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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

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Il y a 4 ans et 59 jours

Un méga-projet touristique en Indonésie dénoncé par des experts de l'ONU

"Des experts de l'ONU ont appelé le gouvernement indonésien à respecter les droits humains dans le cadre d'un nouveau projet touristique de 3 milliards de dollars sur l'île de Lombok", est-il écrit.Selon ces experts mandatés par l'ONU et spécialisés sur les droits humains, dont le rapporteur spécial sur les droits de l'homme et l'extrême pauvreté Olivier De Schutter, ce projet qui se situe dans la région de Mandalika, sur l'île de Lombok voisine de Bali, "a donné lieu à des plaintes pour accaparements de terres, évictions de communautés autochtones de l'ethnie Sasak et intimidations et menaces à l'encontre de défenseurs des populations locales"."Financé en partie par la Banque asiatique d'investissement en infrastructure (AIIB), le projet a attiré plus d'un milliard de dollars de capitaux privés", selon le communiqué.Il s'agit d'un complexe touristique "comprenant un circuit de moto Grand Prix, des parcs de loisirs et des hôtels de luxe tels que les enseignes internationales Pullman, Paramount Resort, et Club Med", est-il précisé.Mais plusieurs sociétés citées par les experts dans leur communiqué, bien qu'associées initialement, ont démenti à l'AFP y prendre encore part, dont Vinci et le Club Med."Vinci Construction Grands Projets a signé en 2018 un accord-cadre avec la société publique ITDC (Indonesia Tourism Developement Corporation) portant sur l'étude du développement d'un dixième de la surface du projet", a répondu le groupe."Cet accord-cadre ne comprend aucun engagement, ni de financement ni de construction de notre part", ajoute le groupe. "Depuis, nous n'avons signé aucun contrat de construction, nous n'avons personne sur place et nous n'y menons aucune activité".Quant au Club Med, il a signé en 2016 des accords avec ITDC en vue de l'exploitation, en 2019, d'un nouveau resort sur l'île de Lombok, confirme le groupe auprès de l'AFP. "Le projet dans lequel le Club Med n'était ni investisseur, ni aménageur, ni constructeur, a été abandonné en 2019 et les travaux n'ont jamais commencé", ajoute-t-il.Les experts de l'ONU citent également Accor (France), Dorna Sports (Espagne) et EBD Paragon (Etats-Unis).Le projet de Mandalika a été désigné comme l'une des zones prioritaires pour le développement du tourisme dans l'archipel par le gouvernement indonésien qui espère la création de milliers d'emplois et attirer jusqu'à 2 millions de touristes étrangers par an grâce à un circuit de Moto GP et un complexe hôtelier.Mais les travaux ont pris du retard à cause de conflits avec les occupants des terrains et de la pandémie.
Il y a 4 ans et 60 jours

Lancement d'Artizen, un outil archi-simple de gestion de l'administratif au service des artisans du bâtiment

Naissance de l’idéeArtizen est né d’une expérience banale. Foucauld avait une fenêtre à changer dans son appartement. L’artisan a parfaitement effectué les travaux prévus mais tout l’à-côté (l’administratif) a été laborieux. Il y a eu des incompréhensions dans la prise de rendez-vous, des difficultés dans la transmission des factures et un contretemps sur le paiement. Concrètement la réparation a pris une journée mais les échanges ont pris plusieurs mois jusqu’au paiement de la facture. Construction d’ArtizenSuite à cette expérience, Foucauld a décidé de passer du temps avec des artisans pour comprendre comment ils travaillaient, très vite rejoint par François. Le duo a alors passé du temps devant les magasins de fournitures de chantier puis en discutant simplement avec des artisans dans la rue devant leurs camionnettes. Ils ont aussi partagé un questionnaire envoyé à plus de 50 plombiers et électriciens et ont constitué un petit groupe de travail pour s’assurer de bien comprendre toutes les subtilités du métier et de l’organisation. C’est après plus de 6 mois d’échanges, d’écoute et d’observations qu'ils ont commencé à concevoir Artizen. Tout au long de la conception, ils n'ont cessé d’interagir avec des artisans, et en particulier le petit groupe de travail formé, pour s’assurer de répondre exactement à leurs besoins. Ces artisans, apportaient la connaissance du terrain et le duo la connaissance de l’organisation. Ils ont ensuite retranscrit fidèlement toutes ces discussions dans l’outil Artizen.Ce lien avec le terrain et avec les artisans est essentiel dans ce projet car il est la source de tout le développement. Il ne se passe pas un jour sans discussion avec un ou plusieurs artisans.Les trois constats d'ArtizenArtizen répond à trois constats simples :L’administratif, ce n’est pas le métier des artisans, ils ont l’impression de perdre du temps, c’est compliqué et ça ne rapporte pas d’argent ;Les artisans ont la pression de leurs clients, du législateur et de leur expert-comptable pour dématérialiser la gestion de leurs factures (encore plus durant cette période de covid) ;Les logiciels disponibles sur le marché sont complets, sophistiqués mais complexes à l’utilisation pour une population largement non technophile.Les fonctionnalités :Agenda avec toutes les informations du client et les raccourcis de contact et GPS. Stockage et échanges de photos du chantier ;Editeur devis et factures avec catalogue de tâches préenregistrés et envoi du document au client par SMS. Possibilité d’extraire les factures et envoi automatique au comptable ;Suivi de paiement avec possibilité de donner un statut payé ou non payé à la facture et d’extraire un rapport sur l’état de paiement des factures.Les six promesses d’ArtizenArtizen fait 6 promesses aux artisans :Vous réduirez le temps consacré à la gestion de l’administratif pour vous concentrer sur vos interventionsQuand vous rentrez chez vous, vous profitez de votre famille et de vos amis, plus besoin de rallumer l’ordinateurVous réduisez drastiquement vos impayés grâce à un suivi des paiements simple et rigoureuxVous êtes en conformité avec la loi et les règles comptables. Vous anticipez l’obligation de dématérialisation des factures qui arriventVous gagnez du temps dans vos échanges avec votre comptable grâce à l’envoi automatique des documentsVous améliorez votre image de marque auprès de vos clientsDifférence entre Artizen et les autres solutionsL’ADN d’Artizen se résume en un mot : simplicité.Un seul objectif : rendre simple les tâches qui semblent compliquées et peu intéressantes pour les artisans.Ainsi, Artizen n’est pas un logiciel parmi tant d’autres à plusieurs titres :Il est tout d’abord simple : toute personne non technophile sait s’en servir en 3 minutesIl est efficace et va droit au butIl est complet car il regroupe un agenda, un éditeur de devis et factures, un catalogue de prestations, un outil de suivi des paiements, un extracteur de facture, un système d’envoi des documents aux clients et au comptableCe positionnement clair et simple est un choix fondateur d’Artizen qui est l’exact contraire de la plupart des concurrents. La majorité des acteurs du marché offrent aux artisans des solutions très sophistiquées, très poussées techniquement, avec de multiples fonctionnalités mais extrêmement complexes et lourdes à l’utilisation. Artizen fait le pari inverse : lancer une solution archi simple pour que tous les artisans y accèdent facilement.Utilisation :Artizen propose une période d’essai gratuite pour tester les différentes fonctionnalités sans pression.Pour cela, il suffit de créer son espace en deux étapes :Renseigner une adresse mail et d’un mot de passeRenseigner un SIREN afin de pouvoir obtenir toutes les informations légales obligatoires sur les facturesA la fin de votre période d’essai, c’est-à-dire le premier jour du mois suivant votre inscription, Artizen vous proposera deux formules d’abonnement avec des prix transparents et fixes sans aucune surprise :Une formule d’abonnement annuel sur 12 mois de 35€ HT / moisUne formule d’abonnement mensuel sans engagement de 50€ HT / moisLe tarif est fixe sans aucun frais de mise à jour ou autre et avec un accès illimité au service client qui sera heureux de guider les artisans dans leurs premiers pas.
Il y a 4 ans et 62 jours

Nos conseils pour peindre son salon

Peindre un salon peut s’avérer être un vrai casse-tête. Étant le centre de l’habitat, embellir cette pièce de maison exige un travail colossal et une dose importante de méticulosité. Le moindre faux-pas peut donc être catastrophique. D’où les conseils suivants pour une décoration réussie et afin d’éviter les erreurs. Bien préparer la surface d’opération Re-combler les trous et les fissures Avant d’appliquer une quelconque peinture sur les murs de vos salons, songez à reboucher les crevasses présentes. Pour ce faire, n’hésitez pas  à  un appliquer de l’enduit de rebouchage sur les entailles et ensuite de le laisser se reposer pendant quelques heures. Si votre mur comporte quelques traces d’un ancien revêtement ou enduit, tenez-vous de bien gratter le mur avec un outil décapant afin d’ôter tout ce qui s’écaille. Nettoyer la surface de travail Une fois avoir comblé les trous et entailles sur les murs, vous devez dépoussiérer la surface le maximum possible. De cette manière, les grumeaux et autres parties granulées ne sauteront pas aux yeux lorsque le mur sera recouvert de revêtement. Pour ce faire, vous pouvez y passer l’aspirateur ou bien une éponge humide. Dans certains cas, on utilise de la lessive de soude diluée à l’eau pour faire partir les couches de graisse ou autres impuretés. Lisser le mur Pour des résultats optimaux, il convient d’appliquer un enduit de lissage d’une fine épaisseur de 1 mm sur le mur. Ce processus a pour but de désintégrer les bribes de particules granuleuses présentes dans le mur et de la rendre par conséquent polie. Vous devez ensuite le laisser sécher pendant 24 h le temps pour le mur de bien absorber le solvant. Puis, poncez la surface et époussetez-là à nouveau. Appliquer une sous-couche La sous-couche est une solution permettant au mur d’être davantage réceptif à des solvants plus ou moins agressifs comme la peinture. Par la même occasion, ce liquide aide à bien étaler et fixer la peinture appliquée. Choisir la peinture convenable Miser sur le solvant adéquat Lors de l’application de la peinture, vous avez le choix entre les deux solvants de base qui sont le glycéro et l’acrylique. Si vous optez pour la solution à base de glycéro, vous bénéficiez d’une peinture durable et très résistante. De par ses caractéristiques, ce solvant risque de froisser le mur et de le rendre peu lisse. Pour ce qui est de l’acrylique, il se nettoie facilement à l’eau et au savon. Trouver la bonne teinture La coloration doit dépendre du style du salon ainsi que de votre goût. Toutefois, nous vous recommandons le blanc étant donné que c’est une couleur standard et s’adapte de ce fait à toutes sortes de surface. Or, si vous souhaitez personnaliser davantage, nous vous conseillons de choisir la peinture selon votre personnalité. Si vous êtes d’une nature calme, simple ou discrète, nous vous recommandons les couleurs sobres comme les pastels. En revanche, si vous êtes une personne dynamique et agité, pourquoi ne pas opter pour des couleurs flashy ou vivaces ? Au cas où vous êtes un mélange de ces deux profils énoncés, choisissez les couleurs comme le vert, l’acajou, le marron et même le beige. Opter pour le style idéal La peinture et la décoration vont toujours de pair. Dans ce cas, nous vous conseillons de ne pas négliger les autres éléments d’embellissement comme les meubles. Si vous avez opté pour une peinture pastel, vous pouvez installer deux ou trois meubles de style shabby chic. Ceux-là donneront un aspect romantique à votre salon. Or, si vous avez choisi une peinture de couleur vivace, veuillez opter pour des meubles ou des objets ultra-modernes. Appliquer petit à petit la peinture Après avoir réuni le matériel nécessaire à savoir le rouleau, le pinceau  la  brosse à rechampir pour les angles, les pots de peinture, le bac à peinture, une grille d’essorage, le mélangeur, une éponge, la bâche de protection, le ruban adhésif de masquage, le papier à poncer et l’escabeau, vous devez peu à peu commencer à peindre. Avant tout, vous devez bien mélangez la peinture et la versez dans le bac. Ensuite, utilisez le pinceau pour peindre les angles entre le mur et le plafond. Trempez le tiers des poils dans la peinture pour éviter les éclaboussures. Puis, enduisez votre rouleau avec suffisamment de peinture et étalez la peinture à la verticale sur les murs puis à l’horizontale. Entre temps, travaillez par zone d’un mètre carré en commençant par le haut du mur. En outre, peignez l’intégralité du mur en une seule fois pour un résultat uniforme. Enfin, laissez-la peinture se sécher pendant quelques heures avant d’entamer la deuxième couche. Pour permettre à la peinture de bien sécher, vous pouvez y ajouter un ruban de masquage. Vous devez ensuite retirer ce ruban avant que la peinture ne sèche complètement. Si ce procédé vous semble trop compliqué, n’hésitez pas à contacter un professionnel comme un artisan peintre pour un résultat parfait. Il est le mieux qualifié pour peindre le mur à votre place.
Il y a 4 ans et 62 jours

5ème Grand Prix International d’Architecture BigMat

Qui succédera à l’architecte portugais Eduardo Souto de Mora, primé en 2019 pour son travail sur la centrale hydroélectrique du barrage « Foz Tua » ? Premier prix doté de 30 000€. Jusqu’au 29 avril 2021. BigMat propose la 5ème édition de son Grand Prix International d’Architecture. Depuis 2013, ce concours, organisé tous les deux ans, […] L’article 5ème Grand Prix International d’Architecture BigMat est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 63 jours

Trophées Coach Copro, Lorenove Grands Comptes et Lorillard Façades, acteurs majeurs du grand prix du jury

Premier concours en France qui récompense les réalisations de rénovation énergétique les plus exemplaires, Les Trophées Coach Copro visent à valoriser et affirmer la nécessité de rénover énergétiquement les copropriétés. L’Agence Parisienne du Climat, en soutien de la Ville de Paris, de la Métropole du Grand Paris et de l’ADEME, et en partenariat avec les ALECS de la métropole parisienne (Plaine Commune, CAEU, MVE, ALEPTE, ALEC, POLD et GPSO) ont lancé la seconde édition de ce grand concours qui a récompensé – le mercredi 24 mars dernier – les travaux les plus remarquables, répondant à des critères de sélection précis, en phase avec la transition écologique du territoire. Cette année, à nouveau, deux entités du Groupe Lorillard : Lorenove Grands Comptes et Lorillard Façades apparaissent comme des acteurs majeurs de la transition énergétique en ayant contribué à la rénovation de la copropriété Jean Jaurès, lauréate du Grand Prix du Jury. LA COPROPRIETE DE LA RUE JEAN JAURES PARIS Située dans le 19ème arrondissement parisien, cette copropriété de 41 logements, construite en 1979, a bénéficié des dispositifs Copropriété Objectif Climat et OPATB 19 de la Ville de Paris. La conception du projet de rénovation a inclus l’isolation thermique extérieure des façades et de la toiture, le changement des menuiseries, l’amélioration des systèmes de ventilation et de production d’eau chaude sanitaire. Sur ce projet, c’est à nouveau l’agence de maîtrise d’oeuvre, Réanova, qui est intervenue et qui a collaboré avec les entités Lorenove Grands Comptes et Lorillard Façades, du Groupe Lorillard.                                       Le chantier, démarré en janvier 2019, s’est achevé en février 2020. Lorenove Grands Comptes a réalisé la pose en rénovation de 110 menuiseries. Les anciennes menuiseries en aluminium, simple vitrage, ont été remplacées par des fenêtres Khélio 2 et des coulissants Lumys, en aluminium bicolores, finitions blanc en intérieur et Anodic Natura en extérieur. Les menuiseries situées côté rue, ont été équipées d’un vitrage technique permettant un affaiblissement acoustique de 34 dB. 28 volets roulants ont également été changés par des coffres, isolés intérieurement et équipés de volets roulants Thermo-Reflex. Lorillard Façades a réalisé toute l’isolation et la rénovation des différentes façades avec un système ITE en panneaux résoliques de 90 mm sur les pignons et en rez-de-chaussée, un système ITE en Laine de Roche de 160 mm avec enduit mince sur l’ensemble des façades restantes. L’étiquette de performance énergétique (énergie primaire) des logements est passée de 296 kWhep/m²/an (E) à 121 kWhep/m²/an (C). Pour plus d’information sur ce chantier : https://paris.coachcopro.com/fiche-de-site/3fc8c96c-80c3-4884-a3d9-11353d33f2a7                                         PLUSIEURS CHANTIERS EN LICE Parmis les 20 copropriétés candidates, 3 autres projets, pour lesquels Lorenove Grands Comptes est également intervenu, étaient en lice pour les Trophées. Une anecdote qui tend à souligner l’expertise de la marque en matière de rénovation énergétique des bâtiments. – Résidence des Jardins Albertivillariens. Située sur la commune d’Aubervilliers (93) cette résidence de 69 logements, construite en 1974, a bénéficié d’une rénovation énergétique rassemblant les prestations d’isolation thermique extérieure des façades et des pignons, l’isolation des planchers bas, la réfection de la toiture terrasse (710 m²), l’amélioration de l’électricité des parties communes des sous-sols, la mise en oeuvre d’une ventilation mécanique contrôlée hygroréglable ainsi que le remplacement des fenêtres d’origine. Sur ce projet, l’agence de maîtrise d’oeuvre, Réanova, qui a déjà plusieurs fois collaboré avec le Groupe Lorillard, s’est adressée très logiquement à celui-ci pour la mise en oeuvre. Proposant des prestations globales avec ses partenaires – Lorillard Façades pour la rénovation et l’isolation de façade, Protectéa, spécialiste du désamiantage et déplombage – Lorenove Grands Comptes est apparu comme un interlocuteur privilégié : l’approche plurielle du Groupe se fait mutualisante dans ses expertises, pour la réussite d’un projet. Le projet a donc articulé 4 experts, 4 acteurs collaboratifs travaillant en commun, Lorenove Grands Comptes, Lorillard Façades, Soprema (travaux d’étanchéité) et EMC-Airtec (réfection du système de ventilation) ; chaque entreprise intervenant selon son domaine d’expertise, lors des différentes phases du chantier. Pour faciliter l’échange collaboratif avec Reanova, Lorenove Grands Comptes est désigné mandataire financier principal pour un projet à plus d’un million d’euros : Lorillard Façades, Protectéa et Lorenove Grands Comptes représentant 85% du montant total du marché. Le chantier, démarré au printemps 2017, s’est achevé en avril 2018. La réalisation finale atteint 187 fenêtres LUMYS, en aluminium finition Anodic Natura, intérieur et extérieur, qui s’adaptent parfaitement aux façades existantes, et apportent un maximum de luminosité et de confort de vie à l’habitant. L’étiquette de performance énergétique (énergie primaire) des logements est passée de 241 kWhep/m²/an (E) à 135 kWhep/m²/an (C). Pour plus d’information sur ce chantier : https://alec-plaineco.coachcopro.com/fiche-de-site/2d97249e-0749-4cf3-9670-5a06008f0fe7 – Résidence du Clos de la Garenne Située sur la commune de Fresnes (94), cette copropriété a été construite dans les années 1960 et se compose de 12 bâtiments (répartis en 11 copropriétés) et plus de 1100 logements. Les bâtiments vieillissent mal, les façades en béton enduit ne sont pas isolées et présentent des tâches, des fissures, de la mousse par endroit. Par ailleurs la mauvaise performance thermique de l’enveloppe et des menuiseries simple vitrage ainsi qu’un système de ventilation défaillant engendrent des phénomènes de condensation et l’apparition de moisissure à l’intérieur des logements. Pour réaliser cet ambitieux projet de rénovation, le conseil syndical du Clos de la Garenne a fait appel au groupe pluridisciplinaire Île-de-France Energies pour réaliser l’audit architectural et énergétique et pour une mission de maîtrise d‘oeuvre. Le chantier, démarré début 2019, s’est achevé en février 2020. Lorenove Grands Comptes a été missionnée pour le remplacement des menuiseries privatives, la fermeture des loggias, le remplacement de 13 persiennes (par des persiennes en aluminium) en rez-de-chaussée sur le bâtiment E, la pose de volets roulants et le détalonnage des portes intérieures pour une meilleure circulation de l’air. 307 menuiseries aluminium simple vitrage ont été rénovées par des fenêtres Khelio 2 et des coulissant Lumys, en aluminium de finition Anodic Natura. Des volets roulants ont été mis en oeuvre également. La fermeture des loggias a également été réalisée avec des coulissants Lumys. L’étiquette de performance énergétique (énergie primaire) des logements est passée de 307 kWhep/m²/an (E) à 209 kWhep/m²/an (D). Pour plus d’information sur ce chantier : https://energie-caue94.coachcopro.com/fiche-de-site/9db92a50-be45-4037-a4d7-054251eea5cc – Copropriété de la rue Edouard Lockroy Paris Située dans le 11ème arrondissement parisien, cette copropriété de 52 logements, construite en 1974, a bénéficié du dispositif EcoRénovons Paris de la Ville de Paris. Le chantier a démarré en janvier 2019. En premier lieu, une intervention de désamiantage a été nécessaire avant la réalisation des travaux de façades. Le ravalement s’est accompagné du remplacement de l’ensemble des menuiseries ainsi que de l’isolation des planchers bas sur locaux non chauffés, de la mise en place d’un système de ventilation mécanique hygroréglable type-A, ainsi que d’une amélioration du réseau de chauffage. Lorenove Grands Comptes a remplacé les 79 menuiseries en bois, simple vitrage, par des fenêtres aluminium Khelio 2 et des coulissants aluminium Lumys, finition blanc intérieur et marron extérieur. Les portes du hall et de l’accès du toit-terrasse ont également été rénovées par des portes aluminium. L’étiquette de performance énergétique (énergie primaire) des logements est passée de 151 kWhep/m²/an (D) à 98 kWhep/m²/an (C). Pour plus d’information sur ce chantier : https://paris.coachcopro.com/fiche-de-site/33a1dc03-75c3-4121-a1bd-bfd7e85d17b4   Rappelons que les Trophées métropolitains CoachCopro poursuivent deux objectifs : valoriser les rénovations en copropriétés les plus remarquables et mettre en avant les acteurs professionnels qui interviennent conjointement sur ces opérations d’envergure. Cependant, les projets qui candidatent doivent répondre à plusieurs critères et notamment : – posséder le statut de copropriété ; – être situés sur le territoire de la métropole du grand Paris ; – avoir réceptionné l’opération de rénovation énergétique entre le 1er janvier 2016 et le 15 novembre 2020 (chantier terminé) ; – atteindre au moins 30 % de gains énergétiques projetés ; – ne pas avoir déjà candidaté aux Trophées CoachCopro 2019. Pendant ces 4 mois, le jury a étudié les projets candidats au regard de 4 critères : leur financement (coût et aides obtenues), leur aspect durable, leur reproductibilité et leur innovation. Engagés pour la réhabilitation des bâtiments à travers le développement durable et la valorisation du patrimoine bâti Lorenove Grands Comptes et Lorillard Façades sont fiers de contribuer à prouver qu’une éco-rénovation de qualité est possible, accessible et duplicable. Partager la publication « Trophées Coach Copro, Lorenove Grands Comptes et Lorillard Façades, acteurs majeurs du grand prix du jury »        
Il y a 4 ans et 63 jours

Alpes-Maritimes : le Département a inauguré un nouveau parking de covoiturage à Mandelieu-la-Napoule

Un tout nouveau parking de covoiturage est désormais accessible à Mandelieu-la-Napoule. Le Département des Alpes-Maritimes a procédé à son inauguration le 16 mars 2021.
Il y a 4 ans et 63 jours

RE2020 : "on est en train de préparer la crise du logement de 2025" (E. Cosse, USH)

CONSTRUCTION. Le rendez-vous du Mondial du bâtiment a été l'occasion d'un échange en décalé entre l'actuelle ministre chargée du logement, Emmanuelle Wargon, et sa prédécesseure Emmanuelle Cosse, aujourd'hui présidente de l'Union sociale pour l'habitat. La nouvelle réglementation environnementale inquiète en effet les acteurs de la construction que sont les bailleurs sociaux.
Il y a 4 ans et 63 jours

MEETT, à Toulouse, un parc des expositions signé OMA, avec ppa et TAA

En juillet 2020, OMA (mandataire), avec ppa●architectures et Taillandier Architectes Associés (TAA), a livré MEETT, le nouveau parc des expositions et centre de conventions de Toulouse Métropole (Haute-Garonne). Communiqué. Ce projet de 130.000 m² comprend les halles d’exposition de grands évènements (55 000 m²), les aires d’accueil d’expositions extérieures, la desserte tramway et les stationnements […] L’article MEETT, à Toulouse, un parc des expositions signé OMA, avec ppa et TAA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 64 jours

La Biennale Internationale Design à Saint-Etienne reportée d'un an en raison de la crise sanitaire

Ces derniers, dans un communiqué, ont justifié leur décision en pointant les "incertitudes sanitaires persistantes portant sur l'ouverture des équipements culturels" et "l'organisation d'événements réunissant des publics en présentiel"."Nous arrivions à la limite du moment où il allait falloir lancer les installations, avec beaucoup de contre-indications de la part des pouvoirs publics et un risque financier important", a encore expliqué à l'AFP Marc Chassaubéné, le président de l'Établissement public de coopération culturelle (EPCC) Cité du design.La 12e édition a donc été repoussée "du 6 avril au 31 juillet 2022"."Dans le prolongement du travail déjà engagé, cette Biennale sera consacrée au thème des Bifurcations et à la contribution du design dans le pilotage et la nature de nos changements de comportements individuels et collectifs", ont assuré les responsables de l'évènement.Dotée d'un budget de 4 millions d'euros, cette édition, dont l'Afrique est l'invité d'honneur, doit marquer un changement par rapport aux précédentes, avec une durée de près de quatre mois, contre un mois auparavant.La précédente Biennale, organisée au printemps 2019, avait connu une fréquentation en retrait par rapport aux 235.000 visiteurs de 2017, en raison des manifestations de "gilets jaunes"
Il y a 4 ans et 64 jours

Déviation Fos-Salon : décision ministérielle dans trois mois

Le 31 mars à Istres, dans les Bouches-du-Rhône, la Commission nationale du débat public a remis à l’Etat le bilan et le compte-rendu de cinq mois de concertation sur le projet de liaison routière de 27 km entre Fos-sur-Mer et Salon-de-Provence, à l’ouest de la métropole Aix-Marseille-Provence. Elle a mis en avant le refus du « tout routier » et l’envie de la poursuite d’une concertation. L’Etat a trois mois pour analyser les recommandations de la CNDP avant une décision ministérielle qui donnera la marche à suivre.
Il y a 4 ans et 64 jours

Un concept de dalle de douche de plain-pied présenté en avant-première au salon numérique « Bette Future Days »

Les 20 et 21 avril, Bette présentera ses nouveaux produits et ses innovations 2021 dans le cadre de son salon numérique Bette Future Days. Pendant deux jours, les partenaires et les professionnels des secteurs de la vente, de l’artisanat, de la conception et de l’architecture assisteront à des démonstrations détaillées de nouveaux produits pour la salle de bains. Des présentations d’une demi-heure seront organisées plusieurs fois par jour en allemand ou en anglais. « Cette année, nous mettons l’accent sur des nouveautés passionnantes, très simples à installer, qui subliment la salle de bains », annonce Sven Rensinghoff, Directeur Marketing et gestion des produits chez Bette. « La dalle de douche de plain-pied BetteAir nous permet d’introduire en avant-première mondiale un produit en acier titane vitrifié pour les douches à l’italienne. Peut-être la plus grande innovation depuis la commercialisation de BetteFloor. » Les présentations de produits seront suivies de tables rondes, où les participants pourront poser toutes leurs questions en direct aux spécialistes de Bette. Pour approfondir ces informations, les professionnels pourront également s’inscrire à l’un des séminaires d’accompagnement en ligne. L’occasion de se pencher en détail sur les nouveaux produits en une vingtaine de minutes. Enfin, les commerciaux de l’entreprise se tiendront disponibles pour toute demande de conseils individuels sur rendez-vous. Les personnes intéressées peuvent s’inscrire au salon Bette Future Days sur le site www.bettefuturedays.com.    
Il y a 4 ans et 66 jours

Les Journées Européennes des Métiers d’Art en réel et en virtuel

Face à la crise sanitaire, l’Institut National des Métiers d’Art a tout mis en oeuvre pour maintenir la 15e édition des Journées Européennes des Métiers d’Art à travers toute la France, afin de manifester son soutien aux professionnels du secteur. L’édition 2021 se déroulera du mardi 6 au dimanche 11 avril autour du thème « Matières à l’œuvre ». Elle offrira avant tout l’opportunité, pour le public, d’échanger avec des professionnels des métiers d’art et du patrimoine vivant, que ce soit par des ouvertures d’atelier à destination de tous, pendant lesquels les visiteurs auront le privilège de se retrouver au cœur des espaces de création, de Rendez-vous d’Exception, sous forme de visites et de rencontres exclusives dans des chantiers, monuments patrimoniaux et lieux emblématiques des métiers d’art et du patrimoine vivant habituellement pas, ou peu, accessibles, une exposition digitale à la Galerie des Gobelins du Mobilier national, intitulée « Matières à l’œuvre – matière à penser, manière de faire », organisée par l’INMA du vendredi 9 avril au dimanche 9 mai 2021. En complément de la programmation physique, l’Institut National des Métiers d’Art a souhaité donner, pour la première fois, la possibilité au public de rencontrer les professionnels virtuellement. Loin de se substituer à la programmation classique, ce volet digital est véritablement pensé comme une offre supplémentaire, afin de redécouvrir les professionnels de la région ou d’interagir avec des créateurs éloignés géographiquement. www.journeesdesmetiersdart.fr  
Il y a 4 ans et 66 jours

Du 29 mars au 2 avril, la Semaine de l'entreprise coopérative BTP

Une opération inscrite dans le programme de promotion de l'entrepreneuriat du CCCA-BTP La Semaine de l'entreprise coopérative BTP est une initiative pilotée par le CCCA-BTP, en partenariat avec la Fédération des SCOP du BTP. Sa première édition se déroule partout en France, du 29 mars au 2 avril 2021.Son objectif vise à promouvoir le modèle exemplaire de l'entreprise coopérative dans le secteur de la construction auprès des apprentis en formation dans les métiers du BTP. Ce modèle s'inscrit pleinement dans le programme de promotion de l'entrepreneuriat, mis en place par le CCCA-BTP auprès des apprentis pour les sensibiliser à la création, la reprise et la transmission d'entreprise.Les 600 entreprises coopératives du BTP mobilisées dans tous les territoiresLors de cette Semaine, les 600 sociétés coopératives du BTP se mobilisent en région pour venir à la rencontre des jeunes en formation au sein des organismes de formation aux métiers du BTP qui participent à cette initiative. Au-delà de faire découvrir aux apprentis du BTP le modèle coopératif, qui, par ses spécificités, ses valeurs et son mode de gouvernance séduit de plus en plus de jeunes, son objectif est également d'accompagner des apprentis, futurs entrepreneurs, qui achèvent leur parcours de formation, dans la réalisation de leur projet professionnel.Une semaine à la découverte d'un modèle d'entreprise équitable, démocratique et pérenne, où…Les salariés ont le pouvoir de décider. Ceux-ci détiennent au moins 51 % du capital social et 65 % des droits de vote.Les dirigeants sont choisis et élus par les salariés. Ce sont eux qui pilotent la société au quotidien, mais ils sont élus dans les assemblées générales.Les bénéfices sont équitablement répartis. Ces profits sont distribués entre les salariés (participation et intéressement), les réserves de la SCOP et les associés (dividendes).La démocratie prévaut. Chaque associé dispose d'un droit de vote égalitaire, quel que soit le capital détenu sur le principe : un homme = une voix.Un tiers des bénéfices est réservé pour assurer l'avenir et la pérennité de l'entreprise. La part des bénéfices mise en réserves contribue à consolider les fonds propres et à conforter l'avenir de l'entreprise. C'est sans doute ce qui explique la pérennité des 600 sociétés coopératives du BTP.Une quarantaine d'événements inscrits au programme Ces événements sont organisés au niveau régional par les Fédérations régionales des SCOP du BTP et les organismes de formation du BTP.Diverses animations sont au programme, avec :des ateliers et des conférences pour présenter le modèle coopératif ; des SCOP dating pour le recrutement d'apprentis ou de nouveaux sociétaires ;des visites d'entreprise coopérative ou de chantier réalisé par une SCOP. Toutes les régions de France participent, y compris La Réunion, avec douze événements en Auvergne-Rhône-Alpes, deux en Bourgogne Franche-Comté, deux en Bretagne, un en Centre-Val de Loire, deux en Grand-Est, trois en Haut-de-France, deux en Ile-de-France, deux en Normandie, trois en Nouvelle-Aquitaine, trois en Pays de la Loire et quatre en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Zoom sur six événements organisés en région BTP CFA Loire-Atlantique (site de Saint-Herblain) : 29 mars 2021Conférence de présentation du modèle coopératif et témoignages de l'entreprise coopérative SCOP SCETEC et de la Fédération Ouest SCOP du BTP.Les Compagnons du Devoir et du Tour de France de Nancy : 29 mars 2021Atelier-conférence sur le modèle coopératif et organisation d'un SCOP dating.BTP CFA Isère (Bourgoin-Jallieu) : 30 mars 2021Atelier-conférence sur le modèle coopératif et échanges avec la SCOP ARTSCOP BOIS, un ex-apprenti menuisier aujourd'hui salarié dans cette entreprise coopérative, la Fédération régionale Auvergne-Rhône-Alpes des SCOP du BTP, en présence des apprentis et de l'équipe pédagogique du centre de formation. Fédération compagnonnique régionale d'Orléans : 31 mars 2021Conférence de présentation du modèle coopératif, échanges et témoignages avec la Fédération Île-de-France - Centre Val-de-Loire des SCOP du BTP, l'Union régionale des Scop (UR SCOP) Centre Val-de-Loire et l'entreprise SCOP Leplâtre.Bâtiment CFA Côte d'Or (Dijon) : 31 mars 2021Atelier-conférence sur le modèle coopératif et organisation d'un job dating.Bâtiment CFA Limoges : 1er avril 2021Visite par les apprentis du CFA de deux entreprises coopératives à Limoges : SCOP AEL et SOPCZ et conférence de présentation du modèle coopératif. Plus d'informations sur le site Internet dédié du CCCA-BTP.
Il y a 4 ans et 66 jours

Grand Prix national de l’ingénierie : à vos marques…

Le GNPI met en avant des projets des domaines de l’industrie ou de la construction. [©Syntec Ingenierie]. Chaque année, le Grand Prix national de l’ingénierie (GPNI) récompense une équipe ayant participé à la conception, soit d’un produit, soit d’un projet dans les domaines de l’industrie ou de la construction. Il a été lancé, en 2006, par les ministères de la Transition écologique, de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, et de l’Economie, des Finances et de la Relance. En partenariat avec Syntec Ingénierie et en association avec le groupe Le Moniteur, ce grand prix met en exergue l’ingénierie française dans toute sa diversité et ses composantes. Ainsi, sa mission est de mettre en lumière la valeur ajoutée de la prestation intellectuelle d’ingénierie. Aussi bien en termes de recherche, que de développement et d’innovation, ainsi que son impact économique et social. Un concours centré sur l’ingénierie La remise des prix aura lieu le 14 octobre 2021, lors du Meet’Ingé. [©Syntec Ingenierie]. Pour désigner l’équipe gagnante, le jury se base sur plusieurs critères. Surprendre est l’un des points essentiels. En effet, les participants se doivent de redoubler d’inventivité, de technologie et d’innover. La pluridisciplinarité de l’équipe et sa capacité à combiner les outils, les méthodes et les compétences seront aussi pris en considération lors de la décision finale. Enfin, l’intégration de la notion de développement durable et l’apport spécifique de la fonction de l’ingénierie à la faisabilité technico-économique du projet constituent les derniers éléments déterminants. Cette année, au vu de la crise sanitaire sanitaire, le jury portera une attention toute particulière aux projets ayant intégré les objectifs du plan de relance du gouvernement.  Mais aussi, à ceux permettant des économies d’énergie et de moindres émissions de gaz à effet de serre. Et qui se tournent vers une transition écologique, en incluant une économie bas-carbone, circulaire et durable. Attention ! La date limite de candidature est fixée au 31 mai 2021, avant 12 h 00. Le GNPI sera remis le 14 octobre 2021, lors du Meet’Ingé, un évènement mêlant professionnels, donneurs d’offres et grand public.
Il y a 4 ans et 66 jours

Atelier Julien Boidot - Portrait

Julien Boidot est diplômé de l'Ensa Nantes en 2007. Aux côtés d'Emilien Robin, il est lauréat d'Europan en 2005 et 2012, ainsi que des Ajap en 2014. En 2016, Julien Boidot est cocommissaire avec le collectif Ajap14 et Frédéric Bonnet de l'exposition « Nouvelles Richesses » à la Biennale de Venise. Il fonde son agence […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 67 jours

Forte mobilisation partout en France pour dénoncer le manque d'ambition du projet de Loi Climat

Le dimanche 28 mars, ce sont plus de 110.000 personnes selon les organisateurs et 44.000 selon le ministère de l'intérieur, qui se sont rassemblées partout en France, dont 55.000 à Paris et 10.000 à Lyon (12.000 à Paris et 4.000 à Lyon selon la Police), pour exiger une vraie Loi Climat, répondant à l'appel de plus de 684 organisations. Malgré le contexte sanitaire, les participants se sont rassemblés par milliers, pressés par l'urgence à agir.Car c'est ce lundi 29 mars que commencent les débats à l'Assemblée Nationale : les députés seront appelés à voter une loi “Climat et Résilience” qui manque cruellement d'ambition selon ces organisations. De très nombreux amendements ont été déclarés irrecevables, comme ceux concernant l'éco-responsabilité des entreprises, l'accompagnement des salariés en reconversion ou le renforcement du transport ferroviaire. Le gouvernement a laissé très peu de chances aux propositions de la majorité comme de l'opposition, quand il n'a pas dégradé l'ambition du texte, comme en matière de rénovation énergétique des bâtiments. On est très loin des mesures de la Convention citoyenne pour le Climat que le projet de loi était pourtant censé reprendre.“Qu'un président de la République trahisse sa parole auprès des citoyens c'est très grave pour notre démocratie, mais c'est plus grave encore que le gouvernement décide sciemment de ne pas faire ce qui est nécessaire. On ne négocie pas avec le climat, c'est une course contre la montre que nous devons gagner.”rappelle Cyril Dion, garant de la Convention citoyenne pour le Climat et présent en tête de cortège. A Paris, 55.000 personnes selon les organisateurs, 12.000 selon la Police, se sont rassemblées derrière la banderole “Pour une vraie Loi Climat, Stop au blabla” dénonçant l'écart entre les beaux discours d'Emmanuel Macron et de son gouvernement sur les enjeux climatiques et une loi Climat qui n'est pas du tout à la hauteur de ces ambitions. Dans le cortège festif, a été déplié un 2,5/10 géant sur une copie d'écolier, en référence à la note attribuée par la Convention Citoyenne pour le Climat à l'action gouvernementale en réponse à leurs propositions, et des pancartes représentant le Président de la République affublé d'un bonnet d'âne.“Avec ce projet de loi “Climat et Résilience”, Emmanuel Macron nous ment une fois de plus : celui qui se prétend le champion de la Terre est en réalité un véritable cancre du climat. Après la forte mobilisation de ce dimanche, nous nous assurerons que les députés aient bien en tête l'enjeu d'une loi ambitieuse pendant tous les débats sur la loi et nous nous donnons rendez-vous le dimanche 9 mai pour faire le bilan !“ annonce Elodie Nace, porte-parole du mouvement Alternatiba, organisateur de la Marche à Paris. Dès lundi et le lancement des débats en séance plénière, les mobilisations continuent pour maintenir la pression sur les députés. “C'est ce passage de relais entre les 150 membres de la Convention et les milliers de personnes qui veulent défendre leur travail qui marque le retour des Marches pour le Climat” souligne Anne-Sophie Lahaye, coordinatrice de Maintenant Ou Jamais, un réseau d'activistes en ligne mobilisés sur le projet de loi.Les organisations donnent déjà rendez-vous : si la loi est votée en l'état, elles seront de retour dans la rue le dimanche 9 mai pour juger du bilan d'Emmanuel Macron en matière d'environnement.
Il y a 4 ans et 67 jours

L'U2P et ses organisations membres lancent la plateforme participative « La Voix des Artisans »

Ainsi, pour être au plus près des demandes des artisans, l'U2P lance aujourd'hui une plateforme participative. Accessible à partir du site lavoixdesartisans.fr, celle-ci permettra de collecter leurs avis et propositions afin d'enrichir le programme des listes et de faire entendre « La Voix des Artisans » lors de tous les grands rendez-vous électoraux à venir.Une plateforme participative pour permettre aux artisans d'être entendusCette nouvelle plateforme participative, en ligne sur le site lavoixdesartisans.fr, a pour but de recueillir et d'analyser les problématiques auxquelles sont confrontés les artisans dans leur quotidien de chefs d'entreprise, particulièrement éprouvés ces derniers mois par la crise sanitaire et économique. Elle permet à chaque artisan de témoigner, de discuter, de faire part de ses difficultés, de partager ses coups de cœur et ses coups de gueule.Ces témoignages seront traités et synthétisés en fonction de plusieurs critères tels que le métier exercé, la situation géographique des artisans et/ou les thématiques abordées. Ils enrichiront ainsi, au fur et à mesure, le programme des listes « La Voix des Artisans » soutenues par l'U2P et ses organisations membres, la CAPEB, la CGAD, la CNAMS et la CNATP. Le premier débat interroge les artisans sur la question de la prolongation des aides à l'apprentissage et à la professionnalisation.Un espace pour animer le débat publicLa plateforme a également vocation à nourrir le débat public et à mettre en lumière les sujets centraux pour l'artisanat. Six principales thématiques seront ainsi proposées. Dans un premier temps, la parole sera donnée aux artisans, pour qu'ils puissent s'exprimer pour ou contre une proposition détaillée. Dans un second temps, un débat donnant la parole à deux contradicteurs sera organisé en direct à partir du studio TV de l'U2P.Ces débats nourris visent à interpeller les décideurs politiques et le grand public, afin de faire connaître les combats de l'artisanat. Ils ont pour objectif de donner sa juste place à l'artisanat dans le débat public, notamment à l'approche des élections régionales de 2021 ainsi que pour les élections présidentielle et législatives de 2022.L'ensemble de ces éléments s'accompagnera d'un dispositif d'ampleur avec des prises de parole des candidats sur les listes « La Voix des Artisans » ainsi que d'une campagne médiatique et digitale.Les listes « La Voix des Artisans » en préparation pour les prochaines élections aux Chambres de métiers et de l'artisanat – CMALes CMA sont appelées à se renouveler lors des élections consulaires en fin d'année 2021. L'U2P et l'ensemble de ses organisations membres sont en train de constituer les listes de candidats qui seront intitulées « La Voix des Artisans ». Elles mettront au cœur de leur campagne les priorités suivantes :Replacer l'Artisanat, première entreprise de France, au centre des politiques publiques et des actions de relance économique ;Assurer un service de proximité de qualité à chaque artisan, en complémentarité avec les missions des organisations professionnelles ;Renforcer l'identité artisanale et poursuivre la promotion de l'Artisanat ;Accompagner la modernisation, les transitions numérique et énergétique, et l'effort de formation, notamment l'apprentissage, des entreprises artisanales.Historiquement, l'U2P est l'organisation qui fédère et défend les artisans. Ses candidats sont des artisans au service exclusif des entreprises artisanales.
Il y a 4 ans et 67 jours

Batiman lance un concept exclusif pour les négociants en matériaux

Un corner clef en main« La Manuiserie Espace Expert » propose à ses partenaires des « espaces expert » modulables conçus pour s'intégrer facilement dans leurs points de vente et leurs halls d'exposition. D'une surface de 25, 50 ou 100 m², ces corners entièrement marketés sont indiqués par des panneaux directionnels et des oriflammes en magasin.Une expertise produitsLe corner « La Manuiserie » propose aux professionnels une offre exclusive de fenêtres, portes et volets (bois, PVC et alu), sélectionnés à des prix très compétitifs par la centrale de référencement Les Man, ainsi que des échantillons, des nuanciers, des maquettes explicatives et des outils interactifs. Les partenaires bénéficient de l'accompagnement personnalisé d'un animateur du réseau et de formations sur les spécificités des produits.Un label de qualitéConçue comme un label, La Manuiserie Espace Expert garantit aux clients des produits et des services de grande qualité. Aux côtés de l'enseigne du point de vente, son logo se veut une référence dans l'univers de la menuiserie en fourniture seule.Des outils sur-mesureLe réseau « La Manuiserie » s'engage à accompagner ses partenaires à chaque étape de leur développement, de l'installation du corner aux outils d'aide à la vente. La tête de réseau fournit ainsi à ses partenaires un outil de devis et de suivi commercial, un simulateur de réalité virtuelle accessible sur une borne dédiée ou encore une plateforme marketing qui permet de commander de l'ILV, des flyers, des brochures ou des objets publicitaires…
Il y a 4 ans et 67 jours

Natixis jugée à partir de lundi pour sa communication au début de la crise des subprimes

C'est la première fois qu'une banque française sera jugée en France pour des faits liés à la crise de 2008.En novembre 2007, dans un communiqué sur ses résultats du troisième trimestre de l'année, Natixis indiquait que les risques portés par la banque sur les "subprime", un type de crédit hypothécaire distribué aux États-Unis, étaient "limités".La crise coûtera finalement cher à la jeune banque, qui verra son cours s'effondrer, passant de 19,55 euros lors de son introduction en Bourse fin 2006, à moins d'un euro par action en 2009.C'est à cette époque que de petits actionnaires emmenés entre autres par l'Association pour la défense des actionnaires minoritaires (Adam) saisissent la justice. L'organisation porte plainte pour "diffusion d'informations trompeuses" et "présentation de comptes inexacts".Seuls deux communiqués de 2007 ont finalement fait l'objet d'une mise en examen en 2017, soit dix ans après les faits. Le renvoi devant le tribunal ne concerne que l'un des deux, celui portant sur les résultats du troisième trimestre, l'autre ayant abouti à un non-lieu du juge d'instruction.Les audiences s'étendront sur six demi-journées, entre le 29 et le 31 mars, puis du 6 au 8 avril, au tribunal judiciaire de Paris.Si la justice juge que Natixis a volontairement sous-estimé son exposition pour tromper le marché, la banque risque une amende pouvant aller jusqu'à 7,5 millions d'euros, un montant faible au regard du bénéfice net de l'établissement qui s'est élevé à 100 millions d'euros en 2020, et à deux milliards en 2019.A cette amende, pourraient s'ajouter les demandes des parties civiles.Lors de l'annonce du renvoi devant le tribunal en 2019, la filiale cotée du groupe BPCE avait rappelé que "l'émergence de cette crise constituait alors pour elle, comme pour toutes les banques de la place, une situation sans précédent dont il était impossible d'anticiper les conséquences en chaîne"."Dans ce contexte, Natixis considère avoir fourni au public, en toute sincérité, les informations dont elle disposait sur ses expositions, au fur et à mesure de l'identification de leurs risques sous-jacents", avait ajouté la banque.L'Autorité des marchés financiers (AMF), qui s'était penchée sur cette communication, avait décidé qu'il n'y avait pas lieu d'engager des poursuites.La crise des "subprime" a fait basculer les États-Unis dans ce qui était alors la pire récession depuis la Grande Dépression de 1929 et a eu des répercussions mondiales.Natixis avait été sévèrement touchée, accusant une perte nette de 2,8 milliards d'euros en 2008 et de 1,7 milliard d'euros en 2009 avant d'entamer un redressement.Mais le cours de la banque n'est, lui, jamais revenu à ses niveaux d'avant-crise. Aujourd'hui, l'action Natixis vaut environ 4 euros, soit le prix annoncé en février par la maison mère BPCE, qui souhaite racheter la totalité des titres du marché et sortir sa filiale de la Bourse.Lors de son introduction en 2006, 2,8 millions de particuliers avaient acheté des titres Natixis et l'opération avait été à l'époque qualifiée de succès."Ils n'ont pas arrêté de faire de la communication pour nourrir leur cours de Bourse, mais les gens n'ont pas été informés qu'ils détenaient un titre qui en réalité avait un fort potentiel de baisse", avait critiqué en 2017 la présidente de l'Adam, Colette Neuville.
Il y a 4 ans et 68 jours

À Lyon Confluence, Vergély et Diener & Diener conjuguent identité lyonnaise, sobriété et innovation

Julien Boidot est diplômé de l'Ensa Nantes en 2007. Aux côtés d'Emilien Robin, il est lauréat d'Europan en 2005 et 2012, ainsi que des Ajap en 2014. En 2016, Julien Boidot est cocommissaire avec le collectif Ajap14 et Frédéric Bonnet de l'exposition « Nouvelles Richesses » à la Biennale de Venise. Il fonde son agence […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 70 jours

L'OPPBTP relance sa campagne de sensibilisation nationale pour éviter le bruit dans le BTP

Elle est l'occasion de délivrer davantage d'informations sur ce sujet et d'aider les encadrants et les opérateurs à adopter les bons réflexes. Avec plus de 64% des salariés concernés par les nuisances sonores en 20171, le bruit est omniprésent dans le BTP. Parfois négligé sur le terrain, ses conséquences sur la santé des opérateurs sont pourtant bien réelles. Consciente de cet enjeu, la profession se mobilise pour rappeler que de nombreuses solutions de prévention existent et en faciliter l'accès.Accompagner les professionnels grâce à une campagne de sensibilisation nationaleLa campagne nationale « Contre le bruit, j'agis » vise en premier lieu à sensibiliser l'ensemble des professionnels du BTP à ce risque majeur, en leur rappelant l'importance de la prévention collective et en leur présentant l'étendue des solutions existantes pour adopter les bons réflexes. En second lieu, l'Organisme se donne l'objectif de valoriser les protections individuelles contre le bruit (PICB) les plus efficaces et à faciliter leur acquisition.Pour protéger au mieux les professionnels, l'OPPBTP rappelle les grands principes de prévention à mettre en œuvre. Après avoir évalué les risques sur le terrain, les entreprises disposent de nombreuses mesures de protection collective afin d'agir à la source et d'éviter aux opérateurs une exposition nocive. Dans un second temps et si le bruit persiste, des EPI permettent de protéger les collaborateurs des nuisances sonores auxquels ils sont inévitablement exposés.Réaliser une évaluation des risquesL'évaluation des risques constitue le point de départ de la démarche de prévention et de sa mise en œuvre. Etablir un diagnostic en amont permet de définir ensuite les mesures nécessaires à la protection des opérateurs. L'employeur doit donc identifier les postes de travail les plus exposés et les équipements qui représentent les principales sources de pollution sonore. Pour cela, il lui faut caractériser les sources de bruit, distinguer les bruits continus des bruits impulsifs, réaliser des mesures à l'aide d'un sonomètre et prendre en compte la durée moyenne des travaux concernés par les nuisances. Des outils d'évaluation et plan d'action sont proposés sur le site preventionbtp.fr.Investir dans le bon matérielA partir du diagnostic établi, la première mesure à mettre en place est d'agir à la source du bruit, en le prenant en compte parmi les critères d'achat lors de l'investissement matériel. Ainsi, l'Organisme recommande de s'équiper des outils dotés des meilleures performances acoustiques en s'appuyant sur les indications données par le fabricant, figurant sur la notice et l'étiquetage. De plus, certains types d'équipement sont à privilégier. Par exemple, les machines thermiques ou pneumatiques peuvent être remplacées par des électriques, moins bruyantes. Il est également possible de réaliser des encoffrements de certaines machines afin de les isoler acoustiquement.Adapter l'organisation du travail et de l'activitéDans un second temps, l'organisation du travail doit être optimisée de manière à réduire autant que possible le temps d'exposition au bruit des opérateurs. Pour cela, il faut distinguer physiquement sur le chantier les opérations les plus bruyantes de celles qui ne le sont pas. Une planification des tâches peut également permettre aux salariés d'alterner entre activités bruyantes et calmes pour éviter une surexposition. Cette réflexion organisationnelle bénéficie ainsi non seulement à la santé des collaborateurs, mais également à la productivité sur le chantier.Recourir aux équipements de protection individuelleSi malgré ces précautions, les opérateurs sont toujours soumis à une exposition au bruit supérieure au seuil de nocivité de 81 dB, il devient alors essentiel de les équiper de protections individuelles. Celles-ci doivent impérativement être portées pendant toute la durée de l'exposition et être adaptées aux conditions de travail et aux personnes qui les portent. L'Organisme insiste notamment sur le fait qu'une surprotection est inutile, voire contre-productive. « Il est important de déterminer l'atténuation acoustique adéquate, en fonction de la tâche effectuée et de l'environnement de travail dans lequel évolue l'opérateur. Dans le cas contraire, celui-ci risque de ne plus rien entendre autour de lui et de ne plus pouvoir communiquer avec ses collègues, ce qui le dissuaderait de porter l'EPI. » précise Mohamed Trabelsi, Responsable du Domaine EPI à la Direction Technique de l'OPPBTP.Un partenariat pour faciliter l'équipement des professionnelsDevant la grande diversité d'EPI existants, la campagne « Contre le bruit, j'agis » vise à accompagner les professionnels dans leur choix et favoriser l'accès à un équipement adéquat. Ainsi, l'OPPBTP s'est rapproché de 9 fabricants et distributeurs partenaires : 3M, Cotral, Earsonic, Auditech-Innovation, Interson, Uvex, MSA, Delta Plus et groupe RG. Cette collaboration permettra aux entreprises de bénéficier d'offres promotionnelles exclusives, toujours dans le but de faciliter l'acquisition d'EPI.Ensemble, l'OPPBTP et ses partenaires ont choisi de valoriser les équipements de protection les plus efficaces. On retrouve ainsi :Les bouchons personnalisés qui permettent de filtrer seulement les bruits qui agressent l‘oreille tout en conservant une communication classique.Les coquilles antibruit qui ont l'avantage d'être particulièrement résistantes et de s'ajuster facilement.Les casques antibruit électroniques qui offrent une meilleure restitution du son en dehors du bruit environnant. Ils peuvent également être communicants pour maintenir le contact entre l'opérateur et son équipe.« Nous nous engageons à accompagner les entreprises dans une démarche active d'équipement de leurs collaborateurs lorsque celle-ci est nécessaire. En nous associant aux fabricants et fournisseurs de protections individuelles contre le bruit, nous souhaitons faciliter tous ensemble l'acquisition de ces protections et faire un pas de plus vers une protection optimale des professionnels. » Paul Duphil, Secrétaire Général de l'OPPBTPLa campagne prévoit une opération de promotion multimédia, conçue par l'OPPBTP et ses partenaires, avec différents outils et dispositifs de communication.Un kit opérationnel de promotion sera déployé auprès des professionnels du BTP. Ce dernier est composé de :Posters et stickers pour inciter les professionnels du BTP sur le terrain à afficher leur engagement « contre le bruit, j'agis »,D'une vidéo courte dont l'ambition est la viralisation sur les réseaux sociaux,De bannières pour aller capter les professionnels dans leur univers de navigation web (médias, partenaire loueurs…),D'une page internet pour délivrer des conseils en rappelant les principes généraux de prévention et faire le lien avec les offres des partenaires sur les équipements de protection individuelle,D'une lettre explicative envoyée aux 240 000 entreprises du BTP.Les organisations professionnelles et salariales ainsi que les services de santé au travail se mobilisent pour soutenir et relayer cette campagne.Le bruit, un risque majeur encore trop souvent oubliéLe bruit constitue une nuisance majeure dans le milieu professionnel. Une exposition prolongée peut occasionner une perte auditive irrémédiable ainsi que d'autres risques associés, tels que de la fatigue, du stress, des troubles de l'équilibre ou, encore, des troubles cardio-vasculaires. Dans le secteur du BTP, il altère également à court terme la vigilance et la concentration, augmentant ainsi le risque d'accidents.Or, les professionnels de la construction sont particulièrement exposés aux nuisances sonores. En effet, les sources de bruit sont très nombreuses sur les chantiers ou dans les ateliers (environnement de travail bruyants, équipements ou engins de forage, engins de TP, équipements à moteur thermique, équipements motorisés, outillage éléctroportatif…). Cela place le BTP en tête des secteurs les plus touchés par le risque bruit. Utilisés quotidiennement, la plupart de ces outils produisent plus de 81 dB, soit le niveau à partir duquel des dommages irréversibles pour l'audition sont susceptibles de survenir.« Le bruit est parfois négligé dans le secteur du BTP car il est déjà très exposé à de nombreux autres risques, souvent perçus comme prioritaires. Par ailleurs, les professionnels ont tendance à minimiser le risque lié au bruit car ses conséquences sur la santé n'ont pas d'effet immédiat. Malheureusement, la perte auditive est déjà réelle et irrémédiable lorsque les personnes touchées commencent à se rendre compte des difficultés qu'ils rencontrent, d'où l'importance de mettre en place des mesures préventives. »Antoine Hauter, médecin du travail1 Source : Enquête Sumer 2017 sur les conditions de travail
Il y a 4 ans et 70 jours

L'aggravation de la pandémie retarde la reprise économique en Europe

Ces mauvaises nouvelles posent déjà la question d'un renforcement du plan de relance de 750 milliards d'euros voté l'an dernier par l'Union européenne.L'UE "a apporté une réponse à la hauteur" à la suite de la première vague de l'épidémie du printemps 2020. Mais, suite aux 2ème et 3ème vague (...), il nous faudra sans doute compléter cette réponse", a lancé jeudi soir à Bruxelles le président français Emmanuel Macron, ouvrant le débat.Au début du mois de mars, il semblait encore acquis que la reprise serait au rendez-vous cet été, une fois que la campagne de vaccination, après quelques ratés au démarrage, serait franchement sur les rails.Lors de sa réunion du 11 mars, la Banque centrale européenne a maintenu ses prévisions "globalement inchangées", sa présidente Christine Lagarde disant tabler sur "un rebond ferme de l'activité au second semestre".Mais le tableau s'est depuis brutalement assombri. La troisième vague de l'épidémie de Covid-19 a conduit les trois principales économies de la zone euro - Allemagne, France et Italie - à adopter un nouveau régime de restrictions, alors qu'on semblait se diriger au contraire vers un assouplissement des mesures. Et les difficultés d'approvisionnement en vaccins, qui ont dominé jeudi le sommet de l'Union européenne, sont encore loin d'être résolues.En février, l'assureur-crédit Euler Hermès avait estimé que l'UE avait cinq semaines de retard par rapport à son objectif de vacciner 70% de la population d'ici la fin de l'été. Jeudi, il a refait ses calculs : le retard est désormais de sept semaines et pourrait coûter 123 milliards d'euros en 2021 aux Vingt-Sept."Si on compare avec la situation aux Etats-Unis, où les perspectives sont bien plus positives, on prend clairement beaucoup de retard sur la reprise avec cette troisième vague", constate Charlotte de Montpellier, économiste chez ING.Emmanuel Macron a lui-même comparé les politiques de relance de Bruxelles et Washington. "La force de la réponse américaine et du plan annoncé il y a quelques jours par le président Biden et son Congrès nous placent face à une responsabilité historique", a-t-il estimé, en allusion à la décision d'injecter 1.900 milliards de dollars dans l'économie américaine.Europe "à deux vitesses"La banque ING anticipe désormais autour de 3% de croissance pour la zone euro en 2021, soit plus d'un demi-point de moins par rapport à début mars. Elle estime que "l'essentiel de la reprise" aura lieu à partir du troisième trimestre, un peu plus tard que prévu.C'est aussi le diagnostic d'Andrew Kenningham, chef économiste pour l'Europe de Capital Economics, selon qui l'Europe ne retrouvera pas son niveau de PIB d'avant-crise avant la deuxième moitié de 2022, un an après les Etats-Unis.Au rythme actuel, la part de la population vaccinée dans l'UE ne devrait pas atteindre les 50% "avant juillet", un seuil que la Grande-Bretagne a déjà franchi et que les Etats-Unis devraient dépasser "dans les semaines à venir"."Les perspectives se sont dégradées", le retard dans la vaccination, qui diffère la levée des restrictions, risque de déboucher sur une "économie à deux vitesses", avertit Chris Williamson, chef économiste d'IHS Markit.Les chiffres du PMI de mars - qui mesure l'activité du secteur privé - ont ainsi révélé une divergence importante entre l'Allemagne, première économie de la zone euro, qui profite du rebond industriel, et la France, davantage dépendante des services.Le moral des entrepreneurs allemands vient ainsi de retrouver son niveau de juin 2019, selon les données publiées vendredi par l'institut Ifo.Les pays du sud - Espagne, Portugal, Italie, Grèce - s'inquiètent de devoir subir une nouvelle saison touristique en demi-teinte, de quoi menacer la cohésion européenne.Standard and Poor's a cependant choisi de maintenir ses prévisions inchangées pour la zone euro, à +4,2% pour 2021, en soulignant "le maintien de conditions de financement favorables prévalant actuellement". En outre, "l'économie de la zone euro est moins sensible aux restrictions sociales qu'il y a un an", souligne Sylvain Broyer, chef économiste Europe pour S&P.
Il y a 4 ans et 70 jours

RE2020 : l'Afpac liste les systèmes de chauffage qui passeraient sous les seuils

ÉQUIPEMENTS. Les pompes à chaleur seront l'une des pièces maîtresses de l'habitat neuf de demain, avec la prochaine entrée en vigueur de la réglementation environnementale 2020 (RE2020). L'association française de la pompe à chaleur a communiqué plusieurs scénarios, lors d'une récente conférence de presse.
Il y a 4 ans et 70 jours

Découvrez les lauréats des trophées CoachCopro 2021

EN IMAGES. Trois copropriétés ayant subi une rénovation particulièrement ambitieuse ont été désignées dans le cadre des trophées organisés par CoachCopro, l'outil d'aide et d'accompagnement de l'Agence parisienne du climat pour les copropriétés de toute la métropole du Grand Paris.
Il y a 4 ans et 70 jours

Jean Tschumi, l’architecte suisse de l’ombre

L’architecte et enseignant suisse, Jean Tschumi, a principalement œuvré après la Seconde Guerre mondiale, dans les années 1950. [©Wiki Commons] A la suite d’une donation exceptionnelle, la Cité de l’architecture et du patrimoine consacre sa première rétrospective à l’architecte suisse Jean Tschumi. Cette dernière aura lieu, du 12 mai au 19 septembre 2021, dans le XVIe arrondissement de Paris. Près de 150 dessins, maquettes, photographies, pièces de mobiliers, films historiques, œuvres d’art seront disponibles le temps d’une évasion culturelle. De ses débuts de décorateur, au concours pour le siège de l’Organisation mondiale de la santé, l’exposition permet de (re)découvrir toute l’ampleur d’une œuvre. Bien que peu connu du public français, l’art de Jean Tschumi se partage entre la France et la Suisse. Spécialiste des sièges sociaux d’entreprises, son nom est rattaché à une architecture de prestige, fonctionnelle et moderne. Dans cette première rétrospective française, une douzaine de projets de l’architecte seront présentés. Elle s’articule autour d’une série de thèmes architecturaux, dont l’urbanisme souterrain, l’architecture d’entreprise, l’artisanat du dessin ou encore l’importance du mobilier. Des débuts prometteurs, de Lausanne à Paris Né en 1904, dans le canton de Genève, en Suisse, Jean Tschumi est initié, dès son plus jeune âge, au dessin et au travail du bois. Dans les années 1920, il s’installe en France, afin de suivre une formation à l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Il y étudie notamment au côté de l’architecte français Emmanuel Pontremoli. Simultanément, il s’inscrit à l’Institut d’urbanisme de l’université de Paris. Par la suite, l’architecte commence à travailler avec le designer de meubles et d’intérieur Emile-Jacques Ruhlmann. Puis, il conçoit l’aménagement intérieur de l’usine d’armement et de ferronnerie d’art Edgar Brandt, à Châtillon-sous-Bagneux (92). Il y occupe le poste de directeur artistique. Jean Tschumi collabore aussi à l’aménagement intérieur des cabines de luxe du paquebot Normandie. Les années 1930 et 1940 marquent un tournant significatif dans la carrière de l’architecte. Il fonde, à Paris son agence “Tschumi et Vermeil décorateurs” avec l’architecte suisse Henri Vermeil. Par la suite, Jean Tschumi rencontre Edouard-Marcel Sandoz, sculpteur, entrepreneur et mécène, avec lequel il se lie d’amitié et collabore sur plusieurs projets. L’entreprise de produits pharmaceutiques Sandoz devient le principal commanditaire de Jean Tschumi, multipliant ainsi les chantiers. Jean Tschumi et Edouard-Marcel Sandoz, une histoire d’amitié De 1951 à 1956, Jean Tschumi a réalisé le siège de la Mutuelle vaudoise à Lausanne. Le bâtiment est une mise en application du thème de la “corporate identity” voulu par son créateur. [©Christian-Richters]L’immeuble se compose de deux ailes et présente des façades de verre, reposant sur une série de piliers de béton. [©Christian-Richters] Après différents projets de décoration intérieure pour les sièges bâlois et parisiens, l’architecte réalise plusieurs laboratoires industriels et bureaux aux sorties de la Seconde Guerre mondiale. Dont ceux d’Orléans, entre 1945 et 1953, où il associe pilotis, claustras et brise-soleil. Cette réalisation structurelle en béton lui vaut une première reconnaissance dans la presse architecturale. Au cours de l’année 1943, sur recommandation de Sandoz, il est appelé à Lausanne pour former et prendre la direction de la nouvelle Ecole d’architecture et d’urbanisme de l’Université de Lausanne. Il occupe ce poste durant près de 18 ans, jusqu’en 1961. Grâce aux efforts qu’il a fournis sans relâche et à ses compétences inéluctables, l’école a acquis un rayonnement international. Parallèlement à sa charge d’enseignant et de directeur à Lausanne, l’architecte n’oublie pas son agence à Paris. Il continue d’y travailler sur plusieurs programmes. A partir de 1950, de grandes sociétés, telles que l’Assurance Mutuelle vaudoise, Nestlé et André Graines lui font confiance pour réaliser leurs sièges sociaux. Modernité, fonctionnalité et confort sont les maîtres-mots de ces projets. L’architecture de Jean Tschumi puise dans les leçons du classicisme structurel du spécialiste du béton armé, l’architecte Auguste Perret. Une carrière ayant marqué le Mouvement moderne Le siège de Nestlé, à Vevey, a été élaboré entre 1956 et 1960 par l’architecte suisse. Pour ce faire, Jean Tschumi s’est inspiré des œuvres de Le Corbusier. [©Christian-Richters] Au cours d’un voyage aux Etats-Unis, en 1952, Jean Tschumi s’inspire des nouveaux modèles américains et de leurs façades-rideaux diaphanes en métal et en verre. L’architecte les introduit notamment pour les sièges de la Mutuelle vaudoise accidents (1951-1956), à Lausanne, et de Nestlé, à Vevey (1956-1960). Tous deux ouverts sur le panorama du lac Léman. Jean Tschumi réalise d’autres projets tout aussi importants, à l’image de la construction de L’Aula-des-Cèdres, fine coque en béton précontraint. Cette dernière tient alors lieu d’amphithéâtre pour l’Ecole polytechnique et universitaire de Lausanne, où Jean Tschumi est responsable de l’enseignement de l’architecture. Il élabore cet édifice avec l’ingénieur François Panchaud, lui-même y enseignant le béton armé. De 1961 à 1962, Jean Tschumi construit, en partenariat avec l’ingénieur François Panchaud, l’Aula-des-Cèdres à Lausanne. Cette collaboration entre les deux hommes est à l’origine d’immenses voiles de béton reflétant le bâtiment. [©Christian-Richters] Mais aussi, des bâtiments pour la société Sandoz à Orléans (45), Noisy-le-Sec (93) et Saint-Pierre-la-Garenne (27) et des Laboratoires Choay. Ou encore de l’exposition nationale suisse de Lausanne, pour laquelle il imagine une spectaculaire tour en béton et aluminium de 325 m de haut. Malheureusement, cette dernière ne vit jamais le jour. En effet, la carrière de l’architecte suisse, loin d’être à son terme, s’achève brusquement à l’aube du 25 janvier 1962. Jean Tschumi, alors âgé de 57 ans, s’éteint au cours d’un énième voyage à bord du train Paris-Lausanne, terrassé par une crise cardiaque. Tout au long de sa vie, Jean Tschumi, tant par son exemple que par son influence de pédagogue, s’est efforcé de remettre Lausanne sur le droit chemin. Il a œuvré pour la renommée de sa profession et nul doute que ses œuvres resteront pendant encore de nombreuses années comme une démonstration du Mouvement moderne. « Il a su, dans une œuvre prématurément interrompue, allier ce qui est de notre temps – les matériaux, les techniques. Et ce qui est de tous les temps : le respect du cadre, du site, des besoins et des aspirations des hommes », a déclaré, peu de temps après sa disparition, son ami de longue date l’architecte français, Pierre Vago.
Il y a 4 ans et 70 jours

L'ingénierie française mise en lumière

Chaque année depuis 2006, le Grand Prix National de l'ingénierie (GPNI) met en valeur la créativité et l’ingéniosité des concepteurs d’un projet ou d’un produit dans l’industrie ou la construction. L’édition 2021 est lancée et les inscriptions seront cloturées le 31 mai.
Il y a 4 ans et 70 jours

Trimble Connect : Convivial et collaboratif

Trimble Connect est une plateforme d’intégration et de communication basée sur le cloud qui relie les bonnes personnes aux bonnes données, au bon moment. Trimble Connect fournit des informations actualisées et utilisables pour les projets prêts à être réalisés : visualiser, examiner et référencer les modèles Tekla, les plans et autres données dont vous avez besoin pour mener à bien un projet de construction.  Avec Trimble Connect, vous pouvez travailler à tout moment, n’importe où et depuis n’importe quel appareil – La plateforme est accessible. Vous travaillez toujours avec des informations fiables et précises. Trimble Connect peut être utilisé dans les différentes phases du processus de construction, lors de la coordination et de la conception mais également pour communiquer sur le chantier ou hors site ainsi que pour la gestion des activités et des tâches au cours du projet. Vous pouvez partager les modèles, les plans et tous autres documents de Tekla: Visualisation, révision, modèle de référence et archivage avec historique des révisions. Trimble Connect dispose d’interfaces utilisateur conviviales pour les postes de travail et les appareils mobiles (iOS et Android) et même pour les appareils de réalité mixte (MR). La plateforme vous aide à garder le contrôle des modifications grâce à une collaboration constante. Ainsi les révisions couteuses dues aux informations périmées ne sont plus qu’un mauvais souvenir.Trimble Connect relie les données tout au long de chaque phase du cycle de vie du bâtiment afin de respecter les délais et le budget du projet. Vous pouvez télécharger et partager des documents de plus de 50 outils standards de l’industrie ou ajouter vos propres outils grâce aux API (Application Programming Interface). Trimble Connect et les outils de workflow sont disponibles en 16 langues. Regarder la vidéo En savoir plus Logiciel Tekla de Trimble  Trimble produit les solutions logicielles Tekla, qui font partie du portefeuille de Trimble Buildings, pour les flux de travail Modélisation de l’Information du Bâtiment (BIM) et d’ingénierie structurelle avancés. La gamme de solutions Trimble pour la construction s’étend des stations totales aux logiciels avancés, dotant ainsi le secteur du bâtiment des outils nécessaires pour la transformation de la planification, de la conception, de la construction et du fonctionnement des bâtiments. Les logiciels Tekla sont au cœur du processus de conception et de construction. Ils s’appuient sur la libre circulation des informations, sur des modèles 3D réalistes et sur la collaboration. Pour plus d’informations sur les logiciels Tekla, rendez-vous sur : www.tekla.com
Il y a 4 ans et 70 jours

Tekla Structures pour l’industrie du béton préfabriqué

Le logiciel Tekla Structures de Trimble est une solution logicielle performante, orientée BIM, idéale pour les constructions en béton préfabriqué. Le logiciel intègre la conception et l’exécution ainsi que la fabrication et la gestion de projet. Vous pouvez ainsi rationaliser l’intégralité du processus de préfabrication du béton, du devis a la livraison. Les outils intuitifs de Tekla Structures, vous permettent de modéliser précisément n’importe qu’elle structure et d’utiliser les données extraites du modèle pour planifier et contrôler votre production. Ainsi, en coordonnant efficacement toutes les opérations de conception, de fabrication et de montage, vous sécurisez la qualité des informations transmises et réalisez vos projets de manière plus fluide, sans erreurs et sans gaspillage.  Regarder la vidéo En savoir plus sur Tekla Structures 2021 – Tekla Structures pour le béton préfabriqué Logiciel Tekla de Trimble  Trimble produit les solutions logicielles Tekla, qui font partie du portefeuille de Trimble Buildings, pour les flux de travail Modélisation de l’Information du Bâtiment (BIM) et d’ingénierie structurelle avancés. La gamme de solutions Trimble pour la construction s’étend des stations totales aux logiciels avancés, dotant ainsi le secteur du bâtiment des outils nécessaires pour la transformation de la planification, de la conception, de la construction et du fonctionnement des bâtiments. Les logiciels Tekla sont au cœur du processus de conception et de construction. Ils s’appuient sur la libre circulation des informations, sur des modèles 3D réalistes et sur la collaboration. Pour plus d’informations, rendez-vous sur : www.tekla.com
Il y a 4 ans et 70 jours

Tekla Structures pour la construction en béton

Trimble propose sa solution Tekla Structures pour la construction en béton. Vous disposez d’outils faciles à utiliser, à n’importe quel stade du projet, pour concevoir des modèles réalistes. Avec Tekla Structures, il est possible de réaliser plus rapidement les métrés. Toutes les informations étant intégrées au modèle 3D, il est plus facile de s’adapter aux modifications apportées au cours de l’appel d’offres. Vous réalisez ainsi des devis quantitatifs et des plannings avec la même solution. Toutes vos estimations sont donc des informations fiables. Avec Tekla Structures, vous pouvez modéliser et visualiser très facilement les armatures. La fonction de détection rapide des collisions vous permet de détecter et de corriger les défauts avant la mise en œuvre du chantier. Il est possible de créer des plans d’exécution (ferraillage) et des plannings précis, en évitant ainsi des difficultés lors de l’installation. Regarder la vidéo En savoir plus sur Tekla Structures 2021 Logiciel Tekla de Trimble  Trimble produit les solutions logicielles Tekla, qui font partie du portefeuille de Trimble Buildings, pour les flux de travail Modélisation de l’Information du Bâtiment (BIM) et d’ingénierie structurelle avancés. La gamme de solutions Trimble pour la construction s’étend des stations totales aux logiciels avancés, dotant ainsi le secteur du bâtiment des outils nécessaires pour la transformation de la planification, de la conception, de la construction et du fonctionnement des bâtiments. Les logiciels Tekla sont au cœur du processus de conception et de construction. Ils s’appuient sur la libre circulation des informations, sur des modèles 3D réalistes et sur la collaboration. Pour plus d’informations, rendez-vous sur : www.tekla.com/2021
Il y a 4 ans et 70 jours

Jean Nouvel habille de magie une collection prestigieuse au Musée du Quai Branly

Dans ce musée des "arts premiers" voulu par Jacques Chirac dont le fondateur du groupe Fimalac était proche, 36 œuvres rares ont été installées dans une galerie dominant en mezzanine les salles d'exposition permanentes. Cette collection avait déjà fait l'objet d'une exposition en 2016 au Quai Branly.L'inauguration était prévue à l'automne dernier avant d'être reportée en raison du Covid-19.Baignée de clair-obscur, c'est une expérience de contemplation qui attend le visiteur. Sur des socles revêtus de bois, des élégantes enveloppes translucides en PMMA (polyméthacrylate de méthyle, sorte de plexiglas) entourent les plus belles œuvres, épousant leurs formes en les laissant respirer. A hauteur d'homme, on peut en faire le tour, ce qui permet de mieux pénétrer dans le mystère de leur signification, derrière le jeu subtil des reflets.Le concept d'"aura" est défini selon les dictionnaires comme "l'atmosphère spirituelle", "la résonance d'une œuvre" ou "l'émanation entourant un être". C'est tout cela à la fois qui entoure ces objets, chacun chargé d'un sens --religieux, social, naturel-- qui s'est perdu. L'"aura" les laisse vibrer au lieu de les enfermer derrière une cloison vitrée comme dans une exposition traditionnelle.Selon Jean Nouvel, c'est comme si "la protection (le plexiglas) était émue par la fascination qu'exercent sur elle les statues".Pour le président du musée, Emmanuel Kasarhérou, "ce principe de halo constitue une authentique prouesse technique et une première mondiale. Elle marque un nouvel âge de la muséographie qui fait place à l’œuvre dans toutes ses dimensions physiques et spirituelles, à rebours de certains mirages du tout-numérique"."Il a fallu une mécanique d'une complexité incroyable pour installer les statues dans ces vitrines. Sans que rien ne se voie! La vitrine tient sur elle-même", souligne, admiratif, M. Kasarhérou.Le Prix Pritzker 2008, dont la réalisation de ce musée en bord de Seine est une oeuvre phare, explique sa conception de ce nouvel espace: "les œuvres d'art sont là pour habiter un lieu, et le lieu doit devenir une sorte de balcon pour elles".Recherche du souffleLe génie de Jean Nouvel "a été de renoncer à la vitrine parallélépipédique pour lui préférer un souffle qui reprend les formes maîtresses de chaque œuvre", souligne Yves Le Fur, directeur des collections du musée, qui a su trouver une place à chaque "aura"."Le souffle vital est un concept très fort dans la culture africaine", souligne M. Le Fur.Des chefs d'oeuvre habités de fortes symboliques sont ainsi en majesté, comme une magnifique "Maternité assise Sénoufo", récupérée jadis en Côte d'Ivoire.Une grande attention a été aussi accordée à la contextualisation des oeuvres, priorité du nouveau président du musée né en Nouvelle-Calédonie: accessibles avec des QRcodes, des focus sont proposés avec des repères historiques. Marc Ladreit de Lacharrière a commencé à rassembler en 2005 cette collection. Il explique avoir voulu qu'elle "ne soit pas coupée en morceaux en salles des ventes" à sa mort. "Jacques Chirac, a-t-il confié, qui m'a fait abandonner progressivement mon corset d'Occidental biberonné aux arts classiques, serait content d'être là aujourd'hui!".Sa donation, faite en 2018, est la plus importante d’œuvres d'art africaines et océaniennes depuis 1945, d'une valeur de plus de 50 millions d'euros. Il va aussi financer durant cinq années des expositions temporaires, à hauteur de 200.000 euros par an.
Il y a 4 ans et 70 jours

Diamantino Pinho : Casa Santarém

À Santarém (Portugal), l’agence Diamantino Pinho vient de livrer une maison contemporaine ouverte sur la nature. Une villa lumineuse et authentique qui se démarque d’emblée par son architecture minimaliste. C’est dans un quartier résidentiel de Santarém que les architectes de Diamantino Pinho ont construit la Casa Santarém, une villa épurée ouverte sur la campagne alentour. Cette villa aux accents brutalistes est organisée de sorte qu’elle soit adaptée à la vie d’une famille. L’espace de vie s’articule en effet autour d’un patio avec piscine, séparant ainsi les pièces communes de la zone privée. La gande salle de séjour et le salon convivial se trouvent au centre et sont ouverts sur l'extérieur, tandis que les chambres sont installées à l’autre extrémité de la villa, afin d’assurer à chaque habitant une vraie intimité. En travaillant les matériaux, les architectes ont déployé un langage très épuré. À l’intérieur, le bois vient réchauffer des matières brutes ou des murs immaculés. Les différentes utilisations de ce matériau créent aussi un fil conducteur dans l’ensemble de la villa. Seules quelques touches de couleur, distillées avec parcimonie dans le mobilier, animent les pièces. Une villa sereine et confortable. Visuels : © Ivo Tavares StudioLa rédaction
Il y a 4 ans et 71 jours

TAB 2022 : concours pour une installation extérieure à Tallinn

La Biennale d’architecture de Tallinn 2022 (TAB 2022), qui a lieu du 7 septembre au 31 octobre 2022, propose un concours international pour une installation extérieure ‘Slowbuilding’ expérimentale au cœur de Tallinn, capitale de l’Estonie. Jusqu’au 22 avril 2021. Le concours met les participants au défi de développer des designs créatifs pour une installation extérieure […] L’article TAB 2022 : concours pour une installation extérieure à Tallinn est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 71 jours

Construction Days : Les 3 J du matériel

Comexposium en partenariat avec le Seimat lancent les Construction Days. [©Comexposium] Comexposium vient d’annoncer le lancement d’un nouveau salon dédié au matériel de construction. Ainsi, les Construction Days se dérouleront sur 3 jours, du 14 au 16 septembre à Lyon (69). « C’est un mois propice pour se rassembler. Et Lyon est un territoire clef, dans la deuxième région économique française », explique Isabelle Alfano, directrice du pôle construction et agro-équipements chez Comexposium. Et Pascal Guillemain, président du Seimat, de poursuivre : « L’année 2020 a été plutôt bonne pour les fabricants d’équipements et de matériels de construction. Une tendance qui devrait aller à la hausse pour 2021. Il y a une vraie demande chez nos adhérents de rencontres et de rendez-vous. D’avoir un espace de visibilité. Nous sommes fiers et heureux de participer avec Comexposium à la création de ce nouveau rendez-vous professionnel dans notre univers. » Les Construction Days tourneront autour de 3 grands axes : les démonstrations, l’innovation et business. Une formule qui rappelle largement un autre salon de la marque… Un salon outdoor Les 3 jours du matériel se dérouleront principalement en extérieur. Laissant ainsi la place aux matériels de grandes tailles pour se déployer. Au total, 5 secteurs seront représentés : “terrassement démolition & transport”, “route, industries des matériaux & fondations”, “bâtiment & filière du béton”. Et enfin, “levage & manutention” et “nouvelles technologies”. « Après l’annulation d’Intermat, il fallait un rendez-vous pour remettre une dynamique dans nos secteurs et “pointer” les nouveautés, déclare Davy Guillemard, vice-président du Seimat. Les 3 jours constituent un format idéal qui nous permet aussi de cibler le Sud de la France, qui est difficile à amener en région parisienne. » Le nouveau salon sera aussi doté d’un village start-up et d’une zone d’expression. « Le cycle de conférences n’est pas encore établi, mais il abordera les enjeux actuels autour des matériaux décarbonés, des matériels hybrides ou électriques, de l’économie circulaire ou de la digitalisation », détaille Isabelle Alfano. Un rendez-vous en développement La commercialisation des Construction Days vient tout juste de commencer ce 3 février 2021. Les organisateurs estiment déjà que le salon accueillera près de 300 exposants et 10 000 visiteurs. Quelques marques ont déjà témoigné leur engagement à l’image d’Amman, Cifa, ou encore Imer et Putzmeister. Reste à savoir si les Construction Days seront un nouvel évènement qui perdurera dans le temps. Pour le moment, aucune périodicité n’a été annoncée.
Il y a 4 ans et 72 jours

Près de 400 organisations se mobiliseront pour une vraie Loi Climat le dimanche 28 mars

Alors que le projet de loi est très loin d'atteindre l'objectif de 40% de réduction d'émissions de gaz à effet de serre inscrit dans la feuille de route de la Convention Citoyenne pour le Climat, et encore moins le nouvel objectif européen de -55%, plus de 400 organisations (un record) se mobilisent pour dénoncer un projet de loi qui n'est pas à la hauteur de l'Histoire. D'Alternatiba à la CFDT, de Greenpeace à Makesense, en passant par de nombreuses personnalités comme Cyril Dion, Yann Arthus-Bertrand, ou encore l'actrice Lucie Lucas, les appels à mobilisation s'intensifient.“Chaque jour qui passe sans que nous ne faisons rien aggrave le dérèglement climatique et nos conditions de vie sur Terre : malgré la pandémie mondiale, 2020 a été l'année la plus chaude jamais enregistrée. Aucune mesure ambitieuse n'a été prise sous le quinquennat d'Emmanuel. Macron, et ce dernier texte législatif concernant l'environnement le confirme une fois de plus.” explique Elodie Nace, porte-parole d'Alternatiba.Tous les observateurs sont unanimes : les 150 membres de la Convention citoyenne pour le Climat, d'abord, qui ont attribué une note de 2,5/10 à l'action gouvernementale en réponse à leurs propositions. De nombreuses organisations ensuite, tout comme le Conseil national de la transition écologique, le Conseil économique, social et environnemental ou encore le Haut Conseil pour le Climat, ce dernier jugeant que l'Etat s'engage dans des délais “manifestement incompatibles avec le rythme attendu de l'action contre le changement climatique”.“J'ai traversé cette Convention avec, à l'esprit, l'amour pour mes enfants et petits-enfants, leur avenir dans un monde habitable, sûr, et socialement juste. Rejoignez-nous dans la rue pour réclamer un projet de loi à la hauteur de la crise climatique qui s'annonce, et donner ainsi un avenir à ceux qui viennent après nous”, rappelle Guy Kulitza, membre tiré au sort de la Convention citoyenne pour le ClimatLe gouvernement, qui a pourtant été reconnu coupable d'inaction climatique à deux reprises récemment, a mis de côté ou considérablement amoindri les propositions de la Convention citoyenne pour le climat que cette loi était censée reprendre. En ce sens, Emmanuel Macron a trahi sa parole donnée aux citoyen·nes de la Convention Citoyenne pour le Climat, et confirme le bilan très faible de son quinquennat sur le plan environnemental.“La Convention Citoyenne pour le Climat est un exercice démocratique inédit qui a permis à 150 citoyens, représentatifs de la société française, de se former et de trouver des consensus pour proposer un socle minimum pour une autre société plus résiliente et respectueuse du vivant. Ne pas respecter leur travail aujourd'hui est un déni de démocratie.” rappelle Magali Payen, d'Onestprêt.Car le gouvernement a usé de tous les stratagèmes possibles pour empêcher les députés d'améliorer le texte : passage en procédure accélérée, temps législatif programmé réduisant les débats au maximum, article 45 de la Constitution interprété de manière stricte (44% des amendements déposés ont été déclarés irrecevables, le plus haut taux de tout le quinquennat). Les lobbys, qui n'avaient pas pu agir directement sur le processus de la CCC, ont également tout mis en oeuvre pour affaiblir le texte, menant à des situations ubuesques comme le débat sur l'aide à l'achat de véhicules neufs pour les ménages précaires évacué en 10 minutes après une heure et demi de débats sur l'admission des voitures de collection dans les Zones à Faibles Emissions.Dans le cadre des nouvelles mesures sanitaires, il est à noter que les mobilisations sont bien maintenues partout en France, les rassemblements en extérieur demeurant autorisés. A Paris, le rendez-vous est donné place de l'Opéra à 14h. Le cortège festif se dirigera jusqu'à la Place de la République.
Il y a 4 ans et 72 jours

Amiante: la Cour de cassation valide la reprise de l'enquête sur l'entreprise Everite

Les familles de victimes se battent pour obtenir un procès contre les responsables de cette entreprise de Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne).Dans une ordonnance datée du 8 mars, consultée par l'AFP, le président de la chambre criminelle de la Cour de cassation a décidé qu'il n'y avait "lieu d'admettre, en l'état, le pourvoi du procureur général près la cour d'appel de Paris" dans le dossier du site d'Everite à Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne). Il a estimé que "ni l'intérêt de l'ordre public, ni celui d'une bonne administration de la justice" ne commandait l'examen de ce dernier pour l'instant. Avec ce pourvoi, le parquet général s'opposait à un arrêt de la cour d'appel de Paris du 20 janvier infirmant le non-lieu rendu en décembre 2018 par les juges chargés de l'enquête sur cette filiale de Saint-Gobain. Dans cet arrêt, la cour d'appel avait en effet renvoyé le dossier aux magistrats instructeurs pour qu'ils reprennent leurs investigations en vue d'éventuelles mises en examen de responsables de l'entreprise. S'appuyant sur une interprétation juridique inédite dans l'histoire de ce scandale sanitaire vieux de plus de vingt ans, la cour d'appel estimait que l'exposition de ces salariés à l'amiante pouvait être imputée à ces responsables. Elle prenait le contrepied d'une analyse établie en 2017 par les juges d'instruction et le parquet du pôle santé publique du tribunal de Paris, selon laquelle il serait impossible de déduire avec précision le moment de l'exposition des salariés à cette fibre cancérogène, et celui de leur contamination, et par conséquent d'établir les responsabilités pénales de tel ou tel dirigeant. Depuis lors, une quinzaine d'affaires, liées au scandale de l'exposition à ce matériau interdit en France en 1997, avaient pris ou devaient prendre le chemin d'un non-lieu. Dans un communiqué, l'Association nationale de défense des victimes de l'amiante (Andeva) se réjouit de cette "nouvelle victoire pour les victimes", et demande aux juges du pôle santé publique du tribunal de Paris "de reprendre sans délai l'instruction du dossier pénal de l'entreprise Everite", soulignant que beaucoup de responsables avaient déjà disparu. Elle a aussi demandé que la cour d'appel de Paris examine au plus vite les appels formés dans d'autres dossiers liés à l'amiante qui s'étaient aussi conclus par des non-lieux des juges d'instruction. Michel Parigot, un responsable d'une autre association de défense des victimes de l'amiante, l'AVA, a toutefois estimé que cette décision ne permettrait pas d'avoir un grand procès sur "l'affaire de l'amiante". "Ce que l'on pourra juger, ce sont de simples affaires d'hygiène et de sécurité, mais pas des responsables nationaux" de ce scandale, a-t-il déclaré à l'AFP. La raison pour laquelle l'AVA veut déposer une citation directe visant les responsables nationaux de la catastrophe sanitaire de l'amiante. Cette procédure, annoncée depuis deux ans mais toujours pas engagée, permet de saisir directement le tribunal sans passer par une instruction pénale, à charge pour les plaignants de collecter et de présenter les éléments de preuve à l'audience.
Il y a 4 ans et 72 jours

Restauration du plafond du Grand Salon de Vaux-le-Vicomte

Le plafond du Grand Salon de Vaux-le-Vicomte fait l’objet d’une intervention d’envergure et urgente qui a débuté en janvier 2021. Une grande partie de la coupole est lézardée, des fissures et des craquelures apparaissent en de nombreux endroits et la totalité de la surface est fortement encrassée. Les élévations et termes en stucs nécessitent également d’être nettoyés. Cette restauration est incontournable afin que le château retrouve sa superbe et que le visiteur puisse appréhender la grandeur de l’œuvre de Nicolas Fouquet. En plus d’être restauré, l’ensemble de la structure (les termes, les élévations, la coupole) sera passé à la loupe et étudié. Le travail des conservateurs participera à révéler les secrets que cache encore le Grand Salon. Des traces de peinture, visibles par endroits, pourraient par exemple laisser supposer une polychromie originale, ou bien des dorures encadrant les fenêtres du premier étage, comme c’est le cas dans d’autres pièces. Afin de parachever cette restauration, les esquisses de l’œuvre inachevée de Charles Le Brun seront numérisées, colorisées et projetées sur la coupole. La gravure réalisée par Gérard Audran (1640-1703), notamment, restitue l’ensemble de la composition à partir de ces dessins. Grâce à elle, la reconstitution de cette fresque sur la coupole est possible à l’aide des dernières technologies de mapping vidéo. Des projecteurs discrètement insérés dans la pièce permettront de projeter ce dessin sur la surface éclaircie après restauration, de proposer une coloration de la sanguine originale et d’animer l’ensemble dans une vidéo éducative. Ainsi, la coupole restaurée sera magnifiée par une projection monumentale sur le Songe de Vaux de Jean de La Fontaine à l’automne 2021 puis par l’œuvre imaginée par Le Brun, pour la première fois devant les yeux du public en 2022.
Il y a 4 ans et 73 jours

Quels sont en moyenne les prix et les surfaces des maisons neuves ?

Faire construire sa maison est souvent le rêve d'une vie. La première question des ménages qui se lancent dans l'aventure est de savoir combien ça coûte ? La seconde sera comment trouver un terrain ? Et pour quelle surface ?Pour se faire une idée, Domexpo, acteur des villages de maisons d'exposition, présente son Baromètre annuel, mené avec Caron Marketing[1], dédié au prix moyen des maisons et des terrains en France et en Île-de-France. Focus sur les dernières données…En 2019, 124.085 permis de construire ont été accordés pour la construction d'une maison neuve (dont 6.269 pour l'Île-de-France, région dans laquelle sont basés les villages Domexpo). Quel a été le prix moyen de ces maisons ? Pour quelle surface moyenne ? Pour y répondre, Domexpo a mené l'enquête avec son partenaire Caron Marketing :Pour une maison :Pour un terrain :« Cette année encore, les résultats confirment la particularité de l'Île-de-France par rapport au reste de la France : les maisons sont plus spacieuses et les terrains plus petits. On remarque aussi que le budget pour faire construire dans cette région est plus important, s'expliquant notamment par le niveau de revenus des franciliens qui est plus élevé.La crise sanitaire que nous traversons actuellement, avec pour conséquence la généralisation du télétravail, pourrait prochainement avoir un impact sur le marché en Île-de-France. On constate en effet que de nombreux franciliens n'ont plus peur de s'éloigner de Paris et souhaitent faire construire sur des départements limitrophes comme l'Eure ou l'Oise. Dans cette zone, les prix des terrains sont moins élevés, ce qui permet ainsi d'avoir une maison un peu plus grande, avec un espace de télétravail dédié. C'est d'ailleurs une demande de plus en plus courante.Rendez-vous pour l'édition 2022 du Baromètre Domexpo annuel consacré au prix des terrains et des maisons, pour confirmer ou pas ces tendances. »Daniel Lair-Lachapelle, Président de Domexpo[1]Étude menée sur la base des prix des terrains à bâtir 2019 – Ministère de la Transition Écologique
Il y a 4 ans et 73 jours

Bpifrance et la Banque des Territoires lancent la première promotion de l'Accélérateur Construction

Avec le soutien de Batimat, du pôle de compétitivité Fibres Energivie, des Canaux/ ESS2024 et de CCCABTP, 31 PME à fort potentiel de croissance, implantées sur tout le territoire français, bénéficieront d’un accompagnement durant 12 mois.Lancé par la Banque des Territoires et Bpifrance, l’Accélérateur Construction est un programme d’accompagnement qui s’adresse aux entreprises de 10 salariés à 250 employés réalisant un chiffre d’affaires compris entre 2 et 20 millions d’euros. Ce programme est accessible aux entrepreneurs dont l’entreprise fait partie de la filière de construction au sens large : industriels de la construction, entreprises du BTP et entreprises de services adressant le secteur. Il intègre aussi des entreprises ayant répondu aux grands appels d’offres (projet de transformation des Territoires, grands projets urbains, Village des athlètes 2024, etc.) et des entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS). Les dirigeants bénéficieront d’un accompagnement intensif adapté aux enjeux spécifiques de croissance et de structuration des petites et moyennes entreprises, alliant conseil, formation et mise en relation avec notamment : Conseil : réalisation par un consultant d’un diagnostic 360° pour identifier les axes prioritaires de croissance et accès à des modules de conseil dédiés ; Formation : participation à cinq séminaires coconstruits avec CentraleSupélec et CCCABTP sur des thématiques ciblées, à des ateliers permettant aux entreprises de renforcer leurs compétences et nourrir leurs réflexions stratégiques ainsi que des formations en e-learning, des autodiagnostics et des webinaires réunissant des experts de la filière ; Mise en relation : accès privilégié aux réseaux d’entrepreneurs et de partenaires de Bpifrance, événements de mise en relation et organisation de journée dédiées aux dirigeants accélérés de la Filière Construction. « Nous sommes ravis de lancer ce premier programme à destination des entreprises de la filière de la Construction. Avec cet Accélérateur, nous avons la volonté d’accompagner de façon dédiée cette cible d’entreprises dans leurs problématiques de développement, en tenant compte des grands défis que la filière doit relever. L’Accélérateur s’inscrit pleinement dans la stratégie de Bpifrance d’accompagner toutes les entreprises, quelles que soient leurs tailles, dans leur croissance et leur rebond. »Guillaume Mortelier, Directeur exécutif en charge de l’Accompagnement chez Bpifrance« La croissance des petites entreprises est essentielle au développement économique, à la création d’emplois et à la prospérité des territoires. Cette 1ère promotion d’entrepreneurs de l’Accélérateur Construction démontre que la Banque des Territoires et Bpifrance sont engagées, aux côtés des entreprises vers une construction plus numérique, plus proche des territoires et plus durable. »Antoine Troesch, Directeur de l’investissement à la Banque des Territoires« Le Pôle Fibres-Energivie s’implique avec beaucoup d’enthousiasme dans cet accélérateur qui arrive à point nommé au moment du plan de relance pour accompagner l’innovation indispensable à notre filière sur les 3 axes de la matrice Demain réalisée en 2019 par Bpifrance pour la filière construction : numérisation, construction hors site et bâtiment vert, modulable et connecté. »Jean-Luc Sadorge, Directeur Général du Pôle de compétitivité Fibres Energivie« Pour faire face aux défis imposés par l’évolution radicale des enjeux sociétaux et environnementaux, les petites et moyennes entreprises du secteur de la construction doivent être agiles pour répondre aux besoins de leurs marchés. Le CCCA-BTP se réjouit de contribuer à cette première édition de l’accélérateur et d’accompagner ces entrepreneurs dans le développement de leurs compétences et pour leur permettre de s’approprier les nouveaux usages dans la construction, au service de leur performance et de leur croissance. »Franck Le Nuellec, Directeur du marketing, du développement et de l’innovation stratégique du CCCA-BTP« C’est avec beaucoup d’enthousiasme que Les Canaux participent à l’accélérateur « Construction Durable » aux côtés de Bpifrance et de l’ensemble des partenaires. Nous y apporterons notre expertise en matière d’apport d’affaires, notamment sur les grands marchés des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, et de mise en relation avec des entreprises de l’ESS. Nous sommes convaincus que cette 1ère promotion contribuera avec réussite à la structuration d’une filière exemplaire à l’échelle nationale, qui saura répondre avec exigence et innovations aux besoins des donneurs d’ordre. »Christophe Divi, Directeur ESS 2024 et Achats Solidaires« Nous sommes heureux de pouvoir contribuer au lancement de l’accélérateur, dispositif innovant pensé pour les patrons de PME qui souhaitent s’inscrire dans le futur du secteur. Cette 1ère promotion montre une très belle diversité et promet des échanges constructifs et de l’enrichissement mutuel. Batimat s’est engagé dans cette initiative pour permettre à ces dirigeants d’appréhender les grands défis du secteur du bâtiment. »Guillaume Loizeaud, Directeur Division Construction, Reed ExpositionsUn dispositif qui fait suite à la Matrice Demain Bpifrance :Lancé en mars 2021, la première promotion de l’Accélérateur Construction vient s’inscrire dans la continuité d’une étude menée par Bpifrance en 2019 sur la filière : la Matrice Demain. Cette Matrice avait permis de relever les grands axes de transformation auxquels allaient devoir faire face la filière : La transformation numérique, avec le BIM ; L’industrialisation de la filière, avec le Hors Site ; Le Bâtiment de demain, vert, modulable et connecté. Ces trois axes constitueront le fil rouge du programme d’accélération cette année, que les dirigeants accélérés auront l’occasion d’étudier cette année avec les intervenants de notre école partenaire CentraleSupélec et CCCABTP.Avec ce dispositif la Banque des Territoires et Bpifrance soutiennent le secteur de la construction dans un contexte de reprise consécutif à la crise COVID-19. Elles se mobilisent pour que la filière construction s’inscrive dans une trajectoire zéro carbone à horizon 2050 et dans l’objectif d’imperméabilisation nette zéro des sols. La Banque des Territoires et Bpifrance souhaitent appuyer le développement des entreprises sur une vision renouvelée de la filière : le bâtiment de demain sera numérisé, durable, inclusif ; en particulier, dans le cadre de ce premier accélérateur.
Il y a 4 ans et 74 jours

Le litige entre Jean Nouvel et la Philharmonie de Paris entre les mains d'un juge d'instruction

L'architecte avait déposé une plainte en octobre 2019 contre la Philharmonie de Paris, qui lui réclame 170 millions d'euros pour les surcoûts survenus lors du chantier.Une information judiciaire, reprenant les infractions visées dans la plainte, a été ouverte pour "favoritisme, prise illégale d'intérêts, détournements de fonds publics, concussion, faux et usage de faux" le 12 février et un juge d'instruction a été désigné pour mener les investigations, a confirmé à l'AFP le Parquet national financier (PNF).Sollicitée par l'AFP, la Philharmonie de Paris n'a pas souhaité faire de commentaire."Nous avons pleine confiance dans le fait que le magistrat instructeur identifiera les responsables des infractions commises à la Philharmonie au préjudice de Jean Nouvel et des Ateliers Jean Nouvel" (AJN), ont réagi de leur côté Mes William Bourdon et Vincent Brengarth, les avocats de l'architecte mondialement connu pour ses réalisations, dont le Quai Branly et le Louvre Abou Dhabi."Ces infractions sont la conséquence directe d'une politique délibérée de diabolisation de l'architecte, de faveurs accordées aux entreprises et d'une réclamation ahurissante à l'AJN de sommes parfaitement indues", ont-ils ajouté.Chiffrés à 173 millions d'euros au lancement du projet en 2006, les travaux de construction ont atteint 386 millions d'euros.Pour les Ateliers Jean Nouvel, ce dépassement s'explique par la gestion défaillante de la Philharmonie. Pour cette dernière, il est imputable à l'architecte, accusé d'avoir fortement sous-évalué les coûts et d'avoir effectué des "modifications permanentes".En avril 2017, l'établissement public chargé de gérer la salle avait adressé une facture de 170,6 millions d'euros à l'architecte, dont 110 millions d'euros de pénalités de retard.Lors du dépôt de plainte par l'architecte, la Philharmonie avait dénoncé des "accusations dépourvues de tout fondement" et "les prétentions contraires des Ateliers Jean Nouvel qui demandent plus de 105 millions d'euros de rémunérations complémentaires et indemnités".L'architecte multirécompensé avait refusé de participer à l'inauguration de la salle de concert, située dans le nord de la capitale, le 14 janvier 2015.
Il y a 4 ans et 74 jours

Sereine, une méthode inédite et fiable pour mesurer la performance thermique d'un bâtiment

Fruit de recherches initiées il y a plusieurs années, cette méthode permet de mesurer en moins de 24 h la performance thermique réelle d'un bâtiment rénové ou neuf, de façon aussi fiable et simple que la mesure d'étanchéité à l'air, aujourd'hui généralisée. Issu d'une collaboration entre 7 organismes partenaires, ce projet représente un défi scientifique majeur.Un levier pour en finir avec les « passoires énergétiques »Parce qu'elle objective la qualité des travaux de rénovation et les gains en efficacité énergétique, la mesure SEREINE est à la fois un élément de référence et un outil de pilotage.« Elle permet de valoriser les entreprises qui travaillent bien, d'améliorer la qualité des travaux en corrigeant d'éventuels problèmes et donc de restaurer la confiance avec les maîtres d'ouvrage. Une confiance indispensable pour massifier les travaux de rénovation énergétique. Sans oublier le pilotage des politiques publiques. Quand on investit plusieurs milliards d'euros dans un plan de relance pour la rénovation énergétique, il est essentiel de pouvoir en mesurer les retombées en s'appuyant sur un indicateur fiable »Philippe Estingoy, Directeur général de l'Agence Qualité ConstructionC'est à ce titre que SEREINE est le projet le plus stratégique des 9 projets du Programme d'innovation PROFEEL. Doté d'un budget de 5 millions, sur 3 ans (2019-2021), il concerne toute la filière de la rénovation énergétique, c'est-à-dire ceux qui conçoivent et font les travaux (entreprises, artisans, bureaux d'études et architectes) mais aussi ceux qui leur passent commande, à savoir les maitres d'ouvrage (bailleurs sociaux, copropriétés et particuliers) et enfin les opérateurs de mesure qui les évaluent.Une méthode inédite pour objectiver l'efficacité d'une rénovation énergétiqueSEREINE est aujourd'hui la seule méthode opérationnelle permettant de mesurer de façon fiable la performance thermique réelle d'un bâtiment dans des délais acceptables. C'est-à-dire en moins de 24 h. Complémentaire au diagnostic de performance énergétique (DPE) qui donne une estimation de consommations, elle mesure la performance réelle de l'enveloppe de façon précise et indépendamment des usages. Ce qui en fait un outil précieux pour objectiver l'apport des travaux, en toute confiance.Une mesure simple à mettre en œuvrePour mettre en œuvre SEREINE, il suffit d'un opérateur formé et d'un kit de mesure, composé de capteurs intérieurs et extérieurs, d'appareils de chauffage et de ventilateurs, ainsi que d'un ordinateur. Le bâtiment doit être vide de ses occupants. L'opérateur en obstrue toutes les ouvertures, éteint les systèmes énergétiques à demeure, installe le matériel, puis lance le chauffage et la mesure. Un algorithme complexe génère alors des modèles numériques adapté à chaque type de bâti, et calcule alors à partir des mesures réalisées le coefficient de déperdition énergétique en Watt/Kelvin, accompagné d'un intervalle de confiance.Une mesure en moins de 24 h d'ici a fin 2021Opérationnelle dans l'habitat individuel depuis juin 2020, SEREINE donne aujourd'hui un résultat fiable en 48 h pour les maisons rénovées par l'intérieur. L'objectif est de pouvoir le faire en moins de 24 h, d'ici à fin 2021. 20 opérateurs ont été formés dans ce but. Ce sont eux qui réalisent les mesures sur le terrain depuis plusieurs mois. Ces résultats sont le fruit des recherches entamées il y a 10 ans, continuées au sein du programme PACTE et intégrées au programme PROFEEL depuis 2019. Elles ont donné lieu à plusieurs milliers de simulations numériques, une centaine de mesures sur des maisons expérimentales, ainsi que plusieurs dizaines de mesures terrain sur des maisons neuves et rénovées. L'objectif d'ici à fin 2021, est de passer du stade de prototype à un usage courant dans l'habitat individuel, avec un matériel de mesure et un coût optimisé pour pouvoir être déployés à grande échelle.« Avec SEREINE, nous disposons aujourd'hui d'une méthode opérationnelle, fiable, simple à mettre en œuvre et déployable par des opérateurs formés. Notre consortium, qui associe les principaux acteurs de la recherche publique en France, est donc au rendez-vous de ses objectifs à mi-parcours. Et il met tout en œuvre pour réduire au maximum la durée de la mesure d'ici à la fin du programme ».Stéphanie Derouineau, coordinatrice scientifique et technique de SEREINE, Cheffe de division au CSTBDans l'habitat collectif, les travaux de réplication sont en cours, en tenant compte de tous les paramètres qui peuvent perturber la mesure : murs mitoyens, conditions thermiques des appartements voisins, etc. Le but étant d'arriver à de premiers protocoles de mesure, puis un dispositif opérationnel en 2024.Une équipe de 40 chercheurs pilotés par l'AQC20 chercheurs et techniciens de la mesure travaillent sur le projet SEREINE depuis 2019, répartis au sein de 7 organismes de recherche publics et privés. Pilotée par l'Agence Qualité Construction (AQC) et coordonnée par le CSTB, cette équipe travaille en lien étroit avec des représentants de toute la filière de rénovation : entreprises et artisans, mais aussi bureaux d'études, architectes, maîtres d'ouvrages et opérateurs de mesure. Leurs objectifs : s'assurer que la méthode répond bien à leurs besoins et la confronter aux exigences du terrain. Le projet s'est adjoint l'expertise d'un partenaire européen, le Centre Scientifique et Technique de la Construction (CSTC) de Belgique. Son rôle est de stimuler les équipes grâce à une expertise extérieure et un regard neutre.« La France est un des pays les plus avancés sur ce sujet. Aussi, au démarrage de Profeel, il y avait de multiples pistes à explorer pour espérer arriver à une mesure fiable en moins de 24 h. Ayant travaillé sur des projets comparables en Belgique comme en Europe, le CSTC a aidé les équipes à y voir clair dans ces choix. C'est ce type de soutien technique que nous apportons à chaque étape du projet, en organisant des workshops ou en relisant des livrables, etc. »Jade Deltour, Cheffe de projet au CSTCLes 7 organismes partenaires de SEREINEL'Association de recherche de l'école des Mines (ARMINES), le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (CEREMA), le Comité scientifique et technique des industries climatiques (COSTIC), le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB), l'Institut national de l'énergie solaire (INES), l'Institut national pour la Transition Énergétique et environnementale du bâtiment (NOBATEK/INEF4) et l'Université Savoie Mont-Blanc (USMB).
Il y a 4 ans et 74 jours

Face aux fuites de carbone, l’Europe mise sur le ciment et l’acier

Le colmatage des fuites de carbone aux frontières s’impose à l’agenda français, européen et mondial. Le 23 mars à l’initiative conjointe des ministères de l’Economie, de la Transition écologique et des Affaires étrangères, une conférence internationale se réunit sur le sujet à Paris. Elle vise à préparer les esprits aux décisions que l’Union européenne prendra en juin, avant la conférence mondiale de Glasgow en novembre – la Cop 26, consacrée aux politiques climatiques.
Il y a 4 ans et 74 jours

Nora® by Interface lance deux nouvelles collections de revêtements de sol

Norament Castello : un design intemporel et élégantEn architecture, un design de qualité résiste au temps. Les monuments architecturaux parviennent à se réinventer au fil de l’évolution des styles et s’érigent en passerelle entre les époques. De façon similaire, norament 926 castello (revêtement de sol de 3,5 millimètres d’épaisseur) a été conçu pour offrir un design intemporel. Ses marbrures font écho aux élégantes surfaces en pierre calcaire, ce qui confère une touche de luxe classique à son environnement. Chaque dalle se veut unique et arbore une surface à deux tons et deux niveaux de brillance. La palette raffinée comporte huit teintes chaudes de gris et de beige.« Outre sa robustesse, norament 926 castello offre une absorption sonore et une ergonomie exceptionnelles. Notre matériau durablement élastique réduit les bruits d’impacts par rapport à d’autres surfaces souples ou sols durs. Cela permet de minimiser les bruits parasites et d’améliorer l’acoustique dans les intérieurs, ce qui représente un formidable avantage, en particulier dans les zones à fort passage. Par ailleurs, le sol offre un confort nettement plus élevé, aussi bien en position statique qu’en mouvement », explique Dirk Oswald, responsable de la gestion des produits et de la marque pour les gammes de nora. Norament 926 castello peut être installé de manière traditionnelle, à l’aide d’une colle liquide, mais existe aussi en version nTx (le revêtement est préencollé en usine) avec simplement un film de protection à enlever pour une pose encore plus rapide.Nora Kivo, un produit à l’esprit industriel et urbainLes plus belles idées architecturales puisent leur source dans des éléments authentiques et originaux. Les lieux de travail très créatifs ont tendance à préférer les hommages au passé industriel, selon la devise minimaliste « moins, c’est plus ». Une ambiance moderne et classique avec laquelle s’accorde norament 926 kivo. Son design aux grains irréguliers avec une surface à deux niveaux de brillance légèrement structurée est inspiré du béton et confère aux intérieurs un véritable esprit urbain et industriel. Le revêtement de sol s’adapte harmonieusement à tous les mélanges d’acier, de bois, de brique apparente et constitue un terreau fertile où germent librement des idées de décoration créatives. Le revêtement de sol de 2,7 millimètres d’épaisseur se décline en huit couleurs, du beige chaud aux tons gris-bleu froids.« Ce nouveau revêtement de sol en caoutchouc apporte de nombreux avantages et convient parfaitement aux espaces professionnels, comme les bureaux, les salles de conférence et les cafétérias. La qualité reconnue de nora et son apparence moderne s’associent ici pour créer un rendu industriel fonctionnel et spectaculaire », indique Dirk Oswald. À l’instar de tous les revêtements de sol commercialisés par Interface (moquette, LVT, rouleaux et dalles en caoutchouc), norament 926 castello et norament 926 kivo sont certifiés neutres en carbone grâce au programme Carbon Neutral FloorsTM, et cela sans aucun coût supplémentaire pour le client. L’usine de caoutchouc de Weinheim s’efforce en permanence de supprimer ou de réduire les émissions de CO2 et ainsi de diminuer davantage sa propre empreinte carbone. Les inévitables émissions de CO2 sont compensées par l’acquisition de certificats de réduction d’émissions, qui servent à financer des projets en faveur de la protection du climat.
Il y a 4 ans et 75 jours

« On ne passe pas ! » – Les fortifications

Le champ de bataille de Verdun recèle encore un patrimoine d’ouvrages fortifiés exceptionnel. Porte d’entrée de ce champ de bataille emblématique de la Grande Guerre, le Mémorial de Verdun présente une exposition sur les fortifications dans le Nord et l’Est de la France. L’expérience combattante est au cœur de la visite : « On ne […] L’article « On ne passe pas ! » – Les fortifications est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 76 jours

Derrière les images : photographier la guerre

La Grande Guerre marque un tournant majeur dans l’usage de la photographie. En moins de quatre ans, elle s’impose comme un outil d’information de masse : des dizaines de milliers de photographies, prises par des photographes officiels ou amateurs, reflètent la mobilisation d’un pays. Au Mémorial 14-18 Notre-Dame-de-Lorette, jusqu’au 11 novembre 2021. L’exposition Derrière les […] L’article Derrière les images : photographier la guerre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.