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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17698 résultats)
Il y a 7 ans et 97 jours

Trophées Eurobois 2018 : cinq solutions techniques récompensées

PALMARES. A l'occasion du salon Eurobois, qui s'est tenu à Lyon du 6 au 9 février 2018, les Trophées ont distingué cinq produits et services innovants. Le jury a mis en avant les aspects environnementaux et ergonomiques des solutions, qui améliorent les performances ou le confort d'utilisation. Tour d'horizon.
Il y a 7 ans et 98 jours

Les Trophées Eurobois 2018 récompensent 5 lauréats

A l'occasion du salon EUROBOIS 2018 - le salon du bois, des techniques de transformation et de l'agencement, les Trophées EUROBOIS ont récompensé, le 7 février, 5 produits et services innovants qui se sont distinguées lors de cette édition par leur caractère nouveau et / ou innovant mais aussi par leurs apports en termes de performance par rapport aux autres produits du marché.
Il y a 7 ans et 98 jours

Des milliers de contributeurs pour la rénovation d'un château d'origine médiévale

Centre d'exposition ? Salle de concert ? Résidence d'artistes ? Les 25.000 nouveaux châtelains qui viennent d'acheter collectivement les ruines de La Mothe-Chandeniers doivent maintenant décider de l'avenir de cette folie poitevine noyée dans la végétation.
Il y a 7 ans et 98 jours

" A aucun moment, le Premier ministre ne remet en cause le projet GPSO ", Alain Rousset, président de la Nouvelle-Aquitaine

Le Moniteur a interrogé le président de la région Nouvelle-Aquitaine à l'issue du rendez-vous des élus avec le Premier ministre sur la question du Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO), vendredi 9 février. Et le ressenti du président de Nouvelle Aquitaine a été plutôt positif
Il y a 7 ans et 99 jours

Eurobois s'affirme comme Le salon de la filière bois en France

Eurobois, le salon du bois, des techniques de transformation et de l’agencement, a eu lieu du 6 au 9 février à Lyon Eurexpo, dans un contexte de tension sur la matière première chêne et la cohésion de la filière.
Il y a 7 ans et 101 jours

Les architectes arrivent en force sur le projet EuropaCity

Alliages & Territoires a dévoilé le nom des huit architectes chargés de  la conception des hôtels et des équipements culturels  de son projet EuropaCity. Bjarke Ingels, qui a élaboré le plan masse, dessinera la grande halle d'exposition.
Il y a 7 ans et 101 jours

Ludwig Heimbach Architektur : A Float of Immaterial Pleasures

Dans le cadre de l'exposition " Kenchiku Symposion " du Kyoto Art Center, situé dans l'ancienne capitale nippone, les architectes de l'agence Ludwig Heimbach Architektur basée à Cologne (Allemagne) installent une structure participative questionnant les interactions possibles mais aussi interdites dans l'espace public au Japon. Placé dans la cour du musée, l'installation s'intéresse aux prohibitions " parfois ridicules ", qui prévalent au Japon. Un thème original, qui a piqué la curiosité de l'agence allemande Ludwig Heimbach Architektur et l'a menée à l'"uvre A Float of Immaterial Pleasure " traduisez " un flot de plaisirs immatériels " ", axée sur deux interdictions des plus poétiques : celle de s'embrasser et celle de nourrir les oiseaux. Une édification étonnante composée d'une série de panneaux en contreplaqué et tissus, où alternent pleins et vides, formant trois boîtes permettant d'apprécier discrètement un baiser et pourquoi pas de fraterniser avec des volatiles à l'abri des regards. Un lien peu évident entre deux gestes éloignés qui a pourtant déjà inspiré le compositeur français Olivier Messiaen dans les années 1950 lorsqu'il décrivait les oiseaux comme " messagers des plaisirs immatériels ", et source d'influence majeure de l'agence pour cette réalisation. D'ailleurs, si la notion d'immatériel semble contradictoire avec la pratique architecturale, les concepteurs du projet ne semblent pas s'arrêter à cet oxymore et imaginent une connexion possible entre " plaisirs immatériels " et bâtis . L'"uvre contient en effet autant de matière qu'elle en est dénuée, puisqu'elle est dessinée pour être en perpétuelle évolution. En effet, les spectateurs sont invités à compléter la structure dans une ambiance sonore pensée par le musicien Carlo Peters, évoquant le sifflement des fauvettes. Afin d'ancrer la composition encore un peu plus dans le réel, les architectes la dotent de quatre petits bassins pour que les oiseaux viennent s'y baigner et s'y rafraîchir allègrement. En outre, quoi de plus précieux et d'immatériel qu'un baiser ? Volé, passionné, furtif, langoureux... tous trouveront leur place au c"ur des trois volumes spécialement conçus pour répondre à des postures propices aux embrassades. Et, à l'approche de la Saint-Valentin, difficile de faire plus romantique d'une étreinte cachée, rythmée par les gazouillis des oiseaux. Pour en savoir plus, visitez le site de Ludwig Heimbach Architektur Photographies : Nobutada Omote
Il y a 7 ans et 101 jours

Bibelo : Swim

À l'occasion du salon MAISON&OBJET de janvier dernier, l'éditeur de mobilier Bibelo présentait sa dernière collection : Swim. Margaux Keller, designer et directrice artistique de la maison parisienne y détourne les échelles de piscine dans une gamme de meubles aux lignes minimalistes. Originaire de Marseille (13), Margaux Keller a fait ses études à l'École Boule et à l'ENSAAMA (École Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d'Art) ", dont elle sort diplômée en 2010 grâce à son projet " Design(sans)vergogne ", où elle détourne avec malice nos habitudes " telles que lécher son bol ou boire la dernière goutte d'une bouteille de vin ", dans une collection d'objets. Après avoir été formée dans des agences comme celles de Philippe Starck, Eugeni Quitllet ou encore du groupe de recherche Fabrica de l'entreprise Benetton, elle crée son propre studio. Pour l'éditeur de mobilier parisien Bibelo, elle imagine une gamme de tables basses, chaises et fauteuils modulables ayant pour objectif de nous faciliter la vie. En effet, dotés d'une large anse, les meubles en métal laqué sont aisément déplaçables et peuvent ainsi s'adapter à toutes nos envies et tous nos besoins. " Mon objectif est de surprendre en jouant avec les codes du quotidien, je cherche à m'inspirer des habitudes de chacun à travers mes créations, avec poésie et élégance. " Margaux Keller, designer Décalé et innovant, le fauteuil Swim présente des proportions originales : le large dossier courbe, ici détourné de sa fonction originelle, qui devient également accoudoir. Décliné en version outdoor pour l'extérieur et baby pour les enfants, les différents éléments de Swim apporteront un clin d'"il d'excentricité à tous les foyers ! Pour en savoir plus, visitez le site de Bibelo Photographies : Bibelo Margaux Keller collection Swim pour Bibelo from on Vimeo.
Il y a 7 ans et 102 jours

Trophées Eurobois 2018 : 5 candidats récompensés

A l'occasion du salon Eurobois 2018 - le salon du bois, des techniques de transformation et de l'agencement, les Trophées Eurobois ont récompensé mercredi 7 février, 5 produits et services innovants remarquables par leurs apports en termes de performance par rapport aux autres produits du marché. L'aspect environnemental, le design, l'ergonomie ou encore l'apport en termes d'usage pour les professionnels ont aussi été des critères de sélection du jury.
Il y a 7 ans et 102 jours

Pezo von Ellrichshausen : Rode House

Au c"ur d'une prairie de l'île de Chiloé (Chili), le studio d'architecture Pezo von Ellrichshausen conçoit un havre de paix pour vacanciers. Contre vents et marées, la construction circulaire offre à ses résidants un abri protecteur et de majestueuses vues vers le lointain. Placé sur un léger promontoire, l'ouvrage de 60 mètres carrés imaginé par le duo d'architectes Mauricio Pezo et Sofia von Ellrichshausen consiste en une forme géométrique franche provenant de la soustraction d'un cône dans un demi-cylindre. Il offre aux plaisanciers venus passer leurs vacances loin de l'agitation des villes sud-américaines, deux vastes chambres avec salle de bain privées placées de part et d'autre d'un salon central, traversant, disposant d'une vue sur la mer à l'ouest et sur les immenses plaines verdurées de l'archipel à l'est. Les espaces de service " sanitaires et cuisine " sont quant à eux situés dans une zone technique intégrée dans l'épaisseur du mur longeant le patio central. Véritable enceinte protectrice contre les bourrasques de vent venant de l'océan, la construction bardée de lames de pin clair abrite une cour et deux terrasses coiffées par une toiture en tuile de cèdre noir, massivement ouvertes vers les prairies de l'est. La notion de refuge prend tout son sens dans le séjour semi-circulaire, point d'orgue du cottage, entièrement vêtu et meublé de bois de pin, et coiffé d'un plafond oblique sculptural. Une proposition originale pour le duo de maître d'"uvre adepte des architectures simples mais brutes en osmose avec leur environnement naturel, à l'image des fameuses Solo House et Poli House. La maison semble donc parfaite pour des vacances reposantes au c"ur de cette époustouflante région des lacs. Pour en savoir plus, visitez le site de Pezo von EllrichshausenPhotographies : Pezo von Ellrichshausen
Il y a 7 ans et 102 jours

Mobilier urbain : la gamme Atlantique explore le concept de salon d'extérieur

Marcher, jouer, s'asseoir? Partager l'espace urbain ou habite?, autant de postures qui renforcent et créent des liens et ce, sous… Cet article Mobilier urbain : la gamme Atlantique explore le concept de salon d’extérieur est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 103 jours

Grand Paris Express décalé : l'Essonne s'insurge

CALENDRIER. Après avoir appris les projets du Gouvernement en matière de décalage du Grand Paris Express, le département de l'Essonne, par la voix de son président François Durovray, s'inquiète des conséquences pour les franciliens.
Il y a 7 ans et 103 jours

Massproductions : Rose Chair

À l'occasion de la Stockholm Design Week de la capital suédoise, la jeune marque de mobilier locale Massproductions présente Rose, une chaise dessinée par son designer et cofondateur Chris Martin. Réalisée en bois stratifié, l'assise aux larges courbes répond à de multiples défis techniques. Des armoires penchées aux fauteuils creux, en passant par les tables en porte-à-faux, une chose est sûre : le studio de design suédois Massproductions aime défier la matière et la gravité. Pour sa nouvelle création, la chaise Rose, dont le nom provient de celui de sa petite fille, Chris Martin a fait le choix du bois stratifié décliné en quatre couleurs " chêne, noyer, érable et une dernière choisie par Rose elle-même et dévoilée pendant le salon. Un parti pris osé pour un dessin généreux en courbes. En effet, si ce type de moulage et d'assemblages est expérimenté depuis la fin des années 1930 notamment par de grands noms du design tels que Charles et Ray Eames, les assemblages qui en résultent sont fragiles et surtout complexes à réaliser, en particulier à cause de la finesse du matériau et de ses assemblages " ici de la colle. " Quand j'ai commencé le processus de conception, je cherchais un meuble signature qui exercerait une présence dominante dans une pièce et qui parlerait de lui-même. " Chris Martin, designer et cofondateur du studio Massproductions L'impression 3D a permis ainsi de réaliser de nombreux prototypes de formes et gabarits variés, facilement reproductibles en série. Une technique coûteuse et fastidieuse, mais une mission remplie avec brio ! Pour en savoir plus, visitez le site de Massproductions Photographies : Massproductions
Il y a 7 ans et 103 jours

Grand Paris Express : les élus mettent en garde contre des retards de deux ans

Le calendrier de construction du futur métro automatique de 200 km autour de Paris, risque d'être retardé de deux ans pour certaines lignes, a alerté mercredi 7 février François Durovray, président du conseil départemental de l'Essonne, qui juge un tel  retard " inadmissible ".
Il y a 7 ans et 104 jours

Les petites et moyennes agences d'architectures menacées

C'est dans le bâtiment de la Monnaie de Paris réhabilité par l'agence de Philippe Prost que d'architectures et la MAF ont organisé le 24 janvier dernier une soirée où étaient invités tous les abonnés de d'a. Cet événement leur a offert l'opportunité de visiter le musée et  l'exposition du 11 Conti, Women house. La maison selon elles. Lors des v"ux de bienvenue, Emmanuel Caille, rédacteur en chef du magazine a voulu rappeler les menaces qui pèsent aujourd'hui sur les...
Il y a 7 ans et 104 jours

Forum International de la Météo et du Climat

Créé en 2004, le Forum International de la Météo et du Climat (FIM), se déroulera à Paris du 2 au 5 juin 2018. Ce rendez-vous incontournable est devenu au fil des années un véritable laboratoire d'idée, de réflexion et d'innovation créant ainsi toutes les synergies possibles pour agir.
Il y a 7 ans et 104 jours

Skyscraper, la superproduction qui va ringardiser la Tour infernale

HOLLYWOOD. Dwayne 'The Rock' Johnson est de tous les films d'action américains. Son dernier rôle lui fait incarner le responsable de la sécurité de la tour Pearl à Hong Kong, un gratte-ciel fictif de plus d'un kilomètre de haut. Et les choses ne vont pas se passer comme prévu...
Il y a 7 ans et 105 jours

Tour de France pour les Tours en bois

Une exposition dédiée aux Immeubles à Vivre Bois sera inaugurée mercredi 6 février à la Maison de l'architecture en Ile-de-France à Paris 10e. Un parcours de près de soixante projets y seront présentés jusqu'au 25 février.
Il y a 7 ans et 105 jours

Domestic pools " L'architecture des piscines privées

Après "Landskating" et "La Boîte de Nuit", la villa Noailles poursuit son exploration des cultures architecturales propres aux lieux de divertissement. L'exposition d'architecture 2018, intitulée […] L'article Domestic pools – L'architecture des piscines privées est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 106 jours

Elcia fait un premier pas vers l'international en participant au salon R+T 2018

Du 23 février au 3 mars, ELCIA prend l'accent allemand à l'occasion de sa première participation au salon R+T. Une première participation qui rime avec découverte d'un nouveau marché et qui résonne comme une étape essentielle dans l'ambition internationale du Groupe ELCIA : devenir n°1 en Europe d'ici 2025.
Il y a 7 ans et 106 jours

Attribution des marchés publics : de la validité d'un critère " sous-traitance à des PME "

Alors qu'un décret est paru le 2 février pour favoriser la sous-traitance aux PME... mais seulement en outre-mer, Arnaud Latrèche, adjoint au directeur de la commande publique du conseil départemental de la Côte-d'Or, revient sur les dispositions issues de la réforme des marchés publics destinées à booster le recours aux PME ou artisans en sous-traitance. Et suggère d'explorer la piste d'un critère d'attribution relatif à la part que le soumissionnaire envisage de confier à des entités de taille modeste.
Il y a 7 ans et 106 jours

Trophées de la Construction 2018 : Ouverture des inscriptions

Les inscriptions pour les Trophées de la Construction 2018 sont désormais ouvertes et des nouveautés font leur apparition pour cette nouvelle édition. Au programme, de nouvelles catégories et une mise en avant du numérique. Récompenser les réalisations et innovations des acteurs du BTP Organisés par Batiactu en partenariat avec le groupe SMA et les principales organisations du secteur, les Trophées de la Construction ont pour but de valoriser les réalisations exemplaires et les innovations marquantes de l'ensemble des acteurs du Bâtiment. En 2017, 23 lauréats avaient été récompensés, pour près de 200 candidatures. Pour 2018, les Trophées annoncent l'apparition de nouvelles catégories récompensant des projets d'aménagement extérieur, paysagisme et infrastructures. Le numérique est aussi à l'honneur avec la création d'une mention BIM et d'un prix dédié aux logiciels, outils, services, équipements numériques et connectés. Les catégories des Trophées de la Construction 2018 - Constructions neuves et rénovations - Infrastructures - Aménagement extérieur et paysagisme - Solutions techniques, matériaux et équipements innovants d'industriels et de fabricants - Solutions techniques d'artisans - Métiers d'arts - Logiciels, outils, services . solutions numériques pour le chantier   Le palmarès sera dévoilé le 11 septembre 2018 lors d'une cérémonie rassemblant plus de 300 professionnels. S'inscrire : Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 15 avril 2018. Les dossiers d'inscription et le règlement sont disponibles : - Sur le site   - Par email à trophees@batiactugroupe.com - Par téléphone au 01 53 68 40 28
Il y a 7 ans et 106 jours

Les " Rencontres Techniques KP1 " reviennent en 2018

KP1 persiste et signe ! Après son " Chantier constructif tour 2017 ", le spécialiste des systèmes constructifs préfabriqués en béton a annoncé un nouveau tour de France, celui des " Rencontres techniques 2018 ". S'inscrivant dans la logique d'accompagnement du groupe, ces rendez-vous s'adressent aux bureaux d'études structures et bureaux de contrôle, leur permettant de revenir sur les différentes techniques et réglementations à respecter.
Il y a 7 ans et 108 jours

La gamme de céramique Built chez CAESAR version XXL

La céramique n'est pas discipline olympique, mais chaque nouvelle édition du CERSAIE, salon phare de l'industrie italienne du carrelage se… Cet article La gamme de céramique Built chez CAESAR version XXL est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 108 jours

Tom Blachford : Nihon Noir

Tokyo, Japon, muse artistique. De Gaspar Noé à Sofia Coppola, les contrastes lumineux offerts par la métropole nippone fascinent, inspirent et nous plongent dans un monde futuriste, presque irréel. Les photographies de l'artiste australien Tom Blachford ne font pas exceptions et nous immergent dans ce Tokyo cinématographiques aux néons éclatants et aux tonalités uniques. Largement influencé par l'architecture moderniste d'après-guerre de Kenzo Tange, Blachford tente, à travers ses prises de vue, de retranscrire l'atmosphère mystérieuse, typique des films de science-fiction, des édifices d'ampleur tokyoïtes. Nihon Noir, une série entièrement capturée de nuit, sans aucune présence humaine, qui rend hommage à une vingtaine de bâtiments iconiques de la métropole, comme le Centre de presse et de diffusion de Shizuoka, le siège de Fuji TV " tous deux conçus par Tange ", ou encore le Nagakin Capsule de Kisho Kurokawa. Un travail d'orfèvre qui a nécessité six jours de déambulations dans la Capitale, des heures d'explorations, et pour résultat des dizaines de points de vue différents trouvés menant au cliché parfait, celui qui retraduira en image l'ambiance sans égal qui règne dans la ville. " Mon objectif pour la série était de communiquer le sentiment qui m'a frappé la première fois que j'ai visité Tokyo, celui qui vous transporte dans cet univers parallèle avancé et étonnant. " Tom Blachford, photographe Avec une palette chromatique très saturée, notamment due à la présence exacerbée de néons et autres éclairages colorés, le photographe reproduit ce qui pourrait être une cité céleste destinée à accueillir les habitants de la Terre dans un univers post-apocalyptique. Une série qui, à travers l'architecture passée, parvient à projeter le spectateur dans le futur. Pour en savoir plus, visitez le site de Tom Blachford Photographies : Tom Blachford
Il y a 7 ans et 109 jours

Walters & Cohen Architects : Vajrasana Buddhist Retreat

Fuir le stress dû au travail, au métro et à la vie en général, à quelques heures de Paris en train ? Grâce à la réalisation de l'agence Walter & Cohen Architects dans la région du Suffolk (Angleterre), c'est désormais possible. En effet, celle-ci a imaginé un lieu de retraite bouddhiste relaxant, perdu dans la campagne. Les maîtres mots de ce cloître ? Luxe, calme et volupté. Situé dans un environnement forestier d'une grande beauté, l'ensemble de 1 355 mètres carrés prend place dans une ancienne ferme datant des années 1900, que le studio britannique a été chargé de rénover afin d'y héberger une soixantaine de personnes et d'y intégrer une salle de culte de manière à créer un centre de retraite plus que complet. Elle-même inscrite dans une démarche bouddhiste, l'architecture du lieu est imaginée de façon à ce que l'ensemble ait le moins d'impact possible sur son environnement et le cottage préexistant. On retrouve également la philosophie minimaliste du courant de pensée dans le choix de matériaux simples " comme le bois ou la pierre ", et dans l'esthétique épurée. Organisés autour d'une série de cours, de sentiers et de jardins zen, les constructions forment un cloître, un périmètre protectif correspondant aux besoins d'isolement induits par une retraite. Quatre blocs se distinguent alors. Un bâtiment en L accueille les espaces communs " salon, salle à manger, cuisine, buanderie etc. ", ainsi que cinq chambres pouvant accueillir quatre personnes à chaque et deux salles de bain ; au nord de cet édifice, une barre à la toiture crénelée de plain-pied est pour sa part consacrée aux seize autres dortoirs dont la capacité varie entre deux et quatre lits. À l'est, un large parallélépipède est entièrement dédié au culte et comprend une salle de prière et deux patios aux statues bouddhistes imaginées par le London Buddhist Centre (LBC). Un lieu empli de quiétude qui changerait bien de l'effervescence parisienne ! Pour en savoir plus, visitez le site de Walter & Cohen Architects Photographies : Jim Stephenson
Il y a 7 ans et 109 jours

Doras tient salon dans un climat de confiance retrouvée

Les 1er et 2 février se tient à Dijon le salon Doras. Une fierté pour la filiale du Groupe Samse, qui met en relation ses clients artisans, ses équipes et ses fournisseurs durant deux jours, sur 10 000 m².
Il y a 7 ans et 109 jours

Le salon de l'alternance et de l'apprentissage de Paris sous tension

Alors que le salon de l’apprentissage ouvre ses portes à Paris, les organisations professionnnelles, dont la FFB, espèrent convaincre les jeunes d'entrer dans les métiers du BTP, actuellement sous tension...
Il y a 7 ans et 110 jours

Leandro Erlich : Sous le ciel

Magasin emblématique de la capitale française, le Bon Marché accueille jusqu'au 18 février l'exposition " Sous le ciel " de l'artiste argentin Leandro Erlich. Une carte blanche qui donne lieu à des installations étonnantes, offrant à la galerie commerciale parisienne une atmosphère éthérée et poétique. L'art et le Bon Marché font décidément " bon ménage " ! Après avoir invité le plasticien chinois Ai Weiwei en 2016 ainsi que les esthètes Edoardo Tresoldi et Chiharu Shiota en 2017, c'est désormais au tour du sud-américain Leandro Erlich de réinterpréter l'intérieur du bâtiment érigé par Louis-Charles Boileau au XIXe siècle. Inspiré du célère titre Sous la pluie d'Edith Piaf, l'artiste ne propose pas ici une simple incursion dans le lieu mais bel et bien une exhibition complète, jouant de la frontière entre réel et imaginaire. " Perturber la perception de l'environnement n'est pas un but en soi, je cherche plutôt à ce que le public se demande si ce qu'il voit est réel ou non. " Leandro Erlich, artiste  Comme à son habitude, Erlich défie les lois du possible et nous emmène avec lui dans un monde fantasque, bien loin de nos précipitations quotidiennes. Dès lors, bien que la pluie nous ait trempé dans notre trajet jusqu'au grand magasin, l'univers magique proposé par l'artiste nous permet de faire nos emplettes sous un ciel bleu simplement ponctué de quelques cumulus. Une forme de nuage que l'on retrouve dans les vitrines du Bon Marché où de la brume emprisonnée flotte entre deux plaques de verre. Mais sa plus grosse intervention consiste ici en la transformation de l'iconique escalator, originellement conçu par Andrée Putman en 1990. Sous l'imagination du plasticien, ses rampes se tordent, se nouent et font même douter les flâneurs quant à leur destination finale. Et pas question que ceux qui préfèrent prendre l'ascenseur ne soient pas eux aussi troublés dans leurs cheminements puisque l'artiste y place, face au miroir originel, une autre glace reflétant à l'infinie les visages médusés des usagers. Tout un programme promettant de nous sortir quelques instants de la grisaille et des averses parisiennes ! Exposition " Sous le ciel ", jusqu'au 18 février 2018 au Bon Marché, Paris (7e) Pour en savoir plus, visitez le site de Leandro Erlich Photographies : Gabriel de La Chapelle
Il y a 7 ans et 110 jours

Fondasol structure son département Instrumentations, Auscultations et Mesures (IAM)

Acteur référent dans le domaine géotechnique, Fondasol ajoute une compétence supplémentaire à son offre avec le département Instrumentations, Auscultations et Mesures, dirigé par Jean-Pierre Briquet.
Il y a 7 ans et 110 jours

R+T, le rendez-vous triennal de la protection solaire à Stuttgart

Avec 900 exposants sur 120 000 m², R + T s'affiche comme le plus grand salon mondial du secteur. Quelques sociétés françaises, comme Elcia, ont franchi le pas pour aller présenter leurs solutions Outre-Rhin.
Il y a 7 ans et 111 jours

Le Corbusier au Musée Soulages

Dans une exposition rétrospective et introspective, Le Corbusier s'expose au Musée Soulages de Rodez jusqu'au 20 mai prochain.
Il y a 7 ans et 111 jours

Événement : Exposition " Globes "

  Depuis l'origine, les hommes ont imaginé et cherché à illustrer ce qui se trouvait au-delà de l'horizon, déclinant notre planète sous une forme plane, puis de coupole, et enfin de sphère au XVIIe siècle. La 2D devenait alors 3D. Un changement si radical qu'il n'aurait pu échapper aux architectes qui s'en saisirent dans leurs projets. Une fascination que la Cité de l'Architecture et du Patrimoine de Paris (16e) propose de redécouvrir au travers de l'exposition " Globes ". Il est de ces histoires " avec un petit comme avec un grand H ", qui tiennent parfois du miracle tant elles ne semblent être dues qu'aux seules tribulations du hasard. " Globes " est l'une d'elles ; la définition même de la sérendipité : une découverte réalisée au hasard de recherches portant sur un autre sujet.L'aventure de cette exposition, et avant elle, de cette thématique de recherche, commence ainsi avec une discussion : celle de son commissaire, Yann Rocher " historien de l'architecture et enseignant ", avec un musicien à qui il demande quelle serait sa salle de concert idéale. Le mélomane répond qu'elle serait sphérique et tournante. Il n'en fallait pas plus pour piquer la curiosité de Yann Rocher. Ce touche-à-tout et chercheur en sciences sociales a exploré des sujets aussi passionnants qu'atypiques : les théâtres utopiques ou encore l'histoire des théories et représentations de la destruction dans la culture allemande, avant de se lancer dans un tel projet. Une transversalité et une ouverture à l'image du sujet décliné en 15 thèmes et 90 projets, présenté à la Cité de l'architecture et du patrimoine jusqu'au 26 mars. Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles. " L'exposition "Globes" s'adresse aux amateurs de merveilleux comme aux assoiffés d'érudition. Elle révèle en creux la succession de visions sur la planète : fragment du cosmos pour les hommes de la Renaissance, enjeu de conquête scientifique à partir des Lumières, milieu à protéger depuis l'entrée dans l'ère de l'anthropocène. " Yann Rocher, commissaire de l'exposition " Globes " De l'Antiquité à nos jours, la manifestation tente de retracer l'évolution de la vision sphérique de notre planète. Celle-ci commence au premier siècle avant Jésus-Christ dans les temples romains, dont le plus digne représentant est le Panthéon de Rome construit aux alentours de l'an 125 ; symbolisation s'il en est de la voûte terrestre. Puis " Globes ", fait un saut dans le temps et transporte le visiteur au XVIIIe siècle, siècle des Lumières et de l'invention du planétarium, dont la forme n'est plus liée à un imaginaire mais à une théorie scientifique, celle de Galilée, développée un siècle auparavant grâce à l'observation directe des planètes, qu'avait introduite Copernic au XVIe siècle. Avec ces deux figures, c'est tout une représentation du monde qui change. À l'ethnocentrisme succède l'héliocentrisme. Un changement de paradigme, qui met fin aux interprétations erronées, mais qui n'entache en rien l'imagination des architectes. Finalement, voûtes, tholos, rotondes et monoptères se succèdent entre les murs de la Cité de l'architecture et de patrimoine, par le biais de planches didactiques " il n'en fallait pas moins pour appréhender un sujet aussi complexe que complet ", et de fascinantes maquettes " dont une grande partie a été spécialement réalisée en impression 3D pour l'événement ", avant de mener à la première sphère architecturale, celle imaginée par Louis-Étienne Boullée, parangon en la matière.Puis vient le XIXe siècle et avec lui le développement des Expositions universelles, durant lesquelles les architectes rivalisent d'imagination et multiplient les géoramas et panoramas tridimensionnels de la Terre par le biais desquels les visiteurs peuvent explorer le globe terrestre, depuis l'intérieur comme l'extérieur. Une course à la représentation à laquelle Yann Rocher donne le nom de " ballet sphérique ", à l'image de cette époque de mondialisation et d'ouverture sur le monde où chaque Nation tente alors d'imposer symboliquement sa grandeur.Au début du XXe siècle elle est même le support de la propagande soviétique, avant de devenir le symbole d'une conquête à la fois politique et scientifique : celle de l'espace. Soviétiques et Américains se lancent alors dans une lutte acharnée. En 1957, l'URSS réalise la mise en orbite du premier satellite mondial, Spoutnik. Un affront auquel les États-Unis répondent par le programme Apollo, qui mènera l'Homme au-delà d'une frontière qu'il n'avait jusque-là jamais franchie, celle de la Terre, foulant alors le sol de la Lune. Une révolution et une victoire symbolique sur l'ennemi fièrement mise en scène dans le dôme imaginé par Shoji Sadoa et Buckminster Fuller pour l'US Pavilion exposé à Montréal (Canada) en 1967. Finalement ce n'est pas ici la forme qui compte mais avant tout l'imaginaire qu'elle a suscité, notamment dans l'architecture. Un domaine qui rencontrait alors la géographie, l'astronomie, puis la science-fiction. Les planches et modèles réduits de l'exposition montrant peu d'exemples bâtis existants, on en vient à se demander lesquels de ces 90 projets affiché, ont été réalisés ou simplement fantasmés. Et n'est-ce pas ici tout l'intérêt d'une telle exposition surfant à la frontière des représentations scientifiques et artistiques, aux confins de l'imaginaire et du réel ? " Globes ", jusqu'au 26 mars à la Cité de l'architecture et du patrimoine, Palais de Chaillot, Paris (16e) Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité de l'architecture et du patrimoine Photographies/Illustrations :1) Pavillon des USA pour l'Exposition universelle de Montréal, R.Buckminster Fuller,S.Sadao,P.Chermaye,T.Rankie,I.Chemaye,1967 ©Estate of Buckminster Fuller3) Intérieur du Panthéon à Rome, Giovanni Paolo Panini, 1747 ©Cleveland Museum of Art4) Étienne-Louis Boullée, projet de cénotaphe de Newton, élévation géométrale ©BNF, Estampes et photographie5)Maquette de la Terre, Leicester Square, Londres, Illustrated London News, 1851 ©DR6) Géorama, paru dans L'illustration, 1846 ©DR7) Monumento colosal en memoria de Cristobal Colon, Chicago et Paris, Scientific American (detail), 1890 ©D.R.8) Globe céleste (ou Cosmorama), 1897-1900, Le Figaro illustré n°128, novembre 1900 ©DR9) Alfons Mucha, Pavillon de l'Homme, deuxième version, 1897 ©Galerie nationale de Prague-NG K 3163410) Elisée Reclus, Globe terrestre au 320 000me pour l'Exposition universelle de Paris, 1900 ©Archives Nationales11) Elisée Reclus, Globe terrestre pour l'Exposition universelle de Paris, 1900. Coupe ©SIAF-CAPA-Archives d'architecture du XXe siècle Fonds Bonnier12) Aerial Globe et Globe tower, Saint Louis World's Fair et Coney Island, 1901-1908 ©DR13) Construction du globe de l'Office central du télégraphe Moscou, Arkady Shaikhet, 1928 ©Coll of Alex Lachmann-Courtesy of Nailya Alexander Gallery14) Photographie des maquettes 2 et 1, 1965 ©NASA Langley Research Center (NASA-LaRC)-LRC-1965-B701_P-05579 Les Puces du design, du 9 au 12 novembre à Paris Expo, Hall 3.1, Portes de Versailles, Paris (15e)
Il y a 7 ans et 111 jours

Francisco Mangado : Palais des congrès et hôtel

Face à la mer, le long de la rocade principale de Palma de Majorque (Espagne), le maître d'"uvre basque Francisco Mangado livre le Palais des congrès de la ville et son hôtel de luxe. Composé de deux édifices aux écritures architecturales distinctes reliés par une passerelle, l'ensemble offre aux visiteurs de généreux espaces d'exposition et de repos mais aussi une imprenable vue sur l'océan. Situé sur le front de mer de la cité balnéaire, à seulement quinze minutes en voiture de l'aéroport et à quelques pas du centre historique et du port, le Palais des congrès de Palma de Majorque et son hôtel de luxe, sont stratégiquement placés. En effet, le projet porte de grandes ambitions pour le développement économique de la ville puisqu'il devrait accueillir annuellement plus de 80 000 personnes de toute nationalité. Sur une parcelle longitudinale bordée au nord par une avenue passante et au sud par l'autoroute côtière, le parti pris architectural de Francisco Mangado est simple : créer deux bâtiments à la volumétrie, au style et à la matérialité différentes, unis par le traitement de leur socle et par la passerelle qui les relie. À l'ouest serpente l'édifice principal de 58 500 mètres carrés de surface de planchers, posé sur des piliers en pierre blanche, dont le rez-de-chaussée très ouvert est pensé comme une extension en creux de la place qui lui fait face, côté mer. Le point central de cet édifice tout en longueur est un hall en triple hauteur qui héberge d'un côté, deux auditoriums de 1 900 et 500 places et 6 400 mètres carrés de salles de réunion ; et de l'autre une vaste zone d'exposition en double hauteur de 1 600 mètres carrés, dotée d'une mezzanine de 700 mètres carrés. Il arbore pour sa part une épaisse enveloppe quadrillée de 420 mètres de long, largement vitrée et rythmée par d'imposants refends en béton. Réalisés par le constructeur de façade français WICONA, ces murs non porteurs de 5 mètres de profondeur légèrement en biais, sont en réalité d'imposants brise-soleil permettant d'atténuer l'intensité des rayons du soleil, très forts sur cette partie du globe, afin d'éviter une éventuelle surchauffe intérieure mais aussi d'offrir de magnifiques cadrages sur la mer.À l'est, l'hôtel, comprenant 270 chambres, un spa de 700 mètres carrés et une piscine sur le toit, est pour sa part constitué de deux monolithes en pierre massive calcaire de forme triangulaire de six et neuf étages percés par des fenêtres en bandeau. Entre les deux ouvrages, dans le prolongement du troisième et dernier étage du lieu de manifestation, un appendice de verre et de béton permet de lier cette partie en zigzag au salon et au bar de la zone d'hébergement, surplombant un vaste espace public au sol. Un projet titanesque mais une réalisation simple et efficace qui s'impose comme un nouvel emblème sur la côte de l'île espagnole. Pour en savoir plus, visitez le site de Francisco Mangado Photographies : Art Sánchez Photography  
Il y a 7 ans et 111 jours

De la Terre à la Lune avec Foster + Partners

Le 1 septembre 2017, Foster + Partners, du moins son département Technologie, a gagné le premier prix du concours ?3D Printed Habitat Challenge' organisé par […] L'article De la Terre à la Lune avec Foster + Partners est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 112 jours

EUROBOIS 2018 : un salon à dimension internationale au c"ur d'une région dynamique

Avec 380 exposants attendus sur une surface d'exposition de 30.000 m2 en hausse de 20% par rapport à 2016, l'édition 2018 du salon EUROBOIS, organisée au c"ur de la première région française de la transformation du bois, s'annonce prometteuse. Durant 4 jours, du 6 au 9 février, 23.000 professionnels sont attendus pour découvrir nouveautés et tendances de la filière.
Il y a 7 ans et 112 jours

Le logement étudiant en quête d'un standard constructif performant

Modulaire, économique, performant, mixte ? Le second plan de construction de logements étudiants est lancé mais sans que le premier n’ait fait émerger un standard constructif de fait.
Il y a 7 ans et 112 jours

"Le Grand Paris Express sera obsolète au moment d'être livré", J-L. Missika

ECHANGES. Jean-Louis Missika, adjoint à la mairie de Paris, en appelle à une "révolution copernicienne" du mode de gouvernance de la métropole du Grand Paris. Un souhait qui fait réagir Pierre Veltz, grand prix de l'urbanisme 2017. Les deux spécialistes échangeaient leurs vues, le 29 janvier 2018, lors d'un débat organisé à Paris par la Fabrique de la ville.
Il y a 7 ans et 112 jours

Événement : Guillaume Delvigne chez Gabriel

Jusqu'au 2 février, le showroom du fabricant de tissus danois Gabriel, situé dans le 1er arrondissement de Paris, expose les réalisations du designer Guillaume Delvigne pour quatre maisons françaises : Monolithe édition, Orchid Edition, Dasras et HART". L'occasion de (re)découvrir une figure incontournable de la nouvelle scène tricolore. Originaire de Saint-Nazaire (44), Guillaume Delvigne a fait ses études à l'École de Design de Nantes Atlantique et à l'École Polytechnique de Milan (Italie), dont il sort diplômé en 2002. Après avoir fait ses débuts chez l'éditeur italien Industreal et le designer anglais George J. Sowden, cofondateur du mouvement Memphis, il s'installe à Paris et crée en 2011 sont propre studio. Aujourd'hui, membre du collectif de design Dito, il mène autant des projets pour de grandes maisons françaises et étrangères, telles qu'Hermès ou Givenchy, que pour de plus jeunes comme La Chance, ou ENOstudio. Lors de cette courte exposition organisée par Gabriel, quatre collections du créateur ligérien mettant en scène des tissus de la marque danoise seront exposées : la chaise Eora dessinée pour Monolithe édition, la gamme de table et de chaise Chevron pour Dasras, les banquettes et fauteuils Georges édités par HART", et des meubles en rotin imaginés pour Orchid Edition, spécialement dévoilés durant l'événement. Le point commun entre toutes ces réalisations ? Du mobilier aux formes simples mais " à la forte personnalité, bien campés sur de solides jambes ", comme le livre Guillaume Delvigne, prônant une utilisation généreuse du bois, inspirée d'éléments de charpenterie à la manière de la poutre centrale et du piétement de la table Chevron. Guillaume Delvigne chez Gabriel, jusqu'au 2 février au showroom Gabriel à Paris (1er). Pour en savoir plus, visitez le site de Guillaume Delvigne et de Gabriel Photographies : Guillaume Delvigne
Il y a 7 ans et 112 jours

Hiroyuki Ogawa Architects : Appartement 402

Au 4e étage d'une tour en béton située au c"ur du foisonnant quartier de Shibuya à Tokyo (Japon), l'agence locale Hiroyuki Ogawa Architects réalise la rénovation d'un studio de 34 mètres carrés pour un couple. Un havre de paix à l'aménagement minimaliste qui inspire la quiétude, bien loin de l'agitation ambiante. Dans la capitale nippone, les mètres carrés sont de plus en plus rares et chers. Chaque surface, même la plus petite, est donc aussi précieuse que son aménagement doit être pertinent. Cela, Hiroyuki Ogawa, l'architecte en charge de la rénovation d'un appartement de 34 mètres carrés pour un couple l'a bien compris. Il propose alors une partition spatiale originale où la salle de bain " un espace souvent mis de côté par les citadins japonais en manque d'espace ", placée sous une mezzanine où se trouve la chambre des époux, est presque aussi grande que le séjour en double hauteur largement vitré sur lequel elle s'ouvre grâce à de simples portes coulissantes en bois, à la manière des traditionnels shojis japonais. Au plafond, le maître d'"uvre a imaginé un drôle de creux qui enveloppe l'aire de couchage et une partie du salon, procurant une dimension encore plus intime au lieu. Le tout, est baigné dans les tons beiges du carrelage et des murs enduits de plâtre. Les planches de bois des cloisons mobiles disposées en biais, apportent à l'ensemble minimaliste une touche de chaleur et de singularité. Un cocon douillet, où l'on rêverait de se prélasser. Pour en savoir plus, visitez le site de Hiroyuki Ogawa Architects Photographies : Kaku Ohtaki
Il y a 7 ans et 113 jours

Aquibat mise sur l'innovation

Delphine Demade, directrice d'Aquibat, fait le point sur l'organisation du salon et met l'accent sur la volonté de mettre l'innovation au c"ur de ce rendez-vous professionnel. L'article Aquibat mise sur l'innovation est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.
Il y a 7 ans et 113 jours

Nicole Concordet : Le Confort Moderne

Le confort moderne ? Derrière cet étrange nom désignant un groupe d'anciens hangars agricoles, se trouve le nouveau centre multiculturel de Poitiers (86) qui réunit physiquement et administrativement une galerie d'art, une salle de concert, un club, un bar et des locaux associatifs, après trente ans de fonctionnement séparé. Une réhabilitation et extension signée par Nicole Condorcet dont le seul précepte est le respect du passé. Le 20 mai 1985, rue du Faubourg du Pont Neuf à Poitiers, ce qui fut une ancienne usine d'engins agricoles puis des entrepôts d'appareils électroménagers nommés Confort.2000, s'ouvrait au public. Le résultat : 8 500 mètres carrés repartis en quatre édifices hébergeant une galerie d'art, une salle de concert, et des locaux associatifs mis à disposition des habitants, dédiés à l'expression artistique et musicale. Dans ce quartier à la fois périphérique et industriel, situé à l'est du centre-ville, le projet avait dès sa création entraîné " une levée de bouclier ", comme le livre Alain Claeys, Maire actuel de Poitiers. En effet, à l'époque, personne n'imaginait que ce type d'équipement puisse avoir sa place dans une zone pavillonnaire et dans un lieu si éloigné de la typologie habituelle des institutions muséales et aussi peu adapté aux usages, composé de bâtiments mitoyens aux plafonds bien trop bas qui ne communiquent pas entre eux, sans parvis commun à proprement parlé et avec des circulations peu fluides. Cependant, année après année, le Confort Moderne est devenu un lieu de réunion approprié par la population locale et un emblème culturel pour la ville. " Il y a un préalable, rajoute Nicole Condorcet. L'usage des mots n'est pas gratuit. " En septembre 2017, après seize mois de travaux, l'établissement, devenu vétuste et toujours plus impropres à ses usages, fait peau neuve, sous la houlette de Nicole Concordet, ayant notamment fondé l'agence Construire avec Patrick Bouchain et Loïc Julienne en 1998. La réhabilitation des quatre anciennes halles industrielles, prenant place sur une vaste parcelle rectangulaire, se veut la plus respectueuse et la plus simple possible, selon la recette qui a fait le succès de l'architecte " seul l' " abattoir " placé à l'ouest du site en état de délabrement avancé a été détruit et remplacé par une cour technique. " Le lieu était arrivé à la limite de ses possibilités. Il fallait le faire basculer vers le futur ", précise la conceptrice. Mais " il fallait respecter 30 années d'expression et de travail préalables ".Pour cela, le maître d'"uvre a décidé de garder l'emplacement et la fonction d'origine des édifices de plain-pied, mais en les ouvrant les uns aux autres, limitant les interventions au minimum.L'entrée, un simple passage entre deux maisons d'une rue résidentielle, n'a pas changée. Le duo d'artistes allemands Lang & Baumann y a simplement peint sur la façade d'une d'entre elles une fresque psychédélique aux couleurs pop, apportant une dimension totémique à la modeste demeure mais surtout un repère visuel pour les curieux qui chercheraient l'accès de ce discret ensemble enclavé. Depuis la cour principale, point d'orgue physique et symbolique, se trouve l'entrepôt principal hébergeant la galerie d'art de 1 100 mètres carrés. Juxtaposé perpendiculairement à lui,un second hangar logeant la réception, un bar et un club de musique de 250 places ; tandis qu'en face est disposée une troisième halle, qui accueille pour sa part une salle de concert d'une capacité de 800 personnes. Afin de compléter la riche offre culturelle du site, deux bâtiments en bois de deux niveaux, ont été rajoutés : à l'ouest 12 résidences d'artistes et trois studios d'enregistrement, et à l'est, des bureaux, une cuisine et la Fanzinothèque " collection de fanzines et de petites éditions. L'ensemble des toits a ensuite été rehaussé de 2 à 5 mètres, pour des espaces plus généreux et plus adaptés aux pratiques. Le tout harmonisé sous une couverture en zinc noir. De part et d'autre du hangar fondateur, le parvis et la cour technique " située entre les logements et la halle d'origine ", sont quant à eux abrités par une toiture dentelée en polycarbonate translucide qui crée un lien physique entre les parties d'un tout enfin unifié. Soucieuse de préserver l'identité industrielle de l'ancienne friche et fidèle à sa démarche de réemploi des matériaux, Nicole Condorcet a fait le choix de conserver le maximum d'éléments architecturaux existants. Les anciennes structures métalliques supportant les sheds, alors débarrés de leurs vielles tôles ondulées servent, par exemple, aujourd'hui de supports scéniques pour les spectacles et les expositions, tout en témoignant de l'histoire du lieu. La cabane de chantier, où se déroulaient les réunions quotidiennes des artisans, étudiants bénévoles et des maîtres d'ouvrage, a quant à elle été élaborée à partir de matériaux trouvés sur le site. Une démarche, mêlée à la promesse d'un chantier court, qui a séduit le maître d'ouvrage : la Ville. Un projet inscrit autant dans une volonté de réappropriation et de sauvegarde du patrimoine architectural de Poitiers, que dans un processus social et culturel de la Commune, qui manque cependantd'un parti pris urbain fort. Mais c'est peut-être finalement ici qu'en réside toute sa richesse. Pour en savoir plus, visitez le site de Nicole Concordet Photographies : Pierre Antoine; Lang & Baumann et Nicole Concordet  
Il y a 7 ans et 115 jours

Patkau Architects : Hadaway House

Placé sur un terrain abrupt dans la vallée de Whistler (Canada), ce chalet facetté détonne par sa forme ovniesque posée sur un site tout de blanc recouvert. Une silhouette cristalline qui n'est pas choisie sans raison puisqu'elle permet d'éviter tout amoncellement de neige, tout en offrant à ses résidents une vue imprenable sur le Grand Nord. Originaire de Vancouver (Canada), le studio Patkau Architects conçoit cette demeure de trois niveaux de 460 mètres carrés de surface de plancher régie par de multiples contraintes. En effet, plusieurs défis attendaient les maîtres d'"uvre : tout d'abord, le lieu, à la forme complexe " offrant juste assez de superficie pour y placer un garage ", selon les dires de l'agence. Ensuite, l'accumulation de neige qui encombre les logements de cette station de sports d'hiver. Deux problématiques réglées grâce à une seule et même solution : une forme inhabituelle mais adaptée à la vallée de Whistler : un toit à forte inclinaisonassocié à une structure hybride insérée entre des roches escarpées " béton à l'étage inférieur puis alliage d'acier composite et de bois massif pour les niveaux supérieurs. L'ensemble est revêtu de lames de bois, rappelant les façades des chalets traditionnels, mais entourés de larges baies vitrées obliques. De plus, grâce à la forme atypique du bâtiment, des fentes lumineuses ont pu être créées, éclairant ainsi l'intérieur de la lumière blanche d'un pays enneigé. Une proposition sculpturale qui permet d'obtenir de larges volumes, offrant des perspectives sans égal sur ce paysage montagnard. Divisée en deux, la maison accueille au rez-de-chaussée des chambres d'hôtes, un lieu de vie et une indispensable pièce pour entreposer le matériel de ski et les vêtements humides. L'étage du dessus, lui, comprends une unique espace abritant salon, salle à manger et cuisine des propriétaires qui s'ouvre sur une terrasse extérieure. Pour finir, une mezzanine dissimule une suite parentale. Une réalisation contemporaine qui réveille l'architecture de montagne vernaculaire. Pour en savoir plus, visitez le site de Patkau Architects Photographies : James Dow
Il y a 7 ans et 115 jours

Patkau Architects : Hadaway House

Placé sur un terrain abrupt dans la vallée de Whistler (Canada), ce chalet facetté détonne par sa forme ovniesque posée sur un site tout de blanc recouvert. Une silhouette cristalline qui n'est pas choisie sans raison puisqu'elle permet d'éviter les amoncellements de neige, tout en offrant à ses résidents une vue imprenable sur le Grand Nord. Originaire de Vancouver (Canada), le studio Patkau Architects conçoit cette demeure de trois niveaux de 460 mètres carrés de surface de plancher régie par de multiples contraintes. En effet, plusieurs défis attendaient les maîtres d'"uvre : tout d'abord, le lieu, à la forme complexe " offrant juste assez de superficie pour y placer un garage ", selon les dires de l'agence. Ensuite, l'accumulation de neige qui encombre les logements de cette station de sports d'hiver. Deux problématiques réglées grâce à une seule et même solution : une forme inhabituelle mais particulièrement adaptée à la vallée de Whistler : un toit à forte inclinaison associé à une structure hybride insérée entre des roches escarpées " béton à l'étage inférieur puis alliage d'acier composite et de bois massif pour les niveaux supérieurs. L'ensemble est revêtu de lames de bois, rappelant les façades des chalets traditionnels, mais entourés de larges baies vitrées obliques. De plus, grâce à la forme atypique du bâtiment, des fentes lumineuses ont pu être créées, éclairant ainsi l'intérieur de la lumière blanche d'un pays enneigé. Une proposition sculpturale qui permet d'obtenir de larges volumes, offrant des perspectives sans égal sur ce paysage montagnard. Divisée en deux, la maison accueille au rez-de-chaussée des chambres d'hôtes, un lieu de vie et une indispensable pièce pour entreposer le matériel de ski et les vêtements humides. L'étage du dessus, lui, comprend une unique espace abritant salon, salle à manger et cuisine des propriétaires qui s'ouvre sur une terrasse extérieure. Pour finir, une mezzanine dissimule une suite parentale. Une réalisation contemporaine qui réveille l'architecture de montagne vernaculaire. Pour en savoir plus, visitez le site de Patkau Architects Photographies : James Dow