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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17720 résultats)
Il y a 4 ans et 149 jours

L’entrepôt BT6 de Bègles remis au travail par Nadau & Faye

Le projet de réhabilitation de l’entrepôt BT6 à Bègles (Gironde) et sa surélévation en espace de bureaux, réalisé par les agences Nadau Architecture et Faye Architectes et Associés, est lauréat des trophées Eiffel 2020 dans la Catégorie « Travailler ». Une greffe bien graftée ? Au sud de Bordeaux, la ville de Bègles a développé un […] L’article L’entrepôt BT6 de Bègles remis au travail par Nadau & Faye est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 149 jours

Usages contemporains pour la halle multifonctionnelle signée RHB Architectes

La halle multifonctionnelle – Le forûm, conçue à Soultz-sous-Forêts (Bas-Rhin) par l’agence RHB Architectes, est lauréate des trophées Eiffel 2020 dans la Catégorie « Divertir ». La halle de marché réinventée ? Le projet de construction d’une halle multifonctionnelle s’inscrit dans la volonté de la commune de mener une démarche de redynamisation du centre-ville. Le site […] L’article Usages contemporains pour la halle multifonctionnelle signée RHB Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 151 jours

Covid-19 : décès de l'architecte suisse Luigi Snozzi à 88 ans

Selon la télévision public RSI, M. Snozzi est mort la veille dans une maison de retraite de Minusio, dans la région italophone du Tessin.L'architecte a principalement travaillé dans sa région natale, avec des constructions caractéristiques basées sur le béton apparent."Toute intervention implique destruction. Il faut détruire consciencieusement, avec de la joie", déclarait-il souvent.Il faisait partie des figures éminentes de de l'école d'architecture au Tessin, aux côtés de ses confrères Mario Botta et Livio Vacchini, et défendait l'idée d'une architecture rationnelle.Ses principales créations de maisons, parmi lesquels les demeures Snider et Cavalli, à Verscio, sont les plus connues, ainsi que des projets de développement urbain, à l'image de celui réalisé dans le couvent de Monte Carasso.Luigi Snozzi a représenté l'Italie lors de la Biennale d'architecture de Venise en 1996 et remporté le prestigieux prix Meret Oppenheim en 2018, qui récompense les meilleurs artistes suisses.Il était également professeur à l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne.
Il y a 4 ans et 153 jours

Logement : ce que veulent les Français

ETUDE. Woodeum a dévoilé les résultats d'une enquête Ifop sur les attentes des Français en matière d'habitat. Quels sont les éléments d'un logement impactant le bien-être ? Quels sont les matériaux plébiscités ? Réponses dans l'étude à télécharger.
Il y a 4 ans et 154 jours

Nouvelle collection "regards d'architectes" : Technal enrichit ses couleurs exclusives®

Cette proximité s’est illustrée au fil des années à travers une multitude d’initiatives, de la création du stand Batimat confiée à un architecte depuis 1987 au Palmarès Architecture aluminium, en passant par le lancement de la communauté « 4114 » ou le concours World Architecture TECHNAL Awards. Anticipant les tendances, TECHNAL collabore également avec les agences d’architecture et de design pour imaginer les couleurs de demain. Cette démarche a vu le jour dès 1991 avec un gris grainé développé par Jean-Michel Wilmotte.Un partenariat que la marque perpétue aujourd’hui en enrichissant ses couleurs « Exclusives® », aux différents effets de matière, d’une nouvelle collection « Regards d'Architectes ». Elle se compose de deux teintes inédites : Bronze Lumière by Alain Moatti et Brun d'In-Ei by Kengo Kuma. Ces deux architectes de renom, respectivement concepteurs des stands TECHNAL à Batimat en 2015 et 2017, ont disposé d’une totale liberté d’expression pour créer leur couleur. Habillant toutes les menuiseries TECHNAL, elles élargissent le choix des prescripteurs et particuliers à la recherche d’une teinte unique qui sublimera leur projet.Bronze lumière by Alain Moatti« Cette couleur intemporelle raconte l’histoire des choses, des objets anciens, la pérennité et l’attachement aux matières anciennes comme le bronze ou le cuivre. », explique Alain Moatti.Bronze lumière est intimement liée à la teinte contemporaine de la Tour Eiffel. Sa finition brillante, à l’élégance sophistiquée, capte les lumières des matins et des soirs. Elle imprime leurs reflets, leurs rythmes et leurs perspectives donnant une identité propre aux menuiseries. Une incandescence lumineuse, une texture d’énergie, une vibration silencieuse.Brun d'In-Ei Kengo« IN-EI signifie ombre en japonais. Cette couleur est un brun ombre qui joue sur le clair-obscur. », souligne KENGO KUMA.Elle répond aux projets de l’architecte, qui fait du bois son matériau de prédilection. L’objectif était d’obtenir une nuance qui confère une uniformité entre tous les éléments d’une façade. Une teinte neutre et sombre qui se fond avec l’aspect extérieur du vitrage. Mate et légèrement grainée, Brun d'In-Ei se marie aux tons chauds du bois. Associée à l’aluminium, elle offre une matière douce et poudrée, qui accroche l’œil au gré des orientations du soleil.
Il y a 4 ans et 155 jours

Dossier : Les expositions qui ont marqué 2020

Compte tenu de la crise sanitaire, les lieux culturels sont actuellement fermés. En cette fin d’année bien particulière, Muuuz revient sur cinq expositions qui ont marqué 2020. Christo et Jeanne-Claude. Paris ! au Centre PompidouEn 2020, le Centre Pompidou a consacré une rétrospective au couple formé par Christo Vladimiroff Javacheff (1935-2020) et Jeanne-Claude Denat de Guillebon (1935-2009), mettant à l’honneur les œuvres les plus emblématiques de leur période parisienne. . Le Milieu est bleu au Palais de TokyoAu Palais de Tokyo, l’artiste plasticienne allemande Ulla von Brandenburg (née en 1974) a créé des mondes fictionnels marins et ruraux où elle accorde une grande place à l’imaginaire. Orchestrée par Ulla von Brandenburg en collaboration avec le commissaire Yoann Gourmel, l’exposition invitait les visiteurs à plonger dans l’univers onirique si particulier de la plasticienne. . Dimensions of Reality : Female Minimal à la Galerie Thaddaeus Ropac de PantinÀ la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin, l’exposition Dimensions of Reality : Female Minimal mettait à l’honneur quatorze artistes femmes pionnières de l'abstraction géométrique, longtemps restées dans l’ombre de leurs confrères masculins. Replacer ces artistes femmes dans l’histoire de l’art abstrait, et plus largement dans l’histoire de l’art, tel était l’objet de cet événement inédit. . Erwin Wurm, photographs à la Maison Européenne de la PhotographieÀ la Maison Européenne de la Photographie, l’exposition Erwin Wurm, photographs, la première grande rétrospective consacrée au travail photographique de l’artiste autrichien Erwin Wurm (né en 1954), invitait à découvrir en images son univers absurde, et ses sculptures aussi drôles que réflexives. . Nocturnes à la Fondation Henri Cartier BressonConçue en collaboration avec la galerie kamel mennour, l’exposition Nocturnes à la Fondation Henri Cartier Bresson présentait un corpus inédit d’œuvres de l’artiste espagnole Marie Bovo (née en 1967) : des photographies issues de cinq séries différentes, toutes prises à la tombée de la nuit, magnifiant des villes désertées et des espaces faussement dépeuplés. La rédaction
Il y a 4 ans et 155 jours

Le Groupe Poujoulat poursuit ses investissements industriels dans la production de bois de chauffage

Installée sur une friche industrielle (une ancienne filature) à Demangevelle en Haute-Saône, l'usine Bois-Factory 70 produit du bois de chauffage haute performance (écorcé, calibré et séché). Certifiées NF biocombustibles solides, ces produits permettent aux utilisateurs de bois énergie de disposer d'un combustible adapté aux appareils modernes et performants (labellisés Flamme Verte) et répondent ainsi aux enjeux de la qualité de l'air. Le site, d'une surface de dix hectares, est implanté au cœur d'un massif forestier peuplé d'essences feuillues parfaitement adaptées aux exigences de la combustion. La première tranche d'investissements représente 20 millions d'euros (génie civil, machines-outils, chaudière biomasse et premier séchoir). Une seconde tranche d'investissement, de 6 millions d'euros, s'engagera à compter du début de l'année 2021 pour permettre la montée en charge de l'usine. Cette seconde tranche a bénéficié d'une aide du plan de relance au titre du « Fonds d'accélération des investissements industriels dans les territoires » porté par la Préfecture de département et la Conseil Régional Bourgogne Franche-Comté. Le site a, par ailleurs, été soutenu par le fonds chaleur de l'ADEME dès 2015 pour ses investissements permettant d'alimenter le process de séchage. A moyen terme, l'unité de production de Haute-Saône fournira 150 000 stères de bois certifiés, 20 000 m3 de bois d'allumage et 10 000 tonnes de bûches densifiées, permettant de doubler la capacité de production du groupe. L'usine comptera une quarantaine de salariés et participera à la dynamisation de la filière forêt-bois de la région avec près de 150 emplois indirects.« Nous nous inscrivons, avec cet outil, dans le sillon tracé par la Programmation pluriannuelle de l'énergie, à savoir : développer le bois énergie domestique moderne et performant. Pour ce faire, le groupe propose des biocombustibles de toute nature ayant les performances requises pour que cohabitent chauffage au bois et amélioration de la qualité de l'air. Avec le déploiement des appareils modernes labellisés Flamme Verte « 7 étoiles », nos produits répondent aux exigences d'une excellente hygiène de combustion. Notre offre de bois de chauffage certifié est d'ores et déjà un succès, la croissance est au rendez-vous. » Frédéric COIRIER, Président Directeur Général du Groupe
Il y a 4 ans et 155 jours

Rockcomble Evolution et Rockcommerce remportent deux prix des Trophées du Négoce

Lors de la 13ème édition des Trophées du Négoce qui s’est déroulée le 15 décembre à Paris, Rockcomble Evolution a été lauréat de la catégorie Performance thermique. Cette distinction récompense la politique d’innovation de ROCKWOOL et sa solution d’isolation en laine de roche pour faciliter l’isolation des combles aménagés, augmenter le confort de pose et améliorer les performances thermiques et acoustiques. Rockcommerce, a quant à lui été primé dans la catégorie « Services aux négoces/clients ». Lancé en juin dernier, ce service digital sur mesure permet de faciliter la gestion de l’ensemble des services proposés par ROCKWOOL à ses clients.Organisé par Le Moniteur Events, ce concours récompense les meilleures initiatives et innovations de la distribution dans le secteur du bâtiment. Matthieu BIENS, directeur marketing et développement produit de ROCKWOOL,déclare : « Ces deux trophées sont très importants à nos yeux. C’est la reconnaissance de notre transformation digitale avec Rockcommerce et de notre démarche d’innovation continue avec Rockcomble Evolution. Ce sont 2 piliers essentiels de notre stratégie qui sont récompensés ici. »Rockcomble Evolution est commercialisé depuis le mois de juillet 2019. Dans la lignée de Rockplus Premium, ce produit « premium » permet un gain de temps pendant l’installation et un gain de place intérieure une fois installé. C’est une innovation 100 % laine de roche avec un système breveté monocouche et une suspente RC EVO ; un seul panneau pour bénéficier du crédit d’impôt R=6 (m². K/W).Les caractéristiques à retenir de Rockcomble Evolution sont les suivantes :Rapide à installerDoux au toucher et facile à poserAssure un grand confort thermique été et hiver (λ33)Et un confort acoustiquePour Matthieu Biens, « Rockcomble Evolution, c’est toute notre démarche d’innovation continue en 1 système. On trouve dans ce produit aussi bien les bénéfices de nos derniers investissements technologiques à Saint Eloy les Mines avec une laine plus douce et avec de meilleures performances thermiques, que l’approche client avec un système innovant breveté et développé avec notre partenaire SPP PAI pour les suspentes. Le résultat : un gain de temps lors de la pose pour les artisans et pour le particulier une isolation sans compromis – sécurité incendie, confort d’été, acoustique, durabilité et recyclabilité. » Ce produit avait déjà gagné le prix du « produit innovant » au concours Sageret 2020.Rockcommerce, accessible via ordinateur, tablette ou smartphone, est avant tout une plateforme simple et intuitive permettant d’harmoniser et d’optimiser la réalisation des démarches, le tout de manière autonome. Développée et conçue spécialement pour simplifier le quotidien des clients et des commerciaux de ROCKWOOL, la plateforme digitale offre une toute nouvelle expérience en matière d’approvisionnement.En quelques clics, il est désormais possible de consulter l’ensemble des fiches produits, de passer une commande de manière simplifiée, 7 jours sur 7 et 24h sur 24, d’effectuer un tracking en temps réel sur ses livraisons mais aussi de visualiser et d’archiver ses factures. La plateforme propose également de trier les commandes par critères, les modifier ou même les annuler. Elle est accessible sur shop.rockwool.com« Nos métiers, les besoins de nos clients et nos interactions sont voués à évoluer et nous devrons utiliser tous les outils digitaux à notre disposition pour que nos clients bénéficient d’un service exemplaire et à la pointe de la technologie. C’est ce que nous avons voulu avec Rockcommerce : un service multi plateforme, smartphone, tablette ou ordinateur avec une multitude de services dont la prise de commande mais aussi le suivi des commandes et la géolocalisation. », explique Matthieu Biens.
Il y a 4 ans et 159 jours

4 nouvelles start-up intègrent l'accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP »

4 entreprises ont présenté leurs projets le jeudi 3 décembre en visioconférence, devant un jury composé de professionnels du BTP et de la prévention et en présence des partenaires fondateurs, le CCCA-BTP, l'OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA. Leurs projets ont été évalués sur la base de cinq critères :Le caractère innovant de leur technologie ou service ;L'accessibilité du marché visé ;L'équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ;La fiabilité du business model ;L'adéquation de la start-up avec les thématiques santé et prévention de l'accélérateur. Cette dixième édition a permis aux quatre start-up ayant présenté leurs innovations de convaincre les membres du jury. Elles ont donc toutes été retenues pour intégrer l'accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP » :Parsys Telemedicine, spécialiste de la télémédecine, conçoit des solutions logicielles et matérielles de téléconsultation et téléexpertise. Spécialisée à l'origine dans la production de certains équipements médicaux, la start-up a depuis élargi son panel de produits pour proposer des solutions clés-en-main de télémédecine sur site, semi-fixes ou mobiles, et ainsi qu'un service d'assistance via une plateforme web médicale.Intsite a développé un système de vision artificielle destiné à avertir les grutiers des risques dans leur environnement professionnel. La start-up met en avant les avantages de cette solution en matière de sécurité mais également de productivité.WearHealth est spécialisée dans l'intelligence artificielle appliquée à l'interprétation des mouvements des opérateurs sur leur lieu de travail. La start-up propose des EPI ou vêtements connectés et se charge de collecter et d'interpréter les données qui en résultent. Cela permet notamment de cartographier les zones à risque sur un site, d'identifier les tâches les plus pénibles et d'optimiser les opérations.Bulane conçoit des systèmes de production de flamme innovants à partir d'eau et d'électricité (extraction de l'hydrogène par électrolyse de l'eau), pour des opérations de brasage et de soudure. Cela permet notamment une réduction des risques d'accident liés à la manipulation des bombonnes de gaz, une meilleure ergonomie et légèreté des outils, une réduction de l'exposition aux gaz issus de combustion complète ainsi qu'une diminution de l'empreinte environnementale de -94%.Ces start-up bénéficieront de l'expertise et des retours d'expériences des quatre partenaires fondateurs de faire monter en puissance la performance des entreprises en matière de santé et prévention. Les partenaires s'engagent également à faciliter les échanges et la visibilité des startup auprès de leurs entreprises adhérentes, notamment au travers de leurs sites web, leurs réseaux sociaux et leurs médias respectifs, ainsi qu'à l'occasion des événements auxquels ils sont susceptibles de participer.
Il y a 4 ans et 160 jours

Le gouvernement signe une charte de reboisement pour une forêt française "plus résiliente"

"Le premier des défis c'est évidemment le changement climatique qui bouleverse beaucoup d'écosystèmes forestiers", a déclaré lors d'un point presse le ministre de l'Agriculture Julien Denormandie, en visioconférence avec l'ensemble des acteurs de la filière.Le volet agricole du plan de relance prévoit 200 millions d'euros pour la forêt, dont 150 millions d'euros pour reboiser des forêts parfois gravement touchées par la sécheresse et des attaques d'insectes sur les arbres, comme les scolytes. Ces coléoptères creusent des trous dans les arbres fragilisés par la sécheresse.Pour favoriser la résilience des forêts face au réchauffement, Philippe Gourmain, expert forestier et intervenant lors de cette conférence, a notamment prôné une "dilution des risques", par le biais notamment de la "diversification des essences, des provenances, produire des provenances davantage du sud de la France et de l'Europe, et la diversification des traitements".Le ministre a été interpellé vers la fin de la conférence par Sylvain Angerand, de l'association Canopée, qui a dénoncé un plan de relance de la forêt "basé sur énormément de coupes rases suivies de plantations essentiellement en monoculture".Pour l'ONG, qui a dénoncé une opération d'"enfumage", "ce plan n'est pas un plan d'adaptation de la forêt aux changements climatiques mais aux besoins de l'industrie"."Pour moi une forêt se protège et une forêt se cultive", a répondu le ministre, qui a estimé que la forêt "est un espace de protection au titre de son bénéfice environnemental, c'est un espace sociétal et c'est un espace aussi de culture".Il a rappelé que la forêt progresse de 0,7 à 1% en superficie par an, et "a doublé depuis le XIXe siècle", tout en dénonçant le fait que la France "importe du bois pour faire de la construction bois" : "je récuse le fait qu'une forêt qui ne soit pas cultivée aurait un meilleur bénéfice environnemental", a-t-il conclu.
Il y a 4 ans et 161 jours

Les professionnels du bâtiment dans la liste des travailleurs de "deuxième ligne"

Une réunion, la deuxième du genre, a eu lieu il y a quelques jours entre la ministre du Travail, Elisabeth Borne, et les organisations patronales et syndicales, l'occasion de présenter les avancées de la mission sur ce sujet, lancée début novembre et menée par Sophie Moreau-Follenfant, dirigeante du gestionnaire du réseau à haute tension RTE, et Christine Erhel, économiste (Cnam).L'objectif: améliorer la rémunération ou encore la formation de ces travailleurs, dont les syndicats ont souligné l'importance pour le maintien de l'activité depuis le début de la crise sanitaire.Pour établir la liste des familles de métiers, deux critères ont été choisis, a précisé Christine Erhel aux journalistes: l'exposition potentielle au risque Covid-19 (contact direct avec le public, les collègues, exposition aux risques infectieux) et la présence sur site, évaluée pendant le premier confinement, et qui doit être supérieure à la moyenne.Une douzaine de secteurs sont concernés, a précisé le ministère, qui n'a pas souhaité communiquer la liste exhaustive avant de l'avoir envoyée aux partenaires sociaux. Ont été cités l'agriculture, les aides à domicile, le commerce (vendeurs, caissiers), le gardiennage, la sécurité, la logistique (manutention), la propreté, les transports.Le bâtiment a été inclus d'office, même si le secteur était fermé pendant le premier confinement. En revanche, la santé ne va pas figurer dans la réflexion, car ce secteur fait déjà l'objet d'une réflexion séparée, a précisé le ministère.La mission sélectionnera ensuite "de manière plus précise les métiers et les branches pour lesquels des négociations seront conduites lors de l'année 2021".Elle doit également faire un état des lieux des conditions d'emploi et de travail de ces salariés (salaires, contrats, CDD, CDI, conditions de travail, accidents de travail, temps de travail et vie privée, horaires atypiques, formation, dialogue social...).Les partenaires sociaux et la mission planchent aussi sur une autre dénomination des ces travailleurs de "deuxième ligne". Un consensus semble se dessiner autour de "métiers de la continuité économique et sociale", selon le ministère.En revanche, syndicats et patronat restent divisés sur les modalités de reconnaissance, les premiers poussant à une "augmentation salariale générale" quand les seconds appellent à regarder "finement, métier, par métier".
Il y a 4 ans et 161 jours

Grand Prix La Tuile Terre Cuite Architendance : le palmarès 2020 dévoilé

Le palmarès de la 5e édition du Grand Prix d’architecture La Tuile Terre Cuite Architendance récompense 6 projets qui utilisent... Cet article Grand Prix La Tuile Terre Cuite Architendance : le palmarès 2020 dévoilé est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 161 jours

Djebbari annonce des subventions pour les projets de transports publics

"Les AOM (autorités organisatrices de mobilité, ndlr) pourront y présenter leurs projets de TCSP (transport en commun en site propre, ndlr) qui seront réalisés au cours de ce nouveau mandat", a expliqué M. Djebbari à l'ouverture d'EuMo Expo, salon des transports publics organisé en version virtuelle pour cause de pandémie.Un "volet spécifique" concernera les pôles d'échanges multimodaux, "un sujet important", a relevé le ministre.Des "bonus" seront prévus pour "les opérations les plus remarquables" concernant la desserte de quartiers de la politique de la ville, l'amélioration de la qualité de l'air et "la mise en œuvre d'une politique d'urbanisme volontaire autour du projet de transport", a-t-il ajouté.Ce 4ème appel à projets, déjà évoqué par M. Djebbari en janvier, avant la crise sanitaire, est doté de 450 millions d'euros. Les collectivités intéressées ont jusqu'à fin avril 2021 pour soumettre leurs dossiers.Ce dispositif, prévu par le Grenelle de l'environnement, a déjà été utilisé trois fois, en 2009, 2011 et 2014. Il a permis d'aider la réalisation de nombreuses lignes de métros, tramways et bus à haut niveau de service (BHNS).Le plan de relance du gouvernement prévoit également 300 millions d'euros pour les projets de transports en commun en région, dont 200 millions pour les métros.
Il y a 4 ans et 162 jours

RE2020 : La filière bois lancera son "Plan ambition Bois 2030" début 2021

FILIÈRE. À l'occasion de l'anniversaire des Accords de Paris et alors que les premières orientations de la RE2020 sont désormais connues, le Comité stratégique de la filière bois annonce le lancement en début d'année 2021 d'un "Plan ambition Bois 2030", afin de montrer que le bois sera pleinement au rendez-vous de la RE2020.
Il y a 4 ans et 162 jours

Découvrez les lauréats des Pyramides d'or 2020

EN IMAGES. Un Grand Prix national et huit Prix thématiques. Les neuf lauréats des Pyramides d'or 2020 de la Fédération des promoteurs immobiliers ont été dévoilés, en décembre, par Alexandra François-Cuxac et les parrains des différents prix.
Il y a 4 ans et 162 jours

Sauver et réhabiliter le hall Jean Prouvé de Villagexpo à Saint-Michel-sur-Orge

La rédaction d’AMC vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous en janvier pour de nouvelles actualités.  En 2021, inscrivez-vous à notre newsletter et abonnez-vous pour recevoir le mensuel AMC ! Lire l'article
Il y a 4 ans et 162 jours

Guide pour reussir la rénovation de la toiture

Il est vrai qu’une nouvelle toiture n’est pas si glamour qu’un salon, une cuisine ou une salle de bain modernisée. Cependant, en s’acharnant sur une vieille toiture, celle-ci pourra ne plus être étanche. Viennent alors les problèmes d’infiltration d’eau qui détruisent l’intérieur de la maison, dont les belles pièces rénovées. N’est-ce pas contrariant d’avoir un intérieur abîmé ? Ne tardez plus alors à rénover votre toiture. Pour vous aider, suivez ce guide. Faire appel à un couvreur pour rénover la toiture Pour un travail bien effectué, il est conseillé d’avoir recours aux services aux spécialistes en travaux de toiture à l’exemple de cet artisan que vous pouvez contacter sur  https://www.entreprise-toiture.fr/ . Parmi les couvreurs, certains ont des savoir-faire plus développés sur certains matériaux et types de structures. D’autres sont plutôt spécialisés dans les structures d’isolation et de ventilation, les soffites, les gouttières. Compte tenu de cela, selon votre projet de rénovation de toiture, vous devez probablement travailler avec plusieurs couvreurs. Pour savoir avec qui vous allez collaborer, 3 critères sont à considérer. Premièrement, assurez-vous que l’entrepreneur détient licences et permis RBQ. Deuxièmement, vérifiez qu’il bénéficie d’assurances valides. Et troisièmement, soyez sûr qu’il dispose assez d’expériences avec certains matériaux. Bien choisir les types de matériaux pour revêtir la toiture Il existe plusieurs types de matériaux pour revêtir la toiture. Toutefois, le métal, l’ardoise ainsi que les bardeaux d’asphalte sont les plus souvent utilisés. Pour bien choisir, il convient de déterminer d’abord le rendu que vous souhaitez. Si vous voulez assurer la longévité du revêtement, vous pouvez opter pour la toiture en métal. Très résistante et très étanche, cette dernière est aussi un excellent choix pour une maison située dans une région au climat continental humide. Si vous souhaitez offrir de la noblesse et de l’élégance à votre maison, il n’y a rien de tel que la couverture en ardoise. Néanmoins, ce n’est pas son seul atout esthétique. Comme le métal, l’ardoise est aussi très résistante. En effet, il s’agit également d’une solution longue durée pour la toiture. Si vous avez un budget illimité, n’hésitez pas à choisir l’ardoise naturelle. Si non, il existe un revêtement en ardoise synthétique qui est disponible en différents couleurs et formats. Si vous cherchez une couverture de toit au meilleur rapport qualité-prix, les bardeaux d’asphalte sont sans doute le matériau qu’il vous faut. En effet, celui-ci est moins cher en comparaison avec les autres matériaux, pourtant avec une excellente performance. Notamment, il est polyvalent et disponible en différentes couleurs et styles. Il est léger, pourtant très résistant avec une espérance de vie de plusieurs décennies. Et dernière chose et non la moindre, il permet de réaliser des économies d’énergies. Rénover les autres composantes de la toiture Rénover sa toiture ne signifie pas remplacer uniquement la couverture du toit. Cette tâche revient également à rénover les autres éléments du toit. Ils sont notamment : — la gouttière qui est essentielle pour mieux gérer l’eau de pluie. — le soffite qui assure une bonne circulation de l’air dans la maison. — le fascia qui bloque l’humidité entre et la maison, le soffite et la gouttière. — la ventilation qui permet de maintenir la charpente. — l’isolation thermique qui évite les variations de température. — le solin qui garantit l’étanchéité du toit. — le larmier qui prévient les risques d’infiltration d’eau de pluie.
Il y a 4 ans et 163 jours

EDILTECO® lauréat de la 13ème Édition des Trophées du Négoce

Organisés par INFOPRO, les Trophées du Négoce récompensent les meilleures initiatives et innovations de la distribution du bâtiment. Cette 13ème édition s'est commuée en un évènement 100 % digital au cours duquel le palmarès 2020 des meilleures innovations des distributeurs et industriels en bâtiment, a été dévoilé ce mardi 15 décembre. LA CHAPE XXs®, deux fois plus légère qu'une chape traditionnelle, est lauréate des Trophées du Négoce 2020 dans la catégorie Rénovation.
Il y a 4 ans et 165 jours

Intermat Paris 2021 annulé, la prochaine édition se tiendra en avril 2024

Cette décision difficile s'est avérée aujourd'hui inévitable, au vu d'un contexte sanitaire toujours incertain au premier semestre 2021, qui n'aurait pas permis de tenir l'événement en toute sérénité en avril prochain. Elle est le fruit d'une concertation des professionnels réunis au sein du Conseil d'administration d'INTERMAT.Si de nombreux exposants français et internationaux, fidèles au rendez-vous de référence de la construction et des infrastructures, avaient déjà confirmé leur participation à l'édition 2021, les contraintes restaient en avril encore trop pénalisantes pour organiser le salon d'une manière optimale.Le prochain INTERMAT Paris se tiendra en avril 2024, avec une ambition toujours aussi forte de représenter une vitrine internationale et prospective de l'innovation pour conquérir les marchés de construction de demain.
Il y a 4 ans et 165 jours

La CHAPE XXs® d'Edilteco® lauréate de la 13ème édition des Trophées du Négoce

LA CHAPE XXs®, deux fois plus légère qu’une chape traditionnelle, est lauréate des Trophées du Négoce 2020 dans la catégorie Rénovation.Une Chape légère et polyvalenteSolution innovante, LA CHAPE XXs® est prête à l’emploi et compatible avec tous les revêtements de sols. Cette chape légère et fibrée est destinée à améliorer l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques en conformité avec la NF EN 13813.Elle doit sa légèreté aux billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 - 3mm). La densité du mélange - 1.200 kg/m³ – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle et admet une épaisseur d’application minimale de 1 cm (en pose adhérente sur béton), 2 cm (en pose désolidarisée sur bois), 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.).Une isolation acoustique optimaleDestinée aux applications intérieures et extérieures, LA CHAPE XXs® permet d’isoler et de traiter acoustiquement les différents types de supports existants dans les immeubles collectifs et les maisons individuelles.Ses performances en matière d’affaiblissement acoustique permettent une absorption efficace des bruits de chocs (talons, chute d’objets, déplacement de mobiliers etc.).Une mise en œuvre plus simpleLA CHAPE XXs® présente une grande facilité de mise en œuvre, permettant de réduire les délais de pose. Cette simplification est liée au fait que LA CHAPE XXs® est parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur. Sa consistance mousseuse permet une application efficace lors de la mise à niveau et une parfaite planéité.Une fois mise en œuvre, LA CHAPE XXs® est prête à recevoir directement un carrelage collé ou un autre revêtement. 24 heures suffisent pour la pose d’un revêtement céramique, 36 heures pour un sol souple et textile sur ragréage et 48 heures pour un parquet flottant.Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples.Polyvalente, LA CHAPE XXs® est utilisée pour tout type de chantiers, en maison individuelle ou en immeuble collectif, pour des travaux neufs ou en rénovation, et sur tout type de revêtements de sol : plancher béton ou bois, dalle béton, carrelage collé, carrelage scellé, parquet flottant, parquet collé, revêtement stratifié, moquette ou encore sol souple...
Il y a 4 ans et 166 jours

Le bâtiment au défi de réduire ses émissions de CO² plus rapidement tout en préservant ses emplois

"Les émissions de CO² du secteur du bâtiment ont atteint un niveau jamais vu", a prévenu mercredi l'ONU dans un rapport annuel sur le sujet, après un constat semblable un an plus tôt.Cette étude concerne à la fois l'énergie utilisée lors de la construction de bâtiments et celle consommée par ceux qui existent déjà. Au total, les Nations unies estiment que le secteur a émis en 2019 dix milliards de tonnes de CO².Ce dernier est le principal gaz à effet de serre, dont la présence dans l'atmosphère contribue au réchauffement climatique.Plusieurs pays, dont les membres de l'Union européenne, se sont engagés à atteindre d'ici à 2050 la "neutralité carbone", c'est-à-dire ne pas émettre plus de CO² qu'ils n'en consomment, au terme d'un accord international signé voici cinq ans, celui de Paris.Mais, à son rythme actuel de consommation d'énergie, le monde du bâtiment en sera loin. L'ONU estime qu'il devrait bien plus accélérer ses efforts, même si ces derniers sont déjà notables."En 2019, pour la première fois depuis trois ans, les investissements ont augmenté en matière de bâtiments à faible consommation d'énergie", remarque l'ONU, bien qu'ils ne représentent toujours qu'une part marginale.Dans ce contexte, ces derniers mois, plusieurs géants du secteur se sont engagés à moins polluer lors de la décennie qui s'ouvre.En début d'année, c'était Vinci qui promettait de réduire ses émissions de CO² de 40% d'ici à 2030, promettant d'y consacrer plusieurs centaines de millions d'euros d'investissement.Ce mercredi, son grand concurrent, Bouygues, annonçait des objectifs proches. A la même échéance, il promet de réduire de 30% les émissions directes de sa filiale de travaux routiers et ferroviaires, Colas, et de 40% celles de ses autres activités de construction.Vitrine dorée"Les choses ne se mettent pas suffisamment vite en place donc nous considérons qu'il est de la responsabilité des acteurs économiques de proposer un certain nombre de mesures pour restreindre notre empreinte CO²", a expliqué Olivier Roussat, numéro deux du groupe, lors d'une conférence.Les ambitions du groupe passent par exemple par l'utilisation accrue de béton à la fabrication moins polluante. Généralement, il faut utiliser du ciment produit en faisant chauffer des matériaux à des températures extrêmement hautes, donc en recourant à beaucoup de combustible.Mais Bouygues et Vinci ne constituent qu'une vitrine du secteur. Derrière ces deux groupes, qui font partie du CAC 40 et réalisent des dizaines de milliards d'euros de chiffre d'affaires, l'univers du bâtiment est éclaté en une myriade d'acteurs plus ou moins gros.Ils manifestent souvent moins d'enthousiasme à se fixer des objectifs environnementaux, qui reviennent à s'imposer des contraintes coûteuses dans un univers où les marges sont rarement florissantes.En France, le bâtiment grogne notamment face à l'introduction l'an prochain de nouvelles normes sur les bâtiments neufs.Détaillée fin novembre, cette réglementation, dite RE 2020, vise à faire baisser d'au moins 30% les émissions de CO² de tout le secteur en dix ans."Les objectifs et les délais annoncés (...) semblent irréalistes, tant sur le plan économique que sur la capacité de la filière à s'adapter à ces changements radicaux", a réagi la Fédération française du bâtiment (FFB), principale organisation du secteur.Le gouvernement lui-même reconnaît que ces nouvelles normes vont rendre plus chère la construction de bâtiments, un choix que le secteur juge particulièrement inadéquat en pleine crise économique née de la pandémie."Ce sont des dizaines de milliers d'emplois mis en danger inutilement, dans l'industrie et le BTP", a estimé Olivier Salleron, président de la FFB, qui estime aussi qu'un ménage pauvre aura de plus en plus de mal à se payer la construction d'un logement.
Il y a 4 ans et 166 jours

Le salon Intermat 2021 est annulé

EVENEMENTIEL. Alors qu'il devait se tenir au printemps prochain, Intermat, salon international de la construction et des infrastructures du bâtiment et travaux publics et de matériels de chantier, a été annulé en raison des incertitudes liées à la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 166 jours

Le gouvernement annonce l'assouplissement des conditions d'octroi des crédits immobiliers

Le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), qui associe entre autres le ministère de l'Économie et la Banque de France, a décidé jeudi d'assouplir les règles limitant l'octroi de crédits immobiliers, qui avaient été durcies il y a un an, pour limiter le surendettement des ménages.La durée maximum d'endettement va ainsi passer de 25 à 27 ans, le taux maximum d'endettement sera porté à 35% contre 33% précédemment, et le volume de dérogation à ces règles passera de 15% à 20% de l'ensemble des crédits octroyés, a détaillé le ministre lors d'une conférence téléphonique avec des journalistes.Cet assouplissement vise à assurer plus de souplesse "en particulier pour les primo-accédants, pour garantir le dynamisme du marché immobilier", a défendu le ministre, précisant que les règles précédentes avaient fait preuve d'efficacité.En effet, a-t-il expliqué, la part des crédits aboutissant à un taux d'endettement supérieur à 33% et celle des crédits dont la maturité était supérieure à 25 ans ont diminué de respectivement 7 et 4 points de pourcentage cette année.Relevant cependant que "certaines banques n'ont pas respecté suffisamment les règles", qui étaient jusqu'à présent des recommandations, Bruno Le Maire a annoncé qu'il allait "dans les semaines qui viennent", avec la Banque de France et l'ACPR, le superviseur de la finance, définir "les modalités juridiques pour rendre ces dispositions contraignantes".La part des crédits en dehors des clous n'a cependant pas été révélée.Mercredi soir, le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau avait déjà ouvert la porte à un assouplissement, dans un entretien à Alternatives économiques."Je suis prêt à proposer un ajustement limité, raisonnable, de certains critères, mais à la condition qu'on garde clairement et fermement le cap: celui d'arrêter une dérive continue des conditions d'octroi, qui exposerait les ménages au risque de surendettement", avait-il déclaré. Pression des professionnelsSelon une source proche du HCSF, ce revirement n'est pas à mettre sur le compte d'une baisse des crédits octroyés: "on a eu 20,2 milliards (d'euros) de crédits produits au mois d'octobre dernier, et si on part du mois de mars, en moyenne mensuelle de production, on est en train de talonner 2019 qui était une année absolument exceptionnelle".En revanche, cet assouplissement devrait satisfaire les professionnels de l'immobilier, qui n'ont cessé ces derniers mois de mettre la pression sur les responsables pour les enjoindre de revoir leur copie, les règles bridant selon eux le secteur immobilier.Interrogé par l'AFP, Jean-Marc Torrollion, président de la Fédération nationale des agents immobiliers (Fnaim), a évoqué "un très bon signal" et "une réalité de terrain prise en compte", même si le relèvement du taux d'endettement à 35% aurait pu être placé encore un peu plus haut, selon lui.Le durcissement de 2019 avait marqué un tournant pour les autorités financières, qui affichaient jusqu'alors leur sérénité face à un marché français du logement en plein essor, et provoqué la grogne de nombreux acteurs.Il y a quelques jours, l'Association française de l'immobilier locatif (Afil), l'Association des professionnels des intermédiaires en crédit (Apic), la Fédération française des constructeurs (FFC), la Fédération nationale des agents immobiliers (Fnaim), et le Syndicat national des professionnels de l'immobilier (SNPI) avaient envoyé une lettre dans laquelle ils faisaient état notamment d'une "hausse significative des taux de refus" de crédit, principalement pour les primo-accédants, qu'ils attribuaient aux "recommandations du HCSF" jugées "excessives".
Il y a 4 ans et 166 jours

Intermat Paris 2021 est annulé

Intermat et Woc Europe 2021 ont été annulés. [ACPresse] Les organisateurs d’Intermat et du World of Concrete Europe viennent d’annoncer l’annulation de ce double rendez-vous. Une décision qui fait suite aux nombreuses incertitudes liées à la pandémie de la Covid-19, qui risquent fort de perdurer au premier semestre 2021… Rendez-vous est d’ores et déjà pris pour la prochaine édition qui se tiendra en avril 2024. Ceci, avec une ambition toujours aussi forte de représenter une vitrine internationale et prospective de l’innovation pour conquérir les marchés de construction de demain. « Cette décision difficile s’est avérée aujourd’hui inévitable, au vu d’un contexte sanitaire toujours incertain au premier semestre 2021 », concèdent les organisateurs. En effet, il n’aurait sans doute pas possible de tenir l’événement en toute sérénité en avril prochain. Cette annulation est le fruit d’une concertation des professionnels réunis au sein du Conseil d’administration d’Intermat.
Il y a 4 ans et 166 jours

Mobilisation d'un front anti-JO en Seine-Saint-Denis

A l'appel de plusieurs associations et collectifs citoyens, une centaine de personnes se sont rassemblées il y a quelques jours sur l'Aire des Vents à Dugny pour "sauver" cette parcelle du parc départemental de Georges-Valbon, qui doit accueillir le village des médias puis sera transformé en écoquartier de 1.300 logements et commerces.Dans cette grande pelouse de 20 hectares qui accueille traditionnellement la Fête de l'Huma, des barrières ont déjà été installées pour marquer la zone de construction. "Regardez autour de vous, des trottinettes, des couples qui se promènent, des joggeurs et des enfants", décrit Youcef Tatem, du collectif "Notre parc n'est pas à vendre"."C'est un parc populaire, de cohésion sociale, pourquoi nous l'enlever ?", s'interroge ce retraité de 74 ans qui s'est battu en 2015 contre le projet de Central Park à la française de 2.000 immeubles en lisière du parc labellisé Natura 2000."Pourquoi bétonniser cet endroit ? On manque d'espaces verts dans le département, c'est une aberration écologique", estime Christian Bernard, originaire de Bondy qui vient tout juste d'achever sa marche nordique dominicale.Pour Anne Guyonnet, il ne s'agit pas d'"être contre les JO qui vont permettre d'obtenir des infrastructures en Seine-Saint-Denis" mais de s'interroger sur l'impact environnemental qui est "la grosse cata", estime cette cheffe de projet artistique de 50 ans."Les JO n'est plus la fête populaire où on regardait les exploits de Carl Lewis à la TV", considère cette habitante du Blanc-Mesnil.Entre distribution de soupe chaude et tracts, France Boulay confie qu'il avait l'habitude de promener ses enfants sur l'Aire des Vents. "Je trouve dommage de vendre un bien public à des promoteurs immobiliers", regrette-t-il.Pour cet ancien agent de maintenance, "il suffit d'héberger les journalistes dans les hôtels du Bourget comme c'est le cas lors du salon international de l'aéronautique"."Mépris"Le rassemblement à Dugny s'inscrit dans le "Toxic tour" organisé par le comité citoyen de vigilance des JO-2024.Il s'agit d'une série de visites guidées sur les sites olympiques de Seine-Saint-Denis, afin de montrer "les impacts concrets en termes de pollution, de nuisances et d'endettement public qu'auront les décisions politiques des JO-2024", explique Marianna Kontos.Sous la banderole: "JO-Paris 2024, intox et pillage de la Seine-Saint-Denis", le comité de vigilance a organisé une première étape mi-novembre dans les rues de Saint-Ouen et Saint-Denis.Le front anti-JO a fait une halte devant le chantier du village olympiqueet le quartier Pleyel.Depuis plus d'un an, des habitants et des parents d'élèves de ce quartier mènent un combat judiciaire contre un projet d'aménagement d'échangeurs autoroutiers qui doit desservir le village des athlètes.Une bretelle d'entrée et de sortie d'autoroute reliant l'A1 et l'A86 va être créée à proximité d'un groupe scolaire fréquenté par 700 enfants."On asphyxie des enfants au nom des JO et au détriment du département. On se fiche de nous parce qu'on est pauvres", a lancé Hamid Ouidir, parent d'élève à la FCPE 93, lors d'une prise de parole."On nous méprise, la Solideo (société de livraison des ouvrages olympiques) et le département ne nous parlent pas", se désole Benjamin Darras, de l'association "Vivre à Pleyel" qui avec 14 autres requérants ont déposé un recours devant le Conseil d'Etat, plus haute juridiction administrative en France.Ils avaient remporté une première bataille avec la suspension des travaux mais la Cour administrative d'appel de Paris a donné en octobre le feu vert au démarrage des travaux.A Dugny, parmi les indignés des JO de Paris 2024, figure aussi le collectif de la défense des jardins ouvriers d'Aubervilliers, réuni autour de la bannière: "On veut des potirons, pas du béton !"Un hectare de leur potager, situé dans une zone très urbanisée, va disparaître au profit d'un centre aquatique d'entraînement et d'une gare du Grand Paris.L'établissement public Grand Paris Aménagement, propriétaire des jardins, a promis "une compensation"."Tous ces projets d'aménagement se font au détriment du 93, on se demande ce que l'on va gagner avec les JO", déclare amer Hugo Coldeboeuf, du collectif de la défense des jardins ouvriers.
Il y a 4 ans et 167 jours

PMC 2020 : le palmarès complet

Contexte sanitaire oblige, le palmarès de la 19e édition des Prix Moniteur de la Construction a été dévoilé sur le site du Moniteur entre le 14 et 16 décembre. Il récompense le travail de 28 PME issues de toute la France qui ont su allier performances économiques, sécurité, prévention et formation. Le Grand Prix 2020 a été décerné au groupe de menuiseries Dubois, implanté à Sepmes en Touraine.
Il y a 4 ans et 167 jours

PMC 2020 : découvrez le lauréat du Grand prix

Le jury national des Prix Moniteur de la construction a choisi de distinguer la menuiserie Dubois du Grand prix de cette édition.
Il y a 4 ans et 167 jours

Poces : Environnement souterrain, et si on parlait béton ?

Une soixantaine de participants scientifiques, maîtres d’ouvrage et d’œuvre, entrepreneurs, fournisseurs et institutionnels ont assisté aux conférences. [©Poces] Inauguré en 2017, le Pôle de compétences en environnement souterrain (Poces) est hébergé à Ecurey (55), au Pôle d’Avenir. Il s’est rapidement imposé comme une référence technique et pédagogique auprès de nombreux acteurs du secteur des travaux souterrains. Depuis plus de deux ans, il propose des évènements et des formations professionnelles spécialisées. Le tout avec des mises en pratiques dans les galeries du laboratoire de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), à Bure (54). Ainsi, douze modules de formation ont été déployés. Ils abordent différents thèmes comme la maîtrise des risques en souterrain, la sécurité incendie. Mais aussi, les risques projets, l’environnement de travail souterrain, la gestion de travaux… Une deuxième édition Intitulées “Durabilité des bétons en milieu souterrain”, les Journées techniques du Pôle de compétences en environnement souterrain (Poces) ont eu lieu cet automne. [©Poces] C’est toujours dans cette même démarche que le Poces a organisé la 2eédition de ses Journées techniques, intitulées “Durabilité des bétons en milieu souterrain”. Organisé à Ecurey (55), cet évènement a constitué un rendez-vous regroupant scientifiques, industriels et institutionnels du secteur. Ces derniers ont partagé leurs expériences, leurs pratiques et leurs progrès. Pour cette 2eédition, le béton et ses innovations étaient au cœur des discussions. Considéré comme un matériau incontournable dans la réalisation d’ouvrages, tels que les galeries et les tunnels. Autour de la durabilité des bétons Ainsi, une soixantaine de participants scientifiques, maîtres d’ouvrage et d’œuvre, entrepreneurs, fournisseurs et institutionnels ont assisté aux conférences. Et participé aux tables rondes. Ces deux journées ont été l’occasion de partager des expériences et de discuter des meilleures pratiques. Ainsi que de s’informer sur les innovations dans le domaine des bétons pour la construction des tunnels de demain. Ces rencontres ont permis de valoriser toute la filière des milieux souterrains. Et de diffuser de la façon la plus large possible les connaissances acquises par des professionnels et des chercheurs. Quatre conférences François Martin, chef de projets travaux souterrains chez BG Ingénieurs Conseils, a abordé la thématique de l’emploi des bétons dans les travaux de réalisation de tunnels et de galeries. [©Poces] Quatre grandes conférences ont ponctué ces Journées techniques. Déjà, l’exposé de François Martin, chef de projets travaux souterrains chez BG Ingénieurs Conseils. Thématique abordée : l’emploi des bétons dans les travaux de réalisation de tunnels et de galeries. François Martin a ainsi démontré que ce matériau était incontournable dans ces ouvrages. Mais aussi, qu’apparemment simple et facile à confectionner, ainsi qu’à mettre en œuvre, le béton était en réalité « prodigieusement compliqué » dans cet environnement. Laurie Lacarrière, enseignante-chercheuse à l’Insa-LMCD Toulouse, a communiqué sur le thème de la durabilité des bétons et de ses constituants. [©Poces] Puis, c’est l’intervention de Laurie Lacarrière, enseignante-chercheuse à l’Insa-LMCD Toulouse, qui a suivi. Avec comme thème : la durabilité des bétons et de ses constituants. L’enseignante-chercheuse a fait la synthèse sur l’état des connaissances. Temps fort : la “prise en compte des couplages thermo-hydro-chemo-mécaniques pour la prédiction de la durabilité des ouvrages enterrés”. Laurie Lacarrière a appréhendé la durée de vie et de service des constructions selon des conditions environnementales. Cette approche académique a été complétée par l’intervention de Frédéric Duprat, enseignant-chercheur à l’Insa-LMCD Toulouse. Celui-ci a transporté les auditeurs dans le monde de la gestion des ouvrages.  Des tables rondes, marque de fabrique du PoCes Une troisième conférence menée par Sylvie Geromey (Cetu/Asquapro) et Abdel Mestari (ABCCR/Asquapro) a porté sur les bétons projetés. [©Poces] Une troisième conférence menée par Sylvie Geromey (Cetu/Asquapro) et Abdel Mestari (ABCCR/Asquapro) a porté sur les bétons projetés. Les différentes méthodes de projection avec leurs spécificités ont été ici détaillées. Précisant les avantages et les difficultés de chacune. La présence sur le site d’un simulateur virtuel de projection de béton et des démonstrations encadrées par Yves Girard (Master Builders Solutions) ont permis aux participants de s’initier à cette technique innovante. Interventions des scientifiques de l’Andra avec Odile Azanam. [©Poces] Enfin, il y a eu les interventions des scientifiques de l’Andra avec Odile Azanam, Gilles Armand et Jad Zghondi. Qui ont permis de rendre compte des problématiques liées à l’utilisation et à la durabilité du béton dans la future installation souterraine Cigéo. Cette dernière est implantée dans l’Est de la France, à Bure, à la limite des départements de la Haute-Marne et de la Meuse. Marque de fabrique du Poces, le format des tables rondes a aussi permis de partager des expériences autour de la durabilité des bétons.  
Il y a 4 ans et 167 jours

Comment Bouygues compte réduire son empreinte carbone et convaincre ses clients

STRATÉGIE BAS CARBONE. Le groupe avait promis de présenter une feuille de route pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 30 à 50% d'ici à 2030, alignés avec les objectifs de l'Accord de Paris, avant fin 2020. Celle-ci est présentée ce 16 décembre 2020, lors d'un rendez-vous investisseurs virtuel.
Il y a 4 ans et 167 jours

Restauration du décor sculpté de la rose occidentale de la cathédrale de Soissons

Suite à la tempête Egon de 2017, des éléments anthropomorphes authentiques ont été mis à jour à l’occasion de la restauration de la rose occidentale de la cathédrale de Soissons. La maîtrise d’œuvre a pu, dans le cadre de son étude de diagnostic, bénéficier de moyens d’accès exceptionnels pour réaliser les relevés d’état sanitaire au niveau des décors sculptés de l’arc brisé de la façade. Des petites têtes anthropomorphes du XIIIe ont été distinguées de la plupart des fleurons à motifs végétaux. Celles-ci sont discrètement dissimulées : les personnages se trouvent au centre de la composition, à la place des stigmates des fleurons. D’autres visages sculptés présents sur l’arc brisé datent clairement des travaux de la reconstruction après-guerre. En raison de leur exposition aux intempéries et de la nature de la pierre locale mise en œuvre, ces décors présentaient pour la plupart un épiderme fragilisé. Des petites fenêtres d’essais réalisées au début du chantier par la société TOLLIS, attributaire du marché de restauration du décor sculpté, ont permis de confirmer le choix de l’architecte d’utiliser le laser. Après avoir réalisé un micro-gommage fin et délicat, ces crochets anthropomorphes ont fait l’objet d’un nettoyage complémentaire à l’aide d’une machine, à exemplaire unique, fruit du développement de la société TOLLIS dans le but d’élaborer un laser de nouvelle génération. Une diode laser à haut rendement (et non plus une lampe flash) au rayonnement ultra-précis permet une désintégration photonique des encroûtements noirs qui sont littéralement pulvérisés. La pierre sous-jacente, de couleur claire, ne peut accumuler l’énergie lumineuse et se retrouve ainsi protégée, assurant ainsi la très grande sélectivité du nettoyage. L’énergie du faisceau est systématiquement calibrée.   Photo : Ville de Soissons – Frédéric Sartiaux
Il y a 4 ans et 168 jours

Philip Johnson bientôt radié du MoMA ?

Le Johnson Study Group - un collectif anonyme d'artistes et d'architectes - demande au MoMA de retirer le nom de Philip Johnson (1906-2005) de ses murs en raison des liens avérés de l'architecte avec le fascisme. Une demande soutenue par 38 personnalités du monde artistique dont 10 participeront le 20 Février prochain à l’exposition du MoMA, « Reconstructions: Architecture and Blackness in America ». Une installation considérée comme la première du MoMA à explorer l'architecture des...
Il y a 4 ans et 168 jours

EDILTECO® lauréat de la 13ème Édition des Trophées du Négoce avec La Chape XXS®

Organisés par INFOPRO, les Trophées du Négoce récompensent les meilleures initiatives et innovations de la distribution du bâtiment. Cette 13ème édition s’est commuée en un évènement 100 % digital au cours duquel le palmarès 2020 des meilleures innovations des distributeurs et industriels en bâtiment, a été dévoilé ce mardi 15 décembre. LA CHAPE XXs®, deux fois plus légère qu’une chape traditionnelle, est lauréate des Trophées du Négoce 2020 dans la catégorie Rénovation.                 UNE CHAPE LÉGÈRE ET POLYVALENTE Solution innovante, LA CHAPE XXs® est prête à l’emploi et compatible avec tous les revêtements de sols. Cette chape légère et fibrée est destinée à améliorer l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques en conformité avec la NF EN 13813. Elle doit sa légèreté aux billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 – 3 mm). La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle et admet une épaisseur d’application minimale de 1 cm (en pose adhérente sur béton), 2 cm (en pose désolidarisée sur bois), 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.).   UNE ISOLATION ACOUSTIQUE OPTIMALE Destinée aux applications intérieures et extérieures, LA CHAPE XXs® permet d’isoler et de traiter acoustiquement les différents types de supports existants dans les immeubles collectifs et les maisons individuelles. Ses performances en matière d’affaiblissement acoustique permettent une absorption efficace des bruits de chocs (talons, chute d’objets, déplacement de mobiliers etc.).   UNE MISE EN OEUVRE PLUS SIMPLE LA CHAPE XXs® présente une grande facilité de mise en oeuvre, permettant de réduire les délais de pose. Cette simplification est liée au fait que LA CHAPE XXs® est parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur. Sa consistance mousseuse permet une application efficace lors de la mise à niveau et une parfaite planéité. Une fois mise en oeuvre, LA CHAPE XXs® est prête à recevoir directement un carrelage collé ou un autre revêtement. 24 heures suffisent pour la pose d’un revêtement céramique, 36 heures pour un sol souple et textile sur ragréage et 48 heures pour un parquet flottant. Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples. Polyvalente, LA CHAPE XXs® est utilisée pour tout type de chantiers, en maison individuelle ou en immeuble collectif, pour des travaux neufs ou en rénovation, et sur tout type de revêtements de sol : plancher béton ou bois, dalle béton, carrelage collé, carrelage scellé, parquet flottant, parquet collé, revêtement stratifié, moquette ou encore sol souple…
Il y a 4 ans et 168 jours

Impacté par la crise sanitaire, le bâtiment s'attend à une année 2021 morose

L'an prochain, l'activité du bâtiment devrait bondir de 11,3%, selon la Fédération française du bâtiment (FFB).Mais cette hausse ne suffira pas à rattraper une chute de 15% cette année, marquée par la crise sanitaire et plusieurs épisodes de confinement."Nous allons assister à un repli sur l'emploi (avec) 50.000 postes qui seraient en danger" l'an prochain, a averti le président de la FFB, Olivier Salleron, lors d'une conférence de presse.Pour l'heure, la fédération fait état de 10.000 emplois en moins cette année, essentiellement à cause d'une chute dans l'intérim.Le bâtiment a peu souffert du reconfinement en fin d'année, car ses chantiers ont pu continuer. Mais au printemps, lors du premier confinement, la plupart avaient été arrêtés plusieurs semaines, le temps d'instaurer des mesures sanitaires.Malgré la reprise des chantiers, le rattrapage ne sera pas total, selon la fédération, qui craint surtout une déprime durable de la construction de logements.Dans ce secteur, "le rebond n'arrivera absolument pas (...) à rattraper les années 2018-2019", a prévenu M. Salleron. "C'est une catastrophe qui s'annonce", juge-t-il, annonçant "une crise historique du marché en 2021" et, en conséquence, un manque de logements en France.Plusieurs facteurs expliquent ce déclin, en premier lieu une baisse marquée des permis octroyés par les élus locaux depuis plus d'un an.Parallèlement, la FFB évoque la restriction depuis 2019 par les autorités financières des conditions d'emprunt immobilier, ainsi que l'annonce récente de nouvelles normes sur la construction neuve, dite "RE 2020"."La combinaison (de ces éléments) va entraîner des surcoûts", a estimé M. Salleron.Le bâtiment a pourtant remporté une victoire récente avec la prolongation de plusieurs aides à l'achat d'un logement, dont le prêt à taux zéro (PTZ). Il devrait aussi bénéficier des mesures récentes prises en faveur de la rénovation énergétique, dont le gouvernement a fait un grand axe du plan de relance annoncé à la rentrée."Le gouvernement a mis le paquet" dans la rénovation énergétique, a admis M. Salleron. Mais même si les activités de rénovation devraient retrouver leur niveau d'avant-crise, la FFB estime que cela ne suffira pas à porter tout le secteur.
Il y a 4 ans et 168 jours

Préventica Lille

Salon de l'information pour les secteurs de la santé, la sécurité et la qualité de vie au travail.
Il y a 4 ans et 168 jours

Préventica Paris

Salon de l'information pour les secteurs de la santé, la sécurité et la qualité de vie au travail
Il y a 4 ans et 168 jours

Préventica Lyon

Salon de l'information pour les secteurs de la santé, la sécurité et la qualité de vie au travail.
Il y a 4 ans et 168 jours

Le plan de relance doit être plus compatible avec la neutralité carbone

Les experts du HCC, scientifiques, ingénieurs ou économistes, se sont penchés sur le plan de 100 milliards d'euros sur deux ans dévoilé en septembre, pour voir dans quelle mesure il est compatible avec les engagements de la France de réduire ses émissions de gaz à effet de serre pour atteindre la neutralité carbone en 2050.Le HCC a étudié les 97 mesures, les classant entre celles "favorables, défavorables, ambigües ou qui s'inscrivent dans la continuité des émissions actuelles, trop élevées, de la France", selon ce rapport indépendant.Le gouvernement a fait de la transition écologique un des piliers de ce plan, avec 30 milliards d'euros consacrés au verdissement de l'économie.Le HCC a comptabilisé 28 milliards d'euros "favorables à l'atténuation des émissions de gaz à effet de serre", un montant proche de celui du gouvernement. "C'est un montant très important, la France fait partie des pays les mieux dotés" en ce sens, a relevé la climatologue Corinne Le Quéré, présidente du HCC, lors d'une conférence de presse en ligne.En revanche, "les deux tiers du plan soutiennent l'activité économique dans la continuité des pratiques actuelles. Elles pourraient avoir un effet significatif à la hausse sur les émissions de gaz à effet de serre par rapport à la trajectoire de réduction de la France, et font courir le risque d'un verrouillage dans des activités fortement émettrices à long terme", avertit le rapport.Les experts estiment aussi qu'il faut soutenir davantage des transformations structurelles à plus long terme pour que la France remplisse les objectifs fixés par l'accord de Paris de limiter le réchauffement climatique bien en-dessous de 2°C, voire à 1,5°C.
Il y a 4 ans et 168 jours

PMC 2020 : le palmarès en vidéo

Chaque année, les Prix Moniteur de la construction récompensent les entreprises de BTP les plus performantes de France. A la suite des sept jurys régionaux, six lauréats ont été distingués au niveau national : quatre prix de catégories (clos et couvert, second œuvre, équipements techniques et travaux publics), une mention spéciale récompensant la meilleure stratégie de prévention et, bien entendu, le Grand prix. Découvrez, en vidéo, les annonces de chacun de ses six lauréats, avec une interview en visio du chef d’entreprise récompensé.
Il y a 4 ans et 168 jours

Le projet de rénovation du musée Dobrée de Nantes réévalué à 43 millions d'euros

"Je pense que je suis le 4e président du département à porter ce projet. Je voudrais être le président qui transmettra un magnifique projet de musée", a déclaré Philippe Grosvalet, président PS du département au cours d'une conférence de presse.Le conseil départemental, qui avait déjà alloué 28 millions d'euros au projet, doit se prononcer lundi sur une nouvelle "autorisation de programme" portant le coût total des dépenses à 43 millions d'euros."Quant l'info a été donnée, j'ai sauté au plafond", a reconnu M. Grosvalet, qui a souligné que les prix avaient "considérablement augmenté dans la dépense publique"."Ce dossier cumule toutes les difficultés", a-t-il ajouté, évoquant notamment les risques de recours en justice.Un précédent projet porté par l'architecte Dominique Perrault avait été retoqué par la cour administrative d'appel de Nantes en 2014.Le musée, fermé depuis janvier 2011, devrait rouvrir fin 2023 si les travaux aboutissent dans les délais impartis. Les premiers travaux préparatoires (désamiantage, fouilles archéologiques...) ont commencé dès 2019. Des recours contre ces travaux et contre le permis de construire sont encore en cours.L'inflation du coût des travaux "traduit toute la complexité de cette opération sur un patrimoine non classé monument historique mais dont toutes les entreprises en reprennent les contraintes en termes de mode opératoire, d'aléas techniques et de risques financiers", explique le conseil départemental dans un dossier de presse.Regroupant 135.000 oeuvres couvrant 5.000 siècles et cinq continents, le futur musée "offrira un espace permanent d'exposition de plus de 2.000 m³" et "un espace d'expositions temporaires d'environ 400 m³" dans le manoir de la Touche, datant du XVe siècle, selon un dossier de presse. Situé dans le centre-ville de Nantes, le musée comptera des jardins, une librairie-boutique et un café.Le nouveau projet scientifique et culturel propose "d'embrasser" l'éclectisme de ses collections "et d'en faire un élément à part entière de l'identité spécifique du musée", selon la même source.En avril 2018, le reliquaire en or d'Anne de Bretagne, ancienne reine de France, avait été dérobé à l'intérieur du musée Dobrée, avant d'être retrouvé quelques jours plus tard.
Il y a 4 ans et 168 jours

Conseils et astuces Sto pour maintenir durablement une belle façade

Sto, le spécialiste de la façade – isolation thermique par l'extérieur (ITE), produits techniques et d'embellissement des façades, bardage ventilé – recommande d'entretenir régulièrement sa façade afin de préserver son aspect esthétique durablement. Un entretien régulier, c'est aussi éviter de devoir recourir à des travaux plus lourds, et donc plus coûteux.Quand entretien régulier rime avec économies et valorisation du bienQui dit observations régulières de ses façades pour leur entretien, dit défauts apparus pris en compte rapidement et donc intervention pour les réparations moins coûteuse que si le défaut s'était accentué et aggravé.C'est pourquoi Sto recommande de réaliser un entretien de sa façade tous les deux ans en moyenne, à adapter en fonction des conditions climatiques et de l'exposition du lieu d'habitation.« Quelques interventions curatives et préventives régulières sont moins coûteuses et évitent qu'un ravalement complet plus lourd, avec d'importants désordres à traiter, soit à entreprendre lorsqu'on a attendu trop longtemps », insiste Florence Guyoton, chef de produits peintures chez Sto.Aujourd'hui en France, un grand nombre de particuliers font entretenir leur maison et remettent régulièrement en peinture leur façade pour valoriser leur bien.Mais avoir une « belle » façade, c'est aussi pour le plaisir des propriétaires qui profitent alors d'une habitation à la qualité esthétique irréprochable !Le nettoyage et la décontamination : une étape obligatoire pour un chantier bien ravaléPour avoir un bon ravalement, il faut d'abord nettoyer ou décontaminer sa façade. La prise en compte de plusieurs paramètres est essentielle. Le bâtiment, en fonction du lieu où ils se trouve et de son environnement, va être plus ou moins encrassé, et la nature de l'encrassement va varier.Si le logement se trouve dans une zone urbaine, des facteurs tels que la pollution et les gaz d'échappement, provoqueront un encrassement, dit atmosphérique, plutôt gras. Des salissures sombres, qui ternissent la façade (souvent de la suie, de la poussière ou du noir de carbone), apparaissent. Pour retrouver l'aspect originel de la façade, ce type d'encrassement gras nécessite des produits avec un traitement approprié, comme le Sto-Nettoyant Façades AB, spécialement conçu pour les supports peints, ou le Sto-Nettoyant Universel pour les supports bruts, comme la pierre ou la brique, afin de venir à bout de ces désordres esthétiques.Inversement, dans un milieu humide, boisé, proche d'une végétation, des dépôts se font naturellement sur la façade et provoquent ainsi un encrassement végétal. Sto recommande l'utilisation du Sto-Décontaminant de manière curative et préventive grâce à son coté rémanent. Son pH est neutre et il est formulé pour lutter contre les bactéries, mousses, algues et champignons qui s'implantent sur les façades.Les mortiers StoCrete pour des réparations béton rapidesPour les réparations à effectuer avant une remise en peinture, Sto a développé une gamme complète de mortiers à prise rapide, à utiliser en fonction de l'ampleur de la réparation :StoCrete KM pour la réparation de petits éclats (jusqu'à 10mm d'épaisseur) et le ragréage des surfaces béton ;StoCrete SM pour réparer des éclats plus importants (jusqu'à 40 mm d'épaisseur) ;StoCrete RM pour la réparation structurelle des bétons ;StoCrete SM P, le 2 en 1 avec une protection anticorrosion intégrée, lorsqu'ils y a des armatures métalliques.Rafraîchir sa façade avec une nouvelle couleur et la protéger : la remise en peinture s'imposePour réaliser une remise en peinture, c'est l'état du support qui va déterminer le produit adéquat, selon plusieurs niveaux de dégradation.La façade est saine, sans défauts ni éclats ? Sto propose une gamme complète pour une remise en peinture afin de redonner de l'éclat et pérenniser la protection de la façade.Les peintures intelligentes pour mieux protéger sa façadeEt pour mieux protéger sa façade et conserver son aspect durablement, les peintures bioniques de Sto se distinguent par leur remarquable gestion de l'eau et de l'encrassement ! Véritable marque de fabrique de Sto, ces peintures de façades intelligentes font appel aux technologies Dryonic® et Lotus-Effect® issues de phénomènes observés dans la nature.StoColor Lotusan®, avec sa microstructure qui réduit la surface de contact de l'eau, reproduit les effets perlants et auto-nettoyants de la feuille de Lotus. Les saletés et poussières sont emportés par l'action de la pluie.StoColor Dryonic® possède les propriétés drainantes de la carapace du scarabée de Namibie (à la fois hydrophile et hydrophobe) ; l'eau est ainsi évacuée rapidement de la façade et la rend à nouveau sèche rapidement. Pour les maisons en bois, StoColor Dryonic® Wood saura redonner un coup d'éclat aux façades.La façade présente des défauts de faïençage ou quelques éclats légers ? Un revêtement de façade semi-épais à base de résine siloxane comme le StoColor Silco Fill aura un bon pouvoir couvrant afin de masquer les quelques faïençages sur la façade. L'utilisation de revêtements siloxanés, aux propriétés particulièrement efficaces contre l'encrassement végétal, permettent d'espacer les cycles d'entretien d'une façade.Pour des défauts plus importants, il convient d'opter pour un système décoratif D3 armé avec un enduit StoLotusan K ou un système d'imperméabilité de façade Irtop S en cas de fissuration du support.Sto propose aussi des revêtements avec la technologie X-black pour allier envie esthétique, avec une teinte plus sombre ou foncée, et pérennité du support.Faire appel à un professionnel : l'assurance d'un chantier rapide et réalisé dans les règles de l'artReconnaissance du support, préconisation, conseils esthétiques et techniques… Sto accompagne les entreprises qui ont choisi d'être partenaires.« Les professionnels de la façade prodiguent des conseils complémentaires auxquels le particulier ne penserait pas forcément spontanément, tels que la manière de protéger ses menuiseries et son jardin lors d'un ravalement », souligne Florence Guyoton.Pour en savoir plus et trouver l'expert le plus proche, rendez-vous sur www.isolerlamaison.fr.
Il y a 4 ans et 168 jours

Le bâtiment Wave de Vinci labellisé Ready to Services 3 étoiles

Initié par la Smart Building Alliance (SBA), le label « Ready to Services » favorise une évolution des pratiques pour faire du SmartBuilding une plateforme de services apportant confort, performance énergétique et sécurité des données. Le bâtiment Wave de Vinci Energies à Euratechnologies, vient d’être labellisé R2S (Ready to Services) 3 étoiles, niveau le plus élevé de la certification délivré par Certivea. C’est le premier en France à atteindre ce niveau de certification. Le CD2E, accélérateur de l’éco transition basé à Loos-en-Gohelle, a accompagné, en partenariat avec AMEXIA cabinet conseil du groupe Projex en matière de développement durable, de SmartBuilding et de BIM, VINCI Energies pour préparer l’audit de labellisation. Le Cluster a pu, grâce à ses outils, simuler les performances du bâtiment en lien avec le référentiel et challenger VINCI Energies pour viser les 3 étoiles. Ce bâtiment était en exploitation, il a donc parfois fallu demander des principes d’équivalence et attirer l’attention de Vinci Energies sur les spécificités du label et de leur bâtiment. Grâce aux échanges réguliers et à l’accompagnement du CD2E, les outils nécessaires à l’obtention des 3 étoiles ont pu être mis en place. L’ensemble des entreprises locales de VINCI Energies mobilisées sur le projet (Delporte, Santerne Fluides, C2C, NAE, Lesot, Axians et Smart Building Energies) ont permis au bâtiment WAVE de bénéficier d’une connectivité performante avec une architecture réseau informatique intégrée au bâtiment, d’équipements techniques et d’interfaces favorisant l’interopérabilité, tout en garantissant la sécurité des systèmes. Le suivi des consommations énergétiques et l’optimisation des services sont pilotés via une plateforme Web, spécialement développée par les équipes de VINCI Energies. Facilement duplicable, cette plateforme est déjà déployée dans d’autres bâtiments tertiaires. Vainqueur du Grand Prix SIMI 2019 Immeubles de bureaux neufs de moins de 5 000 m2, WAVE accueille 100 collaborateurs depuis fin 2019 autour des promesses du SmartBuilding : évolutivité des espaces, confort des occupants, connectivité et performance énergétique.
Il y a 4 ans et 169 jours

Résultats de la 8ème édition du Prix Femmes Architecte

Pour le Prix 2020, l'ARVHA reçoit également le soutien de BNP PARIBAS Real Estate, Ciments Calcia, Unibail Rodamco, et COGEDIM ainsi que de Batiactu, de TEMA et du journal de l'architecte.Ce prix a pour but de mettre en valeur les œuvres et les carrières de femmes architectes, afin que les jeunes femmes architectes puissent s'inspirer des modèles féminins existants, et d'encourager la parité dans une profession à forte dominante masculine.En 2019 le jury a attribué quatre prix et deux mentions spéciales:Prix Femme Architecte : Dominique JAKOB - JAKOB +MAC FARLANEPrix Œuvre originale : Fabienne BULLEMention spéciale œuvre originale : Marie France CHATENETPrix Jeune Femme Architecte : Marie PERIN Tica architectes et urbanistesPrix international : Francine HOUBENMention spéciale : Elisa VALEROEn 2019, La compétition a été ouverte du 1er juin au 30 septembre. Le jury s'est réuni le 31 Octobre 2019 pour désigner les lauréates de chaque prix. La cérémonie a été introduite par Claudia MATTOGNO architecte et professeur à la Sapienza et Présidente du Jury. Le prix Femme Architecte a été remis par Denis DESSUS président du conseil national de l'ordre des architectes. Le prix Œuvre Originale par Véronique DESCHARRIERES et la mention spéciale de l'œuvre originale par Katia DOMSCHKY membre du CEA Task force « Women in Architecture » , le prix Jeune Femme Architecte par Sandra Di Giorgio le prix international remis par Sophie BERTHELIER et la mention spéciale par Catherine BARBIER-AZAN et par Beatrice MOUTON.En 2020, 465 candidatures ont été examinées et ont présenté 1500 projets.En 2020, quatre prix ont décerné et une mention pour: Femme architecte primée pour ses projets réalisés – 3 à 5 ouvrages construits,Une œuvre originale réalisée par une femme architecte, et une mention spécialeJeune Femme architecte de moins de 40 ans primée pour ses projets – 3 à 5 projets réalisés ou nonPrix International 3 à 5 ouvrages construitsLa cérémonie de remise du prix s'est déroulé en visio-conférence le 9 décembre 2020 devant plus de 1500 personnes. En 2020, La compétition a été ouverte du 1er juin au 30 septembre. Le jury s'est réuni le 30 Octobre 2020 pour désigner les lauréates de chaque prix sous la présidence de Catherine GUYOT secrétaire générale de l'ARVHA et présidente de Women in Architecture France et de Spela HUKAR vice-présidente du jury et représentant de la chambre des architectes de Slovénie. La cérémonie a été conclue par Denis DESSUS président du Conseil National de l'Ordre des Architectes.Le jury était composé de représentants du Ministère de la Culture Madame (Agnès SAAL), de l'Ordre des Architectes National (Elizabeth GOSSART ) de Béatrice AUXENT présidente d'ARCHITECTUELLES , des lauréates du Prix 2019, Dominique JAKOB, Marie PERIN, Fabienne BULLE Sophie BERTHELIER de Spela kUHAR Vice-présidente du jury, représentante de la chambre des architectes des Slovénie, de Bettina DREIR FIALA représentante de la chambre des architectes D'Autriche et leader du projet « YesWePlan ! » pour l'égalité Hommes Femmes dans le secteur de l'architecture, de Iris WEX représentante de la chambre des architectes d'Allemagne et membre du CEA, Catherine PAPILLON directrice de communication BNP PARIBAS REAL ESTATE, et de Catherine GUYOT directrice de l'ARVHA, Présidente de Women in Architecture.Pour l'année 2020, les résultats sont les suivants:Jeune Femme ArchitectePour la catégorie Jeune Femme Architecte, le prix est attribué à OH ! SOM architectesStéphanie Franceschi, Marie Fade, Caroline Mangin.Le prix Œuvre OriginaleLe prix Œuvre Originale est attribué à Cathrin TREBELJAHR pour son projet « Réhabilitation et extension de l'ancienne préfecture de Versoix »La mention spéciale est donnée à Sophie DENISSOF agence CASTRO DENISSOF son projet « habiter le ciel » et pour son parcours professionnel.Prix International : deux prix ex æquoLe prix est attribué à Anna HERINGER pour son œuvre (Allemagne) et à Benedetta TAGLIABUE (Ex æquo) pour son œuvre (Espagne).Femme ArchitecteLe Prix Femme Architecte est décerné à Florence LIPSKY Agence LIPSKY ROLLET° pour son œuvre.L'ARVHA remercie l'ensemble des participants, lauréates ou non lauréates, les membres du jury pour leur investissement pour ce prix ainsi que Denis DESSUS président du conseil national de l'ordre des architectes, Agnès SAAL Ministère de la Culture, Elizabeth GOSSART du CNOA, Spela KUHAR vice-présidente du jury et représentante de la chambre des architectes de Slovénie , de Bettina DREIR FIALA représentante de la chambre des architectes D'Autriche et leader du projet « YesWePlan! » pour l'égalité Hommes Femmes dans le secteur de l'architecture, d'Iris WEX représentante de la chambre des architectes d'Allemagne et membre du CEA et Catherine PAPILLON directrice de communication BNP PARIBAS REAL ESTATE, Béatrice AUXENT présidente d'Architecturelles Hauts-de-France et tous les membres du jury pour leur contribution, qui ont examiné 1500 œuvres présentées par 465 dossiers de femmes architectes sur le site web www.femmes-archi.org
Il y a 4 ans et 169 jours

Cybel Extension recrute des pros du bâtiment

Cybel Extension, premier réseau national spécialiste de la conception et de la réalisation d’extensions de maisons individuelles et de garages clé en main recrute. Le réseau vient de mettre en place une plateforme entièrement dédiée au recrutement : recrutement.cybel-extension.com. La marque, créée en 2015 par deux professionnels du bâtiment et de la rénovation, se développe de façon raisonnée – 4 à 5 ouvertures par an – sur le territoire national, avec cohérence, et compte aujourd’hui 24 agences concessionnaires.   Un réseau à taille humaine pour créer son agence tout en étant accompagné Déjà 24 agences développent l’enseigne Cybel Extension un peu partout en France, et en 5 ans, de beaux projets se sont concrétisés. Didier Fontaine, président de Cybel Extension, revient sur l’origine de la création du réseau : « Tout est parti d’un constat, confirmé par une étude terrain de 18 mois : une offre diffuse, pas toujours claire, des acteurs non spécialisés … pour un marché porteur (un permis de construire sur deux concerne un agrandissement de maison) ». Cybel Extension s’adresse aux professionnels du bâtiment passionnés par leur métier, ayant une solide expérience de la conduite de travaux et la volonté d’entreprendre pour améliorer l’habitat individuel. Le réseau a pour objectif d’intégrer de nouveaux contractants généraux indépendants issus du secteur du bâtiment, qui ont envie de créer leur propre activité tout en bénéficiant de conseils et d’actions collectives. La tête de réseau met en place des actions de formation continue, un accompagnement sur-mesure et favorise l’échange par une disponibilité et une écoute permanentes. Ce qui s’avère nécessaire habituellement, le devient d’autant plus en période de crise. Bénéficier de l’apport collectif et du soutien d’une équipe professionnelle et innovante aide à la prise de décision et permet de se sentir moins seul en tant qu’entrepreneur. A propos du fonctionnement du réseau, Cécile Genest, directrice marketing et développement explique : « Plan de communication, outils marketing, stratégie de positionnement … nous travaillons en permanence avec des experts pour des objectifs de trafic clients, de performances et de notoriété. » « En fait, nous mutualisons nos forces et compétences pour favoriser la croissance de chaque agence et par conséquent du réseau. » poursuit Cécile Genest. L’équipe Cybel Extension intègre architecte, designer, techniciens dessinateurs, tous spécialistes de l’extension ; un service marketing, une centrale d’achats et un backoffice pour la gestion administrative. Severine Menet – concessionnairede l’agence Cybel Extension dans le Maine-et-Loire (49) «Cybel Extension est précurseur et innovant dans la conception et la réalisation d’extensions de maisons et de garages clé en main. C’est une marque devenue forte en 5 ans et qui se différencie sur le marché par son bureau d’études intégré, créatif, gage de professionnalisme. Le réseau, aux compétences et aux valeurs humaines reconnues, nous apporte un soutien en marketing, communication, nous permet d’accéder au statut de contractant général et favorise l’échange collaboratif ».   Le contexte actuel ne fait que renforcer l’envie et le besoin d’améliorer son habitat Après plusieurs semaines à vivre chez soi et « entre soi », les besoins d’agrandissement pour un bureau, un salon, une cuisine ou une suite parentale se sont révélés. Quand un couple, une famille, possède une maison et a pour projet d’habiter « plus grand » et si possible sans changer d’environnement ni d’infrastructures, l’option d’une extension de la maison se présente comme une solution à étudier de près. « Nous pensons très fortement que de plus en plus de Français sont adeptes du « bien vivre chez soi » et du « consommer local », ce qui favorise la sollicitation de professionnels de proximité pour améliorer son habitat » précise Cécile Genest. Les projets réalisés par les concessionnaires concernent l’ouverture et l’agrandissement d’une cuisine sur le jardin, la création d’une suite parentale, d’un bureau (le développement du télétravail augmente sensiblement ce type de demande), d’un espace de consultation pour les professionnels du médical ou du para-médical, d’une piscine couverte, d’un atelier de bricolage … et toute autre extension qui permet à la famille de grandir, de travailler chez soi, ou d’apporter un bien-être supplémentaire. Extension d’une maison à Vannes Cybel Extension en chiffres Création en 2015 1er réseau national expert en agrandissement de maisons et création de garages clé en main + 20% de croissance annuelle Une équipe support de 14 collaborateurs 24 agences 34 M€ de CA cumulé à 09-2020 + de 450 extensions réalisées
Il y a 4 ans et 169 jours

Des maires de la Côte d'Azur dénoncent des pénalités arbitraires pour non-respect des quotas de logements sociaux

"Nous dénonçons une injustice, un arbitraire car nos communes se retrouvent carencées au titre de la loi SRU (Solidarité et renouvellement urbains)", a déploré David Lisnard, maire LR de Cannes au cours d'une conférence de presse avec ses voisins du Cannet, Mandelieu-La Napoule et Villeneuve-Loubet.Chacune de ces quatre communes se voit contrainte, en application de la loi SRU, de verser, selon les cas, des pénalités comprises entre 1 et 1,8 million d'euros par an, et ce chaque année pendant trois ans.Depuis 2000, la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains impose aux communes de plus de 3.500 habitants (1.500 en Ile-de-France) de disposer d'ici à 2025 de 20% de logements sociaux, un taux relevé à 25% en 2014, excepté pour certaines communes qui justifient d'une situation locale particulière.Le taux de logement social à Cannes est de 17%, mais "raisonner en valeur absolue en niant le fait que nous avons eu des inondations et que nous ne voulons pas bétonner est totalement arbitraire", selon M. Lisnard, alors que la ville est pénalisée pour ne pas avoir atteint les objectifs fixés.Le maire qui reproche à l'Etat de "déjuger les représentants locaux qui tiennent compte de la réalité du territoire" a indiqué vouloir "attaquer au tribunal administratif" cet arrêté de carence "inique"."Du jour au lendemain, des territoires déjà urbanisés de manière très dense comme la Côte d'Azur se retrouvent avec l'obligation de produire des milliers de logements, et si on ne le fait pas, on est sanctionné", a dénoncé Sébastien Leroy, maire LR de Mandelieu-La Napoule.Il a décidé lui aussi de contester en justice les pénalités imposées à sa commune."Aujourd'hui, un responsable gouvernemental a donné l'ordre à ses services, huit semaines après les intempéries de la Vésubie, un an après les intempéries de 2019 et cinq ans après celles de 2015, d'ignorer ouvertement un message d'alerte de ses propres services sur le risque inondation (...) afin de pouvoir appliquer la doctrine politique de l'Etat", a martelé M. Leroy.Lionnel Luca, maire LR de Villeneuve-Loubet, a annoncé vouloir faire un recours gracieux auprès du préfet avant d'engager d'autres actions, dénonçant "une course à l'échalote" qui conduit à la "bétonnisation".