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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17694 résultats)
Il y a 7 ans et 293 jours

La récupération de chaleur sur eaux grises testée en conditions réelles

Une équipe de recherche du CSTB a travaillé sur l'estimation du potentiel de récupération instantanée de chaleur sur eaux grises, grâce à l'installation expérimentale Simulhome, intégrée à la plateforme d'essais Aquasim. Celle-ci permet de reproduire un usage domestique de l'eau au plus près de la réalité, dans un logement équipé de façon standard. Analyse des performances de solutions en usage Des systèmes de récupération instantanée de chaleur sur eaux grises peuvent être installés en aval d'un bac de douche, pour récupérer une partie de la chaleur de l'eau évacuée. L'énergie récupérée peut être utilisée pour diminuer la consommation énergétique pour la production d'eau chaude sanitaire. Le CSTB s'est attaché à quantifier, à l'échelle d'un foyer, le potentiel de récupération de chaleur dans trois configurations de montage : renvoi de l'eau préchauffée vers le ballon de production d'eau chaude sanitaire (ECS), renvoi directement vers le côté froid du mitigeur de la douche, ou renvoi vers ces deux points (ballon et mitigeur) en simultané. Les performances d'échangeurs peuvent déjà être mesurées selon des protocoles reconnus, selon des conditions d'essais fixés. Le CSTB a souhaité confronter ces résultats à la réalité des solutions en usage dans un logement, où le débit et la mitigation sont modulés par les utilisateurs, où la température de l'eau froide varie, etc. Test grandeur nature au plus près de la réalité Simuler le comportement d'un échanger grandeur nature dans un environnement identique à celui d'un logement, c'est l'objet du dispositif expérimental Simulhome. Il a été développé par le CSTB au sein de sa plateforme d'essais nantaise, Aquasim, qui permet d'étudier le cycle de l'eau à l'échelle du bâtiment et de la parcelle. Simulhome est constitué d'une installation sanitaire domestique complète, avec sept points de puisage : WC, douche/baignoire, lavabo, évier de cuisine, production d'ECS, lave-vaisselle, et lave-linge. Le dispositif permet de reproduire des profils types d'utilisation de l'eau : douche à 8 h, cuisine à 12 h, lave-vaisselle à 20 h? Seize capteurs de température, six débitmètres, trois compteurs d'énergie, deux compteurs d'eau communicants et deux capteurs de pression (pour l'eau chaude et pour l'eau froide) permettent de monitorer l'usage de l'eau. Résultat, l'étude révèle qu'un renvoi simultané vers le mitigeur et la production d'ECS, offre le meilleur rendement. Ces résultats participent à l'évaluation de son potentiel de récupération d'énergie sur les eaux grises. L'innovation dans la recherche à l'échelle européenne Cette étude s'intègre dans le programme du projet R&D Wisdom, soutenu par la Commission européenne. Il vise à optimiser la gestion des ressources en eau et s'intéresse donc à l'ensemble de son cycle, du prélèvement en amont jusqu'à la restitution de l'eau en aval une fois traitée. Ce projet rassemble onze partenaires européens, publics et privés, dont le CSTB qui met à disposition son grand équipement Aquasim et son expertise en gestion durable de l'eau. En savoir plus : Évaluer la performance d'un système de récupération de chaleur (procédure Titre V) Récupération de chaleur sur eaux grises : du concept à l'évaluation
Il y a 7 ans et 293 jours

Ces très Parisiens architectes nippons

  Les architectes japonais écrivent avec Paris une histoire singulière et méconnue, riche de multiples rencontres, expositions et installations, projets et réalisations emblématiques. L’exposition et l’ouvrage qui l’accompagne révèlent pour la première fois ce dialogue entre deux cultures entamé dès la fin du XIXe siècle.
Il y a 7 ans et 294 jours

Edeis remet sur rails le petit train de La Mure

A l'arrêt depuis 2010 à la suite d'un éboulement, le train de la Mure, en Isère, sera de nouveau en service en 2020. Le département a choisi l'ingénieriste pour assurer les travaux puis l'exploitation, pour une durée de trente ans. Montant du chantier : 26 millions d'euros, dont 20 millions ces trois prochaines années.  
Il y a 7 ans et 294 jours

Loiseleur, l'agile nonagénaire des jardins

L'exposition " Jardins " du Grand Palais a fourni au groupe Loiseleur le cadre idéal pour fêter 90 années au service de l'art des Jardins. La fête a rassemblé 300 clients et une vingtaine de cadres de l'entreprise créée en 1927 à Villers-Saint-Paul (Oise) par Joseph Loiseleur. Le 4 juillet, ses petits-fils Marc et Laurent, qui se partagent depuis 26 ans la présidence et la direction du groupe de 200 salariés à partir de cette même commune, ont accueilli leurs invités aux côtés de Julien, représentant de la quatrième génération au sein de l'équipe dirigeante.
Il y a 7 ans et 296 jours

Pour un été très " archi ", c'est par ici

Même en au beau milieu de l'été, l'agenda est chargé. " Le Moniteur " a épluché le calendrier des manifestations et expositions et dressé une sélection teintée d'architecture. Une liste aussi peu exhaustive que parfaitement subjective.
Il y a 7 ans et 296 jours

Le Victoria & Albert Museum nomme Christopher Turner pour l'architecture et le design

Le musée national d’art Victoria and Albert Museum (South Kensington, Londres) nomme Christopher Turner comme responsable des départements d’architecture, de… Cet article Le Victoria & Albert Museum nomme Christopher Turner pour l’architecture et le design est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 297 jours

SHAU : Microlibrary Bima

Afin de répondre aux problèmes d'analphabétisme en Indonésie et d'exil des étudiants vers des contrées mieux équipées en infrastructure d'enseignement, le programme " 100 Microlibraries " vise à rendre la lecture et les bibliothèques plus accessibles aux populations défavorisées. Érigée par l'agence d'architecture internationale SHAU, la Microlibrary Bima est le premier prototype d'une longue série à venir. Située dans le quartier de Taman Bima de la ville de Bandung (Indonésie), cette première Microlibrary, édifiée à l'initiative du maire de la ville, surplombe une place en béton fréquemment utilisée par al population pour les rassemblements et les évènements sportifs. Afin de ne pas modifier les habitudes des habitants et leur appropriation du lieu, SHAU intègre au projet un espace de réunion situé au rez-de-chaussée, en libre accès et en plein air, à l'abri du soleil et de la pluie, sous le volume de la bibliothèque. Cette fonctionnalité ajoutée au programme initial permet par ailleurs d'attirer une population qui ne se serait peut-être jamais baladé à travers les rayonnages. Les salles de lecture étant souvent désertes dans les zones défavorisées comme celle-ci, il fallait en effet trouver un moyen d'attirer les curieux. La Microlibrary interloque ainsi le passant avec sa salle en porte-à-faux disposée sur une structure poteaux/poutres en acier. Disposant d'un faible budget, les maîtres d'"uvres ont dû rivaliser d'imagination pour développer un revêtement permettant de maintenir l'intérieur au frais, sans air conditionné... Pour cela, ils ont utilisé 2 000 seaux de crème glacée maintenus par une ossature en acier, légèrement inclinés vers le sol pour éviter la stagnation de l'eau en cas d'intempéries. Le sens de fixation de ces réceptacles varie de manière à former en façade le texte " les livres sont les fenêtres du monde " en indonésien. Un programme éducatif original qui porte déjà ses fruits puisqu'une école primaire de la région prend ses quartiers au sein de la bibliothèque deux fois par semaine. Une belle façon se sensibiliser en douceur les habitants du quartier à la lecture. Pour en savoir plus, visitez le site de SHAU  Photographies : Sanrok Studio
Il y a 7 ans et 297 jours

Reynaers met son campus à l'honneur au salon Batimat 2017

Le Reynaers Campus, siège social innovant de l'entreprise éponyme, sera très largement mis en valeur lors du salon Batimat, qui se tiendra du 6 au 10 novembre 2017 à Paris Nord Villepinte. Récemment inauguré par le spécialiste de la menuiserie aluminium, le Reynaers Campus dispose notamment d'un important site d'essais et de recherche, grâce auquel l'entreprise peut proposer des solutions toujours plus performantes.
Il y a 7 ans et 297 jours

ORMA Architettura : A Casa Vanella

Située dans le village corse de Casamaccioli, au c"ur de la région de Niolo, la Casa Vanella est une chambre d'hôte intégrée à un site montagneux d'exception, offrant à ses résidents une vue imprenable sur les trois célèbres monts du domaine : le Monte Cinto, la Paglia Orba et Cima a i Mori. Les architectes d'ORMA Architettura réalisent l'extension sinueuse de 85 mètres carrés d'une petite maison typique en granit et schiste, permettant d'accueillir les nombreux touristes de cette région de pèlerinage. L'ancienne partie contient les cinq chambres du gîte, tandis que la nouvelle héberge les pièces communes carrées " salon, salle à manger et cuisine ", formant ainsi trois blocs disposés en enfilade. Ce volume déstructuré reproduit la topographie du site sur lequel il campe, imitant les lignes brisées créées par l'horizon montagneux. Les murs épais en granit ainsi que les linteaux et poteaux en béton massif ne sont par ailleurs pas sans rappeler la robustesse et la massivité des monts alentours. Chacune des pièces possède une large baie vitrée avec une orientation différente, permettent aux locataires de profiter de manières différentes du paysage sans pareil qui se déploie sous leurs yeux. Le béton utilisé au sol s'accorde avec les murs en pierres apparentes, le tout adouci par un mobilier en bois épuré et confortable, qui ne vole pas la vedette à la pièce maîtresse de l'habitation : un panorama pittoresque sur les montagnes corses. Un projet aussi atypique qu'intemporel intégrant avec brio une réalisation architecturale contemporaine dans un site minéral imposant. Pour en savoir plus, visitez le site de ORMA Architettura  Photographies : ORMA Architettura
Il y a 7 ans et 298 jours

Studio GGSV : Galerie Party

Pour fêter ses 40 ans, le Centre Pompidou organise une série d'événements dans toute la France et bien entendu dans son bâtiment parisien éponyme. Pour ce faire , il donne carte blanche aux designers du studio parisien GGSV pour réinventer la Galerie des Enfants située dans le hall du musée. Les artistes imaginent Galerie Party, une "uvre totale, mêlant design, architecture, audiovisuel et jeux. L'espace créé par le studio parisien nous plonge dans l'univers étrange et fantasmé de deux petits habitants clandestins du Centre Pompidou, Gallaé et Séphante, dissimulés depuis des années dans les recoins de l'institution. Leur maison s'inspire du Container Zero de Jean-Pierre Raynaud, "uvre iconique faisant partie de la collection permanente de la galerie contemporaine. De sa cheminée s'échappe une structure gonflable bleue, rappelant les gaines techniques trônant au-dessus de Beaubourg. Cette partie énigmatique est appelée la Galeroom et matérialise les rêves les plus fous des deux protagonistes. " Séphante, J'ai fait un rêve incroyable ! Je marchais dans une galerie et tout au fond du couloir, j'ai vu une fontaine de peinture. Je me suis penchée au-dessus du bassin, des formes en sortaient ! Sitôt que je pensais à une chose, elle sortait de la fontaine. La fontaine fabriquait les formes qu'il y avait dans ma tête ! Les unes après les autres ! " Gellaé, curieux résident des souterrains du Centre Pompidou Au sein de ce volume flottant, motifs abstraits et figuratifs se mélangent, à l'image des "uvres présentées par l'institution. À l'aide d'un dispositif vidéo, un espace circulaire interactif prend place au milieu de cet espace et change constamment, produisant ainsi les formes rêvées par Gallaé. Une rosace chimérique confère à l'endroit un aspect solennel, comme si ce dernier était une cathédrale abritant les rêves des petits enfants. Cet ensemble prend place dans un jardin au sol graphique représenté sur une moquette, dont les différences de motifs, les effets d'optique et les jeux de perspectives représente dans un trompe-l'"il contemporain un jardin à la française. Les références aux composants architecturaux du quartier de Beaubourg sont nombreuses. : une version simplifiée de la fontaine Stravinsky disposée au centre de la Galerie des enfants ou encore des miniatures gonflables reproduisent les grandes cheminées d'extraction blanches campant sur le parvis et derrière le centre culturel. Des boîtes sont disposées aléatoirement dans ce paysage fantastique et contiennent des éléments de construction surréalistes, dont certains s'inspirent de réalisations visibles au sein du Centre Pompidou. On retrouve par exemple des pinces de homard, dérivé en mousse du téléphone de Dalí et de Lobster de Koons ; ou des pieds à quatre orteils rappelant ceux imaginés par les street-artistes rodant dans le quartier, Ella & Pitr. Les enfants sont invités à assembler ces formes entre elles grâce à des tuyaux en PVC et à créer leurs propres sculptures, à disposer ensuite sur la fontaine centrale de cet éden créatif. Cet espace ludique ne s'adresse pas qu'aux tout-petits, mais permet également aux plus grands de s'affranchir de l'élitisme parfois pesant de l'art contemporain en créant, à leur tour, des structures imaginaires libératrices. Galerie Party, Studio GGSV, du 20 mai 2017 au 5 mars 2018 au Centre Pompidou, Paris (4e) avec la participation de Liu Bolin du 9 septembre 2017 au 8 janvier 2018 puis de Morgane Tschiember du 20 janvier 2018 au 5 mars 2018). Pour en savoir plus, visitez le site du Studio GGSV Photographies : Michel Giesbrecht
Il y a 7 ans et 298 jours

Liebherr en démonstration à Steinexpo

Du 30 août au 2 septembre prochain à Homberg/Nieder-Ofleiden, Liebherr sera présent à la 10e édition de Steinexpo 2017, le salon international de la démonstration des matériels pour le traitement des matériaux de construction.
Il y a 7 ans et 298 jours

Préventica Paris attire 13 459 visiteurs

La 20e édition du salon Préventica, qui se tenait à Paris porte de Versailles du 20 au 22 juin dernier, a attiré 13 459 visiteurs dont 10 742 opérant dans le domaine de la santé au travail et enregistré 495 exposants nationaux et internationaux.
Il y a 7 ans et 299 jours

E-réputation dans le bâtiment : 3 étapes pour maîtriser son image en ligne

Introduction à l'e-réputation L'e-réputation est l'image d'une société ou d'une personne sur le web construite selon l'ensemble des informations disponibles sur internet. Nous en parlions dans un autre dossier : la visibilité sur le web n'est pas qu'une question de référencement, elle est exploitable via d'autres moyens de communication pour promouvoir son site ou ses produits. Cependant, certains professionnels du secteur de la construction, du bâtiment ou de l'architecture omettent de veiller à la bonne tenue de leur image en ligne. Nous vous livrons dans ce dossier nos conseils pour surveiller et soigner votre e-réputation au quotidien !   1ère étape : auditez votre présence sur le web Pour commencer, il faut savoir ce que vous dites sur le web et ce qui se dit sur vous. Suivez nos conseils dans la partie dédiée à l'audit de votre présence en ligne. 2ème étage : tenez une veille active Comment tenir une veille active sur le web ? Découvrez quels outils utiliser pour rester au courant de ce qui se dit sur vous ou votre entreprise dans la partie sur la veille digitale. 3ème étape : décidez de votre image Une fois ces mesures prises, il ne tient plus qu'à vous de décider ce qui se dit sur vous : comment faire ? La réponse dans notre dernière partie. Auditez votre présence sur le web Pour commencer, il faut savoir ce que vous dites sur le web et ce qui se dit sur vous.   Pour cela, rien de plus simple : effectuez une recherche sur Google sur le nom de votre entreprise (ou sur la marque d'un de vos produits phares). Vous devriez voir apparaître votre site web, vos réseaux sociaux et les publications vous concernant sur différentes plateformes (presse spécialisée dans le bâtiment, blogs thématiques, etc.). Votre entreprise est référencée sur Google My Business et Maps ? Jetez un "il à votre " Google Card " :     Vous y trouverez les informations concernant votre société : nom, horaires et contact, site web, avis déposés par les internautes. Il n'est pas rare de tomber sur des informations contraignantes dans cette section comme un lien vers un ancien site web ou des avis négatifs. Mettez à jour ces informations via votre compte Google et répondez aux avis négatifs pour montrer que vous êtes à l'écoute de vos clients (si un avis présente un comportement inapproprié, il est possible de le signaler à Google).   Une fois ce bref audit de situation réalisé, il est temps de mettre en place une veille active de ce qui se dit sur vous : découvrez quels outils utiliser dans notre partie suivante. Tenez une veille active   Des outils en ligne tels que Google Alertes existent pour créer une notification à chaque fois que le mot de votre choix est publié sur le web. Mettez une alerte au nom de votre marque ou société pour être réactif en cas d'apparition d'un nouvel élément vous concernant. Vous pourrez ensuite choisir de relayer ou non les articles vous mentionnant. Pour tenir une veille plus poussée de votre marché, notre outil keeBAT.fr vous permet de suivre les nouvelles entrées sur les réseaux sociaux tels que Twitter selon les mots-clés que vous choisissez. Restez ainsi informé de ce qui se dit sur vous et vos produits en temps réel ! Vous souhaitez en savoir plus sur toutes les fonctionnalités de notre outil de veille keeBAT ? Découvrez la présentation de l'outil dans notre article dédié.   Enfin, apprenez à décider de votre image sur le web : voir notre troisième partie. Décidez de votre image   Une fois ces mesures prises, il ne tient plus qu'à vous de décider ce qui se dit sur vous. Pour faire vivre votre entreprise et diversifier les résultats de recherche vous concernant, publiez régulièrement des mises à jour sur vos réseaux sociaux et votre blog ou diffusez des communiqués de presse sur des sites spécialisés. Un site ou un réseau social abandonné donne une image négative de la société : pensez à parler d'une de vos dernières constructions dont vous êtes fiers, d'un salon où vous serez présents, de l'arrivée d'un nouveau salarié... Une entreprise vivante a toujours des actualités à présenter ! Pour les distributeurs de produits, sachez que 80% des consommateurs se basent sur les avis ou commentaires pour passer à l'acte d'achat : incitez alors vos clients à laisser un avis si votre site le permet. Vous avez affaire à un avis négatif ? Pas de panique : la meilleure solution est d'y répondre directement et d'inviter l'acheteur à trouver une solution, cela montre votre sérieux et votre réactivité et vous sera bénéfique. En bref : faites du web votre allié !  Que ce soit dans le secteur du bâtiment ou dans tout autre secteur, l'e-réputation est une chose essentielle à maîtriser. Celle-ci peut paraître complexe à gérer, mais de bons outils et la bonne stratégie digitale vous mèneront à sa réussite : une bonne réputation numérique est synonyme de confiance pour vos clients et de gain de trafic sur votre site web, n'hésitez alors pas à soigner votre image et à être acteur plutôt que spectateur !
Il y a 7 ans et 299 jours

Dijon : Teramat affirme sa présence

Avec l'inauguration d'une agence à Crimoloy, au sud-est de Dijon, le distributeur Teramat renforce sa présence en Bourgogne Franche-Comté.
Il y a 7 ans et 300 jours

Travaux publics : Lafarge France renforce son activité dans le recyclage des déchets

Dans sa carrière de calcaire de Cassis (Bouches-du-Rhône), le géant des matériaux lance un nouveau dispositif pour recycler les déchets de chantier du département, et les transformer en granulat pour les professionnels des travaux publics.
Il y a 7 ans et 300 jours

Eiffage Immobilier s'installe à Smartseille

Le 21 juillet dernier s'est tenue l'inauguration du nouveau siège marseillais d'Eiffage Construction Immobilier dans l'écoquartier smartseille.
Il y a 7 ans et 300 jours

Haussmann 2.0, un hackathon pour réinventer Paris... encore

Et si le baron Haussmann devait à nouveau transformer Paris aujourd'hui, comment s'y prendrait-il ? Une vingtaine d'étudiants en architecture ont tenté de répondre à cette question, en seulement 48 heures, au cours d'un hackathon organisé dans le cadre de l'exposition "Paris Haussmann, modèle de ville" du Pavillon de l'Arsenal.
Il y a 7 ans et 301 jours

Exposition : "Eugène Beaudouin et Marcel Lods, architectes d'avant-garde"

Le Musée d'histoire urbaine et sociale de Suresnes (MUS) proposera, du 8 novembre au 24 juin 2018, en partenariat avec la Cité de l'architecture, une exposition sur ce duo d'architectes pionniers?
Il y a 7 ans et 303 jours

A Marseille, le concept Smartseille devient réalité

Le 21 juillet, lors de l'inauguration du siège régional d'Eiffage à Marseille, le P-DG du groupe a annoncé l'organisation d'un hackathon en janvier 2018 pour inviter étudiants, universitaires et spécialistes du numérique à réfléchir sur la ville méditerranéenne de demain. L'objectif est de dupliquer, sur le pourtour méditerranéen, l'îlot démonstrateur Smartseille aménagé dans le périmètre d'Euroméditerranée
Il y a 7 ans et 304 jours

En Auvergne, la FRTP incite à la relance de l'investissement

La Fédération régionale des Travaux Publics Auvergne en partenariat avec les Associations départementales des Maires ruraux, publie une nouvelle version de son Guide des aides pour le financement des projets des collectivités locales.
Il y a 7 ans et 304 jours

La FBTP 13 en a " ras-le-vol "

Avec l'appui des bailleurs sociaux, la Fédération du BTP 13 a présenté le 19 juillet dernier le dispositif "Ras le Vol" à l'ensemble des équipes de 13 Habitat et dressé un bilan de la sûreté de chantier dans le département.
Il y a 7 ans et 304 jours

Atelier du Pont : Cabane au Cap Ferret

Inspiré par l'architecture du Cap Ferret (33), l'Atelier du Pont réalise une maison de vacances composée de petites cabanes réinterprétant les constructions vernaculaires, pour une meilleure intégration. Un havre de paix au c"ur d'une pinède d'arbousiers, yuccas et pins. Cette résidence secondaire de 330 mètres carrés, dissimulée par une végétation locale luxuriante, est installée sur un terrain en pente orienté vers la mer. Le défi du projet résidait dans la préservation de cet environnement. Pour ce faire, les maîtres d'"uvre ont réalisé plusieurs annexes au lieu d'une unique construction de plus de 300 mètres carrés, rappelant l'architecture des cabanes du cru qui s'intègrent parfaitement à leur milieu. L'ensemble est ainsi composé de quatre volumes parallélépipédiques, certains de plain-pied et d'autres sur plusieurs niveaux pour mieux coller à la topographie du lieu, reliés entre eux par une terrasse en bois où prend place une piscine rectangulaire. Ce matériau se retrouve également en bardage, jouant la mimesis avec la pinède environnante. Le tout est largement percé de grandes baies vitrées, connectant intérieur et extérieur. Dans la plus étendue des quatre parties , située à l'ouest, prennent place les espaces de vie et une chambre, tandis que les autres pièces de nuit sont installées dans les cabanons plus modestes . Le volume central, comprend ainsi une suite parentale située au rez-de-chaussée, au-dessus de laquelle sont positionnés un salon et une cuisine avec vue sur le plan d'eau, en rez-de-jardin. Les deux niveaux, inscrits dans la pente du terrain sont agrémentés d'un escalier maçonné tout en courbes contrastant avec les ouvertures géométriques qui le surplombent qui laissent entrevoir la nature foisonnante. Imaginée pour accueillir une grande famille, le logement permet donc à chacun de bénéficier de son intimité en profitant d'espaces communs pour se retrouver. Un projet biscornu, idéal pour qu'une grande fratrie puisse se relaxer dans le cadre de vie sans égal qu'offre le Cap Ferret. Pour en savoir plus, visitez le site d'Atelier du Pont  Photographies : Takuji Shimmura & Philippe Garcia
Il y a 7 ans et 304 jours

&' [Emmi Keskisarja & Janne Teräsvirta & Company Architects] : Y

À Seurasaari, une île entièrement destinée aux expositions de plein air au large d'Helsinki (Finlande), une équipe d'architectes et de charpentiers, en collaboration avec le Musée National de Finlande, installe une structure temporaire en bois sobrement intitulée Y. Se fondant sur la lettre Y, l'un des symboles mathématiques de l'inconnu, les concepteurs ont voulu, à travers cette installation, questionner l'avenir du patrimoine scandinave. L'ouvrage est positionné dans la cour de la Niemelä Tenant Farm , très représentative de l'architecture vernaculaire finlandaise composé de 13 bâtiments en bois : sauna, chalet, étable ou encore porcherie. Datant de 1909, cette zone est la plus ancienne de la collection du Musée de l'île de Seurasaari et abrite aussi bien des expositions que des locataires d'une nuit. Y reprend ce matériau typique des constructions locales, tout en le revisitant. La sculpture se compose ainsi de lames de lamellés-croisés 3 plis entrecroisés reliées par 568 connecteurs, combinant à la fois travail de charpenterie traditionnelle et production numérique. Sa forme conique invite les spectateurs à y pénétrer, offrant à la fois un nouveau point de vue sur l'architecture locale, et sur l'eau, cadrée à l'extrémité de l'entonnoir que forme la structure. L'occasion pour les Finlandais de méditer et de prendre du recul sur les édifices qui les entourent, et sur leur possible évolution. Pour en savoir plus, visitez le site de &' [Emmi Keskisarja & Janne Teräsvirta & Company Architects] Photographies : SWANG
Il y a 7 ans et 304 jours

Architecture : une saison au Japon au Centre Pompidou-Metz

Du 9 septembre 2017 au 14 mai 2018 au Centre Pompidou-Metz, trois expositions et une dizaine de rencontres, concerts et spectacles, porteront un nouveau regard sur le Japon, de l'histoire moderne de son architecture à ses expressions artistiques les plus contemporaines?
Il y a 7 ans et 305 jours

Circulation différenciée : la FFB 59/62 demande un délai

Concernant la mise en place automatique de circulation différenciée en cas de pic de pollution, la FFB des départements du Nord (59) et Pas-de-Calais (62) souhaite que des mesures dérogatoires soient prises pour les artisans et entrepreneurs du bâtiment le temps de financer cette mutation.
Il y a 7 ans et 305 jours

Mexique : mission forage sur l'autoroute Cardel-Poza Rica

Le département géotechnique de la société Mota-Engil Mexico SA de CV, à l'oeuvre sur le projet de construction de l'autoroute Cardel-Poza Rica au Mexique, a investi dans la location d'une foreuse rotative Liebherr.
Il y a 7 ans et 305 jours

Layher innove dans les structures grande portée

À l'occasion du salon Batimat, le constructeur d'échafaudages Layher présentera l'Universel FW, une nouvelle structure grande portée pour des passerelles, des plateformes ou des parapluies.
Il y a 7 ans et 305 jours

BIG : TIRPITZ

À Blåvand, sur la côte ouest du Danemark, une mystérieuse faille cruciforme a pris possession du sol : le musée TIRPITZ, extension du Vardenmuseerne, lieu d'exposition de la ville, partiellement installé dans un ancien bunker allemand de la Seconde Guerre mondiale. Une réhabilitation originale et surprenante, signée du jeune prodige et enfant du pays, Bjarke Ingels, de l'agence BIG. Ce " musée invisible " est conçu comme une antithèse à la massivité du blockhaus se trouvant à l'entrée du site, où commence le parcours muséal qui se poursuit ensuite sous terre par le biais de quatre délicates entailles, seules parties du musée perceptibles depuis l'extérieur. Ces rampes d'accès, qui se croisent à angle droit dans une cour, distribuent les quatre espaces d'exposition qu'elles séparent. Elles sont de délicates incisions dans le site, telles des cicatrices laissées par la guerre dans cette région du Danemark. " Les galeries sont intégrées dans les dunes comme une oasis ouverte dans le sable, un contraste frappant avec le monolithe en béton de la forteresse nazie. [...] Le bunker reste le seul point de repère d'un héritage sombre pas si lointain qui, après une inspection minutieuse, marque l'entrée d'un nouveau lieu de rencontre culturelle. " Bjarke Ingels, architecte Le premier arrêt du visiteur s'effectue donc dans l'ancien bunker agrémenté d'installations ludiques expliquant son fonctionnement. Puis, après avoir cheminé dans le patio central, le curieux choisit entre trois salles d'exposition qui aborde chacune un thème propre " l'ambre, la Seconde Guerre mondiale ou encore l'histoire de la côte ouest danoise. Ces pièces éclairées zénithalement par les failles vitrées, sont habillées d'acier laminé à chaud, matériau qui ajoute un peu plus à l'ambiance grave du lieu. Les couloirs de la cour extérieure sont revêtus de verre, d'acier et de bois qui apportent transparence et légèreté à cet ensemble imposant en béton banché, dont la toiture plantée consiste en un délicat soulèvement du sol naturel. TIRPITZ, dont le nom reprend celui du plus grand navire de guerre d'Europe, agit sur le site comme l'histoire agit sur le spectateur : il est ancré à sa terre, à un passé douloureux, et tente de s'en détacher petit à petit, en créant une expérience mémorielle et sensorielle. Pour en savoir plus, visitez le site de BIG Photographies : Mike Bink Photography
Il y a 7 ans et 305 jours

BIG : TIRPITZ

À Blåvand, sur la côte ouest du Danemark, une mystérieuse faille cruciforme a pris possession du sol : le musée TIRPITZ, extension du Vardenmuseerne, lieu d'exposition de cette cité balnéaire, partiellement installé dans un ancien bunker allemand de la seconde Guerre Mondiale. Une réhabilitation originale et surprenante, signée du jeune prodige et enfant du pays, Bjarke Ingels, de l'agence BIG. Ce " musée invisible " est conçu à l'antithèse de la massivité du blockhaus positionné à l'entrée du site, où se trouvait la structure d'accueil d'origine. La découverte de l'institution ne commence pourtant pas ici, mais quelques pas seulement de la massive structure en béton, dans son pendant souterrain imaginé par l'agence BIG. Pour pénétrer cette forteresse il faut en effet au préalable empreinter l'une des quatre délicates entailles faites dans la toiture plantée, tel un sol qui semble avoir été soulevé par cette saignée vitrée cruciforme, dont les baies sont les seules sources de lumière naturelle. Des incisions brutes, nettes, réalisées telles des cicatrices laissées par la guerre dans cette région du Danemark, que leur concepteur n'hésite pas à comparer à une croix faite sur une pomme de terre afin d'y mettre du beurre. Une métaphore qui peut paraître décalée au vue de l'histoire de Blåvand, mais qui relie pourtant l'édifice à la terre, et donc au lieu, tout comme les matériaux choisis par Bjarke Ingels : le verre (issu de la transformation du sable), le béton et acier laminé à chaud, à l'image du blockhouse, tourelle d'un projet avorté de mitraillette XXL. Ce point cardinal donne accès à l'entrée du lieu, à sa cafétéria et à sa boutique, et à l'escalier métallique permettant de rejoindre l'espace muséal situé en contrebas, sur un seul niveau. Cette zone de croisement à l'air libre trouve ainsi son pendant juste en-dessous avec une aire qui sert à la fois à séparer et réunir le long corridor menant au binker et les trois salles d'exposition qu'elle héberge dédiées à des exhibitions temporaires, à l'histoire locale et à l'ambre, dans une scénographie réalisée par l'agence néérlandaise Tinker imagineers. " Les galeries sont intégrées aux dunes comme une oasis ouverte dans le sable, un contraste frappant avec le monolithe en béton de la forteresse nazie. [...] Le bunker reste le seul point de repère d'un héritage sombre, pas si lointain. " Bjarke Ingels, architecte TIRPITZ, dont le nom reprend celui du plus grand navire de guerre d'Europe à l'époque de l'édification du bunker, agit sur le site comme l'histoire agit sur le spectateur : il est ancré à son territoire, à un passé douloureux, et tente de s'en détacher petit à petit, en créant une expérience mémorielle et sensorielle. Un ensemble qui semble avoir pleinement tenu ses promesses puisque l'objectif de 100 000 visiteurs par an a été atteint en seulement deux mois. Pour en savoir plus, visitez le site de BIG et de Tinker imagineers. Photographies : Mike Bink Photography
Il y a 7 ans et 305 jours

Retour Sur : Festival des Architectures Vives 2017

Cette année, le Festival des Architectures Vives de Montpellier (34) présentait 12 installations artistiques et un pavillon réalisé par le studio local ØNA Architecture. Avec ses 16 000 visiteurs, l'évènement mêlant architecture et patrimoine vernaculaire permet au grand public de découvrir les travaux de jeunes artistes prometteurs. Retour sur cet événement, dont les réalisations abordent le thème des émotions. Pavillon du FAV 2017 : Émotion Verticale, ØNA ArchitecturePoint de départ du festival, le pavillon d'accueil et d'information est essentiel au bon déroulement de l'évènement. Placé au c"ur de la cours de la CCI de Montpellier, en plein centre-ville, il présente en outre une rétrospectives des travaux les plus marquants du FAV. C'est également ici que le public se réunit pour élire la meilleure installation du festival.Cette année, cette lourde tâche a été confiée aux Montpelliérains de l'agence ØNA Architecture qui réalisent Émotion Verticale, une structure composée d'une multitude de poteaux blancs en acier de hauteurs diverses, rappelant les célèbres colonnes de Buren. À travers cet ouvrage, les concepteurs ont voulu réinterpréter les pilastres en pierre de la CCI datant de 1704. Prix du Jury : Paper Cloud, Studio 3ALe Studio 3A est le fruit de la rencontre hétéroclite de trois pays aux antipodes les uns des autres : le Japon, l'Allemagne et le Mexique. Cette mixité se ressent dans ses travaux, dont le but est de comprendre les différents contextes et cultures dans lesquels ils s'inscrivent. Avec Paper Cloud, le collectif imagine une structure cubique inachevée en papier immaculé, composée d'éléments tubulaires superposés et encastrés. Laissant filtrer la lumière du jour, l'oeuvre nébuleuse contraste avec le site en pierre sur lequel elle est placée : statique et massif. Lorsque le visiteur pénètre au sein de l'"uvre, la lumière s'atténue et le laisse pensif, seul avec lui-même. Prix du Public : Immersion, Lucia Martinez Pluchino, Raquel Duran PuentePour ce projet, le duo bordelais a souhaité pousser les limites de l'immersion au maximum en remplissant la cour de ballons rouges. Un procédé simple mais vecteur d'émotions : les baudruches colorées, symboles de l'enfance procurant un certain sentiment de nostalgie, filtrent la lumière et diffuse leur teinte carmin à la manière de projecteurs. Le lieu de passage dans lequel cette réalisation prend place obstrue le parcours habituel du visiteur mais lui permet de laisser libre cours à son imagination : il peut aussi bien s'agacer et frapper les balles pour passer, ou s'en amuser et retomber en enfance. Mention spéciale : La Madeleine, Atelier MicromegaMicromega, un collectif lyonnais composé de cinq jeunes diplômés en architecture, conçoit des ouvrages créatifs, ludiques et engagés. Cette fraîcheur se retrouve dans La Madeleine, dont le nom n'est pas sans évoquer la madeleine de Proust et donc, le rapport à l'enfance. Cet ouvrage évolutif se matérialise par de grands blocs de construction colorés que le passant est invité à imbriquer les uns dans les autres au gré de ses envies pour créer sa cabane, comme lorsqu'il était petit. À travers, Concentrico 03Réalisée par le collectif espagnol Concentrico 03, ce travail s'établie au c"ur de la cour d'un hôtel particulier de Montpellier isolant l'"uvre de l'effervescence de la ville. La présence d'un puits central inspire au studio À travers, une structure labyrinthique en bois aux parois courbes. Plusieurs chemins mènent à la cavité, vestige d'un autre temps et permettent au spectateur de prendre le temps de flâner pour appréhender différemment l'histoire du lieu. AAA, ODDIssues de cultures différentes " la première est écossaise, la suivante est espagnole et australienne et la dernière, franco-belge ", les trois architectes diplômées de l'ENSAM sont rassemblées par la même sensibilité créatrice sous la bannière ODD. Placé dans la cour de l'Hôtel de Griffy, AAA intrigue par sa forme et sa couleur. Lorsque le promeneur se balade dans la cour, il se retrouve effectivement confronté à un grand mur noir comprenant une entrée qui le mène dans un corridor sinueux et sombre, peu rassurant. Le nom de l'oeuvre provient des différents stades émotifs par lesquels elle fait passer le spectateur : anticipation, appréhension et angoisse. El Dorado, Collectif Pourquoi Pas ?!Pour cette structure, le collectif lyonnais Pourquoi Pas ?! s'inspire des mythes, épopées et chasses au trésor présents dans l'imaginaire collectif comme la quête de Perceval ou celle de Sir Walter Raleigh en Guyane. En partant des schémas narratifs, les concepteurs d'El Dorado traduisent de façon architecturale les différentes phases émotives par lesquelles passe le protagoniste : le doute, la résignation, la joie " lorsque s'achève la quête ", à travers une "uvre verticale, faite de tiges en acier posées sur un socle en cuivre agrémenté d'écrous que le spectateur est invité à faire glisser sur les baguettes. L'ouvrage s'accompagne d'un dispositif sonore hypnotique, plongeant le visiteur dans une atmosphère unique, presque mystique. Forme Sauvage, Lilit SarkisianAvec ce projet, l'architecte russe issue du collectif parisien Silteplait, Lilit Sarkisian, fait jouer l'imagination des spectateurs, leur laissant le libre choix d'interpréter les formes en plastique rose translucide assoupli par une thermo-formation qui composent Forme Sauvage. Surmontées d'un diffuseur de brume parfumée, l'ensemble déforme l'espace dans lequel il est positionné. Si l'on lève la tête, l'architecture apparaît comme distordue lorsqu'on la regarde à travers les éléments transparents tandis que si l'on baisse les yeux, des ombres colorées dansent au sol. Tous les sens sont mis à l'épreuve et le flâneur se retrouve happé dans un univers irréel, comme dans un rêve. I Love Montpellier, PistachOfficeL'oeuvre imaginée par le collectif néerlandais PistachOffice se base autour d'une unique émotion, un seul sentiment : l'amour. Pour cela, il a pris le parti de faire de Montpellier, le temps de l'événement, la capitale de la passion, de la tendresse, de l'échange, du désir... I Love Montpellier est un banc circulaire carmin dont l'ergonomie est inspirée des positions du baiser, de la séduction ou de la trahison. La partie vide que dessine sa forme est remplie de ballons en forme de c"ur rouge, à la fois kitch et symbole universel de ce sentiment régissant nos vies. Tomber dans le ciel, École d'Architecture de Saint-Sébastien (Espagne)Tomber dans le ciel est un ensemble imaginé par les étudiants de 5e année de l'École d'Architecture de Saint-Sébastien, questionnant les limites de l'espace privé à travers la sensation de vertige. Pour accéder à la cour de l'Hôtel des Trésoriers de la Bourse où la composition est positionnée, le visiteur doit passer par une porte rouge placée dans une structure en bois. Une fois passé ce seuil, il se retrouve sur le point de tomber... dans le ciel. En effet, au sol, une mosaïque de miroirs carrés reflète et déforme les cieux, comme une brèche nous plongeant dans un univers parallèle. Ces éléments réfléchissant agrandissent également, par jeu d'optique, l'espace étroit du patio, accentuant ainsi l'aspect vide de la parcelle. Souvenir Particulier, Collectif CommunLe thème de l'émotion évoque au Collectif Commun l'enfance et la nostalgie, qu'il retraduit par une structure courbe immaculée à travers laquelle, par de petits trous, le spectateur peut observer des éléments de sa jeunesse. Ces volumes internes sont des interprétations en trois dimensions de dessins puérils, que nous avons tous exécuté un jour où l'autre. En les dissimulant au sein de la structure massive, les concepteurs poussent le visiteur à se baisser, à prendre la taille qu'il avait lorsqu'il était petit et, enfin, à prendre du recul sur le bambin qu'il était autrefois. The Curtain, Maria Anton Barco, Maria Salan et Maria RamosImaginé par Maria Salan et Maria Ramos, membres talentueuses du programme Interior Design à ESNE Madrid, et par la directrice de cette plateforme, Maria Anton Barco, The Curtain est un rideau positionné à l'entrée d'une cour, floutant les frontières entre paysage réel et artificiel. Cette cascade de feuilles automnales taillées dans du plexiglas laisse transparaître les différentes nuances du jour produisant ainsi des ombres plus que vraisemblables au sol, à la manière d'un site bucolique. Placée au milieu d'une réalisation architecturale pérenne, elle apporte un peu de nature au sein de un espace minéral et procure aux promeneurs un sentiment de calme et de satisfaction apporté par un cadre pittoresque en plein automne. TR-24, Ben-DaoLe parcours se termine par un agencement sobre et minimaliste, uniquement composé de tourniquets aux portes opaques. Ici, rien n'est imposé : le flâneur se déplace à sa guise. Pour TR-24, le collectif parisien Ben-Dao questionne la nature même d'une cour, c'est-à-dire un lieu de passage, et pousse cette fonction à son paroxysme. La répétition de ce module circulaire simple permet au passager de se rendre compte du chemin qu'il effectue et de prendre une certaine distance avec le chemin qu'il parcourt habituellement sans s'en rendre compte. Pour en savoir plus, visitez le site du FAV Photographies : Photo Architecture
Il y a 7 ans et 306 jours

Vient de paraître : "L'acoustique du Bâtiment. Manuel professionnel d'entretien et de réhabilitation"

Son auteur, Jean-Marie Rapin - un cador de la discipline - livre le fruit de sa longue expérience, notamment au Centre scientifique et technique du Bâtiment (CSTB), dont il a été le directeur adjoint du département acoustique?
Il y a 7 ans et 306 jours

Découvrez la dernière échelle Hymer exposée sur Préventica !

Lors du salon Préventica qui a eu lieu à Paris du 20 au 22 juin dernier, Hymer, fabricant allemand de solutions d'accès en hauteur, a exposé sa dernière échelle à plate-forme modulaire, le Hymer Protect qui peut s'étendre pour s'adapter à différentes hauteurs.
Il y a 7 ans et 306 jours

Bower : Contour Side Tables

Basés à New York (USA), les designers Danny Giannella et Tammer Hijazi fondent le studio Bower en 2013. Leur crédo : créer des objets aussi poétiques que fonctionnels. Les modulables et géométriques Contour Side Tables offrent de nombreuses possibilités de superposition à travers lesquelles les designers explorent jeux et effets de lumière. Composée de deux éléments semi-cylindriques en bois laqué blanc et plateaux en verre teinté pastel " gris et pêche ", cette gamme de tables basses se caractérise par son minimalisme et son allure épurée. Les deux éléments gigognes peuvent se combiner à l'envi, s'adaptant à tous les intérieurs. Le principal intérêt de ce duo mobilier réside surtout dans les effets lumineux que l'éclairage produit sur les tablettes en verre rosée et grise. Grâce à ces nuances, les ombres formées au sol rappellent celles engendrées par le soleil filtrant à travers les vitraux d'une cathédrale. Le spectre bouge ainsi selon le positionnement des deux volumes et la façon dont ils sont exposés à la lumière. Le nom Bower s'inspire de l'oiseau australien Pitohui de Bower , imaginant des habitats originaux pour attirer sa partenaire. Le studio tend, comme son homonyme, à créer des espaces et des objets plus atypiques les uns que les autres, dans une démarche de séduction. Les Contour Side Tables charment donc par leur grande souplesse d'agencement, leurs couleurs douces et leur aspect à la fois graphique et sensible. Pour en savoir plus, visitez le site de Bower Photographies : DR
Il y a 7 ans et 307 jours

Terex Trucks : le dernier tombereau en exclu à Steinexpo

Pour le dixième anniversaire du salon Steinexpo qui se tient à Homberg (Allemagne), le fabricant écossais Terex Trucks s'apprête à dévoiler pour la première fois son tombereau articulé de 10e génération: le TA300 d'une capacité de 28 tonnes.
Il y a 7 ans et 308 jours

Conférence nationale des territoires : le dialogue est ouvert

Promise par Emmanuel Macron lors de la campagne présidentielle, la première conférence nationale des territoires s'est ouverte ce 17 juillet, au Sénat. Ce rendez-vous semestriel doit permettre de " sortir du face à face souvent stérile, parfois méfiant " entre l'Etat et les collectivités locales, selon le Premier ministre, Edouard Philippe, en ouverture. Plusieurs chantiers sont à l'ordre du jour, mais la priorité est d'établir " un contrat sur la méthode ".  
Il y a 7 ans et 308 jours

Architecture et paysage : un AMI pour le domaine de Méréville

Afin de redonner vie au château de Méréville et de financer sa rénovation et son aménagement, le département de l'Essonne lance un appel à manifestation d'intérêt (AMI)?
Il y a 7 ans et 308 jours

De nombreux changements pour l'U2P dans le Rhône

Que de nouveautés pour l'U2P Auvergne-Rhône-Alpes ! Pascale Jouvanceau, qui était jusqu'alors présidente de l'organisation, vient en effet de céder sa place à Sylvain Fornès, qui s'était illustré à la tête de la Capeb Rhône. Plus décidé que jamais à porter la voix des 60 0000 entreprises départementales que l'U2P représente, ce dernier a partagé le 11 juillet dernier ses objectifs ambitieux. Le point.
Il y a 7 ans et 311 jours

La Conférence nationale des territoires doit jeter les bases d'un véritable partenariat entre l'État et les collectivités territoriales

Dans la perspective de la Conférence nationale des territoires du 17 juillet prochain au Sénat, les présidents des associations du bloc communal (AMF, AdCF, France Urbaine, Villes de France, APVF, AMRF) se sont réunis ce jour pour préparer ensemble ce premier rendez-vous important État /collectivités de la législature.
Il y a 7 ans et 311 jours

Fibre : NGE et Altitude en charge de 7 départements

Le groupement composé de NGE Concessions et Altitude Infrastructure a remporté l'appel d'offres de la région Grand Est pour le déploiement du réseau d'initiative publique très haut débit (THD) dans sept départements, soit un investissement de 1,3 milliard d'euros.
Il y a 7 ans et 311 jours

Fibre : NGE et Altitude en charge de 7 départements

Le groupement composé de NGE Concessions et Altitude Infrastructure a remporté l'appel d'offres de la région Grand Est pour le déploiement du réseau d'initiative publique très haut débit (THD) dans sept départements, soit un investissement de 1,3 milliard d'euros.
Il y a 7 ans et 311 jours

NGE remporte le réseau très haut débit du Grand Est

Le groupe de construction conduit, via sa branche concessions, le groupement choisi par le conseil régional pour couvrir sept départements dans les six ans. Les investissements s'élèvent à 1,3 milliard d'euros.
Il y a 7 ans et 312 jours

Rencontre avec : Daniel Libeskind

L'histoire de cette interview commence avec un rendez-vous manqué, à New York, entre l'architecte américano-polonais et la rédaction de Muuuz. Heureusement, la technologie nous a permis de déjouer le destin et d'effectuer une entrevue 2.0. Rencontre avec un architecte dont on retient principalement les projets à dimension mémorielle " tels que le musée juif de Berlin (Allemagne) ou le master plan de Ground Zero à New York (USA) ", qui contrastent avec une personnalité débordant d'optimisme, de poésie et d'émotion. Muuuz : Selon vous quel est le rôle principal d'un architecte ?Daniel Libeskind : Pour moi, il doit construire un monde poétique et pratique, être à la fois passionné et réfléchi, et posséder la capacité de créer quelque chose que j'appellerais " un art physique pour le public ". Quel est le point de départ de tous les projets conçus par le Studio Libeskind ?Une inspiration. Parlez-nous de vos dernières réalisations ?Fin mars, j'ai livré trois bâtiments dont le Ogden Centre for Fundamental Physics pour l'Université de Durham, au Royaume-Uni, qui forme les meilleurs astrophysiciens du monde ; un grand complexe universitaire à Lüneburg, près de Hambourg qui a l'allure d'une grande agora et d'un lieu de recherche mais qui permet aussi aux étudiants de rencontrer les chercheurs. En septembre nous livrerons en Chine, le Zhang ZhiDong museum, dont le nom rend hommage à un homme politique, que l'on peut considérer comme le fondateur de l'industrialisation en Chine dans les années 1910. Il y a également le musée du Kurdistan et le Canadian Holocaust memorial à Ottawa. Je suis chanceux d'avoir autant de projets ! À ce sujet, vous avez réalisé beaucoup de mémoriaux. Pouvez-vous nous expliquer cette spécificité de votre travail ?Je n'ai pas fait que ça mais c'est important de ne pas oublier le totalitarisme, construire pour se souvenir. Les mémoriaux ne sont pas conçus pour eux-mêmes, mais avant tout pour se rappeler des gens, pour apprendre de ses erreurs. Il s'agit surtout d'éducation pour les générations futures. Quel projet rêveriez-vous de dessiner ?Je ne suis pas du genre à rêver, ce n'est pas moi. Quand on me passe commande d'un projet, je le fais ; quand je participe à un concours, je le fais. Mais je n'ai jamais rêvé de projets irréalisables : je réponds à un client, un lieu, une situation politique, un programme. Ainsi, y a-t-il un concours que vous êtes vraiment déçu d'avoir perdu ?Je n'ai jamais de regret. Si un projet est bon, il n'est jamais perdu, même si on n'en remporte pas le concours pour lequel on l'a imaginé. Vous parlez souvent de l'importance de l'émotion, de la perception et de l'amour en architecture. Quelle a été votre plus grande émotion d'architecture ?Il y en a beaucoup. Par exemple, quand j'ai vu la Mandelson aspen tower, ça a changé ma vie ! Avez-vous une Madeleine de Proust architecturale ?Je vis à New York. Dès que j'utilise le métro, cela me rappelle mes visites des mines de sel de Wieliczka en Pologne, avec ses lacs noirs et ses églises souterraines datant du XVII et XVIIIe siècle. Le métro est la Madeleine qui me ramène en enfance. Dans vos interviews, vous parlez souvent de littérature, de musique et de poésie. Si vous étiez un livre, lequel seriez-vous ? Une chanson ? Un poème ?Si j'étais un livre, je serai La rue des crocodiles de Bruno Schulz. C'est un ouvrage fantastique sur l'imaginaire. Une chanson : je serais probablement The time of freedom, de Bob Dylan. Et un poème : un tout petit poème de trois lignes d'Emily Dickinson, qui dit simplement " what inspires me / The prayers of the distance longs / The pilot of the see / The tabernacle of the mind ". Vous voyagez beaucoup, mais où vous sentez-vous vraiment à la maison ?Je me sens partout chez moi, dès qu'il y a des gens intéressants, de l'amour, de la solidarité. Et cela, je l'ai expérimenté dans le monde entier. " For me, home is not about a place. " Daniel Linbeskind, architecte Pour en savoir plus, visitez le site du Studio Libeskind Photographies/Illustrations :1) Daniel Libeskind © StefanRuiz2) Master plan, Ground Zero, New York © Joe Woolhead3-4) Musée juif de Berlin, © Guenter Scheinder et © Libeskind5) Ground Zero, New-York, USA6-7) The Ogden Centre, Durham University © Hufton+Crow8) Complexe universitaire à Lüneburg, Allemagne9-10) Musée du Kurdistan
Il y a 7 ans et 312 jours

Conférence nationale des territoires : les collectivités locales demandent des clarifications

La première conférence nationale des territoires se tiendra au Sénat le 17 juillet. Ce rendez-vous semestriel promis lors de la campagne présidentielle par Emmanuel Macron doit permettre de nouer de nouvelles relations de travail avec les collectivités territoriales. Et de débattre des mesures qui les concernent. L'initiative va dans le bon sens estiment les acteurs locaux. Mais les attentes nombreuses et la prudence reste de mise.  
Il y a 7 ans et 312 jours

Poussières de bois : l'OPPBTP et le FCBA signent un partenariat

RISQUES PROFESSIONNELS. L'OPPBTP et le FCBA ont passé un accord pour réaliser une étude visant à aider les entreprises de la filière du bois-construction et de l'ameublement à réduire l'exposition des salariés aux poussières de bois.