Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

SANTÉ. L'Institut national de recherche et de sécurité (INRS) a réalisé une étude sur les performances des masques de protection respiratoire face à l'exposition aux nanomatériaux.

XPAIR. L'année 2019 sera importante pour tous les acteurs du génie climatique avec l'élaboration en cours de la future RE 2020 et la tenue du salon Interclima. François Frisquet, le président d'Uniclima, et plusieurs spécialistes des différentes technologies de chauffage, ventilation ou climatisation présentent les perspectives de leurs marchés.

Le studio The System Lab conçoit un complexe hôtelier formant une enclave sereine sur l'île chargée de récits d'Ullenugdo (Corée). Le Healing Stay Kosmos est constitué de deux villas qui affichent une plasticité et une finesse remarquables et dont les formes et l'histoire sont directement issues de l'île volcanique qui regorge de cascades, temples et forêts anciennes. L'hôtel Healing Stay Kosmos fait office de havre de paix pour les randonneurs et visiteurs curieux en quête de calme. Ulleungdo " situé à 350km à l'ouest de Séoul ", est un site historique dont la richesse a su inspirer Changjoong Kim, architecte du studio The System Lab, pour la création de cette auberge de plus de 5 000 mètres carrés, installée à flanc de falaise. L'ensemble immaculé forme deux habitacles de porcelaine au milieu des roches noires de la péninsule. Les plis très minces de leurs enveloppes façonnent une coquille qui s'enroule autour de cinq vagues adossées pour le premier volume, et six branches spiralées pour le second. Leurs silhouettes bosselées agissent comme une toile sur laquelle un spectacle de lumière, créé par la lune et le soleil, se joue en continu. Le complexe est composé de deux bâtiments en béton à haute performance. Le premier, la Villa Terre, contient 8 chambres tandis que le deuxième, la Villa Kosmos fonctionne comme une résidence indépendante dont les quatre chambres sont mise à la disposition d'un seul et même locataire, à la manière d'une location privée. L'espace intérieur, conçu lui aussi par l'agence The System Lab, reprend la figure des quatre éléments naturels, toujours dans une volonté de retranscription architecturale de la mysticité caractéristique de l'île. Différents thèmes sont appliqués aux chambres organisées autour d'un mobilier sobre en bois " conçu par l'agence Park Keun A ", et font écho à la terre, l'eau, le feu et l'air. Les ouvertures en U des chambres, qui épousent les conques de l'enveloppe, offrent des vues d'exception sur la mer du Japon. Les espaces à vivre ésotériques présentent des murs en pierre volcanique aux tonalités oscillant entre le gris et le bleu et sont organisés autour de bassins sinueux. La salle à manger se déploie sous un plafond cathédral et Aménagé avec des éléments de mobilier en bois noble, comme une large table à manger en chêne. Les ouvertures verticales du salon, à la manière de vitraux contemporains, viennent appuyer l'aspect solennel de l'espace commun.Les deux saunas de l'hôtel font un dernier hommage aux formes stellaires de la lune et du soleil. Le jacuzzi, le pont coulé et la baignoire extérieure sont pensés pour relier tout en courbes les espaces des invités à l'immensité du lieu. Le profil énigmatique du Healing Stay Kosmos réinvente une relation organique entre le bâtiment et son site. Pour en savoir plus, visitez le site de The System Lab Photographies : Kim Yong Kwan

D'apparence discrète, la Topo House est finalement bien plus grande qu'elle n'y paraît ! Conçue par l'architecte Martín Dulanto dans les collines de Lima (Pérou), le projet a pour objectif principal de réduire au minimum les dommages causés sur l'environnement lors de l'édification d'une demeure. Un bel exemple de réalisation responsable. Sur un terrain nivelé de près de deux hectares, Martín Dulanto imagine une résidence de 372 mètres carrés qui semble être simplement composé d'un bloc revêtu de baguettes de bois posé à même le sol. La Topo House est en réalité dotée de deux niveaux, dont l'un, à la structure en béton brut est partiellement enterré, réduisant ainsi l'impact de la construction sur son environnement tout en conservant le confort nécessaire à ses habitants. La partie visible de l'iceberg, apparaissant comme une large boîte toute de bois vêtue étendue en porte-à-faux sur la structure de béton, dissimule les espaces de nuit qui bénéficient, grâce à leur surélévation, de vues imprenables sur le lagon et le cours d'eau adjacent. Le niveau inférieur accueille quant à lui le salon et la cuisine ainsi qu'une chambre d'appoint " dotée d'une salle de bain privée ", et d'une buanderie. Les deux étages sont reliés entre eux par deux escaliers, situés à l'arrière et à la droite de la maison, qui se creusent dans le prolongement de la terrasse. Bien que les panneaux formés de béton qui délimitent le socle de la maison s'enfoncent à moitié sous les roches des collines de Lima, le rez-de-jardin est baigné de lumière et sa frontière avec l'extérieur est rendue floue grâce à la présence d'une longue faille latérale pouvant s'ouvrir sur la quasi-totalité de la propriété. Le traitement conféré à cet espace est organique, presque rustique car sa position dans l'ensemble est plus physiquement plus proche de la nature et de la terre. Ainsi, la pierre naturelle des terrasses apparaît également à l'intérieur, aussi bien en revêtement de sol que sur les parois. Loin de brutaliser son site, la Topo House s'inscrit avec délicatesse dans son environnement, adaptant son enveloppe à la topographie de la périphérie de la capitale péruvienne.AA Pour en savoir plus, visitez le site de Martín Dulanto Photographies : Martín Dulanto

A compter du 17 février, et jusqu’au 17 mars prochain à Hyères, la Villa Noailles nous invite à découvrir son… Cet article " Une chambre ailleurs ", exposition évènement à la Villa Noailles sur les hôtels d’architectes est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.

TRANSITION ECOLOGIQUE. En vigueur depuis un an, le chèque habitat écologique et citoyen cherche encore son public dans le département de la Seine-Saint-Denis où il a été adopté. En visite dans une copropriété de La Courneuve, le président du 93 Stéphane Troussel a à nouveau présenté le dispositif doté de 2 millions d'euros, qui peut avancer jusqu'à 70% des frais de travaux dans la limite maximale de 20.000 euros. Pourvu qu'ils financent la transition écologique et le lien social.

L'agence d'architecture BIG présente le 79&Park, une série de logements installée à Stockholm (Suède) aux pénates disposés en cascades, exposant les résidents à une vue dégagée sur le parc et sur la ville. Résultat ? Une construction rythmée, brillamment intégrée au tissu urbain. Dirigé par Bjarke Ingels, le studio BIG propose un ensemble de blocs d'appartements préfabriqués et organisés en terrasses dans un complexe généreux de 25 000 mètres carrés. Situées en bordure du parc Gärdet, à Stockholm, les résidences du 79&Park profitent d'une oasis de verdure en plein centre-ville dont les architectes tirent parti grâce à un concept de logements disposés en monts et vallées, comme à flanc de colline. Les appartements standardisés se superposent autour d'une cour intérieure et bénéficient d'un ancrage instinctif dans le site. Pensées directement en lien avec l'environnement dans lequel elles s'inscrivent, les 196 unités ont toutes accès à des terrasses végétalisées, qu'elles soient privatives ou communes. Les modules cubiques de 3,6 sur 3,6 mètres s'agencent ainsi jusqu'à atteindre le point culminant du bâtiment, soit 35 mètres de hauteur. L'unité du bâtiment qui correspond au niveau le plus bas est orientée sud-ouest et s'étend au plus près du parc, constituant une plateforme publique offrant une vue à 270 degrés sur le paysage. Ainsi, les différentes hauteurs du bâtiment répondent à celles de leurs voisins immédiats, faisant profiter les angles les moins bien lotis d'une vue plus élevée sur la ville et le port. Les logements, qui reçoivent ainsi un maximum de lumière diurne, bénéficient d'un aménagement intérieur doux, alternant textures et matériaux naturels comme la pierre ou le chêne blanc. L'ensemble est complété par des installations communautaires en rez-de-jardin : parking à vélo, garderie pour animaux ou encore jardin d'enfant. De quoi créer un microcosme fonctionnel et agréable. Grâce à une écriture organique et sensible, le 79&Park se façonne une inscription naturelle dans le paysage urbain. Pour en savoir plus, visitez le site de Bjarke Ingels Group : BIG Photographies : Laurian Ghinitoiu

L'exposition "Décloisonnons la ville" ne dit rien des problèmes urbains et tout du jargon qui habite le discours sur la ville de demain. Et si c'était cela le vrai sujet : l'univers de Bisounours auquel nous condamne forcément un événement […] L'article Vous n'en avez pas marre? des poncifs en matière d'urbanisme ? est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.

Exposition GRAFFUTURISM. Avec les oeuvres de Remi Rough, Desmky, Lek, Dem 189, Swiz, Neok. A L'Alternatif à Paris " La Défense. Jusqu'au 26 avril. L'exposition "Graffuturism" proposée par Amine Bouziane, curateur de l'Alternatif, convie parmi les artistes les plus influents […] L'article GRAFFUTURISM, à La Défense est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.

KOKO Architects place le marché de Balti au coeur de la communauté de Tallinn (Estonie). Sur ce site central du nord de la capitale, un nombre croissant des résidents, touristes et passagers se rassemblent dans cette version contemporaine d'un lieu historique, ayant, depuis plus d'un siècle, accueilli les usagers de la gare ferroviaire et des anciens entrepots. Le marché de Balti, situé entre la station principale de Tallinn et le quartier résidentiel de Kalamanja, profite d'un emplacement très actif. Ici, les architectes de l'agence estonienne KOKO combinent les fonctions typiques du marché " stand de boucherie, poissonnerie et produits laitiers ", avec d'autres structures plus séduisantes, comme un marché fermier, de la vente de street-food, ou encore des restaurants et cafés, pour offrir au site de 25 000 mètres carrés un programme complet et attractif pour toutes générations confondues. L'entrepôt datant des années 1870 qui abrite le marché depuis 1993 est implanté sur deux étages. Les architectes complètent ici le bâtiment vieux de plus d'un siècle par une extension comprenant un toit incliné respectant la forme et la taille d'origine et un sous-sol qui accueille de nouvelles activités. Les murs de calcaire initiaux sont conservés pour témoigner du passé du lieu, conférant ainsi à l'ensemble une palette colorée et variée de briques et céramiques, tandis que le bois et le métal renvoie au caractère industriel de la ville. La partie avant du toit est laissée ouverte, comme dans le marché d'origine (1993-2016), et l'extérieur se voit offrir des kiosques en bois, connectés par des rampes et des terrasses, et complétées par des aires de détente, dont une aire de jeu pour enfants. Le rez-de-chaussée vise à attirer la fourmilière de vendeurs et visiteurs autour des différents étals, alors que le premier niveau abrite les stands des artisans, essentiels du marché historique, et offre un espace dégagé, lumineux et aéré grâce à ses hauts plafonds en lamelles de bois. Le panorama du premier étage est fourni par la présence de deux terrasses prolongeant un restaurant et une brasserie orientées plein sud. Le sous-sol, quant à lui, est accueille un supermarché et une salle de sports. Le marché bénéficie d'un second souffle à la hauteur de l'enthousiasme et du dynamisme de l'ère post-soviétique, alliant une pratique ancienne et conviviale à un véritable lieu de vie. Pour en savoir plus, visitez le site de KOKO Architects Photographies : Tõnu Tunnel

Apporter un peu de la chaleur du sud en plein c"ur de la Grosse Pomme, une gageure ? C'est en tout cas le défi relevé avec brio par le designer et architecte d'intérieur Dmitry Reutov qui décline les couleurs vives des rues de Mexico (Mexique) en un mobilier contemporain, offrant aux résidents d'un appartement new-yorkais un peu de répit dans leur quotidien de citadins. Situé au sud de Manhattan (USA), un deux pièces de 55 mètres carrés subit un traitement haut en couleur ! Lassés de vivre dans un foyer aussi gris que l'environnement urbain dans lequel il s'inscrit, ses propriétaires ont donné une seule directive au studio russe Reutov Design : modifier sans concession leur espace vital à condition de ne pas utiliser le blanc. Une contrainte qui n'a, semble-t-il, pas suffit à réfréner la créativité de Dmitry Reutov, fondateur de l'agence éponyme en charge de cette mission. Largement inspiré par les tonalités éclatantes définissant les rues de la capitale mexicaine, le concepteur transforme un logement traditionnel en un écrin de couleurs hors du temps, actuel et régressif à la fois. Non sans rappeler les réalisations de l'architecte sud-américain Luis Barragán, l'ensemble invite au voyage, faisant instantanément oublier à ses résidents la grisaille et le bruit de la métropole une fois le palier franchi. Les parois du salon sont entièrement repeintes en rose, nuance équilibrée par le sol en ciment teinté en vert menthe. Une palette forte que l'on retrouve également dans le mobilier d'inspiration années 1970 aux silhouettes circulaires. La large présence de terrazzo et de cactus de grandes tailles renvoient à un paysage du sud plus traditionnel, comme un clin d'"il aux références de Reutov Design. Délimités par des cylindres en polyuréthanes, les différents espaces de la pièce de vie communiquent visuellement grâce à la présence d'une fenêtre ronde en plastique orange placée entre le hall d'entrée et la cuisine. Si la pièce principale détonne par sa colorimétrie affirmée, la chambre à coucher est quant à elle plus sobre, renvoyant plus frontalement à l'architecture vernaculaire mexicaine, notamment grâce à la présence d'une structure en échelle recouverte de plâtre puis teinte en rose reproduisant ainsi la texture de la pierre colorée des édifices de la Ville de l'Espérance. Au mur, un papier peint artisanal reproduit les couchers de soleil de l'Amérique centrale, pour un dépaysement des plus total. Comme quoi, less is " not always " more ! Pour en savoir plus, visitez le site de Reutov Design Photographies : DR

Le village du Père Noël à Rovaniemi (Finlande) a plus d'une attraction à offrir ! Son épaisse forêt et ses cieux étoilés accueillent désormais des résidences hivernales nées d'un partenariat entre le studio italo-finnois VOID Architecture et les usines Honkatalot-Polar Life Haus. De quoi se relaxer en éveillant son âme d'enfant. Le " päntsdrunk " (dérivé de l'anglais), est une pratique qui consiste à prendre plaisir dans le confort de se prélasser chez soi sans complexe. Dédiée à cette pratique finnoise, aussi appelée " kalsarikänni ", la série de logement imaginée par VOID Architecture est un appel à l'oisiveté. L'ensemble implanté dans la forêt de Lapland est inspiré des " kota ", huttes traditionnelles de la région et propose une série d'appartements en duplex de 40 mètres carrés, chacun équipé d'un salon en double hauteur, d'une petite cuisine et d'un sauna individuel. Les pénates sont également dotés d'espaces extérieurs agrémentés de douches et de jacuzzis, permettant ainsi de profiter de l'extérieur tout en se réchauffant. Ces structures en bois traditionnel forment des igloos contemporains dont les larges ouvertures en pleine hauteur offrent des vues d'exception sur le panorama sylvestre enneigé. Le mobilier de design scandinave qui compose les appartements renvoie aux tendances d'aménagements venues du Grand Nord, complétant ainsi l'expérience des voyageurs. " Nous avons choisi de faire de l'intérieur des espaces qui parlent d'eux-mêmes, qui peuvent réellement laisser aux usagers l'occasion de s'inspirer du paysage extérieur ; et dans le même temps leur offrir une expérience sensible et positive. " Paolo Caravello, architecte à VOID Architecture. Installés au c"ur des forêts glacées du cercle arctique, les visiteurs peuvent ainsi profiter des lumières uniques du nord sans quitter le confort rassurant de chez-soi. Pour en savoir plus, visitez le site de VOID Architecture Photographies : Timo Laaksonen

Au fond de la Cité de l'architecture, dans les souterrains près de la cave et loin des regards, une expo Bouygues Immobilier. Visite. Jusqu'au 11 mars 2019, l'unique Cité de l'architecture & du Patrimoine à Paris présente l'exposition ?Décloisonnons la […] L'article Chez Bouygues Expo, ça décloisonne grave à la Cité de l'architecture est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.

Il n'y a pas de définition exacte de son métier sinon ?concepteur lumière', qui peut vouloir tout dire. Il y a pourtant dans ces deux mots appliqués à l'architecture une simplicité qui permet d'ouvrir grandes les portes de l'imagination. L'architecture […] L'article Hervé Audibert, un homme éclairé, à l'architecture comme au théâtre est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.

Cette exposition invite à une visite, pièce par pièce, pour retrouver la maison telle que Victor Hugo, décorateur poète, l'a créée. Place des Vosges à Paris. Jusqu'au 15 avril. A l’occasion de la rénovation et pour accompagner sa réouverture, le […] L'article Portrait d’une maison – Chez Victor Hugo, Hauteville House, Guernesey est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.

Le Hide Hotel Flim se situe à Graubünden (Suisse), perché sur le tout récent Stenna Building érigé en début d'année. Le cabinet d'architecture Stylt Trampoli repense pour l'occasion la façon dont une station de ski s'inscrit dans la contemporanéité pour allier confort et sophistication dans la tradition alpine, à la manière d'un décor signé Wes Anderson. A quelques mètres à peine des pistes, l'hôtel résonne avec l'extérieur qui attire chaque année de nombreux skieurs. Les terrasses traversantes à plusieurs niveaux fusionnent avec les éternelles montagnes suisses, ce qui inscrit sensiblement le bâtiment dans la topographie qui l'environnement. L'ensemble ne se contente pas d'une enveloppe vernaculaire : entre le crépitement des cheminées, une agréable bibliothèque et une canopée de canapés en velours, le luxe se mêle discrètement aux éléments de conforts - tabourets pivotants et bancs en bois recouverts de fourrure. De quoi éveiller un imaginaire douillet et élégant dont le raffinement contemporain est renforcé par la large présence de laiton. Le mobilier et l'aménagement intérieur de l'hôtel font à la fois référence à la rudesse des Alpes et à l'entrain d'une esthétique inspirée des années 1970. Les suites, déclinées en trois typologies - chambres doubles avec terrasses, pénates simples également dotés d'espaces extérieurs et suite junior -, exploitent un panel de matériaux naturels : le verre, les pierres brutes et un parquet en bois de pleine longueur se marient à des couleurs profondes et poudrées. L'hôtel se pare d'un intérieur contemporain en accord avec une esthétique héritée des coutumes du lieu, inscrit dans un héritage alpin, juste assez urbain pour ne pas dépayser les visiteurs, tous horizons confondus !

Deux organisations mondiales – DiiA et Zhaga – travaillent ensemble pour standardiser le raccordement des luminaires LEDs et faciliter la smartification de l’éclairage.