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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Handicap

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Il y a 3 ans et 185 jours

Palmarès de l’édition 2021 des Trophées Inoha

Lors de la 6ème édition de LA NUIT by Inoha, organisée par l’Association des Industriels du Nouvel Habitat le 25 novembre dernier au Musée des Arts Forains, quatre trophées ont été décernés à des sociétés adhérentes pour leur démarche engagée et novatrice dans l’une des 3 catégories du concours : Innovation, Communication, et R.S.E. / Responsabilité Sociétale des Entreprises. Le jury*, composé d’acteurs de la filière et de journalistes, a souhaité récompenser les sociétés suivantes : Recticel Insulation avec le Trophée de l’Innovation, Brunel Chimie Dérivés et sa marque Starwax avec le Trophée Communication, PPG et sa marque Ripolin avec le Trophée R.S.E. Un Coup de Cœur du Jury a également été décerné à l’entreprise Swap-Europe du Groupe Builder pour son service de reconditionnement. Les lauréats des Trophées Inoha 2021 Lors d’une soirée conviviale rassemblant plus de 300 invités issus des secteurs de l’industrie et de la distribution, la 6ème édition de LA NUIT by Inoha a été l’occasion pour Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, de dévoiler les 4 lauréats du palmarès des Trophées 2021. Trophée de l’Innovation : Recticel Insulation pour SIMFOCOR SIMFOCOR est une solution innovante établissant de nouveaux standards dans le secteur de l’isolation acoustique. Inédit, SIMFOCOR est un panneau d’isolation acoustique facile à installer dans les cloisons distributives standards, de type rails métalliques et recouverts d’une plaque de plâtre de 12,5 mm pour répondre aux exigences de sécurité incendie. Certifié, SIMFOCOR réduit les bruits aériens perçus dans l’habitat (gain d’affaiblissement ΔRw = 8 dB.) et crée ainsi un espace de vie paisible. Conçu à partir de 70% de mousses de Polyuréthane recyclées issues de matelas usagés (70%), SIMFOCOR limite l’impact environnemental et préserve les ressources naturelles. Légers, les panneaux semi-rigides SIMFOCOR sont faciles à manipuler. Ils ne se tassent pas et conviennent tout particulièrement aux travaux en neuf ou en rénovation. « Au-delà du facteur émotionnel, nous avons pris en compte les critères d’innovation, d’écologie, de design et d’usage afin de faire ressortir le projet le plus abouti, le plus responsable et le plus porteur de cette image que l’innovation doit véhiculer à un moment où les besoins de confiance, de qualité et de mobilisation autour de notre environnement sont essentiels. Recticel a su cocher le plus grand nombre de cases sur le processus de réutilisation des matières isolantes qui sont reconditionnées pour donner une nouvelle vie à un produit très innovant, une boucle vertueuse et tellement responsable » déclare le membre du Jury Philippe BERNA, Responsable du Pôle Innovation & Numérique de la Médiation des Entreprises. Trophée Communication : Brunel Chimie Dérivés pour la campagne menée pour sa marque STARWAX STARWAX, marque de l’entreprise française Brunel Chimie Dérivés, spécialiste des produits d’entretien pour la maison, est récompensée pour sa campagne de communication à 360° « AUSSI MANIAQUE QUE VOUS ». La marque STARWAX jouissait d’une excellente réputation de qualité et d’efficacité. Cependant, sa notoriété restait faible car elle était distribuée via les Grandes Surfaces de Bricolage, circuit peu naturel pour acheter des produits d’entretien. Dans un contexte extrêmement concurrentiel, STARWAX se devait d’émerger face à des marques multinationales et avait pour objectif de faire savoir à ses consommateurs cibles qu’elle disposait de solutions spécifiques pour résoudre les problématiques d’entretien de la maison. STARWAX a ainsi lancé une campagne de communication en 4 étapes successives : . une étude auprès de ses clients consommateurs pour cerner leurs profils, phase essentielle du processus de réécriture du positionnement de marque, . la création d’une nouvelle plateforme de communication réalisée par l’agence Buzzman, réputée pour ses idées innovantes et disruptives. Une nouvelle signature de marque a ainsi vu le jour : « AUSSI MANIAQUE QUE VOUS » faisant écho à la cible des consommateurs de STARWAX, . un plan média national d’affichage et de parutions presse, . un relais sur les réseaux sociaux de deux vidéos tutorielles réalisées avec Jessica Venancio, Ambassadrice de la marque. « Le Jury a décidé de récompenser Starwax pour sa capacité à répondre aux attentes des consommateurs en leur proposant une campagne de communication osée, assumée et innovante » commente le membre du Jury Etienne Bodin, Délégué Général des Jardineries et Animaleries de France. Trophée R.S.E / Responsabilité Sociétale des Entreprises : PPG pour sa marque Ripolin Afin de se positionner comme un acteur du changement au travers d’actions responsables et innovantes sur le marché de la peinture, PPG s’engage depuis 2009, au travers de sa marque à forte notoriété Ripolin, en faveur de l’Environnement et de la Santé tout en préservant la performance, la qualité et l’accessibilité de ses produits. Depuis 2020, la société a accéléré les initiatives concrètes pour : . réduire l’impact de ses produits et de ses sites de production français certifiés ISO 14001, avec notamment le lancement de sa gamme Ripolin O’Pur, peinture à base de résines biosourcées à 97% réduisant de 25% ses émissions de CO2. 96% de la gamme Ripolin est fabriquée en France sur des sites de production certifiés ISO 14001. . baisser son empreinte carbone en choisissant le plastique recyclé pour ses emballages, . sensibiliser les consommateurs en mettant à leur disposition, sur son site internet, un calculateur afin qu’ils achètent la juste quantité de peinture et une carte des déchetteries les plus proches de leur domicile. Ce projet s’accompagne également d’actions sociales et environnementales comme le reboisement lancé en 2021 en Corrèze avec son partenaire Reforest’Action (2000 arbres plantés). « Le jury a tout particulièrement apprécié la prise en compte de l’ensemble des problématiques dans la démarche R.S.E de PPG au travers de sa marque Ripolin, allant du calculateur pour acheter la juste quantité jusqu’à proposer une carte avec les déchetteries les plus proches du domicile des consommateurs » explique Laure Empereur, membre du Conseil d’Administration d’Inoha, qui a remis ce prix à l’entreprise. Coup de Cœur du Jury : Swap-Europe, filiale du Groupe Builder Systems, pour son service de reconditionnement Comment réduire son impact sur l’environnement tout en proposant des outils abordables pour tous ? Comment consommer mieux ? Builder Systems, fabricant d’outils de bricolage et de jardinage, met tout son savoir-faire pour offrir une nouvelle vie aux produits tout en réduisant les déchets et en recyclant les matières plastiques. Au travers de sa filiale Swap-Europe, spécialiste de la pièce détachée et engagée dans l’économie circulaire, Builder Systems a créé une filière de reconditionnement. Unique sur le marché, Swap Reused propose aux enseignes de la GSB et du e-commerce, depuis 2021, la collecte et le reconditionnement d’outils de jardin et de bricolage. Avec ce nouveau service, Swap-Europe leur permet de bénéficier d’une solution nationale, centralisée et gratuite, s’inscrivant dans leurs démarches RSE. La seconde main étant de plus en plus sollicitée, Swap-Europe met également à disposition des consommateurs une offre adaptée à leurs attentes. Tous les produits sont reconditionnés en France et Swap-Europe a pour objectif de créer des partenariats avec des organismes de l’économie sociale et solidaire afin de favoriser la réinsertion. « Le Jury a eu un véritable coup de coeur pour cette solution car elle est à la fois innovante et apporte une réponse à la problématique de la fin de vie des produits. Cette initiative s’inscrit dans la démarche d’économie circulaire couplée à nos ambitions RSE » conclut Jean-Luc GUÉRY, Président d’Inoha. *Membres du Jury : Jean-Luc Guéry, Président Inoha – Caroline Hupin, Déléguée Générale de la FMB – Etienne Bodin, Délégué Général des Jardineries et Animaleries de France – Philippe Berna, Responsable du Pôle Innovation et Numérique de la Médiation des Entreprises – Céline Chahi, Rédactrice en Chef de Maison & Travaux, Directrice Pôle Maison de Reworld Media – Guillaume Fédèle, journaliste au magazine Négoce. http://www.inoha.org/  
Il y a 3 ans et 190 jours

Humidité : l’église Notre-Dame de la Chaussée traitée

L’église Notre-Dame de La Chaussée dans la Vienne a fait l’objet de plusieurs campagnes de travaux : les façades et la structure du clocher ont été restaurées et un drainage partiel a été réalisé en 2000, les maçonneries du clocher et la couverture de la nef en 2002 et la mise en accessibilité pour les personnes à mobilité réduite a été réalisée avec la modification de la porte sud en 2014. La dernière campagne de restauration, engagée en 2018, concerne la restauration des deux premières travées de la nef. Une campagne de sondages réalisée en 2016, par Brice Mouliniers – restaurateur, a révélé des décors datant du XIIIe siècle dans celle-ci. Le fort encaissement de l’église a généré d’importants problèmes d’humidité et notamment le décollement des enduits et le développement de micro-organismes sur les murs et le sol. Le traitement de l’humidité est devenu urgent pour préserver ces décors gothiques exceptionnels. Un programme de travaux a été élaboré par M. Quintrie-Lamothe – architecte du patrimoine, prévoyant la réalisation en 3 phases : assainissement extérieur de l’église avec la création d’un drainage,  restauration du porche d’entrée et dégagement et restauration des décors peints intérieurs. Le suivi de chantier, dans le cadre du contrôle scientifique et technique a été assuré par la Conservation régionale des monuments historiques (Poitiers). Cette campagne de travaux a été programmée avec un budget de 92 787,20 € HT. La part État – ministère de la Culture de 37 114,88 € représente 40 % du montant des travaux, soutien financier du Fonds incitatif et partenarial pour les petites communes.
Il y a 3 ans et 210 jours

La fabrication par Lapeyre - 90 ans de savoir-faire

Un fort ancrage industriel en FranceDès 1932, Martial Lapeyre se lance dans l'aventure de la menuiserie industrielle aux côtés de Marcel Pastural. Devenu l'un des plus grands spécialistes de la menuiserie industrielle multi-matériaux (bois, aluminium, PVC …), Lapeyre dispose aujourd'hui d’outils de production modernes et performants sur ses différents sites, où sont fabriqués ou assemblés plus de la moitié des produits distribués. Ils permettent à Lapeyre de proposer des produits en standard et sur-mesure pour répondre à toutes les configurations ainsi que des produits coordonnés et/ou personnalisables pour mettre en scène son intérieur en accord avec sa personnalité.Chaque site est spécialisé dans des domaines précis de l'habitat :Pastural (Epernay, 51) : fenêtres et baies coulissantes aluminiumMenuiseries du Centre (Ydes, 15) : meubles de cuisines et de salles de bainsLagrange (La Magdelaine-sur-Tarn, 31) - portes intérieures, placards, rangementsCordier (Magenta, 51) : escaliers bois et métalPoreaux (Saint-Martin-sur-le-Pré, 51) : fenêtres, volets et portails boisAzur Production (Onville, 54) : fenêtres et portes de service PVCGiraud (Cours, 69) : baies coulissantes aluminiumCougnaud (Aizenay, 85) : fenêtres, portes et baies coulissantesOuest Production (La Chaize-Giraud, 85) : portes d’entrée bois, aluminium et acier et volets PVC et aluminium.SBL (Marcoing, 59) : vérandas aluminium et bois, portails bois et PVCL’enseigne travaille plus que jamais au maintien de son activité industrielle en France qui permet d’assurer qualité, durabilité et accessibilité avec des produits pouvant être garantis jusqu’à 30 ans.Elle dispose également d’un laboratoire de tests, situé dans la Marne, à Saint-Martin-sur-le-Pré. Au cœur de la démarche de recherche, développement, qualification et certification des produits fabriqués en France par Lapeyre, ce laboratoire de 700 m² permet de réaliser plus de 100 tests différents. Les équipes dédiées peuvent ainsi tester, entre autres, la sécurité des produits, la performance acoustique d'une fenêtre, le comportement au vieillissement du bois, la résistance à l'arrachement, la qualité des couleurs.En magasin : près de 90 prestations personnalisées dans l’Atelier LapeyreUne maîtrise des matériaux qui se vérifie aussi dans les points de vente Lapeyre avec le service Atelier. Les menuisiers accompagnent avec rapidité et fiabilité les professionnels et les particuliers dans leurs différents projets. Ils mettent à profit leur expertise à travers une large palette de prestations pour remplacer portes ou volets lors de rénovations, recouper les produits Lapeyre aux dimensions voulues, assembler et poser des accessoires :Une adaptation sur mesure : les menuisiers recoupent, ajustent, personnalisent et accessoirisent les produits standards achetés chez Lapeyre (plans de travail, plans de toilette, portes intérieures, portes de placard…) pour les faire correspondre aux caractéristiques recherchées.Un montage professionnel : ils réalisent l’assemblage et le montage des meubles de cuisines et de salles de bains, des escaliers ou encore des aménagements de placard pour une pose facilitée.Des solutions uniques de rénovation : les professionnels Lapeyre rénovent et adaptent les portes et les volets sans changer le bâti.Lapeyre : un ADN françaisLapeyre s’est associé à l’opération « #Meublez-vous français », lancée par l’Union nationale des industries de l’ameublement, et s’engage ainsi à valoriser le savoir-faire français. Cette opération permet aux clients d’identifier rapidement les meubles produits en France grâce à une signalétique dédiée, sous la forme d’un logo « #Meublez-vous français » et d’un slogan « fabriqué avec coeur dans nos régions ».Une campagne de communication spéciale AnniversaireLapeyre fête ses « 90 ans… et pour longtemps ! »Un dispositif a été spécialement mis en place afin de montrer l'évolution de la marque dans le temps, tout en se tournant vers l'avenir et en valorisant ce qui va compter encore longtemps.Au programme, des vidéos sous forme cinémagraphes pour Facebook, des stories animées et carrousels sur Instagram, un thread géant de 90 tweets sur Twitter traitant de l’histoire de l’enseigne, des projets réalisés et à venir...Des contenus prévus pour engager le public autour de l’idée créative « Il y a beaucoup de chose qui ont changé en 90 ans mais pas ce qui compte », tout en prouvant la force des fondamentaux de la marque :la qualité de nos produits et la fabrication française : « Vous avez toujours préféré acheter près de chez vous alors on s’engagera toujours à produire autant que possible en France » ;l'accompagnement : « Vous avez toujours eu des projets plein la tête alors on fera tout pour vous aider à les réaliser » ;l’accessibilité prix : « Il y a toujours eu des budgets serrés alors on fera tout pour ne pas déborder »Afin d'animer ce dispositif, un jeu concours a été déployé dès le 12 octobre avec des bons d’achat de 250 € à la clé. De quoi fêter cet anniversaire avec Lapeyre !
Il y a 3 ans et 211 jours

Le site JOUPLAST fait peau neuve

Acteur majeur sur le marché des plots de terrasse, JOUPLAST®, marque de la société française TMP CONVERT, propose aux artisans, paysagistes et particuliers des gammes et solutions pour aménagements extérieurs. Les produits, développés et fabriqués en France, sont issus de matières recyclées, ce qui démontre l'engagement environnemental de l'entreprise. L'obtention du label MORE « MObilisés pour REcycler» atteste de la démarche du fabricant. L'innovation selon JOUPLAST® apparaît clairement sur son site, qui vient de prendre un coup de jeune et aide l'utilisateur à aller droit au but.
Il y a 3 ans et 218 jours

Le plan de relance français efficace à court terme doit faire ses preuves sur le long terme

"L'objectif macro-économique de court terme est atteint ou va bientôt être atteint en termes d'activité et encore plus en termes d'emplois", s'est félicité le président du comité d'évaluation, Benoît Coeuré, lors d'une présentation à la presse.Toutefois, "on ne sait pas quantifier la contribution spécifique" de ce plan, baptisé "France Relance", " par rapport à l'ensemble des facteurs" qui ont permis le redressement, a nuancé M. Coeuré.Il a souligné que c'était la première fois qu'un plan de soutien public était évalué aussi rapidement et de manière indépendante, alors que le plan de 100 milliards d'euros, lancé à l'été 2020, court jusqu'à fin 2022.L'économiste a aussi salué le travail de "Bercy en tant que coordinateur", car "les objectifs opérationnels seront tenus", notamment celui d'engager 70 milliards d'euros avant fin 2021.A la fin août 2021, 47 milliards d'euros avaient été engagés et 29 milliards décaissés.De son côté, le gouvernement a pris "bonne note des résultats du rapport et de ses conclusions", rappelant que le comité "poursuivra ses travaux", selon un communiqué."La rapidité de déploiement du plan a été rendue possible par les efforts déployés pour la lisibilité et l'accessibilité des mesures, le ciblage des mesures et la mobilisation des acteurs économiques", a-t-il souligné.Benoit Coeuré a toutefois estimé qu'il y avait un risque "qu'en privilégiant un décaissement rapide et une massification des aides, on perde en qualité ce qu'on a obtenu en quantité, et qu'on ne sache pas mesurer l'impact transformationnel, sur la compétitivité ou sur la transition énergétique, de ce plan".France Relance assure la transition entre les mesures d'urgence prises pour préserver l'appareil productif pendant la crise sanitaire et le plan d'investissement de long terme France 2030, a-t-il souligné.Dans le détail, le rapport Coeuré relève que le dispositif MaPrimeRénov de rénovation énergétique des logements de particuliers, préexistant à la crise, a été élargi, ce qui a permis d'en faire profiter plus de ménages, y compris à revenus intermédiaires ou supérieurs. Malgré cet élargissement, "81% des bénéficiaires étaient des ménages aux revenus modestes ou très modestes", selon le comité.Le bilan est plus mitigé pour la rénovation des bâtiments publics car la mise en oeuvre, "tant de l'Etat que des collectivités locales, a privilégié les travaux pouvant être exécutés rapidement", ce qui a parfois "conduit à sélectionner des gros projets à impact énergétique plus faible", regrette M. Coeuré.Priorité à l'offreSur le volet industriel, il a estimé que le plan est très utile pour les PME mais que, pour les grandes entreprises, certains projets d'investissements étaient déjà dans les tuyaux et qu'on est "simplement passé d'un auto-financement ou d'un financement bancaire à un financement par subventions publiques".Par ailleurs, "compte tenu de la rapidité de sélection" des projets soutenus, "on ne peut pas être sûr qu'il y a derrière une grille d'analyse tournée vers des objectifs de transformation de l'outil industriel", a ajouté le président du comité d'évaluation.Par conséquent, "on est un peu circonspect sur l'impact de long terme", notamment "l'impact croisé des aides industrielles sur la transformation écologique et sur la décarbonation, pour laquelle on a vraiment très peu d'éléments à ce stade", a encore dit M. Coeuré.Au niveau européen, le plan de relance français s'inscrit "dans la moyenne des pays européens par sa taille, la France ayant privilégié comme le Royaume-Uni les mesures d'offre". Au vu des problèmes actuels sur les chaînes d'approvisionnement, ceci est "plutôt positif, car de nature à desserrer les contraintes sur l'offre", a jugé le président du comité.La France se distingue aussi avec l'Allemagne par sa rapidité de décaissement, tandis que le plan italien, d'une dimension plus importante, est plus lent à être mis en oeuvre.
Il y a 3 ans et 231 jours

Comment mettre toutes les chances de son côté pour sa demande de prêt immobilier ?

Cette reprise limitée peut notamment s'expliquer par le contexte anxiogène généré par la crise sanitaire, ainsi que par le maintien de mesures restreignant l'accès à l'emprunt, mises en place par le Haut Conseil de Stabilité Financière (35% d'endettement maximum, durée d'emprunt maximale à 25 ans dans l'ancien et 27 ans dans le neuf).Pour autant, les taux demeurent à un niveau historiquement bas. Pour La Centrale de Financement, il est donc toujours temps d'investir dans l'immobilier ! Cette période est d'autant plus favorable que les ménages auront la possibilité de bénéficier d'une bienveillance et d'une écoute accrues des banques, n'ayant pas été en mesure d'atteindre leurs objectifs.Dans ce contexte, le courtier délivre ses conseils pour emprunter en mettant toutes les chances de son côté !Comment contracter son prêt dans les meilleures conditions ?Pour s'assurer de la réussite de son projet d'acquisition immobilière, La Centrale de Financement recommande de :1 - Se faire accompagner par un professionnel du crédit immobilierRecourir à un courtier en crédit immobilier présente de nombreux avantages pour les acquéreurs. Celui-ci accompagne l'emprunteur de la conception de son projet d'achat à l'acquisition effective du bien, en lui assurant les meilleures conditions d'emprunt, tant en matière de taux de crédit qu'en matière d'assurance sur le prêt.Sur un marché du crédit immobilier particulièrement tendu, caractérisé par une vigilance accrue des banques, le courtier instruit des demandes de prêt en tenant compte de l'ensemble de leurs caractéristiques : il s'assure de la capacité d'emprunt des ménages acquéreurs (35% d'endettement maximum sur le revenu net mensuel) et du maintien d'un reste à vivre suffisant leur permettant de subvenir à leurs besoins.« Depuis le début de la crise sanitaire, les banques sont devenues plus vigilantes. Elles ont besoin de s'assurer de la solvabilité des emprunteurs et de veiller à leur sérieux en matière de gestion financière. Elles prêtent notamment beaucoup d'attention à la gestion du compte courant et de l'éventuelle épargne. » constate Sylvain Lefèvre, président de la Centrale de Financement.2 - Prévoir 10% d'apport minimumPendant la crise sanitaire, le pourcentage d'apport moyen demandé par les banques a connu une forte hausse et s'est imposé comme un critère indispensable à la réussite de son investissement immobilier : entre 2020 et 2021, celui-ci a augmenté de 3,5%, passant de 10,4% à 13,9% du montant global du prêt moyen[1]. Ce paramètre s'est appliqué à la majorité des profils d'emprunteurs. Il est devenu incontournable pour les primo-accédants qui ont eu recours, de plus en plus, au soutien financier de leurs ascendants.« Depuis le début de la crise, nous constatons une hausse significative du nombre de donations dans le cadre des demandes de prêt effectuées par les primo-accédants. Une évolution qui peut notamment être corrélée au faible niveau de rémunération de l'épargne, ayant probablement incité une partie des ascendants à lui trouver une autre utilité ou à transmettre une partie de leur héritage plus tôt. » explique Sylvain Lefèvre.Dans quelques cas exceptionnels, le prêt a pu être accordé sans apport. Cela s'est en effet vérifié pour certains profils répondant à des critères très stricts : des salariés en CDI travaillant dans des secteurs peu ou pas impactés par la crise et bénéficiant d'un revenu annuel supérieur au revenu moyen d'un primo-accédant (soit 41.447 €[2]).3 - Porter une attention particulière aux délais d'obtention du créditDans le cadre du compromis de vente, il est nécessaire de faire attention au délai d'obtention du crédit, surtout dans les zones tendues dans lesquelles les banques sont soumises à de nombreuses demandes de prêts. La Centrale de Financement conseille, dans ce cadre, de négocier un délai d'environ 70 à 75 jours avec le vendeur plutôt que de s'en tenir aux 60 jours minimums, afin de s'octroyer un délai suffisant à l'obtention de son prêt...4 - Ne pas banaliser l'achat d'un bienL'emprunt immobilier correspond à l'un des achats les plus importants des ménages français. Il représente plus d'un tiers de leurs dépenses annuelles. Ce n'est donc pas un investissement dans lequel s'engager à la légère !Tandis que de plus en plus de Français choisissent des biens situés à la campagne, La Centrale de Financement recommande d'être particulièrement attentif à la ville dans laquelle le ménage souhaite s'installer.« Il est important de prêter attention au dynamisme économique et démographique de la ville choisie, en analysant précisément les plans d'urbanisme envisagés par la municipalité, les réseaux de transports, l'accessibilité des crèches, des écoles... afin de se garantir une vie épanouissante une fois installés mais aussi une plus-value à la revente ! Car, bien que les prêts soient contractés en première intention sur 22,5 ans, en moyenne, nous constatons que ceux-ci sont majoritairement remboursés au bout de 8,5 ans (soit en raison d'une évolution professionnelle avec mutation, d'un agrandissement de la famille, ou encore d'une séparation du couple...). Par ailleurs, avec l'inflation du prix de l'énergie et la mise en place d'un nouveau Diagnostic de Performance Énergétique (DPE), il est également primordial d'être particulièrement attentif à la performance énergétique du bien, en anticipant les coûts qui pourraient être générés dans ce cadre... L'acquisition immobilière n'est donc définitivement pas un investissement à banaliser ! » ajoute Sylvain Lefèvre, président de la Centrale de Financement.Octobre 2021 : une baisse des taux sur la plupart des durées de prêtLe mois d'octobre 2021 débute par une baisse des taux de crédit immobilier sur la plupart des durées de prêt. Ainsi, avec les taux annoncés ce mois-ci, un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180.000 € sur 25 ans à 1,18% verra sa mensualité s'élever à 693,18 euros pour un coût total de crédit de 27.954 euros, soit 2,63% de moins que le mois précédent (correspondant à une économie de plus de 750 euros) pour un prêt de la même durée et du même montant.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens d'octobre 2021 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées sont en baisse de 0.015 %, en moyenne, pour toutes les durées de prêt confondues. Dans le détail : la baisse de taux de crédit la plus significative s'observe pour les prêts contractés sur 25 ans, avec une diminution de 0.03 % par rapport à septembre 2021. Pour une durée de prêt de 15 ans et 20 ans, la baisse des taux est de 0,02% par rapport au mois précédent, et pour les prêts contractés sur 10 ans et 12 ans, elle est de 0,01%. Seuls les taux de crédit appliqués aux prêts contractés sur une durée de 7 ans sont restés stables d'un mois sur l'autre. Les meilleurs taux immobiliers d'octobre 2021 par durée d'empruntLes meilleurs taux obtenus sur le mois d'octobre 2021 sont restés identiques à ceux obtenus au cours du mois précédent, toutes durées de prêt confondues. Les ménages bénéficient donc de conditions d'emprunt aussi avantageuses que celles au mois de septembre 2021. Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en septembre 2021L'usage du bien financé en septembre 2021L'emprunteur type du mois de septembre 2021[1]Source : selon l'analyse des dossiers de prêts finalisés par La Centrale de Financement, au premier semestre 2020 et 2021.[2] Source : revenu annuel moyen des primo-acce??dants sur le 1er semestre 2021 - La Centrale de Financement.
Il y a 3 ans et 244 jours

Chambéry : travaux de mise en accessibilité des bâtiments publics

À Chambéry, plus de 180 établissements publics font l’objet de travaux de mise en accessibilité.
Il y a 3 ans et 248 jours

Eure : Une résidence d’autonomie plus responsable

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Le béton Vertua de Cemex a permis la construction d’une résidence d’autonomie, à Vernon. [©Cemex/Philippe Castaño] A Vernon, le besoin en logements pour les personnes âgées, a poussé Sécomile, Société d’économie mixte locale liée au département de l’Eure, à réaliser une résidence d’autonomie de 23 appartements. Ceci, dans des bâtiments à énergie positive. Cemex a contribué à la diminution de l’empreinte environnementale du programme immobilier. En fournissant des bétons bas carbone Vertua. Ces logements sont situés à l’emplacement d’une résidence ne répondant plus aux normes d’accessibilité et contenant de l’amiante. 750 m3 de béton Vertua Classic Très tôt, Cemex a entamé une démarche pro-active de conseils auprès de l’économiste de la construction Isabelle Desmares et de l’architecte en charge du projet, l’atelier Bellefontaine. Afin de définir les bétons les plus à même d’optimiser l’empreinte carbone du bâtiment. En effet, dans le bilan carbone de ses bétons Vertua, Cemex comptabilise l’ensemble des émissions depuis l’acheminement de ses matières premières jusqu’à la livraison des produits finis sur chantier.  Lire aussi les autres actualités en région Ainsi, pour la réalisation des fondations et des dalles, Cemex a livré 750 m3 de béton Vertua Classic présentant un abaissement du bilan carbone entre 20 et 35 %. Le béton est produit à Saint-Marcel, unité située à moins de 3 kms du site, avec des granulats provenant de la carrière Cemex de Bouafles, limitant ainsi les émissions de CO2 dues au transport. Et les bâtiments sont construits par l’entreprise locale Bouquet, spécialisée dans les travaux de maçonnerie générale et le gros œuvre. Un projet incontestablement placé sous le signe du développement durable. Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 254 jours

Bidart : réhabilitation du bâtiment Gidalekua

Cet immeuble appartenant à la Commune bénéficiera de travaux d’entretien et de mise en accessibilité.
Il y a 3 ans et 258 jours

Des experts de l'ONU appellent la France à améliorer sa copie sur le Handicap

Selon l'ONU les politiques publiques en matière de handicap sont encore trop marquées par une approche "médicale" qui cantonne les personnes concernées dans des foyers spécialisés, a estimé le Comité des Nations unies pour les droits des personnes handicapées.Ces experts indépendants, chargés de surveiller l'application par les États de la Convention des droits des personnes handicapées (entrée en vigueur en France en 2010), ont rendu ces conclusions après trois séances d'auditions de responsables gouvernementaux, organisées en août.Le Comité onusien s'étonne que les associations représentant les personnes handicapées soient en même temps gestionnaires d'institutions spécialisées financées par les pouvoirs publics: selon lui, cela conduit à des "conflits d'intérêt" et constitue un "obstacle" pour que les personnes concernées puissent "passer des soins médico-institutionnels à une vie indépendante".L'association APF France handicap, elle-même gestionnaire de nombreux lieux de vie, a réagi à ce rapport en soulignant qu'elle en partageait de nombreuses conclusions, notamment sur la lenteur des progrès en matière d'accessibilité des infrastructures.Le gouvernement "partage la volonté du comité de changer le regard de la société sur le handicap" et "lever les préjugés", a réagi de son côté la secrétaire d'État en charge du dossier Sophie Cluzel.Concernant les critiques sur la trop grande place laissée aux institutions spécialisées, elle a souligné que la France avait "engagé une mutation", pour une plus grande "inclusion scolaire" et une "transformation de l'offre médico-sociale"."Sur les 12 millions de personnes en situation de handicap en France, 100.000 personnes majeures sont hébergées en établissement", a observé Mme Cluzel, soulignant qu'"entre le tout établissement et le tout domicile", elle ambitionnait de développer "des habitats alternatifs".Les experts de l'ONU critiquent par ailleurs les modalités d'octroi de l'Allocation pour adulte handicapé (AAH), qui ne devraient pas selon eux dépendre des revenus du conjoint, car cela va à l'encontre de l'"autonomie" des femmes handicapées. Une vision partagée par l'APF, qui organise justement une journée de mobilisation sur ce thème jeudi.Les experts appellent aussi la France à modifier la loi "Elan" de 2018, qui a abaissé de 100% à 20%, dans les programmes immobiliers neufs, la part de logements accessibles aux personnes à mobilité réduite.Sur ce point, le gouvernement s'est défendu en soulignant que tous les logements neufs devaient être "évolutifs", en étant dotés par exemple d'une douche "à l'italienne", et que les ascenseurs étaient obligatoires dans les immeubles neufs à partir de deux étages.
Il y a 3 ans et 258 jours

Eurazeo acquiert un ensemble logistique au Royaume-Uni

Connu sous le nom de "Trinity Trading Estate", ce complexe représente une surface totale d'environ 38.000 mètres carrés."L'actif est basé à Sittingbourne, une ville commerciale dynamique du Kent jouissant d'une excellente accessibilité et stratégiquement située entre Londres et l'Euro Tunnel", a expliqué Eurazeo, qui réalise l'opération avec Arax Properties et auprès d'Orchard Street."Occupé à 98%, Trinity Trading Estate génère un revenu locatif immédiat et présente un fort potentiel de réversion locative. La division immobilière d'Eurazeo investira, aux côtés de son partenaire Arax Properties, afin de développer l'actif notamment en construisant des surfaces additionnelles permettant d'augmenter la densité du site et de capter son fort potentiel locatif", poursuit la société d'investissement.Le groupe a déjà acquis deux immeubles de bureaux à Londres et cette nouvelle opération "permet à Eurazeo d'accroître sa présence au Royaume-Uni et de pénétrer le marché de la logistique", ajoute le communiqué.Eurazeo dispose de près de 25,6 milliards d'euros d'actifs, dont plus de 17,8 milliards pour compte de tiers.
Il y a 3 ans et 260 jours

Journées du Patrimoine : Les bons plans de la rédaction

Les Journées du Patrimoine auront lieu du 18 au 19 septembre 2021. [©Ministère de la Culture] Les Journées du Patrimoine arrivent à grands pas. Le week-end du 18 et 19 septembre verra la 38e édition de cet évènement, crée en 1984 par Jack Lang. Cette année sera placée sous le thème de l’accessibilité et du “Patrimoine pour tous”. Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, a mis en œuvre une stratégie pour répondre aux besoins de tous. Elle évoque des parcours adaptés à chacun, « avec une attention particulière portée aux personnes en situation de handicap ». N’importe qui pourra donc bénéficier d’un accès à tous les lieux interdits au public en temps normal. Le patrimoine culturel français est riche en monuments et en architectures. L’équipe d’ACPresse vous donne ses bons plans à aller découvrir.  Notre-Dame en immersion Pour les Journées du Patrimoine, Notre-Dame de Paris sera accessible pendant le week-end. [©ACPresse] Partons à la découverte de l’un des édifices religieux les plus connus au monde, la cathédrale Notre-Dame de Paris. L’entreprise en charge de sa restauration (EPRNDP) vous propose une immersion inédite au cœur du “chantier du siècle”. Vous pourrez profiter de nombreuses animations et démonstrations autour des métiers qui participent à sa rénovation. Lire aussi : – Du béton pour Notre-Dame de Paris Le béton par Perret  Le palais de Iéna est ouvert pour les Journées du Patrimoine le week-end du 18 et 19 septembre. [©AC Presse] Intéressons-nous maintenant au XVIe arrondissement, quartier qui abrite le palais d’Iéna. Son architecture en fait un lieu incontournable à aller visiter. Son architecte, Auguste Perret, a su tirer partie des qualités du béton pour construire un édifice considéré comme un chef-d’œuvre. Pour percer les secrets du palais d’Iéna, des conférences et des expositions éclaireront les visiteurs tout le week-end. Une façon d’en apprendre davantage sur sa conception et son architecture. Le Train des Merveilles Le Train des Merveilles vous ouvre la voie pour les Journées du Patrimoine. [©Egaowakaii] La région Paca a aussi des atouts dans sa poche. En effet, les Journées du Patrimoine proposent une visite à bord du Train des Merveilles. Au départ de Nice, le trajet offre un voyage d’une centaine de kilomètres à destination de Tende, dans les Alpes. Ce voyage est considéré comme l’un des plus beaux trajets ferroviaires d’Europe grâce à sa succession d’ouvrages d’art : (viaducs, tunnels…). De plus, les voyageurs auront la possibilité d’admirer les villages perchés du Paillon, de la Bévéra et de la Roya. De quoi profiter d’un bon bol d’air frais à 1 000 m d’altitude. La commune de Wimereux Viaduc de Wimereux. [©Mélanie Huguet] Les Hauts-de-France peuvent réserver leur lot de surprises. L’exemple parfait est la commune de Wimereux, située dans le Pas-de-Calais. Pendant les 2 jours, la ville propose une rétrospective de la construction de sa gare, de son église ou encore de sa cité balnéaire classée comme station de tourisme. Vous pourrez découvrir Wimereux sous tous les angles, et admirer son patrimoine naturel et culturel très riche. Une balade en carrière Les adhérents de l’Unicem ont prévu des ateliers et des animations adaptés aux enfants. [©Photothèque Unicem] Baladez-vous le temps d’un week-end dans nos carrières françaises ! A l’occasion des Journées du Patrimoine, les adhérents de l’Unicem ouvrent les portes de leurs sites. Une façon de découvrir l’univers industriel particulier des carrières et des matériaux minéraux pour la construction. Des visites guidées, des ateliers ou encore des démonstrations ponctueront ces trois jours. Pour trouver la carrière la plus proche de chez vous, c’est par –> ici.
Il y a 3 ans et 265 jours

Vaste plan éco-collège en Seine-Saint-Denis

Jeudi 9 septembre 2021 ont officiellement été lancés les chantiers des collèges des Docks à Saint-Ouen, Marie Curie aux Lilas, et Alfred Sisley à L’Île-Saint-Denis. Une étape qui marque le coup d’envoi du déploiement du plan éco-collège voté par le Département de la Seine-Saint-Denis. Au total, ce sont 8 nouveaux collèges qui seront construits et 43 autres qui seront rénovés ou reconstruits d’ici 2030 dans le cadre de ce nouveau plan d’investissement voté par le Département fin 2020. Un plan d’un 1 milliard d’euros qui poursuit trois objectifs : répondre au défi démographique en créant 7 000 places supplémentaires, répondre au défi environnemental, en réduisant de 50% les émissions de CO2, en végétalisant les cours de récréation, et en construisant ou rénovant les établissements avec des matériaux bio-sourcés et répondre au défi pédagogique, en renforçant l’équipement numérique, les équipements sportifs, et les enseignements culturels et citoyens. Le collège Alfred Sisley à L’Île-Saint-Denis est reconstruit pour augmenter la capacité d’accueil, rénover énergétiquement les couvertures et les façades, mettre en accessibilité l’ensemble des espaces intérieurs et extérieurs. Un collège provisoire mis à disposition à proximité du collège actuel permettra d’accueillir les collégiennes et collégiens pendant la tenue des travaux, pour une mise en service en septembre 2023. Un nouveau collège dans le quartier en pleine expansion des Docks à Saint-Ouen verra le jour en septembre 2025 et portera les fortes ambitions environnementales du plan eco-collège. Sa cour de récréation, plus ample et végétalisée, sera doublée d’un espace de préservation de la faune et la flore. Toutes les toitures seront végétalisées, et, pour anticiper la future Réglementation Énergétique 2020, le Département visera des performances énergétiques élevées, via l’usage notamment de matériaux biosourcés. « Alors qu’on sait combien la réussite des élèves passe aussi par leur cadre de travail, ce nouveau plan d’investissement massif pour nos collèges, sans doute le plus ambitieux de France, démontre une nouvelle fois à quel point le Département de la Seine-Saint-Denis est mobilisé pour l’éducation. Les trois chantiers que nous lançons en cette rentrée avec Emmanuel Constant, Vice-président en charge de l’Education, et Elodie Girardet, Conseillère déléguée au projet éducatif, en sont la parfaite illustration, puisqu’ils nous permettront à la fois d’accueillir plus d’élèves, d’opérer une transition sur le plan environnemental et d’améliorer encore les équipements. » Stéphane Troussel, Président du Département de la Seine-Saint-Denis
Il y a 3 ans et 267 jours

ARTCHITECT AT WORK À PARIS

Rendez-vous les 23 et 24 septembre 2021 à Paris pour l’événement Architect@Work ! Cet événement atypique, fort apprécié par l’ensemble des prescripteurs -et notamment par les architectes, architectes d’intérieur et agenceurs- a sélectionné à nouveau plus de 800 nouveaux produits présentés par 248 industriels participants. Afin de garantir une visite dans un environnement sain et sécurisé, cette édition sera soumis au pas sanitaire et organisée sous le strict respect des nouvelles normes sanitaires. Architect at work- 24-septembre 2020 ’BIO-LOGIQUES’ Cette thématique sera notamment déclinée par la présentation, par le Centre de ressources INNOVATHEQUE, de la matériauthèque ’BIOM’, capter le vivant’. A travers cette exposition, l’équipe Innovathèque nous invite à venir découvrir une sélection de matières variées sur la thématique de la nature, un important panel de matériaux, procédés et systèmes bio inspirés qui puisent de manière directe ou indirecte leur genèse de notre environnement. Le monde du vivant est une source d’inspiration intarissable et un véritable levier d’innovation pour imaginer les matériaux de demain. Expositions photographiques et techniques ‘REGARD SUR 10 ANS D’ARCHITECTURE PAR LE STUDIO ERICK SAILLET’. L’exposition permet de découvrir la singularité du regard de ce studio et constitue en même temps un portrait en creux de la production architecturale de la  décennie. ’LES ETUDIANTS DES ENSA SUR LE TERRITOIRE ESSONNIEN’. Dans le cadre de cette 14ème édition, le Comité de pilotage a souhaité mettre en avant une initiative du CAUE de l’Essonne qui, pour accompagner les collectivités dans leurs projets et réflexions sur le devenir de leurs territoires, a construit des partenariats avec les Ecoles Nationales Supérieures d’Architecture. Pour les élus, cela permet une ouverture du champ des possibles, issue des riches échanges avec la jeune génération. Pour de futurs architectes, c’est l’occasion de se confronter à la réalité de la commande publique. ’L’ACCESSIBILITE POUR TOUS, LE CHALLENGE DE LA SENSES ROOM’. Les personnes en situation de handicap sont plus de 10 millions en France. Or 80% d’entre elles ont un handicap invisible…. Aujourd’hui, l’architecte doit intégrer tous ces paramètres dans ses projets et trouver des solutions techniques pour rendre nos vies inclusives et sécurisées au maximum. Depuis 2014, Francis van de Walle présente –à travers sa SENSES ROOM- des solutions pour répondre aux besoins et attentes de tous les handicaps ou maladies lourdes. Un rendez-vous à ne pas manquer pour tous ceux qui souhaitent découvrir les solutions techniques de demain ! Plus d’informations sur le site de l’événement
Il y a 3 ans et 272 jours

La filière BTP se donne rendez-vous sur Artibat en octobre

Synonyme de rencontres et d’affaires, ARTIBAT, le salon des territoires, s’impose également comme une opportunité unique de découvrir, sur 65 000 m2 d’exposition, les nombreuses innovations présentées par près de 1 000 exposants, fabricants et distributeurs. Empreinte de convivialité, cette édition constituera assurément le rendez-vous obligé des professionnels du BTP pour la rentrée 2021.Un salon, des nouveautés, pour tous corps de métiers Comme de tradition, les innovations les plus pertinentes, performantes, utiles pour les professionnels auront été sélectionnées par un jury d’experts représentatifs de la profession en amont du salon. Les critères d’éligibilité sont basées sur le caractère nouveau, la performance énergétique des produits, l’accessibilité et l’intérêt pour le professionnel (temps de pose, sécurité...). L’intégralité des nouveautés sélectionnées issues des divers secteurs d’activité (gros œuvre, second œuvre, lot technique, équipement, gros matériel TP), sera visualisable sur le site internet artibat.com afin que les visiteurs puissent préparer leur visite. Sur site, le Guide, millésime des Nouveautés 2021 sous format papier, sera disponible gratuitement dès l’entrée du salon. Toutes les nouveautés seront à découvrir à compter de septembre 2021 sur le site www.artibat.com et sur les stands des exposants grâce une signalétique dédiée.ARTIBAT se mobilise autour de la rénovation énergétique performante des bâtiments Rendez-vous de premier plan dans le paysage du marché de la construction, cette nouvelle édition d’ARTIBAT permettra aux 40 000 visiteurs attendus, d’aborder le sujet qui fait et fera l’actualité BTP dans les prochains mois au travers du dispositif CIRQ. Ainsi, les enjeux de la rénovation énergétique face au dérèglement climatique, fruit du partenariat ARTIBAT et NOVABUILD, l’allié « solutions climat » en Pays de Loire, seront largement abordés et sous tous les angles sur l’espace CIRQ. Cet événement dans l’événement mettra en lumière, durant 3 jours de conférences inspirantes, les solutions innovantes pour massifier la rénovation énergétique des bâtiments de logements individuels et collectifs ou encore informer sur l’entrée en vigueur des nouveaux impératifs de la RE 2020. Précisons que la scène CIRQ constituera également une tribune de premier plan pour les 9 startups lauréates de CIRQ 2020/2021. Pour en savoir plus, https://www.artibat.com/cirq-2020-2021-les-laureatsAccessibilité et confort d’usage, ressentir pour mieux construire Autre thématique d’importance à l’honneur et mise en lumière par ARTIBAT : le confort d’usage. Cette initiative d’envergure a été réalisée en association avec HB Développement, détenteur de marques qui garantissent l’expertise des artisans du bâtiment pour tous types de travaux liés au confort d’usage, le maintien à domicile et l’accessibilité de l’habitat. Sur un espace de 130 m2, les visiteurs pourront s’approprier les bonnes pratiques d’installation et de rénovation du bâti dédié aux personnes âgées ou en situation de handicap. De même, ils pourront aussi y vivre une véritable expérience immersive. Vêtus d’un simulateur de vieillissement, ils seront, durant quelques minutes, démunis de leurs pleines capacités moteur et sensorielles, afin de se confronter à certaines situations du quotidien, lorsque l’aménagement et les matériaux utilisés s’avèrent trop souvent inadaptés. Cette immersion devrait permettre de générer un nouveau regard pour innover, répondre à de futurs projets d’adaptation du logement ou d’accessibilité, mais assurera également des tests en conditions réelles des nouveaux matériaux et solutions participant ainsi à l’amélioration de leurs conditions de vie. À découvrir ou expérimenter sur site : Le parcours Agility - L’autre Vue - La maison bienveillante - L’atout Confort et Sécurité - Truck SOLIHA. Un espace réalisé en collaboration avec les partenaires d’ARTIBAT : IFPEK, AIDS85, Imagin VR, Pôle Saint Hélier, Solinnov, Soliha). Pour en savoir plus, https://www.artibat.com/confort-dusageARTIBAT 2021 : la sécurité, pas seulement sanitaire Déplacement des collaborateurs sur chantier ou chez un distributeur, aménagement conforme des véhicules utilitaires ou encore sensibilisation des équipes aux risques liés à l’alcool, aux drogues ou à l’utilisation du téléphone portable au volant… la sécurité routière constitue une véritable priorité pour une filière exposée comme l’est celle du BTP (avec un taux d’accidentologie de 5 % en 2018*). ARTIBAT s’est ainsi associé avec Risque Routier Formation, organisme certifié et labellisé dans les différents domaines de la sécurité routière, afin de sensibiliser les visiteurs professionnels aux bonnes pratiques de conduite sur route. Grâce à un simulateur très performant (Develter) qui propose une multitude de scenarii confrontant les conducteurs à des situations extrêmes, ceux-ci pourront tester, en live, leurs réflexes et connaissances en matière de sécurité routière. Plus d’information sur https://www.artibat.com/sur-la-route* Source : https://www.ameli.fr/entreprise/sante-travail/votre-secteur/batiment-travaux-publics/chiffres-clesLe Pré-enregistrement est ouvert ! www.artibat.com, code NEWAR Liste des exposants : https://www.artibat.com/les-exposants
Il y a 3 ans et 286 jours

3 nouvelles start-up intègrent l’accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP »

4 entreprises ont présenté leurs projets le 5 juillet dernier, devant un jury composé de professionnels du BTP et de la prévention et en présence des partenaires fondateurs, le CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA. Leurs projets ont été évalués sur la base de cinq critères :Le caractère innovant de leur technologie ou service ;L’accessibilité du marché visé ;L’équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ;La fiabilité du business model ;L’adéquation de la start-up avec les thématiques santé et prévention de l’accélérateur.Cette douzième édition a permis à trois start-up ayant présenté leurs innovations de convaincre les membres du jury. Celles-ci ont donc été retenues pour intégrer l’accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP » :> APPI Technology développe des systèmes autonomes de communication mains-libres conçus pour les équipes travaillant en milieux hostiles, bruyants ou confinés. Ces équipements, compatibles avec tout EPI, permettent de maintenir un dialogue entre les intervenants, de détecter des situations de danger et de relayer des alertes de sécurité aux opérateurs.« Dans le cadre de nos travaux de recherche pour le stockage en grande profondeur de déchets radioactifs, nos équipes sont amenées à travailler dans des galeries à 500 m de profondeur. La solution Appi nous permet de rendre aux opérateurs l’usage de leur voix et de leurs mains, notamment lorsqu’ils se trouvent en situation de stress dans des endroits à fort enjeu de sécurité. Nous avons également fortement gagné en distance puisque la solution nous permet d’établir une communication jusqu’à plus de 200 m de distance malgré la profondeur et l’encombrement, contre seulement 7 m auparavant. » témoigne François Laumann, de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).> Come in VR est un créateur de contenus de formation immersive en réalité virtuelle (VR) ou PC. La start-up propose notamment des solutions pédagogiques pour les organismes de formation ou les entreprises dans les secteurs de la logistique, du BTP et de la santé. Ces expériences immersives permettent de favoriser la formation des équipes et de valoriser leurs compétences.« Nous utilisons le module de formation virtuelle de Come in VR dédié à l’élingage, une opération de levage très classique dans les travaux publics mais accidentogène lorsqu’elle est mal réalisée. Grâce à ce module, nous avons permis à l’ensemble de nos apprenants en formation initiale ou continue d’acquérir les bons gestes pour être plus aguerris sur toute la partie pratique concernant cette opération, et ce de manière ludique et compréhensible par tous. » témoigne Jean-François Chabaud, Directeur de l’Ecole de la Construction des Infrastructures et Réseaux.> Recap développe une application qui permet de développer, documenter et superviser la transmission des consignes et des bonnes pratiques dans le domaine de la santé – sécurité au travail, bien souvent données à l’oral. Cela permet d’améliorer la sécurité des opérateurs sur le terrain, du responsabiliser les managers et de favoriser la justification du respect de l’obligation de sécurité tout en anticipant les risques de responsabilité.« Les premiers retours que nous avons reçus des entreprises du BTP ayant testé la solution font état d’un véritable intérêt commercial. En effet, l’application permet de prouver en direct, régulièrement et très facilement au donneur d’ordre d’un chantier que les engagements pris en termes de sécurisation du chantier et des salariés, dans le cadre du contrat, sont bien tenus au jour le jour. » confirme Arnaud Rimbert, avocat en droit du travail.Ces start-up bénéficieront de l’expertise et des retours d’expériences des quatre partenaires fondateurs, CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA, pour faire monter en puissance la performance des entreprises en matière de santé et prévention. Les partenaires s’engagent également à faciliter les échanges et la visibilité des start-up auprès de leurs entreprises adhérentes, notamment au travers de leurs sites web, leurs réseaux sociaux et leurs médias respectifs, ainsi qu’à l’occasion des événements auxquels ils sont susceptibles de participer.
Il y a 3 ans et 286 jours

Porte Grand Vitrage, des portes d’entrée sur l’avenir

Alliance d'esthétisme et de performancesLes portes d’entrée MILLET sont le fruit d’un savoir-faire savamment travaillé et sans cesse renouvelé. Elles ont été conçues pour répondre à toutes les exigences actuelles tant en termes d’esthétisme que de performances énergétiques, de sécurité et d’accessibilité.La nouvelle gamme de portes grand vitrage du groupe ne déroge pas à la règle. Déclinées en Aluminium, PVC ou Bois, leurs vitrages personnalisés laissent entrer pleinement la lumière tout en préservant l’intimité.L’entreprise défend le pouvoir d’achat de ses clients avec ces nouveaux modèles de portes dont les prix attractifs permettront à chacun de s’équiper avec la qualité d’un produit made in France.Les portes de la nouvelle gamme grand vitrage s’organisent autour de 16 références, elles s’adapteront à vos envies et compositions personnalisées (fixe, semi-fixe, imposte..).Une collection de vitrages décoratifs Millet qui associe modernité et luminositéImaginées pour apporter design et originalité aux intérieurs dans lesquels elles sont installées, les portes d’entrée grand vitrage du Groupe MILLET se déclinent en deux axes graphiques.Avec la ligne vitrage sablé, MILLET entend proposer une porte complémentaire (porte secondaire par exemple) de la porte d’entrée Alu pleine monobloc en présentant les mêmes décors en version motif sablé sur vitrage dépoli.Avec sa ligne de vitrages céramiques, le Groupe lance un produit dont les designs modernes attirent l’attention. Leurs motifs géométriques tendance ou inspirés de la nature se différencient avec élégance des produits similaires sur le marché. L’utilisation de l’impression céramique garantit une durée de vie au produit inégalée. Les possibilités de personnalisation en option sont multiples allant jusqu’au numéro de rue imprimé sur le vitrage.La sécurité n’est pas en reste puisque la gamme s’accompagne de nombreuses options : Vitrages retardateur d’effraction, fiches et serrure renforcées, barillets de sécurité.Avec sa nouvelle gamme de portes d’entrée grand vitrage, le Groupe MILLET démontre une nouvelle fois sa capacité à se renouveler sans cesse.Pour plus d'information, consultez le site du Groupe Millet
Il y a 3 ans et 300 jours

Salon Equipbaie, les marques LOREBAT, MOLENAT, BOURNEUF et MESLIN, ainsi que LORENOVE représenteront la polyvalence des business modèles du Groupe Lorillard

En septembre prochain, l’année 2021 marquera la 31ème édition du salon Équipbaie. Mais cette année 2021 est aussi celle des 85 ans du Groupe Lorillard. Un anniversaire représenté sur son stand au travers de ses savoir-faire et de son expertise. Au fil des années, le Groupe Lorillard a su faire évoluer son offre pour devenir un fabricant de menuiseries multi-matériaux et sur-mesure. Aujourd’hui ce sont une dizaine de menuiseries qui seront exposées sur le stand de 120 m², pour la représentativité de l’offre plurielle du Groupe. Premier acteur industriel de la menuiserie bois sur l’hexagone, Lorillard s’est entouré des menuiseries Bourneuf et Meslin ainsi que de la marque Molénat pour exposer toutes les compétences du Groupe en matière de menuiseries bois : défis architecturaux, menuiseries de formes et de grandes tailles, environnements de pose atypiques dans des bâtiments ERP de division administratives territoriales ou de sécurité publique, en milieu scolaire, etc. Ces 85 dernières années, le Groupe Lorillard a su développer des business modèles durables et se positionner ainsi sur tous les marchés. Le stand Équipbaie présente ses solutions adaptées pour l’artisan, le négociant ou encore le franchisé. DES BUSINESS MODÈLES AU PLUS PROCHE DES SPÉCIFICITÉS DES CLIENTS Fort de son antériorité sur le marché des menuiseries et de ses multiples compétences, le Groupe Lorillard a construit différents business modèles dans l’objectif de pouvoir satisfaire les besoins de tous les professionnels du bâtiment. Car être le partenaire privilégié des professionnels, c’est mettre à leur disposition un ensemble de prestations complémentaires, de la cellule technique et commerciale en passant par une organisation logistique rigoureuse, des services sur-mesure, et, en outre, des produits d’une qualité irréprochable. 3 business modèles seront présents sur le salon Equipbaie : – Lorebat dont la typologie des visiteurs du salon correspond principalement aux clients et prospects de cette marque. Les clients professionnels Lorebat bénéficient d’un vrai partenaire pour leur activité avec une cellule technique et commerciale basée à Chartres, un réseau national de technico-commerciaux pour apporter conseils et assistance sur le terrain, mais surtout un service de qualité exclusif : LorExpress, leur assurant un traitement optimal de leurs commandes et une organisation logistique rigoureuse dans un délai réduit au minimum. – Lorenove qui aura un corner pour répondre aux potentiels candidats à la concession. Les concessionnaires Lorenove bénéficient d’une enseigne à la notoriété reconnue, avec plus de 60 points de vente en France, et d’un accompagnement quotidien au niveau commercial, technique, mais aussi pour la communication. Ils bénéficient aussi du savoir-faire du Groupe en matière de mise en œuvre chez les clients finaux. À noter que depuis la dernière édition d’Equipbaie, l’enseigne Lorenove a été plébiscitée 2 années consécutives pour la qualité de son service client et récompensée par le Grand Prix des réseaux pour sa e-réputation. – E-Lori, le site de vente en ligne du Groupe Lorillard sera également présent sur le stand à l’aide d’une tablette de présentation. Lancé il y a 3 ans, E-Lori répond à l’expansion du e-commerce dédié aux professionnels. Il leur permet de commander en ligne leurs menuiseries sur-mesure à prix d’usine, grâce à la mise à disposition d’un configurateur dédié. Cette année le site fait peau neuve avec un nouveau design et une ergonomie optimale, il est étoffé de nombreuses informations sur les produits. Les utilisateurs pourront également bénéficier d’une promotion spéciale salon !   4 PÔLES POUR EXPOSER L’OFFRE MUTLI MATÉRIAUX Le stand de 120 m² accueillera un ensemble de menuiseries sous 4 pôles agencés par matériaux. Le pôle bois rassemblera le savoir-faire des menuiseries Bourneuf et Meslin et celui de la marque Molénat. La représentativité de l’activité bois au sein du Groupe Lorillard se chiffre à 45 M€ (fourniture et pose et fourniture seule), soit un quart du chiffre d’affaires du Groupe. C’est donc un matériau qui opère une évolution notable ces dernières années ; que ce soit sur le marché des chantiers de rénovation où la demande client est de plus en plus forte, mais aussi dans le neuf, nouvelle tendance influencée par les nouvelles normes et l’offre croissante de matériaux durables. À travers les menuiseries Bourneuf et Meslin le Groupe Lorillard est devenu un expert d’une menuiserie bois atypique et prestigieuse. Le Groupe a la capacité de répondre à des projets dont les besoins sont particuliers, tant dans la conception que dans l’esthétique. Pour figurer cela, différents types de menuiseries seront exposés : – Menuiserie de forme : un vantail en goutte d’eau, prototype d’étude dans le cadre de l’appel d’offres de la réhabilitation des tours Nuages de Nanterre, labelisées au patrimoine architectural du XXème siècle. vantail en goutte d’eau, prototype d’étude dans le cadre de l’appel d’offres de la réhabilitation des tours Nuages de Nanterre – Menuiserie monumentale : une porte d’entrée d’immeuble de 3.2 m de hauteur avec une imposte plein cintre vitrée et des soubassements moulurés. porte d’entrée d’immeuble de 3.2 m de hauteur avec une imposte plein cintre vitrée et des soubassements moulurés   – Menuiserie « TRADITION 70 » : l’authenticité et la chaleur du bois, avec une garantie de 5 ou 10 ans sur les lasures (selon Conditions Spécifiques de Garantie). Et – distinction en la matière – les menuiseries techniques pare-balle et coupe-feu. Issues d’un savoir-faire rarissime puisqu’aujourd’hui en France, seuls 2 fabricants sont en capacité de les produire et le Groupe Lorillard en fait partie, la gamme pare-balle et coupe-feu est une innovation Bourneuf. En effet, la Menuiserie Bourneuf détient la certification FB6 NS au Banc Officiel d’Epreuve des armes et munitions de Saint Etienne, pour ses fenêtres et portes. C’est dire la spécificité technique que l’entreprise est en capacité de développer pour répondre aux besoins de ses clients. Cette gamme est conçue pour garantir une très haute protection contre les attaques balistiques. Les fenêtres et portes fenêtres avec imposte fixe haute et/ou latérale et avec soubassement (porte fenêtre) sont concernées par cette certification. Elles assurent une résistance aux tirs de fusil d’assault et carabine de calibre 7.62×51, sans éclat de verre vulnérant et aucune projection de verre du côté arrière. Ce niveau de protection vaut aussi pour des armes et calibres inférieurs types FB5, FB4, FB3, FB2 et FB1(pistolets 357 Magnum, 44 Remington, 9mm Luger, fusil 22 long rifle…). Mais l’esthétique n’est pas en reste, les menuiseries offrent une mouluration sur mesure. Elles sont proposées avec toutes les essences de bois, massif ou lamellé collé, de peinture blanche ou avec finition sur demande, et équipées de quincailleries de style. Bourneuf possède également une certification pare flamme et coupe-feu sur toutes les essences (Mélèze, Chêne, Bois Exotique, supérieur à 600 Kg/m³) et ce, quelle que soit la forme de la menuiserie : droite, cintrée, anse de panier, avec des petits bois et même bombée. Pare-flamme½ h sur fenêtres et portes fenêtres à recouvrement et à mouton et gueule de loup (EW30), et, coupe-feu 1h sur fenêtres et portes fenêtres à mouton et gueule de loup (EI60). Outre ces certifications, la gamme répond également à des exigences acoustiques élevées, jusque 42 dB. Menuiserie bois Bourneuf FB6 NS assurant une résistance aux tirs de fusil d’assault et carabine de calibre 7.62×51, sans éclat de verre vulnérant et aucune projection de verre du côté arrière   Le pôle aluminium exposera le prototype d’un coulissant monobloc qui sera commercialisé début 2022. Ce nouveau coulissant est équipé d’une tapée de doublage intégrée qui facilite le travail de pose en neuf, elle offre également une meilleure rigidité au cadre et une étanchéité parfaite. Parmi ses autres propriétés, on lui reconnaît une excellente robustesse grâce à un dormant monobloc à rupture de pont thermique, assemblé en coupe droite par équerres collées et serties. Sa crémone multipoints à crochets et son dispositif anti-fausse manoeuvre lui garantissent un bon niveau de sécurité. Côté design, la finesse de son montant central de 38 mm et ses profils ultra fins offrent un rendu épuré et minimaliste avec un clair de vitrage maximum. Conforme à la norme PMR, ce coulissant est doté d’un seuil extra-plat, d’une hauteur de 25mm, ou proposé avec un dormant bas doté d’un recueil d’eau intégré et de drainages cachés. Enfin, son vitrage de 28 mm avec une couche basse-émissivité, un intercalaire isolant Warm-Edge et du gaz Argon (à très faible conductivité thermique) offre une isolation thermique optimale (coefficient Uw =1,6W/m².K). Ce coulissant sera disponible en 2 vantaux, 3 vantaux et jusqu’à 4 vantaux, pour des baies vitrées de grande largeur (jusque 6mètres) selon les besoins et la configuration des lieux. La menuiserie aluminium Océanic² à ouvrant caché, best-seller de la gamme frappe aluminium offre un design épuré avec un montant central de 76 mm, pour une luminosité optimale : +20 % de surface vitrée par rapport à une fenêtre classique (Sw 0,48 coefficient transmission de chaleur solaire / TLw 60 % Facteur de transmission lumineuse). Le caractère du design épuré des menuiseries Océanic² est renforcé par l’absence de pare-tempête extérieur en traverse basse grâce au drainage invisible. Ainsi, le drainage des feuillures des profils se fait tout en discrétion, par des orifices totalement invisibles lorsque la fenêtre est fermée. Dotée d’excellentes performances thermiques (coefficient Uw =1,5W/m².K) et d’isolation, grâce à ses trois joints d’étanchéité, Océanic² répond aux plus hautes exigences en matière d’économies d’énergie. Ces 3 joints rendent également les gâches plus difficiles à atteindre, en cas d’effraction. Equipée d’un double vitrage à haute isolation thermique de 28 mm d’épaisseur, certifié CEKAL avec une couche basse-émissivité, un intercalaire isolant et du gaz Argon, cette menuiserie offre une confort thermique renforcé. La porte fenêtre Océanic² est équipée d’un seuil permettant l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Il présente l’avantage d’une circulation fluide entre l’intérieur et l’extérieur, sans avoir d’obstacle à franchir et offre un rendu harmonieux, intégré à l’environnement. Menuiserie aluminium Océanic² à ouvrant caché, best-seller de la gamme frappe aluminium, offre un design épuré avec un montant central de 76 mm, pour une luminosité optimale.   Le pôle HPC présentera 2 menuiseries caractérisées par la finesse de leurs profils et procurant un parfait équilibre entre performances thermiques, esthétisme et confort intérieur. LOMNIA, une menuiserie qui fédère de manière optimale les performances thermiques, le confort, l’esthétisme et la sécurité. Elle est l’alliance parfaite entre la qualité, le raffinement, les économies d’énergies et la sécurité. Menuiserie HPC LOMNIA alliance parfaite entre la qualité, le raffinement, les économies d’énergies et la sécurité. Et, TWINEA 2, un coulissant HPC présenté dans sa version seuil extra-plat. Spécialement adapté aux personnes à mobilité réduite, ce seuil assure une circulation fluide entre l’intérieur et l’extérieur, sans avoir d’obstacle à franchir. Il s’avère plus confortable pour les personnes âgées, mais aussi pour tout à chacun au quotidien. Ses rails en aluminium offrent une manœuvre optimale. Les profils renforcés en fibre de verre assurent à la fois robustesse et légèreté des ouvrants. Coulissant HPC TWINÉA 2 avec son seuil extra-plat, spécialement adapté aux personnes à mobilité réduite.   Pour finir, le pôle Porte fera la part belle à la collection Les Lumineuses qui a été réalisée avec Verrissima. La porte présentée est issue de la collection Amandine Mangenot, artiste plasticienne et matiériste. La porte est dotée d’un panneau central avec une impression numérique totale, au motif contemporain, qui offre un rendu exceptionnel avec des couleurs étincelantes et pérennes aux UV. Porte Lorenove de la collection Les Lumineuses qui a été réalisée avec Verrissima. 85 ans que le Groupe priorise l’innovation et la fabrication française avec des labels, des certifications, des brevets. Et, cette nouvelle édition d’Équipbaie en sera témoin. L’innovation est une perspective qui se dessine avec la présentation en avant-première de la prochaine gamme mixte bois-alu.
Il y a 3 ans et 317 jours

Les portes aluminium et mixte : l'inspiration aluminium

La technique au service de l'esthétisme et de la performanceLes portes d’entrée aluminium MILLET sont le fruit d’un savoir faire qui évolue. Elles ont été conçues pour répondre aux exigences actuelles tant en termes d’esthétisme que de performance énergétique, de sécurité et d’accessibilité.Un atout esthétique différenciant est le concept d’ouvrant et dormant affleurant, qui apporte de la modernité à la porte. Les vitrages et inserts sont également coplanaires. Toujours dans un souci d’harmonie et de discrétion, les paumelles sont laquées à la couleur de la porte.L’amélioration des performances énergétiques des produits fait partie des préoccupations du Groupe MILLET et cette nouvelle gamme de portes aluminium-mixte ne déroge pas à la règle. Les modèles contemporains sont équipés de triple vitrage, ceux de la série Classic de double vitrage. Pour obtenir une meilleure inertie thermique, l’ouvrant monobloc est rempli d’une mousse isolante haute densité et les profils ouvrant et dormant sont à rupture de pont thermique. Autant de détails qui permettent aux portes MILLET de proposer un coefficient thermique (Ud) évalué à 1.2 w/m². k en moyenne. Classées A, elles sont ainsi éligibles au crédits d’impôt et l’éco prêt à taux zéro. Concernant l’aspect sécurité, toutes les portes d’entrée MILLET sont équipées de serrures 5 points munies de 2 crochets acier couplés à 2 goujons anti-soulevage et d’un barillet haute sécurité. Les vitrages des modèles qui en sont équipés sont feuilletés avec un aspect dépoli satiné pour laisser entrer la lumière tout en garantissant votre intimité.Sensible à la question de l’accessibilité, le Groupe MILLET conçoit des portes étudiées pour faciliter le passage grâce à leur largeur optimisée. Elles peuvent atteindre jusqu’à 1200 mm de large en un vantail. Les seuils de portes sont tous aux normes pour personne à mobilité réduite en ne dépassant pas les 20 mm de haut.La personnalisation, une prioritéLes menuiseries MILLET offrent la possibilité à chacun de jouer avec les matériaux, les couleurs en fonction de ses goûts, de sa personnalité, de son budget. Choisir une porte d’entrée aluminium MILLET, c’est offrir un style de caractère et différencier à son habitation.Vitré ou non, mouluré à l’ancienne ou résolument contemporain, chaque modèle a été conçu avec le savoir-faire MILLET : rigueur et élégance associées à la modernité des modèles distribués. Pour satisfaire chaque désir, le Groupe MILLET a développé 6 lignes graphiques TRIO, DOT, RAY, DAY, I.DAY, Classic, qui se déclinent en 16 motifs pour un total de 96 modèles de portes alu/mixte.Pour harmoniser la couleur de la porte avec la gamme de fenêtres de la marque, 21 teintes thermolaquées sont proposées sur la version aluminium intérieur/extérieur. Tout le charme de l’essence « Chêne » se décline, quant à lui, sur les modèles mixtes bois intérieur/aluminium extérieur.Le Groupe MILLET multiplie les faisabilités techniques avec des modèles classiques à un vantail, semi-fixe répétant ou latéral vitré ou non... Les possibilités de déclinaisons sont alors infinies et chaque porte devient une pièce unique.
Il y a 3 ans et 330 jours

Charente-Maritime : Chacun sa route, chacun son chemin…

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine La nouvelle promenade du Port Neuf à La Rochelle. [©LafargeHolcim/Spie Aménagement Littoral] La Rochelle travaille à la rénovation de la digue de Port-Neuf à Chef-de-Baie, transformée en une vaste promenade. Pour cela, LafargeHolcim a proposé un total de quatre types de bétons, pour deux lots distincts. « Pour la partie génie civil, il s’agissait de créer un muret de protection, explique Sébastien Mabille, commercial en charge du dossier. Il nous fallait une prise rapide et une résistance aux effets du littoral, nous avons donc prescrit un béton Chronolia. »Ce dernier a été mis en œuvre par l’entreprise Echart GC. Sur la promenade, le choix a été fait de déterminer les différents modes de circulation par des finitions de béton spécifiques. Un béton bouchardé, un béton imprimé et un béton légèrement désactivé, pour les piétons d’un côté, les cyclistes de l’autre, et au centre, les skates et autres rollers. « A ce niveau, la difficulté était liée une accessibilité au chantier très réduite. Ces bétons décoratifs ont donc été mis en œuvre à la pompe par Chatelier Pompage Service. De fait, nous avons adapté nos formulations afin qu’elle soit pompables… » Lire aussi les autres actualités en région Tous les bétons ont été fournis à partir des deux centrales LafargeHolcim de La Rochelle. A savoir, celles de Pallice et de La Jarne.« Les coulages ont eu lieu sur trois mois, avec des perturbations dues aux intempéries. Nous coulions selon une rythmique de deux interventions par semaine, avec des volumes de 50/80 m3, grâce à quatre à cinq toupies à chaque fois », conclut Sébastien Mabille. Au total, 5 000 m3de bétons auront été coulés le long du littoral rochelais. Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 335 jours

Palmarès du concours Les Génies de la construction

Les équipes d’élèves et d’étudiants des collèges, lycées et établissements du supérieur, encadrées par leur professeur, étaient réparties en quatre catégories (collège, pro, lycée, supérieur), pour réaliser un projet collectif et collaboratif de construction ou d’aménagement projeté vers un futur des territoires intelligents, durables et connectés, au travers des thématiques suivantes : le logement, la mobilité au sein des territoires et les déplacements, les activités humaines (culture, industrie, éducation, santé, commerce, agriculture, loisirs), la préservation de l’environnement, y compris la gestion de l’eau et des déchets, les énergies locales et renouvelables. Autant de sujets sur lesquels les élèves et étudiants étaient invités à travailler.Le concours, qui a pour objectif de mieux refléter la richesse et la diversité des métiers du bâtiment et des travaux publics dans toutes leurs dimensions, incarne les enjeux auxquels les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire doivent répondre, notamment en termes de transition numérique, technologique et environnementale. « Les Génies de la Construction ! » répondent aussi aux priorités du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports et des professionnels de la construction, pour favoriser la promotion des voies de formation générale et professionnelle, qui sont toutes les deux des voies d’excellence et de réussite, et ainsi contribuer à une meilleure orientation scolaire et professionnelles des jeunes, donner du sens et concrétiser les enseignements.Une 17e édition « phygitale »La 17e édition des « Génies de la Construction ! » s’est de nouveau adaptée avec agilité au contexte de crise sanitaire liée à la Covid-19, avec la mise en place d’un dispositif exceptionnel, pour permettre aux équipes inscrites dans le concours d’aller au bout de leur projet.Afin de remplacer l’habituelle soutenance des projets devant un jury, à l’occasion d’une finale organisée en présentiel, les équipes projets ont été invitées à réaliser une vidéo de présentation de leur projet. Les dossiers ont été déposés sur une plateforme dédiée, afin que les jurys des différentes catégories du concours puissent évaluer les travaux à distance et sélectionner parmi les projets les lauréats du concours. Pour la deuxième année consécutive, des open badges ont été attribués aux lauréats et participants des catégories « lycée » et « sup ». Ces images numériques, qui fournissent un système d’accréditation, permettent de reconnaître des réalisations et des compétences, formelles ou informelles, acquises à l’occasion d’un projet. Pour les organisateurs du concours, il était important de promouvoir et de reconnaître l’engagement des jeunes dans les projets qu’ils ont conduits. 3.000 élèves engagés dans le concoursPour cette 17e édition du concours et malgré un contexte de crise sanitaire, 22 académies ont participé. Au total, ce sont 3 000 élèves et étudiants concernés, avec 104 classes dans 57 collèges, 15 lycées, 9 SEGPA et 23 équipes dans le supérieur.Comme à chacune des éditions, les projets ont été appréciés sur leur créativité, leur faisabilité et l’interdisciplinarité, ainsi que sur leur capacité à se transposer sous une forme réalisable pour être appliqués concrètement et sur leur aptitude à répondre aux problématiques suscitées par l’évolution des territoires.Le palmarès : huit projets lauréatsPrix catégorie « Collège »Le mot du jury : « Les projets étaient particulièrement variés et aboutis. Certaines équipes ont travaillé à distance, malgré les contraintes matérielles liées à la réalisation de maquettes réelles. La richesse des projets présentés repose sur une interdisciplinarité remarquable, ainsi que sur l’intervention de professionnels du BTP. Ces derniers ont permis aux élèves d’avoir une meilleure connaissance des métiers et des solutions techniques mises en œuvre aujourd’hui. »1er prix : collège Capouchine (Nîmes, 30) | Académie de MontpellierProjet « La maison bioclimatique »Le projet a été mené à la suite de la visite d’un lieu de vie alternatif. Il présente l’optimisation de l’espace pour une maison, comprenant trois chambres et une grande pièce de vie, en l’adaptant au climat méditerranéen pour avoir un très faible besoin en énergie et en s’appuyant sur différents systèmes bioclimatiques. Les élèves ont fait appel à une élève architecte, au responsable d’Alter Éco et aux « petits débrouillards ». Le choix des solutions techniques et des matériaux mis en œuvre repose sur une démarche scientifique, qui a conduit à la réalisation d’une maquette en respectant les étapes de construction et à une modélisation 3D.2e prix : collège Pierre Hyacinthe Cazeaux (Morez, 39) | Académie de BesançonProjet « La restauration du château de Buclans »À partir d’une étude historique et littéraire du château de Buclans (Jura), détruit par un incendie, ce projet en prévoit la restauration et la réhabilitation des locaux, en vue d’en faire, notamment, un lieu d’accueil d’une colonie et un espace culturel. Charpente, agencement, accessibilité, conception d’un escalier automatisé, gestion de l’éclairage et modélisation 3D ont été appréhendés par les élèves, en partie grâce à l’intervention de professionnels du bâtiment. L’exposé des élèves a entièrement été traduit en langue anglaise.3e prix : collège Joseph Julien Souhait (Saint-Dié-des-Vosges, 88) | Académie de NancyProjet « Le plan incliné d’Arzviller »À partir d’une étude historique et géographique, le besoin sociétal d’un plan incliné a été défini, ainsi que les fonctions auxquelles l’objet technique doit répondre. L’étude scientifique et mathématique a débouché sur la réalisation d’une maquette automatisée, intelligente et pilotée à distance, prenant notamment en compte les contraintes de fonctionnement et de sécurité.Prix catégorie « Pro » (Élèves de SEGPA, d’EREA et de 3e prépa pro)Le mot du jury :« Dans tous les projets présentés, la dimension interdisciplinaire apparaît nettement. De nombreuses solutions techniques présentes dans le secteur du bâtiment et des travaux publics ont été exploitées et mises en œuvre. »1er prix : collège Lubet Barbon (Saint-Pierre-du-Mont, 40) | Académie de BordeauxProjet « Extension d’un studio en éco-matériaux »Un petit studio a été réalisé il y a plusieurs années avec des matériaux adaptés pour l’époque. Le projet consiste à réaliser une extension, en s’appuyant sur l’éco-construction. C’est aussi l’occasion pour les élèves d’analyser l’ancienne construction, d’en identifier les points faibles et de découvrir plusieurs métiers et activités du champ professionnel « habitat », tout en étant acteurs de la réalisation de cette extension. Différents matériaux sont utilisés à bon escient et de nombreuses technologies actuelles du bâtiment sont abordées.Mention des « Meilleures interdisciplinarités et pédagogies »Collège Jean Moulin (Marseille, 13) | Académie Aix-MarseilleProjet « Réalisation d’une cabine téléphonique anglaise »Mention des « Meilleures dimensions chantier et environnementales »Collège de Grazailles (Carcassonne, 11) | Académie de MontpellierProjet « Projet KOKODO pour état d'urgence en cas de séisme »Prix catégorie « Lycée »Le mot du jury :« Les différentes équipes ont présenté des projets et des études particulièrement abouties. La thématique des territoires intelligents durables et connectés, ainsi que les enjeux sociétaux et environnementaux qui s’y réfèrent ont été très bien pris en compte. »1er prix : lycée Livet (Nantes, 44) | Académie de NantesProjet « Résidence étudiante »Le projet s’appuie sur la construction d’une résidence universitaire à partir de « containers » maritimes recyclés. De l’étude du problème sociétal de logement des étudiants à l’identification du terrain, ce projet a débouché sur la conception architecturale, les calculs de structure, les choix de matériaux, des simulations (notamment thermiques), ainsi que sur la modélisation de l’ensemble du projet. Les maquettes et simulations dévoilées sont en cours de réalisation voire de finalisation. La dernière étape, qui consiste au prototypage et à l’expérimentation sera menée, par la suite.2e prix : lycée Gustave Eiffel (Armentières, 59) | Académie de LilleProjet « Réhabilitation d’un château d’eau »À partir d’une contextualisation historique, ce projet concerne la réhabilitation du château d’eau du lycée, reposant sur la préservation de la ressource en eau. Les solutions de captage, filtrage, stockage et gestion de l’eau ont été envisagées, pour aboutir à la réalisation d’une maquette didactique fonctionnelle pilotée à distance.3e prix : lycée Saint-Nicolas (Paris, 75) | Académie de ParisProjet « Incubateur rue du Lac »Ce projet concerne la création d’un incubateur ou espace de co-working. Cet espace, prévu dans un immeuble neuf, occupe les deux derniers étages débouchant sur un toit terrasse. La fonctionnalité des espaces, l’étude des façades, la simulation thermique, le choix des matériaux et les solutions pour l’éclairage ont permis la réalisation d’une maquette immotique.Mention de la « Meilleure démarche pédagogique »Lycée Aragon Picasso (Givors, 69) | Académie de LyonPrix catégorie « Sup »(Étudiants de l’enseignement supérieur : STS, IUT, université, écoles d’ingénieur, écoles d’architecture...)Le mot du jury : « Les trois projets primés répondent parfaitement aux attendus du concours : mixité, interdisciplinarité, prise en compte de problématiques environnementales liées aux enjeux de la construction et de l’aménagement des territoires. Chacune des équipes primées a su réaliser un travail collaboratif dans une approche professionnelle, avec l’utilisation d’outils numériques maîtrisés et mettant en jeux des compétences pluridisciplinaires, qui ont permis de justifier les solutions constructives proposées. »1er prix ex aequo : université Cergy (Cergy, 95) | Académie de VersaillesProjet « Bâtiment à usage aéronautique »Le projet est celui d’un bâtiment à usage aéronautique, dont la conception porte sur deux grands halls, l’un destiné au stockage de pièces, le second à l’assemblage d’avions légers, complétés par un étage de bureaux. La recherche architecturale originale a été traduite par une maquette numérique a donné lieu à une étude structurelle, complétée par un phasage des travaux détaillé ainsi qu’une simulation thermique dynamique. Le projet est articulé autour de deux axes principaux : le développement durable avec la contrainte d’auto-suffisance du bâtiment et l’innovation avec l’utilisation au maximum du BIM.1er prix ex aequo : université Technologie Compiègne (Compiègne, 60) | Académie d’AmiensProjet « Smart ville »Le projet s'appuie sur le déploiement du « Métrocâble » à Grenoble, intégrant la notion de durabilité, de connectivité et d’intelligence. Il comprend une gare avec un réaménagement des voies de circulation, dont la création d'une piste cyclable, des quais multimodaux pour bus et tramways, un parking relais, des bassins végétalisés, un mobilier urbain (installations sportives, aires de jeux, « MétroVélo box »). La recherche documentaire, l’étude géotechnique, la modélisation, l’étude des matériaux et l’analyse de leur comportement mécanique ont été particulièrement appréciées. 3e prix : IUT Chambéry (Le Bourget-du-Lac, 73) | Académie de GrenobleProjet « Le prieuré de Bourget-du-Lac »Le projet a pour objectif la rénovation d’une des trois ailes du bâtiment du Prieuré du Bourget du Lac qui fut construit au Moyen-Âge. À partir de la réalisation de scans 3D de l'intérieur du bâtiment et de l’assemblage des nuages de points, un modèle numérique a été obtenu. C’est à partir de ce modèle que les plans nécessaires au permis de construire ont été réalisés. L’étude structurelle a permis la détermination des charges et la prise en compte des actions climatiques. L’étude thermique a permis une analyse au regard de la RT 2012. L’accès aux PMR a été envisagé. Cet ensemble se complète par la production de documents exploitables dans la perspective de travaux futurs envisagés par la Municipalité.Mention de la « Meilleure implication de l’établissement »IUT Belfort Montbéliard (Belfort, 90) | Académie de Besançon* Le concours Les Génies de la Construction ! est organisé en partenariat entre le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, l’EFB (fondation École Française du Béton (EFB), la FFB (Fédération française du bâtiment), la FNTP (Fédération nationale des travaux publics), le CCCA-BTP (Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics) et en coopération avec l’ASCO-TP (Association pour la connaissance des travaux publics), ainsi qu’avec l’ASSETEC (Association nationale pour l’enseignement de la technologie), l’APMBTP (Association des professeurs des métiers du bâtiment et des travaux publics) et l’AUGC (Association universitaire de génie civil).
Il y a 3 ans et 342 jours

Le Sénat renforce le volet logement du projet de loi climat

"On rehausse d'une façon importante l'ambition de rénovation énergétique", a assuré la rapporteure pour avis Dominique Estrosi Sassone (LR).La France s'est fixé l'objectif d'un parc immobilier au niveau bâtiment basse consommation (BBC) d'ici à 2050."Le défi est considérable", a souligné Mme Estrosi Sassone. "Sur 29 millions de résidences principales, seulement 1,9 million sont classées A ou B selon le diagnostic de performance énergétique (DPE)".Les sénateurs ont retenu ces deux classes comme définition d'une rénovation "performante", qualifiant la classe C de "moyennement performante".C'est un des points de "divergence" soulevés par la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, qui a rappelé que le gouvernement visait "une étiquette A, B ou C à l'horizon de 2050".Avec le projet de loi climat, le gouvernement organise d'abord la chasse aux "passoires thermiques", ces logements énergivores classés F et G. La France en compte environ 4,8 millions, selon le ministère de la Transition écologique, dont un tiers sont occupés par des propriétaires à faible revenu.Le projet de loi prévoit en premier lieu d'interdire, lors du renouvellement d'un bail ou de la remise en location, d'augmenter leur loyer. Les sénateurs proposent d'avancer d'un an l'entrée en vigueur de cette interdiction, soit dès la promulgation de la loi.En 2025 pour la classe G puis en 2028 pour la classe F, ces logements seront ensuite interdits à la location.Pour la classe E, que les députés ont prévu d'interdire à la location en 2034, les sénateurs ont repoussé le couperet à 2040, échéance jugée "plus réaliste", mais dénoncée comme "un recul" par les écologistes.Il répond en tout cas à l'inquiétude exprimée par les professionnels de l'immobilier. "Interdire la location de logements E, représentant à eux seuls un quart du parc de logements actuellement loués, dans un horizon irréaliste, revient à mettre en péril les conditions de logement à moyen terme de près de 5 millions de Français", ont-ils mis en garde."Beaucoup trop loin"En revanche, les sénateurs ont intégré la classe D au calendrier d'interdiction de louer des logements indécents, à compter de 2048. "C'est quand même dans 27 ans", a relevé l'écologiste Daniel Salmon, pour qui "c'est vraiment beaucoup trop loin"."On trace une trajectoire, on donne de la visibilité y compris à la filière du bâtiment", a souligné la rapporteure.Les sénateurs ont en parallèle étoffé les mesures d'accompagnement.Pour les ménages les plus modestes, ils ont ainsi garanti "un reste à charge minimal" et demandé "la gratuité des accompagnateurs de la mission Sichel".Pour aider les bailleurs sociaux, la TVA sur les travaux de rénovation des logements (économies d'énergie, accessibilité et sécurité) serait abaissée à 5,5%.Plusieurs mesures visent enfin les propriétaires de logements mis en location. "On ne peut pas être que sur le bâton, il faut aussi qu'il y ait une carotte", justifie Dominique Estrosi Sassone.Sont ainsi proposés: le doublement du plafond du déficit foncier à partir d'un montant significatif de travaux, l'élargissement pour les logements F et G du dispositif "Denormandie" d'aide fiscale ou une exception à l'encadrement des loyers dès lors que les passoires thermiques font l'objet d'une rénovation performante.La droite sénatoriale a enfin introduit pour les bailleurs "un congé pour travaux de rénovation énergétique", lorsqu'ils sont importants et ne peuvent se faire dans un logement occupé, une mesure qui inquiète la gauche. Mme Wargon y a vu aussi "un réel risque de détournement d'un tel congé lorsque le bailleur souhaite libérer le logement".Les députés pourront revenir sur les modifications apportées par le Sénat en première lecture dans la suite de la navette parlementaire.
Il y a 3 ans et 343 jours

La majorité sénatoriale de droite veut consolider le volet logement du projet de loi climat

Le volet "se loger" du texte examiné au Sénat depuis le 14 juin, lequel outre la rénovation des bâtiments traite aussi de l'artificialisation des sols, sera abordé à partir de ce jeudi."On rehausse d'une façon importante l'ambition de rénovation énergétique", assure la rapporteure pour avis Dominique Estrosi Sassone (LR).La France s'est fixé l'objectif d'un parc immobilier au niveau bâtiment basse consommation (BBC) d'ici à 2050."Le défi est considérable", souligne Mme Estrosi Sassone auprès de l'AFP. "Sur 29 millions de résidences principales, seulement 1,9 million sont classées A ou B selon le diagnostic de performance énergétique (DPE)".Avec le projet de loi climat, le gouvernement organise d'abord la chasse aux "passoires thermiques", des logements énergivores classés F et G. La France en compte environ 4,8 millions, selon le ministère de la Transition écologique, dont un tiers environ sont occupés par des propriétaires à faible revenu.Le projet de loi prévoit en premier lieu d'interdire, lors du renouvellement d'un bail ou de la remise en location, d'augmenter leur loyer. Les sénateurs proposent d'avancer d'un an l'entrée en vigueur de cette interdiction, soit dès la promulgation de la loi.En 2025 pour la classe G puis en 2028 pour la classe F, ces logements seront ensuite interdits à la location.En ce qui concerne les logements classés E, que les députés ont prévu d'interdire à la location en 2034 par voie d'amendement, la rapporteure propose de repousser le couperet à 2040, échéance jugée "plus réaliste". Lors de la discussion générale, la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili a regretté ce report, sur lequel les députés pourront revenir dans la suite de la navette parlementaire.Il répond en tout cas à l'inquiétude exprimée par les professionnels de l'immobilier. "Interdire la location de logements E, représentant à eux seuls un quart du parc de logements actuellement loués, dans un horizon irréaliste, revient à mettre en péril les conditions de logement à moyen terme de près de 5 millions de Français", ont mis en garde la FNAIM, l'UNIS et l'UNPI.En revanche, Mme Estrosi Sasonne a intégré les logements de classe D au calendrier d'interdiction de louer des logements indécents, à compter de 2048.Quelques "carottes""On trace une trajectoire, on donne de la visibilité y compris à la filière du bâtiment", pour faire face à "cette massification énergétique", souligne-t-elle.Mais pour Mme Estrosi Sassone, "on ne peut pas uniquement parler de la rénovation énergétique des bâtiments, la plus ambitieuse soit-elle, si on ne propose pas parallèlement un certain nombre de mesures pour les plus modestes et les propriétaires bailleurs".Pour les ménages les plus modestes, la rapporteure propose ainsi de garantir "un reste à charge minimal" et de demander "la gratuité des accompagnateurs de la mission Sichel".Un certain nombre d'incitations financières sont enfin mises sur la table pour les bailleurs privés et les bailleurs sociaux.Pour aider les bailleurs sociaux, la TVA sur les travaux de rénovation des logements (économies d'énergie, accessibilité et sécurité)serait abaissée à 5,5%. Une disposition qui a toutes les chances de rencontrer l'opposition du gouvernement.Plusieurs mesures visent les propriétaires de logements mis en location. "On ne peut pas être que sur le bâton, il faut aussi qu'il y ait une carotte", justifie Dominique Estrosi Sassone.Sont ainsi proposés: le doublement du plafond du déficit foncier à partir d'un montant significatif de travaux, l'élargissement pour les logements F et G du dispositif "Denormandie" d'aide fiscale ou une exception à l'encadrement des loyers dès lors que les passoires thermiques font l'objet d'une rénovation performante.La rapporteure propose enfin d'introduire pour les bailleurs "un congé pour travaux de rénovation énergétique", lorsqu'ils sont importants et ne peuvent se faire dans un logement occupé, une mesure qui inquiète la gauche.
Il y a 3 ans et 353 jours

Accessibilité : en quoi le zéro ressaut en salles de bains impacte-t-il tout le bâtiment ?

Organisés tous les mois sous l’impulsion des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA, « Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » décryptent les grandes tendances de la construction.  À l’occasion de la troisième édition qui s’est tenue le 7 mai 2021, le Mondial du Bâtiment a réalisé un sondage exclusif1 sur la perception du zéro ressaut par les acteurs professionnels de la filière. Le sondage réalisé à l’occasion de la table ronde par le Mondial du Bâtiment sur le zéro ressaut vu par les installateurs démontre qu’il reste encore beaucoup de choses à éclaircir. En effet, alors que la règlementation impose une zone de douche avec un accès sans ressaut depuis le 1er janvier 2021, 63,2 % des personnes ayant répondu au sondage déclarent ne pas le savoir. Ils sont par ailleurs 64,7 % à ignorer si l’offre des fournisseurs est suffisante pour répondre à cette obligation et 25,6 % à penser qu’elle est insuffisante. Ces chiffres, mais aussi toutes les questions relatives à cette règlementation, ont été longuement débattus par quatre intervenants du « Grand Dossier du Mondial du Bâtiment » : André AUGST, Vice-président CEP-CICAT Ingénieur IPF expert en accessibilité, Claire LE QUELLEC, Présidente du Conseil Français des Architectes d’Intérieur, Hubert MAITRE, Secrétaire général de Afisb association des industries de la salle de bains et Julien SERRI, Délégué National aux Affaires Techniques du Pôle Habitat FFB.
Il y a 3 ans et 356 jours

Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment : le point sur le zéro ressaut

À l'occasion de la troisième édition qui s'est tenue le 7 mai, le Mondial du Bâtiment a réalisé un sondage exclusif1 sur la perception du zéro ressaut par les acteurs professionnels de la filière.Des chiffres qui ont notamment pu être commentés lors du "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment" dont le thème était « Accessibilité : en quoi le zéro ressaut en salles de bains impacte-t-il tout le bâtiment ? »Pour débattre autour de cette question et apporter un éclairage d'experts, étaient réunis autour de la table :André AUGST, Vice-président CEP-CICAT Ingénieur IPF expert en accessibilité.Claire LE QUELLEC, Présidente du Conseil Français des Architectes d'Intérieur.Hubert MAITRE, Secrétaire général de Afisb association des industries de la salle de bains.Julien SERRI, Délégué National aux Affaires Techniques du Pôle Habitat FFB.Le zéro ressaut vu par les installateursLes chiffres clés du sondage exclusif des rendez-vous du Mondial du BâtimentLe sondage réalisé à l'occasion de la table ronde par le Mondial du Bâtiment sur le zéro ressaut vu par les installateurs démontre qu'il reste encore beaucoup de choses à éclaircir. En effet, alors que la règlementation impose une zone de douche avec un accès sans ressaut depuis le 1er janvier 2021, 63,2% des personnes ayant répondu au sondage déclarent ne pas le savoir.Ils sont par ailleurs 64,7% à ignorer si l'offre des fournisseurs est suffisante pour répondre à cette obligation et 25,6% à penser qu'elle est insuffisante.Ces chiffres, mais aussi toutes les questions relatives à cette règlementation, ont été longuement débattus par les quatre intervenants du "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment".Ce qu'il s'est dit lors du grand débat…Durant 45 minutes, les quatre intervenants ont débattu autour du sujet du zéro ressaut. L'occasion pour eux de revenir sur les aspects positifs de cette réglementation mais aussi sur les points qui restent à éclaircir.Une évolution globalement saluée« Il s'agit d'une évolution naturelle et souhaitable, souligne Hubert Maitre. Aujourd'hui, il y a 9% de personnes handicapés en France et 9 français sur 10 aimeraient pouvoir adapter son logement. Nous devons donc répondre à ces besoins et à ses demandes. »Claire Le Quellec ajoute : « Le logement doit aujourd'hui être évolutif et fonctionnel. En tant qu'architecte, je travaille sur toute l'ergonomie du logement, pas uniquement de la salle de bains. Mais celle-ci représente un défi notamment par ses dimensions souvent restreintes. ».Et pour André Augst : « Il est important de ne pas faire des salles de bains identiques pour tous. La salle de bains doit avant tout rester un lieu agréable à vivre et à regarder, pour toute la famille. »Mais des points à préciser« Les fabricants n'ont pas été impliqués dès le départ des concertations. Aujourd'hui, ils manquent d'éléments concrets pour répondre à ces évolutions, notamment en ce qui concerne les dimensions qui leurs sont demandées pour les produits. », déplore Hubert Maitre rejoint par André Augst : « Il y a un véritable problème au sujet des dimensions demandées car il n'est pas précisé s'il s'agit de dimensions carrelage terminé ou à poser. Et il n'existe pas de bac à douche de 122 cm ! »Pour Julien Serri : « Les chiffres qui concernent la méconnaissance des installateurs sont frappants, mais ce qu'il est aussi important de noter et que nous avons pu constater, c'est que la règlementation est sujette à différentes interprétations. ». De son côté André Augst précise : « Ce qu'il est intéressant de noter, c'est que la loi date en fait de 2005. Elle évolue, certes, mais ne change pas fondamentalement. Et depuis l'origine, l'objectif est d'arriver à la généralisation du zéro ressaut. »Les quatre intervenants déplorent tous par ailleurs les surcoûts qui vont découler de l'application de ce décret et qu'ils estiment à 4 000 € par logement.Des professionnels mobilisés« Les fabricants ont la capacité à créer de nouveaux produits et à s'adapter à de nouveaux modes de fabrication. Ils sont réactifs et à l'écoute. », indique Hubert Maitre.Quant à Julien Serri, il précise : « Nous avons constitué des groupes de travail pour récolter les avis de tous les métiers concernés par ces évolutions. Car il est difficile de faire cohabiter toutes les contraintes des différents métiers. Nous avons donc élaboré un guide qui sera disponible dès septembre pour décrypter ce sujet complexe. »Arrêté « Douche zéro ressaut »Depuis le 1er janvier 2021, dans les logements situés en rez-de-chaussée (pour les permis de construire déposés depuis cette date) ou dans les étages desservis par ascenseur (pour les dépôts à compter du 1er juillet), au moins une salle d'eau, située au niveau d'accès au logement, doit être équipée d'une zone de douche dont l'accès se fait sans ressaut, ou d'une baignoire, laquelle pourra être réaménagée en douche sans intervention sur le gros oeuvre, ni modification du volume de la salle d'eau hormis l'installation de toilettes. Les maisons individuelles (sauf celles construites pour leurs propres propriétaires), ainsi que les logements des bâtiments d'habitation collectifs sont concernés. La surface, rectangulaire, de la zone de douche doit être au minimum de 90 × 120 cm, et la hauteur minimale de 180 cm.L'arrêté du 17 septembre 2020 modifie un précédent texte, datant de 2015 qui imposait seulement que le ressaut de la douche soit « limité afin de permettre son accès en toute sécurité ».Les prochains « Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » auront lieu le vendredi 2 juillet.Le Grand Dossier abordera le thème : Quelles solutions pour réduire l'empreinte carbone des chantiers ?
Il y a 3 ans et 362 jours

En 50 ans, le confort des logements s'est amélioré mais doit encore se parfaire

CHIFFRES. Isolation thermique, humidité, accessibilité, les enjeux pour un meilleur confort dans les logements sont multiples. Une récente enquête Ipsos commandée par l'association Qualitel montre que les habitations sont devenues plus agréables en un demi-siècle même si de nombreux efforts restent à faire.
Il y a 3 ans et 364 jours

Comment aménager une salle de bain PMR ?

Adaptation du logement au vieillissement, à la perte d’autonomie et aux personnes à mobilité réduite (PMR), les salles de bain se construisent et se rénovent avec le souci de faciliter et de sécuriser les déplacements vers la baignoire, la douche, ou le cabinet d’aisance.   Les risques d’une salle de bain classique   Dans une salle de bain classique, l’humidité excessive accumulée pendant la douche ou le bain rend les sols et les surfaces particulièrement glissants. Les risques de chute interviennent notamment au moment de l’entrée ou de la sortie de la baignoire ou du bac à douche. Par ailleurs, avec des équipements non adaptés aux personnes à mobilité réduite, les hauteurs traditionnelles constituent un obstacle à l’accessibilité.    Salle de bain : la baignoire à siège   Les baignoires à siège sont spécialement conçues pour sécuriser le bain effectué en station assise. Les accessoires de fortune tels que les tabourets et les chaises en plastique sont, en effet, fortement déconseillés. S’ils permettent la station assise, l’instabilité de leur installation augmente le risque de chute. Les baignoires à siège offrent une alternative sans danger et confortable.   Salle d’eau : la douche à l’italienne   Quel que soit le modèle de douche, l’objectif est d’offrir aux personnes à mobilité réduite une installation avec un receveur ultra mince, encastré dans le sol. Les douches classiques avec receveur hors-sol réduisent considérablement les possibilités de déplacements, tandis que les douches à l’italienne offrent une accessibilité renforcée et une surface au sol plus importante.   Les produits antidérapants   Les revêtements antidérapants sécurisent le chemin de circulation à travers la salle de bain et la salle d’eau. Ils peuvent être déployés sur toutes les surfaces à risque. Par exemple, dans le cas des sièges de douche amovibles pour douche et lavabo, il convient de privilégier ceux disposant de pied antidérapants lorsqu’une installation fixe n’est pas envisageable.   Les barres de maintien  Les barres de maintien peuvent être posées à proximité de toutes les zones à risques. C’est-à-dire là où les personnes sont amenées à passer de la station assise à la station debout ou à évoluer sur une surface potentiellement glissante. On les retrouve principalement sur les parois de la douche, de la baignoire et dans le cabinet d’aisance. En plus de la barre de maintien, la rehausse de la cuvette des WC contribue à limiter les risques en réduisant l’amplitude de mouvement nécessaire à la station assise.   Les dispositifs d’aides financières aux travaux d’aménagement  Les travaux d’amélioration des logements privés réalisés dans le cadre de l’adaptation au vieillissement et aux situations de mobilité réduite, bénéficient de différentes aides mises en place par l’État. Ces aides couvrent la plupart des actions en faveur de la mobilité dans le logement, parmi lesquelles les travaux effectués en salle de bain.    
Il y a 3 ans et 364 jours

Rénovation du musée Carnavalet – Histoire de Paris

Chatillon Architectes, associé à Snøhetta et l’agence NC, Nathalie Crinière, signe la rénovation du musée Carnavalet – Histoire de Paris qui a rouvert ses portes le 29 mai 2021. Quatre années d’importants travaux ont été nécessaires pour magnifier le bâtiment, redécouvrir son architecture, le mettre aux normes, améliorer son accessibilité et l’expérience du visiteur, dans un seul et unique but : « tout renouveler, sans rien changer ». Tout l’enjeu du projet consistait à répondre à un grand nombre d’objectifs tout en conservant une continuité avec l’histoire et l’esprit du musée. Il s’agissait ainsi de redécouvrir certains volumes, rouvrir des fenêtres, remettre le bâtiment aux normes, le rendre accessible, créer un nouveau parcours de visite, et donner une touche contemporaine à l’ensemble grâce à de nouveaux aménagements, le tout sans rien dénaturer. Les quelque 3 800 œuvres exposées, sur les 625 000 que comporte la collection, trouvent désormais leur place au sein d’un parcours cohérent, pour la première fois chronologique, utilisant tous les interstices du monument au fil de plus de 180 vitrines créées sur mesure par l’agence NC, Nathalie Crinière.  « La rénovation place le visiteur au cœur du projet. L’accueil, le confort de la visite, l’accès aux jardins ont été particulièrement étudiés. De nouveaux espaces de circulation sont désormais adaptés au bâtiment », ajoute Valérie Guillaume, directrice du musée Carnavalet – Histoire de Paris. Chatillon Architectes a été sélectionné pour ce projet en raison, notamment, de sa vision centrée sur le respect du déjà-là, l’enjeu étant de restaurer et restructurer le musée sans perturber le charme d’un lieu particulièrement apprécié des Parisiens. L’agence considère effectivement chaque projet comme une occasion, éclairée par la connaissance, d’identifier la valeur de l’existant et les attentes de notre époque, et de faire entrer les deux en corrélation. Le musée retrouve son entrée d’origine, située au 23, rue de Sévigné, ouvrant l’accès au bâtiment le plus ancien de tout le musée : l’Hôtel de Lignéris. Dès leur arrivée, les visiteurs profitent ainsi d’un accueil réaménagé et adapté à un public en nette croissance. La circulation se fait désormais de façon plus fluide, agréable et respectueuse du site. Le sol de l’espace d’accueil a été choisi dans le but de créer une continuité avec l’extérieur, en évoquant les anciennes écuries. De grandes baies vitrées permettent de garder, là encore, le lien avec l’extérieur. Plusieurs façades, toitures, ainsi qu’une grande partie des menuiseries extérieures ont été restaurées. Chatillon Architectes a créé de nouveaux espaces de réserves sur site répondant aux normes de conservation préventive pour toutes les œuvres d’art de la collection, et mis l’ensemble du bâtiment aux normes techniques (électricité, sûreté des œuvres, sécurité incendie…). Les salles consacrées aux expositions temporaires ont elles aussi été restaurées et mises aux normes internationales en vigueur afin de pouvoir accueillir des expositions d’envergure.   Photo : Cyrille Weiner    
Il y a 4 ans et 0 jours

Tous à Équipbaie-Métalexpo 2021, "Le rendez-vous incontournable de toute une filière"

Les installateurs, poseurs, artisans de la menuiserie-fermeture, des équipements de la baie et de la métallerie pourront ainsi découvrir toute l’offre de produits et les innovations du secteur regroupés sous la thématique phare d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 : « L’avenir des métiers et le digital ».De bonnes nouvelles pour se retrouver tous à ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 !Les nouvelles mesures gouvernementales autorisent désormais la reprise des salons à partir du 9 juin. Les conditions de réouverture précisent la mise en place d’un passeport sanitaire et d’une jauge des visiteurs au moins jusqu’au 30 juin.Pour sa part, Reed Expositions France, qui a élaboré, dès 2020, une charte sanitaire - certifiée APAVE - afin d’assurer la sécurité des exposants et des visiteurs, a communiqué un certain nombre de consignes aux exposants concernant les périodes de montage/démontage et les quatre jours du salon, et met en place avec les Pouvoirs Publics les mesures qui s’imposent. Ainsi, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 pourra se tenir dans les meilleures conditions !« Toutes les conditions sont réunies pour faire de cette édition 2021 d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO une véritable réussite. Évidemment les annonces gouvernementales nous ont confortés dans notre choix de nouvelles dates de la tenue du salon. Mais surtout nous sommes très heureux de la mobilisation des exposants et des grands leaders qui nous font confiance. Ils sont aujourd’hui 170 à s’être inscrits pour accueillir les visiteurs dès le 21 septembre à Porte de Versailles pour cet événement tant attendu par toute la profession. » – Guillaume Loizeaud, Directeur d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO.Un objectif prioritaire : répondre aux besoins des installateurs !ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 est placé sous la thématique de « L’avenir des métiers et le digital » afin de répondre aux grands enjeux du secteur et d’apporter toutes les informations et l’accompagnement nécessaires aux acteurs de la filière. Les visiteurs auront l’occasion de vivre une expérience unique et inédite avec notamment :Les installateurs et leurs équipes trouveront sur les stands des démonstrations pratiques ou des sessions de formation. Les exposants FENETREA, FORSTER SYSTEMES DE PROFILES, GYPASS, K-LINE et SAS DESCOMBES PRECIMECA ont déjà prévu d’y participer. *Digitalisation, domotique, e-learning, aide aux devis, configurateur, produits connectés : les menuisiers et les metteurs en œuvre pourront dialoguer avec un expert de la marque présent toute la semaine sur les stands de : CADIOU INDUSTRIE, CHAMBERLAIN GmbH, FENETREA, FORSTER SYSTEMES DE PROFILES, KLAES GmbH & Co. KG, K-LINE, SAS ORIAL. ** Liste à retrouver sur le site du salon au fur et à mesure de sa mise à jour.Le pôle des experts d’ÉQUIPBAIE, par et pour les professionnelsCe pôle, animé par le Pôle Fenêtre (Groupement ACTIBAIE - SNFA - UFME – UMB - Union des métalliers), proposera d’aborder différents sujets au coeur des enjeux de la filière : la réglementation et les normes, les démarches qualité, le développement durable, la formation ainsi que les métiers et la promotion de la filière.« Cette prochaine édition d’ÉQUIPBAIE, en plus d’être le salon de la menuiserie française, est cette année le top départ du retour à une vie normale. Bien évidemment, nous respecterons tous les gestes barrières mais, surtout, nous allons pouvoir nous revoir, échanger, dialoguer sans écran. Notre filière est mobilisée plus que jamais pour qu’ÉQUIPBAIE continue à être notre salon, un espace d’information, de découverte produits. L’UFME ne manquera pas ce rendez-vous. Nous comptons sur les professionnels de la fenêtre pour en faire de même et nous retrouver très nombreux dès le 21 septembre. » - Bruno Cadudal, Président de l’UFME.« Retrouvons-nous tous à ÉQUIPBAIE, le premier salon en Europe depuis 2 ans ! Toutes les belles entreprises de nos métiers vous donnent rendez-vous pour vous présenter leurs innovations et retrouver la convivialité qui caractérise notre profession. Des contacts qui seront à n’en pas douter inoubliables après cette période si particulière. » - Bruno Léger, Président du SNFA« Enfin, après 2 ans et demi d’attente depuis la dernière édition du fait de la situation sanitaire en France et dans le monde, l’édition 2021 d’ÉQUIPBAIE aura bien lieu ! Entrepreneurs de travaux menuisiers, fabricants de fenêtres bois, vos fournisseurs de qualité de menuiseries et de composants, tant pour la fabrication que pour le chantier, seront présents. Ce rendez-vous de la filière nous a manqué cruellement aussi venez nombreux partager ces moments de convivialité et de découverte des produits avec nous. Retrouvez l’Union des Métiers du Bois sur le stand du Pôle Fenêtre FFB, partenaire du salon. » - Christophe Bieber, représentant de l’Union des Métiers du Bois de la FFB.« ActiDAY » : la journée du Groupement Actibaie, un événement dans l’événementLe 21 septembre, le Groupement Actibaie organise son assemblée générale sur le salon ÉQUIPBAIE. Elle sera suivie d’une journée de conférences qui se tiendront sur l’Arena Innovation :11h15 – 12h30 : Plénière « L’humanité à l’épreuve du coronavirus : quelles suites ? », par Pascal Picq12h30 – 14h15 : Cocktail déjeunatoire14h15 – 14h45 : Économie « La conjoncture du bâtiment : état des lieux et perspectives »15h00 – 15h45 : Technique « RE 2020 : défi et opportunités »16h00 – 16h45 : Environnement « La RSE pour les entreprises de bâtiment »17h00 – 17h45 : Technique/Règlementation « Responsabilité Élargie des Producteurs (REP) pour les produits de construction »« Toute l’équipe du Groupement Actibaie se réjouit de retrouver dans les meilleures conditions ses adhérents et les visiteurs du salon ÉQUIPBAIE. Nous préparons une journée spéciale pour vous accueillir comme il se doit. Nous vous y attendons nombreux. » - Yannick Michon, Président du Groupement Actibaie.Les trophées : la vitrine des innovations du secteurPour l’édition 2021, le concours des TROPHÉES d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO déploie des moyens importants, en digital et en physique, pour valoriser les innovations et garantir à toutes les solutions candidates une plus grande visibilité. Ainsi, plusieurs temps forts mettront à l’honneur les participants aux TROPHÉES et leurs innovations tout au long des 4 jours du salon :Les parcours de l’Innovation : ce parcours conduira le visiteur à la découverte des participants directement sur leurs stands, avec un document de visite et une signalétique spécifique pour localiser tous les participants aux TROPHÉES 2021.L’Arena Innovation : des écrans digitaux présenteront toutes les innovations candidates aux TROPHÉES, et les visiteurs seront invités à voter pour leur innovation préférée.Les sessions de pitchs Innovation : les visiteurs pourront assister à des sessions de pitchs présentant les innovations en fonction de leurs sujets d’intérêt, puis rencontrer et échanger avec les intervenantsLa remise des TROPHÉES et des Coups de coeur de la Presse Pro : l’un des temps forts du salon, cette cérémonie officielle aura lieu le mercredi 22 septembre sur l’Arena Innovation.Tous les métalliers ont rendez-vous a MÉTALEXPO !Pour cette édition 2021, MÉTALEXPO mettra l’accent sur la formation et la promotion des métiers de la métallerie notamment auprès des jeunes publics, avec une mise à l’honneur de la compétition WorldSkills et du concours Métal Jeunes Les visiteurs découvriront toute la diversité et la richesse de ces métiers à travers des rencontres, des démonstrations et des conférences qui prouveront tout le dynamisme et la convivialité de cette filière.« Enfin, tous les voyants sont au vert pour nous retrouver sereinement sur le salon MÉTALEXPO. Je sais l’impatience des métalliers de se retrouver. Nous les accueillerons avec grand plaisir ! » - Franck Perraud, Président de l’Union des métalliers.L’Espace Atelier de MÉTALEXPO présentera durant les 4 jours du salon le parcours des différentes étapes de fabrication d’un ouvrage de métallerie. À date, ce parcours accueille déjà ARCELOR, CANAMETAL, FICEP et TRIMBLE.Concours Métal JeunesL’édition 2021 du Concours Métal Jeunes a pour thème les « Monuments détournés ». Organisé au niveau national, le concours s’adresse aux jeunes formés aux métiers du métal dans le Bâtiment (métalliers, métalu-verriers, métalliers ROCSM…) dans les classes de niveau V (CAP) et IV (BP, Bac Pro).Les œuvres réalisées seront évaluées par un jury d’experts en fonction de leur qualité technique, de leur esthétisme et de la qualité de leurs finitions. Les œuvres primées seront exposées sur le stand de l’Union des métalliers. Les visiteurs seront invités à choisir leur œuvre préférée dans le cadre d’un vote du public dont le résultat sera dévoilé le jeudi 23 septembre.WorldSkills FranceL’Union des métalliers a signé le 3 février 2021 une convention de mécénat avec WorldSkills France. Cette convention prévoit la création d’un Club de la Métallerie constitué d’entreprises de métallerie, de fournisseurs et de partenaires. Il a pour objectif de soutenir les métiers de la métallerie et les candidats engagés dans la compétition.Ce Club s’accompagne d’une plateforme de collecte de fonds pour financer la préparation des candidats et leur fournir les meilleures conditions d’entraînement mais aussi pour mener des actions de promotion des métiers de la métallerie, notamment à destination des jeunes.Ce partenariat se prolonge sur le salon MÉTALEXPO. En effet, l’Union des métalliers accueillera pour la 1ère fois sur son stand un espace dédié aux WorldSkills, avec la présence de Francis Perrot-Minot, Médaille d’excellence des WorldSkills de Kazan 2019, et de l'équipe du centre d'excellence en métallerie.Par ailleurs, l’Union des métalliers organisera des conférences sur son stand :Mercredi 22 septembre 2021 : 15h-15h45 : Accessibilité / B.Métal formation.Jeudi 23 septembre 2021 : 10h-10h45 : Traitement de surface : résultats campagne d’essai.15h-15h45 : Les 100 réponses aux 100 questions les plus fréquentes des métalliers.Une campagne dynamique et originale coconstruite avec les acteurs de la filièreÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 lance une campagne de promotion dynamique et sympathique coconstruite avec les syndicats, les leaders et les médias pour donner envie aux menuisiers de venir visiter et participer à l’événement :Une campagne de témoignages – Des messages illustrés, à rédiger ou à choisir, mis en page par Reed Exposition et à poster sur ses réseaux sociaux.Une campagne de notoriété – Des posts prêts à être partager (« Business et convivialité en tout sécurité », « Enfin, nous pouvons nous retrouver », « On vous attend nombreux », « Vous nous avez manqué ! »…).Une campagne d’engagement – Un concours dont l’objectif est de sensibiliser et d’engager les exposants à multiplier des actions de promotion pour recruter des visiteurs.Une campagne de publicité 360° via les partenaires presse (campagne emailing sur les abonnés, campagne digitale - réseaux sociaux et display, campagne de publicité print).Des actions avec les syndicats partenaires (webinars avec les chefs de réseaux et leurs adhérents, présence dans les newsletters, signature de mails…).ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO - 21 au 24 septembre 2021à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1
Il y a 4 ans et 7 jours

Découvrez l’Hôtel de la Marine

Situé sur la place de la Concorde, entre les Champs-Élysées et les Tuileries, l’Hôtel de la Marine est un superbe ensemble architectural créé au XVIIIe siècle par Ange-Jacques Gabriel, premier architecte du roi Louis XV. Il abrita jusqu’en 1789 le Garde-Meuble de la Couronne avant de devenir, pendant plus de deux cents ans, et jusqu’en 2015, le siège de l’état-major de la Marine. Un nouveau chapitre s’ouvre en deux temps pour ce lieu emblématique de la capitale, futur lieu de découverte, de promenade, de gastronomie et d’art accessible à tous grâce notamment à une médiation innovante. Les appartements aménagés au XVIIIe par l’Intendant du Garde-Meuble et les salons d’apparat du XIXe siècle vont être ouverts à la visite en juin. A l’automne 2021, l’ancien magasin des tapisseries du Garde-Meuble accueillera les galeries d’exposition de la Collection Al Thani qui sera présentée pour la première fois durablement au grand public. Il s’agit de l’une des plus prestigieuses collections d’art privées au monde composée d’une exceptionnelle variété d’œuvres de l’Antiquité à nos jours. Le Centre des monuments nationaux assure la maîtrise d’ouvrage pour l’ensemble du projet de l’Hôtel de la Marine. La restauration s’effectue sous la maîtrise d’œuvre globale de Christophe Bottineau, Architecte en Chef des Monuments Historiques. La scénographie, la mise en lumière des façades intérieures et du balcon sur la place de la Concorde, la signalétique et le mobilier contemporain ont été confiés à l’agence Moatti-Rivière. Les aménagements ont été réalisés dans le souci d’accessibilité la plus large possible aux personnes à mobilité réduite, dans le strict respect de la conservation du monument. La première phase de travaux achevée à l’été 2018 a consisté en la restauration des façades et des couvertures de l’Hôtel de la Marine. Elle a permis de retrouver les dispositions d’origine du bâtiment, notamment dans les cours avec la réouverture de la galerie extérieure dans la cour de l’Intendant qui donne accès directement à la rue Royale et à la place de la Concorde. Le sol de cette cour ouverte sur la ville scintille d’un tapis lumineux constitué de faisceaux d’éclairage à LED insérés dans le pavage. Dès leur arrivée dans le monument, un nouveau signal architectural fort s’offrire aux visiteurs : une verrière pyramidale, transparente et lumineuse, tel un cristal, est venue coiffer la cour de l’Intendant. Ce joyau de verre conçu par l’architecte Hugh Dutton, en collaboration avec Christophe Bottineau, Architecte en Chef des Monuments Historiques, grâce au mécénat des FONDATIONS VELUX et sous la maîtrise d’ouvrage du CMN, est constitué de verres feuilletés offrant une grande transparence accentuée par un habile jeu de miroirs disposés sur les façades supérieures et orientant la lumière au fond de la cour. Photo : la verrière conçue par Hugh Dutton © Nicolas Trouillard / Centre des monuments nationaux.
Il y a 4 ans et 29 jours

La Fédération des Ascenseurs dévoile les chiffres 2020 de la profession et le nom de son nouveau Président

L’année 2020 a été marquée par une forte mobilisation des professionnels de la mobilité verticale, afin de garantir l’accès de tous les Français à leur logement, en habitat collectif ou individuel, quel que soit le contexte.2020 : une année historique pour la Fédération, vieille Dame qui a célébré ses 100 ans, dans un contexte de mobilisation quotidienne de l'ensemble de la Profession. Un siècle d'histoire(s), d'innovation et d'engagement, porté par un dynamisme qui s'est confirmé ces dernières années.Après un début d'année positif, les chiffres sur l'année 2020 ont connu une stagnation, poussant le secteur à la vigilance : d'abord sur la baisse de 6% sur les équipement neufs du fait de la baisse sensible d'activité dans le secteur de la construction ; ensuite sur l'activité de modernisation qui ne progresse malheureusement pas alors que celle-ci contribue à l'amélioration de la sécurité des installations et donc des utilisateurs au quotidien.Que révèlent les chiffres de l'année 2020 pour les Professionnels de la mobilité verticale en France ?Philippe Boué élu nouveau Président de la Fédération des AscenseursÂgé de 53 ans, Philippe Boué est diplômé de l'ESTP, est entré chez Schindler en France en 1998, où il a occupé diverses fonctions opérationnelles et financières, avant de prendre successivement les postes de Directeur Financier de la Zone Asie Pacifique, basé à Shanghai de 2007 à 2009, puis de Directeur Général de Schindler Japon, basé à Tokyo, de 2010 à 2015. Il a ensuite été, pendant 3 ans, Directeur Général du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, basé à Dubaï avant d'être nommé Président Directeur Général de Schindler France en 2018.A l'issue de l'Assemblée Générale de la Fédération le 21 avril dernier, Philippe Boué a été élu au poste de Président, où il succède à Guillaume Fournier Favre.« Si l'engagement de notre profession au service de l'accessibilité n'est plus à démontrer, celui que nous éprouvons autour nos préoccupations sociétale et environnementale est en plein devenir. Il se manifeste à la fois dans notre réflexion et nos propositions en co-construction pour faciliter le maintien à domicile de nos aînés, et dans notre réflexion sur l'optimisation de l'aménagement du territoire urbain avec les problématiques de la densification et de l'élévation. », souligne Philippe Boué.« Pour cela, l'expertise des ascensoristes et élévatoristes est pleinement reconnue. Nous continuons de recruter de nombreux techniciens et techniciennes, pour la pratique d'un métier de proximité, d'autonomie et empreint de modernité avec l'évolution permanente de la technologie au cœur des équipements. »
Il y a 4 ans et 34 jours

PORTALP RS : la nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées

Passant presque inaperçues, les portes automatiques piétonnes équipent une grande diversité d’établissements recevant du public (commerces, administrations, centres hospitaliers…). Elles jouent pourtant un rôle essentiel en matière d’accessibilité, de sécurité, et de performance énergétique des bâtiments. Dans le contexte sanitaire actuel, elles contribuent plus que jamais à limiter la propagation des virus. Acteur français reconnu dans ce domaine, Portalp innove avec Portalp RS, une nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées, polyvalentes et personnalisables pour répondre à tous les usages. Esthétique et modulaire Fabriquée sur-mesure en France, la gamme Portalp RS se distingue par le design compact et épuré de son caisson, d’une hauteur de 120 mm, aux lignes douces et contemporaines. Autorisant des largeurs de passage étroites (à partir de 700 mm) ou très larges (jusqu’à 4500 mm), elle offre une grande liberté de personnalisation pour répondre à toutes les contraintes d’espaces et d’installation grâce à : • 4 solutions de caissons répondant à la configuration et au poids des vantaux (standard 120 x 197 mm, renforcé 120 x 236 mm, télescopique 2 vantaux 120 x 296 mm, télescopique 3 vantaux 120 x 357 mm), • plusieurs configurations d’ouverture (coulissante simple ou double, télescopique à 2 ou 3 vantaux, antipanique), • différents types de vitrages (simple, isolant double ou triple, anti-effraction…), jusqu’à 26 mm d’épaisseur, • un large choix de coloris, finitions et accessoires. Installée en applique, entre-murs ou sur poteaux, la nouvelle génération de portes automatiques connectées piétonnes Portalp RS s’adapte à tous les projets, en neuf comme en rénovation. Une solution connectée Dotée d’une nouvelle technologie, la gamme Portalp RS intègre un module radio. Ce dernier permet à l’installateur comme à l’utilisateur (propriétaire d’un petit commerce, gestionnaire de bâtiment, responsable sécurité…) de paramétrer et contrôler ses portes à distance sur leur smartphone, via une connexion Bluetooth faible consommation (Bluetooth Low Energy). À l’interface graphique intuitive et multilingue, s’ajoutent deux applications mobiles sécurisées, téléchargeables sur plateforme Android, iOS et/ou AppGallery : • Autodoor Master dédiée aux poseurs et techniciens de maintenance. Elle les guide méthodiquement dans toutes les étapes de paramétrage de la porte jusqu’à sa mise en route grâce à la détection automatique des périphériques ou encore le diagnostic de défauts éventuels (uniquement sous Android), • Autodoor Pilot pour les utilisateurs et exploitants. Elle permet de créer des clés virtuelles pour paramétrer jusqu’à 32 utilisateurs par porte ; chacun ayant un profil pour piloter la porte (4 fonctions de commande). Outre le mode verrouillage/déverrouillage, ouverture prioritaire, ouverture automatique, l’application propose un sélecteur 6 modes (ouvert, fermé, automatique, entrée, sortie, libre). Intelligente, elle récolte également l’ensemble des données relatives au fonctionnement de la porte (compteur de cycles, état de la porte, historique des défauts…) ce qui permet, si nécessaire, de notifier une défaillance en temps réel au support technique de Portalp pour une intervention rapide. Innovante et fonctionnelle grâce à cette intelligence embarquée, la gamme Portalp RS est conçue pour s’adapter à chaque application et faciliter l’expérience utilisateur. Une installation rapide et une maintenance facilitée La nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées Portalp RS est dotée d’une combinaison inédite de technologies au service d’une grande adaptabilité : • une alimentation à découpage (100-230 V) pour une faible consommation. Universelle, elle permet de couvrir tous les territoires avec une mise en œuvre quelle que soit la tension d’entrée, • une motorisation brushless associée à un chemin de roulement garantissant dans le temps un déplacement fluide et silencieux des vantaux, • 2 BUS CAN dissociés pour faciliter le câblage et l’installation des périphériques (détecteur par exemple), la communication de la porte avec l’application et l’identification des défauts, • une batterie de secours qui prend le relais en cas de coupure de courant. Conforme aux normes en vigueur et notamment la EN16005, la gamme Portalp RS inclut enfin un dispositif d’issue de secours intégré, de sécurité usagers sur passage et à l’ouverture. Elle bénéficie d’une garantie 2 ans, étendue à 5 ans en cas de souscription d’un contrat de maintenance auprès de Portalp. http://www.portalp.com
Il y a 4 ans et 44 jours

3 nouvelles start-up intègrent l’accélérateur« Santé – Prévention dans le BTP »

Trois des quatre start-up ayant présenté leurs solutions lors de cette nouvelle session en visioconférence ont été retenues pour rejoindre les 43 autres start-up déjà intégrées au sein de l’écosystème d’Impulse Partners. Elles bénéficieront du soutien des quatre partenaires fondateurs, CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA.4 entreprises ont présenté leurs projets le lundi 15 mars en visioconférence, devant un jury composé de professionnels du BTP et de la prévention et en présence des partenaires fondateurs, le CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA. Leurs projets ont été évalués sur la base de cinq critères :Le caractère innovant de leur technologie ou service ;L’accessibilité du marché visé ;L’équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ;La fiabilité du business model ;L’adéquation de la start-up avec les thématiques santé et prévention de l’accélérateur.Cette onzième édition a permis à trois start-up ayant présenté leurs innovations de convaincre les membres du jury. Celles-ci ont donc été retenues pour intégrer l’accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP » :Miloé est une plateforme de santé numérique intégrant un passeport de santé ainsi qu'une fiche médicale d'urgence matérialisée par la technologie sans-contact dans divers objets physiques. En cas de situation d’urgence, elle permet de communiquer facilement les informations vitales au personnel soignant pour que son détenteur puisse recevoir les soins les plus adaptés. Miloé travaille actuellement avec des médecins du travail afin de déployer sa solution auprès des professionnels.« Dans le cadre du partenariat que nous avons mis en place il y a 2 ans avec Miloé, les 350 adhérents au Pôle Sport & Santé du Stade Marseillais Université Club (SMUC) disposent d’une carte Miloé. Cela nous permet de renforcer la sécurité de nos adhérents dans leur activité sportive, mais également dans leur vie quotidienne » témoigne Isabelle Petit, Chargée de développement Sport & Santé au SMUC.Q-Bot a développé une solution afin de faciliter les travaux d'isolation des sols et des murs. Elle permet de projeter une mousse isolante dans des zones inaccessibles par l’homme grâce à un petit robot muni d’une caméra et de lasers, pilotable à distance. Q-Bot a déjà isolé une vingtaine de maisons en France auprès de particuliers et de bailleurs sociaux, ainsi qu’un groupe scolaire à Voiron, près de Grenoble.« Nous avons fait appel à Q-Bot en 2020 dans le cadre d’un chantier d’isolation de vides sanitaires pour 6 pavillons situés à Merlevenez (56). La solution de Q-Bot a pu passer sans difficulté dans ces espaces de 30 à 50 cm de hauteur sous le plancher des maisons afin de réaliser la projection de mousse polyuréthane. Nous espérons pouvoir renouveler l’expérience pour l’isolation de 36 pavillons supplémentaires situées sur l’Ile de Groix » témoigne Erwan Bargain, Responsable du Pôle travaux au sein du bailleur social Bretagne Sud Habitat.Built Solutions propose une solution SaaS qui permet de faire remonter toutes les informations réglementaires concernant les conditions d’exploitation des bâtiments(Dossier d’Intervention Ultérieure sur l’Ouvrage - DIUO, Dossier Technique Amiante - DTA,vDossier des Ouvrages Exécutés – DOE, Dossier d'identité SSI, Registre de sécurité...) auxexploitants, en croisant les données avec la maquette numérique des bâtiments. Cette traçabilité de l’information permet de faciliter la maintenance et d’éviter les accidents liés à la dégradation des bâtiments.« A l’heure de la digitalisation massive du secteur du bâtiment, tous les documents réglementaires associés au bâtiment doivent être stockés de manière sécurisée car ils sont essentiels tout au long de son cycle de vie : de sa construction à sa démolition, en passant par toutes les phases d’exploitation ou de maintenance. » confirme Christophe Bouvard, Directeur général de l’activité de développement d’iPorta, plateforme de gestion de patrimoine immobilier et distributeur de Built Solutions.Ces start-up bénéficieront de l’expertise et des retours d’expériences des quatre partenaires fondateurs pour faire monter en puissance la performance des entreprises en matière de santé et prévention. Les partenaires s’engagent également à faciliter les échanges et la visibilité des start-up auprès de leurs entreprises adhérentes, notamment au travers de leurs sites web, leurs réseaux sociaux et leurs médias respectifs, ainsi qu’à l’occasion des événements auxquels ils sont susceptibles de participer.
Il y a 4 ans et 47 jours

Sylvania présente une gamme complète de luminaires extérieurs pour baliser, sécuriser et sublimer tous les espaces

Dans les espaces publics, l’éclairage extérieur est indispensable pour assurer la sécurité des biens, mais aussi des personnes lors de leurs déplacements et activités nocturnes. Il joue également un rôle décoratif quand il illumine les parcs, jardins et façades des bâtiments pour les embellir et les scénariser. Néanmoins, en transformant la nuit en crépuscule permanent, l’utilisation excessive de ces lumières artificielles peut avoir un impact négatif sur la biodiversité et la santé humaine. Dès lors, tenir compte de ces nuisances dès la conception ou la rénovation d’installations s’impose pour les prévenir voire les réduire, tout en réalisant des économies d’énergie non négligeables. Pour baliser, sécuriser ou sublimer tous les espaces extérieurs (hôtellerie, restauration, résidentiel, commercial, tertiaire…), Sylvania présente aujourd’hui une large gamme de luminaires LED au service d’un éclairage esthétique, durable et raisonné.   Luminaires extérieurs Sylvania : respecter pour mieux révéler Depuis plusieurs années, la réglementation en matière d’éclairage extérieur ne cesse d’évoluer. Ce dernier doit désormais répondre aux exigences définies par : • l’arrêté du 20 avril 2007 relatif à l’accessibilité des personnes à mobilité réduite qui précise que les cheminements extérieurs accessibles doivent disposer d’un éclairement moyen horizontal d’au moins 20 lux, • l’arrêté du 27 décembre 2018 lié à la prévention, la réduction et à la limitation des nuisances lumineuses qui fixe un certain nombre d’obligations à respecter en fonction du type d’installations (publique, privée) et des applications (éclairage destiné à favoriser la sécurité des déplacements, éclairage extérieur des bâtiments non résidentiels, mise en lumière des parcs et jardins…). Parmi ces caractéristiques imposées figurent des horaires d’allumage/d’extinction, la densité surfacique de flux afin de limiter les sur-éclairements et des contraintes techniques telles que l’ULR nominal, le code flux CIE… ou encore une température de couleur ≤ 3000 K. Quelles que soient les applications, Sylvania offre une large gamme de luminaires LED performants pour répondre à tous les besoins d’éclairage extérieur, dans le respect des réglementations en vigueur.   Orienter avec Interrata et START Bollard IP65 Pour baliser une allée ou délimiter un endroit à protéger, tel qu’une piste cyclable, Sylvania propose deux nouvelles solutions d’éclairage extérieur. Les nouveaux encastrés de sol LED Interrata sont spécialement conçus pour un éclairage vertical hautes performances (flux lumineux jusqu’à 2075 lm). Proposés en 4 diamètres (de 100 à 260 mm), ils sont disponibles en version fixe et à inclinaison variable, de +/- 30 degrés dans les deux sens, pour offrir un réglage plus précis de l’éclairage selon les applications. Composé d’un anneau rond en acier inoxydable et de vis anti-vandalisme, chaque luminaire bénéficie d’une grande robustesse quelles que soient les conditions météorologiques (température de fonctionnement de -20 à +45°C). Résistants au choc (protection IK10), certains modèles peuvent même supporter une charge statique maximale jusqu’à 2 000 kg et conviennent donc parfaitement pour les zones à trafic piétonnier et routier. Outre leur pot d’encastrement qui rend encore plus rapide leur installation, ils sont fournis avec un pré-câblage de 2 mètres qui assure l’étanchéité. Avec leur forme cylindrique (168 mm de diamètre), leur design élégant et leur finition noire, les bornes START Bollard IP65 apportent une touche contemporaine aux espaces extérieurs tels que les zones commerciales ou résidentielles collectives. Elles sont disponibles en version basse (0,5 m) ou haute (1 m). L’angle de faisceau de 60° dirige leur flux lumineux de 1100 lm vers le bas, permettant de répondre ainsi aux exigences réglementaires. Dotées d’un corps en aluminium hautement résistant au brouillard salin (test 1000 heures) et aux chocs (IK10), elles trouvent leur place aussi bien en ville que dans les régions en bord de mer. A la fois fonctionnels et esthétiques, Interrata et START Bollard IP65 doivent, pour répondre à la réglementation en matière d’accessibilité des personnes à mobilité réduite, être installés avec une distance d’implantation respectivement de 2 mètres pour les encastrés de sol, et de 2,50 à 5 m pour les bornes selon le modèle (bas ou haut).   Sécuriser avec Kalani IP66 et START Surface IP66 Afin d’éviter les accidents ou d’éclairer une large surface, les luminaires extérieurs LED de Sylvania s’enrichissent d’une nouvelle gamme de projecteurs LED industriels et de hublots. Délivrant un flux lumineux de 6.200 jusqu’à 41.800 lm et une haute efficacité lumineuse allant jusqu’à 139 lm/W, les projecteurs extérieurs Kalani IP66 constituent un choix idéal pour les équipements sportifs, les parkings et toutes autres zones nécessitant un éclairage très puissant, ou en remplacement des technologies traditionnelles. Robuste de par sa conception en fonte d’aluminium, cette famille complète de luminaires se décline en 5 tailles différentes (de S à XXL), en blanc neutre (4 000 K) et en blanc chaud (3 000 K). Avec des angles de faisceau symétriques ou asymétriques, ils garantissent une excellente qualité de lumière (IRC>80) et une température de couleur homogène (SDCM
Il y a 4 ans et 69 jours

Ermont : des travaux d’accessibilité pour la gare de Cernay

La SNCF effectuera des travaux d’amélioration de l’accessibilité à la gare de Cernay.
Il y a 4 ans et 72 jours

DELABIE : BLACK BINOPTIC

Avec BLACK BINOPTIC, DELABIE conçoit une robinetterie design pour des sanitaires haut de gamme. Focus sur un produit innovant. DELABIE tisse dans les nouveaux lieux de vie accueillant du public – les musées, les restaurants, les sièges d'entreprises, les aéroports – une nécessaire passerelle entre design, architecture et intérieur. Avec la nouvelle finition chrome noir de sa gamme de robinetteries électroniques BINOPTIC, DELABIE propose à la vente une collection sophistiquée qui conjugue performance et élégance.Déjà choisie et installée dans de nombreux lieux publics à travers le monde, notamment l’Aéroport International d’Abu Dabi, la Tour Incity de Lyon, la Métropole Européenne de Lille, le nouveau centre culturel Tai Kwun (Hong Kong) et la Tour Majunga à La Défense, la gamme de robinetteries électroniques BINOPTIC est à la fois esthétique et fonctionnelle.Pour chaque intérieur, il y a une robinetterie BINOPTIC adaptée. La collection BLACK BINOPTIC s'invite dans les nouveaux lieux de vie dans une version noir mat. Sa conception 100 % chrome noir offre une résistance optimale à l'usage intensif, garantit des économies d'eau et d'énergie, ainsi qu'une hygiène totale grâce à un rinçage quotidien antibactérien, un bec à intérieur lisse et un robinet avec capteur pour une utilisation sans contact manuel. Une gamme de qualité spécifiquement conçue pour les lieux publics.Pour en savoir plus, visitez le site de DELABIE. Visuels : © DELABIELa rédaction
Il y a 4 ans et 82 jours

Artibat vous donne rendez-vous en octobre 2021 à Rennes

À quelques mois de cet événement incontournable de la filière, qui sera d'ailleurs probablement le premier grand rendez-vous sectoriel physique depuis le début de la pandémie, ARTIBAT constitue, pour les exposants, une véritable valeur sûre, tant pour la rencontre conviviale avec les professionnels que pour le business qu'il génère.Du côté des visiteurs (entreprises, artisans, prescripteurs), ARTIBAT s'annonce comme LE rendez-vous très attendu par la profession, surtout après cette année si particulière. Les visiteurs (40 000 attendus) connaissent bien le salon, savent et apprécient ce qu'ils viennent y trouver : le rapport direct avec les exposants, la possibilité de toucher les produits, les tester et découvrir les dernières nouveautés.Comme de coutume, ARTIBAT 2021 éditera son catalogue millésime des nouveautés et proposera une véritable vitrine technologique des produits de la filière. Ce guide des nouveautés, distribué gratuitement aux visiteurs, leur permettra de poursuivre l'expérience « Nouveautés vues sur ARTIBAT » après le salon.ARTIBAT, lieu d'échanges sur les sujets qui font l'actualitéARTIBAT, c'est aussi des temps forts dédiés à des sujets en phase avec l'actualité, tels que la rénovation énergétique et ses enjeux. Rappelons d'ailleurs qu'il sera possible de découvrir, sous la marque CIRQ* hébergée au cœur du salon, les innovations des 15 startups sélectionnées par un jury de professionnels. La Scène de CIRQ donnera également, pendant 3 jours, la parole à des architectes, des fabricants et institutions afin d'éclairer les visiteurs sur les bonnes pratiques en matière de rénovation énergétique et de débattre sur les moyens pour lutter activement contre le réchauffement climatique.L'édition d'ARTIBAT 2021 permettra également de vivre une expérience aussi unique qu'immersive grâce au partenariat engagé avec HB Développement**. Les organisateurs font le pari d'une approche sensorielle pour cette installation temporaire, déployée sur 130 m².Ce projet d'envergure a pour ambition d'inviter à innover, repenser et/ou apporter des aménagements et solutions qui permettraient d'améliorer ou d'adapter le quotidien des personnes âgées ou en situation de handicap.Concrètement, les visiteurs, vêtus de simulateurs de vieillissement, d'équipements 3D et autres dispositifs de simulation pourront tester des installations afin d'appréhender et ressentir les obstacles auxquels les personnes à mobilité réduite ou en situation de handicap doivent faire face dans leur quotidien.ARTIBAT oblige, les visiteurs pourront également tester les nouveaux matériaux et nouvelles solutions améliorant les conditions de vie des usagers.« C'est grâce à la confiance de nos exposants que nous gardons le cap et l'envie de préparer un salon exceptionnel pour la fin de cette année. L'éclaircie se devine sur le second semestre et l'équipe est pleinement mobilisée afin d'accompagner les exposants dans leurs préparatifs, organiser les projets ambitieux qui font l'actualité du bâtiment et évidemment, veiller au respect des mesures sanitaires indispensables au rassemblement de plus de 40 000 professionnels. Nous avons hâte de tous vous retrouver. Rendez-vous en octobre 2021 à Rennes ! »Valérie Sfartz, Directrice du Salon ARTIBAT* Une marque co-déposée par ARTIBAT et Novabuild.** HB Développement : détenteur de marques qui garantissent l'expertise des artisans du bâtiment pour tous types de travaux liés au confort d'usage, le maintien à domicile et l'accessibilité de l'habitat. Tous les projets ainsi que le salon seront évidemment organisés dans le strict respect des consignes sanitaires qui seront en vigueur en octobre 2021.
Il y a 4 ans et 86 jours

Les travaux d'Hercule démarrent au Grand Palais pour rétablir la lumière et l'espace

L'ensemble classé monument historique, formé de trois bâtiments construits pour l'exposition universelle de 1900, rouvrira partiellement au printemps 2024 (pour la nef et les galeries attenantes) et complètement au printemps 2025.Décidé il y a dix ans en raison de profondes dégradations, le chantier a été révisé fin 2020 pour un concept "plus sobre et écologique", à la requête du ministère de la Culture.Abattage de murs et cloisons, sécurité incendie, accessibilité, restauration des toitures engagée depuis 2016 (20.000 m² sur 35.000 m²), climatisation, nouveaux parcours... tout cela doit être fait avec une enveloppe approuvée en 2016: 466 millions d'euros financés par des subventions, un emprunt et du mécénat.Le Grand Palais, c'est 72.000 m², un km de circonférence, 200.000 tonnes de pierre, plus de fer que pour la tour Eiffel, 280 tonnes de verre...Parmi les plus coûteux travaux d'Hercule du plan initial, l'excavation de milliers de mètres carrés sous la nef a été abandonnée. "Il y avait des risques très forts en creusant dans une zone inondable. Le projet précédent cassait beaucoup de choses. En maintenant l'existant, on pouvait garder la même surface", explique Emmanuel Marcovitch, directeur-général délégué de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais, affectataire de l'ensemble des bâtiments.Un "Grand Palais éphémère" est édifié par l'architecte Jean-Michel Wilmotte au Champ de Mars, jusqu'à ce que la nef puisse accueillir en 2024 des épreuves des Jeux olympiques, foires et défilés sous la plus grande verrière d'Europe aux élégantes armatures vert réséda.Pour les expositions au Palais d'Antin qui abrite depuis 1937 le Palais de la Découverte, une autre structure éphémère, "les Etincelles", va ouvrir dans le XVe arrondissement.Retrouver une "architecture de lumière"Symbole d'un compartimentage aussi absurde que rudimentaire, une chaîne de vélo verrouillait encore récemment une porte oubliée, séparant les galeries nationales du Grand Palais des espaces du Palais de la découverte, établissement public dépendant d'Universcience. "On pourrait exposer cette vieille chaîne en souvenir", plaisante l'historien d'art belge Chris Dercon, à la tête de la RMN-Grand Palais depuis 2019.Les deux entités muséales subsisteront mais "une plus grande porosité sera établie entre arts et sciences, et leurs publics respectifs", espère François Quéré, directeur-général délégué adjoint d'Universcience.Un espace libre de 5.000 m² reliera Champs-Elysées et bords de Seine: une entrée unique permettra au visiteur de déambuler gratuitement, profitant d'évènements culturels sans acheter de billet."On va enlever tout ce qui n'est pas intéressant. Ce bâtiment avait été cloisonné avec, dans les années 1960, jusqu'à seize occupants" qui y avaient des bureaux, souligne Chris Dercon.Le projet permettra aussi de retrouver son "architecture de lumière", ajoute-t-il.Désignant au journaliste de l'AFP venu sur place les voûtes du palais d'Antin, Christelle Linck, responsable de la communication d'Universcience, montre les usures du temps: "elles sont sous filet, des éléments de maçonnerie tombent. Les parements sont tachés. L'eau s'infiltre par les verrières".Partout, des espaces d'expositions vont être regagnés. Une Galerie des enfants, ludique, sera aménagée sous la Rotonde d'Antin, à l'emplacement de l'ancien manège à chevaux.Autour de la nef, ce sont 3.700 m² de balcons restaurés qui seront rendus au public. Et une dalle thermique et des filtres sous la verrière vont éviter le froid et le chaud excessifs.Une capacité d'accueil augmentée de 60%, grâce à l'aménagement d'issues de secours, c'est ce que gagnera la nef de 13.500 m²: 9.000 personnes pourront s'y croiser contre 5.600 avant la pandémie. Une nécessité en prévision de l'affluence pour les JO de 2024.A l'extérieur aussi, le Grand Palais a engagé son lifting. Les jardins aux abords seront réaménagés. Alors que des statues avaient disparu, volées, et que d'autres tombaient en morceaux au risque de blesser des passants, l'ensemble, sous un filet depuis 2018, sera restauré. Il sera fait appel à des créateurs contemporains pour restaurer celles manquantes.Chris Dercon: rétablir la lumière et l'espace au Grand PalaisLe projet de rénovation du Grand Palais a pour but de pousser les murs intérieurs et de rétablir lumière et espace, souligne l'historien d'art belge Chris Dercon, à la tête de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais depuis 2019.Q: Un bâtiment de 120 ans va être rénové. Sera-ce une transformation audacieuse ou une rénovation-mise aux normes classique ?R: On ne va rien réinventer. Tout était là mais il faut tout redécouvrir. Le Grand Palais, c'est un îlot, un quartier... Est-ce qu'il fallait jeter toutes les interventions du passé? Pas du tout! A nous de trouver les moments intéressants, décisifs, à garder.Cloisonné, compartimenté, ce grand palais était de plus en plus petit, c'était devenu une black box !On a suivi son voyage pendant tout le XXe siècle. Ca a été aussi un travail d'archéologie. Parfois des objets de 3 ou 4 centimètres nous ont amenés à dire: non, là il faut trouver d'autres solutions !Pendant le premier confinement, j'ai eu le temps de l'explorer, jour et nuit. On a redécouvert des choses magnifiques, des couches de couleurs disparues, d'anciens graffitis, par exemple un du désigner Jean-Charles de Castelbajac.Certains lieux étaient perdus, espaces mal aimés, parfois introuvables, souvent inutilisables.On va donc enlever ce qui n'est pas intéressant. Ce n'est pas une simple mise aux normes, on est en train de retravailler les idées du début qui étaient complètement perdues.Q: Quelle vision portez-vous pour ce lieu que vous définissez comme un îlot culturel ?R: Raynold Arnould, ce visionnaire, ancien directeur des Galeries nationales du Grand Palais nommé dans les années 1960 par André Malraux, disait qu'il fallait créer une maison de la culture pour le XXe siècle, il voulait aussi créer une bibliothèque pédagogique.Ce furent les idées fondatrices aussi pour le Centre Pompidou: un forum, une piazza...Dès les débuts du Grand Palais il a offert un mix: le salon artistique, des évènements, le salon de l'industrie. On a eu ici bien plus que des expos: par exemple Peer Gynt, de la Comédie Française, les Radio City Rockettes, Prince en concert...On appelle cela le Zeitgeist, l'esprit du temps. Dans les musées du monde entier, on demande de faire tout: des évènements, y compris commerciaux, des expos pas seulement d'arts plastiques, mais aussi de l'architecture, de la danse, de la performance...Une autre dimension est de retrouver la lumière verticale et horizontale. C'est une architecture de lumière: pendant la nuit aussi, la lumière de la ville entre dans le Grand Palais et c'est magnifique. C'est aussi un bâtiment de couleurs qu'il faut retrouver.Q: Comment faire communiquer les galeries d'expositions du Grand Palais et le Palais de la découverte, faire dialoguer l'art et la science ?R: Notre situation est presque unique, depuis l'ouverture du Palais de la découverte en 1937 dans l'aile ouest.C'est une opportunité fantastique car aujourd'hui les deux pôles de la démocratie sont les arts et la science. Et beaucoup d'artistes parlent de leur intérêt pour la science. Chez Arnault et chez Pinault, de plus en plus d'expositions tournent d'ailleurs autour de l'art et de la science. Propos recueillis par Jean-Louis de la Vaissiere
Il y a 4 ans et 86 jours

Les enjeux de la rénovation énergétique du parc HLM pour atteindre leur neutralité carbone

En introduction, il a rappelé que le secteur du bâtiment et du logement en France est le deuxième plus important émetteur de gaz à effet de serre (avec 28% des émissions) après celui des transports.Les bailleurs sociaux, chefs de file de la neutralité carboneS'il a évoqué un défi commun à tous les acteurs du secteur du logement en matière de rénovations, Alain Grandjean a mis en avant la position favorable occupée par les organismes d'HLM dans la poursuite de cet objectif, les bailleurs sociaux devant doubler le nombre d'opérations de rénovations quand les bailleurs privés doivent le multiplier par au moins cinq : « Vous, bailleurs sociaux, êtes les meilleurs, capables d'agir à la fois sur la baisse des émissions de gaz à effet de serre et sur le social, avec l'accessibilité à des logements dignes, confortables, financièrement abordables. Vous intéressez les maîtres d'œuvre et les entreprises de construction, davantage motivés par des opérations significatives comme celles que vos offices portent. Vous représentez 330 millions de m² soit 10% de la surface bâtie (logement et bâti tertiaire), soit autant que l'ensemble des bâtiments publics. De plus, l'enjeu économique est mieux identifié et professionnalisé chez vous que chez d'autres acteurs du logement ».Doubler le nombre de rénovationsAlain Grandjean a rappelé que pour la période 2015-2030, l'objectif était d'atteindre 4,5 millions de rénovations, mais qu'au vu des mesures en cours, il estimait malheureusement plus réaliste de tabler sur un chiffre de 2,7 millions. Il a pointé la nécessité, pour pouvoir espérer doubler le nombre de rénovations, de bénéficier de davantage de financements. « Malgré les apparences, le contexte macroéconomique me semble plutôt favorable, car l'État a intérêt, dans une période de crise sanitaire comme celle que nous vivons, à poursuivre la réalisation d'investissements productifs qui auront des répercussions sociales positives dans la durée, avec notamment une baisse des charges des locataires ».Pour une transparence totale de l'usage des fonds du plan de relanceAlain Grandjean a appelé de ses vœux une parfaite transparence quant à l'usage des fonds du plan de relance : « Nous demandons au Gouvernement une grande transparence du décaissement réel du plan de relance. Nous devons exercer sur les pouvoirs publics une pression en ce sens ».Position partagée par Marcel Rogemont, président de la Fédération nationale des Offices Publics de l'Habitat, qui a plaidé pour une décentralisation des mécaniques d'attribution des financements dans le cadre des 450 millions du plan de relance : « Les décisions doivent pouvoir se prendre à l'échelle des collectivités », a-t-il affirmé. « Laissons aux CRHH le soin d'accorder les subventions aux logements les plus énergivores. Enfin, rappelons à nouveau, que l'effort financier de l'État et de l'Europe n'est pas suffisant pour atteindre les objectifs de neutralité carbone en 2050, objectifs fixés par le Gouvernement. »
Il y a 4 ans et 96 jours

La communauté de communes de l’Oise Picarde soutient les travaux de rénovation des entreprises

La communauté de communes de l’Oise Picarde propose une aide à la modernisation, à la diversification, à l’accessibilité et à la sécurisation des entreprises.
Il y a 4 ans et 104 jours

Covid-19 : les bureaux fantômes sont-ils nos futurs logements ?

Le mouvement est en marche depuis quelques années déjà mais "l'essor significatif du télétravail incite à changer d'échelle", a indiqué récemment la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, qui veut accélérer la dynamique de la transformation des immeubles de bureaux en logements pour répondre à la pénurie et limiter l'étalement urbain.Dans un scénario post-Covid où 41% des entreprises passeraient à deux jours de télétravail par semaine, le gain de surface envisagé serait de 27% soit 3,3 millions de m2 de bureaux dans les 10 prochaines années en Ile-de-France, estime l'Institut d'épargne immobilière (IEIF) dans une étude publiée en janvier.Le marché des bureaux, prisé par les investisseurs car moins contraignant à gérer - notamment en terme de turn-over des locataires ou d'impayés -, était déjà excédentaire avant la crise mais les confinements successifs ont encore fait gonfler le stock.A fin décembre, le taux de bureaux vacants en région parisienne était de 6,6%, selon l'IEIF.Où va s'arrêter le balancier ?"La transformation de bureaux en logements, c'est une espèce de serpent de mer", explique à l'AFP Christian de Karangal, directeur général de l'IEIF.Pourtant pour la première fois, il voit un "alignement des planètes en ce moment" qui pourrait conduire à un développement plus significatif.S'il est compliqué de dire aujourd'hui "où le balancier va s'arrêter" quant à l'impact sur l'immobilier de bureaux du télétravail et de la crise du coronavirus, M. de Karangal voit plusieurs facteurs qui poussent à la mutation: l'obsolescence de certains immeubles pour une occupation en bureaux, l'intérêt des investisseurs institutionnels et l'encouragement des pouvoirs publics.Mais la transformation n'est pas si évidente: "Tous les immeubles ne sont pas transformables" et "seulement environ 20% des actifs étudiés montrent un réel potentiel de transformation", commente Sébastien Lorrain, directeur résidentiel du groupe de services et d'investissement immobilier commercial CBRE France.L'un des écueils est l'apport de lumière, la largeur des immeubles de bureaux étant beaucoup plus importante que celle des immeubles de logements, indique à l'AFP Carlos Alvarez, chef de projet au cabinet d'architecture Moatti-Rivière, lauréat avec Immobilière 3F en 2019 du premier prix de la transformation de bureaux en logements."La plupart du temps, ça passe par des démolitions", selon M. Alvarez.Des coûts importantsEn outre, les immeubles des années 70 - les plus nombreux à la vente - doivent parfois subir des travaux de désamiantage qui se chiffrent en millions d'euros.Pour Norbert Fanchon, président du directoire du bailleur social Groupe Gambetta, l'idée de transformer des bureaux en logements est "un fantasme vieux comme les promoteurs".D'après lui, pour créer des logements, la balle est dans le camp des maires qui doivent délivrer des permis de construire et de l'État qui doit permettre de "lever les contraintes techniques et administratives" d'une conversion dont les coûts "sont particulièrement importants".En tout état de cause, prévient l'IEIF, l'"impact déflationniste sur le parc de bureaux franciliens prendra du temps". Les entreprises devront d'abord définir une nouvelle organisation du travail puis ses déclinaisons immobilières et tenir compte des dates de sortie possible des baux en cours, qui peuvent s'étaler jusqu'à 9 ans, voire plus."Il y a un temps d'inertie des marchés" mais "les flux vont s'accélérer", confirme Alexandre Chirier, président de la Foncière immobilière d'Action logement, l'organisation paritaire du logement social et intermédiaire.Créée en 2020, la Foncière prévoit d'investir 1,5 milliard d'euros en 3 ou 4 ans pour acquérir des immeubles à transformer et produire 20.000 logements.Mais selon M. Chirier, il faudra veiller à "construire un équilibre où l'accessibilité, les espaces verts, les espaces de respiration et la qualité de l'usage du logement fassent que les gens s'y sentent bien".
Il y a 4 ans et 105 jours

BPE en libre-service

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Unité de distribution de BPE en petites quantités France Auto Béton – Fibo Intercon. [©FAB] Le défaut de la plupart des centrales à béton est de ne pouvoir délivrer qu’une quantité assez importante de béton. L’artisan ou le particulier qui n’a besoin que de quelques dizaines de litres n’a souvent d’autre choix que de commander un volume plus grand et de jeter le surplus ! Pas très “citoyenne”, comme démarche… C’est pour répondre à ce type de besoins que se sont développés des services comme Firstbéton, par le groupe Pigeon. Ou encore Drive-Béton. L’autre solution s’appelle le libre-service. Derrière cette appellation se cachent plusieurs concepts qui s’articulent tous autour d’une petite centrale à béton autonome, dont l’accessibilité va des horaires d’ouverture du négoce auquel elle est rattachée, par exemple, à une disponibilité 24 h sur 24 et 7 j sur 7. Comment ça marche ? Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 112 jours

La métamorphose du Musée des tissus de Lyon a commencé

Le Musée des Tissus de Lyon va être complètement métamorphosé sous la direction de l’architecte Rudy Ricciotti, dont le projet a été retenu en janvier 2021. Un nouveau bâtiment censée rappeler un tissu flottant au vent permettra de créer un nouvel espace d’exposition de 2000 m², dont 1000 m² d’expositions temporaires.  Le patrimoine existant, axé autour des deux hôtels particuliers Villeroy et Lacroix-Laval sera préservé et embelli. Perle architecturale du XVIIIe siècle, l’hôtel de Lacroix-Laval va être entièrement restauré et mis en valeur : rénovation des façades et toiture, renforcement des planchers, mise aux normes du bâtiment dont l’accessibilité, pour ensuite travailler dans le cadre du projet global sur le parcours scénographique. L’hôtel de Villeroy, bâtiment non protégé au titre des monuments historiques, qui a déjà connu plusieurs modifications au cours des siècles, va également être restauré. Une construction reliera les deux hôtels XVIIIe et servira d’accueil et de distribution de l’ensemble du nouveau musée. Les travaux dits de de clos et couvert ont démarré pour assurer l’étanchéité à l’eau et à l’air de l’hôtel de Lacroix-Laval. Façade et la toiture seront concernées par ces interventions. Les derniers aménagements remontent aux années 1960. L’ensemble de ces actions vise à préparer l’édifice aux futurs aménagements du projet global. La deuxième phase du projet, avec la construction de nouveaux espaces reliant l’hôtel de Villeroy à celui de Lacroix-Laval, devrait débuter en 2023. Visuel : Agence Rudy Ricciotti  
Il y a 4 ans et 113 jours

Le chauffage au granulé de bois a-t-il sa place dans le collectif ?

Grâce à sa densité énergétique, son homogénéité, son coût, son excellent bilan carbone et sa combustion propre et sa flexibilité d'utilisation, ce type de chauffage répond à des besoins spécifiques qui le rendent incontournable dans le mix énergétique français.Avec plus de 1.100 chaufferies au granulé de bois en France, les retours d'expérience sont nombreux et très satisfaisants : écoles, lycées, bureaux, mairies, gymnases, lotissements …Pour identifier au mieux le marché et évaluer les zones de pertinence économique de ces installations, Propellet a mené l'enquête. Cette étude rendue en novembre 2020 « Articulation des usages entre granulé et plaquette » a été financée par l'ADEME, l'interprofession France Bois Forêt (FBF) et coréalisée avec le Comité Interprofessionnel du Bois Energie (CIBE) et le Syndicat National des Producteurs de Granulé de Bois (SNPGB).Le marché du granulé domestique représente aujourd'hui 95%. Un potentiel très significatif pour le marché du collectif et industrielAujourd'hui, le marché du domestique (poêles et chaudières) représente 95%. Et, en 2019, la consommation cumulée de granulé pour le secteur collectif et industriel s'élevait à 70 000 t/an, soit moins de 5% de la consommation de granulé de bois en France !Hors CPCU (Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain), le granulé représente seulement 2% de l'énergie dans les chaufferies collectives et industrielles au bois (alors que le nombre de chaufferies « bois » représente près de 20% de l'ensemble). La très large majorité d'entre elles est fournie par le bois déchiqueté (plaquettes forestières, connexes des industries du bois, broyats de bois en fin de vie…).Le paysage français dans le chauffage collectif et industriel au granulé est marqué par la prédominance des chaudières de petites et moyennes puissances. En effet, Dans le secteur collectif / industriel, le CIBE recense, pour 2018, un parc de 1 156 chaufferies au granulé de bois de plus de 50 kW pour une puissance cumulée de 178 MW. Plus de 90% des chaudières au granulé ont une puissance inférieure à 300 kW.Pertinence du granulé et capacité de la filièreLes récentes annonces du gouvernement concernant l'interdiction d'utiliser du gaz dans les logements collectifs neufs à partir de 2022 (RE2020) vont permettre d'accélérer le développement de ce marché. La filière bois énergie est prête pour aborder ce virage.Le bois énergie est un cercle vertueux, puisque l'utilisation du bois dans la construction permet à la fois de stocker du CO² dans le bâtiment et de générer des coproduits de bois qui sont utilisés pour fabriquer du granulé.En 2019, la France a produit 1.6 million de tonnes de granulés bois. Grâce à de nouveaux projets d'usine, la capacité devrait atteindre les 2 millions de tonnes d'ici 2 à 3 ans. Au-delà du passage obligatoire à la sobriété énergétique qui diminuera les besoins, les perspectives sont rassurantes puisque la ressource issue de la forêt est abondante. L'accroissement naturel de la forêt est de 10% par an en volume et il n'est prélevé pour tous les usages (bois d'œuvre, bois d'industrie, bois d'énergie) que la moitié de cette progression.Logique de décision des prescripteurs en faveur d'une solution boisÉtudier la valeur ajoutée du granulé par rapport à la plaquette facilite la logique de décision.Le choix se fait en fonction d'études de faisabilités et de préconisations de maîtres d'œuvre et d'experts. La volonté d'un maître d'ouvrage de valoriser une ressource locale de bois afin de dynamiser le territoire peut souvent orienter la décision en faveur de la plaquette ; en particulier dans le cas de communes disposant de forêts.Comparaison plaquette / granulé = les facteurs de décisionQuand le choix de l'énergie bois est acté, l'arbitrage se fait entre plaquette et granulé. Les premières questions que vont se poser le maitre d'ouvrage concernent :Des éléments techniquesLes contraintes techniques ou foncières liées à la superficie du site de la chaufferie = la densité énergétique du granulé fait que 3 à 4 fois moins d'espace est nécessaire pour le stockage que pour la plaquette.L'accessibilité du site aux camions de livraison = conditions de déchargement. Le granulé nécessite donc aussi 3 à 4 fois moins de livraisons que la plaquette.Les moyens pour assurer l'exploitation de l'installation = les plaquettes nécessitent plus de compétences et de surveillance (personnel en interne ou contrat d'exploitation).À noter : Le fractionnement de la puissance en plusieurs chaudières est courant pour les installations au granulé. Du fait d'une puissance minimale autorisée plus faible que pour une chaudière unique, cette configuration permet de couvrir une plus grande part des besoins thermiques par le bois (y compris les besoins d'eau chaude sanitaire l'été), éventuellement jusqu'à 100% c'est-à-dire sans recourir à une énergie fossile en appoint.Des éléments financiersL'analyse en coûts différenciés investissement / fonctionnement pour les maîtres d'ouvrage (situation assez rare).L'analyse économique en coût global = décisif pour le choix du maître d'ouvrage. C'est ici que se pose la question de l'intermittence d'usage de la chaleur. La souplesse d'une installation au granulé est un avantage dans le cas de cette intermittence mais, surtout, à puissance égale installée, l'intermittence entraînera une moindre consommation d'énergie qui rendra économique l'utilisation du granulé.Dans le milieu industriel, les projets s'évaluent généralement en temps de retour brut sur investissement plutôt qu'en coût global de l'énergie. Une installation au granulé présentera un meilleur temps de retour brut sur investissement qu'un projet plaquettes, (si faibles variations des prix des 2 combustibles), et pour des besoins énergétiques faibles.Analyse de l'intérêt économique des solutionsL'analyse de l'intérêt économique d'un projet s'effectue généralement par la comparaison des factures énergétiques en coût global pour chacune des solutions.Ce graphique montre que lorsqu'on décompose le coût global :La part d'énergie est inférieur pour le granulé face aux énergies fossilesLa part de l'appareil au granulé (maintenance inclus) est moins importante face à la plaquetteLes grandes tendances d'un point de vue financier après analyseFace au fioul domestique (95 €TTC/MWhPCI), les chaufferies dédiées au bois sont systématiquement compétitives.Face au gaz naturel (55€TTC/MWhPCI), à contrario, les chaufferies dédiées au bois ne sont compétitives que dans de rares cas : établissements scolaires, sanitaires et sociaux ou résidentiels collectifs par exemple. Suivre l'impact de la RE 2020.Lorsque les deux solutions bois sont comparées entre elles, la solution « granulé » devient plus pertinente lorsque l'intermittence augmente ou pour satisfaire de faibles besoins thermiques.Plus le prix de l'énergie fossile utilisée en appoint est élevé, plus importante est la zone de pertinence de la solution granulé : avec le granulé, seuls 10% des besoins sont couverts par l'énergie d'appoint contre 15% pour la solution plaquette. Ce qui représente une réduction de 33% du recours à cette énergie d'appoint.Une réflexion globale à mener sur les réseaux de chaleur bois dans les territoires rurauxLes récentes décision gouvernementales (fioul et gaz) nécessitent d'engager une réflexion d'ensemble et des actions pour développer le bois-énergie dans les territoires ruraux. Des centaines de milliers de familles, de bâtiments publics et commerciaux seront concernés et devront trouver une alternative.Mais les solutions individuelles ne sont pas souhaitables. Il faudra éviter le passage au propane (dérivé du pétrole fossile) ou au chauffage électrique sous toutes ces formes (par effet joule ou de manière plus vertueuse par pompe à chaleur) qui aggraverait le pic d'appel de puissance électrique en hiver.Une réflexion collective est primordiale. Les petits réseaux de chaleur renouvelables dans les territoires ruraux ont toute leur place.