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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17694 résultats)
Il y a 3 ans et 51 jours

Remettre le béton dans le béton

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine SBM Mineral Processing a monté une centrale à béton stationnaire à haute performance pour Béton Granulats Ouest Lausannois (BGO). L’outil industriel s’ancre dans une démarche d’économie circulaire, notamment avec l’utilisation de granulats recyclés. [©SBM] Mini Sommaire : Dossier : Bétons et éco-construction #1 Capter, stocker ou utiliser le carbone La préfabrication à la mode du bas carbone Les bétons se mettent au vert Des liants nouvelles générations La transition écologique rapportée à tous les domaines demande une vision globale. Le monde du béton ne déroge pas à la règle et s’active sur tous les fronts. Le captage, le stockage et l’utilisation du carbone font partie de la feuille de route de décarbonation de l’industrie du ciment. Et de façon générale, ces technologies sont considérées comme un levier majeur dans l’objectif de neutralité carbone. De manière générale, l’industrialisation du bâtiment via la construction et la production hors site est vue comme une réponse crédible face à la transition environnementale du secteur. Les bétons “organiques” ont le vent en poupe. Que ce soit chez les majors du béton ou à travers de nouveaux acteurs. Chanvre, bois, manioc ou riz, les bétons se mettent au vert… Industriels et start-up se mettent en ordre de marche pour proposer des solutions disruptives dans le domaine des liants. L’objectif ? Réduire l’impact carbone des ciments. Les thématiques du recyclage et de la valorisation des matériaux sont intimement liées à l’économie circulaire. Ainsi, de 2012 à 2018, le Projet national Recybéton a rassemblé quelque 47 partenaires autour du sujet “Recycler le béton dans le béton”. Car, la très grande majorité des granulats issus des bétons de démolition est utilisée dans le secteur de la route. « Recybéton a permis d’évaluer à 38 Mt le gisement potentiel de granulats valorisés dans la fabrication des bétons, détaille Florent Dubois, responsable construction durable chez Lafarge France. Soit environ le tiers des besoins actuels. » Si le gain carbone n’est pas probant, leur utilisation répond à la préservation des ressources naturelles, mais aussi à la limitation des transports. Les bétons de démolition étant pour l’essentiel urbains et proches des chantiers de construction. Dans ses recherches, Recybéton a mis en exergue les possibilités, les conditions, mais aussi les limites de l’utilisation des bétons de démolition pour la fabrication des granulats recyclés. Ces derniers matériaux présenteraient une plus grande porosité, une absorption d’eau et une petite baisse des performances mécaniques. Partant de cette observation, un nouveau projet est né pour corriger cette problématique et augmenter l’utilisation de recyclés dans la formulation des bétons. Baptisé FastCarb, le projet s’intéresse au stockage du carbone dans ces granulats de manière accélérée. Comme expliqué plus tôt, la capture, la séquestration (CCS) et l’utilisation (CCU) de carbone font partie de la feuille de route bas carbone de l’industrie du ciment… Hydrostop : Une gestion performante des eaux « Nous ne pouvons pas puiser l’eau et les ressources naturelles de façon indéfinie ! », déclare Thomas Gaborieau, directeur général d’Hydrostop. Spécialisé dans la mesure et dans la gestion des eaux, Hydrostop conçoit des solutions complètes pour les industriels du béton. « Nous proposons un système global de traitements des eaux adapté à tous les outils. Le but ? Réinjecter un maximum d’éléments vertueux dans la production. » Hydrostop propose des solutions permettant la gestion des eaux en centrales à béton. [©Hydrostop] Hydrostop veut garantir un rejet conforme. « Avant, il y avait beaucoup de solutions hétérogènes qui ne réglaient qu’un problème. Aujourd’hui, nous regardons du début à la fin du process. Nous nous positionnons comme des apporteurs de solutions. L’objectif est de qualifier l’eau pour la production, tout en simplifiant l’exploitation. » Pour Thomas Gaborieau, il y a une vraie prise de conscience autour de cette thématique. Et il n’y a plus d’usines de préfabrication ou de centrales à béton qui n’utilisent pas de système de traitement des eaux. « Il y a eu une nette évolution autour de l’économie circulaire et du recyclage. C’est devenu une évidence avant tout. Pour y répondre, nous avons conçu des machines plus simples, favorisant l’autonomisation et la maintenance. » Les granulats recyclés comme condition Par ailleurs, de plus en plus de maîtres d’ouvrage prennent part au débat. « Nous voyons bien l’évolution dans les CCTP, explique Guillaume Chauche, responsable secteur Eqiom Granulats Ile-de-France. Nous sommes aux prémices de la demande, avec l’impulsion des maîtres d’ouvrage, d’œuvre et des collectivités. » Aujourd’hui, la norme béton limite l’utilisation des matériaux recyclés en fonction des classes d’exposition. « La NF EN 206/CN concède un maximum de 30 % de gravillons et 0 % de sable, souligne Stéphane Poullard, gérant de l’entreprise Granudem. L’évolution pourrait aller jusqu’à 60 % de gravillons et 20 % de sable. Nous sommes déjà capables de faire beaucoup mieux ! » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? 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Il y a 3 ans et 51 jours

Materials & Light 2022

Materials & Light est une exposition qui rassemble architectes, urbanistes, paysagistes, architectes d'intérieur, décorateurs ou designers. Elle permet de découvrir une sélection de nouveaux produits et matériaux.
Il y a 3 ans et 51 jours

Big 5 Construct Western Cape

Big 5 Construct Western Cape est un salon consacré exclusivement à l'industrie du bâtiment et de la construction d'Afrique du Sud. Cet évènement offre une occasion aux fabricants et distributeurs de produits, ainsi qu'aux prestataires de service de nouer des contacts avec les principaux acheteurs du secteur.
Il y a 3 ans et 51 jours

Le coliving, modèle résidentiel d'avenir?

Une série de workshops ouverts aux étudiants en école d'architecture et au grand public accompagneront l'exposition "Visible, invisible" présentée à l'Ensa Versailles dans le cadre de la Bap!, du 13 mai au 13 juillet 2022. Les inscriptions sont ouvertes. Dans le cadre de l’exposition "Visible, Invisible", […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 51 jours

Viva Technology 2022

Viva Technology est un évènement qui rassemble l'ensemble de la scène technologique internationale. Le salon permet aux différentes start-up de faire découvrir leurs projets et de rencontrer de potentiels investisseurs. Par ailleurs, plusieurs conférences seront organisées avec des intervenants connus mondialement (Mark Zuckerberg, Tim Cook ou encore JustinTrudeau).
Il y a 3 ans et 51 jours

Incroyable système de toiture enterrée à l’abbaye de Sorde

C’est dans le cadre d’un projet de restauration du cryptoportique de l’abbaye de Sorde dans les Landes, porté par la Communauté de communes du Pays d’Orthe et Arrigans et réalisé sous le contrôle de la Conservation régionale des Monuments historiques que le Service régional de l’archéologie a prescrit une fouille archéologique préventive réalisée par la société Eveha. L’objectif, en amont des travaux, était d’acquérir de nouvelles connaissances sur l’architecture du cryptoportique construit au XVIIIe siècle, en surplomb du Gave d’Oloron, ainsi que sur les bâtiments antérieurs. L’équipe d’archéologues a mis au jour un insoupçonnable système de toitures complexe en tuiles. A priori enterré dès l’origine, le dispositif est installé directement sur l’ensemble des voûtes de la galerie du cryptoportique afin d’assurer l’étanchéité de ce dernier via un système de drains chargé d’évacuer les eaux pluviales vers le Gave. La rareté même de ces vestiges, dont on ne connaît pas d’autre exemple sur le territoire national, leur confère un caractère exceptionnel. La fouille, encore partielle, doit être poursuivie dans les prochains mois. Les observations futures permettront d’apporter des informations complémentaires et éventuellement d’affiner les premières conclusions des archéologues. Au terme des travaux, la terrasse sera à nouveau recouverte de terre afin d’assurer la conservation des vestiges. Une exposition prolongée de ces derniers aux aléas climatiques risquerait en effet de menacer leur pérennité ainsi que la structure du cryptoportique. Si des modélisations 3D permettront de conserver et de présenter l’aspect et le fonctionnement des toitures, des visites proposées le 1er avril 2022 conjointement par la Communauté de communes du Pays d’Orthe et Arrigans et la société Eveha constituent l’unique occasion de découvrir ces vestiges. Photo : Drac Nouvelle Aquitaine
Il y a 3 ans et 51 jours

Edilteco Group partenaire et distributeur exclusif de Carbon Cure pour la France, l’Italie, la Belgique, le Luxembourg et la Hollande

S’inscrivant dans sa stratégie de progrès, ce partenariat est fidèle à la politique de développement de la marque, fondée sur des objectifs d’innovation, apportant un gain de performances aux solutions, tout en contribuant de manière significative et durable à la réduction des émissions de CO2.Pour Franck Pied, Directeur Marketing et Technique chez Edilteco France : « Chez Edilteco, nous avons toujours été impliqués dans les économies d’énergie et la durabilité, c’est notre mission depuis la création de l’entreprise. L’introduction récente sur le marché du Politerm R et maintenant le lancement de CarbonCure donnent l’impulsion à l’émergence de notre future gamme Green, dédiée aux produits contenant jusqu’à 90 % de PSE recyclé - qui sera lancée lors du prochain salon BATIMAT. Aujourd’hui, avec CarbonCure, nous avons l’opportunité d’offrir encore plus aux centrales à béton avec lesquelles nous collaborons depuis des années, leur permettant de produire du béton avec la qualité habituelle, mais avec une empreinte carbone réduite. »La technologie CarbonCureLa technologie CarbonCure contribue fortement au développement durable. Cette technologie permet aux producteurs de béton (centrales à béton et préfabricateurs) de proposer le même béton de haute qualité mais avec une empreinte carbone réduite. CarbonCure injecte du dioxyde de carbone (CO2) capturé dans le béton frais lorsqu’il est malaxé. Une fois injecté, le CO2 se transforme instantanément au contact du ciment en CaCO3 (carbonate de calcium) ; ces nanomatériaux sont incrustés en permanence et ne seront jamais rejetés dans l’atmosphère. Cette minéralisation du CO2 améliore également significativement la résistance à la compression du béton et permet de réduire en toute sécurité la teneur en ciment de chaque mélange.CarbonCure est détentrice d’un agrément technique délivré par le DIBT (Institut Allemand des Techniques du Bâtiment). La technologie CarbonCure est en totale conformité avec la norme NF EN 206. Ainsi, tout en respectant les dosages, avec l’ajout de CO2, il est possible de réduire de 4 à 6 % la quantité de ciment et en outre de conserver les mêmes performances techniques et mécaniques. En considérant que 6 % de ciment peuvent être économisés, cela équivaut à environ 15 kg/m3. Si l’on prend l’exemple d’une centrale à béton moyenne en France, consommant 40 000 m3 de béton par an, l’économie annuelle de ciment pour cette centrale est de 60 tonnes. En pratiqueChaque installation CarbonCure comprend 2 boîtiers. Le premier (unité de contrôle) calcule précisément la quantité de CO2 à injecter selon la formulation de béton. Il est en relation avec le logiciel de la centrale (s’adapte à tous les logiciels des centrales) et en lien direct avec CarbonCure à qui il communique, en temps réel, toutes les données collectées pour le calcul de la consommation de CO2 injecté dans le béton. CarbonCure collecte les consommations exactes de CO2 de chaque centrale à béton. La méthodologie de CarbonCure a été vérifiée par l’organisme VERRA (Verra.org) pour l’obtention de certificats blancs mutualisés entre chaque acteur. L’autre boîtier (le bloc vanne) est installé sur la cuve de CO2 et gère l’ajout de la dose. La cuve sous pression (20 bars) envoie le CO2 à l’état liquide dans le béton en cours de malaxage. C’est cette pression qui injecte et transforme le CO2 sous forme de neige dans le malaxeur, où le CO2 se transforme immédiatement en CaCO3 au contact du mélange. La centrale à béton est libre de choisir son fournisseur de CO2. Edilteco France s’occupe de l’installation des boitiers et leur programmation se fait automatiquement à distance. Une équipe de techniciens Edilteco a été spécialement formée pour assurer l’installation, la maintenance et le SAV des boitiers.
Il y a 3 ans et 51 jours

Show-room : Cemex hisse son Pavillon

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le Pavillon by Cemex n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges. [©Philippe Castano] Au 26 quai d’Issy-les-Moulineaux, dans le XVe arrondissement de Paris, en bord de Seine, s’élèvent plusieurs unités de production de bétons, dont celle de Cemex France. La plus importante de France. Avec son ballet incessant de camions-toupies, d’hommes munis d’EPI, de silos qui pointent vers le ciel, de marquages au sol, de barges qui acheminent leur chargement, de zones sécurisées… Et, dans les bureaux administratifs, Le Pavillon by Cemex, un tout nouvel espace dédié au matériau béton et à ses solutions constructives. Qu’est-ce qui se cache derrière cette appellation ? « Dans cet espace de découverte, d’échange et de créativité autour de la construction, installé au cœur de notre dispositif industriel et logistique francilien, nous proposons un parcours initiatique sur nos solutions et notre expertise », explique Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France. Un cadre propice à la discussion Le Pavillon by Cemex est un lieu moderne et convivial, situé à proximité immédiate de la Seine, axe stratégique et emblématique des activités franciliennes du groupe et de son origine en France. Son nom fait référence à un lieu d’accueil, au monde du bâtiment et à celui de la navigation. « Le Pavillon by Cemex a pour vocation d’accueillir décideurs, prescripteurs, maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre, afin de les soutenir dans leurs projets de construction et de rénovation. Mais aussi, les écoles qui veulent se documenter », indique Michel André, directeur général Cemex Matériaux Europe de l’Ouest. Et de préciser : « Nous avons créé un cadre propice à la discussion, à la réflexion et à la créativité. Les équipes prescription et promotion y conseilleront les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire sur les solutions les plus adaptées à leurs ambitions ». « Dans cet espace de découverte, d’échange et de créativité autour de la construction, installé au cœur de notre dispositif industriel et logistique francilien, nous proposons un parcours initiatique sur nos solutions et notre expertise », explique Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France. [©Philippe Castano]Le Pavillon by Cemex n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges. [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Le Pavillon by Cemex est un show-room divisé en trois zones. Tout d’abord, l’espace “réflexion”. [©Philippe CastanoUn autre secteur reprend les chantiers marquants de la marque. [©Philippe Castano] Plusieurs espaces Le Pavillon by Cemex est un show-room divisé en trois zones. Tout d’abord, l’espace “réflexion”. « C’est ici que l’on identifie les besoins des acteurs du bâtiment. A l’aide d’un tableau digital, d’un tableau noir et d’un écran-vidéos qui abordent toutes les problématiques que l’on veut soulever. Nous les aidons de la conception à la réalisation d’un projet. Une fois les besoins identifiés, on passe dans un autre espace, celui-ci dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… Le tout, avec des échantillons de matériaux et des QR-codes qui permettent d’accéder à des documents, à des fiches de produits et à des vidéos. Tous ces éléments sont transmis aux participants à la fin de la visite. Enfin, la dernière partie du show-room est plus conviviale et permet un débriefing. Les visiteurs font le point sur ce que l’on leur a proposé », explique Dominique Sestillange. Et de poursuivre : « Ce pavillon n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges, qui apporte une vraie réflexion sur les matériaux et les services, et répond à un besoin précis ». Le Pavillon by Cemex a aussi vocation à évoluer. Au fur et à mesure de l’avancée de l’année, vont y être proposés des événements ponctuels autour de l’économie circulaire, de la RE 2020 ou encore du bas carbone. Et Dominique Sestillange, de conclure : « Nous avons de plus créé Le Pavillon Virtual Tour, permettant aux porteurs de projets de s’immerger à distance à 360° dans Le Pavillon by Cemex ». Pour prendre rendez-vous pour une visite en présentiel et pour accéder à une visite virtuelle Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

VASCO ET BRUGMAN EXPOSENT À NORDBAT

Les équipes Vasco et Brugman se réjouissent de l’imminence du salon Nordbat, le rendez-vous régional incontournable pour l’ensemble des acteurs de la construction du nord de l’Hexagone.  « Pour toute entreprise du bâtiment, prescripteur ou maître d’oeuvre et d’ouvrage, il est crucial de pouvoir faire le point avec ses fournisseurs. De même qu’il leur est indispensable […]
Il y a 3 ans et 51 jours

Face à la crise de l'énergie, GRDF plaide pour le gaz vert

ÉNERGIE. À l'occasion de la conférence de presse annuelle de GRDF et la présentation de leurs résultats, la directrice générale du groupe, Laurence Poirier-Dietz, a plaidé pour le développement des gaz renouvelables, notamment le biométhane, en rappelant la nécessité du mix énergétique pour assurer la transition énergétique et faire face aux conséquences de la crise russo-ukrainienne.
Il y a 3 ans et 52 jours

Les équipes BIM&CO et Onfly vous attendent aux salons BIMWorld Paris et Solutions Bas-Carbone 2022

Les équipes BIM&CO et Onfly sont heureuses de vous retrouver aux salons BIMWorld Paris et Solutions Bas-Carbone 2022 à Paris Expo – Porte de Versailles. Vous y découvrirez le tout premier pôle fabricants de BIM&CO avec 6 fabricants, 5 ateliers BIM&CO et Onfly et beaucoup de nouveautés! En attendant, découvrez ce que vous réservent les équipes BIM&CO et Onfly. L’année dernière, nous vous avions donné rendez-vous sur deux stands différents : le stand BIM&CO et le stand Onfly. Cette année, nous tenions à tous vous rencontrer. C’est pour cela que nous vous donnons rendez-vous à un stand commun pour les solutions bimandco.com et Onfly. Venez échanger avec nous au stand E70 autour des sujets de la transition digitale et de la construction ! Pour vous garantir un accès gratuit aux salons, bénéficiez du code d’accès sous ce lien. La grande nouveauté pour BIM&CO lors de cette édition du BIMWorld, est le lancement du tout premier Pôle fabricants BIM&CO. Seront au rendez-vous six fabricants innovants de la construction, présents pour échanger avec vous autour des sujets du BIM et du digital. Pour les acteurs de l’AEC et les fabricants, nous vous réservons également cinq ateliers tournés vers la digitalisation du monde de la construction. Pour découvrir tous les détails du pôle fabricant et de nos ateliers, découvrez l’intégralité de notre communiqué de presse sous ce lien.
Il y a 3 ans et 52 jours

Les règles du bien vivre avec le bois : « Étape 2 : La Protection »

Saturateur AquadecksPréambule : protéger ou pas ?Constat : un bois non protégé soumis aux agressions climatiques et à l’abrasion de la vie, vieillit, se salit, grise, s’écaille et peut aller jusqu’à se fendiller. Les variations hygrométriques, la pluie, les UV, les passages répétés, dans le cas d‘une terrasse, en sont les responsables. L’exposition, la situation géographique vont aussi fortement influencer sur un vieillissement prématuré ou pas.La réponse est donc sans appel : il faut protéger pour assurer une bonne durabilité au support.Avant de penser à protéger il a fallu agir pour préparer, c’est-à-dire : laisser déglacer si le bois était neuf/le nettoyer s’il était sale, encrassé/le décaper le cas échéant. Une fois déglacés, propres et exempts de tous résidus de revêtements, les supports peuvent passer au chapitre protection. Dépendant de la nature du bois, le choix de la finition varie : bois tendres, durs, exotiques, à chacun ses spécificités et besoins.Point info : à propos de l'essence boisLes bois tendres type pin, douglas, mélèze ou épicéa : ils sont moins durs, moins denses et plus poreux que les autres essences type feuillus ou exotiques. Ils requièrent un soin particulièrement riche et nourrissant qui se combine bien à la structure du bois pour assurer une protection optimale et durable.Les bois durs et les exotiques : ils laissent à penser qu’ils sont durs et donc résistants et faits pour durer toujours mais comme toutes les autres essences, sans protection ils vont griser, ternir, se tacher, se déformer et parfois même se fendiller. Avec leurs pores très fins ou fermés ces bois denses ne laissent pas les produits pénétrer. Il faut donc un produit avec d’excellentes qualités de pénétration pour contrer cette densité.Action protection – les options : huile, lasure ou saturateur, quels bénéfices ?Huiles : destinées aux bardages elles apportent un beau rendu mais qui va souvent noircir dans le bois sous l’effet des UV et risquer de l’encrasser. L’entretien est alors plus compliqué.Lasures : plébiscitées en montagne pour leur résistance aux conditions climatiques, elles apportent néanmoins une finition filmogène qui risque de s’écailler dans le temps, nécessitant de décaper pour la maintenance.À savoir : on ne met pas une lasure sur une terrasse, elle se dégraderait trop rapidement.Saturateurs : ils conviennent à toutes les situations (bardages et terrasses) et nourrissent le bois en profondeur par imprégnation, avec l’application de couches successives qui saturent le bois sans laisser de film en extérieur. L’entretien est simple.Achetez ce produit sur la boutique Owatrol : cliquez iciFocus Owatrol : suite du chantier terrasse + escalier en pin de Caroline du NordSur cette terrasse en pin de Caroline préalablement déshuilée et stabilisée*, il fallait un produit suffisamment nourrissant pour imprégner et protéger correctement en profondeur le bois relativement poreux. De plus, il fallait lui permettre de résister à l’utilisation intensive de la terrasse et des escaliers.Durieu a donc conseillé un saturateur de sa gamme bois pour : ses qualités d’imprégnation, ne pas laisser de film en surface et limiter les risques d’abrasion. Le choix s’est fait sur AQUADECKS un des saturateurs phase aqueuse de la gamme Owatrol aux qualités de pénétration exceptionnelles.*Déshuileur AQUANETT et dégriseur/stabilisateur NET-TROL.AQUADECKS : un concentré d’efficacité dans un saturateur universel compatible avec tous les bois.Des résines de haute qualité et une résistance accrue aux UV qui empêchent le bois de grisailler dans le temps.Des huiles combinées aux résines qui imprègnent en profondeur et protègent durablement de l’intérieur sans laisser de film en surface limitant ainsi fortement les risques d’écaillement.Le plus : des particules hydrophobes qui réduisent nettement les effets néfastes de l’eau sur le bois évitant ainsi aux lames de craquer sous les effets de variations hygrométriques et des agents oléophobes qui empêchent les particules de gras de s’accrocher et permettent au support de mieux résister aux taches et celles de gras en particulier.Last but not least : l’effet vaccin « saturateur Owatrol ». Une fois dans le support, le bois garde dans la masse la carte mémoire du saturateur permettant une maintenance simple et facilitée avec une seule passe.
Il y a 3 ans et 52 jours

Manitou sur BIM&CO

Afin de poursuivre le développement de son offre de services et notamment celui des solutions digitales, le groupe Manitou a modélisé ses produits Manitou dédiés au marché de la construction. Disponibles dans le monde entier (français et anglais) dans la bibliothèque BIM via le site manitou.com et sur la plateforme BIM&CO, les utilisateurs architectes, BIM modeleurs, ou encore projeteurs, peuvent facilement introduire les machines Manitou dans leurs environnements de travail lors d’un projet de chantier. Le choix de Manitou s’est orienté vers BIM&CO en raison notamment d’une intégration simplifiée des données dans la plateforme, d’une approche simple et ergonomique pour l’utilisateur, et de la possibilité de se doter d’une solution en constante évolution, pour une gestion plus efficace et collaborative. Manitou présentera en détails cette solution lors du salon BIM WORLD, le 5 et 6 avril 2022 à Paris. Cet article Manitou sur BIM&CO est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 52 jours

Silence, Izy Silence, Silencio et Compactéo Silence : La ventilation ultra-silencieuse Autogyre

Dans tout logement, il est indispensable de créer une aération permanente pour bénéficier d’une bonne qualité de l’air intérieur et assurer un confort optimal aux habitants. Les fumées, les gaz de combustion, les odeurs, les produits ménagers, les moisissures, les bactéries… polluent l’air au quotidien, détériorent le bâti et nuisent à la santé des occupants. Pour assainir l’air des pièces humides ou polluées, telles que la cuisine, la salle de bains, la buanderie, les WC…, la ventilation mécanique contrôlée (VMC) est essentielle. Elle va renouveler en permanence l’air intérieur, en introduisant de l’air neuf et en évacuant l’air vicié, et limiter la condensation qui peut endommager le bâti. Toutefois, si la VMC est indispensable pour assurer la bonne santé des occupants, elle peut parfois être une véritable source d’inconfort par sa nuisance sonore si l’habitat est mal insonorisé et que la VMC est mal située. Autogyre, spécialiste de la ventilation et du traitement de l’air depuis plus de 70 ans, propose dans sa large gamme d’extracteurs et de VMC Simple Flux, des solutions qui comptent parmi les plus silencieuses du marché et qui répondent aux problématiques des habitats neufs ou en rénovation. EXTRACTEUR Série SILENCE : Discrétion et basse consommation L’extracteur Silence d’Autogyre assure une extraction ponctuelle de l’air vicié et provoque une dépression qui favorise l’arrivée de l’air sec et sain dans l’habitat. Econome en énergie, il se caractérise par sa faible consommation électrique (8 W pour Silence 100 et 13,5 W pour SILENCE 125). Il est doté d’une turbine hélicoïdale équipée d’aubes à profils silencieux. Résultat, l’appareil est plus silencieux qu’un extracteur classique, avec un faible niveau sonore (de 26 à 35 dB(A) selon le modèle). Puissant, l’extracteur SILENCE assure une ventilation continue avec des débits de 102 à 175 m3/h (selon le modèle) dans la cuisine ou les sanitaires, pour garantir une qualité de l’air intérieur optimale, tout en consommant très peu d’énergie. Facile à installer, au mur ou au plafond, il ne nécessite pas de gros travaux et est idéal en rénovation. Il permet un rejet direct ou en conduit court jusqu’à 3 m. Discrète, sa façade en ABS blanc est extra plate. Amovible, elle facilite l’entretien de l’appareil. Options de fonctionnement disponibles : Standard, Timer, Hygrostat, Cordelette. La VMC Simple Flux : Comment ça fonctionne ? La VMC Simple flux permet de renouveler l’air du logement en permanence. L’air extérieur est amené par les entrées d’air, situées dans les pièces à vivre (séjour, salon, chambres,…), vers les pièces humides où sont placées les bouches d’extraction. Ces dernières sont raccordées, à l’aide de gaines, à un caisson qui va expulser en permanence l’air vicié vers l’extérieur du logement. L’air humide ne stagne pas et les polluants sont éliminés. VMC Simple Flux – IZY SILENCE : Renouveler l’air en silence D’un design compact et ergonomique, le caisson de VMC SF autoréglable Izy Silence d’Autogyre est très silencieux. Grâce à une mousse isolante fixée à l’intérieur du caisson, l’isolation phonique est renforcée. L’Izy Silence présente ainsi d’excellentes performances sonores avec un niveau de pression acoustique à la bouche de la cuisine de seulement 18 dB(A). Certifié NF électricité, qui garantit la sécurité électrique et la qualité de fabrication, l’Izy Silence est doté d’un moteur basse consommation. Peu gourmand en énergie, il consomme en moyenne 15 W-Th-C (T2 jusqu’à T7). L’Izy Silence dispose de 2 vitesses et est idéal en rénovation pour un logement de 2 à 7 pièces principales, avec 1 cuisine et jusqu’à 4 sanitaires. VMC Simple Flux – SILENCIO : A détection d’humidité Le caisson Silencio d’Autogyre est conçu pour s’intégrer dans une installation de VMC Simple Flux autoréglable centralisée. Il est particulièrement recommandé pour les combles non isolés. Très solide, en acier galvanisé, il dispose d’une isolation intérieure renforcée (polystyrène expansé et mousse de mélamine). Résultat : le Silencio réalise de belles performances sonores avec un niveau de pression acoustique à la bouche de la cuisine inférieure à 14,4 dB(A) en petite vitesse. Autre avantage, il prévient efficacement l’humidité et maintient un air sain dans toutes les pièces de la maison. Pour gérer l’humidité, le Silencio est doté de 2 sondes hygrométriques 2HR Control (1 sur le piquage cuisine et 1 sur le piquage de la salle de bains principale) qui permettent de détecter l’humidité et de déclencher automatiquement la grande vitesse (GV). Dès que le taux d’humidité dépasse 75 % en cuisine ou en salle de bains, la VMC passe en grande vitesse (GV), et dès que l’humidité a été évacuée, elle revient en petite vitesse (PV). La grande vitesse peut être également activée manuellement via un commutateur installé en cuisine. Après 30 minutes, la VMC repasse en petite vitesse. Certifié NF électricité, le caisson Silencio est peu énergivore, il consomme en moyenne de 13,8W-Th-C (T1 à T4) à 20,8W-Th-C (T5 et +). Idéal en neuf comme en rénovation pour un logement de 2 à 7 pièces principales, avec 1 cuisine et jusqu’à 4 sanitaires, il est facile à installer avec ses piquages amovibles. VMC Simple Flux Compactéo SILENCE : Peu encombrante et parfaite en rénovation Compact et discret, le caisson de la VMC Simple Flux autoréglable Compactéo Silence d’Autogyre répond parfaitement aux contraintes d’encombrement grâce à sa faible hauteur de 15 cm. Idéal lors des travaux de rénovation, pour un logement de 2 à 7 pièces principales avec 1 cuisine et jusqu’à 3 sanitaires, il peut être facilement installé en faux plafond, dans un placard, en soupente… et utilisé dans toutes les positions. Le Compactéo Silence offre un grand confort acoustique. En acier galvanisé avec isolation intérieure renforcée en mousse de mélamine et un moteur monté sur roulement à bille lui permettent d’obtenir une pression sonore à la bouche de la cuisine inférieure à 16 dB(A) en petite vitesse. Par ailleurs, il est équipé de 4 plots anti-vibratiles pour une fixation silencieuse. Son piquage de cuisine avec système Venturi lui assure une meilleure aéraulique et contribue également à réduire le bruit. Certifié NF électricité, il est économe en énergie avec une faible consommation électrique à partir de 7,5 W en petite vitesse. Sa turbine à réaction à haut rendement garantit un faible encrassement. Enfin, pour évacuer l’humidité détectée, il dispose de 2 sondes hygrométriques 2HR Control (1 sur le piquage cuisine et 1 sur le piquage de la salle de bains principale) qui déclenchent automatiquement la grande vitesse (GV) dès que le taux d’humidité dépasse 75 %. Une fois l’humidité évacuée, il revient en petite vitesse (PV).  La grande vitesse peut être activée manuellement via un commutateur installé en cuisine. Après 30 minutes, la VMC repasse en petite vitesse.
Il y a 3 ans et 52 jours

Trophées Eiffel 2022 : les candidatures sont ouvertes

Les Trophées Eiffel sont organisés chaque année par ConstruirAcier pour récompenser des oeuvres architecturales réalisées pour tout ou partie grâce à ce matériau. Pour la huitième édition, c'est l'architecte Manuelle Gautrand qui présidera le jury. Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 30 mai 2022. Ces […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 53 jours

Panasonic solutions chauffage et refroidissement présente ses dernières innovations sur le Salon NordBat

Gennevilliers, le 18 mars 2022 – Panasonic solutions chauffage & refroidissement annonce sa présence à la 12ème édition du salon NordBat, le rendez-vous des acteurs de la construction des régions nord de France. Les 30, 31 mars et 1er avril, le fabricant présentera sur son stand les dernières évolutions de ses solutions destinées au résidentiel. […]
Il y a 3 ans et 53 jours

Ubbink présent sur le salon NORDBAT du 30 mars au 1er avril2022 –Lille, Grand-Palais STAND N°O35

Rendez-vous sur le stand O35 pour découvrir les produits d’Ubbink dans le domaine de la ventilation, l’énergie et le bâtiment. Les équipes d’Ubbink seront à votre disposition pour échanger sur les spécificités de ces solutions dédiées à la rénovation énergétique du bâtiment. Ubbink, spécialiste de la performance énergétique et du confort de l’habitat, donne rendez-vous […]
Il y a 3 ans et 53 jours

ATLANTEM RENFORCE SA GAMME DE PRODUITS POUR UNE MAISON INTELLIGENTE À VIVRE

 SALON NORDBAT – STAND J2  Le salon NORDBAT sera l’occasion pour ATLANTEM, activité menuiserie du Groupe HERIGE, de présenter de nouvelles solutions domotisées s’inscrivant dans l’univers de la maison connectée. Ces équipements motorisés et pilotables par smartphone s’intègrent dans la conception de l’habitat intelligent, de plus en plus plébiscité par les foyers en quête de […]
Il y a 3 ans et 53 jours

Palazzo della Pilotta – La famille Farnèse. Architecture, Art, Pouvoir

Le Complexe Monumental de La Pilotta, à Parme, en Italie, accueille une vaste exposition dédiée aux œuvres commanditées par la famille Farnèse. Jusqu’au 31 juillet 2022. L’exposition La famille Farnèse. Architecture, Art, Pouvoir a pour objectif d’interroger l’extraordinaire affirmation de la maison Farnèse dans les milieux politiques et culturels européens du XVIe au XVIIe siècles, […] L’article Palazzo della Pilotta – La famille Farnèse. Architecture, Art, Pouvoir est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 53 jours

Manteau de pierre massive pour neuf logements sociaux à Paris, par Raphaël Gabrion

Raphaël Gabrion est diplômé de l'Ensa Normandie en 2001. Depuis la création et la nomination aux Ajap de son agence en 2008, il privilégie le travail en petit comité. L'équipe, installée à Paris, travaille sur des projets choisis, pour davantage de maîtrise des processus de création et de construction.  […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 55 jours

« Limite(s), Système(s), Transformations(s). La poétique de la matière dans l’architecture du XXIe siècle »

A l’ENSA Paris Val-de-Seine, cette exposition rassemble et organise une partie des travaux théoriques et pédagogiques menés par Anna Maria Bordas, associée de l’agence bordas+peiro, à l’ENSAPVS et au laboratoire CERILAC où elle est chercheuse depuis 2018 sur la question de la matière. Jusqu’au 9 avril 2022. A la recherche d’une nouvelle poétique de la […] L’article « Limite(s), Système(s), Transformations(s). La poétique de la matière dans l’architecture du XXIe siècle » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 56 jours

Système inédit de protection solaire actionné par un alliage à mémoire de forme

Après 3 ans de recherche, Arcora présente Héméra, un nouveau système silencieux, compact et autonome, développé avec les chercheurs du laboratoire Navier de l’Ecole des Ponts ParisTech. Il s’agit du premier système de protection solaire actionné par un fil en alliage à mémoire de forme. Composés d’un alliage nickel-titane (NiTi), les Alliages à Mémoire de Forme sont fréquemment utilisés dans l’industrie biomédicale ou l’horlogerie. Ils possèdent deux propriétés exceptionnelles : la super-élasticité, qui peut atteindre dix fois celle de l’acier, et la mémoire de forme, car ils présentent la capacité de retrouver leur forme initiale, c’est-à-dire de se souvenir des traitements thermomécaniques qu’ils ont subis. Leurs propriétés exceptionnelles ont été le sujet d’étude de la thèse menée depuis 2015 par Philippe Hannequart, docteur et chargé de R&D chez Arcora, qui a abouti à Héméra, un système de protection solaire mobile avec des ventelles actionnées à la seule force du fil en alliage à mémoire de forme, stimulé par les températures extérieures. Le système est autonome en énergie grâce aux ventelles équipées de films photovoltaïques ASCA® composés de polymères organiques. Emmanuel Viglino précise : « Nous sommes convaincus que la mise en place de systèmes de protection solaire vertueux est une condition essentielle pour limiter l’empreinte carbone, tout en garantissantun confort aux utilisateurs. L’ajout de ventelles photovoltaïques est un atout considérable pour l’autonomie énergétique du système. ». Cet article Système inédit de protection solaire actionné par un alliage à mémoire de forme est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 56 jours

Notre-Dame : les métiers d'art du chantier de restauration de nouveau à l'honneur

ARTISANAT. À l'image de ce qui avait été organisé pour les Journées européennes du patrimoine en septembre 2021, l'Établissement public chargé du chantier de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris va de nouveau proposer un village des métiers d'art au Collège des Bernardins, dans le Ve arrondissement de la capitale. De nombreuses animations à destination du grand public et des scolaires sont attendues.
Il y a 3 ans et 57 jours

Passi’bat les solutions techniques à la consommation d’énergie

Les journées du Bâtiment Passif, positif et durableles 12 et 13 avril au pavillon Baltard – Nogent sur Marne À vos agendas ! Alors que les interrogations quant au prix à venir des énergies s’intensifient, Passi’bat s’affirme définitivement comme un rendez-vous unique en France, à ne pas manquer ! Chaque année, son Congrès, les conférences, les […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Cedral : Bâtir des mondes plus beaux

La 12e édition du salon NORDBAT, le rendez-vous de tous les acteurs de la construction, sera pour Cedral l’occasion de présenter l’actualité de la marque. Plus de solutions, plus de services, le monde Cedral s’élargit avec un seul objectif : Bâtir des mondes plus beaux ! Une démarche qui passe par une écoute attentive des […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Les 30, 31 mars et 1er avril 2022 ouvrira, à Lille Grand Palais, la 12e édition de NORDBAT.

Organisée sous le slogan ‘Les Pros bâtissent l’avenir !’, cette édition 2022 sera à nouveau le rendez-vous incontournable de tous les acteurs de la construction des régions nord de France. Sont invités, tant les entreprises du bâtiment que les responsables de maîtrise d’oeuvre et d’ouvrage (architectes, économistes de la construction, ingénieurs, responsables de collectivités locales […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Retrouvez WOLF France au salon Nordbat 2022 les 30, 31 mars et 1er avril !

Les 30-31 mars et 01 avril 2022 se tiendra l’édition 2022 du Salon Nordbat, à Lille Grand Palais. Fédérant l’ensemble des acteurs de la construction des régions nord de la France, Nordbat permet à tous les entrepreneurs du bâtiment, aux prescripteurs et aux maîtres d’ouvrages de retrouver, en un même lieu, leurs fournisseurs et partenaires […]
Il y a 3 ans et 58 jours

Les inscriptions aux Trophées Eiffel 2022 sont ouvertes

Pour décrocher les trophées de la construction acier, architectes et ingénieurs ont jusqu’au 31 mai prochain pour déposer leurs candidatures.
Il y a 3 ans et 58 jours

Émoi à Strasbourg après la disparition du "rayon vert" de la cathédrale

L'information était passée inaperçue, mais figure sur le site internet de la cathédrale à la rubrique "Le saviez-vous ?", au paragraphe consacré au rayon vert : "Avertissement : ce qui suit, a pris fin le mercredi 16 mars 2022. Le +verre brut+, laissant entrevoir jusqu'à cette date un +rayon de couleur verte+, a définitivement été obstrué".Sollicitée par l'AFP, la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) du Grand Est, qui doit diffuser dans l'après-midi un communiqué de presse à ce sujet, a indiqué que le verre en question avait effectivement été remplacé lors d'une "restauration", confirmant une information du quotidien régional Les Dernières nouvelles d'Alsace (DNA).Ce "rayon vert", qui attirait des centaines de touristes et de curieux, apparaissait lors des équinoxes de printemps (le 20 ou 21 Mars à 11H38) et d'automne (le 22 ou 23 Septembre à 12H24) et "illuminait le Christ crucifié de la chaire" de la cathédrale, rappelle le site de l'édifice religieux.Le vitrail en question y avait été installé en 1876. Le soleil y traversait le pied gauche de Juda, ancêtre du Christ et fils de Jacob, pour produire le fameux rayon.Mais "la projection du soleil en un rayon de couleur verte était apparue très vraisemblablement à la suite d'une restauration datant de 1972 au cours de laquelle le pied de Juda aurait été remplacé par un verre brut et, de ce fait, très transparent", explique encore le site internet.C'est en effet cette année-là que le phénomène a été découvert par Maurice Rosart, un ingénieur-géomètre.Ce dernier a aussitôt crié au "scandale" lorsqu'il a appris que le rayon n'était pas au rendez-vous ce week-end : il "a été purement et simplement supprimé", s'est-il offusqué dans un courriel transmis à l'AFP."Cet acte est un mauvais coup porté aux Strasbourgeois, à la Culture, à la Laïcité, aux Lumières", a-t-il encore déploré, rappelant qu'un cache avait déjà été brièvement apposé au printemps 1990 sur le vitrail, empêchant le rayon de se former.Ce phénomène a longtemps alimenté les polémiques, entre partisans d'explications ésotériques et autorités ecclésiastiques qui n'ont longtemps vu derrière lui qu'un simple "hasard".
Il y a 3 ans et 59 jours

Sur MID Matériels, venez relever le défi du carbone !

La transition énergétique des machines et véhicules du BTP seront au cœur de la première journée de MID Matériels. Rendez-vous est donné le 12 avril prochain pour la 2e édition de cet événement digital incontournable qui fédère les acteurs du marché des équipements de construction autour des grands enjeux du secteur.
Il y a 3 ans et 59 jours

Lina Ghotmeh, en conférence au Pavillon de l'Arsenal

Dans le cadre du cycle "1 architecte, 1 bâtiment", l'architecte Lina Ghotmeh donnera une conférence ce mercredi 23 mars 2022, au Pavillon de l'Arsenal à Paris et en direct sur les réseaux sociaux, à propos de l'immeuble "Stone garden", érigé sur le port de Beyrouth (Liban). Situé en pleine zone portuaire, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 59 jours

Pinel+ : le mieux est l'ennemi du bien

Celui-ci précise les critères de qualité d’usage (surfaces minimales et espaces privatifs extérieurs par typologie de logement, ainsi que double exposition à partir des T3) et les critères environnementaux, qui anticipent les exigences du jalon 2025 de la RE2020 et qui s’appliqueront tant aux programmes à venir qu’aux opérations en cours ou en phase d’achèvement.Le Pôle Habitat FFB déplore que les crises multiples et successives frappant le secteur du logement neuf n’aient pas conduit le Gouvernement à reconsidérer le bien-fondé d’un durcissement aussi important de ce dispositif central pour la mise sur le marché de logements locatifs privés à loyers maîtrisés.Pour Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB : « à l’heure où les surcoûts de tous ordres mettent toute la filière et le pouvoir d’achat des ménages en tension, où l’offre de logements abordables en zones tendues fait défaut, cette publication suscite incompréhension et inquiétude. Elle paraît totalement anachronique au moment où le Gouvernement se mobilise à travers le Plan de résilience pour soutenir l’activité du secteur et l’emploi. Ces décisions malheureuses n’auront d’autre conséquence que d’enfoncer encore davantage le logement collectif neuf dans la crise. »
Il y a 3 ans et 60 jours

L'étonnant "village-opéra" de l'architecte Francis Kéré à Laongo au Burkina Faso

Pensé par le metteur en scène allemand Christoph Schligensief, aujourd'hui décédé, le village, dissimulé dans le paysage, a été construit au début des années 2010 par Francis Kéré devenu mardi le premier architecte africain à obtenir la plus haute distinction de la profession.Erigé sur une vingtaine d'hectares, au milieu d'un champ de granit, ce projet d'éducation culturelle et artistique est construit sous forme de spirale, tel un colimaçon, avec vingt-six bâtiments abritant des ateliers, un centre de santé, des maisons d'hôtes et une école.A terme, "l'opéra", une salle de spectacle et d'exposition couverte de 700 places doit voir le jour, au centre des bâtiments.Installés au sommet d'une colline, les bâtiments mêlant végétaux et roches granitiques sont en parfaite harmonie.Des matériaux locaux tels que l'argile, la latérite, le granit, et le bois ont été utilisés pour la construction, pour permettre au site de résister à l'épreuve des conditions climatiques, comme les chaleurs extrêmes fréquentes dans la région, explique Motandi Ouoba, administrateur du "village-opéra"."Ce sont des matériaux locaux que l'architecte a trouvés sur place : des blocs de briques de terre compressée prise sur le site, des pavés faits à base de granit", énumère t-il.Francis Kéré "part du matériau le plus simple, qu'on a couramment (...) que nos parents ont utilisé et il en fait quelque chose de noble. C'est la terre, c'est tout ce qu'il y a autour de nous, quand il les rassemble, il fait vivre quelque chose qui est magnifique", ajoute-t-il. Sur le village-opéra, les immenses toits surplombent les murs tandis que l'aération des salles permet d'avoir des températures basses, même lorsque le thermomètre affiche plus de 40 degrés."Bâtiments bioclimatiques""En construisant sur l'existant, il est arrivé à faire en sorte que nos bâtiments soient bioclimatiques avec un double plafond et des ouvertures pour dissiper l'air chaud" explique M. Ouoba.Au centre de santé, les salles de consultation et d'hospitalisation disposent, comme les autres bâtiments, de dizaines de longues fenêtres qui coulissent vers le haut."Avec autant d'ouvertures, les patients se sentent moins isolés par l'hospitalisation. Ils ont une vue sur le paysage", assure Issa Ouédraogo, un médecin.Et du côté des salles de classes spacieuses, leur style épuré et illuminé par la lumière du jour, tranche avec le décor habituel des autres écoles du pays."On est fier de notre école qui a une belle architecture avec toutes les conditions pour bien travailler et étudier", se réjouit Edwige Compaoré, institutrice de la classe de CM1."Ici, l'architecture des bâtiments change tout. Nous sommes dans des classes parfaites parce qu'il fait très chaud ici et tout le monde n'a pas les moyens pour des ventilateurs ou l'air conditionné", renchérit le directeur de l'école Abdoulaye Ouédraogo, également comédien et dramaturge.Outre les six salles de classe régulières qui regroupent 181 élèves, une pièce spécifique est destinée pour les cours d'éveil à la musique, la danse, le théâtre, les arts plastiques, photos et audiovisuel."Beau, durable et fonctionnel"Le "village-opéra" sert également de site de résidence de création pour des artistes, selon Motandi Ouoba."C'est confortable comme cadre d'habitation ou de travail. C'est également beau et impressionnant. Cela nous rappelle que nous pouvons obtenir quelque chose de beau, de durable et fonctionnel à partir des matériaux locaux", estime l'administrateur.Avec son style architectural singulier, le village attire environ 2.500 visiteurs chaque année. Et Motandi Ouoba espère que la reconnaissance internationale de Francis Kéré contribuera à entretenir la curiosité des visiteurs."Ce prix très prestigieux fait la fierté de tous, surtout en ces moments où l'actualité burkinabè est marquée par des attaques terroristes. Nous sommes heureux pour M. Kéré mais aussi pour nous qui sommes parmi les premiers bénéficiaires de son travail", se félicite t-il.
Il y a 3 ans et 60 jours

Pritzker 2022: visite en images des réalisations de Diébédo Francis Kéré

Dans le cadre du cycle "1 architecte, 1 bâtiment", l'architecte Lina Ghotmeh donnera une conférence ce mercredi 23 mars 2022, au Pavillon de l'Arsenal à Paris et en direct sur les réseaux sociaux, à propos de l'immeuble "Stone garden", érigé sur le port de Beyrouth (Liban). Situé en pleine zone portuaire, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 60 jours

Yona Friedman au Quadrilatère de Beauvais

Jusqu’au 3 juillet 2022, le Quadrilatère accueille sa dernière exposition avant d’entamer une restructuration en profondeur. Les artistes ont eu carte blanche pour prolonger les propos du travail de Yona Friedman, dans des salles vouées à faire peau neuve. C’est l’agence Chatillon Architectes, qui hérite de la restructuration. Cette ancienne Galerie nationale de la Tapisserie date de 1976. Aujourd’hui, le musée s’efface aux pieds d’un vertigineux édifice : la cathédrale Saint-Pierre....
Il y a 3 ans et 62 jours

Le décret fixant les conditions du dispositif Pinel+ est paru

Alors que la loi de finances pour 2021 a acté la fin du dispositif Pinel avec toutefois un sursis jusqu'en 2024 accompagné d'une réduction progressive de l'avantage fiscal à partir de 2023, un nouveau décret est paru au Journal Officiel afin de clarifier dans quelles circonstances il sera possible de continuer à bénéficier du taux plein avec le dispositif Pinel+.En effet, les taux actuels du Pinel seront maintenus à titre dérogatoire pour les logements situés dans les quartiers prioritaires ainsi que pour les logements respectant certains critères de qualité environnementale et d'usage. Ces critères se baseront sur la RE2020 et pourraient être plus exigeants. Concernant les éléments de confort, le gouvernement s'est inspiré du rapport Girometti-Leclerc de septembre 2021 afin de définir les critères d'éligibilité au Pinel+. Les logements destinés à la location devront par exemple respecter une surface minimale par typologie : 28 mètres carrés pour un T1, 45 mètres carrés pour un T2, 62 mètres carrés pour un T3, 79 mètres carrés pour un T4 et 96 mètres carrés pour un T5. Ces logements devront également disposer d'un espace extérieur privatif et avoir une double exposition à partir du T3. Le décret fixant l’ensemble de ces critères sera mis en consultation dans les prochaines semaines, pour une publication définitive avant la fin de l’année.
Il y a 3 ans et 63 jours

Lafarge accélère sa transformation bas carbone

En tant que leader, l’entreprise s’engage et donne une nouvelle dynamique à la construction durable et à tout un secteur.Des investissements industriels massifsLa ligne de production la plus moderne de France à Martres-Tolosane (dép.31) et une plateforme d’innovation ouverte sur le traitement du CO2 en 2024Le nouveau four de la cimenterie de Martres-Tolosane est entré en production en février. Résultat d’un investissement de 120 millions d’euros du groupe Holcim, le plus important en France depuis 40 ans, le tout nouveau four permet d’augmenter la productivité de l’usine tout en réduisant son impact environnemental. La tonne de ciment affiche désormais un poids CO2 réduit de 20%.Par ailleurs, équipée des dernières technologies pour la valorisation des déchets en cimenterie (comme source d’énergie et comme matière première recyclée dans le clinker), l’usine divise par 3 son utilisation de combustibles fossiles. La part des combustibles de substitution, sourcés localement, passe ainsi de 30 à 80% et contribue au développement de l’économie circulaire dans le grand Sud-Ouest.Pour atteindre ces résultats, le plus gros chantier industriel en Occitanie, qui a duré près de 3 ans, a permis :Le remplacement des deux fours existants (construits en 1956 et 1966) par un four unique de 60 mètres de long et de 4 mètres de diamètre, permettant de diminuer la consommation d’énergie ;La construction d’une tour de préchauffage haute de 110 mètres, permettant de porter le mélange de calcaire et d’argile à 500°C avant son introduction dans le four, grâce à la récupération des gaz chauds du four ;La rénovation et la création de nouveaux ateliers de stockage et de traitement des déchets servant de combustible de substitution.Le site de Martres-Tolosane accueillera également en 2024 une plateforme R&D en open innovation pour tester des nouvelles technologies de capture de CO2 plus efficaces, plus économiques et plus respectueuses de l’environnement. Une quinzaine de partenaires européens sont regroupés autour de cette initiative qui est candidate à des financements communautaires et sera référencée dans le réseau européen de recherche sur la capture de CO2.Un nouvel investissement de 40 millions d’euros à la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour (dép. 53) et de 6 millions d’euros à La Malle (dép. 13) pour produire un nouveau composant décarbonéDès cette année, 40 millions d’euros seront investis dans la construction d’une nouvelle ligne de production à la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour (53) et dans l’adaptation du processus industriel de La Malle (13) pour produire des ciments bas et très bas carbone (ECOPlanet), à base d’argile calcinée.Lafarge a développé une technologie propriétaire, proximA Tech, permettant d’industrialiser la transformation de l’argile en addition fortement décarbonée. L’utilisation de l’argile présente un triple intérêt : elle nécessite une température plus basse pour sa cuisson (800°C au lieu de 1 400°C pour le clinker) et donc moins de combustible. Elle a aussi une faible décarbonation lors de ce chauffage contrairement au calcaire qui se décarbonate à 100%. Enfin, elle est largement disponible et locale.La future installation de la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour est conçue pour n’émettre quasiment aucun carbone grâce à l’utilisation exclusive de combustibles alternatifs et pour produire des ciments dont le taux d’émission de carbone sera réduit de 50%.Ces investissements participent à la réalisation de l’objectif 2023 : disposer d’une capacité de production d’1 million de tonnes de ces ciments bas carbone ECOPlanet.Une stratégie et des innovations pour construire bas carboneLafarge lance deux nouveaux ciments ternaires offrant de 30% à 50% de réduction carboneLa révision de la norme européenne ciment NF EN 197-5, publiée en octobre dernier, a rendu possible la formulation de nouveaux ciments avec une part de clinker réduite au profit d'une part d'additions plus importante, réduisant ainsi les émissions de CO2 à la tonne produite.Lafarge France va donc commercialiser cette année deux nouveaux ciments ternaires bas carbone, un CEM II/C produit à Sète (dép. 34) et le premier CEM VI disponible en France. Ce CEM VI ECOPlanet, fabriqué au Teil (dép. 07) sera disponible dès la sortie de la nouvelle norme béton attendue pour mai ou juin prochain. Ces nouveaux ciments offrent une réduction carbone de -30% à -50% et viennent enrichir les offres bas carbone ECOPlanet (ciment) et ECOPact (béton).Lafarge accompagne ses clients vers le remplacement progressif des ciments les plus émissifs, une démarche volontariste pour accélérer la transition écologique de la constructionDans le cadre d’une démarche volontariste pour accélérer la transition écologique de la construction, Lafarge France accompagne ses clients vers le remplacement progressif des ciments les plus émissifs. Pour le secteur de la préfabrication, il s’agit dans un premier temps d’augmenter l’utilisation du CEM II, puis des ciments ECOPlanet, en lieu et place du CEM I tout en garantissant le même niveau de performance et l’absence d’impact sur les process de fabrication.Lafarge a mobilisé les compétences de son laboratoire de L'isle D'Abeau afin de garantir la conformité des performances techniques requises (rhéologie, adjuvantation, résistances à jeune âge, à 28 jours, teinte...). L’accès aux produits a également été facilité pour les clients pour leur permettre de réaliser leurs propres essais, avec leur outil industriel, avec ou sans le soutien de notre support technique. Il s’agit de les conforter sur les performances réelles du ciment de remplacement et sa conformité à leurs cahiers des charges, le tout leur permettant ainsi un premier pas vers la réduction carbone de leurs volumes de produits courants.Une innovation de rupture Lafarge : le liant nouvelle génération bas carbone, bas clinker et sans laitierLafarge France a mis au point et testé avec succès un liant bas carbone nouvelle génération à taux de clinker réduit et qui permet de se passer du laitier.Un procédé sous brevet permet de réduire la quantité de clinker nécessaire dans le liant et de réduire l’empreinte carbone du béton jusqu'à 50% et cela sans recours au laitier, une réponse à sa raréfaction annoncée pour les prochaines années.Les bétons fabriqués avec ces liants peuvent couvrir les classes de résistance et d'exposition traditionnelles (C20 à C35/XC à XF…). Ils sont destinés à tous types d'ouvrages et toutes applications (planchers, fondations, voiles etc).Cette technologie n'impacte pas les délais de chantier et s'adapte aux températures. Elle permet une production locale et donc une mise sur le marché massive et rapide.Les normes correspondant à ce nouveau produit n’existent pas pour le moment, même si plusieurs tests chantier expérimentaux ont déjà été réalisés. Lafarge a donc engagé une procédure de certification ATEX sur le béton et une Évaluation Technique de Produits et Matériaux (ETPM).
Il y a 3 ans et 63 jours

Retrouvez l'Édition Spéciale de Batiactu en Live d'EnerJ-Meeting

ÉDITION SPÉCIALE. À l'occasion d'EnerJ-Meeting, la journée de l'efficacité énergétique et environnementale du bâtiment, le 31 mars à Paris, la rédaction de Batiactu vous donne rendez-vous en ligne, pour des émissions en live depuis l'événement : tables-rondes, interviews, décryptages... avec de nombreux invités !
Il y a 3 ans et 63 jours

Le salon Nordbat revient

Dédié aux professionnels du bâtiment, le Salon Nordbat, revient. Après deux tentatives annulées pour cause de Covid-19, la 12e édition, qui se tiendra du 30 mars au 1er avril 2022 à Lille Grand Palais mettra l’accent sur l’innovation, avec notamment un espace dédié aux start-up. Au menu également, de nombreuses conférences. Suivez le guide.
Il y a 3 ans et 63 jours

Les villes flottantes, solution à la montée des mers ?

Au Salon mondial de l'immobilier Mipim, qui a débuté mardi et s'achèvera vendredi à Cannes (Alpes-Maritimes), un prototype de ville flottante aux Maldives concourt pour remporter un prix du meilleur grand projet.Cette cité n'a pas encore de nom mais consistera, assurent ses concepteurs, en un assemblage de plateformes flottantes au milieu d'un lagon de cet archipel dans l'océan Indien. Quelque 5.000 maisons colorées devraient s'y dresser."Une ville flottante n'est pas un luxe, c'est une nécessité" pour ce pays insulaire dont l'existence même est menacée par le réchauffement climatique et la montée des océans, affirme à l'AFP Paul van de Camp, chef de l'entreprise néerlandaise Dutch Docklands, promoteur du projet.Et la capitale, Malé, où plus de 150.000 habitants se pressent sur un atoll de 8 km2 entièrement urbanisé, est complètement saturée, rappelle-t-il.Il ne s'attarde pas sur les caractéristiques techniques précises du projet, qui seront présentées officiellement au printemps par le président des Maldives. Ni sur leur coût. Mais il promet que le financement sera assuré et assure que les contraintes techniques ne sont pas rédhibitoires."Il y a de très gros acteurs mondiaux qui nous ont aidés avec des systèmes pour l'énergie, les égouts, l'eau, l'électricité, qui ont été bien testés et sont relativement innovants", assure Paul van de Camp.Il espère que le chantier sera terminé en 2027 au plus tard et assure avoir été approché pour répliquer l'expérience par "plusieurs pays", sans préciser lesquels.Trop cher ?Il existe déjà des bâtiments flottants à travers le monde, de même que des villages traditionnels de pêcheurs sont construits sur l'eau, en Amazonie, Thaïlande ou Indonésie, souligne Paul van de Camp.Mais aucun projet moderne et de cette ampleur n'a encore vu le jour.Un autre est en préparation à Busan (Corée du Sud), piloté par l'entreprise Oceanix et soutenu par l'ONU-Habitat.Là aussi, les détails techniques, le coût, etc. n'ont pas encore été dévoilés. Ils le seront officiellement en avril, explique à l'AFP Itai Madamombe, fondatrice d'Oceanix. L'objectif est d'avoir terminé le chantier fin 2025.Des doutes subsistent cependant sur la viabilité de telles constructions.Pour Ayça Kirimtat, chercheuse à l'université tchèque de Hradec Kralove qui a longuement étudié les villes flottantes, l'obstacle économique est difficile à surmonter. "Construire de très grandes structures flottantes au-dessus du niveau de la mer coûte beaucoup plus cher que des immeubles normaux sur la terre", explique-t-elle à l'AFP.Energie, transports, services, nourriture... la quantité de paramètres à prendre en compte est énorme, souligne-t-elle."Je ne crois pas qu'il y ait un problème de technologie", pense de son côté Nicholas Makris, professeur spécialiste des océans au Massachusetts Institute of Technology (MIT). "C'est plutôt l'efficacité économique. Réussir à tout faire d'une façon réalisable et viable économiquement", dit-il.Quelque chose de possible dans un endroit suffisamment protégé des évènements climatiques extrêmes et des conditions hostiles de la haute mer.ÉmergenceCe qui pourrait, in fine, rendre les villes flottantes attractives est la montée des eaux, qui menace les États insulaires mais aussi toutes les villes côtières, pense Chien Ming Wang, professeur de génie civil à l'université du Queensland (Australie)."Pour les villes côtières, si vous subissez les vagues et la montée des océans, vous n'avez pas d'autre choix que de supporter les dégâts et reconstruire. Donc c'est très coûteux", explique ce spécialiste des villes flottantes, qui a été consulté pour le projet des Maldives."Avec les villes et maisons flottantes, vous n'avez pas à vous préoccuper des inondations puisque votre maison est toujours au-dessus du niveau de la mer"."On va voir les villes flottantes émerger partout dans le monde dans les dix ou vingt prochaines années", prédit-il.
Il y a 3 ans et 63 jours

Solutions Bas-Carbone, le RDV des acteurs du cadre de vie bâti durable

Bati-Journal et le magazine Planète Bâtiment sont partenaires de l’événement Solutions Bas-Carbone, le rendez-vous des acteurs du cadre de vie bâti durable. Solutions Bas-Carbone en partenariat avec l’observatoire Low-Carbon World, donne rendez-vous à l’ensemble des acteurs de la transition écologique de la construction et des territoires. Collectivités territoriales, acteurs de la construction, de l’immobilier, de l’énergie et des services à l’environnement, se retrouvent autour des solutions opérationnelles, des dernières innovations et des projets pour relever les défis de cette transition. L’événement se tiendra les 5 & 6 avril à Paris Expo – Porte de Versailles > Découvrez le programme des conférences et Workshops > Inscription gratuite avec le code SBC22-BATIJOURNAL  Cet article Solutions Bas-Carbone, le RDV des acteurs du cadre de vie bâti durable est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 63 jours

La qualité de l'air en temps de Covid, nouveau filon économique

Au salon mondial de l'immobilier Mipim, du 15 au 18 mars à Cannes, une étrange forme d'oiseau est perchée sur le stand de la compagnie danoise Leapcraft.C'est en réalité un capteur de CO2, qui au-delà d'une certaine concentration dans l'air se met à gazouiller, signe qu'il est temps d'aérer ou de sortir prendre l'air.La compagnie en propose plusieurs modèles: l'oiseau, le plus ludique, est plutôt destiné au grand public ou aux écoles. D'autres, pour les bureaux, ont plutôt une allure de box internet, à fixer au mur ou au plafond. Ils sont connectés en réseau et peuvent capter d'autres données.Depuis fin 2020, Leapcraft a vu ses ventes tripler et ce sans avoir pu satisfaire toute la demande, la faute à la pénurie mondiale de semi-conducteurs, assure à l'AFP son patron, Vinay Venkatraman."Le point de bascule, ça a été quand on a admis que le Covid se transmettait par l'air", explique-t-il.Le coronavirus responsable du Covid-19 se transmet surtout par les aérosols, particules ultra-légères qui s'accumulent et restent en suspension dans l'air d'une pièce mal ventilée. Mesurer la teneur en CO2 est donc un moyen d'évaluer le renouvellement de l'air intérieur, et donc le risque de contagion."Ce que la pandémie a le plus changé, c'est que +les gens normaux+ parlent de ventilation, raconte Vinay Venkatraman. Avant, les gens qui parlaient de ventilation étaient uniquement ceux avec des problèmes respiratoires, des allergies...""Un réveil"Les demandes liées à la qualité de l'air viennent souvent sous la pression des salariés, témoignent les entreprises rencontrées par l'AFP. "Nous avons (des demandes) particulièrement dans quelques pays comme la France, les Pays-Bas, la Belgique", explique Aakash Ravi, fondateur de l'entreprise néerlandaise Spaceti, spécialisée dans la collecte et l'exploitation de données pour les immeubles de bureaux."C'est important parce que le niveau de CO2 n'est pas exactement réglementé, pour ces clients, c'est plutôt une demande des salariés", dit-il. "Tout le monde se préoccupe de la santé dans ses bâtiments désormais, bien plus qu'avant le Covid. C'est sans aucun doute un grand changement", assure aussi William Cowell de Gruchy, fondateur de l'entreprise britannique Infogrid, également spécialisée dans l'exploitation de données pour les bâtiments.Et parmi les différents types de dispositifs qu'elle propose, ceux pour contrôler la qualité de l'air tiennent désormais le haut du pavé. Avant la pandémie, ils étaient le troisième produit le plus demandé, derrière... ceux permettant de détecter la légionellose, maladie souvent causée par les climatiseurs mal réglés ou des défauts de canalisations.Infogrid propose à ses clients de croiser le taux de CO2 avec ceux d'humidité et de température, pour une estimation plus fine du risque viral."La pandémie a été un réveil et c'est en train de devenir la norme pour des entreprises du monde entier. Elles ne vont plus revenir en arrière et négliger la qualité de l'air", veut croire William Cowell de Gruchy.
Il y a 3 ans et 63 jours

Hager Group lance l’activité de sa nouvelle usine de production de relais à Obernai

Hager Group compte doubler sa capacité industrielle de production de relais avec l’inauguration d’une nouvelle usine sur son site d’Obernai. Objectif : répondre à une demande toujours plus forte de la part des clients en augmentant la production de relais, composant essentiel des disjoncteurs et interrupteurs différentiels fabriqués par l’entreprise. Après trois années de travaux, le bâtiment de 2 600m² est achevé et son activité lancée. Les premières livraisons pour les usines du groupe sont prévues à partir du mois d’avril 2022. L’objectif est de répondre à la demande des clients avec une augmentation capacitaire progressive de 40% la première année pour arriver à un doublement de la capacité d’ici deux ans. A l’occasion de l’inauguration officielle en présence des élus et acteurs économiques du territoire le mardi 15 mars 2022, Daniel Hager, Président du directoire de Hager Group, témoigne : « Depuis plus de 60 ans, nous nous développons et nous investissons en Alsace. Cet investissement de 29 millions d’euros fait partie d’une stratégie de développement globale au service de notre avenir mais aussi de nos clients. » Conçu sur deux niveaux (rez-de-chaussée dédié à la production et un étage accueillant des fonctions supports), ce nouveau bâtiment se situe dans le prolongement de l’usine actuelle fabriquant des appareils modulaires de protection électrique (disjoncteurs et interrupteurs différentiels). Cette nouvelle usine comptera à terme près de 80 personnes dont les deux-tiers seront recrutés sur les deux prochaines années. Ce projet a pu bénéficier d’une subvention de 200 000€ de la région Grand-Est. Une usine connectée au service des clients Depuis 1995, Hager Group fabrique des relais sur son site d’Obernai. Afin de répondre à une évolution technologique et une demande commerciale augmentant entre 5% à 10% chaque année, le groupe a investi dans une nouvelle usine avec un processus industriel intégrant les dernières innovations technologiques. La fabrication de ce composant se fait dans un environnement à très haute propreté et à un très haut niveau de précision. Le relais, une technologie de pointe Le relais est un composant de quelques cm³ intégré au cœur des disjoncteurs et interrupteurs différentiels. Ce dispositif de sécurité, qui fonctionne à de très faibles courants, analyse en temps réel le courant de l’installation électrique. En cas de défaut différentiel détecté (fuite de courant), il coupe l’alimentation électrique, protégeant ainsi les biens et les personnes. Chiffres clés de la nouvelle usine de relais à Obernai : • 2 600m² de surface répartis sur deux niveaux • 29 millions d’euros d’investissement • 80 salariés à terme • 60 000 relais fabriqués par jour à terme • Plus de 60 références différentes produites • 250 000km de fil de cuivre / an
Il y a 3 ans et 64 jours

Un lycée en bois paré de céramique

Implanté au pied de la colline de Gignac dans la vallée de l’Hérault, le lycée Simone Veil reprend les dominantes de ce paysage rural, camaïeux de bleus et de verts des vignes, et des premiers reliefs du massif du Haut-Languedoc en toile de fond. Pour réaliser un bâtiment biosourcé et respecter un délai de chantier très court, l’agence Hellin-Sebbag a choisi le bois pour la structure des bâtiments : poteaux en bois massif, poutres et planchers en CLT d’épicéa, murs à ossatures bois. Les façades ont été revêtues de terre cuite vernissée pour sa pérennité, son inertie et sa facilité d’entretien. Le bois est aussi présent à l’intérieur : parois des circulations habillées de panneaux de bouleau et, pour le Centre de Documentation et le restaurant, plafonds acoustiques aux lames ondulantes. 
Des panneaux photovoltaïques recouvrent les toits des deux bâtiments d’enseignement et de l’internat tandis qu’une verrière photovoltaïque, placée en surélévation du bâtiment d’entrée, rappelle aux usagers et aux visiteurs que cet ouvrage est à énergie positive en partie grâce aux énergies renouvelables. L’agence Hellin-Sebbag a conçu une organisation lisible autour d’une grande cour, avec les deux bâtiments d’enseignement en R+2 orientés nord-sud et le centre de documentation et restaurant – orientés est-ouest. Les toitures des bâtiments les plus bas sont des jardins soulevés en courbe douce telles des collines, comme si le sol naturel remontait sur les toits pour les modeler en formes libres et offrir au lycée un « cœur vert ». Maître d’ouvrage : REGION OCCITANIE Pyrénées-Méditerranée Mandataire : ARAC Occitanie Architectes : HELLIN-SEBBAG Architectes Associés (Montpellier-Paris) Bureaux d’Etudes Techniques : BET Structure TERRELL (Toulouse), BET Fluides ADRET (La Seyne-sur-Mer), Economiste EGIS Bâtiments Sud-Ouest (Montpellier), BET VRD UNDERGROUND Ingenierie (Montpellier), Cuisiniste INGECOR (Montpellier), Paysagiste GUILLEMET (Salon-de-Provence), OPC ARTEBA (Montpellier) Surface de planchers : 14 514 m2 sur une assiette foncière de 5,35 ha Effectifs : 1100 lycéens Photo : Jean-Pierre PORCHER