient passifs. De ce fait, lors du décintrement du voile par la mise en précontrainte des câbles longitudinaux, le voile s’est déchiré parallèlement aux câbles. Et ce , en raison de la déformation de la ceinture sous l’effet de la précontrainte : les tirants non tendus ne pouvant s’y opposer, sans une déformation excessive pour le voile.Un seul recours : faire appel à des experts, qui déclinèrent, donc l’atout maître fut Eugène Freyssinet lui-même, que nul n’avait pensé déranger pendant ses vacances pour le consulter. L’homme comprend de suite ce qui s’est passé. « De toute évidence, les sollicitations imposées à la ceinture par la tension des câbles tendaient à la déformer, en l’élargissant transversalement, cette déformation devant être empêchée par l’action des tirants transversaux. […] Le directeur de l’opération crut pouvoir réussir à soulever sa voûte, en exagérant les tensions. Il accumula ainsi une énorme énergie potentielle dans les câbles et les bétons, en imposant des tractions plus fortes à sa voûte, dans une direction où elle n’était pourvue d’aucune armature efficace. »1.Pour faire simple : la mise en tension des câbles n’était pas la cause du sinistre. Elle l’avait néanmoins provoqué. Freyssinet, en renforçant les fondations, les ancrages périphériques ainsi que les porteurs, parvint à sauver le dessin et la forme mis au point par Guédy et Lafaille.  Eugène Freyssinet convainquit les experts de la pertinence de son diagnostic. Et il prit les opérations en mains pour reconstruire la couverture. Et ce, à 75 ans ! Il imposa des conditions particulièrement rigoureuses. Et il fit remercier tous les auteurs du projet de bâtiment. Les travaux se terminèrent à la fin de l’automne 1954. Une intervention lourde de rénovation a été programmée au début des années 1980, confiée à Freyssinet International. Les six gros tirants transversaux furent remplacés complètement par des tirants-butons. Les câbles de 12 fils de 5 mm longitudinaux de la coque furent changés par des paires de torons graissées de 15 mm plaqués sous la coque. L’isolation de la toiture reconstituée en face externe, sous la protection d’une nouvelle étanchéité. Grâce à son caractère unique, l’édifice a été classé monument protégé en 1999. Depuis août 2016 l’émetteur est la propriété de la Commune de Uberherrn. “Eugène Freyssinet. Une révolution dans l’art de construire”, 2004, Association Eugène Freyssinet, Presses de l’école nationale des Ponts et Chaussées. 2004. 1Revue “Travaux”, février 1956, n° 256, p. 49 à 58. “Résonnances : l’architecture française en Sarre après la seconde Guerre mondiale” du 11 au 13 octobre , conférence, visite de bâtiments dont l’émetteur.
Il y a 5 ans et 15 jours

La membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM célèbre ses 40 ans

Ces atouts, conjugués à l'expertise de plus d'un siècle dans la technologie du caoutchouc du Groupe Bridgestone/Firestone, ont permis à Firestone Building Products de fournir plus de 1,5 milliard de m² de membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM aux quatre coins de la planète. En France, l'industriel s'appuie sur ses distributeurs agréés, pour commercialiser RubberGard™ EPDM. Il offre également des services de proximité, aux maîtres d'œuvre et d'ouvrage ainsi qu'aux étancheurs, du lancement du projet à sa livraison : formation, calculs techniques, assistance sur site lors de l'installation et inspection une fois les travaux achevés.« Lorsque l'expert en pneus, Firestone, a décidé d'entrer dans l'industrie de la toiture plate en 1980, le marché, dominé à l'époque par les produits en asphalte, avait commencé à évoluer. Les membranes monocouches synthétiques ont émergé avec le désir de construire des bâtiments à haute performance et à des coûts d'installation plus compétitifs. Aujourd'hui, on considère que le rôle de la toiture d'un bâtiment va bien au-delà de la protection du contenu et de ses occupants. Elle doit être facile à installer, respectueuse de l'environnement et efficace du point de vue énergétique. Autant de critères auxquels répond la membrane RubberGard™ EPDM. Les 30 millions de m² installés chaque année dans le monde en témoignent. », explique Steven Forger, Directeur Firestone Building Products France et Europe du Sud.Zoom sur l'un des premiers chantiers françaisFirestone Building Products a installé l'une de ses premières membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM en France en 1998, sur une charpente en lamellé collé. Situé à Montauban, ce bâtiment industriel a été racheté en 2011 par Doumerc Pneus International. « Les 11 000 m² de membranes ont été mis en œuvre il y a 22 ans et à ce jour il n'y a aucun changement d'aspect en partie courante. L'étanchéité est quasi comme neuve malgré une tempête de grêle violente survenue en 2015. Alors que nous avons dû remplacer les 99 lanterneaux endommagés durant cet orage, les membranes, elles, sont restées intactes. Pas de poinçonnement ni de fuite ! Malgré les fortes chaleurs que nous connaissons dans le Sud-Ouest, notamment ces dernières années, les membranes restent souples sans s'abîmer ou se fissurer. Aujourd'hui, un étancheur agréé Firestone Building Products doit simplement reprendre quelques patches au niveau des angles des lanterneaux. De petits travaux de maintenance normaux après plus de deux décennies de mise en service. », explique son dirigeant Patrick Doumerc.Les atouts de RubberGard™ EPDMLa membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM a réussi le test EMMA (Equatorial Mounted Mirrors Ageing) qui l'a soumise à une exposition de 2 000 000 Langleys, soit en moyenne 20 ans sous les rayons du soleil équatorial. Les essais réalisés par le Süddeutsche Kunststoff Zentrum (SKZ), institut de recherche allemand, démontrent également que les membranes en EPDM conservent une élasticité jusqu'à 150% même après 50 ans d'utilisation grâce à leur composition exempte de plastifiant. Cette souplesse permet de faire face aux fluctuations importantes de température et aux éventuels mouvements des bâtiments. RubberGard™ EPDM fait preuve d'une haute résistance à l'ozone, aux UV, aux micro-organismes et aux conditions météorologiques extrêmes telles que la grêle. Chimiquement inerte, elle ne libère aucune substance toxique, ce qui en fait la solution idéale pour la récupération des eaux pluviales.Universelle, cette solution se pose à froid sans aucune flamme sur tous les types de bâtiments (commerciaux, industriels, tertiaires et résidentiels collectifs), et ce, quel que soit le climat, des températures inférieures à zéro de la Russie au soleil du désert d'Arabie Saoudite. Elle est compatible avec l'installation de toitures végétalisées extensives et photovoltaïques. Légère (1,35 kg/m²), elle peut être mise en œuvre sur une étanchéité existante. Ses grandes nappes (de 30,5 m de long, et entre 3,05m et 9,15m de largeur) permettent de réduire le nombre de joints, assurant une installation rapide, aisée et fiable par une entreprise agréée Firestone Building Products. Les modifications futures du toit, telles que l'ajout de puits de lumière ou l'intégration d'extensions du bâtiment, peuvent être effectuées facilement tout en conservant les performances globales du système de toiture.