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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Immobilier - Logement

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Il y a 3 ans et 269 jours

A Saint-Maixent-l’Ecole, UNIK : Vincent Lavergne fera-t-il école?

Construction industrialisée : la première opération d’hébergement Unik de Bouygues Bâtiment France Europe pour le ministère des Armées va voir le jour à Saint-Maixent-l’Ecole (Deux-Sèvres). Livraison prévu 2023. Vincent Lavergne Architecture Urbanisme (VLAU) est l’architecte d’un projet national de 46 opérations pour 120 000 m². Communiqué du constructeur. Bouygues Bâtiment France Europe et le Service d’infrastructure […] L’article A Saint-Maixent-l’Ecole, UNIK : Vincent Lavergne fera-t-il école? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 269 jours

Immobilier : feu vert pour le PTZ, feu orange pour le "Pinel+"

RÉACTIONS. Plusieurs acteurs du secteur de l'immobilier ont réagi, à la suite de l'annonce, par la ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon, de la prolongation du PTZ et du Pinel.
Il y a 3 ans et 269 jours

Edilteco® France sera présent au salon Artibat, dans le Pôle Gros Œuvre

Cette nouvelle version Politerm® R est conçue avec du polystyrène recyclé et s'inscrit dans une démarche d'économie circulaire et responsable.EDILTECO® récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication afin de réintégrer le PSE dans les processus de production.Les chutes sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves.Politerm® R permet d'isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.Autre solution de sol exposée sur le stand : LA CHAPE XXs®, chape légère et fibrée qui se destine à l'amélioration de l'affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol.LA CHAPE XXs® est conçue à base de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l'adjuvant EIA (Diamètre 2 - 3 mm).La densité du mélange - 1200 kg/m3 - est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures.Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d'une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques.Sa simplicité de mise en oeuvre va permettre de l'utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu'à 15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1).Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d'une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur béton, 2 cm en pose désolidarisée sur bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l'applicateur c'est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l'assurance d'une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d'usages multiples.Pour la façade, les gammes « best-seller » ECAP® et EDIL-Therm® PSE dans une version sans fixatif seront exposées.Pour finir la nouvelle gamme planchers présentera : Delti-Poutrelles, une gamme complète de poutrelles précontraintes. Conçues en T inversé avec un crantage bi-alterné sur le dessus et des armatures dépassantes de chaque extrémité de la poutrelle, une attention particulière est portée sur la finition des poutrelles.Cette parfaite maîtrise des finitions leur assure une épaisseur de talon sans accumulation de béton et des abouts de poutrelle parfaitement droits, notamment par l'utilisation de séparateurs en PSE lors du moulage.Conçue dans les règles de l'art, la gamme Delti-Poutrelles respecte l'ensemble des exigences du référentiel DTU 23.5. Certifiée conforme au référentiel de certification NF 395 Poutrelles en béton pour systèmes de planchers à poutrelles et entrevous, cette gamme assure d'excellentes performances à la flexion et garantit la réalisation de planchers robustes, stables et durables dans le temps.Il existe 3 gammes de poutrelles et chacune rassemble plusieurs types de poutrelles. Chaque gamme commence par « DP » suivi de la hauteur de la poutrelle (de 110 à 130) et du type de précontrainte. La gamme RE est dotée d'un renfort en acier passif permettant de gagner en portée sans étai.Elles permettent d'atteindre de grandes portées 5,10 m de long sans étais et 8,30 m avec étais, qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Du fait de l'attention portée à la qualité de fabrication, la gamme Delti-Poutrelles est en mesure de supporter des charges importantes.DELTIVOUTAIN + CI – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre son correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main.Brevetée, cette solution bénéficie aujourd'hui d'un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d'isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1 «Planchers et accessoires de plancher» qui ont examiné respectivement ce procédé.Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d'assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l'isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en oeuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation.Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d'une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l'économie d'éléments structurels devenus inutiles.Artibat est depuis 31 ans le salon de référence pour les professionnels du bâtiment. Partenaire des artisans et des majors du BTP, EDILTECO® suit une politique d'innovation basée sur des objectifs apportant gain de performances aux produits, tout en augmentant la simplicité et la rapidité d'application.Ces trois journées de rencontres et d'échanges seront donc l'opportunité pour EDILTECO® de révéler le potentiel et les compétences de ses solutions et innovations.
Il y a 3 ans et 269 jours

Quand l’isolation paille s’industrialise

La maison paille, désormais on connaît. Rares sont ceux qui en ont vue “en vrai” et moins nombreux encore ceux qui y vivent ou y travaillent, mais de plus en plus en ont au moins “entendu parler”. C’est que, avec la prise de conscience de la disparition progressive des énergies fossiles et de la nécessité […]
Il y a 3 ans et 270 jours

Cinq personnes renvoyées en correctionnelle après l'effondrement d'un balcon à Angers en 2016

L'ordonnance de renvoi en correctionnelle a été rendue le 29 septembre, a indiqué le parquet à l'AFP, confirmant une information de la presse locale.Le procès est prévu à partir du 9 février 2022 pour une période de trois semaines. "On estime qu'on pourrait avoir une soixantaine de personnes qui se constitueraient parties civiles", a indiqué à l'AFP le procureur d'Angers Éric Bouillard.Parmi les personnes appelées à comparaître, figurent le chef de l'entreprise de construction (72 ans), le conducteur de travaux (52 ans), le chef de chantier (63 ans), l'architecte (65 ans) et le représentant du bureau de vérification Apave (83 ans). Tous ont un casier judiciaire vierge.Dans la soirée du 15 octobre 2016, 18 jeunes avaient basculé dans le vide lors de l'effondrement d'un balcon au 4e étage de la résidence "Le Surcourf" dans le centre-ville d'Angers. Le balcon avait entraîné dans sa chute les deux balcons des étages inférieurs.Quatre des victimes, trois hommes de 21, 23 et 25 ans, ainsi qu'une jeune fille de 18 ans, avaient été tués. Quatorze avaient été blessés. Le drame s'était produit lors d'une crémaillère organisée par deux jeunes filles, rassemblant une trentaine d'amis, en majorité des étudiants en droit.En mai 2021, la cour d'appel d'Angers a rejeté une demande d'enquête complémentaire sur un défaut d'entretien du balcon formulée auprès de la chambre de l'instruction par les avocats de deux des cinq mis en examen et par ceux de victimes et de leurs familles.
Il y a 3 ans et 270 jours

L'inflation devrait rester "un peu supérieure" à 2% jusqu'en décembre, selon l'Insee

Dans son dernier point de conjoncture, l'Institut national de la statistique maintient en revanche inchangée sa prévision de croissance pour 2021, soit de l'ordre de +6,25%, après -8% en 2020.Alors que les prix à la consommation ont augmenté de 2,1% (estimation provisoire sur un an) au mois de septembre, après 1,9% en août, l'Insee estime que l'inflation "resterait un peu supérieure à 2% jusqu'en décembre".Cette hausse des prix "atteindrait 2,3% en octobre puis refluerait légèrement (2,1% prévu en décembre), sous l'hypothèse conventionnelle d'un prix du pétrole fixé à 75 dollars le baril de Brent et d'une stabilité des autres cours de matières premières", est-il indiqué."La principale raison ce sont les prix de l'énergie qui reflètent la hausse du prix du pétrole, qui se transmet de façon quasi immédiate sur les prix à la consommation", a résumé Olivier Simon, chef de la division synthèse conjoncturelle, lors d'une conférence de presse.D'ici la fin de l'année, l'Insee confirme que l'activité économique va retrouver "globalement - mais sans le dépasser, contrairement à l'emploi - son niveau d'avant-crise".L'Insee prévient toutefois que des contrastes sectoriels vont persister au second semestre, notamment pour certaines branches comme l'automobile, qui vont "rester pénalisées par des difficultés aiguës d'approvisionnement". Dans les services, l'activité devrait également rester en-deçà du niveau d'avant-crise dans l'hébergement, la restauration, les loisirs ou les transports.Concernant la consommation des ménages, l'Insee estime qu'elle devrait retrouver "tout juste, en fin d'année, son niveau de deux ans auparavant", avec +4% au troisième trimestre puis +1,5% au quatrième, soit un rebond annuel de 4,1% en 2021, après une chute de 7,2% en 2020.Quant aux exportations, elles devraient fin 2021 atteindre 93% de leur niveau du quatrième trimestre 2019, tandis que les importations devraient retrouver "un niveau quasi identique à celui d'avant crise".
Il y a 3 ans et 270 jours

Le marché locatif des bureaux peine à retrouver son activité pré-Covid

IMMOBILIER. L'indicateur Immostat a scanné le marché de l'immobilier d'entreprise en Ile-de-France. Les chiffres du troisième trimestre 2021 sont encourageants mais restent en deçà de 2019.
Il y a 3 ans et 270 jours

Une "catastrophe" du Mal-logement en Paca dénonce la Fondation Abbé Pierre

Des logements aux prix inaccessibles face à une population précaire: en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, la Fondation Abbé Pierre s'alarme d'une "tendance absolument catastrophique".
Il y a 3 ans et 270 jours

Le Bâtiment salue le prolongement du Prêt à taux zéro jusqu'à fin 2023, mais s’inquiète du futur durcissement annoncé

Le "PTZ", qui aide les ménages à accéder à la propriété, "devait s'arrêter fin 2022, on le prolongera bien jusqu'à fin 2023", a déclaré la ministre sur BFM Business.Les conditions de ressources, que le gouvernement envisageait de modifier, ne changeront finalement pas, a-t-elle également indiqué."Nous avions envisagé une réforme dans laquelle on changeait le mode de prise en compte des ressources (...), c'est très complexe à mener et donc on ne le fera pas au 1er janvier 2022, donc il est maintenu tel quel jusqu'à fin 2023", a précisé Mme Wargon.Le "PTZ" s'adresse aux particuliers qui achètent leur propre logement, et permet de solliciter des prêts en partie sans intérêt auprès des banques.Le dispositif Loi Pinel, destiné aux futurs propriétaires qui comptent louer leur bien (ils ont droit à une aide à l'achat s'ils s'engagent à demander un loyer inférieur au marché), est quant à lui maintenu "jusqu'à fin 2024", a encore ajouté la ministre, qui présentera la semaine prochaine le "Pinel+".Selon la ministre, ce décret comportera "à la fois des critères environnementaux et des critères de qualité, mètres carré minimum par taille d'appartements par exemple".« Oui, mais » pour la FFBLa FFB salue la prorogation du PTZ, qui donne de la visibilité aux acteurs et permettra d'éviter les à-coups habituels en phase de discussion budgétaire.La FFB s'inquiète en revanche du durcissement annoncé du Pinel. De fait, on ne connait que très rarement dès l'origine d'un projet l'usage qui sera fait des logements qu'il comprend. Les mesures prévues complexifieront donc les règles de construction pour l'ensemble du collectif dans les métropoles. Or, aucun coup de pouce n'est prévu pour compenser ces nouvelles exigences. Pour Olivier Salleron, le président de la FFB : « la prorogation durable du PTZ est une bonne nouvelle, mais il convient surtout d'éviter de déstabiliser plus encore la construction de logements collectifs dans les zones tendues, alors que le très récent rapport Rebsamen a bien révélé la crise qui frappe ce segment. Les nouvelles exigences annoncées pour le successeur du Pinel constituent bien un risque à cet égard. Par ailleurs, à quelques semaines de l'entrée en vigueur de la RE2020, qui se traduira par un surcoût moyen de construction d'environ 5 % en 2022, la FFB rappelle qu'un accompagnement des ménages s'avère indispensable pour passer cette marche vertueuse. Elle a d'ailleurs proposé la mise en place d'un crédit d'impôt sur les annuités d'emprunt immobilier. »
Il y a 3 ans et 270 jours

« Tous nos métiers sont en progression », René Simon, président du directoire de Demathieu Bard

Construction - Le président de Demathieu Bard se félicite des diversifications, toujours en cours, du groupe lorrain fondé il y a 160 ans.
Il y a 3 ans et 270 jours

La filière gaz dans le bâtiment attaque la RE2020 devant le Conseil d'État

Ce texte, qui rentrera en application le 1er janvier 2022, concernera de façon progressive les logements individuels, les logements collectifs et les bâtiments du secteur tertiaire.Devant le constat que les dispositions de la RE2020 conduisent à exclure progressivement le recours au gaz des constructions nouvelles à compter du 1er janvier 2022 sans distinction entre gaz naturel et gaz renouvelable, Coénove a déposé une requête devant le Conseil d'État le 29 septembre 2021 visant l'annulation du silence de la RE2020 sur le biométhane et demande un complément pour intégrer le gaz renouvelable dans le texte. Pour Bernard Aulagne, Président de Coénove, « l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles résultant de la RE2020 est contestable sur plusieurs aspects » :Elle méconnaît les dispositions légales et de droit européen qui imposent de favoriser le recours à toutes les énergies renouvelables dans les constructions nouvelles, sans discriminer entre les sources d'énergies renouvelables. Or, le biométhane constitue la seule énergie renouvelable qui est exclue des constructions nouvelles par la RE2020 ;Elle entre en contradiction avec les objectifs poursuivis par la RE2020 de lutte contre le changement climatique et de recours aux énergies renouvelables, le biométhane contribuant significativement à ces deux objectifs. A l'inverse, l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles est de nature à augmenter le recours au gaz naturel pour produire l'électricité nécessaire pour répondre au besoin de chauffage en hiver Elle freine considérablement le développement d'une filière de production d'une énergie renouvelable à part entière, au même titre que les énergies renouvelables électriques, avec les mêmes avantages et bénéfices pour l'environnement et lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et qui présente de plus l'intérêt de ne pas être intermittente ;Elle prive la France d'une énergie souveraine produite localement : circuits courts et production locale, disponible sur l'ensemble du territoire, participe à l'indépendance énergétique et favorise l'accès de produits d'origine asiatique sur le marché français ;Enfin, elle porte atteinte à la liberté d'entreprendre des acteurs de la filière en leur fermant de manière définitive et irréversible, pour leur activité gaz, le secteur de la construction nouvelle, alors même qu'ils ont investi et sont en mesure de proposer des solutions énergétiquement performantes recourant au biométhane.L'objectif poursuivi par l'association à travers ce recours est en cohérence avec les convictions qu'elle a défendues tout au long du processus de concertation, à savoir promouvoir la performance énergétique et environnementale des bâtiments grâce à un mix énergétique équilibré favorisant le recours aux énergies renouvelables. Et Bernard Aulagne de souligner : « Nous sommes particulièrement attachés à l'atteinte des objectifs ambitieux que la France s'est fixée pour la réussite de la transition énergétique. Notre démarche n'a rien de conflictuel et vise simplement à réparer une injustice à l'égard d'une énergie renouvelable, le biométhane, qui a toute sa place dans le mix énergétique. »
Il y a 3 ans et 270 jours

Coénove saisit le Conseil d'État sur la RE2020 pour redonner au gaz vert sa place dans la construction neuve

Ce texte, qui rentrera en application le 1er janvier 2022, concernera de façon progressive les logements individuels, les logements collectifs et les bâtiments du secteur tertiaire.Devant le constat que les dispositions de la RE2020 conduisent à exclure progressivement le recours au gaz des constructions nouvelles à compter du 1er janvier 2022 sans distinction entre gaz naturel et gaz renouvelable, Coénove a déposé une requête devant le Conseil d'État le 29 septembre 2021 visant l'annulation du silence de la RE2020 sur le biométhane et demande un complément pour intégrer le gaz renouvelable dans le texte. Pour Bernard Aulagne, Président de Coénove, « l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles résultant de la RE2020 est contestable sur plusieurs aspects » :Elle méconnaît les dispositions légales et de droit européen qui imposent de favoriser le recours à toutes les énergies renouvelables dans les constructions nouvelles, sans discriminer entre les sources d'énergies renouvelables. Or, le biométhane constitue la seule énergie renouvelable qui est exclue des constructions nouvelles par la RE2020 ;Elle entre en contradiction avec les objectifs poursuivis par la RE2020 de lutte contre le changement climatique et de recours aux énergies renouvelables, le biométhane contribuant significativement à ces deux objectifs. A l'inverse, l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles est de nature à augmenter le recours au gaz naturel pour produire l'électricité nécessaire pour répondre au besoin de chauffage en hiver Elle freine considérablement le développement d'une filière de production d'une énergie renouvelable à part entière, au même titre que les énergies renouvelables électriques, avec les mêmes avantages et bénéfices pour l'environnement et lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et qui présente de plus l'intérêt de ne pas être intermittente ;Elle prive la France d'une énergie souveraine produite localement : circuits courts et production locale, disponible sur l'ensemble du territoire, participe à l'indépendance énergétique et favorise l'accès de produits d'origine asiatique sur le marché français ;Enfin, elle porte atteinte à la liberté d'entreprendre des acteurs de la filière en leur fermant de manière définitive et irréversible, pour leur activité gaz, le secteur de la construction nouvelle, alors même qu'ils ont investi et sont en mesure de proposer des solutions énergétiquement performantes recourant au biométhane.L'objectif poursuivi par l'association à travers ce recours est en cohérence avec les convictions qu'elle a défendues tout au long du processus de concertation, à savoir promouvoir la performance énergétique et environnementale des bâtiments grâce à un mix énergétique équilibré favorisant le recours aux énergies renouvelables. Et Bernard Aulagne de souligner : « Nous sommes particulièrement attachés à l'atteinte des objectifs ambitieux que la France s'est fixée pour la réussite de la transition énergétique. Notre démarche n'a rien de conflictuel et vise simplement à réparer une injustice à l'égard d'une énergie renouvelable, le biométhane, qui a toute sa place dans le mix énergétique. »
Il y a 3 ans et 270 jours

Cheminées Poujoulat sera à Artibat hall 10A - stand F28 pour parler RE2020 et chauffage bois en maison individuelle

Organisé par la CAPEB Pays de la Loire, ARTIBAT réunit tous les 2 ans à Rennes plus de 1 000 exposants leaders dans leur domaine et accueille près de 40 000 visiteurs professionnels en veille constante sur les innovations du marché et les solutions industrielles.Cheminées Poujoulat sera présent les 13, 14 et 15 octobre 2021 pour le salon ARTIBAT au Hall 10A - Stand F28 pour présenter ses différentes solutions, parler innovation et partager projets et retours d'expériences.Cette année, le projecteur est mis sur 3 solutions conçues pour les maisons individuelles dans le cadre de la RE2020 :AIRWOOD : la solution de récupération et de distribution de la chaleur bois disponible en 3 versions pour s'adapter à chaque configurationVENTÉLIA : la sortie de toit spécial ventilation la plus performante du marchéEFFICIENCE : le conduit triple paroi avec arrivée d'air canalisé conçu pour les appareils à bois étanchesPrésence sur le stand HydrotisCheminées Poujoulat sera également présent sur le stand Hall 7 - Stand C27 d'Hydrotis, l'association d'industriels au service des professionnels du bien être dans le bâtiment pour présenter ses solutions :3CE Thermo-D : le conduit collectif pour chauffe-eaux thermodynamiquesConduits Dualis pour les chaudières gaz et bois (bûches et granulés)Informations pratiquesParc Expo Rennes Aéroport - La Haie Gautrais -35170 BRUZMercredi 13 Octobre : 9:00 - 19:00Jeudi 14 Octobre : 9:00 - 21:00 NocturneVendredi 15 Octobre : 9:00 - 18:00Le pass sanitaire sera obligatoire pour accéder au salon ARTIBAT.
Il y a 3 ans et 270 jours

Icade Santé renonce à s'introduire en Bourse pour l'instant

"Dans un contexte de marché actions particulièrement volatil, Icade et les actionnaires minoritaires d'Icade Santé décident de reporter le projet d'introduction en Bourse d'Icade Santé", indique le groupe dans un communiqué.La foncière santé du groupe Icade détient 183 établissements de santé en France, en Allemagne, en Italie et en Espagne, qui représentaient au 30 juin un patrimoine de 6 milliards d'euros et une surface locative totale d'environ 2,04 millions de m2.Le 10 septembre, Icade Santé disait espérer lever 800 millions d'euros, ce qui aurait valorisé la société entre entre 5,6 et 6,4 milliards d'euros.Mais le 30 septembre, après la clôture de l'offre, Icade Santé avait annoncé suspendre l'opération et promis de revenir vers le marché "dans les prochains jours". C'est finalement un report sine die qui a été décidé.
Il y a 3 ans et 270 jours

Le gouvernement annonce une nouvelle prolongation du PTZ et du Pinel

ANNONCE. La ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, vient d'annoncer deux mesures destinées à améliorer la visibilité des professionnels de la construction. Les dispositif PTZ et Pinel seront ainsi prolongés jusqu'en 2023 et 2024, respectivement.
Il y a 3 ans et 270 jours

Nouvelle Fenêtre à ouvrant caché

En fin d’année 2021, Sapa lancera la commercialisation d’une nouvelle Fenêtre à ouvrant caché PERFORMANCE 70 OC+ atteignant un Uw de 1,4 avec un double vitrage standard (Ug = 1,1). Elle sera disponible sur les versions traditionnelles en coupe d’onglet et sur le Monobloc fabriqué exclusivement par le réseau Solutions Pro Sapa. Son point fort pour les fabricants et les poseurs : renforcer le coefficient thermique de sa solution sans modifier l’usinage et la mise en oeuvre. Le bureau d’études Sapa, implanté à Courmelles (02), a travaillé ainsi sur l’amélioration des matériaux avec des barrettes d’isolation et des joints d’étanchéité plus performants. L’Uw de 1,4 en double vitrage standard permet d’équiper les logements et bâtiments de fenêtres aluminium de qualité dans un budget maîtrisé. À ouvrant caché, la Fenêtre PERFORMANCE 70 OC+ maximise la surface vitrée, optimisant le clair de vitrage et l’apport de lumière naturelle. Elle est disponible en ouverture à la française et oscillo-battante, avec quincailleries cachées ou visibles, et accessoires anti-effraction (testée CR2).   Photo : Sapa – Architecte Luc Mayelle 
Il y a 3 ans et 271 jours

SALON ARTIBAT, EDILTECO® FRANCE PRÉSENTE SON NOUVEAU POLITERM® R

EDILTECO® France sera exposant du salon Artibat, au sein du Pôle Gros Œuvre, Hall 10A – Stand D52. Le fabricant y présentera notamment le nouveau Politerm® R, procédé d’agrégat isolant idéal pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques. Cette nouvelle version Politerm® R est conçue avec du polystyrène recyclé et s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire et responsable. EDILTECO® récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication afin de réintégrer le PSE dans les processus de production. Les chutes sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves. Politerm® R permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc. Autre solution de sol exposée sur le stand : LA CHAPE XXs®, chape légère et fibrée qui se destine à l’amélioration de l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. LA CHAPE XXs® est conçue à base de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 – 3 mm). La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques. Sa simplicité de mise en oeuvre va permettre de l’utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu’à 15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1). Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d’une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur béton, 2 cm en pose désolidarisée sur bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples. Pour finir la nouvelle gamme planchers présentera : Delti-Poutrelles, une gamme complète de poutrelles précontraintes. Conçues en T inversé avec un crantage bi-alterné sur le dessus et des armatures dépassantes de chaque extrémité de la poutrelle, une attention particulière est portée sur la finition des poutrelles. Cette parfaite maîtrise des finitions leur assure une épaisseur de talon sans accumulation de béton et des abouts de poutrelle parfaitement droits, notamment par l’utilisation de séparateurs en PSE lors du moulage. Conçue dans les règles de l’art, la gamme Delti-Poutrelles respecte l’ensemble des exigences du référentiel DTU 23.5. Certifiée conforme au référentiel de certification NF 395 Poutrelles en béton pour systèmes de planchers à poutrelles et entrevous, cette gamme assure d’excellentes performances à la flexion et garantit la réalisation de planchers robustes, stables et durables dans le temps. Il existe 3 gammes de poutrelles et chacune rassemble plusieurs types de poutrelles. Chaque gamme commence par « DP » suivi de la hauteur de la poutrelle (de 110 à 130) et du type de précontrainte. La gamme RE est dotée d’un renfort en acier passif permettant de gagner en portée sans étai. Elles permettent d’atteindre de grandes portées 5,10 m de long sans étais et 8,30 m avec étais, qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Du fait de l’attention portée à la qualité de fabrication, la gamme Delti-Poutrelles est en mesure de supporter des charges importantes. DELTIVOUTAIN + CI – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre son correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d’isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1 «Planchers et accessoires de plancher» qui ont examiné respectivement ce procédé. Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d’assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l’isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en œuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation. Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d’une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l’économie d’éléments structurels devenus inutiles.
Il y a 3 ans et 271 jours

Après Paris, Lyon ou Bordeaux, Marseille va surtaxer les résidences secondaires

La majoration de la taxe d'habitation sur les résidences secondaires va passer "de 20% à 60%, le taux maximal autorisé" par le code général des impôts, a annoncé mardi à la presse Joël Canicave, maire adjoint aux Finances et président du groupe de la majorité municipale."On attend de cette surtaxe que les logements à Marseille qui sont peu ou pas utilisés soient remis dans le circuit normal de la location", a expliqué l'élu, évoquant notamment le cas des biens gelés pour de la location saisonnière durant l'été via la plateforme Airbnb."C'est une taxe supplémentaire qui peut aussi avoir un effet financier, même si on ne peut pas encore le mesurer car la loi prévoit tout un dispositif de dégrèvements", a précisé l'élu, évoquant toutefois "une première évaluation de 3 millions d'euros" de recettes supplémentaires pour la ville.Selon le maire adjoint, seuls 15.000 logements sur les 450.000 de la cité phocéenne seraient concernés par cette surtaxe. Mais elle ne touchera pas les locations saisonnières rapportant plus de 5.000 euros par an à leur propriétaire, qui sont déjà astreintes à une autre taxe, "la cotisation foncière des entreprises CFE", payée à la Métropole.Avant Marseille, d'autre grandes villes comme Paris, Lyon, Montpellier, Nice ou Bordeaux, ont choisi de porter à 60% la majoration de la taxe d'habitation sur les résidences secondaires, afin de lutter contre la sous-occupation de certains logements."Si la mesure ne sera applicable dans la plupart des villes qu'en 2022, on sait que Paris, qui avait anticipé le vote de la loi, a pu remettre dans le circuit plus de 5% des logements en résidences secondaires dans la capitale", a précisé M. Canicave.La ville de Marseille connaît une flambée des prix de l'immobilier, atteignant +7,2% en un an, selon un récent rapport de la chambre des notaires des Bouches-du-Rhône
Il y a 3 ans et 271 jours

Tout savoir sur la forêt, le bois et… le Patrimoine

Après le « choc Notre-Dame », l’Interprofession nationale France Bois Forêt a donné naissance à la fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine, placée sous l’égide de la Fondation de France. Cette structure vise à participer activement à la sauvegarde d’éléments architecturaux en bois, en plus de sa participation soutenue au chantier de restitution de la charpente de la cathédrale de Paris. Dans un immense élan, propriétaires forestiers privés, État, forêts domaniales, communes et collectivités, coopératives, experts, exploitants forestiers, scieurs, transporteurs ont répondu présents pour devenir mécènes, la mobilisation a été nationale. Il est alors apparu une soif de connaissance à l’égard de la ressource forestière et des savoir-faire patrimoniaux. Pour répondre aux questions autour du patrimoine et du bois, un « Questions-Réponses Forêt, bois et Patrimoine » vient d’être publié et est disponible gratuitement en ligne. Cet OPUS a été écrit et illustré grâce aux compétences des rédacteurs du magazine ATRIUM, patrimoine & restauration, avec le concours de la célèbre émission Silence, ça pousse ! Il intègre des portraits et des reportages sur la place de la forêt dans notre vie quotidienne, de la graine au plant, du bois devenu matière première, de sa transformation jusqu’à ses multiples usages. Lire le fascicule…  
Il y a 3 ans et 271 jours

Vers une reprise en main par l'Etat d'Action Logement ?

LOGEMENT SOCIAL. La Cour des comptes estime, dans un rapport rendu public début octobre, que la réforme d'Action Logement menée en 2016 n'a pas porté tous ses fruits. Elle esquisse quatre scénarios, allant jusqu'à l'intégration pure et simple des cotisations de l'ex "1% patronal" dans le budget de l'Etat.
Il y a 3 ans et 271 jours

Julien Bagnard, responsable du développement Myral : « Anticiper les points réglementaires est primordial pour des solutions adaptées à tous les projets »

Quel est le rôle du bureau d'études Myral ?Julien Bagnard : Il est essentiel. Nous sommes la courroie de transmission entre le service commercial et le service technique. Le bureau d'études s'enrichit de l'expérience terrain des commerciaux, qui nous font remonter au quotidien les besoins techniques et réglementaires des clients. Les équipes Myral échangent énormément. A chaque opportunité de développement, nous cherchons le cadre technique le plus adapté pour déployer nos solutions. Pour cela, nous nous appuyons sur divers documents techniques reconnus permettant d'atteindre l'étape de pose. Cet enrichissement mutuel est fondamental : il contribue au succès des solutions Myral.Comment parvenez-vous à rendre réalistes les projets de vos clients ?Julien Bagnard : Chez Myral, nous plaçons l'innovation au cœur de l'ensemble de nos processus. D'un point de vue technique, nous nous appuyons sur deux leviers pour innover. D'abord sur l'ATEx (Appréciation Technique d'Expérimentation) de cas a et b, sur les Enquêtes de Techniques Nouvelles (ENT) et les Avis Techniques. L'objectif, c'est que les projets de nos clients architectes, maîtres d'œuvre ou entreprises de pose deviennent réalité. Ce premier levier apporte ainsi une assurance majeure aux projets singuliers. Quant au second, il consolide l'approche initiale et permet un domaine d'emploi plus étendu dans le temps. Nous travaillons sans relâche sur des études, des essais et des analyses pour faire de ces contraintes normatives des avantages inspirants. La réglementation incendie en est une parfaite illustration.« Faire de la complexité notre alliée au service des maîtres d'œuvre »C'est un travail de fond qui nécessite une vision technique et réglementaire globale…Julien Bagnard : Oui, c'est notre force. Myral met un point d'honneur à anticiper, accompagner et coordonner son action. Ainsi nous déployons minutieusement notre expertise. Dès qu'une problématique se présente, nous pouvons être très réactifs. En adaptant notre couteau-suisse de solutions, le bureau d'étude fait tout pour rendre le contexte de pose favorable. La complexité est notre alliée !Comment relevez-vous ce défi ? Julien Bagnard : Cela passe par des plans 2D, 3D, des plans de principe, des notes de calcul sur la partie sismique, hygrothermique ou environnementale pour garantir la durabilité des parements Myral, leur résistance aux chocs ou aux intempéries. Notre but est de couvrir l'ensemble des domaines techniques en interaction avec l'ITE.Pour plus d'information sur Myral, visitez leur site internet : https://www.myral-pro.com/
Il y a 3 ans et 271 jours

Hager Group accélère sa transformation

Sur son site d’Obernai, le groupe concrétise un investissement clé et innovant avec la construction d’un nouveau laboratoire de puissance électrique à hauteur de 15 millions d’euros. ©Hager Group Hager Group consolide son ancrage territorial en matière de R&D et d’innovation. L’entreprise accélère sa transformation en réponse à de fortes ambitions sur le marché des bâtiments tertiaires, en France comme à l’international. Le nouveau laboratoire, un banc d’essai de court-circuit basse tension, permettra de développer et valider des disjoncteurs et des systèmes de distribution de forte puissance (appareillages de protection et armoires électriques). Parmi les plus puissants en Europe « Ce laboratoire complète notre savoir-faire en matière d’innovation, de technique et de R&D. Il sera le plus performant du Grand-Est et l’un des plus puissants en Europe. Cet investissement de 15 millions d’euros positionne notre site industriel d’Obernai comme un centre d’excellence de référence » explique Franck Houdebert, Directeur des ressources humaines Hager Group et membre du directoire. Il intégrera notamment un alternateur de forme cylindrique de plus de 7 mètres de long et 3 mètres de diamètre, pesant plus de 100 tonnes et capable de générer un courant de court-circuit de 150 000 ampères. Concrètement, cela permet de multiplier par 15 le courant de court-circuit et la durée de l’essai par rapport à ce qui existe actuellement. La pose de la première pierre, le 22 septembre 2021, a donné le coup d’envoi opérationnel du chantier. Mise en service au début de l’année 2023. Un centre d’excellence ouvert sur l’extérieur « Ce projet stratégique consolide l’ancrage de Hager Group à Obernai, où le centre de R&D compte plus de 150 ingénieurs. Il ouvrira également ses infrastructures aux clients externes qui pourront bénéficier de moyens d’essais performants et de l’appui de nos experts. La proximité avec les écoles et les universités favorisera également la création de synergies et de partenariats » commente Jean-François Bonnardot, directeur R&D Hager Group. Franck Houdebert, Directeur des ressources humaines groupe de Hager Group, accompagné de Jean Rottner, Président de la Région Grand-Est, en train de poser la première. ©Hager Group
Il y a 3 ans et 271 jours

Face aux problèmes de main-d'oeuvre, le Gouvernement dégaine un plan spécifique

EMPLOI. Les problèmes de main-d'oeuvre provoquées par la reprise économique dans plusieurs secteurs d'activité - dont la construction - a motivé l'exécutif à présenter un "plan de réduction des tensions de recrutement". De nouvelles enveloppes budgétaires sont débloquées pour mettre le paquet sur les formations professionnelles et mieux accompagner les chômeurs de longue durée.
Il y a 3 ans et 271 jours

Le gouvernement annonce des mesures pour soutenir une croissance "maîtrisée" de l'éolien en France

"Les énergies renouvelables, dont l'éolien, sont vitales pour garantir la sécurité énergétique de la France et lutter contre le dérèglement climatique. Mais mon devoir est de trouver les moyens d'un développement maîtrisé et responsable", a dit lors d'une conférence de presse la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili.Etat et industriels, qui expliquent vouloir "dépassionner le débat" sur cette énergie, veulent renforcer encore la "co-construction des projets": consultation obligatoire du maire, création de "comités régionaux de l'énergie", soutien à l'essor de parcs citoyens... Les préfets, chargés de produire des cartographies des zones propices, devraient commencer à remettre leurs travaux d'ici novembre. Un "médiateur de l'éolien" sera installé au ministère pour travailler sur les projets "potentiellement problématiques".Contre les nuisances, il y aura un "bridage sonore en cas de dépassement des seuils autorisés", avec "contrôles systématiques du bruit" à partir du 1er janvier.Pour réduire l'impact lumineux, l'orientation des lumières vers le ciel sera généralisée à compter de fin 2021. A partir de mi-2022, les signaux seront, comme en Allemagne ou aux Etats-Unis, allumés uniquement lors du passage d'avions, le temps que parcs et aéronefs s'équipent de transpondeurs leur permettant de communiquer.La filière financera, sur ses ventes d'électricité, un "fonds de sauvegarde du patrimoine naturel et culturel" des territoires, doté de 30 à 40 millions d'euros par an.La France a accru en 2020 ses capacités de production éoliennes de 8%, avec 1,3 gigawatt (GW) et 477 éoliennes supplémentaires, portant la totalité du parc à 18 GW, selon France énergie éolienne (FEE). L'éolien a ainsi assuré 7,9% de la production électrique nationale (6,3% en 2019), ce qui en fait la 3e source derrière le nucléaire (environ 70%) et l'hydroélectricité.Néanmoins, cette croissance "marque le pas", note le secteur, loin du "rythme de croisière" espéré de 2 GW additionnels par an. En cause, pointe-t-il, les retards des procédures d'autorisation, qu'il s'agisse de recours quasi systématiques ou de blocages administratifs.La programmation de l'énergie (PPE) de la France vise entre 33,2 et 34,7 GW d'éolien terrestre en 2028.
Il y a 3 ans et 271 jours

Éolien en France : des mesures pour soutenir une croissance "maîtrisée"

"Les énergies renouvelables, dont l'éolien, sont vitales pour garantir la sécurité énergétique de la France et lutter contre le dérèglement climatique. Mais mon devoir est de trouver les moyens d'un développement maîtrisé et responsable", a dit lors d'une conférence de presse la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili.Etat et industriels, qui expliquent vouloir "dépassionner le débat", veulent renforcer encore la "co-construction des projets": consultation préalable obligatoire du maire, soutien à l'essor de parcs citoyens, création de "comités régionaux de l'énergie" co-présidés par l'Etat et la région pour fixer des objectifs locaux...Les préfets, chargés de cartographier les zones propices, devraient remettre d'ici novembre leurs travaux, qui seront publics. Un "médiateur de l'éolien" sera installé au ministère pour travailler sur les projets "potentiellement problématiques".Loin du rythme de croisièreContre les nuisances, il y aura un "bridage sonore en cas de dépassement des seuils autorisés", avec "contrôles systématiques du bruit" à partir du 1er janvier.Contre l'impact lumineux, l'orientation des lumières vers le ciel sera généralisée à compter de fin 2021. A partir de mi-2022, les signaux seront, comme en Allemagne ou aux Etats-Unis, allumés uniquement lors du passage d'avions, le temps que parcs et aéronefs s'équipent de transpondeurs leur permettant de communiquer.La filière financera, sur ses ventes d'électricité, un "fonds de sauvegarde du patrimoine naturel et culturel" des territoires, doté de 30 à 40 millions d'euros par an.La France a accru en 2020 ses capacités de production éoliennes de 8%, avec 1,3 gigawatt (GW) et 477 éoliennes supplémentaires, portant la totalité du parc à 18 GW, selon un bilan de France énergie éolienne (FEE) publié mardi. L'éolien a assuré 7,9% de la production électrique nationale (6,3% en 2019), 3e source derrière le nucléaire (environ 70%) et l'hydroélectricité.Mais cette croissance "marque le pas", note le secteur, loin du "rythme de croisière" espéré de 2 GW additionnels par an. En cause, pointe-t-il, les retards des procédures d'autorisations, qu'il s'agisse de recours quasi systématiques ou de blocages administratifs.La programmation de l'énergie de la France vise entre 33,2 et 34,7 GW d'éolien terrestre en 2028. La France compte faire passer à cette date la part de l'éolien dans la production électrique à 20%, l'éolien en mer représentant un quart de cet objectif.Le premier parc offshore, celui de Saint-Nazaire, devrait être mis en service en 2022, après 10 ans de retard."En France, les 2/3 de la consommation finale d'énergie reposent encore sur le pétrole et le gaz", a rappelé Mme Pompili mardi: pour décarboner, il faudra électrifier les usages (transports, chauffage...) et donc "augmenter dès maintenant notre production d'électricité renouvelable".Relevant, à l'occasion du bilan de FEE, la "virulence du débat" en cours sur l'éolien, entre "désinformation" et "préoccupations sincères de riverains", elle s'en est pris aux "contre-vérités" circulant sur cette énergie, qu'elles concernent ses matériaux (recyclables à 90%, a-t-elle pointé) ou son intermittence (maîtrisable).Elle a aussi souligné que le nucléaire ne pourrait seul, quelles que soient les décisions prises à son sujet, répondre au boom de la demande électrique attendu sur ces 10-15 ans. "Opposer renouvelables et nucléaire n'a aucun sens: pour les décennies qui viennent nous aurons besoin de toutes les sources de production d'électricité décarbonée et donc à la fois de nucléaire et de toutes les énergies renouvelables," a-t-elle dit.Alors que la campagne présidentielle s'élance, les acteurs de la filière ont mis en avant leurs propositions, jugées "responsables", et appelé à un débat "rationnel"."Nous devons réintroduire de la cohérence, de la vérité et des faits pour éviter que l'immobilisme nostalgique paralyse notre transition énergétique", a dit le président de FEE, Nicolas Wolff, rappelant aussi le vivier d'emplois de l'éolien: plus de 22.600 emplois directs, "six nouveaux par jour" en 2020.
Il y a 3 ans et 271 jours

Journées nationales de l’architecture 2021

La 6e édition des Journées nationales de l’architecture, initiées par le ministère de la Culture en 2016, aura lieu les 15, 16 et 17 octobre 2021. Cette édition interroge la thématique cruciale du « vivre ensemble ». Durant trois jours, l’architecture se découvre dans toutes ses dimensions à travers des balades urbaines, des débats, des projections de films, des expositions, des visites de chantier, des portes ouvertes, des ateliers jeune public… À nouveau cette année, les éditions À Vivre proposent au public des visites d’habitations contemporaines d’exception. Autre temps fort, la Cité de l’Architecture et du Patrimoine inaugure le 14 octobre 2021, la veille du lancement des Journées nationales de l’architecture, l’exposition des lauréats des Albums des Jeunes Architectes et Paysagistes. En parallèle, le groupe pluridisciplinaire AREP, partenaire de l’événement et spécialiste des espaces de la mobilité, offre l’occasion de visiter des projets emblématiques de la maîtrise de l’impact écologique : la gare-jardin de Nîmes, éco durable et privilégiant le réemploi, la gare intermodale de Juvisy, en région parisienne ou encore le pôle d’échange multimodal d’Auray et celui de Lyon-Perrache dont les accès, les parcours et l’accueil ont été réaménagés.   © illustration : Lucas Harari ; conception graphique : Hadrien Herzog
Il y a 3 ans et 271 jours

Une mission pour promouvoir le patrimoine maritime

Nommé par Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Culture, et Annick Girardin, ministre de la Mer, Henry Masson, jusque-là conservateur régional des monuments historiques en Bretagne, débute une mission pour promouvoir le patrimoine maritime français. Elle consistera, en lien avec les institutions et les services chargés de l’inventaire, de l’entretien, de la conservation ou de la mise en valeur de ce patrimoine à rendre lisible à l’échelle nationale l’empreinte du patrimoine maritime sur le territoire national, dans l’Hexagone et en outre-mer ; à proposer, à partir d’exemples précis, une catégorisation visant à mettre en réseau des sites, des opérateurs et des actions existantes liés au domaine maritime. Elle devra valoriser les propositions ou projets pour renforcer les conditions de leur conservation et de leur développement et analyser la manière dont les autres pays d’Europe répondent à cette question et les outils qu’ils se sont forgés pour le faire. Une attention particulière sera accordée au patrimoine exceptionnel que constituent les phares : Henry Masson proposera à ce sujet des axes de gestion à court, moyen et long terme, en lien avec la direction des affaires maritimes. Il indiquera aussi les moyens à mettre en œuvre pour susciter l’intérêt des citoyens à propos du projet « France vue sur mer ». Il est affecté jusqu’au 1er mai 2022 à l’Inspection générale des affaires maritimes.
Il y a 3 ans et 271 jours

RénoStandard, des solutions de rénovation globale optimisées pour les maisons individuelles

Pour faciliter la rénovation globale de maisons individuelles en secteur diffus, le CSTB pilote le projet grâce à des solutions standardisées. « Les maisons individuelles standardisées peuvent être réhabilitées grâce à une offre de solutions globale » : c'est la conviction des porteurs de RénoStandard, l'un des neuf projets développés dans le cadre du programme PROFEEL, qui vise à développer et accompagner l'innovation au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 271 jours

Stellantis Sochaux contruit l'une des plus grandes centrales solaires en ombrières de France

Le projet prévoit l'installation de près de 64.000 modules photovoltaïques sur le parking des expéditions de l'usine sochalienne, qui peut accueillir jusqu'à 10.000 véhicules, sur une surface de 22 hectares particulièrement bien ensoleillée, ont précisé les mêmes sources.La centrale développera une puissance de 29 mégawatts-crête (MWc), soit l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 13.300 habitants, ou de 30% de l'usine Stellantis de Sochaux, ajoute-t-on.Les panneaux photovoltaïques sont installés par l'énergéticien Engie Green, qui prendra en charge l'investissement de 36 millions d'euros et assurera l'exploitation pendant 30 ans. L'électricité produite sera ensuite livrée sur le réseau d'Enedis en 20.000 volts.Le chantier a débuté en septembre 2020 et la mise en service totale de la centrale est prévue en octobre 2022. Il s'agit de l'un des plus importants projets de centrale photovoltaïque en ombrières en cours en France, qui permettra d'éviter l'émission de 1.000 tonnes de CO2.C'est un projet "emblématique" par l'importance de la surface disponible pour l'installation des ombrières qui abriteront les véhicules, a estimé lors d'une conférence de presse sur le site Christine Lafaix, directrice chez Engie Green, leader français sur l'activité éolienne et photovoltaïque.L'initiative s'inscrit dans le projet de modernisation "Sochaux 2022" de l'usine historique et centenaire de PSA, devenue Stellantis après la fusion du groupe français avec Fiat Chrysler Automobiles.Pour Stellantis, cette installation permet de "valoriser notre foncier", note Didier Edelblutte, pilote du projet au sein du groupe.Le constructeur veut parvenir à "un site neutre en carbone" et "nous sommes complètement engagés dans cette démarche" de développement durable, souligne Frédéric Maliczak, directeur des services techniques de l'usine Stellantis de Sochaux.Selon Luc Vignal, responsable bâti et ombrières chez Engie Green, cette installation va par ailleurs permettre de générer 130.000 euros de revenus par an pour les collectivités locales grâce à la fiscalité engendrée par l'exploitation du projet.
Il y a 3 ans et 271 jours

Spie batignolles devient constructeur imprimeur de solutions 3D

« La technique de l'impression 3D s'inscrit pleinement dans notre stratégie d'innovation visant à accélérer la transformation de nos métiers. L'intégration définitive de cette brique d'innovation dans notre activité est issue de la réussite de deux POC (proof of concept). Les enjeux auxquels l'impression 3D peut répondre sont nombreux et présagent d'un marché en très forte croissance au cours des années à venir. C'est dans cette perspective que Spie batignolles a décidé de s'équiper d'une première imprimante 3D destinée à produire des éléments pour nos besoins en propre et pour le compte d'autres clients » - explique Jean-Charles Robin, président de Spie batignolles.« L'acquisition d'un système industriel XtreeE par notre partenaire Spie batignolles permettra de développer rapidement l'emploi d'éléments imprimés en 3D sur des projets de construction, afin de gagner en productivité et de réduire de plus de 50% l'empreinte carbone de certains éléments massifs en béton (voussoirs, piles ou murs). Une telle réduction de l'empreinte carbone peut être atteinte en optimisant la forme des éléments, désormais fabricables à coûts maîtrisés grâce à l'impression 3D, et en utilisant des matières imprimables bas carbone » indique Jean-Daniel Kuhn, directeur général et cofondateur d'XtreeE.De la R&D à la productionFort de premiers tests concluants avec l'impression de coffrage de nœuds de poutres et de boîtes de réservation mis en œuvre sur ses chantiers, Spie batignolles a souhaité se doter d'un système d'impression 3D en propre afin d'étendre le champ des possibles sur un marché à fort potentiel.La stratégie du groupe repose ainsi sur deux axes principaux :1er axe : le développement d'une nouvelle activité d'imprimeur au travers d'un catalogue de composants imprimables standards ou sur-mesure pour le compte de tiers.2ème axe : les gains de productivité sur les chantiers du groupe avec l'impression d'éléments facilement réplicables (boîtes de réservation par exemple).Une partie du temps robot sera également dédié à la Recherche et au Développement de nouveaux produits en lien avec XtreeE et l'écosystème de la construction.« L'impression 3D répond aussi à un enjeu environnemental car la technique permet d'économiser de la matière. C'est une véritable réponse aux enjeux de pénurie de matériaux et de délais d'approvisionnement. La technique offre de belles perspectives de développement avec l'emploi de matières recyclées par exemple. Nous n'en sommes qu'aux prémisses, notamment en matière de règlementation technique pour l'obtention d'ATEX », précise Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignolles.Un potentiel d'impression considérableLa cellule d'impression 3D béton acquise au mois de juillet dernier par Spie batignolles auprès de son partenaire XtreeE comprend un bras robotisé sur lequel vient se connecter le système d'impression issu de la technologie brevetée par la start-up. Ce système d'impression multi-matériaux peut imprimer du béton, mais pas seulement : mortiers, matériaux à base de terre, plâtre et géopolymères font également partie des possibilités.Le robot sera installé sur un piédestal de 2m de hauteur pour permettre une impression 3D à 360° sur un rayon de 5 m et offrir un large volume imprimable allant jusqu'à 5 m de hauteur.L'imprimante 3D sera livrée et installée en novembre sur la plateforme matériel de Spie batignolles située à Ollainville (91) et la production démarrera en janvier 2022 après une phase de formation et de montée en compétence des équipes.Les 2 ingénieurs dédiés à cette nouvelle activité de production s'appuieront sur le savoir-faire d'XtreeE et poursuivront ainsi le partenariat démarré en 2020 entre la start-up et Spie batignolles.Par cette acquisition et le lancement de sa nouvelle activité, Spie batignolles s'engage pleinement dans le BTP 4.0 et poursuit l'industrialisation de ses métiers au service de leur performance.
Il y a 3 ans et 271 jours

Spie batignolles : Constructeur imprimeur de solutions 3D

« La technique de l'impression 3D s'inscrit pleinement dans notre stratégie d'innovation visant à accélérer la transformation de nos métiers. L'intégration définitive de cette brique d'innovation dans notre activité est issue de la réussite de deux POC (proof of concept). Les enjeux auxquels l'impression 3D peut répondre sont nombreux et présagent d'un marché en très forte croissance au cours des années à venir. C'est dans cette perspective que Spie batignolles a décidé de s'équiper d'une première imprimante 3D destinée à produire des éléments pour nos besoins en propre et pour le compte d'autres clients » - explique Jean-Charles Robin, président de Spie batignolles.« L'acquisition d'un système industriel XtreeE par notre partenaire Spie batignolles permettra de développer rapidement l'emploi d'éléments imprimés en 3D sur des projets de construction, afin de gagner en productivité et de réduire de plus de 50% l'empreinte carbone de certains éléments massifs en béton (voussoirs, piles ou murs). Une telle réduction de l'empreinte carbone peut être atteinte en optimisant la forme des éléments, désormais fabricables à coûts maîtrisés grâce à l'impression 3D, et en utilisant des matières imprimables bas carbone » indique Jean-Daniel Kuhn, directeur général et cofondateur d'XtreeE.De la R&D à la productionFort de premiers tests concluants avec l'impression de coffrage de nœuds de poutres et de boîtes de réservation mis en œuvre sur ses chantiers, Spie batignolles a souhaité se doter d'un système d'impression 3D en propre afin d'étendre le champ des possibles sur un marché à fort potentiel.La stratégie du groupe repose ainsi sur deux axes principaux :1er axe : le développement d'une nouvelle activité d'imprimeur au travers d'un catalogue de composants imprimables standards ou sur-mesure pour le compte de tiers.2ème axe : les gains de productivité sur les chantiers du groupe avec l'impression d'éléments facilement réplicables (boîtes de réservation par exemple).Une partie du temps robot sera également dédié à la Recherche et au Développement de nouveaux produits en lien avec XtreeE et l'écosystème de la construction.« L'impression 3D répond aussi à un enjeu environnemental car la technique permet d'économiser de la matière. C'est une véritable réponse aux enjeux de pénurie de matériaux et de délais d'approvisionnement. La technique offre de belles perspectives de développement avec l'emploi de matières recyclées par exemple. Nous n'en sommes qu'aux prémisses, notamment en matière de règlementation technique pour l'obtention d'ATEX », précise Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignolles.Un potentiel d'impression considérableLa cellule d'impression 3D béton acquise au mois de juillet dernier par Spie batignolles auprès de son partenaire XtreeE comprend un bras robotisé sur lequel vient se connecter le système d'impression issu de la technologie brevetée par la start-up. Ce système d'impression multi-matériaux peut imprimer du béton, mais pas seulement : mortiers, matériaux à base de terre, plâtre et géopolymères font également partie des possibilités.Le robot sera installé sur un piédestal de 2m de hauteur pour permettre une impression 3D à 360° sur un rayon de 5 m et offrir un large volume imprimable allant jusqu'à 5 m de hauteur.L'imprimante 3D sera livrée et installée en novembre sur la plateforme matériel de Spie batignolles située à Ollainville (91) et la production démarrera en janvier 2022 après une phase de formation et de montée en compétence des équipes.Les 2 ingénieurs dédiés à cette nouvelle activité de production s'appuieront sur le savoir-faire d'XtreeE et poursuivront ainsi le partenariat démarré en 2020 entre la start-up et Spie batignolles.Par cette acquisition et le lancement de sa nouvelle activité, Spie batignolles s'engage pleinement dans le BTP 4.0 et poursuit l'industrialisation de ses métiers au service de leur performance.
Il y a 3 ans et 271 jours

Bilan positif pour les Construction Days

Avec 2 405 visiteurs et 80 exposants, la première édition des Construction Days s’avère être une réussite. [©ACPresse] Avec 2 405 visiteurs et 80 exposants, la première édition des Construction Days s’avère être une réussite « porteuse d’affaires, plébiscitée pour son format inédit et sa convivialité ». Pendant 3 j, en septembre dernier, l’évènement a confirmé la reprise du secteur et ses perspectives de croissance boostées par l’innovation. Dans un climat très accueillant, cette nouvelle expérience 100 % outdoor. Qui a été déployée sur 9 ha d’expositions et de démonstrations, s’est révélée propice aux échanges. Il était possible de découvrir près de 400 équipements et solutions exposés et une centaine d’engins en mouvement. L’occasion pour les visiteurs d’apprécier combien le marché a évolué pour inscrire les matériels. Qui étaient notamment hybrides et électriques, dans une nouvelle ère plus verte et plus connectée. Et pour répondre à l’impératif de construire d’une manière plus vertueuse. 
Il y a 3 ans et 271 jours

La 3e édition du Trophée Béton Pro est en marche

Le Trophée Béton Pro a pour objectif de récompenser des réalisations exemplaires en béton, construites en France au cours des cinq dernières années. [©Trophée Béton Pro] Jeudi 21 octobre 2021 aura lieu la conférence de lancement de la 3e édition du Trophée Béton Pro. Qui s’intitule “L’architecture béton en héritage”. Ceci, en présence des architectes : Isabelle Buzzo, Philippe Prost, Jean-Philippe Spinelli, Charles-Henri Tachon et Ingrid Taillandier. Organisée par les associations Bétocib et Cimbéton, sous le patronage du ministère de la Culture, cette distinction biennale a pour objectif de récompenser des réalisations exemplaires en béton, construites en France au cours des cinq dernières années. Du logement individuel au logement collectif, de l’équipement privé à l’équipement public, culturel ou sportif, de l’ouvrage d’art à l’aménagement urbain… en neuf comme en rénovation. Il s’agit aussi de sensibiliser le grand public à l’architecture en béton. Le jury sera composé de représentants du ministère de la Culture, d’architectes, d’ingénieurs, d’élus, d’entreprises, d’industriels et de représentants d’institutions. La sélection des lauréats se fera sur la qualité architecturale et constructive des ouvrages. Et ce, en s’appuyant sur des critères. Tels que la pertinence de l’utilisation du béton et de la mise en œuvre du matériau, l’usage esthétique… 
Il y a 3 ans et 271 jours

ArmaProtect® : le nouveau système de protection passive contre l'incendie d'Armacell

Que ce soit pour les planchers et parois rigides, les parois souples, les tuyaux en plastique ou métalliques avec ou sans isolants, ou encore les tuyaux composites, ArmaProtect apporte aux prescripteurs et aux installateurs des solutions pour presque toutes les configurations de tuyauteries du bâtiment.Composée de bandes intumescentes, de colliers, de panneaux en fibre minérale enduits, de mastics et de mortiers, la nouvelle gamme ArmaProtect est le complément idéal d'ArmaFlex® Protect : solution de sécurité passive contre l'incendie d'Armacell qui allie dans un même produit une grande résistance au feu, le contrôle de la condensation et l'isolation thermique.Hakan Nayır, chef de produit chez Armacell EMEA, explique : « Les tuyaux, les conduites et les câbles électriques traversent les compartimentages coupe-feu et forment un chemin le long duquel les flammes et la fumée peuvent se propager. Avec ArmaProtect, notre nouvelle gamme de protection passive contre l'incendie, les tuyaux et les câbles traversant des parois et planchers coupe-feu peuvent être isolés de manière fiable et rapide. Selon le type de traversée technique, les clients peuvent se servir de notre toute dernière innovation comme solution autonome ou au sein d'un système. »En évitant la propagation du feu, ArmaProtect et ArmaFlex Protect améliorent la sécurité dans les constructions, allongent le temps dont disposent les usagers du bâtiment pour en sortir en cas d'incendie et donnent un délai supplémentaire aux équipes d'urgence pour faire leur travail. En outre, ils garantissent que les traversées des parois et des planchers passent avec succès les inspections conformément aux codes de construction locaux.Tous les produits ont été testés et classés conformément aux exigences strictes des essais correspondant aux normes de classification et aux documents d'évaluation européen (DEE) afin d'obtenir leurs évaluations techniques européennes (ETA), lesquelles fournissent les informations détaillées sur leurs performances. Les ETA fournissent l'ensemble des données d'installation des produits selon la configuration du projet.Ceci permet aux prescripteurs et aux installateurs de proposer et de mettre en œuvre des produits homologués de construction non couverts par une norme européenne harmonisée, et ce partout en Europe.Armacell fournit des informations complètes sur les performances et l'installation de ses produits de protection passive contre l'incendie pour garantir une spécification et une application conformes à l'ETA.Pour plus d’informations sur les produits, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 271 jours

Au cœur de la nature - Livre

Après le premier Habiter la nature, ce second volet permet de découvrir une sélection de 50 maisons contemporaines conçues avec pour objectif de créer une relation particulière entre la construction - et donc ses occupants - et la nature qui l'entoure. Le souhait de tisser une relation particulière entre les 50 habitations […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 272 jours

Un pilotage numérique pour un suivi optimisé

Pour superviser les consommations et adapter leurs stratégies d'exploitation, les bailleurs s'équipent d'outils digitaux leur permettant d'aller jusqu'à la gestion de leur patrimoine numérisé.
Il y a 3 ans et 272 jours

Quand la façade s'emballe

Renforcement du complexe d'isolation, remplacement des menuiseries extérieures et mise en place d'une ventilation mécanique font partie des travaux à engager sur nombre de logements sociaux vieillissants.
Il y a 3 ans et 272 jours

Des consommations maîtrisées et vertueuses

Les bailleurs sociaux sont non seulement engagés dans des plans de réduction significative des consommations sur dix ou 30 ans, mais aussi dans le défi de produire de l'énergie décarbonée.
Il y a 3 ans et 272 jours

De la difficulté de repousser les murs

Pour augmenter l'attractivité de leur parc, certains bailleurs sociaux misent sur la création d'espaces rapportés en façade. Des solutions qui doivent être adaptées aux capacités de la structure d'origine.
Il y a 3 ans et 272 jours

Ouverture d'une collecte de dons pour la restauration du mobilier Pierre Paulin du Palais d'Iéna

Chef d'œuvre architectural construit par l'architecte Auguste Perret en 1937 à l'occasion de l'exposition universelle, le Palais d'Iéna abrite le CESE depuis plus de soixante ans.Afin de le réhabiliter et de préserver son patrimoine architectural et mobilier, le CESE s'est doté le 10 décembre dernier d'un outil innovant avec la création du Fonds de dotation Co-construire. Ce fonds a pour objet la réalisation et le financement d'actions d'intérêt général à caractère culturel et scientifique visant la restauration, la préservation et la modernisation du Palais d'Iéna et de son mobilier. Aujourd'hui, le travail doit se poursuivre avec la rénovation des espaces intérieurs et notamment de la salle hypostyle qui a subi les outrages du temps.Pour meubler cette salle, le Palais d'Iéna a bénéficié dans les années 80 d'une importante commande publique du Ministère de la Culture à Pierre Paulin dont le travail s'harmonise avec la vision de l'architecte Auguste Perret. Ces œuvres, qui font partie des collections du Mobilier national, sont aujourd'hui considérées comme des pièces majeures du design du XXe siècle. Elles ont été conçues en concertation avec le Mobilier national et son Atelier de Recherche et de Création (ARC). Soutien des métiers d'art et de la création depuis le XVIIème siècle, le Mobilier national a pour mission première l'ameublement des palais de la République, qui constituent une vitrine de prestige pour valoriser la richesse de ses collections et l'excellence des savoir-faire des métiers d'art français.Ce mobilier a aujourd'hui besoin d'une restauration d'ampleur qui sera conduite sous le contrôle du Mobilier national : les éléments clés d'une série de 8 salons s'intégrant dans la salle hypostyle, soit 64 fauteuils, 32 lampadaires et 8 tapis retrouveront leur état d'origine.C'est pourquoi le CESE, d'abord avec le soutien de la Fondation du patrimoine et ensuite en partenariat avec le Mobilier national, annonce l'ouverture d'une collecte de dons en ligne en vue de la restauration du mobilier Paulin, auquel chaque citoyen qui le souhaite pourra participer au financement de la restauration grâce à des dons déductibles fiscalement : https://www.fondation-patrimoine.org/77811Jean Grosset, Président du Fonds Co-Construire, déclare « Devenir mécène du fonds Co-Construire dans le cadre juridique légal du mécénat, c'est participer à la restauration du mobilier signé par le designer Pierre Paulin pour le Palais d'Iéna. C'est aussi soutenir l'action d'une assemblée représentative de l'ensemble des Français favorisant dialogues et compromis. »Hervé Lemoine, Directeur du Mobilier national, déclare : « Je me réjouis que cet ensemble de mobilier ayant subi les outrages du temps puisse, aujourd'hui, bénéficier d'une vaste opération de restauration et de rénovation, en lien constant avec l'expertise des ateliers et manufactures du Mobilier national. »
Il y a 3 ans et 272 jours

Remise des prix nationaux 2020 du concours des Rubans du Patrimoine et lancement de l'édition 2022

Les communes de Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire), Mortagne-sur-Sèvre (Vendée), La Ferrière-sur-Risle (Eure), Joinville (Haute-Marne), Vieille-Chapelle (Pas-de-Calais) et la communauté d'agglomération du Val de Fensch (Moselle), ont reçu leur prix par les représentants des cinq partenaires organisateurs : l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité, la Fondation du patrimoine, la Fédération nationale des Caisses d'Épargne, le Groupement français des entreprises de restauration de Monuments Historiques et la Fédération Française du Bâtiment.L'édition 2022 a été également lancée lors de cet événement. Ce concours a pour but de récompenser des communes et intercommunalités ayant réalisé des opérations de restauration ou de mise en valeur de leur patrimoine bâti. Les opérations récompensées depuis 25 ans par « les rubans du Patrimoine » illustrent la créativité et la ténacité des différents acteurs impliqués. Elles mettent en valeur le dynamisme des communes et de leurs groupements et les savoir-faire des artisans et entrepreneurs du bâtiment ainsi que de leurs compagnons.
Il y a 3 ans et 272 jours

Congrès HLM : L'Etat veut s'appuyer sur les communes pour relancer la construction

Le Premier ministre Jean Castex a appelé les acteurs du logement, et notamment les collectivités, à produire davantage et a présenté des mesures pour stimuler la construction.
Il y a 3 ans et 272 jours

La Cour des comptes favorable à une reprise en main financière d'Action Logement par l’État

Le groupe, géant du logement social, fait depuis plusieurs années l'objet de vives discussions entre l'Etat et les partenaires sociaux qui en ont le contrôle, à propos de son efficacité et de l'organisation de sa gouvernance, sur fond de prélèvements récurrents de l'Etat dans les caisses de l'organisme pour boucler ses budgets.Après des mois de négociations, un accord a été trouvé en juillet pour apporter plusieurs évolutions à l'organisation d'Action Logement, avec par exemple la création d'un comité d'orientation politique.Le rapport de la Cour des comptes, finalisé en juin, avant cet accord, dresse un bilan contrasté du fonctionnement d'Action Logement depuis 2016, date de la création du groupe, héritier du 1% Logement fondé en 1953.La Cour juge notamment que la gouvernance est "à stabiliser" du fait d'un "manque de clarté" dans l'organisation entre le groupe et ses différentes entités.Elle estime aussi que la gestion financière et opérationnelle pourrait être "plus efficiente", avec une "difficulté à maîtriser la masse salariale et l'organisation dispersée de la commande publique".Un rapport confidentiel de l'Inspection générale des finances (IGF) rendu à Matignon en janvier 2020, et dévoilé par Le Monde, évoquait aussi de "graves dysfonctionnements" dans la gestion d'Action Logement, et plusieurs pistes pour réformer l'organisme, de l'affectation de ses ressources directement à l'Etat jusqu'à sa suppression pure et simple.Parmi quatre options de réformes, la Cour des comptes recommande celle qui consisterait à "recentrer" Action Logement "sur ses missions de services aux salariés".Elle "pourrait s'accompagner d'un transfert à l'Etat des fonctions de collecte" de la Participation des entreprises à l'effort de construction (Peec), que versent les entreprises à l'organisme, "et du dépôt de tout ou partie de la trésorerie sur un compte du Trésor".Un temps envisagé par le ministère de l'Economie, un tel projet avait suscité une levée de boucliers de l'ensemble des partenaires sociaux, qui avaient écrit leur opposition au gouvernement dans une lettre commune.La Cour précise toutefois qu'elle n'exclut aucun scénario et "qu'un choix définitif en ce sens peut dépendre des résultats observés en 2021".Elle indique qu'elle présentera un nouveau rapport au Parlement en 2023 sur le sujet.
Il y a 3 ans et 272 jours

Robotisation : "L'objectif n'est pas de supprimer des postes mais de les transformer"

TECHNOLOGIE. Plusieurs experts de la construction et de la robotisation se sont réunis pour discuter du futur du secteur. Si technologiquement, la filière est prête, les sociétés doivent encore déployer des moyens financiers et former les compagnons.