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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17694 résultats)
Il y a 7 ans et 229 jours

Encore Heureux désigné commissaire du Pavillon français à la Biennale de Venise 2018

Le comité de sélection du Pavillon français de la 16e biennale d’architecture de Venise 2018 vient d’annoncer le projet retenu… Cet article Encore Heureux désigné commissaire du Pavillon français à la Biennale de Venise 2018 est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 229 jours

Le fabricant de nettoyeurs Dimaco fait ses premiers pas sur le marché des objets connectés

En septembre dernier, l'industriel français Dimaco lançait Connectéo, un service de gestion connectée dédié à la maintenance préventive des nettoyeurs haute pression. Grâce à cette innovation, l'utilisateur est en mesure de recevoir en temps réel les informations relatives au cycle de vie de son matériel et, s'il le souhaite, de prendre un rendez-vous avec un revendeur afin de changer certaines pièces. Présentation.
Il y a 7 ans et 230 jours

A Chicago, discours autour du ?state of the art of architecture'

Pour la ville au bord du lac Michigan, une biennale d'architecture, la CAB deuxième du nom, est affaire sérieuse. Sur le thème ?Make new history' (Faites la nouvelle histoire), l'évènement, qui se poursuit jusqu'au 7 janvier 2018, se donne l'objectif d'une vaste réflexion collective au service d'une action locale. Une vision prospective qui défie les […] L'article A Chicago, discours autour du ?state of the art of architecture' est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 230 jours

Logement social : les Départements de France solidaires des bailleurs

Après les régions, c'est au tour de l'Association des Départements de France de dénoncer la baisse des loyers des logements sociaux souhaitée par le gouvernement.
Il y a 7 ans et 230 jours

De Rijke Marsh Morgan Architects : Hastings Pier

Suite à sa destruction par un incendie en 2010, la jetée d'Hastings (Royaume-Uni) a été rénovée l'année dernière par l'agence Londonienne de Rijke Marsh Morgan Architects, plus connue sous le nom de dRMM. L'occasion pour la ville de redéfinir usages et appropriations de cet embarcadère majestueux de 11 200 mètres carrés et de ses deux pavillons. L'intervention de l'agence de Rijke Marsh Morgan Architects consistait en la réhabilitation de ce vaste môle d'une longueur de 280 mètres et de sa maison victorienne ayant résisté aux flammes ; mais également en la réalisation d'un nouveau pavillon, installé dans la continuité de la bâtisse historique, à l'entrée de la jetée. Ces deux lieux de réception avec vue sur La Manche sont organisés selon un plan entièrement, adaptable à de nombreux programmes, allant du cirque à la salle de concerts en passant par la halle de marché. Le nouvel édifice, positionné au centre de la digue, est quant à lui un foyer d'information construit en ossature bois, bardé de planches de récupération issues de l'ancien ponton et disposées en arête-de-poisson, apportant ainsi un peu de dynamisme dans un lieu caractérisé par l'horizontalité de sa structure et de son paysage. Son toit-terrasse en gradin sert en outre de belvédère public accessible depuis l'extérieur, procurant aux visiteurs assises et points de vue sur la ville et l'océan. Le tablier métallique couvert de bois est par ailleurs ponctué de stands aux allures de cabines de plage, mis à disposition des exposants durant les événements. La rénovation du pier s'inscrit dans un projet plus large d'amélioration de la Promenade du bord de mer et sera bientôt intégralement recouvert par une toiture en bois mobile pouvant abriter l'intégralité de la plateforme, de manière à recevoir de nouveaux événements. Une rénovation exemplaire prenant en compte l'échelle de la construction autant que son impact urbain. Pour en savoir plus, visitez le site de De Rijke Marsh Morgan Architects Photographies : Alex De Rijke  
Il y a 7 ans et 230 jours

Colloque : " Espaces Genrés Sexués Queer " à l'Ensa Paris-Belleville

L'école d'architecture Paris-Belleville accueillera les 19 et 20 octobre 2017 le colloque international "Espaces Genrés Sexués Queer", un rendez-vous pionnier qui donnera la parole à des chercheur(e)s, militant(e)s et artistes...
Il y a 7 ans et 230 jours

Baisse des loyers dans le social : les départements opposés au projet

La stratégie logement du gouvernement s'est attirée les foudres d'un bon nombre d'acteurs du secteur mais pas que ! En effet, dans un communiqué daté du 2 octobre, l'Assemblée des départements de France demande la mise en place d'un moratoire sur le financement du logement social pour engager une " véritable concertation " avec tous les acteurs concernés. Fortement opposée à la baisse des loyers dans le parc social, l'association espère la révision du projet.
Il y a 7 ans et 231 jours

Biennale de Venise : les lauréats pour le pavillon français désignés

Le comité de sélection du Pavillon français de la 16e biennale d'architecture de Venise vient d'annoncer le projet retenu. Il s'agit de "Lieux infinis" porté par l'équipe Encore Heureux.
Il y a 7 ans et 231 jours

Un dôme géodésique en plein coeur de Lyon

EN IMAGES. A l'occasion de la 14ème biennale d'art contemporain de Lyon, un dôme géodésique, célèbre architecture de Richard Buckminster-Fuller, a fait son apparition en plein coeur de la capitale des Gaules. Celui-ci abrite une drôle de création artistique. Découverte.
Il y a 7 ans et 231 jours

Le palmarès Duo@work 2017 : créativité et savoir-faire

Les lauréats du prix Duo@work 2017 ont été révélés ce 21 septembre, à l'occasion de l'inauguration du salon Architect@work, qui fêtait cette année ses 10 ans. Les projets lauréats, dont les démarches concertées exemplaires entre un architecte et un industriel sont ainsi récompensées, révèlent notamment cette année des duos créativité/savoir-faire d'excellence.
Il y a 7 ans et 234 jours

BatiGuide et InfoWeb BTP présentent leurs offres de communication pour les industriels

BatiGuide : le magazine des industriels du BTP BatiGuide est un magazine trimestriel gratuit qui présente les matériaux, services et produits des industriels du BTP, mettant l'accent sur les compétences et le savoir-faire. Le magazine appartient au groupe Info Media Publishing, qui édite d'autres magazines professionnels comme L'industriel ou Guide CHR (hôtellerie-restauration). Le magazine, diffusé auprès d'entreprises, organismes et collectivités, permet de toucher des clients potentiels. De plus, les informations du magazine sont également reprises sur les réseaux sociaux et la newsletter de BatiGuide. Deux offres de lancement proposées aux industriels Deux offres de publicité sont proposées aux industriels souhaitant apparaître dans le magazine BatiGuide :   La première propose d'être présent sur une page entière du magazine. Prix : 1 190¤ (au lieu de 3 200¤ HT) La seconde propose d'apparaître sur une demi-page du magazine, pour 790¤ au lieu de 1 700¤ HT. Pour les intéressés, cliquez ici pour demander votre bon de commande ou plus d'informations.   InfoWeb BTP : la marketplace du bâtiment Lancé en 2006, InfoWeb BTP appartient au groupe Info Media Publishing, à l'instar de BatiGuide. Cette marketplace en ligne regroupe quotidiennement l'actualité du BTP, dans tous les secteurs : produits, fournisseurs, événements autour du bâtiment, catalogues, annonces et offres d'emploi. L'objectif est de fournir un outil de sourcing complet aux professionnels du BTP et de favoriser la mise en relation avec les fabricants pour les demandes de documentation. Actuellement, InfoWeb BTP affiche près de 215 000 visiteurs uniques par mois, en majorité des entrepreneurs et installateurs ainsi que des maîtres d'"uvre et d'ouvrage. Une nouvelle offre promotionnelle pour gagner en visibilité sur le web Une offre alléchante est à découvrir en ce moment : le Pack Ultimate est proposé 1 390¤ au lieu de 2 990¤ HT. Ce pack inclut de nombreux avantages pour les fabricants : Publication de produits, services, vidéos, petites annonces, offres d'emploi et catalogues en illimité sur InfoWeb BTP Statistiques disponibles pour l'ensemble des pages créées Accès à 20 portails professionnels du réseau InfoWeb sans limites de temps Diffusion automatique des nouveaux produits ou communiqués de presse sur les réseaux sociaux Facebook, Twitter, LinkedIn, YouTube et Google +. Cette offre est uniquement disponible pour les 20 premières réservations. À compter du 1er janvier 2018, l'accès illimité sera réduit à 3 ans. Pour profiter de l'offre, rendez-vous ici pour télécharger le bon de commande à renvoyer.
Il y a 7 ans et 235 jours

Nautilus, le complexe écotouristique du futur

PROJET VERT. Comment faire cohabiter tourisme, populations locales et milieu naturel ? En imaginant un complexe biophilique apte à répondre aux défis du développement durable répond Vincent Callebaut, l'architecte d'anticipation belge. Il explique avoir conçu un ensemble "zéro émission, zéro déchet et zéro pauvreté". Explications.
Il y a 7 ans et 235 jours

Salon Smart City+Smart Grid : les tables rondes, temps fort de l'édition 2017

Parallèlement à l'exposition les 4 et 5 octobre 2017, se tiendront 10 ateliers experts et 15 tables rondes qui vont permettre de faire le point sur la multiplication de services pour les professionnels vers une plus grande maîtrise des fonctions majeures de la Ville : énergie, stationnement urbain, transports, bâtiments, sûreté, mobilité.
Il y a 7 ans et 235 jours

Ai Weiwei : D'ailleurs c'est toujours les autres

L'artiste conceptuel chinois Ai Weiwei investit le Palais de Rumine de Lausanne (Suisse), hébergeant le Musée cantonal des Beaux-Arts mais également d'archéologie et d'histoire, de zoologie, de géologie et de la monnaie. Une exposition monumentale à la hauteur de la réputation du célèbre plasticien. L'exhibition " dont le titre fait référence à l'épitaphe de Marcel Duchamp " D'ailleurs c'est toujours les autres qui meurent " ", retrace le parcours créatif d'Ai Weiwei à travers une grande rétrospective, au sein de laquelle on retrouve par exemple la série des doigts d'honneur qui ont fait son succès ainsi que des "uvres plus récentes, évoquant notamment la situation des réfugiés. Car derrière la superstar de l'art contemporain subsiste un homme mettant son savoir-faire au service de la dénonciation. Utilisant une infinité de médiums " photographies, porcelaine, bois, jade ou vidéos ", le plasticien conteste ouvertement le système politique chinois. Si sa mère patrie l'a vu naître, elle l'a aussi traqué, censuré, enfermé et expulsé. En voulant le faire taire, elle a braqué les yeux du monde entier sur lui, personnalité maudite de l'Empire du Milieu. Parfois agressives, souvent poétiques, les "uvres d'Ai Weiwei retracent visuellement l'histoire cachée de son pays d'origine et exposent les facettes cachées du régime chinois. On retrouve par exemple à Lausanne une partie des graines de tournesols peintes à la main exposées à la Tate Modern de Londres, en 2010, évoquant le peuple se tournant aveuglément vers Mao ou encore Blossom, un tapis de fleurs de porcelaine faisant écho à la campagne des cents fleurs de Mao, vaste répression ayant poussé de nombreux artistes locaux à l'exil, dont le père d'Ai Weiwei, le poète Ai Quing. Une exposition forte, contribuant à affirmer la place plus qu'acquise d'Ai Weiwei dans le paysage de la création contemporaine. Pour en savoir plus, visitez le site d'Ai Weiwei Photographies : Ai Weiwei et Alfred Weidinger
Il y a 7 ans et 236 jours

VIA : Nouvelles Vies

Jusqu'au 25 octobre 2017, le VIA (Valorisation de l'Innovation dans l'Ameublement) invite dans ses locaux parisiens une trentaine de créateurs à exposer leur propositions de recyclage et de récupération de matériaux, dans une société où problèmes environnementaux, économiques et sociaux ne peuvent plus être évités. Sous la houlette de Carolina Tinoco, designer et architecte vénézuélienne, et dans une scénographie ludique entièrement réalisée à base de matériaux recyclés, l'exposition présente des réalisations éclectiques. Si elles offrent de " Nouvelles Vies " à des objets désuets, ces "uvres témoignent également de la pérennité des savoir-faire artisanaux " tissage ou poterie " comme des nouveaux dispositifs technologiques " comme l'imprimante 3D. " L'éco-design n'est pas une utopie : c'est un outil au c"ur même de l'expérience créative ! " Carolina Tinoco, commissaire de l'exposition " Nouvelles Vies " Entre la surconsommation, le gaspillage ou le simple manque de conscience écolo, il est impossible pour la jeune scène du design de ne pas réagir et proposer des alternatives. L'exhibition du VIA dresse le constat que l'acte même de création doit aller au-delà de l'esthétisme pour s'inscrire dans une démarche aussi humaniste que progressiste ; et montre de quoi les designers de demain sont capables pour y répondre. Ainsi, le public découvre les créations du studio suédois Brieditis & Evans, spécialisé dans le textile et la broderie, qui réalise Off Pist, une collection de tapis faits main à partir de t-shirts usagés ou encore le concept original lancé par l'entrepreneur agricole italien Gianantonio Locatelli et son compatriote, l'architecte Luca Cipelletti, à savoir le Museo della Merda, traduisez " Musée de la Merde ", ayant pour but de promouvoir la production d'objets faits à partir de bouse de vache qui, une fois séchée puis mélangée à de la paille, des déchets fermiers et de l'argile prend un aspect proche de la terracotta, aux possibilités de création presque infinies ! Un événement qui, espérons-le, permettra aux visiteurs du VIA de prendre conscience que la réutilisation n'est pas juste un concept abstrait mais bel et bien un moteur créatif essentiel. " Nouvelles Vies ", jusqu'au 25 octobre 2017 à la galerie du VIA, Paris 11e Pour en savoir plus, visitez le site du VIA Photographies : DR VIA
Il y a 7 ans et 236 jours

Marcante Testa : Another Venice

Le duo d'architectes d'intérieur Andrea Marcante et Adélaïde Testa revisite un immeuble pittoresque de Venise (Italie). Un projet situé entre l'ode à l'architecture traditionnelle de la cité des amoureux et réalisation contemporaine. Si depuis l'extérieur, la bâtisse de 450 mètres carrés à la façade rose a tout pour figurer sur une carte postale, l'intérieur ne contenait quant à lui aucun élément décoratif typique de la Cité des doges. Le projet consistait donc à créer une relation forte entre dedans et dehors. De cette problématique est née Another Venice, une réinterprétation contemporaine de l'architecture vernaculaire vénitienne. Pour le moment, seul l'entrée de l'immeuble et un appartement ont été retravaillés en continuité avec la façade historique du bâtiment. Les maîtres d'"uvre ont ainsi pris le parti d'entourer l'escalier en pierre desservant les quatre niveaux de la bâtisse, de panneaux en bois d'eucalyptus orangés ornés de baguettes géométriques, faisant écho aux arabesques des balcons traditionnels de la cité. Ces différents fils conducteurs architecturaux se retrouvent dans logement au plan longitudinal transformé par l'agence. Une fois passé le palier, le résident pénètre directement dans le hall placé au centre, dont les nuances rappellent celles du canal et de ses habitations " vert d'eau au mur, plinthes et mobilier en bois rouge. Ce dernier dessert d'un côté les pièces de service " la cuisine et une salle de bain " ainsi qu'une chambre d'ami tandis qu'en face, se situe une première pièce de vie au parquet sombre rassemblant salon et salle à manger. Cet ensemble de vie mène sur un deuxième living room. Ici, un sol en bois aux motifs typiques de la région accueille du mobilier sobre d'inspiration années 1970 aux tons bruns et un paravent en bois fait de plusieurs essences aux teintes diverses dissimulant un accès à la partie nuit de l'appartement, abritant deux chambres et deux salles de bain. Le tout est caractérisé par un mélange de meubles à l'allure seventies, de revêtements simples et épurés et d'éléments plus travaillés " papier peint graphique, détails en laiton, etc. ", le tout faisant échos aux matériaux de construction locaux et aux nuances de couleurs des façades surplombant les canaux. L'ensemble relève le défi que s'étaient lancé les deux architectes et réinterprète avec brio les éléments typiques de la cité des Doges. Pour en savoir plus, visitez le site de Marcante Testa Photographies : Carola Ripamonti
Il y a 7 ans et 236 jours

Imerys Toiture sort le grand jeu à Batimat

Avec un stand de plus de 300 m2, organisé autour de ses univers de prédilection (tuiles, bardage, solaire, services, accessoires fonctionnels), Imerys Toitures entend afficher sa marche avant-gardiste dans le domaine de la toiture.
Il y a 7 ans et 237 jours

APS 2017 : l'événement sûreté/sécurité n°1 en France ouvre ses portes

APS, le salon professionnel de la sûreté et de la sécurité, aura lieu du 26 au 28 septembre 2017 à Paris - Porte de Versailles - Pavillons 5.2/5.3. Fort du succès des années précédentes, APS s'apprête à vivre en 2017 l'édition de tous les records : surface en croissance, nombre d'exposants en hausse, offre élargie, participation des entreprises internationales en augmentation.
Il y a 7 ans et 237 jours

Prix Duo@Work 2017 : le palmarès

L'Unsfa Ile-de-France, syndicat des architectes, en partenariat avec le salon Architect@Work Paris, a décerné ses trophées 2017?
Il y a 7 ans et 237 jours

Entente cordiale à Ouistreham pour l'Atelier Philéas

Le concours pour le centre des relations franco-britanniques de Ouistreham (Calvados) a été emporté à l'été 2017 par l'Atelier Philéas, avec l'atelier H. Audibert pour la lumière et Casson Mann pour la scénographie. Le programme comprend : hall, salle d'exposition permanente, salle d'exposition temporaire, boutique, auditorium, administration, restaurant. La livraison de ce projet de 3 […] L'article Entente cordiale à Ouistreham pour l'Atelier Philéas est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 237 jours

Philippe Prost / AAPP : Monnaie de Paris

Bijou d'architecture néo-classique érigé en 1776 par Jacques-Denis Antoine, l'Hôtel de la Monnaie, à Paris (6e), renaît grâce à l'intervention de l'architecte Philippe Prost, après 6 années de travaux en site occupé. Un défi de taille relevé par l'architecte français qui relie ce site d'exception et les métiers d'arts qu'il abrite. Les amateurs de pièces, d'artisanat, d'architecture et de bonnes tables ont dorénavant un lieu en commun, la Monnaie de Paris. Sous une enveloppe datant du XVIIIe siècle, de multiples structures se mêlent en effet ici : une boutique ; un café, Frappé ; un musée, le 11 Conti ; un restaurant, celui de Guy Savoy ; et des ateliers d'outillage et de gravure ; dans ce qui est la dernière usine de Paris. Un village d'irréductibles Gaulois situé au c"ur du mythique quartier de Saint-Germain-des-Prés où sont encore frappées des médailles et quelque 200 000 pièces par an ! dont une partie de celles de 2 euros. " Ce n'est pas une réserve d'Indiens ou Disneyland ", revendique ainsi haut et fort son PDG, Aurélien Rousseau. Patrimoine architectural, artisanal et artistique sont donc mis ici à l'honneur, avec une collection composée de pas moins de 170 000 "uvres, dont 35 000 monnaies. Le projet de Philippe Prost rend son aspect originel au bâtiment de Jacques-Denis Antoine, qui, à force de rénovations, s'était vu obstrué et dénaturé. Plus globalement, il redonne ses lettres de noblesse à cet édifice de 1,3 hectare classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, situé entre les quais, la rue Guénégaud, l'impasse de Conti et un îlot bâti dense : la Parcelle de l'an IV. Pour ce faire, le maître d'"uvre ajoute deux entrées et crée un nouveau parcours intérieur autour duquel s'organisent les différents programmes, tout en permettant au lieu de continuer ses activités durant la durée des travaux. La manufacture est dorénavant clairement montrée, revendiquée, et devient elle-même une partie musée ; un musée vivant : le " 11 Conti ", une balade architecturale où alternent galeries et ateliers. Dès lors, l'architecte imagine une scénographie en lien avec la production du lieu " contrairement aux espaces d'exposition temporaires, qui, elles, traitent de tout sujet, et prennent place dans l'étage des nobles, face à la Seine. Si la plupart des objets de la collection permanente sont placés dans des vitrines, d'autres prennent place sur des tables de frappe d'origine ou sur du mobilier évoquant l'artisanat numismatique. Ainsi, la frappe de monnaies retrouve une place de choix dans la cour d'honneur et est agrémentée de divers studios spécialisés, éparpillés tout le long du monument. Un nouvel atelier d'outillage et de gravure voit également le jour à la place de l'ancien mur d'enceinte. Il est entièrement recouvert de panneaux de cuivre perforés métaphorisant les planches dans lesquelles sont découpés les flans des pièces. " L'utilisation du métal dans le projet relie le lieu à l'"uvre. Il est symbole de transformation, non pas du pas du métal, mais du bâtiment. " Philippe Prost, architecte Pour finir, l'architecte dessine une nouvelle boutique dans l'ancienne fonderie du quai de Conti, mise en valeur par un puit de lumière zénithal provenant d'une lucarne culminant à 17 mètres de hauteur. Ce lieu commerçant, largement vitré, l'un des seuls espaces visibles depuis l'extérieur, constitue la vitrine du projet. " Ouvrir la Monnaie de Paris sur la ville n'était pas facile car il s'agit d'un site régalien, qui devait pouvoir se protéger, se défendre ", livre l'architecte. Si le monument vient de rouvrir ses portes, le projet ne prendra fin qu'en 2019, avec la création d'un nouveau passage et d'un jardin en partie est, côté Parcelle de l'an IV. L'occasion de redécouvrir ce lieu situé à mi-chemin entre architecture classique et contemporaine, entre art et industrie. Pour en savoir plus, visitez le site de Philippe Prost Photographies : adagp
Il y a 7 ans et 237 jours

Bilan de 10 années d'aides pour la rénovation énergétique des logements

La Direction régionale et interdépartementale de l'hébergement et du logement (DRIHL) publie quatre monographies, réalisées sur les départements de petite couronne, présentant les aides financières publiques à la rénovation énergétique des logements privés et sociaux attribuées en dix ans (2006-2015).
Il y a 7 ans et 237 jours

Événement : AGORA 2017

Depuis jeudi, Bordeaux (33) vit au rythme d'AGORA, Biennale d'architecture, d'urbanisme et de design, axée cette année sur le thème du paysage. Des rives de la Garonne aux Bassins à flots, en passant par la Place de la Bourse, la belle endormie s'est éveillée durant quatre jours aux sons des conférences et aux lumières des installations. Bien qu'une partie de la programmation ait été disséminée dans tout Bordeaux, l'exposition principale imaginée par le paysagiste/architecte/ingénieur belge, Bas Smets, se tenait dans l'imposant bâtiment en béton situé dans le quartier central des Chartrons : le Hangar 14, dit H14. Après les thèmes " Métropoles millionnaires " en 2010, " Patrimoine " en 2012 et " Espace public " en 2014, la nouvelle édition de l'événement s'articule autour du sujet des " Paysages métropolitains ". Un fil d'Ariane qui guide le chaland dans une scénographie répartie sur les deux niveaux. Le rez-de-chaussée, prévu pour accueillir les différentes installations " allant du stand explicatif aux espaces multimédias ", reproduit entre autres la topographie de la ville , tout en y implantant des projets urbains, architecturaux ou créatifs. Le commissaire Bas Smets organise ces différents éléments de part et d'autres du tracé de la Garonne reproduit à même le sol du H14. Les diverses zones dédiées aux films, stands, maquettes et conférences sont ainsi séparées par ce cours d'eau factice et près de 300 arbres d'essences locales. À l'étage, on retrouve deux structures pentagonales composant " Paysages augmentés ", la deuxième partie de l'exposition de Bas Smets . L'une, intitulée " Homo urbanus ", met en scène les travaux des vidéastes Ila Bêka et Louise Lemoine abordant l'influence du climat sur les habitudes des habitants de différentes métropoles " Saint-Pétersbourg, Naples, Bogota, Rabat et Séoul ", tandis que la seconde, nommée " Résistance du territoire " s'intéresse aux interventions humaines sur la nature et au rôle de celle-ci sur le développement citadin de Singapour, Bruxelles, Hong Kong, Hyderabad et Bordeaux grâce à un ensemble de projections signées Christian Barani. Ajoutées à cela, de nombreuses manifestations ayant lieu au c"ur de Bordeaux " inauguration de la nouvelle promenade réalisée par le paysagiste Michel Corajoud, inaugurée ce weekend performances artistiques, ballets, projections de longs métrages, jeux de lumières, etc. ", et installations " dont L'Observatoire du ciel de Pablo Reinoso ", qui ont permis de familiariser les passants aux pratiques architecturales, urbaines et artistiques. Grand nombre de lieux situés au-delà du centre-ville ont également été exploités, à l'exemple de la base sous-marine, héritage bétonné de la Seconde Guerre mondiale, qui accueillait l e prix Bas Carbonne tandis que de nombreuses fêtes avaient lieu du côté de la Cité du Vin de l'agence XTU architects, livrée l'an passé. Le résultat offre une biennale vivante, aussi passionnante pour les professionnels que pour les novices ! Pour en savoir plus, visitez le site d'AGORA Photographies : DR Agora
Il y a 7 ans et 237 jours

Heatherwick Studio : Zeitz MOCAA et Silo Hotel

Issu de la réhabilitation d'un silo du Cap (Afrique du sud), plus haut bâtiment d'Afrique du Sud construit en 1921, le Zeitz MOCAA est aujourd'hui un hôtel et un musée d'art contemporain, et pas des moindres. Il posséde en effet la plus grande collection d'"uvres du continent, jusqu'alors largement délaissé par les institutions culturelles. Un projet d'envergure réalisé par l'architecte britannique Thomas Heatherwick, connu pour ces ouvrages mêlant art et ingéniérie. Répartis sur neuf étages, les 9 500 mètres carrés de l'institution conservent et rendent hommage à l'architecture massive en béton de l'ancien silo à grains, symbole du passé industriel de la ville. Si la surface principale " soit 6 000 mètres carrés ", dédiée à l'accueil des visiteurs, comprend 80 espaces d'exposition, le reste du bâtiment abrite des laboratoires de conservation, une librairie, un restaurant, un bar et un hôtel avec un toit-terrasse agrémenté d'une piscine à débordement. Situé entre mer et montagne, sur le port du Cap, l'édifice, composé d'une partie basse et d'une tour de 27 mètres de haut, détonne par sa façade, à la fois massive et aérienne. La portion inférieure, accueillant le musée, demeure ainsi entièrement bétonnée et est surmontée d'une ossature poteaux-poutres dont les vides sont comblés par des parois facettées en verre réfléchissant, qui héberge quant à elle un hôtel. Des joyaux sertis dans une construction industrielle monumentale tombée en désuétude dans les années 1990. À l'intérieur, le défi consistait à conserver au maximum l'ensemble des silos caractéristiques du bâtiment et de son histoire, tout y insérant une multitude de galeries du Zeitz MOCAA. Pour cela, les maîtres d'"uvre réalisent à même le béton de grandes ouvertures arrondies, créant une impression de hauteur dans des étendues qui étaient autrefois très segmentées. Le visiteur se trouve dorénavant dans un espace imposant aux airs de cathédrale gothique. Ainsi, avant même d'être subjugué par les collections africaines et internationales, il est happé par les volumes grandioses qui se déploient devant lui. " Le résultat du processus créatif et architectural se rapproche presque autant du fait d'inventer de nouvelles formes de support structural et sculptural que de construire normalement. " Thomas Heatherwick, architecte et fondateur d'Heatherwick Studio Un lieu à la hauteur de ses promesses architecturales et culturelles, qui contribue au développement artistique de l'Afrique. Pour en savoir plus, visitez le site de Heatherwick Studio Photographies : Iwan Baan
Il y a 7 ans et 237 jours

Heatherwick Studio : Zeitz MOCAA

Issu de la réhabilitation d'un silo du Cap (Afrique du sud) " plus haut bâtiment d'Afrique du Sud construit en 1921 ", par l'architecte Thomas Heatherwick, le Zeitz MOCAA est aujourd'hui le musée d'art contemporain possédant la plus grande collection d'"uvres du continent, jusqu'alors délaissé par les institutions culturelles. Répartis sur neuf étages, les 9 500 mètres carrés de l'institution conservent et rendent hommage à l'architecture massive en béton de l'ancien silo à grain, symbole du passé industriel de la ville. Si la surface principale " soit 6 000 mètres carrés ", dédiée à l'accueil des visiteurs, comprend 80 espaces d'exposition, le reste du bâtiment abrite des laboratoires de conservation, une librairie, un restaurant, un bar et une terrasse sur le toit. Situé entre mer et montagne, sur le port du Cap, le bâtiment, composé d'une partie basse et d'une tour, détonne par sa façade, à la fois massive en partie basse et aérienne en partie haute. La portion inférieure demeure ainsi entièrement bétonnée et surmontée d'une ossature poteaux-poutres dont les vides sont comblés par des parois facettées en verre réfléchissant. Des joyaux sertis dans une construction industrielle monumentale, tombée en désuétude dans les années 1990... À l'intérieur, le défi consistait à conserver au maximum l'ensemble de silos caractéristiques du bâtiment et de son histoire, tout y insérant une multitude de galeries. Pour cela, les maîtres d'"uvre réalisent à même le béton de grandes ouvertures arrondies, créant ainsi une impression de hauteur dans des volumes qui étaient autrefois très segmentés. Le visiteur se trouve dorénavant dans un espace imposant aux airs de cathédrale gothique. Ainsi, avant même d'être subjugué par les collections africaines et internationales, il est happé par les volumes grandioses qui se déploient devant lui. " Le résultat du processus créatif et architectural se rapproche presque autant du fait d'inventer de nouvelles formes de support structural et sculptural que de construire normalement. " Thomas Heatherwick, architecte et fondateur d'Heatherwick Studio Un lieu à la hauteur de ses promesses architecturales et culturelles, qui contribue au développement artistique de l'Afrique. Pour en savoir plus, visitez le site de Heatherwick Studio Photographies : Iwan Baan
Il y a 7 ans et 237 jours

Point de vue " Candidats : encore une nouvelle formalité en perspective !

La réforme du Code du travail cache en son sein une disposition ajoutant une énième pièce à insérer dans les dossiers de candidature à des marchés publics. Arnaud Latrèche, adjoint au directeur de la commande publique et de la valorisation immobilière du conseil départemental de la Côte-d'Or, y voit une nouvelle manifestation de l'instabilité des règles de la commande publique. Et une charge de plus pour les acheteurs.
Il y a 7 ans et 237 jours

La marque QB continue son développement et associe un premier classement : UPEC

Le CSTB a lancé la certification QB fin 2015 pour faciliter la lisibilité des repères de qualité et de performance des produits, services et acteurs de la construction. Deux ans après, la marque continue son essor et intègre le classement UPEC, dédié aux revêtements de sol. Avec plus de 3 400 certificats délivrés à 935 entreprises, QB couvre aujourd'hui toutes les familles de matériaux, produits ou équipements : revêtements de sols ; enduits, mortiers, colles ; traitement de l'eau, canalisations, assainissement, flexibles de raccordement ; profilés de fenêtres, fenêtres de toit ; bardage, couverture et produits connexes ; éléments structuraux préfabriqués en béton ; produits ou ouvrages spécifiques d'isolation thermique ; etc. En lien avec les enjeux du secteur, elle contribue à renforcer le rayonnement du savoir-faire, des outils et des solutions développés par les fabricants qui, de plus en plus nombreux, s'engagent volontairement dans la certification. QB poursuit aujourd'hui ce déploiement au service de la qualité en s'associant au classement UPEC, dédié aux revêtements des sols. Il permet d'apprécier l'adéquation d'un produit à un usage ciblé, en fonction du type de local où il est installé. QB UPEC : une aide au choix Le classement UPEC, associé à la certification QB, donne les informations-clés aux prescripteurs pour les aider à choisir un revêtement de qualité, dont les performances répondent aux exigences spécifiques du local où ils souhaitent le mettre en "uvre. Il se décline autour de 8 catégories de locaux : Habitation Bureaux Gares et Aéroports Commerce Hôtellerie Enseignement Hôpitaux Maisons d'accueil pour personnes âgées Ce classement s'articule autour de 4 lettres repères, chacune correspondant à un domaine de performances certifiées : U (Usure) P (Poinçonnement) E (Eau) C (Chimie) Chaque lettre est associée à un chiffre augmentant avec la sévérité d'usage ou avec le niveau de performance. Ainsi par exemple, dans une salle d'activités de crèche, un produit classé au moins U3P3E2C1 conviendra pour répondre aux sollicitations spécifiques de ce type de local. La certification QB, associée au classement UPEC, peut être complétée par la lettre A+, A++ (acoustique) ou D+ (critères dimensionnels pour une pose à joints minces). Un dispositif de communication soutenu Une forte visibilité sera donnée à la marque QB durant tout le second semestre 2017, notamment avec 3 grands rendez-vous professionnels : le Congrès HLM (24-28 sept.), Batimat (6-10 nov.) et le Salon des Maires (21-23 nov.). Deux campagnes seront déclinéq dans une vingtaine de médias, presse écrite et web : Autour de QB : « QB, une marque, toutes les qualités » « One mark, a thousand qualities » Autour de QB-UPEC : « Une marque, un classement, 4 performances » « One mark, one classification, 4 characteristics » En savoir plus : Le classement UPEC Notice sur le classement UPEC des locaux (Cahiers du CSTB n° 3509) Site QB
Il y a 7 ans et 237 jours

Batimat : K.Line confie la réalisation de son stand Smart Home à AIA Life Designers

" Visionnaire et connecté " : c'est avec ces deux adjectifs que K.Line, fabricant de menuiseries, décrit son stand pour la prochaine édition de Batimat. Il faut dire que l'agence AIA Life Designers, retenue pour la réalisation de cet espace inédit, n'a pas lésiné sur les moyens en proposant d'y installer une structure centrale à la fois moderne et épurée, à l'image des produits de l'entreprise.
Il y a 7 ans et 238 jours

1977- 2017 : Architectures d'intérêt public en Provence-Alpes-Côte d'Azur

La loi de 1977 consacre la création et la qualité architecturale. L’architecture est désormais "d’utilité publique" ; parmi d’autres mesures, les CAUE sont créés et les concours rendus obligatoires. Cette exposition montre comment la création architecturale a évolué au regard du cadre législatif. Le propos est structuré selon un découpage de la période qui distingue […] L'article 1977- 2017 : Architectures d’intérêt public en Provence-Alpes-Côte d’Azur est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 238 jours

Une expo érudite sur l'architecture japonaise au centre Pompidou-Metz

Comment l'architecture japonaise s'est-elle développée après 1945, entre la destruction d'Hiroshima, la menace sismique et les contraintes liées à la densité urbaine ? C'est le thème d'une exposition érudite, présentée depuis ce week-end au centre Pompidou-Metz, et qui constitue le lancement d'une saison nippone.
Il y a 7 ans et 238 jours

Plus de 300 évènements organisés à l'occasion des Journées nationales de l'architecture 2017

L'année dernière était organisée la première édition des Journées nationales de l'architecture. Face au succès de cet évènement, le ministère de la Culture et de la Communication lancera dès le 13 octobre prochain une seconde session visant à faire naître un " désir d'architecture " chez le grand public. Plus de 300 manifestations (conférences, expositions, visites guidées, etc.) ont d'ores et déjà été annoncées. Les détails.
Il y a 7 ans et 238 jours

Imerys Toiture met en avant sa nouvelle offre globale sur Batimat

L'édition 2017 du Mondial du Bâtiment promet d'être riche en nouveautés pour Imerys Toiture ! L'industriel français, spécialiste des tuiles terre cuite, a en effet annoncé que le salon serait l'occasion de présenter ses derniers produits, dont les tuiles Beauvoise Graphite et Omega Max, la gamme de membranes Coveo, ou encore les accessoires Nook et Altka. Présentation en avant-première.
Il y a 7 ans et 241 jours

APS 2017 : Innovations, village Start-up, temps forts? les inédits du salon

APS, l'événement sûreté/sécurité n°1 en France, annonce ses inédits 2017 : le tout premier village Start-up APS, entièrement dédié à la découverte de Start-up disruptives, la première édition des Trophées APS, dont le palmarès sera révélé en avant-première du salon le 12 septembre et les rendez-vous incontournables de la 18e édition.
Il y a 7 ans et 241 jours

Sordo Madaleno Arquitectos : Parque Toreo

Situé à Naucalpan, dans la banlieue de Mexico (Mexique), un impressionnant complexe commercial de près de 475 000 mètres carrés, rassemble de multiples usages et activités sous un même toit. À la fois lieu d'achalandage et parc urbain, cet ensemble réalisé par l'agence Sordo Madaleno Arquitectos tente de pallier l'absence de lieux de rencontre de la mégapole. L'ouvrage se compose d'un centre commercial positionné au c"ur d'une construction de quatre premiers étages, sur un total de 91 500 mètres carrés ; bientôt entouré de trois tours de 15 niveaux qui hébergeront des bureaux et un hôtel de 250 chambres. Le projet repose sur la création d'un grand parc urbain planté faisant office de place publique, d'espace de circulation arboré, de lieu de rencontre et d'exposition, capable d'accueillir des événements culturels et des conférences. Ces possibilités offertes aux visiteurs font de lavaste superficie bien plus qu'une simple galerie marchande. Les poteaux en forme de troncs d'arbres, qui supportent l'ensemble de la couverture alvéolaire métallique, permettent par ailleurs de libérer la surface de tout mur et donc d'y amener une grande quantité de lumière. Le visiteur circule ainsi dans un lieu ponctué par une riche végétation exotique et des fontaines procurant une atmosphère calme dans une ruche bouillonnant d'activités et de boutiques, restaurants et autres cinémas. Un bâtiment qui symbolise à lui seul le renouveau des architectures commerciales, et dont la mixité d'usage est vue par ses concepteurs comme une réponse à l'urbanisation galopante des mégalopoles sud-américaines. Pour en savoir plus, visitez le site de Sordo Madaleno Arquitectos Photographies : Rafael Gamo
Il y a 7 ans et 241 jours

La qualité de l'air au c"ur du salon Interclima+Elec

Il y a quelques jours se tenait la 3ème édition de la Journée nationale de la qualité de l'air, qui vise à sensibiliser les citoyens à l'importance de respirer un air de bonne qualité, y compris à l'intérieur de l'habitat. Une thématique d'une importance grandissante, qui sera d'ailleurs reprise sur le salon Interclima+Elec à travers des ateliers dédiés. Précisions.
Il y a 7 ans et 242 jours

IKEA : Make a room for?

À l'occasion de la Paris Design Week, le géant suédois installait un showroom temporaire dans la Galerie Joseph-Minimes à Paris (3e). Pour démontrer encore un peu plus l'éventail des possibilités qu'offrent son mobilier en kit, la marque invitait artistes et designers à imaginer divers agencements et parcours immersifs. Sur une surface de 300 mètres carrés répartie sur deux niveaux, IKEA présente différentes installations illustrant tout le potentiel offert par ses collections, notamment YPPERLIG. Ces mises en scène, regroupées sous la bannière Make a room for..., permettent ainsi aux visiteurs de se projeter et de visualiser les meubles dans un espace habité. La première zone d'exposition se situe au rez-de-chaussée de la Galerie Joesph-Minimes. Divisée en trois parties, elle rassemble les projets d'une artiste et de deux studios de design. Bienvenue dans Make a room for Art! La plasticienne Cécile Chaput s'y réapproprie les meubles scandinaves dans un intérieur déstructuré et géométrique dans lequel les éléments de la marque deviennent des sculptures, aussi esthétiques que fonctionnelles. L'Atelier de design Hapax, spécialiste du détournement d'objets quotidiens, réutilise quant à lui une centaine de cintres en bois " un classique de la firme ", pour créer un paravent modulable et contemporain. De son côté, l'agence Désormeaux/Carrette, basée à Paris, fait appel à notre âme d'enfant et élabore un projet ludique axé sur l'univers du jeu vidéo en transformant des éléments de l'enseigne " comme une table ou une chaise de bureau classique ", en un poste de commande prenant la forme d'un bolide ! Au sous-sol, le visiteur se retrouve dans Make a room for life, dédié à l'agencement du salon. Pour découvrir les créations destinées à cette pièce de vie principale, IKEA propose un dédale de living-rooms, offrant chacun une ambiance singulière. On passe alors d'une atmosphère tropicale à un décor de fête, le tout mettant en avant les nouveaux produits de la firme. Enfin, le clou du spectacle réside dans la présentation de la collection YPPERLIG, réalisée en collaboration avec le studio de design danois HAY. Exposé au premier étage, Make a room for YPPERLIG est un condensé de savoir-faire scandinaves, composé une cinquantaine de pièces aux formes épurées. Un florilège de possibilités offertes par les produits IKEA ici montrées dans des scénographies originales, qui ont fait le succès de la marque au sac bleu ! Pour en savoir plus, visitez le site d'IKEA Photographies : LolL Willem
Il y a 7 ans et 242 jours

La tour Montparnasse aurait pu ressembler à...

REHABILITATION. Maquettes, films d'animation 3D, plans et perspectives... Une exposition au Pavillon de l'Arsenal à Paris présente en détail jusqu'au 22 octobre, les sept projets finalistes proposés dans le cadre de la consultation internationale pour la métamorphose de la tour Montparnasse.
Il y a 7 ans et 242 jours

Sageret dévoile son offre newsletter à l'occasion de BATIMAT 2017

À l'occasion du salon BATIMAT qui ouvrira ses portes du 6 au 10 novembre 2017 au Parc des Expositions de Paris Nord Villepinte, Sageret propose une offre de communication attractive : Une newsletter destinée à une cible qualifiée de pros du BTP La mise en avant d'un produit ou deux produits (coût supplémentaire) au sein de sa newsletter qui sera envoyé le 24 octobre 2017 à une base de 300 000 abonnés BTP dont 30 000 prescripteurs qualifiés. Le coût de l'opération ? 500 ¤ HT pour un produit et 250 ¤ HT supplémentaires pour une second produit. Si cette offre est l'occasion idéale pour communiquer juste avant BATIMAT, Sageret précise qu'elle est également ouverte aux entreprises n'ayant pas de stand sur le salon. En savoir plus sur l'opération :  Vous êtes intéressé pour apparaître dans cette newsletter ? Remplissez le bon de commande ici. Et pour découvrir les détails de l'opération, cliquez ci-dessous :
Il y a 7 ans et 242 jours

Batimat 2017 : Louineau se dote d'un stand interactif

A l'approche du Mondial du Bâtiment, qui se tiendra du 6 au 10 novembre à Villepinte, les industriels rivalisent d'imagination afin de proposer des stands toujours plus innovants ! L'objectif : attirer l'attention des visiteurs afin de leur donner envie d'en découvrir plus. C'est justement ce défi qu'a souhaité relevé Louineau, qui présentera ses solutions de mise en "uvre de menuiseries extérieures au c"ur d'un espace proposant quatre modules dédiés aux différents univers couverts par la marque.
Il y a 7 ans et 243 jours

A Bordeaux, Agora laisse le paysage dicter sa loi

L'exposition "Paysages augmentés", imaginée par le paysagiste belge Bas Smets a ouvert ses portes aujourd'hui au H14. Elle est le centre névralgique de la biennale d'architecture Agora, à Bordeaux, qui s'achèvera le 24 septembre.
Il y a 7 ans et 243 jours

Quel avenir pour la lumière urbaine?

Du 1er au 4 novembre 2017, Paris accueillera, Porte Maillot, le Congrès mondial des concepteurs lumière " Professional Lighting Design Convention (PLDC 2017). A cette occasion, Roger Narboni (agence Concepto) organise une exposition sur "Le futur de la lumière urbaine"?
Il y a 7 ans et 243 jours

Rencontre avec : BIG

À l'occasion de la présentation à la presse de son biopic, la rédaction de Muuuz rencontrait le jeune prodige Bjarke Ingels sur ses terres, à Copenhague (Danemark), dans les impressionnants locaux de son agence, BIG, qui compte dorénavant plus de 450 collaborateurs répartis entre la capitale danoise, New York et Londres. Un parcours sans faute pour celui qui, à la base, ne souhaitait même pas être architecte mais dessinateur de BD. Muuuz : Vous arrivez tout juste de l'aéroport. Que cela vous fait-il de savoir qu'une des premières choses que les gens voient de Copenhague depuis les airs est votre bâtiment 8-tallet ?Bjarke Ingels : C'est une façon plutôt sympathique d'être accueilli ! En fonction de la direction par laquelle vous arrivez, vous pourrez aussi bientôt voir une piste de ski installée sur le toit du Amager Resource Center, future station de traitement des déchets de Copenhague [située à deux pas de l'Opéra, il sera le bâtiment le plus haut de la capitale, ndlr]. C'est assez drôle de se dire que d'un côté il y aura le palais de la Reine, et en face une piste de ski ! Comment l'idée d'un biopic vous est-elle venue ?L'histoire commence en 2009. Le réalisateur du film, Kaspar Astrup, tournait à l'époque My playground, dans lequel il suivait les freerunners de Parkour, qui utilisaient comme terrain de jeux The Mountain, l'immeuble d'habitation que nous avons conçu avec Julien de Smedt. C'était il y a 7 ans ! Au même moment, je me demandais comment intéresser les néophytes à l'architecture, car c'est rare d'arriver à capter leur attention sur le sujet, ou quand cela fonctionne c'est parce qu'ils trouvent un bâtiment moche ! Pour y arriver, je me suis donc dit qu'il fallait aborder le film comme une fiction, et non un documentaire. Cela a été le point de départ des 7 ans de tournage de BIG TIME ! Qu'est-ce cela fait d'être suivi aussi longtemps par un réalisateur ?Kaspar est devenu un ami. Du coup, être suivi par lui n'a rien à voir avec le fait de l'être par une équipe inconnue. Et il n'était pas tout le temps là. Par exemple, quand j'ai déménagé aux États-Unis, il n'y avait que moi et un de mes associés, qui est également un ami. Maintenant il y a 200 personnes ! BIG TIME ne montre pas tout ce qui s'est passé entre-temps, on a l'impression qu'on s'est contentés de prendre un avion et que tout cela s'est fait facilement... Avez-vous demandé à effectuer des coupes dans le film ?On a fait quelques ajustements pour se concentrer un peu plus sur le contexte. Quand j'ai vu le montage final, j'ai été surpris de voir que c'était aussi une histoire d'amour. À la fin du film, on se dit " Bjarke a trouvé l'amour " ! Selon vous, le film parle de vous en tant qu'homme ou qu'architecte ? Qui de BIG ou de Bjarke...Je dirais que c'est avant tout une histoire sur moi, en tant que personne. Ce serait pour moi un succès de savoir que les spectateurs ont ressenti de l'émotion, de la sympathie ou de l'empathie pour le personnage principal que j'incarne, tout en s'intéressant à l'architecture et à son impact sur la vie de tous les jours. Dans le film Storytelling, de Todd Solondz, un professeur d'écriture dit " peu importe ce qui s'est passé, dès que tu commences à écrire, tout devient une fiction ". Dans ce sens, ce qui arrive dans BIG TIME a beau parler de moi, il s'agit au final d'une fiction. Construire fait aussi appel à cet aspect narratif, car vous pouvez imaginer ce que vous voulez, mais le résultat peut être complètement différent. La maison de vos parents que l'on voit dans le film, de style moderne, a-t-elle influencé votre travail ?J'ai une théorie : je pense que les petits sont bien plus modernes que les grands. Dans les films de James Bond que je regardais, le méchant vivait toujours dans une maison avec terrasse, lignes géométriques et vitrage partout, je trouvais cela vraiment cool ! Puis à l'école, j'ai appris à aimer autre chose. Pourquoi ne dessinez-vous pas de maisons ?Je pense que c'est beaucoup de travail de concevoir des maisons privées. On a réalisé un ensemble de quatre maisons au nord du Danemark. Chacune d'elles est différente, comme un portrait des gens qui vont y vivre. Plus ils ont une façon de vivre hors normes, plus c'est excitant ! Avant de commencer, on s'est assuré que les propriétaires souhaitaient réaliser un projet extraordinaire. Car pour un projet comme celui-là vous dépensez tellement d'énergie ! Pour que ce soit pertinent, c'est comme un film : celui auquel il se destine doit être émotionnellement investi. Qu'est-ce que cela vous fait, à seulement 40 ans, d'avoir été choisi pour construire sur un site comme Ground Zero ?C'est un honneur incroyable. On a l'impression d'être l'acteur de son propre film...Je me rappelle très bien le jour où les tours ont été détruites. À l'époque je venais de monter ma première agence, PLOT, avec Julien de Smet. On était en train de peindre nos premiers locaux. Notre stagiaire nous a avertis. On est restés scotchés. On regardait cela, abasourdis, et là, la seconde tour a été touchée. On prend alors conscience que tout peut un jour disparaître. Tout cela semblait invraisemblable ; avoir été choisi, 15 ans plus tard, pour construire une des tours de ce site l'est encore plus. J'ai appris cela alors que je venais de monter une antenne new-yorkaise. C'est comme si la boucle était bouclée, comme quand on prend conscience à la fin d'une séance de cinéma de l'importance de première scène... Après une telle carrière, y a-t-il des projets pour lesquels vous seriez prêts à tuer ?Commettre un meurtre ?! Oh non, je n'irais jamais jusque-là ! BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes ; un article à découvrir sur Muuuz Pour en savoir plus, visitez le site de BIG Photographies :1) © Steve Benisty2) Amager Resource Center © BIG - Bjarke Ingels Group-MIR3) The Mountain, PLOT = BIG + JDS4-6) BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes7) © Jonas Bie8) © KT Auleta9) 8-Tallet © Dragor Luftfoto10-12) 8-Tallet © Jens Lindhe13-16) Amager Resource Center © BIG - Bjarke Ingels Group-MIR17) Serpentine Pavilion 2016
Il y a 7 ans et 243 jours

Rencontre avec : BIG

À l'occasion de la présentation à la presse de son biopic, la rédaction de Muuuz rencontrait le jeune prodige Bjarke Ingels sur ses terres, à Copenhague (Danemark), dans les impressionnants locaux de son agence, BIG, qui compte dorénavant plus de 450 collaborateurs répartis entre la capitale danoise, New York et Londres. Un parcours sans faute pour celui qui, à la base, ne souhaitait même pas être architecte mais dessinateur de BD. Muuuz : Vous arrivez tout juste de l'aéroport. Que cela vous fait-il de savoir qu'une des premières choses que les gens voient de Copenhague depuis les airs est votre bâtiment 8-Tallet ?Bjarke Ingels : C'est une façon plutôt sympathique d'être accueilli ! En fonction de la direction par laquelle vous arrivez, vous pourrez aussi bientôt voir une piste de ski installée sur le toit du Amager Resource Center, future station de traitement des déchets de Copenhague [située à deux pas de l'Opéra, il sera le bâtiment le plus haut de la capitale, ndlr]. C'est assez drôle de se dire que d'un côté il y aura le palais de la Reine, et en face une piste de ski ! Comment l'idée d'un biopic vous est-elle venue ?L'histoire commence en 2009. Le réalisateur du film, Kaspar Astrup, tournait à l'époque My playground, dans lequel il suivait les freerunners de Parkour, qui utilisaient comme terrain de jeux The Mountain, l'immeuble d'habitation que nous avons conçu avec Julien de Smedt. C'était il y a 7 ans ! Au même moment, je me demandais comment intéresser les néophytes à l'architecture, car c'est rare d'arriver à capter leur attention sur le sujet, ou quand cela fonctionne c'est parce qu'ils trouvent un bâtiment moche ! Pour cela, je me suis dit qu'il fallait aborder le film comme une fiction, et non un documentaire. Cela a été le point de départ des 7 ans de tournage de BIG TIME. Qu'est-ce cela fait d'être suivi aussi longtemps par un réalisateur ?Kaspar est devenu un ami. Du coup, être suivi par lui n'a rien à voir avec le fait de l'être par une équipe inconnue. Et il n'était pas tout le temps là. Par exemple, quand j'ai déménagé aux États-Unis, il n'y avait que moi et un de mes associés, qui est également un ami. Maintenant il y a 200 personnes ! BIG TIME ne montre pas tout ce qui s'est passé entre-temps, on a l'impression qu'on s'est contentés de prendre un avion et que tout cela s'est fait facilement... Avez-vous demandé à effectuer des coupes dans le film ?On a fait quelques ajustements pour se concentrer un peu plus sur le contexte. Quand j'ai vu le montage final, j'ai été surpris de voir que c'était aussi une histoire d'amour. À la fin du film, on se dit " Bjarke a trouvé l'amour " ! Selon vous, le film parle de vous en tant qu'homme ou qu'architecte ? Qui de BIG ou de Bjarke...Je dirais que c'est avant tout une histoire sur moi, en tant que personne. Ce serait pour moi un succès de savoir que les spectateurs ont ressenti de l'émotion, de la sympathie ou de l'empathie pour le personnage principal que j'incarne, tout en s'intéressant à l'architecture et à son impact sur la vie de tous les jours. Dans le film Storytelling, de Todd Solondz, un professeur d'écriture dit " peu importe ce qui s'est passé, dès que tu commences à écrire, tout devient une fiction ". Dans ce sens, ce qui arrive dans BIG TIME a beau parler de moi, il s'agit au final d'une fiction. Construire fait aussi appel à cet aspect narratif, car vous pouvez imaginer ce que vous voulez, mais le résultat peut être complètement différent. La maison de vos parents que l'on voit dans le film, de style moderne, a-t-elle influencé votre travail ?J'ai une théorie : je pense que les petits sont bien plus modernes que les grands. Dans les films de James Bond que je regardais, le méchant vivait toujours dans une maison avec terrasse, lignes géométriques et vitrage partout, je trouvais cela vraiment cool ! Puis à l'école, j'ai appris à aimer autre chose. À ce sujet, pourquoi ne dessinez-vous pas de maisons ?Je pense que c'est beaucoup de travail de concevoir des maisons privées. On a réalisé un ensemble de quatre habitations au nord du Danemark. Chacune d'elles est différente, comme un portrait des gens qui vont y résider. Plus ils ont une façon de vivre hors normes, plus c'est excitant ! Avant de commencer, on s'est assuré que les propriétaires souhaitaient réaliser quelque chose d'extraordinaire. Car pour un projet comme celui-là vous dépensez tellement d'énergie ! Pour que ce soit pertinent, c'est comme un film : celui auquel il se destine doit être émotionnellement investi. Qu'est-ce que cela vous fait, à seulement 40 ans, d'avoir été choisi pour construire sur un site comme Ground Zero ?C'est un honneur incroyable. On a l'impression d'être l'acteur de son propre film...Je me rappelle très bien le jour où les tours ont été détruites. À l'époque je venais de monter ma première agence, PLOT, avec Julien de Smedt. On était en train de peindre nos premiers locaux. Notre stagiaire nous a avertis. On est restés scotchés. On regardait cela, abasourdis, et là, la seconde tour a été touchée. On prend alors conscience que tout peut un jour disparaître. Tout cela semblait invraisemblable ; avoir été choisi, 15 ans plus tard, pour construire une des tours de ce site l'est encore plus. J'ai appris cela alors que je venais de monter une antenne new-yorkaise. C'est comme si la boucle était bouclée, comme quand on prend conscience à la fin d'une séance de cinéma de l'importance de première scène... Après une telle carrière, y a-t-il des projets pour lesquels vous seriez prêts à tuer ?Commettre un meurtre ?! Oh non, je n'irais jamais jusque-là ! BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes ; un article à découvrir sur Muuuz Pour en savoir plus, visitez le site de BIG Photographies :1) © Steve Benisty2) Amager Resource Center © Julien Lanoo3) The Mountain, PLOT = BIG + JDS © Iwan Baan4-6) BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes7) © Jonas Bie8) © KT Auleta9) 8-Tallet © Dragor Luftfoto10-12) 8-Tallet © Jens Lindhe13) Amager Resource Center © Julien Lanoo14-17) Amager Resource Center © BIG - Bjarke Ingels Group & MIR18-19) Superkilen © Iwan Baan20) Serpentine Pavilion 2016
Il y a 7 ans et 243 jours

Ferréol Babin : Everyday Ceremony

Sacraliser le moment de la toilette, tel est le but de la collection Everyday Ceremony du designer français Ferréol Babin. Grâce à cette gamme d'objets et d'accessoires dédiés à la salle de bain, le créateur apporte un brin de spiritualité dans notre routine matinale. Directement inspiré d'éléments et rites religieux et traditionnels asiatiques, comme l'autel de prière ou la protocole du thé, Everyday Ceremony se compose d'une armoire murale, d'un miroir, d'un tapis de bain, d'un plateau, de récipients et d'un vase, le tout entièrement réalisé en différentes essences de bois. Qui ne se lève jamais en retard, faisant l'impasse sur le bien-être pour grappiller quelques minutes de sommeil ? Qui ne s'est jamais maquillé dans le métro, négligeant l'environnement prévu à cet effet dont nous sommes pourtant tous dotés ? Face à cette désorganisation, Ferréol Babin tente de réorganiser nos habitudes et de redonner du sens à nos " rituels matinaux ". Chaque chose a désormais sa place, nos gestes redeviennent plus lents et plus méticuleux et la salle de bain devient le théâtre de notre préparation. Cette collection a été imaginée dans le cadre de l'exposition " Good Morning " organisée par le designer Naoto Fukasawa lors de la dernière Biennale de Milan . Ce dernier avait pour objectif de présenter " des objets et du mobilier qui ont été dessinés pour nous réveiller et nous rafraîchir à travers tous nos sens ". Une belle initiative matérialisée par un ensemble raffiné aux formes simples. Pour en savoir plus, visitez le site de Ferréol Babin Photographies : DR Ferréol Babin