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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Immobilier - Logement

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Il y a 3 ans et 264 jours

Marché de l'immobilier, la fête est finie ?

Une étude exclusive, réalisée par PAP, du 1er au 30 septembre 2021, laisse présager un retour à la raison sur le marché immobilier. Les recherches de logements à l'achat baissent de 6,5% par rapport à septembre 2019. En revanche, les critères qui ont émergé à la faveur de la crise sanitaire restent d'actualité : forte appétence pour les maisons, et les petites villes et les zones rurales sont les seules à enregistrer une progression par rapport à 2019. Retour à la raison : les arbres ne montent pas jusqu'au cielLa crise sanitaire et les confinements successifs ont été un véritable révélateur immobilier pour de nombreux Français. Le fait de passer beaucoup plus de temps dans son logement a modifié le regard que l'on y portait. Ce qui a alimenté une forte envie de changement, du plus léger au plus radical : décoration, renouvellement de mobilier, travaux de réaménagement, voire d'extension de maisons... Et bien entendu de déménagement ! En septembre 2020, le nombre de recherches à l'achat progressait de 48,1% par rapport à 2019, et quelques mois plus tard, les notaires annonçaient un record historique de volume de transactions.Cette phase de records semble désormais terminée. En septembre 2021, le volume de recherche baisse de 36,9% par rapport à 2020, et se retrouve ainsi 6,5% en dessous de son niveau de 2019. C'est donc un vrai rééquilibrage par rapport à la frénésie qui avait démarré en mai 2020 à la suite du premier confinement. En matière de critères de recherche, il y a bien un avant et un après CovidLa crise sanitaire a également été à l'origine d'une véritable rupture dans les critères de recherches de logements illustrée par une appétence renforcée pour, d'une part, les petites villes et les zones rurales et, d'autre part, les maisons individuelles. En septembre 2021, l'effet de la crise sanitaire est toujours visible. Ainsi, les petites villes et les zones rurales tirent encore leur épingle du jeu comme on peut le voir ci-dessous : +21,9% par rapport à 2019. C'est d'ailleurs la seule typologie de villes qui est en progression sur deux ans. Les grandes métropoles en général et Paris en particulier, enregistrent une baisse significative des recherches par rapport à 2019.Il en va de même pour les maisons qui ont fait l'objet d'un plébiscite jamais démenti depuis. Et cela reste le cas en ce mois de septembre 2021, même si on observe un léger rééquilibrage par rapport à 2020. Les maisons représentent 63% des recherches en septembre 2021, contre 59 % en septembre 2019.L'évolution des critères de recherche est intimement liée à la situation du télétravail. Or, on constate que le télétravail a survécu à la crise sanitaire puisqu'il est désormais largement institutionnalisé dans de nombreuses entreprises. Mais dans la grande majorité des cas, à raison d'un ou deux jours par semaine, loin du 100% en distanciel des derniers mois. Ce qui contraint certains acheteurs à revoir leurs projets et à partir moins loin qu'initialement envisagé. Les vendeurs doivent s'adapter à cette nouvelle donneLe recul du nombre d'acheteurs sur le marché contraint les vendeurs à revoir leurs stratégies de vente. Ces derniers doivent faire preuve de pragmatisme et de vigilance.1/ Bien étudier son prix de venteLe recul du nombre d'acheteurs dans les zones traditionnellement tendues va mécaniquement limiter le nombre de contacts, a fortiori, pour les vendeurs ayant des référentiels de prix de marché trop élevés. Il est donc important de rapidement corriger le tir en cas de surévaluation du bien, sous peine de le voir rester sur le marché. De plus, il faut être ouvert à la négociation, surtout si on est pressé de vendre !Dans le cadre de son offre de coaching destinée aux vendeurs, lancée en 2019, PAP propose une estimation du bien réalisée par un expert et donnant lieu à un avis de valeur écrit avec une garantie d'indépendance puisque PAP n'est pas intéressé par le montant de la transaction.Verbatim vendeur (annonce D80/0618) : « Grâce au service de coaching PAP, nous avons vendu notre appartement assez rapidement et au bon prix. Pour une somme de 690 € (payable en 5 échéances) nous avons bénéficié du filtrage des appels (agences refoulées d'office), d'un retour hebdomadaire de PAP, d'un technicien photos, de documents utiles pour les visites et la vente. Il y a également un service juridique à disposition. Notre coach (Mme Sanga) était très disponible. Le service est plus efficace qu'une agence (expérience faite !) et surtout sans commission exorbitante ». 2/ Soigner la présentation de son offreL'immense majorité des recherches s'effectue désormais sur Internet, et la première chose que les acheteurs voient, ce sont les photos. Pour faire bonne impression, il faut donc des photos de qualité, et notamment éviter les deux grandes erreurs des photos immobilières : les contre-jour (qui donnent le sentiment que le logement est sombre) et les mauvais cadrages (qui diminuent la surface des pièces).Pour un rendu optimal, les vendeurs peuvent aussi miser sur la visite virtuelle, qui est une solution doublement gagnante puisqu'elle permet de valoriser son annonce tout en limitant les visites physiques aux seuls acheteurs réellement intéressés. PAP propose aux vendeurs des visites virtuelles réalisées par un photographe professionnel à l'aide d'un matériel spécifique, qui viendront illustrer l'annonce. Ce service est également inclus - ainsi que des photos de qualité professionnelle - dans l'offre de coaching. Verbatim vendeur (annonce D30/0645) : « La visite virtuelle de notre maison a été un vrai "plus" dans la vente de notre maison ... encore davantage en période de confinement ! Nous ne regrettons pas du tout d'avoir fait appel à vos services ! Entière satisfaction d'avoir fait appel à PAP pour réaliser une visite virtuelle de notre bien, ce qui a nettement favorisé la vente. »3/ Ne pas perdre de tempsEn octobre, de nombreux vendeurs pensent que la « saison des ventes » est passée et envisagent d'attendre l'année prochaine pour démarrer leur vente. En temps normal, c'est déjà une stratégie que nous déconseillons, car elle risque de les mettre dans l'urgence, or on vend mieux quand on n'est pas pressé. Et dans ce contexte particulier, le recul des recherches laisse planer un doute sur l'avenir du marché à court et moyen terme. Il est donc plus prudent de démarrer sa vente le plus rapidement possible. La baisse du nombre d'acheteurs pourrait nécessiter davantage de temps pour conclure sa vente. Commencer plus tôt, c'est la garantie d'engranger des contacts dès maintenant.L'offre de coaching de PAP est valable pendant une durée d'un an pour couvrir une année immobilière complète et permettre aux vendeurs de ne pas reporter leur mise sur le marché.Verbatim vendeur (annonce D74/0570) : « Nous vous remercions pour tout. Notre maison a été vendue rapidement au prix demandé par le biais de votre site. La qualité des photos et la vidéo sont exceptionnelles. Le service PAP et les moyens techniques mis à disposition sont au Top ! »MéthodologieEtude menée sur les 3.230.044 recherches d'achat effectuées sur PAP.fr entre le 1er et le 30 septembre 2021, comparée aux recherches menées sur la même période en 2020 et 2019.
Il y a 3 ans et 264 jours

Delta Dore se sépare de sa branche Smart Building

STRATÉGIE. Delta Dore annonce avoir cédé Delta Dore EMS, spécialisée dans le "Smart Building" (gestion intelligente des bâtiments). Le spécialiste de la gestion des Bâtiments souhaite se recentrer sur le logement connecté.
Il y a 3 ans et 265 jours

Pour les notaires, rentabiliser l’existant par la « mutabilité des usages »

Après la recherche, les rapports, les tables rondes, voici le colloque « pour un logement Accessible et de Qualité ». Prévu en Phygital, il a lieu le mardi 19 octobre à la salle Wagram ! Les notaires du Grand Paris et le GRIDAUH (Groupement de recherche sur les institutions et le droit de l’aménagement de l’urbanisme et de […] L’article Pour les notaires, rentabiliser l’existant par la « mutabilité des usages » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 265 jours

Coeur du parc éolien en mer de Saint-Brieuc, la sous-station prend forme en Belgique

EN IMAGES. Bien que toujours contesté, la construction du parc éolien offshore de Saint-Brieuc avance. Elément central de la future ferme, la sous-station est actuellement en cours d'assemblage à Hoboken, près d'Anvers en Belgique. A la manoeuvre, les équipes de Smulders, filiale d'Eiffage, et d'Equans, entité d'Engie. Reportage au coeur de la plateforme.
Il y a 3 ans et 265 jours

Entre l’apprentie, la stagiaire et la débutante, le cœur de l’architecte balance

Quand il ne tue pas en série, Dubois l’architecte tente de recruter en série. Ethel Hazel, sa psychanalyste, se dit que, effectivement, n’est pas Pygmalion qui veut. Dr. Nut poursuit ses recherches accablantes. *** « Dans la construction d’un pays, ce ne sont pas les travailleurs manuels qui manquent, mais bien les idéalistes et les planificateurs ». […] L’article Entre l’apprentie, la stagiaire et la débutante, le cœur de l’architecte balance est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 265 jours

Bayonne : inauguration de la résidence Oreka

À Bayonne, la nouvelle résidence Oreka propose 174 logements à énergie positive.
Il y a 3 ans et 265 jours

Le marché locatif des bureaux s'améliore au 3e trimestre en France

Entre juillet et septembre, 406.200 mètres carrés de bureaux étaient occupés, un chiffre en hausse de 66% par rapport à la même période l'an dernier, mais qui reste toujours loin du niveau d'avant crise, indique le bilan trimestriel Immostat. En comparaison, au troisième trimestre 2019, la demande placée des bureaux totalisait 585.800 mètres carrés.Depuis le début de l'année, la superficie totale de bureaux loués en région parisienne a augmenté de 32%, à 1,2 million de mètres carrés, par rapport à la même période l'année précédente.Le bilan Immostat, effectué par plusieurs spécialistes du secteur (BNB Paribas Real Estate, CBRE, JLL et Cushman & Wakefield), concerne seulement l'Ile-de-France, où se concentre le gros du marché français.L'offre immédiate de bureaux en Ile-de-France, qui représente l'évaluation des surfaces immédiatement disponibles au 30 septembre 2021, s'établit à 3,99 millions de mètres carrés, en hausse de 21% par rapport à son niveau il y a un an.Un autre signe témoignant des difficultés du marché depuis plus d'un an: les investissements pour devenir propriétaires d'immobilier d'entreprises sont en recul.En région parisienne, 2,9 milliards d'euros ont été investis dans le secteur au troisième trimestre, un chiffre en repli de 32% par rapport à l'an dernier.Sur l'ensemble de l'année 2020, le marché locatif des bureaux en région parisienne avait reculé de près de moitié (-45%), dans un contexte marqué par la crise du coronavirus, le recours massif au télétravail et plusieurs épisodes de confinements.
Il y a 3 ans et 265 jours

Comment "horizontaliser" une tour, selon l'architecte du futur plus haut gratte-ciel de France

Baptisé "The Link" ("le Lien"), il accueillera le nouveau siège du géant français du pétrole TotalEnergies et culminera à 242 mètres.Un projet à un milliard d'euros imaginé par l'architecte Philippe Chiambaretta, du cabinet PCA-Stream, habitué de l'immobilier professionnel, et connu entre autres pour son projet de réaménagement des Champs-Elysées."J'ai hésité à me lancer, car j'étais persuadé que le modèle de la tour de bureaux à La Défense était tout ce qu'il ne fallait pas faire", expliquait à l'AFP l'architecte, sourire aux lèvres, sur le chantier jeudi.Ce modèle de la tour reste difficile à dépasser. "Cela permet de concentrer sur la même unité beaucoup de personnes", concède Roland Cubin, directeur opérationnel chez Groupama Immobilier, financeur du projet.Pas de table rase, donc, mais une "tour nouvelle génération", argue M. Cubin.Car pour son premier projet de ce type, l'architecte n'ambitionne rien de moins qu'un aggiornamento. "Le défi architectural a été de mettre de l'horizontalité dans cette forme de tour, par essence verticale", poursuit M. Chiambaretta.Pour étirer la tour en largeur, "The Link" est en fait deux tours, de 228 et 165 mètres de hauteur, qui seront reliées entre elles par pas moins de 30 larges passerelles, en grande partie végétalisées.Les liens entre les deux bâtiments permettront de créer des "plateaux" de 3.000 mètres carrés. Voire de 6.000 mètres carrés, car les étages de chaque tour seront reliés par paire par des escaliers ouverts: le but est de permettre aux salariés de rejoindre le plus possible de collègues sans jamais prendre l'ascenseur."Une surface inédite pour une tour de La Défense", se félicite Roland Cubin. Au total, The Link accueillera jusqu'à 12.000 occupants sur 130.000 mètres carrés.Le travail post-Covid"The Link est le fruit de dix ans de réflexion autour des évolutions du monde du travail", explique M. Chiambaretta, dont la revue qu'il dirige publiait en 2012 un numéro intitulé "After Office" (après le bureau).Le secteur tertiaire est marqué par de profonds changements, explique-t-il. "Nous ne sommes plus dans l'administration de l'industrie, mais dans un capitalisme de la connaissance. L'intelligence collective est le moteur de la réussite", affirme l'architecte.Une émulation favorisée selon lui par les rencontres et les échanges impromptus entre salariés: "Il faut que les espaces intérieurs fabriquent ces liens."Les passerelles et jardins de "The Link" seront autant d'espaces pensés pour favoriser ces rencontres. "L'agora" au pied de l'immeuble et le "club panoramique" au milieu des tours sont pensés comme des "places de villages".Des aménagements que l'architecte a déjà expérimentés ailleurs, notamment au #Cloud sur les Grands Boulevards qui abrite les bureaux de Facebook, Instagram et BlaBlaCar, ou dans les nouveaux bureaux de la banque d'affaire Lazard.Si le projet a été conçu avant le Covid, il n'épouse pas moins les contours du monde du travail post-pandémie, selon Philippe Chiambaretta: "La crise du Covid a accéléré des tendances de fond comme le besoin d'extérieur et d'horizontalité."10.000 mètres carrés d'espaces extérieurs sont ainsi prévus.Après des mois de télétravail, "venir au bureau doit être désirable" explique-t-il, "pour attirer les talents"."On cherche à donner du sens au siège", complète Roland Cubin.Dans cette optique, le bien-être des salariés devient crucial. Pour l'assurer, l'architecte a par exemple aménagé des espaces végétalisés (2.800 m2 au total) accessibles à moins de 30 secondes de n'importe quel poste de travail.Les bureaux sont alors pensés comme des outils de productivité pour les salariés, et non plus seulement comme un simple toit."Ce sujet est à présent pris en charge par les ressources humaines. Ce n'est plus seulement un mal nécessaire, appréhendé au prisme financier du coût par poste", dit M. Chiambaretta.
Il y a 3 ans et 265 jours

Montpellier : ouverture de l’école Samuel-Paty à la rentrée 2022

À Montpellier, la construction de l’école Samuel-Paty se poursuit. Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’aménagement du quartier de la Restanque.
Il y a 3 ans et 265 jours

Bâtiment : défaillances en baisse, vigilance sur les PME

Le recul des défaillances des entreprises de construction ou de second œuvre au troisième trimestre ne doit pas masquer la menace grandissante sur les PME du bâtiment, dont certaines devront commencer à rembourser leur PGE au printemps prochain.
Il y a 3 ans et 265 jours

Saint-Vincent-de-Paul à Paris : un laboratoire grandeur nature d'innovations urbaines

Dans le quartier du faubourg Saint-Antoine à Paris (XIIe), les 35 logements de Mobile Architectural Office se partagent la parcelle mono-orientée d'un ancien atelier d'ébénisterie. Aligné sur la rue Charrière, le bâtiment en R+5 profite de 35 m linéaires de façade et se dégage de ses mitoyennetés arrières […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 265 jours

Artibat : Il est revenu le temps des salons de la construction

Plus de 1 000 fabricants et distributeurs ont répondu présents pour la 17e édition du salon Artibat 2021. [©Acpresse] Avec plus de 1 000 exposants, sur quelque 65 000 m2de surface d’exposition, le salon Artibat 2021 ouvre ses portes le 13 octobre. Ceci, au Parc des expositions de Rennes. Plus de 40 000 visiteurs professionnels sont attendus dans ses allées. Cet évènement incontournable de la filière est le premier grand rendez-vous sectoriel physique depuis le début de la pandémie. Il est donc très attendu par les exposants. Tant pour la rencontre conviviale avec les professionnels de la construction que pour le potentiel d’affaires qu’il génère. Pareil du côté des visiteurs ! Artibat s’annonce comme LE rendez-vous de la profession, surtout après cette année si particulière. Rappelons qu’avec 2 405 visiteurs et 80 exposants, la première édition des Construction Days, expérience 100 % outdoor, s’est avérée être une réussite « porteuse d’affaires, plébiscitée pour son format inédit et sa convivialité ». Pendant 3 j, en septembre dernier, l’évènement a confirmé la reprise du secteur et ses perspectives de croissance boostées par l’innovation. Un avant-goût d’Artibat… Rénovation énergétique vue par Cirq Les visiteurs connaissent bien Artibat et apprécient ce qu’ils viennent y trouver. A savoir, le rapport direct avec les exposants, la possibilité de toucher les produits, les tester et découvrir les dernières nouveautés.  Un bassin de rencontres entre tous les acteurs du bâtiment, voici la meilleure manière de décrire le concept de Cirq en 2021. Start-up et industriels seront présents sur le même espace tout au long du salon, rassemblés autour de la même thématique forte : l’innovation. Ainsi, les enjeux de la rénovation énergétique face au dérèglement climatique, fruit du partenariat Artibat et Novabuild, l’allié “solutions climat” en Pays de Loire, seront largement abordés et sous tous les angles dans un espace dédié. Cet événement dans l’événement mettra en lumière, lors de conférences, les solutions innovantes pour massifier la rénovation énergétique des bâtiments de logements individuels et collectifs. Ou encore informer sur l’entrée en vigueur des nouveaux impératifs de la RE 2020. Précisons que la scène Cirq constituera aussi une tribune de premier plan pour les 8 start-up sélectionnées. Toujours plus d’animations De plus, l’AQC vous donne rendez-vous sur son stand n° F13 (Hall 5) et vous propose de découvrir deux “Serious game” (“Jeux sérieux”) sur la qualité de l’air intérieur. Par ailleurs, Artibat et son partenaire HB Développement vont vous faire vivre une expérience aussi unique qu’immersive. Venez tester l’installation temporaire sur 130 m² du projet dénommé “Confort d’usage, Ressentir pour mieux construire”. Ce dernier a pour ambition d’inviter à s’interroger, repenser et/ou apporter des aménagements et solutions. Qui permettraient d’améliorer ou d’adapter le quotidien des personnes âgées ou en situation de handicap. Enfin, venez expérimenter les dernières innovations en matière de prévention des risques professionnels musculo-squelettiques. Et découvrez les nouvelles solutions de prévention des chutes, d’assistance… Rejoignez-nous sur le stand K03, hall 10B. Bon salon.
Il y a 3 ans et 265 jours

Un cadre pour réemployer des produits de déconstruction en toute sécurité

Photo : AdobeStockUn atelier de recherche de la Fondation Bâtiment Énergie, coordonné par le CSTB et impliquant l'institut MECD pour l'animation d'un projet sur le réemploi, a élaboré huit guides pour fiabiliser les performances résiduelles de huit familles de produits en vue de leur réemploi sur de nouveaux chantiers après leur dépose. Le secteur de la construction étant très consommateur de ressources et producteur de déchets, il est forcément sensible à l'économie circulaire. Le CSTB s'attache, avec ses partenaires, à faire progresser le réemploi des matériaux dans le bâtiment. Des filières de recyclage de déchets de déconstruction dans de nouveaux produits se mettent progressivement en place et, aujourd'hui, c'est le réemploi de composants qui connaît un réel engouement. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 265 jours

Paris annonce des travaux resserrés par quartier afin de limiter les nuisances

Une centaine d'arbres plantés par quartier, des rues plus apaisées et accessibles: l'opération "embellir votre quartier" qui débutera fin 2021 vise, sans surprise compte tenu du programme de la maire PS Anne Hidalgo, à "végétaliser, piétonniser la ville", a expliqué à l'AFP Jacques Baudrier, l'adjoint (PCF) à la construction publique.Mais la "démarche" vise aussi à "éviter d'empoisonner la vie des Parisiens avec une succession de chantiers mal coordonnés", a indiqué le premier adjoint (PS) Emmanuel Grégoire vendredi lors d'un point presse.Cette nouvelle "philosophie" est de "concentrer dans des fenêtres précises, au même endroit, des travaux" classiques de la ville, des concessionnaires (entretien des réseaux d'eau, gaz, chauffage urbain, téléphonie) et "les grands chantiers" déjà connus, afin d'offrir ensuite plusieurs années de tranquillité aux riverains, a assuré M. Grégoire.Parmi les 15.000 chantiers annuels que subissent les chaussées de la capitale - autant que les bâtiments -, selon M. Baudrier, 80% sont effectués par la douzaine de concessionnaires de la Ville (RATP, Enedis, GRDF, CPCU...) et 20% par la municipalité elle-même.Dans le premier mandat d'Anne Hidalgo (2014-2020), "chacun des acteurs, y compris les concessionnaires, définissait un programme de travaux annuel", ce qui pouvait occasionner différents travaux "quatre années de suite" pour un même trottoir, retrace l'élu communiste.Désormais, "il y a 17 quartiers de Paris où il y a beaucoup de travaux en ce moment et il n'y en aura plus pendant cinq ans", résume-t-il.Une enveloppe de 5,5 millions d'euros - 7 millions pour la vingtaine de quartiers définis comme "populaires" - est prévue pour chacun des 83 quartiers parisiens, découpés sur la base d'une échelle de 30.000 habitants.Les concertations publiques pour définir les chantiers prioritaires ont débuté fin 2020. Les maires d'arrondissement ont ensuite choisi leur premier quartier où concentrer ces travaux, validés en réunion publique.A la fin de son premier mandat, Anne Hidalgo, critiquée pour le nombre de chantiers en cours dans la capitale, avait reconnu une "gêne réelle". Ce qui ne l'a pas empêchée d'être largement réélue en juin 2020, avant de se lancer en septembre dans la course à la présidentielle.
Il y a 3 ans et 265 jours

DPE : les nouvelles méthodes de calcul bientôt précisées pour pallier les anomalies

L’entrée en vigueur du nouveau DPE depuis le 1er juillet a poussé un trop grand nombre de logements en classes E, F et G. Deux arrêtés rectificatifs seront signés avant le 8 octobre.
Il y a 3 ans et 265 jours

Une enquête vise la concession où doit être bâtie la Tour Triangle à Paris

Cette enquête a été ouverte au Parquet national financier (PNF) pour "favoritisme" et "recel de favoritisme", a indiqué à l'AFP une source judiciaire, confirmant une information du Parisien.La maire LR du VIIe arrondissement de Paris Rachida Dati avait fait en juillet 2020 un signalement à la justice sur ce projet tandis que l'association Anticor avait déposé une plainte avec constitution de partie civile en février 2021.Aussi bien Mme Dati qu'Anticor s'appuyaient sur un rapport de la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France de juillet 2020 concernant le Parc des expositions de la Porte de Versailles, situé dans le sud de la capitale.Ce rapport estimait que le projet de la Tour triangle, un édifice prévu pour faire 180 mètres de haut et 42 étages, avait été "inséré de façon critiquable dans l'enceinte du Parc des expositions de la porte de Versailles".En outre, pour réaliser ce projet, la ville de Paris a accepté d'indemniser le concessionnaire du parc des expositions, Viparis (filiale d'Unibail-Rodamco), à hauteur de 263 millions d'euros "pour un préjudice non démontré", a-t-elle également pointé.La ville a certes résilié sa concession de manière anticipée, mais lui a attribué un nouveau contrat lui permettant de continuer à exploiter les installations. Ce contrat a été attribué "dans des conditions en partie contestables", souligne également le rapport.Outre des délais de dépôt d'offre courts, compte tenu de la complexité du projet, la ville de Paris a demandé aux candidats un droit d'entrée de 263 millions d'euros. Elle a accepté que Viparis s'acquitte de cette somme en "renonçant à l'indemnité de résiliation anticipée de la concession", alors que l'autre candidat devait "autofinancer" ce droit d'entrée, selon cette source."Prête à être lancée" ?La Ville de Paris "s'est ainsi privée d'une ressource nette tout en provoquant une distorsion de concurrence pour l'attribution du nouveau contrat", observait la chambre régionale des comptes.Contactée par l'AFP, la mairie de Paris a dit "prendre connaissance ce jour" de l'existence de l'enquête, soulignant qu'une "précédente plainte déposée en 2018 par deux associations d'opposants au projet" n'avait "donné lieu à aucune poursuite".La Ville dit avoir "scrupuleusement respecté les règles de droit applicables dans ce dossier".De son côté, Unibail-Rodamco Westfield et sa filiale Viparis ont indiqué "contester formellement les allégations sans fondement portées à son encontre", dans deux réactions transmises à l'AFP."(On) regrette la divulgation d'informations, relatives à une enquête en cours, portant atteinte à son image et sa réputation, et la confusion opérée avec la tour Triangle", a ajouté la maison-mère.Elise van Beneden, présidente d'Anticor, a dénoncé l'"énormité du montage" et affirmé que la mairie de Paris s'était lancée dans ce projet contre l'avis de son propre service juridique.L'idée de ce projet est née en 2008 sous la mandature du maire socialiste Bertrand Delanoë, dont Anne Hidalgo, qui lui a succédé en 2014, était alors l'adjointe à l'urbanisme. Il avait été une première fois rejeté en novembre 2014 puis approuvé avec quelques modifications par le Conseil de Paris le 30 juin 2015, à une courte majorité.Signé de l'agence d'architecture suisse Herzog et de Meuron, cette tour doit notamment héberger un hôtel quatre étoiles de 120 chambres, 2.200 mètres carrés d'espace de travail partagé ("coworking") et un équipement culturel de 540 m2.Selon une source proche du dossier, une enquête sur le permis de construire de la tour a été classée en 2018.En mai 2019, saisi de plusieurs recours, le tribunal administratif avait validé ce permis. Mais alors que la première pierre de la tour devait être posée avant 2020, en vue d'une ouverture avant les Jeux Olympiques de 2024, le projet a été retardé.Peut-il désormais être enterré?Outre les suites judiciaires, se pose la question de la rentabilité économique d'un tel projet dans l'ère post-Covid, quelques semaines après l'abandon d'un autre grand chantier parisien contesté, celui de la Gare du Nord.Dans un entretien à l'AFP fin septembre, Emmanuel Grégoire, adjoint à l'urbanisme à la mairie de Paris, avait estimé que la tour était "prête à être lancée", y voyant un "très bon signal pour l'attractivité de Paris".
Il y a 3 ans et 265 jours

Paris-Saclay veut tendre vers "la ville normale"

GRANDS PROJETS. L'installation des grands établissements d'enseignement supérieur désormais quasiment terminée, le "campus urbain" de Paris-Saclay va maintenant se concentrer sur les logements, notamment. Sur les deux principales Zac de l'Opération d'intérêt national, ce sont 5.000 logements qui sont prévus d'ici 2035.
Il y a 3 ans et 265 jours

L'intérêt des Français pour l'immobilier ne faiblit pas, porté par l'envie de plus d'espace et de confort

Avec la généralisation du télétravail, les projets immobiliers s'organisent autour de nouvelles attentes : gagner de l'espace et se rapprocher de la nature pour gagner en confort de vie. Le critère de la luminosité monte lui aussi en puissance : les confinements de 2020 ont clairement laissé des traces ! Alors que beaucoup d'actifs naviguent désormais la semaine entre leur bureau et leur domicile, l'intérêt pour les résidences semi-principales se renforce. Une dynamique qui profite largement aux villes moyennes et aux environnements ruraux, mais annonce surtout un nouveau volume record de transactions dans l'immobilier ancien, qui pourrait même battre celui de 2019, meilleure année de tous les temps !Une demande boostée en région et des maisons faisant l'objet de convoitisesSur les 9 premiers mois de l'année 2021, la demande progresse de 18% au national. Si cette augmentation est à relativiser au regard d'une année 2020 chaotique, elle confirme pourtant l'appétence bien réelle des Français pour la pierre. Les investisseurs, qu'ils soient aguerris ou néophytes, profitent pleinement de taux d'intérêt autour de 1% sur 20 ans. Les Français restent très actifs et recherchent cette valeur refuge qui semble hermétique à la crise. La demande pour les maisons progresse fortement (+18% au national) par rapport aux appartements (+10%), traduisant l'envie des Français de gagner en surface et de disposer d'un extérieur.Paris renoue avec la croissance après une année 2020 plutôt calme, avec une demande en hausse de 12%. L'Île-de-France confirme quant à elle son dynamisme (+13%), notamment la seconde couronne où l'offre de maisons est encore abondante. Dans les régions, on observe un phénomène similaire : les acquéreurs s'éloignent des grandes métropoles pour rejoindre la périphérie, où ils vont chercher de l'espace, de la verdure et du calme. Au sein des agences Laforêt, beaucoup de candidats à l'achat expriment leur envie de cultiver leur potager pour gagner en autonomie et en qualité alimentaires, reflétant de nouvelles aspirations. Après la qualité énergétique il y a quelques années, c'est donc désormais un gain de confort qui est recherché.Une offre qui régresse encore sur un marché déjà très tenduAu national, l'offre de biens disponibles à la vente régresse de 18%. Une tendance qui s'explique par deux phénomènes concomitants : d'un côté, des primo-accédants qui n'ont pas de logement à mettre sur le marché ; de l'autre côté, des propriétaires de maison ou d'appartement avec terrasse ou jardin, qui finalement hésitent à quitter une situation déjà confortable.Sur Paris, toutefois, l'offre semble se reconstituer progressivement (+24%), mais cette hausse ne représente en réalité que quelques biens supplémentaires par agence. Cette évolution est notamment due à la remise sur le marché de meublés touristiques dans les grandes métropoles, où les touristes peinent encore à revenir.En Île-de-France, l'offre est atone (0%). Les maisons marquent un léger recul de 6 % tandis que les appartements progressent (7%), rééquilibrant le marché. Enfin, les régions illustrent là encore leur dynamisme, avec une offre qui régresse de 26% sur les 9 premiers mois de l'année. Les agences immobilières n'ont jamais eu aussi peu de biens à proposer et le marché est en flux tendu, notamment sur les maisons individuelles.Vers une nouvelle année record des transactionsSi le nombre de transactions augmente de 23% sur les 9 premiers mois de l'année vs 2020, ce qui semble logique après une année compliquée, il est intéressant de constater qu'elle progresse également de 12% par rapport à 2019, année de tous les records dans l'immobilier ancien. Les ventes s'accélèrent tant sur les maisons que sur les appartements. L'investissement locatif stimule l'achat de petites surfaces, avec des primo-accédants qui veulent aussi profiter des conditions de financement exceptionnelles.Paris retrouve des couleurs, avec une activité positive par rapport à l'an dernier (+27%), notamment sur les 3 derniers mois. La progression du volume de ventes en Île-de-France est en ligne avec la dynamique nationale (+23%), tandis que les régions sont elles aussi très actives (+22%). Partout, les rotations sont néanmoins freinées par un stock de biens appauvri.Une augmentation des prix régulière, sauf à ParisD'une manière globale, les prix au m2 enregistrent une légère accalmie, mais continuent toutefois de progresser avec +4,9% au national, à 3 345 €/m2. Si l'euphorie du premier semestre s'est un peu estompée durant l'été, l'effet de rareté soutient la hausse avec des maisons qui en portent l'essentiel (+7,1% vs +4,3% pour les appartements).En région, les prix s'emballent : la hausse globale est de 7,3% (à 2 398 €/m2), voire de 8,3 % pour les maisons ! Cette évolution est liée à l'arrivée de citadins au pouvoir d'achat élevé qui n'hésitent pas à acheter au prix fort le bien auquel ils aspirent.À Paris, la baisse constatée l'an dernier s'amortit (-0,8% à 10 430 €/m2). Une situation qui s'explique notamment par un marché parisien toujours privé de sa clientèle internationale. En Île-de-France, on constate l'exact inverse de ce qui se passe en région. Si les prix progressent de 4,3% en moyenne (à 4 543 €/m2), cette hausse concerne davantage les appartements (+4,6%) que les maisons (+3,8%). Il semble que nous ayons atteint un palier, avec des acquéreurs qui ne peuvent plus s'aligner ou qui n'ont plus la volonté d'acheter à n'importe quel prix.Délais de vente : un recul jamais vu !Les délais de vente, c'est-à-dire le temps entre la mise en vente et la vente effective du bien, régressent de 2 semaines au national (14 jours), passant sous la barre des 80 jours, à 78 jours. Les acheteurs sont conscients que le secteur immobilier échappe à la crise et se décident vite. Et c'est encore une fois en région que la tendance est la plus marquée, avec une chute de 18 jours par rapport aux 9 premiers mois de 2020, et même de 22 jours par rapport à la même période en 2019, passant à 81 jours : une situation jamais vue ! Les projets, quels qu'ils soient (investissement locatif, résidence semi-principale ou principale, etc.), sont au rendez-vous !Le délai de vente accélère également en Île-de-France, perdant 13 jours en 12 mois, pour s'établir à 63 jours. Paris préserve sa réputation de marché fluide, mais marque néanmoins le pas avec un délai de 75 jours (-2 jours) qui varie peu par rapport à l'an dernier alors qu'il était de 59 jours en 2019 !Des négociations qui se montrent relativement stablesLa négociation sur le prix à la vente évolue peu par rapport à 2020. Elle est en moyenne de 4,5% (-0,10 point) au national. La pression reste néanmoins forte sur les acquéreurs, qui ont peu de temps pour se positionner et donc pour négocier. À Paris, l'écart entre les prix de vente et d'achat stagne à 2,90% (0 point vs 2020). Il en va de même pour l'Île-de-France (2,80%, soit -0,7 point), qui a toutefois perdu 1 point de capacité de négociation par rapport à 2019 (3,80%). En région, là aussi, la discussion reste équivalente à ce qu'elle était à la même période l'an dernier, soit un écart de 4,70% (-0,40 point).ConclusionIl est fort probable que l'on se dirige vers une nouvelle année record, après celles de 2018, 2019 et 2020. Le marché de l'immobilier ancien est définitivement le grand gagnant de l'après-Covid-19. La volonté d'une partie de la population d'exercer son activité en télétravail plusieurs jours par semaine se traduit concrètement par des acquisitions de surfaces plus grandes à l'extérieur des grands centres urbains.L'inflation qui se dessine, et qui pourrait s'accompagner d'une remontée progressive des taux d'intérêt, reste néanmoins à surveiller. Tout comme l'augmentation des coûts des travaux de rénovation énergétique liée à un prix des matières qui s'envole et sera peut-être un frein à l'accession ou à la location dans les mois à venir.Le secteur de la construction neuve, à la peine du fait d'une indisponibilité de matériaux, mais aussi de certaines décisions locales qui limitent le nombre de chantiers, conduit les investisseurs à s'orienter vers l'ancien, créant une pression plus forte sur les prix. Reste enfin à savoir si l'engouement actuel des Français pour les résidences semi-principales et rurales sera durable. Les néoruraux trouveront-ils ce qu'ils sont venus chercher à la campagne ou regretteront-ils, après un premier hiver, leur vie citadine ? Rendez-vous dans quelques mois pour le savoir…
Il y a 3 ans et 265 jours

Une histoire de béton entre ETPO et Le Voyage à Nantes

Le Pied, Le Pull-Over et Le Système digestif de Daniel Dewar et Grégory Gicquel, œuvres monumentales du port de Saint-Nazaire. Campées dans le sable et les rochers, ces gigantesques figures, constituées de blocs de béton sculpté, s’élèvent jusqu’à près de 7 m de haut. [©Franck Tomps _ LVAN] Chaque année, Le Voyage à Nantes invite des artistes du monde entier à venir sur les deux rives de la Loire réaliser leurs œuvres. Le Voyage à Nantes est avant tout une société publique locale, qui développe le tourisme à Nantes. Ceci, via l’évènement du même nom et ses créations artistiques, et ce, depuis 2012. Il propose une soixantaine d’étapes artistiques le long d’une ligne verte dessinée au sol de 22 km. On y découvre les installations permanentes qui ponctuent la ville et ses alentours, ou celles, éphémères, qui restent le temps d’un été. Cette année, le groupe ETPO a accompagné ces artistes, afin de réaliser leurs œuvres. En s’adaptant à chacune de leurs idées. Le groupe nantais est spécialisé dans les travaux maritimes, fluviaux et sous-marins, les ouvrages d’art et le génie civil, le bâtiment. Il est présent en France métropolitaine et dans les départements d’Outre-mer. Et se développe à l’international en Afrique de l’Ouest et au Canada. Deux projets pour ETPO Pour Versus, il fallait répondre à l’architecture fin XVIIIe siècle de la place Graslin. Ceci, avec des lignes tendues et élégantes. Le béton a permis cela. [©Julien Lanoo _ LVAN]  « Nous avons participé à deux projets. Déjà, Le Pied, Le Pull-Over et Le Système digestif de Daniel Dewar et Grégory Gicquel, œuvres monumentales du port de Saint-Nazaire, explique Didier Moretti, chargé d’affaires chez ETPO. En effet, à proximité de la capitainerie, sur la plage jalonnée de pins parasols qui plonge dans le bassin de l’avant-port de Saint-Nazaire, l’œuvre se compose de trois sculptures. Campées dans le sable et les rochers, ces gigantesques figures, constituées de blocs de béton sculpté, s’élèvent jusqu’à près de 7 m de haut. « Tels des fragments de corps, d’architecture ou de monuments portuaires, elles dressent à l’échelle du paysage le portrait d’une civilisation moderne soumise à l’érosion et à la colonisation des éléments », indiquent les artistes Daniel Dewar et Grégory Gicquel, qui pratiquent la sculpture à quatre mains depuis 1998. Didier Moretti est chargé d’affaires chez ETPO. [©ETPO] Et Didier Moretti, de poursuivre : « Nous sommes intervenus aussi dans la piste de roller, Versus, place Graslin, à Nantes. Nous avons conçu une partie des études d’exécution. En clair, nous avons traduit les œuvres, en termes de faisabilité. Nous avons fourni le mode opératoire, structurel et réglementaire. Il a fallu concilier impératifs de construction et attentes artistiques. Nous avons utilisé des bétons résistants les agressions maritimes. Les granulats ont été choisis par les artistes avec des couleurs et des granulométries différentes. Pour la piste de roller, le béton a été livré par la centrale Lafarge de Saint-Herblain ». Un écho à l’architecture de la fin XVIIIesiècle Quelque 28 éléments préfabriqués ont été nécessaires pour les bordures. Le piste en béton auto-portant blanc a été coulé en place. Elle a été conçue très simple épurée, de 38 m de diamètre en écho, à l’architecture très efficace du théâtre. [©Martin Argyroglo _ LVAN] Romain Decroix, responsable technique du Voyage à Nantes. [©Le Voyage à Nantes] « Pour Versus, la piste devait être réversible, montable et démontable. Elle a ainsi été démontée en l’espace de 5 j. Elle sera remontée en 2023 dans un nouvel espace urbain de la ville, sur l’île de Nantes à la pointe Ouest, dans le quartier de la création », complète Romain Decroix, responsable technique du Voyage à Nantes. De plus, il fallait répondre à l’architecture fin XVIIIesiècle de la place Graslin.  « Ceci, avec des lignes tendues et élégantes. Le béton a permis cela. La piste est en forme de cercle qui épouse la place. Quelque 28 éléments préfabriqués ont été nécessaires pour les bordures. Le piste en béton auto-portant blanc a été coulé en place. On l’a conçu simple de 38 m de diamètre en écho, à l’architecture très efficace du théâtre. La glisse, c’est quelque chose de positif et de frais. Le ballet des rollers, des vélos, des piétons sur la place a ainsi créé un mouvement perpétuel et une perspective troublante », conclut Romain Pradeau, de l’agence d’architectes Titan.  Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 266 jours

Une large majorité de Français favorables à l'éolien

Dans cette enquête, 73% des sondés disent avoir une bonne image de l'éolien (très bonne pour 51%, assez bonne pour 22%), 27% une mauvaise image. Dans les Hauts-de-France et le Grand Est, régions concentrant une bonne part des éoliennes terrestres, ils ont une bonne image à 77% et 75% respectivement.Globalement, l'adhésion l'emporte chez 80% des personnes possédant une résidence principale ou secondaire à moins de 10 km d'un champ éolien, et chez 88% de moins de 35 ans.Les Français se montrent ainsi à 71% favorables au développement de l'énergie éolienne, et même à 76% dans les Hauts-de-France et 74% dans le Grand Est.En revanche, ils sont partagés sur le plan esthétique, un sur deux (52%) considérant que les éoliennes sont "quelque chose de beau"."Depuis plusieurs mois, les énergies renouvelables, en particulier les éoliennes, font l'objet de vifs débats, voire sont les cibles de virulentes controverses. Ce sondage nous montre que la relation entre les Français et l'énergie éolienne n'est pas aussi polarisée qu'il n'y paraît", commente Arnaud Leroy, le PDG de l'Agence pour la transition écologique (Ademe), relevant au contraire "une adhésion pour faire face au dérèglement climatique".Eolien mais aussi solaire ou encore gaz vert... près de 9 personnes sur 10 (88%) considèrent que le développement des énergies renouvelables en France est nécessaire face au dérèglement climatique.Enquête réalisée en ligne du 28 juillet au 5 août sur un échantillon de 2.708 personnes représentatif des Français de plus de 18 ans, dont 530 des Hauts-de-France et 503 de la région Grand Est, avec une marge d'erreur inférieure à 2,3 points, selon Harris.
Il y a 3 ans et 266 jours

Une large majorité de Français favorable à l'éolien

Dans cette enquête, 73% des sondés disent avoir une bonne image de l'éolien (très bonne pour 51%, assez bonne pour 22%), 27% une mauvaise image. Dans les Hauts-de-France et le Grand Est, régions concentrant une bonne part des éoliennes terrestres, ils ont une bonne image à 77% et 75% respectivement.Globalement, l'adhésion l'emporte chez 80% des personnes possédant une résidence principale ou secondaire à moins de 10 km d'un champ éolien, et chez 88% de moins de 35 ans.Les Français se montrent ainsi à 71% favorables au développement de l'énergie éolienne, et même à 76% dans les Hauts-de-France et 74% dans le Grand Est.En revanche, ils sont partagés sur le plan esthétique, un sur deux (52%) considérant que les éoliennes sont "quelque chose de beau"."Depuis plusieurs mois, les énergies renouvelables, en particulier les éoliennes, font l'objet de vifs débats, voire sont les cibles de virulentes controverses. Ce sondage nous montre que la relation entre les Français et l'énergie éolienne n'est pas aussi polarisée qu'il n'y paraît", commente Arnaud Leroy, le PDG de l'Agence pour la transition écologique (Ademe), relevant au contraire "une adhésion pour faire face au dérèglement climatique".Eolien mais aussi solaire ou encore gaz vert... près de 9 personnes sur 10 (88%) considèrent que le développement des énergies renouvelables en France est nécessaire face au dérèglement climatique.Enquête réalisée en ligne du 28 juillet au 5 août sur un échantillon de 2.708 personnes représentatif des Français de plus de 18 ans, dont 530 des Hauts-de-France et 503 de la région Grand Est, avec une marge d'erreur inférieure à 2,3 points, selon Harris.
Il y a 3 ans et 266 jours

Patrimoine et Territoires au Salon International du Patrimoine Culturel 2021

La 26ème édition du Salon International du Patrimoine Culturel se tiendra du 28 au 31 octobre 2021, au Carrousel du Louvre à Paris. Près de 350 exposants, des professionnels de la restauration et de la conservation du patrimoine, associations de sauvegarde du patrimoine, fournisseurs du patrimoine bâti, collectivités locales, créateurs de nouvelles technologies et acteurs innovants, sont attendus. Le thème choisi : « Patrimoine et Territoires », résonne particulièrement dans la période actuelle, comme en témoignent le succès touristique rencontré par les territoires français habituellement peu fréquentés ou encore l’appétence accrue pour la consommation locale, durable et responsable dans laquelle s’inscrivent tout particulièrement les professionnels des métiers d’art et du patrimoine. Une riche programmation de conférences, démonstrations et remises de prix rythme les 4 jours de l’événement. Cette année, en plus du programme habituel, le Salon propose une série de nouveautés, comme l’exposition « Restaurons Notre-Dame ! » fruit d’un partenariat entre Ateliers d’Art de France d’une part, la Fédération des Compagnons du Tour de France et l’association Restaurons Notre-Dame, Le Forum du Patrimoine. Le Forum du Patrimoine, mis en place par le magazine Atrium patrimoine et restauration et Ateliers d’Art de France avec le soutien de la Fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine à l’occasion de l’Edition Digitale du Salon International du Patrimoine Culturel en 2020, a été reconduit pour l’édition 2021. Il prendra la forme d’un plateau télé TV au coeur du Salon. Il comprendra un programme exceptionnel de douze émissions – des tables-rondes d’une vingtaine de minutes chacune, animées par des experts reconnus. Elles seront l’occasion de décrypter l’actualité et les grands enjeux du secteur du patrimoine. Ce format mêlant le présentiel et le digital avec une retransmission en ligne en léger différé, viendra compléter l’offre de conférences physiques du salon.
Il y a 3 ans et 266 jours

Sto présent au salon Artibat pour parler éléments décoratifs de façade et formation des artisans

La 17ème édition du Salon ARTIBAT, Salon de la Construction et des Travaux Publics approche à grands pas ! Elle se tiendra Parc des Expositions de Rennes du 13 au 15 octobre 2021.Sto est heureux d'annoncer sa présence les 13, 14 et 15 octobre 2021 au salon ARTIBAT au sein du pôle Gros Œuvre Hall 10B - Stand G21. L'occasion de découvrir sa gamme « les essentiels StoDeco », des éléments décoratifs et modénatures pour créer du rythme et du relief en façade disponibles rapidement dans les agences Sto : encadrements et appuis de fenêtre, bandeaux filants, corniches, chaînages, bossages et colombages.La formation des artisans sera également mise à l'honneur au travers du centre Sto à Bezons (95), récemment certifié Qualiopi pour la qualité de ses formations dans le domaine de la façade (ITE, ravalement, bardage).Informations pratiquesParc Expo Rennes Aéroport - La Haie Gautrais -35170 BRUZMercredi 13 Octobre : 9:00 - 19:00Jeudi 14 Octobre : 9:00 - 21:00 NocturneVendredi 15 Octobre : 9:00 - 18:00Le pass sanitaire sera obligatoire pour accéder au salon ARTIBAT.
Il y a 3 ans et 266 jours

Saint-Gobain rachète le distributeur de matériaux Raboni Normandie

Le groupe de matériaux Saint-Gobain a annoncé l'acquisition du distributeur Raboni Normandie, étendant ainsi un peu plus son réseau de points de vente en France.
Il y a 3 ans et 266 jours

Le calcul des diagnostics énergétiques de logements anciens va être corrigé

Les diagnostics de performance énergétique des logements construits avant 1975 pourront reprendre le 1er novembre après correction des "anomalies" dans la méthode de calcul.
Il y a 3 ans et 266 jours

Ouverture du procès d'un important réseau de marchands de sommeil à Lyon

Quatorze personnes soupçonnées d'avoir participé à un vaste réseau de location de logements insalubres, à Lyon et sa périphérie seront jugées devant le tribunal judiciaire de Lyon.
Il y a 3 ans et 266 jours

Simplicité et matériaux locaux pour cette maison bois polonaise

House in Nowa Gorka est une maison inspirante de plain-pied conçue en Pologne, en 2016 par Studio Gab. [De l’architecte] La maison est située dans un endroit extraordinaire. Le grand terrain est entouré de bois dans une zone protégée Natura 2000. La réalisation est une tentative de traiter la forme archétypique de la maison à toit en pente avec un contexte […]
Il y a 3 ans et 266 jours

La baisse des permis de construire pèse sur l'offre de Kaufman & Broad

Le promoteur français Kaufman & Broad a publié un résultat net multiplié par trois sur les neuf premiers mois de 2021, et confirmé ses perspectives pour l'année en cours.
Il y a 3 ans et 266 jours

Collectivités territoriales, crédit immobilier... Vos textes officiels du lundi 11 octobre 2021

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Le concept : du lundi au vendredi, un article d'alerte par jour, avec les textes BTP-centrés, résumés en quelques lignes. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 3 ans et 266 jours

Valérie Pécresse dénonce un surcoût de 1,7 milliard d'euros sur le chantier du RER E

Ce chantier, pour lequel le plus grand engin tunnelier de France creuse en ce moment à 35 mètres sous les rues de Paris, doit prolonger la ligne E à l'ouest de Paris jusqu'à Nanterre puis Mantes-la-Jolie. Il était estimé à 3,8 milliards mais devrait finalement coûter 5,4 milliards d'euros, a dit Valérie Pécresse au Parisien."SNCF Réseau fait ce qu'il veut et méprise ses financeurs", a lancé la présidente d'Ile-de-France Mobilités et candidate à la candidature pour présidentielle. "Nous sommes en proie à un chantage permanent de sa part, d'interruptions de travaux si on n'avance pas la trésorerie. (...) C'est inacceptable. Cette fois, nous ne pouvons plus payer!"Interrogée jeudi par l'AFP, SNCF Réseau répond que "des échanges sont en cours avec les financeurs sur le chiffrage", sans donner sa propre estimation."Des modifications de programmes externes au projet et des contraintes supplémentaires, dont des aléas et imprévus, sont intervenues depuis le début des travaux, auxquels s'ajoute la Covid 19", a indiqué SNCF Réseau. Ces aléas "demeurent aujourd'hui dans une enveloppe de 30% du chiffrage initial".La SNCF a notamment cité "deux crues significatives de la Seine ainsi que des manifestations particulièrement nombreuses, notamment lors du mouvement des Gilets jaunes, qui nous ont imposé des démontages d'installations de chantier et des arrêts de production".Objectif 2023Selon une source proche du dossier, la SNCF a annoncé ce dépassement mercredi lors d'une réunion technique avec la Ville de Paris, demandant 800 millions d'euros supplémentaires pour le premier tronçon (un tunnel reliant Paris Haussmann et Nanterre), dont 500 millions avant le 31 décembre 2021.D'importants surcoûts avaient déjà été annoncés début 2021, de l'ordre de 640 millions d'euros. SNCF Réseau s'attendait à de nouveaux surcoûts liés à la crise sanitaire.Souvent appelé Eole, le RER E relie actuellement Chelles et Tournan (Seine-et-Marne), dans la banlieue est, à la gare Saint-Lazare à Paris. Il s'agit de le prolonger jusqu'à Nanterre mi-2023, puis jusqu'à Mantes-la-Jolie (Yvelines) dans un second temps. Il doit notamment être financé par la Société du Grand Paris (1,5 milliard) et la région (1,1 milliard).La SNCF souligne que le projet est "l'un des projets d'infrastructure ferroviaire les plus complexes du monde, se situant en zone hyper dense et relevant des défis techniques hors normes", avec notamment le percement d'un tunnel de 8 km sous La Défense.Le tunnelier "Virginie", avec ses 11 mètres de diamètre, devrait arriver à Haussmann-St Lazare le 15 janvier de l'année prochaine.La présidente de la région, ainsi que les présidents des conseils départementaux des Yvelines et des Hauts-de-Seine, que dessert la ligne E, ont condamné dans un communiqué commun ce nouveau dépassement.Selon eux, SNCF Réseau est "juridiquement responsable du coût et du financement de cette opération" et c'est l'Etat qui doit "directement ou indirectement" le garantir.
Il y a 3 ans et 267 jours

Le gouvernement espagnol dévoile des mesures pour encadrer une partie des loyers

Les prix de l'immobilier résidentiel ont fortement grimpé durant la crise sanitaire en Espagne, en raison d'un déséquilibre entre la demande et l'offre de logement. Cette situation avait poussé les habitants de plusieurs villes à manifester au printemps pour réclamer un encadrement des loyers.Les mesures annoncées mardi ont été entérinées au terme de négociations tendues entre le Parti socialiste du Premier ministre Pedro Sanchez et son allié de gauche radicale Podemos. Elles doivent être adoptées officiellement jeudi en conseil des ministres.Elles vont permettre une "avancée sans précédent" dans l'accès au logement de tous les habitants, et notamment des personnes "les plus vulnérables", dont "les jeunes", a assuré Pedro Sanchez lors d'un forum économique.Selon la ministre de l'Egalité Irene Montero, membre de Podemos, le texte va notamment "obliger les grands propriétaires à baisser le prix des loyers" en cas de niveau "abusif". Cela va permettre de "lutter contre les spéculateurs", a-t-elle jugé sur Twitter.Le gouvernement n'a pas précisé à ce stade la nature du mécanisme qu'il entendait mettre en oeuvre pour encadrer ces loyers, ni le type de propriétaires qui seront concernés.Mais selon le quotidien El Pais, cette mesure se traduira par un encadrement des loyers pour les propriétaires de plus de 10 logements, sur la base des indices de référence des loyers, mis en place en 2020.Outre cette mesure, une "loi sur le logement" devrait entériner la construction de près de 20.000 logements sociaux - avec la réhabilitation de "quartiers entiers", selon l'exécutif - pour un montant d'un milliard d'euros.Elle prévoit également des subventions pour les propriétaires acceptant de réhabiliter leurs logements, et des aides de 250 euros par mois pendant deux ans pour les jeunes disposant de ressources limitées."Pour les familles les plus vulnérables", ce dispositif pourra "être complété par des aides plus directes pouvant aller jusqu'à 40%" du loyer, a précisé le gouvernement dans un communiqué.L'encadrement des loyers est réclamé de longue date par Podemos, qui avait conditionné son soutien au projet de budget 2022 à un accord de son partenaire socialiste sur cette mesure-clé.Le gouvernement minoritaire de M. Sanchez va désormais devoir négocier avec plusieurs petites formations dont les indépendantistes catalans d'ERC afin de s'assurer que son budget puisse être voté au Parlement.
Il y a 3 ans et 267 jours

L’importance de faire des travaux de rénovation d’une maison

Même si parfois, le coût pour les travaux de rénovation peut être assez onéreux, il est important de faire quelques changements dans sa maison. Étant donné que cela peut être bénéfique sur le long terme tant pour le bien immobilier que pour ses occupants. Voyons dans cet article les avantages que vous pouvez obtenir en réalisant des travaux de rénovation de sa propriété. Vous pouvez également y découvrir  une idée du budget que vous devez préparer en amont pour la concrétisation de votre projet de remise à neuf ou de modernisation de votre maison. Pourquoi doit-on entamer des travaux de rénovation à l’intérieur et à l’extérieur de sa maison ? Faire appel à un professionnel est préconisé pour concrétiser votre projet de rénovation maison. En effet, seule une entreprise spécialisée dans ce domaine peut vous offrir des prestations de qualité selon vos exigences dans la mesure du possible. D’ailleurs, que vous venez d’acquérir une nouvelle maison ou que vous habitez dans une ancienne maison, rénover votre bien est un investissement rentable sur le long terme. Mais dans ce cas, il faut que les travaux soient bien accomplis et réglementés. Aussi, lorsque vous rénovez votre maison, vous pouvez bénéficier de plusieurs avantages comme : L’amélioration de l’aspect esthétique de votre bien immobilier : les travaux de rénovation peuvent donner un coup de jeune à un logement et rendre la rendre plus désirant. L’augmentation de la valeur marchande de votre bâtiment : Si, vous envisagez de vendre ou de louer la maison plus tard, dépenser quelques budgets dans les travaux de rénovation seront certainement rentabilisés dans un court délai. L’optimisation de votre confort et la réduction de la consommation énergétique : quand vous renouvelez les matériels isolants de votre maison par des matériaux plus performants, sachez que vous gagner plus de confort au quotidien. En plus de cela, vous  pouvez en même temps réaliser d’importantes économies sur vos factures d’énergie. La préservation du bon état de la maison : au cas où vous négligez certains travaux de restauration, les dégâts peuvent empirer et leur réparation peut être très coûteuse. Donc, il est nécessaire de procéder à quelques rénovations périodiques. Quel budget doit-on prévoir pour réaliser des travaux de rénovation de sa maison ? Certes, estimer un budget précis sur les travaux de rénovation n’est pas facile, vu que le coût de ces travaux peut varier non seulement en fonction des types de chantiers. Toutefois pour déterminer approximativement le montant à prévoir pour la rénovation de votre maison, vous devez définir les opérations à réaliser et adresser une demande de devis à une entreprise de renovation de maison. Il peut s’agir d’une intervention lourde, partielle ou légère. Concernant les travaux de rénovation lourde qui requièrent des gros œuvres, le tarif est plus dispendieux. Pour une rénovation complète, vous devez prévoir un budget de plus 1000 € TTC par m² . Tandis que pour une rénovation partielle comme la réfection de la salle de bains ou d’une cuisine, vous devez compter pas moins de  500 € TTC par m².  Et pour une rénovation légère comme le changement des revêtements de sol ou muraux, le coût peut varier entre 150 et 500 € TTC par m². Cependant, le plus judicieux est toujours de faire une comparaison de devis et de prestations, quel que soit le type de travaux de rénovation que vous projetez.
Il y a 3 ans et 268 jours

A la Cité (Paris) – Albums des jeunes architectes et paysagistes 2020

La Cité de l’architecture & du patrimoine présente le palmarès 2020 des Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP). Jusqu’au 14 novembre 2021. L’exposition dévoile les projets de quinze architectes et quatre paysagistes européens de moins de 35 ans, ayant réalisé un projet ou participé à un concours en France. Le concours récompense les jeunes […] L’article A la Cité (Paris) – Albums des jeunes architectes et paysagistes 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 268 jours

[Livre] Les clés du confort thermique écologique – interview Claude Lefrançois et extraits #BGT 014

Après son premier ouvrage sur la construction ou rénovation écologique, Claude Lefrançois publie chez Terre Vivante, un nouveau livre qui traite d’un sujet essentiel, mais souvent trop mal connu, auquel aspirent pourtant les maîtres d’ouvrages lors des travaux de construction ou d’amélioration énergétique de leur maison. Destiné aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels, ce livre […]
Il y a 3 ans et 268 jours

Le plafond d'un appartement à Marseille s'effondre sur une locataire, la propriétaire condamnée

Maria Perez-Morelli, 76 ans, propriétaire de deux appartements dans les quartiers Nord de Marseille, avait loué en avril 2011 un T2, alors qu'un arrêté de péril frappait l'immeuble depuis deux mois.Des travaux, confiés à une entreprise de peinture, avaient été entrepris par la copropriété de l'immeuble sur la toiture qui prenait l'eau et risquait de provoquer un effondrement des planchers, mais ils n'avaient qu'imparfaitement remédié au problème.L'arrêté de péril avait été levé le 17 juin 2011 mais dès l'automne, les marins-pompiers étaient intervenus à plusieurs reprises pour des inondations dans les appartements supérieurs, en raison de nouvelles fuites.Le 4 janvier 2012, l'immeuble était à nouveau frappé d'un arrêté de péril grave et l'évacuation des deux locataires de Mme Perez-Morelli avait été ordonnée."Je faisais à manger quand c'est tombé sur le frigo et un autre bout sur le salon", avait indiqué à l'audience Hikmata, la locataire de la personne condamnée."On lui fait porter la responsabilité de travaux mal faits dans des parties communes, ce qui relève de l'ensemble des copropriétaires", avait plaidé l'avocat de Mme Perez-Morelli, Me Eric Mery.Réfutant le terme de "logements indignes", l'avocat avait souligné que les appartements avaient été "refaits à neuf"."Ce dossier est assez révélateur du fonctionnement d'un certain nombre d'investisseurs fonciers à Marseille", avait souligné dans son ordonnance de renvoi le juge d'instruction Matthieu Grand, chargé de l'enquête sur les effondrements d'immeubles en 2018, dans le centre-ville, rue d'Aubagne, qui ont fait huit morts."Se rendant acquéreurs de biens immobiliers de petites surfaces dans des arrondissements peu chers, ces propriétaires les rénovent à moindre frais puis les louent à des personnes ou des familles aux revenus modestes voire quasi inexistants, souvent par le bouche à oreille", avait expliqué le magistrat."Les immeubles sont souvent vétustes, peu entretenus. A cela s'ajoute le choix d'entreprises peu soucieuses de mener des travaux dans les règles de l'art, sur la base de devis peu élevés validés par des propriétaires soucieux de dépenser le moins possible d'argent tout en rentabilisant leur investissement locatif", avait-il souligné.Condamnée à verser 3.000 euros de dommages et intérêts pour préjudice moral à sa locataire, Mme Perez-Morelli a par ailleurs été relaxée pour le second locataire après avoir pris des mesures pour qu'il puisse quitter les lieux.
Il y a 3 ans et 268 jours

Barbara Pompili multiplie par cinq le seuil permettant d'installer des projets photovoltaïques sur bâtiment sans appel d'offres

C'est dans cette perspective que la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a signé un arrêté facilitant le développement des projets sur grandes toitures. Avec cet arrêté, tous les projets de moins de 500 kW, soit 5 000m² de surface, auront directement droit à un tarif d'achat sans avoir besoin de passer par un appel d'offres (contre un seuil fixé à 100kW jusqu'à présent).Cette mesure simplifiera l'installation de grandes surfaces de panneaux sur des terrains déjà bâtis – par exemple sur les toits de bâtiments agricoles, d'entrepôts, de centres commerciaux – tout en limitant la consommation d'espace naturel et l'artificialisation des sols.Cet arrêté prévoit également la mise en place d'un bonus tarifaire pour l'intégration paysagère, visant l'installation de tuiles photovoltaïques.Ces mesures complètent les actions récentes du Gouvernement en faveur du photovoltaïque :Comme proposé par la Convention citoyenne pour le climat, la loi climat et résilience a étendu à certains nouveaux immeubles de bureau l'obligation de disposer de toits végétalisés ou de panneaux PV sur les hangars et entrepôts, et a abaissé ce seuil à 500 m² d'emprise au sol pour ces derniers.Les nouveaux parkings extérieurs de plus de 500 m² devront de plus s'équiper d'ombrières équipées de panneaux photovoltaïques ou accueillir des arbres ou des dispositifs végétalisés.Afin de soutenir les projets, le MTE a publié cet été de nouveaux appels d'offres en faveur des projets photovoltaïques, à hauteur de 1850 MW/an pour le PV au sol, 1100 MW/an pour PV sur bâtiment, 140 MW/ an pour le PV innovant et 150 MW par an pour les projets en autoconsommation.Barbara Pompili se félicite de la bonne croissance de la filière photovoltaïque : « Les efforts que le Gouvernement a entrepris ces dernières années en faveur de l'énergie solaire commencent à porter leurs fruits ! Plus de 3 GW d'énergies renouvelables électriques ont été raccordées au réseau français sur les douze derniers mois. Sur les 6 premiers mois de l'année, 1 300 MWc de projets photovoltaïques ont été raccordés, soit plus qu'au cours de chaque année depuis 2012. Pour accélérer encore, tout en luttant contre l'artificialisation des sols, il fallait faciliter l'installation de panneaux sur toitures. C'est ce que le Gouvernement fait avec cet arrêté. Vous êtes propriétaire d'un grand bâtiment ? Vous voulez installer des panneaux solaires et vendre cette énergie décarbonée sur le marché à un tarif garanti ? Jusqu'à 500kW de puissance contre 100 auparavant, plus besoin de passer par un appel d'offres. C'est un formidable levier de croissance pour le solaire.»
Il y a 3 ans et 268 jours

Quatre pieds, 10.000 tonnes, 1001 films : la tour Eiffel, superstar de cinéma

Entre biopic de l'ingénieur Gustave Eiffel, interprété par Romain Duris, et drame sentimental autour de son histoire d'amour impossible avec une jeune fille de bonne famille (Emma McKay, révélation franco-britannique de "Sex Education"), le film suit la construction de l'icône de la Ville Lumière, à l'occasion de l'Exposition Universelle de 1889."J'avais envie d'offrir un grand spectacle épique au public", explique à l'AFP le réalisateur Martin Bourboulon, qui espère qu'après le film, les spectateurs "ne verront plus jamais la tour du même oeil". Une gageure, tant le monument a été filmé depuis sa construction.De Woody Allen aux films d'animation ("Ratatouille", "Les Aristochats"), en passant par une scène-clé d'"Inception" de Christopher Nolan, tournée sur le Pont de Bir-Hakeim, ou l'affiche de "Taxi 2", elle est partout au cinéma. Et séduit toujours, comme le prouve le clip de PNL, "Au DD", en équilibre sur les plateformes du dernier étage (plus de 190 millions de vues)."S'il y avait un droit à l'image pour la tour Eiffel, la mairie de Paris serait milliardaire", s'amuse Michel Gomez, qui dirige la mission cinéma de la capitale - en réalité, filmer la tour est gratuit, seuls les éclairages nocturnes sont protégés, précise-t-il.Sur son bureau, le flot de demandes de tournages incluant des plans de la tour, depuis le Pont Alexandre-III jusqu'au Champ de Mars, ne tarit jamais. Dernièrement encore, une équipe indonésienne, témoignant de l'intérêt des pays émergents.Cette passion remonte aux origines du cinéma, à la même époque que la construction du monument, retrace Stéphanie Salmon, de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, qui a collecté des objets d'antan, dont des lanternes magiques, objet qui a précédé le cinéma, représentant la tour Eiffel.Symbole d'une "ville moderne", le monument a eu ensuite "de nombreuses vies au cinéma", explique-t-elle à l'AFP: arrière-plan des comédies musicales romantiques américaines, mais aussi lieu de tournage de scènes-culte, comme l'escalade au-dessus du vide par le petit garçon de "Un Indien dans la Ville"..."Un peu de paresse"Au risque d'un trop-plein ? Cette profusion reflète "un peu de paresse" des réalisateurs, convient Philippe Lombard, qui a consacré plusieurs ouvrages au rapport entre le 7e art et la capitale, dont "Paris, 100 films de légende".Parmi les curiosités qu'il a recensées, la tour Eiffel des "Aristochats" qui change régulièrement d'emplacement au cours du dessin animé, celle de "La grande course autour du monde" de Blake Edwards (1965) qui s'écroule à la fin du film, ou encore le tournage acrobatique du premier film de René Clair, "Paris qui dort" (1924): l'équipe gravissait la tour à pied, faute de budget pour prendre l'ascenseur !"Spectaculaire", parfaite "pour des cascades ou des courses", de James Bond ("Dangereusement Vôtre" avec Roger Moore assistant à une évasion en parachute depuis le sommet) à "Rush Hour 3" avec Jackie Chan se battant sur les poutrelles, romantique et idéale pour des dialogues chantés ("Funny Face - Drôle de Frimousse" avec Fred Astaire et Audrey Hepburn dans l'ascenseur de la tour), le monument charme les réalisateurs étrangers...Elle a fasciné aussi les Français, comme François Truffaut, dont elle était "le monument préféré", souligne-t-il. L'icône de la Nouvelle Vague "a mis la tour Eiffel partout", du générique des "400 coups" jusqu'au bureau de Catherine Deneuve dans le "Dernier Métro".D'autres se plaisent au contraire à s'en détourner: elle trône sur l'affiche de "On connaît la chanson", d'Alain Resnais, mais sans apparaître dans le film, quand l'amoureux de Paris Cédric Klapisch préfère lui se concentrer sur d'autres quartiers.Un penchant que partage Jacques Audiard: "Les Olympiades", qui sort le 3 novembre, veut magnifier un quartier quasiment jamais filmé, celui des grands ensembles du XIIIe arrondissement. Même si la tour n'est jamais loin: fendant la brume, sa silhouette se devine au loin.
Il y a 3 ans et 268 jours

Bousculé, l'immobilier de bureaux mise sur son intégration dans la ville

Dans cet espace de 9.000 mètres carrés à deux pas de la gare Saint-Lazarre, les entreprises, essentiellement des start-up, peuvent louer un abonnement pour des salles ou des postes de travail sur des périodes assez réduites, en moyenne 18 mois, à des prix autour de 800 euros le poste de travail par mois, sur un engagement court."On propose de la flexibilité et de la simplicité. Les entreprises peuvent s'engager que pour six mois si elles veulent, et les salariés n'ont qu'à venir pour brancher leur ordinateur et profiter des services et animations. C'est pratique pour des entreprises en croissance, qui ne veulent pas d'un bail trop long et contraignant", décrit à l'AFP Stéphane Bensimon, le dirigeant de Wojo.Contrairement aux grandes tours d'immeubles dans les quartiers affaires, qui peinent à revenir à leur taux de remplissage d'avant-crise, son espace a vite rebondi et retrouvé une forte affluence. M. Bensimon rêve désormais d'implanter des espaces jusque dans des hôtels."Il y a de l'accueil 24/24, des restaurants, des salles de réunion. Avec la perte de client en voyages d'affaires, les hôteliers se montrent plus ouverts", juge-t-il.Plusieurs espaces ont déjà été installés dans des établissements du groupe Accor, qui détient Wojo à égalité avec Bouygues Immobilier."Le modèle de la tour des années 1960 dans lequel on amasse des gens dans un espace sans aucun service autre que la cantine est terminé", estime Philippe Bourguignon co-fondateur du Shack, un lieu de travail et de vie intégrée près d'Opéra, à Paris.Il espère développer ses projets de bureaux intégrés dans des magasins vacants des centres commerciaux, ou encore en profitant des espaces vides sous-loués par des grandes entreprises en raison du télétravail.Dans les métiers ou le télétravail s'est fortement développé, "pour faire revenir les collaborateurs, il faut que l'on soit mieux au bureau qu'à la maison", a également affirmé Loic Daniel, managing director à Nexity Immobilier mardi au cours d'une conférence lors du salon international de l'immobilier (Mipim).FlexibleAu delà de l'activité et de l'animation, la localisation joue aussi un grand rôle pour l'attractivité des bureaux."Avant même la pandémie, il y avait une forte demande pour les bureaux en centre-ville", observe Staffan Ingvarsson, dirigeant de Stockholm Business Region, chargé de l'attractivité de la capitale suédoise. "Quand on s'éloigne, cela devient plus dur. Plus les bureaux sont loin, plus il faut faire des efforts pour attirer des gens, avec des services."Mais le modèle flexible ne convient pas à tous les types d'emploi."Avec le télétravail, les entreprises sont tentées de réduire beaucoup les surfaces, en ayant recours au flex office, où aucun salarié n'a de place attribuée. Le bureau reste la deuxième dépense des entreprises, derrière les salaires", rappelle Ingrid Nappi, professeur de management et chercheur à l'ESSEC sur la chaire immobilier et développement durable."Or, tous les salariés ne souhaitent pas cette organisation", dit-elle, s'appuyant sur la troisième étude "mon bureau post Covid", qu'elle dirige, et qui a été présentée mardi au Mipim. "Le flex n'est adapté qu'à certains secteurs d'activités, avec notamment les CSP+, mais pas aux usagers de bureaux qui y passent toute la journée, comme les agents de maîtrise ou les employés qui veulent avoir leur place attitrée."
Il y a 3 ans et 268 jours

Aix-les-Bains : renouvellement urbain du quartier Marlioz

Cette grande opération prend forme. Une maquette est visible à la maison du projet du quartier.
Il y a 3 ans et 268 jours

Le marché des matériaux de construction revient à des niveaux d'activité d'avant crise

Cette “normalisation” des tendances, en partie liée à l'atténuation des effets de base, est commune à bon nombre de matériaux et s'accompagne d'un contexte conjoncturel qui demeure porteur. Côté Bâtiment, les carnets de commandes dans le gros œuvre affichent toujours des niveaux très élevés (9,5 mois) même si les contraintes d'approvisionnement pèsent sur le bon déroulement des chantiers. La confiance des professionnels du secteur reste de mise en ce début d'automne, y compris dans TP, bien que le niveau des prises de commandes soit encore poussif. Mais les carnets actuels devraient encore alimenter l'activité de la fin 2021 et d'une partie de 2022.Atterrissage des tendancesD'après les premiers résultats des enquêtes mensuelles, la production de granulats se serait redressée entre juillet et août (+3,3%) mais serait en repli par rapport à août 2020 et août 2019 (-4,3% et -1% respectivement, données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus, la tendance se contracte de -4,2% par rapport au trimestre précédent, une baisse plus modérée si on ramène la comparaison à la même période de 2020 (-2,7%) et de 2019 (-2%). Le jeu des effets de base se régule peu à peu et la progression du cumul sur les huit premiers mois de l'année revient à +15,5%, au regard de 2020 (+9,4% en cumul sur les douze derniers mois). Ces évolutions sont en fait le reflet d'un retour des volumes d'activité aux niveaux d'avant crise (-0,2% et -0,5% en progressions respectives par rapport à 2019). Côté BPE, les constats diffèrent peu. En recul de -3,4% sur juillet, les livraisons de BPE ont cédé -13,1% par rapport à août 2020 et -3,2% sur août 2019 (données CVS-CJO). Sur les trois mois allant de juin à août, les cubages ont perdu -6,3% au regard des trois mois précédents et -7,7% comparé à ceux de l'an passé. Pour autant, ils n'affichent qu'un repli de -2% sur la même période de 2019. Au total, pour les huit premiers mois de 2021, l'activité BPE affiche une hausse de +16,6% et de +11,9% en cumul sur douze mois. Ces progressions masquent toutefois un très léger repli des niveaux d'activité en référence à 2019 (-1,2% sur huit mois et -1,4% sur douze mois). Notre indicateur matériaux décrit les mêmes freinages : après un rebond de +25,1% sur un an au premier semestre 2021 (CJO), le rythme d'activité reviendrait à +14,8% sur huit mois soit un niveau encore un peu supérieur à celui constaté sur la même période de 2019 (+1,2%).Bâtiment : une offre contrainteInterrogés en septembre par l'INSEE, les professionnels du bâtiment gardent confiance dans leur activité future et leurs carnets de commandes, les soldes d'opinion correspondants continuant de grimper, surplombant leur moyenne de long terme. Dans le même temps, leur opinion sur l'activité passé s'effrite un peu, et ce, bien que les capacités de production frôlent leur taux d'utilisation maximal (93,2% contre 87,9% en moyenne). Le maintient de tensions élevées dans le recrutement et l'approvisionnement peuvent expliquer cette érosion, plus de la moitié des entreprises du gros oeuvre (55,9%) ne pouvant produire plus, faute de personnel (pour 68% d'entre eux) ou faute de disponibilité de certains matériaux (pour 14,5% des entrepreneurs du bâtiment). Côté construction neuve, s'il est vrai que le segment du non-résidentiel peine à se relever du choc sanitaire (avec des mises en chantier qui, en cumul à fin août, sont encore -12,3% sous leur niveau des huit premiers mois de 2019, et des autorisations à -14,2%), l'activité côté résidentiel s'est quant à elle nettement raffermie. En effet, à fin août et en cumul depuis janvier, les mises en chantier dépassaient de 3,4% leur niveau de 2019 (+16,8% au regard de 2020), un constat valable dans le collectif (+4,9% comparé à 2019 et +17% comparé à 2020) comme dans l'individuel (+1,5% et +16,5% respectivement). Cette dynamique pourrait perdurer dans les mois à venir, notamment dans l'individuel si l'on en croit les dernières données sur les permis. Ainsi, sur les huit mois de 2021, les autorisations de logements grimpaient de +26,9% sur un an (+4,5% comparé à 2019), dont +36,1% dans l'individuel (+17,3%). Dans le collectif, les difficultés structurelles qui pèsent sur l'offre (pénurie de foncier, freins locaux, procédures d'urbanisme, acceptabilité sociale en zone tendue…) freinent le rebond des projets. Ainsi, les permis, en hausse de +19,9% sur un an au cours des huit premiers mois de 2020 restent en dessous des niveaux de 2019 (-4,5%), et ce, en dépit d'un besoin pérenne en logements neufs et de conditions financières qui sont historiquement attractives. Ce constat, qui rejoint les premières conclusions du Rapport Rebsamen (1er tome remis le 22 septembre) a conduit le Premier ministre à s'engager sur des pistes de relance de la construction neuve en zone tendue. L'annonce de la prise en charge par l'Etat de l'exonération de la taxe foncière des bailleurs sociaux pourrait inciter les maires (jusqu'ici privés de ces ressources fiscales) à délivrer plus de permis.De même le recentrage du Plan de relance sur des « contrats locaux » entre Etat et collectivités (175 millions d'euros) pourrait favoriser la construction de logements collectifs en zone tendue tandis que la mobilisation du foncier public (via le fonds friche du Plan de relance dont l'affectation sera priorisée sur la création de logements) devrait permettre la construction de 21 000 logements dès 2022 et 50 000 autres dans les années à venir selon Matignon.Prochainement inscrites dans le PLF2022, ces mesures devraient soutenir le secteur locatif social et lever certains freins à la construction de logements dans les grandes agglomérations. Enfin, côté travaux publics, la concrétisation du Plan de relance en investissements est toujours attendue. Après le rebond du premier semestre lié à l'achèvement de chantiers en cours et/ou stockés pendant la pandémie, les carnets peinent encore à se regarnir. Pour autant, les entrepreneurs demeurent plutôt optimistes sur leur activité future.Perspectives 2021-2022Les tensions d'approvisionnement devraient encore peser sur l'activité en cette fin d'année, la demande restant solide dans le bâtiment et plus modérée dans les TP. En dépit d'un second semestre en repli, la production de granulats de 2021 serait 9% supérieure à celle de 2020 mais proche de celle de 2019 (-0,5%, données brutes). Côté BPE, les livraisons gagneraient elles aussi +7,5% par rapport à 2020, mais seraient inférieures de -1,5% à celles de 2019. Le niveau actuel des carnets dans le gros oeuvre, freiné dans leur réalisation par les difficultés d'offre, permettrait au moins de stabiliser l'activité BPE en 2022 tandis que le réveil graduel de la demande publique et privée, côté TP, ainsi que la mise en place des projets du Plan de relance, pourraient soutenir un peu plus l'activité granulats.
Il y a 3 ans et 269 jours

Construction modulaire : Cyme vers un premier sommet

Née au sortir du confinement en 2020, la jeune entreprise se lance dans la construction industrialisée à ossature bois avec un projet pilote de résidence étudiante à Bourges, qui sera livré en mai prochain.
Il y a 3 ans et 269 jours

Le foncier et la densité, thèmes centraux d'"Habiter la France de demain"

HABITAT. Le cycle de tables-rondes initié par la ministre du Logement touche à sa fin. Lors des six débats organisés au ministère de la Transition écologique, les échanges ont souvent porté sur les problématiques foncières, et la façon de l'économiser sans renchérir encore le logement.
Il y a 3 ans et 269 jours

Chantier du RER E : Valérie Pécresse dénonce un surcoût de 1,7 milliard d'euros

Selon une source proche du dossier, la SNCF a annoncé ce dépassement mercredi 6 octobre lors d’une réunion technique avec la Ville de Paris, demandant 800 millions d’euros supplémentaires pour le premier tronçon (un tunnel reliant Paris Haussmann et Nanterre), dont 500 millions avant le 31 décembre 2021.
Il y a 3 ans et 269 jours

A Saint-Maixent-l’Ecole, UNIK : Vincent Lavergne fera-t-il école?

Construction industrialisée : la première opération d’hébergement Unik de Bouygues Bâtiment France Europe pour le ministère des Armées va voir le jour à Saint-Maixent-l’Ecole (Deux-Sèvres). Livraison prévu 2023. Vincent Lavergne Architecture Urbanisme (VLAU) est l’architecte d’un projet national de 46 opérations pour 120 000 m². Communiqué du constructeur. Bouygues Bâtiment France Europe et le Service d’infrastructure […] L’article A Saint-Maixent-l’Ecole, UNIK : Vincent Lavergne fera-t-il école? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.