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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17697 résultats)
Il y a 7 ans et 171 jours

Avec La Coque, le numérique a sa vitrine à Marseille

Ce 1er décembre, dans le quartier d'affaires Euromed à Marseille, les élus et principaux acteurs de la French Tech de la métropole Aix-Marseille ont inauguré La Coque, à la fois lieu d'exposition des dernières innovations numériques, espace d'immersion dédié aux objets connectés professionnels et espace de rencontres. Portée par Euroméditerranée, La Coque est là pour aider les acteurs de l'aménagement à maîtriser ces nouveaux outils.
Il y a 7 ans et 171 jours

Exposition à l'amiante et cancers digestifs : des études soupçonnent un lien

RISQUES PROFESSIONNELS. D'après une note de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), de nouveaux éléments scientifiques viennent attester l'idée d'un lien entre exposition professionnelle à l'amiante et développement de cancers digestifs.
Il y a 7 ans et 171 jours

Intermat lance le premier Observatoire international de la construction en zone EMEA

INTERMAT, le salon international de la construction et des infrastructures, a présenté le 30 novembre à Paris le premier Observatoire de la construction en zone EMEA, réalisé en partenariat avec Business France.
Il y a 7 ans et 171 jours

Jean-Paul Viguier et Associés : Muse

Inauguré la semaine dernière, après plus de onze années d'études et de travaux, le centre commercial Muse vient d'ouvrir ses portes dans le tout nouveau quartier de l'Amphithéâtre à Metz (57). Face au Centre Pompidou construit en 2010 par Shigeru Ban, l'édifice de 37 000 mètres carrés aux imposants pilotis surplombés d'une façade vitrée en damier, se présente comme un nouvel emblème de la ville. Situé à quelques dizaines de mètres seulement du fameux Centre Pompidou Metz, Muse fait partie du projet plus global de la ZAC de l'Amphithéâtre, réhabilitation d'une ancienne friche ferroviaire de 39 hectares, cernée par les voies SNCF au nord, le parc Jean-Marie Pelt à l'est, et un quartier résidentiel à l'ouest et au sud. Lancé par la Municipalité en 2008, la planification urbaine a été confiée à Nicolas Michelin, qui imagine six îlots longitudinaux répartis le long d'un axe nord-sud, la rue des Messageries, dans lesquels sont installés 137 000 mètres carrés d'habitations et 137 000 de bureaux et magasins. Au nord-est de la zone, c'est l'architecte Jean-Paul Viguier qui a été chargé d'orchestrer l'édification de la plus grande parcelle de l'ensemble, mesurant 300 mètres par 100, intégralement occupée par la galerie marchande Muse sur les deux premiers niveaux. Au-dessus de ce socle vitré, d'une superficie de 37 000 mètres carrés, le maître d'"uvre réalise en outre un immeuble de logement de standing baptisé First " reconnaissable par sa façade en damier faisant face au musée ", deux bâtiments de bureaux et 14 immeubles de logement, dont quatre sociaux. Ces édifices sont liés les uns aux autres par un jardin disposé entre les constructions.Pour amener de la lumière dans l'ouvrage commercial, Jean-Paul Viguier a opté pour un plan en peigne, dont les redans sont occupés par deux cours ouvertes sur la rue principale de la ZAC, qui constituent alors des places publiques à part entière. L'insertion de ces espaces extérieurs et de quatre "uvres d'art " dont l'une est réalisée par le célèbre plasticien Julio Le Parc ", permet alors d'apporter, en plus de l'animation mercantile, des activités artistiques et de loisirs au quartier. Orienté sur la vaste esplanade du Centre Pompidou, la réalisation arbore une entrée principale emblématique grâce à d'imposants pilotis arborescents supportant l'un des édifices de superstructure, de quatre étages, tout de verre vêtu. À l'intérieur de cet ensemble d'habitation, 47 appartements " du studio au T5 ", disposent de spacieuses loggias de 9 à 20 mètres carrés, qui offrent une vue incroyable sur la ville. Une opération portant de grandes ambitions donc, et qui, bien qu'offrant de nombreuses opportunités économiques et touristiques à l'agglomération messine, manque peut-être de cohérence entre constructions, et de force dans le contexte culturel fort dans lequel il s'insère. Une ouverture qui tombe cependant à pic pour faire ses emplettes, à l'approche des fêtes ! Pour en savoir plus, visitez le site de Jean-Paul Viguier et AssociésPhotographies :3-8) K. Khalfi1,9-14) Fabrice Fouillet  
Il y a 7 ans et 172 jours

Intermat 2018, le salon de la reprise et du renouveau de la construction ?

Infrastructures de transport, villes nouvelles, énergie... A cinq mois de la tenue du salon Intermat, les organisateurs publient un Observatoire de la Construction qui prouve que les marchés français et internationaux sont riches en opportunités. Les auteurs ont identifié pas moins d'une centaine de grands projets qui mobiliseront 1.600 Mrds € d'investissements dans les années qui viennent. Détails.
Il y a 7 ans et 172 jours

Grzywinski+Pons : Hôtel Eden Locke

Au c"ur du quartier de la Nouvelle Ville à Édimbourg (Royaume-Uni), classé patrimoine mondial par l'UNESCO, se trouve l'hôtel Eden Locke. Réalisé par l'agence de design et d'aménagement américaine Grzywinski+Pons, cet écrin de verdure baigne dans les nuances pastel, chaudement agrémentées de mobilier en bois. Deuxième établissement de la chaîne hôtelière éponyme, l'Eden Locke d'Édimbourg se situe dans le quartier de la Nouvelle Ville, construit par l'architecte britannique James Craig à la fin du XVIIIe siècle afin de faire face aux problèmes de surpopulation de l'époque. Il est le fruit de la rénovation d'un ancien manoir de trois niveaux en pierre de grès et de son extension réalisée au cours du XXe siècle, située à l'arrière de l'ouvrage. L'ancienne bâtisse géorgienne dispose au rez-de-chaussée d'un majestueux hall d'accueil de 22 mètres de long par 5 de large, et de 72 chambres " simples et doubles ", reparties dans les étages. De part et d'autre de la vaste zone de réception de 110 mètres carrés, le studio américain installe d'un côté un long bar en bois clair et laiton, dont la couleur oscille entre le cuivre et le rose, et de l'autre un salon d'attente et de repos. Dans une ambiance pleine de quiétude, les nuances pastel des murs verts et des pots de terre de crue ocre, se mêlent aux tricots douillets des chaises et canapés. Quelques panneaux de couleur jaune disposés au-dessus du comptoir et des suspensions de même couleur placés dans le salon ravivent l'ensemble. En parallèle, l'aménagement des pénates de 30 mètres carrés chacune est d'une grande simplicité avec des couchages agrémentés d'une tête de lit en cuir, séparés d'une petite pièce à vivre aux parois rose et gris pâle par des armoires métalliques et des tuyaux de laiton bruns. Un endroit idéal où séjourner et se reposer après avoir bravé froid de l'hiver anglais. Pour en savoir plus, visitez le site de Grzywinski+Pons Photographies : Nicholas Worley  
Il y a 7 ans et 172 jours

Intermat : un observatoire pour la zone EMEA

Les promoteurs du salon international ont présenté une analyse de la filière du matériel de chantier dans 12 pays de la zone Europe-Moyen-Orient-Afrique.
Il y a 7 ans et 172 jours

Événement : Comme une histoire... Le Havre

Jusqu'au 18 mars prochain, la ville du Havre se dévoile en photos grâce au regard atypique de 17 peintres, photographes et cinéastes. Présentée au MuMa, le Musée d'art Moderne André Malraux, l'exposition offre une multitude de récits des plus fictifs aux plus journalistiques, rendant ainsi hommage à une ville-port si inspirante. Détruite par les bombardements de la deuxième Guerre Mondiale, puis rebâti en béton armé de 1945 à 1964 par le fameux architecte moderniste Auguste Perret, Le Havre fait l'objet depuis 1956, d'une série de reportages photographiques commandés par la DGT " Direction Général du Tourisme. C'est en 2002 après avoir redécouvert le travail de l'autrichien Lucien Hervé " dont les prises de vue n'avaient alors pas été acceptées pour le programme gouvernemental à cause d'angles désaxés et de lignes géométrique saillantes ", qu'Annette Haudiquet, commissaire de l'événement et directrice de l'institution havraise, se rend compte du nombre de trésors artistiques cachés dans sa ville, qui ne demandent qu'à être redécouverts. C'est ainsi qu'elle décide de dédier à ces "uvres endormies mettant en scène la métropole normande une exhibition révélant plus de cinquante années d'une production issue de la commande publique, en écho à celle de la BnF, Paysages français, retraçant jusqu'au 4 février prochain trois décennies de photos prises sur le territoire national. Dans un premier temps, aux côtés de grands noms de la peinture tels que Claude Monet, Raoul Dufy, Edgar Degas, Auguste Renoir ou encore Alfred Sisley, représentant mer et campagne locales, la galerie nous plonge dans la confusion. L'agglomération semble être disséquée, analysée, composée et décomposée sans fin, sous les traits au fusain ultra-réalistes d'Yves Bélorgey, Cross la vidéo vif et désorientante de Christophe Guérin, ou encore les jeux de miroirs kaléidoscopiques et déroutants de Xavier Zimmermann. Dans un second temps, le fil narratif fait appel au registre de la fiction, par le bais d'une importante collection de clichés et de films mystérieux dont les contextes sont volontairement flous : vues d'intérieur, fragments de paysages, images nocturnes ou diurnes, horizons habités ou désertés. Entre toutes ces saynètes, à nous de découvrir le fin mot de l'histoire ou plutôt celui que nous souhaitons imaginer. Une belle initiative célébrant, avec brio, les 500 ans de cette ville historique. Pour en savoir plus, visitez le site du MuMa - Le Havre Photographies :1, 3,4) Matthias Koch2) Rebecca Digne5-7) Lucien Hervé8,9) Grabriele Basilico9) Olivier Mériel10,11) Corinne Mercadier12,13) Véronique Ellena14-16) Charles Decorps17,18) Manuela Marques19,20) Xavier Zimmermann21) Sabine Meier22) Bernard Plossu23) Dana Levy23) Yves Bélorgey
Il y a 7 ans et 174 jours

Quels architectes de renom se cachent derrière ces stands ?

ARCHIVES. Depuis 30 ans, à l'occasion de Batimat le fabricant de menuiseries Technal fait appel à un architecte de renom pour imaginer son stand et valoriser ses produits. Saurez-vous reconnaître quel architecte se cache derrière chacun de ces 15 stands ?
Il y a 7 ans et 174 jours

Intermat: le salon se rapproche des régions

Intermat, le salon international de la construction et des infrastructures, qui aura lieu à Paris du 23 au 28 avril 2018, inaugure cette année des rencontres régionales afin de créer un lien de proximité entre le salon et les régions et d'en apprendre plus sur cette France en pleine reprise. Deux rencontres ont eu lieu à Lyon et Marseille, les deux dernières ont lieu aujourd'hui à Bordeaux et le 5 décembre à Toulouse.
Il y a 7 ans et 174 jours

Qualibat veut rendre la qualification des entreprises plus accessible

Qualibat veut rendre la qualification des entreprises plus accessible tout en maintenant la rigueur dans les décisions prises par les commissions départementales et nationales.
Il y a 7 ans et 174 jours

Point de vue " Quelle différence entre garantie à première demande et caution personnelle et solidaire en marchés publics ?

La caution personnelle et solidaire et la garantie à première demande sont fondamentalement différentes. Pour Arnaud Latrèche, adjoint au directeur de la commande publique et de la valorisation immobilière du conseil départemental de la Côte-d'Or, la seconde offre à l'acheteur une sécurité renforcée.
Il y a 7 ans et 175 jours

Jacques Hondelatte, à Londres

La galerie Betts Project présente à Londres une exposition sur le travail de l'architecte français Jacques Hondelatte (1942-2002), l'un des architectes français qui a le […] L'article Jacques Hondelatte, à Londres est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 175 jours

Architectes, promoteurs? ce qu'ils pensent du projet de loi Confiance

L'expérimentation d'une obligation de résultat en matière de règles de construction est l'une des mesures phares du projet de loi "Confiance". Les professionnels louent la philosophie du texte en imaginant, déjà, des extensions possibles. Mais ils attendent avant tout une mise en "uvre concrète.
Il y a 7 ans et 175 jours

Corinnevezzonietassociés : Thecamp

Au c"ur de la pinède des abords d'Aix-en-Provence (13), l'agence corrinnevezzonietassociés livre thecamp, un campus d'élite dédié aux nouvelles technologies situé à deux pas de la gare TGV de la ville. Un projet d'avant-garde qui ne pouvait qu'être servi par une architecture novatrice, qui s'intègre avec brio dans un paysage typique du Sud de la France malgré une forme ovniesque. De Corinne Vezzoni on connaissait les élégantes architectures monolithiques en béton dont les seuls reliefs provenaient des marques laissées par les banches : archives et bibliothèque départementale des Bouches-du-Rhône livrées en 2006, le Centre de conservation et de ressources du Mucem en 2013, et l'an passé le Campus de la Timone ; pour ne citer qu'eux. On pensait connaître et pouvoir reconnaître, le style de la créatrice marseillaise, nominée à l'Équerre d'argent en 2006 et lauréate du Prix des architectes femmes en 2015, pourtant sa dernière "uvre, thecamp, nous amène à revoir notre copie. Un ouvrage dont les courbes et la légèreté de la toiture tranchent radicalement avec ses réalisations précédentes, principalement implantées dans les Bouches-du-Rhône. Une personnalité largement implantée sur son territoire, donc. Pourtant, en 2010, alors que la Mairie de Marseille lance une consultation pour la semi-piétonisation du Vieux-Port, sa proposition est rejetée alors qu'elle avait séduit les membres du jury, dont Frédéric Chevalier, entrepreneur local ayant fait fortune dans le marketing direct " c'est à lui qu'on doit notamment la présence de pubs derrière les tickets de caisse. Mais la Municipalité fait barrage. Le projet sera finalement confié à un autre.L'homme d'affaires n'oubliera pas Corinne Vezzini, et il faudra attendre trois ans pour que leurs chemins se croisent à nouveau, lorsqu'il décide, une fois sa société revendue, de concrétiser l'idée qui lui trotte dans la tête depuis une quinzaine d'années : créer un campus dédié aux nouvelles technologies dans sa région, afin que le territoire, et plus largement le pays, soit acteur des changements exponentiels que celles-ci annoncent. " En France, cela représente seulement 5% du PIB ", résume Antoine Meunier, directeur de la communication de thecamp. Malheureusement, Frédéric Chevalier ne verra jamais son "uvre achevée et décède subitement trois mois avant que le lieu n'ouvre, aux portes d'Aix-en-Provence. Depuis, soixante collaborateurs s'évertuent à exécuter la volonté du fondateur de la société HighCo, qui voyait en son initiative une ambition collective, un écosystème. " Thecamp sera ce que vous en ferez ", lançait-il, refusant d'incarner à lui seul le projet. Au service de son dessein : une ruche, " une Villa Médicis du XXIe siècle ", qui accueille et aide notamment vingt jeunes talents du numérique venus du monde entier " choisis parmi 500 dossiers ", et un incubateur pour une cinquantaine de start-ups dans lesquelles la structure investit par ailleurs. Un modèle économique financé à 80 % par les revenus que lui assurent la location d'espaces, des prestations de formation et de co-création fournies à des entreprises privées. Un projet d'envergure qui prend la forme de deux bâtiments destinés à accueillir jusqu'à 799 " campeurs " pour y vivre, travailler, se divertir et se restaurer. Une approche corbuséenne s'il en est, voulue par son fondateur. Aux typologies de barres et de tours imaginées par Le Corbusier, Corinne Vezzoni a préféré la création de deux ensembles aériens insérés à la fois avec force et délicatesse sur un plateau de 7 hectares avec vue sur la Montagne Sainte-Victoire, source d'inspiration bien connue du peintre Cézanne. Tout un symbole. Face au quartier d'Aix-la-Durrane en plein développement, un ensemble de 150 chambres accueille les arrivants tout en ceinturant de ses bras de deux et trois niveaux la limite sud du terrain " 45 pénates côté est, 110 côté ouest. Un troisième bâtiment de logement apparaît d'ores et déjà sur le permis de construire et pourra être édifié en cas de besoin, dans la continuité de la plus petite des deux ailes. Ces deux remparts courbes symbolisent à la fois l'entrée du site, son ouverture sur le monde extérieur, mais aussi sa protection physique par rapport à ce dernier. Construits en mélèze, matériau choisi pour sa légèreté, ils se destinent à l'hébergement des Campeurs, dans des logements de 15 mètres carrés, conçus dans l'esprit de " cellules " ascétiques souhaité par Frédéric Chevalier. Le tout est desservi par des coursives camouflées derrière des clairevoies en bois qui protègent les espaces de résidence des surchauffes d'été. La conceptrice a en effet pris le parti de réaliser toutes les circulations en extérieur. " C'est toujours cela de moins à chauffer ", livre-t-elle. Les utilisateurs doivent ainsi marcher quelques dizaines de mètres pour rejoindre la large canopée coiffant treize unités circulaires de 19 mètres de diamètre disposées sur une dalle en béton de 245 mètres carrés. Parmi ces constructions orbitaires de un ou deux niveaux, sept sont réalisées en vitrage courbe et six en béton banché, en fonction du degré de d'intimité sous-entendu par le programme qu'elles accueillent " allant de l'amphithéâtre central transparent de 175 places à de petites salles de réunion ", destinées à la formation, la recherche et à la restauration des résidents et des entreprises qui y louent des prestations. Une ouverture sur la connaissance et l'entreprenariat de demain symbolisée par une architecture futuriste, notamment par l'utilisation d'une vaste couverture triangulaire de 6 729 mètres carrés, située entre 8 et 13 mètres de hauteur, réalisée en toile technique composite Ferrari et structure métallique de 500 tonnes. Cette légère inclinaison est le résultat de huit mois d'études réalisées par l'entreprise Optiflow, dans le but d'assurer le confort des usagers et de parer tant que faire se peut les chutes de neige, la pluie ou les coups de mistral qui peut souffler intensément sur le site. L'on comprend alors aisément pourquoi la fabrication de l'enveloppe translucide a été confiée à des ateliers spécialisés dans la conception de voiles marines et sa mise en "uvre par des câbles et autres pièces utilisés dans l'accastillage des bateaux. Un ensemble complété au nord-est par des lieux de réunion extérieurs, plus informels, et plus loin, au milieu de la pinède, par quatre villas " satellites ", également en béton banché, dont une maison réservée aux conférenciers et aux dirigeants de passage sur le lieu. Un tiers-lieux unique dont l'architecture est mise au service de l'achèvement d'une vision entrepreneuriale globale. Pour en savoir plus, visitez le site de corinnevezzonietassociés Photographies : David Huguenin, Lisa Ricciotti et Fred Bruneau
Il y a 7 ans et 175 jours

La première gamme d'enduits de protection anti-incendie by Edilteco France

C'est à l'occasion du salon Batimat qu'EDILTECO France® a choisi de lancer et de présenter, en avant première, PROTHERM LIGHT®, une gamme complète d'enduits de protection contre le feu.
Il y a 7 ans et 178 jours

Le Louvre Abu-Dhabi, le bien nommé

Le Samedi 11 novembre 2017, trois jours après son inauguration officielle, le Louvre Abu-Dhabi a ouvert au public. Une réalisation pharaonique dont les travaux ont duré une décennie et qui porte la griffe de l’architecte Jean Nouvel.    
Il y a 7 ans et 178 jours

Du photovoltaïque organique sur la toiture d'un collège rochelais

Dans le cadre d'un appel à projets, lancé par le Département de la Charente-Maritime, les équipes d'ENGIE ont proposé de couvrir les 530 m² de toiture du collège Pierre Mendès-France, à La Rochelle, avec la technologie HeliaSol®. Cette innovation se présente sous la forme d'un film photovoltaïque installé sans renforcement de structure et pénétration de … Cet article Du photovoltaïque organique sur la toiture d'un collège rochelais est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 7 ans et 179 jours

État de GRÂCE : Le STUDIO

Dans le quartier d'Auteuil à Paris (16e), l'agence de design et d'architecture d'intérieur État de GRÂCE réalise la réhabilitation d'un studio d'habitation de 27 mètres carrés triste et terne en un cabinet de coaching professionnel. Avec son atmosphère tout en dualité, entre noirceur et clarté, le lieu semble en effet parfait pour une introspection. Né de la rencontre d'une entreprise de coaching, LES MOYENS et LES FINS, et de l'agence de design et d'aménagement d'intérieur État de GRÂCE, le projet consiste en la rénovation d'un ancien studio d'habitation rectangulaire de 27 mètres carrés " 8 mètres de longueur par 4 de large ", situé au troisième étage d'un bâtiment datant des années 1970, en un cabinet de consultation. Transformer un appartement qui, d'après les agenceurs, était " triste et peu accueillant à cause d'un couloir étroit et sombre, de couleurs, de peinture et de moquette criardes, d'une cuisine mal aménagée et d'une salle de bain toute en longueur ", en un endroit plein de sérénité était donc un défi de taille ! En réponse à la présence d'une seule de source de lumière, une baie vitrée toute hauteur située au fond de l'ancien logement, ils ont imaginé deux atmosphères opposées " l'une claire, l'autre sombre ", aux fonctions distinctes. La première zone, noire du sol au plafond, se compose de l'entrée, un hall de deux mètres carrés non cloisonné où se trouvent un vestiaire et une pièce d'eau. Cet espace est ouvert sur le second, en lieu et place de l'ancien salon, désormais salle de consultation, tout de blanc vêtue, propice au lâcher prise.L'élément visuel fédérateur des deux parties est le bois, utilisé pour les cadres des miroirs de la salle de bain, le bureau ou encore une étagère toute en longueur installée au milieu du mur le plus long du séjour. Parce que les petites surfaces ne font pas forcément de petits projets, les aménageurs ont accordé une grande importance au mobilier, dessiné par leur soin et fabriqué sur-mesure, en contreplaqué de bouleau, fibre de bois noir et métal peint, recréant ainsi l'ambiance d'un chez-soi. Le lieu, d'une grande simplicité, permet ainsi de s'isoler du monde extérieur le temps d'une séance. Pour en savoir plus, visitez le site de État de GRÂCE Photographies : YannaudinoaIllustrations : État de GRÂCE
Il y a 7 ans et 180 jours

#balance ton BTP

Sexiste le milieu du BTP ? Ça se saurait! Pour animer son stand lors de la dernière semaine de la construction britannique, une entreprise de ventilation a embauché des danseuses, déguisées sur le thème "Las Vegas dans les années 50". Si autrefois personne n'aurait réagi, cette animation a provoqué un tollé. L'architecte australienne Denton Angela Drapper de l'agence Corker Marshall, a réagi sur The Architects' journal, " le milieu professionnel du bâtiment et de la construction...
Il y a 7 ans et 180 jours

Les rencontres Batimat 2017 : Stéphane LABROUSSE, responsable grands comptes BulldozAIR

A l'occasion du salon Batimat 2017, rencontre avec Stéphane LABROUSSE, responsable grands comptes BulldozAIR.
Il y a 7 ans et 180 jours

Les rendez-vous franciliens de la Quinzaine de la transmission-reprise

Depuis le 17 novembre et jusqu'au 5 décembre 2017, plusieurs rendez-vous sont organisés en Ile-de-France par les acteurs de la transmission d'entreprise pour sensibiliser les chefs d'entreprise à cette question et les aider à préparer leur succession.
Il y a 7 ans et 180 jours

Franklin Azzi : École des Beaux-Arts de Nantes Saint-Nazaire

Dans le cadre de la transformation de l'Île de Nantes (44), l'ancien site industriel Alstom, de 4,5 hectares, a été complètement reconfiguré. Six halles datant du milieu du XIXe siècle accueillent désormais une partie de l'Université de la ville, des bureaux ou encore un restaurant. Sous la houlette de l'architecte Franklin Azzi, deux d'entre elles abritent l'école des Beaux-Arts de Nantes Saint-Nazaire, un lieu de création lumineux et spacieux. L'objectif n'était pas ici  de se débarrasser du caractère manufacturier des halles 4 et 5 des anciennes Usines Alstom, mais au contraire de s'en nourrir et de le valoriser. Ainsi, la charpente métallique d'origine est conservée mais délestée de ses imposants murs en béton au profit de baies vitrées de 4 mètres de hauteur au rez-de-chaussée et de polycarbonate translucide pour les deux niveaux supérieurs ainsi que les sheds qui coiffent le vaste ensemble. La transparence ainsi créée laisse entrapercevoir depuis l'extérieur l'activité des ateliers, notamment depuis le parvis de l'école qui accueille une large structure ovale en bois " une table en forme de disque entourée d'un banc ", encourageant rencontres et interactions. Dedans, la création d'une rue intérieure structure l'espace, tout en renforçant la sensation de désencombrement véhiculée par la réhabilitation. Cette percée nord/sud délimite deux parallélépipèdes dans lesquels se trouvent différentes pièces, installées dans des " boîtes " de tailles variées. Cette imbrication spatiale, en " poupées russes ", assure une isolation acoustique et thermique efficace. " Il faut que l'architecture s'adapte aux évolutions, aux secondes vies dont bénéficiera peut-être le lieu. " Franklin Azzi, architecte Ces volumes hébergent à l'ouest les diverses zones dédiées à l'enseignement et à la création " ateliers équipés de machines de pointe, plateaux de travail et des espaces vidéo, photo et de répétition des performances, etc. " ; et à l'est, dans une partie publique nommée " Foyer " comprenant des galeries d'exposition, une médiathèque pour enfants et la salle informatique. Ils sont desservis entre eux par un réseau de passerelles métalliques. Une réhabilitation exemplaire qui, tout en respectant le patrimoine, offre aux futurs artistes l'opportunité d'évoluer dans un site fonctionnel et agréable. Pour en savoir plus, visitez le site de Franklin Azzi Photographies : L.BOEGLY
Il y a 7 ans et 181 jours

Trophées Thèses 2017 : l'excellence de la recherche dans le BTP récompensé

La Fondation Excellence SMA a remis lors du salon Batimat le 8 novembre dernier, ses Trophées Thèses 2017. Ils récompensent des travaux de recherches scientifiques et universitaires dans le domaine de la pathologie du bâtiment et des travaux publics. Découvrez les lauréats et leurs travaux.
Il y a 7 ans et 181 jours

Le désamiantage, un marché potentiel à 6 milliards d'euros

Fibrociment mais également enduits, colles à carrelage, joints, revêtements... l'amiante est présent partout en façade. L'entreprise francilienne Socateb, spécialiste des ravalements, estime qu'un chantier sur cinq est concerné. Découverte des méthodes d'intervention très sécurisées avec Gérard N'Diaye, le responsable du département Amiante.
Il y a 7 ans et 181 jours

Adkalis lance une offre complète de solutions de protection des bois biosourcées

A l'occasion du salon Batimat, le pôle Formulation du Groupe Berkem, récemment rebaptisé Adkalis suite à la fusion de ses filiales (Sarpap & Cecil Industries, S & C Construction) a dévoilé sa nouvelle offre complète de solutions de protection des bois biosourcées. 
Il y a 7 ans et 181 jours

Livres : du logement, de la ville végétalisée

Concernant le logement, dans son essai, Mathias Rollot nous invite à "décoloniser notre imaginaire" tandis que Bernard Blanc évoque les conditions concrètes d'invention d'un nouvel […] L'article Livres : du logement, de la ville végétalisée est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 181 jours

Mondial du Bâtiment : les cinq chiffres à retenir de l'édition 2017

L'édition 2017 du Mondial du Bâtiment (6 au 10 novembre) organisée au Parc d'exposition de Paris-Nord Villepinte s'est achevée avec un léger recul de la fréquentation mais avec une hausse de la cible régionale et nationale. Voici les principaux chiffres à retenir.  
Il y a 7 ans et 181 jours

En Isère, le Prix départemental 2017 de la Construction Bois

Le 9 novembre 2017, les cinq lauréats de la 17ème édition du Prix départemental de la Construction Bois ont été dévoilé à La Côte St […] L'article En Isère, le Prix départemental 2017 de la Construction Bois est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 181 jours

Salon des maires : découvrez la " route à la carte " imaginée par Colas [exclusif]

Après la route solaire, c'est une route s'adaptant aux besoins de mobilité qu'a conçue la filiale routière du groupe Bouygues. Elle dévoile son innovation ce mardi après-midi au salon des maires.
Il y a 7 ans et 182 jours

Cadiou : vers la digitalisation de l'expérience d'achat

Avec son projet CadiouVision 2020, le groupe Cadiou, fabricant industriel de portails, clôtures et garde-corps, souhaite aller encore plus loin dans l'expérience d'achat de ses clients professionnels (revendeurs et installateurs) et particuliers grâce à de nouveaux outils digitaux. Industrie traditionnelle et innovation digitale : une rencontre prometteuse Anthony Allot, responsable marketing du groupe Cadiou, insiste sur le fait que " la technologie dernier cri peut tout à fait être au service de l'industrie traditionnelle et, grâce à cela, mettre l'accent sur l'expérience d'achat en suscitant de l'émotion ". Ainsi, le groupe a développé ses propres outils digitaux pour ses clients, professionnels et particuliers. Divent : un nouvel outil d'aide à la vente utilisant la réalité augmentée Prévu pour janvier 2018, Divent est un show-room virtuel qui permettra d'abord aux installateurs de disposer d'une liste tenue à jour de tous les portails, clôtures et rambardes du fabricant à portée de main. Mais ce n'est pas tout : Divent permet aussi aux revendeurs de présenter les barrières Cadiou aux particuliers intéressés en utilisant les lunettes Hololens de Microsoft : le client navigue dans une exposition virtuelle. Puis, une fois le modèle choisi, le client visualise totalement son projet grâce à un casque HTC-Vive qui simule la clôture dans un jardin. L'expérience sera guidée par un robot d'accueil co-worker nommé Pepper. Le responsable marketing du groupe précise que cette expérience digitale permettra aux revendeurs de se différencier de leurs concurrents, mettant en avant leur sens de l'innovation. Kostum App : la visualisation virtuelle de son projet Prévue pour décembre 2017, l'application Kostum App invite les utilisateurs particuliers à simuler différentes configurations de portails afin de les aider dans leur projet. Fonctionnant avec la réalité virtuelle, l'application sur mobile ou tablette permet de choisir des couleurs, formes ou décors en se positionnant devant une façade. L'intérêt pour les installateurs ? L'application propose de mettre en relation le particulier avec un installateur géolocalisé.
Il y a 7 ans et 182 jours

VALLET de MARTINIS Architectes : Pépinière d'entreprises

Concevoir un bâtiment particulièrement visible sans céder aux sirènes d'une architecture ostentatoire : tel était l'objectif de l'agence VALLET de MARTINIS Architectes pour concevoir cette pépinière d'entreprises installée dans les Pyrénées-Atlantiques. Analyse d'un pari réussi. Située dans la commune de Miossens-Lanusse (64), cette pépinière d'entreprises signée par les maîtres d'"uvre de l'agence française VALLET de MARTINIS Architectes constitue le fer de lance du nouveau Parc d'activités économiques Thèze-Mossens. Et pour cause : elle est implantée à la croisée de l'autoroute de Gascogne et d'une route départementale, une position particulièrement visible, faisant de ce bâtiment " l'emblème de cette nouvelle zone d'activités ", expliquent les concepteurs. Conséquence de cet emplacement stratégique, l'extérieur du projet a par ailleurs été imaginé pour remplir un rôle signalétique. Composée de deux volumes en structure béton comme emboîtés l'un dans l'autre " le premier, de plain-pied, revêtu d'un bardage métallique ; le second sur deux niveaux, arborant d'un mur rideau protégé par un brise-soleil en épicéa ", la pépinière séquence ainsi par sa silhouette la ligne parfaite et monotone de l'horizon. Soignée à l'extérieur, l'enveloppe est également étudiée pour optimiser le quotidien des startuppers à l'intérieur : " la majeure partie des espaces de travail est orientée au sud-ouest, pour bénéficier des apports solaires maîtrisés par les ventelles en épicéa lamellé-collé ", détaillent les architectes. Au nord, un vaste parvis couvert, un espace d'accueil et des locaux d'entreposage complètent le programme de cette réalisation paradoxalement sobre et remarquable à la fois. Intitulé du projet : ESPELIDA, pépinière d'entreprisesLieu : Miossens-Lanusse (64)Maîtrise d'ouvrage : Communauté de communes des Luys-en-BéarnMaîtrise d'"uvre : VALLET de MARTINIS ArchitectesSurface : 740 m2Montant des travaux : 1 300 000 ¤ HTCalendrier : Livraison 2017 Photographies : Stéphane Chalmeau Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Tertiaire - neuf Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de VALLET de MARTINIS Architectes
Il y a 7 ans et 182 jours

Studio Vincent Eschalier : BlackPearl

Rénové en 2017, ce grand monolithe aux allures de navire tout habillé de noir semble avoir tout juste accosté dans le quartier de Paris-La Défense, à Courbevoie... Bienvenue sur le BlackPearl du capitaine Vincent Eschalier ! Depuis sa réhabilitation menée en 2017 par le Studio Vincent Eschalier, ce bâtiment datant des années 1970, localisé à Paris-La Défense a radicalement changé de visage. Rebaptisé BlackPearl pour l'occasion, en clin d'"il, à n'en pas douter, à sa forme triangulaire rappelant la poupe d'un bateau, et à sa façade, désormais habillée de grands voiles noirs de 3 x 25 mètres. Pourtant, nulle question ici de pirates damnés, de morts-vivants ou de trésors maudits, mais plutôt de vastes bureaux en open space. En effet, en plus d'avoir été désamianté et débarrassé de son ancien revêtement en pierre agrafée, le projet a été repensé de fond en comble par l'architecte pour se démarquer des constructions voisines tout en offrant un maximum de confort à ses usagers. Désormais coiffé d'un dôme en aluminium cuivré, il surplombe avec élégance le quartier d'affaires, tandis que les intérieurs ont été dénudés pour révéler la structure originelle en béton. Aujourd'hui, ce sont des cloisons vitrées qui assurent l'intimité des salariés, dont les espaces de travail profitent d'une belle hauteur sous plafond de 2,80 mètres. Un luxe, d'autant plus agréable que les bureaux ne pâtissent pas de leur exposition plein sud, puisque que les voiles métalliques installés en façade font office de brise-soleil, en plus d'être particulièrement graphiques. Ne manque finalement qu'un équipage de forbans pour que la comparaison avec le navire éponyme soit complète... Intitulé du projet : BlackPearlLieu : Courbevoie (92)Maîtrise d'ouvrage : 6e Sens ImmobilierMaîtrise d'"uvre : Studio Vincent EschalierSurface : 4 300 m2Montant des travaux : NCCalendrier : Livraison 2017 Photographies : DR Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Tertiaire - Réhabilitation Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de Studio Vincent Eschalier 
Il y a 7 ans et 182 jours

Studio Razavi Architecture : Chalet

Non loin de la station de ski de La Clusaz, les architectes de l'agence Studio Razavi livrent un refuge de 200 mètres carrés réparti sur trois niveaux. Une réinterprétation détonante des codes vernaculaires du chalet de la vallée de Manigod (74). Pour ce projet, l'agence Razavi a hérité d'un terrain très escarpé déjà excavé par le précédent propriétaire qui n'avait pas pu poursuivre la construction de sa demeure. Dès le départ, les architectes ont souhaité établir une relation de confiance avec la mairie qui, dans sa politique urbaine, a très à c"ur de perpétuer la tradition constructive locale sans la figer. Pour redonner vie à la vallée et à son bâti, les édiles ont donc rédigé un cahier des charges visant à réinterpréter les caractéristiques architecturales de la zone, qui a été une source d'inspiration et une base de travail pour les concepteurs. Le projet reprend ainsi les codes constructifs du cru. Le rez-de-chaussée consiste par exemple en une version contemporaine en béton de l'étable de la vallée de Manigod, traditionnellement maçonnée et quasi-aveugle. Au-dessus de ce niveau de dortoirs, les maîtres d'"uvre ont positionné un rez-de-chaussée surélevé, dans lequel se trouvent cinq autres chambres, coiffées par les pièces de vie positionnées sous une toiture à deux pans. Un plan inversé " avec une zone nuit placée dans les étages bas ", qui permet au vaste salon mansardé de bénéficier de la meilleure vue de la maison sur la montagne, notamment grâce à une large baie vitrée prolongée par une terrasse disposée sous le toit, comme cela se fait habituellement dans la région " là où un porte-à-faux accumulerait la neige. Avec son socle en béton et ses deux niveaux supérieurs en débord bardés de bois, un chalet d'un nouveau genre peuple dorénavant cette vallée de Haute-Savoie. Intitulé du projet : ChaletLieu : Manigod (74)Maitrise d'ouvrage : PrivéeMaitrise d'"uvre : Studio Razavi ArchitectureSurface : 200 m2Montant des travaux : NCCalendrier : Livraison 2016 Photographies : Olivier-Martin Gambier Pour en savoir plus, visitez le site de Studio Razavi
Il y a 7 ans et 182 jours

SCAU Architectes : Siège Boehringer Ingelheim

Conçu par SCAU Architectes, ce bâtiment accueille le nouveau siège de l'entreprise pharmaceutique Boehringer Ingelheim à Lyon (7e). Sa particularité ? Il est entièrement pensé pour offrir aux employés un confort optimal, comme à la maison ! Imaginer des bureaux propices au bien-être des employés : telle était la demande faite par l'entreprise Boehringer Ingelheim, une compagnie pharmaceutique allemande, à l'agence française SCAU Architectes. Aussi, le projet livré en 2017 est-il entièrement pensé pour offrir à ses usagers un confort maximal, impliquant un soin particulier accordé à " la lumière, la vue, le végétal et les accès à l'air libre ", racontent Maxime Barbier et Luc Delamain, architectes associés. Conséquence directe de ces préoccupations, la structure du bâtiment " une vaste construction blanche composée de quatre volumes reliés par une rue centrale et revêtue de tôle d'aluminium laquée ", évoque une colonne vertébrale prolongée par quatre côtes, entre et par lesquelles sont aménagés six patios végétalisés. Couplé à l'installation de grandes baies vitrées, ce parti pris permet de " maximiser le linéaire de façade, tout en favorisant la proximité avec le naturel ", expliquent les concepteurs. Également élaboré pour optimiser le confort des salariés, l'intérieur est très éloigné standards en la matière : " l'une des innovations portées par ce projet consiste à donner à l'espace de travail des qualités généralement dévolues au milieu domestique ", confirment Maxime Barbier et Luc Delamain. Une ambition illustrée par la présence de plusieurs coins repos, ou encore de nombreuses terrasses et balcons, propices à la détente entre deux réunions. En bref, une construction soignée, conforme aux nouvelles pratiques professionnelles. Comme une preuve supplémentaire de l'aptitude de l'architecture à répondre aux enjeux sociaux de notre époque... Intitulé du projet : Siège Boehringer IngelheimLieu : Lyon (7e)Maîtrise d'ouvrage : Altarea CogedimMaîtrise d'"uvre : SCAU ArchitectesSurface : 15 500 m2Montant des travaux : 27 500 000 ¤ HTCalendrier : Livraison 2017 Photographies : We Are Content(s), Luc Boegly et Mathieu Ducros Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Tertiaire - neuf Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de SCAU Architectes 
Il y a 7 ans et 182 jours

Renzo Piano Building Workshop : Tribunal de Grande Instance

Si depuis le moyen-âge, le monde judiciaire parisien prenait place au c"ur de Paris, sur l'Île de la Cité, le manque de place de ces quartiers prestigieux et médiévaux commençait à se faire sentir. Pour pallier ce problème, un nouveau bâtiment, proche des Batignolles, dans le nord de la Capitale, regroupe désormais les salles d'audiences et bureaux de l'institution. Jusqu'alors répartis dans différentes annexes disséminées aux quatre coins de la Capitale, les diverses fonctions du Tribunal de Grande Instance de Paris communiquaient entre-elles avec difficulté. C'était sans compter sur l'agence Renzo Piano Building Workshop qui établit un projet réunissant bureaux et salles d'audience au sein d'un seul et unique édifice, laissant au siège historique de l'Île de la Cité le soin d'héberger la Cour d'Assises, la Cour d'appel et la Cour de cassation. Qui dit changement de fonctionnement dit également changement de forme. Alors que la justice était autrefois représentée par des ouvrages gothiques, c'est une construction contemporaine en forme de botte culminant à 160 mètres de haut, étendu sur une superficie de 100 000 mètres carrés au sol qui dissimule aujourd'hui les sceaux du département. Composé de six blocs entièrement vitrés placés les uns sur les autres en strates de huit niveaux, à la manière d'un immense escalier, le projet débute par la Salle des Pas Perdus " accessible depuis le parvis au rez-de-chaussée ", lieu d'accueil et de régulation des flux des visiteurs et employés. Caractérisée par son Grand Atrium, cet espace distribue les fonctions et services publics ainsi que les 90 salles d'audiences. Le tout est baigné d'un éclairage naturel valorisé par la présence de murs blancs et de parquet au sol, le tout offrant une réalisation sobre, douce et chaleureuse. Surplombant la construction, une terrasse boisée de 7 000 mètres carrés constitue le poumon végétal de cet ensemble urbain. Un programme fonctionnel et contemporain qui prouve que les institutions aussi anciennes soient-elles, peuvent évoluer sans que cela ne leur porte préjudice. Intitulé du projet : Tribunal de Grande InstanceLieu : Paris (17e)Maîtrise d'ouvrage : EPPJP/BouyguesMaîtrise d'"uvre : RPBWSurface : 100 000 m2 SHON (IGH 47 000 m2 ; socle 38 000 m² ; bastion 15 000 m²)Montant des travaux : NCCalendrier : Livraison 2017 Le projet est lauréat du Prix de la Rédaction des ADC awards 2018. Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de RPBW Photographies : Sergio Grazia
Il y a 7 ans et 182 jours

Orma architettura : Casa Vanella

Située dans le village corse de Casamaccioli, au c"ur de la région de Niolo, la Casa Vanella est une chambre d'hôte intégrée à un site montagneux d'exception, offrant à ses résidents une vue imprenable sur les trois célèbres monts du domaine : le Monte Cinto, la Paglia Orba et Cima a i Mori. Les architectes d'ORMA Architettura réalisent l'extension sinueuse de 85 mètres carrés d'une petite maison typique en granit et schiste, permettant d'accueillir les nombreux touristes de cette région de pèlerinage. L'ancienne partie contient les cinq chambres du gîte, tandis que la nouvelle héberge les pièces communes carrées " salon, salle à manger et cuisine ", formant ainsi trois blocs disposés en enfilade. Ce volume déstructuré reproduit la topographie du site sur lequel il campe, imitant les lignes brisées créées par l'horizon montagneux. Les murs épais en granit ainsi que les linteaux et poteaux en béton massif ne sont par ailleurs pas sans rappeler la robustesse et la massivité des monts alentours. Chacune des pièces possède une large baie vitrée avec une orientation différente, permettent aux locataires de profiter de manières différentes du paysage sans pareil qui se déploie sous leurs yeux. Le béton utilisé au sol s'accorde avec les murs en pierres apparentes, le tout adouci par un mobilier en bois épuré et confortable, qui ne vole pas la vedette à la pièce maîtresse de l'habitation : un panorama pittoresque sur les montagnes corses. Un projet aussi atypique qu'intemporel intégrant avec brio une réalisation architecturale contemporaine dans un site minéral imposant. Intitulé du projet : Casa VanellaLieu : Casamaccioli (20)Maitrise d'ouvrage : PrivéeMaitrise d'"uvre : Orma ArchitetturaSurface : 85 m2Montant des travaux : 140 000 ¤ HTCalendrier : Livraison 2016 Pour en savoir plus, visitez le site de ORMA Architettura Photographies : ORMA Architettura
Il y a 7 ans et 182 jours

OMA et Gigon Guyer Architekten : Campus CentraleSupélec

Après Châtenay-Malabry (92), l'École Centrale Paris s'installe à Gif-sur-Yvette (91), sur le plateau de Saclay, sous une toute nouvelle enveloppe dessinée par l'agence néerlandaise OMA. Pour ce titanesque projet de 70 000 mètres carrés, OMA et de son architecte Rem Koolhaas ont conçu un ensemble situé aux antipodes des habituels laboratoires scientifiques ou autres bâtiments de recherche, souvent peu engageants, hermétiques et froids. L'agence imagine alors un bloc aérien composé de cinq niveaux en gradins organisés autour d'une vaste place centrale baignée de lumière grâce à une verrière en ETFE. Si les 20 000 mètres carrés de cet édifice alliant béton, acier et verre sont dédiés à l'enseignement " amphithéâtres, salles de cours, de recherche etc. ", ils comprennent également des bureaux, des lieux de restauration et de repos. Par opposition à l'extérieur de l'édifice, aux airs de forteresse, les différents espaces intérieurs sont extrêmement ouverts. Des parois mobiles disposées dans les lieux de vie commune " notamment dans l'agora, contenant le self, un stand de restauration rapide et de nombreux sofas ", permettant en outre une liberté d'aménagement de ces surfaces. Les zones se confondent, encourageant étudiants, chercheurs et personnel administratif et pédagogique à échanger, sans cloisonner les activités de chacun. Même si de prime abord l'établissement semble clos sur son environnement, les maîtres d'"uvre ont en réalité pris le parti de le relier au quartier en devenir et aux bâtiments voisins par le biais d'une rue diagonale. La réponse d'OMA au programme n'est donc pas uniquement architecturale, mais également urbaine, et prendra tout son sens lorsque les bâtiments du Plateau de Saclay seront construits. Un établissement aussi stimulant pour les étudiants que pour les habitants de Gif-sur-Yvette. En plus de casser les codes, il insuffle un nouveau souffle à une région jusqu'alors en manque de dynamisme. Photographies : Philippe Ruault Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Enseignement - Supérieur Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards, de OMA et de Gigon Guyer Architekten
Il y a 7 ans et 182 jours

Lazo & Mure Architectes + 3A Composites : EHPAD

L'extension de l'EHPAD à Laon (02), signée par l'agence Lazo & Mure Architectes, se distingue par une implantation particulièrement travaillée, destinée à redonner cohérence à l'existant, en optimisant également les conditions de vie des résidents et du personnel. Le nouveau bâtiment de 3 700 mètres carrés, aux lignes très orthogonales ne dépassant pas deux niveaux, est construit au nord de la parcelle à laquelle appartient l'EHPAD de Laon. Le hall, inscrit au sein d'une rue intérieure, relie le lieu de la circulation verticale et de l'hébergement à celui des espaces de vie communautaire et d'animation. Il se présente telle une promenade pour aboutir à la salle polyvalente et au restaurant, tout en ménageant l'apparition d'îlots de verdure. En façade, un bardage en panneaux aluminium composites ALUCOBOND® essentiellement blanc uni (sur une surface de 1 479 mètres carrés) et métallique argent (157 mètres carrés) est rythmé par des performations laissant passer la lumière naturelle. La fermeture du jardin-patio au rez-de-chaussée avec le mur manteau est également assurée par une vêture blanche en ALUCOBOND®. Intitulé du projet : EHPADLieu : Laon (02)Maîtrise d'ouvrage : Maison de Retraite Départementale de l'Aisne / AMO Seca SantéMaîtrise d'"uvre : Lazo & Mure ArchitectesSurface : 3 727 m2Montant des travaux : 7 500 000 ¤ HTCalendrier : Livraison septembre 2016Depuis plus de 40 ans, l'entreprise 3A Composites développe, produit et distribue des panneaux composites aluminium de haute qualité, des matériaux composites structurés, des panneaux en matière plastique et des panneaux légers pour les segments de marché de l'architecture, du display, du transport et de l'industrie. Leurs multiples gammes : ALUCOBOND®, DIBOND®, ALUCORE®, KAPA® et FOREX®, ont permis à l'entreprise de gagner une renommée mondiale. Photographies : Pierre L'Excellent Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Santé Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de Lazo & Mure Architectes 
Il y a 7 ans et 182 jours

FREAKS Architecture : VIKING

Sur la côte normande, une petite cabane blanche attire l'"il des pêcheurs et autres plaisanciers. Rénovée par les architectes de l'agence Freaks, elle abrite en fait un intérieur ultra-optimisé parfait pour dîner entre amis tout en contemplant la Manche. C'est sur cette plage qu'auraient accosté les premiers assaillants vikings au IXe siècle. Aujourd'hui, nulle trace de casques à cornes " à part lors de shootings photos ! ", seulement une cabane de pêcheur, optimisée jusque dans les moindres recoins pour accueillir jusqu'à huit convives. Car, depuis l'intervention des architectes de l'agence Freaks, ce qui était autrefois une minuscule maisonnette en béton de 12 mètres carrés est devenu un agréable refuge, équipé d'un lit, d'une petite cuisine, d'une salle d'eau et même d'un salon percé de deux larges baies offrant une vue imprenable sur la mer... le tout sans s'étendre d'un seul centimètre carré ! Et pour cause, dès le début de la phase d'étude, la possibilité d'une extension est écartée, à cause de la Loi littorale très stricte excluant toute modification de la surface du volume d'origine. Aussi les concepteurs se sont-ils contentés de refaire le bardage extérieur " privilégiant des panneaux sandwiches couleur champagne ", et d'ajouter les deux nouvelles fenêtres " des " coulissants qui permettent d'ouvrir complètement la construction sur l'horizon ". À l'intérieur, le mobilier fonctionnel permet de condenser toutes les fonctions techniques dans une si petite surface, notamment grâce au lit en mezzanine en-dessous duquel sont installées les pièces d'eau. Côté mer, le salon peut se muer en salle à manger, idéal pour déguster une bourriche d'huîtres avec un verre de vin en contemplant l'écume des vagues. Skål ! Intitulé du projet : VIKINGLieu : Fermanville (50)Maîtrise d'ouvrage : privéeMaîtrise d'"uvre : Freaks ArchitectureSurface : 12 m2Montant des travaux : 15 000 ¤ HTCalendrier : Livraison 2017 Photographies : Jules Couartou Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Logement - Maison Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de Freaks Architecture 
Il y a 7 ans et 182 jours

FRANKLIN AZZI ARCHITECTURE et Architectures Chabenès & Scott : École des Beaux-Arts

Dans le cadre de la transformation de l'Île de Nantes (44), l'ancien site industriel Alstom, de 4,5 hectares, a été complètement reconfiguré. Six halles datant du milieu du XIXe siècle accueillent désormais une partie de l'Université de la ville, des bureaux ou encore un restaurant. Sous la houlette de l'architecte Franklin Azzi, deux d'entre elles abritent l'école des Beaux-Arts de Nantes Saint-Nazaire, un lieu de création lumineux et spacieux. L'objectif n'était pas ici de se débarrasser du caractère manufacturier des halles 4 et 5 des anciennes Usines Alstom, mais au contraire de s'en nourrir et de le valoriser. Ainsi, la charpente métallique d'origine est conservée mais délestée de ses imposants murs en béton au profit de baies vitrées de 4 mètres de hauteur au rez-de-chaussée et de polycarbonate translucide pour les deux niveaux supérieurs ainsi que les sheds qui coiffent le vaste ensemble. La transparence ainsi créée laisse entrapercevoir depuis l'extérieur l'activité des ateliers, notamment depuis le parvis de l'école qui accueille une large structure ovale en bois " une table en forme de disque entourée d'un banc ", encourageant rencontres et interactions. Dedans, la création d'une rue intérieure structure l'espace, tout en renforçant la sensation de désencombrement véhiculée par la réhabilitation. Cette percée nord/sud délimite deux parallélépipèdes dans lesquels se trouvent différentes pièces, installées dans des " boîtes " de tailles variées. Cette imbrication spatiale, en " poupées russes ", assure une isolation acoustique et thermique efficace. Ces volumes hébergent à l'ouest les diverses zones dédiées à l'enseignement et à la création " ateliers équipés de machines de pointe, plateaux de travail et des espaces vidéo, photo et de répétition des performances, etc. " ; et à l'est, dans une partie publique nommée " Foyer " comprenant des galeries d'exposition, une médiathèque pour enfants et la salle informatique. Ils sont desservis entre eux par un réseau de passerelles métalliques. Une réhabilitation exemplaire qui, tout en respectant le patrimoine, offre aux futurs artistes l'opportunité d'évoluer dans un site fonctionnel et agréable. Intitulé du projet : École des Beaux-ArtsLieu : Nantes (44)Maitrise d'ouvrage : Nantes MétropoleMaitrise d'"uvre : FRANKLIN AZZI ARCHITECTURE (mandataire)Architectures Chabenès & Scott (associés)Surface : 9 827 m2Montant des travaux : 27 000 000 ¤ HTCalendrier : Livraison juin 2017 Photographies : L.BOEGLY Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Enseignement - Supérieur Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards, de Franklin Azzi et de Architecture Chabènes & Scott 
Il y a 7 ans et 182 jours

Emmanuelle Colboc et Associés : Collège Robert Desnos

À Orly (94), les étudiants du collège Robert Desnos viennent d'inaugurer leur nouvel établissement. Zoom sur un projet lumineux, habillé de briques, signé par l'agence parisienne Emmanuelle Colboc et Associés. À l'origine de ce projet, la volonté du département du Val-de-Marne de remplacer l'ancien collège Robert Desnos à Orly, devenu obsolète pour proposer aux étudiants des conditions d'apprentissage optimales. Mission est donc confiée à l'agence Emmanuelle Colboc et Associés de concevoir un nouvel établissement d'une capacité de 600 élèves, adapté aux méthodes d'enseignement actuelles, performant d'un point de vue énergétique et équipé d'un gymnase accessible depuis la rue, afin d'être utilisé par la ville le soir et le week-end pour y organiser des cours de sport. En réponse à ce programme pour le moins complet, les concepteurs imaginent " un bâtiment sur quatre niveaux, lequel se retourne de part et d'autre sur deux étages pour contenir la cour de récréation ". Le tout est un grand volume en béton, isolé par l'extérieur et recouvert d'un manteau de briques " matériau privilégié pour ses qualités intemporelles, tant du point de vue esthétique que de sa résistance ", où sont condensées toutes les salles de classes ainsi que les bureaux dédiés à l'administration et aux professeurs. Afin d'atténuer l'aspect relativement massif de la construction, baies vitrées et fenêtres en bandeaux sont ici largement présentes, optimisant de fait l'apport de lumière, tout en favorisant les vues sur l'extérieur. Au nord-est, le gymnase complète ce projet certifié HQE. Vitré de part et d'autre, ce dernier est baigné de lumière en pleine journée pour finalement devenir lanterne le soir venu, presque autant que le poème de l'auteur qi a donne son nom à l'équipement, dont résonnent ici les vers : " Dans la nuit il y a les merveilles du monde. Dans la nuit il n'y a pas d'anges gardiens, mais il y a le sommeil. Dans la nuit il y a toi. " Intitulé du projet : Collège Robert DesnosLieu : Orly (94)Maîtrise d'ouvrage : Conseil général du Val-de-MarneMaîtrise d'"uvre : Emmanuelle Colboc et AssociésSurface : 7 396 m2Montant des travaux : 12 500 000 ¤ HTCalendrier : Livraison décembre 2016 Photographies : DR Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Enseignement - Maternelle, primaire et secondaire Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de Emmanuelle Colboc et Associés 
Il y a 7 ans et 182 jours

DIXNEUFCENTQUATREVINGTSIX : Benoît & Roselyne

Entre Benoît & Roselyne et ce mazet de 70 m2 de l'arrière-pays nîmois, c'est une histoire qui remonte à une dizaine d'années, quand ce couple alors installé à Paris, décide d'acheter une maison secondaire à rénover dans une région dans laquelle ils ont leurs racines. Le récit se poursuit en 2014, alors que le binôme qui a entre-temps pris sa retraite, souhaite partager son temps entre le sud de la France et la capitale. Il demande alors aux architectes de l'agence DIXNEUFCENTQUATREVINGTSIX. de concevoir l'extension de cette demeure devenue trop petite pour héberger la famille qui s'est agrandie au fil des années. En réponse aux changements de vie des propriétaires et de leurs trois filles, les architectes ont proposé neuf esquisses différentes, fruits d'un long travail de discussion et de pédagogie. Le résultat final est une extension de 90 m2 livrée en octobre 2016 permettant d'accueillir trois générations sous un même toit, des grands-parents aux petits-enfants, tout en garantissant à chacun son intimité. Pour cela, les maîtres d'"uvre installent deux corps de bâtiments accolés, sur le modèle de l'ancienne bâtisse elle-même composée de deux parties disposées en L. Une nouvelle aile à l'expression vernaculaire est ainsi disposée dans la pente du terrain, sur une bande de terre achetée entre-temps, et une tourelle contemporaine de trois niveaux en béton banché reprenant les dimensions traditionnelles du mas " 5 mètres par 6 " joue quant à elle le rôle de rotule entre cette partie neuve et l'ancienne. Une fois les clients séduits par l'idée, il restait à convaincre les édiles locaux plus habitués aux projets en tuiles et enduit. Le dialogue a eu raison des réticents grâce à la force de conviction des architectes qui ont su prouver que leur projet ne consistait pas en la négation d'un savoir-faire constructif local mais au contraire en une ode au mazet, ici travaillé " à la sauce XXIe siècle " comme le livre Arthur Ozenne, réinterprétant notamment les petites ouvertures typiques de cette construction qui protègent des surchauffes d'été et de la fraîcheur hivernale. Dans un souci de cohérence, les maîtres d'"uvre ont par ailleurs favorisé le recours à des entreprises locales installées dans un périmètre de 30 kilomètres alentour, peu rompues à l'exercice du béton banché teinté dans la masse. L'extension héberge ainsi un salon et trois chambres supplémentaires coiffées d'une terrasse abritée par de larges voiles béton biseautés. La création de cet espace extérieur atypique a été motivée d'une part par la volonté de favoriser l'intimité des occupants de cette bâtisse régulièrement investie par les amis et la famille, et d'autre part par une raison technique, les toitures-terrasses en béton n'étant pas autorisées par la réglementation française. Au regard de la loi ces larges voiles béton sont donc en réalité des acrotères qui, elles, répondent aux normes constructives nationales, tout en assurant l'étanchéité de l'ensemble. L'agence DIXNEUFCENTQUATREVINGTSIX. réalise un exercice de style tout en délicatesse, mariant avec force et discrétion, architecture passée et contemporaine dans un ensemble minéral qui fait échos à l'histoire du lieu : une ancienne carrière. Intitulé du projet : Benoit & RoselyneLieu : NC (arrière-pays Nîmois)Maitrise d'ouvrage : PrivéeMaitrise d'"uvre : DIXNEUFCENTQUATREVINGTSIXSurface : 90 m2Montant des travaux : 280 000 ¤ HTCalendrier : Livraison octobre 2016 Photographies : Florian Kleinefenn et agence Dixneufcentquatrevingtsix Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Logement - Maison Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de DIXNEUFCENTQUATREVINGTSIX
Il y a 7 ans et 182 jours

Atelier du Pont : Les Cabanes

Inspiré par l'architecture du Cap Ferret (33), l'Atelier du Pont réalise une maison de vacances composée de petites cabanes réinterprétant les constructions vernaculaires, pour une meilleure intégration. Un havre de paix au c"ur d'une pinède d'arbousiers, yuccas et pins. Cette résidence secondaire de 330 mètres carrés, dissimulée par une végétation locale luxuriante, est installée sur un terrain en pente orienté vers la mer. Le défi du projet résidait dans la préservation de cet environnement. Pour ce faire, les maîtres d'"uvre ont réalisé plusieurs annexes au lieu d'une unique construction de plus de 300 mètres carrés, rappelant l'architecture des cabanes du cru qui s'intègrent parfaitement à leur milieu. L'ensemble est ainsi composé de quatre volumes parallélépipédiques, certains de plain-pied et d'autres sur plusieurs niveaux pour mieux coller à la topographie du lieu, reliés entre eux par une terrasse en bois où prend place une piscine rectangulaire. Ce matériau se retrouve également en bardage, jouant la mimesis avec la pinède environnante. Le tout est largement percé de grandes baies vitrées, connectant intérieur et extérieur. Dans la plus étendue des quatre parties , située à l'ouest, prennent place les espaces de vie et une chambre, tandis que les autres pièces de nuit sont installées dans les cabanons plus modestes . Le volume central, comprend ainsi une suite parentale située au rez-de-chaussée, au-dessus de laquelle sont positionnés un salon et une cuisine avec vue sur le plan d'eau, en rez-de-jardin. Les deux niveaux, inscrits dans la pente du terrain sont agrémentés d'un escalier maçonné tout en courbes contrastant avec les ouvertures géométriques qui le surplombent qui laissent entrevoir la nature foisonnante. Imaginée pour accueillir une grande famille, le logement permet donc à chacun de bénéficier de son intimité en profitant d'espaces communs pour se retrouver. Un projet biscornu, idéal pour qu'une grande fratrie puisse se relaxer dans le cadre de vie sans égal qu'offre le Cap Ferret. Intitulé du projet : Les CabanesLieu : Cap Ferret (33)Maitrise d'ouvrage : PrivéeMaitrise d'"uvre : Atelier du PontSurface : 330 m2Montant des travaux : NCCalendrier : Livraison 2016 Pour en savoir plus, visitez le site d'Atelier du Pont Photographies : Takuji Shimmura & Philippe Grazia