Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Immobilier - Logement

(62170 résultats)
Il y a 3 ans et 238 jours

Cession d'Equans par Engie : Bouygues rafle la mise

ACQUISITION. La décision était attendue et elle est tombée samedi 6 novembre. Exit Eiffage et le fonds américain Bain Capital ! Engie a porté son choix sur Bouygues pour la vente de sa filiale de services techniques dans l'énergie Equans. Retour sur l'opération et ses modalités.
Il y a 3 ans et 238 jours

A Saclay, pôle sportif et résidence étudiante signés RMDM et Remingtonstyle

Les agences RMDM et Remingtonstyle Architectes sont lauréates en octobre 2021 pour un pôle sportif de quartier et un programme de logements étudiants sociaux au sein du Campus urbain de Paris-Saclay. Livraison prévue : 2025. Communiqué. L’EPA Paris-Saclay et Toit et Joie – Poste Habitat, désigné lauréat de la consultation de bailleurs et de gestionnaires pour […] L’article A Saclay, pôle sportif et résidence étudiante signés RMDM et Remingtonstyle est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 238 jours

Travail détaché : avec ses homologues européennes, l'Inspection du travail contrôle le BTP

RÉGLEMENTATION. Les inspecteurs français du travail ont réalisé trois séries de contrôles en collaboration avec leurs homologues bulgares, espagnols et italiens, auprès d'environ 70 entreprises de l'agriculture et de la construction. Ces secteurs d'activité sont connus pour recourir largement aux travailleurs en situation de détachement.
Il y a 3 ans et 238 jours

Noralsy lance la 1ère solution d’accès au hall d’entrée 100% digitale et main libre

Elle permet aux résidents d’accéder à leur immeuble les mains dans les poches grâce à leur smartphone. Une innovation d’usage pratique et ultra sécurisée compatible avec la nouvelle génération d’interphones sans fil 4G lancée par Noralsy.Un nouveau confort d’accès pour les résidentsCombien de fois avez-vous cherché vos clés « mystérieusement disparues » juste avant de rentrer chez vous ? Et en revenant des courses, pas toujours facile d’ouvrir la porte les mains pleines ? Conçue et développée pour améliorer l’expérience d’accès des résidents dans leur immeuble, Accès Mobile est une solution complète qui se décompose en 3 modes d’entrée :1. À l’approche de la porte et avec son téléphone en poche, le résident déverrouille sa porte de hall sans rien faire, comme par magie ! C’est l’accès main libre.2. Le résident peut également déverrouiller sa porte d’immeuble avec la clé virtuelle à tout moment, en en appuyant sur le bouton d’ouverture situé dans son appli Portaphone.3. Enfin, la fonction « Geste Actif » ouvrira la porte à la suite d’une action gestuelle avec le smartphone en le secouant par exemple. C’est le mode « shake shake ». Très utile pour les portes situées dans un passage à forte affluence.Bien plus flexible que les solutions traditionnelles, Accès Mobile confère aux bailleurs sociaux et aux syndics de copropriété une granularité de gestion incroyable en paramétrant à chaque porte le mode d’accès approprié.La délivrance des accès mobiles se fait en quelques clics et à distance en affectant via une feuille d’émargement virtuelle les badges digitaux aux résidents. Les futurs utilisateurs doivent télécharger l’application gratuite Portaphone de Noralsy, et grâce au sms reçu préalablement, s’identifier et activer le badge Accès Mobile. Le sésame est prêt à s’ouvrir.Des accès ultra sécurisés et une gestion des accès prestataires traçablesAccès Mobile dispose de fonctionnalités qui confèrent une réelle sûreté des accès pour les résidents grâce à sa crypto élaborée rendant le détournement des donnés quasi impossible et à la fonction « antipass back » qui ne maintient pas la porte ouverte de manière permanente même si le smartphone reste à proximité de la porte écartant toute risque d’utilisation malveillante.Les gestionnaires quant à eux pourront profiter des nombreux avantages du pass prestataire d’Accès Mobile en créant très facilement et à distance autant de clés virtuelles que souhaité. Et contrairement à un code d’accès ou un QR Code qui peut être transmis à un tiers, une clé virtuelle est liée au smartphone de l’intervenant et utilisable uniquement sur site avec l’application Portaphone. Le gestionnaire dispose de l’historique des accès de tous ses pass prestataires et peut être prévenu par e-mail de tout évènement d’accès de l’un de ses prestataires.La gamme 4G de Noralsy, une gamme compatible avec Accès MobileCréateur d’équipements decontrôle d’accès, Noralsy dispose d’une gamme complète d’interphones 4G compatibles avec Accès Mobile : 4G PRO, 4G Mini + et 4G Mini Touch +. Des interphones sans fil combinés à l’appli Portaphone qui permet aussi aux résidents de pouvoir gérer tous les appels de leurs visiteurs depuis leur smartphone : visualiser le visiteur, ouvrir l’accès depuis n’importe où, disposer de l’historique des visites...Une gamme d’interphones innovante qui apporte à chacun plus de confort et sécurité.
Il y a 3 ans et 238 jours

Yann Lestrat : Une histoire de béton et de Japon

La sphère en béton de Yann Lestart tire son nom de l’immeuble d’habitation Akoya. [©DR] L’artiste plasticien Yann Lestrat réalise des sphères en béton, mais pas que…, s’intègrant dans le paysage urbain quotidien. Il vient de concevoir une œuvre en béton, qui va être incorporée à l’immeuble rennais d’habitation Akoya, porté par le constructeur Aiguillon. Cette version en béton, pleine et pesant 8 kg, est la petite sœur d’une sphère en polyester datant de 2011. Yann Lestrat a ainsi collaboré avec l’architecte du projet, afin de créer une pièce unique, qui s’adapte à l’environnement.  La sphère en béton tire son nom du bâtiment. Ainsi, Akoya fait référence aux perles de culture japonaise cultivées en mer de Chine. L’installation intègre  un niveau à bulle en son sein. L’occasion ici de faire le lien entre l’art et le monde de la construction. L’objet est donc par définition non fonctionnel. Par ailleurs, mettre un niveau sur un élément sphérique, qui, par son galbe, ne peut rester statique, lui apporte une dimension plus profonde.  Une installation dissimulée La sphère en béton et son implantation dans l’espace font aussi partie de l’œuvre elle-même. En effet, la pièce ne sera pas visible du tout, intégrée par un mur support constitué de boîtes aux lettres. Sa présence sera juste notifiée par une plaque explicative. La faire disparaître permet de jouer sur la frustration du spectateur. C’est une manière de mettre en avant l’absence d’intérêt pour l’art contemporain et de créer de la curiosité. L’œuvre est dissimulée à la vue de tous, placée dans un bloc béton. [©DR]L’œuvre est dissimulé à la vue de tous, placé dans un bloc béton. [©DR]L’artiste a créé pour le constructeur 7 modèle de sa création [©DR]Pour la commercialisation les sphères seront livrées dans un cartonnage avec une mousse spécialement conçue. [© Lendroit Editions] Dire que l’œuvre a été dissimulé permet de s’interroger sur le devenir du bâtiment. Si un jour, cet immeuble devait être détruit, qu’en sera-t-il de cette “chose”, comme la décrit Yann Lestrat ? Sera-t-elle toujours présente ? Et dans quel état ? Elle prendrait alors une dimension de capsule temporelle. Trace d’une existence passée. Sept exemplaires ont déjà été réalisés pour le constructeur. Trente autres, numérotés, seront produits, afin d’être commercialisés. Réalisées à la main, les pièces uniques recouvrant une ossature sphérique porteuse sont en béton fin. Un siphon font font… Une seconde réalisation sera présente dans le bâtiment d’habitation Akoya. Elle prendra la forme d’un miroir, avec en son centre un niveau à bulle. Aussi, a contrario, cette œuvre sera visible de chacun et permettra aux habitants de découvrir l’art contemporain à leur porte. Tout au long de sa carrière, l’artiste Yann Lestrat a expérimenté de nombreux médias. Allant de la peinture à la photographie. Il a notamment photographié un paysage naturel, dans lequel il a placé un siphon en son centre. Une métaphore de la capacité de l’homme de produire et d’évacuer de nombreux déchets dans la société et la nature même. 
Il y a 3 ans et 238 jours

Appel à "tous les savoir-faire" des PME et TPE pour la restauration de Notre-Dame

"Entreprises, PME, TPE, artisans, participez au chantier de restauration de la cathédrale!", lance dans un communiqué le général Jean-Louis Georgelin qui préside l'établissement chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale.Cet appel s'adresse, ajoute-t-il, "aux artisans et aux entreprises ayant des compétences en monument historique" afin qu'ils se mobilisent et candidatent "pour rejoindre la communauté des bâtisseurs" qui oeuvrent "à la réouverture de la cathédrale au culte et à la visite en 2024, conformément à l'objectif fixé par le Président de la République".Charpente en bois, couverture en plomb, échafaudages complexes, taille de pierre de taille et maçonnerie, menuiserie, peinture, dorure, ferronnerie d'art, spécialistes des vitraux et des sculptures... après la phase de sécurisation de l'édifice, achevée officiellement en septembre, les entreprises ont jusqu'au 16 novembre pour répondre aux appels à candidatures relatifs à la restauration de la flèche et des transepts et jusqu'au 22 novembre pour ceux ouverts pour les restaurations intérieures.Afin de "réunir les meilleures compétences" et permettre l'accès au chantier de restauration "au plus grand nombre d'entreprises, dont les PME, les TPE et les artisans des métiers du patrimoine", l'établissement public a mis en place un "allotissement permettant autant que possible à des entreprises de toute taille de répondre, seules ou en groupement, aux différents appels d'offres et appels à candidatures".Le coût des travaux de sécurisation s'élève à 165 millions d'euros. Ils ont notamment permis le démontage de l'échafaudage qui était en place lors de l'incendie, la dépose des grandes orgues, des chantiers-tests de nettoyage dans deux chapelles, la pose de cintres en bois sous les arcs-boutants ou encore le déblaiement et le tri des vestiges et la sécurisation de la croisée du transept."Le budget de la phase de restauration sera précisé à l'issue de l'attribution de l'ensemble des lots du chantier de restauration", a précisé vendredi à l'AFP l'établissement public.
Il y a 3 ans et 238 jours

Autoconstruction écologique : quid de la revente du bien ?

Faut-il revendre une maison auto-rénovée ou auto-construite juste après la réalisation des travaux ? Voici la question que s’est posée « Comme un pingouin dans le désert » dans une vidéo. Une expérience intéressante que je ne pouvais m’empêcher de vous partager pour y apporter mon commentaire. Le contexte Un couple a fait le choix d’auto-construire leur maison […]
Il y a 3 ans et 239 jours

Les gratte-ciel oubliés de la Muette (1931-1976)

Le Mémorial de la Shoah de Drancy (Seine-Saint-Denis) propose l’exposition Les gratte-ciel oubliés de la Muette (1931-1976) consacrée aux cinq tours symboles de la cité de la Muette puis du camp de Drancy. Jusqu’au 6 mars 2022. À l’occasion des 90 ans de leur construction, le Mémorial de la Shoah de Drancy (Seine-Saint-Denis) propose de […] L’article Les gratte-ciel oubliés de la Muette (1931-1976) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 240 jours

Quand faut-il entreprendre des travaux de rénovation de charpente?

La charpente constitue l’ossature d’une maison. Autrement dit, elle est l’élément structurel qui tient les murs et le toit. En ce sens, il est donc indispensable de procéder régulièrement à son inspection afin de vérifier son bon état. En cas de détection de problèmes au niveau de la charpente, il faut rapidement envisager de la rénover. Mais alors, pourquoi et quand faut-il entreprendre des travaux de rénovation de charpente ? Les éléments de réponses à travers ce billet. En quoi consiste la rénovation d’une charpente ? La rénovation d’une charpente regroupe l’ensemble des travaux réalisés sur toute ou une partie de la charpente dans le but de résoudre un problème qui a été constaté. En effet, il existe de nombreuses raisons qui peuvent amener à cette intervention, à l’instar du vieillissement naturel du bois, les intempéries et les infiltrations d’eau qui en découlent, les dégâts induits par la présence d’insectes xylophages, etc. La dégradation de la charpente provoquée par ces divers éléments se révèle dangereuse pour la stabilité de l’ossature de la maison et du toit. Ainsi, faire appel à un charpentier pour effectuer la rénovation de la charpente est la solution permettant de limiter les risques. Il faut toutefois noter que la rénovation de charpente n’est pas forcément liée à une problématique. Effectivement, elle peut être indispensable pour modifier l’aspect du logement, le style architectural de celui-ci, notamment pour l’ajout d’un étage ou l’aménagement de combles. À quel moment faut-il donc rénover une charpente ? En principe, il est recommandé de procéder à une rénovation de charpente tous les 20 à 30 ans. D’une manière générale, l’opération d’entretien est relativement légère dans le cas où la structure est saine et régulièrement contrôlée. Par contre, une rénovation peut être réalisée avant ce délai si l’un ou plusieurs des problématiques énumérés ci-dessus sont constatés. Bien évidemment, ce type d’intervention n’est pas obligatoire. Cependant, il est fortement indiqué afin d’éviter que les problèmes ne s’aggravent et induisent des travaux conséquents pour y remédier. En raison de la complexité des travaux à entreprendre au cours de la rénovation de charpente, le propriétaire est tenu de faire appel à un artisan charpentier comme sur ce site : https://www.charpentier-87.fr/ pour réaliser les travaux. Ce dernier sera plus qualifié pour observer la charpente et en évaluer les dégâts, de manière à établir un diagnostic complet et précis. Il peut être ingénieux de contacter plusieurs professionnels pour pouvoir comparer diagnostic, devis et offres. Le coût à prévoir pour des travaux de rénovation de charpente La charpente, tout comme la toiture, est essentielle pour la stabilité et la bonne santé de la maison. Elle protège celle-ci et aide à limiter la déperdition de chaleur. La rénovation de la charpente est une intervention complexe qui a un certain coût. Le charpentier facture en moyenne une heure de travail 40 à 60 euros HT, d’où l’utilité de ne pas attendre une problématique s’étendre. Pour venir à bout d’un problème d’humidité, il faut prévoir un traitement hydrofuge, pour un coût moyen de 20 à 30 euros le mètre carré. Dans le cas d’un problème de moisissures ou de champignons, il est indispensable de procéder à un traitement fongicide. Pour cela, il faut compter 15 à 30 euros le mètre carré. Enfin, pour un problème de nuisibles, tels que des insectes xylophages, un traitement insecticide est utile. Pour cela, il faut prévoir 20 à 50 euros le mètre carré.
Il y a 3 ans et 241 jours

Sébastien Attina : de Bricoman à Truffaut

CARNET-NOMINATION. L'ancien directeur général de Bricoman vient de prendre la direction générale de Truffaut, spécialiste des jardins et de la maison.
Il y a 3 ans et 241 jours

Nouveau contrat d'engagement de la filière de l'énergie pour décarboner et réindustrialiser la France

"L'objectif de ce nouveau contrat est de faire de la transition écologique un levier pour la reconquête industrielle", a expliqué Barbara Pompili, la ministre de la Transition écologique.Ce nouveau contrat fait suite à un premier contrat de 2019, qu'elle a signé aux côtés d'Agnès Pannier-Runacher, la ministre déléguée chargée de l'Industrie, des représentants du Comité stratégique de filière "Nouveaux systèmes énergétiques" et des syndicats du secteur.La filière rassemble l'ensemble des industriels de la transition énergétique (énergies renouvelables, hydrogène bas carbone et renouvelable, efficacité énergétique, réseaux et stockage énergétiques). Elle représente 40 milliards d'euros de chiffre d'affaires et 210.000 emplois en France."On a des besoins gigantesques, que ce soit sur le nucléaire ou le renouvelable, et c'est encore mieux que ces besoins soient servis par une industrie française à valeur ajoutée", a fait valoir Mme Pannier-Runacher.Concrètement, le texte réitère les objectifs de développement des énergies renouvelables compétitives et met l'accent sur l'éolien marin, l'énergie solaire, l'hydrogène, le biogaz et les capacités de stockage de l'énergie pour la période 2021-2023.Egalement présente à Bercy, la présidente du comité stratégique de filière et directrice générale adjointe d'Engie, Claire Waysand, s'est félicitée que les acteurs du secteur aient réussi à mettre en oeuvre 70% des mesures du dernier contrat signé en 2019, grâce à l'implication d'environ 600 contributeurs.Le contrat signé jeudi prévoit aussi le lancement d'une plateforme de mise en relation des acteurs de l'énergie décarbonée et des industriels."Notre enjeu est que les entreprises n'aillent pas taper à la porte d'offreurs de solutions étrangers alors qu'ils ont à côté de leur zone industrielle des gens qui peuvent leur apporter des solutions compétitives", a expliqué Mme Pannier-Runacher à l'AFP après la signature.Le contrat s'appuie sur le 4e programme d'investissement d'avenir annoncé par l'Etat en janvier 2021. Il doit notamment financer à hauteur de 515 millions d'euros la stratégie du gouvernement pour développer l'innovation et la pré-industrialisation dans les domaines du photovoltaïque, de l'éolien flottant et des réseaux énergétiques, a précisé Mme Pannier-Runacher.Le gouvernement et les industriels s'accordent sur la nécessité de développer la formation alors que de manière générale, l'industrie peine à recruter des salariés qualifiés, avec actuellement 73.000 postes vacants dans l'industrie et 225.000 intentions de recrutement futur.Ce contrat se renouvelle alors qu'Emmanuel Macron a annoncé fin octobre une série de mesures destinées à décarboner et relancer l'industrie grâce au plan France Relance. Le Président de la République envisage notamment la construction de deux usines d'électrolyseurs pour devenir "leader de l'hydrogène vert".
Il y a 3 ans et 241 jours

Demathieu Bard et Cycle Up annoncent leur partenariat

Photo d’une devanture d’un ancien garage à Lyon destiné à être déconstruit pour laisser place à des bureaux. [©Demathieu Bard] L’entreprise de BTP, Demathieu Bard, et Cycle Up, spécialisé dans le recyclage de matériaux de construction, ont signé un partenariat. Celui-ci se focalisera sur une stratégie de réduction de l’impact carbone des activités de Demathieu Bard. Il vise à favoriser le réemploi des produits issus des chantiers, notamment de la déconstruction et de la rénovation pour les intégrer dans des projets neufs. Lire aussi : Cemex et la LPO : un renouvellement pour la biodiversité En toute logique, ce partenariat s’inscrit dans la démarche d’innovation et de RSE du groupe de BTP. D’ailleurs, en 2020, ce dernier a crée une direction dédiée aux solutions techniques. Elle centre ses recherches sur l’efficacité énergétique, ainsi que sur l’évolution des modes constructifs et des matériaux. Une manière de contribuer à l’amélioration de ses pratiques en matière de construction et de promotion immobilière.  Une collaboration divisée en quatre missions Dans le cadre de cette collaboration, les deux sociétés ont axé leur stratégie autour de plusieurs missions. Parmi elles, la réalisation de diagnostics des ressources liées aux opérations de Demathieu Bard. L’application Diag It, développée par Cycle up s’occupera d’évaluer ces matériaux. Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Mais aussi, la création et la mise à disposition d’une base de données géolocalisées des produits analysés au préalable. Par la suite, l’ensemble de ces ressources seront regroupées et vendues sur le site de Cycle Up. Enfin, la dernière mission de ce partenariat a pour vocation d’accompagner l’entreprise de construction dans l’élaboration de sa stratégie d’économie circulaire.
Il y a 3 ans et 241 jours

Cemex et la LPO : un renouvellement pour la biodiversité

Michel André (à droite), directeur des activités matériaux de Cemex, et Allain Bougrain Dubourg (à gauche), président de la LPO, renouvellent leur partenariat pour la préservation de la biodiversité. [©Cemex] Cemex renforce son engagement pour la biodiversité. En effet, l’industriel a renouvelé son partenariat avec la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) pour la 18e année consécutive. La convention a été signée lors d’un évènement centré sur l’économie circulaire organisé par Cemex, le 21 octobre dernier. En place depuis 2003, cette collaboration est désormais repartie pour 3 années supplémentaires. « Nous sommes partenaires depuis 18 ans, souligne Michel André, directeur des activités matériaux de Cemex. Ainsi, cela illustre notre volonté de préserver la biodiversité et de maîtriser notre impact sur l’environnement. » Cet engagement permettra à la LPO d’accompagner Cemex dans son programme “Entreprises engagées pour la nature”. Ce dernier a été acté auprès du ministère de la Transition écologique et de l’Office français de la biodiversité.  Lire aussi : Cemex, mécène d’Odyssée La convention s’articule autour de deux volets. La partie “Accompagnement” permet aux deux collaborateurs de mettre en commun leurs compétences. Une façon pour Cemex de renforcer ses actions de préservation de la biodiversité sur ses sites. Puis, le “Mécénat”, porté par la LPO, soutient des programmes de conservation du patrimoine naturel. Cemex en faveur de la biodiversité Par ailleurs, Cemex et la LPO ont dévoilé leur démarche pour la sécurité animale. Dont, le plan d’action “Hirondelles de rivage” qui se poursuit. Initié en 2013, il vise à concilier l’exploitation de carrières et l’accueil des oiseaux au sein de ses sites. Après 9 ans d’analyse, les résultats ont été collectés et diffusés auprès des collaborateurs de Cemex pour encourager les bonnes pratiques. Lire aussi : Agir pour sauver la biodiversité et la planète Dans le cadre de leur partenariat, l’industriel et la LPO se focaliseront aussi sur la démarche “Cemex Bétons agit pour la biodiversité”. Entamé en 2012, ce projet veut contribuer à l’accueil de la nature en ville pour favoriser la biodiversité. En parallèle, Cemex soutient financièrement les programmes de la LPO. Ainsi, l’industriel se mobilise pour la sauvegarde du vison d’Europe en Charente et du moineau domestique de Paris.
Il y a 3 ans et 241 jours

Évolution du marché de l'immobilier analysée par les notaires de France

La crise sanitaire a révélé de nouveaux comportements immobiliers, notamment des déplacements des grands centres métropolitains vers des communes de plus petite taille et cela jusque dans des départements limitrophes. Mais il n'y a pas d'« exode » urbain à ce jour. La tendance constatée ne concerne qu'une partie de la population en capacité de s'organiser, tant personnellement que professionnellement.Elle n'intéresse pas la majorité de la population française et, corrélativement, pas non plus celle des accédants à la propriété. Cette tendance, liée aux confinements, pourrait en fait n'impliquer qu'une population précise et limitée, sociologiquement définie (âge, profession…). En revanche, ce mouvement vers des communes plus petites où la pression foncière est moins forte pourrait concerner davantage de personnes, notamment celles qui n'ont désormais plus la capacité d'acquérir un bien dans les grands centres urbains, au regard de la tension foncière. Ces mouvements pourraient aussi faire écho à la fin de l'opportunité « offerte » par des taux bas ; la capacité à compenser en capital emprunté la hausse des prix pourrait ainsi avoir atteint sa limite. L'enjeu sur les prix est fort dès lors que le manque actuel de biens à vendre entraîne mécaniquement leur hausse.En tout état de cause, cette mobilité accentuée peut contribuer à expliquer le tassement des prix dans les grandes agglomérations et particulièrement à Paris, ainsi que le dynamisme des prix dans les villes moyennes. Toutes proportions gardées, les prix se rééquilibrent sur le territoire. Mais cette redistribution est un enjeu de taille au regard de l'aménagement et du développement du territoire. Cette envie de verdure, traduction d'une volonté de « déconnexion connectée », ne peut bénéficier aux petites villes et villes moyennes que si elles ont la capacité de proposer toutes les infrastructures et notamment des moyens de communication très performants, au risque de laisser subsister des zones blanches.En province, la hausse des prix des logements anciens se poursuitAu 2e trimestre 2021, les prix des logements anciens en province augmentent de 2,1%, après +1,5% au 1er trimestre 2021 et +2,4% au 4e trimestre 2020. Sur un an, la hausse des prix s'accentue encore avec +7% entre le 2e trimestre 2020 et le 2e trimestre 2021, après +6,4% entre le 1er trimestre 2020 et le 1er trimestre 2021. Comme au 1er trimestre 2021, la hausse des prix des maisons (+7,1% sur l'année au 2e trimestre 2021) est légèrement plus forte que celle des appartements (+6,7%), ce qui ne s'était pas produit depuis 2018.Les prix des logements anciens sont quasi stables en Île-de-FranceAu 2e trimestre 2021, les prix des logements anciens en Île-de-France sont quasi stables : +0,1% par rapport au 1er trimestre 2021, après +0,5% et +1,7%. Sur un an, les prix ralentissent avec +3,1% entre le 2e trimestre 2020 et le 2e trimestre 2021, après +4,8% au 1er trimestre 2021 et +6,3% au 4e trimestre 2020. Ce ralentissement concerne aussi bien les prix des maisons (+5,1% sur un an, après +7,3% au 1er trimestre 2021 et +6,8% au 4e trimestre 2020) que ceux des appartements (+2,1% sur un an, après +3,6% et +6,1%). Comme pour l'ensemble du territoire, depuis le 4e trimestre 2020, la hausse annuelle des prix des maisons en Île-de-France est ainsi davantage marquée que celle des appartements, ce qui ne s'était pas produit depuis 2016. À Paris, pour le deuxième trimestre consécutif, les prix des appartements sont en baisse : -0,6% entre le 1er et le 2e trimestre 2021, après -1,1% au trimestre précédent. Sur un an, les prix des appartements parisiens sont néanmoins quasi stables (-0,2%).Avant-contratsAu plan national, les projections des avant-contrats prévoient, jusqu'en novembre 2021, une poursuite de la hausse des prix. Les évolutions sur trois mois seraient comprises entre +1% et +2,5% en appartements anciens et entre +2% et +3,5% en maisons anciennes. Sur l'ensemble de la province, les évolutions des indices des prix des maisons anciennes suivent cette tendance nationale. Sur le marché des appartements anciens, comme c'est le cas depuis fin 2020, les évolutions restent plus fortes en province que sur l'ensemble de la France. À fin novembre, les hausses sur un an seraient environ de +6% en France contre près de +9% en province.Des conditions de crédit resserrées mais toujours avantageusesPar une décision du 14 septembre 2021, le Haut Conseil de stabilité financière (HCsf) a rendu contraignants les critères qu'il avait édictés en janvier. Ces mesures, qui ne sont donc plus simplement recommandées, deviendront applicables à compter du 1er janvier 2022. Le HCsf relève que la normalisation des conditions d'octroi a accru la sûreté du crédit immobilier pour les ménages, les sécurisant contre un surendettement sans toutefois entraver leur accès au prêt. Néanmoins, certains primo-accédants pourront être pénalisés de ces conditions resserrées.Stabilisation de tendance compatible avec cette période de l'annéeLe marché tient un rythme soutenu tant que ses fondamentaux ne sont pas remis en cause. La crise sanitaire a conforté beaucoup de candidats à l'acquisition en les recentrant sur leurs besoins essentiels, ce qui explique la forte résistance du marché immobilier.Il conviendra néanmoins d'être attentif dans les mois à venir, afin de détecter si ces forts volumes n'ont pas procédé d'une anticipation voire d'une accélération de certains projets. Ces volumes ne seraient-ils pas révélateurs de transactions qui ne se feront pas demain ? Le ratio actuel résultant de la division du nombre annuel de transactions dans l'ancien rapporté au parc global de logements ressort à 3,3%, alors qu'il était légèrement en deçà des 3% fin 2019. Si les taux bas et l'entrain collectif laissent augurer d'une fin d'année toujours haussière avec des volumes au-dessus du million, le marché immobilier pourrait reprendre ensuite le rythme observé avant la crise, avec un volume de transactions dans l'ancien oscillant autour du million.
Il y a 3 ans et 241 jours

Notre-Dame de Paris : le Bâtiment appelé à se mobiliser pour la reconstruction

PATRIMOINE. L'établissement public chargé de la conservation de la cathédrale Notre-Dame de Paris a publié plusieurs appels à candidatures relatifs à la reconstruction de la flèche et des transepts, courant jusqu'au 16 novembre. Un appel d'offres a également été ouvert pour la réalisation de restaurations intérieures jusqu'au 22 novembre. Les artisans, TPE et PME du bâtiment sont invités à se mobiliser pour ce chantier symbolique.
Il y a 3 ans et 241 jours

Une nouvelle étude met en évidence l'implication positive des acteurs de l'immobilier dans la COP26

Plus de la moitié (52%) des personnes interrogées déclare que la COP26 permettra de mettre davantage l’accent sur l’ESG tout au long du cycle de vie des biens immobiliers, de la conception à l’occupation. De plus, pour 48% des personnes interrogées, la rénovation ou la prise en compte de l’empreinte carbone des bâtiments anciens est une priorité. Enfin, 44% d’entre elles pensent que la COP26 encouragera davantage les propriétaires de patrimoines immobiliers à s’attaquer aux mauvaises performances de leurs bâtiments et à leur empreinte carbone, au moyen de stratégies environnementales complètes.D’une part, en raison de l’attention portée à ce secteur, 42% des personnes interrogées s’attendent à ce qu'un nombre croissant de bâtiments anciens soient rénovés pour améliorer leur empreinte carbone, plutôt que d'être démolis. D’autre part, 40% d’entre elles prévoient des réglementations plus sévères pour les nouvelles constructions afin de garantir une meilleure performance environnementale. Deepki explique donc qu’aujourd’hui, les promoteurs doivent s'assurer que les bâtiments ne sont pas seulement "conformes aux normes ESG", mais qu'ils peuvent résister à l'épreuve du temps, étant donné que les normes ESG deviennent plus strictes à long terme.Le net zéro carbone d'ici 2050 est-il un objectif réaliste ?En outre, 64% des participants pensent également que l'objectif du World Green Building Council (WGBC) d’atteindre le net zéro carbone pour tous les bâtiments d’ici 2050 est réalisable. Seul un tiers (34%) des participants pense que cet objectif n'est pas réaliste.Deepki, société de nouvelles technologies qui accompagne les acteurs de l’immobilier dans leur transition zéro carbone grâce à la data intelligence, a récemment annoncé son lancement au Royaume-Uni. Sa solution SaaS, basée sur l’exploitation des données de ses clients, permet d’améliorer la performance ESG (Environnementale, Sociale et de Gouvernance) de leur patrimoine et de réduire drastiquement leur empreinte environnementale. La plateforme SaaS collaborative de Deepki permet aux clients de collecter leurs données ESG, d'obtenir une vue d'ensemble de leur portefeuille, d'évaluer leur performance, d'établir un plan d'action, et de partager des rapports avec les principales parties prenantes, facilitant ainsi leur transition vers le zéro carbone tout en augmentant la valeur de leur patrimoine. La plateforme est accompagnée par une équipe d’experts en carbone et en ESG qui travaille avec les clients, de la collecte et l'analyse des données à la définition et la mise en oeuvre de leur stratégie ESG.Katie Whipp, Directrice de Deepki UK, déclare : “Notre étude montre que l'ESG s'avère être une force motrice pour le secteur de l'immobilier, qui répond de manière positive et proactive à l'objectif du net zéro carbone d’ici 2050. La COP26 est une étape cruciale de ce parcours, offrant au secteur l'occasion de collaborer et de tirer des leçons d’autres secteurs.”"La data intelligence, l'analyse et l'expertise de Deepki sont essentielles pour aider les propriétaires et les gestionnaires d'actifs à comprendre dans quelle mesure ils sont conformes aux normes ESG et à mettre en place une trajectoire net zéro carbone."
Il y a 3 ans et 241 jours

RE 2020 : des membres du CSCEE veulent graver dans le marbre la clause de revoyure

Une partie des membres du CSCEE a envoyé un courrier à la ministre du Logement Emmanuelle Wargon pour la presser de tenir ses promesses.
Il y a 3 ans et 241 jours

Gisement foncier : plus de 2.700 friches potentielles répertoriées en Ile-de-France

Espaces verts ou ferroviaires, logements, entrepôts : au total 2.721 friches ont été répertoriées par l'Institut Paris Region, selon une cartographie présentée et assortie d'une plateforme d'analyse.
Il y a 3 ans et 241 jours

Mise en frugalité pour le village des athlètes par Triptyque

Olivier Raffaelli et Guillaume Sibaud, de l’agence franco-brésilienne Triptyque Architecture, signent la conception d’un bâtiment de logements au sein de l’écoquartier Universeine, dans le futur Village des athlètes à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Surface totale : 9 740 m² SDP. Nombre de logements : 124. Date des débuts des travaux : 2ème trimestre 2021. Livraison : 2024 au […] L’article Mise en frugalité pour le village des athlètes par Triptyque est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 241 jours

Métal prélaqué : découvrez l'architecte lauréat du Prix Ecca 2021

RÉCOMPENSE. Le Congrès des architectes de l'Unsfa, qui s'est tenu à Rennes, fin octobre, a été l'occasion, pour l'Ecca, qui promeut le métal prélaqué, de décerner son deuxième prix annuel, à un architecte qui a revêtu une maison individuelle de ce matériau.
Il y a 3 ans et 241 jours

L'agriculteur doit scrupuleusement respecter son bail

La Cour a jugé ainsi alors que la difficulté concernait une parcelle de 5.000 mètres carrés sur un domaine de plus de 20 hectares, soit moins de 3% des surfaces louées.Cette parcelle est demeurée inexploitée, reprochait le propriétaire, puisque le fermier s'en est servi pour entreposer du bois de chauffage après avoir créé une activité secondaire de commerce de bois.Après trente ans d'exploitation des terres et prés, le fermier avait souhaité céder son bail à son fils qui avait toutes les compétences et autorisations requises. Le propriétaire s'y étant opposé, la demande avait été soumise au tribunal qui l'avait acceptée.Certes, disait le tribunal, cette activité forestière commerciale s'est exercée sans autorisation du propriétaire sur le domaine loué à usage agricole, mais elle n'a concerné qu'une surface très réduite et n'a pas mis en péril l'exploitation agricole. De plus, elle a été exercée au vu et au su de tous et le propriétaire l'a donc tacitement admise.Il n'empêche, a observé la Cour de cassation, qu'il s'agissait d'un manquement de ce fermier à son obligation d'exploiter tout le bien loué. Dès lors, il ne remplit pas la condition de "bonne foi" exigée pour bénéficier de la faculté exceptionnelle de céder son bail à un proche.Cette faculté est réservée par la loi au fermier qui s'est acquitté de toutes les obligations légales ou contenues dans son bail, a conclu la Cour, et l'exploitation d'un commerce de bois sur une parcelle louée en vue de sa mise en valeur agricole n'était pas conforme au bail.En juillet 2019, la Cour avait exclu qu'un fermier puisse céder son bail s'il y avait eu dans le passé - même très ancien - un litige avec le propriétaire.Cass. Civ 3, 30.6.2021, R 20-15.343.
Il y a 3 ans et 241 jours

Notre-Dame de Paris : seulement quelques jours pour candidater au chantier

Jusqu’au 16 novembre, répondez aux appels à candidatures relatifs à la restauration de la flèche et des transepts et, jusqu’au 22 novembre, à l’appel d’offres ouvert pour la réalisation de restaurations intérieures. L’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, maître d’ouvrage du chantier, lance deux consultations pour la réalisation des travaux de restauration de la flèche et des transepts et de restaurations intérieures. Afin de réunir les meilleures compétences et permettre l’accès au chantier de restauration au plus grand nombre d’entreprises, dont les PME, les TPE et les artisans des métiers du patrimoine, l’établissement public a mis en place un allotissement permettant autant que possible à des entreprises de toute taille de répondre, seules ou en groupement, aux différents appels d’offres et appels à candidatures. Au-delà de l’échéances du 16 novembre, la restauration de la flèche et des transepts s’accompagnera d’une dizaine d’autres lots qui seront mis en consultation fin novembre. La publication d’autres appels d’offres de travaux se poursuivra jusqu’à la fin de l’année et en 2022. Au total, le chantier de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris conduira à l’attribution de plus d’une centaine de lots. Comment candidater ? Pour participer à la restauration de la flèche et des transepts : les trois appels à candidatures relatifs à la restauration de la charpente en bois, de la couverture en plomb et à l’échafaudage permettant la réalisation de ces travaux sont consultables sur www.marches-publics.gouv.fr. Pour participer aux opérations de restaurations intérieures : l’appel d’offres ouvert relatif aux opérations de restaurations intérieures est également consultable sur www.marches-publics.gouv.fr. Il est constitué de 37 lots distincts.
Il y a 3 ans et 241 jours

Dossier détails : porte-à-faux béton

    Les porte-à-faux ne sont pas réservés aux gros équipements ; on les trouve aussi dans des bâtiments plus modestes, voire des maisons. D'ailleurs, les livres d'histoire d'architecture moderne mettent à l'honneur la Maison sur la cascade de Frank Lloyd Wright comme un manifeste en faveur de l'usage du béton en […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 241 jours

Équerre d'argent 2021: Les nommés de la catégorie Culture, jeunesse et sport

    Les porte-à-faux ne sont pas réservés aux gros équipements ; on les trouve aussi dans des bâtiments plus modestes, voire des maisons. D'ailleurs, les livres d'histoire d'architecture moderne mettent à l'honneur la Maison sur la cascade de Frank Lloyd Wright comme un manifeste en faveur de l'usage du béton en […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 241 jours

Vicat a réussi à compenser la hausse des coûts de l’énergie par l'augmentation de ses prix de vente

A 794 millions d'euros, le chiffre d'affaires réalisé sur la période juillet-septembre porte à 2,35 milliards celui sur les neuf premiers mois de 2021, soit une progression de 13,9% par rapport à la période comparable de 2020, a indiqué le cimentier dans un communiqué.Les chiffres publiés mercredi reflètent "le dynamisme" des marchés de Vicat "dans un contexte de sortie progressive de la crise sanitaire", a jugé son PDG Guy Sidos cité dans un communiqué. Le troisième trimestre est marqué par une base de comparaison "particulièrement défavorable en France, dans la zone Amérique et en Inde", puisque le 3e trimestre 2020 avait connu un effet de "rattrapage" après la crise Covid du début d'année.Sur neuf mois, les hausses les plus importantes de chiffre d'affaires sont enregistrées dans la zone Méditerrannée (+36,3% à 166 millions d'euros au 30 septembre 2021), et la zone Asie (+30,6% à 320 millions d'euros).En France, le chiffre d'affaires a progressé de 15,5% à 824 millions d'euros sur neuf mois, et en Afrique de 22,3% à 242 millions d'euros. Seule la zone Europe (hors France) recule de 4,8% à 301 millions d'euros, essentiellement en raison de la cession de l'activité de préfabrication Creabéton enregistrée le 30 juin 2021.Par activité en France, le chiffre d'affaires opérationnel de l'activité Ciment est en hausse de 10,8% à périmètre constant sur les neuf mois, malgré un recul de 9,3% au 3e trimestre, dû à la reprise "exceptionnelle" enregistrée l'an dernier à pareille époque. Les prix de vente et les volumes sont "en nette progression" sur les neuf mois.Idem pour l'activité Béton et granulats, où le chiffre d'affaires progresse de 19,5% à périmètre constant, avec des prix de vente en progression dans les granulats et stables dans le béton.Aux Etats-Unis comme au Brésil, "le secteur reste dynamique, facilitant notamment les hausses de prix".La construction d'une nouvelle ligne de cuisson de l'usine de Ragland en Alabama s'est poursuivie avec pour objectif une mise en service au premier trimestre 2022, a indiqué le groupe. Cette installation "permettra à la fois de répondre à la forte demande du marché en augmentant la capacité de l'usine, de réduire fortement les coûts de production, et contribuera à la baisse des émissions de CO2 du groupe".Sur l'ensemble de l'exercice 2021, dont les résultats seront annoncés le 15 février 2022, le groupe s'attend à une progression de son bénéfice d'exploitation Ebitda, ainsi qu'une "évolution favorable des prix de vente moyens".
Il y a 3 ans et 241 jours

Une boutique lunaire à Milan, par les architectes Giovanni Pacciani et Claudio Bignazzi

    Les porte-à-faux ne sont pas réservés aux gros équipements ; on les trouve aussi dans des bâtiments plus modestes, voire des maisons. D'ailleurs, les livres d'histoire d'architecture moderne mettent à l'honneur la Maison sur la cascade de Frank Lloyd Wright comme un manifeste en faveur de l'usage du béton en […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 242 jours

Le nombre de formations suivies dans le cadre du CPF a presque doublé entre 2019 et 2020

Alors que 517.000 formations ont été suivies dans le cadre du CPF en 2019, le nombre était de 984.000 en 2020, indique le service statistique du ministère du Travail, mettant en avant une "hausse sans précédent" des entrées en formation.Porté par le permis de conduire, le domaine des transports est en tête et représente plus d'un quart des formations réalisées (25,9%).Viennent ensuite les langues (17%), le développement des capacités d'orientation, d'insertion ou de réinsertion (15,2%) ou encore l'informatique (10,3%).La Dares souligne que la forte hausse des formations suivies s'explique par l'ouverture fin novembre 2019 du "parcours achat direct" (PAD), qui permet aux personnes de mobiliser leurs droits sans intermédiaire pour acheter une formation.Ce passage au PAD "est particulièrement favorable aux femmes, aux moins de 30 ans et aux plus de 60 ans, aux demandeurs d'emploi et aux salariés non cadres", indique l'étude. Les demandeurs d'emploi représentent notamment "36% des bénéficiaires du CPF en 2020, soit 4 points de plus que l'année précédente".Une autre étude de la Caisse des dépôts, qui gère le CPF, confirme une année 2020 "marquée par une explosion de la demande" et souligne que le dynamisme "se confirme en 2021, avec sur les six premiers mois un nombre de dossiers équivalent à celui de l'ensemble de l'année 2020".La CDC recense 4,6 millions de dossiers de formation financée par le CPF de 2015 à la fin du premier semestre 2021, dont 2,1 millions depuis l'ouverture de "Mon compte formation" en novembre 2019.Pour les seuls salariés du privé, le taux de recours au CPF est passé de 1,5% en 2018 et 2019, à 2,5% en 2020, indique une autre note de la CDC. Outre le passage au PAD, cela s'explique notamment par la crise du Covid-19 qui a aussi "libéré du temps, accru l'incertitude et accéléré les mutations dans certains secteurs".Les salariés de l'hébergement-restauration, souvent en activité partielle pendant la crise, présentent "une des plus fortes hausses du taux de recours" (de 0,7% en 2019 à 2,4% en 2020).
Il y a 3 ans et 242 jours

Le SER salue les mesures gouvernementales pour accélérer le développement du photovoltaïque

Avec près de 1 800 MW raccordés sur les douze derniers mois, portant la capacité totale à plus de 12 GW à ce jour, la filière solaire française a démontré son fort dynamisme et sa capacité à changer d'échelle pour être à la hauteur des enjeux liés à la décarbonation de l'économie et la lutte pour le climat.Afin de tenir les objectifs que la France s'est fixés, la puissance du parc solaire devra être multipliée par trois dans la prochaine décennie et par au moins sept d'ici à 2050.Pour respecter cette trajectoire, il était nécessaire d'améliorer l'accès au foncier et de simplifier les procédures administratives. Le plan d'actions qui vient d'être annoncé ce jour par la ministre de la transition écologique Barbara Pompili va dans le bon sens et doit être salué.Les besoins en foncier de la filière photovoltaïque pour atteindre les objectifs de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) sont estimés à moins de 30 000 hectares d'ici 2028, dans un pays qui en compte 55 millions. Paradoxalement, alors que la France est le plus grand territoire d'Europe, du fait des contraintes réglementaires qui s'imposent au solaire, il est difficile de trouver des terrains pour les centrales au sol : 51% du territoire est classé agricole, 40% est boisé et les développeurs doivent se concentrer exclusivement sur les 9% restants de sols artificiels qui par définition sont souvent occupés.Pour Xavier Daval, Vice-président du SER en charge de la filière solaire : « Les mesures présentées ce jour constituent un signal positif pour la filière. Nous soutenons en particulier les mesures de simplification administrative et celles qui permettront de valoriser les surfaces artificialisées ou dégradées. Mais nous devons aussi entamer une réflexion sur l'utilisation d'autres types de foncier, notamment agricole, afin d'atteindre les objectifs de la Programmation pluriannuelle de l'énergie ».
Il y a 3 ans et 242 jours

Projet de la Porte de Montreuil : la conception est "désormais finalisée"

PROJETS URBAINS. Le projet de transformation de l'échangeur routier de la porte de Montreuil en "place métropolitaine" végétalisée, adossée au projet immobilier de Nexity, lauréat du concours Reinventing Cities, est prêt à être mis en oeuvre. Il s'étalera jusqu'en 2027.
Il y a 3 ans et 242 jours

Quel est l'impact du DPE sur les ventes immobilières dans l'Hexagone ?

IMMOBILIER. Un récent rapport des notaires de France montre les écarts entre départements concernant les ventes de biens immobiliers, selon leur étiquette énergétique. Les transactions immobilières en 2020 des logements de classe F-G étaient très faibles dans les zones proches du sud de la façade atlantique et de l'arc méditerranéen.
Il y a 3 ans et 242 jours

Photovoltaïque : la filière salue le "plan d'actions" mais soulève d'autres sujets

RENOUVELABLES. Sans véritable surprise, les professionnels et spécialistes des énergies renouvelables accueillent favorablement les 10 mesures présentées par le Gouvernement pour amplifier le développement des panneaux photovoltaïques. Certaines organisations en profitent cependant pour attirer l'attention sur d'autres sujets, à commencer par la disponibilité du foncier.
Il y a 3 ans et 242 jours

L'artisanat du bâtiment dépasse son niveau d'avant-crise porté par MaPrimeRénov' et la rénovation énergétique

L'artisanat du bâtiment, un secteur qui va de la construction de maisons à la rénovation énergétique, a vu son activité progresser de 4% par rapport au troisième trimestre 2020 et de 2,2% par rapport à celui de 2019, renouant avec son niveau d'avant-crise, selon la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).C'est dans les travaux d'amélioration de la performance énergétique des logements qu'il réalise son meilleur score avec une croissance de 5,5%, suivi de l'activité entretien-rénovation (+5%).Par ailleurs, l'activité bénéficie d'une "demande forte des ménages et d'un stock important de chantiers à réaliser, notamment soutenue par le dispositif MaPrimeRenov", indique la Capeb.Les carnets de commandes représentent 103 jours de travail au 3e trimestre 2021, soit une progression de 31 jours par rapport à la même période l'an dernier.Le secteur a créé 54.200 emplois supplémentaires sur les douze derniers mois, un chiffre en hausse de 3,8%. La Capeb ajoute que "14% des entreprises artisanales pensent embaucher des salariés supplémentaires", contre 4% auparavant.Malgré tout, le secteur est rattrapé par la conjoncture économique: les prix ont augmenté de 3,8% au deuxième trimestre par rapport à l'année précédente et les coûts de 4,8%.
Il y a 3 ans et 242 jours

Le Sénat valide les grandes lignes d'un texte LREM visant à mieux réguler le foncier agricole

Députés et sénateurs tenteront de s'accorder sur une version commune du texte en commission mixte paritaire, faute de quoi l'Assemblée nationale, qui l'a adopté en première lecture fin mai, aura le dernier mot.Le texte "d'urgence" du député Jean-Bernard Sempastous cible les cessions de terres via des parts de société. Ces sociétés possèdent désormais près des deux tiers de la surface agricole utile.Sur tous les bancs, les sénateurs ont regretté que le gouvernement n'ait pas présenté "une grande loi foncière", promesse d'Emmanuel Macron.Pour le ministre de l'Agriculture Julien Denormandie, la proposition de loi "constitue une étape décisive et nécessaire". Elle envoie "un signal d'espoir" en faveur de l'installation des jeunes agriculteurs, a-t-il dit, regrettant toutefois que le Sénat soit allé "plus loin" que le gouvernement ne le souhaitait sur les exemptions."La concentration n'est pas un mal en soi, pas plus que la propriété sociétaire. C'est la taille disproportionnée des exploitations et la spéculation foncière qu'il faut combattre", a défendu le rapporteur au Sénat, Olivier Rietmann (LR).Le texte prévoit de soumettre à autorisation administrative les cessions de titres sociaux qui conduisent à la prise de contrôle de sociétés détenant ou exploitant du foncier agricole afin de lutter contre une concentration excessive ou un accaparement de terres. Des seuils "d'agrandissement significatif" seront fixés par les préfets de région.Le Sénat a validé cet article qui constitue le coeur du texte, mais avec "une volonté de territorialiser, de recentrer et d'encadrer le dispositif de contrôle". Il a ainsi revu le seuil "d'agrandissement significatif", qui serait compris entre deux et trois fois la surface agricole utile régionale moyenne (Saurm), contre un intervalle entre une et trois fois dans le texte initial.Les sénateurs ont aussi confié au préfet de département plutôt qu'au préfet de région la décision d'autoriser ou de refuser les prises de participation sociétaires.Concernant les exemptions, ils ont notamment élargi jusqu'au 4e degré inclus (au lieu du 3e degré) les cessions intrafamiliales, ce qui permet d'inclure les cousins germains.La gauche n'a pas été convaincue par ce texte. L'écologiste Joël Labbé l'a jugé "largement insuffisant". "Il ne luttera pas contre les concentrations excessives", a estimé Christian Redon-Sarrazy (PS), déplorant sa "libéralisation" par la majorité sénatoriale.Chambres d'agriculture, SAFER (Sociétés d'aménagement foncier et d'établissement rural) et syndicats FNSEA et Jeunes Agriculteurs avaient appelé le Sénat à "conforter" le travail des députés. "Cette loi d'urgence sera un précieux outil pour faire face à un phénomène qui ronge notre modèle agricole", avaient-ils affirmé dans un communiqué commun.
Il y a 3 ans et 242 jours

Bollène : coup de jeune pour la résidence « Le Pont Neuf »

Les travaux de réhabilitation de la résidence du Pont Neuf à Bollène sont lancés.
Il y a 3 ans et 242 jours

Les copropriétaires peu enclins à faire des travaux de rénovation énergétique cruciaux

Alors que la rénovation énergétique des copropriétés s’inscrit comme un enjeu de taille (Loi climat et Résilience), une enquête montre que les copropriétaires ne semblent pas décidés à faire réaliser ces travaux.
Il y a 3 ans et 242 jours

Bouygues formalise son offre pour acheter Equans, filiale d'Engie

Un conseil d'administration doit avoir lieu cette semaine chez Engie pour débattre des offres présentées."Ce projet de rachat d'Equans s'inscrit dans la démarche stratégique de Bouygues visant à faire émerger un acteur majeur des services multitechniques", précise le groupe dans un bref communiqué, ajoutant qu'il ne compte pas recourir à une augmentation de capital pour financer cette acquisition.Bouygues avait annoncé fin août être intéressé par le rachat d'Equans, qui regroupe la majorité des activités de services techniques d'Engie (climatisation, chauffage et ventilation, électricité, numérique, mécanique, services généraux...)."Géographiquement, les marchés d'Equans, Europe et Etats-Unis, correspondent aux endroits où l'on souhaite se développer", avait alors argumenté Olivier Roussat, directeur général du groupe.Engie, détenu à 23,64% par l'Etat français, a lancé début septembre le processus de vente de sa filiale, sous l'oeil vigilant du gouvernement à l'approche de la présidentielle.Plusieurs offres sont en lice, dont celles du groupe français Eiffage et du fonds Bain Capital, allié au financier français Marc Ladreit de Lacharrière, fondateur du holding diversifié Fimalac.Spie, groupe de services multitechniques aux entreprises et collectivités, s'est retiré de la course mi-octobre.Avec 74.000 salariés, Equans représente un chiffre d'affaires de près de 12 milliards d'euros, selon Engie, qui espère tirer cinq à six milliards d'euros de cette opération.Sur le premier semestre 2021, le chiffre d'affaires du pôle Energies & Services du groupe Bouygues s'est élevé à 1,9 milliard d'euros.
Il y a 3 ans et 242 jours

Lafarge France mise sur le béton de bois

Lafarge France entre au capital de CCB Greentech, le créateur du béton de bois TimberRoc. [©Lafarge] Lafarge France entre au capital de CCB Greentech, le créateur du béton de bois TimberRoc. Les deux industriels annoncent un rapprochement capitalistique, industriel et commercial pour développer l’invention de la start-up. Cette dernière permet la préfabrication en usine de murs porteurs et de dalles en béton de bois. Ce produit bénéficie de qualités techniques, telles que la résistance au feu ou un bon déphasage thermique. D’ailleurs, cette technologie repose sur 15 ans de recherche et développement et sur 10 brevets. Ainsi, la filiale du groupe suisse a décidé de s’engager au côté de la start-up pour valoriser la construction bas carbone. Un partenariat pour la construction bas carbone En effet, le TimberRoc se positionne comme un matériau présentant un bilan carbone négatif. Ses granulats de bois forestiers labellisés PEFC permettent de construire des bâtiments, tout en répondant aux enjeux environnementaux actuels et à la RE 2020. Ainsi, Lafarge France met à disposition son laboratoire d’essai et son réseau commercial, en suivant deux objectifs. Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Tout d’abord, en promouvant ce produit auprès de ses partenaires pour déployer de nouveaux utilisateurs et de nouvelles applications. Ensuite, en développant des solutions inédites pour le chantier avec les granulats de bois. « La technologie de CCB Greentech, associée à notre savoir-faire de cimentier et de bétonnier, offre des synergies enthousiasmantes, souligne François Petry, directeur général de Lafarge France. Nous sommes prêts à le développer ensemble pour offrir à nos clients des solutions constructives biosourcées innovantes et bas carbone. »
Il y a 3 ans et 242 jours

Équerre d'argent 2021: Les nommés de la catégorie Espaces publics et paysagers

    Les porte-à-faux ne sont pas réservés aux gros équipements ; on les trouve aussi dans des bâtiments plus modestes, voire des maisons. D'ailleurs, les livres d'histoire d'architecture moderne mettent à l'honneur la Maison sur la cascade de Frank Lloyd Wright comme un manifeste en faveur de l'usage du béton en […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 242 jours

L’Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP voit le jour

Le CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners dévoilent le premier Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP. [©OPPBTP] Le secteur du bâtiment est en quête de nouveauté. Le CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners se sont associés pour dévoiler le premier “Observatoire des tendances d’innovation”. Celui-ci permet aux professionnels d’appréhender les principaux champs d’innovation à l’œuvre dans le secteur. L’objectif est d’en faire un vecteur de transformation positive et durable. Ainsi, cet observatoire décrypte les dernières solutions pour tous les métiers de la filière. Lire aussi : Le CCCA-BTP lance sa plateforme pour les jeunes Il regroupe des thématiques comme la sécurité, la formation et la prévention. Sa création donne une vision plus claire des nouvelles tendances dans le secteur du bâtiment. Le CCCA-BTP et ses partenaires ont décidé de s’aider des 222 start-up recensées au sein d’Impulse Partners pour réaliser cet observatoire. Celles-ci se développent et constituent un précieux révélateur des transformations dans le BTP. Après une étude approfondie, les tendances se regroupent autour de trois grandes problématiques et de leurs solutions en développement. La production : un enjeu majeur de l’Observatoire Tout d’abord, l’observatoire met en exergue l’accroissement de la productivité des entreprises. Dans cette logique, il souligne l’avènement des solutions de construction hors site. Ces dernières permettraient de réaliser 80 % de la production en usine. Cette technique constructive mènerait à une nette évolution des métiers, des méthodes et des risques associés. La question de la productivité s’étend tout autant sur les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et d’ouvrages (capteurs IoT, plate-forme BOS). Ces objets connectés offrent l’opportunité de saisir de nouveaux marchés dans le Smart Building. De leur côté, les outils d’édition et de partage du jumeau numérique renforcent la sécurité des chantiers. Des produits de meilleures qualités Les études de l’observatoire se concentrent aussi sur la réalisation d’ouvrages de meilleures factures. En effet, un produit de bonne qualité se démarque par ses performances et son moindre impact sur l’environnement. Ainsi, les tendances actuelles et l’évolution de la réglementation font la part belle au bois. Lire aussi : La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation Ce matériau, de plus en plus sollicité, exige de nouvelles compétences (logistique, réglage…) et propose une autre approche pour le secteur du BTP. Toujours dans cette thématique, les plates-formes et les outils favorisant le réemploi constituent aussi un levier majeur de transformation, notamment pour la filière de déconstruction. Tout comme le “lean management” (gestion sans gaspillage), avec ses outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité. La sécurité avant tout Le troisième objectif majeur réside dans l’amélioration de la sécurité sur les chantiers. Les outils digitaux comme la réalité virtuelle sont étudiés. Ils permettent de former et de sensibiliser aux différents risques du chantier. De plus, les études de l’observatoire mettent en avant les dispositifs de détection d’accidents comme les robots, les caméras ou l’intelligence artificielle. Enfin, des équipements de protections individuelles connectées sont prévus pour assurer une sécurité maximale lors des chantiers.
Il y a 3 ans et 242 jours

Les écologistes s'opposent à la construction de la Tour Triangle et dénoncent une "aberration climatique"

Voté en 2015 malgré leur opposition, ce projet d'une "tour de bureaux de 180 mètres de hauteur et de 92.000 m2 de surface est anti-écologique et contraire aux engagements du Plan climat de la Ville de Paris", ont asséné les élus écologistes du Conseil de Paris (GEP) mardi dans un communiqué.Signée de l'agence d'architecture suisse Herzog et de Meuron, cette tour de 42 étages doit être édifiée au milieu du Parc des expositions de la Porte de Versailles, dans le XVe arrondissement de Paris.Pressé par la mairie à signer le bail à construction avant novembre, "faute de quoi le projet serait remis en question", le géant des centres commerciaux Unibail-Rodamco-Westfield (URW) a annoncé lundi que le chantier démarrerait d'ici 2022, avec le soutien financier de l'assureur Axa, pour s'achever à l'horizon 2026.Mais pour les élus écologistes, ce projet, "héritier de l'urbanisme des années 60", est "économiquement anachronique et hors sol" à un moment où "le développement du télétravail et du co-working a bouleversé l'immobilier tertiaire" et où "plus de 4 millions de m2 de bureaux sont vacants sur le territoire francilien".La relance d'un projet "incompatible avec l'objectif de la France de diviser par deux ses émissions de gaz à effets de serre d'ici 2030" est de plus annoncée "en pleine COP 26", déplorent encore les Verts, qui dénoncent une tour au bilan carbone "catastrophique" pour sa construction comme son fonctionnement."Il faut 3 à 4 fois plus de béton et d'acier" pour construire la tour "que pour construire un bâtiment très basse consommation respectant les plafonnements parisiens", abonde le Collectif contre la Tour Triangle, association d'opposants contactée par l'AFP. "Anne Hidalgo, qui se prétend candidate au service de l'écologie, aurait dû tout faire pour annuler ce projet", dit encore Danielle Simonnet, conseillère LFI de Paris.Mme Hidalgo, candidate du PS à l'élection présidentielle, est actuellement à Glasgow pour la COP 26, considérée comme un moment crucial pour déterminer les objectifs de réduction mondiale des émissions carbone et lutter contre le réchauffement climatique.
Il y a 3 ans et 242 jours

François Brugel - Portrait

François Brugel fonde son agence en 1992 et est aujourd'hui associé avec Victor De Almeida. FBAA, qui compte aujourd'hui une dizaine de collaborateurs, travaille sur la manière dont les transformations successives impactent en profondeur la ville, et en particulier ses logements. L'agence FBAA, fondée par l'architecte François Brugel, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 242 jours

Jolie maison en bois terre paille et matériaux recyclés réalisée en Irlande

Cette maison écologique d’un étage a été conçue par l’architecte Feile Butler et son mari Colin Ritchie dans la ville de Sligo en Irlande. Il leur a fallu 3 ans pour l’achever et les matériaux utilisés furent principalement de la terre, de la paille et du bois. Le concept de construction de maisons avec à la technique […]
Il y a 3 ans et 242 jours

La menuiserie aluminium, porteuse de réponses sur-mesure face aux enjeux de la RE 2020

Le SNFA accueille favorablement la double approche énergétique et environnementale de la RE 2020, pour la construction des bâtiments d’habitation de demain. Sandra Bertin, Déléguée Générale du SNFA, s'exprime sur la RE 2020 et confirme que la menuiserie aluminium contribue déjà à la baisse de la consommation énergétique des bâtiments d'habitation et de leur empreinte carbone.
Il y a 3 ans et 243 jours

Logement : l’autorisation de déroger aux règles ?

Le 14 octobre 2021, la ministre de la Culture, Roselyne Narquin-Bachelot et la ministre chargée du Logement, Emmanuelle Wargon ont lancé l’appel à manifestation d’intérêt au sein du programme « Engagés pour la qualité du logement de demain ». La qualité d’usage du logement, l’évolution des types d’habitation et la reconfiguration de la chaîne de production sont les enjeux saillants de cette action de recherche et d’expérimentation. Jusqu’au 17 février 2022, maîtres...