Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

Du 13 au 16 mars à Milan, en Italie, le CSTB participe au salon MCE (Mostra Convegno Expocomfort), salon international dédié au chauffage, climatisation, ventilation, assainissement et énergies renouvelables. Les équipes du CSTB animent un stand (hall 14, stand L93) autour des certifications NF et QB et de l'offre d'essais sur les canalisations et les équipements sanitaires. Le CSTB accompagne les industriels dans la validation des performances de leurs produits et délivre les marques de certification NF et QB pour les équipements hydrauliques et sanitaires. Il s'appuie sur son laboratoire hydraulique et équipements sanitaires, spécialisé dans le domaine des réseaux de fluides intérieurs et extérieurs. Dans ce laboratoire d'essais de 5 000 m² situé sur le site de Marne-la-Vallée, sont testées les canalisations qui assurent le transport de l'eau depuis le site de collecte, sa distribution dans les bâtiments jusqu'à son évacuation à l'égout. Y sont également testés la robinetterie, les appareils sanitaires et les équipements raccordés aux réseaux intérieurs. Par ailleurs, ce laboratoire procède à des essais sur la robinetterie gaz. En savoir plus : Site web du salon MCE Laboratoire CSTB dédié au réseau hydraulique et aux appareils sanitaires Certifications délivrées par le CSTB dans le domaine de l'hydraulique et des équipements sanitaires

A quelques semaines du World of Concrete Europe, la programmation des expositions, conférences et animations se confirme. Au total, huit secteurs seront mis en lumière. L'article WOC Europe : Le programme se confirme est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.

Dans le cadre du festival thaïlandais Wonderfruit, visant à mettre en valeur les créations à empreinte carbone neutre, le studio all (zone) imagine une structure aérienne et colorée guidant les visiteurs à travers les diverses expositions. Installation aux tonalités fantasques, Marmalade Sky entre également en résonance avec le thème de l'évènement puisqu'elle est 100 % recyclable. " Un ciel de confiture ", quelle formule enchanteresse pour évoquer le travail de la firme basée à Bangkok ! Réalisée spécialement pour Wonderfruit, manifestation musicale et artistique axée sur le développement durable et la responsabilité sociale, Marmalade Sky ombrage les fêtards de Pattaya (Thaïlande) tout en créant des reflets bleu et rose au sol. Soutenue par de simples poteaux en acier ancrés sur des plots en béton mobiles, cette pergola aérienne est composée de plusieurs modules de tissus carrés de 8 mètres par 8 mètres signés Jim Thompson, alternant bandes verticales et horizontales tout en laissant légèrement filtrer le soleil sud-asiatique et réchauffer les passants. Une fois l'évènement achevé, la structure a entièrement été démontée puis stockée en attendant d'orner un nouveau site. Le mois dernier, elle a par exemple été réutilisée lors de la journée des enfants qui se déroulaient à la Maison du Gouvernement du pays. Un décor festif qui ne fait pas de mal à la planète ! Pour en savoir plus, visitez le site d'all (zone) Photographies : bee pattrayanond

Mesdames, rendez-vous dans les centres Afpa le 8 mars prochain pour élargir votre champ professionnel et oser d'autres métiers.

Vivre dans une "uvre de l'artiste El Lissitzky ? Une perspective qui peut paraître étrange mais qui, sous la houlette du studio italien Gosplan, devient attrayante. Grâce à des volumes inspirés du constructivisme, ce dernier conçoit un appartement original plein de surprises. Avant l'intervention de l'agence transalpine, ce T3 situé près de Gênes (Italie) n'était pas des plus fonctionnels. En effet, la résidence était traversée d'ouest en est par un long corridor, qui, en plus de diviser le lieu, n'optimisait pas ses mètres carrés. Ainsi, alors que la cuisine et le salon étaient jusqu'alors séparés en deux petites salles distinctes, elles sont désormais réunies dans un seul et même espace. De plus, la destruction d'une partie du couloir a permis la création d'une nouvelle salle de bain adjacente à la seconde chambre. Un temps désormais révolu puisque la rénovation s'inscrit dans un travail des circulations. La moitié de ce corridor détruite laisse dorénavant place à une pièce de mobilier cruciforme en bois induisant dorénavant deux axes de distribution. Un grand meuble comprenant de nombreux rangements, dissimulant par ailleurs les portes des commodités et de l'une des deux chambres " quand l'autre espace de nuit, placé au bout du couloir, se trouve derrière un miroir coulissant. Mais la particularité la plus parquée de la demeure réside dans son escalier suspendu percé d'un hublot, menant au grenier servant de zone de stockage. L'ensemble alterne entre revêtements en bois et ciment, le tout dans des teintes neutres " gris, blanc, noir, etc. " parsemées de touches de bleu, égaillant ce lieu de vie confortable. Une réalisation qui prouve que peu de moyens suffisent à créer une habitation agréable et étonnante. Pour en savoir plus, visitez le site du Studio Gosplan Photographies : Anna Positano

Du 23 au 28 avril, conjointement au salon Intermat à Paris de Paris-Nord Villepinte (Hall 6), le World Of Concrete Europe accueillera les acteurs de la filière béton.

Si nos stations de métro ne sont pas toujours des plus attrayantes et constituent souvent un simple lieu de passage, la nouvelle gare d'Angle Lake à Seattle (États-Unis) a quant à elle été conçue aux antipodes de ce modèle par l'agence américaine Brooks + Scarpa. Derrière une enveloppe contemporaine à clairevoie elle abrite une multitude de programmes allant de la gare à la réception d'évènement en passant par du commerce. Un nouveau centre de vie. Cet immense projet de 37 393 mètres carrés répartis sur sept étages comprend, en plus de ses espaces ferroviaires, des lieux dédiés aux évènements communautaires, des boutiques, un parking pouvant accueillir jusqu'à 150 voitures, ainsi que le siège social de la compagnie aérienne Alaska Airlines. Sa structure en béton coulée sur place est revêtue de plus de 7 500 panneaux de façade en aluminium adonisé bleu. Agissant comme une seconde peau, ces lames azurs semblent onduler sous le ciel gris de Seattle. Tel un arrêt sur image d'une chorégraphie inspirée de " Dance Geometry ", pièce d'improvisation de William Forsythe dans laquelle les acrobates mêlent leur corp pour faire correspondre leurs déplacements à des lignes dans l'espace. Ainsi, chacun des éléments de façade a été conçu sur-mesure, afin d'appliquer au bâtiment cette impression d'oscillation. Au troisième niveau, une place publique " directement connectée à l'entrée du tramway, au parking et aux rues extérieures ", sert de zone de transit agrémentée de sièges, d'"uvres d'art de plasticiens locaux et de bassins de retenue des eaux pluvialess. Cette plateforme accueille également divers événements, comme des festivals, des expositions ou même des marchés de producteurs régionaux. Un programme polyvalent qui ambitionne de devenir l'un des centres de vie de la Ville Pluvieuse. Pour en savoir plus, visitez le site de Brooks + Scarpa Photographies : Ben Benschneider

A partir du 1er mars, Alain Monteil sera le nouveau directeur régional et inter-départemental adjoint de l'équipement et de l'aménagement de la région d'Ile-de-France, chargé de la direction des routes de cette même région. L'article Région IDF : Alain Monteil, un nouveau directeur "routes" est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.

Entre bar à salades, à céréales ou même à chats, tous les concepts émergeant en la matière semblent ne jamais tenir compte des enfants. Un temps désormais révolu grâce au studio chinois X + Living, qui conçoit un restaurant inspiré de l'imaginaire des plus jeunes dans lequel ces derniers sont libres de s'amuser et de rêver. Le point de départ du Neobio Kids Restaurant, situé à Shanghai, était de recréer " une montgolfière colorée surgissant d'un ancien château ", selon les dires de ses concepteurs. Un parti-pris original, tout droit tiré d'un dessin animé de Miyazaki, qui donne lieu à un projet onirique de 500 mètres carrés comprenant à la fois de nombreuses structures de divertissement ainsi que des espaces de restauration. Un endroit unique adapté aux besoins et aux envies des bambins, dont les tonalités pastel ornent les installations féériques " ballons, garde-corps de châteaux, animaux chimériques, etc. Disposés sur un parquet gris et blanc posé en chevrons, ces éléments participent de l'aspect merveilleux du lieu, tout en dissimulant diverses piscines : à boules, à sable ou même à jouets. Pour les plus calmes, une bibliothèque remplie de livres de conte est mise à disposition des intarissables rêveurs de moins de 10 ans. Pendant que leurs enfants s'amusent, les parents, quant à eux, peuvent profiter du goûter autour de tables dépareillées, disséminées à travers la salle de jeu. Aux chaises en bois sculptées façon baroque se joignent alors des tables minimalistes tandis que des banquettes en fer forgé font face à des sièges d'inspiration années 1970. Un mélange des genres qui développe pourtant un monde imaginaire et coloré harmonieux. Une maison de poupée grandeur nature qui donne envie de retomber en enfance ! Pour en savoir plus, visitez le site de X + Living Photographies : Shao Feng

Artibat, salon de la construction de l'Ouest, et Novabuild, cluster du BTP en Pays de la Loire, poursuivent leur collaboration pour proposer un concept fort visant à accélérer la visibilité des porteurs de projets, ou startups*, qui innovent dans la construction.

Conçu en 1964 par l'architecte Luis Barragán, la villa Cuadra San Cristóbal (Mexique) est l'une des merveilles du mouvement moderniste présentes sur ce territoire. C'est entre ces murs aux couleurs vives que l'Irlandais Sean Scully expose jusqu'au 24 mars ses toiles et sculptures à l'expression chromatique tout aussi marquée que la demeure. Deux pratiques artistiques différentes qui semblaient être faites pour être réunies. Lors d'un premier voyage dans le berceau de la civilisation maya en 1983, Sean Scully est frappé par les nuances colorées des édifices et les lignes de composition de l'architecture vernaculaire. En découlera un ensemble d'aquarelles intégrées par la suite à sa série Wall of Light " achevée à la fin des années 1990 ", qui définira le style pictural de l'artiste, où alternent rayures et barres verticales et horizontales. Une région du monde qu'il affectionne tout particulièrement, où il n'exposera pourtant jamais. Un temps désormais révolu puisque, depuis le 5 février dernier, il présente ses "uvres au sein d'un des lieux artistiques emblématiques du XXe siècle : la Cuadra San Cristóbal, à Mexico. Écuries de l'ensemble de Los Cubles " comprenant également la demeure de la famille Egerstrom et la Fontaine des Amoureux ", l'édification de Luis Barragán combine avec brio expérimentations architecturales moderniste et symboliste. Caractérisé par de grandes parois en pierre peinte en rose vif, le site semble avoir été conçu pour accueillir la production du plasticien en son sein. " Sean a exposé des centaines de fois sur des murs blancs, des sols en béton, éclairés par des lumières crues. Quand on travaille avec un si grand artiste, il y a de la place pour être plus nuancé et faire des installations comme ça. " Oscar Humphries, commissaire de l'exposition Un mariage idéal enfin concrétisé et qui coïncide avec la 15e édition de Zona Maco, principale foire d'art contemporain mexicaine. L'occasion de découvrir quinze tableaux en aluminium et cuivre ainsi que trois statues en Corten ® et en acier peint dialoguant naturellement avec le lieu, de par leurs formes et leurs partis-pris esthétiques. Si les peintures sont installées dans les écuries et contrastent admirablement avec leur décor équestre authentique, les sculptures, quant à elles, prennent place dans la cour. Reflétant la linéarité du lieu, ces dernières s'amusent du jeu de vides et de pleins imaginé par l'architecte et complètent l'ensemble. Une exhibition solaire qui, grâce au dialogue entre architecture et art plastique, apparaît comme l'unification idéale des deux pratiques. Exposition " Sean Scully : San Cristobal ", jusqu'au 5 mars 2018 à Los Cubles, Mexico (Mexique) Pour en savoir plus, visitez le site de Sean Scully Photographies : DR

Durant le Cevisama, salon de la céramique organisé chaque année à Valence (Espagne), a eu lieu la seizième cérémonie des Tile of Spain Awards organisée par l'ASCER " Association Espagnole des Fabricants de Tuiles et de Pavage en Céramique ", afin de promouvoir l'utilisation de cette matière dans la construction. Une occasion de mettre en avant l'exceptionnelle production architecturale de la péninsule ibérique. Prix Architecture : domaine viticole du Mont-Ras, Jorge Vidal et Víctor Rahola Pour la construction de ce Chai de 570 mètres carrés les architectes ont choisi des matériaux simples et minéraux : la brique de terre crue pour les murs périphériques constitués de dix demi-cylindres verticaux, et tuile en céramique rouge en parament de cloison à l'intérieur. Un projet qui a charmé le jury par son esthétique rustique et industrielle, entrant parfaitement en écho avec son environnement campagnard, mais aussi par la modularité du système constructif, permettant d'agrandir l'ensemble selon les besoins.. Mention spéciale Architecture, première place : extension et rénovation des ateliers Gon-Gar, NUA arquitectures Edifiés il y a plus de 50 ans, les ateliers de réparation Gon-Gar consistent en un groupement d'entrepôts disposés en U autour d'une cour centrale. Le défi des maîtres d'"uvre consistait à ajouter à l'est, à l'angle de deux rues, un nouveau bâtiment comprenant bureaux et showrooms, qui soit en accord avec son environnement industriel. Pour cela, ils ont imaginé un ouvrage coiffé de sheds, dont la façade est en partie vêtue de brique de terre crue. À l'intérieur, les doubles hauteurs et les percées créées entre les bâtiments révèlent les faïences ocres et les tuiles de grès de l'édifice d'origine, générant une atmosphère manufacturière mais chaleureuse.. Mention spéciale Architecture, seconde place : hôtel Santacreu de l'île de Tabarca, Diego López Fuster + SUBARQUITECTURA Au c"ur du seul et unique village de la minuscule péninsule de Tabarca, au sud-est de l'Espagne, les architectes intègrent entre deux maisons typiquement méditerranéennes, un monolithe de béton paré à l'intérieur comme à l'extérieur de céramique, hébergeant dix confortables chambres de 18 mètres carrés chacune. Le revêtement en tuile couleur sable issue de terres calcaires et ses joints ne font qu'un.. Prix Intérieur : trois stations de métro à Barcelone, Garcés - de Seta - Bonet Arquitectes Pour la construction des trois nouvelles stations de la Ligne 9 du métro de Barcelone " Mercabarna, Parc Logístic et Europa Fira ", l'agence Garcés - de Seta - Bonet Arquitectes a pris le parti d'un aménagement minimaliste et fonctionnel. Les gaines techniques sont laissées apparentes, à l'image des murs et de la structure porteuse en béton brute de décoffrage. Seul le sol a fait l'objet d'un traitement de finition plus abouti, par le recours à un revêtement en porcelaine gris mat, facile à entretenir, qui unifie l'ensemble. . Mention spéciale Intérieur, première place : Can Picafort, Ted'A arquitectes Dans cette maison de trois étages hébergeant des appartements pour vacanciers, un aménagement éclectique et estival a été imaginé. Parterre comme sur les murs, textures et motifs se mêlent. Trois types de céramique on été utilisés : des carreaux de forme carrée et de couleur ocre séparés par de larges gros joints au sol, des azulejos rosés et zébrés sur les cloisons et des tuiles oranges longitudinales pour les espaces de services " cuisine et salle d'eau. Le résultat ? Une ambiance chaleureuse et pleine de vie.. Mention spéciale Intérieur, seconde place : rénovation d'une maison, ARQUITECTURA-G Afin de mettre en valeur les généreux espaces de vie qu'offre cette demeure située dans un village de la campagne du nord du pays, les architectes ont habillé l'intégralité des surfaces horizontales " le sol, les bancs, les marches, les plans de travail ", de faïences carrées rouges. Cette utilisation simple et élégante de la céramique a séduit le jury par le contraste fort qu'elle offre avec la blancheur immaculée des murs et du plafond, permettant alors de créer un lien visuel entre toutes les pièces de la maison... Prix Étudiant : un jardin-paysage, Rafael López-Toribio Moreno Actuellement élève en dernière année à l'École Technique Supérieure d'Architecture de Grenade, Rafael López-Toribio Moreno imagine au c"ur de la ville, dans un terrain en pente, un jardin public composé de deux terrasses successives précédant un centre d'information touristique. Le chemin piéton reliant le haut et le bas de la parcelle est constitué d'un assemblage de morceaux de céramique irréguliers liés par un mortier. Il rend ainsi hommage aux nombreuses constructions en terre de la cité andalouse tout en faisant écho à sa culture sociale éclectique. Pour en savoir plus, visitez le site de Tile of Spain Awards Photographies :1) Luis Díaz Díaz2) José Hevia3) Adriá Goula4) Jesús Granada5) Adrià Goula6) Luis Díaz Díaz7) José Hevia8) Rafael López-Toribio Moreno  

Record attendu pour le plus important salon triennal international des systèmes de protection solaire, des fermetures, portes et portails

Eurobois, le salon du bois, des techniques de transformation et de l’agencement, a eu lieu du 6 au 9 février à Lyon Eurexpo, dans un contexte de tension sur la matière première chêne et la cohésion de la filière.

Jusqu'au 18 mars prochain, la piscine, élément incontournable de nos étés, signe de richesse mais aussi de bien-être, est mise à l'honneur à la Villa Noailles dans un parcours photographique. D'Adolf Loos à Philippe Rahm, retour sur cet élément qui a toujours fasciné ses utilisateurs comme ses concepteurs. Après avoir présenté les expositions " Landskating " et " La Boîte de Nuit ", la Villa Noailles, centre d'art contemporain situé à Hyères (83), poursuit sa prospection de singularités architecturales, avec le thème de la piscine. Intitulé " Domestic Pool ", l'événement retrace à travers de nombreux reportages photographiques différents dispositifs de baignade depuis leur apparition dans les demeures bourgeoises du XXe siècle jusqu'aux expérimentations les plus contemporaines. S'il présente des ouvrages d'exception, il s'attache également à montrer leur avènement dans les foyers plus modestes grâce aux innovations techniques et industrielles. Parmi les projets mis en lumière par les commissaires de l'exhibition Benjamin Lafore, Sébastien Martinez-Barat et Audrey Teichmann, se trouve le bassin de la Villa Noailles elle-même, construit par l'architecte des lieux Robert Mallet-Stevens en 1924, mais aussi celui de la résidence d'été d'Alain Capeillères, conçue à Six-Fours-les-Plages (83) au début des années 1970. Un chef d'"uvre varois de 25 mètres de long méconnu, creusé à flanc de montagne, révélé en 1976 par une célèbre photographie de Martine Franck, dans laquelle les silhouettes se prélassent au bord de l'eau, sur la surface blanche et quadrillée de la terrasse.  Plus contemporainnes, les réalisations des maîtres d'"uvre Didier Faustino, Andreas Angelidakis, Richard England, et surtout Philippe Rahm qui développe quant à lui un travail axé sur ce qu'il appelle la " physiologie contextualité " " une étude des effets de la lumière et de l'eau sur le métabolisme humain. Une jolie manière de faire miroiter différentes facettes de ce luxueux objet du désir. Pour en savoir plus, visitez le site de la Villa Noailles Photographies :1-7) Piscine d'Alain Capeillères à Six-Fours-les-Plages ©Romain Laprade, 20178) Maison familiale, Mont-ras, Girona, Espagne. Ricardo Bofill ©Lluis Carbonell9) Piscine d'Alain Capeillères à Six-Fours-les-Plages ©Matine Franck, 197610) Villa dall'Ava, Saint-Cloud, France. OMA ©Hans Welermann11) Hand House, Los Angeles, Etats-Unis. Andreas Angelidakis ©Andreas Angelidakis 12) Pink House, Miami, Etats-Unis. Arquitectonica ©Arquitectonica13) Casa Hemeroscopium, Las Rozas, Espagne. Ensamble ©Roland Halbe 

La redécouverte du Brutalisme s'accompagne d'expositions. Brutal and Beautiful, à Londres, en 2012, s'attachait à faire redécouvrir le volet britannique… Cet article 7/7 – SOS Brutalism : devenir gris en beauté est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.

N'avez-vous jamais rêvé d'avoir la tête dans les étoiles ? C'est ce que tente de nous faire vivre l'architecte et artiste britannique Asif Khan à l'occasion des Jeux olympiques d'hiver dans un pavillon éphémère couvert de noir Vantablack VBx 2, dont le rachat des droits exclusifs par Anish Kapoor avait fait scandale il y a deux ans. Posé en plein c"ur de Pyeongchang, la ville de Corée du sud accueillant cette année les Jeux olympiques d'hiver, le mystérieux ouvrage consiste en une toile tendue de plan carré de 35 mètres de côté par 10 de haut, hébergeant une installation artistique, un petit salon et une pièce d'exposition. À l'extérieur, les quatre murs paraboliques sont entièrement peints de Vantablack VBx2, la fameuse couleur noir jugée la plus profonde du monde, car capable d'absorber 99,9 % du spectre lumineux, et que s'était approprié l'artiste plasticien Anish Kapoor en 2016. Des tiges de métal, également peintes en noir et dont l'extrémité est occupée par des ampoules à leds, sont implantées à l'horizontale dans ces parois courbes et se fondent dans la masse ténébreuse. Une drôle de perception se met alors en place autour du pavillon, de loin comme de près il semblerait qu'un morceau du cosmos se soit posé sur le parvis de pierre du stade olympique. " C'est une de mes préoccupations principales que de créer des expériences qui nous permettent de mieux comprendre où nous sommes en tant qu'humain, dans ce grand univers. Il y a une tension entre le fait de vouloir savoir quelle est la forme d'une chose et le fait d'accepter qu'elle peut ne pas en avoir. " Asif Khan, architecte et artiste À contrario, l'intérieur du volume est d'une blancheur immaculée. Cette fois-ci Asif Khan va plus loin dans le jeu haptique et propose de mettre le visiteur au service de l'"uvre, en l'invitant à verser de l'eau dans les rainures d'une vaste rampe de 16 mètres de long sur laquelle il est également possible de marcher. Le liquide s'y transforme en brume et plonge le lieu dans une atmosphère d'une grande plénitude. Une conception agitatrice des sens, à découvrir jusqu'au 25 février à Pyeongchang ! Pour en savoir plus, visitez le site de Asif Khan Photographies : Luke Hayes  

Au numéro 98 de la rue de Charonne à Paris (11e), l'architecte Vincent Eschalier imagine le salon de thé KANOUN. Un écrin pastel, chaleureux et convivial qui régale les papilles comme les yeux. Suite à leur visite et coup de c"ur pour le restaurant Le 52, aménagé en 2014 par le Studio Vincent Eschalier, Lamine et Stéphane, les deux créateurs du salon de thé KANOUN ont décidé de faire appel à l'architecte pour aménager un écrin de douceur situé au rez-de-chaussée d'un immeuble de bureaux en brique. De part et d'autre de l'entrée sur rue, le maître d'"uvre, aidé de la décoratrice d'intérieur Diane Kergal, installe d'un côté un comptoir en marbre de Carrare nervuré présentant les pâtisseries faites maison qui se reflètent dans un majestueux miroir toute hauteur placé derrière le présentoir, et de l'autre des tables en Corian© gris et des fauteuils aux couleurs pastel. Trois alcôves ovales équipées de larges banquettes bleu marine épousant la forme arrondie des murs ont été installées dans des renfoncements de l'unique pièce de 90 mètres carrés, pour un moment plus intime. Ici, pas de décoration ostentatoire, seule une fresque en feutre fin conçue par l'artiste bulgare Boris Deltchev orne les niches illuminées par de discrets néons camouflés derrière les assises. De la simplicité, pour une atmosphère calme et voluptueuse, réchauffée par un parquet de chêne et une constellation de suspensions en verre soufflé issues de la collection Float de SkLO. Une nouvelle adresse où mettre nos sens en extase ! Pour en savoir plus, visitez le site de Studio Vincent Eschalier  Photographies : Studio Vincent Eschalier

Sept ans après son lancement, et de nombreuses négociations, la commune de Saint-Paul-lès-Dax (40) a inauguré en septembre dernier, la Plaine des sports, un immense complexe sportif de 20 hectares. Niché au c"ur de la forêt des Landes, le projet mené par l'agence OLGGA Architectes, associée à l'Atelier CAMBIUM, intègre enjeux environnementaux et paysagers avec brio. En 2011, l'accroissement de la population locale et la réquisition de deux anciens terrains de football pour la construction d'un collège ont mené la Municipalité à un constat : la nécessité de construire un complexe sportif de grande envergure, pouvant rassembler de nombreuses activités. Une initiative simple en apparence, qui a en réalité été semée d'embuches, notamment dans la recherche d'un emplacement autour de la commune, en raison de la présence d'espèces protégées " comme le Fadet des laîches (un papillon) ou l'Engoulevent d'Europe (un oiseau rare) ", dans les nombreux territoires humides environnants. Suite à une série d'analyses environnementales portant sur la faune et la flore locales, le choix des maîtres d'"uvre s'est porté sur une parcelle longitudinale, au nord-ouest de la ville, bordant une route départementale et accessible depuis un chemin pédestre à travers la forêt menant au lac de Christus, lieu de plaisance apprécié des habitants. Afin d'endommager le moins possible le site, les architectes ont imaginé un projet dense. Quatre terrains de rugby et football, dont une piste d'athlétisme et des aires de jeux pour enfants, prennent ainsi place en enfilade et en palier successifs " rattrapant ainsi la déclivité naturelle du site. Cette étendue d'herbe est par ailleurs ponctuée par deux bâtiments. À l'ouest, un premier édifice de deux niveaux semi-enterré, logeant vestiaires au rez-de-chaussée et espaces de réception à l'étage, domine la vaste zone d'entraînement extérieure. Son immense toiture en porte-à-faux protège d'un côté l'entrée des spectateurs et de l'autre les gradins de 500 places assises faisant face aux terrains. Au centre des aires de jeu, un second ouvrage de plain-pied héberge quant à lui des vestiaires supplémentaires et des locaux techniques de stockage et d'entretien. Une réalisation simple et élémentaire, remplissant parfaitement son objectif principal : offrir aux joueurs un lieu d'épanouissement. Pour en savoir plus, visitez le site d'OLGGA Architectes et de l'Atelier CAMBIUM Photographies : Stephane Aboudaram

Sept ans après son lancement, et de nombreuses négociations, la commune de Saint-Paul-lès-Dax (40) a inauguré en septembre dernier, la Plaine des sports, un immense complexe sportif de 20 hectares. Niché au c"ur de la forêt des Landes, le projet mené par l'agence OLGGA Architectes intègre enjeux environnementaux et paysagers avec brio. En 2011, l'accroissement de la population locale et la réquisition de deux anciens terrains de football pour la construction d'un collège ont mené la Municipalité à un constat : la nécessité de construire un complexe sportif de grande envergure, pouvant rassembler de nombreuses activités. Une initiative simple en apparence, qui a en réalité été semée d'embuches, notamment dans la recherche d'un emplacement autour de la commune, en raison de la présence d'espèces protégées " comme le Fadet des laîches (un papillon) ou l'Engoulevent d'Europe (un oiseau rare) ", dans les nombreux territoires humides environnants. Suite à une série d'analyses environnementales portant sur la faune et la flore locales, le choix des maîtres d'"uvre s'est porté sur une parcelle longitudinale, au nord-ouest de la ville, bordant une route départementale et accessible depuis un chemin pédestre à travers la forêt menant au lac de Christus, lieu de plaisance apprécié des habitants. Afin d'endommager le moins possible le site, les architectes ont imaginé un projet dense. Quatre terrains de rugby et football, dont une piste d'athlétisme et des aires de jeux pour enfants, prennent ainsi place en enfilade et en palier successifs " rattrapant ainsi la déclivité naturelle du site. Cette étendue d'herbe est par ailleurs ponctuée par deux bâtiments. À l'ouest, un premier édifice de deux niveaux semi-enterré, logeant vestiaires au rez-de-chaussée et espaces de réception à l'étage, domine la vaste zone d'entraînement extérieure. Son immense toiture en porte-à-faux protège d'un côté l'entrée des spectateurs et de l'autre les gradins de 500 places assises faisant face aux terrains. Au centre des aires de jeu, un second ouvrage de plain-pied héberge quant à lui des vestiaires supplémentaires et des locaux techniques de stockage et d'entretien. Une réalisation simple et élémentaire, remplissant parfaitement son objectif principal : offrir aux joueurs un lieu d'épanouissement. Pour en savoir plus, visitez le site d'OLGAA Architectes Photographies : Stephane Aboudaram

Passi'bat, les 11e journées de la construction passive, positive et durable, se tiendront les 20 & 21 mars 2018 – Paris Expo – Porte de Versailles, Hall 2.2 Chaque année, Passi'bat est le rendez-vous incontournable du bâtiment passif. Sur le salon, 100 exposants présenteront leurs innovations et les 4 000 visiteurs auront accès à plus … Cet article Passi'bat, les 11e journées de la construction passive, positive et durable est apparu en premier sur Planète Bâtiment.