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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Handicap

(343 résultats)
Il y a 2 ans et 297 jours

Val-d’Oise : des travaux à la gare d’Herblay-sur-Seine

La SNCF entreprend des travaux pour améliorer l’accessibilité à la gare d’Herblay-sur-Seine (Val-d'Oise).
Il y a 2 ans et 311 jours

L'objectif de 2.500 structures France Services sera atteint en 2022, assure Guerini

"Au niveau national, on sera à l'objectif (...) qui était fixé à 2.500 maisons France Services dans l'année 2022", a déclaré le ministre lors d'un point presse."Tous les Français sont à moins de 30 minutes d'une maison France Services et même à moins de 20 minutes pour 9 Français sur 10. C'est évidemment une granularité dans la carte qui est le bon niveau", s'est-il félicité après une visite d'un "camping-car France Services" pouvant accueillir du public."500.000 Français viennent tous les mois dans une maison France Services. (...) Sur une année, il faut considérer que c'est quasiment 10 % des Français qui ont accès aux services publics via une maison France Services, qu'elle soit sous format sédentaire ou sous format mobile", a-t-il ajouté."Il faut qu'on continue cette montée en accessibilité, en fréquentation (...) parce que maintenant, le dernier kilomètre, c'est d'aller chercher les citoyens les plus éloignés des services publics (...). C'est pour ça que les bus, c'est fondamental. Ca va permettre d'amener les services publics aux citoyens, parfois sur la place d'un village ou au sein d'un quartier prioritaire", a-t-il insisté."On est en train d'inventer une nouvelle politique publique, une politique d'accès aux services publics, mais aussi de lutte contre la fracture numérique", a jugé M. Guerini, alors que l'Etat finance chaque structure à hauteur de 30.000 euros, tout en assurant 40% des frais de fonctionnement, selon lui.Emmanuel Macron avait lancé en avril 2019 le réseau France Services pour que chacun puisse être accueilli dans un lieu unique et être accompagné dans ses démarches administratives, avec la volonté de lutter contre l'isolement d'une partie de la population.A l'issue des élections législatives, qui ont porté 89 députés RN à l'Assemblée nationale, de nombreux élus, comme le président de l'Association des maires ruraux (AMRF) Michel Fournier, avaient réclamé un "plan d'urgence" pour les territoires ruraux désertés par les services publics. L'Association des petites villes de France (APVF) avait de son côté demandé "solennellement" à Emmanuel Macron de prendre en compte "un vote de colère et de profonde inquiétude" dans les campagnes.
Il y a 2 ans et 328 jours

Corniche Kennedy : Entre terre et mer

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La Corniche Kennedy épouse le littoral marseillais. Elle a fait l’objet d’une grande rénovation. [©Setec Diades] Construite entre la fin de la IIe République et le Second Empire, la Corniche Kennedy épouse aujourd’hui le littoral marseillais de la plage des Catalans jusqu’aux plages du Prado. L’édifice offre une belle balade comme une liaison entre terre et mer. Et en plus de la promenade, la corniche dispose de bancs, formant une chaîne de 3 km sur pratiquement tout son parcours. Le banc le plus long du monde selon la légende ! L’ouvrage connaît plusieurs transformations, dont un élargissement entre 1954 et 1968. C’est à cette époque qu’il devient la Corniche Kennedy en hommage au président américain John Fitzgerald Kennedy, mort en 1963. Soumise aux contraintes du temps, de la circulation ou encore des embruns et autres agressions dues à l’environnement, la Corniche a récemment fait peau neuve. « Les travaux se sont déroulés en quatre phases entre octobre 2018 et avril 2022 », explique Loriana Pace, ingénieure maîtrise d’œuvre chez Setec-Diades. En effet, pour permettre aux habitants et aux nombreux touristes de profiter de l’espace l’été, le chantier était en activité entre l’automne et le printemps. Initiée par la Métropole Aix-Marseille-Provence, la restauration de la corniche visait différents objectifs. D’une part, redonner la pleine vocation de la promenade et renforcer l’accessibilité du littoral. Et d’autre part, remettre à neuf les bancs et les ouvrages et la création d’une piste cyclable bidirectionnelle sécurisée. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 337 jours

Un Grand Palais plus lumineux et ouvert à tous pour accueillir les JO

"Nous sommes dans les temps pour une livraison de la grande nef (13.500 m2 sur 200 mètres de long et 17.500 m2 de verrière) au printemps 2024", a assuré lundi à l'AFP Daniel Sancho, directeur du projet de restauration au sein de l'établissement public de la Réunion des musées nationaux (RMN) – Grand Palais, qui gère l'édifice.Un travail de mise aux normes et d'accessibilité est prévu avec des améliorations techniques majeures. La restauration de la nef et de ses balcons permettra d'augmenter la jauge de 5.600 à 9.000 personnes, selon M. Sancho. Le chantier, qui a débuté en mars 2021, vise à "éclairer l'ouvrage et sa construction" en retrouvant l'effet de transparence qui avait habité le lieu à son origine, avant d'être "cloisonné" et "assombri" par la peinture de certaines parois de verre en noir, a expliqué François Châtillon, architecte en chef des monuments historiques, en présentant l'avancement des travaux à la presse.La rénovation prévoit l'ouverture d'un axe central reliant le Palais de la découverte et son planétarium à la nef qui accueillait avant sa fermeture toutes sortes d'événements artistiques et culturels, comme des foires d'art, des défilés de mode et même des épreuves équestres.Les visiteurs des deux endroits entreront à l'avenir aux expositions par une seule entrée et pourront accéder à une vaste promenade centrale intérieure en accès libre.L'ancien manège aux chevaux, situé dans les soubassements du bâtiment, accueillera une "Galerie des enfants" qui présentera chaque année une exposition, avec une approche "Art et Sciences" ainsi que des ateliers.Les nombreuses mosaïques et la statuaire de l'édifice, très dégradées, seront complètement restaurées.Le Grand Palais rénové doit accueillir les épreuves d'escrime et de taekwondo des Jeux olympiques et paralympiques dans la nef en 2024. L'ensemble des espaces muséaux seront ensuite rouverts progressivement jusqu'en octobre 2025.Un Grand Palais éphémère, sur le Champ-de-Mars, accueille depuis 2021 les événements qui se tenaient habituellement sous la nef.Ce chantier présente un budget de 466 millions d'euros pour un bâtiment de 77.000 mètres carrés et 42.000 mètres carrés de toitures, qui n'a jamais été rénové dans son ensemble depuis 1900.Dans les années 2000, l'édifice s'était affaissé de 13 cm en raison de l'usure des pieux en chêne portant les fondations, par l'eau de la nappe phréatique. Ils ont été remplacés par des parois moulées en béton et la charpente a également fait l'objet d'une consolidation importante.
Il y a 2 ans et 339 jours

Contributions du Club de l'Amélioration de l'Habitat à la transition démographique et l'adaptation du logement

Composé d’acteurs incontournables de la rénovation de l’habitat, ce groupe accompagnera et soutiendra les politiques publiques en faveur de l’adaptation des logements permettant de favoriser “le mieux vieillir chez soi” des seniors. Le Club a dévoilé les 4 axes d’action de ses travaux.Le contexte La transition démographique est porteuse de transformations profondes, aux conséquences majeures sur les grands équilibres de la société française avec le vieillissement de la population, qui pose la question de la dépendance et du “bien vieillir”.En 2030, 20 millions de personnes seront âgées de plus de 60 ans – dont déjà 15 millions aujourd’hui. Et ce sont 4,8 millions de Français qui auront passé les 85 ans, contre 1,4 million à l’heure actuelle. Cette transition démographie soulève de nouvelles problématiques et constitue un véritable défi sociétal et enjeu national. Le rôle du groupe de travail : précéder et accompagner le projet de loi “Générations Solidaires” Ce groupe de réflexion a pour vocation de précéder et accompagner le projet de loi n’ayant pu être étudié lors de la mandature actuelle mais qui le sera très certainement dès le début de la prochaine : “Générations Solidaires”. D’ores et déjà des dispositions d’aides financières sont annoncées dans le cadre du Projet de Loi de Finances 2023 et une aide financière pourrait voir le jour dès 2022 : “MaPrimeAdapt”. Les deux grands axes de cette aide consistent à aider les foyers modestes et très modestes à hauteur de 70 % des travaux d’adaptation et à permettre à tous les foyers (+ de 70 ans) d’avoir la possibilité de bénéficier d’un diagnostic de son logement en termes d’accessibilité et de mobilité. Le plan d’action du groupe de travail en 4 axesComposé d’un tour de table varié des acteurs de la rénovation de l’habitat, ce groupe accompagnera et soutiendra les politiques publiques en faveur de l’adaptation des logements pour favoriser le maintien à domicile des seniors. (Voire des PMR dans le sens de la future législation à venir). 4 grands axes de travail rythmeront l’année 2022 :1 : Anticipation, prévention, information, diagnostic et sensibilisation pour préparer le public au maintien à domicile. 2 : Création d’un référentiel technique et d’offres technologiques tant du point de vue des experts du bâtiment que des spécialistes en ergothérapie. 3 : Montée en compétences des filières professionnelles et élargissement des qualifications (programme pédagogique technique, marketing, psychosociologique…). 4 : Accompagnement global de la démarche par un tiers de confiance : administratif et financier, suivi technique, garanties de qualité et de performance dans le temps.Les résultats et premières recommandations de ce groupe de travail seront délivrés à l’occasion du colloque du Club qui célébrera ses 30 ans le 5 octobre prochain sur le Salon du Mondial du Bâtiment. Retrouvez plus d’informations sur le lancement de ces travaux en écoutant la chronique du CAH “Améliorer nos lieux de vie” enregistrée le 4 février dans le cadre de l’émission : “Les Rendez-Vous du Mondial du Bâtiment” sur Batiradio.
Il y a 2 ans et 344 jours

La filière de recyclage des déchets du BTP sera lancée en 2023

Des éco-organismes seront chargés de la collecte gratuite, du tri et de la revalorisation des déchets générés par le secteur dans le cadre de la loi AGEC relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire.La nouvelle filière va mettre en place "la collecte gratuite par les éco-organismes des déchets du bâtiment aux entreprises du secteur de la construction, aux artisans et aux particuliers".Le ministère de la Transition écologique annonce la publication du cahier des charges des éco-organismes afin d'apporter "de nouvelles solutions tant aux élus, qu'au secteur" afin de réduire la consommation de ressources, est-il expliqué dans un communiqué.L'arrêté fixant le cahier des charges des éco-organismes prévoit de "mailler le territoire de points de reprise en fonction des besoins locaux" mais aussi de "renforcer l'accessibilité des points de collecte en fonction des contraintes des professionnels".Enfin, il permettra de "désaturer le réseau de déchetteries des collectivités locales", selon le ministère.Initialement prévue pour 2022, le lancement de cette filière aura finalement pris un an de retard, le temps de fixer ses règles et ses principes. En novembre dernier, la Fédération française du bâtiment estimait que "même en janvier 2023, les financements ne seront pas à leur paroxysme, la filière se mettra en application sur plusieurs années".Le secteur du bâtiment produit 42 millions de tonnes de déchets par an, soit autant que les déchets générés par les ménages.
Il y a 3 ans et 0 jours

La CAPEB et la FFH nouent un partenariat pour renforcer la visibilité des professionnels engagés dans l’accessibilité des logements

En nouant un partenariat de trois ans avec la Commission Fédérale du Basket Handisport de la FFH qui accompagne les personnes en situation de handicap dans la pratique du basket, la CAPEB poursuit son engagement en faveur d’un monde plus inclusif.Ce partenariat, signé par Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, et Guislaine Westelynck, Présidente de la FFH, s’inscrit dans la continuité des valeurs promues par la marque Handibat qui valorise le travail des professionnels du bâtiment engagés à faciliter l’accès au logement pour tous dans le cadre d’une démarche qui met l’humain et son bien-être au cœur des objectifs.Associer la marque Handibat aux rencontres sportives de la FFH est une étape supplémentaire dans la démarche de la CAPEB qui consiste à rendre la vie plus facile à celles et ceux qui ont des problématiques de mobilité à gérer. La marque Handibat, propriété de la CAPEB, trouve ainsi naturellement sa place en tant que partenaire officiel sur les supports de communication de la Commission et lors des événements qui auront lieu en 2022-2024 à savoir les championnats : Nationale A, Nationale B, Championnats de France, la finale de Coupe de France, All-Star Game…. Chaque CAPEB départementale pourra également valoriser ce partenariat avec la FFH auprès de ses adhérents.La FFH et la CAPEB entendent promouvoir cette démarche et faire connaître les professionnels qui l’ont adoptée à l’occasion des événements majeurs de cette commission au niveau national et local lors des finales de Coupe de France (les 29-30 avril et 1er mai 2022 à Antibes) et de Championnat ainsi qu’au sein des 220 clubs et sections Handisport proposant le Basket Fauteuil dans 65 clubs en compétition et rassemblant 2 300 licenciés en Basket Fauteuil. La CAPEB comme la FFH travaillent, chacune à leur façon, pour développer des initiatives dans une démarche d’inclusion, que ce soit dans le sport ou dans l’habitat.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « La CAPEB est mobilisée depuis de très nombreuses années pour permettre aux entreprises artisanales du bâtiment qui interviennent au quotidien auprès des familles et des personnes touchées par un handicap de valoriser leurs compétences. Elle promeut la marque Handibat pour cette raison, axée tout particulièrement sur l’adaptation des logements occupés par des personnes handicapées ainsi que la marque Silverbat pour l’habitat des personnes âgées et le maintien à domicile. Soutenir les clubs Handisport, et plus spécifiquement le Basket Fauteuil, s’inscrit logiquement dans notre démarche. Un habitat et des bâtiments adaptés et accessibles sont des valeurs de la marque Handibat conçue au service de « l’accessibilité pour tous ». »Pour Guislaine Westelynck, Présidente de la FFH : « L’accessibilité du logement et la pratique sportive favorisent l’autonomie des personnes en situation de handicap est une valeur très forte à la FFH. Je suis donc très fière de l’engagement de la CAPEB à nos côtés, nous avons de réels engagements communs : une meilleure intégration des personnes en situation de handicap dans la société. Merci à la CAPEB et à tous les collaborateurs qui vont venir au bord du terrain encourager nos sportifs et découvrir le Basket Fauteuil: une discipline spectaculaire avec un incroyable esprit de partage ! »
Il y a 3 ans et 3 jours

12 enseignements à retenir du rapport « Pompe à chaleur en rénovation » publié par l'AQC

Ce rapport est mis à la disposition de toutes les parties prenantes des opérations de rénovation.À l’heure où les réglementations françaises et européennes imposent la chasse aux dépenses énergétiques et la réduction des émissions de CO2, des bâtiments de plus en plus économes en énergie sont construits ou rénovés, avec la baisse des besoins de chauffage comme fer de lance.Les 12 principaux enseignements tirésLes enquêtes réalisées pour ce rapport s’appuient sur les programmes de rénovation comprenant différents types de pompes à chaleur avec une logique d’amélioration de la production de chaleur et, parfois, de froid. Les différentes situations de mise en œuvre rencontrées mettent en évidence 12 enseignements à prendre en compte pour respecter les principes réglementaires, assurer un confort aux occupants et garantir le bon fonctionnement des équipements dans le temps.Enseignement 1 : Dimensionner l’installation après une synthèse complète des données du projet.Enseignement 2 : Prendre en compte l’évolutivité du projet lors du dimensionnement de l’installation.Enseignement 3 : Contrôler l’adéquation des équipements livrés avec les prescriptions.Enseignement 4 : Vérifier la compatibilité entre la puissance électrique disponible et la puissance nécessaire à la PAC.Enseignement 5 : Prévoir des locaux techniques de taille suffisante.Enseignement 6 : Anticiper l’accessibilité aux différents éléments.Enseignement 7 : Calorifuger intégralement le réseau frigorifique.Enseignement 8 : Calorifuger intégralement le réseau hydraulique.Enseignement 9 : Afficher les informations concernant les fluides frigorigènes.Enseignement 10 : Identifier clairement les éléments de l’installation.Enseignement 11 : Caractériser et transmettre une installation.Enseignement 12 : Effectuer un entretien régulier et complet du système.Le rapport “Pompe à chaleur en rénovation” a fait l’objet d’un webinaire animé par Samuel Daucé, Responsable Technique du Dispositif REX Bâtiments performants et Cyrielle Leval, Chargée de mission bâtiment et aménagement durables au sein d’Envirobat Grand Est et est disponible à cette adresse.
Il y a 3 ans et 13 jours

Morland, cité modèle d'Hidalgo à Paris avec vue imprenable sur la Seine

"Si cela avait été un immeuble vendu par un privé à un privé, l'exigence en matière de diversité et de multiplicité des usages n'aurait pas existé."Mardi lors d'une présentation à la presse venue consacrer "des années de travail", Laurent Dumas, le président du directoire d'Emerige, a souligné le rôle de la Ville dans l'orientation du projet Morland Mixité Capitale, ancienne préfecture de la Seine qui termine sa mue en "petite ville", selon Jean-Louis Missika.En lançant, fin 2014, la première édition de "Réinventer Paris", l'ancien adjoint à l'urbanisme d'Anne Hidalgo oblige les groupements candidats à proposer des projets mixtes, mêlant commerces, bureaux et logements, pour les 23 sites. Morland, un bâtiment massif de 44.000 m2 construit dans les années 1960, est le bâtiment le plus spectaculaire à recycler.Désigné lauréat début 2016, Emerige rachète l'ancienne préfecture pour 135 millions d'euros à la Ville et garantit que le futur ensemble sera "accessible à tous", rappelle M. Dumas.Six ans plus tard, 5.000 personnes s'apprêtent à cohabiter quotidiennement entre bureaux, marché couvert, crèche, piscine, salle de sport, hôtel cinq étoiles de 162 chambres, auberge de jeunesse de 400 lits avec un prix de départ à 29 euros, logements sociaux et privés, galerie d'art et toits dédiés à l'agriculture urbaine."L'immeuble mixte, c'est vraiment l'avenir de l'immobilier", se réjouit Jean-Louis Missika pour qui Morland est un "véritable prototype".L'ex-adjoint souligne également le "progrès considérable en matière d'accessibilité" que constitue l'ouverture du site au public, qui pourra admirer dans les cours le péristyle créé par l'architecte britannique David Chipperfield. Et du 15e étage, pré carré de l'hôtel, l'incroyable vue sur la capitale."C'est une forme de modèle de mixité et de transformation du patrimoine", abonde le maire (PS) de Paris Centre Ariel Weil, "pas choqué" que les 34 logements en accession libre puissent atteindre les 20.000 euros du m2 : "cela veut dire qu'il y a une vraie mixité sociale". Si les 80 logements sociaux ne sont pas assez pour satisfaire Danielle Simonnet, opposante LFI à Anne Hidalgo pour qui "15% (de l'ensemble de la surface), c'est dérisoire", l'opposante LR Valérie Montandon salue "un des rares projets positifs" en termes de mixité programmatique, avec des architectes qui "ont su maximiser l'utilisation des matériaux sur place".
Il y a 3 ans et 42 jours

WOLF lance la chaudière à gaz à condensation CGB-2-68/75/100

Se destinant particulièrement au secteur tertiaire, elle permet de répondre à des besoins intensifs d'utilisations, notamment grâce à son grand pouvoir thermique, une plage d'utilisation étendue et de meilleurs rendements…Dotée des dernières innovations technologiques, d'une capacité de contrôle de la régulation et de composants de qualité, le tout sans soupape de décharge… la chaudière CGB-2-68/75/100 se distingue sur son secteur !Efficace, elle allie robustesse et performanceLe contrôle intégré de la modulation maximise le rendement de la condensation en mode chauffage et minimise l'énergie électrique nécessaire. De plus, la plage de modulation extrêmement élevée à 1:6, peut être modulée jusqu'à 16% de la puissance nominale, ce qui est idéal pour les variations du besoin de puissance.Les matériaux utilisés assurent quant à eux une robustesse longue durée : le corps de chauffe en Alu-silicium extrudé, dont le revêtement est ajusté à sa puissance, comporte un grand nombre d'ailettes pour un échange de chaleur optimal.La chaudière est optimisée jusqu'à sa conception, avec des capteurs de température, des gaz de combustion, un couvercle de chambre de combustion avec isolation en vermiculite, un purgeur d'air automatique… Fiabilité et durabilité maximales sont garanties !Performante, la chaudière gaz à condensation CGB-2-68/75/100 permet d'atteindre un coefficient saisonnier de chauffage des locaux N.s (ETAS) de 95%.Flexible, elle s'adapte à toutes les structuresLes modèles de chaudières gaz à condensation CGB-2-75/100 sont cascadables jusqu'à 5 unités, ce qui lui assure une large gamme d'applications et une puissance pouvant aller jusqu'à 500 kW.L'intégration aisée dans les systèmes de gestion des bâtiments (GTB) renforce cette flexibilité et permet un large éventail d'applications : des logements collectifs aux hôtels, en passant par les piscines…Idéale pour les mini chaufferies en puissance 68, elle permet d'être installée sans avoir à réaliser l'ensemble des tests et ni à installer les équipements requis pour l'installation de chaufferie.Pilotable à distance et silencieuseGrâce au WOLF Control System 2, le module de commande WOLF permet un réglage des programmes quotidiens, en plus des autres fonctions intelligentes [mode vacances, verrouillage clavier] et de l'affichage numérique ergonomique [heure, températures, mode de fonctionnement, messages d'erreur et indicateur pour le changement du filtre]. Au quotidien, la chaudière saura se faire oublier grâce à son aspect compact, mais aussi à son isolation optimisée, ce qui en fait une des chaudières les plus silencieuses du marché avec seulement 47 dB(A).Le + produitUn entretien et une installation facilités, pour le plus grand bonheur des installateurs WOLF !Grâce à son installation murale, aucun dégagement latéral minimal n'est requis, les connexions sont entièrement compatibles avec le modèle précédent et une conversion simple au LL/GPL facilitent le travail de l'installateur WOLF.L'assistant de mise en service dans le module de programmation BM-2 reconnaît également les composants WOLF et conduit directement à une configuration réussie.L'accessibilité aux différentes connexions et composants électroniques a aussi été perfectionnée : tous les circuits électroniques, le module optionnel WOLF Link ou le module EA sont ainsi réunis dans un seul boîtier. Les conduits de câbles intégrés et le passage central des câbles garantissent un accès pratique pour l'installation et l'entretien.
Il y a 3 ans et 48 jours

Un nouvel établissement médico-social durable à Béziers

CEMEX fournit du béton bas carbone pour ce nouveau bâtiment dont la conception respecte de nombreux critères de durabilité.Un emplacement qui a du sensCe nouvel établissement de 4 500 m² remplacera l’actuelle maison d’accueil spécialisée « Château Saint Pierre » située à Mont-Blanc. L’architecture de cette dernière ne répondait plus aux normes d’accessibilité nécessaires aux résidents, tandis que sa vétusté et sa surface disproportionnée étaient génératrices de coût de maintenance trop élevés. APF France handicap a choisi d’implanter le nouveau pôle médico-social « Résidence Belles Terres » dans la ZAC de Mazéran ayant pour vocation de regrouper des entreprises de pointe, notamment dans le secteur de la santé et du para-médical. Ce technoparc bénéficie par ailleurs d’une proximité avec les grands axes de transport facilitant ainsi l’accès au futur centre socio-médical pour le personnel et les visiteurs.Sous le signe de la concertationLa durabilité est un enjeu prégnant du projet. L’aspect social a été soutenu dès le début puisque les résidents et le personnel ont été consultés très en amont, durant les phases de programmation et de conception, au côté d’APF France handicap. L’intégration à proximité d’un domaine viticole, la forte attente d’un environnement paysager de qualité, le besoin de créer un lieu de vie ou l’on soigne et non pas l’inverse, ont également été pris en considération ainsi que la volonté de favoriser des matériaux de construction locaux et recyclés, d’optimiser la performance énergétique et de réduire les nuisances vis-à-vis des entreprises riveraines durant le chantier. Au total, CEMEX aura ainsi fourni 5 000 m3 de béton bas carbone Vertua® classic et 200 m3 de béton architectonique matricé effet pierre à l’entreprise Olacia en charge des travaux de gros œuvre. Ces livraisons se sont effectuées depuis les unités de production voisines de Béziers et Lignan. Les bétons Vertua®, commercialisés par CEMEX dès 2018, sont largement plébiscités par les maîtres d’ouvrage et d’œuvre car ils permettent de diminuer le bilan carbone du béton au-delà de 60% et, optionnellement, de compenser les émissions restantes.Béton bas carbone et outils respectueux de l’environnementEn plus de la qualité du béton bas carbone et des livraisons sur chantier, l’entreprise Olacia a apprécié la disponibilité des équipes CEMEX quant à leur présence sur le terrain, leur écoute et la cadence des livraisons depuis le début du chantier démarré en juin 2021, ainsi que la digitalisation du parcours client via l’outil CEMEX Go qui facilite la vie des acteurs de la construction - commandes de matériaux, suivi des livraisons en temps réel, gestion documentaire, … - le tout sans papier. Les équipes du secteur Occitanie Est sont fières de contribuer à ce projet socio-économique vertueux qui a par ailleurs été reconnu « Bâtiment Durable Occitanie, niveau argent » pour sa phase conception. Les travaux de gros œuvre sont prévus d’être terminés en juin prochain.
Il y a 3 ans et 52 jours

Un baromètre pour lever le tabou du handicap dans l'entreprise

Sur la base du volontariat, les entreprises peuvent publier sur le site www.lesentreprises-sengagent.gouv.fr des données brutes sur quelques indicateurs clés.Thales, Engie, Accor, Siemens, TotalEnergies ont déjà renseigné des indicateurs dans ce baromètre de même que des entreprises de taille intermédiaire comme Septodont ou Sterimed, ou des acteurs publics comme la ville de Nice.Ces données s'articulent autour de six thèmes: le taux de personnes handicapées employées dans l'entreprise, la sensibilisation du personnel et la politique handicap, le recrutement inclusif, le maintien en emploi des collaborateurs handicapés, les achats inclusifs (réalisés dans les secteurs où travaillent des handicapés) et l'accessibilité numérique.Un des objectifs est d'aider des personnes en situation de handicap à cibler les entreprises bienveillantes à leur égard et les inciter à aborder le sujet sans tabou avec le recruteur.Alors que la France compte 12 millions de personnes handicapées et que 80% des handicaps sont invisibles (cognitifs, sensoriels, maladies invalidantes chroniques, maladies psychiques...), un nombre important de salariés n'osent pas faire part de leur handicap."En faisant connaître qu'elles sont ouvertes et engagées sur le sujet, les entreprises permettront à des talents en situation de handicap de frapper à leur porte et de libérer la parole lors du recrutement, ce qui leur permettra d'obtenir les adaptations nécessaires pour faciliter leur quotidien professionnel", a expliqué à l'AFP Sophie Cluzel, secrétaire d'État chargée des personnes handicapées."D'un côté il y a des personnes qui ne se déclarent pas car elles pensent que c'est un frein à leur carrière, de l'autre des employeurs qui disent +je ne trouve pas de personnes en situation de handicap qui se déclarent", explique-t-elle.Le taux de chômage des personnes handicapés a baissé en cinq ans de 19 à 14%, indique la secrétaire d'Etat, qui relève qu'il y a une "pénurie de recrutements sur beaucoup d'offres d'emplois, et que les personnes en situation de handicap sont un vrai vivier de compétences".Ce baromètre veut aussi permettre aux entreprises de mesurer leur progression chaque année ou de se comparer avec des employeurs de secteur et de taille similaires. Les salariés pourront aussi comparer les branches professionnelles et orienter leurs recherches. L'employeur a la possibilité de faire connaître un contact pour adresser une candidature.
Il y a 3 ans et 52 jours

6ème édition du baromètre sur les Français et l'ascenseur

La vétusté de certains équipements reste une grande préoccupation des FrançaisLes ascenseurs font partie intégrante du quotidien des Français. 77% d’entre eux l’utilisent régulièrement. La vétusté des appareils est un enjeu primordial. Pour 96% des Français, il est important de remplacer ces ascenseurs vétustes. 58% des interrogés estiment même que c’est une priorité absolue. C’est en ce sens que la Fédération sollicite actuellement les équipes de campagne pour les élections présidentielles, afin de porter la proposition de MaPrimeRenov’Ascenseurs, pour rénover le parc vieillissant.Si un ascenseur peut avoir une durée de vie conséquente, il ne faut cependant pas négliger son entretien et son aspect. Plus d’un français sur deux (56%) insiste d’ailleurs sur ce dernier point, remettant en cause le design ancien des ascenseurs.Une volonté d’élargir les aides financières pour la rénovation de logement à la restauration et l’installation des ascenseursPour répondre aux enjeux de disponibilité, d’accessibilité et de modernisation des ascenseurs, 77% des Français jugent nécessaires que les aides financières proposées pour les rénovations d’habitation incluent l’installation et la rénovation des ascenseurs.“Ouvrir ces aides va dans la continuité des actions menées par les acteurs de la construction et de la réhabilitation immobilière pour rendre plus accessibles les logements à tous : enfants, personnes âgées, personnes à mobilité réduite ou tout simplement dans toutes les situations de la vie quotidienne avec un besoin de mobilité facilitée.” - Philippe Boué, Président de la Fédération des AscenseursUne absence d’équipements dans les habitations et les lieux publics qui perdurePar-delà les remplacements, l'accessibilité demeure un grand sujet. Près de deux tiers des Français (63%) soulignent l’importance d’équiper les immeubles d’habitation d’ascenseurs et souhaitent interpeller les politiques dans le cadre des présidentielles qui arrivent. On soulignera tout de même une amélioration dans les lieux publics vis-à-vis de 2020.“Nous souhaitons attirer l’attention sur l’accès à la mobilité pour tous. A quelques semaines du premier tour des présidentielles, elle doit faire partie des réflexions menées par les candidats sur les enjeux sociétaux auxquels sont confrontés les Français” poursuit Philippe Boué.D’autres chiffres clés à retenir :57% des Français estiment que les solutions de mobilité verticale assistent au maintien à domicile et améliorent le quotidien ;Seuls 17% des Français ont un usage quotidien de l’ascenseur de leur domicile ;30% des Français souhaitent numériser leur expérience de l'ascenseur, avec par exemple une commande vocale pour sélectionner son étage et ouvrir les portes et 37% souhaitent avoir une musique d’ambiance pendant le trajet ;Malgré une nette progression de l’équipement des administrations françaises en ascenseurs, (+8 points depuis 2016), l’accessibilité des lieux publics reste moyenne.Méthodologie de l’enquête :Etude réalisée auprès d’un échantillon national représentatif de 1082 français âgés de 18 ans et plus, dont 77% d’usagers réguliers d’un ascenseur. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, âge, profession de l’individu, région et catégorie d’agglomération, dans le respect de la norme internationale ISO 20252 ‘Études de marché, études sociales et d’opinion’. Dates de terrain : du 27 au 31 janvier 2022. Étude réalisée sur Internet via le panel Ipsos.
Il y a 3 ans et 58 jours

Vaucluse : la Maison Jean-Vilar à Avignon est désormais plus sécurisée et plus accessible

Les travaux de mise en conformité de la sécurité incendie et de l’accessibilité de la Maison Jean-Vilar sont terminés.
Il y a 3 ans et 59 jours

KE au service de l’école avec la création d’un réfectoire en lumière naturelle à Nice

Un nouveau réfectoire de plein air A Nice, l’Institution Stanislas, école primaire et secondaire accueille de nombreux élèves entre huit et dix-huit ans. Ses bâtiments sont situés au coeur d’une villa historique et son espace extérieur méritait d’être mieux exploité. C’est la société KE, spécialiste des stores et pergolas sur mesure qui a été choisie pour apporter son expertise à ce projet de réfectoire “plein jour” utilisable toute l’année.ISOLA 3 ET KEDRY PRIME, le choix de la complémentarité et de la qualité d’accueilLe bureau de création KE en charge de cette réalisation a porté son choix sur deux pergolas : ISOLA 3 (pergola toile par empaquètement) et KEDRY PRIME (pergola bioclimatique à lames orientables) qui se complètent parfaitement (même structure de base).Leurs propriétés respectives se révèlent essentielles car elles marient confort et bien-être et fournissent aux élèves et aux enseignants une très large zone ombrée avec une protection solaire maximale, une régulation naturelle de la température pendant la saison chaude et un abri en période hivernale ou face à la pluie.Légèreté des lignes et des profilsLes profils de l’ISOLA 3 et de la KEDRY PRIME, ici en couleur Carbon, s’intègrent parfaitement avec l’architecture du bâtiment scolaire et valorisent le parc séculaire qui ceint l’établissement.Le système de vitrage panoramique LINE GLASS protège de la pluie et du vent. Posé également en intérieur, il sépare les élèves de la zone enseignants. Et pour répondre aux exigences d’accessibilité et de sécurité, trois portes avec poignée anti panique équipent également les pergolas.Avec ses solutions et concepts de protections solaire, KE offre de véritables espaces polyvalents et multifonctionnels, des espaces extérieurs inédits et confortables, intelligemment agencés et utilisables en toute saison.Fiche réalisation Nom du projet : Institution Stanislas Lieu : Nice – France Date de réalisation : décembre 2021 Projet par : bureau PMO de KE Donneur d’ordre : Institution Stanislas Surface couverte : 140 m² Produits installés : ISOLA 3 et KEDRY PRIME
Il y a 3 ans et 71 jours

Le rapport des Français à leur immeuble d’habitation fortement marqué par la crise sanitaire et des aspirations environnementales

Les résultats révèlent ainsi que les habitants d’immeuble aspirent à un environnement « cocon », plus protecteur, plus serviciel, où les déplacements et les échanges sont fluides. Pour leur futur, les Français se projettent avant tout dans un immeuble plus éco-responsable et voient en la technologie un levier pour rendre leur lieu de vie plus économe en ressources, intelligent et coopératif. A l’aune de ces enseignements, KONE, leader de la mobilité dans les villes, exprime la nécessité d’accélérer les innovations et la coopération entre les acteurs de l’immobilier, au service du bâtiment durable et intelligent.Chiffres-clés de l’étude YouGov / KONE en un coup d’œil :Les trois priorités des Français habitant dans un immeuble 95% des répondants estiment que l’hygiène et la propreté est un élément important (dont 61% très important) : c’est la préoccupation n°1 des Français vivant dans un immeuble94% citent le bon fonctionnement des équipements comme un critère important, à égalité avec la sécurité (accès à l’immeuble et aux parties communes)87% des répondants estiment qu’une bonne information sur la vie de l'immeuble est importanteLes attentes en termes de services et de nouvelles technologies78% estiment que l'accessibilité pour tous (situation de handicap, personnes âgées) est importante : 43% des répondants habitant en immeuble ont un ascenseur et l’utilisent57% des habitants d’immeuble aimeraient disposer d’au moins un service ou espace partagé dans leur résidence, à l’instar de casiers pour les livraisons à domicile (30%), d’un jardin sur le toit (29%), d’une salle de sport (24%), ou encore d’une conciergerie (19%)Plus d’1 répondant sur 2 (55%) souhaite au moins une nouvelle technologie au sein de son immeuble : des matériaux antimicrobiens (31%), un écran d’information connecté (23%), un robot nettoyeur (20%)L’immeuble idéal de demain pour les FrançaisPour leur futur, les Français se projettent dans un immeuble éco-responsable à 41% (maîtrise des consommations d’eau et d’énergie, compost, projets d’agriculture urbaine, etc.)22% des répondants se projettent dans un immeuble proposant des services à la carte, à la fois plus connecté, plus éco-responsable et plus coopératifHygiène, sécurité et convivialité : des priorités qui portent la marque de deux années de crise sanitaireSelon l’étude YouGov / KONE sur les Français et leur immeuble, l'hygiène et la propreté sont les premières préoccupations des personnes vivant en logement collectif. Ménage effectué régulièrement, respect des mesures barrières sont choisis par 95% des répondants – parmi sept options de réponse – comme des critères importants au bien-vivre au sein de la copropriété. Parmi eux, 61% jugent même ce critère comme « très important ». Probablement exacerbée par la crise sanitaire, cette préoccupation existe plus particulièrement pour les plus de 55 ans qui déclarent à 98% prêter attention à l’hygiène et à la propreté.Les répondants placent la sécurité en 2e position de leurs préoccupations, s’agissant de l’accès à l’immeuble et aux parties communes : au total, 94% des répondants la considèrent comme importante, dont 64% très importante. Ce sont surtout chez les femmes et les plus de 55 ans que ce critère fait forte impression : dans ces deux catégories, 69% le qualifient de « très important ». Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France et spécialiste du segment résidentiel : « Confinements successifs, distanciation sociale, consignes sanitaires, semblent avoir marqué les Français dans leur rapport à leur immeuble : ils recherchent avant tout un environnement de vie sécurisé et protecteur. On peut parler d’immeuble « cocon », d’autant que bon nombre de répondants aspirent aussi à plus de convivialité. Au-delà de la conjoncture, ces attentes sont devenues structurelles et doivent être prises en compte dans la manière dont nous, professionnels du bâtiment, concevons et équipons les immeubles de logement. »Pour 79% des habitants d’immeuble, l’organisation d’animations et la bonne entente avec le voisinage au sein de l’immeuble sont importants. Ce besoin de convivialité s’exprime en priorité chez les plus de 55 ans (85%) par rapport aux 18-24 ans (61%).Accessibilité, bon fonctionnement des équipements et information : la fluidité, essentielle pour faciliter le bien-vivre ensemble ?Si l’hygiène et la sécurité constituent le socle des attentes des Français, d’autres critères apparaissent comme nécessaires pour faciliter le quotidien et le bien-vivre ensemble. C’est le cas du bon fonctionnement et de l’entretien des équipements, à l’instar des ascenseurs, du chauffage ou de l’interphonie. 94% des personnes habitant un immeuble considèrent ce critère comme « important » (dont 63% « très important »). Par ailleurs, la bonne information sur la vie de leur immeuble est au cœur des attentes des Français résidant en logement collectif. Ainsi, 87% des répondants estiment qu’être bien informé sur tout ce qui concerne leur immeuble est important : dates des travaux et des réunions, événements particuliers comme une coupure d’eau, etc.Enfin, l’accessibilité pour tous est plébiscitée par 78% des répondants. Cette préoccupation est d’autant plus grande pour les plus de 55 ans, qui la considèrent comme « très importante » à 89%. Sur cette question, l’ascenseur apparaît comme un équipement essentiel et nécessaire pour permettre la mobilité de tous au sein de l’immeuble. Ainsi, selon l’étude, 43% des répondants habitant en immeuble ont et utilisent un ascenseur, chiffre encore plus élevé pour les retraités (52%). A l’inverse, le nombre d’habitants ayant un ascenseur mais qui ne l’utilisent pas est faible en comparaison (10%), et concerne majoritairement les jeunes (17%).Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « L’étude montre que tout ce qui permet des déplacements et des échanges fluides au sein des immeubles est déterminant pour les habitants. Cet enseignement m’intéresse particulièrement, car les flux au sein des bâtiments, c’est notre cœur de métier chez KONE. Ceux-ci s’organisent en effet bien souvent autour de l’ascenseur, qui est la colonne vertébrale de la mobilité au sein de l’immeuble, permettant à toutes et tous de se déplacer. Il est essentiel qu’il fonctionne de manière optimale, c’est le but d’un entretien régulier, si possible prédictif, mais il est aussi un « passage obligé », propice à l’information des habitants. »Nouvelles technologies et nouveaux services dans les immeubles : plus d’1 Français sur 2 s’y intéresse, en particulier les jeunes générationsEn échos à ces priorités, plus d’un répondant sur deux (55%) souhaiterait que son immeuble bénéficie d’une innovation technologique. Parmi celles proposées, l’utilisation de matériaux antimicrobiens est souhaitée par près d’un répondant sur trois (31%), assez logiquement au vu des attentes liées à l’hygiène, tout comme la mise à disposition de robots nettoyeurs pour les parties communes, qui intéresse 20% d’entre eux. Cette innovation technologique a notamment été placée en première position par les 25-34 ans. « Un écran d’information en temps réel dans le hall ou l’ascenseur, avec notification sur mon smartphone » intéresse par ailleurs près d’un quart des habitants d’immeuble (23%) : périodes de travaux, réunions, animations, horaires des transports en commun autour de mon immeuble, etc. C’est l’innovation qui séduit le plus la génération Z : 35% des 18-24 ans la choisissent.Au-delà de l’amélioration du fonctionnel, un Français sur deux se déclare intéressé par le déploiement d’au moins un service ou nouvel espace partagé au sein de son immeuble. Choisis par 30% des répondants, ce sont les casiers pour la livraison des achats en ligne qui se positionnent en tête. Ils sont suivis par un jardin sur le toit (29%), une salle de sport (24%), une conciergerie (19%) ou encore la présence d’un magasin au sein de l’immeuble (16%).Quelques disparités dans les attentes en fonction des profils des répondants sont à noter. En moyenne, les plus de 55 ans se montrent moins intéressés que les autres tranches d’âge par les services et les nouvelles technologies. Autre exemple, si la mise à disposition d’un espace de coworking ne séduit que 7% des répondants, on remarque que ceux-ci sont majoritairement des jeunes (56% de 18-34 ans), urbains (52% d’habitants de grandes villes) et issus des catégories sociales supérieures (51% de CSP+).Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « L’immeuble connecté et serviciel a le vent en poupe, en particulier auprès des nouvelles générations. Avec le développement du télétravail, la plupart des Français ont passé beaucoup plus de temps chez eux depuis deux ans. Qu’ils aient plus d’attentes quant à leur résidence en termes de confort, de services de proximité et pourquoi pas de nouveaux espaces de type jardin partagé ou coworking, est finalement très logique. Et bonne nouvelle, beaucoup de choses sont déjà possibles aujourd’hui grâce à la connectivité des équipements. Le robot capable de se déplacer dans les étages pour livrer ou faire le ménage, ce n’est pas de la science-fiction ! Pour aller plus loin nous devons encore renforcer la coopération entre acteurs du bâtiment et travailler à l’ouverture des systèmes technologiques et des données. »Immeuble de demain : un logement connecté, éco-responsable et coopératifAu-delà des personnes résidant en logement collectif, l’étude YouGov / KONE s’est également penchée sur les attentes de tous les Français concernant l’immeuble du futur. Lorsqu’ils imaginent l’immeuble dans lequel ils aimeraient habiter, les Français privilégient un modèle d’immeuble éco-responsable (41%), devant l’immeuble intelligent et connecté (11%) et l’immeuble coopératif (10%). Cependant, 22% des répondants souhaitent un immeuble combinant les trois dimensions, avec la possibilité de choisir des services à la carte. A noter, les nouvelles générations montrent davantage d’appétence pour les nouvelles technologies : les 18-24 ans sont 18% à préférer ce modèle d’immeuble, soit 7 points de plus que la moyenne des répondants.Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « Le modèle d’un immeuble éco-responsable est celui dans lequel se projette la majorité des Français, devant l’immeuble connecté et l’immeuble coopératif. L’écoresponsabilité et la coopération correspondent à des valeurs et à des modes de vie très en phase avec les préoccupations des Français et les nouveaux usages. Le numérique et la technologie sont quant à eux davantage des outils à notre disposition. Plus qu’une finalité, l’immeuble connecté est surtout considéré comme un moyen d’atteindre un mode de vie plus responsable et plus coopératif. »Cap sur le smart building résidentielPour KONE, les enseignements de l’étude plaident en faveur d’une accélération du smart building pour le marché du logement. Ceci implique notamment une meilleure coopération entre professionnels de l’immobilier pour parvenir à faire exister cet immeuble auxquels les Français aspirent : plus fonctionnel, plus serviciel, plus durable.Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation KONE France : « C’est finalement un enjeu de maîtrise au sein des immeubles que souligne les résultats de l’étude YouGov / KONE : maîtrise des besoins, des équipements, des flux, des consommations… Pour y parvenir, les différents systèmes qui font fonctionner l’immeuble doivent être connectés entre eux, et les équipementiers doivent travailler ensemble pour y parvenir. A un autre niveau, c’est aussi par une meilleure coopération que l’on pourra améliorer le bilan carbone des chantiers de rénovation, en mettant en place des filières de réemploi des matériaux. »Depuis un an, la technologie DX de KONE permet de faire de n’importe quel ascenseur un objet connecté, et ainsi, de le faire communiquer avec les autres équipements du bâtiment dès lors que ceux-ci le permettent également. Cette ouverture permet de déployer une véritable plateforme de services, activables en fonction des besoins au sein de la copropriété. Par exemple, l’ascenseur peut être connecté à une intelligence artificielle et bénéficier d’un service de maintenance prédictive, qui permet d’anticiper les incidents et d’éviter jusqu’à une panne sur deux. Autre exemple, il est possible de connecter l’ascenseur à un robot afin qu’il puisse se déplacer dans l’immeuble. Il peut également être connecté à une application de gestion des portes et accès pour renforcer la sécurité, ou d’appel de l’ascenseur à distance, sans contact, pour lever certaines craintes en matière de propreté.
Il y a 3 ans et 71 jours

Le bus rétrofité, la révolution verte des transports collectifs

Ces métropoles disposent de la compétence transport urbain et doivent dès à présent se préoccuper de la transformation de leur flotte.Un engagement fort mais qui peut s'avérer surtout très coûteux pour le contribuable, d'autant plus si ces véhicules étaient remplacés par des véhicules électriques neufs.C'est pour apporter une solution complémentaire, bien plus économique et vertueuse avec 87% de réduction des GES que l'entreprise à mission REV Mobilities et le groupe industriel allemand pepper motion ont conclu un accord pour transformer la motorisation des bus urbains et inter-urbains du thermique vers l'électrique. Le rétrofit électrique : la solution pour maintenir nos cars et bus en circulation dans nos agglomérations en les rendant non polluants et silencieuxAu sein de chaque agglomération, les mobilités sont devenues en quelques années des enjeux essentiels pour les décideurs publics en raison des pressions exercées par les habitants de plus en plus soucieux de solutions fiables, pratiques, économiques et vertueuses. Elles le sont également devenues en raison de l'urgence des réponses aux exigences des futures ZFE - zones à faibles émissions et aux nouvelles mesures en faveur de l'environnement en proposant aux Français une offre conjuguant disponibilité, accessibilité, confort et sécurité. Le bus est le moyen de transport collectif par excellence qui chaque jour transporte des centaines de milliers de personnes sur le territoire dont plus des 2/3 en dehors de l'Ile de France. Ces bus désengorgent la circulation dans les centres urbains et sont aussi une source non négligeable de mobilité active. La plupart des agglomérations et leurs délégataires disposent d'un parc d'un âge moyen à peine supérieur à 8 ans, bien inférieur au parc automobile qui est de 11 ans, mais avec des motorisations essentiellement thermiques (diesel et gaz). Pour accompagner les acteurs dans la transformation de leur offre de mobilité, Rev-Mobilities et le groupe industriel allemand pepper motion peuvent désormais convertir les flottes de cars et bus en électrique ce qui évite une mise au rebus ou des prix et délais d’acquisition forcément beaucoup plus importants. Une solution technique d'économie circulaire qui va permettre de conserver une grande partie du parc roulant, de le rendre totalement propre et silencieux, d'améliorer la qualité de l'air et surtout de faire des économies sur toute la ligne.Convertir les cars et bus en mode électrique, mais aussi les camions qui livrent dans les agglomérations En décembre 2021, REV Mobilities et pepper motion GmbH pionniers du rétrofit ont signé un accord de partenariat pour convertir des bus avec le même niveau de qualité que les constructeurs d’origine. Avec cette première coopération franco-allemande dans le domaine de la conversion électrique, les deux acteurs s’engagent sur l’un des plus solides marchés de bus et poids lourds d’Europe. Leur offre rétrofit répond aux enjeux environnementaux et économiques et ouvre un nouveau secteur économique à fort potentiel, s’appuyant sur l'utilisation d’une main d’œuvre locale qualifiée pour la transformation (plus de 600 heures par unité).Pour Arnaud Pigounides, fondateur et PDG de REV Mobilities : ''Pionnier et fondateur du secteur de la conversion électrique en France, REV Mobilities est spécialisé dans l’upcycling des mobilités. Face aux défis que représentent les zones de décarbonation/faibles émissions, la réduction des gaz à effet de serre des flottes publiques et privées, la réindustrialisation de la France et les économies budgétaires générales pour les particuliers et les entreprises, la conversion électrique est l’une des meilleures solutions possibles. Nous sommes ravis d’engager un partenariat avec le leader du marché pepper motion GmbH afin de fournir des solutions durables pour l’électrification des véhicules en France.''Pour Andreas Hager, PDG de pepper motion GmbH : ''Dans le cadre de notre stratégie de mondialisation, le marché français représente un potentiel similaire à celui de l’Allemagne pour pepper et constitue donc une priorité. La société pepper est déjà présente dans d’autres pays européens, comme la Pologne, l’Italie, l’Autriche et la Bulgarie. En tant que leader technologique, nous sommes convaincus que nos solutions novatrices, en étroite coopération avec notre nouveau partenaire REV Mobilities, nous permettront d’offrir aux décideurs politiques français, ainsi qu’à toutes les entreprises de transport et aux exploitants de flottes un moyen rapide et économique de respecter l’objectif zéro émission de la transformation de la mobilité."La société pepper motion GmbH, lauréate de plusieurs récompenses internationales pour ses technologies novatrices, propose des solutions d’électrification pour les véhicules commerciaux d’occasion par le biais de systèmes retrofit qui contribuent à leur donner une seconde vie à la pointe de la technologie.
Il y a 3 ans et 72 jours

Comment Otis contribue à la transformation urbaine ?

Présent au MIPIM, Otis Worldwide Corp. (NYSE:OTIS), le leader mondial en matière de fabrication, d’installation et de maintenance d’ascenseurs et d’escalators, a présenté trois études de cas qui illustrent sa contribution aux enjeux de la ville de demain :En tirant parti de l’internet des objets (IoT), Otis répond aux besoins de connectivité des villes intelligentes. Grâce à Otis ONE™, son offre de solutions IoT, Otis rend la maintenance prédictive possible pour tous les ascenseurs. L’exploitation permanente des données permet de réduire les arrêts non planifiés et d’optimiser les performances des ascenseurs sur le long terme, pour une expérience passager améliorée.La durabilité est intégrée par Otis dès la conception des équipements. Ainsi pour le nouvel écosystème digital Gen360™ : sa conception éco-efficiente et son architecture électronique lui permettent de s’adapter à l’évolution des besoins et des usages, tout en offrant une excellente performante énergétique. Ces ascenseurs équiperont le Centre Aquatique et le Village des Athlètes à Paris, des infrastructures qui ont vocation à s’intégrer dans de nouveaux quartiers urbains après l’été 2024.Dans des environnements urbains toujours plus denses, Otis apporte des solutions de mobilité essentielles pour des villes plus inclusives. Ainsi à Karlsruhe en Allemagne, l’extension du tramway s’accompagne de l’installation de 58 escalators qui rendront accessible les nouvelles infrastructures.Pour Bernardo Calleja, président d’Otis pour la région EMEA : « L’innovation est dans l’ADN d’Otis et nous contribuons depuis plus de 165 ans à façonner les espaces urbains. Les développements des villes intelligentes fait naître de nouvelles opportunités et de nouveaux défis sociaux, environnementaux et technologiques auxquels nous sommes fiers d’apporter des solutions. En tant qu’expert de la mobilité verticale, nous sommes là pour accompagner tous les bâtiments, qu’ils soient neufs ou existants, dans leur transition vers la smart city. »Dans la ville intelligente, la connectivité est au service d'une mobilité plus performante La technologie peut être un atout majeur lorsqu’il s’agit d’augmenter les performances. Lancée en 2020, la solution Otis ONE™ est le résultat de près de 40 ans d’innovation. Grâce à des capteurs, Otis ONE™ connecte directement les ascenseurs au cloud et analyse en continu les données collectées afin d’anticiper les pannes et optimiser la maintenance. Poussé par la volonté d’offrir la meilleure qualité de service au quotidien, Otis a conduit une opération de digitalisation sur l’ensemble du parc d’ascenseurs de Vilogia, depuis 2021. Vilogia est un acteur français dans l’immobilier social qui gère environ 75.000 logements pour plus de 150.000 locataires. À ce jour, plus de 1.000 ascenseurs sur le parc Vilogia profitent des améliorations apportées par Otis ONE™. En anticipant et en améliorant les interventions, tant en termes de temps que d’efficacité, les ascenseurs du parc équipés de la technologie Otis ONE™ ont enregistré sur les 12 derniers mois jusqu’à 35 % de pannes en moins que des ascenseurs similaires non connectés. Des équipements et des bâtiments capables d'évoluer avec les transformations urbainesAprès 2024, le Centre Aquatique de Saint-Denis et le Village des Athlètes de Saint-Ouen (actuellement en constructions) ont vocation à s’intégrer au sein de nouveaux quartiers urbains durables. Les nombreuses innovations apportées par l’écosystème digital Gen360™ ont su répondre aux enjeux de ces projets, tout en embarquant des technologies connectées au service d’une expérience passager améliorée. Au Village des athlètes (lot E), 38 ascenseurs Gen360TM permettront d’adapter l’offre de mobilité aux nouveaux usages et flux lors de sa transformation en un quartier résidentiel mixte offrant logements, commerces, bureaux et services. Au Centre Aquatique, Otis installera 5 ascenseurs, dont un Gen360™ qui permettra d’accéder au niveau supérieur du centre. Grâce à sa conception exclusive qui élimine les édicules en toiture, l’écosystème Gen360™ apporte une solution de mobilité qui respecte les lignes architecturales du bâtiment.Accompagner les enjeux de déplacement urbain dans les villes toujours plus denses : le "projet du siècle" à Karlsruhe (Allemagne) Face à la croissance de leurs populations, les villes doivent gérer des enjeux de trafic toujours plus importants. Gérer les flux tout en veillant à ce que la ville reste accessible est l’un des plus grands défis à relever. Dans la ville de Karlsruhe, ce sont les habitants qui ont voté en faveur de l’extension du réseau de tramway en 2002. Un milliard d’euros a été investi pour libérer le centre-ville des embouteillages et concevoir de nouvelles zones piétonnes. Le projet reposait pour une large part sur la création d’un réseau sous-terrain de tunnels et de sept nouvelles stations de tramway, inaugurées en décembre 2021. Le « projet du siècle », comme l’appellent les habitants de Karlsruhe, nécessitait pour une accessibilité optimale des nouvelles infrastructures des solutions de mobilité adaptées aux forts trafics. Otis a fourni et installé 58 escalators conçus spécifiquement pour supporter des flux intenses en intérieur comme en extérieur, afin d’accompagner les déplacements de tous les usagers.
Il y a 3 ans et 77 jours

Lorenove dresse le bilan de sa convention annuelle des concessionnaires

La convention 2022 du réseau de concessionnaires Lorenove, qui s’est tenue en janvier dernier, a, cette année encore, proposé un format inédit afin de dominer les contraintes sanitaires mais sans s’affranchir de leur respect. Ainsi, la convention nationale s’est muée en 3 rendez-vous régionaux à Massy le 19/01, Lyon le 20/01 et Angers le 21/01, en remplacement de la convention annuelle. Lors de chacune des 3 réunions, l’équipe tête de réseau, ainsi que Thierry Luce, Président du Groupe Lorillard, et Pierre Lorillard, Directeur Général délégué au commerce, au marketing et à la communication, sont allés à la rencontre des 60 points de vente du réseau répartis sur les 3 dates. En synthèse, le bilan de l’année 2021, la stratégie de l’enseigne et du réseau, le développement des points de vente, l’offre de produits, les actions mises en place dans le cadre du plan de communication étaient les grands sujets attendus et évoqués. Rendez-vous annuels récurrents, des opérations promotionnelles seront planifiées cette année pour animer les points de vente et favoriser la rénovation des anciennes menuiseries. Elles seront relayées par un dispositif mixant des leviers de communication traditionnelle et digitale. 2022 marquera également le retour de Lorenove à la télévision, en utilisant un dispositif télévisuel innovant, permettant de cibler les téléspectateurs destinataires du spot télé en paramétrant certains critères (géographiques, centres d’intérêts, CSP, etc.), afin d’adresser les messages à une audience captive. En synthèse, ce dispositif combine la puissance d’un média de masse et la précision du digital. Au total, l’activation des différents leviers retenus permettra d’agir de façon tactique sur la notoriété de la marque, sa visibilité, l’acquisition de contacts et leur conversion. Les réunions ont aussi été l’occasion de remettre les Trophées de la Performance qui récompensent l’engagement des concessionnaires chaque année. Mais le plan stratégique qui se dessine sur les 3 prochaines années a laissé percevoir des changements factuels qui s’appuieront sur un mouvement disruptif et des évolutions novatrices. Le recrutement s’externalise Avec l’objectif de 100 points de vente d’ici 3 ans, Lorenove se fixe un cap pour le recrutement de nouveaux partenaires. Les profils recherchés demeurent des menuisiers mais l’enseigne est tout aussi intéressée par des profils d’entrepreneurs ayant l’envie de réorienter leur avenir professionnel. Cependant, cette expertise de recrutement sera désormais externalisée afin que la tête de réseau se dédie entièrement à l’animation, l’accompagnement et le suivi des concessionnaires. La formation, fil conducteur d’une amélioration continue Doté d’une école de formation le Groupe Lorillard a toujours placé la formation au centre de sa politique d’amélioration. Ces dernières années Lorenove a consacré des investissements pour une montée en compétences des membres du réseau par une offre de formations sur des sujets variés : commerce, pose, technique, finance, etc. Ces efforts s’étaient poursuivis en 2021 avec des nouveaux modules de formations portant sur les gammes de menuiseries mais également des modules s’adressant à tous les types de profils rencontrés dans le réseau : assistants commerciaux, commerciaux chevronnés, dirigeants, etc. La formation 2022 se voudra différenciante. Proposée à l’intégralité des effectifs du réseau – près de 500 personnes – et à l’appui de son école de formation mais également avec l’intervention de formateurs extérieurs au sein de l’école Lorillard, le panel de formations va s’élargir aux sujets et métiers inhérents au marché de la menuiserie. Réglementation, gestion de point de vente, développement commercial, vente et technique de pose de porte, porte de garage, volet, store et portail sont autant de formations qui seront proposées. L’objectif visé étant la parfaite maîtrise des diverses composantes du marché de la menuiserie. Des étapes clés jalonnent le chemin formatif, tel un fil conducteur d’amélioration : état des lieux des savoirs, formations, validation des acquis et contrôles sur la durée pour une parfaite connaissance des sujets. Cette offre de formation différenciante brigue une évolution notable du réseau. Elle entre dans la mise en œuvre d’une stratégie de gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences que Lorenove a nouvellement établie, pour développer une pépinière de ressources humaines, disposées à servir l’évolution et les besoins du réseau. L’achat et le référencement des produits centralisés La tête de réseau va désormais centraliser le référencement et les achats des produits connexes à la menuiserie chez les partenaires industriels spécialisés. Jusqu’à présent, chaque concessionnaire travaillait en direct auprès de différents fournisseurs référencés et chaque achat du réseau était considéré comme individualisé. La tête de réseau a dès à présent la fonction stratégique d’acheteur pour mutualiser les volumes de produits dont le réseau a besoin et offrir, tout d’abord aux clients du réseau, la meilleure solution du marché et aux concessionnaires les meilleurs avantages. 2022, le printemps LORENOVE D’autres changements, portant sur la gamme des produits de Lorenove, vont être amorcés dans le courant 2022. Ces changements, que l’on pourrait tout aussi qualifier d’évolutions commerciales, vont permettre à la marque d’harmoniser son offre mais également de se différencier sur le marché par un clivage commercial au sein de ses gammes. L’enseigne qui « dépoussière » son offre commerciale pourrait bien enchérir son mouvement disruptif sur des changements emblématiques. Une réflexion est conduite pour traduire en image et en concepts cette révolution de l’enseigne. Les Trophées de la Performance Illustration de la bonne santé du réseau, chaque année, les Trophées de la Performance de Lorenove viennent récompenser les efforts et le travail des concessionnaires. Cette année, le Trophée du meilleur chiffre d’affaires Concessions a été remis à SEVESTRE MENUISERIES (Bourges, région ouest), avec un CA facturé record. Le Trophée de la meilleure progression des achats de menuiseries Lorenove à ATLANTIQUE CONCEPT HABITAT (Eysines, région sud), avec une augmentation de 105 %. Le Trophée de la meilleure performance web à HABICONFORT (Montluçon – région sud), avec 100% des contacts traités et un excellent taux de transformation. Le Trophée de la meilleure expérience client en magasin à GL2 HABITAT (Pacy sur Eure, région nord / Ile de France), avec un nouveau showroom ouvert en mars 2021 réunissant visibilité, accessibilité, atmosphère propice et mise en avant de l’univers Lorenove. Le Trophée coup de cœur à FENÊTRES ET BAIES (Nantes – région ouest), pour son implication dans le réseau et au sein du Comité H2E, notamment en partageant des informations terrain, de la concurrence, tout en s’impliquant dans la vie du réseau. « Les moments de convivialité ont été très restreints, mais l’essentiel est que nous ayons pu échanger en direct avec les membres du réseau, ce qui n’était pas arrivé sous cette forme depuis 2 ans car la convention 2021 était sous format digital », conclu Marion Macchi, Chef de Projet communication du réseau Fenêtres Lorenove. Pour répondre à ce besoin d’union et pour mieux se retrouver, pour la première fois, une convention à mi année sera organisée en juillet. Elle permettra de faire un bilan des 6 premiers mois et d’évoquer l’avancée des dossiers en cours.
Il y a 3 ans et 78 jours

Seine-et-Marne : mise en accessibilité de la gare de Melun

Des travaux de mise aux normes d’accessibilité sont réalisés à la gare de Melun.
Il y a 3 ans et 79 jours

HQE Aménagement : l’Alliance HQE-GBC propose 19 indicateurs pour aider à la réalisation de quartiers durables

Issus du bilan du "Test HQE Performance Quartier", ils sont réunis, sous forme de fiches pratiques, dans un guide d’aide à la décision adressant les engagements de la HQE, notamment : qualité de vie, respect de l’environnement et performance économique.HQE Aménagement : 4 fondamentaux d’évaluationOuvrage de référence, mis à jour en 2020, le cadre de référence de HQE Aménagement est complété aujourd’hui par un outil pour aider de manière pratique tous les acteurs (élus locaux, opérateurs, maîtres d’oeuvres…) engagés dans des projets d’aménagements durables. Dans une première partie, le nouveau guide pratique rappelle que HQE Aménagement repose sur un système qualité et une méthode générique pouvant s’adapter à tout type d’opération et être appropriée par tout type d’acteur. Cette méthode propose un langage commun, une structure de conduite d’opération et une évaluation permanente. Sur cette base, le cadre de référence de HQE Aménagement a introduit 4 fondamentaux pour construire et faire vivre collectivement un dispositif d’évaluation d’une opération aménagement durable : 1. L’acquisition d’une culture commune grâce à un dispositif co-construit, contextualisé et dimensionné. 2. Une évaluation participative à travers un dispositif partagé et transparent. 3. Un pilotage et une organisation via un dispositif intégré et itératif. 4. Une formalisation portée par un dispositif d’évaluation inscrit dans la durée de l’opération. HQE Aménagement : 19 indicateurs d’évaluation Avec la volonté de passer de la théorie à la pratique, l’Alliance HQE-GBC lançait en 2018-2019, avec le soutien de l’ADEME, un "Test HQE Performance Quartier" sur une dizaine d’opérations d’aménagement volontaire. Objectif : constituer une base commune d’indicateurs pour une évaluation globale et multicritère des opérations d’aménagement. La deuxième partie du nouveau guide pratique HQE Aménagement de l’Alliance HQE-GBC, propose de découvrir les 19 indicateurs (sur les 30 testés), retenus pour leur pertinence, leur applicabilité et leurs réponses à des enjeux croisés du développement durable : le changement climatique, la raréfaction des ressources, la perte de la biodiversité, la santé et le bien-être, la cohésion sociale et l’économie.Véritable outil d’aide à la décision, le nouveau guide pratique HQE Aménagement présente les 19 indicateurs, répartis dans 3 grands piliers, sous forme de fiches pratiques détaillées. Elles permettent de retrouver facilement toutes les informations nécessaires à leur mise en pratique dans un projet de quartier durable : vocation, valeurs cibles, méthode de calcul, interprétation…Qualité de vie :1. Logements et espaces de travail sans nuisances : aide au calcul des surfaces sans nuisance, ces dernières étant néfastes sur la santé.2. Mixité fonctionnelle : permet de localiser les services de proximité à moins de 500m des logements ou bureaux de l’opération d’aménagement.3. Accessibilité des transports collectifs : 6 minutes à pied ou 500m de distance maximale des logements ou activités sont recommandés.4. Accessibilité des espaces de nature : ils favorisent notamment une bonne santé physique et mentale et les interactions sociales entre habitants d’un quartier.5. Praticabilité des modes actifs : détermine des modes de circulation apaisés et la qualité des liens entre un quartier et son environnement.6. Orientation des logements et activités : un indicateur déterminant pour la luminosité et la température intérieure en toutes saisons.Respect de l’environnement :7. Performance énergétique des bâtiments et de l’éclairage public : via la mesure et la simulation de la part prévisionnelle des surfaces sur-performantes en matière de consommation d’énergie.8. Production énergétique locale : permet d’estimer l’effort local en matière d’énergies renouvelables et de mesurer la facture énergétique locale.9. Espaces végétalisés favorables à la biodiversité : un indicateur qui fait le focus sur le taux de végétalisation des surfaces caractérisé par le Coefficient de Biotopes par Surface (CBS)10. Coefficient d’imperméabilisation : il indique le rapport entre la surface imperméabilisée et la surface totale considérée.11. Albedo : constitue la fraction de la lumière qui est réfléchie ou diffusée par un corps, une surface ou un milieu.12. Indice de confort d’été : permet d’assurer le confort climatique à l’intérieur comme à l’extérieur via notamment des îlots de fraîcheur.13. Terres excavées réutilisées : réemploi et évacuation hors site d’origine sont les deux approches prises en compte dans le cadre d’un focus spécifique sur les excédents de déblais.14. Valorisation des déchets de chantier : aide à la mesure de l’efficacité de la gestion des déchets sur le chantier.15. Réutilisation potentielle des eaux pluviales : permet de mesurer la quantité d’eau de pluie réutilisable sur le périmètre de l’aménagement.Performance économique :16. Renouvellement urbain : rénover, quand cela est possible, les infrastructures existantes.17. Optimisation et mutualisation des VRD (Voiries et Réseaux Divers) : pour valoriser les initiatives en faveur d’une optimisation ou d’une mutualisation pour l’économie de matières.18. Emploi local ou en insertion : estimer les emplois générés par le projet d’aménagement.19. Matières premières issues de filières locales : identifier les fournisseurs et ressources locales pour favoriser des économies à long terme.Pour télécharger le guide : cliquez ici
Il y a 3 ans et 79 jours

1992 - 2022, le Club de l’Amélioration de l’Habitat fête ses 30 ans

30 ans d’engagements et d’actions pour l’amélioration de l’habitat et le confort de l’habitantLe Club de l’Amélioration de l’Habitat, fondé il y a 30 ans à l’initiative conjointe de l’ANAH, du Ministère du Logement, de la Fédération du Bâtiment et de quelques grands industriels œuvre en permanence pour mesurer, comprendre et dynamiser le secteur d’activités de la rénovation-entretien des logements.Deux motivations majeures ont constamment guidé et stimulé ses actions :La nécessité de soutenir un marché économique important de l’ordre de 50 milliards d’€ chaque année mais au demeurant assez peu évolutif.Ainsi que la volonté d’apporter toute solution à l’amélioration du confort de vie des habitants dans leur logement comme au sein de leur quartier.Aujourd’hui encore et très probablement pour les 30 ans à venir, cette détermination soutient les ambitions du Club.Depuis sa création son tour de table s’est fortement étoffé : Services publics (Ministères et leurs agences), organisations professionnelles métiers et bon nombre de leurs adhérents (fabricant, distributeur, prescripteurs, installateurs), énergéticiens, banques, assurances, organismes sociaux… Le Club mène ses travaux autour de 3 axes majeurs : L’observation du marché sous les angles tant économiques que sociologiques.Les solutions expérimentales pour massifier et intensifier la rénovation du parc résidentiel.Les approches sociétales pour mieux comprendre les mécanismes comportementaux des habitants-consommateurs.Pour Jean-Pascal Chirat, Délégué Général du CAH : “ Nul doute que la décennie engagée, malgré un contexte sociétal singulier, ou peut-être justement grâce à celui-ci ? pourra consacrer une large part de sa dynamique économique “durable” à l’évolution de l’Habitat existant et à une meilleure intégration des Habitants dans la transformation de l’urbanisme en lien avec notre évolution sociétale. Le Club forme ainsi le voeu, en son trentième anniversaire, de pouvoir accompagner cette mutation profonde avec la raison et la passion qui inspirent ses membres et son encadrement. ”Les temps forts du Club en 2022Webinaire “Rénover les quartiers : quelles priorités ?”Une rencontre d’experts et de personnalités qualifiées autour des grands programmes de renouveau urbain et requalification architecturale des îlots de quartier.Lancement du Groupe de travail “Accessibilité, adaptation du logement pour les seniors” dans le cadre du Salon des seniors programmé à Paris-Expo Porte de Versailles.Assemblée Générale OrdinairePrésentation en avant-première des premiers résultats de l’enquête CAH-Qualitel/IPSOS 2022 réalisée auprès de propriétaires-occupants.Colloque “30 ans du Club” et restitution des résultats de l’enquête IPSOSPrésentation du livre “L’habitat d’Hier, d’Aujourd’hui et de Demain” dans le cadre sur Salon du Mondial du Bâtiment qui aura lieu du 3 au 6 octobre à Paris-Expo Porte de Versailles.Une chronique radio intitulée “Améliorer nos lieux de vie” chaque premier vendredi du moisDe janvier à septembre 2022, le Club de l’Amélioration de l’Habitat s’exprimera sur une nouvelle thématique dans l’émission de radio “Les Rendez-Vous du Mondial du Bâtiment”.
Il y a 3 ans et 85 jours

19 indicateurs pour les quartiers durables

L’Alliance HQE-GBC complète son cadre de référence HQE Aménagement de 19 indicateurs pour une évaluation globale et multicritère des opérations d’aménagement de quartiers durables. Ils sont réunis, sous forme de fiches pratiques, dans un guide d’aide à la décision adressant les engagements de la HQE, notamment : qualité de vie, respect de l’environnement et performance économique. Qualité de vie : 1. Logements et espaces de travail sans nuisances : aide au calcul des surfaces sans nuisance, ces dernières étant néfastes sur la santé. 2. Mixité fonctionnelle : permet de localiser les services de proximité à moins de 500m des logements ou bureaux de l’opération d’aménagement. 3. Accessibilité des transports collectifs : 6 minutes à pied ou 500m de distance maximale des logements ou activités sont recommandés. 4. Accessibilité des espaces de nature : ils favorisent notamment une bonne santé physique et mentale et les interactions sociales entre habitants d’un quartier. 5. Praticabilité des modes actifs : détermine des modes de circulation apaisés et la qualité des liens entre un quartier et son environnement. 6. Orientation des logements et activités : un indicateur déterminant pour la luminosité et la température intérieure en toutes saisons. Respect de l’environnement : 7. Performance énergétique des bâtiments et de l’éclairage public : via la mesure et la simulation de la part prévisionnelle des surfaces sur-performantes en matière de consommation d’énergie. 8. Production énergétique locale : permet d’estimer l’effort local en matière d’énergies renouvelables et de mesurer la facture énergétique locale. 9. Espaces végétalisés favorables à la biodiversité : un indicateur qui fait le focus sur le taux de végétalisation des surfaces caractérisé par le Coefficient de Biotopes par Surface (CBS) 10. Coefficient d’imperméabilisation : il indique le rapport entre la surface imperméabilisée et la surface totale considérée. 11. Albedo : constitue la fraction de la lumière qui est réfléchie ou diffusée par un corps, une surface ou un milieu. 12. Indice de confort d’été : permet d’assurer le confort climatique à l’intérieur comme à l’extérieur via notamment des îlots de fraîcheur. 13. Terres excavées réutilisées : réemploi et évacuation hors site d’origine sont les deux approches prises en compte dans le cadre d’un focus spécifique sur les excédents de déblais. 14. Valorisation des déchets de chantier : aide à la mesure de l’efficacité de la gestion des déchets sur le chantier. 15. Réutilisation potentielle des eaux pluviales : permet de mesurer la quantité d’eau de pluie réutilisable sur le périmètre de l’aménagement. Performance économique : 16.Renouvellement urbain: rénover, quand cela est possible, les infrastructures existantes. 17.Optimisation et mutualisation des VRD (Voiries et Réseaux Divers): pour valoriser les initiatives en faveur d’une optimisation ou d’une mutualisation pour l’économie de matières. 18.Emploi local ou en insertion: estimer les emplois générés par le projet d’aménagement. 19.Matières premières issues de filières locales: identifier les fournisseurs et ressources locales pour favoriser des économies à long terme. http://www.hqegbc.org/guide-pratique-pour-la-realisation-de-quartiers-durables/
Il y a 3 ans et 85 jours

19 indicateurs pour les quartiers durables

L’Alliance HQE-GBC complète son cadre de référence HQE Aménagement de 19 indicateurs pour une évaluation globale et multicritère des opérations d’aménagement de quartiers durables. Ils sont réunis, sous forme de fiches pratiques, dans un guide d’aide à la décision adressant les engagements de la HQE, notamment : qualité de vie, respect de l’environnement et performance économique. Qualité de vie : 1. Logements et espaces de travail sans nuisances : aide au calcul des surfaces sans nuisance, ces dernières étant néfastes sur la santé. 2. Mixité fonctionnelle : permet de localiser les services de proximité à moins de 500m des logements ou bureaux de l’opération d’aménagement. 3. Accessibilité des transports collectifs : 6 minutes à pied ou 500m de distance maximale des logements ou activités sont recommandés. 4. Accessibilité des espaces de nature : ils favorisent notamment une bonne santé physique et mentale et les interactions sociales entre habitants d’un quartier. 5. Praticabilité des modes actifs : détermine des modes de circulation apaisés et la qualité des liens entre un quartier et son environnement. 6. Orientation des logements et activités : un indicateur déterminant pour la luminosité et la température intérieure en toutes saisons. Respect de l’environnement : 7. Performance énergétique des bâtiments et de l’éclairage public : via la mesure et la simulation de la part prévisionnelle des surfaces sur-performantes en matière de consommation d’énergie. 8. Production énergétique locale : permet d’estimer l’effort local en matière d’énergies renouvelables et de mesurer la facture énergétique locale. 9. Espaces végétalisés favorables à la biodiversité : un indicateur qui fait le focus sur le taux de végétalisation des surfaces caractérisé par le Coefficient de Biotopes par Surface (CBS) 10. Coefficient d’imperméabilisation : il indique le rapport entre la surface imperméabilisée et la surface totale considérée. 11. Albedo : constitue la fraction de la lumière qui est réfléchie ou diffusée par un corps, une surface ou un milieu. 12. Indice de confort d’été : permet d’assurer le confort climatique à l’intérieur comme à l’extérieur via notamment des îlots de fraîcheur. 13. Terres excavées réutilisées : réemploi et évacuation hors site d’origine sont les deux approches prises en compte dans le cadre d’un focus spécifique sur les excédents de déblais. 14. Valorisation des déchets de chantier : aide à la mesure de l’efficacité de la gestion des déchets sur le chantier. 15. Réutilisation potentielle des eaux pluviales : permet de mesurer la quantité d’eau de pluie réutilisable sur le périmètre de l’aménagement. Performance économique : 16.Renouvellement urbain: rénover, quand cela est possible, les infrastructures existantes. 17.Optimisation et mutualisation des VRD (Voiries et Réseaux Divers): pour valoriser les initiatives en faveur d’une optimisation ou d’une mutualisation pour l’économie de matières. 18.Emploi local ou en insertion: estimer les emplois générés par le projet d’aménagement. 19.Matières premières issues de filières locales: identifier les fournisseurs et ressources locales pour favoriser des économies à long terme. http://www.hqegbc.org/guide-pratique-pour-la-realisation-de-quartiers-durables/ Cet article 19 indicateurs pour les quartiers durables est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 86 jours

Paris La Défense attribue à ILEX la mission de maîtrise d’œuvre urbaine au sein de la ZAC Seine Arche à Nanterre

Le projet d’aménagement de la ZAC Seine Arche a été initié avec la volonté de réparer les coupures urbaines générées par les infrastructures de transports (voies ferrées, autoroutes), permettant d’ouvrir les quartiers, de créer de nouvelles liaisons, d’accentuer le caractère paysager et de prolonger l’axe historique en direction de la Seine. Aujourd’hui, avec la désignation du maître d’œuvre qui interviendra sur le secteur, le projet entre dans sa phase de réalisation. L’agence lyonnaise de paysagistes et d’urbanistes ILEX, qui pilote la conception et la mise en œuvre du projet, accompagnée par l’agence Sathy, va concrétiser la vision d’un urbanisme visant à développer la place de la nature et le confort urbain.Trois secteurs sont concernés par ces travaux d’aménagementAvenue de la République, une nouvelle façade urbaine sera composée. Une place compatible avec l’arrivée future du tramway T1, fonctionnera comme une porte d’entrée du campus de l’Université Paris Nanterre. Les futurs aménagements prévoient une mixité des usages, avec des logements, dont une résidence universitaire gérée par le Crous, des locaux d’activités et des commerces. Tout cela sera compatible avec la possibilité pour l’Université de Paris Nanterre de réaliser de nouveaux bâtiments. Les espaces publics seront repensés de manière à améliorer la liaison vers le Petit Nanterre, développer la végétalisation et les circulations douces. Dans le quartier Anatole France, Paris La Défense va réaménager les espaces publics et reconfigurer le cœur d’îlot.Du côté des Terrasses, les aménagements répondent à trois objectifs : renforcer la biodiversité au moyen d’une coulée verte, améliorer l’accessibilité grâce à une liaison piétonne et cyclable qui traversera le quartier vers la Seine (voie verte, passerelle, rampe piétonne), et, enfin, devenir un lieu d’accueil pour les activités associatives, qu’il s’agisse de cirque, d’agriculture urbaine ou d’événements culturels.Enfin, aux abords de l’échangeur, des connexions vont être créées pour une meilleure intégration urbaine aux quartiers environnants et à l’axe Seine. Le parc du Chemin de l’Ile sera étendu et la réalisation de nouveaux logements sera étudiée.
Il y a 3 ans et 94 jours

Rénovation énergétique : Hellio alerte sur le reste à charge des familles en situation de précarité

Entre 600.000 et 900.000 : c'est le nombre de logements insalubres estimés en France. Selon ce rapport, en 2020, les rénovations subventionnées par l'Anah via le programme Habiter Mieux sérénité à destination des ménages modestes et très modestes, avec au moins 35 % de gain énergétique, n'ont augmenté que de 7 %, passant de 41.000 rénovations en 2019 à 52.000 en 2020, et stagnent en 2021. Après la mobilisation de toutes les aides possibles, les propriétaires très modestes en maisons individuelles subissent un reste à charge en moyenne de 39 % au lieu de 10 % du montant des travaux. Pour les ménages modestes, c'est 56 %.De plus, ces Français, qui vivent avec moins de 800 euros par mois, ont perdu 0,5 % de pouvoir d'achat, soit 39 euros par an. Cela se manifeste notamment par la difficulté à payer ses factures d'électricité. Engagé dans la lutte contre la précarité énergétique et membre historique du collectif STOP Exclusion Énergétique, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, milite et agit pour éradiquer la précarité énergétique d'ici 2030. En ce sens, le groupe apporte son soutien à la démarche exemplaire menée par Réseau Éco Habitat. Lancé en 2019, le programme “1DigneToit!” rassemble Réseau Éco Habitat, structure fondée sur une logique associative et coopérative dans le Nord de la France, le Secours Catholique et Hellio. Son but ? Aider les ménages en situation de précarité énergétique à retrouver un logement décent grâce aux travaux de rénovation énergétique et d'adaptabilité en les accompagnant tout au long du processus. Depuis sa création, ce programme conventionné est venu en aide à une cinquantaine de familles. Grâce à une dotation de 45.000 € allouée par Hellio, 13 d'entre elles ont pu bénéficier d'une aide au financement de leur reste à charge. L'objectif de Réseau Éco Habitat pour 2022 est de réaliser 40 chantiers, avec une progression visée de 10 chantiers supplémentaires par an.Les ménages précaires moins enclins à réaliser des travaux de rénovation énergétique Pour sortir de la précarité énergétique les 3,5 millions de ménages qui connaissent des difficultés à payer leurs factures d'énergie, tous les acteurs de la rénovation énergétique des bâtiments doivent se mobiliser. Même si le soutien financier de l'État s'est incontestablement fait plus massif ces cinq dernières années, notamment avec la montée en puissance du rôle de l'Anah et de la distribution de l'aide MaPrimeRénov', celui-ci n'a cependant pas permis aux ménages les plus modestes de bénéficier de travaux de rénovation énergétique globale. Le “reste à charge“ qui s'élève en moyenne à 10 % du coût des travaux selon l'État, et à 39 % selon la fondation Abbé Pierre dans son rapport sur le mal logement de 2022, rend en effet inaccessible la possibilité de sortir de la précarité énergétique pour des familles qui vivent parfois avec moins de 10 € par jour. L'aide Habiter Mieux Sérénité dédiée à la rénovation globale pour ces ménages est, elle, peu lisible et moins facile d'accès. Transformée en MaPrimeRénov' Sérénité au 1er janvier 2022, ses modalités de distribution sont certainement encore à éclaircir au regard de son évolution en juillet prochain Sans compter que depuis 2021, les ménages précaires doivent faire face à plusieurs baisses successives des aides à la rénovation énergétique. Mais pour Hellio, la lutte contre la précarité énergétique n'est pas simplement qu'une question de financement. La difficulté première consiste à identifier et localiser les personnes en situation d'exclusion énergétique, parfois “invisibles” des services sociaux, car cette forme de précarité ne se voit pas de l'extérieur. De plus, 2/3 des logements insalubres appartiennent à des propriétaires occupants. Une fois identifiées, la prise de contact avec ces personnes a plus de chances d'aboutir avec des tiers de confiance. Pourtant, des solutions financières et opérationnelles existent. En combinant la relance de la construction de logements performants énergétiquement avec des aides sociales immédiates revalorisées pour alléger les factures d'énergie, et des solutions systémiques comme la rénovation globale et performante des logements, il est possible d'éradiquer la précarité énergétique d'ici 2030. Preuve, en est l'action menée par Réseau Éco Habitat.Une dotation de Hellio de 45.000 euros pour aider au financement du reste à charge de 13 familles Toutes deux membres du collectif STOP Exclusion Énergétique, Réseau Éco Habitat et Hellio ont décidé d'unir leurs forces. Via Hellio Care dédié au soutien d'actions RSE, l'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, a souhaité ajouter une pierre à l'édifice en donnant un coup de pouce à plusieurs familles accompagnées par Réseau Éco Habitat pour le financement de leur reste à charge. Un sujet qui tient beaucoup à coeur à l'entreprise, consciente que la massification de la rénovation énergétique ne pourra se faire qu'avec des solutions de financement innovantes et pérennes. Hellio a ainsi mis à disposition de Réseau Éco Habitat une enveloppe de 45.000 €.Pour Claire Gagnaire, secrétaire générale de Hellio : « Chez Hellio, la responsabilité environnementale est au coeur de notre ADN : nous sommes engagés dans les économies d'énergie en France depuis 2008. Notre mission est d'intensifier nos actions de terrain avec les entreprises de travaux, les artisans pour créer de l'emploi, des filières de formations adaptées aux nouveaux métiers, et d'accompagner le plus grand nombre de sociétés privées et publiques, des collectivités et bien entendu les particuliers. Nous voulons mettre notre expérience à disposition du collectif STOP Exclusion Énergétique et de ses engagements. C'est pourquoi nous sommes profondément engagés dans l'action menée conjointement avec Réseau Éco Habitat dans le financement du reste à charge des ménages en situation de précarité pour leurs travaux de rénovation énergétique. »La démarche exemplaire de Réseau Éco HabitatLes bénévoles du Secours Catholique sont la clé d'entrée de l'accompagnement de Réseau Éco Habitat car ils sont souvent sollicités par des personnes qui rencontrent des difficultés pour payer leurs factures d'énergie. Celles-ci habitent la plupart du temps dans des passoires thermiques. Face à l'envolée des prix de l'énergie, certaines se chauffent à peine et vivent dans des logements où le thermomètre affiche seulement 14°.Les bénévoles ont ainsi pris conscience que le chèque énergie n'était pas suffisant et que les travaux de rénovation énergétique seraient bien plus efficaces. Pour Franck Billeau, fondateur et directeur de Réseau Éco Habitat : « Les bénévoles sont la passerelle avec les familles. Ils jouent un rôle de repérage et sont présents du début à la fin, lors du passage des artisans jusqu'à la livraison du chantier. Ils rassurent les familles qui ont peur d'être arnaquées. Sans eux, on n'existe pas ! » La première étape consiste à étudier en détail le profil des ménages – leur composition, leurs revenus – afin d'aller chercher le maximum de subventions possibles pour limiter le reste à charge. C'est ensuite au tour du logement d'être passé à la loupe. Un audit est alors réalisé par un bureau d'études pour évaluer les travaux de rénovation énergétique à réaliser, mais aussi d'accessibilité. Place aux travaux qui consistent généralement à isoler, changer le système de chauffage et les menuiseries, pour passer par exemple d'une étiquette G à D. Les travaux durent en général entre 6 et 8 semaines, avec, si possible, une organisation en milieu occupé car le relogement des personnes n'est pas toujours possible. Réseau Éco Habitat s'entoure au maximum d'entreprises générales afin de limiter le nombre d'interlocuteurs pour les familles et ainsi simplifier la démarche. L'association compte sur l'appui de plusieurs entreprises fidèles : « Nos valeurs se fondent sur notre capacité à créer des liens de coopération et d'entraide entre tous les acteurs membres du réseau. Il y a une volonté commune de réduire les marges pour trouver le juste prix dans tout l'écosystème », précise Franck Billeau. Réseau Éco Habitat se charge de toutes les démarches pour demander l'ensemble des aides qu'il est possible de mobiliser : Anah, aides régionales, départementales, etc. L'association a même constitué une caisse pour pouvoir avancer les aides. « Avec l'ensemble des aides, on arrive à atteindre 90 % de prise en charge. On demande toujours une petite participation aux familles pour les impliquer dans le projet », précise Franck Billeau. TémoignagesArtiste peintre, Erlina élève seule ses 3 enfants. Après sa séparation, n'ayant pas accès à un logement HLM du fait de son statut de propriétaire, elle achète une petite maison, avec pour seul moyen de chauffage une cheminée. Mais au moment du ramonage, c'est la douche froide : la cheminée n'ayant jamais été entretenue, elle ne peut être utilisée en l'état. Pendant 2 ans, la famille vit dans le froid, elle ne se chauffe qu'à l'aide d'un convecteur électrique prêté par des amis, et voit ses factures d'électricité s'envoler pour atteindre 600 € pour 2 mois en période hivernale. L'assistante sociale qui l'accompagne la met alors en relation avec Réseau Eco Habitat en 2019. Les démarches ont été longues pour démarrer les travaux, le temps de constituer le dossier, réaliser les devis, les refaire en abandonnant certains travaux car le reste à charge était trop important. Les travaux sont réalisée entre mars et juin 2021 : isolation haute, isolation des murs périphériques intérieurs, pose de radiateurs électriques et d'un poêle à bois, renforcement du plancher de la cuisine, suppression de la tuyauterie en plomb (arrivée d'eau), remplacement des fenêtres de toit, pose de menuiseries en PVC, électricité et VMC. Le montant total des travaux s'élève à 41 636 €, pour un reste à charge de plus de 7 687 € financé par la dotation Hellio et un prêt de la CAF.« Avant, il faisait 14° dans notre maison car on ne chauffait pas beaucoup. En hiver, mes enfants dormaient dans les combles avec des manteaux tellement il faisait froid, et en été, il y faisait une chaleur étouffante. Maintenant, la maison est très bien isolée, on utilise principalement le poêle à bois pour se chauffer, on allume les radiateurs seulement lorsqu'il fait très froid. Mes enfants vivent désormais dans des conditions correctes et je travaille aussi dans un meilleur environnement. Je peux également de nouveau recevoir chez moi », raconte Erlina. « C'est un très beau projet pour Erlina ! Les travaux lui ont permis de valoriser son patrimoine et de lui redonner une dignité. Elle a été très impliquée dans la démarche, très conciliante, et elle entretient bien cette maison. Ça fait plaisir de voir que les travaux sont appréciés et qu'ils permettent un redémarrage dans la vie »”, se réjouit Catherine, bénévole au Secours Catholique.Alexandre est agriculteur dans les céréales. Avant de bénéficier de l'accompagnement de Réseau Éco Habitat, il occupait un logement sans isolation et payait 1 600 € d'électricité par an, une fortune ! Membre du CCAS (centre communal d'action sociale) de Compiègne, mandaté par le Secours Catholique et président de Réseau Éco Habitat, Pierre Chevillotte a accompagné Alexandre dans les démarches. Les demandes de subventions ont été un véritable parcours du combattant, entre l'identification des aides de l'Anah, de la région, du département et de la communauté de communes !Après un an pour boucler le dossier, les travaux d'un montant de 52 000 € peuvent enfin être réalisés en février 2021 : isolation des murs intérieurs et des combles, changement de menuiseries et du système de chauffage, adaptation de la salle d'eau.« Aujourd'hui, mon logement est confortable, je chauffe à 19° sans problème grâce à une meilleure isolation et une nouvelle chaudière gaz », constate Alexandre.« Avant ma retraite, je n'avais aucune notion de ce qu'était la précarité énergétique. Je me suis rendu compte que les personnes en situation de précarité énergétique étaient “indivisibles”. Quand on passait devant la maison d'Alexandre, on ne pouvait pas deviner les conditions dans lesquelles il vivait. Ces personnes ne se plaignent jamais, leur repérage est lié à un concours de circonstances. Mon devoir est que les communes arrivent à identifier ces personnes en situation de précarité », confie Pierre Chevillotte.
Il y a 3 ans et 101 jours

Deux-Sèvres: R.Access renouvelle la sécurité et l’accessibilité des TP

Installée à Chauray, aux portes de Niort, depuis quelques semaines, l’entreprise R.Access apporte une solution inédite aux entreprises de travaux publics en s’occupant des questions de sécurité et d’accessibilité des chantiers.
Il y a 3 ans et 101 jours

Présidentielles : le livre blanc de la Capeb

La Capeb vient de publier un livre blanc en vue de la présidentielle et des législatives qui vont suivre. 29 pages de propositions et de rappels concernant le rôle des entreprises artisanales du bâtiment. Parmi les vœux de la confédération, un souhait que les règles, en matière fiscale, soient fixées une fois pour toute, notamment, de MaPrimeRenov’, des CEE, de l’ECO PTZ et du PTZ accession qui ne doivent pas constamment évoluer au gré des Lois de Finances. La Capeb appelle également à davantage de lisibilité et de simplification du quotidien des entreprises artisanales du bâtiment, tant du point de vue des dispositifs administratifs les concernant que pour les dispositifs d’aides aux ménages pour les travaux de rénovation et d’accessibilité, pour la qualification RGE et des dispositifs CEE. Découvrez les autres propositions de la Capeb en téléchargeant son livre blanc… https://www.capeb.fr/www/capeb/media/document/livre-blanc-capeb-2022.pdf
Il y a 3 ans et 106 jours

La CAPEB dévoile les grandes priorités des entreprises artisanales du bâtiment pour le prochain quinquennat

Équité entre toutes les entreprises, petites ou grandesLa CAPEB demande que les règles de calcul de la représentativité patronale soient modifiées pour que les TPE occupent la place qui leur revient dans le dialogue social, par l’application de la règle suivante : une entreprise = une voix.L’équité s’entend aussi en matière de marchés publics par un juste accès des TPE à la commande publique.Stabilité et lisibilité des mesures, notamment en matière fiscale et sociale La CAPEB demande que les règles, en matière fiscale, soient fixées une fois pour toute. Il en est ainsi, notamment, de MaPrimeRenov’, des CEE, de l’ECO PTZ et du PTZ accession qui ne doivent pas constamment évoluer au gré des Lois de FinancesSimplification du quotidien des entreprises en particulier concernant les aides aux ménages pour les travaux de rénovation et d’accessibilitéLa CAPEB appelle à davantage de lisibilité et de simplification du quotidien des entreprises artisanales du bâtiment, tant du point de vue des dispositifs administratifs les concernant que pour les dispositifs d’aides aux ménages pour les travaux de rénovation et d’accessibilité (MaPrimeRénov’, ECO PTZ, PTZ Accession…), pour la qualification RGE et des dispositifs CEE.Enfin, la CAPEB réaffirme sa mobilisation sur les questions de l’emploi, de la valorisation des déchets, de la TVA à 5,5% pour l’ensemble de la rénovation, de la mise en œuvre des ZFE, de la formation, de l’attractivité des métiers du bâtiment, de la lutte contre la concurrence déloyale, de l’accessibilité et du maintien à domicile des aînés.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Parce qu’elles ont été fortement impactées par le contexte sanitaire et que le secteur du bâtiment est en perpétuelle mutation, il est primordial que les entreprises artisanales du bâtiment puissent se faire entendre sur les principaux enjeux du secteur. C’est l’objectif du livre blanc que nous publions aujourd’hui pour une économie plus durable dans laquelle les entreprises artisanales du bâtiment doivent trouver toute leur place. »
Il y a 3 ans et 106 jours

Essonne : des travaux sur les équipements communaux de Viry-Châtillon

À Viry-Châtillon, la halle des sports Jacques-Bédei et la médiathèque ont bénéficié de toits neufs. Les sanitaires du cimetière ont également été mis en accessibilité.
Il y a 3 ans et 118 jours

Apt : le nouveau centre d’entretien et d’exploitation des routes doit ouvrir en février 2023

Un nouveau centre routier doit être construit à Apt pour pallier le problème d’accessibilité du site actuel.
Il y a 3 ans et 125 jours

Achat de terrain et construction de maison: les démarches d’urbanisme

Avant d’acheter un terrain et d’y construire une maison, il faudrait prendre le temps d’étudier le projet avec grand soin avant de s’engager. De nombreux points méritent de l’attention et surtout une grande connaissance des démarches d’urbanisme actuelles. En effet, les démarches pour un terrain hors lotissement et dans un lotissement ne sont pas les mêmes. En effet, il faudrait vérifier les points suivants: La constructibilité du terrain Les démarches d’urbanisme (auprès de la municipalité) Les procédures de vente jusqu’à la signature Les critères d’un terrain constructible On dit qu’un terrain est constructible quand il est susceptible d’accueillir une ou plusieurs nouvelles constructions. Un terrain constructible doit répondre à plusieurs critères: Être juridiquement habile à recevoir une construction: c’est le Plan Local d’Urbanisme ou le PLU qui définit ce premier critère Avoir les capacités physiques à recevoir une nouvelle construction: selon la nature du sol et la nature du sous-sol. Est-ce que le terrain peut supporter les charges des futures constructions afin de garantir la sécurité des futurs occupants? Être viabilisé: le terrain est-il raccordé ou raccordable aux voies d’accès pour les engins de construction et surtout les réseaux classiques (eau, gaz, électricité, téléphone, assainissement collectif…) Quand un terrain réunit tous ces critères, il est donc constructible. Par contre, s’il manque même une condition, le terrain devient non constructible. Sachez qu’un terrain constructible n’est pas pareil qu’un terrain à bâtir. Voyons les différences: Un terrain à bâtir est nu ou contient une construction dont l’état est impropre à un usage Un terrain constructible peut comporter une ou plusieurs constructions utilisables Les précautions à prendre avant d’acheter un terrain pour construire La première chose à faire avant d’acheter un terrain est de s’informer à la mairie s’il est constructible ou non. Les règles d’urbanisme actuelles Sachez que vous avez la possibilité de voir à la mairie le Plan Local d’Urbanisme (PLU) ou le Plan d’Occupation des sols (POS). Cela vous permet d’avoir une idée de l’évolution de l’environnement et de connaître les règles de construction applicables à cette zone. Pour ce faire, vous devez consulter les documents suivants à la mairie: Le Plan Local d’Urbanisme pour savoir quel type de construction est autorisé dans cette partie, l’accessibilité aux réseaux publics, l’aspect architectural des constructions, hauteur maximale des bâtiments autorisée… Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal ou PLUI La carte communale où vous avez la possibilité de voir les zones constructibles et non-constructibles Le certificat d’urbanisme: un document plein d‘informations comme les limitations administratives au droit de propriété, les dispositions d’urbanisme, les équipements publics existants ou prévus Le cadastre Ces documents vous offrent la possibilité d’obtenir des réponses en ce moment, mais le caractère constructible d’un terrain peut changer à tout moment selon les évolutions de la commune et de l’intercommunalité. Terrain dans un lotissement ou hors lotissement Il existe deux types de terrains constructibles proposés à la vente selon leur situation: Un terrain hors lotissement ou un terrain en secteur diffus (isolé) Un terrain dans un lotissement: peut être un lot ou divisé en plusieurs parcelles Terrain hors lotissement Avant d’acheter un terrain, veillez à ce que vous ayez à votre possession un certificat d’urbanisme opérationnel. Grâce à ce document, vous avez la possibilité de voir si le projet est réalisable selon les caractéristiques précisées dans la demande ou s’il y a des contraintes architecturales qui doivent être respectées. Par contre, sans un permis de construire, vous n’avez pas la garantie de l’aboutissement de votre projet de construction. La majorité des gens optent pour l’achat d’un terrain en secteur diffus. En plus de ne pas être le résultat d’une division d’un bien existant, ce type de terrain vous donne une grande liberté de choix sur la configuration et l’emplacement du terrain, le constructeur, sur l’architecture des futures constructions. Cependant, vous devez tout de même respecter les règlements d’urbanisme et vos possibilités financières pour viabiliser le terrain. Mais vous devez également vérifier la nature du sol et consulter les servitudes de passage. Terrain dans un lotissement Selon l’article L.442-1 du Code de l’Urbanisme, le lotissement est: “la division en propriété ou en jouissance d’une unité foncière ou de plusieurs unités foncières contiguës ayant pour objet de créer un ou plusieurs lots destinés à être bâtis”. Un terrain dans un lotissement est un terrain unique divisé en plusieurs parcelles qui doivent accueillir de nouvelles constructions. La vente de ce type de terrain s’adresse aux particuliers pour construire de nouvelles maisons individuelles. Acheter un terrain dans un lotissement vous offre de nombreux avantages et garanties: Un terrain constructible Un terrain viabilisé Un terrain délimité Par contre, le choix de construction est limité pour l’acquéreur. En plus d’être proche des constructions voisines, il doit également respecter les règlements et le cahier de charges du lotisseur. La cohérence urbanistique est à respecter. Les autres points à vérifier À part cela, il existe également d’autres points qui méritent votre attention. L’état du sol et les risques liés à l’environnement Se renseigner sur l’état du sol à la mairie est une étape essentielle avant de devenir propriétaire d’un terrain constructible. Même si un terrain est constructible, il se peut que la qualité du sol ne soit pas appropriée. Vous avez le choix entre demander aux voisins, se renseigner auprès de la mairie ou faire appel à un géomètre. Depuis le 1er octobre 2020, tous les terrains non bâtis constructibles doivent tous passer à un nouveau diagnostic avant d’être vendus. Le but est de savoir s’il y a des risques de mouvements de terrains liés à l’environnement: sécheresse, réhydratation des sols argileux. Les travaux de viabilisation Un terrain constructible qui ne se trouve pas dans une zone habitée (rurale ou semi-rurale) doit prévoir un budget pour accéder aux réseaux publics: eau potable, gaz, électricité, téléphone… La raison est simple, un terrain constructible n’est pas forcément un terrain viabilisé. Si votre terrain est dans un lotissement et que la parcelle n’est pas raccordée à l’assainissement collectif, vous devez également prévoir un autre budget pour le système d’assainissement autonome. Les limites du terrain et les servitudes L’opération de bornage doit être effectuée avant d’acquérir un terrain constructible. Le but est de connaître les limites exactes de votre terrain constructible avant d’en devenir propriétaire. De plus, grâce au cadastre, vous pouvez vérifier la présence ou l’absence des servitudes privées.
Il y a 3 ans et 129 jours

Colas dévoile son nouveau site corporate

Destiné à servir la marque de Colas, le site corporate a été repensé pour être la vitrine de la nouvelle identité et du positionnement du Groupe. Modernisation du design, incarnation des valeurs (Respect, Partage et Audace), présentation du projet d’entreprise RSE « ACT » et du nouveau discours Innovation... Le colas.com refondu reflète l’ADN du Groupe en un coup d’œil. Il offre également une expérience utilisateur améliorée grâce à une navigation simplifiée et des contenus revisités et variés.Il permet d’accéder directement à toute la galaxie de sites internet locaux et de spécialités de Colas et devient également la porte d’entrée vers des contenus RH riches publiés sur le site carrière Groupe (offres d’emploi, témoignages de collaborateurs, conseils aux candidats...).Un site plus éco-responsable et accessible à tousLe nouveau colas.com a été pensé pour consommer le moins d’énergie possible lors de sa consultation, en lien avec « ACT », la démarche RSE de Colas. La refonte a été guidée par un enjeu de sobriété graphique et d’usages : réduction du nombre de pages, limitation des animations, compression du poids des images et des vidéos, incitation à visualiser les documents plutôt qu’à les télécharger... Les serveurs qui hébergent le site sont également abrités au sein d’un data center alimenté à 100 % en énergie renouvelable.Simple et intuitif, le nouveau site a également été conçu pour faciliter la consultation des personnes en situation de handicap. En collaboration avec l’agence spécialisée Ipedis, le site a été développé et audité afin d’atteindre un référentiel de normes d’accessibilité.Pour Delphine Lombard, directrice Communication et Marque de Colas : « Avec une précédente refonte datant de 2015, il nous fallait métamorphoser notre site corporate pour en faire la porte d’entrée de l’écosystème digital du Groupe et valoriser notre nouvelle plateforme de marque. Grâce à cette évolution, les visiteurs accèdent en quelques clics à nos activités et chantiers ainsi qu’à nos initiatives RSE et nos innovations. Nous sommes fiers du nouveau colas.com, qui permet au Groupe de porter haut et fort ses couleurs et de toujours mieux se positionner sur les sujets de mobilité innovante et responsable. »
Il y a 3 ans et 133 jours

Nouveau Bauhaus européen : candidatures ouvertes pour les prix 2022

Comme lors de la première édition, les prix 2022 du nouveau Bauhaus européen récompenseront les idées de jeunes talents ainsi que les projets existants en faveur de la durabilité, de l'inclusion et de l'esthétique qui mettront le pacte vert pour l'Europe à la portée des citoyens et des communautés locales.Pour la commissaire chargée de l'innovation, de la recherche, de la culture, de l'éducation et de la jeunesse, Mme Mariya Gabriel : «Le nouveau Bauhaus européen s'inspire de la culture, de l'éducation, de la science et de l'innovation européennes pour matérialiser la promesse du pacte vert pour l'Europe sous la forme d'améliorations dans notre vie quotidienne. Je me réjouis à la perspective de voir le meilleur de la créativité européenne se concrétiser dans les candidatures envoyées cette année.» Pour Mme Elisa Ferreira, commissaire à la cohésion et aux réformes : «Aujourd'hui plus que jamais, nous avons besoin d'idées durables et innovantes pour transformer notre façon de vivre et de travailler, en ne laissant personne de côté. Le nouveau Bauhaus européen récompense les concepts qui s'avèrent les meilleurs, les plus ambitieux et les plus brillants pour améliorer nos régions et nos villes, d'une manière respectueuse à la fois des personnes et de la planète. La politique de cohésion contribuera à faire de ces idées nouvelles une réalité dans toute l'Europe, dans l'intérêt de toutes nos communautés.» Les prix seront décernés aux projets et aux idées qui contribuent à la création de lieux qui allient beauté, durabilité et inclusion, dans quatre catégories :se reconnecter à la nature;retrouver un sentiment d'appartenance;donner la priorité aux lieux et personnes qui en ont le plus besoin;favoriser une réflexion à long terme, sur le cycle de vie et intégrée dans l'écosystème industriel.Ces catégories reflètent les quatre axes thématiques de transformation du nouveau Bauhaus européen. Ceux-ci ont été définis au cours de la «phase de co-conception» de l'initiative, avec la participation de milliers de personnes et d'organisations qui ont fait part de leurs points de vue et de leurs expériences. Les contributions seront évaluées sur la base des trois valeurs fondamentales de l'initiative: durabilité, esthétique et inclusion. Les ressortissants de tous les États membres et des pays du monde entier sont encouragés à présenter leur candidature pour autant que leurs projets/idées soient situés dans l'Union européenne. Dans chacune de ces catégories, le concours comportera deux volets :les «prix du nouveau Bauhaus européen» — pour les projets existants achevés ces deux dernières années; etles «étoiles montantes du nouveau Bauhaus européen» — pour les concepts ou idées présentés par de jeunes créateurs de moins de 30 ans.Contexte Le nouveau Bauhaus européen est un projet environnemental, économique et culturel, qui vise à combiner conception, durabilité, accessibilité, caractère abordable et investissement afin de contribuer à la réalisation du pacte vert pour l'Europe. Lancé par la présidente von der Leyen dans son discours sur l'état de l'Union de 2020, le nouveau Bauhaus européen a été conçu conjointement avec des milliers de personnes et d'organisations dans toute l'Europe et au-delà.En septembre 2021, l'initiative est passée de la conception conjointe à la mise en œuvre avec une communication de la Commission définissant les actions et les financements qui permettront de concrétiser l'initiative.
Il y a 3 ans et 135 jours

Aperçu des principales étapes du ramonage mécanique

Entretenir sa maison, c’est également prendre soin de ses appareils de chauffes. Outre la vérification annuelle de la climatisation et du radiateur de chauffage, la cheminée mérite une attention particulière. En effet, il est essentiel de débarrasser le conduit de fumée des débris de suies et de goudrons résultant de la combustion. C’est ce qu’on entend par « ramonage ». Cette opération peut s’effectuer de deux manières. Mais dans cet article, nous allons particulièrement nous intéresser au ramonage mécanique. Quelles sont les principales étapes de sa réalisation ? Découvrez-les dans ce qui suit. La préparation de l’intervention Le ramonage de cheminée est une tâche à la portée de tous. Malgré cela, certaines préparations s’imposent avant sa mise en œuvre. Justement, il faudra se préparer les matériels indispensables aux travaux. Entre autres, il faudra : Un seau métallique ; Une pelle ; Un aspirateur ; Des gants de protection ; Des lunettes de protection ; Une bâche en plastique ou un vieux drap pour recouvrir les meubles. À côté de ces outils, il faut nécessairement une brosse spécifique appelée « hérisson ». C’est une brosse circulaire montée sur une longue perche flexible. On s’en sert pour gratter la paroi du conduit afin d’extraire les saletés. Néanmoins, si vous désirez obtenir un résultat optimal, nous vous conseillons de faire appel à un ramoneur. Le nettoyage du conduit de la cheminée On parle de ramonage mécanique quand le nettoyage du conduit de la cheminée se fait manuellement au moyen de la brosse-hérisson. À titre d’information, cette opération se fait à feu éteint. Comme le ramonage est une tâche assez salissante, il est recommandé de recouvrir les meubles et le sol avec une bâche ou un vieux drap pour éviter les traces de cendre. En outre, sachez qu’il existe deux techniques de ramonage mécanique. Celle à mettre en œuvre dépendra de l’accessibilité de la toiture. Si elle est envisageable, la brosse-hérisson sera introduite par la souche de la cheminée au niveau du toit (ramonage par le haut). Dans ce cas, des précautions doivent être prises pour éviter les accidents (ex. : chute en hauteur). En revanche, si le toit est difficile d’accès, le ramonage se fera par le bas, c’est-à-dire à partir du foyer de la combustion. Dans tous les cas, il faudra effectuer un mouvement de va-et-vient avec la brosse-hérisson dans le conduit afin de faire tomber dans le foyer les suies et les goudrons qui s’y sont accumulés. Pour les recueillir, vous pouvez installer un récipient dans le foyer en question. Après avoir vérifié l’état du conduit, vous pouvez entamer les travaux de finition. Bon à savoir : Il est toujours préconisé de laisser un ramoneur agréé se charger de cette tâche. À l’issue de son intervention, cet artisan délivre un certificat de ramonage qui témoigne du bon entretien du conduit en cas d’incendie. D’ailleurs, le ramonage que vous effectuez vous-même n’a aucune valeur légale. En cas d’accident, votre assureur pourrait ainsi déduire qu’il résulte du mauvais entretien de votre cheminée. Les travaux de finition Le nettoyage de la cheminée ne se limite pas à l’enlèvement des suies et des goudrons dans le conduit. Une fois le ramonage terminé, il est également nécessaire de débarrasser le foyer des saletés qui l’encombre. Pour ce faire, il faudra vider la chambre de combustion ou, plus précisément, enlever la cendre au moyen d’un aspirateur. En outre, il faudra nettoyer la plaque en fonte. L’opération implique le retrait des traces de rouille avec un tampon abrasif. Il faudra par la suite huiler la plaque afin qu’elle soit bien brillante. Enfin, si votre cheminée est dotée d’une vitre de protection, pensez à la nettoyer avec une éponge et de l’eau savonneuse.
Il y a 3 ans et 147 jours

Axtom Développement et le groupe BMF livrent un adPark de 5.340 m² à Louvres (95)

Pensé pour répondre aux besoins des entreprises du tissu économique local - notamment les PME et ETI - cet ensemble immobilier est composé de 4 lots à partir de 1 030 m². En phase avec les attentes du territoire et à l'instar de l'ensemble des projets du Groupe AXTOM, une attention particulière a été portée à la qualité environnementale de l'opération qui vient d'obtenir le label BiodiverCity®. La qualité environnementale, élément central du projetUne attention particulière a été portée à la qualité environnementale de l'opération notamment via le traitement des eaux pluviales avec la création de bassins de rétention paysagers et des zones humides favorisant le développement de nouveaux milieux écologiques. Dès leur conception, il sera fait appel à des notions d'entretien durable ou de gestion intégrée, à la fois par un paysage soigné à proximité des bâtiments, mais aussi par un entretien rustique pour les espaces plus « nature ». Afin de lier le quartier aux espaces verts alentours, des cheminements piétons et cyclables seront créés sur l'ensemble du parc de 17 ha. Cette approche a permis à l'adPark d'obtenir le label BiodiverCity® à la suite d'un audit réalisé par Deloitte. Directement raccordée à la francilienne A104, cette opération bénéficie d'une accessibilité routière exceptionnelle.« Nous sommes très satisfaits d'annoncer la livraison de cette opération, déjà intégralement commercialisée. Au cœur d'une zone en fort développement, nous avons su apporter une réponse immobilière répondant à la fois aux attentes de la collectivité en termes de solution d'accueil pour PME et ETI, et également aux attentes de ces entreprises en termes de qualité d'espaces de travail et de performance environnementale. Cette opération est une belle illustration des synergies possibles au sein du groupe AXTOM, puisque l'étude, le montage, le suivi et la commercialisation ont été réalisé par AXTOM Développement, et la construction de cet adPark a été réalisée par AXESS, également filiale du groupe » souligne Jean Kramer, directeur général délégué d'AXTOM Développement.
Il y a 3 ans et 160 jours

Le Fonds de dotation Qualitel récompense 28 projets solidaires et engagés pour un logement digne et de qualité

Cet événement a également été l’occasion de fêter le 10ème anniversaire du Fonds de dotation QUALITEL et de revenir sur une décennie en faveur de la solidarité.Répartis-en 4 catégories (hébergement, numérique, accompagnement et recherche), les projets récompensés cette année répondent tous à une même volonté : accompagner et soutenir des personnes défavorisées ou isolées. Ces organismes et associations se partageront la somme globale de 230 000 €, une aide financière essentielle et précieuse leur permettant de concrétiser leur projet, le développer ou le renouveler.Le Fonds de dotation QUALITEL : rappelCréé fin 2011 par l’Association QUALITEL dans le cadre de sa mission de promotion de la qualité de l’habitat, le Fonds de dotation QUALITEL finance et soutient des projets solidaires, novateurs et engagés en faveur d’un logement digne et de qualité pour tous.Objectif : améliorer les conditions de vie des personnes les plus défavorisées : jeunes désocialisés, personnes sans domicile fixe, en perte d’autonomie ou en situation de handicap, femmes isolées, réfugiés…Cette année encore, dans un contexte sanitaire engendrant chaque jour des difficultés croissantes pour ces publics fragiles, le Groupe QUALITEL s’engage pour la 10ème année : 156 projets ont été reçus, parmi lesquels 28 ont étésélectionnés1 par le Conseil d’administration du Fonds de dotation QUALITEL, les collaborateurs du Groupe QUALITEL et les partenaires mécènes du Fonds de dotation. Les porteurs de ces projets (associations, ONG…) se verront partager la somme globale de 230 000€.28 projets distingués autour de 4 enjeuxL’ensemble des projets récompensés sont organisés autour de 4 catégories :Hébergement : offrir des solutions de logement pérenne, lutter contre la précarité énergétique et promouvoir un logement de qualité.Accompagnement et éducation : former aux écogestes et à la maîtrise des consommations d’énergies, promouvoir l’insertion et l’accès aux droits, sensibiliser à la santé, à l’hygiène et aux risques domestiques.Recherche : améliorer la performance énergétique, le confort thermique et acoustique du logement, faire progresser la qualité de l’air, les installations et la prévention des risques incendie, valoriser des matériaux durables et les énergies renouvelables.Numérique : mettre les nouvelles technologies au service du logement, former aux nouveaux usages, développer des applications et plateformes de services solidaires.Au sein de ces catégories, ce sont au total 12 projets qui ont été sélectionnés par le Conseil d’administration du fonds de dotation QUALITEL, 1 par les collaborateurs et 15 par les partenaires mécènes en lien avec leur thématique d’engagement respective :CERQUAL Qualitel Certification, pour un logement décent et de qualité ;ROCKWOOL France, pour lutter contre l’habitat indigne et les discriminations ;Malakoff Humanis, pour favoriser le bien vieillir et le maintien à domicile des seniors en milieu rural ;FASE, en lien avec la sécurité électrique ;BNP Paribas Immobilier, sur les thèmes de l’insertion et de l’environnement ;Pierre Étoile, pour l’accès au logement et l’amélioration des conditions d’habitat ;QUALIBAT, pour la sensibilisation et l’accompagnement à la rénovation énergétique ;Le Crédit Mutuel Arkéa, sur le thème du numérique et de l’impact social ;La Fédération des Ascenseurs, pour la mise en accessibilité du logement.Pour Chantal Jannet, Présidente du Fonds de dotation QUALITEL : « Depuis 10 ans, le Fonds de dotation QUALITEL soutient des organismes sans but lucratif portant des projets emblématiques. Il maintient son soutien et son accompagnement dans le développement de solutions solidaires innovantes plus que jamais essentiels pour améliorer les conditions de logement et de vie des publics les plus vulnérables. »
Il y a 3 ans et 161 jours

L'agence qualité construction (AQC) publie le rapport Réversibilité des bâtiments

Destiné à tous les professionnels, ce rapport s'accompagne de la plaquette Réversibilité des bâtiments – Bonnes pratiques qui synthétise de manière pédagogique les principaux points sensibles relevés dans le rapport.Ces documents sont téléchargeables sur le site Internet de l'AQC.Au regard des enjeux environnementaux du domaine de la construction et de l'évolution des usages urbains, de plus en plus de programmes immobiliers envisagent la réversibilité de leurs bâtiments. Un des exemples les plus emblématiques est le village des athlètes des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 : il accueillera des logements pour les sportifs pendant les compétitions avant de laisser place en phase héritage à un quartier durable avec des bureaux, des logements, des commerces et des équipements publics. Une étude menée sur la base d'une analyse bibliographique et d'enquêtes auprès de professionnels déjà parties prenantes d'opérations réversibles a permis de tirer de nombreux enseignements. Parmi les points majeurs :les réglementations (acoustique, sécurité incendie, accessibilité…) ne sont pas les mêmes selon la destination de l'ouvrage, ce qui peut représenter un frein. Pour garantir la réversibilité d'un bâtiment, il est donc important de prendre des mesures conservatoires afin d'assurer une mise à niveau ultérieure possible,le caractère innovant de la construction de bâtiments réversibles implique de procéder à une réorganisation des rôles et des méthodes de travail pour se prémunir de non-qualités,il est essentiel d'étudier les assemblages des éléments constitutifs du bâtiment en veillant à l'indépendance des couches et systèmes (trame de bâtiment, démontabilité, systèmes constructifs poteaux poutres…).Enfin, le rapport insiste également sur l'importance d'avoir une documentation qualitative, précise et exploitable pendant toute la durée de vie du bâtiment et sur le risque de chevauchement de responsabilités et garanties.Cette étude a été réalisée par l'AQC, accompagnée par Ville Aménagement Durable (VAD), avec le soutien du ministère de la Transition écologique.
Il y a 3 ans et 163 jours

Hyères : un élévateur à l’église Saint-Louis

L’installation de cet équipement permettra d’améliorer l’accessibilité pour les PMR.
Il y a 3 ans et 163 jours

Bayonne : installation de huit ascenseurs pour améliorer l’accessibilité aux personnes en situation de handicap

À Bayonne, le projet d’installation de huit ascenseurs s’inscrit dans la poursuite des travaux prévus par l’agenda d’accessibilité programmé.
Il y a 3 ans et 176 jours

MIAW 2021 : Équipement intérieur

Découvrez les lauréats de la catégorie « Équipement intérieur » !
Il y a 3 ans et 176 jours

Lauréat MIAW 2021 : Glimakra of Sweden avec BuildUp Pods & Pavilions

Ouverture, fonctionnalité et accessibilité. Le concept développé par l’entreprise suédoise Glimakra donne vie à des lieux d’échanges propices à faire émerger les matières grises… Signé du duo de designers bien connu, Kauppi & Kauppi, BuildUp Pods & Pavilions, c’est une version ultra contemporaine de la salle de réunion…
Il y a 3 ans et 176 jours

Delabie : Be-Line®

Avec sa nouvelle barre rabattable et amovible, l’expert en accessibilité DELABIE, signe une solution qui apporte bien-être et sécurité quel que soit l’âge et le degré d’autonomie de l’utilisateur. Le tout à travers un objet au design universel et innovant.
Il y a 3 ans et 177 jours

Des syndicats dénoncent l'impossibilité de visiter les chantiers des JO 2024

PARIS 2024. Plusieurs syndicats dénoncent "l'impossibilité" de visiter les chantiers liés aux Jeux olympiques 2024, à Paris, alors même qu'ils ont pu le faire sur les sites de la coupe du monde 2022, au Qatar. De son côté, la Solideo, en charge de livrer les ouvrages olympiques, a assuré qu'elle ferait bientôt évoluer les conditions d'accessibilité.