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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17731 résultats)
Il y a 4 ans et 39 jours

Les ponts du Val de Loire objets de toutes les attentions

Les ponts du Val de Loire constituent un motif emblématique du paysage exceptionnel du Val de Loire, reconnu au niveau international. Dans le but de mieux connaître, préserver et mettre en valeur ce patrimoine remarquable, la DRAC Pays de Loire pilote une étude typologique menée par le cabinet Paume, en partenariat avec l’École des arts et métiers d’Angers et la Conservation départementale du patrimoine de Maine et Loire. Elle co-organise, avec la Mission val de Loire, un séminaire radio et une exposition programmée pour l’été 2021 à Chalonnes-sur-Loire, en partenariat avec la municipalité, grâce au concours du photographe Thierry Degen. Un podcast de 6 épisodes est prévu autour des notions de connaissance, transmission, transformation, restauration, contemplation…
Il y a 4 ans et 40 jours

Le mouvement HLM tiendra son congrès en septembre prochain

RENDEZ-VOUS. L'Union sociale pour l'habitat (USH) vient d'annoncer que son prochain congrès se tiendrait en septembre-octobre 2021, au parc des expositions de Bordeaux et en virtuel.
Il y a 4 ans et 40 jours

Bauma reportée à l’automne 2022

La Bauma est reportée au mois d’octobre 2022. [©ACPresse] Bauma, le salon n° 1 des machines de construction, est reporté à l’automne 2022 et devrait se tenir, à Munich, en Allemagne, du 24 au 30 octobre 2022. C’est le résultat de nombreuses discussions entre Messe München, les principaux représentants de l’industrie et le conseil consultatif de Bauma. Cette décision donne aux exposants et aux visiteurs une base de planification plus sûre pour préparer le salon. « Bien entendu, la décision de reporter Bauma n’a pas été facile pour nous, souligne Klaus Dittrich, Pdg de Messe München. Mais nous devions le faire maintenant, avant que les exposants ne commencent à planifier leur participation. En effet, malgré la campagne de vaccination lancée dans le monde, il n’est pas encore possible de prédire quand la pandémie sera sous contrôle et si les voyages illimités dans le monde seront à nouveau possibles. » Une option cruciale pour le succès du salon. 500 000 visiteurs originaires de 200 pays Au départ, Bauma devait se tenir du 4 au 10 avril 2022, dates qui comportaient trop d’incertitudes au vu de la pandémie mondiale de Covid-19. Toutefois et malgré cette situation, l’attente de l’industrie et le niveau de réservation restent très élevés. Aussi, les exposants mondiaux, qui attendent des clients du monde entier, ont plaidé pour un report. Avec cette décision, ils ont à leur disposition une base de planification plus sûre. Tout comme les visiteurs.   Pour mémoire, la dernière édition de Bauma, en avril 2019, a accueilli quelque 500 000 participants, venus de plus de 200 pays. « Même sans crise sanitaire, les entreprises doivent relever des défis, tels que la numérisation, les chantiers autonomes et la durabilité. Mais aussi se tenir au courant des changements pour éviter de prendre du retard », plaide Joachim Schmid, Dg de la VDMA, l’association allemande des équipements pour la construction. Et de conclure : « Pour cela, elles ont besoin de la Bauma comme baromètre de l’innovation. En octobre 2022, nous nous retrouverons tous à Munich. » Chacun espère qu’il sera entendu… Petit détail de dernière minute, mais qui a son importance : l’Oktoberfest – que l’on désigné sous le nom de “fête de la bière” – aura lieu du 17 septembre au 3 octobre 2022. Compte tenu du nombre de personnes que cette manifestation attire attire chaque année, il est bien qu’elle ne se télescope pas avec Bauma… Et tant pis pour les amateurs de bière qui aurait sans doute aimer faire d’une pierre deux coups !
Il y a 4 ans et 41 jours

Le Pavillon France pour l’Exposition universelle Dubaï 2020 livré

Le chantier du Pavillon France pour l’Exposition universelle 2020 est officiellement... Cet article Le Pavillon France pour l’Exposition universelle Dubaï 2020 livré est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 41 jours

Le Pavillon France à Dubaï, un miroir de lumière

DIAPORAMA. Aux Emirats Arabes Unis, le Pavillon France vient d'être livré pour la future exposition universelle. Un projet innovant qui propose des jeux de lumière et de transparence.
Il y a 4 ans et 41 jours

4ème édition d’Usimages, biennale de la photographie du patrimoine industriel

Usimages, organisée par l’Agglomération Creil Sud Oise (ACSO) avec le concours de Diaphane, pôle photographique en Hauts-de-France, propose 13 expositions en plein air dans les communes et invitent ainsi les habitants à une déambulation photographique à travers le territoire. Jusqu’au 20 juin 2021. Cette biennale est une formidable occasion de mettre en valeur des photographies […] L’article 4ème édition d’Usimages, biennale de la photographie du patrimoine industriel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 42 jours

Philippe de Gobert – « Du merveilleux en architecture au conte photographique »

Exposition phare du printemps et de l’été 2021 au MuMa Musée d’art moderne André Malraux, Le Havre, « Philippe de Gobert. Du merveilleux en architecture » nous plonge dans l’univers singulier et poétique d’un artiste féru d’architecture moderniste, Philippe de Gobert. Le parcours mêle ses propres photographies et maquettes à des documents d’archives qui révèlent […] L’article Philippe de Gobert – « Du merveilleux en architecture au conte photographique » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 43 jours

La mer en 43 photos – L’art photographique s’affiche à Noirmoutier

La mer en 43 photos ! La Ville de Noirmoutier-en-l’Île (Vendée) expose des photos en centre-ville et propose ainsi une nouvelle offre culturelle, durant cette période où les lieux d’exposition sont fermés. Jusqu’au 21 septembre 2021. La mer en 43 photos Le long du quai Jean Bart, 19 panneaux photos illustrant le monde de la pêche […] L’article La mer en 43 photos – L’art photographique s’affiche à Noirmoutier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 43 jours

La province Argentine de Mendoza, son terroir, son malbec et ses bodegas architecturales

Un cabinet d'architecture a particulièrement dessiné cette transformation paysagère et sociale: celui d'Eliana Bormida et Mario Yanzon qui accompagnent l'essor du vin argentin avec plus de 30 édifices construits en dialogue "profond" avec le paysage andin.A la fin des années 1990, Mendoza est devenue terre attractive pour des investisseurs désireux "de faire des vins capables de rivaliser sur les marchés internationaux" et qui ont fait appel au cabinet Bormida et Yanzon "pour planter leurs bodegas dans le décor", raconte Eliana Bormida lors d'un entretien avec l'AFP."Nous n'aurions jamais imaginé qu'une décennie plus tard, il y aurait eu un tel boom à créer des établissements vinicoles qui soient non seulement un lieu de production de grands vins, avec les outils d'une œnologie moderne et contemporaine, mais aussi un lieu d'accueil de visiteurs", explique-t-elle.Et depuis Mendoza, le cabinet Bormida et Yanzon a exporté son savoir-faire à travers les frontières et crée désormais des espaces viticoles en Bolivie, en Uruguay, au Mexique, au Portugal et en Russie.Ailleurs dans le monde, dans le vignoble bordelais, de nombreux crus prestigieux déjà pourvus en bâtiments avaient aussi souhaité à l'aube des années 2000 investir dans le bâti pour augmenter la valeur du domaine et surtout sa notoriété. L'adaptation technologique à une vinification encore plus précise avait déclenché une rivalité pour s'arracher de grandes signatures de l'architecture internationale et construire de nouveaux chais en harmonie ou disruption avec le classicisme bordelais."Architecture du paysage"En Argentine, les bodegas ont elles aussi évolué de "lieu de vinification à centre d'interprétation de la viticulture de Mendoza", estime Eliana Bormida. "En suivant le concept d'architecture paysagère, nous avons cherché non seulement à concevoir des bâtiments utiles, mais aussi à créer un dialogue profond avec le paysage des montagnes enneigées" qui les entourent."Architecture du paysage" est le nom du recueil dans lequel l'architecte décrit certaines de leurs réalisations les plus emblématiques comme les bodegas Salentein, O. Fournier ou Diamandes, certaines ayant été primées.Ce que leurs créations expriment "c'est une très grande appréhension du design, de l'architecture, de la culture, du climat et du paysage. Peu d'architectes dans le monde ont la profondeur et l'étendue de ces connaissances", estime auprès de l'AFP Paul Nakazawa, professeur d'architecture à l'université de Harvard.Dans la vallée de l'Uco et son immense plaine désertique de végétation xérophile, trône la gigantesque bodega Salentein, à la démesure de la nature qui l'entoure.Le long d'un axe de 1,5 km de long, dans un complexe de 2.000 hectares de vignoble irrigué par les eaux de fonte des sommets enneigés de la Cordillère, se mêlent les chais de vinification, la pharaonique cave de vieillissement, un centre d'accueil, un lieu de restauration, d'exposition, et même une chapelle.Les matériaux des façades sont un mélange de sable et de cailloux prélevés dans le sol de la région. Tout en couleurs terreuses.Dans l'étendue de la province de Mendoza, où est produit plus de 70% du vin argentin, les desseins des propriétaires sont divers et l'architecture est aussi influencée par le lieu où est érigé l'édifice.A la fin des années 1990, un jeune Espagnol s'est présenté au cabinet Bormida et Yanzon avec une vision claire: construire une bodega "qui exprimerait le XXIe siècle et le Nouveau Monde".Le résultat architectural se nomme Alfa Crux (anciennement O. Fournier), qui intègre différentes échelles d'espaces extérieurs et intérieurs dans la vaste plaine aride.L'œuvre, comme tous les projets conçus par le duo d'architectes, a été conçue à partir de l'émotion provoquée par le lieu.Pour Mario Yanzon, Mendoza est devenue "l'une des capitales du vin non seulement pour la qualité de ses vins mais aussi pour l'architecture de ces temples dédiés au vin".Et de s'empresser de préciser: "C'est aussi grâce au paysage andin, car nulle part ailleurs dans le monde on ne trouve cette chaîne de montagnes" en toile de fond.
Il y a 4 ans et 44 jours

En attendant de trancher sur les autres aides, Bercy prolonge déjà le PGE jusqu'à fin 2021

SOUTIEN. Syndicats et patronat avaient rendez-vous ce 22 avril 2021 avec les ministres de l'Économie et du Travail pour discuter de l'avenir des dispositifs d'aide Covid une fois que le véritable déconfinement sera acté et que le pays reviendra à une vie normale. Les sujets ne sont pas encore tous tranchés ; seul le Prêt garanti par l'État va être prolongé jusqu'au 30 décembre 2021.
Il y a 4 ans et 45 jours

ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO : tous ensemble pour faire de l'édition 2021 un succès

Compte-tenu des mesures gouvernementales en faveur de la reprise des événements physiques, de la progression de la campagne de vaccination et de la mobilisation des entreprises déjà inscrites, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO se tiendra du 21 au 24 septembre à Paris – Porte de Versailles et accueillera en toute sécurité installateurs, poseurs, artisans de la menuiserie-fermeture, des équipements de la baie et de la métallerie.Le premier salon de la reprise pour le secteurLe salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, qui se tiendra du 21 au 24 septembre à Paris Porte de Versailles, marquera une étape importante puisqu’il sera le premier salon de la reprise pour le secteur. Depuis l’apparition de la pandémie, Reed Expositions France et l’ensemble des professionnels du secteur, regroupés au sein de l’UNIMEV (organisation professionnelle représentative du secteur événementiel) travaillent avec les pouvoirs publics sur les conditions de reprise de leur activité. La récente clarification de la stratégie vaccinale et l’annonce d’une accélération des vaccinations de masse sur le territoire national permettent d’envisager, conjointement avec le gouvernement, une reprise avant l’été.« Nous sommes très confiants quant à la tenue du salon en septembre. Le positionner à cette date a fait l’objet de nombreuses concertations avec nos partenaires et nous sommes tombés d’accord qu’il s’agissait d’un parti-pris prudent qui prenait en compte tous les paramètres afin d’éviter un éventuel nouveau report. », indique Guillaume Loizeaud, Directeur d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO.Des exposants qui répondent présentsTrès impatients de se retrouver sur un évènement convivial et important pour le secteur, les acteurs de la filière répondent présents et se mobilisent aussi pour faire de cette nouvelle édition une pleine réussite. Tous expriment leur impatience de reprendre des échanges qui ne soient plus uniquement digitaux. Inscrit sous la thématique de « La révolution positive du digitale », ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 s’annonce comme la traduction concrète du dynamisme et de l’innovation portée par les exposants à tous les niveaux.Ils sont aujourd’hui 157 à être inscrits dont 23 nouveaux exposants et de nombreux leaders (liste complète à date en pièce jointe).Une campagne d’envergure pour sensibiliser les visiteursUn plan de communication d’envergure est mis en place pour sensibiliser et faire venir les professionnels sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO. Basée sur une communication 360°, il comprend de nombreuses actions menées avec les partenaires médias du salon :Envois d’emailings vers les abonnés des différents médias ;Campagnes digitales (réseaux sociaux, display) ;Campagnes de publicité print magazines.Par ailleurs, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO organise régulièrement des webinaires auprès des organisations professionnelles et de leurs adhérents afin de les accompagner et de répondre à toutes leurs interrogations. Enfin, dès fin avril, les pré enregistrements seront accessibles sur le site pour les professionnels qui souhaitent se rendre sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO et recevoir toutes les informations pour préparer au mieux leur visite.Exposer et visiter en toute sécuritéAfin d’assurer la sécurité des exposants et des visiteurs, Reed Expositions France a déjà élaboré sa charte sanitaire, certifiée par l’APAVE dès 2020. Ce document, accessible en ligne dès maintenant, comporte un certain nombre de recommandations. A ce jour, c’est la seule référence applicable dans l’attente du futur cahier des charges sanitaire qui sera validé par le gouvernement et les professionnels de l’événementiel pour la rentrée. Pour la bonne tenue d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021, la gestion des flux d’entrée et de sortie, les mesures de distanciation pour la restauration, la régulation du visitorat (si obligation de prendre en compte une jauge maximale de visiteurs en temps réel), sans limiter le nombre global de visiteurs du salon… ont été anticipées.ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO - 21 au 24 septembre 2021 à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1
Il y a 4 ans et 45 jours

Rendez-vous de la matière

Salon professionnel consacré aux matériaux innovants pour l’architecture, le design, la décoration et l’aménagement d’intérieur
Il y a 4 ans et 45 jours

Forum Diapason Digital 2021 : échanges et retours d'expérience entre industriels de la Menuiserie utilisateurs de Diapason

« La situation sanitaire ne nous a pas permis de nous rassembler physiquement, mais il était important de nous réunir, même à distance. Le Forum Diapason nous permet d'échanger avec nos utilisateurs, d'être à leur écoute et contribue à renforcer notre partenariat. Je remercie nos trois intervenants pour leurs partages d'expérience. Le rendez-vous est pris pour l'année prochaine, en espérant pouvoir nous réunir en présentiel. » - Laurent HARISTOY – Directeur des opérations ISIALancement d'un programme pour construire le Diapason de demain avec ses utilisateursPour introduire cette matinée d'échanges, Benjamin TARRIER, Directeur Produit du Groupe ELCIA et Laurent HARISTOY, Directeur des opérations ISIA, ont débuté par la présentation de la roadmap Diapason à court et long terme. Avec une annonce en avant-première : le lancement d'un programme de co-construction. Son objectif : mettre en place des ateliers (interviews, vis-ma-vie, tests, groupes de discussion…) entre les clients Diapason et les équipes ISIA afin de co-construire le Diapason de demain en collaboration avec ses utilisateurs.Trois retours d'expérience d'utilisateurs DiapasonBruno COUTON – DSI BATISTYL : le Configurateur de vente ELCIA depuis DiapasonBruno COUTON, DSI de la société BATISTYL, cliente Diapason depuis 2011, s'est exprimé sur l'interface du Configurateur de vente ELCIA avec Diapason. Suite au départ de la ressource interne en charge de la mise à jour des catalogues fournisseurs pour les produits de négoces, le choix a été fait d'interfacer le Configurateur de vente ELCIA avec Diapason. L'objectif : minimiser cette activité de mises à jour des catalogues tout en fiabilisant le chiffrage de l'offre Négoce BATISTYL.Grâce à cette interface, les mises à jour des offres négoces dans Diapason sont désormais automatiques, supprimant la ressaisie manuelle et permettant ainsi d'économiser une ressource en interne. De plus, la force de vente BATISTYL accède à des offres fournisseurs fiables, à jour, complètes ou personnalisées, avec des libellés, des images et un chiffrage précis, en toute autonomie.Armande LORENTZ – Responsable Pôle Projet CETIH : la mise en place de l'EDI entre les outils de chiffrage et l'outil de production DiapasonArmande LORENTZ, Responsable Pôle Projet de CETIH, qui utilise Diapason depuis 2006, a ensuite pris la parole au sujet de la mise en place de l'EDI entre les outils de chiffrage et Diapason.L'enjeu : améliorer et optimiser les charges de gestion et de mise à jour des scénarios commerciaux ainsi que la chaîne numérique d'intégration de commandes (lourdeur de gestion des bibliothèques, nécessité de fiabiliser l'entrée de commandes et d'assurer l'harmonisation.)Avec la mise en place de l'EDI, la charge de traitement des commandes a connu une baisse significative grâce à la suppression de la ressaisie manuelle et du risque d'erreurs. La qualité des commandes reçues a augmenté, avec des données de configuration conformes à la commande. C'est un temps précieux qui a été gagné, à consacrer aux demandes clients.David BOZON – Project Manager GROSFILLEX : mise en œuvre du WMS (gestion d'entrepôt) DiapasonPour clôturer ce partage de retours d'expérience, David BOZON, Project Manager chez GROSFILLEX est intervenu sur la mise en œuvre du WMS (gestion d'entrepôt) Diapason.Utilisateur depuis 2011, les enjeux de cette mise en place étaient triples : intégrer la gestion d'entrepôt aux autres fonctions (en particulier la gestion commerciale), simplifier le paysage applicatif et réduire le nombre d'interface tout en accompagnant les changements de métiers (nouveaux flux de transport, changement organisationnel…).Les bénéfices de la mise en œuvre du WMS ont été immédiats : gain de temps dans l'exécution des expéditions, réduction des erreurs de préparation, et augmentation de la fiabilité du stock avec mise en place d'indicateurs de performance.
Il y a 4 ans et 45 jours

Pollutec

L'événement de référence des professionnels de l'environnement, une vitrine des solutions environnementales pour l'industrie, les villes et territoires, et un tremplin pour les innovations du marché et le développement à l'international.
Il y a 4 ans et 45 jours

Les paysages ambivalents d'Edward Burtynsky au centre culturel canadien

Depuis le milieu des années 1980, le Canadien Edward Burtynsky documente les marques de l'activité humaine sur le paysage. L'exposition du centre culturel canadien à Paris, « Mounds and Voids, from Human to Global Scale » (Monticules et vides, de l'échelle humaine à l'échelle mondiale), dévoile des images récentes […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 45 jours

La ville pour horizon, 20 logements sociaux par Remingtonstyle à Paris

En 2003, l'architecte Jacques Fredet avait achevé ce que l'on pourrait qualifier de « livre d'une vie » si la sienne n'était par ailleurs tellement riche d'aventures intellectuelles et pédagogiques : c'était Les Maisons de Paris. Types courants de l'architecture mineure parisienne de la fin de l'époque […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 46 jours

Autoconstruction, un projet à franc succès

Depuis quelques années, de plus en plus de gens se lance dans l’autoconstruction. En effet, Construire soi-même sa propre maison est une opération gagnante car elle propose de nombreux avantages au propriétaire et maître d’ouvrage. Cependant, entreprendre les travaux d’autoconstruction pour sa maison n’est pas une mince affaire. Aussi, il convient de procéder étape par étape. Dans cet article, nous allons vous donner quelques conseils préalables à la mise en place d’un tel projet ainsi que les principaux avantages de l’autoconstruction. Construire sa maison soi-même étape par étape La première étape à un projet d’autoconstruction se rapporte à la budgétisation. Elle consiste à définir un budget précis pour l’opération de construction. Il devra inclure le coût des travaux à proprement parler, mais également les coûts divers qui se rapportent à l’acquisition d’un terrain constructible, aux taxes, à l’achat des matériaux, au raccordement aux réseaux divers (eau, électricité…). La seconde étape revient au choix du terrain. Une fois que vous aurez défini le budget que vous comptez allouer à votre projet, vous devez procéder à l’acquisition d’un terrain à bâtir. Vous devez faire le choix de ce dernier avec beaucoup d’attention. Ainsi, vous pouvez être certain d’obtenir un terrain à la fois viabilisé et déjà raccordé, et surtout qui convient aux attentes particulières du maître d’ouvrage. Avant de vous lancer dans la conception technique du projet d’autoconstruction, vous devez prendre connaissance de la réglementation. Pour en apprendre davantage rendez-vous sur https://www.kontio.com/fr-FR/construire-en-bois/auto-construction/. Vous devez vous informer avec précision sur la réglementation juridique et technique applicable à la construction projetée. Vous devez notamment consulter le Plan Local d’Urbanisme (PLU) ainsi que la réglementation thermique 2012 (RT 2012). La dernière étape consiste à faire les choix techniques. Vous allez devoir notamment choisir les matériaux de construction compte tenu des paramètres techniques mais également selon l’ « orientation » de la maison : votre choix peut par exemple porter sur la construction d’une maison « écologique » comme la maison bioclimatique, la maison solaire etc. Vous devrez par conséquent choisir le label ou certification « éco » correspondant(e) : HPE 2005, THPE 2005, BBC 2005… Gros plan sur les principaux avantages de l’autoconstruction L’autoconstruction est une opération qui vous permet de réaliser des économies financières importantes. En effet, construire sa maison soi-même revient généralement moins cher que de faire appel aux services d’un ou de plusieurs professionnels de l’immobilier. Ces derniers impliqueront des coûts qui se rapportent à leur rétribution, à leur main-d’œuvre… Un tel projet permet aussi d’avoir une maison unique et personnalisée. Vous aurez donc la garantie d’avoir un « chez-soi » à la mesure de vos attentes. Votre maison sera unique et personnalité, mais vous pourrez aussi contrôler rigoureusement la qualité du produit fini en tant que maître d’ouvrage et maître d’œuvre. De cette façon, vous aurez la possibilité de personnaliser les performances énergétiques de votre maison en optant pour tel ou tel type de matériaux (par exemple en matière d’isolation phonique et d’isolation thermique). Enfin, l’un des principaux avantages de l’autoconstruction réside dans le fait que vous profiterez d’un accomplissement personnel. Ce sentiment est d’autant plus valorisant et gratifiant quand des membres de la famille auront été engagés de près ou de loin dans le processus de construction.
Il y a 4 ans et 46 jours

Une maquette de Notre-Dame, hommage des compagnons du Tour de France

Présentée jeudi via zoom, la maquette, réalisée à l'échelle 1/20e, s'élève à 4,8 mètres de hauteur et est formée de quelque 1.800 pièces. Elles proviennent d'un cube de 5,3 m3 de chêne de Bourgogne.Pour la monter, il aura fallu 3.500 heures de travail pendant huit mois à trois jeunes compagnons, Valentin Pontarollo, Armand Dumesnil et Yann Férotin, basés à Anglet dans le Pays basque. Sur la structure en bois blond, on reconnaît, finement sculptées, les statues et le coq de la flèche.Le maquette sera exposée à l'Hôtel de Ville de Paris en septembre lors des Journées européennes du Patrimoine, a indiqué Pascal Jacob, président de l'association Restaurons Notre-Dame, partenaire du projet.L'exposition de la maquette à Paris doit être l'occasion de communiquer sur les processus de transformation du bois, les métiers de charpentier, la reproduction des techniques anciennes alliée à la création de techniques d'avenir, la difficulté "de trouver de nouvelles mains et de susciter des vocations", a souligné Christophe Augeard, président des Compagnons du Tour de France d'Anglet, qui a piloté le projet des trois compagnons.L'une des missions sociales du chantier de Notre-Dame, inscrite dans la loi de juillet 2020, est précisément de faire connaître et valoriser les métiers d'art, comme celui de charpentiers, comme des carrières prometteuses pour les jeunes, en pleine crise économique due au Covid-19.
Il y a 4 ans et 46 jours

Transcender le fonctionnel, un supermarché devenu salle polyvalente par Paul Vincent

Depuis le milieu des années 1980, le Canadien Edward Burtynsky documente les marques de l'activité humaine sur le paysage. L'exposition du centre culturel canadien à Paris, « Mounds and Voids, from Human to Global Scale » (Monticules et vides, de l'échelle humaine à l'échelle mondiale), dévoile des images récentes […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 47 jours

Perception de la RE2020 par la filière Bâtiment : un réel besoin d’information

Pour cette première, le "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment", avait pour thème : "En quoi la RE2020 va-telle permettre de construire durable ?". À cette occasion, le Mondial du Bâtiment a organisé un sondage exclusif[1] sur la perception de la RE2020 par les acteurs professionnels de la filière.Les résultats du sondage font ressortir une certaine confusion chez les professionnels du bâtiment. Ainsi, à la question de savoir ce que signifie RE2020, seulement un peu plus d’un tiers des répondants ont choisi Réglementation Environnementale (36,5%). 28,5% pensent que cela désigne une Réglementation Énergétique, 20% qu’il s’agit de Rénovation Énergétique et 15% des répondants ne connaissent pas la signification du terme.Sans surprise, ils sont ainsi 74,9% à déclarer ne pas être suffisamment informés au sujet de cette réglementation.En revanche, et le point est également un reflet du dynamisme de la filière, ils sont 41,3% à estimer que la RE2020 est un moteur pour le développement de leur activité. Ainsi, seuls 14,1% des sondés pensent que la RE2020 est un frein au développement de leur activité. Ce chiffre est cependant à modérer puisque 44,6% déclarent ignorer quel impact, négatif ou positif, cela peut avoir.La RE2020 pendant le Mondial du BâtimentLe Mondial du Bâtiment et les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA se tiendront du 3 au 6 octobre 2022 à la Porte de Versailles.À cette occasion, la RE2020 sera la thématique de nombreux temps forts et animations :Des émissions dédiées seront organisées sur « Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment » qui se déclineront en version physique durant les 4 jours des salons ;Des conférences permettront de faire le point sur la mise en application de la RE2020 depuis plusieurs mois ;Des parcours thématiques seront proposés aux visiteurs.Les prochains « Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » auront lieu le vendredi 7 mai. Le Grand Dossier abordera le thème : « REP : quels enjeux pour le secteur du bâtiment ? »[1] Sondage réalisé entre le 18 et le 31 mars auprès des visiteurs et exposants du Mondial du Bâtiment 2019 – 383 répondants
Il y a 4 ans et 47 jours

Huit nouveaux sites annoncés pour la création de 15.000 places de prison

Le "Plan 15.000 places", voulu par Emmanuel Macron en 2018, se décline en deux phases: 7.000 places mises en chantier d'ici 2022, "c'est-à-dire livrées ou avancées à un stade de construction", selon une source gouvernementale, et 8.000 supplémentaires qui doivent être lancées d'ici 2022, pour une livraison finale à l'horizon 2027.Le plan prévoit en tout 18.000 créations de place, mais également la suppression de 3.000.Le centre pénitentiaire de Lutterbach, dans la périphérie de Mulhouse, doit ainsi remplacer les établissements pénitentiaires de Mulhouse et Colmar, jugés trop vétustes. L'inauguration est prévue à la fin de l'année.Pour cette deuxième phase, cinq opérations sont déjà engagées: à Muret (Haute-Garonne, 615 places, livraison 2026), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales, 515 places, livraison 2026), Entraigues-sur-la-Sorgue (Vaucluse, 400 place, livraison 2025), Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis, 715 places, 2026), Saint-Laurent-du-Maroni (Guyane, 505 places, 2026).Huit opération nouvelles doivent être annoncées mardi, pour des livraisons à l'horizon 2027: à Nîmes (Gard, 700 places), Le Muy (Var, 650 places), Pau (Pyrénées-Atlantiques, 250 places), Noiseau (Val-de-Marne, 800 places), Trélazé (Maine-et-Loire, 850 places), Crisenoy (Seine-et-Marne, 1.000 places), Vannes (Morbihan, 550 places) et une dans le Val-d'Oise sur un site encore en cours d'identification (750 places).Trois prisons expérimentales centrées sur le travail et la formation de 180 places chacune doivent encore être construites à Arras, Toul (Meurthe-et-Moselle) et Donchery (Ardennes), pour une livraison en 2025-2026."Les nouveaux établissements favoriseront le développement du travail en détention, en offrant un plus grand nombre de postes de travail dans les ateliers ainsi que des équipements permettant la diversification des activités professionnelles et de formation", a souligné une source ministérielle, alors que l'entourage du Premier ministre a mis en avant "le projet de Lutterbach, conduit de manière exemplaire, avec une architecture qui renouvelle l'immobilier carcéral, très inséré dans les paysages et les territoires".Le programme global de 15.000 places supplémentaires est doté d'un budget d'environ 4,4 milliards d'euros, "le plan le plus important depuis quinze ans", selon le ministère de la Justice./cbnLa France compte aujourd'hui 61.100 places de prison.
Il y a 4 ans et 47 jours

Huit nouveaux sites annoncés pour la création de 15.000 nouvelles places de prison

Le "Plan 15.000 places", voulu par Emmanuel Macron en 2018, se décline en deux phases: 7.000 places mises en chantier d'ici 2022, "c'est-à-dire livrées ou avancées à un stade de construction", selon une source gouvernementale, et 8.000 supplémentaires qui doivent être lancées d'ici 2022, pour une livraison finale à l'horizon 2027.Le plan prévoit en tout 18.000 créations de place, mais également la suppression de 3.000.Le centre pénitentiaire de Lutterbach, dans la périphérie de Mulhouse, doit ainsi remplacer les établissements pénitentiaires de Mulhouse et Colmar, jugés trop vétustes. L'inauguration est prévue à la fin de l'année.Pour cette deuxième phase, cinq opérations sont déjà engagées: à Muret (Haute-Garonne, 615 places, livraison 2026), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales, 515 places, livraison 2026), Entraigues-sur-la-Sorgue (Vaucluse, 400 place, livraison 2025), Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis, 715 places, 2026), Saint-Laurent-du-Maroni (Guyane, 505 places, 2026).Huit opération nouvelles doivent être annoncées mardi, pour des livraisons à l'horizon 2027: à Nîmes (Gard, 700 places), Le Muy (Var, 650 places), Pau (Pyrénées-Atlantiques, 250 places), Noiseau (Val-de-Marne, 800 places), Trélazé (Maine-et-Loire, 850 places), Crisenoy (Seine-et-Marne, 1.000 places), Vannes (Morbihan, 550 places) et une dans le Val-d'Oise sur un site encore en cours d'identification (750 places).Trois prisons expérimentales centrées sur le travail et la formation de 180 places chacune doivent encore être construites à Arras, Toul (Meurthe-et-Moselle) et Donchery (Ardennes), pour une livraison en 2025-2026."Les nouveaux établissements favoriseront le développement du travail en détention, en offrant un plus grand nombre de postes de travail dans les ateliers ainsi que des équipements permettant la diversification des activités professionnelles et de formation", a souligné une source ministérielle, alors que l'entourage du Premier ministre a mis en avant "le projet de Lutterbach, conduit de manière exemplaire, avec une architecture qui renouvelle l'immobilier carcéral, très inséré dans les paysages et les territoires".Le programme global de 15.000 places supplémentaires est doté d'un budget d'environ 4,4 milliards d'euros, "le plan le plus important depuis quinze ans", selon le ministère de la Justice./cbnLa France compte aujourd'hui 61.100 places de prison.
Il y a 4 ans et 48 jours

L’OPPBTP publie une étude relative à la pratique d’échauffements musculaires sur les chantiers

Cette pratique, qui tend à se développer, a fait l’objet d’une étude menée par l’Organismeprofessionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP). Cette étude permet de comprendre les raisons pour lesquelles les entreprises lancent ces démarches et d’en analyser les bénéfices pour les compagnons ainsi que les limites. En s’appuyant sur des entretiens menés auprès des entreprises ainsi que sur les enseignements des publications scientifiques, l’OPPBTP présente ses conclusions, soulève des points de vigilance et livre ses recommandations afin de rendre cette pratique plus efficace pour l’ensemble des salariés.Une initiative positive à plusieurs niveauxLes retours d’expérience de différentes entreprises ainsi que la lecture d’articles scientifiques permettent à l’OPPBTP d’exposer les enjeux, les transformations, les effets produits, mais également les limites de cette démarche. L’étude démontre que les entreprises qui pratiquent des échauffements sur les chantiers constatent le plus souvent des répercussions bénéfiques à plusieurs niveaux. Ces entreprises font en effet état d’une réduction des accidents « de la première heure », d’un renforcement de la cohésion d’équipe, en facilitant les échanges et en favorisant les relations entre les différents niveaux hiérarchiques. La majorité des salariés évoque également un sentiment de « bien-être général » grâce à ce moment de préparation qui leur permettrait de renforcer leur vigilance en début de journée. Enfin, la mise en place de cette démarche profite également à l’image et la notoriété de l’entreprise. En revanche, leur bénéfice n’est pas démontré quant à d’autres attentes souvent exprimées par les professionnels, tel que la prévention des troubles musculosquelettiques ou une influence positive sur des pathologies qui se déclarent sur le moyen terme, après plusieurs années d’exposition.Les recommandations de l’OPPBTP pour perfectionner cette démarcheL’étude souligne plusieurs points d’amélioration pour mener à bien un projet d’échauffement musculaire efficace, accepté socialement par l’ensemble des salariés et pérenne. Il existe un décalage entre les ouvriers les plus jeunes, qui sont le plus souvent volontaires, et les plus âgés qui marquent un enthousiasme plus limité. Pour encourager la participation de l’ensemble des collaborateurs à ces séances, quelles que soient leur génération et/ou leur capacité à réaliser l’intégralité des exercices, l’OPPBTP recommande de porter une attention particulière aux conditions de mise en œuvre et de privilégier l’accompagnement des salariés affichant des réserves quant à l’utilité de ces exercices ou qui ne pensent pas être en capacité de les pratiquer collectivement. Par ailleurs, l’Organisme conseille d’impliquer les services de santé au travail et le médecin du travail à ces sessions afin de proposer des exercices adaptés à la fois aux capacités des salariés et aux spécificités liées aux métiers du BTP. Enfin, l’OPPBTP rappelle que pour favoriser l’obtention de résultats significatifs en termes de sécurité, la pratique des échauffements doit s’inscrire dans une approche plus globale de prévention, en étant coordonnée à d’autres actions.L’étude complète est disponible gratuitement sur preventionbtp.fr
Il y a 4 ans et 48 jours

Une piscine chauffée grâce aux propriétés naturelles de l’ardoise Cupa Pizarras

Une terrasse en ardoise chauffante qui allie esthétisme et performance énergétiqueNaturelle et minérale, l’ardoise conjugue élégance et performance énergétique. D’une durée de vie de 100 ans, fendue à la main, elle se révèle peu gourmande en énergie et en eau. Matériau traditionnel de couverture, elle répond aujourd’hui aux enjeux d’une architecture moderne grâce à ses teintes bleutées et aux jeux de lumière qu’elle provoque. Sa polyvalence et son aspect brut lui permettent de s’adapter aussi bien à l’ornement des châteaux qu’aux fulgurances contemporaines, de la façade aux abords de la piscine. Dont elle peut désormais contribuer à chauffer l’eau!Le panneau Thermoslate Plat est composé de 12 ardoises de 40x20 cm, reliées par un adhésif thermique breveté. L’ensemble se présente ainsi sous la forme d’une composition parfaitement lisse qui ne concède aucune aspérité, circulable jusqu’à 300 kg/m2. Sous les ardoises de 5 mm d’épaisseur est glissé un capteur de 35 mm raccordé grâce à des flexibles. Un dispositif d’ouverture permet un accès direct aux connexions.Le panneau est ensuite incorporé parmi des ardoises non équipées et demeure invisible. Il se distinguera en revanche d’un point de vue énergétique puisqu’une base de 8 panneaux (superficie : 15m2) permet de chauffer une piscine familiale standard de 9,60 m x 4,80 m. Coût de l’investissement : aux alentours de 10 000€.Selon les études techniques réalisées par Cupa Pizarras, les panneaux capteurs au sol peuvent ainsi être déployés partout en France, à condition, évidemment, d’une exposition sans ombre.
Il y a 4 ans et 48 jours

Etude complète sur les échauffements musculaires sur les chantiers

L’OPPBTP publie une étude relative à la pratique d’échauffements musculaires sur les chantiers. Elle démontre que les entreprises qui pratiquent des échauffements sur les chantiers constatent le plus souvent des répercussions bénéfiques à plusieurs niveaux. Ces entreprises font en effet état d’une réduction des accidents « de la première heure », d’un renforcement de la cohésion d’équipe, en facilitant les échanges et en favorisant les relations entre les différents niveaux hiérarchiques. La majorité des salariés évoque également un sentiment de « bien-être général » grâce à ce moment de préparation qui leur permettrait de renforcer leur vigilance en début de journée. La mise en place de cette démarche profite également à l’image et la notoriété de l’entreprise. En revanche, leur bénéfice n’est pas démontré quant à d’autres attentes souvent exprimées par les professionnels, tel que la prévention des troubles musculosquelettiques ou une influence positive sur des pathologies qui se déclarent sur le moyen terme, après plusieurs années d’exposition. L’étude souligne plusieurs points d’amélioration pour mener à bien un projet d’échauffement musculaire efficace, accepté socialement par l’ensemble des salariés et pérenne. https://www.preventionbtp.fr/ressources/documentation/ouvrage/echauffements-la-pratique-d-exercices-sur-les-chantiers  
Il y a 4 ans et 51 jours

Rénovation énergétique : "S'impliquer dans cette filière, c'est sauver la planète"

ÉNERGIE. La députée Marjolaine Meynier-Millefert a tenu une conférence sur le thème de la décarbonation du bâtiment à l'École des Ponts ParisTech. Elle a appelé les acteurs du bâtiment à se rassembler et à favoriser la formation, alors que la demande de rénovation explose.
Il y a 4 ans et 51 jours

Chapelle royale et cabinet d'angle: deux joyaux restaurés à Versailles

"Vous contemplez la chapelle telle que voulue par (l'architecte Jules) Hardouin-Mansart, telle que Louis XIV a pu la contempler, à l'exception du grand lanternon, supprimé en 1765", se félicite auprès de l'AFP Frédéric Didier, architecte en chef des monuments historiques qui pilote le chantier depuis quatre ans.Un chantier de restauration de l'extérieur de la chapelle qui a nécessité plus de 16 millions d'euros d'investisements, financés notamment grâce à la Fondation suisse Philanthropia et plusieurs mécènes, dont Saint-Gobain et LVMH. "C'est éblouissant, cette toiture irradie la ville, l'ensemble Versailles est rééquilibré", s'enflamme Catherine Pégard, présidente de l'Etablissement public, relevant qu'il s'agit de "travaux de même ampleur que ceux de la Galerie des glaces en 2007".Frédéric Didier accompagne l'AFP sous la charpente datant de 1705: une "forêt" de chêne de couleur blonde, comme l'était celle de Notre-Dame détruite par l'incendie de 2019. "On a pu restaurer à l'identique en conservant les bois anciens", dit-il.La quasi totalité des sabliers, pièces horizontales de plusieurs tonnes soutenant la charpente, ont dû être remplacés. Les infiltrations avaient provoqué des affaissements de 20 cm."Des bébés de 200 kg"La présence d'amiante dans le mastic des vitraux a obligé à les déposer et à les décontaminer. Et pour la première fois depuis l'Ancien Régime, les dorures sur tous les plombs devenus ternes, ont été refaites et étincellent.Des bas-reliefs abîmés ont été restaurés en modelage. Les statues n'ont pas été remplacées mais seulement restaurées. "Ces grands anges, de beaux bébés de 200 kg, on a dû les démonter, les gruter, les restaurer en atelier, remplacer les armatures internes et les replacer", raconte l'architecte. Cette chapelle royale est "le seul édifice des XVIIe-XVIIIe siècles encore intact avec toute sa statuaire d'origine", souligne-t-il.Le chantier a mobilisé une centaine d'ouvriers de nombreux métiers d'art, permettant la formation d'apprentis. Des recoins n'étaient documentés que par des photos noir et blanc des années 50."Certains historiens considèrent que c'est ce qu'il y a de plus abouti dans le palais. Cette fin du règne de Louis XIV, c'est un moment de perfection", souligne Laurent Salomé, directeur du musée.A 40 mètres de haut, "elle émerge de la ligne horizontale des toitures et brouille la symétrie, représente un élan vertical. Elle a été voulue pour symboliser l'idée que la maison de Dieu domine la demeure des hommes", explique l'architecte.Tiroirs secretsChef-d'oeuvre de l'art rocaille, le cabinet d'angle du Roi, salle de travail de Louis XV, a retrouvé lui aussi son éclat, financé notamment par le mécénat de Rolex. Avec en son centre le génial bureau à cylindre, muni de tiroirs secrets et dont la réalisation a pris neuf ans."Ce cabinet est une de pièces emblématiques du château par cette dualité d'un lieu de pouvoir et d'un lieu très intime", où les rois gardaient leurs collections de médailles, note Catherine Pégard.La dorure ancienne des glaces et des boiseries a été complétée. Et la peinture à la colle en "blanc de Roi", couleur froide et contrastée, a été retrouvée à l'identique, explique Laurent Salomé."Au XXe siècle, on croyait qu'un blanc crème était plus juste historiquement, on le trouvait plus élégant", s'amuse-t-il, en comparant le cabinet d'angle avec les salles voisines beaucoup plus ternes."Ces réalisations, dans cette période Covid, manifestent l'engagement de Versailles pour tous les métiers d'art et l'emploi", souligne la présidente de l'Établissement public et les restaurations ne cessent jamais: l'un, celle du cabinet du Dauphin, est en cours, celle des appartements de Madame du Barry, favorite de Louis XV, vient de débuter. Son achèvement coïncidera avec une grande exposition inédite à Versailles consacrée à Louis XV, pour l'automne 2022, révèle à l'AFP Mme Pégard.
Il y a 4 ans et 52 jours

Réalisation référente : Eclisse équipe un loft « perché » sur les toits de Paris

Paris, 18e, quartier des Abesses : un nouvel habitat est né en 2020 sur le toit d’un immeuble existant. Dans le cadre d’un chantier de réhabilitation, un loft sur-mesure et sa terrasse végétalisée sont apparus mêlant confort intérieur & extérieur. Le cabinet ACG et l’agence Mariebey ont réalisé ce nouveau cocon selon le concept Oh Perché! Rooftop. Il associe verdure et vie citadine. Le fabricant de porte d’intérieur, Eclisse, équipe cet appartement parisien avec les portes de la collection Syntesis®. Sobriété, design et sur-mesure sont au rendez-vous. Visite et explications. Plus qu’un habitat, un art de vivre La signature d’Oh Perché! Rooftop c’est de concevoir des habitats avec de grandes ouvertures et des espaces à vivre intégrant toujours un espace extérieur végétalisé. Durant 7 mois, de juin à décembre 2020, le cabinet ACG et l’agence Mariebey ont ainsi créé de toutes pièces et pensé dans les moindres détails cet appartement de 113m2 (hors terrasses). Il est composé de deux chambres avec chacune une salle d’eau attenante, d’un espace de vie ouvert sur la cuisine et d’une terrasse végétalisée. Les acquéreurs, arrivés en cours de chantier, ont apprécié l’accompagnement des architectes dans la personnalisation de leur future résidence principale. Leur qualité de vie est une priorité. Ils souhaitent un appartement connecté et moderne avec un espace extérieur. Ayant un rythme de vie plutôt soutenu, mêlant vies professionnelle et familiale, le couple ressent le besoin d’apaisement en rentrant chez lui ; d’où un espace ouvert, aéré, clair, associant espaces végétalisés et panorama exceptionnel sur la cité urbaine. Chantier Paris 18e – Plan 3D ©Agence Mariebey « Cet appartement est une vraie bulle d’oxygène dont nous avons redécouvert l’attrait avec le confinement » confient les propriétaires. Design, technologie & végétal Terrasses en bois, vue dégagée, plantes vertes, mobilier sobre et minimaliste définissent l’extérieur. Grande baie vitrée, puits de lumière, meubles (Philippe Hurel & Marine Peyre) et matériaux nobles (bois, parquet, grès de cérame finition marbre) sont les marqueurs de l’intérieur. La cuisine ouvre sur l’espace de vie, véritable ode à l’art de vivre à la française. Dans cet appartement traversant, l’ouverture du salon donne sur le couloir où se trouvent les espaces privatifs des propriétaires. « La technologie connectée est placée au cœur de ce projet.Un système domotique centralise la gestion énergétique et l’automatisation des équipements (contrôle des volets, de la lumière, de la température) » explique Coralie Palaise, architecte d’intérieur en charge du projet. Chantier Paris 18e – Vue extérieure ©Alexandre Tabaste Eclisse, solution d’architecture intérieure « Nous recherchions des portes invisibles, à fleur de cloison et modernes.
Objectif : garder l’esprit design et sobre du lieu, même dans une pièce « perdue » qu’est le couloir. Nous voulions une impression d’infini. Les portes intérieures Eclisse remplissent le contrat » commente Coralie Palaise. Six bloc-portes affleurant, modèles Syntesis® Battant d’Eclisse, habillent le couloir desservant les pièces personnelles (chambres, salles de bain, toilettes, buanderie…). Elles tiennent la promesse de créer l’illusion d’un mur sans fin. Chantier Paris 18e – Couloir ©Oh Perché ! Rooftop   Fiche d’identité du projet Lieu : Paris 18e Durée des travaux : 7 mois – 2020 Promoteur : François Gaucher Designer : Mariebey Architecte : Agence AGC Photographe : Alexandre Tabaste
Il y a 4 ans et 52 jours

Tomra Sorting Recycling et Stadler UK ont été retenus pour le recyclage des déchets de chantiers

Ayant déjà travaillé sur plusieurs projets dans le monde, STADLER et TOMRA ont planché ensemble dès le début pour s'assurer que les installations et les équipements répondraient aux exigences spécifiques de VIRIDOR.Avec sa nouvelle usine, VIRIDOR a pu passer sa capacité de 65.000 tonnes/an à 75.000 tonnes/an (soit 17 tonnes/heure). L'usine fonctionne à pleine capacité. La qualité de la production a été considérablement améliorée grâce aux nouveaux équipements TOMRA.Les matériaux traités arrivent en mélange, ils sont fournis par le Comté de Suffolk. Ils passent d'abord par un process de séparation mécanique, comprenant un tambour de dosage, un séparateur balistique STADLER PPK, un tambour de criblage, des séparateurs balistiques STADLER STT 2000, des aimants overband et des séparateurs à courants de Foucault. Après cette étape de séparation mécanique, vient l'étape de séparation par air, puis le tri avec les capteurs optiques, les machines TOMRA AUTOSORT® tout nouvellement installées.Auparavant, trois trieurs optiques TOMRA étaient déjà en place. Ils ont été remplacés par 11 nouvelles unités TOMRA AUTOSORT®. Sauf une, relativement récente (4 ans), qui a juste nécessité une mise à jour logicielle.Les lignes de production ont été programmées pour séparer les fibres en mélange (matières de type carton, papier en mélange, journaux et brochures) et trier les plastiques par type de polymère (PET, HDPE, plastiques durs, films, pots, bacs et plateau...).Le système AUTOSORT® inclut les toutes dernières technologies de TOMRA pour offrir une précision avancée des tâches de tri complexes à cadence élevée. AUTOSORT® apporte une précision constante pour toutes les fractions de matériaux ciblés, même au sein de flux complexes, là où les technologies conventionnelles sont généralement mises en échec.Le résultat du tri est soumis à un contrôle qualité final avant d'être mis en balles prêtes à être transportées vers les clients finaux basés au Royaume-Uni. Les rebuts sont envoyés à l'incinération, ou en décharge.Grâce à la mise en place de ce nouvel équipement, VIRIDOR bénéficie d'avantages opérationnels tangibles :Augmentation du débit (10.000 tonnes supplémentaires par an)Pureté des fractions obtenues. A titre d'exemple, on obtient un taux quasi parfait, à 98,5%, sur les journaux et les brochures, et à 95% sur les polymères, tels que le PET, le PEHD et les plastiques mixtesGains de rentabilité, résultant du fonctionnement à pleine capacité de l'usineRéduction du risque d'arrêt des installationsFlexibilité de la production, permettant de s'adapter aux évolutions du marché, et des flux de matériaux entrantsBaisse des coûts, grâce au tri du PET et du PEHD effectué sur place, au lieu d'être envoyé dans une autre usine du groupe comme auparavant.Steven Walsh, Ingénieur Commercial chez TOMRA Sorting Recycling, commente : " Nous avons très bien travaillé avec STADLER sur ce projet, ayant déjà collaboré ensemble tant au niveau national et international. Avant la rénovation, ce site de VIRIDOR ne pouvait trier automatiquement que des plastiques et il dépendait du tri manuel pour le carton et le papier. Aujourd'hui, nous avons l'une des usines les plus automatisées du Royaume-Uni. En intégrant les équipements de TOMRA et son expertise technique, VIRIDOR peut produire des matériaux de qualité supérieure prêts à être réintégrés dans l'économie circulaire".Benjamin Eule, Directeur de STADLER UK Limited, ajoute : " Nous avons géré le projet d'ensemble, de la mise à l'arrêt de l'usine à la fourniture d'une solution clé en main plus moderne. Ce fut l'un des délais les plus courts de notre histoire ! Il n'aura fallu que trois mois entre la discussion initiale et la signature des contrats, puis 5 mois encore pour démarrer le projet sur site. En deux semaines de mise à l'arrêt, nous avons tout refait à neuf, à l'exception d'une des trieuses optiques de TOMRA sur laquelle a simplement été téléchargé la dernière version du logiciel. Le projet – y compris la démolition des anciens équipements – a pris 80 jours au total. Nous avons installé une nouvelle charpente métallique, des convoyeurs et tous les composants électriques nécessaires au processus. Nous avons également géré les processus de mise en service. "Derek Edwards, directeur de VIRIDOR RECYCLING, a déclaré : " C'est de loin l'investissement le plus important réalisé sur un site de traitement des déchets de chantiers, en Angleterre, ces dernières années. VIRIDOR se concentre sur le développement d'opportunités pour réintroduire des matériaux issus du recyclage dans le circuit productif. Nous considérons les déchets comme une ressource et, grâce à l'engagement de Suffolk en faveur du recyclage, nous sommes bien placés pour tirer le meilleur parti du recyclage des déchets du Comté du Sufolk, et pour vendre ces matériaux aux clients finaux basés au Royaume-Uni. Le plan d'investissement visait à augmenter la capacité de l'usine, mais aussi à adapter la qualité aux exigences du marché. L'usine dispose des mêmes matières premières qu'auparavant, mais peut désormais traiter 10 000 tonnes de plus par an. Nous sommes ravis de ses performances. "
Il y a 4 ans et 52 jours

Vitrage dynamique pour le Pavillon France

La prochaine Exposition universelle se tiendra  du 1er octobre 2021 au 30 mars 2022 à Dubaï,  autour du thème « Connecter les esprits, Construire le futur ». Il sera décliné en trois sous-thèmes : Durabilité, Opportunité et Mobilité. Parmi les innovations qui seront mises en œuvre sur le Pavillon France, la Compagnie Française des Expositions (Cofrex), maître d’ouvrage du programme, et les agences d’architectures Atelier du Prado et Celnikier & Grabli Architectes, ont sélectionné le vitrage dynamique SageGlass.  Il habillera les façades du Belvédère qui accueillera, sur une surface de 1 000 m², tous les événements professionnels. Intelligente, la solution SageGlass se teinte et s’éclaircit, automatiquement ou à la demande, pour contrôler le rayonnement solaire grâce à des capteurs placés à différents endroits de la façade. Un atout qui a motivé le choix des architectes. Gage de confort intérieur, le vitrage SageGlass empêche l’éblouissement et les excès de chaleur. Des sujets majeurs dans le climat chaud et désertique de Dubaï, où la température extérieure peut atteindre 50°C.  Visuel : © COFREX / Pavillon France  
Il y a 4 ans et 53 jours

2020 : une année hors du commun pour le marché français du bricolage

Alors que les deux premiers mois de l’année 2020 affichent une progression du marché du bricolage dans la continuité de celle de 2019 (+3,4% de son chiffre d’affaires par rapport à 2018), la crise sanitaire a brisé cette dynamique lors du premier confinement. Cependant, dès le mois de Mai, le marché du bricolage a connu des progressions à deux chiffres, bénéficiant de l’engouement des Français pour l’amélioration de leur habitat, valeur refuge en ces temps de pandémie. Cette tendance de fond allant au-delà du rattrapage, le marché du bricolage atteint, en 2020, un chiffre d’affaires de 31 milliards d’euros, soit une progression de 13% par rapport à 2019, tous circuits confondus. La FMB / Fédération des Magasins de Bricolage et INOHA / l’Association des Industriels du Nouvel Habitat décryptent l’étude réalisée sur le marché du bricolage 2020. Le marché du bricolage en 2020 : un essor exceptionnel malgré le contexte difficile et l’interruption liée au premier confinement Malgré les deux premiers mois de l’année marqués par la poursuite des grèves (Gilets Jaunes), le marché du bricolage a continué de progresser. Le premier confinement de mars-avril, avec la fermeture d’une partie des magasins de bricolage et les restrictions de déplacement, a engendré une importante chute des ventes (entre -50% et -60%) et a stoppé cette dynamique. Dès le mois de mai, des progressions de ventes à deux chiffres ont traduit une tendance de fond allant au-delà du rattrapage. En effet, confinés, les Français ont eu le temps de profiter de leur habitat, d’en apprécier ses défauts et d’envisager le réaménagement de celui-ci pour les besoins du télétravail ou tout simplement pour mieux vivre ensemble. Pour certains, l’activité partielle a libéré du temps qu’ils ont mis à profit pour améliorer leur logement ou enfin se lancer dans des travaux sans cesse reportés par manque de temps. Percée du e-commerce La crise sanitaire a bien entendu favorisé la vente en ligne, renforçant logiquement les pure players (+84%). Cependant, les Grandes Surfaces de Bricolage ont orchestré et développé leur omnicanalité comme en témoigne la forte progression de leurs ventes en ligne (+111%). Cette crise a bouleversé la structure du marché. Cela s’est traduit par : • le maintien de la prédominance des GSB (70% des PDM valeur, en léger recul), • la progression des pure players (14% des PDM valeur) et des GSA (3% des PDM valeur), • la stabilité des négoces (13% des PDM valeur, en légère baisse). A noter, avec une part de marché qui atteint les 3%, les ventes en ligne des Grandes Surfaces de Bricolage représentent aujourd’hui un circuit de distribution en soi. 2020 : dynamisme pour presque tous les rayons avec un fort engouement pour l’outillage et la peinture En 2020, la quasi-totalité des rayons profite du dynamisme du marché à l’exception de celui du chauffage (+3%), pénalisé par la douceur des températures. Les grands gagnants sont incontestablement les rayons Outillage (+28%), bénéficiant de l’arrivée sur le marché de nouveaux bricoleurs, et Peinture (+22%) qui, après 3 ans d’érosion, a explosé en 2020. Ils sont suivis par ceux de la Quincaillerie (+20%) et de la Décoration (+16%), boosté par la ruée sur le papier peint. Ces chiffres sont le reflet de l’engouement des Français dans les travaux de rénovation et d’embellissement intérieur, qui sont parmi les plus accessibles. Le rayon Bois & Menuiserie (+6%) affiche également une très belle progression s’expliquant en partie par l’essor du télétravail et la nécessité de créer des espaces adaptés (aménagement de bureaux, rayonnage, …). Celui du Bâtiment (+6%) a, quant à lui, profité de la montée en compétence des bricoleurs. Les rayons Plomberie/Salles de bains / Cuisine (+9%) et Electricité (+11%) connaissent une croissance plus modérée. Les Français ne semblent pas avoir priorisé l’aménagement de ces pièces, qui nécessitent des travaux techniques importants. Par extension, même si le rayon Revêtements (+5%) est en progression, il a souffert de la moindre dynamique de la salle de bains et la cuisine. Le rayon Jardin (+14%) bénéficie de la météo très favorable lors du confinement du printemps qui se traduit notamment dans les chiffres de ventes de mobilier de jardin et de piscines. 2021 : des perspectives encourageantes En tenant compte notamment de l’épargne des Français (200 milliards d’euros), la politique gouvernementale en faveur de la rénovation énergétique des bâtiments, des comportements des nouveaux bricoleurs et de l’augmentation des transactions immobilières dans l’ancien, l’année 2021 laisse entrevoir des perspectives encourageantes pour le marché. Pour autant, même si le contexte est favorable, la visibilité sur le second semestre reste extrêmement faible en raison des perspectives économiques incertaines (conséquences Covid-19, pénurie des matières premières, etc). « Je me félicite de cette excellente année qui a été possible grâce à l’agilité, la réactivité et la persévérance des industriels mais aussi au dialogue constructif avec les enseignes pour répondre à une demande extrêmement forte des consommateurs. J’ai confiance en l’avenir car les Français font de leur Habitat une valeur refuge, source de leur bien-être ; et je sais la filière solidaire et responsable pour être au rendez-vous » déclare Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha. Pour Mathieu Pivain, Président de la FMB, « l’année 2021 est une année hors du commun, qui a été l’occasion pour les GSB de renforcer leur présence sur les ventes en ligne et de conforter leur prédominance sur le marché du bricolage. Cela a été rendu possible en premier lieu par la reconnaissance du caractère essentiel des magasins de bricolage, et par la consolidation réussie de leur omnicanalité. L’enjeu est aujourd’hui, avec la sortie de la crise sanitaire, de continuer d’accompagner au mieux les Français dans leurs projets d’amélioration de leur habitat, et de répondre présent face aux défis de l’économie circulaire et de la lutte contre le changement climatique ». http://www.inoha.org
Il y a 4 ans et 53 jours

Roissy ouvre un œil

Le percement de la coque du terminal 2F de l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle en vue d'installer une passerelle d'accès à un nouveau salon d'accueil a fait appel au procédé de l'hydrodémolition. Une méthode éprouvée mais délicate.
Il y a 4 ans et 53 jours

Table ronde Archistorm Kebony sur les essences de bois le 15 avril

Les tables rondes en ligne « Zoom sur… » sont l’occasion pour la revue Archistorm d’ouvrir un espace de réflexion et d’échange sur les métiers d’art, les savoir-faire artisanaux, et les entreprises qui développent des matériaux innovants pour les projets des architectes. Ces moments s’adaptent à la conjoncture actuelle et aux nouvelles manières de se rencontrer puisqu’ils se déroulent sur la plateforme Zoom. Chaque session, d’une durée d’environ 45 minutes, se déroule en compagnie d’une journaliste Archistorm qui anime la conversation et répond aux questions des participants.Le jeudi 15 avril, de 9h45 à 10h30, Olivier Loheac représentera Kebony autour d’une table ronde intitulée « Zoom sur les essences de bois ». Le bois développé par la marque norvégienne illustre avec brio l’innovation portée aux matières naturelles, tandis que son dégradé de nuances et ses qualités durables et écoresponsables ouvrent de nouvelles perspectives aux architectes. Ce rendez-vous informatif et inspirant se tiendra dans le cadre de la 7e édition des Rendez-vous de la matière + fair(e).Le nombre de places étant limité, Archistorm et Kebony invitent les participants à s’inscrire au plus vite : ma.lincoln@bookstorming.com // 06 24 70 81 79.La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 4 ans et 54 jours

Pyramide du Louvre, une découverte australienne

L’inventeur de la pyramide du Louvre ne serait-il pas celui que l’on croit ? Des documents exclusifs montrent en effet que, presque dix ans avant l’inauguration en 1989 de l’ouvrage de I.M. Pei, Alan Holbrook, architecte à Perth, Australie, avait déjà tout compris (ou presque). Exploration d’une source mystérieuse. Evidemment, tout le monde a oublié que […] L’article Pyramide du Louvre, une découverte australienne est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 54 jours

Plus d'un million de formations financées depuis 2018 grâce au plan investissement compétences

"Par rapport à notre objectif global qui était de former deux millions de personnes supplémentaires sur l'ensemble du quinquennat -de 2018 à 2022-, on est à fin 2020 à un peu plus de la moitié de l'objectif", a indiqué Carine Seiler, haut-commissaire aux Compétences, lors d'une visio-conférence avec le ministère du Travail, sur ce bilan "à mi-parcours".Depuis 2018, 1,079 million de personnes supplémentaires ont été formées grâce au "PIC" pour lequel 7,2 milliards d'euros ont été "déjà engagés". C'est dans la trajectoire "de ce qui était prévu" par ce plan de 15 milliards d'euros sur cinq ans pour les jeunes éloignés du marché du travail et les demandeurs d'emploi peu ou pas qualifiés, a-t-elle poursuivi.Et "on atteindra les objectifs de deux millions de parcours supplémentaires sur la totalité du quinquennat avec les projections que nous faisons sur 2021 et 2022", avec respectivement 530.000 et 510.000 entrées en formation prévues grâce au PIC, et 150.000 autres via le plan de relance.Plus d'un million d'entrées en formationAu total, depuis 2019, plus d'un million d'entrées en formation sont enregistrées chaque année, dont environ 40% financées par le PIC, alors qu'avant 2015 le nombre d'entrées en formation des personnes éloignées de l'emploi était en moyenne de "650.000" personnes chaque année, a-t-elle détaillé.En conséquence, le taux d'accès à la formation progresse: alors qu'en 2015, un chômeur sur dix se formait, en 2020 "près d'un chômeur sur 6" est concerné, selon Mme Seiler.Le taux d'accès à l'emploi six mois après la formation, qui avait progressé de 1,5 point avant la crise sanitaire, à 57,6%, a en revanche souffert de la crise du Covid-19, retombant à 50,8%.Cette baisse de 7 points ne sera "sans doute" pas complètement rattrapée, car la crise "mettra quelques mois et quelques années à se résorber", mais l'objectif est de la rattraper en partie, ce qui dépendra "de la reprise, de la réouverture d'un certain nombre de secteurs fermés", a indiqué la Haut-commissaire.Le ministère du Travail fait valoir que le "PIC" n'est pas un dispositif à "effet immédiat", et estime que ses "pleins effets" devraient être "encore plus" visibles dans un an.La rémunération des stagiaires de la formation professionnelle, qui "n'avait pas été revalorisée depuis 1988", a souligné Mme Seiler, sera par ailleurs revue au 1er mai. Pour les 16-18 ans, elle passera notamment de 130 à 200 euros par mois, pour ceux de 18-25 ans, elle passera à 500 euros, et au-delà de 25 ans à 685 euros.
Il y a 4 ans et 54 jours

Prévenir les émissions de poussières sur chantier

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine. Les risques poussières les plus importants sont liés à la présence de silice cristalline, que l’on retrouve dans plusieurs composants des travaux de gros œuvre. [©Hilti] Le risque lié aux poussières, présent pour l’ensemble des métiers du BTP, est parfois ignoré. Car il n’est pas toujours visible. Et n’impacte pas de façon immédiate la santé du personnel de chantier ou d’atelier. Au niveau des chantiers de gros œuvre, les sources principales de danger sont identifiées de longue date. C’est en priorité la silice cristalline sous toutes ses déclinaisons. Etant présente à l’état naturel dans le sable et les carrières, on la retrouve en toute logique dans la plupart des composants des travaux de gros œuvre. A commencer par le béton, le ciment, les mortiers, les enduits, les plâtres. Ainsi que de nombreux matériaux complémentaires, comme les carrelages et les faïences. Lutter contre les poussières Lorsqu’elles sont inhalées, les poussières de silice pénètrent facilement dans les poumons. Elles peuvent provoquer des insuffisances respiratoires et des maladies graves, comme la trop connue silicose des mineurs et des carriers. Du fait de l’étendue des matériaux contenant de la silice, de nombreuses professions sont exposées au risque : du tailleur de pierre au maçon, en passant par toutes les actions nécessitant de buriner, de percer, de tronçonner, de rainurer…Les risques liés à l’inhalation de poussières d’amiante, de plomb, de bois… concernent assez peu les entreprises de gros œuvre. Mais peuvent être un problème dans les opérations de rénovation, et plus encore dans des phases de déconstruction.Plus les poussières sont fines, mieux elles pénètrent dans l’organisme et en particulier dans le système pulmonaire. Lorsque leur taille est comprise entre 10 et 100 µm, on estime que les poussières circulent jusqu’aux fosses nasales. De 5 à 10 µm, elles atteignent les bronchioles. Et en-dessous de 5 µm, elles suivent les voies respiratoires jusqu’aux alvéoles pulmonaires. Une réglementation précise La silice sous ses différentes formes (quartz, cristobalite et tridymite) est classée dans la catégorie des agents chimiques dangereux (ACD) définis à l’article R. 4412-3 du Code du travail. De ce fait, les entreprises doivent appliquer les dispositions spécifiques relatives à la prévention des risques chimiques, définies dans les articles R. 4412-1 à R. 4412-57 du Code du travail. Par ailleurs, les articles R. 4412-154 et R. 4412-155 indiquent les valeurs limites d’exposition aux poussières (VLEP), en cas de présence simultanée de poussières alvéolaires contenant de la silice cristalline et d’autres poussières alvéolaires non silicogènes. La concentration moyenne en silice cristalline inhalée par un travailleur pendant une journée de travail de 8 h ne doit pas dépasser 0,1 mg/m3 pour le quartz, et 0,05 mg/m3 pour la cristobalite et la tridymite. Autant ces valeurs limites d’exposition peuvent être mesurées et contrôlées dans des lieux fermés, comme une unité de préfabrication, autant l’approche est complexifiée sur un chantier, par définition ouvert et en évolution permanente. Comme pour l’ensemble des risques professionnels, l’entreprise doit pouvoir évaluer de manière concrète le risque poussières, pour ensuite le traduire dans son Document unique (DU). Les questions qui doivent être posées se situent à plusieurs niveaux : l’activité de l’entreprise expose-t-elle les salariés aux poussières ? Si oui, quelles sont les situations de travail qui exposent les salariés à ces dernières ? A quelle fréquence, quelle durée, quelle intensité les salariés sont-ils exposés ? Les réponses à ces questions doivent permettre de déboucher sur des actions de prévention les plus adaptées, les solutions étant nombreuses. Zoom sur la structure de la silice cristalline. [©INRS] Matériaux, modes constructifs et procédures au cœur du problème La brumisation, une solution efficace en extérieur pour limiter la propagation des poussières. [©DR] Il existe nombre de solutions permettant de limiter l’empoussièrement des chantiers, sachant que les risques doivent aussi être évalués en fonction des ciments utilisés. Les ciments purs (CEM I), mais aussi la grande majorité des ciments au calcaire (CEM II/LL), ainsi que les ciments au laitier produits en France (CEM II/A-S et CEM III) ne contiennent pas de silice cristalline. Seuls, les ciments au laitier et cendres (CEM V) ou les ciments à la pouzzolane (CEM II/A-P ou CEM II/A-M P-LL) peuvent contenir une fraction infime de silice cristalline. Ce sont surtout les opérations de ponçage, de perçage et de rainurage qui sont des sources d’émissions de poussières en quantité variable. Et dont il faut se protéger. Les poussières émises par ces traitements peuvent contenir des éléments de silice cristalline, mais aussi une faible proportion de nanoparticules. Ces dernières années, la commercialisation de ciments, de mortiers, de mortiers-colles et d’enduits à faible émission de poussières contribue aussi à limiter l’empoussièrement des postes de travail. Lorsque ces actions ne sont pas possibles ou difficiles à mettre en œuvre, il faut réfléchir à l’optimisation de l’organisation, visant à limiter l’exposition aux poussières. Notamment, en s’organisant pour réduire le nombre de salariés exposés, pour diminuer leur temps de présence grâce aux rotations de postes. Ou encore en limitant la co-activité entre les différents corps d’état sur le chantier. D’autres pistes peuvent compléter les moyens de prévention, comme la limitation de l’accès aux zones concernées, l’aspiration à la source, la brumisation des zones de travail à risques... Matériels, outillages et protections Le choix des matériels et des outillages entre aussi en ligne de compte. Depuis plusieurs années, les industriels de l’outillage électroportatif font évoluer leurs productions pour intégrer la prévention du risque poussières. Pour les outils électroportatifs, il faut privilégier le matériel à vitesse lente qui produit moins de poussières. Ce dernier doit être équipé d’un système intégré de captage des poussières. Et relié à un aspirateur équipé de filtres adaptés. Des matériels comme les tronçonneuses ou les carotteuses à eau vont dans le même sens. Les perceuses et perforateurs peuvent être équipés de dispositifs d’aspiration et de mèches creuses pour orienter et aspirer les poussières. Pour les meuleuses, des carters d’aspiration sont disponibles. Des ponceuses compactes sont aussi conçues avec un collecteur de poussières, afin d’en absorber un maximum. Les opérations de rénovation lourde impliquent parfois des démolitions et déconstructions partielles. Ces interventions sont sources de risques à plusieurs niveaux : empoussièrement, risques d’écrasement, manutentions importantes… Aussi, elles sont de plus en plus souvent effectuées par des robots commandés à distance, parfois en complément des opérations de sciage. Lorsque toutes les actions de protection collective ne peuvent pas être mises en place, il faut prévoir des équipements de protection individuelle (EPI). Notamment de ceux de protection respiratoire, qui doivent être équipés au minimum de filtres de classe P2. Et obligatoirement de classe P3 pour les activités génératrices de poussières de silice ou de bois durs. Selon les travaux, il faut utiliser un masque jetable anti-poussières ou un masque réutilisable avec filtre de type P, pour des tâches de faible empoussièrement et de courte durée. De nombreux matériels électroportatifs sont équipés d’un système intégré de captage des poussières et reliés à un aspirateur équipé de filtres adaptés. [©Fischer] Sensibiliser l’encadrement et le personnel Lorsque des protections collectives sont inadaptées à la situation, le port d’EPI est indispensable. [©OPPBTP] Comme pour l’ensemble des risques professionnels, l’encadrement se doit d’informer et de sensibiliser le personnel aux travaux sources de poussières et aux mesures de prévention à adopter. Pour ce faire, il est nécessaire d’établir une notice de poste pour chaque situation de travail exposant les travailleurs à des agents dangereux, tels que les poussières. Cette notice est destinée à informer les salariés des risques auxquels leur travail peut les exposer et des dispositions prises pour les éviter. La notice rappelle les règles d’hygiène, ainsi que les consignes relatives à l’emploi des équipements de protection collective ou individuelle. La sensibilisation passe aussi par des actions d’information et par l’édition de messages réguliers, afin que les mesures de prévention deviennent des automatismes, au niveau de l’encadrement, du personnel de chantier et d’atelier. Pour les entreprises de moins de 50 salariés, il existe aussi des dispositifs d’aides financières spécifiques. L’assurance maladie propose l’aide “Bâtir +” pour améliorer la sécurité et l’hygiène sur les chantiers du BTP. Les Caisses d’assurance retraite et de santé au travail (Carsat) peuvent aussi intervenir au niveau financier auprès des petites entreprises grâce aux “Subventions prévention TPE/PME”. Enfin, comme le démontre une enquête réalisée il y a quelques années par l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP), l’investissement dans des mesures efficaces de prévention protège le personnel, améliore les conditions de travail… Et par suite, la productivité de l’entreprise. Il aura fallu du temps pour que ce lien évident soit reconnu, car on peine toujours à admettre que des “dépenses” de prévention représentent en fait un investissement pour l’entreprise.   Gérard Guérit Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 54 jours

Les innovations matériels fleurissent au printemps

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine [©ACPresse] Le Covid aura empoisonné la vie de bien des secteurs d’activité. Celui de l’évènementiel aura payé un lourd tribut à la pandémie. Côté construction, la victime s’appelle Intermat – World of Concrete Europe, qui a jeté l’éponge dans les derniers jours de l’année 2020. Rendez-vous est déjà pris pour avril 2024, un peu avant les Jeux olympiques de Paris. Mais à la demande de nombreux industriels, un rendez-vous plus modeste a été annoncé. Baptisé “Construction Days”, il se tiendra du 14 au 16 septembre prochain, en plein air, au parc Eurexpo Lyon. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 54 jours

Castorama dépasse le million de commandes drive en 2020

Un service rapide et efficace, disponible en 2HRapide, efficace et professionnel, le succès est au rendez-vous : un million de commandes ont été réalisées en drive en 2020. Retour sur l’ascension fulgurante d’un dispositif qui s’inscrit dans les nouvelles habitudes de consommation des Français.Castorama a démocratisé le drive dans le secteur du bricolageInspiré par le secteur alimentaire, Castorama a été le premier acteur du secteur du bricolage à mettre en place le service du drive : un service de retrait facile et rapide en 2h pour répondre aux besoins de tous. Lancé en 2014, le dispositif a explosé dès la fermeture des magasins en mars 2020 et Castorama a professionnalisé et déployé le drive en quelques semaines sur tout le territoire, permettant aux Français de continuer à réaliser leurs projets d’amélioration de la maison, en toute sécurité. Le succès du dispositif repose également sur les collaborateurs de l’enseigne qui ont fait preuve d’imagination et d’agilité pour accompagner les clients dans ce dispositif fraichement réorganisé : signalétique pour indiquer les zones de retrait, géolocalisation et mise en place de auvents, tout le personnel s’est mobilisé à vitesse grand V pour trouver le bon mode opératoire et lancer cette nouvelle aventure. Preuve d’un vrai succès professionnel et humain, un million de commandes drive ont été passées en 2020, soit une multiplication par 3.5 de l’usage du dispositif en un an. Rapidité, efficacité et continuité de service, en cohérence avec les contraintes sanitaires du moment.Un mode d’emploi simple :Passez votre commande sur le siteChoisissez le retrait en 2h ou un créneau de rendez-vousEn arrivant sur le parking, des auvents indiquent la zone de retraitSignalez votre arrivée en scannant le QR Code sur les bornes totemsNos collaborateurs viennent charger directement votre véhicule5 minutes plus tard, repartez avec vos achats !« Nous sommes très fiers d’avoir contribué à l’explosion du drive. Nous avons dépassé le million de commande en drive sur l’année 2020, preuve que nos clients saluent ce dispositif rapide et pratique » déclare Franck Moreno, directeur d’enseigne Castorama.Un dispositif plébiscité pour toutes les gammes de produitsJardinage, petit bricolage, projets d’amélioration de grande ampleur, le drive séduit les clients pour tous les achats et les 60 000 références de l’enseigne y sont disponibles. Avec l’arrivée des beaux jours, l’enseigne prévoit un boom des produits d’extérieur : mobilier, barbecues, plantes et piscines...autant de produits pour lesquels le drive s’affiche comme une solution simple et adaptée pour les Français qui se lancent dans des travaux d’amélioration de la maison afin de profiter de la période estivale.« Au début de la crise sanitaire, le drive était un dispositif pour récupérer ses commandes alors que les magasins étaient fermés, puis c’est devenu un moyen plus sécurisé de faire ses achats dans un contexte de pandémie. Pendant plusieurs semaines, nous avons écouté nos clients, fait évoluer le dispositif selon les nouvelles attentes et aujourd’hui, on constate que le drive est devenu une alternative complémentaire au magasin : une solution simple et rapide pour accéder à l’ensemble de l’offre » déclare Franck Moreno.Aujourd’hui, le drive s’est inscrit durablement dans les habitudes de consommation des Français et son déploiement est un exemple supplémentaire de l’accompagne-ment omnicanal proposé par Castorama : que ce soit en physique, en ligne, en magasin ou en drive, Castorama répond à tous les besoins et continue de conseiller et d’inspirer les clients sur 18h39.fr, Pinterest, Instagram ou Facebook.
Il y a 4 ans et 56 jours

Histoires de photographies – Collections du Musée des Arts Décoratifs

Le Musée des Arts Décoratifs présente une exposition de ses collections de photographies, révélées pour la première fois au public. Ce fonds patrimonial exceptionnel, riche de plus de 350 000 phototypes, rassemble des photographies de mode, d’architecture, de paysage, de décor, mais aussi publicitaires, allant des années 1840 aux créations les plus récentes. Jusqu’au 2 […] L’article Histoires de photographies – Collections du Musée des Arts Décoratifs est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 57 jours

Silences et chuchotements – Estelle Lagarde

« Silences et chuchotements » est la réunion de deux nouvelles séries inédites d’Estelle Lagarde pour cette nouvelle exposition. A Strasbourg, jusqu’au 8 mai 2021. L’œuvre d’Estelle Lagarde est un cheminement pluriel. C’est de la rencontre avec une architecture, de l’appréhension d’une lumière et d’un certain écoulement du temps que naissent les narrations photographiques de l’artiste, échos […] L’article Silences et chuchotements – Estelle Lagarde est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

Rendez-vous au Low-Carbon et BIM World de Paris

Le salon national de la construction et de l’aménagement urbain est en cohérence avec la stratégie bas carbone de l’Etat. [©LowCarbonWorld] Du 23 au 24 juin prochain, Paris accueillera Low-Carbon World et BIM World, deux rendez-vous très attendus par tous les professionnels de la construction. Nouvel évènement : première du genre, le Low-Carbon World se veut être la vitrine de la transition bas carbone. En effet, l’Etat français s’est donné pour objectif de réduire la quantité de carbone de 49 % d’ici 2030 et d’atteindre une décarbonation totale pour 2050. Il faut savoir que le secteur de la construction représente 30 % des émissions de C02. La RE 2020 fait aussi partie des évolutions à prendre en compte. Ainsi, ce salon accompagnera les professionnels dans cette démarche durable et d’économie circulaire. Les collectivités territoriales, les acteurs de la construction, de l’immobilier et de l’énergie se donnent rendez-vous au Low-Carbon World. Les deux salons associés En parallèle du Low-Carbon World, se tient le BIM World, un évènement européen sur la transition numérique des marchés de la construction, de l’immobilier et de l’aménagement urbain. Bien plus qu’un simple salon, le BIM World met en avant les utilisations et bienfaits du numérique pour les métiers, ainsi que pour des ouvrages plus durables et performants. Cette année, il aura pour objectif d’accélérer l’industrialisation et la transformation digitale. Mais aussi de développer les nouveaux services et usages numériques sur la Data.  Au-delà de leurs propres objectifs, les deux salons s’associent dans l’intérêt général, afin de favoriser l’innovation, les usages du numérique et la diffusion des solutions bas carbone. Ensemble, ils couvrent 6 grandes thématiques d’innovation et de réalisation tout au long du cycle de vie des ouvrages et des aménagements. La mise en place de la RE 2020 et de la stratégie nationale Bas Carbone permettra d’accélérer l’innovation sur toute la chaîne de valeur de la construction des bâtiments. Les fournisseurs et équipementiers les plus engagés sont déjà dans une démarche d’éco-conception. Ceci, afin de proposer des produits adaptés. Les opérateurs et promoteurs de la construction revoient, eux aussi, leurs exigences et leurs pratiques, afin de concevoir des ouvrages que respectent les nouvelles nomes. Aujourd’hui, le monde de la construction doit se mettre à jour et prendre en compte les attentes des différents acteurs.  Charline David
Il y a 4 ans et 58 jours

5 conseils pour bien éclairer chaque pièce de sa maison

L’éclairage constitue un élément essentiel de votre décoration, en intérieur comme en extérieur. En effet, si une pièce dégage une atmosphère particulière, c’est que l’éclairage y est pour quelque chose. Il en va de même pour une pièce lumineuse qui offre un confort de vie appréciable grâce à la visibilité optimale qu’elle confère. Pour toutes ces raisons, il est important de bien éclairer les différentes pièces qui constituent votre habitation. Mais comment y procéder, sans pour autant altérer l’intimité de la pièce ? Découvrez nos astuces pour faire de chaque pièce, un endroit fonctionnel ou reposant, selon son usage. Prendre en compte l’usage de la pièce Chaque pièce de la maison possède une fonctionnalité propre à elle. Avant d’acquérir votre luminaire, il implique de considérer sa fonction dans votre espace de vie. Pour la salle à manger, un lustre muni de graduateur d’intensité est favorable, tandis que dans la cuisine, les suspensions au-dessus du plan de travail sont à privilégier. Les encastrés autour de la pièce peuvent également faire leur effet pour mieux éclairer la pièce lors de la préparation des repas. Un lampadaire design idéal pour votre salon peut habiller l’angle du séjour ou l’extrémité du canapé. Son éclairage tamisé apportera une ambiance conviviale à cette pièce, à côté de vos mobiliers. Pour la chambre à couche, la lampe de table ou les appliques murales sur chaque côté du lit sont idéales pour la lecture. Pour l’éclairage général, la suspension se révèle particulièrement efficace. Placer les graduateurs stratégiquement Également appelé dimmer, le graduateur est une fonctionnalité permettant de varier l’intensité de l’éclairage en fonction de ses besoins en luminosité. Ainsi, vous pouvez adapter l’éclairage en fonction de vos activités et des heures de la journée. Les luminaires qui intègrent cette option sont à inclure dans les pièces multifonctionnelles comme le salon, la salle à manger ou encore la salle familiale. Dans les chambres à coucher comme dans la salle de bains, les graduateurs se révèlent également très pratiques. Dans ce cadre, leur but étant de tamiser l’éclairage. Bien choisir le type d’ampoule On distingue une grande variété d’ampoules à choisir en fonction de son usage, à savoir : Les tubes fluorescents pourvus d’une lumière vive, voire blafarde, idéalement à installer avec graduateur. Les ampoules incandescentes, appréciées pour leur efficacité énergétique. Les ampoules à LED qui dominent le marché, de par leur durabilité et leurs différents aspects : rubans à LED, habillage, etc. Les ampoules fluocompactes, une version miniature du tube fluorescent. Les ampoules halogènes, peu énergivores, donc économiques. Opter pour l’éclairage localisé L’éclairage général est un éclairage direct ou indirect qui projette une lumière diffuse sur la globalité de la pièce. Il peut prendre la forme d’encastrés ou de rail. Toutefois, les points lumineux sont plus intéressants pour bien éclairer les points d’intérêts de la maison. C’est ce qu’on appelle, l’éclairage localisé qui permet de créer des zones distinctes comme une toile ou un mur. On retrouve généralement ce type d’éclairage dans les galeries d’art, les magasins ou autres locaux commerciaux. Dans une maison, il est à prévoir pour le plan de travail de la cuisine, le coin lecture du salon, le bureau, etc. L’éclairage d’accent L’éclairage d’accent apporte la touche finale à chaque pièce. Il consiste à mettre en valeur un détail architectural de la pièce, un objet ou l’isolant. Dans les musées, pour éclairer les œuvres d’art posés à plat, on utilise des projecteurs de type unidirectionnel pour obtenir un faisceau de lumière dirigé. Sinon, pour les objets à relief, les projecteurs de type multidirectionnels vont venir découper l’objet dans l’espace. Comme son nom l’indique, ce mode d’éclairage vise à accentuer une zone précise de la pièce de votre logement. Les lampes de table comme les lampes sur pied sont parfaitement adaptées pour créer un espace intime en retrait du reste de la pièce.
Il y a 4 ans et 59 jours

Fortement critiquée sur l'entretien de Paris, Hidalgo promet d'engager la décentralisation "avant l'été" pour plus d'efficacité

"Je ne pense pas qu'on puisse s'occuper, par exemple, de problèmes de propreté au quotidien dans les quartiers depuis un niveau central qui est l'Hôtel de Ville de Paris. Donc c'est une compétence que je veux déconcentrer, c'est-à-dire que les maires d'arrondissement aient les moyens d'organiser dans leurs arrondissements les tournées de propreté", a affirmé Mme Hidalgo, réélue en 2020 et candidate potentielle de la gauche à l'élection présidentielle de 2022.Cette décentralisation, les 17 maires d'arrondissement "vont l'avoir très rapidement", a assuré l'élue socialiste. "Avant l'été, nous allons engager cette décentralisation, pas que sur la propreté.""La décentralisation est une façon d'aller vers plus d'efficacité: plus on est dans la proximité pour gérer des questions de proximité, mieux, je crois, on s'en sort", a encore déclaré la maire de Paris, qui a maintenu son engagement de campagne de doubler au cours de son second mandat de 500 millions à 1 milliard d'euros le budget dédié à l'entretien et à la rénovation des rues de la capitale."Donner la propreté aux arrondissements sans donner les moyens qui sont consacrés, ça n'a aucun sens", a réagi la maire LR du 7e arrondissement Rachida Dati lors d'une conférence de presse préparatoire au prochain Conseil de Paris."Mettre un milliard d'euros sur la propreté sans réorganisation, sans vision, sans modernisation, c'est encore de l'argent jeté par les fenêtres", a-t-elle poursuivi.Depuis fin mars, l'exécutif parisien fait face à ce qu'il qualifie de "campagne de dénigrement" sur les thèmes de la propreté, mais aussi de l'entretien et des choix du mobilier urbain, sous le mot-dièse #saccageParis qui circule sur Twitter.Sur RTL, Anne Hidalgo a accusé Pierre Liscia, candidat divers droite aux dernières municipales dans le XVIIIe arrondissement, d'être "derrière beaucoup" des comptes Twitter à l'origine de cette "campagne très orchestrée"."Sur les 5 jours où cette campagne a pris forme, il y a eu 5.200 tweets à auteur unique. Mille tweets par jour, ce n'est rien", affirmait mercredi à l'AFP le chercheur Carlos Moreno, proche de Mme Hidalgo.Pour cet urbaniste, conseiller spécial pour une "ville intelligente" à la mairie de Paris, il y a derrière #saccageParis "une vraie problématique autour des déchets, de la propreté, de l'esthétisme et des nouvelles urbanités qui vient se croiser avec un phénomène, l'astroturfing, qui lui est une manipulation politique, militante".
Il y a 4 ans et 59 jours

Promotion des métiers de la métallerie au prochain MÉTALEXPO

MÉTALEXPO veut mettre l’accent sur la formation et la promotion des métiers de la métallerie auprès des jeunes publics. Du 21 au 24 septembre, porte de Versailles,  les visiteurs auront l’occasion de découvrir toute la diversité et la richesse de ces métiers à travers des rencontres, des démonstrations et des conférences qui prouveront tout le dynamisme de ce secteur. Par ailleurs, reporté en raison de la crise sanitaire, le Concours Métal Jeunes conserve la thématique des « Monuments détournés » pour son édition 2021. Ce concours a lieu au niveau national et s’adresse aux jeunes formés aux métiers du métal dans le Bâtiment (métalliers, métalu-verriers, métalliers ROCSM…) dans les classes de niveau V (CAP) et IV (BP, Bac Pro). Les œuvres réalisées seront évaluées par un jury d’experts en fonction de leur qualité technique, de leur esthétisme et de la qualité de leurs finitions. Les œuvres ainsi primées seront exposées sur le stand de l’Union des Métalliers. Les visiteurs seront invités à choisir leur œuvre préférée dans le cadre d’un vote du public dont le résultat sera dévoilé le jeudi 23 septembre.  ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO – 21 au 24 septembre 2021 à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1