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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

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Il y a 4 ans et 213 jours

JO Paris 2024 : Grands équipements, petit souffle

Expos, conférences, visites… les rendez-vous sélectionnés cette semaine par la rédaction d'AMC. 1. Conquêtes spatiales, à Annecy Au tournant des années 1960, Jean-Louis Chanéac, Claude Costy et Pascal Häusermann imaginent un nouveau langage architectural aux formes organiques, exprimant une vision pragmatique et fantastique de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 213 jours

Nouveau dispositif de formation pour les salariés dont les emplois sont menacés

Ce dispositif s'adresse à des salariés dont les emplois sont menacés et qui se positionnent sur une formation vers un métier porteur localement, a expliqué le ministère du Travail lors d'un point de presse téléphonique à l'issue de la conférence du dialogue social à Matignon.Le dispositif se veut territorialisé et doit se construire autour de plateformes de transition où se mettront en relation des entreprises ayant des salariés à reconvertir et des entreprises ayant des besoins de recrutement.Concrètement, la rémunération et la formation des salariés doit être prise en charge par l'État à hauteur de 40% pour les entreprises de plus de 1.000 salariés. Elle sera de 75% pour les entreprises de 300 salariés jusqu'à 1.000, tandis que pour les petites et moyennes entreprises ou les TPE, l'État prendra en charge 100% de la rémunération et de la formation des salariés, a indiqué le ministère.Le coût pour l'État est évalué à 500 millions d'euros dans le cadre du FNE formation (Fonds national pour l'emploi), des moyens déjà budgétés et qui pourront être ajustés à la hausse.Le ministère espère que le dispositif, dont les modalités de mise en œuvre restent à "affiner", pourra être pleinement opérationnel "avant la fin de l'année".Doivent s'y ajouter la modification de plusieurs dispositifs existants de reconversion professionnelle, comme les congés de mobilité et les congés de reclassement, afin de faciliter le passage d'un secteur touché par la crise à un secteur en tension.Le ministère a par ailleurs indiqué que le dispositif d'activité partielle longue durée (APLD) lancé en juillet avait "pris son envol", avec plus de 3.600 entreprises ayant signé un accord, représentant 200.000 emplois. Cinq accords de branche ont également été signés et une vingtaine sont en discussion.Ce dispositif autorise une réduction du temps de travail jusqu'à un maximum de 40% d'heures chômées sous condition d'un accord d'entreprise ou de branche, de 6 à 24 mois, validé par l'administration et comprenant des engagements sur l'emploi et la formation.La rue de Grenelle a toutefois fait état d'un "bémol" dans le contenu des accords en ce qui concerne les ambitions en matière de formation alors que la logique du dispositif est d'y consacrer le temps chômé, et a dit compter "mobiliser les entreprises".
Il y a 4 ans et 213 jours

Le Groupe Velux s'engage pour une « neutralité carbone à vie » en partenariat avec le WWF

Le Groupe VELUX a annoncé son nouvel engagement d'atteindre la «neutralité carbone à vie» d'ici son 100e anniversaire en 2041. Cet engagement amènera le Groupe, leader sur le marché des fenêtres de toit, à capturer l'équivalent de son empreinte carbone historique[1], soit 5,6 millions de tonnes de CO² (scope 1 et 2[2]) émises depuis sa création en 1941. Cette ambition va se concrétiser grâce à des projets de conservation des forêts supervisés par le WWF.Conformément aux objectifs ambitieux fixés par l'accord de Paris sur le climat, qui vise à limiter l'augmentation de la température mondiale à 1,5 °C, le Groupe VELUX s'est engagé dans cette trajectoire afin de réduire significativement les émissions de carbone liées à son activité et à sa chaîne de valeur (scopes 1, 2 et 3[3]).La « neutralité carbone à vie » est un nouvel engagement pionnier développé par le Groupe VELUX en collaboration avec le WWF International, visant à assumer la responsabilité des émissions de carbone passées et futures. Cette ambition innovante vise à capturer l'équivalent des émissions de carbone historiques du Groupe VELUX et vise à préserver en même temps les inestimables forêts naturelles et la faune du monde entier.« La planète fait aujourd'hui face à une crise grave en termes de climat et de biodiversité, ce qui nécessite des mesures exceptionnelles. En accord avec nos valeurs d'entreprise, nous cherchons à faire toujours plus que la majorité ; c'est donc pour cela que nous avons développé l'engagement de "neutralité carbone à vie". Cet engagement novateur implique un partenariat de 20 ans avec le WWF International, afin de capturer l'équivalent de nos émissions de carbone historiques d'ici 2041. Nous réduirons également significativement nos futures émissions de CO² et demandons à nos fournisseurs de faire de même. Nous espérons que d'autres sociétés trouveront là l'inspiration de parvenir elles mêmes à une "neutralité carbone à vie", afin de créer un futur durable pour toutes et tous. »- David Briggs, PDG du Groupe VELUXPour atteindre une « neutralité carbone à vie » le Groupe VELUX collabore avec le WWF en investissant dans des projets forestiers et de préservation de la biodiversité jusqu'en 2041. Ceux-ci contribueront à stopper la détérioration d'habitats naturels, la déforestation et la dégradation des sols menaçant la biodiversité, en travaillant aux côtés et au bénéfice des communautés locales. Les deux premiers projets forestiers verront le jour en Ouganda et en Birmanie.En Ouganda, l'accent sera mis sur la restauration des forêts dégradées, la création de nouvelles forêts et la protection des forêts naturelles existantes grâce à un large éventail de mesures, parmi lesquelles le boisement, reboisement, revégétalisation et la gestion durable des forêts. Ce projet permettra également de faire pousser des arbres au sein de terrains boisés, systèmes agroforestiers et plantations en-dehors des zones protégées, afin de répondre à la demande liée à divers produits forestiers et réduire la pression exercée sur les forêts naturelles. Le projet en Birmanie aura pour objectif de conserver la biodiversité unique et les paysages forestiers du canton birman de Tanintharyi, en travaillant étroitement avec les communautés locales.« L'impact des crises actuelles liées au climat et à la biodiversité devenant de plus en plus clair, une volonté et des mesures solides sont désormais urgemment nécessaires pour créer un futur durable pour toutes et tous. L'engagement de "neutralité carbone à vie" du Groupe VELUX est un exemple important, que d'autres pourront ensuite suivre. »« Faire une promesse conforme à l'objectif de limitation de l'augmentation de la température mondiale à 1,5 °C tout en protégeant des paysages forestiers importants et la biodiversité –et les services cruciaux qu'ils fournissent aux communautés et à l'économie- est un projet positif et ambitieux en ligne avec des engagements climatiques responsables servant de fondation pour atteindre les Objectifs de Développement Durable. Ensemble, nous espérons que d'autres sociétés seront inspirées par la "neutralité carbone à vie" de VELUX afin d'élever l'ambition globale des entreprises en matière d'action climatique ou en faveur de la nature. »- Marco Lambertini, directeur général du WWF InternationalLe partenariat avec le WWF s'inscrit plus largement dans la stratégie de développement durable « Sustainability Strategy 2030 » du Groupe VELUX afin de devenir une entreprise neutre en émission de CO² d'ici 2030. Cet objectif de réduction des émissions se base sur la science, grâce au programme « Science Based Targets Initiative »[4]. Afin de révolutionner son activité, le Groupe VELUX accélère ses investissements dans l'efficacité énergétique au sein de ses sites de production, la transition vers les énergies renouvelables et l'achat d'électricité 100 % renouvelable. Il s'est également engagé à modifier de manière significative la façon dont il effectue la sélection et l'achat de matériaux. Pour plus d'informations sur la « neutralité carbone à vie » de VELUX et les projets de conservation des forêts au cœur du partenariat avec le WWF, rendez-vous sur velux.com / itsournature.com.NOTES [1] – Aucune méthodologie standard n'existe aujourd'hui afin de calculer une empreinte carbone historique. Des données précises sur les facteurs d'émissions et la consommation énergétique passés n'existent pas souvent. Le Groupe VELUX a donc développé une méthode permettant de calculer ses émissions carbone historiques. Cette méthode est basée sur la norme « Greenhouse Gas Protocol Corporate Standard » mondialement reconnue, et appliquée aux données historiques. Cette méthodologie unique, ainsi que ses suppositions sous-jacentes, sont vérifiées de manière indépendante par l'organisme Carbon Trust et analysées par des experts du WWF.[2] – Définition des scopes 1 et 2. Scope 1 (émissions directes générées par des sources possédées ou contrôlées par une entreprise, comme les infrastructures d'une société ou encore des véhicules de fonction). Scope 2 (émissions indirectes provenant de la génération d'électricité, de vapeur, de chauffage ou de refroidissement utilisés dans l'activité de l'entreprise concernée).[3] – La définition du scope 3 inclut toutes les autres émissions indirectes produites au sein de la chaîne de valeur d'une société (comme lors de l'achat de biens et services ou la génération et le transport de déchets).[4]– L'initiative « Science Based Targets » a pour but d'encourager les entreprises à définir des objectifs basés sur la science et accroître leur avantage concurrentiel dans le cadre de la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. Elle s'inscrit dans une collaboration entre le CDP, le Pacte mondial des Nations Unies, le World Resources Institute (WRI) et le World Wide Fund for Nature (WWF) et constitue l'un des engagements de la coalition We Mean Business. Cette initiative définit et promeut les bonnes pratiques en matière de développement d'objectifs basés sur la science, propose des ressources et des conseils destinés à limiter les obstacles à leur adoption et analyse et approuve de manière indépendante les objectifs fixés par les sociétés.
Il y a 4 ans et 213 jours

Wizzcad orchestre la rénovation de plus de 20.000 logements occupés

Alors que le nouveau plan de relance prévoit de consacrer 7 milliards d'euros à la rénovation des bâtiments en France, WIZZCAD s'impose en tant qu'acteur incontournable du secteur. Sa solution permet aux bailleurs de réduire le temps de vacance par deux lors de la rénovation des logements diffus, d'accélérer les travaux et d'améliorer le confort des locataires lors de la rénovation de logements occupés.Prises de rendez-vous avec les occupants, gestion des états des lieux, des réclamations et interventions de multiples corps de métier... les chantiers de réhabilitation de logements en milieu occupé sont particulièrement délicats à gérer, génèrent d'importants surcoûts pour les bailleurs et sont souvent source d'insatisfaction pour les locataires.Pour faire face à ces défis économiques, sociaux et logistiques, WIZZCAD a conçu un module spécifique de réhabilitation en milieu occupé permettant de maximiser la productivité des chantiers de rénovation tout en améliorant la relation locataire. Diviser par deux la durée des chantiersEn digitalisant les processus métier tout au long du cycle de vie des bâtiments, WIZZCAD améliore considérablement les performances de chantiers de rénovation. Sa plateforme collaborative permet de gérer en temps réel et à distance les approvisionnements de matériaux, les plannings d'interventions ainsi que le management des équipes sur le terrain.Outre ce pilotage de chantier, WIZZCAD permet également aux bailleurs d'informer en temps réel leurs locataires de l'avancée des travaux via une application dédiée. Les intervenants du chantier peuvent également interagir directement avec les locataires via cette application pour les prises de rendez-vous, les états de lieux ou la gestion de réclamation.En fluidifiant et simplifiant l'ensemble des collaborations bailleurs - locataires - entreprises sur les chantiers de rénovation, WIZZCAD divise par deux la durée des chantiers et donc le temps de vacances des logements rénovés.Plus de 20.000 logements occupés réhabilitésWIZZCAD est aujourd'hui reconnue par les grandes majors du secteur du BTP. Vinci Construction, Bouygues Construction, Cegelec, Colas, GTM Bâtiment, Eiffage, Engie Axima et Gecina ont ainsi adopté la technologie Wizzcad sur plus de 14.000 projets parmi lesquels de nombreux projets de réhabilitation en milieu occupé et en diffus.Au-delà des acteurs de la construction, de plus en plus de bailleurs sont séduits par les gains de temps et l'amélioration de la satisfaction des locataires qu'apporte la technologie WIZZCAD. C'est par exemple le cas de Valophis, Seine Saint Denis Habitat ou Opaly qui s'appuient depuis cette année sur WIZZCAD pour piloter la réhabilitation de leur parc locatif, portant le total des réhabilitations de logements gérés au sein de la solution à plus de 20.000 aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 214 jours

Enzo Mari s'en est allé, son œuvre vit à la Triennale de Milan

Publié par le prestigieux Centre canadien d’architecture à l’occasion de l’exposition du même nom organisée dans ses murs l’an dernier, « Nos jours heureux, Architecture et bien-être à l’ère du capitalisme émotionnel » est un collage réflexif, richement illustré et nourri […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 214 jours

Nouveau report de la réforme de l'assurance chômage, les syndicats réclament l'abandon

Le Premier ministre a réuni pendant près de trois heures les partenaires sociaux à Matignon pour sa deuxième "conférence du dialogue social" depuis juillet, juste après son arrivée, pour faire "un point d'étape" sur les chantiers en cours, notamment face à la crise sanitaire et sociale (plan jeune, reconversions professionnelles...).A l'issue, un report de trois mois de l'application de la réforme controversée de l'assurance chômage, soit jusqu'au 1er avril 2021, a été annoncé, M. Castex indiquant toutefois qu'il "n'entend pas renoncer" à cette "réforme majeure".L'exécutif avait déjà accepté en juillet de suspendre jusqu'au 1er janvier cette réforme, qui prévoit notamment un durcissement de 4 à 6 mois de travail pour ouvrir des droits et une réforme du mode de calcul des allocations défavorables à ceux qui alternent chômage et contrats courts.Les responsables des cinq centrales syndicales ont réclamé à l'unisson l'abandon de la réforme, jugeant le simple report "absolument scandaleux" (Philippe Martinez, CGT) ou "complètement inadapté" (Cyril Chabanier, CFTC), et demandant "une réponse plus claire" (Yves Veyrier, FO)."Cette réforme petit à petit, on est en train de faire la démonstration qu'elle n'est pas du tout adaptée à la période", a affirmé Laurent Berger (CFDT), François Hommeril (CFE-CGC) la dénonçant comme "punitive".Côté patronal, le président de la Confédération des PME, François Asselin a estimé que le report posait la question du calcul du bonus-malus pour pénaliser les entreprises qui abusent des contrats courts.La réunion, à laquelle participaient les ministres de l'Économie Bruno Le Maire et du Travail Élisabeth Borne, ainsi que le secrétaire d'État Laurent Pietraszewski, n'a pas débouché sur l'abandon d'un autre dossier ultra sensible aux yeux des syndicats: la réforme des retraites qui doit normalement revenir dans le débat fin 2020-début 2021."Le bon curseur"Tous les participants ont insisté sur la gravité de la situation avec un couvre-feu, instauré dans 54 départements et qui risque de dégrader un peu plus la situation de l'emploi.Geoffroy Roux de Bézieux (Medef) a mis en garde contre un possible "écroulement" de l'économie en cas de reconfinement généralisé, comme au mois de mars, plaidant pour trouver "le bon curseur entre économie et santé".Le sujet du télétravail a été "largement abordé" dans la discussion, alors que les partenaires sociaux doivent démarrer une négociation en vue d'un accord le 3 novembre. Le gouvernement l'encourage et souhaite éviter un reconfinement général. La ministre du Travail Élisabeth Borne a assuré lundi que le protocole en entreprise "est efficace" et "très bien appliqué".Une mission va aussi plancher sur le cas des salariés de la "deuxième ligne" face au Covid-19. Elle aura la charge d'identifier ceux concernés. La CGT a jugé "scandaleux" l'intérêt tardif pour ceux "dont on parle depuis le mois de mars", la CFDT ajoutant qu'"il ne faut pas que ça aille trop lentement".Les syndicats insistent depuis le confinement pour parler de ces salariés, afin d'étudier une "revalorisation des salaires, conditions de travail, emploi et carrières".Le sujet du partage de la valeur en entreprise a, lui, été jugé non urgent par plusieurs participants côté patronal et syndical.Face à la crise, des mesures "extrêmement fortes" ont été prises pour "atténuer l'impact" économique et social, et "obtiennent des résultats", a insisté M. Castex. Il a mentionné le plan pour l'emploi des jeunes dont les chiffres d'août et septembre sont "encourageants, notamment dans le domaine de l'apprentissage".Le chef du gouvernement a aussi souligné le recours à l'activité partielle de longue durée, la formation professionnelle et la reconversion des salariés "qu'il nous faut par tout moyen privilégier sur les licenciements"."Ces résultats concrets sont rendus possibles par le dialogue social" alors que "les accords dans les entreprises, dans les branches professionnelles n'ont jamais été aussi nombreux". "C'est le meilleur antidote à la crise", a-t-il martelé.
Il y a 4 ans et 214 jours

Podcast #1 – Las Pozas

Pour ses 15 ans, ACPresse voit grand et décide d’investir tous les canaux de communication. L’équipe vous propose des lectures d’articles à travers le podcast. Ceci est à retrouver sur notre chaîne youtube, sur notre site, mais aussi sur soundcloud. Le podcast s’intègre désormais dans notre ligne éditoriale. Il prend la forme d’un contenu audio à écouter à n’importe quel moment de la journée. Aussi bien dans les transports, en conduisant, en faisant la cuisine, le ménage, les courses… Bref où vous le désirez. ACPresse · Las Pozas S’évader par la “voix”. Comprendre en profondeur le monde d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Se rapprocher de la parole intime du narrateur. Et garder un lien privilégié avec l’extérieur (en ces temps difficiles). C’est ce qu’offre ce moyen numérique, devenu incontournable depuis quelques années. Béton d’Antan L’objectif de nos podcasts est de s’arrêter sur un sujet précis. Il nous semblait évident que notre première série se consacre aux personnalités et lieux ayant traversé l’Histoire. Avec “Béton d’Antan”, la promesse est là. Un moment de culture et de fantaisie à partager. Ces parenthèses enchantées captivantes seront rythmées par des rendez-vous mensuels. Serez-vous de la partie ? Pour son premier podcast, l’équipe d’ACPresse a choisi de vous raconter un lieu atypique, enfoui au fin fond de la forêt tropicale mexicaine : Las Pozas… Vous n’avez plus qu’à vous laisser emporter… Bonne écoute ! Pour lire l’article du podcast c’est ici.
Il y a 4 ans et 214 jours

La guerre médiatique est lancée autour des centres commerciaux d'Unibail

L'enjeu, c'est le sort d'URW, un géant mondial du commerce qui détient notamment le Forum des Halles et se trouve en plein marasme face à la crise sanitaire du coronavirus. Ses revenus ont chuté et son cours de Bourse est au plus bas depuis plus de 20 ans."La direction a failli, c'est un constat absolument unanime sur la place", a déclaré vendredi Léon Bressler, ancien patron d'Unibail, qui vient d'engager le combat contre les actuels dirigeants."Il nous a fallu agir pour sauver une entreprise qui n'a plus de cap", a insisté M. Bressler, lors d'une conférence de presse.Celle-ci marquait l'apogée d'une semaine de lutte entre les dirigeants actuels et leurs deux opposants, M. Bressler et l'homme d'affaires bien plus médiatique, Xavier Niel, le fondateur de l'opérateur Free..Stratégique, le combat est aussi médiatique. Les deux opposants, qui détiennent ensemble un peu plus de 5% du groupe, ont lancé les hostilités en fin de semaine dernière par une grande interview au Figaro.Ils y annonçaient leur intention de s'opposer à une énorme augmentation de capital, de 3,5 milliards d'euros. Elle vise à préserver la solidité financière du groupe mais va aussi mécaniquement réduire sa valeur pour les actionnaires actuels."Accident industriel"En réalité, le désaccord est bien plus profond car il touche à la grande opération menée par Unibail ces dernières années, le rachat pour une vingtaine de milliards d'euros de l'anglo-saxon Westfield.Cette acquisition lui a permis de mettre un pied aux Etats-Unis, mais "c'est l'un des plus grands accidents industriels français, tous secteurs confondus, depuis 25 ans", a jugé vendredi M. Bressler.Si ce rachat a fait changer Unibail de dimensions financière et internationale, il l'a aussi contraint à d'importantes cessions pour équilibrer son portefeuille, et son titre n'a cessé de décliner depuis l'annonce de l'opération voici près de trois ans.Les opposants proposent donc de se débarrasser purement et simplement de tous les centres acquis aux Etats-Unis, d'ici deux ou trois ans. Et, selon eux, avec l'argent récupéré, il n'y aura aucun besoin d'une augmentation de capital.Pour l'actuelle direction, c'est inacceptable. Comment revenir sur l'opération la plus emblématique du groupe, voire du secteur, depuis une dizaine d'années ?A leur tour, les dirigeants d'URW ont multiplié les interventions médiatiques ces derniers jours. Interview au Figaro, là aussi, puis passages dans de multiples radios.Ils dénoncent "un pari fou", selon les termes employés mercredi par Christophe Cuvillier, président du directoire d'URW, sur BFM Business. Conclusion le 10 novembreL'actuel patron souligne l'aspect profondément incertain des propositions des deux opposants, en pleine crise sanitaire et économique. Peut-on miser sur une revente en masse des centres américains alors que l'épidémie bat son plein et que l'on s'interroge encore sur l'ampleur de ses conséquences économiques?Les opposants proposent "un grand saut dans l'inconnu", a martelé M. Cuvillier. "Ils le reconnaissent, il n'y a pas de marché aujourd'hui.""Nous pensons que c'est faire prendre un grave risque à l'entreprise", a-t-il insisté, estimant que l'augmentation de capital permettrait d'"agir tout de suite".Le lutte se fixe donc sur cette augmentation, ce qui contribue à son intensité. En effet, le temps presse pour les deux camps car l'opération doit être approuvée - ou non - par une assemblée générale le 10 novembre.L'issue est incertaine car l'augmentation devra obtenir au moins deux tiers des voix des investisseurs présents.URW peut, a priori, compter sur les grandes banques qui ont d'ores et déjà promis de souscrire à l'augmentation de capital, dont son premier actionnaire, la banque Goldman Sachs.Mais celle-ci détient à peine plus de 10% du groupe, dont l'actionnariat est particulièrement éclaté. C'est donc un combat pied à pied qui s'annonce où il s'agira de se montrer en position de force.Les opposants sont "submergés par le soutien de centaines de petits actionnaires", a assuré vendredi M. Bressler, évoquant des messages "sympathiques" du côté des plus gros.
Il y a 4 ans et 215 jours

La fondation du btp reçoit le prix spécial du jury du festival FimbACTE

Chaque année, le Festival FimbACTE, réunit les acteurs engagés précurseurs et créatifs dans le domaine de l’urbanisme, de l’aménagement, de l’architecture et de la construction. Ses Trophées récompensent les actions les plus innovantes. Un Prix spécial peut également être attribué pour les dossiers ayant « un supplément d’âme ». Pour cette 25e édition, le jury a souhaité récompenser la Fondation du BTP après avoir écouté le témoignage sincère de Laurence COTTET, marraine de l’opération Déclic Addictions. La cérémonie a eu lieu le 14 octobre à la Cité de l’Architecture. Déclic Addictions est un outil de communication pour les chefs d’entreprise, managers, préventeurs et salariés du BTP pour aborder le sujet des addictions. Déployé autour de 3 modules et à l’aide de supports innovants, il valorise la communication interne de l’entreprise. Lancée, en novembre 2019 à l’occasion de la plénière des 15 ans de la Fondation du BTP, l’opération a été présentée devant une trentaine d’entreprises et est actuellement en cours de déploiement au sein de celles-ci. Accueil Photo : fondation du btp
Il y a 4 ans et 217 jours

Rencontre avec : Arnaud Sarteur

Après plusieurs années passées en Amérique Latine, l’architecte et designer français Arnaud Sarteur est revenu en France et se consacre depuis à la conception d’une architecture autonome innovante : la Station C.I.E.L. Rencontre avec un créateur inspiré. À la suite de plusieurs expériences de construction de maison à ossature bois traditionnelle, Arnaud Sarteur s’est intéressé à la simplification, la flexibilité et la qualité architecturale d’un habitat à moindre coût. Avec sa Station C.I.E.L., habitat clef en main innovant, écoresponsable, modulaire et multifonctionnel, il crée un lieu de vie facile à vivre et adapté à notre mode de vie contemporain. Muuuz : Comment est née la Station C.I.E.L. ? Arnaud Sarteur : L'idée était de faire un clin d'œil à la station spatiale, et d’envisager mon projet comme « une station terrestre ». J’ai créé des modules qui peuvent se connecter et s'assembler pour améliorer, au fur et à mesure, leur fonction et leur usage, et s'adapter à un mode de vie contemporain plus mobile, plus proche de la nature. J’ai pensé un habitat accessible pour tous, une construction moins onéreuse et de qualité qui s'adapte à l'évolution de la vie de chacun. La Station C.I.E.L. résulte aussi d’une réflexion sur les modes de production. Pour cette architecture, toutes les étapes de fabrication sont réalisées en un seul et même atelier afin de mieux gérer la maîtrise d'œuvre. Le module terminé est livré sur le terrain par camion. Les matériaux secs choisis s’inscrivent dans une démarche responsable : ils réduisent la production de déchets et la consommation d'eau sur le chantier. Avec la Station C.I.E.L., j’ai voulu créer un bâtiment à échelle humaine, un cocon personnalisable et éco-conçu. D'où vient son nom ?Le choix du bardage en revêtement « effet miroir », qui réfléchit le ciel et la nature environnante, fait de la Station C.I.E.L. un « objet-maison futuriste sculptural et mystérieux ». La Station C.I.E.L. tire donc son nom du bardage, mais aussi de l’acronyme C.I.E.L. : Construction Itinérante Extensible Légère. Votre expérience en Amérique du Sud a-t-elle inspirée ce projet ? Mon expérience en Amérique du Sud a fait évoluer mon regard sur l'habitat. Là-bas, les grands espaces sont disponibles, les paysages sont immenses et sauvages, les déplacements et les distances ne sont pas comptés. Ce séjour m’a vraiment donné envie d'habiter dans des espaces naturels, avec le souci de ne pas les dégrader et de les quitter sans impact. Quelques expériences de construction Wood Framing ont été mes premières approches de cette architecture. Le prototype de la Station C.I.E.L. a donc été conçu pour être extensible et connectable à d'autres modules. La structure bois s'assemble, et elle est reliée par des poutres métalliques. Chaque module est personnalisé et l'aménagement intérieur est proposé sur option, selon les besoins de chaque client. Avec quels artisans avez-vous collaboré pour ce projet ? Aujourd'hui, le défi de tout architecte est d'intégrer « le faire », et non pas uniquement le « penser ». J’ai donc pris part personnellement et activement au projet en expérimentant, en étudiant les matériaux et en réalisant un prototype, au sein du Fab lab collaboratif Made In Marseille. J'ai travaillé en collaboration et en partenariat avec les menuisiers-charpentiers, ferronniers résidents à Ici Marseille et des artisans locaux.Pourquoi avoir choisi le métal et le bois comme matériaux principaux ? J'ai aimé créer un contraste entre le côté futuriste métallique du bardage et de la couverture en métal poli miroir à l'extérieur et l’authenticité chaleureuse du bois à l'intérieur en laissant la charpente apparente.Selon vous, que signifie habiter l'espace ? L'être humain est marqué par ses habitats successifs. « Habiter l’espace » a une dimension existentielle. Comment imaginez-vous l'architecture du futur ?Je souhaite participer à la construction d’une planète habitable pour tous. L’homme et l'architecture vont commencer à s'effacer un peu afin de redonner de la place à la nature, et de rééquilibrer le rapport entre l'homme et son environnement. La nature va pouvoir réapparaitre dans sa splendeur, plus propre, plus harmonieuse, plus respectée. La Station C.I.E.L. s’inscrit dans cette démarche. Elle renvoie la lumière et se fond dans le paysage pour minimiser l'intrusion du bâtiment dans le paysage, comme un camouflage. La crise sanitaire a également été révélatrice de l'importance de la qualité architecturale : la hauteur sous plafond, les ouvertures, la lumière, le confort thermique participent à « être bien chez soi » et en harmonie avec la nature environnante. Dans mon architecture du futur, les matériaux de construction seront donc sélectionnés pour leurs qualités écologiques, leur résistance, leur pouvoir d'isolation, leur impact environnemental, des matériaux biosourcés locaux ou en circuit court. Devenir des architectes éco-responsable, voilà notre mission. La maison de demain sera une architecture simple et adaptative, un abri confortable et résilient facilement transformable avec une certaine autonomie de fonctionnement.Pour en savoir plus, visitez le compte Instagram de la Station C.I.E.L. La Station C.I.E.L. est exposée et ouverte aux visites sur rendez-vous au Parc Foresta à Marseille (13).Visuels : DRLa Rédaction
Il y a 4 ans et 217 jours

L'aéroport de Nice ne prévoit pas de retour à la normale avant 2023 ou 2024

"A ce stade, on table sur une reprise du trafic pour 2023-2024", a indiqué M. Goldnadel, nouvellement nommé à la tête du directoire de cette société qui regroupe les aéroports de Nice, Cannes et Saint-Tropez, lors d'une conférence de presse."Mais on peut être dans le peloton de tête des aéroports qui vont recouvrer un peu plus rapidement leur activité, du fait de l'attractivité du territoire et du trafic réparti entre vols domestiques, passagers en provenance de grandes capitales européennes et trafic international pur", a-t-il ajouté.En 2020, l'aéroport de Nice devrait à peine enregistrer le tiers de son activité de 2019, soit 5 millions de passagers contre 14,8 millions, en raison de l'arrêt du trafic international et des restrictions au trafic européen: "Ici il y a peu d'alternatives à l'avion pour rejoindre les autres grandes capitales régionales, voire Paris, donc on a un trafic domestique plutôt plus dynamique", qui représentera 90% du trafic de l'année, a souligné M. Goldnadel.Du fait de cette baisse d'activité, la société des Aéroports de la Côte d'Azur, qui depuis 2016 est un groupe privé détenu majoritairement par le consortium Azzurra, va enregistrer des pertes en 2020, dont le montant n'a pas été précisé.ACA a fait appel à un prêt garanti par l'État (PGE), pour un montant non communiqué, effectué des économies de fonctionnement et usé du dispositif de chômage partiel à hauteur, actuellement, de 30% de l'activité de ses 520 employés. Au total, la plate-forme aéroportuaire de Nice emploie 8.000 personnes en temps normal.M. Goldnadel n'a pas souhaité à ce stade se prononcer sur la réouverture du terminal T1, fermé depuis la crise sanitaire, indiquant attendre les prévisions de vols des compagnies aériennes pour 2020.S'agissant du dossier de l'extension du terminal T2, engagé avant la crise sanitaire, M. Goldnadel persiste à penser qu'elle sera "nécessaire": d'ici trois ou quatre ans, on aura retrouvé le trafic de 2019. Or, rien qu'avec le trafic de 2019, cette extension aurait été nécessaire", a-t-il estimé, concédant seulement un "décalage" des travaux.Contestée en justice par des associations de défense de l'environnement, cette extension doit notamment permettre la construction de six salles d'embarquement supplémentaires.
Il y a 4 ans et 218 jours

Bâtiment industriel - Des larves aux petits oignons

Ingérop a reçu le Grand Prix national de l'ingénierie pour la conception d'une usine qui produira des protéines d'insectes.
Il y a 4 ans et 218 jours

Un luminaire monumental en bambou pour le Novotel Porte de Versailles

L’agence Saguez Lifestyle (Saguez & Partner) a réalisé l’architecture intérieure du nouveau Novotel de 245 chambres à Paris-Porte de Versailles signé Wilmotte & associés et livré en 2019. Le design de l’aménagement s’inspire du thème « Bivouac » pour une invitation au voyage. Dans le restaurant du rez-de-chaussée, un luminaire monumental tressé en bambou fabriqué […] L’article Un luminaire monumental en bambou pour le Novotel Porte de Versailles est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 218 jours

Très haut débit : en route vers le 100% fibre

TELECOMMUNICATIONS. Le rendez-vous annuel des professionnels du très haut débit a accueilli lors de sa dernière édition le secrétaire général chargé du numérique Cédric O. L'occasion pour la filière de l'interpeler sur plusieurs sujets, comme le financement de l'objectif 100% fibre, la fin du cuivre, le soutien à l'emploi, ou les solutions à trouver concernant les points de blocage au déploiement et au raccordement.
Il y a 4 ans et 218 jours

Déménagement : bien gérer la rentrée scolaire

Les vacances de fin d’année approchent à gras pas. Vos enfants seront en vacances pendant près de 15 jours et vous avez décidé de choisir cette période pour pouvoir organiser votre déménagement. Seulement, entre les fêtes de Noël et le nouvel an, vous aurez beaucoup d’événements à organiser. Or, un déménagement demande de l’énergie et une organisation sans faille. Retrouvez ci-dessous un petit guide pratique afin que vous puissiez avoir le déménagement de vos rêves avant la rentrée scolaire !   Comment organiser son déménagement pendant les vacances ? La première chose à faire pour pouvoir organiser correctement votre déménagement, c’est de faire garder vos enfants quelques jours, le temps de pouvoir déménager en toute tranquillité. C’est pourquoi, deux mois avant la date de votre déménagement, n’hésitent pas à prévenir vos proches afin qu’ils puissent s’organiser pour garder vos enfants. Ne les prévenez pas à la dernière minute, car ces derniers risquent de ne pas être libres. Pour en savoir plus, appelez-les, envoyez-leur des messages de rappel quelques jours avant votre déménagement. Une fois cette étape effectuée, vous devrez commencer à faire un grand tri dans vos affaires. Les fêtes de fin d’année sont difficiles pour certaines familles dans le besoin. C’est pourquoi, n’hésitez pas à donner des vêtements, des chaussures ou autres à des associations qui pourront les transmettre aux familles démunies. Un déménagement est bien souvent l’occasion de faire un grand tri dans les objets ou affaires inutiles. Dans plus, sachez que moins vous voyagerez léger, plus vous ferez des économies. Nous vous conseillons donc fortement de prendre le temps de tout trier. Vous pouvez également vendre les affaires dont vous souhaitez vous séparer. Quoiqu’il en soit, si vous déménagez durant les vacances scolaires, il est fortement conseillé de demander de l’aide à des déménageurs professionnels pour les raisons suivantes.   Pourquoi faire appel à des déménageurs professionnels avant la rentrée scolaire ? La rentrée scolaire, surtout après la nouvelle année, est un grand évènement pour les enfants, mais également pour leurs parents. Durant les vacances de fin d’année, de nombreux Français décident d’organiser leur déménagement. Conséquences : le trafic sur les routes et les autoroutes est dense, ce qui entraîne de nombreux accidents de la route. Les températures n’arrangent pas non plus les choses et rendent ainsi les voyages difficiles. Or, un déménagement, surtout s’il s’agit d’un grand déménagement, requiert une forte organisation ainsi que des compétences et des connaissances indispensables, ce que les novices ne possèdent pas. C’est pourquoi, il est fortement recommandé d’avoir recours à des déménageurs professionnels. Ces derniers seront en mesure de vous donner de précieux conseils et surtout, de vous accompagner de A à Z dans votre déménagement. Cependant, attention : durant les vacances scolaires, les déménageurs sont surbookés puisque de nombreux déménagements se tiennent durant cette période. C’est pourquoi, il vous faudra impérativement anticiper et prendre contact avec une agence des semaines à l’avance, et non à la dernière minute. Pour se faire, nous vous conseillons dès demain de demander plusieurs devis à des déménageurs afin de pouvoir les comparer. Rendez-vous sur leur site internet, remplissez la demande de devis en ligne et laissez-vous guider par les déménageurs ! Vous pouvez également leur demander leurs disponibilités avant la rentrée scolaire, pour être certain que vous puissiez déménager avant que vos enfants ne reprennent l’école ! Bien entendu, vous aurez également les démarches administratives à effectuer comme, par exemple, prévenir l’établissement de vos enfants pour le changement d’école. Vous devrez également prévenir votre employeur, votre banque, votre bailleur, la Poste, la CAF ou encore le Pôle emploi. Toutes ces étapes doivent être effectuées au minimum deux mois avant votre déménagement. Alors, qu’attendez-vous ?
Il y a 4 ans et 218 jours

L’atelier-maison Ozenfant de Le Corbusier reçoit Zanotta

La collection 2020 de meubles Zanotta est mise en valeur à Paris, dans une exposition temporaire à l’intérieur de la maison Ozenfant. [©Zanotta] Les nouveaux produits 2020 de l’enseigne d’ameublement Zanotta sont mis en valeur à Paris. Ceci, dans une exposition temporaire à l’intérieur de la maison Ozenfant. Cette résidence-atelier a été conçue par Le Corbusier, en 1922, pour l’artiste Amédée Ozenfant.  Fondée en 1954, Zanotta est un des leaders du mobilier contemporain italien. De nombreuses collaborations ont permis à l’enseigne de créer des produits devenus des classiques du design : le tabouret Mezzadro des frères Castiglioni ou le fauteuil Lama, dessiné par le couple Ludovica et Roberto Palomba.  L’espace intérieur de la maison Ozenfant, pur et clair, met en scène les meubles de la collection 2020 “Back to Emotion”. [©Zanotta] Ainsi, l’espace intérieur de la maison Ozenfant, pur et clair, met en scène les meubles de la collection 2020 “Back to Emotion”. Zanotta s’approprie la vie de tous les jours dans une ambiance familiale. Une expérience de marque dans un contexte artistique. Un œuvre puriste de Le Corbusier Cette résidence-atelier a été conçue par Le Corbusier, en 1922. [©Zanotta] A l’angle de l’avenue Reille (XIVe arrondissement), l’atelier est composé d’une structure à ossature de béton armé avec des planchers lisses et des colonnes droites. [©Zanotta] En effet, la maison-atelier du peintre Amédée Ozenfant (1886-1966) est une œuvre moderniste de Le Corbusier.Elle est l’une des premières réalisations puristes de l’architecte, au même titre que les villas parisiennes La Roche et Jeanneret. Dans le quartier Montsouris, à l’angle de l’avenue Reille (XIVe arrondissement), l’atelier est composé d’une structure à ossature de béton armé avec des planchers lisses et des colonnes droites. Ce système libère les murs intérieurs et extérieurs de leur fonction portante. Et permet de grandes surfaces vitrées. Ces libertés sont exploitées dans la disposition des cloisons intérieures, qui se déplacent d’un étage à l’autre. Mais aussi dans les fenêtres à lamelles continues, qui contournent les murs intérieurs. Et enfin, dans l’atelier vitré où de grandes ouvertures sont adossées au poteau en béton. A l’étage supérieur, l’entrée de la lumière provient de trois côtés pour baigner l’atelier. L’accès au logement se fait par le côté. Le bâtiment comportait au départ un toit en dents de scie, qui a finalement été retiré. M. C
Il y a 4 ans et 218 jours

Exposition : Tsuyoshi Tane, Archaeology Of The Future

Du 17 octobre 2020 au 28 février 2021, le S AM Musée Suisse d’Architecture (Bâle) accueille l’exposition « Tsuyoshi Tane : Archéologie du Futur », et présente pour la première fois en Europe les réalisations de l’Atelier Tsuyoshi Tane Architects, agence d’architecture fondée en 2017 et basée à Paris. L'occasion de découvrir le travail et la démarche de son fondateur, l’architecte japonais Tsuyoshi Tane. Quel rôle l’architecture joue-t-elle dans la médiation entre passé et futur ? C’est la question à laquelle l’architecte japonais Tsuyoshi Tane (né en 1979) répond dans ses différents projets. Il débute chaque chantier par une phase de recherche, et inclut toujours l’histoire du site dans son processus de création. À rebours d’une architecture fonctionnelle, il défend une architecte référencée, envisagée comme une « archéologie du futur ». « Nous pensons que la mémoire n'appartient pas au passé mais qu'elle est une force motrice pour créer l'architecture du futur. » Tsuyoshi Tane, architecteAprès deux premières éditions, une à Tokyo (Japon) en 2018 et l'autre à São Paulo (Brésil) en 2019, c’est au tour du S AM Musée Suisse d’Architecture d’accueillir l’exposition « Tsuyoshi Tane : Archéologie du Futur ». La manifestation, qui présente treize projets à travers des maquettes, des croquis, des moodboards et des vidéos, révèle le travail de Tsuyoshi Tane, à la fois créatif, conceptuel et poétique. L’architecte japonais viendra enrichir son propos en présentant son approche originale de l’architecture lors de deux événements inédits : la conférence « Archaeology of the Future » (26 novembre 2020, 19 h, Ackermannshof, Bâle) et la table ronde « Context, Pretext, Subtext » avec Emanuel Christ (Christ & Gantenbein) et Catherine Gay (GayMenzel) (4 février 2021, 19h, SILO by TALENT, Bâle). « Exposition : Tsuyoshi Tane, Archaeology Of The Future », du 17 octobre 2020 au 28 février 2021, au S AM Musée Suisse d’Architecture, Bâle (Suisse). Pour en savoir plus, visitez le site du S AM Musée Suisse d’Architecture.Visuels : 1) Musée National Estonien, 2016. Tsuyoshi Tane et DGT Architects2) Hirosaki Museum, Japon, 2020. © Daici Ano3) Archaeology of the future. Inspiration wall. © ATTALa Rédaction
Il y a 4 ans et 219 jours

Le Salon International du Patrimoine Culturel sera numérique cette année

Malgré l’annulation du Salon International du Patrimoine Culturel dans sa version physique, Ateliers d’Art de France prépare une Édition Digitale qui se déroulera du 28 au 31 octobre sur le site internet du salon. Cette alternative a pour objectif de soutenir, valoriser et rendre visibles les acteurs du patrimoine et la richesse de leurs savoir-faire. Une visibilité qui fait défaut aujourd’hui, dans un contexte où les annulations en chaîne de nombreux événements et foires privent le secteur de la rencontre avec les acheteurs, partenaires et passionnés. Ainsi, l’Édition Digitale du Salon International du Patrimoine Culturel s’articulera autour de 4 axes complémentaires : À LA RENCONTRE DES EXPOSANTS L’Édition Digitale du Salon International du Patrimoine Culturel représente les 316 exposants — artisans d’art, professionnels des métiers du patrimoine, collectivités, institutions, associations ou organismes de formations — qui devaient participer à l’événement. Le salon fera découvrir leurs savoir-faire au travers d’une sélection de Portraits et de Visites d’ateliers, enrichie par des contenus vidéos. VISITES DE CHANTIERS ET DE MONUMENTS Le Salon donnera l’occasion de découvrir au travers de vidéos divers projets autour du patrimoine bâti ou non bâti portés par ses exposants, ainsi que des visites de monuments LE FORUM DU PATRIMOINE Cette Édition Digitale proposera une série de conférences en ligne, pour certaines en direct sur inscription, animées par les acteurs phares du secteur et où seront abordés de multiples sujets au cœur de l’actualité du patrimoine. Ce programme de conférences est coorganisé par Ateliers d’Art de France et le magazine Atrium patrimoine et restauration avec le soutien de la Fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine. Plusieurs conférences organisées par Sites et Cités Remarquables viendront également enrichir la réflexion autour des enjeux liés au secteur du patrimoine. Au total, une dizaine de conférences seront proposées sur le site du Salon International du Patrimoine Culturel à partir du 28 octobre. REMISES DE PRIX Fidèle à son objectif de valoriser chaque année les talents, projets, et professionnels qui se sont particulièrement distingués, sans oublier les actions en faveur de la sauvegarde du patrimoine, l’Édition Digitale dévoilera les lauréats de prix habituellement remis lors du salon, parmi lesquels : le Prix du Patrimoine paysager et écologique de la Fondation Etrillard, une des quatre lauréats du Prix de la Jeune Création Métiers d’Art Ateliers d’Art de France, le lauréat national catégorie « Patrimoine » du Concours Ateliers d’Art de France, le Prix VMF/AAF « Métiers d’art et patrimoine bâti », etc.
Il y a 4 ans et 219 jours

Covid-19 : Éliminer le virus grâce à l'éclairage UV-C et les nouvelles technologies Signify

Dans le cadre des dernières annonces du gouvernement, l'éclairage UV-C se révèle de plus en plus important pour, entre autres, désinfecter l'air et les objets. Cela contribue notamment à renforcer la protection sanitaire au sein des maisons de retraite, établissements scolaires, commerces alimentaires, magasins de détail, ou encore dans l'industrie, les bureaux et les transports publics. L'efficacité des sources de lumière UV-C de Signify sur l'inactivation du SRAS-CoV-2, le virus à l'origine de la COVID-19, a été validée par l'université de Boston.Les professionnels du marché français pourront désormais s'équiper, aussi bien de luminaires de désinfection UV-C Philips destiné à la désinfection de l'air, des systèmes de désinfection de surface que de chambres de désinfection UV-C Philips pour l'assainissement des objets.Comment agissent les UV-C ?Les UV-C désactivent l'ADN et/ou l'ARN des micro-organismes, y compris les virus et les bactéries, les rendant inoffensifs. Les lampes UV-C de Signify émettent un pic de rayonnement à 254 nm, ce qui est proche du pic d'efficacité germicide et donc idéal pour désinfecter l'air, les surfaces et les objets.L'éclairage UV-C a fait ses preuves et est reconnu comme un désinfectant efficace. Aucun pathogène connu ne résiste à l'UV-C. L'efficacité des sources de lumière UV-C de Signify pour désinfecter le SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, a été récemment validée par un test de laboratoire de l'université de Boston, qui a démontré que les sources de lumière UV-C de Signify désactivent le SRAS-CoV-2 en quelques secondes, avec un taux d'élimination des germes et bactéries de l'ordre de 99,9%.Dans un monde où les organisations cherchent de nouveaux moyens de poursuivre leurs activités en toute sécurité afin de fournir le meilleur service à leurs clients, Signify les accompagne dans leurs plans de sécurisation des espaces de travail pour renforcer la sécurité sanitaire.« Plus que jamais, il est essentiel de pouvoir avoir recours à des solutions de décontamination efficaces. Avec 35 ans d'expérience dans le domaine de l'éclairage UV-C, nous avons acquis une solide expertise en matière d'applications. Et la situation actuelle, en France et dans le reste du monde nous amène à développer une nouvelle gamme de luminaires et de chambres de désinfection par UV-C, idéales pour une utilisation dans les bureaux, les commerces, les usines, les zones d'accueil, les écoles et les toilettes publiques ».François Darsy, Responsable Marketing, chez SignifySolutions de désinfection de l'airLuminaires de désinfection UV-C Philips Upper-Air : Signify propose des dispositifs de désinfection de l'air par UV-C à montage mural ou au plafond. Installé sur un mur à une hauteur typique de 2,3 à 3 m, les luminaires Upper-Air désinfectent l'air en continu et silencieusement dans la partie supérieure de la pièce avec un puissant rayonnement UV-C. Combinés à un réflecteur et à un système optique, ce système assure aux personnes de pouvoir continuer à travailler dans les parties inférieures d'une pièce en toute sécurité. Les appareils de désinfection de l'air ambiant par UV-C permettent de désinfecter l'air en continu. Ces luminaires sont parfaitement adaptés aux maisons de retraite, aux bureaux, aux commerces de détail, aux magasins d'alimentation, à l'hôtellerie, aux écoles, aux banques, ainsi qu'aux lieux culturels et de divertissement (cinémas, salles de théâtre, salles de sport), les toilettes publiques, les hôpitaux et autres zones à forte fréquentation.Solutions de désinfection des objetsChambre de désinfection Philips UV-C : Cette chambre est destinée à la désinfection instantanée d'objets et appareils portatifs. Fournissant une dose de désinfection de 80 mJ/cm², la chambre désactive à plus de 99,9% le virus SARS-CoV-2 en une minute. Ces chambres sont dotées de fonctions avancées pour assurer une désinfection en toute sécurité, notamment grâce à des capteurs sur les portes d'accès, des serrures magnétiques pour empêcher l'ouverture accidentelle de la porte et des trappes d'inspection. Un écran de maintenance permet de surveiller la durée de vie des lampes ou encore la dose d'UV diffusée. Les objets que l'on peut désinfecter ainsi comprennent les objets à usage partagé tels que les casques d'écoute, les scanners à main et les outillages divers. La chambre peut également être utilisée sur les vêtements et les tissus, ce qui en fait une solution idéale dans les magasins de mode pour la désinfection des vêtements après utilisation dans les cabines d'essayage. La chambre de désinfection Philips UV-C n'est pas destinée et ne doit pas être utilisée pour désinfecter des dispositifs médicaux ou à des fins médicales.Systèmes de désinfection des surfacesIl s'agit d'un système modulaire basé sur une installation fixe de luminaires au plafond qui est utilisée à des moments choisis pour désinfecter une pièce ou un espace clos avec un puissant rayonnement UV-C. La réglette UV-C Philips permet de désinfecter les zones de contacts fréquents, telles que les salles de réunion, les restaurants, les supermarchés, les toilettes ou les bâtiments publics.Installation et sécuritéLes solutions de désinfection des surfaces par UV-C nécessitent la mise en place impérative de procédures rigoureuses pour garantir la sécurité des individus. Les luminaires UV-C ouverts nécessitent un usage en enceinte fermée ou un lieu à accès contrôlé avec un protocole de sécurité qui garantit que, pendant le fonctionnement des UV-C :Il n'y a pas de personnes présentes pendant le fonctionnement de l'UV-C Le lieu est verrouillé pendant le fonctionnement de l'UV-C Aucun accès involontaire ne peut se produire pendant le fonctionnement de l'UV-C.Ce type de système doit être dimensionné, installé et maintenu par un professionnel certifié du réseau de Value Added Partner de Signify qui appliquera des protocoles et outils standardisés à cet effet. L'installation doit être réalisée par un professionnel, afin d'éviter tout risque d'exposition des êtres humains et des animaux, car l'UV-C peut provoquer des lésions cutanées et oculaires.L'utilisation sûre des UV-C est rendue possible par les normes existantes et les nouvelles directives de l'industrieLes dangers potentiels liés à l'utilisation des UV-C sont bien compris, et des mesures de protection appropriées sont décrites dans les normes pour les prévenir. Au début de l'année 2020, la Global Lighting Association (GLA) a réuni des experts de l'industrie et a permis d'élaborer des directives de sécurité pour les technologies UV-C de la GLA², qui définissent ces mesures de protection supplémentaires. Ces lignes directrices aident les fabricants à s'assurer que les produits UV-C sont fabriqués, installés et complétés en respectant des procédures rigoureuses et encadrées et cela afin de garantir une utilisation sûre à tout moment. Signify, l'un des leaders du secteur de la technologie UV-C, a contribué à l'élaboration de ces lignes directrices, en mettant à profit ses années d'expérience en matière d'application et en les partageant avec l'ensemble du secteur afin de permettre l'utilisation la plus large et la plus sûre possible de cette technologie pour faire face à la pandémie actuelle.Alors que les normes seront détaillées dans les années à venir, et que la CEI et d'autres organismes de normalisation ont commencé à le faire, les principales exigences de sécurité sont couvertes de manière adéquate par les réglementations existantes et les lignes directrices du GLA sur la sécurité des UV-C.
Il y a 4 ans et 220 jours

Territorialisation de la relance : « Ce n’est qu’un début » !

La territorialisation de la relance attendra. La lisibilité de cette perspective n’aura guère progressé, à l’issue de la Conférence des territoires réunie ce 20 octobre par le Premier ministre Jean Castex, dominée par l’actualité sanitaire et sécuritaire.
Il y a 4 ans et 221 jours

Baromètre Domexpo : où les franciliens font-ils construire ?

En 2019, 8.557 ménages originaires d'Île-de-France ont obtenu une autorisation pour la construction d'une maison individuelle neuve. Parmi eux :6.091 ont fait construire en Île-de-France, soit 71%2.466 l'ont fait dans une autre région française, soit 29%Ces tendances restent stables par rapport au dernier Baromètre Domexpo dédié à cette thématique qui révélait également que 30% des ménages originaires de l'Île-de-France ont choisi de quitter leur région d'origine pour s'installer, principalement, dans l'ouest et le sud de la France.Quelles sont donc les zones géographiques françaises choisies par les (futurs ex) franciliens qui décident de faire construire ?Le Baromètre Domexpo révèle ainsi que, parmi les 2 466 ménages qui font construire en dehors de l'Île-de-France :30% d'entre eux choisissent la façade Atlantique (v/s 37% en 2018) ;29% optent pour un département limitrophe à l'Île-deFrance (v/s 30% en 2018) ;14% souhaitent s'installer sur la façade Méditerranéenne ou en Corse (v/s 10% en 2018).Les autres (27%) sont dispersés sur le reste de la France.« Comme pour les éditions précédentes, on constate qu'1 francilien sur 3 choisit de faire construire sa maison en dehors de l'Île-de-France, principalement sur la façade Atlantique, ou la bordure Méditerranéenne. Pour ceux qui choisissent de faire construire aux alentours de l'Île-de-France, il s'agit principalement de primo-accédants qui souhaitent bénéficier d'un coût du foncier plus abordable, tout en restant à proximité de leur région d'origine… Rappelons que cette configuration francilienne est assez atypique, car dans toutes les autres régions françaises, les ménages ne s'éloignent que très rarement de leur lieu de domiciliation initial.Toutefois, ces tendances devraient très prochainement évoluer : avant le confinement lié à la crise sanitaire, les particuliers ne souhaitaient pas trop s'éloigner de Paris, et donc de l'Île-de-France, afin d'éviter des temps de trajets trop longs pour aller sur leur lieu de travail. Mais, aujourd'hui, ils ont changé d'état d'esprit et n'ont plus peur de passer du temps dans les transports en commun ou en voiture. De plus, la généralisation du télétravail favorise cet éloignement. L'Eure (27) et l'Oise (60) deviennent par exemple des départements de plus en plus recherchés. Nous vous donnons donc rendez-vous pour l'édition 2021 du Baromètre Domexpo consacré aux franciliens qui font construire, pour constater les premières conséquences de la Covid-19 sur les départements privilégiés pour faire construire sa maison. »Daniel Lair-Lachapelle, Président de Domexpo
Il y a 4 ans et 221 jours

Comment la crise sanitaire change les attentes des Français sur les objets connectés ?

L'amélioration de la qualité de vie au centre des attentes 53% des Français estiment qu'ils pourront les aider à mieux vivre d'éventuelles nouvelles contraintes liées à la crise sanitaire. Exit la sécurité ou le gain de temps, l'objet connecté rime désormais avec qualité de vie, se fait plus proche et plus « humain ». En effet, en comparaison à 2019, le nombre de personnes qui déclarent avoir acheté un objet connecté pour rester en contact avec leurs proches bondit de 6 points. De la même manière, occuper son quotidien grâce aux objets connectés devient une motivation prioritaire pour 44% des Français. Ce sont les équipements de divertissement (son et image) qui tirent leur épingle du jeu. En effet, si les montres connectées (22%) trustent toujours la première place des ventes, on remarque que la crise a porté les Smart TV à un niveau quasiment similaire (21%). Quant aux amplificateurs de son et diverses enceintes, ils grimpent à 14%, juste derrière les assistants vocaux (15%).« On observe un glissement d'image des objets connectés de la performance vers le confort, la qualité du temps partagé et le divertissement. L'objet connecté permet de se réapproprier son foyer. Au-delà de l'effet COVID, c'est bien une tendance durable qui semble se mettre en marche. Les Français se recentrent sur leur habitat et anticipent le temps croissant qu'ils vont passer chez eux, que ce soit grâce au déploiement du télétravail, ou encore à la relocalisation des loisirs au sein du foyer. Nous sommes fiers de partager ces valeurs avec les Français et d'œuvrer chaque jour à créer des liens et à les maintenir, pour mieux vivre ensemble » remarque Claire Verbrugge, Directrice marketing Boulanger. Des objets connectés au pied du sapinQue ce soit pour soi (10%) ou pour offrir (13%), les objets connectés seront cette année bel et bien au pied du sapin.« 17% des Français ont acquis un objet connecté durant le confinement et malgré ce chiffre important pour un épisode de « seulement » deux mois, les intentions d'achat pour Noël restent relativement stables par rapport à l'année dernière (21% des Français). L'équipement des foyers français en matière d'objets connectés progresse donc en permanence » explique Claire Verbrugge, Directrice marketing Boulanger.A noter également la progression chaque année du nombre de Français prêts à faire le choix du reconditionné pour s'équiper. Il grimpe cette année à 50% (+2 points par rapport à 2019). Une hausse encore plus notable chez les 18-24 ans qui sont 64% à le déclarer (+4 points par rapport à 2019). Un moyen pour toutes les catégories de Français, des plus modestes aux plus aisés, de maîtriser leur budget (49%) et de préserver les ressources naturelles (35%)..Le saviez-vous ?Seuls 15% des Français font appel à l'offre de service du vendeur pour installer et profiter du plein usage de leur appareil connecté. 10% d'entre eux déclarent ne pas savoir que ce service existe. Il est pourtant possible de bénéficier de service « Livré-connecté » ou encore d'une aide à l'installation par visio ou par téléphone sur rendez-vous. Grâce à ces services les clients peuvent profiter de leur appareil connecté immédiatement. Lorsqu'elle a lieu à domicile, l'installation se fait dans le respect des gestes barrières, pour la sécurité de tous.*Baromètre IFOP pour Boulanger « Les Français et les Objets Connectés » - Questionnaire auto-administré en ligne auprès d'un échantillon représentatif de la population française - septembre 2020.
Il y a 4 ans et 223 jours

Au S AM, Tsuyoshi Tane – Archéologie du Futur

A Bâle, le Musée d’architecture suisse (S AM) accueille l’exposition monographique Archéologie du Futur de l’atelier parisien Tsuyoshi Tane avec comme objectif de partager ce processus créatif avec le grand public. Jusqu’au 28 février 2021. Quel rôle l’architecture peut-elle jouer dans la médiation entre passé et futur ? C’est la question que l’architecte Tsuyoshi Tane […] L’article Au S AM, Tsuyoshi Tane – Archéologie du Futur est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 224 jours

Grands paradoxes entre la perception des élus et la situation de l'investissement public

ETUDE. Lors d'une conférence de presse le 15 octobre 2020, la FNTP a mis en avant deux études afin d'essayer "d'objectiver" la situation de l'investissement public, l'état d'esprit des élus locaux, et les confronter au ressenti des entrepreneurs des travaux publics, inquiets pour leur activité et pour l'emploi en 2021. Batiactu décrypte ces deux études, dont les résultats sont disponibles en téléchargement.
Il y a 4 ans et 224 jours

Pas d'édition physique du salon Mapic cette année à cause de l'épidémie

"L'édition 2020 du Marché international de l'implantation commerciale et de la distribution (Mapic) se fera entièrement en ligne via une nouvelle plateforme digitale", indique un communiqué."L'événement physique, initialement prévu du 17 au 19 novembre à Cannes, est annulé en raison de l'impact continu de la Covid-19", précise-t-il.Il en est de même pour "LeisurUp", un nouveau salon professionnel dédié uniquement au créneau du loisir, qui devait avoir lieu en même temps que le Mapic."Mapic Digital réunira les professionnels de l'immobilier commercial, de la distribution et du loisir, du monde entier", a commenté Nathalie Depetro, directrice du Mapic, citée dans le communiqué. Ils pourront notamment y "organiser des rendez-vous d'affaires virtuels", "assister à des conférences en ligne" ou encore "accéder à du contenu exclusif comme des livres blancs".L'an dernier, le Mapic avait réuni pendant trois jours environ 8.500 participants venus de 80 pays.
Il y a 4 ans et 224 jours

Grand Prix national de l'ingénierie : Ingérop deux fois lauréat

RECOMPENSES. Ingérop a remporté deux des quatre distinctions du grand Prix national de l'ingénierie, dont l'annonce des lauréats a eu lieu le 15 octobre, à Paris.
Il y a 4 ans et 224 jours

Les plus pauvres sont de plus en plus découragés d'acheter leur logement

Il y a "une baisse des emprunteurs les plus modestes" parmi les crédits immobiliers accordés par les banques, a souligné ce jeudi Jean-Marc Vilon, directeur général de Crédit Logement.Cet organisme, qui réunit les principales banques françaises, vient de publier ses chiffres trimestriels sur l'état du marché. Etablis avec l'institut CSA, ils font référence pour le secteur.D'un côté, ils témoignent de conditions toujours très favorables, dans la lignée des dernières années: des taux extrêmement bas, 1,22% en moyenne en septembre, et des prêts accordés pour des durées historiquement longues, 19 ans et deux mois le mois dernier.Mais cela ne veut pas dire qu'il est toujours aussi facile d'emprunter pour acheter un logement.Au troisième trimestre, les banques ont diminué le nombre total de prêts immobiliers de près de 8% par rapport à un an plus tôt, et ce sont les plus pauvres qui en font largement les frais.Bien sûr, la crise sanitaire est passée par là avec, au printemps, plusieurs semaines de confinement qui ont bloqué de nombreuses opérations.Mais les professionnels évoquent une tendance plus large, avec un grand coupable en tête: les autorités financières, qui demandent depuis près d'un an aux banques de restreindre leurs conditions.Le ministère de l'Economie et la Banque de France enjoignent notamment aux banques d'éviter de prêter sur plus de 25 ans. Ils craignent que l'essor des prêts immobiliers, sensible depuis des années et largement lié à la politique très interventionniste de la Banque centrale européenne (BCE), finisse par se traduire par des opérations trop risquées.Vague d'impayés à l'horizonCes mesures ont vivement déplu à un large pan du monde immobilier, des courtiers en crédit jusqu'aux constructeurs de maison.Sur un ton parfois alarmiste, ils ont estimé que cela revenait à exclure de nombreux ménages du marché immobilier, en particulier ceux qui veulent acheter un logement pour la première fois.Est-ce une réalité? En partie. Les prêts immobiliers n'ont pas connu d'effondrement massif mais certaines catégories souffrent plus que d'autres."On a un marché où les primo-accédants, surtout les plus modestes, ont eu plus de mal à réaliser leurs opérations", a remarqué M. Vilon, qui s'exprimait dans une vidéo en ligne.Ces propos rejoignent les constats de grands acteurs comme Nexity, premier promoteur français. Son patron, Alain Dinin, affirmait en septembre que les mesures de restriction excluaient de fait près de la moitié de ses clients achetant leur premier logement."Socialement, politiquement, c'est une erreur de ne pas penser à permettre aux gens à revenus modestes de se loger", a martelé lors d'une conférence de presse M. Dinin, virulent depuis des mois contre ces restrictions.De leur côté, les autorités ont maintenu ces mesures à la rentrée et préviennent qu'il n'est pas d'actualité de revenir dessus.Au sein du Haut comité de stabilité financière (HCSF), qui réunit les autorités financières, on assume d'être prudent alors que la crise économique du virus s'annonce historique et qu'une explosion du chômage aurait de lourdes conséquences sur le remboursement des crédits."On ne peut pas exclure un gros accident sur le marché du travail", prévient une source proche du HCSF. "Ce n'est pas le scénario central, mais quand vous faites de la stabilité financière, il faut tenir compte de ça".Les gens sont-ils déjà en difficulté pour rembourser leurs crédits immobiliers? Pas encore, selon Crédit Logement, mais c'est parce que les banques ont fait des concessions ponctuelles pendant le confinement. A plus long terme, banques et emprunteurs risquent bien d'être rattrapés par la situation."C'est surtout 2021 qui va être marquée par l'arrivée de ces impayés sur le crédit immobilier", a conclu M. Vilon.
Il y a 4 ans et 224 jours

Offensive d'actionnaires minoritaires contre la direction d'Unibail-Rodamco-Westfield

"Ce n'est pas une fronde, c'est une action constructive", a mis en avant jeudi lors d'une conférence téléphonique Léon Bressler, ancien PDG de 1992 à 2006 de la foncière, qui "mène" un consortium d'actionnaires aux côtés de Xavier Niel, l'entrepreneur aux multiples casquettes qui a notamment fondé Iliad (la maison mère de l'opérateur Free).Jeudi, dans un communiqué, ce "consortium d'investisseurs" a annoncé "lancer une action pour s'opposer au projet Reset" présenté en septembre par la direction du géant des centres commerciaux.Avec ce vaste plan, la foncière cherche à renforcer sa situation financière, affectée par l'impact du Covid-19, et prévoit entre autres une augmentation de capital de 3,5 milliards d'euros, des économies et 4 milliards d'euros de cessions.Les actionnaires d'URW doivent se prononcer sur l'augmentation de capital lors d'une assemblée générale extraordinaire convoquée le 10 novembre prochain.Le consortium d'investisseurs a indiqué jeudi qu'il voterait contre cette résolution et ils "appellent tous les actionnaires à faire de même".Le consortium réclame aussi "la nomination de trois nouveaux membres au conseil de surveillance", équivalent d'un conseil d'administration, "afin de renforcer le contrôle nécessaire sur le management et développer les compétences pour bâtir une stratégie alternative dans le meilleur intérêt d'URW et de toutes ses parties prenantes".Les réactions ont été logiques: en Bourse, le titre - en chute libre depuis le début d'année - a bondi de presque 15%, dans la perspective de voir s'éloigner une augmentation de capital qui diluerait la valeur de l'action.En revanche, la foncière a opposé un refus net aux demandes des minoritaires, qui "ajoutent incertitude et risque à un environnement actuel déjà complexe", juge-t-elle dans un communiqué qui assure du soutien unanime du comité de surveillance à l'actuelle stratégie."Accident industriel"A celle-ci, "nous pensons offrir une stratégie alternative", résume l'ancien PDG Léon Bressler.Il avait remis un pied dans la foncière URW en 2019, via la société d'investissement immobilière Aermont, en prenant 2% du capital. "Nous avons pris la décision d'avancer ensemble avec Xavier et acquis un complément d'actions", a-t-il précisé lors de la conférence téléphonique.Les deux hommes, qui proposent un projet alternatif baptisé "Refocus", pointent du doigt notamment le rachat en juin 2019 du géant anglo-saxon Westfield pour plus de 20 milliards d'euros, qui a endetté la foncière.Le plan Reset lancé par la direction du groupe "est une décision malheureuse prise par un management prisonnier de la stratégie désastreuse qu'il a engagée avec l'acquisition de Westfield", estime Léon Bressler."Cette acquisition a affaibli la position dominante d'URW en Europe avec en contrepartie une position marginale aux États-Unis, un marché beaucoup moins attractif. En outre, elle a endetté la société, elle a distrait le management et elle a conduit à une très mauvaise allocation des ressources", selon l'ancien PDG.L'opération est même qualifiée d'"accident industriel" par Xavier Niel, qui évoque "une triple erreur: un mauvais deal au mauvais moment et au mauvais prix".Il épingle "une gouvernance d'entreprise défaillante" à la tête de la foncière, et met en avant le fait que la stratégie proposée par le consortium vise "à repositionner URW en tant qu'acteur européen et +pure-player+"."Le cours de Bourse (d'URW) a baissé de 85%, ce n'est pas lié au Covid-19 et cette baisse avait été entamée majoritairement avant la crise du Covid", pointe M. Niel.Pour Léon Bressler, "il y a une sortie par le haut, alors pourquoi prendre la sortie par le bas qui détruit le capital et qui ne prévoit rien pour l'avenir de l'entreprise?" s'interroge-t-il.Interrogé sur l'intention éventuelle du consortium d'acheter d'autres actions, M. Bressler a indiqué: "c'est une possibilité qui est ouverte, nous sommes prêts à investir bien davantage".Unibail-Rodamco-Westfield a dû fermer de nombreux centres pendant le pic de la crise sanitaire. Elle a accusé une perte nette de 3,5 milliards d'euros au premier semestre, où ses revenus ont chuté de 14,2% à 1,07 milliard d'euros.
Il y a 4 ans et 225 jours

Covid-19 : les entreprises devront arrêter un nombre minimal de jours de télétravail selon Borne

Dans la fonction publique, "chaque fois que cela pourra être concilié avec les nécessités du service, les administrations définiront dès la semaine prochaine une organisation du travail permettant deux à trois jours de télétravail par semaine", a déclaré le Premier ministre Jean Castex lors d'une conférence de presse, au lendemain de l'intervention d'Emmanuel Macron sur la crise sanitaire.De son côté, Élisabeth Borne, la ministre du Travail, a annoncé que le protocole sanitaire demandera aux entreprises, "tout particulièrement à celles qui sont dans les zones où s'appliquent le couvre-feu, de définir un nombre de jours minimal de télétravail par semaine pour les postes qui le permettent".Il leur sera également demandé "dès la semaine prochaine" d'étaler "les horaires d'arrivée et de départ au travail".Selon le projet de protocole dont l'AFP a obtenu copie et qui doit être publié vendredi, le télétravail reste "recommandé en ce qu'il participe à la démarche de prévention du risque d'infection au SARS-CoV-2 et permet de limiter les interactions sociales aux abords des lieux de travail et sur les trajets domicile-travail".A ce titre, dans les zones soumises à couvre-feu, "les employeurs fixent, dans le cadre du dialogue social de proximité, un nombre minimal de jours de télétravail par semaine pour les postes qui le permettent. Ils sont également invités à le faire dans les autres zones. Ils veillent au maintien des liens au sein du collectif de travail ainsi qu'à la prévention des risques psycho-sociaux"."En complément, et dans les zones soumises à couvre-feu, les employeurs adaptent les horaires de présence afin de lisser l'affluence aux heures de pointe. Ils sont également invités à le faire dans les autres zones".Emmanuel Macron a préconisé mercredi "deux à trois jours de télétravail par semaine" dans les entreprises où cela est possible, pour "réduire un peu la pression collective"."Il faut trouver un compromis entre le télétravail, son intérêt pour réduire les interactions sociales, mais aussi prendre en compte cette nécessité de collectif dans le travail et faire attention aux risques psychologiques pour les salariés", face à l'isolement, a ajouté Élisabeth Borne sur BFMTV jeudi dans la soirée.Par ailleurs, une fiche pratique sera diffusée "dans les prochains jours" sur les règles à appliquer dans la restauration collective, a-t-elle encore précisé sur LCI.Le projet de protocole, qui continue d'imposer le port du masque en entreprise, indique également que "l'employeur veille au respect des gestes barrière lors des moments de convivialité réunissant les salariés dans le cadre professionnel".
Il y a 4 ans et 225 jours

Efficacité énergétique : nouvelle équipe et nouvelle feuille de route pour le Synasav

PROFESSION. Le Syndicat national de la maintenance et des services en efficacité énergétique (Synasav) a profité d'une conférence de presse organisée ce 14 octobre 2020 pour dévoiler l'équipe dirigeante entourant son nouveau président fraîchement élu, Roland Bouquet. L'occasion aussi de revenir sur les principaux enjeux et chantiers de ce nouveau mandat, au premier rang desquels la formation et l'apprentissage.
Il y a 4 ans et 225 jours

Gouttière et Couvertine en aluminium laqué : découvrez le procédé Araltec de profilage sur-mesure directement sur le chantier !

Profileuse à gouttière et couvertine directement sur le chantierLes profileuses Araltec sont directement installées dans un fourgon-atelier, permettant ainsi de profiler les gouttières ou couvertines en aluminium laqué, en continu sans joint ni soudure pour une parfaite étanchéité.Ce processus innovant permet de profiler la gouttière et la couvertine sur mesure en un seul tenant, directement sur le chantier. Disponibles en 21 coloris, les gouttières et couvertines Araltec en alu pré-laqué s'adaptent à tout type de construction : neuf, ancien, maison individuelle, bâtiments industriels, agricoles, tertiaires …La société Araltec propose un matériel de profilage robuste et fiable, ayant fait ses preuves depuis plus de 40 ans et nécessitant très peu d'entretien. Elle offre un service complet aux professionnels, avec l'installation de la profileuse dans le fourgon, une formation technique et commerciale, un accompagnement et des conseils permettant à ses clients de développer leur entreprise : un vrai partenariat.Découvrez ce procédé innovant :Bobines et feuilles en aluminium pré-laquéAraltec utilise exclusivement de l'aluminium fabriqué et laqué en France.Le choix du pré-laquage s'est rapidement affirmé comme l'une des techniques les plus modernes et les plus avancées de revêtement de métal avant façonnage et profilage. Le métal pré-laqué est plus durable et plus résistant à la corrosion que le métal post-laqué.Araltec utilise un alliage noble d'aluminium de première fusion, qui lui permet de travailler une matière première détenant toutes ses caractéristiques et ses propriétés. La grande pureté de cet aluminium assure la durabilité et l'adaptabilité de nos produits à toutes les régions, sous toutes conditions climatiques.Les bobines et feuilles Araltec sont disponibles en plusieurs dimensions, épaisseurs et en 22 coloris !ARALTEC c'est une gamme de produits variés pour toits plats et inclinés : gouttières corniches, demi-rondes, rectangles, descentes, couvertine, boîte à eau, lambris, habillage et pliage, protège-gouttière, divers accessoires … le tout en aluminium laqué de première fusion !Pour plus d'information, rendez-vous sur le site d'Araltec :https://www.araltec.fr/
Il y a 4 ans et 225 jours

Un nouveau verre feuilleté neutre, transparent et brillant

Eastman et Guardian annoncent conjointement le développement du nouvel intercalaire PVB Saflex® Crystal Clear d’Eastman, conçu pour produire l’un des verres feuilletés à faible teneur en fer à la couleur la plus neutre et la plus brillante disponible aujourd’hui : Guardian UltraClear® LamiGlassTM Neutral. Ce nouveau verre est adapté à une large gamme d’applications nécessitant brillance, neutralité, transparence et sécurité. En intérieur : Portes intérieures, séparations, balustrades, escaliers et garde-corps, vitrines d’exposition, vitrines de musées… En extérieur : Revêtements, murs-rideaux, façades, fenêtres, verrières, portes extérieures, vitrines de magasins… La gamme est, dans un premier temps, disponible à partir du 15 octobre 2020 en Europe.
Il y a 4 ans et 225 jours

Les 27e rencontres d'Averroès questionnent des "cités à la dérive" en Méditerranée

Intitulée "Cités à la dérive ", l'édition 2020, qui se tiendra du 19 au 22 novembre, est inspirée d'un livre de l'écrivain grec Stratis Tsirkas."Est-ce que Marseille est une cité à la dérive ? C'est une question que l'on peut se poser", a considéré Thierry Fabre, concepteur de ces rencontres qui veulent replacer les sciences humaines dans le débat public, lors d'une conférence de presse de présentation mardi.En disant cela, il pense aux évènements de la rue d'Aubagne à Marseille, où s'étaient effondrés plusieurs immeubles le 5 novembre 2018, faisant 8 morts, a-t-il expliqué.L'explosion survenue le 4 août 2020 dans le port de Beyrouth a également alimenté sa réflexion."On a pu voir ce qu'était vraiment une cité à la dérive. Des secousses ont traversé cette ville, qui s'est effritée, privatisée par les milices et la spéculation immobilière. Une ville, au fond, qui a perdu le sens de l'espace public", a encore souligné Thierry Fabre.Une attention particulière sera ainsi portée à ces "deux grandes villes-ports de Méditerranée", au cours de ces rencontres.Comment s'adaptent-elles face au changement climatique et à la mondialisation ? Qu'en est-il des cités marquées par des conflits ? Assiste-t-on à des "urbicides" ? Comment bâtir pour demain ?Chercheurs, architectes et artistes aborderont ces questionnements au travers de quatre tables rondes, clés de voûte de la manifestation depuis sa création en 1994. Deux soirées-concerts et une série d'ateliers destinés au jeune public se tiendront également.Malgré le contexte sanitaire, la jauge de visites sera presque équivalente aux années précédentes, ont indiqué les organisateurs, grâce à une deuxième salle mise à disposition et où seront retransmises les tables rondes, portant la capacité à 650 visiteurs environ.Des incertitudes demeurent, en revanche, quant à la venue d'un chercheur, Irad Malkin, professeur d'histoire de l'Antiquité grecque, basé à l'université de Tel Aviv en raison de la crise sanitaire.Pour les autres intervenants, les organisateurs ont privilégié des chercheurs habitant la France.Jusqu'alors gratuites sur réservation, les tables rondes coûteront cette année un euro symbolique aux visiteurs, pour faciliter la gestion des flux.
Il y a 4 ans et 225 jours

A Rotterdam, un futur entrepôt d'œuvres d'art accessible au public

Le Dépôt Boijmans Van Beuningen ouvre de vendredi à dimanche ses portes aux habitants de la ville portuaire pour leur donner un aperçu de l'avancement des travaux, en attendant son inauguration prévue à l'automne 2021.Le dépôt, une gigantesque construction en forme de bol et recouvert de miroirs, abritera quelque 160.000 oeuvres d'art, que les visiteurs pourront admirer dans leur ensemble.Seulement environ 6% de la collection complète d'un musée est exposée au public, le reste se trouvant entreposé dans des lieux fermés, explique à l'AFP Sjarel Ex, le directeur du musée Boijmans Van Beuningen, lors d'une visite à la presse jeudi."Ce dépôt accessible au public est peut-être la nouvelle forme la plus radicale de faire un entrepôt en ce moment", estime le directeur, qui a eu l'idée du concept.Le but est d'entretenir la collection du musée tout en restant ouvert au public, qui pourra notamment assister à des restaurations.Même si certains musées proposent un accès limité à leurs espaces de stockage, le Dépôt Boijmans Van Beuningen sera le premier entrepôt de cette taille au monde où les visiteurs pourront demander à tout voir, se réjouit l'architecte Winy Maas.Par petits groupes, ils pourront par exemple se rendre dans toutes les pièces de stockage, sous l'oeil attentif d'un garde."Je vois que cela ouvre l'esprit à d'autres musées et à d'autres pays, en quelque sorte pour dire, +bon, nous avons une responsabilité publique vis-à-vis de notre collection+", déclare M. Maas, qui a conçu le bâtiment avec son agence MVRDV.Le projet, dont le coût est estimé à 92 millions d'euros, est principalement financé par des donations privées.
Il y a 4 ans et 226 jours

Les nouveaux sacs de chaux Calcia et Socli font la part belle à la matière et aux sens de la chaux

Les deux filiales du Groupe HeidelbergCement proposent une gamme complète de chaux naturelles pour répondre à tous les besoins en restauration et rénovation des bâtis. Si à l'occasion des Trophées de la chaux, concours qu'elles organisent conjointement tous les deux ans, lumière est faite sur les techniques de restauration et le savoir-faire des artisans, c'est clairement le matériau lui-même qui est valorisé par ce nouveau packaging des produits, lancé à partir de septembre.La chaux est "Matière" : elle a permis à l'homme de mener à bien ses entreprises architecturales les plus audacieuses (comme les voies romaines ou le célèbre Pont du Gard). Matériau minéral et naturel, elle connaît aujourd'hui un essor important dans le cadre de chantiers anciens et neufs, notamment parce qu'elle permet de conserver l'authenticité des édifices. Ses atouts sont multiples, agréable à mettre en œuvre grâce à sa plasticité, elle peut aussi se retirer facilement sans abîmer le support. Perméable, elle laisse respirer les murs et participe au confort des habitations.La chaux fait également appel aux "Sens" : la vue d'une part, parce que neutre ou teintée (avec des pigments naturels ou des sables locaux propres aux différents terroirs et aux particularités régionales), elle s'avère résolument esthétique. Le toucher d'autre part, car elle offre une multitude de finitions, grattées, lissées, talochées... au gré des envies et grâce, bien sûr, à l'expertise des artisans qui la manient.Outre cette mise en avant de l'ADN de la chaux, la nouvelle charte emballage présente l'avantage d'une lisibilité optimale. Elle repose, en effet, sur une grande sobriété graphique au profit d'informations essentielles pour le compagnon : les applications des produits figurent désormais sur la face du sac.Soulignons que les codes couleurs par produit sont, quant à eux, restés les mêmes, afin que les artisans habitués aux diverses références puissent continuer de les identifier immédiatement. De même, la qualité normative et les propriétés des diverses chaux restent identiques.Côté Ciments Calcia, la gamme, large et complète, dispose de 5 solutionsLa chaux aérienne éteinte CAEB est préconisée pour les finitions d'enduits en restauration, les peintures à la chaux (badigeons, patines) et les stucs. Au rang des chaux hydrauliques naturelles, Rénoblanche se destine à la réalisation d'enduits et de rejointoiement de pierres. Sa blancheur élevée et constante procure aux enduits une luminosité incomparable et met en valeur les sables locaux. Rénobat, quant à elle, offre des résistances mécaniques plus élevées à court terme, pour une utilisation sur des supports plus résistants. C'est une solution idéale en vue de la réalisation de murs et d'enduits extérieurs. Enfin, pour ce qui est des chaux hydrauliques (2/3 de chaux hydraulique naturelle, 1/3 de ciment hautes performances, adjuvants), Renocal (blanche) et Calix (grise) sont recommandées pour les enduits en application manuelle ou mécanique, en neuf comme en rénovation. Ces chaux sont disponibles dans les réseaux de distribution de matériaux de construction du territoire.Côté Socli, la gamme s'avère encore plus étendue, sachant que rappelons-le, Socli est chaufournier depuis plus de 150 ansEn 2019, elle a obtenu le label "Entreprise du Patrimoine Vivant" soulignant son savoir-faire et son expertise de chaufournier.Ainsi les chaux hydrauliques naturelles Chaux Socli et Rénochaux, les chaux hydrauliques Chaulys blanche et Batiliant, les enduits extérieurs Cent%, Rénocolor, et intérieur Monolys, ou encore l'enduit décoratif Taddelakt, pour citer les références les plus emblématiques, incarnent la grande diversité des usages permise par cette large gamme. Précisons que Socli se positionne comme acteur privilégié du Sud-Ouest, rayonnant sur les régions Occitanie/Pyrénées-Méditerranée et Nouvelle Aquitaine.
Il y a 4 ans et 226 jours

Préventica lance “la semaine digitale de la santé-sécurité au travail”

L’édition de Préventica en présentielle de 2020 est reportée à 2021 [©Préventica] En raison de la situation sanitaire en France et suite aux mesures prises par le Préfet du Nord, Préventica Nord France est dans l’obligation de reporter son édition 2020. Cependant, afin de répondre aux besoins des acteurs de la filière, l’organisateur du salon lance “la semaine digitale de la santé-sécurité au travail”. Ainsi, du 19 au 23 octobre prochains, la plate-forme digitale est mise à disposition des acteurs économiques du Nord de la France. Cette semaine “digitale” offre la possibilité aux exposants et aux participants de se rencontrer virtuellement, grâce à un système de demandes de contact et de prise de rendez-vous en ligne. De plus, lors de cette semaine, quelque 60 web-conférences gratuites seront programmées sur les thématiques du télétravail, du stress, de l’organisation du travail … Pour retrouver l’ensemble des web-conférences et s’inscrire gratuite, rendez-vous sur le site de Préventica Nord France. Plus de 200 professionnels de la santé et de la sécurité au travail seront présents en ligne. Ceci, pour échanger et donner des conseils en direct.  La version présentielle de Préventica Nord France, est quant à elle, reportée en 2021, dans un contexte que l’on espère tous meilleur.
Il y a 4 ans et 227 jours

Syndicats et patronat appelés à discuter du partage de la valeur en entreprise

Patronat et syndicats sont invités à commenter ces idées qui ne sont "ni exhaustives, ni intangibles" d'ici au 23 octobre, avant le lancement d'une concertation lors de la deuxième "conférence de dialogue social", le 26 octobre à Matignon.Dans ce document, le ministère se fixe comme objectif de "mieux lier la rémunération du travail à la performance de l'entreprise, que celle-ci soit économique ou sociale".A cette fin, il propose "la création de dispositifs de rémunération variable collective simplifiés pour les petites entreprises", ainsi que "le développement de l'actionnariat salarié, par exemple en distribuant une part d'actions gratuites aux salariés au titre de la participation ou en renforçant l'incitation au versement d'épargne salariale dans les fonds d'actionnariat salarié".La participation est aujourd'hui le seul dispositif d'épargne salariale dont la mise en place est obligatoire pour les entreprises d'au moins 50 salariés. D'après la Dares, en 2019, sur un nombre total de 3,8 millions de salariés bénéficiaires de la participation, seulement 115.000 travaillaient dans des entreprises de moins de 50 salariés. Le montant moyen versé a été de 1.393 euros.L'intéressement est un dispositif facultatif, ouvert à toutes les entreprises. En 2018, seuls 10,5% des salariés des entreprises de 10 à 50 salariés étaient couverts par un dispositif d'intéressement, contre 60% pour les entreprises de plus de 250 salariés et 32% toutes entreprises confondues. Le montant moyen versé était de 1.622 euros.S'agissant des opérations d'actionnariat salarié, la Dares indique qu'en 2017, 1,7% des entreprises de 10 salariés ou plus, employant 8% des salariés, ont mis en place une opération d'actionnariat salarié avec une part nettement plus importante parmi les sociétés cotées (32,1%). Il y a environ 3,5 millions de "salariés-actionnaires" en France.Le ministère veut aussi "renforcer l'égalité dans le partage de la valeur entre salariés et notamment entre les femmes et les hommes". Il préconise notamment "l'évolution de l'index de l'égalité professionnelle qui pourrait passer par la création d'un nouvel indicateur présentant la part de femmes parmi les cadres dirigeants".
Il y a 4 ans et 227 jours

Le Congrès des Maires et les Rencontres Territoires Innovations du SMCL auront bien lieu

Le Congrès des Maires et le Salon des Maires et des Collectivités locales prendront leurs quartiers à l’Accor Arena du 24 au 26 novembre prochain. L’épidémie de Covid a obligé les organisateurs à revoir ces événements. Explications…
Il y a 4 ans et 227 jours

La crise sanitaire interroge les artisans, commerçants et chefs d'entreprise sur leur future retraite

71% des actifs seniors déclarent s'être posé des questions sur les conséquences possibles de la crise sanitaire sur leur future retraiteLa crise sanitaire a modifié les conditions de travail de nombreux actifs âgés de 50 à 62 ans: 41% d'entre eux déclarent avoir pratiqué le télétravail. Parmi eux, 44% des salariés et surtout les trois quarts des cadres (76%) sont concernés. Par ailleurs, le contexte de crise a fait évoluer la situation professionnelle d'un peu plus d'un quart des actifs âgés de 50 à 62 ans, concernés par une période de chômage ou d'activité partielle et/ou par une baisse de rémunération.Toutes ces situations ont conduit les actifs à quelques années de la retraite à se projeter dans la suite de leur carrière professionnelle, à anticiper la préparation de leur retraite ou à l'appréhender différemment. La moitié d'entre eux (51%) estiment que le contexte de crise pourrait les inciter à revoir leur rapport à la retraite. Un tiers (33%) avouent avoir déjà commencé à y réfléchir. La proportion monte à 54% chez les artisans, commerçants, chef d'entreprise, plus impactés que d'autres catégories par une baisse de revenus. Le montant de la retraite : 1ère source de questions et de motivation de départ à la retraiteParmi les questions que se posent aujourd'hui les actifs âgés de 50 à 62 ans sur leur future retraite, deux sujets arrivent en tête : le montant de leur future retraite et le nombre d'années qu'il leur reste à travailler pour avoir une retraite suffisante, pour plus de 80% d'entre eux. Ces actifs avouent d'ailleurs que l'aspect financier pèse fortement dans le choix de leur départ à la retraite (84%) avec notamment la volonté d'acquérir un pouvoir d'achat suffisant.Parmi leurs autres questionnements, les sondés déclarent se soucier également de l'impact que peuvent avoir sur leur future retraite leurs choix de vie personnels et professionnels (74%). Enfin, et le contexte actuel pouvant y contribuer, 70% d'entre eux avouent s'interroger sur les possibilités de fin de carrière accessibles dans leur situation (retraite anticipée, retraite progressive, dispositif carrière longue…).L'importance de conseils personnalisés pour étudier les possibilités de fin de carrière Pour répondre à leurs questions et les aider à préparer leur départ à la retraite, plus de 70% des actifs âgés de 50 à 62 ans soulignent l'importance de conseils et services personnalisés (77%). Principalement pour savoir ce à quoi ils auront droit une fois à la retraite compte-tenu de leur parcours, mais aussi pour être accompagnés dans leurs réflexions et choix futurs, et notamment sur les possibilités et aménagements de fin de carrière. Ils sont plus nombreux encore (80%) à requérir un accompagnement personnalisé pour faire le point sur les démarches administratives à effectuer. A noter que les femmes, parfois confrontées à un parcours professionnel moins linéaire, sont plus intéressées par des conseils personnalisés sur les dispositifs de prolongation d'activité (surcote, majorations ou cumul emploi-retraite) que les hommes (74% contre 66%). Les caisses de retraite sont les premières sources d'information sur la retraitePour répondre aux interrogations des actifs et à leur besoin d'accompagnement, les organismes de retraite proposent des services et outils d'aide à la décision gratuits et communs à l'ensemble des régimes de retraite. Ainsi, ils sont accessibles en ligne sur les espaces personnels des sites www.lassuranceretraite.fr ou www.agirc-arrco.fr. Les actifs ont notamment la possibilité de consulter en ligne leur relevé de carrière ou de calculer le montant et l'âge de leur départ à la retraite. Plus des trois quarts des actifs âgés de 50 à 62 ans déclarent connaître ces deux services en ligne. En revanche, de la connaissance des outils à leur utilisation, un pas reste à franchir : seul un de ces actifs sur deux indique avoir eu recours au simulateur de retraite en ligne. De même, moins de la moitié d'entre eux savent que certains organismes de retraite offrent la possibilité de joindre un conseiller retraite en ligne et seuls 10% déclarent y avoir eu recours.La majorité des actifs âgés de 50 à 62 ans (54%) identifient les caisses de retraite comme principales sources d'information sur la retraite. Les actifs déclarent se tourner également vers leur environnement professionnel, leur entourage familial ou d'autres acteurs privés.« La crise sanitaire est comme pour chaque évènement majeur intervenant dans une vie l'occasion d'une prise de recul sur sa situation personnelle et professionnelle, sur ses aspirations actuelles et futures. Pour les actifs à plus ou moins dix ans de l'âge de la retraite, le contexte les amène à reconsidérer leur rapport à la retraite et à s'interroger. Pour autant, leurs interrogations restent conformes à celles qui nous sont posées habituellement : À quel moment vais-je partir à la retraite et combien vais-je toucher ? C'est pour répondre à leur besoin d'informations et de conseils propres à chaque situation personnelle, que nous organisons tous les ans les Rendez-vous de la retraite. Nous allons au-devant des actifs pour leur proposer sur une semaine des créneaux d'information en ligne, par téléphone ou dans l'un des 230 points d'accueil ouverts cette année avec l'Assurance retraite, à travers le territoire. L'événement qui est une fois encore un grand succès doit permettre d'offrir un coup de projecteur à l'offre d'accompagnement que nous mettons gratuitement à la disposition des actifs »François-Xavier Selleret, Directeur de l'Agirc-Arrco« Les « Rendez-vous de la retraite » nous donnent une belle opportunité d'aller à la rencontre de nos assurés et de répondre à leurs questions actuelles, dans le contexte de crise sanitaire. Ils illustrent notre volonté commune d'offrir à l'assuré un service global et simplifié : c'est une nouvelle étape dans la coopération entre l'Assurance retraite et l'Agirc-Arrco ! Cet évènement est également l'occasion de valoriser les services développés par nos équipes. Forts des expériences et savoir-faire des deux régimes, nous misons sur la synergie entre les services digitaux et l'accueil en Carsat et Cicas pour répondre au plus près des besoins des assurés. Pendant six jours, 40 000 rendez-vous sont proposés au public : ils permettront d'obtenir une information personnalisée, gratuite et experte sur la retraite. En raison du contexte sanitaire, cette opération est prévue en présentiel et en distanciel. Les conseillers mobilisés seront amenés à répondre à toutes les questions posées par les assurés, qui peuvent reconsidérer leur retraite prochaine ou future selon l'impact de la crise sanitaire sur leur situation personnelle et professionnelle. »Renaud Villard, Directeur de l'Assurance retraiteMéthodologie de l'ÉtudeCette étude a été réalisée en ligne du 17 au 23 septembre 2020 par OpinionWay, pour le compte de l'Assurance retraite et de l'Agirc-Arrco, auprès d'un échantillon de 2004 personnes représentatif de la population française active âgée de 50 à 62 ans. L'échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d'âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d'agglomération et de région de résidence. La marge d'erreur pour un échantillon de 2000 personnes est de 1, à 2,2 points. OpinionWay a réalisé cette enquête en appliquant les procédures et règles de la norme ISO 20252Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante : « Sondage OpinionWay pour L'Assurance retraite et l'Agirc – Arrco » et aucune reprise de l'enquête ne pourra être dissociée de cet intitulé.
Il y a 4 ans et 227 jours

Immersion au coeur de la Bourse de Commerce – Pinault Collection

Rendez-vous est pris le 23 janvier 2021. Initialement prévue au printemps 2020, puis repoussée d’un an à cause... Cet article Immersion au coeur de la Bourse de Commerce – Pinault Collection est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 227 jours

Le dessin d’architecture ou comment Sergei Tchoban relie passé et futur

Quel rôle pour le dessin dans l’architecture moderne ? Selon l’architecte Sergei Tchoban, les fantasmes architecturaux permettent de créer des formes complexes pour envelopper la ville. Une approche historique et visionnaire ? La Galerie d’Architecture de Paris a accueilli en mars et avril 2020 Une ville dessinée, une exposition personnelle de dessins de l’architecte et artiste germano-russe […] L’article Le dessin d’architecture ou comment Sergei Tchoban relie passé et futur est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 227 jours

ConstruirAcier récompense 10 projets d'architecture en acier aux échelles variées et expressions fortes

« Ce palmarès témoigne et exprime à quel point l'acier est bien cet outil indispensable à la fabrication d'immeubles dont la destination ne se résume pas au monde industriel mais s'élargit aux ouvrages dont l'usage est domestique, le contenu technique ou la dimension publique accomplie. »-Francis Soler, Président des 6e Trophées Eiffel Déléguée générale et directrice de la communication de ConstruirAcier, Charlotte Flores a salué l'audace architecturale des réalisations primées et rappelé que la filière acier-construction s'inscrit bien dans cette dynamique créative. « Le matériau acier propose aujourd'hui des solutions innovantes pour construire bien, fiable, rapide, responsable, durable, résilient, économique et performant, a-t-elle souligné. La crise sanitaire et économique que traverse le monde et la France pousse aujourd'hui à reconsidérer les schémas d'action et de pensée dans la construction. Patrimoniale, industrielle et architecturale, pleinement ancrée dans les territoires avec ses 175 000 emplois, dotée d'une forte capacité de production, la filière acier-construction est prête pour apporter le meilleur dans la construction française et participer aux grands chantiers des métropoles ». Les 10 lauréats des 6e Trophées Eiffel dans 10 catégories sont…Catégorie APPRENDRE - regroupe tous les lieux d'enseignement publics ou privés, centres de formation, crèches Lycée Léonard de Vinci, St Germain en LayeMaître d'ouvrage : Région Ile-de-France, Maîtrise d'ouvrage déléguée : IDF Construction DurableArchitecte : TANK Architectes & COSABET : Bollinger + GrohmannConstructeur métallique : Baudin-ChâteauneufConstructeur : Colas Catégorie ARCHITECTURE ET INGENIERIE (nouvelle catégorie 2020)Hippodrome PARIS LONGCHAMPMaître d'ouvrage : France GALOPArchitecte : Dominique Perrault ArchitecteBET : TRACTEBELBE METAL : JAILLET-ROUBYCatégorie DIVERTIR -regroupe stades, gymnases, salles de sport, équipements culturels...Halle multifonctionnelle - Le forûm, Soults-sous-ForêtsMaître d'ouvrage : Commune de Soultz-Sous-Forêts, HohwillerArchitecte : RHB ArchitectesBET : ALEC STRUCTUREConstructeur métallique : WILHELM SACatégorie FRANCHIR - regroupe viaducs, ponts, passerelles et tout ouvrage de franchissement Passerelle de l'Aiguille Rouge, Bourg-Saint-MauriceMaître d'ouvrage : ADSArchitecte : SG ArchitecteBET : KEOPSConstructeur métallique : Bellet IndustrieCatégorie HABITER - regroupe logements collectifs ou individuelsVilla Rohan, BordeauxMaître d'ouvrage : Natcha COSTAArchitecte : Atelier CambiumBET : C3Constructeur métallique : C2BCatégorie TRAVAILLER - regroupe immeubles de bureaux, bâtiments de production, de logistiques, de commerce... BT6 – Réhabilitation d'un entrepôt et surélévation du bureaux, BèglesMaître d'ouvrage. SCI Terres NeuvesArchitecte : Nadau Architecture / Faye Architectes et AssociésBET : IBCConstructeur métallique : SOBLACOCatégorie INNOVATION - présente une innovation architecturale et environnementale majeureSuper Pausée, PloemelMaître d'ouvrage : La Belle FolieArchitecte : vous architectureBET : Yohann LesléConstructeur métallique : BfactoryCatégorie PRIX SPECIAL RESTRUCTURATION (nouvelle catégorie 2020 souhaitée par Francis Soler). Carré Michelet, la DéfenseMaître d'ouvrage : Gecina (Eurosic)Architecte : Cro&Co ArchitectureBET : CE IngénierieConstructeur métallique : Gagne Catégorie VOYAGER - regroupe gares, aéroports, pôles de transport, parkings, téléphériques...Nouveau Terminal T1, Aéroport de Lyon-Saint ExupéryMaître d'ouvrage : Aéroports de LyonArchitecte : Rogers Stirk Harbour – Partners / ChabanneBET : Technip TPS Catégorie INTERNATIONAL - présente un projet architectural internationalDen Blå Planet, l'aquarium national du Danemark, CopenhagueArchitecte : 3XNMaître d'ouvrage : The Building Foundation, Den Blå PlanetComposition du jury des Trophées Eiffel 2020Président du Jury :Francis Soler, architecteJacques Sebbag, architecte, archi5Olivier Leclercq, architecte, vice-président de la maison d'architecture, Île-de-FranceMitsu Edwards, ingénieure directrice adjointe, Eckersley O'CallaghanAmélie Luquain, architecte et journaliste spécialisée, Le MoniteurNadège Mével, rédactrice en chef EXEGilles Davoine, rédacteur en chef de AMCChristophe Leray, rédacteur en chef de Chroniques d'architectureDavid Abittan, rédacteur en chef de tema.archiChristine Le Nouy, secrétaire générale SCMFPour Stéphane Herbin, architecte, Directeur du département Innovation au CTICM (centre technique et industriel de la construction métallique), présent lors de la remise des Trophées Eiffel « Il faut construire, encore plus aujourd’hui, en s’interrogeant sur « le bon matériau au bon endroit ». « A travers ces trophées, nous en avons une belle illustration. Au-delà de ses propriétés de protection anti-feu, de légèreté et de solidité, l’acier permet de répondre aux préoccupations environnementales et aux enjeux de l’économie circulaire. Les solutions constructives de l’acier sont propices à l’économie de ressources et au réemploi. Elles permettent de s’associer à tout autre matériau pour aborder la construction neuve et la rénovation. Grâce à la poutre cellulaire, il est possible de gagner un étage en plus tous les sept niveaux. Les produits de construction en acier sont aussi recyclés jusqu’à 98 % pour les poutres.Engagée dans le Comité Stratégique de Filière « Industries pour la construction », la filière place l’innovation au cœur de ses priorités : transition numérique et industrie du futur, fabrication additive, BIM, traçabilité et modularité grâce à la préfabrication, déconstruction programmée, prévention de la production de déchets… Dans l’analyse du cycle de vie qui prend en compte 26 indicateurs, l’acier a des résultats très significatifs concernant 25 critères en matière d’impact de zone photochimique, de déchets, d’eau…Le critère carbone, quant à lui, est un sujet de recherche avancée pour limiter son impact. L’acier est un matériau démontable, évolutif, qui favorise la réhabilitation, la surélévation et la mixité des matériaux. Ces atouts sont à prendre en compte aujourd’hui. »
Il y a 4 ans et 228 jours

Polygone, nouvelle revue d'architecture

Nouvelle venue dans les rayonnages des librairies, la revue d'architecture Polygone se revendique "indépendante, pluridisciplinaire et engagée". Rendez-vous sur la plateforme KissKissBankBank pour contribuer à son lancement. La critique d’architecture est morte, vive la critique! Il suffit de fréquenter les librairies pour faire tomber une croyance […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 228 jours

TERREAL s’engage dans la deuxième phase de son mécénat pour la sauvegarde du Château de La Salvetat Saint-Gilles en Occitanie

  A l’occasion des Journées européennes du Patrimoine, TERREAL, acteur historique de la terre cuite engagé dans la pérennisation des patrimoines architecturaux français, officialise la signature de la deuxième phase de son mécénat aux côtés de la Fondation du Patrimoine et de la Mairie de La Salvetat Saint-Gilles. Dans la continuité des travaux d’urgence entrepris depuis février 2018, cette deuxième phase correspond à la rénovation complète de la toiture du pavillon Est du château Raymond IV, soit 370 m2 de couverture de cet édifice emblématique de la région de Toulouse. Un chantier de sauvegarde du patrimoine mené en pleine crise sanitaire Château Raymond IV – ©Mairie de La Salvetat Saint-Gilles Depuis son acquisition par la Mairie en décembre 2016, le Château de La Salvetat Saint-Gilles, classé Monument Historique, est au centre d’un vaste chantier de sauvegarde ayant débuté par la restauration du pavillon Ouest, de ses planchers et de la toiture. La deuxième phase de travaux s’annonce encore plus ambitieuse avec tout un travail de reconstitution de la charpente, modelée sur celle de la première tour. Un travail de reprise en sous oeuvre a également été conduit, car cette partie avait été soumise au fil des années aux intempéries, et les murs, infiltrés d’eau, menaçaient de s’effondrer. Jean-Louis Rebière, architecte en chef des Monuments Historiques, témoigne : « Nous avons constaté que le château a été rénové par ajouts et retranchements successifs. Les pièces ont ainsi été recoupées au cours des siècles. Nous avons trouvé dans les décombres du pavillon Est des éléments de plafonds peints ainsi que des carreaux vernissés, tous deux vestiges du XVIIème siècle. A l’issue de la restauration en cours, il pourra être envisagé de restaurer ces précieux vestiges puis de les présenter de façon muséale. »  Un travail de longue haleine pour les différents acteurs du projet qui ont dû s’adapter face à la crise de la Covid-19.  « La situation sanitaire a certes retardé le chantier, mais nous en avons aussi profité pour travailler la charpente en atelier. Aujourd’hui, nous avons repris à trois personnes sur le chantier et nous amorçons tout juste la pose des tuiles. La vie continue ! », explique Sébastien Laffite de l’entreprise Rodrigues-Bizeul, spécialisée dans la restauration de bâtiments historiques.  De son côté, Jean-Louis Rebière souligne : « La mise à l’arrêt du chantier pendant le confinement était problématique surtout pour des raisons climatiques. Nous venions de restaurer le premier pavillon et de réaliser la consolidation des murs et arases du pavillon Est. Il y aurait pu avoir des désordres au niveau des maçonneries exposées aux intempéries, mais finalement le chantier s’est tenu convenablement et nous avons pu reprendre là où nous l’avions laissé. » Une tuile de la gamme Monuments Historiques sélectionnée pour les travaux de rénovation Possédant une implantation locale historique en Occitanie, TERREAL a souhaité s’associer au projet de sauvegarde par un don de tuiles plates de la gamme Monuments Historiques.  La tuile Pompadour en coloris brun-noir a été choisie par l’architecte pour son aspect patiné, semblable aux anciennes tuiles utilisées à l’époque, permettant ainsi de « retranscrire la temporalité de l’édifice et son authenticité ».  Principalement destinée à la restauration des toitures des bâtiments anciens de caractère ou des demeures d’exception, la gamme de tuiles Monuments Historiques est fabriquée à l’usine de Montpon en Dordogne qui existe depuis la fin du XIXe siècle. Les coloris et textures de ces tuiles plates sont obtenus par sablage et poudrage vitrifiés lors de la cuisson à près de 1000°C. L’emploi de ces matériaux inertes assure une longévité exceptionnelle contre l’érosion et la décoloration.  TERREAL a livré 28 palettes de tuiles et 2 palettes d’accessoires de toiture (arêtiers, rives) pour la restauration du pavillon Est, dont la toiture était complètement effondrée. La rénovation complète de la couverture devrait être achevée à l’automne 2020. Cette livraison vient compléter le don en 2018 de 40 palettes de tuiles pour la réfection des 260 m2 de toiture du pavillon Ouest du château.  François Arderiu, Maire de La Salvetat Saint-Gilles, précise : « Grâce au travail remarquable de nos charpentiers-couvreurs qui ont oeuvré avec passion, y compris durant le confinement, la dernière tranche de sauvegarde des toitures pourra être finalisée dès cet automne ».  La Mairie projette un bel avenir pour cet édifice, avec notamment l’étude de l’aménagement en parc des terrains entourant le Château, pour offrir au public un nouvel espace de convivialité et de divertissement. Des travaux complémentaires de restauration sont également envisagés pour permettre une ouverture à la population et aux futurs visiteurs, et faire de ce monument historique un équipement culturel. François Arderiu conclut : « Très vite, ce chantier visible depuis le centre de notre village, a suscité un engouement de la part de la population, concrétisé par les nombreux dons de particulier auprès de La Fondation du Patrimoine ainsi que par la sélection de ce projet pour la première édition du Loto de la mission Bern. Cette générosité des particuliers et des entreprises locales, telles que TERREAL, vis-à-vis de notre patrimoine historique, nous permettra de financer de nouvelles tranches de travaux sans surcoût notable pour notre commune. A ce titre, nous tenons vivement à remercier tous les acteurs de cet élan solidaire pour la protection de notre patrimoine ». Rénovation de la charpente du pavillon Est – ©Mairie de La Salvetat Saint-Gilles   La Fondation du patrimoine, opérateur financier de la mission Bern, a lancé une souscription publique afin de collecter des fonds pour financer ce projet en complément du financement des travaux, principalement supporté par l’Etat, la région Occitanie, le département de la Haute-Garonne et la commune de La Salvetat Saint-Gilles. Construit par Raymond IV, comte de Toulouse, entre 1088 et 1096, cet édifice est un véritable poste d’observation et de défense, situé sur l’arrête d’un plateau dominant de 90 mètres d’altitude. Le château a gardé son caractère de forteresse à travers les âges et a connu quelques « enjolivements » à la Renaissance, notamment des fresques et décors au pochoir datant du XVIIème siècle qui se situent dans la coursive surplombant la cour intérieure. A la Révolution, le propriétaire du château fut guillotiné sur la place du Trône à Paris. La propriété fut saisie, morcelée et vendue comme bien national. Depuis le XVIIIème siècle, plusieurs propriétaires se sont succédés et ont apporté quelques modernités.   A propos de la Fondation du Patrimoine Première organisation privée de France dédiée à la sauvegarde du patrimoine de proximité le plus souvent non protégé par l’État, la Fondation du Patrimoine est un organisme sans but lucratif créé par la loi du 2 juillet 1996. Reconnue d’utilité publique par le décret du 18 avril 1997, elle a pour mission de sauvegarder et mettre en valeur le patrimoine bâti, mobilier et naturel. Fédératrice et mobilisatrice autour d’une cause nationale, la Fondation du Patrimoine participe activement au renforcement de l’attractivité des territoires en devenant un partenaire privilégié des acteurs locaux et un moteur efficace du développement économique local et durable. Très proche du monde entrepreneurial, la Délégation régionale Occitanie-Pyrénées de la Fondation du Patrimoine a lancé depuis 2016 sept clubs d’entreprises, unissant ainsi des entreprises départementales et régionales prêtes à s’investir pour la préservation et la mise en valeur du patrimoine, et donc du territoire. Plus d’informations : www.fondation-patrimoine.org A propos de TERREAL Inspiré par plus de 150 ans de savoir-faire dans les matériaux de construction en terre cuite, TERREAL crée des solutions innovantes pour l’enveloppe du bâtiment. A travers 4 activités (couverture, solaire, structure, façade et décoration), 21 sites de production dans le monde dont 16 en France, plus de 2200 collaborateurs et 412 millions d’euros de chiffre d’affaires (CA consolidé avec 100% de GSE Intégration), TERREAL contribue à l’amélioration de l’habitat en accompagnant ses clients dans la création de projets, porteurs de bien-être pour les hommes et de respect pour l’environnement. En révélant au quotidien toute la beauté de la terre cuite dans chaque réalisation, TERREAL fait rejaillir son énergie au service de ses partenaires et de leur imagination. Plus d’informations : www.terreal.com