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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17694 résultats)
Il y a 7 ans et 312 jours

Rudy Ricciotti, architecte français

Rudy Ricciotti est un architecte français dont la notoriété s'est amplifiée auprès du grand public lors de l'inauguration en 2013 Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (MuCEM) à Marseille. Né en août 1952 à Alger, il est établi à Bandol dans le Var. Son cabinet a réalisé en 2015 un chiffre d'affaires de 2,6 millions d'euros pour un résultat net d'1,3 million.
Il y a 7 ans et 312 jours

Picard Serrures dévoilera sa porte Technica certifiée A2P CR4 en avant première lors du salon APS

Salon professionnel de la sûreté et de la sécurité, APS est le rendez-vous incontournable de tous les acteurs qui souhaitent découvrir les innovations du marché de la sécurité. Pour répondre aux besoins sécuritaires actuels, Picard Serrures a mobilisé son service Recherche & Développement.
Il y a 7 ans et 312 jours

Jean-Pierre Raynaud : Ici

Pour la cinquième année consécutive, le MAMO " Marseille Modulor, Centre d'art de la Cité Radieuse de Marseille (13) ", créé à l'initiative du designer Ora-ïto, invite un artiste à poser son regard sur un rooftop si particulier conçu par Le Corbusier. Cette fois, c'est au tour de Jean-Pierre Raynaud de réinterpréter ce lieu mythique avec vue à 360 degrés sur la Cité phocéenne. Sur le toit de la célèbre réalisation de Le Corbusier, l'artiste parisien prend la suite de quatre prédécesseurs prestigieux tels que Xavier Veilhan, Daniel Buren, Dan Graham et Felice Varini. En réponse à l'invitation d'Ora-ïto, le plasticien pose sur le toit de la Cité Radieuse une "uvre lourde de sens et de symboles : une flèche bleue de 18 mètres de long en acier, légèrement surélevée du sol, pointant vers l'ancienne école du bâtiment. Inspirée de la signalétique du quotidien, elle s'inscrit également dans la continuité de l'exposition " On n'a pas intérêt à échapper à ce que l'on est ", présentée en 2013 à la galerie Laurent Strouk à Paris (8e).L'exposition est par ailleurs complétée par une sélection rétrospective des travaux de l'artiste, présentant les séries Auto-portraits, 1 000 containers renfermant les débris de la maison ainsi que le film La Maison de Jean-Pierre Raynaud réalisé par Michelle Porte en 1993. " La flèche c'est d'abord la trace de l'homme, l'un des signes les plus anciens de l'écriture que l'on retrouve sur les parois des cavernes. La flèche c'est aussi une arme et c'est aussi une direction. (...)  Aussi il n'est pas anodin qu'un homme l'accapare pour dire "ici", pour dire "je" suis celui qui marque, qui imprime sa trace pour capturer l'espace. L'ambition est immense, hors limite. Le lieu ainsi signé devient unique à travers ce geste artistique. " Jean-Pierre Raynaud, artiste L'oeuvre est ainsi un signal aux interprétations multiples : indique-t-il une direction spéciale ? Dirige-t-il vers l'artiste ? À qui est-il destinée ?  " Ici ", jusqu'au 1er octobre 2017 au MAMO, Marseille (13). Pour en savoir plus, visitez le site de Jean Pierre Raynaud et du MAMO Photographies : Cédreic Alliot
Il y a 7 ans et 312 jours

Jean-Pierre Raynaud : Ici

Pour la cinquième année consécutive, le MAMO " Marseille Modulor, Centre d'art de la Cité Radieuse de Marseille (13) ", créé à l'initiative du designer Ora-ïto, invite un artiste à poser son regard sur un rooftop si particulier conçu par Le Corbusier. Cette fois, c'est au tour de Jean-Pierre Raynaud de réinterpréter ce lieu mythique avec vue à 360 degrés sur la Cité phocéenne. Sur le toit de la célèbre réalisation de Le Corbusier, l'artiste parisien prend la suite de quatre prédécesseurs prestigieux tels que Xavier Veilhan, Daniel Buren, Dan Graham et Felice Varini. En réponse à l'invitation d'Ora-ïto, le plasticien pose sur le toit de la Cité Radieuse une "uvre lourde de sens et de symboles : une flèche bleue de 18 mètres de long en acier, légèrement surélevée du sol, pointant vers l'ancienne école du bâtiment. Inspirée de la signalétique du quotidien, elle s'inscrit également dans la continuité de l'exposition " On n'a pas intérêt à échapper à ce que l'on est ", présentée en 2013 à la galerie Laurent Strouk à Paris (8e).L'exposition est par ailleurs complétée par une sélection rétrospective des travaux de l'artiste, présentant les séries Auto-portraits, 1 000 containers renfermant les débris de la maison ainsi que le film La Maison de Jean-Pierre Raynaud réalisé par Michelle Porte en 1993. " La flèche c'est d'abord la trace de l'homme, l'un des signes les plus anciens de l'écriture que l'on retrouve sur les parois des cavernes. La flèche c'est aussi une arme et c'est aussi une direction. (...)  Aussi il n'est pas anodin qu'un homme l'accapare pour dire "ici", pour dire "je" suis celui qui marque, qui imprime sa trace pour capturer l'espace. L'ambition est immense, hors limite. Le lieu ainsi signé devient unique à travers ce geste artistique. " Jean-Pierre Raynaud, artiste L'oeuvre est ainsi un signal aux interprétations multiples : indique-t-il une direction spéciale ? Dirige-t-il vers l'artiste ? À qui est-il destinée ?  " Ici ", jusqu'au 1er octobre 2017 au MAMO, Marseille (13). Pour en savoir plus, visitez le site de Jean Pierre Raynaud et du MAMO Photographies : Cédreic Alliot
Il y a 7 ans et 312 jours

Infrarail se remplit

Moins de 2 mois après son lancement, les organisateurs du salon ferroviaire britannique Infrarail confirment la réservation de plus d'un tiers de l'espace d'exposition disponible.
Il y a 7 ans et 313 jours

Le CAUE du Bas-Rhin expose 40 ans de vie commune avec les collectivités

Pour célébrer ses 40 ans, le conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement du Bas-Rhin monte deux expositions pour illustrer son travail d'accompagnement des petites communes et intercommunalités. La démonstration par l'exemple n'est pas inutile pour consolider l'avenir des CAUE.
Il y a 7 ans et 313 jours

Centre des archives départementales de l'Aisne : fin du gros oeuvre

Le 7 juillet dernier, Rabot Dutilleul Construction a achevé le gros oeuvre du centre des archives départementales de l'Aisne, qui doit prochainement accueillir les archives, la bibliothèque départementale et le data center en juillet 2018.
Il y a 7 ans et 313 jours

Villa Noailles Hyères : Design Parade

Pour la deuxième année consécutive, la villa Noailles organise la Design Parade, un festival mettant à l'honneur le design et l'architecture, à Hyères (83) et à Toulon (83). À travers deux concours, les organisateurs de l'évènement souhaitent promouvoir la jeune création et les talents de demain. À cette occasion, quatre prix ont été décernés. Grand Prix Design Parade Toulon Van Cleef & Arpels : Imajaghan, par Paul Brissonnet et Alexandre Benjamin NavetRespectivement diplômés de l'École de Design de Nantes-Atlantique et de l'ENSCI - Les Ateliers de Paris, Paul et Alexandre imaginent un environnement modifiant le logement afin de stimuler l'imagination de ses occupants. Inspiré du mode de vie des nomades, Imajaghan " signifiant " guerrier " en berbère ", reprend les codes de l'appartement haussmannien, tels qu'une cheminée surmontée d'un trumeau, en leur ajoutant des reliefs au sol, et une multitude de coffres contenant des éléments de la vie de tous les jours, comme de la vaisselles, des livres, de l'électroménager ou de la nourriture. Ces choses ancrées dans notre quotidien deviennent ainsi des petits trésors.   Prix spécial du Jury : La plage abandonnée, Mathilde Vallantin et Victor LevaiLes deux designers parisiens " elle est diplômée de l'École Duperré, lui des Beaux-Arts de Paris ", réalisent une chambre à la manière d'une cabane au bord de l'eau. Au sol, des motifs de galets et d'ondes nous amènent vers un rocher en plâtre, pièce centrale de la composition. Cette sculpture dissimule un espace de nuit douillet, conçu comme un nid, avec des volumes en osier apportent un sentiment de protection à cet espace de couchage parré de taies d'oreillers évoquant le mouvement des vagues. Autour du roc central se trouve également un point d'eau pensé comme un espace de détente qui abritera lectures et moments de repos des résidents de cette pièce aux effluves de vacances. Mention spéciale Eyes on Talents x Frame : Tool One, Martial MarquetMartial Marquet, formé au South Californian Institute for Architecture de Los Angeles (USA) et diplômé de l'ENSCI - les Ateliers ainsi que de l'École Spéciale d'Architecture de Paris, imagine une salle à manger modulable et chaleureuse. À l'opposé des espaces aseptisés, ce réfectoire reprend les codes primaires du partage de la nourriture, à savoir l'interaction et la convivialité. Ici, l'environnement évolue selon les envies de chacun et les invités assemblent eux-mêmes les différents éléments qui composent leur mobilier " les tabourets, les pieds de tables, ou les supports de lampes "à l'aide de modules rouges, comprenant aussi bien des panneaux en MDF prépercés que des tubes en acier ou des ampoules. Prix du Public de la Ville de Toulon : La chambre sur l'eau, d'Emmanuelle SimonOrganisée autour d'un lit disposé en îlot central sur un empilement de quatre tapis, la chambre imaginée par Emmanuelle Simon, diplômée de L'École Camondo Paris, se compose de matières naturelles et confortables comme le lin ou la laine. Le couchage repose sur une plateforme en bouleau, inspirée d'une barque, et est surmonté d'une structure en grandes arches tressées qui enveloppe son propriétaire ensommeillé. La lumière est filtrée grâce à des voilages translucides rappelant les voiles d'un navire, invitant à un voyage marin. Grand Prix Design Parade Hyère : Future sausage, par Carolien NieblingLe travail de Carolien Niebling, diplômée de l'Université des Arts Artez à Arnheim (Pays-Bas) et de l'ÉCAL de Lausanne (Suisse), où elle vit et travaille aujourd'hui, reprend et questionne les codes d'un élément, pas des plus glamours, de la gastronomie européenne : la saucisse. À travers Future sausage, le designer valorise ainsi son procédé de fabrication " une enveloppe comestible, un stockage facile, une consommation directe et une production de déchets minimale ", tout en remettant en question ses valeurs nutritives, écologiques et hygiéniques. Elle imagine alors une gamme design comestible combinant ingrédients diététiques et esthétiques. Le tout est également accompagné d'un livre illustré présentant de façon scientifique, ludique et plastique l'entièreté du potentiel d'un élément phare de la charcuterie.   Prix spécial du Jury : Hale Bopp, par Léa BardinÀ travers un projet ludique, Léa Bardin, diplômée de l'ENSCI - Les Ateliers, rend la robotique poétique. Elle réalise ici un projet fait de formes imaginaires et sonores , à mille lieux des figurines reprenant des corps humains parfaits et présupposant des scénarios, altérant ainsi l'imagination des plus jeunes. Ainsi, l'oiseau de sa gamme chante si on le place à hauteur de l'"il , mais émet des échos aquatiques lorsqu'il est abaissé au niveau du sol et des bruits évoquant l'espace lorsqu'on l'élève vers le plafond. Le designer fabrique ici une collection ludique et magique, dont le nom s'inspire de la comète Hale Bopp qui frôla la Terre en 1997, lorsqu'elle-même était petite fille.   Mention spéciale Eyes on Talents x Frame : Main d'"uvre, par Ragna RagnarsdottirRagna Ragnarsdottir est une islandaise diplômée de l'ENSCI " Les Atelier qui vit et travaille désormais à Reykjavik (Islande). Elle imagine une collection réalisée grâce à un processus artisanal unique. Le piètement de ces récipients " vases ou bols " est toujours le même, fait de disques en MDF noir superposés et teintés dans la masse, surplombé d'un contenant dont les dimensions varient. La designer y insère ensuite un moule souple fait d'une membrane en latex doublée à l'intérieur d'une contre-forme en polystyrène qu'elle remplit de plusieurs couches de résines aqueuses colorées. Une fois secs et libérés de leur carcan de latex, les différents objets se parent de paysages imaginaires et aléatoires.   Prix du Public de la Ville d'Hyères : Être ou ne paraître, par Arthur HoffnerLe parisien Arthur Hoffner, diplômé de l'École Boule et de l'ENSCI - Les Ateliers, s'intéresse à la thématique de la fontaine et tente de réhabiliter cet objet désuet, un brin kitch en s'inspirant de l'univers de l'électroménager. Partant alors du matériel de plomberie et utilisant ses composants, aux qualités aussi pratiques que plastiques, il réalise des ensembles décoratifs suspendus ou posés en équilibre sur des surfaces du quotidien. On retrouve alors dans ses formes la fonction contemplative et hypnotique des fontaines, placées cette fois-ci dans des intérieurs contemporains. Design Parade Toulon et Hyères, jusqu'au 24 septembre 2017 Pour en savoir plus, visitez le site de la Villa Noailles Hyères Photographies : Emile Kirsh
Il y a 7 ans et 314 jours

Impco technologies sort son outil de gestion de flotte

La société Impco technologies, spécialisée dans la manutention, la logistique et l'industrie a présenté lors du salon Préventica, pour la prévention et la sécurité qui s'est tenu du 20 au 22 juin dernier à Paris, Optafleet, son nouveau système de gestion de flotte.
Il y a 7 ans et 314 jours

SGDB recrute en musique à Aix-les-Bains (73)

A l'occasion du festival de musique Musilac qui a lieu à Aix-les-Bains du 13 au 16 juillet, Saint-Gobain Distribution Bâtiment (SGDB) France tiendra un stand pour faire découvrir le groupe et recruter de nouveaux collaborateurs.
Il y a 7 ans et 314 jours

VST : les incontournables du sans tranchée

L'édition 2017 du salon VST (ville sans tranchées), organisée par la France sans tranchée technologies (FSTT), s'est tenue au parc des expositions de l'île des impressionnistes à Chatou (78) du 20 au 22 juin dernier.
Il y a 7 ans et 315 jours

Focus sur le vibrofonceur Movax de CFE Location

Pour rappel, CFE Location, spécialiste en location de matériels pour les travaux spéciaux, avait mis en avant sur le salon Solscope un outil spécifique développé pour le secteur des fondations : le Movax.
Il y a 7 ans et 317 jours

576 visiteurs sur BtoBim

Le  salon BtoBim, axé sur le numérique et le BTP, a eu lieu le 5 juillet dernier à l'institut catholique d'arts et métiers (ICAM) de Nantes et a attiré plus de visiteurs qu'en 2016.
Il y a 7 ans et 317 jours

Inée : Meuble Diana Law Printed

Le studio d'architecture et de design parisien inée réalise un présentoir inspiré de l'univers du laboratoire, qui sublime la nouvelle collection de bijoux et d'accessoires de la marque Diana Law Printed issue de l'impression 3D . Afin de mettre en avant objets et bijoux de la firme franco-hongkongaise, Sylvain Raillard et Timothée Souchard, de l'agence inée, ont choisi les carreaux de céramique blanche carrés de 10 centimètres de côté, soulignés par des joints noirs, et collés sur une structure en panneaux de MDF. Un revêtement immaculé qui permet de mieux faire ressortir la production colorée de Diana Law. Un monolithe à la fois massif et discret (145 x 60 x 100 centimètres), conçu spécifiquement pour une collection haute en couleurs présentée dans l'espace Public Image, au 157 rue du Temple à Paris (3e). Dans une volonté de sobriété, la face avant est uniquement agrémentée des initiales de la créatrice, découpées au laser dans une plaque de plexiglass noire brillante de 5 millimètres d'épaisseur, tandis que l'arrière est dédié au stockage des bijoux ; le tout monté sur roulette pour faciliter les déplacements. Un fin luminaire linéaire noir en leds achève la composition épurée de l'ensemble. Par sa discrétion et ses tonalités binaires, ce projet minimaliste et acétique s'adapte donc à tous types d'espaces d'exposition. Pour en savoir plus, visitez le site de inée et Diana Law Printed Photographies : inée DR
Il y a 7 ans et 317 jours

Inée : Diana Law Printed Accessories

Le studio d'architecture et de design parisien inée réalise un présentoir inspiré de l'univers du laboratoire, qui sublime la nouvelle collection de bijoux et d'accessoires de la marque Diana Law Printed issue de l'impression 3D. Afin de mettre en avant objets et bijoux de la firme franco-hongkongaise, Sylvain Raillard et Timothée Souchard, de l'agence inée, ont choisi les carreaux de céramique blanche carrés de 10 centimètres de côté, soulignés par des joints noirs, et collés sur une structure en panneaux de MDF. Un revêtement immaculé qui permet de mieux faire ressortir la production colorée de Diana Law. Un monolithe à la fois massif et discret (145 x 60 x 100 centimètres), conçu spécifiquement pour une collection haute en couleurs présentée dans l'espace Public Image, au 157 rue du Temple à Paris (3e). Dans une volonté de sobriété, la face avant est uniquement agrémentée des initiales de la créatrice, découpées au laser dans une plaque de plexiglass noire brillante de 5 millimètres d'épaisseur, tandis que l'arrière est dédié au stockage des bijoux ; le tout monté sur roulette pour faciliter les déplacements. Un fin luminaire linéaire noir en leds achève la composition épurée de l'ensemble. Par sa discrétion et ses tonalités binaires, ce projet minimaliste et acétique s'adapte donc à tous types d'espaces d'exposition. Pour en savoir plus, visitez le site de inée et Diana Law Printed Photographies : inée DR
Il y a 7 ans et 318 jours

Form Follows Aktion : Bellastock part à Berlin

L'association dédiée à l'expérimentation architecturale s'exporte. En parallèle de son festival annuel francilien, cette année consacré à la construction en terre crue, Bellastock organise un rendez-vous dans la capitale allemande. Du 25 au 30 juillet prochain, une quarantaine de participants sont invités à repenser les abords du centre ZK/U. Bellastock diversifie toujours un peu plus ses actions tournées vers la pratique alternative des métiers de la construction et de l'aménagement...
Il y a 7 ans et 318 jours

Expo Ferroviaria : les inscriptions sont ouvertes

Cette année, l'industrie ferroviaire a rendez-vous à Milan en Italie pour le salon ferroviaire Expo Ferroviaria du 3 au 5 octobre prochain.
Il y a 7 ans et 318 jours

MADD Bordeaux : Oh Couleurs !

" La forme est aussi couleur. Sans couleur, il n'y a pas de forme. Forme et couleur ne font qu'un ", Johannes Itten, peintre, enseignant à l'école du Bauhaus (1919-1923). S'inspirant de cette citation, l'exposition " Oh couleurs ! Le design au prisme de la couleur ", organisée par le musée des Arts décoratifs et du design de Bordeaux " MADD ", présente une série d'objets répondant à la thématique chromatique. La couleur n'est pas matérielle : c'est un concept uniquement perceptible dans la lumière et elle n'est définissable que par son intensité, son médium ou l'"il qui l'observe. Pour mieux comprendre tout ce que ce constat implique, Constance Rubini, directrice du MADD et commissaire de l'évènement, interroge des acteurs provenant d'univers très variés : design, mode, industrie et même sociologie. " La couleur existe-t-elle ? Qu'est-ce que la couleur ? Les couleurs ne sont pas seulement présentes dans la lumière, ni seulement présentes dans la matière des objets éclairés, en fait, la couleur n'existe que s'il y a un spectateur pour en faire l'expérience. " Verner Panton, conférence au Bella Center, Copenhague, 1982 " Oh Couleurs ! " est la première exposition présentée au MADD, l'ancienne prison de la ville de Bordeaux. Les visiteurs y découvriront aussi bien des objets du quotidien que des réalisations d'architecture d'intérieur mêlant forme et couleur, allant du Tupperware® aux travaux de Paule Marrot, designer chez Renault, en passant par le mobilier de l'artiste Verner Panton. Le parcours muséal chronologique montre par ailleurs cette collection éclectique sous un prisme atypique : celui des m"urs, de la mode et de l'évolution des techniques de teintes et de colorations. " Oh couleurs ! " est polymorphe, à la fois axée sur l'aspect conceptuel des tonalités et l'utilisation matérielle de ce dernier et permettra à ses visiteurs d'observer attentivement ce que leur regard survole habituellement. " Oh couleurs ! Le design au prisme de la couleur " jusqu'au 5 novembre au musée des Arts décoratifs et du design de Bordeaux (33)Pour en savoir plus, visitez le site du Musée des Arts décoratifs et du design de Bordeaux Photographies : 1) Foyer du restaurant Varna à Aarhus (Danemark) réalisé par Verner Panton © Verner Panton Design2) Donal Judd, Corner Chair © Patrick Faigenbaum3) Ettore Sottsass, Superbox Hotel California © Centro Studio Poltronova per il Design4) Laureline Galliot, Lucky Toad © Laureline Galliot DR5) Patricia Urquiola © Edition Moroso6) Irma Boom, Colour DNA based on the city of Bordeaux. Commande réalisée à l'occasion de l'exposition7) Martin Szekely, Vase jaune-froid Marseille © Patrick Faigenbaum8) Suzanne Ramié, Vase © Hervé Lewadowsky9) Jean-Baptiste Fastrez © Edition Moustache10) Hella Jongerius, Daylight Colour Wheel © Hella Jongerius11) 12) Patricia Urquiola, table basse Shimmer © Glas Italia
Il y a 7 ans et 318 jours

Goldhofer envoie du lourd à Plantworx 2017

Les solutions de transport de Goldhofer pour la construction étaient exposées à l'occasion du salon britannique Plantworx.
Il y a 7 ans et 319 jours

Des locaux ludiques pour Ubisoft

L'éditeur de jeux vidéo français dispose d'espaces de travail décalés grâce à l'imagination de l'architecte d'intérieur Didier Versavel. Les open spaces au bois clair alternent avec des salles de réunion hautes en couleur qui rappellent une chambre d'ado, un labo de SVT ou un confortable salon anglais... Découverte.
Il y a 7 ans et 319 jours

Open innovation : Colas au salon Vivatech

Colas était présent, avec son écosystème de start-up, au salon Vivatech qui s'est déroulé à Paris du 15 au 17 juin 2017. L'occasion pour le Groupe de présenter ses produits et solutions co-développés dans le cadre de sa stratégie d'open-innovation.
Il y a 7 ans et 319 jours

Cible BTP : une offre de formation dans le Pas-de-Calais

Trois organismes de formation du Pas-de-Calais (62), Appel à Boulogne, BTP CFA à Hesdigneul et Tremplin formation à Wimereux s'associent pour créer une offre globale de formation aux métiers du BTP dans le département.
Il y a 7 ans et 319 jours

Conditions d'habitat "très précaires" à Mayotte, selon une enquête Insee

Les conditions d'habitat à Mayotte sont "très précaires", avec "un logement sur trois en tôle", révèle une enquête réalisée par l'Insee entre 2013 et 2014 à Mayotte et dévoilée par Jamel Mekkaoui, responsable de l'antenne du département.
Il y a 7 ans et 319 jours

Broadway Malyan : RIBA North

Érigé par le studio d'architecture londonien Broadway Malyan, le centre du RIBA North " Royal Institute of British Architect ", prend place sur l'île de Mann, à Liverpool (Royaume-Uni). Divisé en deux bâtiments, il accueille aussi bien des commerces que diverses expositions et conférences permettant aussi bien aux amateurs qu'aux professionnels d'aiguiser leurs connaissances sur l'architecture. Composé d'un monolithe en verre en forme de parallélépipède tronqué " transparent au rez-de-chaussée et noir aux étages ", évidé en son centre par accueillir un large puit de lumière central, le bâtiment accueille les bureaux régionaux du RIBA, l'ordre des architectes anglais, dans sa partie supérieure ainsi qu'un musée de l'architecture dans son patio de 1 502 mètres carrés. Une construction jumelle, le BREEAM, est juxtaposée à l'ouest et se destine quant à elle à héberger divers commerces et espaces de restauration. Plus loin, à l'est, un bâtiment résidentiel de 14 étage réalisé par les mêmes architectes prend place, toujours revêtu de verre sombre. Ces édifices contemporains, placés sur l'île de Mann, classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, se mêlent au front de mer, permettant ainsi de connecter un espace autrefois délaissé au centre-ville de Liverpool. L'espace d'exposition du RIBA est réparti sur deux niveaux : un rez-de-chaussée de 150 mètres carrés et un étage de 1 200 mètres carrés. L'accès à l'institution se fait par le jardin d'hiver, indiqué par un mur rouge en Corian® de 16 mètres de long par 6 mètres de haut, tel un totem. Dans ce hall central vitré, se trouvent également un café, la boutique du musée et un majestueux escalier écarlate en granit, verre et acier qui permet d'accéder à la mezzanine. Sa matérialité et ses formes épurées s'inscrivent dans la continuité du projet, à l'image des revêtements utilisés dans les deux galeries qui composent cet espace d'exposition, dont la plus petite, de 80 mètres carrés, est également utilisée comme salle de séminaire. À ce niveau se trouvent également deux salles de réunion et une autre salle de conférence, orientées sur le port, qui bénéficient d'une vue imprenable sur l'ensemble de l'île de Mann. Dans ces volumes sculpturaux et minimalistes se trouve le premier centre d'architecture anglais situé en dehors de Londres. Leur couleur noire et leur forme trapézoïdale et anguleuse est ainsi un hommage aux reliefs de l'île. L'institution promet d'être le lieu de rendez-vous de tous les amoureux d'architecture. Photographies : Hufton & Crow et Johannes Marburg Pour en savoir plus, visitez le site de Broadway Maylan
Il y a 7 ans et 320 jours

Tim Franco : Metamorpolis

Installé depuis de nombreuses années à Shanghai, le photographe français Tim Franco s'est intéressé à la métamorphose de Chongqing, une des métropoles les plus importantes de l'Empire du Milieu. Ces prises de vue lui inspirent l'exposition " Metamorpolis ", visible à la Maison de la Chine de Paris jusqu'au 1er octobre 2017 et dans un livre éponyme. Suite à l'installation du célèbre barrage des Trois-Gorges situé en amont, la ville a dû accueillir des populations déplacées par des glissements de terrains, secousses telluriques et pénuries d'eau provoqués par l'installation hydraulique ; la plongeant ainsi dans d'interminables travaux, immortalisés par les photographies de Tim Franco. La ville, qui n'a eu d'autre choix que d'absorber ce flux de réfugiés, est donc en pleine métamorphose urbaine et architecturale. Son histoire et sa politique " Chongqing est notamment dirigée par la Sun Yee On Triade, la plus grande organisation criminelle du pays ", si particulières ont influencé de manière considérable la physionomie du bâti qui s'inspire du style néo-soviétique. Le tout, dans un triptyque constructif surprenant composé de tours d'affaires, de vieux quartiers traditionnels et de terres cultivées. Un schéma atypique pour une métropole de cette ampleur. Que ce soit les téléphériques qui relient les deux rives de la cité, les ponts suspendus, les commerces ou les habitations de toutes sortes, rien n'échappe à l'"il fasciné de Tim Franco, dont les photographies traduisent également l'atmosphère brumeuse de cette région visible dans le film Chongqing Blues, de Wang Xiaoshuai, nominé à Cannes en 2010. Cette exposition offre l'occasion d'être propulsé un court instant au centre de la Chine. " Metamorpolis ", jusqu'au 1er octobre 2017 à la Maison de La Chine, Paris (6e) Pour en savoir plus, visitez le site de Tim Franco Photographies : Tim Franco
Il y a 7 ans et 321 jours

En région Ouest, le BIM et la réalité virtuelle se démocratisent

Alors qu'à Rennes, la FFB inaugurera bientôt le premier centre de ressources numériques de la filière bâtiment, à Nantes se tiendra, ce mercredi 5 juillet, le salon BtoBIM, une "agora du numérique et BTP" ouverte gratuitement à tous.
Il y a 7 ans et 321 jours

Jenny Sabin Studio : Lumen au MoMA PS1

Lauréate du Programme des Jeunes Architectes du Musée d'Art Moderne 2017, Jenny Sabin installe son "uvre Lumen au MoMA PS1 (USA) dans le cadre de la 20e saison de l'évènement musical Warm Up. Réalisé en maille synthétique photoluminescent tissée numériquement, cet ensemble tubulaire s'adapte aux nuances lumineuses et colorées de la journée. Tendue entre les murs de la cour de l'annexe du Queens du MoMA, Lumen forme une canopée textile. L'installation de l'architecte Jenny Sabin surplombe une série de tabourets en bobines recyclés et crée aussi bien un espace de concerts qu'un simple lieu de repos et de relaxation. Le projet est conçu à base de fils qui absorbent les rayons UV et les restituent la nuit sous la forme d'un éclairage léger. Des fils " solaires actifs ", dont la couleur change en fonction de l'intensité du soleil, complètent en outre ce dispositif. L'installation est également pensée pour allier espace extérieur et confort : un système de brumisateur déclenché par le mouvement des visiteurs leur permet de profiter des programmations musicales et du soleil sans être étouffé par la chaleur d'été de New-York. " Avec des processus innovants de construction et de conception liés à une association critique de la technologie et de la nature ainsi qu'à une attention particulière aux détails à toutes les échelles, Lumen attirera sans aucun doute les visiteurs de jour comme de nuit dans une série d'environnements et d'expériences gradués. " Sean Anderson, conservateur associé du département d'architecture et de design de MoMA. Grâce au travail de l'artiste américaine, Lumen ne correspond désormais plus seulement à un flux lumineux mais à une installation vivante, dont les changements perpétuels épateront les visiteurs du PS1 jusqu'au 4 septembre 2017. Lumen, par Jenny Sabin Studio, jusqu'au 4 septembre 2017 au MoMA PS1, New York (USA). Pour en savoir plus, visitez le site de Jenny Sabin Studio Photographie : Pablo Enriquez  
Il y a 7 ans et 321 jours

Infrastructures : Emmanuel Macron priorisera l'entretien de l'existant

Lors de l'inauguration de la LGV Paris-Rennes, le 1er juillet, le président de la République Emmanuel Macron a affirmé que la priorité de son quinquennat, en matière d'infrastructures, allait être donnée aux "transports du quotidien" et non pas aux grands projets. Une loi d'orientation des mobilités devrait voir le jour au premier semestre 2018.
Il y a 7 ans et 321 jours

CDH Group tire les jardins vers le haut

Avec un jardin vertical qui l'a hissé dans le trio de tête des trophées du dernier salon Jardins, Jardin, début juin à Paris, le groupe CDH a mis en scène la synergie entre ses trois piliers : les échelles Centaure, les échafaudages Duarib et les brouettes Haemmerlin.
Il y a 7 ans et 322 jours

Friche de l'Escalette : Utopie Plastic

Au sud de Marseille, se trouvait une belle endormie : la Friche de l'Escalette, une ancienne usine de plomb du XXe siècle dissimulée sous une épaisse végétation. Grâce à son rachat par l'antiquaire Éric Touchaleaume, de la Galerie 54, la ruine se destine dorénavant à l'exposition d'"uvres d'art, de mobilier et d'architectures. Cette année, " Utopie plastic " met en avant des habitations légères et modulaires des années 1960-1970. Face à son homonyme de la Belle de Mai, la Friche de l'Escalette peine encore à se faire connaître. Il faut dire que le site se fait discret : en plus d'être excentré, il est surtout privé. Il s'agit pourtant d'un de ces trésors cachés, dissimulés au fond d'une petite impasse, derrière un portail métallique qui ne laisse rien filtrer. L'histoire du lieu commence au XIXe siècle, avec l'installation d'une usine de plomb. La matière première arrivait alors par bateau d'Espagne et de Sicile dans le port situé en contrebas, et était transformée en lingots dans les édifices installées plus haut. L'activité cesse en 1925 et, au fil des années, la surface devient une décharge informelle à ciel ouvert, avec son lot de carcasses de voitures, bateaux, matelas ou autres bouteilles en verre : " il y avait là une faune très pittoresque ", livre le nouveau propriétaire. Des promoteurs envisagent un temps d'y monter un ensemble immobilier mais le projet est avorté. C'est à cette période qu'Éric Touchaleaume entre dans la danse. Le marchand parisien, qui a des attaches dans la région, rachète alors la friche à un collègue antiquaire. S'en suivent plusieurs années de nettoyage intensif et, en 2016, le site ouvre ses portes. Le propriétaire avoue, amusé, que cet achat était un peu " un cadeau empoisonné ". " C'est un peu notre danseuse ", conclut-il. Sans compter que depuis 2013, la parcelle est intégrée au Parc des Calanques, la rendant proprement inconstructible. Aujourd'hui libérés des stigmates de ses diverses occupations illégales, les traces de ce passé industriel ont été rendues à la végétation. Une ruine au sens romantique du terme qu'Éric Touchaleaume entend bien conserver en l'état, en couvrant simplement de béton l'intérieur des cheminées rampantes, situées sur les hauteurs de l'amphithéâtre, qui servaient autrefois à évacuer les vapeurs d'arsenic. L'an passé, 2 500 privilégiés ont pu découvrir l'endroit durant l'été, guidés par des étudiants de l'école d'architecture de Marseille ou des Beaux-Arts, ou Elliot, fils du propriétaire qui gère dorénavant le lieu, transformé en surface d'exposition pour habitations mobiles. " Nous défendons des architectures de collection mais pas des bâtiments en béton comme la Cité radieuse. Plutôt des bâtiments que l'on peut bouger ", revendique le marchand, qui ambitionne de faire de la Friche de l'Escalette un tremplin, un lieu où tester ses événements avant de les monter dans sa galerie parisienne. Après l'exposition du prototype Habitat tropical du Cameroun de Jean Prouvé, il s'attaque ainsi à un nouveau sujet, le plastique : " Je trouve le plastique bouleversant. Avec lui apparaît une nouvelle génération de créateurs, de nouvelles formes. " Éric Touchaleaume, Galerie 54 Aux côtés d'installations provenant de divers antiquaires " dont celui qu'Éric Touchaleaume qualifie de " Pape du plastique ", Benoît Ramognino, marchand aux Puces de Saint-Ouen ", Éric Touchaleaume expose trois maisons mobiles datant des années 1960-1970 : la soixante-huitarde Futuro House du finlandais Matti Suuronen, aux airs de soucoupes volantes ; l'Hexacube de l'architecte grec Georges Candilis, collaborateur de Le Corbusier ; et Bulle de Jean-Benjamin Maneval qui équipait un village de vacances des Pyrénées. Pour compléter ces habitations légères, il fait donc découvrir aux visiteurs une série de meubles, en plastique également, tels que le bureau Boomerang, dans sa version Grand PDG (1969), de Maurice Calka ; le fauteuil Tomato d'Eeero Saarinen (1971), ou encore la chaise Baby Molar de Wendle Castle (1971). Par ces différentes manifestations, Éric Touchaleaume souhaite ainsi rembobiner le fils de l'histoire, du début du XXe siècle à nos jours. Il envisage en effet d'organiser dès 2019 un concours international de cabanons ouvert aux architectes, designers et artistes en herbe, et destiné à faire émerger les talents de demain, dont les réalisations seront positionnées au c"ur de ce Pompéi architectural. À découvrir, en 2018, Jean Prouvé " Maison tropicale de Niamey " qui occupera ce terrain de jeu extraordinaire qui a dorénavant retrouver ses lettres de noblesse. Exposition " Utopie Plastic ", jusqu'au 30 septembre 2017, Friche de l'Escalette, Marseille (8e). Visites gratuites, sur réservation. Pour en savoir plus, visitez le site de laFriche de l'Escalette Photographies :01) © ichetkar02-03) © Baraja Touchaleaume04-06) © DePasquale+Maffini07-08) © Baraja Touchaleaume09) Futuro House, Matti Suuronen ; Maison Cube, Jean-Benjamin Maneval10) Maison Cube, Jean-Benjamin Maneval11) Aerospace, Quasar Khanh
Il y a 7 ans et 322 jours

Protection contre les poussières de bois : l'OPPBTP et la FCBA signent un partenariat

L'OPPBTP et la FCBA ont signé le 26 juin dernier un accord de partenariat. Ce dernier se concrétise par la réalisation d'une étude visant à aider les entreprises à réduire l'exposition des salariés aux poussières de bois dans le secteur du bois-construction et de l'ameublement. A l'issue de cette étude longue de 18 mois, des mesures seront mises en place et un guide de prévention et sensibilisation à destination des entreprises sera rédigé.
Il y a 7 ans et 324 jours

Une jeune cinéaste récompensée pour son regard décalé sur le logement social

LAUREATS. L'Union sociale pour l'habitat (USH) a décerné ce 28 juin 2017 à une jeune cinéaste son grand prix film à l'occasion de la 5e édition du concours "HLM sur cour(t). Détails.
Il y a 7 ans et 324 jours

Paris Design Week : Prix du Jury Rado Star Prize 2017

Pour la septième année consécutive, Paris Design et l'horloger Rado organisent le concours de design Rado Star Prize. Pour cette édition, les participants ont planché sur le thème " Technicité des matériaux ". À la suite d'une sélection minutieuse, le jury récompense The once liquid plastic, une étagère en résine époxy réalisée par Julien Manaira. Basé à Amsterdam, le designer niçois Julien Manaira, diplômé de l'École supérieure d'Art et de Design de Reims et du Sandberg Institute (Pays-Bas), et son projet The once liquid plastic, reçoivent le Prix du jury, présidé par Philippe Nigro qui salue " la qualité ascétique intéressante des formes et l'utilisation du matériau qui répond avec justesse à l'énoncé du thème ". Pour répondre à ce sujet, Julien Manaira ne choisit pas d'étudier un matériau novateur mais de travailler les textures. Il fait ainsi le choix de façonner de la résine époxy jusqu'à l'obtention d'un aspect translucide, entre plastique et verre. De ces recherches résulte une étagère de 95 x 70 x 20 centimètres au design épuré, minimaliste et tripartite. " J'ai particulièrement apprécié l'effet délibérément non fini de l'objet et ses contours qui suscitent l'interrogation. Le designer y est parvenu en superposant trois couches de matière, d'où la sensation de profondeur obtenue. Le résultat nous a plu. " Philippe Nigro, designer Au-delà de sa démarche expérimentale, le jeune créateur voulait également rendre palpables les liens entre processus de fabrication et matériaux. Cela se voit notamment à travers la pigmentation dégradée qui révèle les différentes couches de résine coulée manuellement dans des moules, dont l'paisseur dépend directement de la main du fabricant. Le jury a en outre sélectionné neuf créations qui concourent actuellement en ligne " et ce jusqu'au 9 septembre ", pour obtenir l'un des deux Prix du public qui accompagneront la réalisation de Julien Manaira lors de l'exposition " now! Le Off ". Votez pour récompenser un des projets du Rado Star Prize 2017 sur www.radostarprize.fr jusqu'au 9 septembre.Exposition " now ! Le Off ", du 9 au 13 septembre 2017 aux Docks " Cité de la Mode et du Design à Paris (13e). Pour en savoir plus, visitez le site de Rado Star Prize Photographies : DR
Il y a 7 ans et 324 jours

Recycling Aktiv réussit sa délocalisation

Le premier jumelage des salons Recycling aktiv et TiefbauLive à Karlsruhe est un succès : 7 500 visiteurs, 76 500 m2 d'exposition, 202 exposants issus de 14 pays? les chiffres sont éloquents.
Il y a 7 ans et 324 jours

Comment le BTP peut se mettre à l'économie circulaire

Augmenter les taxes, déconstruire plutôt que démolir, développer des " green deal "? autant de solutions proposées lors du 4e rendez-vous annuel de l'association des directeurs immobiliers (ADI) pour développer le recyclage dans le BTP.
Il y a 7 ans et 325 jours

Musée du quai Branly : Aztec Hotel

Trois ans après l'exposition " Tiki Pop ", le musée du quai Branly-Jacques Chirac fait à nouveau appel au commissaire d'exposition germano-américain Sven Kirsten. Un choix décalé pour une thématique qui l'est tout autant : " Aztec Hotel ", une exposition revisitant la culture et l'iconographie du Nouveau Monde à travers des travaux archéologiques et des créations issues de la culture populaire américaine du début de XXe siècle. Vous avez jusqu'au 8 octobre pour découvrir " Aztec hôtel ", présentée à l'espace Martine Aublet du musée du quai Branly-Jacques Chirac. Cette fois, le touche-à-tout et archéologue de l'urbain, Sven Kirsten, chemise hawaïenne en effigie, s'attaque au thème de la fascination des Américains pour les cultures préhispaniques durant une courte période du XXe siècle. Un intérêt aussi éphémère " Grande Dépression oblige " qu'intense d'une nation historiquement jeune, parfois en quête d'un passé. Ce sujet commence à intriguer Sven Kirsten dans le années 1980 suite à la découverte qu'il fait, par hasard, d'un mug aux motifs maya. Il réalise alors qu'il n'existe que peu d'informations sur la vision fantasmée de cette culture mystérieuse par les Américains, qu'il présente ici par le biais d'un corpus d'"uvres hétéroclite, allant du livre aux gravures, en passant par les pochettes de Vinyle.Au début du XXe siècle, une partie de l'Amérique, à commencer par la Californie, se met ainsi à rêver d'aventures à travers les pyramides mexicaines, qu'elle mélange tous azimuts avec les temples aztèques qui, eux, sont péruviens. Entre les édifices de Chichen Itza et le Machu Pichu, il n'y a ici qu'un pas : celui de l'imaginaire populaire d'un peuple en recherche de racines. Le titre de l'exposition, " Aztec hôtel ", un " terme parapluie ", comme le qualifie Sven Kirsten, provient de ce décalage et de l'hôtel éponyme construit par l'architecte Robert Stacy-Judd à Morovia en Californie qui symbolise à lui seul un imaginaire collectif des cultures disparues par le mélange maladroit de modénatures mayas et d'un nom provenant des Andes. L'un des premiers cartels de l'exposition le rappelle d'ailleurs dès l'entrée : " C'est souvent le cas pour des appropriations esthétiques exotiques, on confond les styles distincts tout en appliquant librement la terminologie associée à l'un ou à l'autre ". Des palais mayas fleurissent alors aux quatre coins des États-Unis : Texas, Michigan, Californie ou encore Illinois. Parmi ces bâtiments teintés d'Amérique latine figurent notamment des réalisations de Frank Lloyd Wright. Pourtant, le maître n'a jamais revendiqué cette influence et a toujours refusé d'être associé à ce courant néo qui se tarit dans les années 1930, avant d'être supplantée par la découverte des cultures asiatiques et pacifiques après la seconde Guerre Mondiale. Sur la mezzanine de l'espace Martine Aublet, c'est une épopée anachronique et décalée qui ne nous est donc présentée. Il n'y manque alors plus que quelques lianes et une végétation luxuriante. Exposition " Aztec hôtel ", jusqu'au 8 octobre 2017, Musée du quai Branly, Paris (7e) Pour en savoir plus, visitez le site du Quai Branly Photographies :01) Musée du quai Branly - Jacques Chirac. Affiche de l'exposition " Aztec hôtel ". Du 20 juin au 8 octobre 201702) © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Gautier Deblonde03-06) Robert Stacy-Judd papers, Architecture and Design Collection. Art, Design & Architecture Museum; University of California, Santa Barbar
Il y a 7 ans et 325 jours

Selon l'Insee, il ne fait pas bon vivre à Mayotte

Les résultats d'une enquête réalisée par l'Insee entre 2013 et 2014 à Mayotte témoignent de conditions d'habitat jugées " très précaires ". Dévoilé par Jamel Mekkaoui, responsable de l'antenne du département, le bilan tire la sonnette d'alarme sur les conditions de logement dans le département, à des années-lumière des standards de la métropole et des autres départements d'Outre-Mer. Tour d'horizon des principaux indicateurs.
Il y a 7 ans et 325 jours

La FFB Grand Est annonce ses objectifs à horizon 2019

Née en décembre dernier de la fusion de trois anciennes Fédérations régionales, la Fédération française du bâtiment Grand Est est aujourd'hui composée de dix fédérations départementales qui défendent les intérêts de plus de 4 500 adhérents. Particulièrement active, l'organisation a récemment annoncé les missions qu'elle souhaitait mener à bien dans les prochaines années.
Il y a 7 ans et 325 jours

Exposition de la tête aux pieds - Musée Würth France Erstein

L'exposition propose à travers 130 peintures, dessins, sculptures et installations issus de la Collection Würth un propos passionnant sur la représentation de la figure humaine dans l'art.
Il y a 7 ans et 325 jours

Poussières de bois : l'OPPBTP veut accélérer la recherche dans la prévention des risques d'exposition

Impulsé par l'OPPBTP et l'Institut technologie Forêt Cellulose Bois construction Ameublement (FBCA), le projet "Propobois" a pour but de définir plus précisément le niveau d'exposition aux poussières de bois selon les postes de travail. Une étude de 18 mois va être lancée auprès de huit entreprises volontaires du secteur du bois-construction et ameublement.
Il y a 7 ans et 326 jours

Un appel à manifestation d'intérêt pour redonner vie au Domaine de Méréville

" Identifier un investisseur susceptible de développer une activité économique, touristique et/ou culturelle au sein du Château de Méréville " : tel est l'objectif de l'appel à manifestation d'intérêt récemment lancé par le département de l'Essonne. Dans ce cadre, les candidats potentiels devront soumettre une programmation incluant le financement de la rénovation de l'édifice et l'aménagement du parc de 55 hectares qui l'entoure.
Il y a 7 ans et 326 jours

Le Val-de-Marne s'assure des emplois sur le Grand Paris Express

La Société du Grand Paris vient de signer une 3e convention pour développer l'emploi local et l'insertion sur les chantiers du Grand Paris Express, cette fois avec l'établissement public territorial Grand Orly Seine Bièvre et le conseil départemental du Val-de-Marne.
Il y a 7 ans et 326 jours

Le SMOPYC 2017 récompense le X-Tower de Tubesca-Comabi

Lors du dernier salon SMOPYC, qui s'est tenu du 25 au 29 avril dernier à Feria de Zaragoza (Espagne), Tubesca-Comabi a reçu un SMOPYC d'or, dans la catégorie Equipement, pour son X-Tower, un échafaudage roulant de nouvelle génération.
Il y a 7 ans et 326 jours

Teupen s'envole pour Salonvert Sud-Est

Les 20 et 21 septembre prochains, le constructeur de nacelles Teupen participera à Salonvert Sud-Est, le rendez-vous des professionnels des espaces verts et du paysage, qui se tiendra à Vénérieu, près de Lyon.