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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

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Il y a 4 ans et 199 jours

Lorenove Grands Comptes participe au salon virtuel de l’ARC

C’est en distanciel que se tiendra la 12ème édition du salon indépendant de la copropriété. Du lundi 16 novembre en après-midi au lundi 20 novembre au matin, les visiteurs et adhérents de l’ARC pourront déambuler dans les allées virtuelles de l’Espace Charenton pour se rendre dans les salles de conférences, d’atelier et de débat, dans la librairie ou sur les stands des exposants. Dans ce contexte particulier, les équipes de Lorenove Grands Comptes ont préparé les outils nécessaires à ce rendez-vous digital. Une landing page a notamment été conçue : http://bit.ly/Lorenovecopro  Entité du Groupe Lorillard, entièrement dédiée à la copropriété, Lorenove Grands Comptes possède une expertise unique en matière de rénovation d’immeuble de copropriété. En qualité d’expert, au fait des nombreuses problématiques que peuvent rencontrer les copropriétaires, Lorenove Grands Comptes proposera une conférence en ligne le mercredi 18 novembre 2020 à 15 h pour présenter sa solution d’achats groupés de menuiseries en copropriété. L’accès à cette conférence se fait un clic via le portail du salon :  https://salon-copropriete-arc.fr/ Le programme d’achats groupés est un service que propose Lorenove Grands Comptes à l’ensemble des copropriétaires afin de faciliter leurs démarches liées au changement des menuiseries et volets roulants. Ce programme comprend l’étude du projet, la fabrication et la pose des fenêtres, des portes-fenêtres et/ou des volets roulants. Le principe de l’achat groupé est simple : les copropriétaires souhaitant changer leurs fenêtres, s’unissent derrière leur conseil syndical, afin de bénéficier d’une étude personnalisée permettant d’obtenir de la part de Lorenove Grands Comptes, des prix très attractifs. Les produits proposés, en parfaite adéquation avec les besoins identifiés et spécifiques à la copropriété, sont ensuite validés par le conseil syndical. En pratique, Lorenove Grands Comptes intervient en lien avec le conseil syndical en initiant le projet de concert : définition du programme, élaboration du cahier des charges des produits, options individuelles, type de pose etc. Une fois le cahier des charges validé, les équipes de Lorenove Grands Comptes génèrent un bordereau unitaire, correspondant à un prix unitaire pour chaque typologie de fenêtre, prix valable pour toute la copropriété. Puis, ils élaborent un recensement précis permettant de dégager le volume de fenêtres à poser, tout en assurant le relai de communication et en fédérant les copropriétaires autour du projet. Par la suite, ils se chargent de la transmission du planning, la gestion de l’ensemble des devis, la facturation, les rendez-vous et la relation directe avec les copropriétaires. Contractuellement, un accord individuel est conclu directement avec chaque copropriétaire participant à l’achat groupé, sans autre intermédiaire. Le conseil syndical se décharge ainsi de toute la dimension opérationnelle, ou peut faire le choix, s’il le souhaite (ce qui est très rare dans la pratique), de s’impliquer dans la gestion de la facturation. Le contexte sanitaire actuel tend à faire naître de nouvelles manières de travailler et de communiquer. Pour cette édition inédite du salon de l’ARC, Lorenove Grands Comptes s’est équipé d’un tout nouveau site de présentation où il est désormais possible de prendre contact avec l’équipe pour un étude gratuite et personnalisée. Lieu d’échange où la marque a toujours été sollicitée pour ses conseils et les services qu’elle propose, le salon de l’ARC reste le rendez-vous privilégié des responsables de copropriétés, des prestataires et fournisseurs de biens et de services liés à la copropriété.
Il y a 4 ans et 199 jours

Grand Prix Entreprise catégorie « Toiture – Couverture » : le savoir-faire Edilians distingué au concours du Geste d’Or 2020

La 10ème édition du concours du Geste d’Or*, association mettant à l’honneur les actions valorisant le patrimoine bâti, s’est déroulée à la Société d’encouragement pour l’industrie nationale à Paris fin Octobre. Le Jury a attribué à EDILIANS, leader en France de la tuile terre cuite et créateur de solutions durables pour la toiture, le Grand Prix Entreprise dans la catégorie « Toiture – Couverture » pour trois de ses réalisations. Chaque année, le concours du Geste d’Or, ouvert aux maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre et entreprises, récompense les réalisations remarquables du patrimoine sur plusieurs critères tels que le respect environnemental, la gestion sociale et l’ingénierie financière. Il met en valeur non seulement « l’héritage », mais aussi son adaptation au présent, et les constructions à venir. Lors de la dernière édition, EDILIANS a reçu le Grand Prix Entreprise, dans la catégorie « Toiture – couverture » pour trois de ses réalisations : . Village Alzheimer à Dax (Landes) Le premier village Alzheimer en France s’inspire de l’architecture landaise et privilégie les matériaux typiques de la région. Pour y parvenir, l’équipe de maîtrise d’œuvre franco-danoise, composée de Champagnat & Grégoire Architectes et Nord Architects, a recréé un véritable village landais dans lequel la tuile Aquitaine Poudenx d’EDILIANS contribue à rappeler les bastides à l’ancienne typiques de la région. Tous les bâtiments du village font en effet écho au style architectural landais tant au niveau des couleurs que des matériaux choisis. Cette volonté conjointe du Conseil Départemental et des architectes d’utiliser des produits locaux se retrouvent aussi bien dans le bardage que dans l’ossature bois des maisonnées et de la Bastide réalisés en pin des Landes. Mais elle se voit surtout dans les toitures recouvertes de tuiles Canal traditionnelles. Caractéristique de la région, le coloris Paysage a aussi été une évidence car cette teinte référence de la tuile Aquitaine Poudenx se retrouve souvent dans les constructions locales. De la Bastide aux 16 maisons en passant par les locaux techniques, 12.000 m2 de tuiles Aquitaine Poudenx ont été posées à joints droits avec rives à rabat, à raison de 11 tuiles au m2, avec une pente de toiture de 35%. Au préalable, toutes les toitures ont été protégées par un écran de sous- toiture AERO 2 HPV d’EDILIANS. . Abbaye Sainte-Madeleine, Le Barroux (Vaucluse) Pour mieux accueillir les fidèles, les moines de l’Abbaye Sainte-Madeleine ont fait réaliser des travaux de rénovation et d’extension. La couverture de ces nouveaux bâtiments a été réalisée en tuiles Canal traditionnelles et en tuiles Canal Réabilis Domitia d’EDILIANS reproduisant les effets du temps et offrant ainsi une homogénéité avec les toitures existantes. . La Cité des Chambelles à Nantes (Loire Atlantique) En 2016, Nantes Métropole Habitat lançait un appel d’offre pour rénover la Cité des Chambelles à Nantes. Construits dans les années 30 sur le modèle de la cité jardin, les bâtiments, jugés vétustes, étaient destinés à la démolition. Le cabinet d’architecture HUCA s’est vu confier la mission de construire 57 nouveaux logements collectifs et 3 maisons individuelles avec des performances énergétiques élevées et un faible impact environnemental. Pour couvrir la toiture et le bardage des façades, c’est la tuile petit moule à pureau plat Beauvoise Huguenot d’EDILIANS qui a été retenue en deux finitions, Vallée de Chevreuse et Terre de Beauce. En toiture et en façade, la tuile apporte une dimension à la fois traditionnelle et audacieuse à la réalisation. Cette distinction illustre la capacité d’EDILIANS à s’inscrire, grâce à une large gamme de solutions toiture, dans la valorisation du patrimoine de tous les types de projets architecturaux en neuf comme en rénovation. * Geste d’Or est une association indépendante et transversale, intervenant pour la valorisation du Patrimoine Bâti. Présente partout en France, elle est composée de six collèges et regroupe des personnalités qualifiées, représentatives des différentes parties prenantes du secteur : architectes, ingénieurs, compagnons, entreprises de toutes tailles, élus… http://www.edilians.com
Il y a 4 ans et 199 jours

Le coût du "chantier présidentiel" du château de Villers-Cotterêts débattu à l'Assemblée nationale

Tandis que certains députés d'opposition jugent le projet "disproportionné", l'entourage de la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, souligne auprès de l'AFP "le niveau de délabrement" du site, un "scandale patrimonial"."C'est la première fois sous la Ve République qu'un président de la République place son +grand chantier+ hors de Paris", contrairement au Centre Pompidou, au Grand Louvre, à la BNF ou au Musée du Quai Branly, insiste-t-on rue de Valois.Dans l'hémicycle, la députée LR Valérie Bazin-Malgras, bien que "réjouie" par la "rénovation de ce château Renaissance", s'est dite "frappée de la disproportion des moyens qui lui sont consacrés"."Cela sème le doute sur l'ambition initiale de ce grand projet présidentiel", a-t-elle jugé lors de l'examen du budget 2021 du ministère de la Culture."Le projet envisagé apparaît aujourd'hui assez disproportionné à un moment où chacun est invité à revoir ses ambitions à la baisse", a abondé Frédérique Dumas, du groupe Libertés et Territoires."Ce n'est pas parce que les travaux dérapent, mais parce que les financements privés et le mécénat ne sont pas au rendez-vous, ce que l'on peut comprendre", en cette période de crise, a nuancé le député LR Gilles Carrez.Dans un rapport parlementaire, Gilles Carrez précise que la prise en charge de l'Etat s'alourdit en raison "de travaux non prévus initialement, dont 60 millions d'euros pour la réfection de la cour et le clos et couverts des espaces appelés à accueillir des activités privées"."Aucune contribution de mécénat n'a pu être mobilisée, alors que 25 millions d'euros étaient attendus à ce titre", ajoute-t-il.Pour l'entourage de Mme Bachelot, ce projet est "un acte très fort de déconcentration" et pour la francophonie."Il est certain que c'est une somme très importante, qui reflète l'engagement présidentiel pour le sujet", poursuit-il. "Cet important chantier de restauration répare un véritable scandale patrimonial: l'abandon par l'Etat, propriétaire du château depuis 1794, de ce témoin majeur de l'Histoire et de l'architecture française."M. Macron avait annoncé en 2018 son souhait de faire du château de Villers-Cotterêts, château royal du XVIe siècle bâti par François Ier, un "laboratoire" de la francophonie.C'est dans ce château qu'a été promulguée en 1539, l'ordonnance de Villers-Cotterêts qui a rendu l'usage de la langue française obligatoire dans tous les documents officiels.
Il y a 4 ans et 199 jours

RIOU Glass soutient la demande de l’UFME et du SNFA faites au gouvernement

L’UFME et le SFNA ont adressé une lettre ouverte au gouvernement afin de lui faire part de son désaccord quant à la fermeture des salles d’exposition et magasins de menuiserie, dénonçant une concurrence déloyale avec les distributeurs, les négoces et grandes surfaces de bricolage ouverts aux professionnels et au grand public. Membre et partenaire de l’UFME et du SFNA, RIOU Glass a apporté son soutien à l’action menée par ces deux organisations représentatives et à la demande légitime qu’elles ont formulées au Premier Ministre Jean Castex, à la Ministre Déléguée au Logement Emmanuelle Wargon et au Ministre de l’Économie Bruno Lemaire, à savoir d’autoriser la réouverture des salles d’exposition et magasins dans le strict respect des mesures sanitaires. La menuiserie française est une filière d’excellence. Fermer ces magasins spécialisés de menuiserie, quincaillerie ou vitrerie, c’est à nouveau pénaliser l’ensemble de la filière déjà durement éprouvée par la première vague de la pandémie. Leur réouverture est indispensable pour garantir les carnets de commande. L’ouverture des négoces et grandes surfaces de bricolage ne favorise de surcroît pas la vente et la mise en œuvre des produits à hautes performances énergétiques qui répondent aux ambitions environnementales que le gouvernement s’est fixé. Pire, elle encourage l’importation de fenêtres de moins bonne facture fabriquées en dehors de notre territoire national. Photo : RIOU Glass
Il y a 4 ans et 199 jours

Participez aux Trophées de la chaux !

Ciments Calcia et Socli viennent de lancer la seconde édition de leur concours biennal récompensant les chantiers exemplaires réalisés à base de chaux hydraulique naturelle. Ouvertes à toutes entreprises et artisans maçons spécialisés dans les domaines de la restauration et/ou de l’éco-construction, les candidatures peuvent être déposées dès à présent et jusqu’au 15 mars 2021. Il s’agit de présenter un chantier réalisé en France entre le 1er janvier 2019 et le 15 février 2021, avec au moins un produit de la gamme chaux Socli ou Ciments Calcia. Outre l’aspect descriptif de la réalisation expliquant la technicité de mise en œuvre, l’emploi de solutions innovantes, rares ou complexes, la prise en compte de l’environnement et des conditions de sécurité sur chantier, les participants devront également fournir une dizaine de photos au format numérique illustrant l’ouvrage avant/pendant/après. Le jury chargé de départager ces “chantiers d’exception” se composera d’un architecte des Bâtiments de France, un représentant de la Fondation du Patrimoine, un représentant d’une organisation professionnelle du BTP et un journaliste du secteur Presse Construction. Quant aux 3 lauréats, ils se verront remettre leur Trophée, à l’issue d’un grand oral final, lors du Salon International du Patrimoine Culturel 2021, avec des dotations d’une valeur de 5.000 euros pour le premier, 3.000 euros pour le second et 2.000 euros pour le troisième. Dossier d’inscription et règlement à télécharger sur ciments-calcia.fr et socli.fr, rubrique « Les Trophées de la chaux ». A retourner de préférence par email: mbenoist@ciments-calcia.fr ou par voie postale à à la Direction Marketing Communication de Ciments Calcia/Socli – Muriel Benoist – Les Technodes – 78 931 Guerville Cedex
Il y a 4 ans et 200 jours

Layher, 75 ans et toujours tourné vers l’avenir

Eric Limasset, président de Layher France, présente l’Uni-Safe. [©ACPresse] L’année 2020 a été particulière à plusieurs niveaux pour Layher. Déjà, l’échafaudeur allemand fête ses 75 printemps. Avec 27 M de ml de tubes d’acier produits chaque année, une présence sur 5 continents et 2 000 collaborateurs, le groupe a su traverser les âges et rester innovant. Pour preuve, Layher France, premier client du groupe, avait présenté pas moins de quatre nouveautés produits à l’occasion du dernier Batimat. Puis, dès mars 2020, la crise sanitaire et le premier confinement mettent en pause le monde du bâtiment et de nombreux secteurs. Si la filiale française a dû réduire ses activités, elle est tout de même restée opérationnelle. « Notre siège et nos dépôts étaient ouverts sur rendez-vous, explique Eric Limasset, président de Layher France. Et près de 40 % de notre masse salariale était en chômage partiel. Puis, les chantiers sont repartis assez tôt. La 2e quinzaine d’avril, 90 % de nos activités bâtiment avaient repris. » Entre innovation et formation Les secteurs de l’industrie, de l’événementiel ou de l’aéronautique restent encore peu dynamiques pour Layher France. Pour le moment, l’échafaudeur tient ses objectifs. « Nous avons beaucoup performé en vente. Nos clients ont profité des aides pour renouveler ou acheter leur matériel. A voir comment les entreprises vont être affectées sur les mois d’octobre, novembre et décembre. Et quelles conséquences sur nos activités ? » L’équipe française reste confiante pour 2021. « Il faut redynamiser nos façons de travailler. Nous investissons en temps sur l’innovation et pour prendre de nouvelle part de marché… » Un état d’esprit mis en pratique dès le début du confinement. En effet, à travers sa filiale Layher Formation, l’industriel a mis en place des formations à distance. Au total, les 50 webinaires ont permis de réunir près de 3 000 participants. Cette formule pourrait être pérennisée, quand cela est possible, dans le cadre de préparation de stage. Puis, fort de son partenariat avec le Sfece (Syndicat français de l’échafaudage, du coffrage et de l’étaiement) au lycée professionnel de la Rochette, Layher France compte accompagner l’ouverture de nouvelles classes d’échafaudeurs en 2021 dans tous les lycées spécialisés dans les métiers du bâtiment. Et ce, grâce à un accord avec le ministère de l’Education nationale sur un projet de Mention complémentaire. « Les entreprises ont du travail, mais il y a toujours un problème de ressource, de main-d’œuvre. La formation et l’accompagnement des jeunes sont un moyen d’y répondre. » Aussi, durant le mois d’avril, Layher France a travaillé sur la traduction de ses solutions sur Revit. Et depuis septembre, l’industriel est passé en “FullBIM”. Il a déjà réalisé cet été l’intégration du chantier Rollercoaster de Disneyland Paris avec cette technologie. Solution de protection collective Autre avancée vers la digitalisation de la profession, Layher France s’est doté depuis septembre d’un nouveau service de relevés par drone. « C’est un moyen de modéliser les chantiers, d’avoir un rendu précis et d’optimiser le temps de préparation du plan de calepinage. Cela permet aussi de ne pas ramener du matériel inutile. Ce service s’adapte très bien aux Monuments historiques. » Enfin Layher France lance un nouveau produit : l’Uni-Safe. Imaginée pour le marché de l’échafaudage, la solution répond au montage pour la Protection collective. Elle se compose de montants, de lisses, de garde-corps d’extrémité plus légers et de boîtiers comportant deux clips rouges, permettant de relier les éléments les uns aux autres. Ce système de clips en crochets de sécurisation permet un montage et un démontage sans outils et par une seule personne. Uni-Safe est plus compact qu’un matériel classique. Et nécessite un volume de logistique divisé par deux et moins d’espace de stockage sur chantier.
Il y a 4 ans et 200 jours

La marque française Technal célèbre ses 60 ans

Un esprit visionnaire insufflé par son fondateur André Bos, créateur en 1963 du profilé rainuré « 4114 » qui a bâti la « success-story » TECHNAL. Marque de référence dans le monde de l'architecture et du bâtiment, et également chez les particuliers, TECHNAL est reconnue à l'international pour la qualité et la performance de ses solutions. Des menuiseries innovantes, design et gages de confort pour les utilisateurs qui vivent en harmonie, reflets de son ADN. Sa proximité avec l'ensemble des professionnels, son sens du service, son écoute… sont également des valeurs fondatrices et fédératrices que TECHNAL s'attache à perpétuer. À la recherche de l'excellence, elle s'appuie sur l'engagement et la passion des femmes et des hommes pour l'atteindre.60 ans d'innovation et de designInnover, en imaginant des choses simplement mais différemment, telle est la philosophie de TECHNAL. Un esprit pionnier, nourri par la marque, pour toujours conserver une longueur d'avance.* Véritable apporteur de solutions, TECHNAL est à l'origine de nombreuses avancées technologiques aujourd'hui démocratisées. Du coulissant épuré et performant GK considéré, dès sa commercialisation en 1975, comme la « Rolls des baies coulissantes » à la première véranda à tubulure du marché baptisée JADE en 1993, en passant par le lancement de la gamme de fenêtres universelles SOLEAL en 2007, le premier coulissant à ouvrant caché LUMEAL en 2009, la fenêtre anti-bruit active en 2015 ou plus récemment la fenêtre climatique en 2017… Créatrice de tendances, la marque a fait évoluer l'offre de finitions : le blanc laqué TECHNAL, les collections EXCLUSIVES aux tonalités texturées et en 2019 les couleurs « Regards d'architectes » en collaboration avec ALAIN MOATTI et KENGO KUMA. TECHNAL a également été précurseur en communication. Elle a par exemple été la première marque dans le secteur de la menuiserie à être présente en télévision dès 1987.60 ans de passion pour l'architectureANDRÉ BOS a noué très vite des relations étroites avec les architectes. Cela a débuté avec des documentations complètes que les commerciaux leur remettaient en mains propres à travers la France. En 1987, TECHNAL franchit un nouveau cap en confiant la réalisation de son stand BATIMAT à un architecte de renom. DOMINIQUE CHÂTELET, JEAN NOUVEL, JEAN-MICHEL WILMOTTE, NORMAN FOSTER, FRANÇOISE-HÉLÈNE JOURDA, JACQUES FERRIER, NICOLAS MICHELIN, KENGO KUMA, STEFANO BOERI…, la collaboration se poursuit depuis 33 ans.En 2002, le lancement du PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL est l'occasion de valoriser la coopération entre les architectes, les maîtres d'ouvrage, les fabricants-installateurs et l'industriel.Pour poursuivre et renforcer son histoire avec les prescripteurs, TECHNAL lance fin 2018 sa communauté « Club 4114 ». Au programme : échanges d'expériences, inspirations et amour pour l'architecture. En 2019, le concours international WORLD ARCHITECTURE TECHNAL AWARDS (WATA) marque d'une nouvelle pierre blanche l'histoire de TECHNAL. Il confirme le rayonnement de la marque française, reconnue au-delà des frontières pour son savoir-faire et ses solutions en aluminium conjuguant design et confort de vie.
Il y a 4 ans et 201 jours

Les salons Batimat, Idéobain et Interclima repoussés en octobre 2022

Les organisateurs du Mondial du Bâtiment revoient le format et la date de l’évènement repoussé du 3 au 6 octobre 2022 et qui se déroulera à la Porte de Versailles.
Il y a 4 ans et 201 jours

Liebherr ne participera pas à Intermat

Stand Liebherr sur l’édition 2018 d’Intermat – World of Concrete Europe. [©ACPresse] De Bauma à MinExpo Las Vegas, Liebherr est un habitué des salons professionnels. C’est donc avec un profond regret que le groupe allemand vient d’annoncer qu’il ne participera pas à la prochain édition d’Intermat World of Concrete Europe. Cette décision fait suite à plusieurs concertations en interne. En l’état actuel des choses, Liebherr estime que la situation sanitaire ne permet pas de se projeter dans l’événement à venir. Toutes les divisions du groupe sont concernées par cette décision officielle. Pour l’heure, le prochain rendez-vous “béton” majeur programmé est World of Concrete Las Vegas. Ce dernier est déjà décalé au début du mois de juin 2021, contre fin janvier habituellement. Sans doute sous réserve de l’évolution de la pandémie à l’échelle planétaire. 
Il y a 4 ans et 202 jours

Piscine Global Europe 2021 revient avec une formule réinventée

Événement majeur pour les professionnels du secteur Piscine & Spa, le salon biennal Piscine Global Europe aura lieu du... Cet article Piscine Global Europe 2021 revient avec une formule réinventée est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 204 jours

SMCL et Simi : des éditions 2020 chamboulées par la crise sanitaire

En raison de la crise sanitaire, le Salon des Maires et des Collectivités Territoriales (SMCL) aura lieu en 100 % digital du 24 au 26 novembre prochains. Quant au Salon de l'immobilier d'entreprise (Simi), prévu du 9 au 11 décembre, il ne se tiendra pas cette année.
Il y a 4 ans et 205 jours

"Ce ne sera pas une belle année, mais nous ferons mieux que d'autres", A.Metzger, NGE

VERBATIMS. Après avoir enchaîné plusieurs années de croissance soutenue, la crise sanitaire a stoppé le groupe NGE dans sa lancée pour 2020. Cependant, comme l'a affirmé son président Antoine Metzger, lors d'une conférence de presse, il semble mieux résister que d'autres acteurs du BTP.
Il y a 4 ans et 205 jours

stu.dere : Armazém Morinha

Le studio d’architecture et de design portugais stu.dere métamorphose un entrepôt en une boutique de jouets. À la demande des propriétaires, les architectes répondent par un espace lumineux, ouvert et ludique dédié aux enfants. Fondé en 2016 à Vila Meã (Portugal) par Ulisses Costa, stu.dere allie qualité et créativité dans des projets atypiques. Le studio promeut une approche multidisciplinaire originale et établit des partenariats inédits avec des artisans pour imposer un style personnel et imaginer des intérieurs créatifs. Pour le projet Armazém Morinha, le studio stu.dere repense complètement l’organisation spatiale d'un entrepôt et crée un espace ludique inattendu semblable à un labyrinthe. Le grillage métallique, qui agit comme une barrière physique mais non visuelle, divise l’espace tout en laissant chaque fragment ouvert. En plus des espaces dédiés à l'exposition et au stockage des jouets, le rez-de-chaussée comprend un bureau et un local. Au premier étage, se trouve un studio photo habillé de bois. À côté des escaliers menant à l'étage, un petit espace à double hauteur, destiné aux enfants, est recouvert de plaques de polycarbonate dans lesquelles se reflètent les lampes de la boutique. Ces jeux de reflets évoquent les mondes magiques de l’enfance. Avec Armazém Morinha, le studio stu.dere propose aux vendeurs de travailler dans un cadre exceptionnel et invite les familles à profiter d’une expérience inédite.Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence stu.dere. Visuels : © ivo tavares studioLa Rédaction
Il y a 4 ans et 205 jours

Epargné par la crise, le secteur des piscines s'attend à une excellente année

Le "Covid-19 n'a pas inversé la dynamique du marché de la piscine", a résumé lors d'une conférence de presse Jacques Braun, l'un des responsables de la Fédération des professionnels de la piscine (FPP).Il estime au contraire qu'avec les mesures de confinement prises au printemps, puis renouvelées en fin d'année face à la propagation du virus, la crise a servi d'"accélérateur" car "les Français ont compris l'intérêt du bien-être à domicile".Pour cette année, sur la base de projections faites à partir d'enquête auprès de ses adhérents, la fédération table sur la construction de 175.000 piscines, soit une hausse de plus de 6%. Ce serait la cinquième année de suite de progression.Le premier confinement a, certes, temporairement fait chuter les ventes pendant plusieurs semaines au printemps, tout en bloquant des chantiers, mais cela n'a pas duré et le secteur a même fait progresser ses revenus (+1,5%) sur tout le premier semestre.Le marché a connu "une nette reprise dès la fin du confinement", a expliqué M. Braun.Pour la suite, le secteur n'a guère de craintes quant aux conséquences du reconfinement décrété fin octobre, faisant état de carnets de commandes bien remplis et de chantiers qui restent actifs."La construction d'une piscine est assimilée au bâtiment" et donc reste autorisée, a souligné M. Braun, notant que les entreprises savaient quelles mesures sanitaires immédiatement mettre en place, par contraste avec le printemps.
Il y a 4 ans et 205 jours

Les artisans du bâtiment demandent la clarification rapide de certaines mesures qui freinent l'activité

Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « J’ai adressé un courrier à Monsieur Bruno LE MAIRE Ministre de l’Économie et des Finances, Monsieur Alain GRISET Ministre délégué chargé des PME, Madame Emmanuelle WARGON Ministre déléguée chargée du Logement et Madame Elisabeth BORNE Ministre du Travail, afin de leur demander de clarifier rapidement certaines mesures et de lever les freins qui entravent la poursuite de l’activité dans l’artisanat du bâtiment. En effet, si nos entreprises sont pleinement mobilisées pour maintenir leur activité dans le strict respect des mesures sanitaires, c’est au travers de notre réseau départemental que ces difficultés ont été soulevées. Nous rappelons, enfin, la nécessité de disposer de positions officielles qui permettent d’appliquer les dispositions gouvernementales de la même manière sur tout le territoire national. Sans positions officielles, il y a risque d’iniquité territoriale ou d’interprétations. Ce risque est souvent la source de grandes insatisfactions et de mécontentements, dans un contexte déjà fragilisé par de fortes incertitudes ».Les demandes de la CAPEB aux pouvoirs publicsConcernant les déplacements :Permettre aux clients, particuliers et professionnels, de pouvoir se déplacer afin de suivre et de réceptionner leurs chantiersConfirmer que des déplacements inter-régionaux à titre professionnel sont autorisés, quel que soit le périmètre, sous réserve de disposer d’un justificatif de déplacement professionnel de son employeur pour les salariés ou de l'attestation de déplacement dérogatoire pour les non-salariésPermettre aux Travailleurs Non-Salariés (TNS) de ne pas devoir renouveler chaque jour leur autorisation de déplacementConcernant la poursuite de l’activité :Veiller à ce que les autorisations temporaires d'installations d'engins (grues, engins de levage, échafaudages, etc.) ne soient pas interrompuesRéactiver les cellules mises en place par les préfets afin de faciliter la continuité de l'activité dans les territoiresAutoriser explicitement un professionnel du bâtiment à pouvoir accueillir du public dans le respect des règles sanitaires, afin d’assurer la vente de matériaux et d’équipements liés aux métiers du bâtiment pour lesquels il réalise des installations ou des aménagements, comme notamment les poêles à bois et autres équipements de chauffage, les fenêtres, les portails ainsi que les combustibles de chauffage, les peintures, etc.Autoriser explicitement les professionnels du bâtiment à assurer leurs rendez-vous commerciaux auprès de leurs clientsConfirmer l’application du principe de poursuite d’activité du BTP pour les ramoneurs, même lorsque ces derniers ne relèvent pas du secteur du bâtimentAutoriser les restaurateurs ou les mairies volontaires ou encore les CFA à ouvrir leur établissement, salle polyvalente, gymnase, cantine…, pour permettre aux salariés du BTP de pouvoir, dans le respect des règles sanitaires, prendre leur repas dans des lieux adaptésautoriser explicitement les stagiaires du BTP à pouvoir faire leur stage en entreprise (par exemple, dans le cadre d’une convention de stage liant un lycée professionnel, un jeune et une entreprise)Concernant le soutien financier aux entreprises :Permettre aux entreprises du bâtiment subissant une perte d’activité parce qu’empêchées de réaliser leurs prestations (refus du client - particulier ou professionnel - de permettre à l’entreprise de réaliser sa prestation pendant le confinement, fermeture temporaire de l’entreprise suite à un cas COVID déclaré) d’être éligibles à l’activité partielle suivant les mêmes modalités que les entreprises relevant des secteurs protégés ou subissant une fermeture administrativeConfirmer que le fonds de solidarité est bien ouvert à l’ensemble des entreprises, y compris celles relevant du secteur du bâtimentConfirmer que les exonérations et reports de cotisations sociales pour les travailleurs indépendants et les employeurs ne sont pas limités aux seules entreprises fermées administrativement ou aux PME appartenant à certains secteurs d’activitéEnfin, la CAPEB demande de prévoir un délai supplémentaire pour le dépôt des dossiers de qualification des entreprises du bâtiment.
Il y a 4 ans et 206 jours

D’après Riou Glass, « les négoces et GSB favorisent l’importation de fenêtres de moins bonne facture »

Le verrier normand apporte son total soutien à l’action menée par l’UFME et le SNFA pour la réouverture des salles d’exposition et points de vente spécialisés dans la menuiserie. Et pointe du doigt les négoces et les GSB.
Il y a 4 ans et 206 jours

La CAPEB demande des clarifications au Gouvernement

Le 4 novembre 2020, Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB a adressé à plusieurs ministres une liste de demandes afin de lever certains freins et de clarifier des mesures pour permettre la continuité de l’activité des entreprises artisanales du bâtiment dans des conditions optimales : Concernant les déplacements : · permettre aux clients, particuliers et professionnels, de pouvoir se déplacer afin de suivre et de réceptionner leurs chantiers ; · confirmer que des déplacements inter-régionaux à titre professionnel sont autorisés, quel que soit le périmètre, sous réserve de disposer d’un justificatif de déplacement professionnel de son employeur pour les salariés ou de l’attestation de déplacement dérogatoire pour les non-salariés ; · permettre aux Travailleurs Non-Salariés (TNS) de ne pas devoir renouveler chaque jour leur autorisation de déplacement ; Concernant la poursuite de l’activité : · veiller à ce que les autorisations temporaires d’installations d’engins (grues, engins de levage, échafaudages, etc.) ne soient pas interrompues ; · réactiver les cellules mises en place par les préfets afin de faciliter la continuité de l’activité dans les territoires ; · autoriser explicitement un professionnel du bâtiment à pouvoir accueillir du public dans le respect des règles sanitaires, afin d’assurer la vente de matériaux et d’équipements liés aux métiers du bâtiment pour lesquels il réalise des installations ou des aménagements, comme notamment les poêles à bois et autres équipements de chauffage, les fenêtres, les portails ainsi que les combustibles de chauffage, les peintures, etc. · autoriser explicitement les professionnels du bâtiment à assurer leurs rendez-vous commerciaux auprès de leurs clients ; · confirmer l’application du principe de poursuite d’activité du BTP pour les ramoneurs, même lorsque ces derniers ne relèvent pas du secteur du bâtiment ; · autoriser les restaurateurs ou les mairies volontaires ou encore les CFA à ouvrir leur établissement, salle polyvalente, gymnase, cantine…, pour permettre aux salariés du BTP de pouvoir, dans le respect des règles sanitaires, prendre leur repas dans des lieux adaptés ; · autoriser explicitement les stagiaires du BTP à pouvoir faire leur stage en entreprise (par exemple, dans le cadre d’une convention de stage liant un lycée professionnel, un jeune et une entreprise). Concernant le soutien financier aux entreprises : · permettre aux entreprises du bâtiment subissant une perte d’activité parce qu’empêchées de réaliser leurs prestations (refus du client – particulier ou professionnel – de permettre à l’entreprise de réaliser sa prestation pendant le confinement, fermeture temporaire de l’entreprise suite à un cas COVID déclaré) d’être éligibles à l’activité partielle suivant les mêmes modalités que les entreprises relevant des secteurs protégés ou subissant une fermeture administrative ; · confirmer que le fonds de solidarité est bien ouvert à l’ensemble des entreprises, y compris celles relevant du secteur du bâtiment ; · confirmer que les exonérations et reports de cotisations sociales pour les travailleurs indépendants et les employeurs ne sont pas limités aux seules entreprises fermées administrativement ou aux PME appartenant à certains secteurs d’activité ; Enfin, la CAPEB demande de prévoir un délai supplémentaire pour le dépôt des dossiers de qualification des entreprises du bâtiment.
Il y a 4 ans et 206 jours

Tour Triangle : la mairie de Paris visée par une plainte pour corruption

CONCESSIONS. L'association Anticor a déposé plainte contre X auprès du parquet national financier (PNF) pour favoritisme dans l'attribution du marché public d'exploitation du Parc des expositions de la Porte de Versailles, propriété de la Ville de Paris. Au coeur de cette procédure : le projet de la tour Triangle, porté par Unibail.
Il y a 4 ans et 207 jours

Le SNFA et l'UFME interpellent le Gouvernement sur la situation des salles d'exposition et points de vente de menuiseries

Le décret n°2020-1310 du 29 octobre 2020 affirme que les établissements (ERP), relevant de la catégorie M (magasins de vente et centres commerciaux), peuvent accueillir le public pour la livraison, le retrait de commandes ou l'activité suivante : commerce de détail de matériaux de construction, quincaillerie, peintures et verre en magasin spécialisé. Les distributeurs, négoces et grandes surfaces du bricolage peuvent ainsi être ouverts aux professionnels comme au grand public. Or, les entreprises dont la désignation de l'activité est le Bâtiment ou le commerce spécialisé ne sont pas autorisées à ouvrir, bien qu'elles soient également des ERP relevant de la catégorie M.Afin de retrouver l'équité entre professionnels, le SNFA et l'UFME demandent :l'ouverture de ces salles d'exposition et points de vente soit autorisée, en respectant le protocole sanitaire actuel qui pourrait être complété par de nouvelles mesures telles que la mise en place d'une jauge d'accueil au public, la prise de rendez-vous, la manipulation des produits seulement par le professionnel, etc., à être autorisés à accueillir les ménages français, en tant que maîtres d'ouvrage, dans ces ERP, en mentionnant obligatoirement la date, l'heure et le lieu de leur déplacement dans leur attestation dérogatoire. « Ces mesures dérogatoires seraient les seules à pouvoir préserver nos emplois et maintenir notre activité l'année prochaine. », entonnent à l'unisson Bruno Cadudal, Président de l'UFME, et Bruno Léger, Président du SNFA.Au-delà de la seule activité commerciale, les salles d'exposition et magasins de menuiseries sont les vitrines de l'activité chantier des entreprises. Les professionnels de la Filière Fenêtre & Véranda constituent des maillons indispensables à la gestion de la chaîne des chantiers du Bâtiment pour les particuliers, de la prescription à la livraison du chantier. Véritables lieux d'accueil et de conseil, ils permettent à l'artisan de présenter à son client la gamme de produits et d'accessoires disponibles, de s'assurer de l'adaptation de son offre à la demande, d'expliciter le devis et le mode de mise en œuvre.
Il y a 4 ans et 207 jours

Tous les services publics essentiels seront maintenus pendant le reconfinement

Du côté de l'approvisionnement électrique, le décalage dans les travaux de maintenance des réacteurs nucléaires lié au premier confinement réduit la disponibilité du parc pour cet hiver."Nous restons vigilants sur cette question", a dit Mme Pompili, évoquant plusieurs mesures prises pour compenser: "optimisation du programme de travaux de maintenance", coup de pouce à l'achat de thermostats "intelligents", doublement de la capacité d'effacement par rapport à l'an dernier. Une campagne télévisée débute aussi lundi pour inciter les particuliers aux économies d'énergie.Des capacités de production électrique au charbon ont aussi été utilisées. Mais "on reste sur une proportion faible", a assuré Mme Pompili, une proportion "un peu plus forte que l'an dernier, qui avait été un hiver doux, mais on est en dessous des années précédentes, 2018, 2017..." "On reste sur la décision de fermer nos centrales à charbon en 2022", a-t-elle insisté lors d'une conférence de presse.Côté eau et déchets, le service de traitement est assuré, a aussi dit la ministre, rappelant au passage que mouchoirs et masques se jetaient à la poubelle.A ce stade, "la mise en place d'une filière [de recyclage des masques] est lourde, et le gisement en tonnage assez faible pour alimenter une filière", a-t-elle indiqué, appelant "à utiliser les masques lavables".Côté tri, les filières de collecte "continuent de fonctionner normalement".Les déchèteries seront cette fois ouvertes aux particuliers et sans rendez-vous, à condition de se munir de son attestation de déplacement.Côté transports, "les transports du quotidien continueront à jouer un rôle clé", a ajouté la ministre, et "il est bien autorisé d'utiliser le vélo pour aller au travail, faire ses courses et faire de l'exercice dans la limite d'une heure et d'un kilomètre autour de chez soi".Sur les moyennes et longues distances, les transports "s'adapteront à la demande", mais "pour l'instant il est difficile de faire des projections".Selon la ministre, les TGV ont déjà vu tomber leurs réservations à 20% de leur niveau habituel (elles étaient tombées à 1% lors du 1er confinement).Enfin pour les commerces, bars, restaurants, concernés par des fermetures administratives, la loi sur prolongation de l'état d'urgence sanitaire interdit les coupures d'eau, de gaz et d'électricité, a-t-elle précisé.
Il y a 4 ans et 207 jours

Pendant le reconfinement la rénovation des logements continue mais les visites immobilières s'arrêtent

"Il est toujours possible de faire des travaux de rénovation, y compris chez les particuliers", a déclaré la ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, lors d'une conférence de presse au ministère de la Transition écologique, dont elle dépend.A l'époque du premier confinement, un certain flou avait régné quant à l'aspect essentiel des travaux liés au bâtiment et de nombreux chantiers s'étaient interrompus pendant des semaines.Mais, cette fois, l’État a insisté sur le maintien de l'activité dans le secteur, explicitement évoqué par le président Emmanuel Macron lors de l'annonce du reconfinement.En revanche, toujours dans le secteur du logement, "les agences immobilières seront fermées au public", a confirmé Mme Wargon.Cela veut notamment dire que les visites de logements, en vue d'un achat immobilier, vont s'interrompre, même si les agents pourront toujours se déplacer pour effectuer un état des lieux.Les visites "ne sont plus autorisées", a souligné Mme Wargon, renvoyant à la mise en ligne de photos par les agents immobiliers.C'est une défaite pour le secteur qui réclamait le maintien des visites immobilières, même si la ministre a annoncé que les employés des agences seraient éligibles à la prise en charge par l’État du chômage partiel.Comme lors du précédent confinement, le gouvernement va aussi permettre le report des assemblées générales de copropriété qui ne pourront se tenir physiquement.Enfin, "les déménagements restent autorisés (...) dans le strict respect des mesures sanitaires", a précisé Mme Wargon.
Il y a 4 ans et 207 jours

Salles d'exposition et points de vente de menuiserie demandent à rester ouverts

CONCURRENCE. Alors que le Gouvernement a pris la décision de reconfiner le pays pour des raisons sanitaires, certains commerces sont préoccupés ne pas pouvoir rester ouverts. C'est le cas des salles d'exposition et points de vente de menuiserie, qui contrairement aux négoces et grandes surfaces du bricolage, ont dû fermer leurs portes. Explications.
Il y a 4 ans et 207 jours

Reconfinement : Les fabricants de menuiserie apostrophent le gouvernement sur la fermeture des showrooms

Dans une lettre ouverte, l’UFME et le SNFA interpellent le gouvernement sur la distorsion de concurrence entre les distributeurs du bâtiment et demandent l’ouverture des salles d’exposition et points de vente spécialisés dans la menuiserie.
Il y a 4 ans et 207 jours

Nouvelles dates pour Équipbaie-Métalexpo en 2021 et le Mondial du Bâtiment en 2022

BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMACe retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s'accompagnent d'une profonde transformation de l'évènement, avec un concept d'exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.Le vœu des professionnels exaucéGrâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l'opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l'Architecture d'un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d'affaires.Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l'évènement. L'édition 2021 est ainsi reportée à l'automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d'octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.Un évènement plus efficace et plus sobreEn 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d'exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s'accompagnera par conséquent d'un chantier d'aménagement de l'offre et de la logistique de l'évènement.Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d'exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d'envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.Cette refonte de l'offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.L'autre enjeu est celui de l'évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s'inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s'est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en œuvre une politique et des actions d'envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d'achats responsables, écoconception, restauration responsable….Une offre digitale de rupture « 365 jours/365 jours »Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d'outils digitaux. Elle a pour ambition d'augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, cœur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s'articule autour d'un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs - livres blancs, articles, nouveautés produits… - des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.Bien plus qu'un simple come-back à la Porte de Versailles, c'est la fédération du plus grand nombre d'acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l'évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s'annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d'exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »Pour Yves Danielou, Président de l'Afisb : « L'Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s'enthousiasmer à l'idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l'offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »Pour François Frisquet, Président d'Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d'INTERCLIMA en 2022 avec un retour au cœur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendezvous à tous les acteurs du confort et de l'efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPOFruit du dialogue constant avec les 6 syndicats partenaires (Groupement ACTIBAIE, FFPV, SNFA, UFME, UMB et Union des Métalliers), cette date a été choisie collectivement afin de répondre plus que jamais à l'objectif d'être le rendez-vous incontournable des professionnels de la menuiserie et de la métallerie. Elle en fera également le 1er salon de la reprise pour le secteur de la menuiserie.De nouvelles dates et une ambition renforcéePrévu en novembre 2020, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO a été reporté en raison de la pandémie de la COVID-19 et de ses conséquences sur l'activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers. Il sera désormais programmé en octobre tous les deux ans, les années impaires, en alternance avec le Mondial du Bâtiment, déplacé en octobre les années paires.Initialement placée sous la thématique de « La révolution positive du digital », la prochaine édition d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO (du 21 au 24 septembre 2021) sera d'autant plus tournée vers l'avenir qu'elle incarnera la digitalisation du secteur en proposant aux visiteurs une expérience unique et inédite sur le salon et une offre digitale renforcée.Une plateforme digitale en amont du salonLes organisateurs du salon créent ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL, une plateforme d'information et d'échanges lancée dès novembre 2020. Accessible en continu, rythmée par des rendez-vous mensuels, elle a pour objectif de fidéliser et d'amener la communauté des menuisiers et métalliers à se retrouver sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021. Elle propose aux professionnels, en avant-première et en digital, de découvrir des vidéos de démonstration produits, des vidéos d'experts, des nouveaux produits et services, et des webinars proposés par les exposants du salon, dont une trentaine sont d'ores et déjà engagés sur ce nouvel outil. Autre initiative digitale, les exposants du salon sont également présents dans le tout nouvel annuaire des fournisseurs du Blog, qui vient compléter le site internet du salon.Guillaume Loizeaud commente ce choix : « Nous remercions les exposants d'ÉQUIPBAIEMÉTALEXPO qui nous ont montré leur confiance en nous suivant pendant cette période de réflexion. La rentrée de septembre 2021 devrait voir la filière rassérénée par les effets positifs du plan de relance et prête à se retrouver sur son salon. »Pour Bruno Léger, président du SNFA : « Nous sommes très reconnaissants envers Reed d'avoir négocié pied à pied pour obtenir ce magnifique résultat : le retour de BATIMAT à la porte de Versailles, les années paires, qui permet à ÉQUIPBAIE de se tenir dès l'année prochaine. ÉQUIPBAIE 2021 sera la première occasion pour toute notre profession de se retrouver autour de nos innovations. Je remercie tous nos adhérents exposants d'avoir été patients et de nous avoir fait confiance ».Pour Bruno Cadudal, Président de l'UFME : « Après des mois de crise sanitaire Covid-19, je suis heureux d'annoncer une bonne nouvelle à la profession conjointement avec mes partenaires du Pôle Fenêtre et les équipes de Reed Expo. La confirmation des nouvelles dates de la prochaine édition du salon d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO montre que notre filière, consciente de vivre dans un monde « d'après » Coronavirus, reste optimiste et dynamique afin que la reprise de nos activités soit durable. Les professionnels représentés au sein de l'UFME seront nombreux à se mobiliser pour le 1er salon de la menuiserie. »Pour Franck Perraud, Président de l'Union des Métalliers : « MÉTALEXPO est un des événements majeurs de la métallerie. Maintenir des liens forts avec nos partenaires et nos fournisseurs est essentiel en cette période incertaine. Je me réjouis que toute la famille de la métallerie puisse se retrouver en septembre 2021 »
Il y a 4 ans et 207 jours

Mondial du Bâtiment : retour à Paris en 2022

Pour répondre aux demandes des professionnels du bâtiment, de la construction et de l’architecture, Reed Expositions, l’Afisb et Uniclima ont décidé de réinventer les salons Batimat, Idéobain et Interclima dont la prochaine édition se tiendra pendant 4 jours, du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.
Il y a 4 ans et 207 jours

Il y a "une marge de progression considérable" pour le Télétravail

Question : Comment expliquer le recul du télétravail après le déconfinement ?Réponse : "La raison majeure me semble être la perception par la hiérarchie d'une perte de contrôle des travailleurs. C'est la résistance qu'oppose le système en général depuis l'avènement du télétravail. Avant le Covid, selon les enquêtes, on était entre 3 et 10% de télétravailleurs selon la fréquence de télétravail. On est passé à 30% pendant le confinement. Pourquoi tout d'un coup des activités sont-elles devenues télétravaillables ? Pourquoi n'y en aurait-il pas au-delà ?Aux États-Unis, après la première vague du Covid, 58% des actifs étaient en mode télétravail (33% en télétravail constant et 25% en partiel). La différence avec la France est énorme. La notion de télétravail est à géométrie variable. Cela veut dire que la marge de progression est considérable.Q : Cela vaut-il aussi bien pour les grandes entreprises que pour les PME ?R : "Je fais un rapprochement avec l'émergence de l'informatique personnelle au début des années 80 quand les travailleurs avaient leur micro-ordinateur sur le bureau. La perte de contrôle due à l'autonomisation des pratiques a fini par s'imposer parce que la productivité était au rendez-vous.Pourquoi les directions d'entreprise ne font pas aujourd'hui le même constat alors que toutes les études convergent pour faire valoir une intense productivité du télétravail ? PSA l'a compris. Facebook, Twitter ont un coup d'avance et voient aussi les économies considérables à réaliser dans le mobilier d'entreprise, etc.Les petites entreprises, en excluant les startups qui ont basculé depuis longtemps dans le télétravail, sont scotchées au lieu du travail parce qu'un certain nombre d'activités ne sont pas éligibles au télétravail et la notion de contrôle y est souvent plus prégnante. Mais ceux qui télétravaillent aujourd'hui le savent : il est assez facile de les contrôler à distance."Q : La résistance n'est-elle pas aussi du côté des travailleurs, le confinement ayant montré qu'il n'était pas facile pour tout le monde de travailler depuis chez soi ?R : "N'est-on pas en train de s'enfermer avec le Covid dans une notion très réductrice du télétravail à domicile dont le confinement a montré les difficultés que cela pouvait poser ? On continue de marteler que le travail à distance = travail à domicile, je pense que c'est une erreur. Le télétravail n'est vu par les entreprises et aussi les pouvoirs publics que comme un outil protecteur du Covid.Cela dit le système a une difficulté à voir que le télétravail n'est pas une commodité mais une rupture sociétale. L'opinion est prête, elle en a fait la démonstration : les chiffres montrent une appétence majoritaire des actifs pour le télétravail, de l'ordre de 80%.Le télétravail renvoie à l'idée d'un travail apaisé, maîtrisé, autonome. Cela instille surtout l'idée neuve d'une coexistence possible de la sphère du travail avec les sphères personnelle, familiale et sociale. Tout lieu connecté devient éligible au télétravail. Le télétravail demain renverra à un archipel de lieux de vie où pourront cohabiter des activités professionnelles ou non."
Il y a 4 ans et 207 jours

La prochaine édition d’Équipbaie-Métalexpo se tiendra du 21 au 24 septembre 2021

 Décalé en raison de la pandémie de la COVID-19, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, organisé par Reed Expositions, tiendra sa prochaine édition du 21 au 24 septembre 2021 à Paris Porte de Versailles – Hall 1. Fruit du dialogue constant avec les 6 syndicats partenaires (Groupement ACTIBAIE, FFPV, SNFA, UFME, UMB et Union des Métalliers), cette date a été choisie collectivement afin de répondre plus que jamais à l’objectif d’être le rendez-vous incontournable des professionnels de la menuiserie et de la métallerie. Elle en fera également le 1er salon de la reprise pour le secteur de la menuiserie.   De nouvelles dates et une ambition renforcée  Prévu en novembre 2020, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO a été reporté en raison de la pandémie de la COVID-19 et de ses conséquences sur l’activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers. Il sera désormais programmé en octobre tous les deux ans, les années impaires, en alternance avec le Mondial du Bâtiment, déplacé en octobre les années paires.  Initialement placée sous la thématique de « La révolution positive du digital », la prochaine édition d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO (du 21 au 24 septembre 2021) sera d’autant plus tournée vers l’avenir qu’elle incarnera la digitalisation du secteur en proposant aux visiteurs une expérience unique et inédite sur le salon et une offre digitale renforcée.  Une plateforme digitale en amont du salon  Les organisateurs du salon créent ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL, une plateforme d’information et d’échanges lancée dès novembre 2020. Accessible en continu, rythmée par des rendez-vous mensuels, elle a pour objectif de fidéliser et d’amener la communauté des menuisiers et métalliers à se retrouver sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021. Elle propose aux professionnels, en avant-première et en digital, de découvrir des vidéos de démonstration produits, des vidéos d’experts, des nouveaux produits et services, et des webinars proposés par les exposants du salon, dont une trentaine sont d’ores et déjà engagés sur ce nouvel outil. Autre initiative digitale, les exposants du salon sont également présents dans le tout nouvel annuaire des fournisseurs du Blog, qui vient compléter le site internet du salon.    > BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA auront désormais lieu en année paire.  La prochaine édition aura lieu du 3 au 6 octobre 2022  à Paris Expo Porte de Versailles. 
Il y a 4 ans et 207 jours

Batimat, Idéobain et Interclima se réinventent en 2022 !

Pour répondre aux demandes des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l’Architecture, Reed Expositions, l’Afisb1 et Uniclima2 réinventent les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA dont la prochaine édition se tiendra pendant 4 jours, du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.  Ce retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s’accompagnent d’une profonde transformation de l’évènement, avec un concept d’exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.  _______________________ 1 Afisb, Association Française des Industries de la Salle de Bains, propriétaire du salon IDÉOBAIN. 2Uniclima, Syndicat des industries Thermiques, Aérauliques et Frigorifiques, propriétaire du salon INTERCLIMA.  LE VOEU DES PROFESSIONNELS EXAUCÉ  Grâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l’opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l’Architecture d’un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d’affaires.  Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l’évènement. L’édition 2021 est ainsi reportée à l’automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d’octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.  UN ÉVÈNEMENT PLUS EFFICACE ET PLUS SOBRE  En 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d’exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s’accompagnera par conséquent d’un chantier d’aménagement de l’offre et de la logistique de l’évènement.  Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d’exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d’envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.  Cette refonte de l’offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l’emplacement dès l’inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d’exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.  L’autre enjeu est celui de l’évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s’inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s’est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en oeuvre une politique et des actions d’envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d’achats responsables, écoconception, restauration responsable….  UNE OFFRE DIGITALE DE RUPTURE « 365 jours/365 jours »  Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d’outils digitaux. Elle a pour ambition d’augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, coeur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.  Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s’articule autour d’un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs – livres blancs, articles, nouveautés produits… – des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.  Bien plus qu’un simple come-back à la Porte de Versailles, c’est la fédération du plus grand nombre d’acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l’évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !  Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s’annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d’exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »  Pour Yves Danielou, Président de l’Afisb : « L’Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s’enthousiasmer à l’idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l’offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »  Pour François Frisquet, Président d’Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d’INTERCLIMA en 2022 avec un retour au coeur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendez-vous à tous les acteurs du confort et de l’efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »    Plus d’informations sur : www.batimat.com www.ideobain.com www.interclima.com   
Il y a 4 ans et 207 jours

Le Mondial du Bâtiment de retour à Paris-Porte de Versailles en... 2022 !

EVENEMENT. Programmé initialement en novembre 2021, le Mondial du Bâtiment, qui regroupe les salons Batimat, Interclima et Ideobain, aura finalement lieu en 2022. Autre nouveauté : l'événement fera son grand retour à Paris-Porte de Versailles. Quid d'Equipbaie-Métalexpo ? Pourquoi ces choix ? Éléments de réponses.
Il y a 4 ans et 208 jours

URW poursuit une année difficile, en plein conflit sur son avenir

Sur les neuf premiers mois de l'année, le groupe, dans le vert un an plus tôt, a subi une perte nette de 5,45 milliards d'euros, selon un communiqué publié dans la nuit de dimanche à lundi. Ses revenus ont atteint 1,53 milliard, un déclin de 17,2% par rapport à la même période de 2019.La perte du groupe est exagérée par le fait qu'elle traduit moins ses performances que l'évolution de la valeur des sites qu'il détient, essentiellement de grands centres commerciaux plombés par la crise du virus à travers le monde.Mais URW, qui possède par exemple le Forum des Halles, subit tout de même une année difficile comme en témoigne un net déclin (-29,5%) de son bénéfice récurrent, indicateur de référence du secteur, à 945 millions d'euros.Il a souffert de la crise sanitaire avec la fermeture au printemps de multiples centres commerciaux dans le cadre des restrictions prises en France et d'autres pays.Les enseignes qui occupent ses centres se sont largement retrouvées en difficulté pour payer leurs loyers.Au troisième trimestre, malgré la réouverture générale des centres, le groupe, qui n'avait pu en encaisser que la moitié au précédent trimestre, n'a pas réussi à en recouvrer un cinquième.Surtout, plusieurs pays européens, dont la France, viennent d'annoncer des reconfinements, ce qui va à nouveau le forcer à négocier des allégements de loyers.URW, qui tablait déjà sur une chute de son bénéfice récurrent cette année, a donc abaissé ses prévisions. Ramené par action, il pourrait tomber jusqu'à 7,3 euros, soit une chute de quelque 40%. Au maximum, il s'établirait à 7,8 euros."Ce contexte d'incertitude grandissante justifie notre plan", a assuré Christophe Cuvillier, président du directoire d'URW, lors d'une conférence téléphonique.Le groupe a, en effet, lancé un plan de sauvetage qui prévoit notamment une vaste augmentation de capital de 3,5 milliards d'euros. Elle sera examinée par les actionnaires le 10 novembre.Mais un groupe d'opposants, dont l'entrepreneur Xavier Niel, n'en veulent pas et demandent plutôt de céder les centres américains du groupe, acquis voici deux ans lors d'une opération massive, le rachat pour une vingtaine de milliards d'euros de l'anglo-saxon Westfield.
Il y a 4 ans et 208 jours

"Marseille n'a plus le temps d'attendre" pour supprimer le logement indigne, selon sa maire

"Le temps est terminé où Marseille laissait seules et seuls ces personnes que vous voyez sur ces photos", a affirmé Mme Rubirola, qui a ravi la mairie à la droite cet été, à l'occasion d'un vernissage d'une exposition consacrée aux personnes délogées depuis deux ans et ballotées d'hôtels en logements provisoires.Des portraits du photoreporter indépendant Anthony Micallef s'affichent sur plusieurs mètres de haut sur la façade de l'Hôtel de ville de la deuxième ville de France. Un symbole fort voulu par le photographe comme par la maire: lors des manifestations contre le logement indigne après la catastrophe de la rue d'Aubagne, le 5 novembre 2018, des Marseillais en colère avaient conspué le maire d'alors, Jean-Claude Gaudin (LR), sous ces mêmes fenêtres.Sur l'une de ces photos, le regard inquiet de Baya, 70 ans, toujours à l'hôtel depuis 2018, arrête le visiteur. Assise sur un lit encombré de vêtements dans une pièce aux murs nus, des sacs de courses en guise de valises, la septuagénaire résume: "Je suis comme un oiseau qui n'a pas trouvé où se poser".Le photographe a aussi saisi des instants d'urgence, comme cette évacuation de la rue Curiol, en centre-ville, où un homme balance du premier étage un matelas et quelques affaires avant de quitter définitivement son appartement délabré.Le 5 novembre 2018, l'effondrement de deux immeubles en plein coeur du quartier populaire et métissé de Noailles, à quelques encablures du Vieux-Port, et ce malgré des alertes lancées sur la vétusté des bâtiments, avait mis en lumière la question de l'habitat indigne à Marseille.Dans la foulée, des centaines d'immeubles d'habitation ont été frappés d'arrêtés de péril et près de 5.000 personnes en ont été évacuées, selon la mairie.Deux ans plus tard, 390 de ces personnes sont toujours à l'hôtel et 1.100 sont relogées à titre provisoire.Dans son discours, Michèle Rubirola a dénoncé "25 années d'inaction" (de la précédente majorité municipale) et promis de produire 30.000 logements en six ans."Mes paroles, aujourd'hui, ne remplaceront pas celles qui n'ont pas été prononcées voilà deux ans. Mais en tant que maire de Marseille, je suis à la tête d'une institution qui a beaucoup à se faire pardonner et qui doit reconnaître sa faute", a conclu Mme Rubirola.L'exposition "Indigne toit" est gratuite et libre d'accès autour de l'Hôtel de ville jusqu'au 22 novembre.
Il y a 4 ans et 208 jours

Les professionnels du BTP et du logement promettent de maintenir leur activité pendant ce deuxième confinement

"L'activité du BTP peut et doit continuer ! Nos entreprises sont entièrement mobilisées en ce sens", a assuré dans un communiqué publié jeudi Jean-Christophe Repon, président de la Capeb, principale organisation de l'artisanat du bâtiment.Face à la reprise de l'épidémie de Covid, un nouveau confinement est entré en vigueur vendredi en France, plusieurs mois après un premier épisode de ce type au printemps.A l'époque, de nombreux chantiers s'étaient interrompus dans un contexte d'incertitudes sur le caractère essentiel ou non du secteur, puis sur les mesures sanitaires à respecter.Cette fois, le chef de l'État Emmanuel Macron a explicitement cité le bâtiment comme l'un des secteurs voués à poursuivre son activité."Comme pendant la première vague, le secteur démontrera à nouveau que ses petites entreprises sont responsables, agiles, promptes à maintenir l'activité", a insisté M. Repon.A l'autre bout de la chaîne du logement, les notaires, qui jouent un rôle essentiel en entérinant les ventes immobilières, ont aussi assuré qu'ils maintiendraient une activité suffisante à la bonne marche du secteur."Les notaires continueront à accompagner les Français dans leurs projets et leurs démarches pendant la période de confinement, lorsque ceux-ci ne peuvent être différés", a annoncé le Conseil supérieur du notariat (CSN), soulignant que les dernières mesures en date autorisaient à se déplacer pour des démarches juridiques.Là encore, le premier confinement s'était difficilement passé pour le notariat, accusé par certains agents immobiliers d'avoir été aux abonnés absents en fermant leurs études ou en ne disposant pas de la technologie nécessaire pour effectuer des actes à distance.A ce titre, les principales fédérations d'agents immobiliers et de syndics ont aussi assuré qu'elles feraient le maximum, mais leur situation est plus complexe. Les visites de logement vont être interdites et les copropriétés ne pourront tenir leurs assemblées générales."Les rendez-vous déjà pris seront assurés de façon à permettre aux futurs propriétaires ou locataires de prendre possession de leur bien", ont annoncé, dans un communiqué commun, la Fnaim, l'Unis et Plurience, qui espèrent encore faire céder les autorités sur la question des visites.
Il y a 4 ans et 209 jours

La mise en scène d'un lieu, RCR Arquitectes

Quelques jours avant le confinement, RCR Arquitectes a dévoilé au Musée national d’art moderne - Centre Pompidou à Paris un dispositif polyphonique immersif mettant en scène les projets marquants et à venir de l’agence. Une manière de découvrir le parcours des Pritzker 2017 marqué par une volonté permanente de se réinventer. Cet atelier d’architecture catalan crée en 1987, partage selon le commissaire d’exposition « la vision d’une architecture épurée, inspirée par les...
Il y a 4 ans et 210 jours

Fabriquer des lieux avec Fieldoffice, de Taïwan à Bordeaux

arc en rêve centre d’architecture présente dans la grande galerie, l’exposition Fabriquer des lieux consacrée à l’œuvre de l’agence taïwanaise Fieldoffice Architects fondée par Huang Sheng-Yuan. Jusqu’au 7 février 2021. Originaire de la ville de Taipei, cet architecte a choisi, depuis 1994, de vivre et de travailler dans le comté de Yilan, région rurale du […] L’article Fabriquer des lieux avec Fieldoffice, de Taïwan à Bordeaux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 212 jours

Panasonic présente sa nouvelle unité de ventilation

Aujourd'hui, les maisons neuves doivent répondre à des normes élevées avec la construction de murs, de fenêtres et de portes quasiment étanches, sans interstices. Même si ces normes garantissent une efficacité énergétique accrue et permettent de prévenir les courants d'air ou une ventilation non contrôlée, il est primordial en parallèle d'améliorer la qualité de l'air intérieur. Pour ce faire, un système de ventilation efficace, tel que la nouvelle unité PAW-A2W-VENTA, est idéal.Panasonic n'a de cesse de développer des systèmes capables de garantir une efficacité énergétique accrue afin de répondre à la demande de bâtiments à consommation d'énergie quasi nulle (« Nearly Zero-Energy Buildings » ou NZEB). Cette nouvelle unité de ventilation avec récupération de chaleur est donc la solution idéale, notamment pour les habitations à basse consommation. Elle permet d'assurer la qualité de l'air intérieur, mais également de récupérer la chaleur qui, avec une simple ventilation, aurait été perdue. Conformément à la directive européenne sur la performance énergétique des bâtiments (DPEB), l'objectif est ici de réduire les besoins en chauffage.Des solutions compactesConçue pour les surfaces allant jusqu'à 140 m², la nouvelle unité compacte de Panasonic peut être combinée avec les pompes à chaleur air-eau de la gamme Aquarea pour le chauffage, la climatisation, la ventilation et la production d'eau chaude sanitaire. Idéale pour les espaces restreints, l'association des deux systèmes représente un véritable gain de place en termes d'installation. Pour s'adapter à tous les besoins, l'unité se décline en deux modèles : l'un avec une sortie d'air à gauche, l'autre avec une sortie d'air à droite. L'unité dispose également d'un échangeur de chaleur rotatif à haute efficacité énergétique, lui-même doté de ventilateurs EC et d'une fonction de transfert d'humidité afin de prévenir la condensation dans l'air en hiver.Il est possible de combiner cette unité de ventilation avec d'autres solutions de Panasonic, telles que la pompe à chaleur Aquarea compacte avec ECS intégrée. Elle peut être aussi installée au-dessus du ballon ECS d'un système Aquarea monobloc ou bi-bloc, ou bien sur un mur à l'aide des supports muraux fournis par Panasonic.Une interface intuitive et convivialeDans un monde toujours plus digital, Panasonic répond aux besoins de ses clients en proposant une interface à la fois intuitive et conviviale. Il est possible d'accéder à l'ensemble des paramètres et fonctionnalités de l'unité PAW-A2W-VENTA grâce à un tableau de commande facile d'utilisation, intégré à l'avant. Il est également possible de connecter jusqu'à 10 tableaux de commande externes via un seul et même système. Autres avantages : la programmation hebdomadaire des points de consigne du ventilateur et de la température, ou encore le menu affichant le temps de filtrage restant (particulièrement pratique pour l'entretien du filtre).En combinant l'unité de ventilation avec la pompe à chaleur Aquarea, il est possible de gérer les deux solutions à l'aide d'une seule commande. Doté de nombreuses fonctionnalités, le système dispose entre autres d'un mode manuel et d'un mode automatique, et offre la possibilité de sélectionner ses paramètres favoris parmi les modes utilisateur préconfigurés.FonctionnementParticulièrement efficace, l'unité de ventilation filtre et fournit un air frais afin de garantir un environnement sain et un confort optimal. Pour ce faire, l'unité :extrait l'air des pièces humides comme la cuisine ou la salle de bain;aspire l'air frais extérieur via un système de tuyauterie et, à l'aide de l'échangeur de chaleur, récupère 84% de la chaleur de l'air extrait avant de la transférer dans l'air soufflé;diffuse l'air frais dans des pièces sèches comme le salon ou les chambres.Pour en savoir plus, consulter le site www.aircon.panasonic.fr.
Il y a 4 ans et 212 jours

Terminal T1 de Lyon-St-Ex, par Rogers Stirk Harbour + Partners

Le nouveau Terminal T1 de l’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry, réalisé par Rogers Stirk Harbour + Partners avec l’agence lyonnaise Chabanne, est lauréat des Trophées Eiffel 2020 dans la Catégorie « Voyager ». Toiture légère et lumière naturelle. Le cahier des charges était complexe : créer une nouvelle identité pour le Terminal 1, doublant la superficie utile […] L’article Terminal T1 de Lyon-St-Ex, par Rogers Stirk Harbour + Partners est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 212 jours

Logement indigne : "Marseille n'a plus le temps d'attendre", selon sa maire

EXPOSITION. Michèle Rubirola, la nouvelle maire de Marseille, a inauguré une exposition à l'Hôtel de ville mettant à l'honneur les personnes victimes de l'insalubrité de nombreux immeubles de la cité phocéenne, et du drame de la rue d'Aubagne.
Il y a 4 ans et 212 jours

Macron reconfine la France mais épargne le BTP

L'économie française peut-elle surmonter le reconfinement ? L'impact du confinement sera-t-il aussi fort qu'au printemps ?En avril dernier, mois entièrement passé sous le régime du confinement, l'activité avait chuté de plus de 30% en France.L'impact devrait être un peu moindre cette fois, les restrictions étant moins importantes, avec un télétravail généralisé autant que possible mais une activité qui se poursuivra, notamment dans les services publics, les usines, les exploitations agricoles et le BTP, a indiqué le président de la République mercredi soir.En mars-avril, "on était pris au dépourvu: on n'avait pas de masques, on n'était pas organisé, on n'avait pas les ordinateurs portables pour faire du télétravail", juge aussi Selin Ozyurt, économiste chez Euler Hermes.Cette fois, les entreprises et l'administration sont mieux préparées pour poursuivre une partie de leur activité durant le confinement, avec des protocoles sanitaires définis.Le secteur de la construction et une partie de l'industrie devraient être moins pénalisés."Par contre, pour les secteurs qui sont déjà fragilisés, comme la culture, le tourisme, là ça risque d'être un coup fatal", prévient Mme Ozyurt. Ou encore pour les commerces dits "non essentiels", dont les bars et les restaurants, de nouveau fermés durant ce reconfinement.Ces entreprises entrent en effet dans ce deuxième confinement comme des "organismes affaiblis", avait aussi prévenu le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux.Le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt a évalué mercredi matin l'impact d'un reconfinement strict d'un mois entre 2 et 2,5 points de PIB sur l'économie française.Un confinement est dur "mais si ça permet de raccourcir la période d'incertitude et de vraiment limiter la propagation de la maladie, l'effet final peut être moins important que d'avoir un semi-confinement comme on a maintenant pendant une période de temps extrêmement longue", avance Charlotte de Montpellier, économiste chez ING.Comment éviter l'effondrement de l'économie ?Avec le couvre-feu, le gouvernement avait déjà renforcé un certain nombre de dispositifs d'aide aux entreprises. Emmanuel Macron a assuré que les entreprises touchées par ce reconfinement seraient aidées.Le détail des mesures sera précisé ultérieurement par le gouvernement mais il a évoqué le chômage partiel pour ceux qui ne peuvent pas travailler, une prise en charge jusqu'à 10.000 euros des pertes des entreprises fermées ou encore un plan spécial pour les indépendants, les commerçants et les TPE.La prise en charge du chômage partiel à 85% par l'État (et l'Unedic) sera prolongée au delà du 1er novembre lorsqu'une entreprise n'a d'autre choix que de mettre tout ou partie de ses salariés en chômage partiel, a aussi déjà annoncé mardi soir la ministre du Travail Elisabeth Borne.Et Bercy travaille sur une aide fiscale pour inciter les bailleurs à réduire les loyers demandés aux entreprises, sans doute via un crédit d'impôt.Cela n'empêchera sans doute pas les faillites d'entreprises les plus en difficulté, prédit toutefois Charlotte de Montpellier car "on ne peut pas éternellement soutenir les problèmes de solvabilité des entreprises".Quel sera le coût pour l'État ?Selon Olivier Dussopt, un mois de confinement représente "10 milliards d'euros de dépenses d'intervention". Il faut notamment financer le paiement des salaires via le chômage partiel ou abonder le fonds de solidarité pour les entreprises, créé en mars.Le gouvernement avait vu large en budgétant ces dispositifs pour la première vague. Il avait provisionné 31 milliards d'euros en 2020 pour le chômage partiel, dont environ 22 milliards ont été dépensés. De même, 9 milliards d'euros avaient été prévus pour le fonds de solidarité et il en reste environ 2 milliards disponibles."Si de nouvelles mesures sanitaires devaient être prises dans les jours qui viennent, nous vous proposerons (...) d'augmenter les crédits des dispositifs de soutien à notre économie", avait indiqué lundi aux députés le ministre de l'Économie Bruno Le Maire lors de l'examen du projet de Budget pour 2021.Au total, depuis le début de la crise, l'État a mobilisé près de 470 milliards d'euros, dont environ 60 milliards de dépenses effectives, le reste étant des mesures de garanties. Des dépenses qui vont creuser le déficit public cette année, attendu à 10,2% du PIB, mais qui pourrait encore augmenter si de nouveaux crédits devaient être débloqués.Castex précise le reconfinement, le masque imposé dès le primaireTélétravail massif, masque obligatoire dès 6 ans à l'école : au lendemain de l'annonce d'un nouveau confinement d'un mois au moins, Jean Castex a détaillé jeudi à l'Assemblée nationale la mesure radicale décidée par le président Emmanuel Macron pour contrer une deuxième vague de Covid-19 "sans doute plus meurtrière" que la première."Nous avions anticipé la deuxième vague", a assuré devant les députés le Premier ministre, qui prévoit un pic d'hospitalisation en novembre "plus élevé qu'en avril", lors de son intervention à l'Assemblée nationale, à l'issue de laquelle il a immédiatement quitté l'hémicycle en raison de l'attaque au couteau à Nice qui a fait trois morts.La fin des débats, réclamée par les oppositions, a été refusée par le président de l'Assemblée, Richard Ferrand. "Précisément parce que des terroristes attaquent notre démocratie, c'est l'honneur de l'Assemblée nationale de continuer à faire vivre notre République", s'est-il justifié, après avoir fait observer une minute de silence.Plus tôt dans la matinée, le ministre de la Santé, Olivier Véran, avait estimé à "un million" le nombre de Français actuellement porteurs du nouveau coronavirus. Et selon le président du conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, les hôpitaux vont faire face à une situation "extrêmement difficile" dans les deux à trois semaines qui viennent, le temps que le confinement fasse ses effets.Devant les députés, Jean Castex a prévenu: "Le virus accélère, nous devons accélérer aussi", en rappelant qu'"aujourd'hui, 60% des lits de réanimation sont occupés par des patients Covid, soit deux fois plus qu'il y a 15 jours"."Je n'ai cessé d'appeler à la vigilance", s'est encore défendu le Premier ministre, en estimant que "certains qui nous disent aujourd'hui que nous aurions dû agir, et plus fort, ou que nous n'en faisions pas assez, prétendaient à l'époque que nous en faisions trop". "Aucun pays n'avait prévu (que la vague) s'accélérerait de manière aussi soudaine et brutale", a-t-il également fait valoir.Télétravail massifLe nouveau confinement annoncé mercredi par Emmanuel Macron doit entrer en vigueur vendredi à 0H00 et durera jusqu'au 1er décembre, "a minima".Trois changements majeurs ont été mis en place par rapport au confinement du printemps: les écoles, collèges et lycées resteront ouverts, le travail pourra continuer, les Ehpad et les maisons de retraite pourront être visités.Première conséquence: le port du masque à l'école sera étendu aux enfants de primaire dès l'âge de 6 ans, alors qu'il était réservé jusqu'alors aux seuls élèves du collège, a annoncé jeudi le Premier ministre.Pour les travailleurs, "le recours au télétravail doit être le plus massif possible" pendant le confinement, a exhorté Jean Castex, en précisant que "dans le secteur privé, toutes les fonctions qui peuvent être télétravaillées doivent l'être cinq jours sur cinq".Mais pour le numéro un du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, la fermeture des commerces non-essentiels est "une erreur" qui risque d'entraîner beaucoup de faillites et de pertes d'emplois, et couter "entre 50 et 75 milliards d'euros de PIB".Dans son allocution, Emmanuel Macron avait indiqué que le dispositif de fermeture des commerces serait réévalué tous les quinze jours, selon l'évolution de l'épidémie.Les entreprises de l'événementiel, du cinéma et du spectacle vivant seront en outre fermées le temps du confinement, a précisé Jean Castex, selon qui suspendre ces activités "est très douloureux mais nécessaire pour assurer l'effectivité" des mesures anti-Covid."Nous autorisons le travail préparatoire aux spectacles, les répétitions, les enregistrements et les tournages afin de préparer les activités de demain", a-t-il toutefois précisé.Le prix Goncourt, qui devait être décerné le 10 novembre, ne sera remis que si les librairies sont ouvertes à ce moment-là, a annoncé jeudi le jury.Les compétitions sportives professionnelles pourront également continuer pendant cette nouvelle période de confinement, avait précisé mercredi la ministre des Sports."Colère" et "responsabilité"Après ce discours de moins d'une demi-heure, la cheffe de file des socialistes, Valérie Rabault, a adressé un "oui de colère" au reconfinement: un "oui de responsabilité" pour protéger les Français, mais une "colère" contre "l'impréparation" du gouvernement, a-t-elle fustigé. "Tout le monde peut constater que vous êtes pris de court", a complété Jean-Luc Mélenchon (LFI). "Un homme décide de tout, tout seul, entouré de ce conseil de défense hors-sol", a-t-il lancé à propos d'Emmanuel Macron.Le patron de La République en marche, Stanislas Guerini, leur a sèchement répondu: "Quand nous débattons, vous criez ; quand nous ne débattons pas, vous pleurez: régulez vos émotions, ça nous fera du bien".Le patron des députés LR, Damien Abad, a pour sa part indiqué que son groupe ne prendrait pas part au vote, "afin de ne pas ajouter des divisions au pays", en déplorant par ailleurs que "nous [n'ayons] plus d'autre choix que celui du reconfinement".Le chef du gouvernement doit encore se rendre devant le Sénat dans l'après-midi, puis tenir une conférence de presse à 18H30.Si le reconfinement est prévu sur tout le territoire national, des adaptations sont toutefois prévues pour les outre-mer, qui doivent encore être précisées par la gouvernement."Quoi que nous fassions, près de 9.000 patients seront en réanimation à la mi-novembre, soit la quasi-totalité des capacités françaises", a prévenu M. Macron, alors que les capacités de réanimation seront portées à 10.000 lits, soit un doublement du nombre initial.Réaction des professionnels du BTP aux nouvelles mesures de confinementCAPEB : Les entreprises artisanales du bâtiment plus que jamais mobilisées pour le maintien de l'activitéLes mesures de confinement annoncées hier soir par le Président de la République marquent un coup dur pour l'économie française bien que nécessaire pour la lutte contre le COVID-19. Toutefois, l'activité dans le BTP est maintenue, toujours dans le strict respect des protocoles sanitaires. Dans ce contexte, la Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) se met en ordre de bataille pour aider les entreprises et les artisans du bâtiment dans l'application de ces consignes et veillera à la bonne mise en œuvre des mesures de soutien déployées par le Gouvernement.« Le Président de la République concilie la santé de nos concitoyens et la santé de nos entreprises. Oui, ce confinement est nécessaire si nous souhaitons endiguer la pandémie. Mais l'activité du BTP peut et doit continuer ! Nos entreprises sont entièrement mobilisées en ce sens. Comme pendant la première vague, le secteur démontrera à nouveau que ses petites entreprises sont responsables, agiles, promptes à maintenir l'activité. Nous ne pouvons envisager davantage de perte de chiffre d'affaires, alors que les particuliers manifestent déjà des craintes à faire venir les artisans chez eux et que l'activité de certains chantiers est à l'arrêt pour cause de cas contact au sein des entreprises. La sécurité sanitaire reste bien évidemment le mot d'ordre sur les chantiers, conformément au protocole inscrit dans le guide de l'OPPBTP. »Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB« Si nous sommes satisfaits que le BTP puisse continuer à travailler, nous demandons néanmoins que nos entreprises, qui subiraient une perte de chiffres d'affaire (du fait d'en refus des clients d'intervenir ou en cas de fermeture de l'entreprise du fait de cas COVID), puissent bénéficier du chômage partiel et nos chefs d'entreprises, des aides du fonds de solidarité. Nous demandons également un décalage des charges et un allongement des délais pour les marchés publics et des délais de dépôt des dossiers de qualification. Il en va de la survie de nos entreprises et de l'économie française. »Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB
Il y a 4 ans et 212 jours

«On ne pourra pas absorber sans dégât une deuxième crise des permis de construire», Grégory Monod (LCA-FFB)

LCA-FFB, renommé Union Pôle Habitat FFB, plaide pour la dématérialisation des permis de construire et le maintien des rendez-vous entre commerciaux et clients.
Il y a 4 ans et 212 jours

Trophées Eiffel 2021 d’architecture acier – 7ème édition

Les Trophées Eiffel, prix annuels organisés par l’association ConstruirAcier, contribuent à faire connaître des œuvres architecturales variées et significatives, réalisées tout ou partie grâce au matériau acier. Jusqu’au 30 mai 2021. Les trophées Eiffel sont une distinction d’envergure nationale, attribuée par un jury indépendant, à des œuvres construites en France, conçues par des architectes sans […] L’article Trophées Eiffel 2021 d’architecture acier – 7ème édition est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 212 jours

L'industriel Ehret divise par deux le temps de traitement de ses commandes grâce à l'EDI d'Elcia

Rémy, voilà deux ans qu'EHRET a déployé l'EDI. Comment se sont déroulées ces deux années ?« Deux ans, c'est long et pas assez à la fois ! Déployer une solution comme l'EDI prend du temps car tous nos clients ne sont pas organisés de la même manière. Dans un premier temps, la mise en place de l'EDI nous a permis de découvrir encore plus précisément le mode d'organisation de nos clients, même ceux avec qui nous travaillons depuis plusieurs années. Nous avons été un peu surpris en nous rendant compte que c'était parfois le métreur qui passait les commandes, parfois le commercial ou encore le gérant de la société… Tous ne sont pas équipés de la même manière et n'ont pas le même niveau de connaissance du logiciel de chiffrage ProDevis. Nous avons donc décidé d'organiser des rendez-vous en collaboration avec les équipes ELCIA pour intervenir directement auprès de nos clients qui n'étaient pas forcément à l'aise pour passer commande avec leur outil de chiffrage. »Cet accompagnement a donc été au cœur du déploiement de l'EDI ?« Pour déployer une telle solution, il fallait accompagner nos clients. Dès le départ, nos commerciaux ont accompli un travail énorme en ce sens. Ils ont provoqué des rendez-vous pour passer les premières commandes avec nos clients, leur montrer qu'une fois leur devis réalisé, en à peine trois clics, leur commande était envoyée directement. Il y avait une réelle nécessité de leur présenter l'EDI, leur expliquer, les aider, faire preuve de pédagogie. Il a fallu démocratiser l'EDI car certains de nos clients sont encore malgré tout très attachés au papier. En parallèle, les remontées de nos commerciaux nous ont permis d'améliorer notre Bibliothèque en ajoutant un accessoire, une position ou une configuration. Ce travail d'optimisation nous a permis de mettre à disposition de nos clients le scénario de chiffrage le plus intuitif possible et ainsi d'éliminer tout frein éventuel à l'utilisation de l'EDI. »Comment s'est déroulée votre collaboration avec les équipes ELCIA ?« A partir du moment où nous avons décidé de déployer la solution, nous avons bénéficié d'un accompagnement poussé et personnalisé d'ELCIA qui a mis en place un service dédié à la réussite des projets des industriels (Customer Success). Même si nos commerciaux sont équipés de ProDevis pour faire leurs démonstrations, nous avions besoin d'ELCIA pour nous appuyer lors des rendez-vous clients. Cette collaboration a créé une belle synergie permettant de mettre en place des réflexes entre les commerciaux des deux équipes. Le Customer Success Manager nous a également accompagné dans la formation de nos équipes commerciales, l'aide sur l'argumentaire, le support téléphonique ou encore la mise à notre disposition d'outils de communication pour un bon départ (flyers, tutoriels, vidéos, démonstrations en ligne, webinaires…). Car le déploiement de l'EDI a été boosté par une communication importante de notre part, avec l'organisation de réunions commerciales, la mise en place de corners de démonstrations sur nos stands sur les salons Batimat et Equipbaie, la diffusion d'information dès l'ouverture de notre Bibliothèque, des relais sur les réseaux sociaux… Nous avons notamment organisé un webinaire pour faire la démonstration de l'EDI à tous nos clients, équipés ou non de ProDevis. »« La collaboration avec ELCIA a répondu aux besoins d'EHRET qui souhaitait un partenariat solide pour transformer les méthodes de travail, impulser l'innovation digitale, gagner en productivité et atteindre un ROI optimal. Les équipes ELCIA ont su faire preuve de souplesse pour s'adapter à nos besoins. »Quels sont les retours de la part de vos clients ?« Ceux qui ont rapidement pris en main l'EDI ont automatiquement adopté la solution. C'est un réel gain de temps pour eux. Avec l'EDI, nos clients reçoivent leur confirmation de commande sous 48h maximum, contre quasiment une semaine avant. Les commandes passées en EDI sont traitées en priorité au niveau de notre Service ADV. Nos clients attendent de la réactivité, nous veillons donc à ce qu'il n'y ait aucun obstacle. »Les nouveautés de la dernière version de ProDevis 8 liées à l'EDI ont-elles été bénéfiques ?« Beaucoup de nos clients ont besoin d'envoyer un petit croquis ou des documents spécifiques avec leur commande. Nous n'étions pas en capacité d'y répondre. Avec la nouvelle version de ProDevis 8, ils ont désormais la possibilité d'ajouter un ou plusieurs fichier(s) à leur commande. »« De plus, la possibilité d'avoir un aperçu de la commande et de pouvoir l'imprimer avant de la passer en EDI est également très apprécié. Rares sont les clients chez qui tout est dématérialisé. Certains ont encore besoin de passer par le papier et d'imprimer leur commande pour l'archiver dans leurs dossiers. »« L'EDI permet à nos opérateurs ADV de se dégager du temps pour rassurer nos clients et leur assurer un support pour leurs questions techniques »Quels sont les bénéfices du coté de vos équipes ?« On constate un gain de temps considérable pour notre Service ADV. Avec l'EDI, nous traitons les commandes de nos clients en 48h, contre une semaine avant. En temps normal, nos opérateurs ADV doivent réaliser beaucoup de tâches en même temps, entre le téléphone, la validation de commande, les devis à faire, l'aide à la vente. En supprimant la ressaisie manuelle et les allers-retours téléphoniques avec nos clients, l'EDI leur permet de se dégager du temps à consacrer à d'autres tâches à valeur ajoutée. »« D'autant plus qu'avec la crise liée à la Covid, nous avons dû gérer des flux de commandes totalement inattendus. Nous avons enregistré un pic de +30% comparé à un mois de juin classique et cela s'est confirmé en juillet avec des commandes records. Cela a été assez compliqué de traiter ce flux supplémentaire dans un délai convenable avec nos effectifs habituels. L'EDI nous y a beaucoup aidé en nous permettant de gagner du temps dans le traitement de commandes. »Un temps gagné qui peut notamment être consacré à votre Service Clients ?« Exactement. Notre idée est de développer nos services Clients. Dégager de la disponibilité à notre Service ADV pour que nos opérateurs puissent rassurer nos clients et assurer un support téléphonique pour les conseils techniques. Les particuliers sont des plus en plus informés techniquement grâce à Internet, la documentation etc… Par conséquent, nos clients ont besoin d'être accompagnés, il faut donc que nous soyons disponibles pour répondre à leurs questions. »Ce premier bilan de la mise en place de l'EDI est donc positif ?« Nous avons triplé le nombre d'utilisateurs de l'EDI et nous avons doublé le nombre de commandes, c'est très bien ! La solution nous convient et convient à nos clients. Nous devons continuer sur cette lancée et multiplier par deux ou trois le nombre d'utilisateurs de l'EDI d'ici fin d'année 2020. Il y a encore énormément de clients qui nous sollicitent, le potentiel est énorme. Nous devons renforcer l'avance que l'on a prise avec l'EDI, pour être leader et avant-gardistes d'un point de vue du produit mais aussi des solutions proposées à nos clients. »Pour en savoir plus sur l'EDI : www.elcia.com/edi
Il y a 4 ans et 213 jours

5 rendez-vous d'architecture, à ne pas manquer ce weekend

Expos, conférences, visites… les rendez-vous sélectionnés cette semaine par la rédaction d'AMC. 1. Conquêtes spatiales, à Annecy Au tournant des années 1960, Jean-Louis Chanéac, Claude Costy et Pascal Häusermann imaginent un nouveau langage architectural aux formes organiques, exprimant une vision pragmatique et fantastique de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 213 jours

Lycée technique à Saint-Germain-en- Laye, signé Tank et Cosa

Le Lycée Léonard de Vinci de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), conçu et réalisé par Tank et Cosa Architectes Associés pour la Région Île-de-France maître d’ouvrage, est lauréat des Trophées Eiffel 2020 dans la Catégorie « Apprendre ». Ou comment concentrer l’architecture à sa plus simple vérité constructive. « L’architecture d’un lycée technique se doit d’exprimer la construction, offrir la polyvalence […] L’article Lycée technique à Saint-Germain-en- Laye, signé Tank et Cosa est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 213 jours

Ces sept bâtiments ont été récompensés pour leur résilience

CONCOURS. Ce sont sept bâtiments qui viennent d'être mis en lumière, dans le cadre des trophées du bâtiment résilient, organisés par la Mission risques naturels, l'Agence qualité construction et Construction 21.