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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Handicap

(343 résultats)
Il y a 4 ans et 114 jours

Immobilier d’entreprise : comment bien choisir son local professionnel ?

Le choix d’une propriété commerciale est une décision importante. Vos locaux peuvent avoir un impact important sur le succès de votre entreprise, il est donc important de faire le bon choix. Voici quelques points importants à prendre en compte pour choisir votre local. Choisir entre l’achat ou la location L’une des premières choses à considérer est de savoir si vous envisagez d’acheter ou de louer un local pour votre entreprise. L’achat d’un local est un excellent investissement car vous bénéficierez de toute augmentation de la valeur de la propriété. Vous pouvez également apporter les modifications que vous souhaitez (sous réserve du permis de construire) sans avoir à demander l’autorisation du propriétaire. La location de locaux professionnels présente également de nombreux avantages, vous n’aurez pas besoin d’un acompte ou d’une dépense initiale aussi importante. Vous pourrez facilement déplacer un bien à la fin de votre contrat si votre entreprise dépasse les locaux. Si vous louez, vous pouvez toujours être responsable des réparations et de l’entretien en fonction des conditions de votre bail, il est donc important de garder cela à l’esprit lors du choix d’une propriété et de l’établissement de votre budget. Fixer un budget Que vous décidiez d’acheter ou de louer, il est essentiel d’être conscient de tous les coûts impliqués. Assurez-vous de prendre en compte les frais de rénovation, les taxes, les frais d’assurance, les frais juridiques etc. Tenez compte de tous les coûts dans votre plan d’affaires, en particulier si votre entreprise est une start-up et qu’elle est amenée à évoluer rapidement. Déterminer les besoins Faites une liste des exigences essentielles et assurez-vous d’avoir une idée claire de ce que vous recherchez. Gardez vos objectifs à long terme à l’esprit et concentrez-vous sur les éléments essentiels à votre entreprise. Soyez conscient de la taille de la propriété que vous recherchez, des installations dont vous avez besoin, si un parking est nécessaire et si vous avez des exigences d’accès spécifiques. Vous devez également garder à l’esprit si vous êtes ouvert à faire des travaux de construction ou à apporter des modifications à une propriété en fonction de vos besoins. Choisir un emplacement L’emplacement du local est l’un des points les plus importants à considérer. Vous pouvez apporter des modifications à un local, mais vous ne pouvez pas modifier son emplacement. Tenez compte de la fréquentation de la zone et du nombre de concurrents à proximité. Vous devez également tenir compte de l’accessibilité, de la facilité d’accès à la propriété et de l’existence de bonnes liaisons de transport. Gardez en tête que toutes les entreprises n’ont pas les mêmes besoins en termes d’emplacement. Par exemple, un bar ou un restaurant doit être situé dans un quartier passant. Si la clientèle est plutôt jeune et étudiante, le local pourra être situé en centre-ville ou à proximité d’une université. Si la clientèle est plutôt jeune salariée, vous pouvez envisager de vous implanter à côté d’n quartier d’affaire par exemple.
Il y a 4 ans et 119 jours

Des opérations sont en cours à la mairie de Chamarande

Les travaux de mise en accessibilité de la mairie de Chamarande continuent. La livraison est prévue fin février.
Il y a 4 ans et 122 jours

Pour 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima se réinventent

En proposant un format AUGMENTÉ grâce au digital, Reed Expositions France, l'Afisb[1] et Uniclima[2] entendent également accompagner les professionnels toute l'année pour les aider à saisir l'ensemble des opportunités du secteur et découvrir les innovations.Plus de convivialité : le Mondial du Bâtiment revient à ParisDepuis 2013, toutes les demandes allaient dans ce sens : faire revenir le Mondial du Bâtiment au cœur de Paris. C'est chose faite pour l'édition 2022 qui réintègre donc le parc d'exposition rénové de la Porte de Versailles. Ce retour est largement plébiscité puisque 93,6% des exposants et 97,9% des visiteurs ont exprimé leur intention de venir à la prochaine édition des salons[3].Programmés du 3 au 6 octobre 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima occuperont 6 pavillons, soit plus de 140 000 m² d'exposition.En un seul et même lieu, tous les professionnels auront accès aux innovations, conseils et démonstrations pour expérimenter et appréhender toutes les évolutions de leur secteur. Mais audelà de ces 4 jours, le Mondial du Bâtiment souhaite également animer la communauté des professionnels et créer du lien tout au long de l'année grâce à une stratégie qui mise sur la complémentarité du digital et de la présence physique.Plus économiques : les salons apportent un meilleur retour sur investissement pour les exposants Sur les six pavillons qu'occuperont les salons Batimat, Idéobain et Interclima, le nouveau format d'exposition limite la taille des stands à 99 m² par société, avec la possibilité d'inclure un étage. Il simplifie également l'implantation des pavillons avec des modules de stand multiples de 9. Les surfaces prévues pour chaque stand s'échelonnent ainsi de 9 à 99 m² soit 9 m², 18 m², 36 m², 54 m² et 99 m².Cette refonte de l'implantation apporte de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.Par ailleurs, les stands de 9, 18 et 36 m² seront proposés avec une gamme d'aménagement clés en main à personnaliser. Cette nouveauté répond à une demande des exposants de simplifier la préparation des salons, et permettra d'améliorer les flux logistiques autour de la porte de Versailles.Plus hybrides : les salons se digitalisent pour devenir des salons augmentésDepuis plusieurs années, le Mondial du Bâtiment et les salons Batimat, Idéobain et Interclima sont engagés dans une démarche qui vise à animer la communauté des professionnels entre deux éditions et pas uniquement sur 4 jours de présence physique. Cette anticipation a notamment permis d'acquérir une forte expertise en matière de référencement sur les moteurs de recherche comme Google que les professionnels du secteur utilisent de plus en plus.Fort de cet acquis, Reed Expositions France, l'Afisb et Uniclima proposeront à partir de mai 2021, des salons « AUGMENTÉS » grâce à un blog unique. Celui-ci complètera l'usage des sites internet dédiés aux salons physiques en regroupant les univers métiers des 3 salons du Mondial du Bâtiment. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations et ils disposeront d'outils adaptés à leurs besoins :Des fiches produits conçues avec les codes du e-commerce ;Un annuaire de fournisseurs, avec les produits/services proposés ;Des show-rooms virtuels ;Des vidéos démos ;Des contenus sur les métiers qu'ils retrouveront sur les salons physiques.Toujours en amont des salons physiques, Batimat, Idéobain et Interclima initient une matinale, « Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment ». Diffusée sur Batiradio en podcasts et en format vidéo, elle décryptera les grandes tendances de la construction pour animer les communautés et favoriser les échanges entre professionnels face aux enjeux du secteur.Enfin, durant les 4 jours de l'édition 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima proposeront une expérience digitale permettant d'assister à distance à une grande partie des contenus des salons physiques.Les rendez-vous du Mondial du BâtimentÀ retrouver une fois par mois, chaque premier vendredi à partir du 2 avril de 9h00 à 12h30. Cette matinée, destinée à toute la communauté des professionnels du bâtiment, décrypte les sujets phares du secteur en présence des plus grands experts. Ces rendez-vous fédérateurs, préparés en partenariat avec l'Afisb, l'ACIM, CCCA-BTP, Construction 21, Hors-Site, Plan Bâtiment Durable, Uniclima.Chaque mois des thématiques récurrentes : Le rendez-vous France Relance ; Le Grand Dossier du Mondial du Bâtiment ; La rénovation énergétique dans les territoires ; Le décryptage RE2020 ; Les métiers ; La Construction 4.0 ; Les Tendances et le Design. Ce programme LIVE s'accompagne de vidéos de pitchs Innovation et d'un programme de replays.Les thématiques 2021 :2 avril : En quoi la RE2020 va-t-elle permettre de construire durable ?7 mai : REP : quels enjeux pour le secteur du bâtiment ?4 juin : Accessibilité : pourquoi le zéro ressaut en salle de bains impacte-t-il tout le bâtiment ?2 juillet : Quelles solutions pour réduire l'empreinte carbone des chantiers ?3 septembre : Énergies renouvelables1er octobre : Rénovation5 novembre : Industrialisation du bâtiment3 décembre : Qualité de l'air.Ce programme est conçu pour répondre aux souhaits des professionnels de disposer d'un rendez-vous périodique et synthétique pour suivre de manière régulière les toutes thématiques fortes de transformation du secteur.Plus engagés : les salons deviennent plus sobresL'arrivée à Porte de Versailles et les nouvelles attentes des visiteurs et des exposants sont aussi l'occasion pour le Mondial du Bâtiment de lancer une démarche d'amélioration sur des sujets RSE fondamentaux. Batimat, Idéobain et Interclima prennent leurs responsabilités et s'engagent sur 4 ambitions prioritaires pour faire de l'édition 2022 une édition exemplaire :Réduire l'empreinte carbone : dès 2022, les organisateurs du Mondial du Bâtiment mesureront l'empreinte carbone des salons et mettront en œuvre une série d'actions concrètes dont l'optimisation des process logistiques et de transport, l'accès au site privilégiant les mobilités écologiques, et l'écoconception des aménagements, des zones communes et des stands packagés.Améliorer la gestion des déchets : avec pour ambition d'atteindre à terme le zéro déchet, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pour objectif de réduire les déchets des salons d'au moins 10% en 2022, d'accroître la circularité des matériaux utilisés, d'améliorer le dispositif de tri et de mieux gérer les déchets grâce à des systèmes d'analyse, de traçabilité et de pilotage.Mettre en place une offre de restauration responsable en luttant contre le gaspillage et en gérant les surplus, en valorisant les bio déchets et en adoptant des conditionnements et une alimentation responsables.Privilégier les achats responsables en favorisant les achats auprès du secteur du travail protégé et adapté (STPA), en intégrant des critères RSE aux politiques d'achats et notamment dans le choix des fournisseurs et en privilégiant des produits et des services écoconçus et respectueux de l'environnement.« Nous sommes convaincus que le bâtiment, la ville et les territoires seront au centre des transformations sociétales des dix prochaines années. Et nous sommes intimement persuadés que notre rôle est d'une part d'anticiper ces changements et d'autre part d'accompagner les professionnels chaque jour pour les aider à saisir toutes les opportunités qui peuvent s'offrir à eux. C'est avec cette ambition que nous avons repensé le Mondial du Bâtiment et ses 3 salons. »Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du BâtimentAvec cette stratégie innovante combinant physique et digital, les salons Batimat, Idéobain et Interclima souhaitent fédérer l'ensemble des professionnels du secteur du bâtiment et accroître le nombre d'exposants de 15% pour l'édition 2022.[1] Afisb, Association Française des Industries de la Salle de Bains, propriétaire du salon IDÉOBAIN.[2] Uniclima, Syndicat des industries Thermiques, Aérauliques et Frigorifiques, propriétaire du salon INTERCLIMA.[3] Sondage réalisé entre le 19 et le 26 janvier 2021. Bases contacts 2017 et 2019. Répondants : 141 exposants et 3507.
Il y a 4 ans et 125 jours

Un ancien tribunal d’instance doté de deux systèmes de plafond Hunter Douglas Architectural

Ce sont les lames HeartFelt® et les panneaux de grille en chêne massif qui ont été choisis pour composer le plafond de ce bâtiment, lui conférant ainsi une allure nouvelle, en accord avec sa nouvelle fonction. Désormais, la « Old Court House » accueille en effet les bureaux de la distillerie familiale de scotch whisky William Grant & Sons.Une transformation spectaculaire, pour une nouvelle vieCe n’est que depuis 2019 que l’ancien tribunal de première instance de Richmond, un bâtiment contruit dans les années 1970, accueille les bureaux de l’entreprise William Grant & Sons. Connu sous le nom d'Old Court House, l’édifice avait en effet été acquis par le promoteur immobilier Exton Estates et le fond de pension British Airways pour son potentiel, avant d’être sujet à une rénovation et un réaménagement spectaculaires, puis d’être vendu en mai 2018 au distillateur familial de whisky écossais.D’une grande valeur architecturale, le tribunal d’instance avait été construit dans un style contemporain et moderniste. En charge du projet de rénovation, les architectes de l’agence ESA architecture ont permis à l’édifice de conserver une grande partie de son individualité et de son caractère. Et ce malgré les importants travaux de rénovation, qui ont depuis permis à la Old Court House de faire partie des bâtiments de la catégorie de A selon la classification britannique (les bâtiments neufs ou ayant subi une rénovation de qualité, présentant des finitions de haute qualité, des systèmes de pointe, une accessibilité exceptionnelle et une présence certaine sur le marché) et de bénéficier de la mention « excellent » de la certification BREEAM (Building Research Establishment Environmental Assessment Method - méthode d’évaluation environnementale des bâtiments).Ainsi l’intérieur du bâtiment, de près de 3 350m2 de surface, est transformé : les architectes lui ont permis d’acquérir un design spectaculaire, plein d'élégance et de sophistication. Et pour trouver les plafonds architecturaux adéquats, le bureau d’architecture s’est tourné vers le fabricant Hunter Douglas Architectural.Deux systèmes Hunter Douglas Architectural, pour des plafonds performants et designCe sont donc deux des nombreux systèmes du fabricant qui ont été installés. Au total, Hunter Douglas Architectural a fourni 150 m2 de panneaux de grille en bois massif de chêne européen de 20 mm x 68 mm, ainsi que 250m2 de panneaux HeartFelt® dans différents tons de gris.Pour Justyna Rzeszotarska, Cheffe de projet chez ESA architecture, ce sont les attraits esthétique et la bonne acoustique de ces systèmes qui ont motivé ce choix. Au sujet du système multi-primé HeartFelt®, elle explique : « Les plafonds HeartFelt® ont ajouté de la chaleur à l'intérieur du bâtiment, tout en améliorant l'acoustique. Nous avons choisi quelques tons de gris, car ils s'harmonisent avec le reste de la palette de matériaux et créent ainsi une toile de fond pour les activités de bureau. » Les panneaux de feutre ont également été utilisés de manière inhabituelle dans certains lieux ouverts informels, dans lesquels les employés peuvent se réunir pour travailler en groupe ou se rendre s'ils ont besoin d'un espace privé. En effet, dans ces pièces, ils ont été installés de manière à créer un design circulaire spécifique. Justyna Rzeszotarska précise : « Ces formes circulaires ajoutentun élément original et permettent de réduire encore plus la réverbération.Panneaux HeartFelt® : différents types de pose, pour différentes ambiancesLes panneaux de grilles en bois massif, quant à eux, ont été installés dans les zones d’échange et le bar pour créer un espace élégant, en complétant le parquet en chêne massif. La Cheffe de projet ajoute : « Nous voulions des plafonds attrayants en bois massif dans les espaces dans lesquels les membres du personnel et leurs invités peuvent se retrouver, se détendre et assister à une présentation. » Les panneaux ont été installés avec un espace de 120 mm, un support acoustique noir et des spots incorporés, pour assurer un environnement confortable aux usagers. Un luminaire sur mesure suspendu en dessous du plafond accroche le regard, sa forme dynamique contrastant avec le rythme calme de la grille.Les panneaux de grille en chêne massif Hunter Douglas Architectural, dans l’espace bar de William Grant & sonsPour Juliette Halliday, Directrice des ventes Royaume-Uni chez Hunter Douglas Architectural, le choix des plafonds complète l'esthétique grandiose du bâtiment : « Il y a des caractéristiques de conception frappantes dans l'ensemble de l'ancien palais de justice ; HeartFelt® et les panneaux de grille en bois massif participent à cet aspect unique et complètent l’esthétique globale du bâtiment. Nous sommes heureux d'avoir joué notre rôle dans cette rénovation spectaculaire ».HeartFelt® et panneaux de grille en bois massif : exigence de durabilité et liberté de conceptionAvec la durabilité comme fil rouge, l’entreprise de produits architecturaux propose des solutions dont la fabrication est basée sur le principe Cradle to Cradle. Ainsi, les panneaux HeartFelt® sont fabriqués à partir de fibres de polyester thermoformées 100% recyclables, ce qui leur vaut le certificat C2C Bronze du Cradle to Cradle Products Innovation Institute. Quant aux panneaux de grille en bois massif, ils sont certifiés C2C Silver et le bois est issu de forêts gérées durablement (certifications FSC et PEFC). Des caractéristiques en accord avec la mention « excellent » de la certification BREEAM dont jouissent les nouveaux locaux de William Grant & sons, à Richmond.Côté design, la gamme de plafonds à grilles en bois massif de Hunter Douglas Architectural permet de concevoir des plafonds uniques. Elle est composée de plus de vingt essences différentes ; côté finitions, outre la laque transparente standard, il existe de nombreux teintures et coloris disponibles. De plus, architectes et concepteurs peuvent choisir leurs propres dimensions de grilles, et ajouter des luminaires, des aérations ou des haut-parleurs dans le plafond. Tous les panneaux sont ainsi fabriqués sur mesure hors site. Ainsi, la quantité de coupe nécessaire au stade de l'installation est minimisée et les coûts d'installation sont réduits. Les panneaux du système de plafond linéaire HeartFelt® permettent également de jouir d’une grande liberté de conception. Ils existent dans des longueurs allant jusqu'à 6 mètres et sont fixés par un système de support spécial qui permet également une utilisation en tant que revêtement mural. Ils sont disponibles dans une large gamme de tailles de panneaux, de largeurs de joints et de hauteurs de montage et dans dix teintes.Ces systèmes disposent également de divers avantages en matière de sécurité. Ainsi le bois massif, imprégné, permet d'atteindre une tenue au feu de classe B-s2, d0 conformément à la norme EN13501-1 ; dans certains cas, des classes plus élevées sont également disponibles sur demande. Le système de plafond linéaire modulaire en feutre, lui, est conforme aux réglementations relatives à l'utilisation dans des bâtiments non polluants et il répond à la norme européenne EN 15251 pour les intérieurs et à la certification incendie EN 13501 Classe B, S1, d0.
Il y a 4 ans et 125 jours

Wavin enrichit son offre avec le nouveau module de gestion des eaux pluviales AquaCell

La gestion des eaux pluviales constitue l’un des enjeux d’une transition écologique réussie. WAVIN est historiquement connu et reconnu comme précurseur en matière de solutions plastiques en assainissement et de solutions alvéolaires ultra-légères en eaux pluviales (SAUL). En témoignent par exemple des innovations telles que la création de la première SAUL inspectable et hydrocurable sous avis technique en 2006 en France (Q-Bic), ou encore la nouvelle génération de modules d’infiltration haute performance en 2015 (Q-Bic Plus). Il est historiquement engagé dans l’ITSEP, syndicat œuvrant dans une démarche de qualité pour garantir la fiabilité et la pertinence des ouvrages réalisés en SAUL.L’expert franchit un nouveau cap et enrichit son offre Eaux Pluviales avec le module nouvelle génération AquaCell qui vient compléter le Q-Bic Plus. Plus qu’un lancement produit, ce développement confirme la volonté de WAVIN d’apporter une solution personnalisée à chaque projet et son engagement à répondre aux enjeux climatiques auxquels doivent faire face les collectivités locales, architectes, urbanistes, paysagistes, lotisseurs et promoteurs, étancheurs, terrassiers...Faciles à manipuler, installer et entretenir, AquaCell et Q-Bic Plus sont des dispositifs de bassins enterrés qui ont l’avantage de permettre l’utilisation de l’espace foncier pour toutes les applications : parkings, espaces verts, terrains de jeux, etc. Ils se distinguent par leur polyvalence et leur modularité, et s’adaptent quels que soient :les besoins (stocker, infiltrer et réutiliser)la nature du soll’espace foncier disponiblela charge du traficles exigences d’entretien et de maintenanceles règlementations localesLa promesse d'un ouvrage pérenne« Associées à l'imperméabilisation croissante des sols due à l’urbanisation, les fortes précipitations augmentent le risque d’inondations en ville. Les espaces sont de plus en plus limités pour le drainage, les nappes phréatiques s’appauvrissent, les eaux de ruissellement sont de plus en plus polluées. Les villes ont besoin d’eau pour devenir plus vertes et rafraîchir les quartiers. Souvent, l’eau de pluie passe par une solution de stockage temporaire, comme les bassins. En milieu urbain où la pression foncière est forte, la possibilité de pouvoir utiliser le sous-sol mais surtout sa surface (parkings, espaces verts...), avec une solution de bassin enterré, est intéressante. Par la suite, soit on restitue l’eau au milieu naturel par infiltration dans les sols (au plus près de son lieu de collecte) soit au réseau avec un débit régulé. La gestion des eaux pluviales constitue donc un enjeu essentiel. C’est pour cela que WAVIN propose des solutions performantes et durables en matière de collecte, d’infiltration et de rétention des eaux pluviales. ». Coralie Dagieu, Chef produits eaux pluviales WAVIN.AquaCell : Des modules emboîtables pour une solution optimisée écoresponsable WAVIN enrichit son offre avec AquaCell et propose ainsi une solution SAUL démocratisée, permettant de répondre à un plus large panel de projets. Cette solution est inspectable et hydrocurable principalement au niveau de la couche de sédimentation, afin d’assurer une performance durable de l’ouvrage.AquaCell se compose de polypropylène (PP) 100 % recyclé et entièrement recyclable. Sa conception de modules emboîtables (L. 1.200 mm x l. 600 mm x H. 400 mm - volume net 276 litres) constitue un atout gain de place fort : elle permet de transporter dans un camion jusqu’à quatre fois plus de produit qu’une structure de type classique, soit plus de 320 m³, favorisant la réduction des émissions CO2. Un avantage également pour économiser l’espace de stockage sur le chantier.AquaCell s’adapte aux contraintes techniques d’un projet : un seul module qui répond aux différents domaines d’emploi (sous espaces verts, sous voirie légère et sous voirie lourde). Son utilisation sous forme de bassin enterré permet d’utiliser l’espace foncier pour d’autres usages (parc, terrain, parking...). Sa hauteur type demi-module et sa conception modulable constituent d’autres atouts.Synonyme de gain de temps, chaque détail est pensé pour optimiser, sécuriser et faciliter l’installation :rapide grâce aux connecteurs intégrés à emboîtement de type « push fit » et aux accessoires qui se fixent par simple clic. Fini les clips de connexion, les tubulures et les nombreux outils à manipuler ! Les références sont limitées et donc la gamme simplifiéeintuitive grâce à la légèreté des modules (11kg), manuportables par une seule personne et sans engin. Les poignées intégrées et bords arrondis favorisent la prise en main en toute sécurité. Les clips intégrés simplifient la fixation du géotextilesécurisée et durable : les systèmes verrouillés d’emboîtement « push fit » des modules sont plus stables et sécurisés pour la mise en œuvre et la durée de vie. Les modules pleins permettent de marcher dessusQ-Bic Plus : un accès total pour l'entretienCette solution optimale permet de créer des ouvrages pérennes, 100% inspectable, nettoyables et visitables. Q-Bic Plus se distingue par son installation deux fois plus rapide et sécurisée qu’une structure classique. Modularité optimisée, et accessibilité optimum, sa conception polyvalente et inédite sur le marché est adaptée à tous les projets. Les grands volumes de stockage, pouvant atteindre des milliers de m³, sont accessibles pour inspection et hydrocurage sur toutes les hauteurs et dans toutes les directions.Q-Bic Plus garantit un volume net d’eaux pluviales sur le long terme :77 % de surface ouverte avec un accès latéral et vertical pour déployer facilement les équipements d’inspection et de nettoyagela largeur de l’accès, jusqu’à 370 mm, autorise une inspection bidirectionnelle par caméra et un nettoyage par hydrocureusel’inspection et le nettoyage sont effectués sans obstacle, grâce au fond lisse avec cunette intégréeLes conditions de mise en œuvre sont optimisées. Pesant 14 kg pour 416 litres de stockage net, Q-Bic Plus se dote de connecteurs et poignées intégrés. Aucun outil complémentaire n’est requis ! Pratique, l’ensemble des accessoires - plaques latérales, de connexion, connecteurs de tube... - s’emboîtent par simple clic.Sa flexibilité favorise la réalisation de bassins sur-mesure. Le système se décline en cinq dimensions de raccordements, jusqu’au diamètre 500 mm. Les puits d’inspection intégrés et les raccordements directs sur tous les côtés grâce aux accessoires de connexion, offrent une adaptation totale aux contraintes de l’environnement, tels que les réseaux avoisinants existants en ville, les connexions possibles limitées...Le [+] : Une galerie technique pour une solution visitableWAVIN propose en option une galerie 100 % compatible avec Q-Bic Plus, constituée d'éléments modulaires et accessible physiquement grâce à des puits d'accès avec échelle. Conçu sur-mesure, ce dispositif est économique : sa mise en œuvre est rapide et nécessite moins de tampons de voirie, et l'exploitation du bassin de rétention facilitée.L'accompagnement personnalisé à chaque étape : La force WAVINAu-delà de l’offre produits, WAVIN propose un dispositif complet d’accompagnement à chaque étape du projet de gestion des eaux pluviales. Son Technopôle, implanté à Varennes-sur-Allier (03) et certifié organisme de formation, bénéficie de plus de 50 ans de savoir-faire et d’expérience. Son équipe est constituée d’ingénieurs et d’experts issus du terrain qui accompagnent le client à chaque étape clé de son projet :la conception : entretien, pré-études et validation de la faisabilité, optimisation, notes de calcul et aide à la rédaction des documents d’appels d’offres..., WAVIN guide pas à pas l’entreprise. Il propose un espace de 600 m2 pour dispenser des formations théoriques et pratiques. Elles peuvent également s’effectuer sur un autre lieu sollicité par le clientl’exécution : édition de la nomenclature complète, suivi des commandes et coordination des livraisons, suivi de l’exécution, vérification, établissement du dossier technique... Au démarrage et tout au long du chantier, des experts sont présents pour s’assurer du bon fonctionnement des produits mis en œuvrel’exploitation : De l’assistance à la réception de l’ouvrage à la délivrance du carnet d’entretien, en passant par la garantie, le service clients s’engage pour répondre à toute question ou difficulté technique
Il y a 4 ans et 126 jours

La Citadelle Miollis hébergera des animations durant sa transformation

Située en plein cœur d’Ajaccio, la Citadelle Miollis, dont la première pierre a été posée en 1492 et qui n’a cessé de se transformer jusqu’à nos jours, fait aujourd’hui l’objet d’un projet inédit d’aménagement et d’ouverture. Une démarche novatrice a été mise en place, consistant à « activer » le lieu dès 2021 : l’ouvrir avant et pendant sa transformation pour raconter le projet aux Ajacciens, tester des usages et lancer une dynamique artistique et créative autour du projet. Cette méthodologie, qui existe déjà sur la réhabilitation de friches à Paris, Rennes ou Marseille, est totalement adaptée au site de la Citadelle et au projet. Elle permet de restituer la Citadelle aux Ajacciens, de l’ouvrir au public et de l’animer tout au long de la durée du chantier et de sa transformation. Dès le premier été de son ouverture, la Citadelle sera animée régulièrement, de juin à septembre 2021. Dans ce cadre, la Citadelle accueillera des événements, de nature variée : concerts, performances, installations… Les différents événements et les acteurs partie prenante (artistes lauréats des appels à création, porteurs de projets événementiels, partenaires…) auront vocation à cohabiter les uns avec les autres et à fonctionner en synergie pendant toute la durée de l’été. Une maison du projet, baptisée « Maison de la Citadelle » et que la Ville d’Ajaccio souhaite permanente, sera par ailleurs implantée dans le site. Cette activation culturelle se poursuivra pendant toute la durée du chantier : chantiers de découvertes de la Citadelle au travers des fouilles archéologiques, de dépollution et d’accessibilité. Pour mener à bien ce projet, la Ville d’Ajaccio s’appuie sur son partenaire la SPL Ametarra, qui a en charge l’aménagement de ce site patrimonial. Elles sont également accompagnées par Manifesto dans la conception et la mise en œuvre de la stratégie culturelle et artistique de la transformation de la Citadelle et le cabinet d’architectes Mutatis qui accompagne le projet au niveau de la méthodologie et de sa mise en oeuvre. Elles proposent trois appels à création en janvier 2021 pour un lancement des premières actions dès le printemps 2021. www.ametarra.fr  
Il y a 4 ans et 127 jours

Le Centre Pompidou va fermer pour un grand lifting de plus de trois ans

"Il y avait deux options sur la table, l'une consistant à restaurer le Centre tout en le maintenant ouvert, l'autre étant la fermeture complète. J'ai choisi la seconde car elle s'avérait moins longue dans le temps et un peu moins chère", a confié la ministre de la Culture Roselyne Bachelot qui en a fait l'annonce au Figaro.Dans le musée national d'art moderne, inauguré en 1977 en plein cœur de la ville, jamais de tels travaux n'avaient été entrepris. Leur coût est évalué autour de 200 millions d'euros, indique-t-on au Centre Pompidou.Ils démarreront fin 2023, s'achèveront fin 2026 et le centre rouvrira début 2027 pour son 50e anniversaire."Ce n'est pas évident d'annoncer une fermeture dans une période où on est fermé", a reconnu à l'AFP le président du Centre Serge Lasvignes, assurant que "le principe était qu'il n'y aurait pas de licenciement" pour les quelque 1.000 employés.A l'issue de réflexions engagées depuis 2011, le ministère de la Culture a approuvé vendredi dernier le schéma directeur des travaux du bâtiment, géant de tubes et d'aciers unique en son genre.Ils se feront en trois ans plutôt qu'en sept, ce qui aurait été le cas en cas de fermeture partielle: désamiantage, rénovation afin de répondre aux normes de sécurité, aux normes techniques, anti-incendie etc, aux économies d'énergie, ainsi qu'à l'accessibilité pour les handicapés."L'option fermeture totale nous permet de dépenser sûrement un peu moins que l'option fermeture partielle et elle inclut le désamiantage total", a souligné M. Lasvignes."Pompidou touch""J'ai pensé, a-t-il expliqué, ce que pourrait représenter un centre perpétuellement en travaux pour le personnel et les visiteurs, et aussi pour son image dans un contexte où s'ouvrent des bâtiments tout neufs comme la Bourse de commerce" toute proche."C'est un enjeu crucial", a-t-il fait valoir, soulignant qu'"il est très dangereux, dans une période très compétitive aux niveaux parisien et mondial, de donner le sentiment que le centre vieillit, qu'il date d'une autre époque".Déjà la chenille qui abrite les escaliers roulant le long de l'édifice est en rénovation. Un chantier qui devrait s'achever à l'été.Serge Lasvignes, qui arrive au terme de son mandat à la mi-2021, a espéré qu'"un centre tout neuf, de nouvelles propositions, entraîneront une hausse de la fréquentation" alors que la fermeture aura réduit certains coûts.Il va "falloir trouver le financement", admet-il: "on n'a pas les moyens sur nos ressources propres, donc cela signifie qu'il faudra que ce soient des crédits de l'État et il faudra trouver des formes de mécénat, faire appel à des ressources spéciales. L'image d'un nouveau Centre Pompidou peut intéresser les grandes entreprises".La Bibliothèque (BPI), première salle de lecture publique à Paris, disposera d'un local provisoire, entre 7.000 et 10.000 m² dans Paris intramuros."L'exigence" que "le gouvernement nous demande" d'une mobilisation des collections sur tout le territoire fera qu"on ne va pas chômer", a assuré le président de Beaubourg.Le soutien au Centre Pompidou-Metz sera renforcé. Le pôle francilien de conservation et de création à Massy ouvrira à partir de décembre 2025, avec un espace d'exposition et de multiples activités sur 2.500 m².Le président du Centre va aussi proposer partout des expositions clé en main et renforcer sa présence à l'international, outre les centres déjà existants à Shanghai, Malaga et Bruxelles. "J'espère qu'il y en aura un ou deux de plus", a-t-il noté sans en dire plus.M. Lasvignes estime que la bonne stratégie est d'affirmer encore plus la "Pompidou touch": pluridisciplinarité et engagement dans les grands débats de société (égalité, lutte contre les discriminations, réchauffement climatique...)
Il y a 4 ans et 128 jours

DELABIE : TEMPOMATIC bicommande

Le TEMPOMATIC WC bicommande est un robinet électronique de chasse directe WC doté d’un boîtier d’encastrement innovant, breveté par DELABIE. Résultat d’une recherche esthétique poussée et d’une grande technicité, il est design et fonctionnel, et s’adapte à différents lieux publics. Le nouveau robinet de chasse directe TEMPOMATIC WC bicommande allie design, hygiène et technicité. Sa plaque en Inox satiné à la fois robuste et très design s’imprègne parfaitement dans tout type d’ERP. Son boitier d’encastrement 100% étanche s’installe sur des supports multiples : rails à Placoplatre®, mur plein, panneau ou bâti-support.La chasse du TEMPOMATIC WC bicommande se déclenche à l’aide du bouton poussoir, ou à défaut, automatiquement au départ de l’usager. Ainsi, cette fonctionnalité assure une hygiène permanente de la cuvette, même en cas d’oubli ou de négligence de la part de l’utilisateur. Un rinçage périodique empêche la prolifération bactérienne et assure un rinçage des canalisations toutes les 24 h en cas de non utilisation des WC. Le TEMPOMATIC WC bicommande de DELABIE dispose d’une fonctionnalité de rinçage « intelligent » en mode automatique : le système est capable de distinguer la nécessité d’un petit volume ou d’un gros volume de chasse (3l/6l ajustable à 2l/4l). DELABIE a également développé un boîtier équipé de crantage devant la collerette, garantissant l’étanchéité de l’installation. Contrairement aux produits standards du marché, tous les éléments sont accessibles par l’avant. En cas de maintenance, il suffit de retirer la plaque pour accéder facilement aux différents composants. Côté design, la plaque du TEMPOMATIC WC bicommande est proposée en finition Inox satiné avec un bouton poussoir en métal chromé. Grâce à ses lignes épurées, elle se fond dans tous les espaces sanitaires des établissements recevant du public tout en étant très résistante en cas de vandalisme.Un produit innovant qui sied à tous les lieux !À propos de DELABIECréée en 1928, DELABIE est une entreprise familiale française. Leader européen en matière de robinetterie et d’équipements sanitaires pour les établissements recevant du public, DELABIE a conquis ce marché avec cinq gammes de produits : robinetteries pour Lieux Publics, robinetteries pour établissements de santé, équipements d’accessibilité et accessoires d’hygiène, appareils sanitaires Inox et robinetteries spécifiques.La société a franchi les frontières de l’Hexagone avec ses 9 filiales en Allemagne, Autriche, Espagne,Pologne, Chine, ainsi qu’au Portugal, Benelux, Royaume-Uni et aux Emirats Arabes Unis (Dubaï).Le choix de la rédactionAussi fonctionnel qu’esthétique, le TEMPOMATIC WC bicommande a attiré l’attention de la rédaction de Muuuz, qui lui décerne le Muuuz International Award 2020 dans la catégorie « Équipement intérieur / Sanitaire ».Pour en savoir plus, visitez le site de DELABIE.Visuels : © DELABIELa rédaction
Il y a 4 ans et 128 jours

Le Centre Pompidou fermé 3 ans pour rénovation

Suite à la commission ministérielle des projets immobiliers (CMPI) qui s’est tenue le 22 janvier 2021, le ministère de la Culture a approuvé la mise en œuvre du schéma directeur des travaux du Centre Pompidou. La rénovation totale du bâtiment conçu par Renzo Piano et Richard Rogers, débutera en site fermé à la fin de l’année 2023 pour s’achever fin 2026. Cette fermeture permettra de procéder au désamiantage total du bâtiment et de le rénover entièrement afin de répondre aux normes de sécurité, aux normes techniques et énergétiques en vigueur ainsi qu’aux obligations d’accessibilité pour les publics en situation de handicap. Le shéma directeur vise trois grands objectifs : – La fiabilisation des installations avec le désamiantage total de la façade et changement de l’ensemble des baies vitrées ; le traitement des corrosions de la structure principale et des ouvrages de serrurerie métallique ; la réfection des peintures et des sols ; le remplacement ou rénovation des ascenseurs, monte-charges et escaliers mécaniques du forum, remplacement des installations de courants forts en fin de vie ou détériorées et des installations de plomberie sanitaire. Reprise de l’architecture informatique et serveurs, modernisation des systèmes courants faibles, et des installations sûreté. – La rénovation et l’optimisation énergétique avec l’adaptation du niveau de traitement d’air par zone en fonction de leur usage, remplacement des boîtes de mélange (système de climatisation), et remplacement des centrales de traitement d’air en infrastructure ; la rénovation des tours aéroréfrigérantes (traitement du risque légionellose) et le remplacement des systèmes de courants faibles et la migration vers le tout IP… – La mise en sécurité incendie et la mise en accessibilité avec le traitement de la stabilité au feu, remplacement des clapets coupe-feu et mise en conformité du désenfumage et le remplacement des peintures intumescentes, réalisation des travaux d’accessibilité. L’OPPIC, opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la culture, en assurera la maîtrise d’ouvrage.     Photo : RG72 – Wikimedia commons  
Il y a 4 ans et 139 jours

Nord Drivesystems : Une stratégie numérique moderne

Le nouveau site de Nord Drivesystems, contemporain, intuitif et conviviale. [©Nord Drivesystems] Pour l’année 2021, le groupe Nord Drivesystems s’envole vers la digitalisation. Et offre à son site Internet une remise en beauté. Le fabricant d’entraînements mécaniques et électroniques mise sur une page contemporaine, intuitive et conviviale. Facilitant aussi l’accessibilité et l’utilisation à ses clients. Une boutique en ligne a été intégrée, l’utilisateur peut désormais profiter des offres et services de la marque. Une plate-forme numérique et moderne En plus de l’amélioration de son site Internet, Nord Drivesystems a unifié son image de marque. En effet, le portail client myNORD, la boutique en ligne, ainsi que son site web ont été fusionnés en une même unité visuelle et fonctionnelle. Ce relooking fait partie intégrante du programme “Nord Connect 360”, visant à rendre plus efficace pour les clients le processus de commande et celui de numérisation. Hormis de permettre un transfert d’informations fluide, ce concept propose une connexion numérique entre acteurs internes et externes. Par ailleurs, les réseaux et la connexion à l’environnement de l’Industrie 4.0 sont d’importants sujets pour le secteur. Ainsi, avec ses solutions d’entraînement, le groupe Nord Drivesystems propose les éléments nécessaires à la création d’usines intelligentes. Une très large gamme Principal fournisseur mondial de solutions complètes d’entraînement depuis plus de 50 ans, Nord Drivesystems s’efforce de proposer des produits innovants, répondant aux attentes de ses clients. Ainsi, sa gamme s’étend des entraînements standards aux solutions personnalisées. Présent dans 98 pays à travers le monde, l’industriel fabrique aussi des moteurs électriques d’une puissance de 120 W à 1 000 kW. De plus, les variateurs de la marque comportent aussi bien des modèles classiques à installation en armoire électrique. Que des exemplaires pour systèmes d’entraînement intégrés au moteur pour des solutions avec automatisation décentralisée.
Il y a 4 ans et 161 jours

Rénovation des parties communes d’un immeuble : quel processus ?

La rénovation des parties communes de votre immeuble peut s’avérer nécessaire pour entretenir l’état du logement, mais aussi pour améliorer le confort de vie des résidents. Tous les copropriétaires seront tenus de participer aux frais. Découvrez l’essentiel à savoir sur le déroulement de ce processus. Rénovation de parties communes d’un immeuble : les travaux et les professionnels Les résidents d’un immeuble vivent en copropriété dans un logement qui comprend des parties communes et privatives. Ces dernières sont à la charge de chacun des copropriétaires, tandis que les premières constituent une charge commune. La rénovation des parties communes d’un immeuble Plusieurs zones peuvent être identifiées dans les parties communes d’un immeuble. Il s’agit des zones de passage à l’instar des couloirs, des escaliers ou du hall d’entrée. Le gros œuvre des bâtiments comme les fondations, les murs porteurs, les terrasses ou la toiture sont également compris. Dans les zones extérieures communes, on compte également les voies d’accès, les cours, les jardins ainsi que les parcs. En matière d’équipements, il s’agit des canalisations, des pompes de relevage et des portes automatiques. Les ascenseurs, l’antenne collective, les locaux des services communs, les coffres, têtes et gaines de cheminées font également partie de la liste. Sur qui compter pour la rénovation des parties communes d’un immeuble ? Nous recommandons le recours à une entreprise de ravalement certifiée Qualibat et Qualibat RGE pour la réalisation des travaux de rénovation que vous prévoyez de réaliser dans les parties communes de votre immeuble. Les professionnels œuvrant dans ce domaine seront en mesure d’effectuer les travaux de peinture des cages d’escaliers, d’ITE, de ravalement de façade (pierre, brique, béton, plâtre), de maçonnerie, de couverture, d’étanchéité, et autres travaux tous corps d’état. Vous vous assurez ainsi qu’ils seront faits en bonne et due forme. En général, les travaux de rénovation devant le plus couramment être réalisés touchent l’isolation et la façade extérieure. Les travaux envisageables et les décisionnaires Plusieurs travaux peuvent être réalisés pour améliorer l’état d’un immeuble. Ces opérations de rénovation des parties communes sont possibles après l’accord des copropriétaires suite à une Assemblée Générale. Les travaux envisageables dans les parties communes d’un immeuble Les travaux qui peuvent être réalisés dans le cadre de la rénovation des parties communes d’un immeuble concernent les couloirs (repeinte des murs et des plafonds) et les escaliers (amélioration de l’esthétisme). Vous pouvez également faire réaliser les travaux de gros œuvres qui comprennent la toiture, les fondations, les façades… Il est également possible de revoir les jardins, de remplacer les canalisations, de changer les ascenseurs ou la chaudière collective, de faire des travaux de rénovation thermique ou d’accessibilité pour les PMR. Comment se décide la réalisation des travaux de rénovation ? Afin de rénover les parties communes de votre immeuble, le syndic est tenu de convoquer les copropriétaires à une Assemblée Générale. Le programme des travaux, le budget et le choix des prestataires y seront débattus. Les copropriétaires ainsi que le conseil syndical mandatent en effet le syndic de copropriété pour la réalisation des décisions préalablement prises durant les réunions. Il est très rare qu’il puisse prendre une décision avant une Assemblée Générale, d’autant plus si la stabilité de la construction est mise en jeu.
Il y a 4 ans et 161 jours

4 nouvelles start-up intègrent l'accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP »

4 entreprises ont présenté leurs projets le jeudi 3 décembre en visioconférence, devant un jury composé de professionnels du BTP et de la prévention et en présence des partenaires fondateurs, le CCCA-BTP, l'OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA. Leurs projets ont été évalués sur la base de cinq critères :Le caractère innovant de leur technologie ou service ;L'accessibilité du marché visé ;L'équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ;La fiabilité du business model ;L'adéquation de la start-up avec les thématiques santé et prévention de l'accélérateur. Cette dixième édition a permis aux quatre start-up ayant présenté leurs innovations de convaincre les membres du jury. Elles ont donc toutes été retenues pour intégrer l'accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP » :Parsys Telemedicine, spécialiste de la télémédecine, conçoit des solutions logicielles et matérielles de téléconsultation et téléexpertise. Spécialisée à l'origine dans la production de certains équipements médicaux, la start-up a depuis élargi son panel de produits pour proposer des solutions clés-en-main de télémédecine sur site, semi-fixes ou mobiles, et ainsi qu'un service d'assistance via une plateforme web médicale.Intsite a développé un système de vision artificielle destiné à avertir les grutiers des risques dans leur environnement professionnel. La start-up met en avant les avantages de cette solution en matière de sécurité mais également de productivité.WearHealth est spécialisée dans l'intelligence artificielle appliquée à l'interprétation des mouvements des opérateurs sur leur lieu de travail. La start-up propose des EPI ou vêtements connectés et se charge de collecter et d'interpréter les données qui en résultent. Cela permet notamment de cartographier les zones à risque sur un site, d'identifier les tâches les plus pénibles et d'optimiser les opérations.Bulane conçoit des systèmes de production de flamme innovants à partir d'eau et d'électricité (extraction de l'hydrogène par électrolyse de l'eau), pour des opérations de brasage et de soudure. Cela permet notamment une réduction des risques d'accident liés à la manipulation des bombonnes de gaz, une meilleure ergonomie et légèreté des outils, une réduction de l'exposition aux gaz issus de combustion complète ainsi qu'une diminution de l'empreinte environnementale de -94%.Ces start-up bénéficieront de l'expertise et des retours d'expériences des quatre partenaires fondateurs de faire monter en puissance la performance des entreprises en matière de santé et prévention. Les partenaires s'engagent également à faciliter les échanges et la visibilité des startup auprès de leurs entreprises adhérentes, notamment au travers de leurs sites web, leurs réseaux sociaux et leurs médias respectifs, ainsi qu'à l'occasion des événements auxquels ils sont susceptibles de participer.
Il y a 4 ans et 168 jours

Podcast #3 – Renforcer une structure par des matériaux composites

ACPresse – Renforcer une structure – Raconté par Yann Butillon ACPresse · Renforcer une structure par des matériaux composites à base de fibres de carbone Quelles sont les solutions permettant un renforcement structurel d’un ouvrage en béton ? Plusieurs raisons imposent de renforcer une structure en béton : impact accidentel ou incendie, erreur de conception ou de positionnement des armatures, mise en conformité d’un ouvrage existant ou encore changement de destination de l’ouvrage. Selon le type d’ouvrages, la nature de la dégradation, le moment de l’intervention ou l’accessibilité au chantier, les techniques de renforcement peuvent être différentes. On en dénombre six différentes. A un moment ou à un autre, un ouvrage aura besoin d’un entretien plus ou moins poussé, d’une réparation, voire d’un renforcement structurel. [©ACPresse] a – La projection d’un béton Projeter du béton sur une structure constitue la première solution de renforcement. Cette technique présente toutefois quelques inconvénients : elle est bruyante, émettrice de poussières et nécessite pas mal de manutention. Sans compter la création d’une surépaisseur et de poids sur la structure existante. La projection de béton constitue une des alternatives techniques, permettant une réparation et/ou un renforcement structurel. [©ACPresse] b – La précontrainte additionnelle par post-tension Cette technique est bien adaptée aux ouvrages de génie civil. Elle voit la mise en tension des câbles de précontrainte à l’extérieur de l’ouvrage. Son avantage est de permettre une importante reprise d’efforts. En bâtiment, sa mise en œuvre est beaucoup plus complexe, car elle impose des équipements lourds et un savoir-faire particulier. c – Le renforcement en sous-œuvre Il s’agit ici d’injecter en sous-sol un coulis ou un mortier qui, une fois durci, reprendra les efforts de l’ouvrage situé au-dessus. Bien maîtrisée et pérenne, cette technique reste limitée aux fondations, impose beaucoup de manutention, de produits et nécessite des équipements de mise en œuvre particuliers.    d – Le renforcement par plats métalliques Cette technologie consiste à coller et à cheviller des plats métalliques sur une structure en béton. La reprise d’efforts est importante et il y a peu d’immobilisation de l’ouvrage. Mais le métal est sensible à la corrosion. e – Le renforcement par profilés métalliques La mise en place de profilés métalliques demande de la manutention, du personnel et d’importantes étapes de chantier (engravures dans la structure existante pour scellement des poutres, mise en place de sabots…). On rapporte des épaisseurs supplémentaires qui peuvent être importantes et pas toujours compatibles avec des gabarits de passage imposés. Les profilés métalliques sont lourds et difficiles à manutentionner. Et peuvent être sensibles à la corrosion. f – Le renforcement par éléments composites Ces éléments de renfort sont constitués de fibres (de carbone, de verre ou d’aramide) maintenues dans une matrice (résine). Légers, les composites de renforcement se déclinent en plusieurs sous-familles et domaines d’emplois. Leur rôle est d’apporter une matière sans surépaisseur sur un ouvrage existant pour le renforcer et assurer ainsi une meilleure tenue, aussi bien à la flexion, qu’au cisaillement. Légers, les composites de renforcement se déclinent en plusieurs sous-familles et domaines d’emploi. [©Mapei] Quels sont les domaines d’emploi des composites de renforcement ? A vrai dire, les applications sont multiples. Cela va du renforcement de poutres, de trémies ou d’ouvertures, au chemisage de poteaux. L’application de composites de renforcement permet une augmentation de la résistance à la flexion, une réduction des effets du cisaillement ou une annulation du flambement. En effet, le manque de cadres dans une poutre aboutit à une hausse de l’effort de cisaillement. Idem avec le manque de cerces dans un poteau circulaire, qui peut induire du flambement. Quels sont les différents types de matériaux composites à base de fibres de carbone ? Et pour quels usages ? Il existe plusieurs types matériaux de renforcement à base de fibres de carbone, dont les principaux sont : les tissus, les lames et les mèches d’ancrage. Tous offrent un module d’élasticité élevé, les rendant aptes à reprendre des contraintes mécaniques importantes. Ces trois types sont proposés par Mapei, industriel qui nous a aidés à préparer le présent Béton Pratique. Les tissus s’appellent Mapewrap C Uni-Ax. Les lamelles sont baptisées Carboplate. Les mèches d’ancrage se nomment Mapewrap C Fiocco. a – Le tissu carbone Elément souple par définition, le tissu carbone permet d’enrober une surface pour en épouser au plus près la forme. C’est la solution idéale pour envelopper, par exemple, un poteau et une retombée de poutres. Le tissu impose l’utilisation d’un primaire d’imprégnation du support, puis d’une colle époxy spécifique. Collage de tissus carbone au niveau de la jonction entre deux poutres et un poteau. [©Mapei] b – La lamelle carbone Comme son leur nom l’indique, les lamelles carbone présentent une forme linéaire, plate et assez étroite. Elles se mettent en œuvre en sous-face de poutres ou de planchers par collage époxy. Elles peuvent se chevaucher pour former un quadrillage (cas des renforts d’ouverture). Il est aussi possible d’utiliser des lamelles en partie supérieure d’ouvrages. Dans ce cas, la création d’engravures est nécessaire pour intégrer et protéger les lamelles ainsi positionnées.   Renforcement de la sous-face d’une poutre de pont à l’aide de lamelles en carbone. [©Mapei] c – La mèche d’ancrage carbone La mèche se décompose en deux parties. D’un côté, le jonc (ensemble de fibres et de résine durcie maintenues dans une sorte de fourreau) et le fouet (ensemble de fibres libres non enduites). La partie “jonc” est à ancrer dans des trous pré-percés dans la structure à renforcer. Quant à la partie “fouet”, elle vient se positionner, par exemple, sur les retombées de poutres. Et éventuellement, sur des tissus carbone déjà en place pour assurer un parfait raccordement de l’ensemble. Mèches carbone et leur mise en œuvre. [©Mapei] Quelles sont les limites d’emploi et les précautions à prendre ? a – Que dit la réglementation ? A ce jour, les solutions de renforcement par matériaux composites à base de carbone ne bénéficient d’aucune uniformisation normative ou de certification. En France, les Avis techniques délivrés par le CSTB constituent les seuls documents certifiés et reconnus. Dans ce contexte, les industriels proposant ces solutions doivent former les bureaux d’études techniques et les entreprises applicatrices. b – Bon à savoir avant de commencer Le support à renforcer doit être sec. Il doit être poncé pour obtenir une surface propre et plane. Sa résistance à l’arrachement doit être d’au moins 1,5 MPa. Enfin, il faut s’assurer que l’ouvrage renforcé ne soit pas exposé de manière continue à une température supérieure de 45 °C de manière continue (ou à 58 °C de façon ponctuelle). En effet, les colles époxy sont sensibles à la chaleur, peuvent devenir visqueuses au-delà de ces températures, et perdre leur rôle mécanique au sein du composite. Dans le même ordre d’idées, une protection au feu est indispensable, si la vérification de la stabilité au feu de l’ouvrage le demande. Préparation du support à renforcer. Ici, l’opération de ponçage. [©ACPresse] Avec nos remerciements à Mapei pour l’aide technique apportée à la préparation de ce document.
Il y a 4 ans et 182 jours

Dumez Île-de France transforme la tour KupkA-A dans le quartier d'affaires de Paris La Défense

Les travaux menés par les équipes de Dumez Île-de-France ont porté sur la restructuration lourde de l'IGH (Immeuble de Grande Hauteur) de 19 niveaux afin de lui offrir une nouvelle vie en adéquation aux nouveaux usages de travail. 21 mois de travaux auront été nécessaires à la transformation complète de ce bâtiment qui se destine à accueillir près de 20.000 m2 de bureaux de grand standing.L'ensemble architectural a été imaginé par Yrieix Martineau Architecture (YMA) avec des bureaux organisés en plateaux afin de permettre une flexibilité des usages. Des espaces collaboratifs et de convivialité ont également été aménagés. La création de deux atriums en façade, ouvrant les espaces intérieurs offrent une vue panoramique sur La Défense. Le site intègre un centre de fitness et un restaurant inter-entreprises de plus de 600 couverts.La restructuration de KupkA-A a également permis d'améliorer son accessibilité avec l'entrée principale qui prend désormais la forme d'un hall triple hauteur, connecté à une nouvelle passerelle donnant sur le parvis de La Défense et reliée à celle du « Couchant ». Un jardin et un rooftop végétalisé, totalisant près de 550 m2 d'espaces verts accessibles, ont été aménagés.Le bâtiment KupkA-A vise l'obtention des certifications environnementales Breeam et HQE Excellent. Par ailleurs, afin de faciliter la connectivité et la qualité de vie professionnelle de ses futurs occupants, l'immeuble souhaite intégrer les labels Well Gold et Wired Score Gold.
Il y a 4 ans et 184 jours

Casteide-Cami - Place de la mairie : fin des travaux des bâtiments communaux

Les travaux de rénovation et de mise en accessibilité des bâtiments communaux de la place de la mairie de Casteide-Cami ont été achevés.
Il y a 4 ans et 190 jours

Demathieu Bard livre le Pôle d’Echanges Multimodal de Nantes

La naissance d’un Pôle d’Echanges Multimodal régionalUne gare modernisée pour plus de servicesSous la maîtrise d’ouvrage de SNCF Mobilités – Gares & Connexions, le projet comportait la construction d’une passerelle-mezzanine de 160 mètres de longueur et culminant à 18 mètres de hauteur afin de relier la gare Nord avec la gare Sud. Il comportait également la rénovation d’une partie des bâtiments voyageurs Nord et Sud de la gare ainsi que des espaces dédiés au public afin d’augmenter le confort des usagers. Ce projet est central pour le développement de la métropole et de la région.La gare de Nantes est la première gare régionale en termes de fréquentation et de trafic. Elle est également la porte d’entrée qui assure la desserte de l’ensemble de la région et est la sixième gare de France. En 2009, elle accueillait 11 millions de voyageurs par an : à l’horizon 2030, elle devrait en accueillir 25 millions.La mobilité est au cœur des défis du territoire des Pays de la Loire : recherche d’équilibre entre les territoires urbains et ruraux, raccordements aux dynamiques territoriales, amélioration de l’accessibilité, et des déplacements de seshabitants au quotidien.Le nouveau Pôle d’Echanges Multimodal (PEM) dote la Métropole d’une infrastructure moderne de transport ferroviaire en mesure de répondre à tous ses futurs enjeux et ainsi, insuffler une nouvelle dynamique territoriale.Avant travauxUne gare Nord datant de 1967 et une gare Sud de 1989Reliées par deux souterrains avec des accès aux quaisAprès travauxUne gare unique et moderne avec une mezzanine surplombant les voies et assurant des accès aux quaisVolume d’accueil augmentéAjout de commercesUn projet architectural à la signature internationaleLa passerelle-mezzanine, pièce emblématique de la nouvelle gare, a été imaginée par Rudy Ricciotti, architecte de renommée mondiale (MuCEM de Marseille, Passerelle pour la Paix de Séoul, département des arts de l’islam au Musée du Louvre...).Le projet architectural repose sur une utilisation massive du béton, matériau signature des réalisations de Rudy Ricciotti. La passerelle est en forme de parallélépipède en béton posé sur d’immenses piles organiques de formes variables qui font office d’arbres qui portent la structure. Dans le prolongement de la charpente, à l’extérieur, se déploient des ombrières horizontales en Béton Fibré à Ultra-Haute Performance (BFUP), œuvres de Méditerranée Préfabrication, qui collabore régulièrement avec Rudy Ricciotti. Ces fines langues de dentelle renvoient à l’allégorie du branchage et font songer à celles du MuCEM de Marseille.Le projet architectural a été mené en collaboration avec un architecte associé, l’agence nantaise Forma6.Les synergies DEMATHIEU BARD au service d’un projet à haute technicitéLe projet de la gare de Nantes est une opération multi-métiers qui a combinél’ensemble des expertises et des savoir-faire DEMATHIEU BARD CONSTRUCTION dans le domaine du Génie Civil et du bâtiment. En effet, le chantier a constitué un réel défi technique par sa conception, un ouvrage d’art couvert construit sur des bâtiments existants.Il a été supervisé par les équipes Infrastructures - Génie Civil et Bâtiment Ouest DEMATHIEU BARD, ainsi que par une filiale du Groupe, André BTP. Dès la phase conception, les équipes ont combiné leurs expertises en ingénierie et en travaux internes pour répondre aux multiples enjeux du projet. Le travail de conception a été réalisé en collaboration des Bureaux d’Études techniques, regroupant l’ensemble des compétences en bâtiment et ouvrages d’art : Lamoureux & Ricciotti Ingénierie (structure), BERIM (TCE) et AGID2D (HQE).Pour les missions de sous-traitance, les équipes DEMATHIEU BARD se sont appuyées sur l’expertise et le savoir-faire d’entreprises issues en majorité du tissu local.Chantier d’envergure, la construction de la nouvelle gare de Nantes a participé au dynamisme économique de la métropole nantaise et du marché de l’emploi. Ce sont 11.000 heures d’insertion professionnelle qui ont été réalisées sur ce projet.Elles ont permis à des personnes éloignées de l’emploi de se former aux métiers du Génie Civil et du bâtiment.Un environnement contraint pour une opération multi-métiersL’environnement du chantier a constitué l’un des enjeux principaux pour les équipes DEMATHIEU BARD CONSTRUCTION. Située en cœur de ville, la gare accueille chaque jour 40 000 voyageurs. Durant les travaux, la gare a été maintenue en totale exploitation. Cela a concerné aussi bien le trafic ferroviaire que les services annexes (commerces, services...). Pour réaliser les phases de travaux spécifiques, telle que la pose des poutres du tablier de la future mezzanine, les équipes sont intervenues de nuit avec une consignation ferroviaire d’une courte durée (5 heures).Les principaux défis du chantier :Travaux réalisés en site occupé : utilisation de matériel limitant les encombrementsDésamiantage, gestion du plomb et de la dépollution des solsDémolition partielle et restructuration des Bâtiments VoyageursRespect de l’architecture : choix de bétons clairs ou bétons blancs avec de fortes exigences sur les élévationsDimensions hors normes de la charpente métallique et des murs rideaux de la mezzanineJeux de déplacement sur les piles arborescentes en béton blancConception sismique d’un bâtiment conçu comme un pont500 nuits de travail nécessaires durant les 3 ans de chantierLe projet en quelques chiffres :2015 : lancement du projet2016 : conception de l’ouvrage2017 : démarrage des travaux en juin2020 : livraison de la nouvelle gare132 M€ : montant du projet global du PEM36 mois : durée des travaux110.000 heures travaillées par les équipes DEMATHIEU BARD550.000 heures travaillées y compris travaux sous-traités60 collaborateurs : effectif de pointe500 nuits travaillées4.300 m3 de béton (hors préfabrication)18 piles de 10 mètres de hauteur10 mois de démolition et désamiantage4.000 m² : surface totale de la mezzanine
Il y a 4 ans et 193 jours

Freud renforce sa présence en France

Freud est un leader mondial dans l'industrie des outils de coupe et le plus grand fabricant de lames de scie circulaire haut de gamme au monde. Depuis 1962, Freud conçoit et produit une large gamme de lames de scie circulaire, mèches carbure, fraises brasées, porte-outils et plaquettes de qualité supérieure. 2020 marquera un tournant dans la stratégie de Freud en France.
Il y a 4 ans et 195 jours

Complicité de fabrication pour Capremib et Chapsol

Les murs de soutènement du tronçon Hausmann Saint-Lazare du prolongement du RER E ont été produits par Capremib et Chapsol. [©Demathieu Bard] Le prolongement de la ligne E du RER dans sa partie Ouest permet de relier la gare d’Hausmann Saint-Lazare à Mantes-La-Jolie, en passant par les sites importants que sont La Défense et Poissy. Cela permet notamment de désengorger le RER et d’améliorer l’accessibilité à la Seine-Aval, tout comme aux gares du Nord et de l’Est. Ainsi qu’à l’aéroport Roissy – Charles de Gaulle. Un axe tout à fait stratégique. Pour réaliser cette liaison, de très nombreux chantiers connexes sont mis en œuvre. Comme les murs de soutènement du tronçon Ouest. Ainsi, pour concevoir et construire ces éléments, les industriels Capremib et Chapsol se sont constitués en groupement. Capremib apportant sa maîtrise du “sur mesure” et des produits de grande dimension, alors que Chapsol a fait valoir son ingénierie dans le dimensionnement des murs de soutènement. Au total, les deux entreprises ont produit pas moins de 353 éléments de murs, d’une hauteur variant entre 5 m et 12 m. Ce qui représente 6 000 m2 de murs préfabriqués. A noter que les pièces les plus lourdes (jusqu’à 28 t) et les plus hautes (12 m) ont été fabriquées par Capremib dans son usine de Cormicy (51). Les livraisons de murs sur le chantier ont débuté en août 2018, alors que la fabrication s’est étendue sur toute l’année 2019, sur les sites de production des deux industriels. Ceci, à un rythme de deux unités/j. La mise en service du tronçon n’est pas prévue avant 2022.
Il y a 4 ans et 195 jours

Usine de Gargenville : La vie rêvée d’une cimenterie

Retrouvez cet article dans le n° 91 de Béton[s] le Magazine Le 26 mai dernier, une Porsche Taycan, une BMW M5, une Audi RS7 et une Mercedes GT 63 AMG – que des voitures de prestige – ont ainsi “déboulé” sur le site pour être testées par Sylvain Vetaux, le journaliste de “Sport Auto”. [©@GREG] Mise en service en 1921, la cimenterie Ciments Calcia de Gargenville (78) exploite tout d’abord le gisement de craie dans la carrière de Juziers. Il y a une trentaine d’années, son augmentation de capacité s’est traduite par l’ouverture d’une carrière de calcaire à Guitrancourt. Par ailleurs, en 1942, l’usine est dotée du plus grand four à voie humide d’Europe. En 1967, elle se voit doter de 2 fours à voix sèche. Et en 1971, elle est la plus importante cimenterie en France. Ceci, avec une production annuelle de plus de 2 Mt de ciments. Elle est à nouveau modernisée en 1993 et organise la fabrication du ciment autour d’une seule ligne de cuisson. La cimenterie emploie aujourd’hui 100 personnes. Elle est actuellement l’unique d’Ile-de France. Gargenville, star d’un jour… Cette description pourrait s’arrêter là, mais c’était sans compter sur des intervenants extérieurs, qui ont choisi le site comme décor pour un shooting photos et un clip vidéo. Il faut dire que les 80 ha de l’usine ouvrent le champ à tous les possibles ! « Nous sommes ravis d’accueillir ce genre de manifestations en toute sécurité. Cela crée de l’animation pour les salariés et leurs conjoint(e)s. Nous avons réalisé des plans de prévention, car les tournages ont eu lieu pendant des phases de production. Nous avons aussi bien sensibilisé les équipes de “Sport Auto” que celle du chanteur Vianney  », souligne Régis le Chenadec, directeur de l’usine.« L’unité de Gargenville est en même temps un endroit tranquille avec un cadre architectural intéressant et à fort potentiel photographique »,résume Greg Jongerlynck, photographe de “Sport Auto”.  Le 26 mai dernier, une Porsche Taycan, une BMW M5, une Audi RS7 et une Mercedes GT 63 AMG – que des voitures de prestige – ont ainsi “déboulé” sur le site pour être testées par Sylvain Vetaux, le journaliste de “Sport Auto”. Pour le plus grand plaisir des salariés présents… « Les hommes étaient fascinés par ces engins de luxe, mais pas que… Les femmes étaient ravies de monter à bord ! », reprend le directeur de l’usine. « L’environnement industriel, graphique, plutôt froid et métallique, met bien en valeur ce genre de véhicules hors normes. Ces derniers apparaissent comme de joyaux », renchérit Sylvain Vetaux. A noter que l’équipe de “Sport Auto” a bénéficié d’une moindre activité de la cimenterie, étant donné la réfection du four. Juste le fait du hasard… Des zones lui étaient dédiées, mais elle a été en plus sensibilisée aux risques inhérents à ce genre de sites. « L’environnement industriel, graphique, plutôt froid et métallique, met bien en valeur ce genre de véhicules hors normes. Ces derniers apparaissent comme de joyaux », décrit Sylvain Vetaux, journaliste-testeur de “Sport Auto”. [©@GREG] Une Porsche Taycan, une BMW M5, une Audi RS7 et une Mercedes GT 63 AMG ont suscité fascination chez les salariés “masculins”, mais pas que… Les femmes étaient ravies de monter à bord ! [©@GREG] … Gargenville, star toujours ! Autre manifestation à Gargenville, cette fois-ci, le 27 juin dernier. Toute l’équipe de production du clip du chanteur Vianney a débarqué avec caméras, drones, cascadeurs, personnel… Au total, une trentaine de personnes. « Nous cherchions un chantier pour tourner le clip, mais impossible. Trop compliqué. Il me fallait un site organique et industriel. Et là, nous sommes allés à Gargenville. L’accueil chaleureux de Régis Le Chenadec m’a tout de suite séduit. Il ne fait pas cela pour des raisons pécuniaires, mais pour rendre son ses salariés heureux. Une super démarche. Son assistante, Alexandra, nous a grandement aidés dans le bon déroulement du tournage »,s’enthousiasme Valentin Vignet, réalisateur et producteur chez Feet Films. Et le directeur de l’usine de poursuivre : « Une expérience inoubliable pour les salariés et leurs familles qui étaient présents. Merci à Vianney qui a fait preuve d’une accessibilité et d’une gentillesse incroyable ». Et le chanteur de conclure :  « La poussière jusqu’au fond des chaussettes, les yeux écarquillés, j’ai mis du temps à apprivoiser les dimensions si impressionnantes de la cimenterie où l’on a tourné ! Il fallait que l’on perçoive cette immensité dans notre clip, car c’est bien elle qui fait la beauté des lieux. Elle, et l’impressionnante logistique que nécessite une telle entreprise. Tout cela est finalement très graphique ! Et en passant, l’équipe nous ayant accueillis sur place l’a fait avec beaucoup de chaleur et de générosité.. Merci à eux ! » Le samedi 27 juin dernier, toute l’équipe de production du clip du chanteur Vianney a débarqué avec caméras, drones, cascadeurs, personnel… [©Ciments Calcia] Le nouveau clip de Vianney “N’attendons pas…” est sorti ! Et le tournage a eu lieu le 27 juin sur le site de Ciments Calcia Gargenville ! [©Ciments Calcia] « Une expérience inoubliable pour les salariés et leurs familles qui étaient présents. Merci à Vianney qui a fait preuve d’une accessibilité et d’une gentillesse incroyable », s’enthousiasme Régis Le Chenadec, directeur de l’usine. Ici, le chanteur avec un membre de l’usine de Gargenville. [©Ciments Calcia] Un univers poussiéreux, organique, très graphique, industriel pour un clip au message positif. [©Ciments Calcia] Retrouvez cet article dans le n° 91 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 203 jours

L’accessibilité des handicapés aux bâtiments

Dans divers contextes, les personnes handicapées font face à de nombreux problèmes. En raison de leur mobilité réduite due à un handicap, elles ne peuvent pas se déplacer facilement. Pour faciliter l’accessibilité et les déplacements, des lois sont en vigueur et applicables selon le type de bâtiment. En effet, ces lois allègent les handicapés de certaines tâches, relativement faciles, mais qui ne le sont pas pour ces derniers. Ce que dit la loi La loi handicap du 11 février 2005 est celle la plus claire sur le sujet depuis la dernière loi de 1975. Celle-ci prévoit une partie sur l’accessibilité pour les personnes handicapées. Elle prône ainsi à ce que les personnes en situation d’handicap puissent jouir d’accessibilité peu importe la source du handicap. Cette loi détaille ainsi les normes à appliquer pour une mise en application. Rendre les bâtiments accessibles L’accessibilité des handicapés aux bâtiments  concerne tous les bâtiments allant des logements privatifs jusqu’aux établissements recevant du public. Les bâtiments doivent répondre à des normes spécifiques. Les normes en vigueur sont réparties selon les situations. Le cas premier est lors de l’évacuation des bâtiments : balisage, systèmes, etc. Le second est l’accessibilité et les déplacements sur la voirie : circulation, voiture, stationnement. Le dernier concerne les équipements et aménagements adéquats comme une monte escalier par exemple ou encore un fauteuil monte escalier. Une réglementation variable selon le bâtiment Les réglementations et normes ne sont pas les mêmes d’un bâtiment à un autre. Il faut les catégoriser selon le type de bâtiment : Les bâtiments neufs : dans le cas des nouvelles constructions, des contrôles techniques sont effectués. Une attestation d’accessibilité est délivrée par le maître d’ouvrage à l’issu du contrôle. Ce dernier est tenu de prendre en compte toutes les obligations relatives à l’accessibilité des handicapés. Les bâtiments anciens : ce sont aussi les bâtiments dits existants. Un mis à jour est obligatoire pour être conforme à la loi stipulée. Un diagnostic d’accessibilité est effectué. Les Établissements recevant du public (ERP)  La loi de 2005 prévoit à ce que les ERP répondent à une certaine norme pour l’accessibilité des handicapés. On doit retrouver ainsi les prestations fournies par le bâtiment, la liste des pièces techniques pour l’accueil des personnes en situation d’handicap ainsi qu’un descriptif sur les formations dispensées pour les personnels. Ces derniers devant jouir d’un justificatif attestant leur fonction pour l’accessibilité des personnes handicapées dans les ERP. Quelles sanctions pour les bâtiments non conformes ? Les acteurs du cadre du bâtiment sont dans l’obligation de suivre les normes imposées. Dans le cas où la loi n’est pas respectée, des sanctions sont appliquées. Le premier cas est une sanction de 45 000 euros d’amende. Le second est une amende de 75 000 euros suivi d’un emprisonnement de 6 mois si la personne est récidiviste. S’ajoute à tout cela une interdiction d’exercer allant de 5 ans jusqu’à titre définitif. La personne n’aura plus alors le droit d’exercer dans le métier. Aide sur l’équipement des bâtiments Équiper un bâtiment pour que des personnes handicapées y aient accès revient relativement cher. Des aides et financements sont octroyés afin de parfaire ces équipements. Parmi les aides, on retrouve l’Anah délivrant des subventions pour les propriétaires afin d’équiper leur bien. Il y a également le PCH ou prestation de compensation du handicap logement pour les personnes handicapées. L’allocation personnalisée d’autonomie pour les personnes handicapées hébergées dans un établissement. Le crédit impôt pour ceux qui veulent réaliser des travaux sur l’accessibilité des logements. Ces aides sont soumis à des conditions afin de faire bénéficier toutes les personnes actrices dans le bâtiment.
Il y a 4 ans et 210 jours

Faites de l’ascenseur un atout séduction du bâtiment neuf

Rassurer les investisseursLa pandémie – et le confinement qu’elle a entraîné – a mis le marché immobilier sur « pause » pendant une partie de l’année 2020. La reprise tarde à s’affirmer, les promoteurs restent pessimistes… Frileux, les investisseurs sont aussi plus exigeants. La crise a fait comprendre que plus que jamais, il fallait penser le bâtiment autrement : l’immeuble doit pouvoir s’adapter à des évolutions, parfois soudaines et imprévisibles, des usages et des attentes. Par exemple, le développement du télétravail pourrait pénaliser l’immobilier de bureaux, sans que l’on sache réellement à quel point cette tendance sera durable.Il est donc nécessaire de concevoir des bâtiments flexibles et réversibles, d’intégrer des exigences en matière d’accessibilité, de sécurité et d’hygiène. En clair, imaginer un bâtiment prêt à accompagner les évolutions d’usage, capable de rassurer les investisseurs sur sa pérennité.En matière de flexibilité, et donc de durabilité, l’ascenseur joue un rôle clé. C’est lui qui garantit la fluidité des déplacements : il doit pouvoir s’adapter aux particularités des flux de personnes, que le bâtiment héberge des bureaux ou des logements, ou soit à usage mixte.Séduire les usagersLe bâtiment ne doit pas uniquement séduire les investisseurs : il doit aussi se faire attractif pour les futurs usagers, qu’ils soient acheteurs résidentiels ou futurs locataires… Là encore l’ascenseur a un rôle à jouer, et peut même devenir un point différenciant !Il n’est plus question de considérer simplement l’ascenseur comme un mode de déplacement vertical. Il doit devenir un lieu où séjourner est agréable, en misant sur le confort, le design, l’éclairage, les matériaux utilisés… Il peut également offrir aux usagers de nouveaux services. Ainsi par exemple, KONE propose des ascenseurs connectés, qui peuvent être appelés à distance ou même vous reconnaitre et pré-programmer l’étage de destination. Ces ascenseurs connectés peuvent aussi se doter d’écrans, diffusant des contenus multimédias et supportant des services de communication ou de conciergerie à l’attention des résidents. Dans ces cabines « nouvelle génération », des revêtements anti-microbiens assurent une hygiène irréprochable, des surfaces « anti-traces de doigts » gardent un aspect impeccable, l’ambiance lumineuse soignée participe au bien-être, tout comme les couleurs et textures des parois. Le constructeur a imaginé une véritable expérience multi-sensorielle !Un ascenseur prêt pour demainMais l’ascenseur connecté n’est pas seulement un ascenseur accueillant. Il est aussi un équipement dont la sécurité et le coût (d’entretien, de maintenance, d’usage…) sont optimisés, grâce à la maintenance prédictive. Ses multiples capteurs scrutent en continu son fonctionnement, son moteur d’Intelligence Artificielle analyse les données recueillies, si bien que les risques de dysfonctionnement sont détectés avant qu’ils ne surviennent. Les équipes techniques sont ainsi alertées automatiquement, et une intervention permet d’éviter la panne.L’ascenseur connecté est prêt à s’intégrer dans une démarche de smart building : une ouverture sur l’avenir qui a tout pour rassurer les acheteurs !
Il y a 4 ans et 238 jours

Professionnels : comment stocker son matériel de chantier ?

Lorsque vous entreprenez des travaux, plusieurs paramètres sont à prendre en compte : Que ce soit le choix des outils, la durée du chantier, le coût des travaux ou encore le stockage du matériel. Ce dernier aspect est particulièrement important, car laisser les outils en extérieur à la fin de la journée expose à plusieurs risques, du vol à la dégradation criminelle en passant par les intempéries… Il convient donc de trouver un lieu sûr pour conserver votre matériel de chantier. Tour d’horizon des vraies et des fausses bonnes idées Pour stocker votre matériel de chantier, plusieurs possibilités s’offrent à vous. Voici les principales solutions que nous avons retenu : Stocker chez soi ; Utiliser sa cave ou son garage ; Entreposer dans un véhicule utilitaire ; Louer ou acheter un garde-meubles. Or, tous les lieux ne sont pas adaptés à toutes les situations. En effet, laisser ses outils chez soi n’est possible que pour ceux qui n’ont pas besoin d’une forte capacité de stockage. Cette solution, surtout adaptée pour les particuliers ou pour les petits artisans, reste très encombrante. Certains ont la chance de disposer d’une cave ou d’un garage. Même si cette option résout, dans une certaine mesure, la question de l’encombrement, elle n’échappe pas à celle de l’humidité et de l’accessibilité. Ensuite, un utilitaire apparaît de prime abord comme la solution idéale du point de vue de l’accessibilité. Cependant, les problèmes de sécurité, d’humidité et de capacité de stockage n’en font pas la meilleure option, tant pour les entreprises que pour les artisans. Enfin, la location d’un garde-meubles semble représenter la solution la plus sûre : Les garde-meubles ou les centres de self stockage  sont souvent plus sécurisés. Ces établissements sont adaptés au stockage de ce type de matériel et protègent des intempéries. Ils sont également plus pratiques, puisque la location laisse le choix du lieu et de la durée de stockage. Louer un garde-meubles : les bonnes questions à se poser Ainsi, de la Picardie à l’Île-de-France, la location d’un garde-meubles semble représenter une bonne solution pour stocker votre matériel de stockage. Il faudra néanmoins, pour éviter les écueils du marché, prendre en compte plusieurs paramètres au moment de faire votre choix : Les conditions de stockage ; La sécurité ; L’accessibilité et la localisation. Vous devez étudier un à un ces trois principaux paramètres pour vous aider à choisir le centre de stockage qui correspondra le mieux à vos attentes. Les conditions de stockage Les conditions de stockage correspondent à un paramètre de stockage important à prendre en considération . En effet, votre matériel de chantier est sensible à son environnement : par exemple, l’humidité expose le carton et le bois au risque de pourriture et les outils à la rouille. Assurez-vous donc de choisir un garde-meubles qui soit à la fois frais et sec pour éviter toute infiltration ou inondation. La sécurité Il s’agit d’un paramètre essentiel pour choisir votre espace de stockage. Différents systèmes peuvent être proposés pour assurer la sécurité des objets entreposés. Qu’une simple clé vous suffise ou que vous préfériez un gardien et un digicode, choisissez selon vos besoins et votre budget un garde-meubles ou un self stockage qui vous permettra de dormir sur vos deux oreilles. L’accessibilité et la localisation Le choix d’un garde-meubles doit également prendre en compte son emplacement par rapport à la localisation du chantier. En effet, louer à proximité du lieu des travaux permet de réduire la longueur du trajet effectué et de diminuer ainsi les risques de casse du matériel ou de dégradation du véhicule. Par ailleurs, la plupart des garde-meubles présentent l’avantage de se situer presque systématiquement au rez-de-chaussée et d’être faciles d’accès. Pour finir, pensez également à choisir une localisation proche de voies dans lesquelles votre véhicule pourra s’engager sans difficulté.
Il y a 4 ans et 239 jours

Chryso signe un partenariat avec Solidia pour déployer les bétons bas carbone

Pavés en béton utilisant la technologie Solidia, mis en œuvre dans le New Jersey, aux Etats-Unis. [©Solidia Technologies] L’Américain Solidia Technologies1 développe un liant conçu sur la même base que le ciment Portland. Mais avec une cuisson à 1 200 °C au lieu des habituels 1 450 °C. Ce procédé permet de réduire l’empreinte carbone due à la production du clinker. Pour améliorer les performances et les propriétés des bétons formulés sur la base de cette technologie, Solidia vient de signer un partenariat avec l’industriel Chryso. Un engagement à long terme qui permettra l’accessibilité de solutions durables aux producteurs de ciment et de béton du monde entier… En effet, depuis plus de 10 ans, Chryso développe des solutions d’adjuvantation pour les bétons qui autorisent l’emploi intensif de liants alternatifs. Ceci, sans compromettre les performances des matériaux. Ainsi, Chryso va proposer des adjuvants adaptés au nouveau liant de Solidia. Produits qui permettront d’augmenter les résistances mécaniques. D’améliorer la finition du béton à l’état frais. Et enfin, d’optimiser le processus de durcissement. « En collaboration avec Solidia, nous étendrons l’utilisation du béton à faible teneur en CO2 pour que les industriels puissent produire des éléments préfabriqués de haute qualité », indique Jean Mascaro, directeur de BU béton chez Chryso. Réduire de 70 % l’empreinte carbone des bétons Et Tom Schuler, président de Solidia Technologies, de confirmer : « Les adjuvants réducteurs d’eau exclusifs de Chryso seront adaptés à la chimie spécifique des bétons Solidia. Leur intégration réduira encore davantage la consommation d’eau dans le processus de durcissement. En diminuant la consommation d’énergie durant cette phase, Chryso nous permettra de réaliser nos ambitions. Et d’atteindre des niveaux de performance plus élevés ». Ainsi, le partenariat Chryso – Solidia ouvre la voie à de futures avancées en matière de réduction de l’empreinte carbone. Et à de nouveaux développements en matière de chimie durable.  La technologie Solidia est déjà disponible sur le marché de la préfabrication pour les éléments en béton non armé. Elle est basée sur une chimie révolutionnaire du ciment capable de produire des bétons avec une faible consommation d’énergie. Ceci, tout en réduisant les émissions de CO2. D’autant plus que le durcissement n’est pas le fait de l’hydratation, mais de la carbonatation via l’injection de CO2dans le béton frais. Lorsqu’ils sont combinés, les procédés Solidia permettent donc de réduire de 70 % l’empreinte carbone du béton. Tout en diminuant la consommation d’eau et d’énergie. In fine, le déploiement de nouveaux bétons ultra bas carbone permettra d’accélérer la décarbonisationde l’industrie du bâtiment. 1Solidia Technologies a aussi un partenariat avec LafargeHolcim. Et ce, depuis 2013. 
Il y a 4 ans et 245 jours

5ème édition des Journées nationales de l'architecture, demandez le programme

Sous l'appellation « Les architectes fêtent les JNArchi 2020 », le Conseil national de l'Ordre des architectes s'associe pleinement à la manifestation et promeut l'ouverture des portes dans les agences d'architecture. Les Conseils d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement, le réseau des Maisons de l'architecture, les écoles nationales supérieures d'architecture, les lieux culturels dédiés à l'architecture ainsi que les animateurs de l'architecture et du patrimoine dans les collectivités territoriales se mobilisent également. Tous proposent aux curieux, amateurs comme passionnés d'architecture un programme varié pour ces trois jours : rencontres et débats avec les acteurs de l'architecture, visites de bâtiments et de chantiers, balades urbaines, expositions techniques et artistiques, ateliers pédagogiques pour tous les âges…Dessiner l'architecture à Lugdunum, Musée et Théâtre Romain de Lyon, en Auvergne Rhône-Alpes. Au cœur de ce chef d'œuvre architectural, la sobriété du béton et des lignes épurées s'intègre dans le site gallo-romain et construit un espace à part. Concentrés sur les lignes et les espaces de cet objet brutaliste imaginé par l'architecte Bernard Zehrfuss, les visiteurs sont invités à observer, dessiner les grands volumes et les détails du bâtiment et de restituer leur production issue de ce voyage architectural et temporel.La Maison de l'Architecture de Besançon en Franche-Comté propose un voyage architectural à Rome. Thierry Jousse, réalisateur et ancien rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, a co-dirigé avec Thierry Paquot un livre de référence La Ville au Cinéma, qui explore pour la première fois la représentation de la ville à l'écran. Les spectateurs pourront ainsi découvrir l'incroyable architecture de la ville de Rome, par le prisme du cinéma.En Bretagne à Ploemeur, la rénovation d'une maison des années 60 est l'occasion d'intégrer la permaculture au cœur du centre ville. L'architecture se joue des contraintes techniques et utilise le patrimoine des années 60 pour offrir une nouvelle vie à cette habitation. Le toit permet par exemple l'installation de panneaux solaires et la collecte d'eau de pluie pour les WC, le lave-linge et le jardin.La grande halle de Romorantin-Lanthenay en Centre-Val de Loire, construite en 1902, a été conçue par l'ingénieur Hennebique et réalisée par l'entrepreneur Coutant et Cie. D'une superficie de près d'un hectare, cette immense salle contenait plus de 200 métiers à tisser. Un vaste projet de réhabilitation du site est en cours. La réouverture en octobre 2016 du bâtiment des métiers à tisser en est une étape.Pendant 2h, La manufacture Brun de Vian-Tiran, emblème de la région PACA, propose une visite inédite de L'Isle-sur-la-Sorgue, témoin vivant des origines textiles de la ville. Des roues à aube à la manufacture, les visiteurs découvriront tout sur les origines de l'Isle, ville drapière à l'architecture industrielle.Dans les Haut de France, la cité des Électriciens à Bruay-la-Buissière invite à prendre toute la mesure de la valeur du patrimoine de proximité. Il s'agit de l'un des édifices emblématiques du paysage urbain de la région. C'est le moment de venir l'observer d'un peu plus près, d'en apprendre davantage sur ses matériaux de construction, sur les entreprises et artisans qui l'ont réhabilitée. Les plus jeunes pourront aussi se familiariser avec l'acte de construire, et peut-être faire naître en eux une vocation !À la Fabrique du Métro à Saint-Ouen, la Société du Grand Paris en Île-de-France propose un atelier-visite pour les scolaires. Une découverte des techniques utilisées pour construire puis aménager les gares en insistant sur les enjeux de l'accessibilité des transports publics. Les choix des designers sont mis en lumière par l'observation et l'expérimentation. À l'issue de la visite, un atelier créatif invite les élèves à se mettre dans la peau d'un futur usager du réseau (touriste étranger, personne en situation de handicap…) puis à identifier et mobiliser les différents services et dispositifs qui faciliteront leurs parcours de l'entrée de la gare jusqu'au métro. En Normandie, Le Havre, place portuaire d'envergure a connu ces dernières décennies des aménagements majeurs avec de nouvelles infrastructures portuaires. La balade proposée permet de découvrir depuis la mer, les projets qui longent aujourd'hui les bassins et le port intérieur. Cette interface ville-port renouvelée, avec notamment l'École Nationale Supérieure Maritime (ENSM) et la Cité Numérique, témoigne de la nécessité de réinventer sans cesse un dialogue entre la ville et son port.La Cité Numérique à Bordeaux en Nouvelle Aquitaine, est un projet innovant, en matière de fonctionnement, et vertueux du point de vue de la transition écologique. Elle propose d'accueillir, pour la première fois, un regard croisé des acteurs de l'espace public pour débattre de ses évolutions récentes. Les tables rondes s'organisent autour de deux thématiques centrales : l'espace public comme espace fondamental du lien social, du vivre ensemble, et l'espace public comme lieu d'expression des potentiels artistiques et sportifs.Un programme de visites de maisons et appartement situés en Haute-Garonne et réalisés par des architectes, dont les projets témoignent d'une qualité architecturale, avec le Conseil d'Architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement 31 en Occitanie. Insertion environnementale, qualité d'usages et de confort, économie de projet seront les thèmes abordés. Chaque visite d'une demi-journée, sera réalisée en présence du maître d'ouvrage et de l'architecte. Ils éclaireront les participants sur le processus de réalisation, de la phase de conception à la réception en passant par la gestion du chantier.Pour qu'un cadre de vie soit de qualité, il est important qu'architecture et environnement soient en cohérence et dialoguent. Ainsi à Nantes, dans les Pays de la Loire, le jardin des 5 Sens est un poumon vert, un espace de jeu et de contemplation au cœur de l'ile de Nantes. Il est aussi, avec l'essor et le renouvellement de ce quartier, le parvis des édifices qui l'entourent. La visite commentée présente comment le jardin s'insère dans un système plus vaste, nourri par le rapport à la ville dense, au fleuve et à la nature en ville. Visiter les lieux habituellement interdits au public, c'est la proposition du musée départemental de Préhistoire des gorges du Verdon en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Signé Norman Foster, ce bâtiment invite les visiteurs à découvrir la préhistoire avec un autre regard. Il retrace les grandes étapes de la Préhistoire à partir des découvertes archéologiques réalisées dans les grottes du Verdon au cours du XXe siècle.Sur le site journeesarchitecture.fr, retrouvez la programmation ; des informations clés sur l’architecture contemporaine aujourd’hui en France et la présentation des actions menées par les partenaires de l’évènement.
Il y a 4 ans et 247 jours

Le projet de restauration du Grand Palais révisé pour un monument plus sobre et écologique

"Avec la crise sanitaire, une profonde réorientation du projet, imaginé il y a près de dix ans, était devenue indispensable. Le nouveau projet est plus sobre, plus écologique et plus respectueux de l'histoire du monument", a indiqué lundi le ministère à l'AFP.Une tranche anticipée de travaux a déjà débuté, mais le chantier doit vraiment débuter début 2021 après la fermeture des espaces ouverts au public. Cette réorientation "est liée à deux principaux facteurs", a expliqué l'Établissement public. D'abord, "le périmètre du projet s'est étendu: depuis fin 2018, les façades et la statuaire du Grand Palais ont connu une dégradation très importante, générant la mise sous filet de l'ensemble des ouvrages".En second lieu, ajoute-t-il, "la tenue d'épreuves olympiques et paralympiques en 2024 et les retards infligés au projet depuis mars 2020 par la crise sanitaire ont conduit le ministère et la RMN-Grand Palais à prendre acte des risques, désormais non soutenables, de dérapage du calendrier de réalisation des travaux et de dérive financière significative du projet".Le ministère a donc demandé à Chris Dercon, président de la RMN-Grand Palais, de concevoir un nouveau projet de restauration "respectant les impératifs budgétaires et calendaires"."Les destructions seront réduites au minimum, et le projet n'imposera plus de creuser sous la nef ni dans les espaces boisés classés et espaces verts protégés situés aux abords", selon le communiqué. Quatre principes architecturaux sont retenus: "mettre aux normes, notamment en matière de sécurité incendie et d'accessibilité"; "retrouver les circulations historiques du bâtiment, du nord au sud (connexion Champs-Elysées-Seine) et de l'est à l'ouest (connexion entre la Nef du Grand Palais et du Palais de la découverte)", "restaurer la Nef (où se tiennent les foires et défilés) pour augmenter sa jauge et réguler sa thermie" et "créer une entrée commune du Grand Palais et du Palais de la découverte".La Nef et les galeries devront être restaurées d'ici au printemps 2024 pour l'accueil les Jeux. L'intégralité du monument doit rouvrir au public au printemps 2025, a encore précisé l'Etablissement public.Cet immense bâtiment de 72.000 mètres carrés et 42.000 mètres carrés de toitures, sur les Champs Elysées, n'avait jamais été rénové dans son ensemble depuis sa construction pour l'Exposition universelle de 1900.
Il y a 4 ans et 247 jours

Le projet de restauration du Grand Palais modifié vers un concept plus sobre et écologique par crainte de dérive financière

"Avec la crise sanitaire, une profonde réorientation du projet, imaginé il y a près de dix ans, était devenue indispensable. Le nouveau projet est plus sobre, plus écologique et plus respectueux de l'histoire du monument", a déclaré le ministère auprès de l'AFP."La tenue d'épreuves olympiques et paralympiques en 2024 et les retards infligés au projet depuis mars 2020 par la crise sanitaire ont conduit le ministère et la RMN-Grand Palais à prendre acte des risques, désormais non soutenables, de dérapage du calendrier de réalisation des travaux et de dérive financière significative", explique la Réunion des musées nationaux-Grand Palais dans un communiqué."Il s'est agi de préserver le monument en évitant les interventions architecturales, de détruire le moins possible sans enlever l'ambition générale du projet", a ajouté auprès de l'AFP Emmanuel Marcovitch, directeur général délégué de la RMN-Grand Palais. "Nous avons toujours veillé à ce que l'enveloppe de 460 millions d'euros approuvée en 2016 soit tenue, à ce que ce budget ne dérape pas quels que soient les aléas".Un des principaux changements par rapport au projet initial est l'abandon de l'excavation de milliers de mètres carrés sous la nef du Palais, qui aurait permis d'augmenter la surface utilisable.En revanche, les espaces intérieurs vont bien être redessinés grâce à l'abattage de cloisons érigées au fil de l'histoire du bâtiment, vieux de 120 ans, et qui a abrité par exemple le Crous ou encore une antenne de la Sorbonne.Pour ce projet "révisé", quatre principes architecturaux ont été conservés: mettre aux normes, notamment en matière de sécurité incendie et d'accessibilité; retrouver les circulations historiques du bâtiment, du nord au sud et de l'est à l'ouest; restaurer la nef où se tiennent foires et défilés pour augmenter sa jauge et réguler les températures; créer une entrée commune au Grand Palais et au Palais de la découverte.Sont venus s'ajouter des travaux non prévus au départ, tels que la réfection des façades et de leur statuaire, qui connaissent une importante dégradation. "Certaines statues s'effritaient au point que des fragments sont tombés, ce qui a généré la mise sous filet de l'ensemble des ouvrages" en 2018, a relevé Emmanuel Marcovitch. "Nous avions l'injonction de la préfecture de police que si le monument n'était pas mis aux normes, il serait fermé".La nef et les galeries doivent être restaurées d'ici au printemps 2024 pour l'accueil les Jeux olympiques. L'intégralité du monument doit rouvrir au public au printemps 2025.Ce bâtiment de 72.000 mètres carrés et 42.000 mètres carrés de toitures, entre bords de Seine et Champs-Elysées, n'a jamais été rénové dans sa totalité depuis sa construction pour l'Exposition universelle de 1900.Une tranche anticipée de travaux a déjà débuté, mais le chantier ne commence vraiment qu'en début d'année prochaine.
Il y a 4 ans et 255 jours

Ripage souterrain dans le cadre du chantier de mise en accessibilité de la gare de Saint-Denis

Les équipes devront organiser cette opération technique très complexe sans arrêter les circulations (900 trains par jour). Ces travaux s'intègrent dans un ambitieux programme de mise en accessibilité des gares d'Ile-de-France, largement porté et financé par Ile-de-France Mobilités et la Région Ile-de-France, et par SNCF également.Avec près de 90.000 voyageurs quotidiens, la gare de Saint Denis est une des gares les plus importantes d'Île-de-France. Desservie par les lignes D et H, elle est aussi fréquemment utilisée en correspondance.La mise en accessibilité de la gare de Saint-Denis est un chantier d'une ampleur exceptionnelle qui répond à plusieurs objectifs :Permettre aux personnes à mobilité réduite de se déplacer plus facilement : l'objectif plus largement est de faciliter la vie de tous les voyageurs ayant des difficultés de déplacement (poussettes, bagages, sacs volumineux).Décongestionner et adapter la gare aux flux de voyageurs attendus à long terme.Organiser tout le quartier gare en véritable pôle d'échanges.Données-clé du chantierCoût de l'opération : 78 M€ (Île-de-France Mobilités 50%, Région Île-de-France 25%, SNCF Gares & Connexions 25%).52 mois de travaux, soit un peu plus de 4 ans de 2019 à 2023. L'aménagement du quartier de la gare se poursuivra au-delà de 2022/2023.Outre le nouveau passage souterrain, la mise en accessibilité de la gare inclut entre autres le rehaussement des 4 quais en conformité avec le déploiement des futurs trains du RER D ; la création de nouveaux bâtiments voyageurs accessibles aux personnes à mobilité réduite, dans la continuité du futur souterrain ; la création de 4 ascenseurs et d‘une rampe d'accès ; l'installation de 2 escaliers mécaniques ; la création et l'allongement des abris sur les quais ; l'installation de balises sonores, la mise en conformité de l'éclairage et de la signalétique et la pose de bandes de guidage et d'éveil à la vigilance.Entreprise réalisant les travaux : Demathieu BardLe glissement des cadres du nouveau souterrainL'opération se déroule dans le calendrier prévu grâce à une mobilisation exceptionnelle des équipes SNCF et des entreprises partenaires.Ce chantier est l'un des premiers à avoir repris en Ile-de-France après le confinement lié au Covid-19.Il faudra seulement 24 heures pour mettre en place les 2 cadres géants de béton sous les voies ferrées, d'une longueur de 35 mètres chacun.Les 2 cadres du futur passage souterrain sont réalisés en béton armé. Une bétonneuse injecte le béton dans un coffrage en bois, renforcé de tiges métalliques, qui permet de mouler les parois et la toiture de l'ouvrage grâce à un échafaudage posé au sol.Les ouvertures réservées sur les côtés des deux cadres accueilleront les escaliers mécaniques et les escaliers fixes qui desserviront les quais ; les cages d'ascenseurs s'inscriront dans les ouvertures réservées en toiture.Une fois les cadres du souterrain glissés sous les voies, les équipes débuteront la réalisation des accès qui les relieront aux quais.Un passage souterrain hors normes2 500 tonnes, c'est le poids total des ouvrages glissés sous les voies (soit l'équivalent de 6 locomotives TGV)70 mètres, c'est la longueur du futur passage souterrain (soit la longueur de 3 terrains de tennis)Un programme ambitieux de mise en accessibilitéPersonnes en situation de handicap, personnes âgées, voyageurs avec bagages ou poussettes, femmes enceintes…En Île-de-France, près de 4,8 millions de personnes se retrouvent en situation de mobilité réduite, que ce soit de manière permanente ou temporaire.En septembre 2020, 117 gares d'Ile-de-France étaient rendues accessibles à tous, dont 110 au titre du programme SDA (schéma directeur d'accessibilité).Des travaux d'accessibilité sont en cours cette année dans une quarantaine de gares franciliennes, dont celle de Saint-Denis. A terminaison du programme, plus de 209 gares prioritaires sur la région seront accessibles à tous.Ce programme d'envergure s'appuie sur la coopération entre toutes les parties prenantes, élus locaux, associations de personnes à mobilité réduite et usagers des lignes, ainsi que sur l'engagement d'Île-de-France Mobilités et de la Région Île-de-France, principaux financeurs de ces opérations visant à développer des gares intermodales, durablement accessibles et accueillantes.Près de 190 millions d'euros sont injectés cette année en Ile-de-France dans les travaux d'accessibilité.Pour réduire l'impact des travaux sur les 3,2 millions de voyageurs qui circulent chaque jour sur le réseau d'Ile-de-France, les opérations se déroulent largement de nuit, le week-end et pendant les vacances scolaires. Les travaux de mise en accessibilité s'effectuent souvent dans des gares extrêmement fréquentées, sans pour autant affecter les déplacements du quotidien.Depuis le 1er janvier 2020, la nouvelle gestion unifiée des gares place les projets de mise en accessibilité des gares directement sous la responsabilité de SNCF Gares & Connexions.
Il y a 4 ans et 266 jours

Marseille : plus de 500 bâtiments communaux à rendre accessibles

Une lourde tâche attend la société locale d'équipement et d'aménagement de l'aire métropolitaine (Soleam). La Ville de Marseille vient de lui donner mandat pour rendre 550 équipements publics communaux accessibles à tous d'ici à 2022, conformément à l'agenda d'accessibilité programmée (Ad'AP) validé par l'Etat en 2016.
Il y a 4 ans et 269 jours

"La re-densification maîtrisée de la ville est la vraie question", G. Fournier-Favre (FDA)

MOBILITÉ. Dans la foulée de son assemblée générale et de la présentation du plan de relance, la Fédération des ascenseurs, par la voix de son président Guillaume Fournier-Favre, explique à Batiactu les enjeux du BTP dans les prochains mois : reprise économique, emploi des jeunes, transition écologique, accessibilité... Entretien.
Il y a 4 ans et 270 jours

Ville et Bâtiments : accompagner la sortie de crise et se préparer aux crises sanitaires futures

Photo : Bertrand Rieger / hemis.frLa crise sanitaire liée au Covid-19 a profondément modifié notre mode de vie pendant quatre mois. Nous avons passé pratiquement 100 % de ce temps dans notre logement ou à moins d'1 km de celui-ci. Cette situation inédite a souvent mis en évidence que les espaces où nous vivons peuvent autant être des refuges que des vecteurs de la pandémie. La pandémie associée au virus SARS-CoV-2, repose, du fait de son impact à l'échelle internationale, une question essentielle : quel rôle le bâtiment et l'environnement construit peuvent-ils jouer dans la gestion d'une crise en termes de qualification de l'aléa (qu'il soit sanitaire, écologique, associé aux évènements climatiques, sismique, etc.) ou de caractérisation de la vulnérabilité induite (qu'elle soit sanitaire, économique, écologique, structurelle) ? Le CSTB développe au travers de ses différentes approches disciplinaires, une méthodologie d'analyse structurée des phénomènes de crise, permettant ainsi d'apporter, avec ses partenaires scientifiques, des réponses systémiques et opérationnelles aux différents acteurs socio-économiques et décideurs politiques, et non une simple réponse disciplinaire. Les crises se déclinent [toujours] suivant une même temporalité pré-crise / crise / post-crise, avec deux modulations spécifiques par les échelles des temps long et court : l'anticipation et la prévention pour la pré-crise au temps long résultant de l'apprentissage de la post-crise à la même échelle. Ainsi la problématique initiale se déclinera-t-elle dans une analyse de la contribution du bâtiment et de l'urbain à une résilience multifactorielle face aux crises, quelle qu'en soit la nature. La césure du temps court quant à elle ouvre la voie aux crises résultantes qu'elles soient sanitaires, économiques, sociales ou environnementales, qui se surajoutent à la sortie de crise dans un processus d'amplification des effets. La crise de la maladie Covid-19 n'échappe pas à cette réalité. Si la pré-crise a été mondialement sous-estimée, malgré des foyers épidémiques récents (coronavirus : SRAS en 2003, MERS en 2012, grippe H5N1 en 1997-2003, H1N1 en 2009) et des réalités plus explicites de pandémies mondiales (grippe espagnole en 1918, grippe asiatique en 1957, grippe de Hong Kong en 1969), l'évolution en pandémie, exacerbée par les mobilités inter-régionales et l'absence de protection organisée, nous a conduits à la crise actuelle, sans que nous n'y soyons réellement préparés. Au vu des 80 % du temps quotidien passé par chacun d'entre nous dans un bâtiment, que ce soit logement, tertiaire, commerce, la mise en place d'un confinement place ainsi le bâtiment et l'espace urbain au cœur des questionnements, ici sanitaires, avec plus de 95 % de temps contraint, même si jusqu'à présent cela n'a pas été explicite. Au-delà des sujets « bâtiment » versus crise, le révélateur du confinement a été de remettre sur le devant de la scène la problématique sociale, du fait ici de la crise économique découlant de la crise sanitaire. Mais cela pourrait tout autant s'appliquer aux autres crises ou phénomènes d'ampleur comme par exemple la surmortalité à la suite des vagues de chaleur du fait de la « crise » environnementale (même si le terme crise ne s'applique pas précisément du fait de sa non-finitude), de la paupérisation des plus faibles à la suite de la « crise » environnementale encore, mais cette fois-ci liée aux extrêmes orages, tornades, inondations, etc. Ce point est très important car comme on l'a remarqué au niveau international (USA notamment) la fracture sociale est exacerbée par ce type de crise qui révèle des disfonctionnements majeurs, récurrents, mais sous évalués par le politique (exemple de la politique de la santé vs. hôpital notamment, mais aussi le déficit d'équipement de certains foyers en termes d'outil numérique (PC) pour l'éducation des enfants). La question que le CSTB aborde – quel est le rôle du bâtiment et de l'environnement construit dans la gestion d'une crise – s'inscrit dans chacune de ces phases, dans une logique scientifique, mais doit répondre aux attentes des différents acteurs dans des délais et des niveaux de complexité variables. Elle nécessite une réponse collective, tant au niveau du CSTB que de ses partenaires scientifiques et des acteurs socio-économiques du secteur. Dans la phase actuelle de la gestion de cette crise si particulière, l'expertise du CSTB, issue de travaux de recherche menés depuis de nombreuses années, permet d'ores et déjà de répondre à certaines problématiques de ses donneurs d'ordres : caractériser les sources du Covid-19, les facteurs déterminant son transport dans le bâtiment et l'exposition des occupants ; proposer des moyens de gestion, des conditions d'occupation et de fonctionnement du bâtiment et ses équipements (par exemple sur ventilation, la réduction du taux d'occupation des locaux) au regard de la contamination biologique ; comparer par simulation les solutions de circulation les unes aux autres, en évaluant l'influence sur le reste du bâtiment, et identifier les zones de congestion potentielle susceptibles de provoquer des lieux à risque ne permettant pas de garantir les distances sanitaires ; identifier si les solutions de gestion sont en adéquation avec les règles existantes, notamment en termes de sécurité incendie, de ventilation et traitement d'air, de sécurité de fonctionnement des appareils à combustion et d'accessibilité ; analyser l'impact de stratégies de ventilation (type de système, niveau de renouvellement d'air) vis à vis de l'efficacité du renouvellement d'air et du transfert de contaminant et du niveau de concentration intérieure ; déterminer des stratégies de nettoyage des surfaces et des réseaux et de mise en œuvre des équipements spécifiques de traitement d'air (par exemple épurateurs autonomes, dispositifs en CTA). Au-delà de ces expertises directement disponibles, le CSTB a décidé de mobiliser ses compétences scientifiques pour conduire des travaux de recherche, pour améliorer les connaissances et les réponses à apporter sur les enjeux de circulation et de traitement d'un virus à l'intérieur d'un bâtiment ou en milieu urbain. Plus précisément, le premier projet se penchera sur la circulation des virus dans les espaces bâtis, leur interaction avec les revêtements ou les meubles et l'élaboration de protocole d'évaluation des systèmes de traitement de surface et de leur impact tant sanitaire que physique. Le second projet étudiera la prise en compte des enjeux sanitaires dans la conception des espaces publics et dans leur réalisation, de leur géométrie jusqu'au choix des matériaux les plus adaptés en termes notamment de capacité à être nettoyés, et de résistance aux agressions chimiques. La crise sanitaire et le confinement ont par ailleurs profondément modifié notre rapport à notre lieu de vie et plus largement à notre environnement. L'espace public urbain, hier réservé aux fonctions de déplacements automobiles et alternatifs a parfois retrouvé pendant le confinement sa dimension de lieu de villégiature. Cette transformation est-elle durable ou sera-t-elle purement ponctuelle ? C'est un enjeu majeur pour les collectivités locales et les aménageurs pour l'exercice de leur responsabilité. Cela nécessitera de mobiliser une capacité de recherche sur ces modifications potentielles de nos comportements. Le CSTB souhaite se mobiliser et participer à des travaux de recherche de plus grande ampleur sur les évolutions sociologiques voire sociétales induites par la crise sanitaire. La Corée du Sud nous a montré l'exemple. Touchée par les précédentes pandémies du SRAS et du MERS, elle a su investir pour préparer les crises sanitaires futures et notamment développer leurs connaissances des facteurs qui permettent d'en limiter l'impact. Nous ne partons donc pas de rien. Le CSTB se mobilisera avec tous les partenaires scientifiques et économiques de bonne volonté sur ces domaines d'excellence pour participer à l'effort collectif indispensable pour préparer la prochaine crise, qu'elle soit sanitaire ou environnementale.
Il y a 4 ans et 274 jours

Architect@Work, la 13e édition les 24 et 25 septembre 2020

ARCHITECT AT WORK ARCHITECT MEETS INNOVATIONS PARIS EVENT CENTER –  13ème édition Jeudi 24 & vendredi 25 septembre 2020 Thème édition 2020 : ESPACES DE VIE   La 13ième édition d’ARCHITECT@WORK PARIS ouvrira ses portes les 24 & 25 septembre prochains.  Cet événement a sélectionné à nouveau plus de 700 nouveaux produits présentés par 220 industriels participants.  Afin de garantir une visite dans un environnement sain et sécurisé, cette édition sera organisée sous le strict respect des nouvelles normes sanitaires. Plus d’info sur www.architectatwork.fr Un concept unique et haut de gamme Evénement réservé exclusivement aux architectes et architectes d’intérieur, ARCHITECT@WORK dispose d’une scénographie originale qui lui confère une atmosphère feutrée et raffinée.  Cet événement s’inscrit dans une démarche hautement qualitative. C’est en effet un comité de sélection qui choisit les nouveautés des industriels qui peuvent être présentées. Cette procédure apporte, pour le visiteur, la garantie de réaliser une visite enrichissante. En outre, des boissons et en-cas sont à disposition toute la journée ; une attention fort appréciée de tous ! Exposition matériaux – MATERI’HOME, des matières à vivre – Hall A Parce que le choix d’un matériau ou d’une technique de fabrication est déterminant dans l’aménagement de nos espaces de vie, l’équipe Innovathèque vous invite à venir découvrir une sélection de matières variées pour concevoir vos intérieurs. Avec le développement du télétravail, nous passons de plus en plus de temps dans notre habitat. Il est donc primordial d’aménager des environnements à notre image qui s’adaptent à nos modes de vie et nos envies.  Matières tactiles et connectées qui ouvrent la voie à de nouveaux usages, matières alvéolaires légères et systèmes d’assemblage innovants pour plus de modularité dans l’habitat, matières recyclées alternatives à nos matériaux traditionnels, matières qui préservent l’environnement et la santé, matières qui jouent avec nos sens…Autant de solutions techniques et esthétiques qui participent à réinventer l’aménagement intérieur pour favoriser notre bien-être.  Exposition photographique : SELECTION OF PROJECTS – Hall A Le Project Wall ARCHITECT@WORK Paris 2020 présentera la diversité du travail des agences membres de World-Architects. Alors que les deux premières expositions portaient exclusivement sur le travail d’architectes, la sélection de 2020 montrera l’orientation interdisciplinaire de World-Architects.  World Architects.com – Profiles of Selected Architects est une plateforme de la scène architecturale actuelle, soigneusement élaborée et reconnue à l’échelle internationale, qui met l’accent sur l’architecture contemporaine. Elle rassemble des architectes, paysagistes, ingénieurs, designers, concepteurs d’éclairage et photographes. Exposition photographique – Lauréats DUO@WORK 2014-2019 – Hall B Dans le cadre de cette 12ème édition, le Comité de pilotage a souhaité présenter les lauréats des 6 premières éditions du concours DUO@WORK    organisé par l’UNSFA Ile-de-France-.  Ce prix distingue les projets qui associent, en étroite complémentarité, recherche architecturale et création industrielle innovante. Tout projet est éligible dès lors qu’il est le résultat d’un parcours concerté, entre un architecte et un industriel, en matière de réflexion, d’invention, de création ou d’adaptation d’un produit, ou d’un ensemble de produits. Les projets présentés sont récents, en cours d’élaboration ou de mise en œuvre.  A noter que le lancement de la 7ième édition de ce concours aura lieu à l’occasion de l’inauguration officielle d’ARCHITECT@WORK 2020. Exposition ACCESSIBILITÉ SÉCURISÉE – Hall A Que cela soit dans la rue, dans des lieux publics, dans un restaurant, un hôtel ou chez soi, l’accessibilité est au cœur des débats depuis la loi de 2015, Handicap 15. Les personnes en situation de handicap sont enfin reconnues car elles sont plus de 10 millions en France. Or 80% d’entre elles ont un handicap invisible…. Aujourd’hui, l’architecte doit intégrer tous ces paramètres dans ses projets et trouver des solutions techniques pour rendre nos vies inclusives et sécurisées au maximum. Depuis 2014, Francis van de Walle présente –à travers sa SENSES ROOM- des solutions pour répondre aux besoins et attentes de tous les handicaps ou maladies lourdes. Il élargit aujourd’hui sa réflexion à la prévention de la propagation d’une maladie virale qui voit le retour du cuivre, un métal qui neutralise tous les virus d’une façon naturelle et efficace. Interventions – Hall B En complément de ces expositions, des interventions d’architectes et de spécialistes principalement axées sur le thème ‘ESPACES DE VIE’. A noter : – une Carte Blanche Archinov dédiée à l’architecte Daniel Meszaros, agence Projectiles (musée de Lodève, musée du folklore wallon, Galerie d’histoire au Château de Versailles..)  – une table ronde ayant pour titre ‘Espaces d’après’ avec les architectes David Enon -agence TVK-, Sophie Delhay, Équerre d’Argent 2019, catégorie Habitat,, et Sarah Wertheimer-Vateau, Fondatrice chez De La Friche Au Projet. – une intervention de Jac Fol, Docteur en philosophie, architecte et chercheur à l’ENSA Paris-Malaquais. Pièces artistiques Faisant à nouveau le lien entre l’art et l’architecture, ARCHITECT@WORK Paris 2020 présentera des réalisations de la plasticienne Nathalie Camoin-Chanet. A la fois fine et puissante, révélant une subtile maitrise des lignes ondulatoires, la sculpture de Nathalie Camoin-Chanet est au croisement de deux influences qui laissent s’épanouir des œuvres aux lignes épurées vers une dynamique abstractive. La maîtrise des matériaux composites lui permet de projeter ses visions aériennes qui l’emmènent le plus souvent à exposer en extérieur. Les sculptures de Nathalie Camoin-Chanet sont paysage, le témoignage d’un flux de données contextuelles qui investit les lieux tant par les formes qu’il propose que par les histoires qu’il invente. ARCHITECT@WORK 2020 vous réserve un programme riche et animé, avec de nombreux nouveaux produits à découvrir et ce, dans un environnement sain et sécurisé.  PARIS EVENT CENTER – 24 & 25 septembre – 13ème édition Jeudi 24 septembre 2020 – 10h00 – 20h00 Vendredi 25 septembre 2020 – 10h00 – 19h00  
Il y a 4 ans et 289 jours

Abris voyageurs et abris bus nouvelle génération

Il existe différents types d’abri bus, dits aussi “abris voyageurs” ; des plus simples aux plus modernes, conçus par des designers ou des sociétés d’urbanisme orientées développement durable. Ouverts, fermés, en bois, béton, à technologie embarquée ou végétalisés, les abris bus sont très diversifiés.  Installer des abris voyageurs  Lorsque la question se pose d’installer des abris voyageurs, le choix doit se faire entre deux configurations :   l‘abri ouvert, dont les bardages sont transparents, le plus souvent constitués de verre ou de plastique ;  l‘abri fermé, dont les bardages sont opaques, constitués de bois ou de métal. Ce type d’abri protège mieux les voyageurs des éléments que l’abri ouvert.  Par ailleurs, l’installation d’abris voyageurs est soumise à réglementation et leur implantation ne peut se faire n’importe où. L’accès à un bus se faisant généralement par l’avant, l’abri voyageur devra être placé en tête de quai afin de faciliter la montée des voyageurs.  De même, le quai d’accès aux transports en commun devra répondre à des normes d’accessibilité spécifiques en termes de dimensionnement et de pente.  Végétalisés, technologiques : les nouveaux abris bus  Abris voyageurs végétalisés  Dans le contexte du réchauffement climatique et devant l’urgence de repositionner l’urbanisme pour concevoir des espaces urbains plus écologiques et replacer la nature au centre de ces espaces de vie, la Hollande a mis en place des abris bus végétalisés.   Depuis 2016, ce sont plus de 700 abris voyageurs aux toits couverts de verdure qui ont poussés comme des champignons dans les rues d’Utrecht, Rotterdam ou encore Apeldoorn.   Simples à installer et demandant peu d’entretien, ces abris bus végétalisés apportent comme principaux avantages un environnement visuellement plus agréable, ainsi qu’un geste de plus dans la lutte contre les îlots de chaleur urbain. En effet, en plein été, le toit d’un abri voyageurs en plastique ou en métal est jusqu’à 30°C plus chaud qu’un toit végétalisé.   Ces nouveaux modules d’abris bus offrent donc un confort supplémentaire aux voyageurs dans l’attente de leur moyen de transport.  Abris bus intelligents  Un pas de plus dans l’ère des smart cities est franchi, avec le développement parisien des abri bus dits “à haut niveau de service”. Écologiques et innovants, ces abris voyageurs sont équipés de mâts électroniques, de larges plans rétroéclairés, ou encore d’une annonce sonore sur demande et des numéros de lignes tactiles pour faciliter l’accessibilité des personnes malvoyantes.  Ces abris se veulent plus intuitifs dans la consultation des informations qu’ils prodiguent, telles que les informations en temps réel sur les horaires de passages des prochains bus et des messages sonores et visuels en cas de perturbation des lignes de bus.   Par ailleurs, leur aménagement est pensé en termes de confort usager : plus larges, ils comprennent davantage de places assises, dont certaines spécialement conçues pour faciliter l’accès aux personnes à mobilité réduite (PMR). Enfin, ces abris bus nouvelle génération s’intègrent parfaitement aux nouveaux usages et modes de consommation technologique, par leur équipement en chargeur de portable universel. 
Il y a 4 ans et 294 jours

Chaffoteaux associe la régulation connectée de série à ses systèmes de chauffage

CHAFFOLINK est pilotable par la voix avec les systèmes Google Home, Amazon Alexa ou Apple Home Kit, une fonction efficace et pratique pour tous, et en particulier pour les personnes âgées ou en situation de handicap. Pour les professionnels, il permet de superviser à distance et en temps réel le parc d'installations connectées avec la plateformeCHAFFOLINK évolued'accessibilité grâce à l'intégration de tutoriels dans toutes les fonctions de l'applicationde tranquillité d'esprit avec une chaudière ou une PAC sous contrôle permanentd'économies d'énergie grâce à de nouveaux éco-conseils personnalisés disponibles dans l'applicationd'interopérabilité avec les autres systèmesLa régulation connectée : comment ?Cette solution de pilotage à distance se matérialise par un kit comprenant une box jouant le rôle depasserelle de communication (via Wifi ou GPRS) entre la chaudière et une application mobile que l'utilisateur installe sur son smartphone, sa tablette (pour le particulier) ou son ordinateur (pour le professionnel), ainsi qu'un boîtier-thermostat permettant la régulation modulante de la chaudière. “Chaffolink a été pensé à la fois pour l'utilisateur final et pour le prestataire de service chargé de l'entretien de la chaudière” indique Benjamin d'Erceville.CHAFFOLINK : un concentré de technologies au service des particuliers et des professionnelsCôté utilisateur final : confort et simplicitéCHAFFOLINK permet un pilotage simple et personnalisé de la température. Il peut être programmé selon les plages horaires ou modifié à distance via l'application selon le scénarii souhaité. Plusieurs logements peuvent être gérés depuis le même compte et plusieurs comptes peuvent piloter le même logement grâce la fonction de gestion des invités.CHAFFOLINK étudie les habitudes de consommation pour les optimiser et l'estimation de la consommation énergétique (en kilowattheure) est accessible d'un clic.Un système de notifications en temps réel avertit l'utilisateur en cas d'anomalie et déclenche un service à distance si l'option a été retenue.CHAFFOLINK est une offre intéropérable permettant d'enrichir ses fonctionnalités autour de la sécurité, du contrôle des stores et volets, de l'efficacité énergétique… Elle est compatible avec la solution domotique Tahoma de Delta Dore et poursuit son développement avec d'autres plateformes d'intéropérabilité.Côté installateurs et prestataires de services : agilité et optimisation de la maintenanceCHAFFOLINK ouvre la voie au télédiagnostic à distance. L'application “CHAFFOLINK MANAGER” a été conçue comme une plateforme web à laquelle le professionnel accède pour superviser son parc de chaudières connectées sous contrat. Il reçoit une alerte en cas de défaut d'un équipement et, si le cas le permet, effectue le dépannage à distance et en temps réel.CHAFFOLINK offre également au prestataire la possibilité d'une maintenance prédictive grâce à l'historique des erreurs et des opérations effectuées sur la chaudière par l'utilisateur final ou un technicien. Optionnelle et payante, cette option est proposée aux clients particuliers en étant intégrée au contrat de maintenance annuel.Zoom sur ARIANEXT M : pompes à chaleur monobloc connectées de sérieLa gamme de PAC ARIANEXT M à très hautes performances énergétiques est idéale pour les maisons neuves et la rénovation. Ultracompacts et silencieux, les 4 modèles de la gamme correspondent à tout type d'habitation. ARIANEXT M s'adapte à toutes les zones climatiques pour offrir des puissances stables même dans les régions les plus froides. Connectées, les PAC ARIANEXT M sont livrées de série avec l'Expert Control Link et compatibles avec la solution de thermorégulation connectée ChaffoLink.Les pompes à chaleur connectées les plus performantes du marché :COP record jusqu'à 5,11 Efficacité énergétique saisonnière Eta s : jusqu'à 189 % (A+++)Gamme complète de solutions : puissances de 4 à 11 kW à -7 °C d'air extérieurSilencieuse : seulement 57 dB(A) de puissance acoustique à l'extérieurConnectivité ChaffoLink incluse de sérieARIANEXT M : 4 solutions adaptées à chaque besoinLa gamme ARIANEXT M se décline en deux solutions double service pour le chauffage et la production d'ECS (ARIANEXT COMPACT M et ARIANEXT FLEX M) et deux PAC monoservice pour le chauffage seul (ARIANEXT PLUS M et ARIANEXT LITE M).Les quatre solutions conviennent aussi bien aux projets de maisons individuelles neuves qu'aux projets de rénovation avec un régime d'eau chaude pour le chauffage de 20 °C à 60 °C. Les PAC sont compatibles avec tous les terminaux de chauffage : plancher chauffant ou radiateurs certifiés NF PAC pour des régimes d'eau de 25 à 55 °C.ARIANEXT COMPACT M, la solution tout-en-un ultra compacteARIANEXT COMPACT M réunit une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et une colonne tout-en-un intégrant un module hydraulique et un ballon de stockage pour l'eau chaude sanitaire de 180 litres. Solution la plus compacte du marché avec un encombrement au sol de seulement 60 x 60 cm, ARIANEXT COMPACT M trouve sa place aussi bien dans un garage, une buanderie ou même une cuisine grâce à son format “colonne”.ARIANEXT FLEX M pour s'adapter à toutes les habitationsARIANEXT FLEX M est la solution flexible par excellence qui assure la production du chauffage et de l'eau chaude sanitaire en version chauffage seul ou chauffage et rafraîchissement.Elle combine deux solutions hautes performances : une pompe à chaleur monobloc équipée de la technologie Inverter DC et un module hydraulique compact. Elle se décline en ballon déporté de 180 ou 300 litres. La solution idéale pour des profils de soutirage XL pour la production d'ECS.ARIANEXT PLUS M : la solution grand confortSolution grand confort, ARIANEXT PLUS M est une PAC mono service au design compact, combinant une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et un module hydraulique mural.La PAC peut être associée à un ballon thermodynamique de type AQUANEXT disponible en version 200 ou 250 litres, pour la production d'eau chaude sanitaire en grande quantité, parfait pour les habitations avec plusieurs salles de bain. La fonction rafraîchissement est assurée grâce à l'ajout d'un kit spécifique même après installation, pour un confort toute l'année. Elle peut également être reliée à des radiateurs basse et haute température et/ou à un plancher chauffant.ARIANEXT LITE M ou la PAC des installations sur-mesureARIANEXT LITE M est une pompe à chaleur monobloc ultra flexible qui a été conçue pour s'intégrer dans toutes les configurations par les installateurs. Son unité extérieure Inverter DC assure le chauffage et en option, le rafraîchissement. PAC mono service, elle s'intègre parfaitement avec l'installation existante et facilite les projets de travaux tout en optimisant le confort de chauffe. Ultra compacte, elle affiche des performances records avec un COP de 5,11.
Il y a 4 ans et 295 jours

rhb architectes : École maternelle Vauban

À Strasbourg (67), l’agence rhb architectes offre une seconde vie à l’école maternelle Vauban. Cette rénovation complexe menée avec brio par les architectes s’est articulée autour de la modernisation des salles de classes et de la bibliothèque, du réaménagement des espaces de repos et d’activité, ainsi que de la restructuration de la cantine et des sanitaires. À la demande de la Ville de Strasbourg, les maîtres d’œuvre ont rénové, restructuré et remis aux normes l’école maternelle Vauban, un établissement historique qui comprend un bâtiment principal construit au milieu des années 1950 et plusieurs extensions ajoutées dans les années 1990. À la croisée des quartiers de la Neustadt et du Port du Rhin, le complexe scolaire bénéficie d’une implantation privilégiée entre ville et port, particulièrement mise en valeur par les équipes de rhb architectes. Dans le cadre de cet ambitieux projet de rénovation, les architectes ont souhaité renforcer le dialogue entre intérieur et extérieur. Côté ville, une large rampe d’accès met l’accent sur l’entrée de l’établissement et sa dimension institutionnelle, tout en garantissant son accessibilité à tous les publics. Côté cour, la rotonde historique, ouverte à 360° sur un paysage arboré, accueille une salle de jeux. À l’extérieur, des zones d’activité ont été réaménagées. Dotée de nouveaux équipements comme une aire de jeux, un abri de rangement et une salle de classe en plein air, la cour est désormais un espace d’expérimentations propice à l’éveil des jeunes élèves.À l’intérieur, les qualités spatiales de l’établissement ont été revalorisées. Les maîtres d’œuvre ont en effet choisi de souligner la générosité de la circulation, la grande hauteur sous plafond et la monumentalité des escaliers en conjuguant des éléments d’architecture existants à des meubles en pin conçus sur mesure. Ce mobilier contemporain sert aussi bien aux usages des élèves et du corps professoral qu’à l’amélioration de l’acoustique et à la dissimulation des organes techniques. Pour ce réaménagement de l’école maternelle Vauban, rhb architectes ont ainsi cherché à magnifier l’architecture du bâtiment historique tout en apportant à l’ensemble une touche contemporaine. Pour en savoir plus, visitez le site de rhb architectes.Photographies : © rhb architectesLa Rédaction
Il y a 4 ans et 310 jours

Chronologie et ambitions du projet de rénovation de la gare du Nord à Paris

2017-2020 : Les dates-clé du projetLe projet autorisé le 6 juillet 2020 a été déclaré d'intérêt général au terme d'un processus démocratique et en respectant toutes les obligations légales qui s'imposaient :Février 2017 : loi sur le Grand Paris. La loi autorise expressément SNCF Gares & Connexions à procéder à la rénovation de la Gare du Nord en faisant appel à un investisseur privé. Il est spécifié qu'il n'y aura pas de mobilisation d'argent public et que cet investisseur privé supportera seul le financement et les risques de l'opération qui mobilise des investissements à hauteur de 600 millions d'euros.Mai 2017 - Février 2019 : Lancement et déroulement d'un appel d'offres public européen. Au terme de cette procédure concurrentielle, qui est aujourd'hui définitive car elle n'a pas été contestée, SNCF Gares & Connexions a désigné Ceetrus comme co-investisseur pour créer la SA Gare du Nord 2024.Juin - Juillet 2017 : Déroulement de la première concertation publique, prévue par les dispositions applicables au projet.9 Juillet 2018 : Présentation à la presse du projet par SNCF, Ceetrus et la Ville de Paris.24 Octobre 2018 - 26 février 2019 : Ouverture de la procédure de droit d'initiative permettant de demander l'organisation d'une concertation préalable au titre du code de l'environnement par la commission nationale du débat publique.Mars - Avril 2019 : Seconde concertation publique organisée volontairement par la SA Gare du Nord 2024.Octobre 2019 : Avis favorable de la Commission Nationale d'Aménagement Commercial.Novembre 2019 à Janvier 2020 : Déroulement de l'enquête publique, au terme de laquelle la Commission d'enquête publique a rendu un avis favorable au projet le 25 février 2020.6 Juillet 2020 : Délivrance du permis de construire par le Préfet de la Région d'Ile-de-France Le dossier de permis de construire a donc reçu l'avis favorable de la commission d'enquête publique et des services instructeurs, des architectes des bâtiments de France, des responsables des monuments historiques mais aussi de la Préfecture de police de Paris.Une méthode concertée avec les parties prenantes dont la ville de ParisDès le lancement du projet en mai 2017, un comité de coordination partenarial a été mis en place, réunissant l'Etat, la Ville de Paris, la Mairie du 10ème arrondissement, Ile de France Mobilités et la RATP. Il a donc permis d'associer étroitement l'ensemble des acteurs à chacune des étapes du projet.La Ville de Paris, à l'instar des participants au comité partenarial a été consultée dans la définition du programme. Pendant la phase d'analyse des projets, plus de 200 réunions ont été organisées avec l'ensemble des services de la Ville. Elles ont abouti à plusieurs accords structurants.Un Projet Urbain Partenarial conclu le 9 mai 2019 entre la Ville de Paris et la SA Gare du Nord 2024 porte sur l'amélioration des espaces publics dans le quartier de la Gare du Nord et l'amélioration de la desserte de la gare. La SA Gare du Nord 2024 s'est engagée à financer à hauteur de 6.509.375 euros TTC (soit 75 % du coût total estimé des travaux, soit 8,7 millions d'euros) les équipements publics autour de la gare du Nord.Un protocole signé en juillet 2019 entre la Ville de Paris, la SA Gare du NORD 2024 et SNCF Gares & Connexions acte des accords stratégiques sur la solidarité, l'intermodalité (notamment la création de 2.000 places de stationnement pour vélos en plus du nombre équivalent de places créées directement par la Ville de Paris), la qualité de la programmation commerciale et culturelle, les dimensions du bâtiment ou encore sur les apports et innovations écologiques de la future Gare du Nord.La SA Gare du NORD 2024 a également pris l'engagement de mettre en place des modalités de concertation avec la mairie de Paris et la mairie du 10ème arrondissement et d'information transparente et régulière des riverains sur les avancées du projet. Dans une lettre transmise à SNCF Gares & Connexions le 7 mai 2020, la Ville de Paris a formulé le souhait de travailler autour des 5 chantiers suivants : « un calendrier phasé selon les priorités et contractualisé entre les parties prenantes » ;« l'abandon de la séparation des flux d'entrée et de sortie » ; « la dé-densification du projet » ; « une plus grande ouverture sur le quartier » ; « l'amélioration de l'intermodalité ».De nombreuses réunions organisées en mai et juin 2020 regroupant les services de la Ville de Paris, Ceetrus et SNCF Gares & Connexions ont débouché sur des propositions d'évolution saluées par l'ensemble des parties prenantes du projet lors d'une réunion tenue sous l'égide du Préfet de la Région d'Ile-de-France le 23 juin 2020 en présence des représentants de la Ville de Paris, de la mairie du 10ème arrondissement, de Ceetrus, de la SA Gare du Nord 2024 et de SNCF Gares & Connexions. La Ville de Paris n'a toutefois pas signé le protocole qui actait l'accord des parties.SNCF Gares & Connexions et la SA Gare du Nord 2024 souhaitent poursuivre le dialogue avec la Ville de Paris pour aboutir à un nouvel accord acceptable par toutes les parties.A l'issue de ce processus, le Préfet de la Région d'Ile-de-France, fort de la parfaite régularité du dossier et de son instruction, a délivré le permis de construire le 6 juillet 2020.Les points forts du projet de rénovationD'après les enquêtes clients menées par SNCF Gares & Connexions, les voyageurs comme les riverains font face à de sérieuses difficultés aussi bien à l'intérieur (inconfort de l'attente, manque de lisibilité des espaces) qu'à l'extérieur de la gare (insécurité, malpropreté, multiplication des trafics illicites).Le projet a pour objectif de placer la gare du Nord au niveau des autres grandes gares européennes, tant en termes d'équipements, d'accessibilité, d'intermodalité que de capacité. Et, ce avec une perspective d'une entrée en service pour les Jeux Olympiques de 2024.La modernisation de l'infrastructure ferroviaire : La Gare du Nord est une infrastructure vitale pour Paris, l'Île-de-France, les Hauts de France et le Nord de l'Europe. Rénovée en 2001 pour accueillir 500 000 visiteurs, elle se trouve être largement saturée aujourd'hui avec plus de 700 000 personnes la fréquentant chaque jour. Les estimations montrent que la fréquentation de la gare du Nord devrait progresser pour atteindre près de 900 000 personnes par jour en 2030 (en raison de l'augmentation annuelle de fréquentation des RER B et D, des reports attendus suite au prolongement du RER E vers l'Ouest, ainsi que de l'augmentation continue des déplacements par TGV, Eurostar et Thalys). Le projet va améliorer les liaisons entre la gare de surface TRANSILIEN et la gare souterraine banlieue. Il est vital pour le développement du transport ferroviaire en Ile-de-France comme vers l'Europe du Nord.Le renforcement de l'intermodalité : Le projet renforce la place accordée vélo (+ 2.000 places en plus de celles que la Ville de Paris s'est engagée à créer).Un modèle de développement durable : Le Projet entend s'affirmer comme un modèle de développement durable, ancré dans le souhait de relance verte des Français. Il a ainsi été conçu pour limiter au maximum son impact sur l'environnement et mettre en œuvre une démarche développement durable ambitieuse tout au long de sa vie.La SA Gare du Nord 2024 ambitionne une construction bas carbone, qui se traduira notamment par l'obtention de 4 certifications parmi les plus exigeantes : BREEAM Outstanding, Well Gold, Label Énergie Carbone (E+C-) niveau E3C1 et Biodiversity.Afin de réduire la consommation en ressources et en énergies, le projet aura recours à des panneaux photovoltaïques et à au nouveau système de récupération des eaux de pluie.Une fois rénovée, la gare offrira aux habitants du quartier un nouvel espace vert de 11.400 m² dont 6.000 m2 accessibles à tous. Ce parc paysager en toiture représentera un îlot de fraicheur au sein de la Gare et du quartier. Il permettra de créer une zone perméable et favorisera le retour de la biodiversité avec plus de 10.000 m² de végétaux, dont 150 arbres nouvellement plantés.Une nouvelle vie dans la gare pour les voyageurs et les habitants du quartier.En 2018, lors de la présentation du projet, la Ville de Paris indiquait que la gare du Nord « sera plus accueillante, plus verte, plus sûre, et mieux intégrée à son quartier ».A ce titre, la gare du Nord :améliorera l'accueil de tous les voyageurs, avec une priorité pour ceux atteints de handicaps, notamment grâce à la création de plus de 100 nouveaux ascenseurs et escalators ;comprendra une offre de services et de commerces de proximité de qualité, complémentaires de ceux existants dans le quartier ; par ailleurs, l'organisation de la gare du Nord facilitera l'accès aux services essentiels comme un cabinet médical, La poste, ou à ceux correspondant aux nouveaux besoins des voyageurs, comme un atelier de réparation de vélo ou encore des vestiaires ;comprendra des jeux pour les enfants, de terrains de sport et de tables de pique-nique, ainsi que des fontaines à eau ;offrira une programmation culturelle de qualité.Un projet permettant la création de 800 emplois pendant la phase des travaux et de plus de 2.000 emplois dans la phase d'exploitation de la gare du Nord rénovée.
Il y a 4 ans et 316 jours

Sécurité et accessibilité des piétons durant un chantier

Du fait de la transformation perpétuelle du paysage urbain, les chantiers se multiplient dans les villes et, avec eux, les difficultés de circulation pour les différents usagers de la route. Parmi eux, le profil le plus sensible est celui des piétons, qui doivent faire l’objet d’une attention particulière en matière de sécurité et d’accessibilité, durant toute la phase de travaux.  Intérêts de la prise en compte des piétons durant un chantier  Il n’est pas toujours simple de se déplacer dans une rue ou un quartier en chantier. Si les raisons de réaliser des travaux publics sont variées, les usagers qui cohabitent dans l’espace urbain le sont tout autant. Aussi, pour limiter les risques liés à l’impact de travaux sur le cheminement des piétons, tout un ensemble de règles et de préconisations sont mis en place. Leur objectif est double :  garantir la sécurité des piétons face aux risques liés au chantier et à la circulation,  conserver une accessibilité du cheminement pour l’ensemble des piétons.  Ces notions de sécurité et d’accessibilité sont d’autant plus importantes qu’elles englobent les personnes valides, mais également celles porteuses d’un handicap, ainsi que les personnes dites “en situation de mobilité réduite”, comme les femmes enceintes, les personnes avec poussette ou chariot, les usagers étrangers ne comprenant pas la langue, les piétons distraits par leurs écouteurs, etc.  Les obligations quant à la sécurité et à l’accessibilité des piétons  Afin d’assurer l’accessibilité et la sécurité des piétons durant la phase de chantier d’un espace public, les acteurs du BTP sont soumis à des obligations réglementaires, ainsi qu’à la mise en place d’une signalisation claire.  Obligations réglementaires  Qu’il s’agisse d’entreprises privées ou de collectivités publiques, les obligations réglementaires sont issues des textes réglementaires à la coordination pour la sécurité et la protection de la santé (SPS) sur les chantiers.  Ainsi, comme dans le cadre légal général, l’accessibilité doit être garantie par le biais de passages piétons, ressauts, équipements, mobiliers et cheminements. Par ailleurs, tous les chantiers ont obligation d’assurer la continuité du cheminement piéton en priorisant l’accès au trottoir ou l’aménagement sécurisé d’une portion de chaussée. La traversée de celle-ci ne doit être envisagée qu’en dernier recours.  La réglementation fixe également des largeurs minimales de cheminement, afin d’assurer la libre circulation des individus sur l’espace public.  Obligations de signalisation temporaire  La signalisation a pour rôle d’alerter et guider les usagers de la voie public pour garantir leur sécurité. Également, elle va leur permettre d’adapter leur comportement face à une situation de circulation perturbée.  Ainsi, en milieu urbain, différents balisages doivent former une barrière physique entre le cheminement et l’espace de travaux, afin d’assurer la sécurité sur la voie publique et sur le chantier. Par ailleurs, la position et l’encombrement du chantier doivent être signalés et si l’équipement nécessaire aux travaux déborde sur le trottoir, un espace minimum de 1,40 mètre doit être aménagé pour garantir la circulation des usagers, quelle que soit leur situation.  Quid de l’accessibilité et la sécurité des cyclistes ?  En plus des usagers piétons, une attention particulière doit être portée à la sécurité et à l’accessibilité des cyclistes. En effet, lors de chantiers les pistes et bandes cyclables peuvent se trouvées coupées ou déviées. Il est alors nécessaire d’instaurer une signalisation temporaire efficace, au moyen de panneaux ou de marquages au sol.  En l’absence d’une prise en compte des cyclistes, ceux-ci peuvent se trouver en situation gênante, s’ils empruntent le cheminement piéton, un passage généralement réduit, vélo à la main. Également, leur sécurité peut être altérée par une continuité sur la chaussée, dans des conditions dégradées si celle-ci est réduite, abîmée ou que la circulation est interrompue.
Il y a 4 ans et 322 jours

PORCHER facilite le choix des professionnels avec ses packs lavabo + robinetterie adaptés au secteur de l’enseignement

Dans les établissements scolaires, le choix des sanitaires est une préoccupation majeure. Il en dépend de la santé et de la sécurité des utilisateurs. Les solutions sanitaires doivent répondre aux besoins de chacun, des plus petits aux plus grands, comme aux gestionnaires de l’établissement. Porcher, marque experte du secteur de l’éducation depuis plus de 100 ans, propose une offre complète d’équipements sanitaires (lavabos, robinetterie, WC, urinoirs, …) adaptés à tous les âges, alliant confort, hygiène, fiabilité et facilité d’entretien. Pour répondre aux besoins spécifiques de ce secteur et faciliter le choix des professionnels, Porcher a créé des packs dédiés comprenant lavabos et robinetterie temporisée OLYOS TEMPO. A chaque configuration, son Pack Lavabo collectif + Robinetterie Porcher Dans le secteur de l’enseignement*, les sanitaires pour les élèves sont soumis à des règles strictes en matière d’hygiène, de sécurité et d’accessibilité. Leurs surfaces sont fractionnables en fonction du nombre de classe (30 m2 pour 3 classes, 80 m2 pour 9 classes, 100 m2 pour 12 classes) et leur quantité dépend du nombre et du sexe des élèves (filles : 1 WC pour 20 élèves ; garçons : 1 WC pour 40 et 1 urinoir pour 20 ; lavabos : 1 jet pour 20 élèves). Afin de proposer des solutions adaptées aux besoins spécifiques des écoles maternelles, des établissements scolaires du primaire, du secondaire et des universités, Porcher a créé sept packs associant lavabos collectifs et robinetterie temporisée OLYOS TEMPO. Répondant à toutes les configurations, ces packs sont adaptés à la taille des utilisateurs et aux contraintes d’hygiène, d’économies d’eau, de confort et de durabilité auxquelles ce secteur est confronté : Pack lavabo circulaire Contour 21 avec 6 robinets OLYOS TEMPO muraux A installer sur pied (hauteur de 50 ou 80 cm), le lavabo circulaire Contour 21, de 95 cm de diamètre, en Solid Surface ou en céramique au choix, comprend une colonne nue à équiper des 6 robinets temporisés muraux OLYOS TEMPO. Grâce à leur bouton poussoir, le fonctionnement de la robinetterie est automatique. Prix public HT modèle en Solid Surface : 2249 € Prix public HT modèle en céramique : 2342 € Pack colonne nue circulaire Contour 21 équipée de 6 robinets temporisés chromés OLYOS TEMPO muraux Prix public HT : 967,20 € Pack lavabo collectif Contour 21 (100 x 40) avec 2 robinets OLYOS TEMPO, bonde et console Avec ses formes arrondies, sans angle vif, et sa finition latérale à bord droit pour une installation en batterie, le lavabo en céramique Contour 21, sans trop plein, dispose d’une cuve d’une profondeur de 18 cm. Les deux robinets OLYOS TEMPO se fixent sur le dosseret en céramique à commander séparément. Le pack comprend également une bonde à grille de 60 cm de diamètre ainsi qu’un sachet de 2 consoles de 35 cm pour l’installation. Prix public HT : 439,90 € Pack lavabo collectif Contour 21 (120 x 40 x H 18,20 cm) en résine avec 2 robinets OLYOS TEMPO, sur plage Réalisé en résine Evermite, le lavabo Contour 21 présente une surface brillante et bénéficie d’une très haute résistance, garantie 10 ans. Doté d’une profondeur de cuve de 16 cm, le lavabo est livré pré-percé pour la mise en place des deux robinets OLYOS TEMPO sur plage. Prix public HT :689 € Pack lavabo collectif Auge (95 x 33 x H18 cm) avec 2 robinets OLYOS TEMPO, une bonde à grille et consoles Avec une profondeur de cuve de 16 cm, le lavabo en céramique Auge se fixe sur 2 consoles de 25 cm comprises dans le pack. Il peut être installé en batterie avec un couvre-joint porte-savon (en option). Prix public HT : 394 € Pack lavabo collectif Thoiry (90 x 39,5) avec 2 robinets OLYOS TEMPO D’une hauteur totale de 33 cm, le lavabo en céramique Thoiry avec dosseret non percé peut également être monté en batterie avec un couvrejoint (en option). Deux robinets OLYOS TEMPO et une bonde à grille sont inclus dans le pack. Prix public HT : 492,50 € OLYOS TEMPO, une gamme de robinetterie alliant économies d’eau, hygiène et durabilité Ergonomiques et durables, les robinets temporisés OLYOS TEMPO intégrés dans les packs se déclinent à eau froide. Grâce à leur système de temporisation régulant l’écoulement de l’eau à 6 secondes, conformément à la norme UNI-EN-816, ils permettent de réaliser jusqu’à 60% d’économies d’eau par rapport aux modèles classiques. Equipés d’un régulateur, ils offrent un débit d’eau réduit (3L/mn) et répondent ainsi aux exigences d’économies de la certification environnementale HQE cible 5 « gestion de l’eau » ou BREEAM. Fabriqués en laiton massif chromé anticorrosif (M1/2’’), ils sont faciles à nettoyer. Pour limiter les éclaboussures et la formation de calcaire, les robinets sur plage et muraux sont dotés d’un brise jet. Garantis 10 ans, les robinets OLYOS TEMPO se distinguent par leur durabilité et leur résistance aux utilisations très fréquentes d’autant plus importantes en période de crise sanitaire pour respecter les gestes barrières. « Tout en un », les packs Porcher dédiés aux établissements scolaires, comprenant lavabos collectifs et robinetterie temporisée, représentent une solution fiable et synonyme de gain de temps pour les professionnels. *Source observatoire national de la sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement https://www.porcher.com/accueil.html
Il y a 4 ans et 325 jours

La France très en retard en matière d'accessibilité malgré la loi handicap de 2005

Dans un rapport fleuve adressé au président de la République et au Premier ministre Jean Castex, l'institution présidée par Jacques Toubon, qui quittera son poste mi-juillet, formule 120 recommandations pour mettre la France en conformité vis-à-vis de ce texte ratifié en mars 2010."Si de nombreux progrès ont été réalisés ces dernières années, d'importantes lacunes subsistent", soutient-elle, estimant que "la France n'a pas encore pleinement pris en considération le changement de modèle" induit par la CIDPH.Elle dresse un constat "particulièrement préoccupant" en matière d'accessibilité, pointant les "réticences persistantes des pouvoirs publics" à l'appréhender comme une "condition préalable essentielle à la jouissance effective des droits par les personnes handicapées".Commerces, transports en commun, voirie, tribunaux, lieux de santé, de loisirs... Il y a "une absence d'accessibilité de la totalité de la chaîne de déplacement", constate le Défenseur, déplorant également que la loi Elan, votée en 2018, abaisse de 100% à 20% le quota de logements accessibles dans les programmes neufs, les autres logements devant simplement répondre à une condition d'évolutivité.La loi handicap de 2005 avait prévu que les lieux et transports publics devaient être accessibles aux personnes handicapées avant le 1er janvier 2015, or cette échéance n'a pu être respectée pour tous et des délais ont été autorisés. Malgré l'interdiction faite par la loi de refuser l'accès des chiens guides d'aveugle ou d'assistance dans les transports ou les lieux ouverts au public, M. Toubon dit être régulièrement saisi de tels refus, "jamais verbalisés".Concernant les enfants handicapés, s'il salue "l'impulsion en faveur de l'école inclusive" - quelque 360.000 enfants étaient scolarisés cette année contre 151.500 en 2006 - il estime que l'accompagnement humain individuel de chaque enfant ne peut être la seule réponse et pointe "les carences institutionnelles qui imposent également à l'école de s'adapter en formant les enseignants ou en aménageant la scolarité".En 2019, le handicap était, pour la troisième année consécutive, le premier motif de saisine du Défenseur des droits en matière de discrimination (22,7% soit 1.237 saisines).La France devait être auditionnée sur son application de la CIDPH en septembre 2020 à l'ONU mais ce rendez-vous a été reporté à cause de la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 338 jours

La FFB verdit ses propositions pour enrayer la chute d’activité

Aujourd’hui, alors que la crise sanitaire s’estompe, 17 % des chantier du bâtiment se trouvent encore en activité réduite et 5 % toujours à l’arrêt. Pour la FFB, qui vient de publier sa dernière note de conjoncture, la cicatrice restera profonde puisque nos prévisions révisées pour 2020 tablent sur une chute d’activité bâtiment de 18 % hors effet prix et la perte d’environ 120 000 emplois. Le décrochage pourrait atteindre jusqu’à 200 000 postes en 2021 si rien n’est fait. Pour Olivier Salleron, le nouveau président de la fédération, il faut un plan à « prise rapide », pour limiter le trou d’air de septembre et les pertes d’emplois associées, qui en interdiraient la réalisation. Il convient de mobiliser le plus possible les dispositifs qui existent déjà, bien connus et maitrisés. La préoccupation écologique ressort primordiale. En matière de rénovation énergétique, la FFB propose de renforcer le couple CITE-MaPrimeRénov’, au moins pour une période couvrant la fin 2020 et l’année 2021. Elle propose : – de ramener à quelques centaines d’euros le reste à charge pour les ménages très modestes et modestes. Aujourd’hui, les aides nationales couvrent au mieux 90 % des travaux énergétiques, ce qui laisse souvent un montant bien trop important à la charge des ménages visés pour déclencher des opérations. – de restaurer l’éligibilité complète des ménages des déciles 9 et 10 de revenu, soit à partir de 50 000 euros avant impôt par an pour un couple sans enfant, avec les mêmes barèmes que les ménages intermédiaires. Ce sont eux qui ont accumulé le plus d’épargne « forcée » pendant le confinement ; l’orienter vers des travaux de performance énergétique constitue un bon moyen d’alimenter une croissance durable dans notre pays. – de relever de 150 à 400 euros/m² le forfait pour les rénovations globales, dont le coût s’approche souvent des 500 euros/m² dès lors qu’il s’agit de tendre ou d’atteindre le niveau BBC rénovation. Il s’agit d’une des mesures phares du plan FFB. Cette forte majoration doit permettre de prendre en charge une partie des gros travaux non énergétiques qui accompagnent une telle rénovation. C’est aussi un moyen efficace pour que les phases de gros travaux embarquent plus systématiquement la performance énergétique. En première analyse, nous estimons que 50 000 ménages pourraient s’inscrire dans une telle démarche à l’horizon de la fin 2021. La FFB propose même d’aller un pas plus loin, avec une prime poussée à 500 euros/m² en cas de prise en charge complémentaire de l’accessibilité. – de rendre éligibles au CITE, puis à MaPrimeRénov’ les résidences secondaires en zone de revitalisation rurale, parc dont l’importance a été soulignée par la crise sanitaire et qui permet de générer de l’activité, donc de l’emploi, sur ces territoires. – à ce que tous les travaux d’amélioration-entretien bénéficient d’une TVA réduite à 5,5 %. En ce qui concerne le neuf, la FFB propose deux améliorations au PTZ. La première se résume au retour à un prêt de 40 % du montant de l’opération sur tout le territoire. De fait, contrairement aux attentes, le rabotage à 20 % en zones B2 et C depuis 2018 n’a pas conduit les candidats à l’accession vers des zones plus urbaines ou vers l’ancien, mais plus loin des villes et villages pour y trouver un terrain à bâtir moins cher. La baisse de l’aide a donc été vecteur d’étalement urbain. Il convient de revenir en arrière. La seconde proposition correspond à une majoration temporaire à 60 % de la quotité pour les opérations affichant une performance meilleure que la règlementions en vigueur dans le neuf, avec un label « RE 2020 » à définir, ou pour des opérations associées à des travaux permettant un saut de deux classes du diagnostic de performance énergétique (DPE) dans l’ancien. Graphique : Réseau des CERC/FFB/CAPEB
Il y a 4 ans et 339 jours

Covid-19 : Cemex accompagne au mieux les acteurs du BTP grâce à son offre « Construire autrement »

Cette offre s'articule autour de trois volets : la protection des hommes, la relation clients et l'apport de solutions concrètes pour faire face aux nouvelles contraintes rencontrées par les entreprises de construction sur les chantiers, comme par exemple, limiter les manipulations, faciliter la distanciation physique ou encore rattraper les retards accumulés durant la période de confinement. « Maintenir l'activité de l'industrie de la construction est crucial, aussi bien pour l'économie française que pour la lutte sanitaire », indique Jean-Marie Modica, directeur matériaux France Sud. « Le secteur crée des infrastructures et des aménagements essentiels comme des établissements de santé ; CEMEX souhaite contribuer à cet effort en proposant des solutions facilitatrices à ses clients », ajoute-t-il.Protéger les hommesGrâce à l'élaboration de protocoles stricts de santé et sécurité spécifiques et à la sensibilisation de ses collaborateurs, CEMEX garantit la fourniture de matériaux de construction en toute sécurité, que ce soit lors de l'enlèvement des matériaux sur les sites CEMEX ou lors de la livraison et mise en œuvre des matériaux sur chantier. Par ailleurs, fort de son savoir-faire et de son dispositif industriel dédié à la fabrication d'adjuvants, CEMEX Admixtures a, dès le début de la crise sanitaire, adapté ses chaînes de production pour produire une solution hydroalcoolique que CEMEX commercialise à prix coûtant auprès de ses clients.Maintenir le lien à distance« Les équipes CEMEX se sont mobilisées pour analyser quelles solutions digitales pouvaient être mises en œuvre afin de faciliter les activités de nos clients en télétravail ou sur les chantiers sur lesquels la distanciation doit être assurée », indique Stéphanie Godicheau, responsable commerce digital. La plateforme digitale CEMEX Go est un outil pratique, rapide et sûr. Grâce à cette plateforme, les clients commandent leurs matériaux, suivent les livraisons, accèdent aux bons de livraison et factures depuis leur ordinateur ou téléphone, le tout à distance. Le contact physique est ainsi réduit au maximum.Améliorer la productivité des chantiersAvec son offre produits, CEMEX apporte un soutien précieux quant à la gestion des chantiers. La gamme evolution® des bétons autoplaçants diminue le nombre d'interventions humaines lors du coulage, les chapes fluides optimisent le temps de travail et les bétons fibrés suppriment la manipulation d'armatures. Hydratium® remplace les opérations habituelles de cure du béton tandis que les granulats en big bags limitent les manipulations et optimisent l'espace sur les chantiers. Les bétons Promptis®, CXB® Rapide et CXB® Accéléré permettent quant à eux de gagner en temps et en efficacité.Par ailleurs, la flotte des matériels de livraison CEMEX est adaptée aux contraintes inhérentes aux chantiers : accessibilité en hauteur, éloignement du point de coulage... En plus de la productivité, les pompes, malaxeurs-pompes et malaxeurs-tapis améliorent également la sécurité des équipes sur site et facilitent la mise en œuvre du béton.
Il y a 4 ans et 346 jours

Renforcer une structure par des matériaux composites à base de fibres de carbone

A un moment ou à un autre, un ouvrage aura besoin d’un entretien plus ou moins poussé, d’une réparation, voire d’un renforcement structurel. [©ACPresse] 1 – Quelles sont les solutions permettant un renforcement structurel d’un ouvrage en béton ?  Plusieurs raisons imposent de renforcer une structure en béton : impact accidentel ou incendie, erreur de conception ou de positionnement des armatures, mise en conformité d’un ouvrage existant ou encore changement de destination de l’ouvrage.  Selon le type d’ouvrages, la nature de la dégradation, le moment de l’intervention ou l’accessibilité au chantier, les techniques de renforcement peuvent être différentes. On en dénombre six différentes. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne  
Il y a 4 ans et 349 jours

Kadoor de Thirard, l'ouvre porte au pied qui facilite le quotidien après le Covid-19

Créé par l'agence LS Design et fabriquée par Thirard, Kadoor est une solution très pratique au quotidien et (presque) sans contact pour tous les professionnels en milieu hospitalier, industries, entreprises, lieux publics et particuliers.Kadoor, où comment ouvrir et fermer facilement les portes avec le pied !Kadoor a été pensé pour rendre l'ouverture des portes accessible à tous. En complément d'une poignée classique, l'ouverture au pied est rendue possible grâce à une béquille installée en bas de la porte. Poignées haute et béquilles basses sont reliées par un câble (ou une tige métallique fine) placé le long de l'ouvrant.En appuyant sur la béquille basse - la pédale - avec un pied, la poignée haute s'actionne. Le système de câble et de biellettes Kadoor entraine la rotation du carré et le retrait du pêne ½ tour. La serrure est ouverte, la porte est libérée. Elle peut donc être ouverte puis refermée en la tirant ou la poussant avec le pied. Des caoutchoucs placés sur les béquilles basses facilitent encore les mouvements exercés sur la porte avec le pied.Kadoor est un dispositif discret et très simple à installer. En seulement quelques minutes, toute porte intérieure devient plus accessible. Pour ouvrir les portes, c'est vraiment le pied !Kadoor libère vos mouvements !Kadoor est ingénieux ! Il permet l'accessibilité à toutes les personnes se déplaçant les mains prises par des colis, des documents ou même des cafés… Ce système apporte également une solution pour certaines personnes ayant un handicap en leur permettant de gagner en autonomie.Cet ouvre porte est aussi un accessoire « propre » puisqu'il évite tout contact avec les mains. Il sera donc très utile dans un environnement industriel, des cuisines ou des ateliers, où l'on est souvent amené à avoir les mains sales.Permettant une ouverture des portes sans contact, Kadoor devient par extension une réponse évidente et indispensable aux problématiques de sécurité sanitaire actuelle. Une solution plus hygiénique que l'ouverture des portes avec les mains !Kadoor, c'est la simplicité et la sécurité au service de tous !Pensé par LS Design, fabriqué par Thirard, Kadoor réinvente l'ouverture de porte pour améliorer le bien-être de tous vos collaborateurs quel que soit le secteur : médical, industrie, entreprises de service, artisanat, salons de coiffure, restaurants… ou même particuliers en recherche de solutions astucieuses pour leur garage, Kadoor permet d'ouvrir la majorité des portes intérieures tout en assurant une utilisation saine et accessible au plus grand nombre !Le nouveau Kit main libre Kadoor MK1 (garniture sur rosace) est disponible dès juillet 2020 au prix public de 49.76 euros TTC
Il y a 4 ans et 363 jours

Quelles solutions pour concevoir des bâtiments répondant aux nouveaux enjeux sanitaires ?

Patrick Nossent, président de Certivéa : « Alors que le pays entame un long processus de déconfinement, un retour possible au bureau, à l'école, dans les magasins impose des réaménagements et changements d'usages en urgence au sein des bâtis. Mais pour répondre à ces enjeux sanitaires sur le long terme, nous devons aller plus loin et concevoir des bâtiments sains et performants, qui assurent une fonction de refuge, en temps de crise mais pas seulement. »Qualité sanitaire, flexibilité, connectivité, services : l'avènement du bâtiment refugePatrick Nossent : « L'Organisation Mondiale de la Santé définit la santé comme un état de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie. La santé passe donc par le confort, la qualité des services, mais également la protection contre les évènements climatiques extrêmes. Qualité du bâtiment, flexibilité des espaces, connectivité et bonnes pratiques vont jouer un rôle central pour la qualité de vie des occupants. »1. Les qualités intrinsèques du bâtiment : qualité de l'air intérieur, de l'eau et de l'entretien des espacesVentilation, filtres, mesure de la qualité de l'air intérieur ;Mesure de la qualité de l'eau, traitements d'entretien et décontamination des réseaux intérieurs pour éviter l'altération des propriétés organoleptiques (odeur, couleur, goût, etc.), la modification des caractéristiques physico-chimiques (température, dureté, concentrations en métaux et composés organiques et contamination microbiologique ;Mesure des polluants ; mesure des seuils d'ondes électromagnétiques ;Matériaux antibactériens et faciles à entretenir ; espace de stockage des déchets, etc.2. Accessibilité et flexibilité du bâtiment pour s'adapter aux besoins des usagerAménagements intérieurs modulables pour la gestion des flux de personnes, l'espacement des postes de travail ;Modularité des usages d'un bâtiment, en particulier bâtiment public : de salle communale à lieu d'accueil pour sans-abris, de centre de congrès à hôpital de campagne, de village vacance à centre de quarantaine, etc.3. La connectivité et le numérique pour garantir le maintien de toutes les interactions, en toutes circonstancesPour organiser le télétravail, nécessité de pouvoir compter sur des réseaux sécurisés, fiables avec des outils de partage et de collaboration en ligne ;Services d'informations pour favoriser l'application des consignes sanitaires : nombre de personnes dans une salle, un étage, le nombre de voiture dans un parking ; montres connectées pour signaler la distance de sécurité ; état du trafic des réseaux de transports en commun pour éviter la cohue, etc.Ouverture des portes sans contact ;Nettoyage automatique des espaces sanitaires, etc.4. Les services associés et bonnes pratiques pour préserver la santé et favoriser le mieux-êtreDémarches d'amélioration de la Qualité de Vie au Travail en entreprise avec politiques de sensibilisation aux enjeux sanitaires ; cellule d'écoute psychologique ;Cabine médicale connectée pour bénéficier d'une téléconsultation ou check up santé ;Salles de sport, salles de sieste, espace de restauration collective de qualité ;Ergonomie des postes de travail, etc.Chocs sanitaires et climatiques : comment se prémunir durablement ?Le bâtiment doit permettre aux usagers de gérer les chocs climatiques comme sanitaires dans les meilleures conditions possibles. Les innovations en construction / rénovation et les règlementations incluent progressivement ces réalités.Mais le secteur doit surtout participer à l'amélioration durable des cadres de vie. Cela suppose un engagement multi thématiques : sobriété énergétique et installations bas carbones, préservation de la biodiversité, santé et confort des usagers, performance économique des territoires, sont autant d'enjeux interconnectés.Pour accompagner les professionnels dans la prise en compte de l'ensemble de ces problématiques, la règlementation ne suffit pas à elle seule. Les certifications volontaires en développement durable (HQE, R2S, OsmoZ) offrent des cadres méthodologiques, des solutions de gestion de projet, des grilles d'évaluation, des référentiels de bonnes pratiques exemplaires et des outils pour valoriser les efforts entrepris par les professionnels.Patrick Nossent : « Construire et préserver un cadre de vie durable et résilient suppose qu'on agisse de manière globale sur la qualité de vie, la préservation de l'environnement et la performance économique. La certification des bâtiments privés ou publics et des infrastructures sur les enjeux de développement durable permet aux professionnels d'apporter une réponse holistique à ces enjeux. »
Il y a 5 ans et 5 jours

Quatre entreprises sélectionnées pour le nouveau terminal Maghreb au port de Marseille

A la suite de la publication officielle de l'appel d'offres, le port a sélectionné quatre entreprises marseillaises: GTM Sud pour le gros œuvre d'un montant de 5,6 million d'euros, Isolbat pour le second œuvre (1,3 MEUR), Eurovia Méditerranée pour la voirie et les réseaux (2,4 MEUR) et Snef pour les équipements techniques (3 MEUR), a-t-il indiqué dans un communiqué.Après avoir obtenu fin 2019 l'avis favorable du commissaire enquêteur, le GPMM qui a prévu une mise en service du terminal en 2022, explique que les travaux "devraient démarrer dès la fin de cet été".Le nouveau terminal est destiné à "améliorer l'accessibilité des circuits et les conditions d'accueil" des quelque 500.000 passagers à destination ou en provenance du Maghreb qui chaque année transitent par le port de la deuxième ville de France. Ce trafic passagers génère 400 escales réparties actuellement sur deux sites qui dans le futur seront regroupées sur un seul d'entre-eux au niveau du Cap Janet.Le nouveau terminal maritime international "intégrera un circuit d'une capacité de 3.000 véhicules par jour"."Des modules de contrôles aux frontières renforcés et des zones de confort pour les passagers en attente ainsi qu'une gare pour les piétons pouvant accueillir 600 voyageurs" sont également prévus, précise le GPMM.L'aménagament du terminal est co-financé par le Port et la Métropole Aix-Marseille Provence, en partenariat avec l'État, la Région et le Département.