Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17720 résultats)
Il y a 4 ans et 171 jours

Le gouvernement annonce plus de 20 milliards d'euros de soutien d'urgence en 2021 face à la crise sanitaire

"Il n'est pas temps de lever les mesures de soutien à l'économie", a indiqué le ministre lors d'une conférence de presse téléphonique, et cette "aide massive", qui sera intégrée au projet de Budget pour 2021 en cours d'examen au Parlement, sera réorientée "sur les secteurs les plus impactés", a-t-il ajouté.Le Premier ministre Jean Castex a annoncé jeudi que le déconfinement serait moins rapide que prévu, ce qui va encore accroître l'impact de l'épidémie de Covid-19 sur de nombreuses entreprises, en particulier dans les activités de loisirs, la restauration ou l'évènementiel.Et quand les secteurs fermés rouvriront, ce sera au prix de conditions sanitaires strictes, qui risquent de limiter leur activité.Le "pilier" de cette nouvelle phase de soutien d'urgence, sera le fonds de solidarité dont les conditions d'attribution ont été renforcées en décembre, a détaillé Bruno Le Maire.Le gouvernement prévoit d'y consacrer 7 milliards d'euros en 2021, en le maintenant "au moins jusqu'à fin juin".Il mobilise aussi 11 milliards d'euros pour la prise en charge du chômage partiel, à la fois dans le cadre du dispositif existant, qui sera maintenu au moins jusqu'à fin janvier, et pour l'activité partielle de longue durée.Le gouvernement prévoit aussi 1 milliard d'euros d'exonérations de charges pour les entreprises.A cela s'ajoute des aides pour les stations de ski, les jeunes, l'aide alimentaire ou encore les aéroports.Sur ces 20 milliards, 8,5 milliards seront financés via des reports de crédits non dépensés cette année pour le chômage partiel, le fonds de solidarité et les exonérations de charges.Malgré tout, avec une prévision de croissance que le gouvernement maintient à 6% pour l'an prochain, le déficit et la dette vont finalement être plus élevés que ce qu'il anticipait jusqu'ici.Le déficit devrait atteindre 8,5% du PIB (contre 6,7% prévu initialement), après 11,3% attendu cette année.La dette va continuer à flamber l'an prochain, alors que le gouvernement espérait amorcer sa décrue grâce à la reprise. Il l'attend à 122,4% du PIB (contre 116,2% prévu jusqu'ici), après 119,8% cette année.Le détail des 20 milliards d'euros de soutien d'urgence mobilisés en 2021A côté du plan de relance, le gouvernement va encore consacrer plus de 20 milliards d'euros l'an prochain en soutien d'urgence pour les entreprises et les ménages. Voici le détail des mesures prévues.Activité partielleLe gouvernement prévoit de consacrer encore 11 milliards d'euros au financement du chômage partiel, contre 6,5 milliards d'euros budgétés jusqu'ici dans le projet de loi de finances pour 2021.Ce montant inclut à la fois le dispositif de chômage partiel existant actuellement et prolongé au moins jusqu'à fin janvier, tel qu'annoncé par la ministre du Travail Elisabeth Borne, et le nouveau dispositif d'activité partielle de longue durée (APLD) créé pour accompagner les entreprises dans la durée.En 2020, le gouvernement devrait avoir dépensé 29 milliards d'euros, sur les 34 milliards budgétés.Fonds de solidaritéLe gouvernement prévoit 7 milliards d'euros de dépenses pour soutenir les entreprises qui resteront fermées ou dont l'activité sera très fortement réduite par le maintien des contraintes sanitaires. Ce montant se décompose en 5 milliards d'euros de nouveaux crédits, le reste venant de reports de moyens non utilisés en 2020.Les nouvelles conditions d'attribution du fonds de solidarité, mises en place en décembre, seront maintenues "au moins jusqu'à fin juin 2021", a indiqué le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, sauf si la situation économique et sanitaire évolue considérablement d'ici là.De nouveaux secteurs, exclus jusqu'ici, vont y avoir droit, comme certains prestataires d'évènementiels (organisateurs de mariage, commerces de vêtements de cérémonies), les producteurs de lapins et de pintades ou encore les producteurs d'escargots, très pénalisés par la fermeture des restaurants.En 2020, 17 milliards auront été dépensés, sur les plus de 19,5 milliards d'euros budgétés.Exonérations de chargesUn milliard d'euros supplémentaires sont dédiés à des exonérations de charges qui bénéficient aux entreprises les plus touchées par la crise.En 2020, les entreprises ont bénéficié de 7 milliards d'exonérations de charge, quand le gouvernement en avaient prévu environ 8 milliards.Jeunes200 millions d'euros sont mobilisés pour financer les annonces de nouvelles aides aux jeunes faites par le président de la République la semaine dernière, en particulier via le dispositif de Garantie jeunes ou le renforcement du système de bourses.Aide alimentairele gouvernement va soutenir à hauteur de 120 millions d'euros les associations qui distribuent de l'aide alimentaire, et qui font face à une forte augmentation des sollicitations des ménages depuis le début de la crise.Stations de skiLes stations de ski seront aidées à hauteur de 400 millions d'euros, notamment pour couvrir les pertes d'exploitation des remontées mécaniques, fermées au moins jusqu'à la fin de l'année.Congés payésL'Etat va prendre en charge le coût de dix jours de congés payés pour les entreprises les plus touchées par la crise, comme l'hôtellerie, la restauration, l'évènementiel, les discothèques ou les salles de sport. La mesure coûtera plusieurs centaines de millions d'euros.AéroportsEn difficulté face à la baisse du trafic aérien, les aéroports bénéficieront d'une aide de 250 millions d'euros.La PosteL'effondrement du courrier a fait fondre les revenus de l'entreprise, que le gouvernement a décidé d'aider pour un montant qui sera précisé prochainement.
Il y a 4 ans et 171 jours

Baromètre Domexpo 2020 : quelles sont les énergies de chauffage les plus utilisées en maison neuve ?

Mené en partenariat avec Caron Marketing, le Baromètre Domexpo 2020 confirmera-t-il la prédominance de la PAC - Pompe à chaleur, observée l'année dernière ? Quels sont les autres moyens de chauffage plébiscités par les nouveaux propriétaires ? Quelles sont les tendances émergentes ? Etc. Résultats avec Domexpo...Faire construire sa maison soulève de nombreuses questions, et ce, avant même que le projet ne se concrétise réellement : comment trouver un terrain ? Comment financer au meilleur taux ? Quelles sont les aides auxquelles un particulier a droit ? Etc. Visiter un village Domexpo, avec ou sans rendez-vous, et rencontrer un ou plusieurs professionnels, apportera ainsi les premières réponses.Ensuite, une fois son constructeur sélectionné, ce sera lui qui aidera, conseillera et guidera les particuliers tout au long du projet : choix des menuiseries, du type de toiture, des matériaux de construction, du type d'énergie de chauffage...C'est sur ce dernier point que Domexpo a choisi de consacrer son dernier Baromètre de la maison neuve, mené en partenariat avec Caron Marketing, qui souligne notamment que :La PAC - Pompe à chaleur, qu'elle soit utilisée seule ou en complément d'un autre type d'énergie, reste le moyen de chauffage le plus plébiscité en France et en Île-de-France, avec respectivement 66% et 64% des maisons individuelles neuves qui en sont équipées. Une part en augmentation en comparaison du dernier Baromètre Domexpo où la PAC représentait 55% sur le territoire national et 51% pour la région francilienne.Le gaz conserve sa seconde position, à la fois en France et en Île-de-France.« Installée dans presque 2 maisons neuves sur 3, la pompe à chaleur est prépondérante sur le marché de la maison neuve, mais ce sont désormais les solutions hybrides qui se développent le plus. Cette solution présente de nombreux avantages : elle est notamment moins chère en consommation immédiate, plus respectueuse de l'environnement et ne nécessite qu'un seul abonnement électrique...Le gaz, quant à lui, comme l'année dernière, arrive en seconde position des énergies de chauffage les plus utilisées. Avec l'entrée en vigueur de la RE2020, le 100% gaz pourrait être amené à disparaitre des logements neufs.Si cette disposition se confirmait, cela aurait un impact non négligeable sur les budgets des ménages accédants les plus modestes car dans les régions climatiques du Nord de la France, la solution gaz reste à l'usage plus intéressante que l'électricité.Domexpo va donc dans les prochaines semaines rester vigilante pour pouvoir conseiller au mieux tous les candidats à la construction. »Daniel Lair-Lachapelle, Président de DomexpoSource : Recensement 2020 des constructeurs de maisons individuelles de Caron Marketing
Il y a 4 ans et 171 jours

Le Premier ministre indien inaugure symboliquement le vaste projet de réaménagement du centre de Delhi

Modi, 70 ans, s'est livré à des rituels hindous lors de la cérémonie inaugurale, officiellement laïque, de la construction du nouveau parlement - un bâtiment censé représenter le coeur de la démocratie pour 1,3 milliard d'habitants de l'Inde.Le nouvel édifice, beaucoup plus imposant, remplacera l'ancien bâtiment qui, selon Modi jeudi, "a besoin de répit". Une partie de l'ancien parlement sera "rénovée" puis continuera d'être utilisée pour les affaires du gouvernement, certains quartiers du bâtiment seront transformés en musées et d'autres démolis."Aujourd'hui est une date historique. C'est une étape importante dans le cheminement démocratique de l'Inde", a déclaré Modi dans son discours inaugural."L'ancien bâtiment du Parlement témoigne du parcours de l'Inde, de l'époque coloniale à une nation indépendante", a-t-il ajouté, "il est de notre responsabilité de donner à l'Inde du XXIe siècle un nouveau bâtiment parlementaire". Il devrait être achevé à temps pour le 75e anniversaire de l'Indépendance du pays, en 2022.Le vieux parlement bâti au début du XXe siècle par l'architecte britannique Edwin Lutyens composait la pièce maîtresse du Raj, l'Empire britannique en Inde, comprenant également le grand boulevard Rajpath, la résidence du président, les bureaux du gouvernement, le museum national et le monument aux morts de la Porte de l'Inde.Selon les critiques de ce vaste projet de réaménagement dont le coût total s'élèverait à 200 milliards de roupies (2,7 milliards de dollars) dont 130 millions de dollars pour le nouveau parlement, de telles dépenses trouveraient davantage d'utilité dans la lutte contre le Covid-19 et le soutien à l'économie durement heurtée par la pandémie.Des recours ont été déposés à la Cour suprême contre le programme, et pourraient, si ce n'est le compromettre, du moins le retarder. De son côté, le bureau de Modi argue que ce réaménagement "correspondra aux aspirations d'une Inde nouvelle".Tikender Singh Panwar, un membre de l'opposition et expert en urbanisation, estime que ce réaménagement est un "grand scandale en devenir"."Etrangement, pour un projet de cette importance, de cette taille et de ce coût, les détails sont bien sommaires (...)" a-t-il commenté auprès de l'AFP, ajoutant que Modi lui faisait l'effet d'"un leader fasciste voulant laisser l'empreinte de sa gloire sur Delhi".Selon le commentateur politique Arati Jerath, "cet argent aurait pu être bien dépensé pour soutenir et restaurer l'économie (et) créer des emplois, mais au lieu de cela, il est dépensé pour réaliser les rêves grandioses d'un homme et ce à quoi devrait ressembler une Inde nouvelle".L'inauguration se déroulait alors que des dizaines de milliers d'agriculteurs en colère contre les réformes agricoles bloquent les accès à la capitale pour la deuxième semaine d'affilée, constituant un défi majeur pour l'autorité de Modi et son programme de réforme.Lundi, la Cour suprême avait exprimé son mécontentement devant l'empressement du gouvernement à inaugurer le projet avant d'avoir pu les examiner les recours. Elle a toutefois autorisé la poursuite des procédures administratives, y compris la cérémonie de jeudi mais aucune construction ne doit commencer d'ici sa décision.
Il y a 4 ans et 172 jours

Visio-conférence : comment le e-commerce fait évoluer les pratiques du négoce ?

BATIACTU BUSINESS CLUB. Il ne reste plus que 7 jours avant la conférence dédiée aux changements engendrés par l'explosion du e-commerce dans le secteur du négoce. Au programme : les témoignages de Point.P, Legallais et Mano Mano.
Il y a 4 ans et 172 jours

11ÈME ÉDITION Trophée de la vitrification : PLASTOR RÉCOMPENSE LES PLUS BEAUX CHANTIERS EN VITRIFICATION PARQUET 2019

Comme chaque année, la remise des trophées de la Vitrification Plastor est l’occasion de distinguer des chantiers réalisés par des professionnels du parquet, partenaires de la marque. L’aspect technique et décoratif du chantier, mais également la qualité du travail et le savoir-faire artisanal sont pleinement pris en compte.Les parquets de ces chantiers d’exception profitent en matière de protection des performances des produits et systèmes Plastor. Les lauréats primés pour cette 11ème édition sont : • 1er Prix : La Grande Halle du Wip à Colombelles (14), réalisée par l’entreprise Les Sens du Bois (50), • 2ème Prix : La mairie de Plourin-Lès-Morlaix (51), réalisée par l’entreprise Corre ponçage SAS (29). • 3ème Prix : Une maison de particulier Béarnaise (64), réalisée par l’entreprise Esteves (64).   1ER PRIX : La Grande Halle du Wip à Colombelles (14) Entreprise Les Sens du Bois (50) Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT : Gérants de l’entreprise Les Sens du Bois (50) La rénovation de La Grande Halle du Wip à Colombelles, édifice du patrimoine industriel, intègre principalement du béton et du bois, avec 1 600 m2 de parquet ainsi que 6 escaliers de 40 marches qui ont été poncés et vitrifiés par la société Les Sens du Bois. Partenaires depuis plus de 10 ans avec Plastor, Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT, gérants de la société spécialisée dans la rénovation et la vitrification de parquets et d’escaliers, ont utilisé les produits Plastor pour réaliser les finitions de ce projet. « Nous sommes arrivés sur ce chantier grâce à la recommandation de la société Gouelle menuiserie à Sartilly (50) qui a remporté l’appel d’offre et réalisé la pose des planchers. Notre entreprise a réalisé le ponçage et la vitrification, donc toutes les finitions sur des parquets traditionnels en Douglas ainsi que sur des panneaux en contreplaqué avec une couche de massif en pin blanc. Nous devions également vernir les lisses des garde-corps des escaliers pour les protéger. La rénovation de ce bâtiment industriel exigeait le respect de normes de qualité environnementale, d’où l’importance du choix de produits à faible émissivité. Dans ce même souci, il a été décidé que les poteaux et dessous des couloirs apparents resteraient bruts. Nous avons dû tenir les délais avec la complexité habituelle, en organisant nos zones de travail au mieux afin que tous les autres artisans et corps de métier puissent avancer rapidement. Pour ce faire, nous avons mobilisé toute notre équipe, à savoir 5 personnes. Parfois mon père et un de ses collègues nous ont rejoints, nous étions alors 7. Nous sommes parvenus à réaliser les finitions en deux semaines de travail en tout. Comme il s’agissait de parquet neuf, la matière était assez agréable à travailler. Grâce aux produits Plastor dont nous apprécions la qualité depuis maintenant 12 ans, nous avons aisément pu évaluer le temps de travail de la manière la plus précise qui soit. Pour répondre aux prérequis d’émissions de COV très limitées, nous avons choisi d’utiliser l’huile Aquanat, très faible en émissivité de solvants avec seulement 25 g de COV/L. Pour durcir la couche de ces produits assez maigres, nous avons opté pour le DUOPUR-T3 mat, compatible avec l’huile Aquanat, qui avait été validé par le service technique de Plastor. Le suivi et le relationnel que nous entretenons avec les équipes de Plastor sont pour beaucoup dans notre réussite. »   LES PRODUITS PLASTOR UTILISÉS POUR LA GRANDE HALLE DU WIP Huile AQUANAT L’huile pour parquet monocomposant Aquanat de Plastor offre une excellente protection pour les parquets soumis à un trafic quotidien intense. Elle conserve l’aspect naturel du bois brut tout en le mettant en valeur. Facile d’utilisation, elle ne laisse pas de film visible et sèche en 1 à 2 h seulement entre 2 couches. Elle s’applique ainsi sans lustrage en 3 couches dans la journée et sans essuyage. Son odeur n’est pas gênante, elle dégage seulement 25 g/L de COV. Disponible en 2 effets : mat et effet brut. Rendement : 15 m2/L par couche Existe en 1L, 5L et 10L   Vitrificateur DUOPUR-T 3 Vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour pièces à fortes contraintes et lieux publics, le DuoPurT3 de Plastor est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important. Il est adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d’essences. Appliqué directement sur bois brut, il permet de conserver la tonalité claire des bois. Il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L) et 10L (Mélange Résine 9L + durcisseur 1L)   2ÈME PRIX : La mairie de Plourin-lès-Morlaix (51) Entreprise Corre Ponçage SAS (29) Michel CORRE Gérant de l’entreprise Fondée en 1957, Corre Ponçage est une entreprise familiale, spécialisée de père en fils, installée à Brest. Forte de ses 63 ans d’expérience, elle effectue la pose et l’entretien de parquets. « Nous exerçons notre activité principalement auprès de particuliers. Il est assez rare que nous travaillions pour des collectivités. Dans le cas de la mairie de Plourin-lès-Morlaix, nous avons obtenu le chantier par la municipalité, qui connaissait la qualité de notre travail. Ce programme de mairiemédiathèque avait fait l’objet d’un concours d’architecture brillamment remporté par Philippe Madec en 1994. Notre intervention a surtout concerné la salle du conseil municipal. Le chantier représentait environ 200 m2 de parquet en chêne. Il s’agissait de la rénovation d’un parquet existant qui avait déjà été entretenu quelques années auparavant. La salle ayant diverses fonctions, le parquet avait subit des dommages. Il était rayé à cause des tables, abimé par le passage et avait essuyé quelques problèmes d’humidité liés à la condensation près des baies vitrées. Nous avons réalisé le ponçage et la vitrification en 3 couches. Nous étions seuls sur le chantier, la rénovation a duré une semaine. Nous avons d’abord utilisé un fond dur universel puis 2 couches de DUOPUR-T3, Sur conseil du service technique Plastor, et pour un obtenir un aspect mat très profond, nous avons appliqué une première couche satinée puis une seconde mate. Nous collaborons avec Plastor depuis toujours. Leurs produits et les relations que nous entretenons avec les commerciaux nous donnent entière satisfaction. Mes enfants reprennent l’entreprise et eux aussi sont ravis. »   3ÈME PRIX : Maison de particulier Béarnaise (64) Entreprise Esteves (64) Roger ESTEVES Gérant de l’entreprise Roger Esteves a commencé à travailler dans l’entreprise de son père en 2012 avant de reprendre seul la société. Il réalise la pose de parquets, le ponçage et la vitrification, ainsi que la pose de serrurerie, de menuiseries, de placards et de volets, le plus souvent pour des particuliers. Pour la rénovation du parquet de cette maison traditionnelle typique du Béarn, les produits Plastor ont été utilisés. « L’un de mes fournisseurs m’a recommandé auprès du propriétaire de la maison qui engageait une rénovation générale. Je devais rénover 100 m2 de parquet en pin ainsi qu’une petite partie en chêne, cela concernait un étage entier et un escalier. La première fois que j’ai vu le parquet, il était en assez bon état, seulement quand je suis revenu pour travailler, il avait été abimé et sali par les modifications effectuées par les plaquistes au niveau des cloisons. Comme rien n’avait été protégé, il y a eu beaucoup de plâtre à enlever. J’ai dû composer avec les plombiers durant le chantier. Mon père est venu en renfort, nous avons effectué des réparations de dégâts causés par les plaquistes. Le chantier nous a pris une bonne semaine en continu. Le client tenait à un aspect satiné si bien que nous avons d’abord réparé et poncé le parquet puis nous avons appliqué un fond dur universel PRIM’SO et 2 couches de DUOPUR-T3 satiné qui donne un bel aspect ciré. Je connais bien les produits Plastor car j’ai toujours travaillé avec la marque, comme mon père le faisait depuis des décennies. Nous sommes enchantés par leurs produits et leurs conseils. »   LES PRODUITS PLASTOR UTILISÉS POUR LA MAIRIE DE PLOURIN-LÈS-MORLAIX ET LA MAISON BÉARNAISE Primaire PRIM’SO Doté d’un haut pouvoir pénétrant qui lui permet de former une base d’accrochage idéale pour la finition, le fond dur universel PRIM’SO est compatible avec tous les vitrificateurs Plastor (phase aqueuse comme solvant). Sa fonction bouche-pores neutralise les anti-oxydants pour assurer le parfait séchage de tous les vitrificateurs parquet. D’un grand confort d’utilisation, PRIM’SO sèche rapidement et sans odeur gênante. Par ailleurs, il donne une légère couleur miel au parquet et convient pour des bois neufs ou anciens dans tous types d’essences. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 1L, 5L et 10L   Vitrificateur DUOPUR-T 3 Le DUOPUR-T3 est un vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour pièces à fortes contraintes et lieux publics. Constitué d’un mélange 90/10, il est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important. Il permet de conserver la tonalité claire des bois lorsqu’il est utilisé directement sur bois brut. Il est parfaitement adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d’essences. Enfin, il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L) et 10L (Mélange Résine 9L + durcisseur 1L)
Il y a 4 ans et 172 jours

Éditions Parenthèses : Le Style années 1950, l’intégrale

Les Éditions Parenthèses publient pour la première fois un ouvrage consacré au design des années 1950 et 1960, et revient sur les créations les plus iconiques de l’après-guerre consumériste. Panorama du meilleur du style années fifties. Placé sous la direction de Dominic Bradbury, l’ouvrage Le Style années 1950, l’intégrale retrace l'histoire du design de l’époque à travers une sélection de visuels inédits et d'articles signés par des spécialistes du design. Ce livre, très documenté et richement illustré, revient sur les créations les plus emblématiques du style années 1950, de la Vespa à l’Instamatic aux meubles Knoll, en passant par la police suisse Helvetica et la maison Rose Seidler (Australie). La publication rend également compte de l’effervescence créative des ateliers, des studios et des designers, qui inventent les formes d’un monde nouveau, en mettant à l’honneur les grands noms de l’architecture et du design comme Arne Jacobsen, Harry Bertoia, Joe Colombo, Jean Prouvé et Harry Seidler. Le Style années 1950, l’intégrale est l’occasion de redécouvrir une période foisonnante, qui continue d’inspirer les designers contemporains. Pour en savoir, plus visitez le site des Éditions Parenthèses. Visuels : 1) La salle à manger d’une maison conçue par Richard Dorman à Mulholland Drive, Los Angeles, 1958.© Richard Powers2) La salle à manger d’une maison conçue par Richard Dorman à Mulholland Drive, Los Angeles, 1958.© Richard Powers3) Affiche de la marque SmarTee montrant des mannequins en Vespa, 1960.© Piaggio Archive4) Maison Rose Seidler, Australie, 1950. La terrasse est dominée par une peinture murale colorée de style corbuséen par Harry Seidler. Le fauteuil Grasshopper dans le salon est de Eero Saarinen.© Richard Powers5) Motifs aux tonalités Pop Art des tissus de la marque Marimekko6) Dominic Bradbury (dir.), Le style des années 50, Éditions Parenthèses, p. 544 La rédaction
Il y a 4 ans et 172 jours

11ÈME ÉDITION Trophée de la vitrification

Comme chaque année, la remise des trophées de la Vitrification Plastor est l'occasion de distinguer des chantiers réalisés par des professionnels du parquet, partenaires de la marque. L'aspect technique et décoratif du chantier, mais également la qualité du travail et le savoir-faire artisanal sont pleinement pris en compte.Les parquets de ces chantiers d'exception profitent en matière de protection des performances des produits et systèmes Plastor.
Il y a 4 ans et 173 jours

Dans les travaux publics, la situation reste inquiétante

CONJONCTURE. La FNTP a publié le 8 décembre son bulletin de conjoncture portant sur le mois d'octobre 2020. Et les bonnes nouvelles ne sont toujours pas au rendez-vous, puisque l'activité et les carnets de commandes du secteur ne s'étaient pas redressés.
Il y a 4 ans et 173 jours

Le secteur de la construction veut conquérir le cœur des jeunes

La filière veut susciter des vocations auprès des jeunes, futures forces vives de la construction. [©CCCA-BTP] A l’heure de la crise sanitaire et bien qu’il ne soit pas au meilleur de sa forme, le secteur de la construction veut séduire le jeune public. Il a besoin de rajeunir ses troupes et il manque de main-d’œuvre qualifiée. C’est ainsi qu’à l’initiative de l’ensemble des fédérations professionnelles d’employeurs et des organisations syndicales de salariés, la filière part en campagne. Ceci, sur le thème : “La construction. Demain s’invente avec vous”. Le secteur veut susciter des vocations auprès des jeunes, futures forces vives de la construction.  Une campagne pilotée par le CCCA-BTP Pilotée par le Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (CCCA-BTP), cette campagne nationale promeut la richesse et la diversité des métiers du BTP. Ainsi que l’apprentissage. La campagne fait rimer construction avec passion. Elle se déploiera jusqu’en mars 2021, autour d’un dispositif pluri-média : • Six films publicitaires diffusés à la télévision et sur Internet. Douze jeunes professionnels du bâtiment et des travaux publics, dont la majorité sont des apprentis en formation, sont mis à l’honneur. Ils sont les ambassadeurs les plus crédibles pour s’adresser aux jeunes en recherche d’une orientation professionnelle. • Un plan média sur les réseaux sociaux : – Instagram, (@la_construction_officiel), – TikTok (@la_construction_officiel), – Facebook (@laconstructionofficiel). • Des partenariats avec des youtubeurs, • Un site Internet conçu pour répondre aux interrogations des jeunes et les accompagner dans leur orientation : – une présentation de tous les métiers et un quizz pour les faire découvrir ; – des témoignages de jeunes et de professionnels, des reportages, des informations sur l’apprentissage et le secteur de la construction ; – un moteur de recherche pour trouver une formation et/ou un organisme de formation et un formulaire pour les jeunes en quête d’orientation ; – un lien vers le site de Constructys pour les entreprises souhaitant recruter un apprenti ; – un kit de communication à télécharger pour relayer la campagne : affiches, flyers, stickers, kakémonos, brochures…, en versions imprimée et digitale. Cette campagne pluri-média s’inscrit dans les huit solutions proposées par le plan de relance doté de 18 M€ : “Relance apprentissage BTP”. Ceci, pour dynamiser et consolider le développement de l’apprentissage BTP.
Il y a 4 ans et 173 jours

BRIGA, renaissance d’une ville oubliée

Depuis sa redécouverte à la fin du XVIIIe siècle, le site antique du Bois-l’abbé (Eu, Seine-Maritime) n’a cessé de passionner la population locale, les érudits et chercheurs, qui ont entrepris de nombreuses fouilles, principalement sur un grand sanctuaire. Depuis 2006, une fouille programmée, menée par Étienne Mantel (DRAC Normandie) et Stéphane Dubois (INRAP), a porté d’abord sur le centre monumental, puis sur un quartier proche où on découvre les maisons et l’équipement urbain. Ces recherches extensives démontrent la genèse d’une ville antique aux origines gauloises, aux confins nord-ouest de l’Empire romain. À partir du Ier siècle avant notre ère, la ville se monumentalise et s’agrandit progressivement, équipée d’un théâtre, de thermes (bains publics), d’une basilique et d’un grand temple. Les nombreux blocs architecturaux sculptés ainsi que les fastueux décors d’enduit peints, très rares en Gaule du Nord, en témoignent. La découverte en 2007 d’une exceptionnelle statuette de Mercure en argent souligne l’importance de cette divinité tutélaire au sein des cultes locaux de la petite ville gallo-romaine. Il y a un peu plus de 2000 ans, cette ville s’appelait BRIGA. Exposition du 26 Décembre 2020 au 16 Mai 2021 au musée des Antiquités de Rouen  
Il y a 4 ans et 173 jours

Une maquette monumentale de la charpente de Notre-Dame de Paris au Lycée des Métiers et du Bâtiment de Felletin

Issue de la dynamique lancée par le président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, au lendemain de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, la réalisation d’une maquette monumentale de la charpente a mobilisé en Nouvelle-Aquitaine les acteurs de la formation et les professionnels des métiers d’art, du patrimoine, du bâtiment, du bois et de la forêt, dont le campus Forêt-Bois. Cette reproduction de la charpente réalisée de plus de 14 mètres de haut (à l’échelle 1/10) ainsi qu’une travée de la cathédrale reconstituée en taille réelle, font l’objet d’une exposition qui restera en permanence au Lycée des Métiers et du Bâtiment de Felletin. Témoignant du savoir-faire régional et de l’architecture remarquable de l’édifice, ce lycée comme cette exposition incarnent l’école régionale du patrimoine que la Région Nouvelle- Aquitaine entend créer. Cette école assurera la promotion de l’ensemble des filières de la rénovation et de la restauration du patrimoine classé et du patrimoine bâti. C’est une mise en réseau des lycées, écoles, universités et instituts de formation initiale, des structures de formation et qualification professionnelle, et des entreprises et des filières. L’inauguration de la maquette de la cathédrale Notre-Dame a eu lieu le 7 décembre 2020 au Lycée des Métiers et du Bâtiment (LMB) de Felletin avec notamment Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, et Jean-Louis Nembrini, vice-président en charge de l’Education. A l’heure où la Région Nouvelle-Aquitaine développe son ambition environnementale avec sa feuille de route Néo Terra, où le patrimoine a un besoin considérable de conservation et d’amélioration, notamment énergétique, et dans un contexte de transformation des métiers du bâtiment, particulièrement avec le développement du numérique, l’ambition de l’institution régionale consiste à consolider et développer le lycée des métiers du bâtiment de Felletin. L’objectif est de faire de cet établissement, labellisé campus des métiers et des qualifications « construction durable et éco-réhabilitation », une référence en matière de formations pour la rénovation du patrimoine, intégrant l’usage du BIM. Ce campus a aussi pour vocation de maintenir en état le patrimoine remarquable de la région et d’être une école de la réussite pour les jeunes dans un domaine d’avenir. Dans cette perspective, la Région a engagé un plan d’investissement à hauteur de 46 millions d’euros pour transformer cet établissement en campus à la campagne. Photo : © Région Nouvelle-Aquitaine / Yannick Pirot
Il y a 4 ans et 173 jours

Connaître les principaux problèmes de la toiture pour y remédier rapidement

Le toit reste un élément important qui permet de protéger l’intérieur d’une maison des intempéries et du soleil. En plus de ces rôles, il assure également l’étanchéité et l’isolation du logement. Sachant que le toit est souvent exposé aux différentes agressions extérieures, il arrive qu’à un certain moment, il présente de nombreux dégâts. À ce stade, il est obligatoire de procéder à des réparations très rapidement pour éviter que les choses n’empirent. Pour pouvoir surmonter les problèmes, il faut connaître les éventuels problèmes qu’il est possible de rencontrer. Les problèmes d’étanchéité L’exposition au quotidien de la toiture aux conditions météorologiques et aux intempéries peuvent causer des problèmes au fur et à mesure que le temps passe. Souvent, une erreur de pose ou de fabrication des matériaux ou encore la dégradation de certains composants peuvent engendrer l’infiltration d’eau. En cas de problème similaire, il est nécessaire d’agir vite, notamment en procédant à une vérification des zones touchées et isoler ou réparer rapidement. Pour ce faire, il est vivement conseillé de faire appel à une entreprise de couverture comme celle qui se trouve sur https://www.sos-toiture-31.fr/entreprise-couverture-saint-medard-31360 pour la réalisation des travaux. Généralement, si l’humidité persiste au niveau de la toiture, les dégradations peuvent s’empirer. Les dommages peuvent atteindre les différents composants de la toiture et même la structure de la maison. Au niveau de la toiture, elle peut s’attaquer à la couverture du toit, les matériaux constituant l’isolation thermique du toit, la charpente… Les bardeaux peuvent également être pourris si aucune action de réparation n’est pas mise en œuvre. Pour éviter ces problèmes, l’idéal serait de vérifier régulièrement la toiture afin de déterminer les éventuelles infiltrations ou encore la présence d’autres signes inquiétante. Les problèmes d’isolation thermique Lorsqu’il s’agit d’éventuels problèmes d’isolation, les causes viennent souvent de la nature même de l’isolant. Les dégradations s’appliquent très souvent à l’isolation extérieure. La pose des matériaux peut également engendrer des soucis. En cas de mauvais agencement ou d’un défaut de matériau, il y a souvent l’apparition d’humidité entre les plaques isolantes. Ce qui cause en effet la diminution des performances de l’isolant. En ce qui concerne l’isolation sous rampant, les soucis apparaissent très souvent au niveau de la toiture. Si elle n’est pas étanche, on peut s’attendre à une infiltration d’eau du côté du système d’isolation qui a tendance à pourrir petit à petit. Si les éléments de l’isolation sont installés directement sous le toit, il faudra envisager un diagnostic de l’isolation du comble avec la réparation de l’étanchéité. Autres informations à tenir en compte Généralement, les problèmes ci-dessus peuvent engendrer à leur tour d’autres soucis comme l’apparition de moisissures. L’humidité régulière et le manque de ventilation favorisent l’apparition de moisissures notamment le long des murs, du sol, des fenêtres et du plafond. Or, les moisissures peuvent causer diverses maladies comme les allergies… C’est pour cela qu’il est souvent important de faire appel à un artisan qualifié pour faire vérifier ces problèmes. Parmi les autres solutions à adopter afin d’éviter les problèmes, il peut être intéressant de parfaire l’évacuation de l’eau de pluie, notamment par l’installation de gouttières. Cela évitera la stagnation de l’eau sur les toits qui est susceptible de s’infiltrer. La ventilation doit également être revue pour éviter les moisissures. La solution la plus commune reste sans aucun doute la mise en place d’une petite sorte d’entrée d’air dans le grenier.
Il y a 4 ans et 173 jours

EDILIANS A RECU LE GRAND PRIX ENTREPRISE CATEGORIE « TOITURE-COUVERTURE » AU CONCOURS DU GESTE D'OR 2020

Lors de la 10ème édition du concours du Geste d'Or, association honorant les valorisations du patrimoine bâti, le jury a décerné à EDILIANS le Grand Prix Entreprise dans la catégorie « Toiture-Couverture » pour trois réalisations :
Il y a 4 ans et 174 jours

EELV demande l'annulation du projet d'agrandissement de la cimenterie Lafarge à Paris XVe

L'audience au tribunal administratif concernant la demande d'annulation de l'arrêté préfectoral autorisant le chantier d'agrandissement de la cimenterie devait se tenir le 3 décembre mais la société Lafarge "a évité de perdre en demandant l'annulation de cet arrêté. C'est une victoire", s'est félicité Julien Bayou, secrétaire national d'EELV, lors d'une visio-conférence."Lafarge est le deuxième pollueur français et est dans le Top 50 mondial", a-t-il ajouté, en demandant "le durcissement des sanctions contre les pollueurs".Mais "cette annulation permettra à la société Lafarge de déposer un autre projet d'exploitation moins contraignant, en dessous des seuils règlementaires et législatifs imposant une consultation de la population", met en garde EELV.Rappelant que "les révélations sur les pollutions de la Seine par le groupe se sont multipliées", écologistes et associations "demandent la reprise de la consultation de la population". Ils formuleront cette demande lors du prochain Conseil de Paris, "la semaine prochaine".Le Conseil de Paris avait déjà voté, le 7 octobre, une suspension des travaux d'agrandissement du site de la cimenterie Lafarge, le temps d'une concertation avec les riverains. Mais "pour l'instant, la concertation est un dialogue de sourds", a regretté Maryse Fourcade, de l'Association des riverains du port de Javel, qui a porté le recours contre Lafarge.Pour Christine Nedelec, présidente de France Environnement Paris, "la pollution des cimentiers est récurrente" et à Paris, "on n'arrive pas à obtenir une diminution de la bétonisation"."Cinq ans après l'Accord de Paris (lors de la Cop21), rien n'est fait concernant l'usage des pesticides", s'est également désolé M. Bayou. Il souhaite que les grands fleuves, comme la Seine, deviennent des "sujets juridiques propres", à l'instar de ce qui s'est fait "en Nouvelle-Zélande", et donc protégés des pollueurs.Le sujet était sensible après la diffusion à la rentrée d'images de l'usine Lafarge, située dans le quartier de Bercy (sud-est de la capitale), déversant dans la Seine un mélange de "particules de ciment, de liquides de traitement et des microfibres de plastique".Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "suspicion de pollution de la Seine par une entreprise de travaux publics".Lafarge affirme que l'écoulement est le fait "d'un accident exceptionnel provoqué par un acte malveillant".
Il y a 4 ans et 174 jours

La ligne 14 du métro prolongée, un pas vers le Grand Paris

Pour la présidente d'Ile-de-France Mobilités Valérie Pécresse, la perspective d'inaugurer ce tronçon de 5,8 kilomètres entre Gare Saint-Lazare et Mairie de Saint-Ouen est "un moment de pur bonheur"."On avait cette ligne 14, qui ne venait pas, qui ne venait pas, qui ne venait pas...", ironise-t-elle, en référence aux nombreux retards qu'a subis le chantier, pour cause d'inondation et de Covid-19, notamment.L'idée de prolonger cette ligne de métro automatique jusqu'à Saint-Ouen remonte en effet à 2007: elle est alors apparue comme la solution la plus satisfaisante pour soulager le nord de la ligne 13. Avec la promesse de la délester du quart de son trafic.Mme Pécresse vante "l'une des lignes les plus modernes du monde", la seule du réseau parisien accessible aux handicapés, aussi.Le prolongement de la ligne 14 --qu'on appelle encore parfois "Meteor"-- doit aussi mieux desservir des secteurs en plein développement avec le nouveau quartier des Batignolles, le Tribunal de Paris ou encore les nombreux bureaux qui sortent de terre à Saint-Ouen où le conseil régional d'Ile-de-France s'est installé.Le nouveau tronçon comporte quatre stations assez monumentales --celle de Porte de Clichy, desservant le Tribunal, n'ouvrira toutefois qu'en janvier-- ainsi qu'un dépôt construit pour accueillir des rames dernier cri plus longues, achetées à Alstom.Au-delà, les travaux battent leur plein pour de nouveaux prolongements tant au nord, jusqu'à Saint-Denis Pleyel (Seine-Saint-Denis) en 2023 si tout va bien, qu'au sud, jusqu'à l'aéroport d'Orly (Essonne) en 2024. Avec au passage le changement du système d'automatisation, toujours fourni par le groupe allemand Siemens."On sera au rendez-vous des JO des deux côtés", assure Louis Villié, le directeur de la ligne à la RATP.Vitrine de la RATPPleyel accueillera en effet le village olympique pour les Jeux de 2024. A l'autre extrémité, la connexion a l'aéroport est jugée stratégique."Elle sera bien sûr la ligne des JO, mais pas seulement: elle sera la ligne du quotidien", souligne Valérie Pécresse, qui parle d'"une nouvelle épine dorsale de l'Ile-de-France" profitant au Val-de-Marne et à la Seine-Saint-Denis.La ligne 14 fera alors 27 kilomètres de long. Et sa fréquentation devrait passer de 550.000 voyageurs par jour (avant la pandémie de coronavirus) à 1 million."Elle sera la ligne la plus importante du réseau", approuve Louis Villié. Et aussi "la première ligne du métro du Grand Paris". Elle va en effet se connecter au supermétro actuellement en construction autour de la capitale à Pleyel, Villejuif (Val-de-Marne) et Orly.La Société du Grand Paris (SGP), chargée de construire ce supermétro, finance d'ailleurs 58% des 1,4 milliard d'euros dépensés pour prolonger la ligne 14 jusqu'à Saint-Ouen et 100% des deux tronçons suivants vers Pleyel et Orly (850 millions et 2,8 milliards d'euros, respectivement).Ile-de-France Mobilités finance de son côté le matériel roulant (620 millions pour le moment) et couvre le déficit d'exploitation.Pour la RATP, le défi est maintenant de faire aussi bien que sur les 8,6 kilomètres actuels de la ligne, très parisiens, où les voyageurs sont selon elle satisfaits à 98%. "On veut vraiment que ce soit la vitrine du groupe RATP. Et c'est là qu'on veut montrer notre savoir-faire", souligne Louis Villié.L'enjeu est important au moment où le secteur s'ouvre peu à peu à la concurrence.Valérie Pécresse a d'ailleurs récemment taclé la RATP, en vantant la ligne 14, automatique comme le seront les autres lignes du Grand Paris: "Qui dit automatique dit pas impacté par les grèves, sujet toujours sensible auprès des voyageurs.""Même quand c'est automatique, il y a toujours du monde pour accueillir les gens dans les stations", a répondu Catherine Guillouard, PDG de la Régie.De fait, les effectifs affectés à la ligne 14 vont passer de 180 à 250 personnes.
Il y a 4 ans et 174 jours

J-1 avant l’ouverture du Forum EnerGaïa version digitale

Pour sa 14ème édition, le rendez-vous de la filière des énergies renouvelables maintient les temps forts des conférences sous une forme digitale et accessibles gratuitement en ligne. Mercredi 9 décembre Conférence plénière : de 10h à 12h « Accélérer les transitions, pour une société plus résiliente » avec: Dominique MÉDA, Sociologue et philosophe, Mathilde IMER, Co-présidente de Démocratie Ouverte et Michel COLOMBIER, Co-fondateur et Directeur scientifique de l’Institut du Développement Durable et des Relations Internationales (IDDRI). 5èmes Assises Régionales de l’Énergie : : de 14h30 à 16h30 « Rendre accessible à tous le chantier de la rénovation énergétique pour une Région à Énergie Positive » Jeudi 10 décembre Conférence : de 10h à 12h45 « Éolien offshore flottant : vers les parcs commerciaux » Conférence : de 14h à 16h45 « Hydrogène vert : naissance d’une industrie nouvelle » Demande d’accès…    
Il y a 4 ans et 174 jours

batimat edition 2022 le retour porte de versailles

batimat s installe porte de versailles du 3 au 6 octobre 2022 pour sa 33e edition un retour aux sources tres attendu apres 4 editions du salon tenues a paris nord villepinte les conditions de la 28e et derniere edition a paris expo porte de versailles avaient souleve la question d un demenagement vers un site plus adapte aux ambitions du salon en cause des contraintes logistiques et materielles amenees a definitivement compromettre la qualite de l experience alors que les travaux de la tour triangle allaient entrainer la fermeture provisoire d une partie du parc autre argument en faveur de villepinte l espoir de propulser a nouveau le salon sur la scene internationale avec des infrastructures modernes garantissant des conditions de visites optimales au fil des editions les avantages du site historique sont venus hanter les exposants decentralise au nord de paris le salon avait vu sa frequentation baisser ces dernieres annees plus proche du centre et du tourisme d affaire paris expo porte de versailles propose desormais une offre commerciale renouvelee avec une forte dimension digitale qui devrait definitivement conquerir le public on en reparlera pour l instant saluons ce retour aux sources de versailles qui satisfera bon nombre d exposants et de visiteurs lasses des contraintes du parc expo de villepinte qui n a d interet que lorsqu on est enfin dedans
Il y a 4 ans et 174 jours

Picard Serrures livre un retour d'expérience sur MyPrycer et la commande dématérialisée

L'objectif : leur offrir une solution de chiffrage 100% Web clé en main pour leurs devis, et simplifier le passage et le traitement des commandes. Mise en place, accompagnement, bénéfices: rencontre avec Julien MALIAR, Animateur Réseaux Installateurs agréés PICARD en France, Belgique et Suisse.Julien, voilà un peu moins d'un an que Picard Serrures a déployé MyPricer et l'EDI auprès de ses clients. Comment sont nés ces projets ?Cette décision est liée à la forte évolution des commandes de portes. Il y a 10 ans, nous recevions une cinquantaine de commandes de portes par mois pour la France. Aujourd'hui, rien que sur le mois de juin 2020, nous avons enregistré 650 commandes de portes! Il fallait trouver une solution simplifiant le passage de commandes de nos clients, tout en nous permettant d'optimiser le traitement de ces commandes en interne. Avant MyPricer et l'EDI, nos clients nous transmettaient leurs commandes de portes par fax ou par e-mail. En interne, un traitement manuel était nécessaire pour enregistrer la commande sur le plan commercial, enregistrer et valider avec le client les données techniques de porte sur-mesure et enfin recevoir la confirmation de commande signée par le client. Tous ces échanges retardaient la mise en fabrication de plusieurs jours. Nous et nos clients pouvions perdre une semaine! Avec MyPricer, notre objectif était d'accélérer ce process et de simplifier cette méthodologie pour éviter un goulot d'étranglement en interne. Pourquoi avoir choisi MyPricer et l'EDI ?Régis DIDIA, Chef de produit porte chez Picard Serrures, travaillait déjà avec ProDevis pour nos clients Menuisiers. Il a donc proposé ELCIA et sa solution MyPricer. La présentation de la solution de chiffrage nous a convaincu. Simple, pratique, qui puisse s'utiliser de partout: c'était vraiment la solution adaptée à notre cible de clientèle !Justement, vous avez décidé de déployer MyPricer seulement auprès de certains de vos clients...Il faut savoir que nous avons trois grandes typologies de clients: notre réseau Installateurs Agréés PICARD (IAP), les Menuisiers et enfin les serruriers. Les Menuisiers utilisent déjà majoritairement ProDevis pour leur chiffrage. MyPricer s'adresse à tous nos clients mais principalement à notre réseau Installateurs Agréés Picard(IAP). Ils possèdent leur propre magasin sous enseigne Picard Serrures, nos serrures et produits sont présentés dans leur showroom, et certains produits Picard Serrures leur sont réservés. En tant que Responsable duréseau IAP, mon rôle est de m'assurer que leurs magasins fonctionnent bien, les aider à avancer tout en les formant. Les équiper de MyPricer entre dans cette logique.Est ensuite venu le moment de mettre en place MyPricer. Comment vous y êtes-vous pris ?Il y a d'abord eu un gros travail de la part de nos commerciaux. Aujourd'hui encore, beaucoup de nos clients nous passent commande par fax. Il a donc fallu les sensibiliser, leur faire comprendre que MyPricer est un outil pratique qui leur permet de gagner du temps, de faire leurs devis directement sur leur téléphone, d'être réactifs. Il y a ensuite eu une deuxième phase avec le Service Customer Success d'ELCIA. En novembre 2019, nous avons organisé un tour de France, avec trois rassemblements sur Marseille, Bordeaux et à Lyon, dans les locaux d'ELCIA. Marie-Anne FOSSIER, Customer Success Manager à ELCIA, était présente pour présenter MyPricer et faire des démonstrations en direct. Un vrai plus !En complément de ces rendez-vous physiques, vous avez également mis en place un accompagnement de vos clients à distance...Oui, et la période de confinement a d'ailleurs été propice pour cela ! Nous en avons profité pour accélérer sur la formation à distance, en organisant notamment des webinars. Pas besoin de se déplacer, nous pouvions prendre le contrôle de leur PC à distance et leur expliquer clairement. Ensemble, nous avons créé leur compte sur MyPricer et simuler leur première commande de portes. L'idée était de leur montrer concrètement la simplicité d'utilisation de MyPricer. Certains de nos clients chiffrent des portes complexes. Ils ne trouvaient pas comment passer leur commande. Mais une fois la formation faite, ils ont reconnu que c'était très simple et pratique. C'est très important de prendre ces quelques minutes avec nos clients, car au final, cela leur permet de gagner un temps précieux.Avez-vous rencontré des freins du côté de vos clients ?Certains de nos clients ne maîtrisent pas bien l'outil informatique. Nos installateurs sont des professionnels, excellents techniquement, qui maîtrisent leur métier à la perfection. Mais, à l'inverse, qui sont aussi capables de faire des devis et des factures à la main. Or, aujourd'hui, quand un client particulier achète une porte, il veut que tout soit professionnel. Il ne fera pas forcément confiance à quelqu'un qui lui envoie un devis fait à la main sur un bout de papier. Un devis précis, bien organisé, détaillé sera plus vendeur ! En plus, il permet de rappeler point par point toutes les caractéristiques du produit, les notions importantes, les couleurs... et ainsi éviter les oublis. Pour pallier à ce manque de connaissance informatique, les formations personnalisées étaient nécessaires. En complément, nous leur avons également envoyé un book de formation. Une petite bible dans laquelle ils peuvent trouver les réponses à leurs besoins.Quels sont les bénéfices de MyPricer pour vos clients ?La facilité de chiffrage. Avec MyPricer, ils peuvent faire leurs devis de n'importe où, sans avoir besoin de retourner à leur bureau ou d'appeler leur secrétaire. Ils peuvent dupliquer leurs devis de manière très facile, personnaliser leurs documents avec leurs logos ou certifications. MyPricer, c'est vraiment un outil utile et pratique pour eux, nécessaire pour leur développement. Le côté 100% Web de la solution aussi ! Ils ont une solution accessible via une URL, sans installation nécessaire. C'est un avantage conséquent pour nos clients pas tous informatisés : même en 3G ou en données partagées, ils peuvent facilement utiliser leur solution et chiffrer depuis leur téléphone ou leur tablette. Enfin, la simplification de leurs commandes. Ils n'ont plus besoin d'aller vérifier leur commande dans leurs e-mails, de l'imprimer, de la tamponner et de nous renvoyer la fiche de validation pour mise en fabrication. Avec MyPricer et l'EDI, ils n'ont plus rien à faire, c'est un gros gain de temps et de simplicité !Et du côté de vos équipes internes ?L'EDI nous permet d'éviter la ressaisie manuelle des commandes de nos clients. Nous avons gagné en praticité et en réactivité dans le traitement des commandes de nos clients. Une fois qu'un client nous a passé sa commande, cette dernière part en fabrication en moins de 24h. C'est un temps précieux qui est gagné au niveau de la fabrication, et donc pour nos clients.S'il fallait résumer MyPricer et l'EDI en quelques mots ?C'est vraiment la simplicité de l'outil pour nos clients ! Avec MyPricer et l'EDI, cinq minutes leur suffisent pour passer leur commande. Autre point important: ils vont avoir accès en direct à toutes les informations importantes. Par exemple, beaucoup de nos clients appellent notre bureau technique pour connaître la perte de passage lorsqu'ils commandent une porte en rénovation. Avec MyPricer, ils remplissent directement les dimensions et obtiennent instantanément leur compte-rendu, avec notamment cette notion de passage. Cela peut sembler pas grand-chose, mais ce sont des informations très précieuses et utiles pour nos serruriers. Même s'il est 18h un samedi, que notre bureau d'étude est fermé, que leur commercial n'est pas joignable, le client a tout de suite son information sur MyPricer. Il n'a pas à attendre et peut répondre directement à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier. Cette réactivité est très importante !Maintenant que la mise en place et la prise en main de vos clients sont lancées, quels sont vos objectifs ?Début 2020, 19% de nos commandes de portes ont été passées via MyPricer. Depuis que nous avons décidé d'accélérer le passage de commandevia MyPricer, nous sommes passés à 36%. C'est une belle évolution ! Il faut continuer à promouvoir la solution auprès de nos clients, en poursuivant les formations, notamment sur le réseau IAP. L'objectif est d'avoir au moins 1 porte sur 2 commandées via MyPricer d'ici fin 2020, et 3 portes sur 4 d'ici 2021.
Il y a 4 ans et 174 jours

Picard Serrures livre un retour d'expérience sur MyPricer et la commande dématérialisée

L'objectif : leur offrir une solution de chiffrage 100% Web clé en main pour leurs devis, et simplifier le passage et le traitement des commandes. Mise en place, accompagnement, bénéfices: rencontre avec Julien MALIAR, Animateur Réseaux Installateurs agréés PICARD en France, Belgique et Suisse.Julien, voilà un peu moins d'un an que Picard Serrures a déployé MyPricer et l'EDI auprès de ses clients. Comment sont nés ces projets ?Cette décision est liée à la forte évolution des commandes de portes. Il y a 10 ans, nous recevions une cinquantaine de commandes de portes par mois pour la France. Aujourd'hui, rien que sur le mois de juin 2020, nous avons enregistré 650 commandes de portes! Il fallait trouver une solution simplifiant le passage de commandes de nos clients, tout en nous permettant d'optimiser le traitement de ces commandes en interne. Avant MyPricer et l'EDI, nos clients nous transmettaient leurs commandes de portes par fax ou par e-mail. En interne, un traitement manuel était nécessaire pour enregistrer la commande sur le plan commercial, enregistrer et valider avec le client les données techniques de porte sur-mesure et enfin recevoir la confirmation de commande signée par le client. Tous ces échanges retardaient la mise en fabrication de plusieurs jours. Nous et nos clients pouvions perdre une semaine! Avec MyPricer, notre objectif était d'accélérer ce process et de simplifier cette méthodologie pour éviter un goulot d'étranglement en interne. Pourquoi avoir choisi MyPricer et l'EDI ?Régis DIDIA, Chef de produit porte chez Picard Serrures, travaillait déjà avec ProDevis pour nos clients Menuisiers. Il a donc proposé ELCIA et sa solution MyPricer. La présentation de la solution de chiffrage nous a convaincu. Simple, pratique, qui puisse s'utiliser de partout: c'était vraiment la solution adaptée à notre cible de clientèle !Justement, vous avez décidé de déployer MyPricer seulement auprès de certains de vos clients...Il faut savoir que nous avons trois grandes typologies de clients: notre réseau Installateurs Agréés PICARD (IAP), les Menuisiers et enfin les serruriers. Les Menuisiers utilisent déjà majoritairement ProDevis pour leur chiffrage. MyPricer s'adresse à tous nos clients mais principalement à notre réseau Installateurs Agréés Picard(IAP). Ils possèdent leur propre magasin sous enseigne Picard Serrures, nos serrures et produits sont présentés dans leur showroom, et certains produits Picard Serrures leur sont réservés. En tant que Responsable duréseau IAP, mon rôle est de m'assurer que leurs magasins fonctionnent bien, les aider à avancer tout en les formant. Les équiper de MyPricer entre dans cette logique.Est ensuite venu le moment de mettre en place MyPricer. Comment vous y êtes-vous pris ?Il y a d'abord eu un gros travail de la part de nos commerciaux. Aujourd'hui encore, beaucoup de nos clients nous passent commande par fax. Il a donc fallu les sensibiliser, leur faire comprendre que MyPricer est un outil pratique qui leur permet de gagner du temps, de faire leurs devis directement sur leur téléphone, d'être réactifs. Il y a ensuite eu une deuxième phase avec le Service Customer Success d'ELCIA. En novembre 2019, nous avons organisé un tour de France, avec trois rassemblements sur Marseille, Bordeaux et à Lyon, dans les locaux d'ELCIA. Marie-Anne FOSSIER, Customer Success Manager à ELCIA, était présente pour présenter MyPricer et faire des démonstrations en direct. Un vrai plus !En complément de ces rendez-vous physiques, vous avez également mis en place un accompagnement de vos clients à distance...Oui, et la période de confinement a d'ailleurs été propice pour cela ! Nous en avons profité pour accélérer sur la formation à distance, en organisant notamment des webinars. Pas besoin de se déplacer, nous pouvions prendre le contrôle de leur PC à distance et leur expliquer clairement. Ensemble, nous avons créé leur compte sur MyPricer et simuler leur première commande de portes. L'idée était de leur montrer concrètement la simplicité d'utilisation de MyPricer. Certains de nos clients chiffrent des portes complexes. Ils ne trouvaient pas comment passer leur commande. Mais une fois la formation faite, ils ont reconnu que c'était très simple et pratique. C'est très important de prendre ces quelques minutes avec nos clients, car au final, cela leur permet de gagner un temps précieux.Avez-vous rencontré des freins du côté de vos clients ?Certains de nos clients ne maîtrisent pas bien l'outil informatique. Nos installateurs sont des professionnels, excellents techniquement, qui maîtrisent leur métier à la perfection. Mais, à l'inverse, qui sont aussi capables de faire des devis et des factures à la main. Or, aujourd'hui, quand un client particulier achète une porte, il veut que tout soit professionnel. Il ne fera pas forcément confiance à quelqu'un qui lui envoie un devis fait à la main sur un bout de papier. Un devis précis, bien organisé, détaillé sera plus vendeur ! En plus, il permet de rappeler point par point toutes les caractéristiques du produit, les notions importantes, les couleurs... et ainsi éviter les oublis. Pour pallier à ce manque de connaissance informatique, les formations personnalisées étaient nécessaires. En complément, nous leur avons également envoyé un book de formation. Une petite bible dans laquelle ils peuvent trouver les réponses à leurs besoins.Quels sont les bénéfices de MyPricer pour vos clients ?La facilité de chiffrage. Avec MyPricer, ils peuvent faire leurs devis de n'importe où, sans avoir besoin de retourner à leur bureau ou d'appeler leur secrétaire. Ils peuvent dupliquer leurs devis de manière très facile, personnaliser leurs documents avec leurs logos ou certifications. MyPricer, c'est vraiment un outil utile et pratique pour eux, nécessaire pour leur développement. Le côté 100% Web de la solution aussi ! Ils ont une solution accessible via une URL, sans installation nécessaire. C'est un avantage conséquent pour nos clients pas tous informatisés : même en 3G ou en données partagées, ils peuvent facilement utiliser leur solution et chiffrer depuis leur téléphone ou leur tablette. Enfin, la simplification de leurs commandes. Ils n'ont plus besoin d'aller vérifier leur commande dans leurs e-mails, de l'imprimer, de la tamponner et de nous renvoyer la fiche de validation pour mise en fabrication. Avec MyPricer et l'EDI, ils n'ont plus rien à faire, c'est un gros gain de temps et de simplicité !Et du côté de vos équipes internes ?L'EDI nous permet d'éviter la ressaisie manuelle des commandes de nos clients. Nous avons gagné en praticité et en réactivité dans le traitement des commandes de nos clients. Une fois qu'un client nous a passé sa commande, cette dernière part en fabrication en moins de 24h. C'est un temps précieux qui est gagné au niveau de la fabrication, et donc pour nos clients.S'il fallait résumer MyPricer et l'EDI en quelques mots ?C'est vraiment la simplicité de l'outil pour nos clients ! Avec MyPricer et l'EDI, cinq minutes leur suffisent pour passer leur commande. Autre point important: ils vont avoir accès en direct à toutes les informations importantes. Par exemple, beaucoup de nos clients appellent notre bureau technique pour connaître la perte de passage lorsqu'ils commandent une porte en rénovation. Avec MyPricer, ils remplissent directement les dimensions et obtiennent instantanément leur compte-rendu, avec notamment cette notion de passage. Cela peut sembler pas grand-chose, mais ce sont des informations très précieuses et utiles pour nos serruriers. Même s'il est 18h un samedi, que notre bureau d'étude est fermé, que leur commercial n'est pas joignable, le client a tout de suite son information sur MyPricer. Il n'a pas à attendre et peut répondre directement à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier. Cette réactivité est très importante !Maintenant que la mise en place et la prise en main de vos clients sont lancées, quels sont vos objectifs ?Début 2020, 19% de nos commandes de portes ont été passées via MyPricer. Depuis que nous avons décidé d'accélérer le passage de commandevia MyPricer, nous sommes passés à 36%. C'est une belle évolution ! Il faut continuer à promouvoir la solution auprès de nos clients, en poursuivant les formations, notamment sur le réseau IAP. L'objectif est d'avoir au moins 1 porte sur 2 commandées via MyPricer d'ici fin 2020, et 3 portes sur 4 d'ici 2021.
Il y a 4 ans et 175 jours

Baromètre de la Certification Environnementale™ 2020 par Green Soluce

Immobilier tertiaire : la certification environnementale poursuit sa progression en EuropeEn 2019, 3 721 certifications HQE, LEED, BREEAM, DGNB ont été délivrées pour des immeubles de bureaux, locaux de commerce, santé, enseignement, activités, hôtellerie, aéroports, etc., en neuf, en rénovation et en exploitation. Au total, de 2008 à 2019, 18 760 certifications ont ainsi été délivrées.Les immeubles de bureaux sont les plus certifiés.Le segment des bâtiments de bureaux reste le plus certifié sur le plan environnemental depuis2008. Une tendance qui se confirme en 2019, avec :563 certifications délivrées en Europe pour des bâtiments de bureaux en neuf ou en rénovation ;651 certifications délivrées pour des bâtiments de bureaux en exploitation.Des dynamiques spécifiques de certification dans les grandes places d’affaires stratégiques et villes européennes.BREEAM et LEED sont présentes partout en Europe, BREEAM ayant été la certification la plus délivrée sur le marché de l’immobilier tertiaire en 2019. De fortes disparités régionales se distinguent néanmoins :BREEAM domine le marché au Royaume-Uni. La plus large zone de certifications se concentrant dans le Grand Londres (de Brentford à l’Ouest, jusqu’à Stratford etGreenwich à l’Est) ;HQE reste la certification la plus délivrée en France, principalement en région parisienne à Toulouse, Lyon et Marseille.DGNB en Allemagne. Le marché se répartissant entre Berlin, Hambourg, Francfort,Munich et Düsseldorf.Côté villes, les capitales Paris, Londres, Varsovie, Madrid, Stockholm et Helsinki, enregistrent la plus grande activité de certification. Les villes allemandes sont sous-représentées car les informations de la DGNB® n'étaient pas disponibles au niveau des villes. Les zones certifiées concernent aussi bien les centres historiques que les quartiers d’affaires.Enjeux & performances : les choix des porteurs de projetsDes hauts niveaux de performance ciblésDans le Grand Paris, près de 20% des certifications atteignent un niveau Excellent pour BREEAM et un niveau Exceptionnel pour HQE. Dans cette même dynamique, Madrid, entrée cette année au classement des villes les plus actives en matière de certification environnementale, enregistre elle aussi des niveaux de performances de très haute exigence : plus de 90 % des certifications LEED atteignent le niveau Gold dans la capitale espagnole.Une nouveauté 2020 : La certification VERDECette certification régionale, utilisée en Espagne, est cette année intégrée au Baromètre. Elle cumule plus de 60 projets certifiés entre 2008 et 2019 en Espagne, avec une surface certifiée de plus de 1 600 000 m². Les certifications sur le bien-être, le digital et la biodiversité continuent à s’installer dans le secteur.La certification WELL, lancée par l’IWBI en 2014, valorise les expertises alliant santé, bienêtre et construction : plus de 29 projets certifiés et 1376 projets enregistrés en cours de certification dans le scope de l’étude en Europe.Le label OsmoZ, lancé par Certivéa en mars 2018, place la qualité de vie des utilisateurs et la performance RSE au centre des critères observés : 6 projets labelisés, 10 opérations pilotes et 28 projets en cours de certification en 2019 localisées dans toute la France.Le label R2S – Ready 2 Services, délivré par Certivéa depuis juin 2018 pour rendre le bâtiment numérique adaptatif et agréable à vivre : 10 opérations pilotes, 5 projets labelisés et 29 projets en cours de certification en 2019 localisés en France.Le label WiredScore, portant sur la connectivité des bâtiments tertiaires et attestant de la rapidité, de l’accès à des réseaux à Très Haut Débit et de la résilience de l’infrastructure et des réseaux aux sources de coupure : le Royaume-Uni est en tête avec 445 projets enregistrés et 181 certifiés, suivi de la France avec 122 projets enregistrés et 79 certifiés.Le label BiodiverCity, mis en place par le CIBI (Conseil International Biodiversité et Immobilier) évalue la performance des projets immobiliers intégrant la biodiversité dans leur conception et construction et donnant sa place à la nature en ville. Entre 2014 et 2019, 62 projets ont été certifiés. Le nombre de projets certifiés BiodiverCity a été multiplié par 7 depuis 2014.Les parties prenantes expriment leurs attentes en matière de certification 101 acteurs européens (ingénieurs, architectes, investisseurs, promoteurs, foncières, consultants en durabilité, AMO environnement), ont été interrogés dans le cadre du Baromètre de la Certification Environnementale 2020. L’objectif : connaître leurs attentes en la matière pour les années à venir. L’étude permet ainsi de constater que :S’agissant des bénéfices environnementaux, les priorités sont essentiellement de réduire la consommation énergétique, de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’améliorer la qualité de l’air.Pour les bénéfices économiques, d’autres avantages sont avancés : créer des bâtiments plus performants, augmenter la valeur des bâtiments et créer une image de marque pour l'entreprise.Enfin pour les bénéfices sociaux, les avantages sont : augmenter la santé et le bien-être des occupants et fournir une vérification par une tierce partie. « Nous sommes ravis, cette année encore, de présenter le Baromètre de la Certification Environnementale. Rendez-vous annuel incontournable depuis 2014, cette édition est une nouvelle fois l’occasion de faire le point sur les tendances de fond du marché du "green building" en Europe et de fournir ainsi aux acteurs des indicateurs solides de comparaison, nécessaires à la prise de décision dans leurs projets immobiliers. Nous nous réjouissons de constater dans cette 7ème édition que les certifications sur le bien-être, le digital et la biodiversité poursuivent leur progression et continuent de s’installer dans le secteur de l’immobilier tertiaire européen. Enfin, nous souhaitons souligner l’implication encore plus forte et la réelle volonté des acteurs de l’immobilier pour une transition environnementale réussie. » Ella Etienne-Denoy, CEO de Green Soluce
Il y a 4 ans et 175 jours

Plan de relance exceptionnel doté de 18 M€ pour le développement de l'apprentissage BTP

Le CCCA-BTP au rendez-vous de la relance Dans un contexte inédit de crise sanitaire qui risque de se prolonger encore plusieurs mois et qui pourrait avoir des conséquences sans précédent sur l'écosystème de l'apprentissage BTP, le CCCA-BTP porte, en complément du plan de relance de l'État en faveur de l'apprentissage, Relance apprentissage BTP, un dispositif exceptionnel, doté de 18 M€. Il vise à limiter l'impact de la crise sur l'apprentissage BTP, consolider son développement et assurer sa pérennité, accompagner et soutenir l'ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP.Faire de l'apprentissage BTP un accélérateur de reprise Alors que l'apprentissage était dans une très bonne dynamique en 2019, l'un des enjeux majeurs de Relance apprentissage BTP est d'éviter une rupture dans les recrutements d'apprentis par les entreprises du BTP, qui ont toujours beaucoup investi dans la formation des jeunes à leurs métiers et réaffirmé, dans un environnement économique difficile, leur volonté de maintenir, autant que possible, leur investissement dans l'apprentissage.Agir dans la durée et dynamiser le développement de l'apprentissage BTP Relance apprentissage BTP, proposé par le CCCA-BTP, est un dispositif complet de huit solutions concrètes, déployées dès aujourd'hui et tout au long de l'année 2021, au profit des organismes de formation du BTP, en les accompagnant et en les conseillant au plus près de leurs besoins et des réalités du terrain. Le dispositif est conçu pour accompagner les organismes de formation du BTP tout au long du « parcours client », qu'il s'agisse des jeunes, dans leur souhait de se former à un métier du BTP par l'apprentissage et de la nécessité d'assurer leur intégration professionnelle en entrée et en sortie de formation, que des entreprises, dans leur volonté de recruter des apprentis préparés et motivés. Cela concerne également les attentes des jeunes et des entreprises en termes d'actions de formation et de modalités pédagogiques, avec le renforcement du numérique dans la formation des apprentis et la montée en compétences des collaborateurs des organismes de formation dans son utilisation et dans le développement commercial, nécessaire pour assurer la pérennité de leur activité.Dans un environnement de la formation professionnelle, qui connaît de profondes mutations, notamment économiques et d'organisation, Relance apprentissage BTP vise également, grâce à ses huit solutions concrètes, à accompagner la transformation des organismes de formation, pour s'adapter à un marché de l'apprentissage de plus en plus concurrentiel, au plus près de leurs besoins et des réalités de leur territoire.Les huit solutions pour accompagner et conseiller les organismes de formation du BTP Solution #1 : Communication sur les métiers et l'apprentissage BTP, avec la campagne « La construction. Demain s'invente avec nous ». Pilotée par le CCCA-BTP, la campagne se déploie de décembre 2020 à mars 2021 afin de promouvoir auprès des jeunes les métiers du BTP et l'apprentissage comme voie de formation d'excellence et de réussite pour s'y former. Pour susciter de nouvelles vocations auprès d'eux et attirer les talents vers le secteur, un casting de jeunes professionnels du BTP, fiers de leur métier, incarnent et portent les messages, au travers d'un dispositif pluri-média à la hauteur des ambitions de développement de l'apprentissage BTP.>> www.laconstruction.frSolution #2 : Orientation des jeunes en recherche d'une formation dans le BTP,avec l'opération « Boost Apprentissage BTP »Afin de soutenir les organismes de formation dans leurs actions de recrutement de jeunes, le CCCA-BTP organise une nouvelle vague de l'opération « Boost Apprentissage BTP », une campagne de marketing digital destinée à attirer des candidats prospects souhaitant se former à un métier du BTP par l'apprentissage et à les orienter vers les organismes de formation du BTP. >> www.boost-apprentissage-btp.frSolution #3 : Participation au financement d'un équipement informatique des apprentis en 1ère année de formation, avec une participation au financement d'un ordinateur portable ou d'une tabletteAfin qu'il n'existe pas de fracture numérique entre les apprentis, le CCCA-BTP s'engage en apportant un financement pour l'achat d'un ordinateur portable (PC ou tablette) pour les apprentis en première année de formation (niveaux 3 et 4) à un métier du BTP en apprentissage. Plus de 21 000 jeunes pourraient bénéficier de ce dispositif inédit mis en place par le CCCA-BTP.Solution #4 : Montée en compétences des collaborateurs des organismes de formation du BTP, avec des parcours sur le numérique éducatif et le développement commercial Cette solution vise à permettre à tous les collaborateurs d'un organisme de formation du BTP de mieux intégrer les nouveaux outils du numérique éducatif dans leurs pratiques pédagogiques, de concevoir et déployer des parcours de formation individualisés et multimodaux, d'agir pour une meilleure maîtrise des ruptures de contrat, de développer les prépa apprentissage, de mieux identifier les jeunes en quête d'orientation professionnelle, de prospecter de nouvelles entreprises formatrices et les fidéliser… Classes virtuelles, webinaires, ateliers d'échanges de pratiques, quiz formatifs, vidéos pédagogiques, modules de « rapid learning », conférences, composent le dispositif.Solution #5 : Solutions pour développer le numérique éducatif, avec des solutions digitales mises à disposition à titre gratuitQuatre solutions et outils numériques sont mis à disposition, à titre gratuit, des organismes de formation : Net Parcours Alternance BTP (NPA BTP) : application digitale et interactive dédiée à la programmation et au suivi de la montée en compétences des apprentis. Aptyce : plateforme LMS pour l'animation et la formation pédagogique multimodale. Accompagnement Vie Apprenant (AVA) : application d'accompagnement socio-éducatif permettant de suivre les événements quotidiens qui ponctuent la vie des apprentis.C KI L'BOSS : jeu sérieux dédié à la sensibilisation des apprentis à l'esprit d'entreprendre et la gestion d'entreprise. Solution #6 : Soutien aux expérimentations pour développer les entrées permanentes de jeunes en formation tout au long de l'année, avec l'organisation d'appels à candidatures Le CCCA-BTP organise des appels à candidatures ouverts aux organismes de formation sur le thème : « Les actions innovantes visant à garantir la réussite des entrées permanentes » :nouvelles organisations et modalités de fonctionnement innovantes, adaptation des durées de formation, types de diplômes et certifications professionnelle, sourcing des jeunes tout au long de l'année, adéquation optimale entre les besoins des entreprises et les attentes des jeunes. >> www.appels-a-projets-cccabtp.fr Solution #7 : Diversification des actions de formation, avec des webinaires d'information sur de nouveaux dispositifs pédagogiquesLe CCCA-BTP propose aux organismes de formation une série de webinaires d'information sur de nouveaux dispositifs pédagogiques, pour enrichir leurs pratiques, identifier les leviers à disposition pour les financer et s'ouvrir sur de nouveaux modes de fonctionnement. Au programme des webinaires : Prépa apprentissage, pour créer des opportunités de recrutement de jeunes et les articuler avec les politiques territoriales ;Modularisation des formations, pour concevoir un dispositif de formation à partir d'activités et de situations professionnelles, développé dans une logique d'acquisition de compétences ;Action de formation en situation de travail (AFEST), pour ces apports méthodologiques dans la formation par apprentissage ;Mixité des publics d'apprenants, pour optimiser les ressources des organismes de formation ;Programme FEEBAT, pour ses enjeux et son positionnement stratégique dans le plan de la rénovation énergétique des bâtiments de l'État.Solution #8 : Accompagnement des jeunes en entrée et en sortie de formation, avec des solutions sur mesure pour développer l'intégration des jeunes en entrepriseLe CCCA-BTP propose aux organismes de formation trois axes d'accompagnement sur mesure pour :favoriser la montée en compétences des jeunes avant leur intégration en entreprise (recherche d'une entreprise formatrice en contrat d'apprentissage) ;accompagner les jeunes diplômés à l'issue de leur formation dans leur insertion professionnelle ;accompagner dans leurs démarches les jeunes sans affectation scolaire ou en désaccord avec la filière proposée pour trouver une solution via la voie de l'apprentissage BTP.Et des solutions avec notamment des conseils pour mettre en place un service dédié à l'accompagnement des apprentis pour favoriser leur intégration en entreprise et des jeunes en recherche d'un contrat d'apprentissage, des ateliers de maîtrise des techniques de recherche d'emploi (ATRE), collectifs et individualisés, en présentiel et en distanciel, pour aider les jeunes à définir leur projet, simuler un entretien d'embauche, etc., des outils pratiques et des ressources : mode opératoire, kit d'organisation d'ateliers et portefeuille de prestataires et partenaires pour les animer.Pour en savoir plus : https://www.ccca-btp.fr/relance-apprentissage-btp
Il y a 4 ans et 175 jours

Plan de relance de l'apprentissage BTP

Le CCCA-BTP au rendez-vous de la relanceDans un contexte inédit de crise sanitaire qui risque de se prolonger encore plusieurs mois et qui pourrait avoir des conséquences sans précédent sur l’écosystème de l’apprentissage BTP, le CCCA-BTP porte, en complément du plan de relance de l’État en faveur de l’apprentissage, Relance apprentissage BTP, un dispositif exceptionnel, doté de 18 M€. Il vise à limiter l’impact de la crise sur l’apprentissage BTP, consolider son développement et assurer sa pérennité, accompagner et soutenir l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP.Faire de l’apprentissage BTP un accélérateur de reprise Alors que l’apprentissage était dans une très bonne dynamique en 2019, l’un des enjeux majeurs de Relance apprentissage BTP est d’éviter une rupture dans les recrutements d’apprentis par les entreprises du BTP, qui ont toujours beaucoup investi dans la formation des jeunes à leurs métiers et réaffirmé, dans un environnement économique difficile, leur volonté de maintenir, autant que possible, leur investissement dans l’apprentissage.Agir dans la durée et dynamiser le développement de l’apprentissage BTPRelance apprentissage BTP, proposé par le CCCA-BTP, est un dispositif complet de huit solutions concrètes, déployées dès aujourd’hui et tout au long de l’année 2021, au profit des organismes de formation du BTP, en les accompagnant et en les conseillant au plus près de leurs besoins et des réalités du terrain. Le dispositif est conçu pour accompagner les organismes de formation du BTP tout au long du « parcours client », qu’il s’agisse des jeunes, dans leur souhait de se former à un métier du BTP par l’apprentissage et de la nécessité d’assurer leur intégration professionnelle en entrée et en sortie de formation, que des entreprises, dans leur volonté de recruter des apprentis préparés et motivés. Cela concerne également les attentes des jeunes et des entreprises en termes d’actions de formation et de modalités pédagogiques, avec le renforcement du numérique dans la formation des apprentis et la montée en compétences des collaborateurs des organismes de formation dans son utilisation et dans le développement commercial, nécessaire pour assurer la pérennité de leur activité.Dans un environnement de la formation professionnelle, qui connaît de profondes mutations, notamment économiques et d’organisation, Relance apprentissage BTP vise également, grâce à ses huit solutions concrètes, à accompagner la transformation des organismes de formation, pour s’adapter à un marché de l’apprentissage de plus en plus concurrentiel, au plus près de leurs besoins et des réalités de leur territoire.Les huit solutions pour accompagner et conseiller les organismes de formation du BTPSolution #1 : Communication sur les métiers et l’apprentissage BTP, avec la campagne "La construction. Demain s’invente avec nous".Pilotée par le CCCA-BTP, la campagne se déploie de décembre 2020 à mars 2021 afin de promouvoir auprès des jeunes les métiers du BTP et l’apprentissage comme voie de formation d’excellence et de réussite pour s’y former. Pour susciter de nouvelles vocations auprès d’eux et attirer les talents vers le secteur, un casting de jeunes professionnels du BTP, fiers de leur métier, incarnent et portent les messages, au travers d’un dispositif pluri média à la hauteur des ambitions de développement de l’apprentissage BTP. >> www.laconstruction.fr Solution #2 : Orientation des jeunes en recherche d’une formation dans le BTP, avec l’opération « Boost Apprentissage BTP »Afin de soutenir les organismes de formation dans leurs actions de recrutement de jeunes, le CCCA-BTP organise une nouvelle vague de l’opération « Boost Apprentissage BTP », une campagne de marketing digital destinée à attirer des candidats prospects souhaitant se former à un métier du BTP par l’apprentissage et à les orienter vers les organismes de formation du BTP. >> www.boost-apprentissage-btp.fr Solution #3 : Participation au financement d’un équipement informatique des apprentis en 1ère année de formation, avec une participation au financement d’un ordinateur portable ou d’une tabletteAfin qu’il n’existe pas de fracture numérique entre les apprentis, le CCCA-BTP s’engage en apportant un financement pour l’achat d’un ordinateur portable (PC ou tablette) pour les apprentis en première année de formation (niveaux 3 et 4) à un métier du BTP en apprentissage. Plus de 21 000 jeunes pourraient bénéficier de ce dispositif inédit mis en place par le CCCA-BTP.Solution #4 : Montée en compétences des collaborateurs des organismes de formation du BTP, avec des parcours sur le numérique éducatif et le développement commercial Cette solution vise à permettre à tous les collaborateurs d’un organisme de formation du BTP de mieux intégrer les nouveaux outils du numérique éducatif dans leurs pratiques pédagogiques, de concevoir et déployer des parcours de formation individualisés et multimodaux, d’agir pour une meilleure maîtrise des ruptures de contrat, de développer les prépa apprentissage, de mieux identifier les jeunes en quête d’orientation professionnelle, de prospecter de nouvelles entreprises formatrices et les fidéliser… Classes virtuelles, webinaires, ateliers d’échanges de pratiques, quiz formatifs, vidéos pédagogiques, modules de « rapid learning », conférences, composent le dispositif.Solution #5 : Solutions pour développer le numérique éducatif, avec des solutions digitales mises à disposition à titre gratuitQuatre solutions et outils numériques sont mis à disposition, à titre gratuit, des organismes de formation : Net Parcours Alternance BTP (NPA BTP) : application digitale et interactive dédiée à la programmation et au suivi de la montée en compétences des apprentis. Aptyce : plateforme LMS pour l’animation et la formation pédagogique multimodale. Accompagnement Vie Apprenant (AVA) : application d’accompagnement socio-éducatif permettant de suivre les événements quotidiens qui ponctuent la vie des apprentis.C KI L’BOSS : jeu sérieux dédié à la sensibilisation des apprentis à l’esprit d’entreprendre et la gestion d’entreprise. Solution #6 : Soutien aux expérimentations pour développer les entrées permanentes de jeunes en formation tout au long de l’année, avec l’organisation d’appels à candidatures Le CCCA-BTP organise des appels à candidatures ouverts aux organismes de formation sur le thème : « Les actions innovantes visant à garantir la réussite des entrées permanentes » : nouvelles organisations et modalités de fonctionnement innovantes, adaptation des durées de formation, types de diplômes et certifications professionnelle, sourcing des jeunes tout au long de l’année, adéquation optimale entre les besoins des entreprises et les attentes des jeunes. >> www.appels-a-projets-cccabtp.fr Solution #7 : Diversification des actions de formation, avec des webinaires d’information sur de nouveaux dispositifs pédagogiquesLe CCCA-BTP propose aux organismes de formation une série de webinaires d’information sur de nouveaux dispositifs pédagogiques, pour enrichir leurs pratiques, identifier les leviers à disposition pour les financer et s’ouvrir sur de nouveaux modes de fonctionnement. Au programme des webinaires : Prépa apprentissage, pour créer des opportunités de recrutement de jeunes et les articuler avec les politiques territoriales ;Modularisation des formations, pour concevoir un dispositif de formation à partir d’activités et de situations professionnelles, développé dans une logique d’acquisition de compétences ;Action de formation en situation de travail (AFEST), pour ces apports méthodologiques dans la formation par apprentissage ;Mixité des publics d’apprenants, pour optimiser les ressources des organismes de formation ;Programme FEEBAT, pour ses enjeux et son positionnement stratégique dans le plan de la rénovation énergétique des bâtiments de l’État.Solution #8 : Accompagnement des jeunes en entrée et en sortie de formation, avec des solutions sur mesure pour développer l’intégration des jeunes en entrepriseLe CCCA-BTP propose aux organismes de formation trois axes d’accompagnement sur mesure pour :favoriser la montée en compétences des jeunes avant leur intégration en entreprise (recherche d’une entreprise formatrice en contrat d’apprentissage) ;accompagner les jeunes diplômés à l’issue de leur formation dans leur insertion professionnelle ;accompagner dans leurs démarches les jeunes sans affectation scolaire ou en désaccord avec la filière proposée pour trouver une solution via la voie de l’apprentissage BTP.Et des solutions avec notamment des conseils pour mettre en place un service dédié à l’accompagnement des apprentis pour favoriser leur intégration en entreprise et des jeunes en recherche d’un contrat d’apprentissage, des ateliers de maîtrise des techniques de recherche d’emploi (ATRE), collectifs et individualisés, en présentiel et en distanciel, pour aider les jeunes à définir leur projet, simuler un entretien d’embauche, etc., des outils pratiques et des ressources : mode opératoire, kit d’organisation d’ateliers et portefeuille de prestataires et partenaires pour les animer.
Il y a 4 ans et 175 jours

3D Print Exhibition

Salon de l'impression 3D.
Il y a 4 ans et 175 jours

Capremib s’offre une centrale dédiée aux Bfup

La nouvelle centrale à béton de l’usine Capremib s’inscrit dans un hall dédié de 250 m2. [©ACPresse] Des formules de bétons, Capremib en utilise des dizaines. Leur point commun ? Elles concernent toutes des bétons “normaux”, fabriqués au sein de la centrale historique du site de Cormicy, commune située à quelques kilomètres au Nord de Reims (51). L’unité tourne d’ailleurs à plein régime, ce qui rend délicate toute expérimentation. Et encore plus le souhait de se positionner comme un acteur de la structure en Bfup. C’est dans ce contexte que l’industriel vient de franchir un nouveau pas dans son développement, avec l’inauguration d’une nouvelle centrale à béton, installée dans un bâtiment neuf et isolé de 250 m2. « Cet équipement est dédié à la production de Bfup et de bétons fibrés, souligne Clément Blanc, directeur général de Capremib. C’est une centrale d’ingénierie qui nous permettra aussi de tester des nouvelles formules et de réaliser des bétons spéciaux en petites quantités. » Clément Blanc est le directeur général de Capremib. [©ACPresse] En effet, il y a aussi de plus en plus de demandes en matière de bétons résistants au feu. Avec cet équipement, Capremib se prépare à répondre à ces attentes. Idem pour la production de voussoirs en béton fibrés. Très longtemps interdit en France, ce principe est en passe de devenir la norme. Les nouveaux lots des chantiers du Grand Paris privilégient cette technologie comme solution de base. Une centrale à béton signée Kniele-BSC La centrale à béton s’articule autour d’un malaxeur conique Kniele, installé par BSC. [©ACPresse]La forme conique du malaxeur Kniele permet des gâchées correspondant à 15 % du volume nominal. [©ACPresse]La vidange se fait par le dessous et bénéficie d’une ouverture totale. [©ACPresse] La nouvelle centrale à béton s’articule autour d’un malaxeur conique Kniele, d’une capacité de 1 500 l. L’une des particularités de cet outil est de pouvoir mélanger même de très petits volumes de béton (remplissage à 15 % de la capacité nominale), d’où son choix. C’est BSC qui a assuré la fourniture du Kniele, mais aussi la conception et de la construction de la centrale dans son ensemble. Compte tenu de son usage “Bfup”, elle comprend deux doseurs à fibres, pour permettre les compositions multi-échelles. Les cases à granulats disposent d’un système de dosage ultra précis, du fait de la grande finesse des sables. Deux stations à big bags ont aussi été intégrées pour permettre l’utilisation de prémix prêts à l’emploi. Même si cette centrale va privilégier le mélange sur site. Aussi deux silos à ciments, chacun subdivisé en deux, autorisent le stockage de quatre nuances de liants et autres pulvérulents. Le BSI d’Eiffage comme Bfup Les cases à granulats disposent d’un système de dosage ultra précis, du fait de la grande finesse des sables. [©ACPresse]Compte tenu de son usage “Bfup”, la centrale comprend deux doseurs à fibres, pour permettre les compositions multi-échelles. [©ACPresse]Placés à l’extérieur, deux silos à ciments, chacun subdivisé en deux, permettent le stockage des liants, acheminés par des vis sans fin jusqu’à malaxeur. [©ACPresse]Deux stations à big-bags ont été intégrées pour permettre l’utilisation de prémix prêts à l’emploi. [©ACPresse] Côté Bfup, Capremib a opté pour le BSI du groupe Eiffage. Aujourd’hui, assez peu d’industriels peuvent profiter de cette technologie, mais Eiffage travaille sur un déploiement plus large de sa solution… Chez Capremib, le BSI est fourni sous la forme d’un prémix cimentaire auquel il faut ajouter les autres constituants de la formule. A savoir, le sable en différentes coupures, les adjuvants sous forme liquide et les fibres. Outre ce Bfup industriel, Capremib utilise aussi sa formule maison : le Capremix. La centrale à béton Kniele-BSC complète l’unité de production principale du site de Cormicy. Mais elle est aussi en mesure de la suppléer en cas de nécessité. L’installation de la centrale s’est accompagnée de la construction d’un hall supplémentaire de 400 m2 couverts. « Il sera dédié à la préfabrication des éléments en Bfup », confirme Clément Blanc. Deux premières affaires sont d’ailleurs déjà en cours. Toute d’abord des poutres Prad en Bfup blanc destinées à la reconstruction du pont Célestin Philbois, à Troyes (10). « Il s’agit sans doute du premier pont jamais construit en Bfup blanc. » Ensuite, des dalles de pont, en Bfup gris matricé, destinées au pont de Gerstheim (67). « D’une épaisseur de 30 cm, ces éléments destinés à la réhabilitation permettent un allègement général de la structure. » Les Bfup sont transférés vers les moules à l’aide d’une classique benne à béton. [©ACPresse]Zone de préfabrication des éléments en Bfup. [©ACPresse]Dalles en Bfup matricé destiné à la réhabilitation du pont de Gerstheim (67). [©ACPresse] Des agrandissements de site pour 2021… Les investissements en équipements de production n’ont pas été limités au seul site de Capremib. Celui de Cibetec, à Saint-Léonard (51), a ainsi vu le remplacement des deux malaxeurs de sa centrale à béton. Ce sont deux Teka à turbine de 750 l de capacité, qui sont entrés en service, il y a un peu plus d’un an aujourd’hui. Ils bénéficient d’un système automatisé de nettoyage, car « nous y réalisons beaucoup de bétons colorés, précise Clément Blanc. Et de poursuivre : « Bien entendu, ils savent aussi malaxer des Bfup ». D’autres transformations sont encore à suivre, en 2021 sans doute. Il est question d’agrandir les terrains des deux sites de production. Et le hall “armatures” de Capremib. L’industriel espère pouvoir gagner 1 ha supplémentaire sur le site de Cormicy, ce qui ne devrait pas être trop complexe. En effet, l’usine se situe en rase campagne, le long du CD 944, avec un cimetière pour seul voisin… Mais si l’unité génère du trafic poids lourds et un peu de bruit, cela ne dérange pas grand monde ! Jean-Paul Franzini sort du bois Jean-Paul Franzini, dans l’atelier de moules de l’usine Capremib. [©ACPresse] On pourrait presque dire que Jean-Paul Franzini fait partie des meubles. Que l’usine Capremib de Cormicy (51) a été construite autour de lui... Il est vrai que l’homme est incontournable. Quelque 44 ans passés dans la maison n’y sont pas étrangers. « Jean-Paul Franzini est entré chez Capremib en 1976 ! », précise Clément Blanc, directeur général de Capremib. Il était alors âgé de 17 ans et venait tout juste de décrocher son CAP de menuiserie. Jean-Paul Franzini a été le spécialiste des moules sur mesure en bois indispensables au coulage de nombre de pièces en béton. « J’ai assuré la conduite de l’atelier de conception des moules en tant que chef menuisier », indique l’intéressé. Une vie dans le bois qu’il a souhaité prolonger quelque peu « pour accompagner, encadrer et de finir de former mes successeurs ». Mais c’est décidé, Jean-Paul Franzini raccroche définitivement ses outils professionnels le 31 décembre 2020. Sa nouvelle vie ? Un mix entre des loisirs et ses petits-enfants. Il continuera aussi à jouer de la perceuse et du marteau, pour le plaisir cette fois-ci. Il y a toujours à faire, à la maison...
Il y a 4 ans et 175 jours

Anne Marie Laureys : L'art de la céramique

La céramiste belge Anne Marie Laureys (née en 1962) travaille l’argile et crée des œuvres sculpturales. Aperçu de son univers artistique singulier. Anne Marie Laureys a étudié la céramique au Hoger Kunst Instituut Sint Lucas de Gand, et explore depuis lors les possibilités de l’argile. Son outil, c’est le tour. Son langage, c’est l’émotion. Avec ses formes abstraites délicates, elle insuffle sa propre sensibilité à la terre. « Mes céramiques, sont des métaphores de sensations », explique-t-elle. Pour réussir à appréhender son œuvre, il faut d’abord comprendre son processus de création expérimental, car Anne Marie Laureys explore la matérialité de l’argile en donnant forme à ses émotions. Elle commence par tourner un pot classique. Puis, alors que la terre est encore malléable et humide, elle l’étire, la plie, la perce. Selon elle, le processus de création artistique est une expérience sensible : « C’est une exploration physique du processus, un phénomène d’action réaction entre la main, le cerveau et la matière. »Dans ses séries « Høst », « Clay e Motion», « Push » et « Connect », Anne Marie Laureys évoque ce moment où se cristallise une émotion. Ces créations, qu’elle baptise « métaphores des sentiments », sont des sculptures entrelacées et formées de vides, semblables à des dunes de sable sculptées par le vent. Saluées par la critique, ces créations poétiques et expressives ont été acquises par des collectionneurs et des instituions, et sont régulièrement exposées. En 2021, elles seront notamment visibles dans son solo show à la Taste Contemporary à Genève et l’exposition « Colors, etc. » au Tripostal de Lille. Pour en savoir plus, visitez le site de la céramiste Anne Marie Laureys. Visuels : © Anne Marie LaureysLa rédaction
Il y a 4 ans et 175 jours

Construction d'un nouveau mess pour l'Armée de l'Air à Orange (84)

C'est le 23 novembre 2020 que les équipes du groupement mené par Spie batignolles sud-est se sont vu notifier l'ordre de service Travaux après plus d'un an de développement de projet du stade APS au dossier PRO.Équipement fédérateurLe mess de la base aérienne 115 Orange-Caritat a vocation à rassembler sur un même site l'ensemble du personnel autour d'un rendez-vous quotidien convivial. Il contribue à l'amélioration de l'aménagement global de la base.Le bâtiment, construit sur un seul niveau, pour une surface plancher de 3400 m² se compose de plusieurs espaces :une ligne de self-serviceune grande salle de restauration commune pour personnels militaires et civils, pour une capacité de 560 usagersd'une seconde salle de restauration destinée au commandant et à ses VIP (« Club de Direction »)une vaste cuisineun espace café/loisirsdes bureaux administratifsdes sanitairesdes vestiairesCes salles sont réparties en deux espaces qui se distinguent par des différences d'entrées, de hauteur sous plafond et de matériaux employés pour leur construction. Par exemple, la zone de restauration collective est surélevée et affiche une hauteur sous plafond de plus de 3m. Le parc de stationnement offrira 50 places, dont une zone réservée aux VIP, et une zone de livraison avec un accès facilité et direct à la cuisine pour le personnel du mess.Enjeux environnementaux, organisationnels et techniquesUn site autonome en eauLe cahier des charges de l'ESID de Lyon – Pôle Conduite d'Opérations de Montpellier - a mis en perspective un enjeu environnemental prégnant sur lequel Atelier 5 Architectes et Spie batignolles sud-est ont beaucoup œuvré en phase de conception. D'une part, la base aérienne 115 Orange-Caritat a été aménagée dans un cadre paysager particulièrement soigné, que les nouveaux aménagements ne devaient surtout pas entacher. Dans son dessin architectural, Atelier 5 Architectes a proposé de sublimer la nature environnante en choisissant des matériaux uniformes, en cohérence avec les extérieurs et en intégrant de nouveaux aménagements paysagers autour du nouveau mess.D'autre part, le site est complètement autonome en eau potable grâce à l'aménagement d'un captage vers la nappe phréatique sous le terrain. Cette eau alimente également les villes alentours. Ce captage étant situé à proximité de la future piste d'athlétisme, les membres du groupement ont dû anticiper un certain nombre de process pour contourner cet équipement, qu'il s'agisse de la circulation des camions, de la réalisation des terrassements et du stationnement des engins.Equipements éco-énergétiquesDans l'offre remise par Spie batignolles et ses partenaires, des estimations de consommations énergétiques futures du bâtiment, au regard des équipements retenus, ont été détaillées. Il s'agit d'une simulation thermique qui permet d'anticiper les consommations liées au fonctionnement des différentes activités du mess (cuisine, …) et par le confort intérieur (température, ventilation, …).Pour s'assurer des futures performances énergétiques du bâtiment, un dispositif de récupération de chaleur sur les équipements produisant du froid sera installé. Il permettra d'alimenter les batteries d'eau chaude des rooftops fonctionnant au CO2, un fluide dit naturel sans impact sur le réchauffement planétaire, pour le chauffage et l'apport d'air neuf. En parallèle, des CTA double flux à récupération d'énergie assureront l'introduction d'air neuf et l'extraction de l'air vicié dans les bureaux, les cuisines, les espaces de stockage et la salle de restauration des autorités. Pour garantir des consommations optimisées, des sondes de présence permettront de couper le fonctionnement des CTA lorsque les salles seront inoccupées.Une pompe à chaleur permettra d'assurer le confort d'été, en limitant les consommations d'énergie grâce à son fonctionnement axé sur une énergie renouvelable.Les installations seront dissimulées derrière un acrotère, toujours dans la perspective de proposer une architecture discrète au cœur de ce site où la nature est très présente.Logistique méticuleuseCompte-tenu de la pluralité de réseaux et d'équipements de cuisine à prévoir, Spie batignolles sud-est a choisi de collaborer dès la phase de conception avec le cuisiniste AC2R pour réfléchir à une gestion pertinente de l'ensemble des flux et process des parties cuisine / self et restaurant.La base aérienne 115 de l'Armée de l'air poursuivra son activité pendant toute la durée des travaux. De ce fait, les équipes de Spie batignolles sud-est ont réfléchi à une organisation minutieuse pour réduire au maximum les nuisances liées à l'activité du chantier, portant notamment sur une gestion précise du flux de camions, sur la réduction du niveau acoustique de certaines tâches pendant les heures de bureau, du fait de la proximité de la zone de travaux avec les locaux des militaires et du Commandant de la base.Calendrier des travauxAu cours de ces deux prochains mois, les équipes du groupement interviendront sur le dévoiement des réseaux et sur la réalisation des terrassements généraux du mess construit sur vide sanitaire accessible. La mauvaise portance du terrain nécessite un renforcement du sol par colonnes ballastées qui sera opéré par un sous-traitant de Spie batignolles sud-est.La phase de gros œuvre débutera fin janvier/ début février 2021. L'ensemble des travaux du mess s'étalera sur 16 mois pour une livraison prévue au 1er trimestre 2022. Le calendrier a été optimisé grâce au Lean Management, système d'organisation déjà appliqué par les équipes Travaux de Spie batignolles sur des projets antérieurs y compris lors de la phase de développement de projet.Les militaires de la base aérienne pourront s'élancer sur la nouvelle piste d'athlétisme dès le 3e trimestre 2021.Le marché de performance a été conclu pour une période de 3 ans. C'est la société Axima qui sera en charge de la maintenance technique du mess à partir de la réception des travaux.Spie batignolles sud-est a également été mandaté par l'Armée de l'Air pour les opérations de déplombage, de désamiantage et de démolition du mess d'origine, jusqu'à ses fondations, devenu vétuste et très consommateurs d'énergie. Ces travaux interviendront entre octobre 2021 et mars 2022.
Il y a 4 ans et 178 jours

Sécurisation des copropriétés : des outils simples et pragmatiques

Interview de Véronique Lelièvre, Responsable communication d’Urmet France. Pourquoi une copropriété à intérêt à choisir des produits Urmet pour la sécurisation ? “La force de notre groupe c’est de pouvoir vous proposer une suite complète de produits. C’est-à-dire des caméras, des enregistreurs, du contrôle d’accès, des claviers codés, des interphones et dans le logement, du confort d’usage avec la domotique Yokis. Pas besoin pour l’installateur de s’adresser à plusieurs constructeurs, avec Urmet, il a toutes les solutions professionnelles et fiables à proposer aux syndics et aux membres des conseils syndicaux. A l’exception de quelques composants, tous nos produits sont fabriqués dans nos usines en France et c’est un confort pour les installateurs et les utilisateurs car c’est la garantie d’un suivi commercial personnalisé très réactif, d’une plateforme d’assistance technique téléphonique basée à Roissy, de formations régulières et presque sur mesure. Quels sont les choix technologiques à la disposition des syndics et des copropriétaires ? Pour la copropriété, au-delà de l’intégration dont je viens de parler, nous avons une réelle écoute des besoins. Nos gammes nous permettent de donner des choix très ouverts, en fonction des usages quotidiens. Notre particularité c’est que nous n’allons pas vous « obliger » à choisir une technologie car nous les maitrisons toutes, connectées ou non, avec ou sans fil, etc. Par exemple pour les caméras, nous avons des matériels wifi et d’autres IP, de même pour les claviers codés, les boutons, les ventouses. Et particulièrement sur l’interphonie, nous savons vous orienter sur le matériel qui va vraiment correspondre à votre immeuble. S’il y a plutôt des personnes âgées, ou par exemple un cabinet médical, des professions libérales, ou encore des familles, ou bien majoritairement des locataires, les choix en matière de sécurité ne seront pas forcément les mêmes. De même s’il y a déjà des équipements en place ou qu’il faut tout créer. Vous voudrez avoir aussi des investissements financiers plus ou moins importants, suivant le standing souhaité, où les services attendus. Vous aurez besoin plutôt de solutions connectées ou non pour gérer entre autres le renouvellement des noms ou des codes d’accès. Par exemple, pour ces trois prochaines années, si vous achetez des réalisations neuves Nexity ou Icade, vous aurez un interphone Urmet. Ces promoteurs nous ont fait confiance car ils veulent une solution ouverte, polyvalente et fiable. Ils veulent de la tranquillité ! Avec ou sans fil, tout dépend encore une fois des usages ou encore de la force du signal dans les zones concernées. Dans tous cas, vous avez accès à une technologie de pointe que ce soit sur votre smartphone ou les postes audio ou vidéo dans votre appartement. Bref, vous le voyez, nous sommes vraiment l’interlocuteur privilégié des copropriétaires et de leur syndic pour apporter une réponse rapide, adaptée et concrète et ne pas calquer une solution unique qui ne vous donnera pas satisfaction. Quels sont les outils d’information et d’aide à disposition ? Nous développons des app sur smartphone pour garantir aux résidents du confort de la simplicité d’utilisation de nos produits avec là aussi un choix unique ou intégré. Par exemple pour les caméras, on peut les piloter localement ou à distance, via l’app Urmet ou l’app Yokis si on a déjà une installation domotique dans l’appartement. Pas besoin d’installer deux applications différentes.. De même pour l’alarme avec notre système Zeno. Nous avons aussi développé de nouveaux services en ligne sur urmet.fr et yokis.fr pour bien informer les résidents et permettre aux syndics et aux membres du conseil syndical de faire des choix éclairés. Avec le configurateur gratuit Configurmet sur urmet.fr vous avez immédiatement en cinq clics un tarif en €TTC, hors pose, sur toutes nos gammes d’interphones. Notre chaine YouTube regroupe aussi de nombreux petits films très brefs pour expliquer quelques paramétrages simples, l’utilisation des app, et pour nos installateurs des tutos de réparations ou de configurations. Et puis il y a bien sûr l’irremplaçable contact humain, avec la possibilité de demander à votre interlocuteur commercial de venir vous montrer nos produits en réunion de conseil ou en AG. Pour les copropriétaires d’Ile-de-France nous vous accueillons aussi à Roissy et Ivry-sur-Seine où l’on peut tester le matériel fonctionnel et obtenir des devis.“
Il y a 4 ans et 178 jours

Visio-conférence : comment le e-commerce peut renouveler les pratiques du négoce ?

BATIACTU BUSINESS CLUB. Jeudi 17 décembre se déroulera une visio-conférence sur l'explosion du e-commerce et son impact sur les pratiques du négoce. Pour parler de ce sujet, trois acteurs de la distribution de bricolage et matériaux de construction - Point.P, Legallais et Mano Mano.
Il y a 4 ans et 178 jours

Camille Hugel, charpentière bois, participe à la promotion des métiers du bâtiment

À l’initiative de l’ensemble des fédérations professionnelles d’employeurs et des organisations syndicales de salariés, le secteur de la construction mène campagne sur le thème « La construction. Demain s’invente avec vous ». Pilotée par le CCCA-BTP, cette campagne nationale s’adresse aux jeunes pour leur faire découvrir la diversité et la richesse des métiers de la construction et leur donner envie de rejoindre le secteur, en s’y formant par l’apprentissage. Elle se déploie jusqu’au mois de mars 2021, autour de 6 films publicitaires diffusés à la TV et sur Internet, un plan média sur les réseaux sociaux, des partenariats avec des youtubeurs, un site Internet conçu pour répondre aux interrogations des jeunes et les accompagner dans leur orientation, notamment avec un moteur de recherche des formations en apprentissage aux métiers du BTP sur l’ensemble du territoire, un formulaire d’inscription, des fiches métiers, ou encore des témoignages de professionnels… Les 6 films pour vivre la construction de l’intérieur mettent à l’honneur six jeunes professionnels passionnés sur un chantier au cœur de l’action de leur métier. Pour visionner le film avec Camille Hugel, charpentière bois : https://vimeo.com/484519351/37ee617bfd www.laconstruction.fr  
Il y a 4 ans et 178 jours

Portrait : Hadrien Durand-Baïssas

Hadrien Durand-Baïssas (né en 1992) expérimente de nouvelles manières de créer et imagine des installations immersives qui nous plongent dans des univers enchanteurs. Rencontre. Après avoir travaillé pendant des années sur la figuration, à travers le dessin et la peinture, Hadrien Durand-Baïssas se consacre désormais à la conception d'installations immersives. Avec l’aide d’un logiciel de modélisation 3D, il imagine d'abord un décor mêlant sculptures, lumières et projections, dans lequel se dessine un parcours faisant de l’observateur le sujet central de la pièce. Une fois produites, ces installations immersives transcendent la réalité et évoquent des mondes fantasmatiques, témoignant ainsi d'un regain d'intérêt dans l'art contemporain pour le rêve. Muuuz : Quel est l'objectif de vos installations ? Hadrien Durand-Baïssas : Mes décors doivent ensuite prendre vie dans un lieu. Il s’agit d’aménager une salle telle qu’elle est représentée dans la modélisation 3D. Les lumières sont fabriquées à la main : composées par un ensemble de leds, de blocs d'acrylique et d’une puce de type arduino programmée pour réagir aux sons et aux mouvements des visiteurs. Si l’espace le permet, l’exposition pourra être organisée sous la forme d’un labyrinthe, un parcours ou une odyssée où le visiteur pourra voyager et interagir avec différentes installations, lumières et interactions dans une ambiance sonore adaptée. Quelle est l'atmosphère de tes installations ? Imaginez que vous vous promenez dans un rêve. Vous faites un reality check et vous réalisez que vous êtes conscient. Cependant, vos pieds sont bien ancrés sur le sol. Est-ce un rêve lucide ? Non, vous venez d’entrer dans un nouveau type d’exposition, celle d’une nouvelle génération, à mi-chemin entre une pièce de James Turrell, un brouillard d’Olafur Eliasson et un film de Christopher Nolan. J’essaie de réaliser les expositions que j’aimerais voir. Ce format interactif commence à être apprécié dans certaines villes, comme à New York où j’ai vécu pendant trois ans. À New York, dans des lieux comme la Artechouse ou le Zerospace, les limites entre art, technologie et réel deviennent floues.Pourquoi crées-tu des installations immersives ? J'aime le sentiment de vie. Tant que l'on est en mouvement, on est vivant. L'interaction est un principe qui n’a pas été suffisamment développé dans l’art. Aujourd'hui, avec tous les moyens dont les artistes disposent, il y a tant de possibilités qui s’offrent à nous, tant de combinaisons possibles dans ce monde en mutation. Je pense que nous sommes à l’aube de voir l’art profondément évoluer. Si un personnage du Cinquième élément ou de Blade Runner allait voir une exposition, je pense qu’il découvrirait des œuvres dans des décors immersifs hyper futuristes et très esthétiques. C’est en rêvant à expositions imaginaires que je crée des installations immersives qui plongent le spectateur dans des mondes envoûtants. Pour en savoir plus, visitez le profil Instagram et le site de Hadrien Durand-Baïssas.Visuels : © Hadrien Durand-BaïssasLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 179 jours

L’Anah adopte un budget de 2,7 milliards d’euros avec l'objectif de rénover 600.000 logements en 2021

Ce budget permettra d’accélérer la rénovation du parc privé, que cela soit au travers des aides traditionnelles de l’Agence ou de l’élargissement au 1er janvier 2021 de MaPrimeRénov’ à l’ensemble des propriétaires, occupants comme bailleurs, et des copropriétaires.Des objectifs 2020 en passe d’être atteints malgré la situation sanitaireEn 2020, l’Anah constate une activité dynamique sur l’ensemble de ses programmes, supérieure à celle de 2019 à la même période (+11%). Ces résultats témoignent de la mobilisation de l’ensemble du réseau de l’Anah, au siège comme dans les territoires, pour assurer la continuité du service public pendant les périodes de confinement. Ils démontrent aussi les attentes fortes des citoyens en matière d’amélioration de l’habitat.2,7 milliards d’euros et des objectifs renforcés pour l’amélioration du parc privéLe budget 2021 de l’Anah atteint pour la première fois les 2,7 milliards d’euros, notamment grâce aux crédits de France Relance. Ce budget inédit conforte l’Agence dans ses missions et va permettre l’accélération de la rénovation des logements, en lien avec la montée en puissance de MaPrimeRénov’, les évolutions du programme Habiter Mieux, l‘accélération du Plan Initiative Copropriétés et l’accompagnement des programmes Action Cœur de Ville et Petites Villes de Demain. Plus que jamais, il s’agit pour l’Anah de déployer ses aides afin d’améliorer les logements du parc privé, lutter contre l’artificialisation des sols, redynamiser les centres-villes et réduire les émissions de gaz à effets de serre. Des moyens supplémentaires sont alloués également à l’humanisation des centres d’hébergement avec une augmentation de 3 millions d’euros dans le cadre de France Relance, portant les aides à 11M€ en 2021.Au total, ce sont plus de 600 000 logements dont la rénovation sera financée par l’Agence.Evolutions de MaPrimeRénov’ et de Habiter MieuxDans le cadre de France Relance, MaPrimeRénov’ est élargie à l’ensemble des propriétaires et copropriétaires, favorise les rénovations les plus ambitieuses (primes pour les sorties de passoires thermiques et rénovations BBC) et finance désormais l’assistance à maîtrise d'ouvrage pour faciliter l’accompagnement des ménages. Par ailleurs, MaPrimeRénov’ Copropriété se substitue au programme Habiter Mieux Copropriétés pour devenir une aide collective unique, à destination de toutes les copropriétés engageant des travaux de rénovation énergétique permettant un gain énergétique d’au moins 35%. Cette évolution permet de créer un dispositif simple et accessible à l’ensemble des copropriétés.Afin de renforcer la lutte contre la précarité énergétique des ménages modestes et très modestes, le programme Habiter Mieux évolue également. Il subventionnera désormais jusqu’à 50% des travaux de rénovation énergétique permettant un gain d’au moins 35%, avec un plafond de travaux porté à 30 000€. Une prime pour les sorties de passoires énergétiques et un bonus pour les rénovations atteignant l’étiquette A ou B complètent le dispositif.Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée au logement : « L’amélioration de l’habitat est au cœur des préoccupations de nos concitoyens, comme en atteste le niveau d’activités de l’Agence. Cette forte dynamique se poursuivra en 2021, grâce à des moyens exceptionnels, mobilisés notamment grâce à France Relance. L’élargissement de MaPrimeRénov’, qui rencontre d’ores et déjà un succès grandissant, va permettre d’accélérer massivement la rénovation énergétique pour tenir les engagements climatiques de notre pays. Au-delà, c’est l’ensemble des missions de l’Agence qui sont confortées, ce dont je me félicite. »Thierry Repentin, Président de l’Anah : « Malgré la situation sanitaire, l’Anah sera, en 2020, une nouvelle fois au rendez-vous des objectifs que le gouvernement lui a fixé. En 2021, le budget dont bénéficie l’Agence lui donne les moyens de massifier les aides à la rénovation, en continuant d’apporter une attention particulière aux plusfragiles. Cela sera possible grâce à l’ouverture de MaPrimeRénov’ à tous les propriétaires, et à la mobilisation des territoires en faveur de l’amélioration de l’habitat dans le cadre des grands programmes nationaux tels que le Plan Initiative Copropriétés, Action Cœur de Ville, Petites Villes de Demain. »
Il y a 4 ans et 179 jours

Déchets du bâtiment : la REP sous haute surveillance

Déchets amiantés, relation avec les éco-organismes, réemploi… le salon Pollutec a été l’occasion pour les professionnels du Bâtiment, bientôt concernés par la mise en place d’une filière REP (responsabilité élargie du producteur) qui vise à organiser une reprise « gratuite » des déchets de chantier triés, de faire valoir leur points de vigilance.
Il y a 4 ans et 180 jours

Des restaurations bâclées du patrimoine culturel en Turquie suscitent l'inquiétude

La Tour de Galata, un monument emblématique d'Istanbul construit au 14ème siècle, est le dernier édifice dont la rénovation a fait l'objet d'une telle controverse. La démolition de l'un de ses murs au marteau-piqueur en août a été interrompue de justesse après la diffusion sur les réseaux sociaux d'une vidéo de cette scène qui a suscité l'indignation.Le ministre de la Culture, Nuri Ersoy, avait alors tenté d'éteindre la polémique en assurant que les travaux au marteau-piqueur avaient été menés sur des murs "ne faisant pas partie de la construction originale", tout en promettant des sanctions contre les responsables du chantier.Des mosaïques romaines endommagées par une restauration bâclée, du béton coulé au milieu d'un amphithéâtre antique, des citadelles historiques qui paraissent désormais flambant neuves: la liste des monuments mal rénovés s'est allongée ces dernières années.Pour Osman Köker, fondateur de la galerie Birzamanlar, un lieu d'exposition sur la diversité culturelle du pays, "une grossièreté" envers des édifices anciens, tendant à effacer les traces des minorités non-musulmanes, a toujours existé en Turquie.Profits avant toutPourtant, le tableau fut autrement plus reluisant au début des années 2000, à l'aube du pouvoir du président Recep Tayyip Erdogan, alors Premier ministre. "Dans le cadre des efforts pour l'adhésion à l'Union européenne, la restauration des monuments à haute valeur symbolique était alors privilégiée", explique M. Köker.Ainsi, en 2011, la restauration réussie de l'église arménienne d'Ahtamar, dans l'est de la Turquie, avait reçu de nombreux éloges.Mais l'éloignement d'Ankara de l'UE ces dernières années et le durcissement du pouvoir islamo-conservateur de M. Erdogan ont changé la donne, souligne Korhan Gumus, architecte spécialisé en protection du patrimoine."Les appels d'offres de rénovation ne sont désormais attribués par le gouvernement qu'à des groupes privilégiés. Ceux-ci ont instauré un monopole et voient les projets avant tout comme un moyen de générer des profits", déplore-t-il.Il impute ces dérives à "un système qui gère les rénovations uniquement par le biais des appels d'offres, sans réflexion préalable sur l'histoire ou l'environnement"."On se contente d'une restitution de l'original, ce qui donne des résultats caricaturaux. Or, les monuments comportent souvent des parties ajoutées au cours des siècles par différentes civilisations qu'il faudrait conserver", ajoute-il.Sollicité par l'AFP, le ministère de la Culture n'a pas réagi aux critiques.Décisions arbitrairesC'est Mahir Polat, directeur du Département de l'héritage culturel à la mairie d'Istanbul, qui a tiré la sonnette d'alarme sur la destruction au marteau-piqueur d'un mur de la Tour de Galata.La mairie, dirigée par une figure de l'opposition, a déposé une plainte, mais la demande de M. Polat d'inspecter le site a été rejetée par le ministère de la Culture, qui pilotait les travaux."Lorsque la restauration n'est perçue que comme une activité de chantier, on rate le but de conservation", estime M. Polat.Le tableau est aussi assombri selon lui par certaines "décisions arbitraires", qui court-circuitent les organismes en charge de la protection du patrimoine.Il dit ainsi avoir découvert en juillet qu'une fontaine historique à Uskudar, dans la partie asiatique d'Istanbul, avait disparu du jour au lendemain dans le cadre de l'élargissement d'une route.La municipalité du district, dirigée par le parti au pouvoir, avait décidé selon lui de "déplacer" la fontaine sans avoir obtenu les permis nécessaires."La valeur historique d'un monument n'a de sens que dans le lieu où il se trouve. Vous ne pouvez pas le transporter comme un objet quelconque". "On n'a d'ailleurs pas de nouvelles de cette fontaine depuis", ajoute-t-il.Pour Tugba Tanyeri Erdemir, chercheuse à l'Université de Pittsburgh, la Turquie privilégie "une mise sous domination du patrimoine culturel plutôt que sa conservation"."Nous l'avons vu avec les décisions de reconversion de la basilique de Sainte-Sophie et de l'église de la Chora", souligne-t-elle.La reconversion récente de ces édifices en mosquées avait suscité des inquiétudes sur le sort de leurs mosaïques byzantines."La mémoire d'une ville est intimement liée à son espace. Nous n'avons pas su vivre avec les édifices anciens dans le passé", déplore M. Polat. "J'espère que nous nous rendrons un jour compte que nous avons un trésor entre nos mains".
Il y a 4 ans et 180 jours

Sortie de crise en vue, mais perspectives très incertaines à court terme selon l'OCDE

L'Organisation de coopération et de développement économique a également légèrement corrigé son estimation pour 2020, mais à la hausse: le PIB mondial devrait finalement se contracter de 4,2%, contre -4,5% prévus lors de ses précédentes prévisions, en septembre.En revanche, les perspectives de rebond se sont assombries pour 2021. Car entretemps a déferlé la deuxième vague de Covid-19, qui a fait 1,46 million de morts depuis son apparition en Chine en décembre et continue à progresser rapidement dans certains pays, comme au Brésil où le PIB est attendu en hausse de 2,6% en 2021, après -6% en 2020.Même si le monde ne devrait pas retrouver son niveau d'avant-crise avant la fin de 2021, la croissance sera toutefois partout au rendez-vous l'année prochaine, selon les prévisions de l'OCDE: +3,2% aux Etats-Unis, +3,6% en zone euro, +7,9% en Inde et +8% en Chine.Pour 2022, l'OCDE table sur une croissance mondiale de 3,7%.En France, après une chute inédite de 9,1% de l'activité en 2020, la croissance devrait rebondir de 6% en 2021 et 3,3% en 2022.Les nouvelles sur le front du vaccin portent à l'optimisme. Lundi, le laboratoire américain Moderna a déposé une demande d'autorisation de son vaccin aux Etats-Unis, faisant espérer de premières vaccinations dès le mois de décembre."La perspective d'une sortie de crise s'est améliorée grâce aux (...) progrès réalisés dans la conception d'un vaccin efficace, mais les perspectives à court terme restent très incertaines, la reprise de l'activité étant de plus en plus hésitante", écrit l'OCDE.En effet, la recrudescence de l'épidémie "et les mesures d'endiguement mises en place ont freiné le rythme de la reprise mondiale, après l'effondrement de la production constatée dans la première moitié de 2020".Et cette tendance "devrait persister pendant un certain temps, étant donné les défis à surmonter, en termes de développement et de logistique, avant de pouvoir distribuer un vaccin à grande échelle dans le monde", prévient l'institution basée à Paris. Qui invite à ne pas se faire d'illusions: "vivre avec le virus pendant encore six à neuf mois au moins sera compliqué".Quant à la réponse macroéconomique, l'OCDE est sur la même ligne que le FMI: les politiques monétaires et budgétaires actuelles, expansionnistes, doivent être poursuivies, le moment n'est pas venu de serrer la vis."S'assurer que la dette est supportable ne sera une priorité que lorsque la reprise sera sur les rails" prévient-elle.
Il y a 4 ans et 180 jours

Calista, propriétée de CDC Habitat, revisite la résidence pour personnes âgées valides

Douze météoritesOuverts sur la lumière et dotés de jardins suspendus ou d'espaces privés extérieurs, les logements de la résidence Calista de Jacou jouent la carte de l'originalité.« J'ai souhaité créer comme des cabanes perchées sur des toiture-terrasse, et casser le monolithisme d'un immeuble classique, en fractionnant les volumes. On se situe entre la villa individuelle et le logement collectif », ajoute l'architecte.Chacune des douze « boîtes », « comme des météorites tombées de façon aléatoire », se caractérise par une variété spécifique de matériaux – parements en pierre, zinc ou bois.« Les résidents se sentent repérés. Ils peuvent dire, de l'extérieur, ‘j'habite là'. Les échos sont très positifs », explique joliment Jean-Luc Martineau. Tout en restant dans des coûts raisonnables de construction, car certains résidents bénéficient de loyers modérés.« Avec Amétis, nous avons beaucoup échangé pour trouver des systèmes techniques efficaces de construction. »Résidence Calista : un écrin accueillantUn salon commun offre la possibilité aux habitants d'échanger, autour d'une partie de cartes, ou de visionner ensemble la télévision. L'habitat se structure autour d'une ruelle intérieure piétonne et végétalisée.Les passerelles et coursives offrent des effets de contreplongées d'une qualité presque cinématographique. On est loin des batteries de logements exigus, destinés à des personnes âgées seules. Calista propose par exemple des T3, pour l'accueil de familles ou d'amis, ou, tout simplement, pour la vie de couple.Le secteur est par ailleurs bien équipé, avec un collège, des équipements sportifs, des espaces verts, des voies dédiées à la mobilité douce, des services publics et la proximité de la ligne 2 du tramway de la métropole montpelliéraine.Des châssis de très grands formatsProfils Systèmes a réalisé les menuiseries aluminium en partie haute. Ces grands châssis (8 mètres sur 3) ont été installés par la société Alutech, également située à Jacou. « Il ne s'agit pas de formats standard. Amétis nous a contacté, car ils ne trouvaient pas d'entreprises pour ce type de prestation. Les échanges ont débuté un an et demi avant le début du chantier, pour déterminer, entre autres, un type de verre rejetant les UV du soleil, et pour harmoniser le châssis par rapport aux traverses et aux meneaux. »De plus, des stores intérieurs motorisés à bandes verticales, parachèvent la bonne protection solaire des logements, tout en laissant pénétrer généreusement la lumière.« Les douze ensembles de la résidence Calista de Jacou ont été équipés de ces grands châssis, mais pas de façon identique. La prise de cote a été à chaque fois différente, avec des prises d'angles inédites, vu les formes trapézoïdales de la construction », souligne Josian Laux, responsable commercial d'Alutech.Les châssis ont chacun été posés d'un seul tenant, à chaque fois au second étage, après un transport très court (environ 1 kilomètre) entre le lieu de fabrication et le chantier. Le chantier ayant pris du retard, seulement trois sur douze ont pu être hissés à l'aide d'une grue. Neuf autres l'ont été avec des cordes, à la force des bras, « et avec le risque de frottement sur la façade », rembobine Josian Laux.Compliqué, mais gagné. Au final, Bruno Bidault, gérant d'Alutech, encense l'esthétique de Calista, « que l'on reconnaîtrait entre mille, avec ses habillages différents de façade».
Il y a 4 ans et 180 jours

« Avec MyPricer et l’EDI, la commande de nos clients part en fabrication en moins de 24h »

En novembre 2019, Picard Serrures, fabricant français de serrures et de portes blindées, a fait le choix de s’appuyer sur ELCIA pour déployer MyPricer et la commande dématérialisée (EDI) auprès de ses clients, pour gagner en efficacité et être plus réactif. L’objectif : leur offrir une solution de chiffrage 100% Web clé en main pour leurs devis, et simplifier le passage et le traitement des commandes. Mise en place, accompagnement, bénéfices : rencontre avec Julien MALIAR, Animateur Réseaux Installateurs agréés PICARD en France, Belgique et Suisse. Julien, voilà un peu moins d’un an que Picard Serrures a déployé MyPricer et l’EDI auprès de ses clients. Comment sont nés ces projets ? Cette décision est liée à la forte évolution des commandes de portes. Il y a 10 ans, nous recevions une cinquantaine de commandes de portes par mois pour la France. Aujourd’hui, rien que sur le mois de juin 2020, nous avons enregistré 650 commandes de portes ! Il fallait trouver une solution simplifiant le passage de commandes de nos clients, tout en nous permettant d’optimiser le traitement de ces commandes en interne. Avant MyPricer et l’EDI, nos clients nous transmettaient leurs commandes de portes par fax ou par e-mail. En interne, un traitement manuel était nécessaire pour enregistrer la commande sur le plan commercial, enregistrer et valider avec le client les données techniques de porte sur-mesure et enfin recevoir la confirmation de commande signée par le client. Tous ces échanges retardaient la mise en fabrication de plusieurs jours. Nous et nos clients pouvions perdre une semaine ! Avec MyPricer, notre objectif était d’accélérer ce process et de simplifier cette méthodologie pour éviter un goulot d’étranglement en interne. Pourquoi avoir choisi MyPricer et l’EDI ? Régis DIDIA, Chef de produit porte chez Picard Serrures, travaillait déjà avec ProDevis pour nos clients Menuisiers. Il a donc proposé ELCIA et sa solution MyPricer. La présentation de la solution de chiffrage nous a convaincu. Simple, pratique, qui puisse s’utiliser de partout : c’était vraiment la solution adaptée à notre cible de clientèle ! Justement, vous avez décidé de déployer MyPricer seulement auprès de certains de vos clients… Il faut savoir que nous avons trois grandes typologies de clients : notre réseau Installateurs Agréés PICARD (IAP), les Menuisiers et enfin les serruriers. Les Menuisiers utilisent déjà majoritairement ProDevis pour leur chiffrage. MyPricer s’adresse à tous nos clients mais principalement à notre réseau Installateurs Agréés Picard (IAP). Ils possèdent leur propre magasin sous enseigne Picard Serrures, nos serrures et produits sont présentés dans leur showroom, et certains produits Picard Serrures leur sont réservés. En tant que Responsable du réseau IAP, mon rôle est de m’assurer que leurs magasins fonctionnent bien, les aider à avancer tout en les formant. Les équiper de MyPricer entre dans cette logique. Est ensuite venu le moment de mettre en place MyPricer. Comment vous y êtes-vous pris ? Il y a d’abord eu un gros travail de la part de nos commerciaux. Aujourd’hui encore, beaucoup de nos clients nous passent commande par fax. Il a donc fallu les sensibiliser, leur faire comprendre que MyPricer est un outil pratique qui leur permet de gagner du temps, de faire leurs devis directement sur leur téléphone, d’être réactifs. Il y a ensuite eu une deuxième phase avec le Service Customer Success d’ELCIA. En novembre 2019, nous avons organisé un tour de France, avec trois rassemblements sur Marseille, Bordeaux et à Lyon, dans les locaux d’ELCIA. Marie-Anne FOSSIER, Customer Success Manager à ELCIA, était présente pour présenter MyPricer et faire des démonstrations en direct. Un vrai plus ! En complément de ces rendez-vous physiques, vous avez également mis en place un accompagnement de vos clients à distance… Oui, et la période de confinement a d’ailleurs été propice pour cela ! Nous en avons profité pour accélérer sur la formation à distance, en organisant notamment des webinars. Pas besoin de se déplacer, nous pouvions prendre le contrôle de leur PC à distance et leur expliquer clairement. Ensemble, nous avons créé leur compte sur MyPricer et simuler leur première commande de portes. L’idée était de leur montrer concrètement la simplicité d’utilisation de MyPricer. Certains de nos clients chiffrent des portes complexes. Ils ne trouvaient pas comment passer leur commande. Mais une fois la formation faite, ils ont reconnu que c’était très simple et pratique. C’est très important de prendre ces quelques minutes avec nos clients, car au final, cela leur permet de gagner un temps précieux. « Même s’il est 18h un samedi, que notre bureau d’étude est fermé et que le commercial n’est pas joignable, notre client a tout de suite ses informations sur MyPricer. Il n’attend pas et peut répondre à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier » Avez-vous rencontré des freins du côté de vos clients ? Certains de nos clients ne maîtrisent pas bien l’outil informatique. Nos installateurs sont des professionnels, excellents techniquement, qui maîtrisent leur métier à la perfection. Mais, à l’inverse, qui sont aussi capables de faire des devis et des factures à la main. Or, aujourd’hui, quand un client particulier achète une porte, il veut que tout soit professionnel. Il ne fera pas forcément confiance à quelqu’un qui lui envoie un devis fait à la main sur un bout de papier. Un devis précis, bien organisé, détaillé sera plus vendeur ! En plus, il permet de rappeler point par point toutes les caractéristiques du produit, les notions importantes, les couleurs… et ainsi éviter les oublis. Pour pallier à ce manque de connaissance informatique, les formations personnalisées étaient nécessaires. En complément, nous leur avons également envoyé un book de formation. Une petite bible dans laquelle ils peuvent trouver les réponses à leurs besoins. Quels sont les bénéfices de MyPricer pour vos clients ? La facilité de chiffrage. Avec MyPricer, ils peuvent faire leurs devis de n’importe où, sans avoir besoin de retourner à leur bureau ou d’appeler leur secrétaire. Ils peuvent dupliquer leurs devis de manière très facile, personnaliser leurs documents avec leurs logos ou certifications. MyPricer, c’est vraiment un outil utile et pratique pour eux, nécessaire pour leur développement. Le côté 100% Web de la solution aussi ! Ils ont une solution accessible via une URL, sans installation nécessaire. C’est un avantage conséquent pour nos clients pas tous informatisés : même en 3G ou en données partagées, ils peuvent facilement utiliser leur solution et chiffrer depuis leur téléphone ou leur tablette. Enfin, la simplification de leurs commandes. Ils n’ont plus besoin d’aller vérifier leur commande dans leurs e-mails, de l’imprimer, de la tamponner et de nous renvoyer la fiche de validation pour mise en fabrication. Avec MyPricer et l’EDI, ils n’ont plus rien à faire, c’est un gros gain de temps et de simplicité ! Et du côté de vos équipes internes ? L’EDI nous permet d’éviter la ressaisie manuelle des commandes de nos clients. Nous avons gagné en praticité et en réactivité dans le traitement des commandes de nos clients. Une fois qu’un client nous a passé sa commande, cette dernière part en fabrication en moins de 24h. C’est un temps précieux qui est gagné au niveau de la fabrication, et donc pour nos clients. S’il fallait résumer MyPricer et l’EDI en quelques mots ? C’est vraiment la simplicité de l’outil pour nos clients ! Avec MyPricer et l’EDI, cinq minutes leur suffisent pour passer leur commande. Autre point important : ils vont avoir accès en direct à toutes les informations importantes. Par exemple, beaucoup de nos clients appellent notre bureau technique pour connaître la perte de passage lorsqu’ils commandent une porte en rénovation. Avec MyPricer, ils remplissent directement les dimensions et obtiennent instantanément leur compte-rendu, avec notamment cette notion de passage. Cela peut sembler pas grand-chose, mais ce sont des informations très précieuses et utiles pour nos serruriers. Même s’il est 18h un samedi, que notre bureau d’étude est fermé, que leur commercial n’est pas joignable, le client a tout de suite son information sur MyPricer. Il n’a pas à attendre et peut répondre directement à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier. Cette réactivité est très importante ! Maintenant que la mise en place et la prise en main de vos clients sont lancées, quels sont vos objectifs ? Début 2020, 19% de nos commandes de portes ont été passées via MyPricer. Depuis que nous avons décidé d’accélérer le passage de commande via MyPricer, nous sommes passés à 36%. C’est une belle évolution ! Il faut continuer à promouvoir la solution auprès de nos clients, en poursuivant les formations, notamment sur le réseau IAP. L’objectif est d’avoir au moins 1 porte sur 2 commandées via MyPricer d’ici fin 2020, et 3 portes sur 4 d’ici 2021. MyPricer, la solution 100% web pour les devis et les commandes Destiné aux Industriels du secteur Menuiserie, Store et Fermeture, MyPricer leur permet de mettre à disposition de leurs clients Artisans non équipés, une solution « clé en main » pour créer leurs devis et passer leurs commandes. 100% Web, la solution est accessible grâce à une simple connexion Internet, depuis n’importe quel support (PC, tablette, Smartphone). Intuitif, MyPricer ne nécessite aucune installation ni formation. En rendant ses clients totalement autonomes dans leur chiffrage et le passage de commandes, l’Industriel gagne un temps considérable au quotidien, qu’il peut consacrer à son Service Clients et au développement de ses ventes. En plus de posséder un formidable outil de conquête et de fidélisation, l’Industriel bénéficie de la traduction en 7 langues (français, anglais, allemand, néerlandais, polonais, italien et espagnol) de MyPricer pour s’ouvrir à d’autres marchés internationaux. En savoir plus sur MyPricer : www.elcia.com/mypricer  
Il y a 4 ans et 181 jours

A Pollutec, l'Ademe au chevet des PME

L'ouverture du salon Pollutec, dans sa version digitale, a été l'occasion de débattre sur les enjeux de la territorialisation du plan de relance, notamment en matière de transition écologique, et du rôle que doit jouer l'Ademe dans l'accompagnement des porteurs de projets, notamment les plus petits.
Il y a 4 ans et 181 jours

Le Forum digital de l’Agencement

Rendez-vous du 7 au 11 décembre, tous les matins de 7h30 à 8h30 pour découvrir les émissions du Forum digital de l’Agencement, un événement des Équipementiers de l’Ameublement Français, en partenariat avec Eurobois et Bati-Journal.   Au programme :    1 plateau (depuis le studio TV de Bati-Journal), 5 jours, 5 vidéos animées par Stéphane Miget, des industriels et un agenceur témoin, des questions-réponses en direct.   Sujets abordés :   Lundi 7 décembre : L’habitat post-Covid 19 Mardi 8 décembre : L’hygiène et la santé Mercredi 9 décembre : Le Retail Jeudi 10 décembre : La productivité Vendredi 11 décembre : les réseaux sociaux   Pour consulter le programme et s’inscrire, c’est ici : http://solutions-agencement.com/forum-digital-agencement-2020
Il y a 4 ans et 181 jours

LE SOL CHAUFFANT ULTRA RÉACTIF THERMACTIF CHOISI POUR LE CHANTIER EXCEPTIONNEL DE LA SALLE DE TIR À L’ARC DE LA BELLERIE (37)

Pour cette réalisation hors du commun, une salle de tir à l’arc avec des cibles à 70 m, en extérieur et en intérieur, les architectes Bourgueil et Rouleau ont choisi la solution la mieux adaptée pour le chauffage de l’espace : le système complet de sol chauffant ultra-réactif Thermactif®.   Solution invisible, Thermactif® répondait en effet aux contraintes particulières du chantier : un chauffage sans brassage d’air pour ne pas perturber les trajectoires des tirs de flèches ; une haute réactivité pour s’adapter aux larges fluctuations d’affluence de la salle, entre la semaine et le week-end, et aux apports naturels de la baie vitrée sur toute la façade nord du bâtiment ; une installation discrète pour s’intégrer dans l’espace épuré de la salle.   Destinée à accueillir les entraînements de tir à l’arc Olympique, la nouvelle salle de La Bellerie à Saint-Avertin (37) a été conçue pour permettre aux sportifs de pratiquer dans toutes les conditions. Grâce à un système de portes vitrées sur toute la façade nord du bâtiment, il est possible de pratiquer le tir, avec des cibles à 70 m., en extérieur quand le temps le permet (de l’intérieur vers l’extérieur) et entièrement en intérieur si besoin. Pour respecter le cahier des charges strict d’une telle structure, tout en offrant un bâtiment moderne et agréable à pratiquer, le cabinet d’architectes Bourgueil et Rouleau (37) a imaginé un bâtiment carré, de 1 400 m², avec une toiture en dents de scie (toiture shed) et une façade nord entièrement vitrée, sur 3,5 m. de haut et 33 m. de large, qui permet de faire rentrer la lumière sans éblouissement pour les tireurs. L’été, la façade en verre s’ouvre, partiellement ou entièrement en fonction du nombre de tireurs présents, et permet de pratiquer en extérieur. Pour l’alimentation électrique du lieu, une installation de panneaux solaires en toiture est intégrée au projet. À ce jour, 200 m² sont déjà posés, à terme, c’est l’ensemble du toit (1 400 m²) qui pourra être recouvert et géré par l’équipement technique prévu à cet effet. Programmée pour une inauguration en janvier 2021, la salle de La Bellerie nécessitait un système de chauffage performant et peu énergivore compte-tenu de ses volumes. Pour répondre aux impératifs de cette installation exceptionnelle, le bureau d’études BET Project Ingénierie (37) s’est rapidement tourné vers la solution Thermactif® pour sa capacité à répondre à tous les impératifs du lieu, à la fois techniques (efficacité, réactivité, consommations, brassage de l’air…) et esthétique (aucune installation visible). Pour Nicolas Rouleau, Architecte DPLG en charge du projet : ’’la solution de chauffage par le sol est parfaitement adaptée pour ce type de bâtiment, nous recherchons souvent cette combinaison pour les salles de sport, à savoir une adaptation d’usage, sans brassage d’air, et d’esthétique. Pour la salle de tir de La Bellerie, nous voulions également respecter le rendu épuré du plafond qui s’étend sur 37 m. de portée sans soutien intermédiaire.’’ Association de matériaux ultra-performants (systèmes de tubes et de dalles affinés, chape liquide anhydrite THERMIO®+ à haute conductivité thermique…), Thermactif® assure une réactivité exceptionnelle à l’ensemble de l’installation : la montée en température est 3 fois plus rapide qu’un système classique.
Il y a 4 ans et 181 jours

Delta Dore parmi les finalistes des Trophées de l’innovation INPI 2020

Delta Dore, pionnière sur le marché de la maison et du bâtiment connectés, figure parmi les finalistes des Trophées de l’innovation INPI 2020 dans la catégorie Brevet. La PME rejoint ainsi la shortlist des 10 entreprises et centres de recherche qui concourent dans 4 catégories (Brevet, Marque, Design et Recherche) pour incarner l’innovation à la française et l’utilisation exemplaire de la propriété industrielle dans leur stratégie. Delta Dore développe, pour les particuliers comme pour les professionnels, des solutions connectées, accessibles et simples d’utilisation, qui répondent aux besoins de la vie quotidienne : gestion du chauffage, indicateur de consommation énergétique, pilotage des volets et éclairages, etc. Le groupe s’inscrit dans une dynamique de croissance et d’innovation depuis 50 ans, avec un budget recherche et développement qui représente 9 % du chiffre d’affaire. « L’innovation a toujours été au cœur de notre stratégie, explique Philippe Chouane, responsable brevets, cette nomination aux Trophées INPI est donc pour nous une reconnaissance nationale de notre activité inventive dans le domaine de la maison et des bâtiments connectés. Nous avons toujours pris le parti de protéger, grâce à des dépôts de brevets notamment, nos solutions et inventions techniques autour de la gestion énergétique. La propriété industrielle et sa gestion au quotidien font partie de nos priorités. Nous voulons valoriser en interne comme en externe le capital immatériel de l’entreprise. »
Il y a 4 ans et 181 jours

Photovoltaïque : le Sénat contre la rétroactivité

Le Sénat a rejeté à l’unanimité la remise en cause des contrats solaires antérieurs à 2011. Une dizaine d’amendements avaient été déposés pour appeler à la suppression de ce dispositif. Le SER et Enerplan, qui alertent depuis plusieurs semaines les pouvoirs publics sur l’iniquité de cette mesure, soulignent l’importance de ce rejet sans partage. Le Sénat envoie ici un message clair en manifestant son attachement à la parole de l’État et son refus d’une mesure présentée sans aucune étude d’impact. C’est la voie de la raison qui se manifeste ici, rappelant que l’on ne peut renier un engagement pris auprès d’une filière industrielle, et au-delà fragiliser durablement la dynamique de développement des énergies renouvelables en France, qui favorise l’activité et l’emploi local dans tous les territoires. Daniel Bour, Président d’Enerplan et Jean-Louis Bal, Président du SER, en appellent au Premier Ministre et demandent un rendez-vous.
Il y a 4 ans et 185 jours

Une adoption croissante des outils digitaux dans le secteur de la construction, une nouvelle normalité ?

Une étude récente réalisée par BIMobject auprès de plus de 2 500 professionnels du secteur AECO révèle comment la numérisation s’est accélérée dans le secteur suite à la crise de la COVID-19. 61% admettent que les outils numériques seront fondamentaux dans leur travail après la pandémie. La crise a bousculé les traditionnels canaux de commercialisation.   Depuis l’avènement de la pandémie, le monde a connu une avancée spectaculaire dans l’adoption de la numérisation jamais vue auparavant. Du jour au lendemain, des entreprises du monde entier ont été contraintes de mettre en place le télétravail, la vidéoconférence ou le commerce électronique afin de maintenir leurs activités. En ce sens, le secteur de la construction, l’un des plus traditionnels en termes de numérisation et d’adoption de nouveaux outils, n’a pas fait exception. Selon une étude réalisée par la plateforme de contenu BIM, BIMobject a recueilli les réponses de plus de 2 500 professionnels du secteur AECO (Architectes, Ingénieurs, Entreprises et Maîtres d’ouvrage), plus de la moitié d’entre eux déclarent que leur travail est devenu « beaucoup plus numérique » depuis le début de la pandémie.  Télécharger le rapport complet ici  Cette avancée dans l’utilisation des outils numériques par les professionnels du secteur, tels que les architectes et les ingénieurs, correspond aux chiffres enregistrés par Autodesk. Selon les propres données de l’entreprise, le nombre d’abonnés en Europe a augmenté de 350 % dans le monde depuis le début de la pandémie. Les salons professionnels de la construction post-COVID L’un des coups les plus durs que le secteur ait connu cette année a été l’annulation de multiples salons de la construction dans le monde entier. De Coverings à la Nouvelle-Orléans, le  Salon du Mobilier à Milan, BAU à Munich, BIMexpo à Madrid, au MIPIM à Cannes, ou encore Equip’Hotel à Paris. L’impossibilité d’organiser de grands événements, en raison des mesures de sécurité strictes mises en place par les différentes autorités sanitaires, a coupé court aux projets de milliers de fabricants de matériaux de construction qui prévoyaient de présenter et de promouvoir leurs nouveaux produits lors de ces salons. Les salons et les événements vont-ils revenir à la normale ? Les nouvelles récentes concernant le développement de nouveaux vaccins semblent éclairer un scénario qui s’annonçait plutôt sombre. De nombreux salons, comme la prochaine édition du BAU en 2021, transforment déjà leurs éditions en événements hybrides afin d’accueillir tous les participants, en personne ou virtuellement, tout en respectant les mesures de sécurité correspondantes. Cependant, selon l’enquête menée par BIMobject, seuls 7% des professionnels du secteur AECO seraient prêts à participer à un événement du secteur aujourd’hui. Selon les données recueillies, 45 % des personnes interrogées participaient à ces événements principalement pour assister à des conférences et des ateliers. Seuls 25 % des professionnels du secteur ont assisté à ces événements pour découvrir de nouveaux produits, ce qu’ils font maintenant principalement par le biais des moteurs de recherche en ligne. La numérisation fait son chemin dans le secteur de la construction, non seulement à cause de la COVID, mais aussi en raison de la nécessité de créer des processus plus efficaces et durables. Avec ces données, il appartient maintenant aux entreprises du secteur de décider comment réorienter leurs stratégies de marketing vers un environnement plus numérique et interactif.    Consulter le rapport complet ici  A propos de BIMobject / www.bimobject.com/fr BIMobject est une plateforme mondiale publiant les produits numériques de plus de 1 900 fabricants de la construction, de l’aménagement et du design. Le portail compte plus de 2 millions d’utilisateurs enregistrés et offre une gamme de solutions pour les fabricants, les propriétaires, les architectes, les concepteurs et les entreprises de construction. Si vous souhaitez des informations complémentaires, nous serons ravis de vous répondre elise.monot@bimobject.com
Il y a 4 ans et 186 jours

Les travaux de rénovation énergétique continuent-ils réellement pendant le reconfinement ?

Sur le terrain, tous les acteurs de la chaîne se mobilisent pour que cette poursuite de l'activité soit une réalité. Parmi eux, Hellio, spécialiste des travaux d'économies d'énergie pour l'habitat, du conseil à la réalisation, en passant par l'obtention des aides, met tout en œuvre pour maintenir la réalisation des chantiers à un rythme normal. Un enjeu qui a toute son importance puisque les travaux de rénovation énergétique sont placés au coeur du plan de relance.La période pourrait être propice : confinés chez eux, les Français peuvent mesurer l'importance d'un logement confortable, qui plus est à l'approche de l'hiver où les factures de chauffage risquent de s'envoler ! Mais qu'en est-il réellement ? Les demandes de travaux explosent-elles en cette période ou au contraire ralentissent-elles ? Les particuliers acceptent-ils cette fois d'ouvrir leurs portes aux artisans pour isoler leurs combles ou changer leur chauffage, contrairement au premier confinement qui avait suscité beaucoup de méfiance et d'inquiétude ?Pour répondre à toutes ces interrogations, Hellio a pris la température sur le terrain auprès de ses entreprises de travaux partenaires aux quatre coins de la France.Une activité quasi normale pour le secteur du résidentiel individuel mais des inquiétudes pour les mois à venirContrairement au premier confinement, les entreprises de travaux, qu'elles soient spécialistes de l'isolation ou du chauffage, n'ont subi aucun arrêt brutal de leur activité. Autorisées à travailler, elles ont parfaitement intégré le protocole sanitaire qui fait désormais partie de leurs habitudes, au même titre que leurs équipements de protection et de sécurité.Du côté des chantiers déjà programmés, ils se déroulent quasiment tous normalement, même si certaines entreprises ont quand même accusé une légère baisse de l'ordre de 10%, essentiellement au début du reconfinement ou pour la clientèle des personnes à risque.« A l'annonce du reconfinement, nous avons eu quelques rendez-vous annulés à la demande des particuliers qui préfèrent attendre la fin du confinement pour réaliser leur travaux », indique Pierre Le Mouhaer Marty, gérant de la société Habitat breton (35).« Nous ne sommes pas dans la même situation que la première fois car nous avons le droit de travailler. Les clients sont moins fermés, nous arrivons à travailler. Nous enregistrons quand même quelques reports de chantiers chez les personnes âgées, à la demande de leurs enfants qui nous interdisent l'intervention », témoigne Joël Maizel, gérant d'Isoltoit 2EF et Chauff&Vous (61).La situation est donc très différente du premier confinement qui avait vu bon nombre d'entreprises contraintes de mettre leur personnel au chômage partiel. Cette fois, les particuliers ne refusent pas les interventions, y compris lorsqu'elles impliquent de pénétrer au sein du domicile pour le remplacement d'une chaudière par exemple.Certaines entreprises relèvent même que cette période est plus propice à la réalisation de travaux de rénovation énergétique grâce au télétravail.« Les clients ont plus de disponibilités car ils sont en télétravail. Les gens profitent d'être chez eux pour penser à leurs travaux », précise Amaury Du Tertre, gérant de Logic Energy (63).En revanche, plusieurs artisans font part de leurs inquiétudes pour les mois à venir car du côté des visites techniques, la situation n'est pas aussi idyllique.« Je suis un peu plus inquiet pour l'avenir car beaucoup de particuliers demandent le report des visites techniques après le confinement. Mon visiteur technique n'est pas à plein rendement en ce moment », tempère Mehdi Kraiem, dirigeant de l'entreprise Isopro Nord Est (51).« Nous payons actuellement le premier confinement, le volume d'affaires actuel nous permet à peine de faire tourner l'entreprise, mais ne suffit pas. L'activité commerciale que l'on ne peut pas mener avec l'annulation des salons par exemple aura des répercussions sur les chantiers du début d'année 2021 », s'inquiète Laurent Garrido, PDG de DER Développement et Énergies Renouvelables (16).« Pour les particuliers, c'est presque plus facile d'intervenir car ils sont chez eux », constate Alexis Delacommune, directeur d'ERTI – Etudes Réalisations de Travaux d'Isolation (75).Une activité en baisse pour l'habitat collectifEn revanche, le secteur de l'habitat collectif se heurte à davantage de difficultés.La plupart des assemblées générales en copropriétés n'ont pas lieu en présentiel du fait du confinement lié au COVID-19 et le format digital n'est pas perçu comme une solution de remplacement efficace. Ces reports empêchent ainsi la prise de décision de faire des travaux. Sur les mois de septembre à décembre, Hellio constate que le nombre de chantiers acceptés a été divisé par deux alors que cela devrait être une période de relance et de décision sur des chantiers d'isolation. Cette tendance devrait s'inverser très rapidement dès que la reprise des assemblées générales en présentiel sera rendue possible.Un impact mesuré des dernières annonces gouvernementales concernant MaPrimeRénov'L'ensemble des artisans sont unanimes pour déclarer qu'il est encore trop tôt pour évaluer l'impact des dernières annonces gouvernementales, qui ne sont pas encore ancrées dans les esprits. Les entreprises ont besoin de temps pour s'approprier les nouvelles modalités du dispositif de MaPrimeRénov' ; et les particuliers pour assimiler l'information avant de se lancer dans les travaux.Ce qui est certain c'est que les professionnels ressentent un besoin de leurs clients pour la prise en charge de ces démarches, longues et chronophages.« Les personnes font appel à notre groupe car nous nous occupons de toutes les démarches. Si les clients devaient gérer eux-mêmes les demandes pour MaPrimeRénov' et les Certificats d'Économies d'Énergie, ils ne le feraient pas. Notre objectif est d'apporter des solutions clés en main », souligne Fabrice Genet, directeur du service isolation et chape du Groupe Vinet (86).« L'ouverture de MaPrimeRénov' à tous les ménages est un vrai levier mais tout l'enjeu repose sur notre savoir-faire et notre capacité à accompagner le client dans le montage et le pilotage des dossiers, de l'inscription jusqu'à la bonne réception des aides, et dans l'idéal avancer les primes pour éviter que le particulier avance les frais », ajoute Christophe Lhomet, gérant de la société Isol&Moi (37).« Nous nous rendons compte qu'un partenariat avec un mandataire proactif, disponible et joignable comme Hellio est primordial pour la réactivité de création des offres clés-en-mains pour nos clients », conclut Amaury Du Tertre.
Il y a 4 ans et 186 jours

Le moral des ménages français au plus bas, un frein de plus à la relance

"Les ménages sont beaucoup moins optimistes sur leur situation financière future" et la proportion de ceux "estimant qu'il est opportun de faire des achats importants baisse fortement", a constaté jeudi l'Institut national des statistiques et des études économiques (Insee).Par rapport à octobre, l'indicateur qui reflète la confiance des ménages perd quatre points et tombe à 90, la moyenne de longue période étant de 100.La population est devenue beaucoup plus pessimiste concernant l'évolution de son niveau de vie, le solde d'opinions négatif, c'est à dire anticipant une dégradation, atteignant -65 en novembre, contre -46 en septembre et -25 sur une moyenne de longue période.En avril, lors du premier confinement, le moral des ménages n'avait chuté qu'à 95 points, alors même que l'activité avait freiné d'environ 30% contre seulement 13% prévus par l'Insee pour le mois de novembre.Mais de l'avis général, la crise sanitaire dont on pouvait espérer une sortie rapide au printemps, ne pourra pas être surmontée au cours des tout prochains mois, même avec l'arrivée sur le marché de plusieurs vaccins."On s'attend maintenant à ce que l'économie et la situation sanitaire aient partie liée au moins jusqu'à la mi-2021", déclarait la semaine dernière Julien Pouget, responsable du département conjoncture de l'Insee.Aussi le gouvernement a-t-il ramené de 8% à 6% sa prévision de croissance pour l'an prochain, après une récession sans précédent de 11% attendue en 2020.Peur du chômageAutre mauvais signe pour la consommation et la reprise de l'économie, "la part des ménages estimant qu'il est opportun d'épargner augmente à nouveau", alors que les Français devraient accumuler cette année environ 100 milliards d'euros d'épargne supplémentaire, soit l'équivalent des dépenses prévues pour le plan de relance.Mais pour que ce bas de laine, détenu selon l'OFCE à 70% par les 20% de ménages les plus aisés, soit dépensé ou investi dans l'économie productive, il faut que la confiance soit de retour, or celle-ci paraît avoir été plus entamée par le deuxième confinement que par le premier, même si la réouverture des commerces le 28 novembre et la période des fêtes de fin d'année devraient relancer la consommation.L'un des principaux freins à cette confiance est la crainte du chômage, qui atteint ainsi son plus haut niveau depuis juin 2013, en augmentation de quatre points par rapport à octobre, rapporte encore l'Insee.Tandis que des grands groupes comme Danone, Sodexo ou IBM ont annoncé ces derniers jours des coupes dans leurs effectifs, une entreprise de taille intermédiaire (ETI) sur trois prévoit de réduire les siens au cours des trois prochains mois, selon une enquête publiée mercredi par leur organisation professionnelle, le METI.Et si les dispositifs de soutien aux entreprises et à l'emploi ont permis jusqu'ici d'éviter une explosion des licenciements, la situation pourrait se dégrader si le soutien budgétaire n'est plus au rendez-vous, a mis en garde l'assureur-crédit Euler Hermes dans une étude selon laquelle une entreprise européenne sur quatre court un "risque de trésorerie" en 2021.Mais la poursuite de ces soutiens, qui en 2020 coûteront 34 milliards d'euros pour le chômage partiel et 20 milliards pour le Fonds de solidarité, implique un creusement encore plus important du déficit de l’État, alors que la dette publique devrait atteindre 120% du produit intérieur brut (PIB) cette année.