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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Immobilier - Logement

(62170 résultats)
Il y a 3 ans et 272 jours

Produit de démoussage pour toiture : lequel choisir?

Le démoussage du toit fait partie des travaux d’entretien de la maison que nous devons réaliser chaque année. Il consiste à éliminer les champignons parasitaires et les résidus qui se sont accumulés sur sa surface avec le temps. Pour ce faire, on peut recourir à différentes techniques. À côté du nettoyage à haute pression de la toiture, on peut également envisager l’utilisation de produit de démoussage spécifique. Mais lequel choisir ? Nous répondons à cette question dans l’article. Pourquoi recourir au produit de démoussage pour toiture ? Les mousses et les lichens présents sur la toiture de notre maison n’affectent pas seulement son esthétique. Ces éléments sont à l’origine des rétentions d’eau sur sa surface et, de ce fait, des infiltrations. Pour éviter la dégradation prématurée de cette structure, il est donc essentiel de les éliminer. Pour cela, nombreux sont ceux qui choisissent d’utiliser un produit de démoussage que l’on connait généralement sous l’appellation « produit anti-mousse ». Son usage reste facultatif. Malgré cela, il importe de souligner les avantages qu’il offre. En effet, le nettoyage est facilité par le produit anti-mousse, car il rend plus aisé le décrochage des saletés sur les tuiles. De plus, il freine la prolifération et l’apparition des végétaux parasites. La propreté de la toiture sera donc préservée plus longtemps. Quel type de produit de démoussage pour toiture choisir ? Au moment de choisir votre produit anti-mousse, n’hésitez pas à requérir les conseils d’une entreprise de demoussage de toiture. En effet, votre choix sera conditionné par quelques paramètres. En l’occurrence, il s’agit de la composition du produit, de son mode d’emploi et des particularités du revêtement de votre toit. En effet, tous les anti-mousses disponibles sur le marché ne sont pas forcément adaptés au type de matériaux de couverture que vous avez. En outre, il est à noter que ces produits s’utilisent différemment. Dans tous les cas, l’opération est à la portée de tous. Elle requiert néanmoins l’usage de quelques outils, à savoir un nettoyeur à haute pression et un racloir. Dans tous les cas, privilégiez le produit de démoussage qui vous parait le plus facile à utiliser. Toutefois, rappelez-vous que certains produits peuvent nuire à votre santé et à votre toiture. Avant d’appréhender la moindre chose, munissez-vous des protections adéquates et suivez à la lettre les prescriptions de la notice du produit. Quels sont les paramètres à considérer dans le choix son produit de démoussage pour toiture ? Outre les particularités de votre toit, certains paramètres vous permettront de fixer votre choix. En l’occurrence, il s’agit de : Du coût de l’anti-mousse Le facteur prix est un facteur déterminant. Néanmoins, il ne témoigne pas de l’efficacité du produit. C’est pourquoi nous vous conseillons d’acheter un anti-mousse dans les limites de votre budget. De la composition du produit Certains anti-mousses sont composés d’agents chimiques très agressifs. Ces derniers peuvent même entrainer la décoloration et la dégradation de vos tuiles. Ainsi, vous devez vous assurer que le produit que vous vous apprêtez à utiliser n’altèrera pas votre toiture. Du mode d’utilisation du produit Il faut lire attentivement la notice du produit pour savoir comment l’appliquer sur votre toit. Dans tous les cas, sachez qu’il est plus judicieux de laisser sa manipulation aux soins d’un professionnel. Des avis des utilisateurs Avant l’achat d’un produit de démoussage spécifique, faites un tour sur la toile pour voir sa notation. En consultant l’avis des autres internautes, vous aurez une idée sur le prix de l’anti-mousse en question, sa méthode d’application sur le toit et son efficacité.
Il y a 3 ans et 272 jours

Vachette veut accélérer sur le secteur tertiaire

TROIS QUESTIONS A... Si le spécialiste des systèmes de sécurité, Vachette (groupe Assa Abloy), est davantage présent sur le segment du résidentiel, il affiche aujourd'hui de fortes ambitions dans le tertiaire où il souhaite doubler son chiffre d'affaires d'ici à 3 ans.
Il y a 3 ans et 272 jours

Logement : peut-on joindre le durable à l'agréable ?

Le gain, pour la planète, mais aussi pour le confort au quotidien, est globalement perçu et compris. Pourtant, certains critères qui contribuent également très concrètement à rendre le logement plus durable restent encore secondaires pour les Français.Focus sur les grands enseignements de cette étude d'envergure, qui met en évidence à la fois les bénéfices du logement « vert », tels que perçus par les 4 500 Français interrogés, en termes d'environnement et de qualité de vie, mais aussi les domaines d'actions qui restent, en la matière, à expliquer et renforcer.Le Baromètre annuel Qualitel-Ipsos évalue depuis 2017 la qualité des logements telle qu'elle est perçue par les Français. L'édition 2021 est réalisée en partenariat avec l'Anah.Une large et vertueuse prise de conscience, mais…Le logement, levier essentiel de la transition écologique. Conscients que la transition environnementale passe par les comportements individuels, les Français considèrent le logement comme un champ d'action déterminant : dans le top-6 des « éco-gestes » à adopter, deux concernent l'habitat : réduire la consommation d'énergie (67%) et limiter la consommation d'eau (42%) chez soi.Ainsi, loin de l'effet de mode, le logement durable est perçu comme essentiel par une large majorité de Français. 75 % d'entre eux ont à coeur d'habiter une maison ou un appartement respectueux de l'environnement. Pourtant, lorsqu'on leur précise la définition de l'habitat durable, c'est-à-dire « un lieu respectueux de l'environnement, préservant la qualité de vie et le bien-être de ses occupants, où les coûts de construction et d'usage sont maîtrisés », seuls 30 % estiment qu'ils vivent actuellement dans un tel logement.Un logement durable... absolument : pour habiter plus durable, une large majorité de Français (59%) – et deux tiers des 35-60 ans – seraient prêts à réaliser des travaux de rénovation. Dans une moindre mesure, une part importante de la population serait prête à changer de logement (51%).Les jeunes générations sont les plus disposées à changer leur façon d'habiter : la moitié des 18-34 ans serait même prête à payer un peu plus cher pour un logement plus durable (contre 31% des plus de 60 ans).Une sensibilité à « l'habiter durable » croissante, mais ne constituant pas encore un critère d'achat ou de location décisif, toutes générations confondues. Le respect de l'environnement n'a été un critère de choix que pour 4% des sondés, loin derrière le classique triptyque localisation (64%), prix (54%), surface (42%).Le logement durable vu par les français : des éclairages encore nécessairesAux yeux des Français, le logement durable est d'abord et avant tout assimilé aux économies d'énergie, signe que les politiques publiques en la matière ont porté leurs fruits.Toutefois, d'autres éléments tels la préservation de la biodiversité ou l'accès aux transports, sont jugés plus secondaires. Seuls 17% des Français jugent que la proximité des infrastructures (transports en commun, commerces, écoles, travail) est un critère indispensable au logement durable, alors même que les transports, a fortiori individuels, sont le premier poste d'émissions des gaz à effet de serre (source : Ministère de la Transition Écologique et Solidaire). Signe que la notion de logement durable est encore loin de prendre en compte les éléments extrinsèques au logement.On observe un certain décalage entre l'impact environnemental réel d'un équipement et son importance aux yeux des Français. Par exemple, Le bac de tri sélectif arrive en tête des équipements jugés indispensables au logement durable (pour 41% des Français) loin devant la pompe à chaleur (14%) ou la présence d'un panneau solaire/éolienne (17%), contribuant pourtant tout autant à la préservation de l'environnement.Ces quelques décalages de perceptions plaident pour plus de pédagogie autour de l'ensemble des actions qui rendent un logement réellement durable.Les atouts des logements durables : au-delà du respect de l'environnement, un gain de confort de vie largement constatéAvec un échantillon représentatif de 4 500 Français, le Baromètre propose un comparatif inédit des bénéfices entre les logements perçus comme durables par leurs habitant et les logements non-durables. Le logement durable ne suppose aucun « sacrifice » sur le plan du confort de vie, bien au contraire : il obtient une note de qualité globale* de 7,9/10 contre 5,6/10 pour le non-durable (*indice Qualiscore, sur la base de 17 critères).Il est perçu comme avantageux sur le plan économique, (82% des occupants de logements durables sont satisfaits du coût du logement hors loyer/emprunt vs. 54% dans le non durale) d'autant plus que les Français pronostiquent majoritairement (62%) la mise en place de malus écologiques sur les logements non-durables.Il procure un bénéfice immatériel à ses habitants - un sentiment de fierté : 96% des occupants de logements durables s'estiment fiers de leur logement, contre 69% des occupants de logements non durables.Les logements répondant à un cahier des charges environnemental exigeant sont jugés plus confortables par leurs habitants, quels que soient les critères (niveau d'humidité, isolation acoustique, etc.). 45% des occupants de logements de moins de 10 ans certifiés par QUALITEL sont très satisfaits du confort thermique contre 25% des occupants de logements tout aussi récents, mais non-certifiés.Et l'existant n'est pas en reste : la rénovation a elle aussi des effets significatifs sur le caractère durable du logement et sur le confort de vie. 40% des propriétaires qui ont réalisé des travaux avec l'Anah considèrent leur logement comme durable (vs. 30% pour la moyenne des Français).Le logement à l'aube de grands bouleversementsLes Français anticipent une évolution significative de la réglementation, à moyen terme. Une large majorité de la population (61%), pense probable que d'ici 10 ans, il y ait obligation de rénover son logement s'il ne respecte pas certains critères.Les plus jeunes sont les plus convaincus des changements majeurs dans les 10 ans à venir : la majorité des 18-35 ans (56%) juge probable que d'ici 10 ans, tous les logements neufs soient autonomes en énergie (contre 43% des plus de 60 ans).Contre l'étalement urbain, une majorité de Français plaide pour plus de densité. 56% préfèrent qu'on construise « à la verticale, quitte à avoir des bâtiments plus hauts », alors que 44% préféreraient « construire à l'horizontale en étalant la ville, quitte à diminuer la superficie des sols naturels ou agricoles ». Les moins de 35 ans expriment un avis plus tranché contre l'artificialisation des sols : ils sont 64% à privilégier la densité.Tous les résultats de l'étude sur www.qualitel.org/barometre-qualitel-2021
Il y a 3 ans et 272 jours

La notion d'habitat durable désormais bien implantée dans l'opinion

SONDAGE. Le baromètre Qualitel se concentre, pour sa cinquième édition, sur la notion d'habitat durable. Une notion qui, pour les Français, se rapproche de celle d'habitat confortable. La ministre Emmanuelle Wargon en tire satisfaction, après le lancement de son référentiel pour la qualité du logement. Les jeunes générations semblent prêtes à orienter leurs choix en fonction de ce double critère, et anticipent un durcissement réglementaire pour plus de durabilité.
Il y a 3 ans et 272 jours

Le patrimoine des ménages a progressé en 2020 malgré la crise

Le patrimoine des ménages s'établit ainsi fin 2020 à 13.440 milliards d'euros, soit 9,3 fois leur revenu disponible net, en hausse de 6,4% sur un an.Leur patrimoine non financier, quasi exclusivement constitué des biens immobiliers, a ainsi progressé de 6,6%, après +5,5% en 2019.Il est notamment tiré par "l'accroissement marqué des prix de l'immobilier fin 2020", et cela "même si la crise sanitaire perturbe la dynamique des ventes immobilières en provoquant une contraction de l'investissement", soulignent les deux institutions dans une note commune.Le patrimoine financier net des ménages a lui aussi continué de croître, mais à un rythme bien plus lent qu'en 2019 (+6% contre +10,3%), année qui avait été marquée par une forte hausse des cours boursiers.L'an dernier, les ménages ont gonflé leurs dépôts et leurs placements, les restrictions sanitaires ayant entrainé une chute de la consommation et la constitution d'une épargne "forcée", dans un contexte de maintien des revenus grâce aux aides de l'Etat (chômage partiel, etc...).Les entreprises (hors secteur financier) ont, elles aussi, vu leur patrimoine croître nettement l'an dernier à +11,2%, après +4,3% en 2019, à 3.372 milliards d'euros.Comme pour les ménages, leur patrimoine non financier a profité de la hausse des prix de l'immobilier, tandis que leur patrimoine financier net est resté stable, la hausse de leurs passifs (prêts garantis par l'Etat, etc.), étant compensée par la progression de leurs actifs (encours d'actions, etc.).De même, le patrimoine des sociétés financières s'est accru de 23% à 682 milliards d'euros.A l'inverse, le patrimoine des administrations publiques a chuté de 39,9%, à 189 milliards d'euros, après une hausse de 8,9% en 2019.Cela s'explique par la hausse des emprunts que ces administrations ont été contraintes de contracter pour financer les mesures de soutien aux entreprises et aux ménages, mises en place pour faire face à la crise sanitaire.Au total, le patrimoine économique national a continué d'augmenter pendant la crise, avec une hausse de 6,9%, après +5,7% en 2019. Il atteint 17.682 milliards d'euros, soit 9,6 fois le produit intérieur net (produit intérieur brut auquel on retranche la dépréciation subie par le stock d'actifs).
Il y a 3 ans et 272 jours

Enquête ouverte sur l'attribution du marché public du parc éolien en baie de Saint-Brieuc

Le PNF avait été saisi fin août par le Comité des pêches des Côtes-d'Armor, qui dénonçait un recel de favoritisme dans l'attribution en 2012 de ce marché public à Ailes Marines, filiale de l'entreprise espagnole Iberdrola.Ce projet de parc éolien suscite une vive hostilité des pêcheurs, qui s'inquiètent notamment de son impact sur l'environnement marin et sur leur activité.Contactée par l'AFP, la société Ailes Marines a refusé de faire des commentaires."Dès lors qu'un risque pénal sérieux pèse sur l'opérateur, les cartes peuvent être rebattues", ont pour leur part réagi auprès de l'AFP Me William Bourdon et Me Vincent Brengarth, avocats du Comité des pêches des Côtes-d'Armor."Un dialogue effectif est toujours possible et souhaitable avec des pêcheurs responsables et légitimes dans leurs revendications", ont-ils ajouté.Lorsqu'ils avaient effectué leur signalement auprès du PNF, les deux avocats avaient rappelé dans un communiqué qu'en avril 2012, la société Ailes Marines avait été choisie par les ministres de l'Ecologie et de l'Industrie pour la construction de ce parc alors que la société concurrente "Eolien maritime France" avait été désignée par la Commission de régulation de l'énergie (CRE).Or, ce choix a depuis été jugé "irrégulier" par le Conseil d'Etat, "dans deux décisions de juillet 2019 (...) car l'exécutif avait pris en compte des conditions qui n'avaient pas été incluses dans le cahier des charges, pour favoriser Ailes Marines plutôt que la société concurrente", avaient observé les avocats.Les pêcheurs ont aussi déposé fin août une plainte au parquet de Brest contre "l'intégralité du projet", notamment pour "rejet de substance polluante" et "atteinte à la conservation des espèces animales non domestiques".Le 24 septembre, Mes Bourdon et Brengarth ont par ailleurs annoncé avoir déposé deux recours devant le tribunal administratif de Rennes pour faire suspendre puis annuler un arrêté autorisant les travaux du parc éolien.Le recours pour excès de pouvoir et le référé suspension "demandent respectivement la suspension puis l'annulation de l'arrêté du préfet maritime de l'Atlantique autorisant le navire Aeolus à se rendre sur le chantier du parc éolien marin dans la baie de Saint-Brieuc", avaient-ils expliqué.Propriété de la société néerlandaise Van Oord, le navire de forage Aeolus est responsable de deux fuites de fluides hydrauliques les 14 juin et 28 juillet. Des fluides "facilement biodégradables" avec "un faible impact sur l'environnement", selon Ailes marines.Mais pour la défense du Comité départemental des pêches, "l'urgence, condition nécessaire en matière de référé suspension, est d'autant plus caractérisée que la saison de la pêche de la coquille Saint-Jacques commence le lundi 4 octobre".La date d'audience du référé suspension a été fixée au 7 octobre.Le parc éolien de la baie de Saint-Brieuc doit être érigé à 16,3 kilomètres de la côte. D'une capacité totale de 496 MW, avec 62 éoliennes, il est censé produire 1.820 GWh par an, l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 835.000 habitants, selon Ailes Marines.Sa mise en service est prévue fin 2023 mais le chantier a pris du retard en raison d'incidents techniques et de difficultés liées à la nature du sol.
Il y a 3 ans et 272 jours

« Bâtiments et quartiers pour bien vivre ensemble » Sophie Moreau - Directrice de Domaine d'Action Stratégique Recherche

Sophie Moreau - Photo : Raphaël DautignyNous devons nous projeter vers les bâtiments et les villes de demain en réponse aux nouveaux modes de vie et aux aspirations des habitants, tout en maintenant l'attention sur les problèmes non résolus à ce jour. Que ce soit à l'échelle du bâtiment ou à celle du quartier, le CSTB doit prendre part à cette réflexion multiscalaire, dynamique et systémique, et élargir le spectre de l'approche purement « technicienne ». Notre capacité à répondre à nos besoins fondamentaux est étroitement liée à nos lieux de vie et à nos imaginaires. Nous devons avant tout offrir à chacun, tout au long de la vie, des espaces sûrs, sains et confortables et proposer des quartiers et des villes agréables et « apaisés », propices au lien social et favorisant les activités socio-économiques. Cela impose d'embrasser la sphère privée du logement et l'espace public, en passant par les différents lieux de vie et en intégrant les modalités de déplacement. Tout ceci est loin d'être acquis. Notre territoire compte encore un trop grand nombre de logements indignes, insalubres ou de ménages en situation de précarité énergétique. Quand bien même ces logements bénéficieront d'un investissement massif au travers du Plan de Relance, tout ne sera pas réglé. Nous le savons, le contexte du parc de logements existant et les attentes futures nous obligent. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 272 jours

De nouveaux logements sociaux dans la commune d’Yerres

L’ancien couvent des Sœurs auxiliatrices de la Charité, dans la commune d’Yerres, a été transformé en logements sociaux.
Il y a 3 ans et 272 jours

Un complexe culturel en bois boréal local culmine à 76 mètres en Suède

Primé au Mipim 2018, le centre culturel Sara Kulturhus de Skellefteå, Suède, a ouvert ses portes le 8 septembre et devient incontestablement la perle mondiale de la construction de grande hauteur en bois.
Il y a 3 ans et 272 jours

Impression 3D béton : Spie batignolles passe à la vitesse supérieure

Fort de premiers tests concluants avec l’impression de coffrage de nœuds de poutres et de boîtes de réservation aux côtés d’XtreeE en 2020, Spie batignolles poursuit son partenariat avec la start-up et passe à la vitesse supérieure avec l’acquisition en propre d’une cellule d’impression 3D béton. La stratégie du groupe repose sur deux axes principaux : le développement d’une nouvelle activité d’imprimeur au travers d’un catalogue de composants imprimables standards ou sur-mesure pour le compte de tiers et les gains de productivité sur les chantiers du groupe avec l’impression d’éléments facilement réplicables (boîtes de réservation par exemple). Une partie du temps robot sera également dédié à la Recherche et au Développement de nouveaux produits en lien avec XtreeE et l’écosystème de la construction. Le système d’impression multi-matériaux peut imprimer du béton, mais pas seulement : mortiers, matériaux à base de terre, plâtre et géopolymères font également partie des possibilités. Le robot sera installé sur un piédestal de 2m de hauteur pour permettre une impression 3D à 360° sur un rayon de 5 m et offrir un large volume imprimable allant jusqu’à 5 m de hauteur. Il sera installé en novembre sur la plateforme matériel de Spie batignolles située à Ollainville (91) et la production démarrera en janvier 2022 après une phase de formation et de montée en compétence des équipes.
Il y a 3 ans et 272 jours

Planète bâtiment partenaire du Congrès international du Bâtiment Durable « To build or not to build »

A découvrir en avant première le dernier numéro 66 de planète bâtiment dont le dossier principal est consacré à la 9ème édition du Congrès international du Bâtiment Durable « To build or not to build ». Organisé par le Réseau National du Bâtiment Durable, Envirobat Grand Est, Cluster Eco-construction, Architektenkammer des Saarlandes, il se tiendra du 6 au 8 octobre 2021 en ligne et en semi-présentiel dans le Grand Est, en Allemagne et en Belgique. https://www.calameo.com/read/0051960153ef78f8b44f9
Il y a 3 ans et 272 jours

Premier bâtiment certifié PEFC

La Safer Grand Est, la Chambre d’Agriculture des Vosges et l’ONF Grand-Est ont inauguré le premier bâtiment certifié PEFC en France. Il a été pensé pour valoriser les ressources naturelles disponibles localement et faire figure d’exemple pour le secteur dans son ensemble. Résultat du travail du maître d’oeuvre vosgien Jean-Luc Gérard Architecte, cette construction de près de 3 000 m2, réalisée et meublée à 75% en bois issu de forêts domaniales vosgiennes et certifiées PEFC pour leur gestion durable, comprend également 5 murs végétalisés et bientôt des panneaux photovoltaïques. La certification PEFC a permis d’assurer une traçabilité complète de la matière première, du propriétaire forestier jusqu’au menuisier qui a posé le parquet. Premier à recevoir la certification de projet PEFC en France, ce bâtiment symbolise l’ambition partagée de toute la chaîne de construction du bâtiment de valoriser la gestion durable qui prend en compte à la fois les dimensions environnementales, sociétales et économiques de la forêt. Pour permettre aux visiteurs et résidents de remonter les étapes de cette chaîne de traçabilité, des bûcherons en forêt aux menuisiers, en passant par les scieurs, des flashcodes sont disposés sur chacune des poutres du bâtiment. Un projet de territoire qui a mobilisé l’ensemble de la filière locale 90% des entreprises retenues dans le cadre du marché public sont originaires du pôle d’excellence rural Vosgien. Le mobilier en bois et l’aménagement du bâtiment ont par exemple été conçus et réalisés entre autres par des étudiants de l’ENSTIB, l’école des ingénieurs du bois d’Epinal, des apprentis du CFA d’Arches, de l’AFPIA de Liffol-le-Grand et de l’école de Roville aux Chênes. Plus largement, les scieries, l’ONF, la Chambre d’Agriculture des Vosges, la Safer et la communauté d’agglomération d’Epinal ont travaillé ensemble pour la réussite de ce projet profondément territorial, afin d’en faire un exemple pour toute la filière.
Il y a 3 ans et 272 jours

Kaufman & Broad confirme ses perspectives pour 2021, la baisse des permis de construire pèse sur l'offre

De janvier à septembre, le résultat net part du groupe s'est élevé à 31,7 millions d'euros contre 10,6 millions d'euros sur la même période un an plus tôt, précise un communiqué.Sur l'année en cours, le promoteur confirme viser un chiffre d'affaires "proche de 1,3 milliard d'euros" et indique envisager de verser un dividende d'"au moins 1,85 euro par action", sous réserve d'une "stabilisation de la situation économique et sanitaire actuelle", dit-il.D'août à septembre, le groupe a noté une "amélioration de la dynamique des réservations logement" (+7,9% en volume et +30,2% en valeur sur un an), qui atteste du "caractère soutenu de la demande, tant de la part des acquéreurs particuliers que des institutionnels", commente Nordine Hachemi, PDG de Kaufman & Broad."Toutefois, la baisse de l'attribution des permis de construire depuis plus de 20 mois continue de peser sur l'offre commerciale", nuance-t-il.Sur les neuf premiers mois de 2021, les réservations de logements ont chuté de 22,3% à 837,2 millions d'euros (TTC). Les accédants à la propriété représentent 18% des ventes contre 12% pour la même période de 2020, soit deux fois moins que les investisseurs (39%).Concernant son vaste projet de bureaux gare d'Austerlitz à Paris, "une mise en vigueur des contrats reste envisageable au second semestre 2022", estime M. Hachemi.En effet une audience a été fixée au 21 octobre par la Cour administrative d'appel de Paris concernant le recours sur le permis de construire, tandis que le référé visant à suspendre les travaux a été rejeté le 6 juillet, précise-t-il.Le promoteur indique aussi avoir signé avec la Banque des Territoires (CDC) en septembre, un accord pour créer une foncière, qui développera "un portefeuille d'une dizaine de résidences séniors" pour quelque "150 millions d'euros au cours des prochaines années".
Il y a 3 ans et 272 jours

Un rapport pour préparer les collectivités à la résilience

Le think tank « Shift Project » donne aux collectivités des clés pour agir en faveur de la résilience. Lancé il y a un an, le projet “Stratégies de Résilience des territoires” entend interpeller non seulement les élus, mais aussi l’ensemble des acteurs territoriaux, sur les implications structurelles de la transition écologique et des bouleversements environnementaux en cours sur les territoires. A travers 3 tomes, le rapport a pour objectif de fournir des éléments pour l’action permettant de construire des stratégies locales de résilience. Richement illustrées, ces pages dressent un état des lieux climatique et économique précis. Le think tank propose des actions concrètes sur la gestion du patrimoine bâti, la mobilité des agents et la commande publique de l’administration locale. Pour réduire la consommation des bâtiments, il propose d’améliorer l’inventaire de l’immobilier public et de ses consommations, de rationaliser la taille du patrimoine, agir sur les usages et optimiser l’exploitation et de réaliser une véritable programmation d’investissements cohérents en reprenant l’objectif ambitieux de réduction de 40% de la consommation énergétique des bâtiments tertiaires d’ici 2030. « Résilience des territoires » : le Shift publie un memento pour des politiques locales adaptées aux bouleversements à venir
Il y a 3 ans et 272 jours

a/LTA - Portrait

Tous deux diplômés de l'Ensa Nantes, Maxime Le Trionnaire et Gwénaël Le Chapelain ont collaboré avec Duncan Lewis, X-TU et Stéphane Maupin. En 2010, ils fondent à Rennes l'agence a/LTA, aujourd'hui active également à Paris.  Ils développent une activité fortement axée sur le logement et se sont […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 273 jours

Ouverture à Lyon lundi du procès d'un important réseau de marchands de sommeil

L'instruction judiciaire estime que plus d'une centaine de personnes ont été victimes de cette organisation, logées dans des conditions indignes entre 2012 et 2017.La méthode de ce réseau de marchands de sommeil consistait à découper des logements en plusieurs parties réduites, afin de multiplier les locations, en proposant les logements à des personnes ou des familles en situation de vulnérabilité, souvent en situation irrégulière.A Vaulx-en-Velin, en banlieue de Lyon, par exemple, deux appartements ont été modifiés pour créer 17 logements d'une surface de 10 à 15 m2. Créé par plusieurs membres d'une même famille d'origine tunisienne, le réseau a acquis plusieurs immeubles et appartements, à Lyon, Saint-Fons, Saint-Priest, Vaulx-en-Velin, Vénissieux.L'affaire a révélé l'utilisation de plusieurs SCI et de sociétés de bâtiment destinées à blanchir les fonds perçus dans les locations. Les suspects proposaient par ailleurs aux étrangers en situation irrégulière des "packs" de faux contrats de travail et fiches de paies, d'un prix de 900 euros, afin d'obtenir des prestations sociales.Une quarantaine de personnes ont bénéficié de ce système frauduleux, selon l'enquête.Le contrôle d'un salon de coiffure a déclenché toute l'affaire en 2014. La justice lyonnaise a découvert l'existence d'une douzaine de salons de coiffure complètement clandestins, pratiquant des prix très bas à 10 euros la coupe, et employant des coiffeurs sans titre de séjour. Non déclarés, les établissements auraient rapporté 500.000 euros par an à l'organisateur principal, suspecté d'avoir ensuite investi l'argent dans les logements clandestins.Les prévenus, âgés de 21 à 54 ans, sont poursuivis pour "soumission de personnes vulnérables à des conditions d'hébergement indignes", "escroquerie en bande organisée", "blanchiment", "travail dissimulé" et "aide au séjour irrégulier".La métropole de Lyon est constituée partie civile au procès, ainsi qu'une banque, victime d'un non remboursement de prêt.
Il y a 3 ans et 273 jours

Les normes "DTU" ne sont pas obligatoires

Le respect des normes rassemblées dans ce document par des professionnels réunis dans des commissions de normalisation n'est obligatoire que si le contrat des travaux le prévoit, a rappelé la Cour de cassation.Personne ne peut donc reprocher à un professionnel de ne pas avoir respecté à la lettre le document DTU de sa spécialité.Un orage ayant provoqué l'effondrement d'une toiture métallique, le propriétaire, après une expertise, estimait que l'auteur de la construction était forcément responsable puisqu'il n'avait pas respecté le DTU de la construction métallique.Contrairement à ce propriétaire, les juges ont distingué le DTU et les règles de l'art. D'ailleurs, ont-ils observé, durant des années la construction n'a provoqué aucune inquiétude et l'effondrement n'est pas dû à une mauvaise réalisation mais à une accumulation d'eau provoqué par l'absence d'entretien des évacuations.Le propriétaire ne peut donc pas exiger du constructeur qu'il assume la reconstruction avec respect du DTU puisque ce respect n'était pas convenu entre eux dans le contrat initial et n'est pas imposé par la loi.(Cass. Civ 3, 10.6.2021, U 20-15.277).
Il y a 3 ans et 273 jours

Notre-Dame de Paris : de jeunes compagnons dévoilent des éléments de la future nef

PATRIMOINE. La section de la Creuse de la Société des membres de la Légion d'honneur a organisé le 24 septembre le projet "Sur la route des maçons" : une centaine de jeunes en apprentissage dans les métiers du bâtiment a ainsi participé à une marche reliant les Invalides à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Les compagnons ont à cette occasion offert deux de leurs réalisations au chantier de reconstruction.
Il y a 3 ans et 273 jours

Les diagnostics énergétiques des logements anciens reprendront en novembre

Le DPE permet de détecter les logements très énergivores, qui doivent être progressivement interdits à la location à partir de 2025. Son édition avait été suspendue fin septembre en raison de "résultats anormaux" pour certains types de logements.La ministre déléguée chargée du logement, Emmanuelle Wargon, doit rencontrer lundi les représentants des professionnels du secteur, avant la publication vendredi d'un arrêté sur la méthode de calcul."Cette nouvelle méthode pourra être mise en oeuvre à partir du 1er novembre prochain, le temps que les corrections soient apportées aux logiciels utilisés par les diagnostiqueurs", indique le ministère dans un communiqué.Les DPE réalisés pour les logements les plus énergivores (classés F ou G) depuis le 1er juillet seront automatiquement réédités, sans frais pour les propriétaires, est-il ajouté.Les propriétaires de logements classés D ou E pourront aussi demander un nouveau calcul. Les diagnostiqueurs seront indemnisés pour la réédition de ces DPE.Le 1er juillet, le mode de calcul avait été modifié pour ne plus se baser sur les factures d'énergie, mais plutôt sur les caractéristiques du bâtiment.Le ministère recommande d'attendre le 1er novembre avant d'effectuer de nouveaux diagnostics.Au total, le gouvernement estime à 4,8 millions le nombre de "passoires thermiques", classées F et G. Un tiers seraient occupées par des propriétaires à faibles revenus.
Il y a 3 ans et 273 jours

Coup de frein sur les ventes de biens immobiliers avec la hausse des prix

"Jamais les prix de l'immobilier n'ont été aussi élevés en France", a souligné le réseau, plaidant pour la construction de logements neufs afin de limiter la tension sur les tarifs.Au troisième trimestre, le prix au mètre carré a augmenté en moyenne de 11% pour les maisons et de 7,3% pour les appartements sur un an, selon les chiffres de Century 21.D'après le réseau d'agences, l'augmentation des prix est le résultat d'une hausse de la demande, alors que le confinement a modifié le rapport des Français à leur logement et poussé certains à déménager pour plus grand, sans que l'offre ne suive."Les prix ont progressé trop rapidement, décorrélés de l'inflation ou de l'augmentation moyenne des salaires. Et même si les taux d'intérêt, historiquement bas, favorisent les acquisitions, ils ne peuvent pas neutraliser cette hausse", détaille le communiqué.L'effet de la hausse s'est fait sentir sur le volume des transactions: -19% sur les ventes de maisons et -11% sur les appartements par rapport au troisième trimestre 2020, alors que le président du réseau, Laurent Vimont, disait en septembre prévoir un rebond après les confinements.Pour autant, "pas de panique à bord", a-t-il dit lundi matin sur BFM Business. "Il est normal que les prix augmentent pour ensuite se stabiliser et descendre quand la demande ne suit plus, pour que les transactions repartent", a-t-il fait valoir."Il serait plutôt sain que [les vendeurs] corrigent un petit peu leurs prix", a-t-il ajouté, alors les hausses excluent du marché les ménages les plus modestes.
Il y a 3 ans et 273 jours

Saint-Gobain achève l'acquisition de Raboni Normandie

ACQUISITION. Le spécialiste des matériaux de construction, Saint-Gobain, a finalisé le rachat de Raboni Normandie, un distributeur multi-spécialiste de matériaux de construction.
Il y a 3 ans et 273 jours

Suite aux "alertes" des professionnels, les DPE sont suspendus jusqu'au 1er novembre

PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE. La ministre du Logement Emmanuelle Wargon a confirmé qu'il était préférable de suspendre l'édition des diagnostics de performance énergétique (DPE) des logements construits avant 1975 jusqu'au 1er novembre 2021. D'ici là, un arrêté va être pris pour recalibrer le dispositif.
Il y a 3 ans et 273 jours

Suspension DPE : point de vue de Thierry Marchand, président de la CDI-FNAIM

Rarement une simple réforme technique aura soulevé un tel tollé : le nouveau diagnostic de performances énergétique, indicateur de vertu des logements à la vente et à la location -privés et HLM- devenu populaire, a fait l'objet d'une refonte radicale. Sa version évoluée est entrée en vigueur au 1er juillet 2021.Pour fiabiliser cet outil et lui permettre de s'imposer comme « opposable », c'est-à-dire pouvant permettre d'engager la responsabilité du propriétaire, le ministère en charge du logement a travaillé depuis un an à un moteur de calcul intégrant plus de données, en vue de fournir aux acquéreurs et aux locataires des informations objectives.Ainsi, en lieu et place des factures de consommation d'énergie du précédent occupant, au demeurant parfois difficiles à obtenir et entraînant l'impossibilité de calculer la performance, ce diagnostic se fonde désormais sur des caractéristiques physiques du bien. Il associe aussi à la performance pure, classée sur une échelle de A à G, l'émission de gaz à effet de serre et des simulations de dépenses énergétiques.Enfin, il comporte des préconisations de travaux pour faire accéder à un degré de performance correct, dans les trois premiers barreaux de l'échelle, A, B ou C, les logements énergivores. En somme, le nouveau DPE avait vocation à gagner en exactitude et en complétude pour prendre, à ce titre, valeur contractuelle. Le ministère avait fourni une étude d'impact qui anticipait une situation équilibrée : de l'ordre de 800.000 logements allaient mécaniquement progresser dans le classement environnemental et autant seraient au contraire affectés d'une note dégradée.À l'épreuve des faits, rien ne s'est passé comme les pouvoirs publics l'attendaient. Des anomalies en grand nombre ont été constatées, conduisant à une proportion élevée de logements disqualifiés, jugés passoires énergétiques par le nouveau crible, avec à la clé une dévalorisation considérable, voire une perte de liquidité. Pour les logements les plus anciens, de type haussmannien notamment, et de plus petite superficie, l'impossibilité de proposer des travaux entraînant un redressement de note à des niveaux satisfaisants a également été pointée.A aussi été minimisée la difficulté pour les diagnostiqueurs de collecter les informations techniques sur le bien nécessaires à l'établissement du DPE, le cas échéant avec le concours de l'agent immobilier ou de l'administrateur de biens mandataire. Le résultat a aussi consisté à faire figurer dans les documents des simulations de facture très nettement supérieures à la réalité constatée, jusqu'à des excès aberrants.Le bilan de cette situation a de quoi inquiéter : sur les quelques 300.000 DPE établis depuis juillet, la moitié a concerné des logements construits avant 1975, dont une fraction majeure a comporté d'évidentes anomalies. Dans ce contexte, Emmanuelle Wargon, ministre en charge du logement, vient de prendre la décision à la fois sage et courageuse de surseoir à l'obligation de réaliser le DPE pour les biens édifiés avant cette date de 1975 -sauf en cas de transaction urgente- tant que le moteur et les logiciels qui calculent les DPE de nouvelle génération ne seront pas nettoyés des scories qui les affectent. Les diagnostiqueurs œuvrent bien sûr avec les spécialistes du ministère du logement pour parvenir à ce résultat dans les meilleurs délais. Concrètement, les biens pour lesquels a été réalisé un DPE fautif bénéficieront d'un nouveau diagnostic, qui corrigera et annulera le précédent, sans frais. Une négociation va s'ouvrir avec le gouvernement pour que soit effectivement neutralisé le coût pour la communauté des diagnostiqueurs de cette vaste opération de rappel. On entend des critiques acerbes adressées au gouvernement, montrant d'un doigt accusateur son impéritie. Elles sont infondées. Il fallait la lumière de l'expérience pour identifier finement les dysfonctionnements qui pouvait compromettre la justesse du DPE. La plupart des défauts ne pouvaient être prévus a priori et il faut avoir la modestie de le dire. Les polémiques, que certains peuvent trouver avantage à alimenter, ne sont pas à la hauteur des enjeux. Oui, moderniser le DPE et lui donner plus de force pour conduire à la rénovation environnementale des logements était vital. Oui, il était indispensable que cet indicateur, qui constitue une aide à la décision de louer ou d'acheter, soit plus qu'indicatif et qu'il acquière une force juridique majorée. L'heure n'est plus à la légèreté en matière d'appréciation du besoin de mettre à niveau notre parc de logements -maisons individuelles comme immeubles collectifs, à destination locative comme pour occupation en propre. L'empreinte carbone liée à l'immobilier doit d'urgence être réduite. La loi Climat et résilience du 22 août 2021 a fixé un cap exigeant pour le parc locatif comme pour les copropriétés faisant suite à la loi Énergie climat du 8 novembre 2019.Tout au plus la séquence qui s'achève, marquée par le besoin d'ajuster un DPE conçu à marche forcée, doit-elle faire réfléchir sur la méthode d'adoption des réformes techniques. L'expérimentation devrait à l'avenir être préférée à la généralisation hâtive, fût-elle dictée par l'urgence climatique. Elle devrait en particulier inspirer la mise en place de l'audit énergétique, instrument de mesure plus précis et complet encore que le DPE. La loi « portant lutte contre le dérèglement climatique et le renforcement de la résilience contre ses effets » le rend obligatoire dès le 1er janvier 2022 pour les logements les plus énergivores. Il est appelé à s'imposer comme l'outil de référence d'évaluation et d'aide à l'amélioration de la performance environnementale. Il importe de se garder des faux pas, qui risquent de dissuader les ménages d'aller vers la vertu énergétique.Tribune de Thierry Marchand, président de la CDI-FNAIM (Linkedin)
Il y a 3 ans et 273 jours

L’ANRU et la FFB ensemble pour l’emploi et l’insertion

L’ANRU et la FFB ont signé une charte d’engagement pour conforter l’opération des « 15 000 Jeunes Talents Bâtisseurs ». La mise en place de parcours qualitatifs vers l’emploi constitue une opportunité pour les bénéficiaires et facilite le recrutement pour les entreprises du bâtiment. Cette charte nationale vise trois objectifs principaux : sensibiliser les maîtres d’ouvrage, en lien avec la structure chargée du suivi de l’insertion, à la possibilité de compter des « Jeunes Talents Bâtisseurs » issus des quartiers prioritaires de la politique de la ville dans le cadre des objectifs d’insertion du NPNRU, de donner de la visibilité aux entreprises locales sur les projets de renouvellement urbain soutenus par l’ANRU et sensibiliser les acteurs de l’insertion et de l’emploi à la démarche de la FFB et les mettre en relation avec des entreprises accompagnant des publics pouvant intégrer l’opération « 15 000 Jeunes Talents Bâtisseurs ».
Il y a 3 ans et 273 jours

Crise du logement : premières propositions de la commission Rebsamen et un second tome fort attendu

Dévalorisation de l’acte de construire, renforcement du lien social : l’analyse de la crise du logement conduit à des propositions remises par la commission Rebsamen.
Il y a 3 ans et 273 jours

La soutenabilité financière de MaPrimeRénov’ n’est pas avérée

La Cour des comptes a publié un audit sur le dispositif MaPrimeRénov’, programme d’aide à la rénovation énergétique des logements mis en place pour atteindre les objectifs nationaux en matière…Cet article La soutenabilité financière de MaPrimeRénov’ n’est pas avérée est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 273 jours

Le diagnostic énergétique se heurte à "des anomalies" pour les logements d'avant 1975

Un service du ministère de la Transition écologique a recommandé de suspendre l'édition des diagnostics de performance énergétique pour les logements construits avant 1975, en raison d'"anomalies".
Il y a 3 ans et 273 jours

Avec 11.000 offres en juillet 2021, l'emploi dans l'ingénierie retrouve son niveau d'avant-crise

Après avoir perdu 11% de son chiffre d'affaires en 2020, l'ingénierie a déjà retrouvé le chemin de la croissance. Les entreprises d'ingénierie industrielle et de la construction, qui embauchaient 80 000 nouveaux collaborateurs chaque année, alertent néanmoins sur le manque de professionnels formés en France.Des entreprises qui font preuve de résilience et responsabilité face à la crise...Fermeture de sites industriels, chantiers à l'arrêt… En 2020, l'activité des entreprises d'ingénierie est profondément impactée par la crise et les confinements successifs. Un ralentissement qui se répercute sur le nombre de nouvelles embauches. Alors qu'en avril 2019, la profession recrutait 9 000 collaborateurs, un peu moins de 6 000 recrutements sont engagés en avril 2020.Si le choc est brutal, les niveaux repartent néanmoins à la hausse dès septembre 2020, soit moins de 6 mois après le début du premier confinement. En octobre de la même année, les offres d'emplois publiées atteignent la barre des 9 000, contre 8 000 le même mois en 2019. Une belle performance, qui se confirme tout au long de 2021 où les niveaux sont comparables ou supérieurs à 2019. En juillet 2021, 11 000 offres sont publiées, tout comme en juillet 2019.« Le choc de la crise liée à la Covid-19 a été rude pour toute la profession, qui a perdu 11% de son chiffre d'affaires en 2020. Et pourtant, moins de 6 mois après le début de la pandémie, les recrutements ont retrouvé des niveaux comparables à ceux de 2019. C'est une performance particulièrement remarquable, quand l'on sait que l'activité de nos entreprises était, il y a peu, encore ralentie, voire stoppée dans certains secteurs industriels. Il faut bien comprendre que notre richesse réside dans nos collaborateurs. C'est pour nos idées, notre matière grise que nos clients font appel à nous. En cela, les entreprises d'ingénierie ont tout fait pour préserver l'emploi et les compétences. » explique Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie… qui seront confrontées à court terme à des difficultés de recrutementSi la profession se félicite de ce retour à la croissance, Syntec-Ingénierie rappelle que l'ingénierie était avant crise un secteur en tension. Selon une étude réalisée en décembre 2018 par le cabinet EY pour le compte de l'OPIIEC, l'ingénierie souffre d'un sous-effectif structurel de 2 à 4%. Sur les 33 000 technicien(ne)s formé(e)s chaque année en France, seules 14 000 personnes sont effectivement disponibles et 58% choisissent de poursuivre leurs études. Les femmes sont par ailleurs sous-représentées dans la profession et ne constituent que 30% des effectifs formés. Un sous-effectif qui risque, à court terme de freiner les entreprises dans leur redémarrage économique et dans la conduite des projets qui leur sont confiés.“Il est urgent de former plus d'ingénieurs et de techniciens en France. N'oublions pas que le manque de professionnels formés coûte chaque année 500 millions à 1 milliard d'euros à nos entreprises. Avec notre fédération professionnelle, nous menons depuis de nombreuses années des actions de sensibilisation auprès des jeunes publics et des femmes pour susciter des vocations. Cela n'est pas suffisant, nous appelons les pouvoirs publics à promouvoir plus largement l'enseignement scientifique et technique et à lancer une grande campagne de sensibilisation aux métiers de l'ingénierie, qui recrutent, malgré la crise !” appelle Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie.Meet'ingé, le rendez-vous annuel pour les étudiants et jeunes diplômés à la recherche d'opportunités dans l'industrie et la constructionPlus de 1 500 étudiants et jeunes diplômés sont attendus pour la 20e édition du Meet'ingé, qui aura lieu le jeudi 14 octobre de 9h à 17h au Carreau du Temple. L'événement, qui compte +30% d'inscrits par rapport à 2019, est devenu au fil des ans le rendez-vous incontournable pour les jeunes à la recherche d'opportunités professionnelles dans les secteurs industriels et de la construction.53 entreprises proposeront leurs offres de stages, alternances, mais aussi premiers emplois en CDI aux jeunes, issus notamment de plus de 110 écoles d'ingénieurs partout en France. Les premières offres sont à consulter sur le site de l'événement.L'événement, gratuit, proposera également des ateliers aux participants :un bar à CV, tenu par des experts en recrutement ;un studio photos, pour bénéficier d'une photo professionnelle à insérer dans le CV ;des conférences proposées par les professionnels de l'ingénierie.Au cœur de Meet'ingé, une grande exposition photos sera également organisée. Près de 30 clichés signés Factstory, filiale de l'AFP, mettront en lumière les professionnels de l'ingénierie aux côtés de leurs œuvres : ponts, usines, data center, préservation de zones humides pour la biodiversité...
Il y a 3 ans et 273 jours

La SNCF a fait rénover la Gare Montparnasse par le privé, sans surcoûts

La SNCF a inauguré la "nouvelle" Gare Montparnasse, à Paris, rénovée dans le cadre d'un partenariat avec le promoteur Altarea, sans surcoûts contrairement au projet de la Gare du Nord annulé.
Il y a 3 ans et 273 jours

Icade Santé temporise son introduction en Bourse

"Dans ce contexte, Icade et Icade Santé explorent plusieurs options et reviendront vers le marché dans les prochains jours pour préciser la suite donnée à l'opération", indiquent le groupe et sa filiale dans un communiqué, précisant que la couverture du livre d'ordres a toutefois été assurée.L'Autorité des marchés financiers (AMF) avait approuvé la semaine dernière le prospectus d'introduction en Bourse d'Icade Santé, pour une opération qui valorise la société entre 5,6 et 6,4 milliards d'euros.La foncière santé du groupe Icade détient 183 établissements de santé en France, en Allemagne, en Italie et en Espagne, qui représentaient au 30 juin un patrimoine de 6 milliards d'euros et une surface locative totale d'environ 2,04 millions de m2.La fourchette de prix indicative de l'offre avait été fixée entre 115 et 135 euros par action.Icade Santé avait déjà annoncé le 10 septembre une première étape de son entrée en Bourse, en précisant qu'elle inclurait une augmentation de capital de 800 millions d'euros, pour financer un plan d'investissement de trois milliards d'euros d'ici 2025.Au cours du premier semestre 2021, le groupe immobilier Icade a réalisé un chiffre d'affaires de 830 millions d'euros, son résultat net atteignant quant à lui 188 millions.
Il y a 3 ans et 273 jours

Pouvoir d’achat : Bouygues promet un geste sur les bas salaires dès le mois de décembre

Face à l’envolée des prix de l’énergie et de l’essence, le groupe Bouygues SA (Bouygues Construction, Colas, Bouygues immobilier…) annonce, pour les bas salaires, des revalorisations collectives qui apparaîtront sur la fiche de paie de décembre.
Il y a 3 ans et 273 jours

ANMA intervient sur la halle de l'Ensa Limoges, 25 ans après sa construction

Tous deux diplômés de l'Ensa Nantes, Maxime Le Trionnaire et Gwénaël Le Chapelain ont collaboré avec Duncan Lewis, X-TU et Stéphane Maupin. En 2010, ils fondent à Rennes l'agence a/LTA, aujourd'hui active également à Paris.  Ils développent une activité fortement axée sur le logement et se sont […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 273 jours

Des façades plus contemporaines et performantes pour une résidence des années 60

La résidence de la Saussaie, à Thiais (Val-de-Marne), vient de connaître une rénovation énergétique qui apporte à ses locataires plus de confort et la satisfaction d'habiter un immeuble à l'aspect redynamisé et plus contemporain.Propriété du bailleur social francilien Immobilière du Moulin Vert (SAIMV), cet immeuble R+4 abrite soixante logements desservis par quatre cages d'escaliers. Construit dans les années 1960 en pierre naturelle, il a déjà bénéficié du remplacement de ses menuiseries extérieures mais aucune isolation des murs de façade n'a été réalisée. Il présente une étiquette énergétique E (consommation de 231 à 330 kWh/m2 an). L'objectif est d'atteindre le niveau C (91 à 150 kWh/m2 an).Objectif énergétique ambitieuxCette intervention est réalisée dans le cadre d'un plan lancé en 2014 par cette entreprise sociale pour l'habitat. « L'objectif était d'amener l'ensemble de notre parc de 9 000 logements à l'étiquette énergétique C, explique Pierre Bainson, responsable patrimoine et proximité de SAIMV. Le but est aujourd'hui atteint à 90% ».Le programme des travaux comprend la réalisation d'une isolation thermique par l'extérieur, le remplacement des chauffe-eaux individuels par le raccordement à la chaufferie collective et la réfection des systèmes de ventilation dans les logements.Un jeu de teintes subtilC'est à ECI Management, dirigée par Alexandrin Chorao, qu'est confiée la maîtrise d'œuvre de l'opération. Pour donner une image plus contemporaine au bâtiment, l'architecte propose de réaliser une isolation thermique extérieure revêtue d'un enduit lisse beige clair. Les fenêtres sont soulignées par des cadres en tôle d'aluminium laqué pliée de teinte grise ou, aléatoirement, de couleur rouge. « Ces pastilles de couleur viennent dynamiser la façade », expose Alexandrin Chorao. Les façades des halls d'entrée, en décrochement, sont marquées par une couleur grise qui se prolonge sur le soubassement, lui-même séparé de l'enduit beige par une large bande blanche.Assistance au démarrage de chantierLorsqu'elle se voit attribuer le lot façades, la société FPRS Maillard se tourne vers Sto, son fournisseur favori, pour l'aider à choisir les produits les mieux adaptés. Les solutions préconisées par la chargée d'affaires de Sto sont l'ITE StoTherm Mineral 1 avec finition Stolit K1 teinté (référence 31437) pour les parties courantes et le système de bardage StoVentec R avec finition Stolit Milano poncé à l'aspect béton pour les halls d'entrée. Avant de démarrer le chantier, des tests d'arrachement sur la pierre sont effectués afin de choisir les chevilles les mieux adaptées à ce support.Des témoins des deux types de revêtements sont réalisés et validés par l'architecte. Les travaux peuvent ensuite commencer, avec l'assistance d'un technicien Sto. L'opération est réalisée en deux tranches, d'abord une moitié d'immeuble sur ses deux faces puis l'autre moitié pour gêner le moins longtemps possible les locataires des logements traversants.Enduit aspect bétonLes panneaux de laine de roche de 140 mm d'épaisseur de l'ITE sont calés et chevillés sur le mur de façade. L'enduit de base StoLevell Uni blanc est posé manuellement, à la taloche, et une trame en fibre de verre est marouflée dans cet enduit. L'enduit de parement teinté Stolit K1 est ensuite appliqué avec une finition talochée. Les garde-corps existants, conservés, ont été déposés avant la réalisation de l'ITE et leurs pattes de fixation rallongées avant de les refixer sur la façade.L'habillage des avancées des halls d'entrée est réalisé au moyen du bardage ventilé StoVentec R. Les panneaux de billes de verre expansé supports de l'enduit sont fixés sur une ossature verticale en chevrons de bois eux-mêmes chevillés directement sur le support en béton. Les panneaux reçoivent après leur pose un sous-enduit mince à base de liant organique ou minéral, armé d'un treillis de fibre de verre. La finition est assurée par un enduit à l'aspect de béton. Il s'agit du Stolit Milano, appliqué à la spatule en plusieurs étapes, à la manière d'un stucco. Une couche de Stolit K1 est d'abord appliquée. Après séchage, l'enduit Stolit Milano est à son tour posé en raclant légèrement dans toutes les directions. Les jours suivants, lorsque la surface est bien sèche, on procède au ponçage.Les locataires sont aujourd'hui satisfaits. Ils habitent un immeuble aux façades plus contemporaines et ils vont voir leurs charges de chauffage réduites. Quant à l'architecte, il estime avoir réussi à réaliser une façade esthétique et performante pour un budget limité : « Nous avons uniformisé la façade qui comporte de nombreuses baies tout en la dynamisant avec les encadrements de fenêtres en relief et colorées de rouge aléatoirement. Le tout avec assez peu de moyens. » Fiche techniqueType de bâtiment : réhabilitation de logements collectifsLocalisation : 103-107 rue de la Saussaie, 94320 ThiaisSurface de façade traitée : environ 2 000 m2 Maître d'ouvrage : Société Immobilière du Moulin Vert (SAIMV)Maître d'œuvre : ECI Management, Alexandrin ChoraoEntreprise applicatrice : FPRS MaillardDate de livraison : 2021Solutions utilisées : ITE StoTherm Mineral 1 finition Stolit K1 teinté, bardage ventilé StoVentec R finition Stolit Milano aspect béton, peinture StoColor Jumbosil
Il y a 3 ans et 273 jours

Les quartiers flottants sont-ils une solution à l’élévation du niveau de la mer ?

Alors que l’élévation du niveau de la mer menace les villes du monde entier, certains cherchent à savoir comment l’homme peut s’adapter. Au nord d’Amsterdam, une équipe a créé un quartier flottant appelé « Schoonschip » sur un canal. Ce quartier se compose de 46 logements, de plus de 100 nouveaux résidents, et cherche à devenir le […]
Il y a 3 ans et 275 jours

L'administration Biden mise gros sur l'énergie solaire aux États-Unis

En 2020, les panneaux photovoltaïques et les centrales solaires thermiques ont produit un peu moins de 80 gigawatts (GW) aux Etats-Unis, soit de quoi répondre à 3% de la demande en électricité du pays.Pour atteindre les ambitions présentées dans un rapport du ministère de l'Energie mercredi, il faudrait quadrupler le déploiement de l'énergie solaire en moins de dix ans: en l'augmentant de 15 GW en 2020 à 30 GW chaque année d'ici 2025, puis à 60 GW par an entre 2025 et 2030.Cela nécessite "des réductions de coûts importantes", "le soutien des politiques publiques" et "une électrification à grande échelle" de l'énergie solaire, a reconnu le ministère.Le réseau électrique, initialement plutôt conçu pour les centrales à charbon, à gaz ou nucléaire, doit notamment fortement évoluer pour s'adapter à l'énergie intermittente du soleil.Et les Etats-Unis doivent compter sur des panneaux solaires fabriqués en grande partie en Chine.Électricité propre en 2035L'administration de Joe Biden souhaite que l'électricité ne soit plus, dans son ensemble, une source d'émissions polluantes d'ici 2035 et mise pour ce faire sur les vastes plans d'investissement dans les infrastructures encore en discussion au Congrès.Dans son arsenal de mesures, le président américain compte aussi sur l'énergie du vent et a donné son impulsion à plusieurs grands projets d'éoliennes en mer.Mais le rapport diffusé mercredi "met en lumière le fait que l'énergie solaire, notre source d'énergie propre la moins chère et à la croissance la plus rapide, pourrait produire suffisamment d'électricité pour alimenter toutes les maisons aux Etats-Unis d'ici 2035 et employer dans le même temps jusqu'à 1,5 million de personnes", a commenté la ministre de l'Energie, Jennifer Granholm, dans un communiqué.Cela "nécessite un déploiement massif et équitable d'énergies renouvelables et de solides politiques de décarbonation - exactement ce qui est énoncé dans la loi soutenue par les deux partis sur l'investissement dans les infrastructures et l'emploi et dans le programme +Build Back Better+ ("Reconstruire en mieux") du président Biden", a-t-elle ajouté.Selon le scénario développé par ses services, l'énergie solaire représenterait 37% de l'électricité en 2035, le reste étant fourni par l'énergie éolienne (36%), l'énergie nucléaire (11%-13%), l'énergie hydroélectrique (5%- 6%), la biomasse et la géothermie (1%).Il s'agirait d'un tournant majeur par rapport au schéma actuel: en 2020, l'énergie renouvelable fournissait 21% de l'électricité aux Etats-Unis, le reste étant produit par le gaz naturel (40%), le nucléaire (20%) et le charbon (19%).Crédits d'impôtDans une lettre adressée aux responsables politiques, près de 750 entreprises du secteur de l'énergie solaire ont insisté sur la nécessité d'étendre les politiques de soutien en place et de les installer sur le long terme.Quadrupler le rythme actuel des installations d'ici 2030 représente "une course contre la montre", affirment-ils en demandant notamment un renforcement de l'actuel crédit d'impôt sur les investissements dans le solaire.En visite mardi dans le New Jersey et à New York pour évaluer les dégâts de la meurtrière tempête Ida, le locataire de la Maison Blanche a une nouvelle fois appelé à agir sans tarder contre le changement climatique, en particulier pour adapter les infrastructures vieillissantes à la multiplication redoutée d'événements météorologiques extrêmes.Pour le spécialiste du secteur énergétique Dan Pickering, les objectifs fixés mercredi par l'administration sont plus "une source d'inspiration" que des ambitions "pragmatiques"."Des milliers de milliards de dollars vont être dépensés pour tenter d'y parvenir. Il est absolument essentiel de fixer un cap de façon efficace", a-t-il estimé sur Twitter.L'ONG environnementale NRDC a pour sa part, sur le réseau social, "exhorté le Congrès à financer entièrement les investissements dans l'électricité propre dans le processus budgétaire actuel pour faire de ce plan une réalité".
Il y a 3 ans et 276 jours

Fermeture de chantiers de construction en Australie après des manifestations anti-vaccin

Ces chantiers seront fermés pendant deux semaines en réponse à l'absence de respect des régles anti-Covid et des manifestations qui ont eu lieu, selon les autorités de la seconde ville d'Australie.Plus d'une centaine d'ouvriers du bâtiment ont manifesté leur colère dans le centre de Melbourne où ils ont brisé des vitres pour protester contre l'obligation qui leur est faite de se faire vacciner.La ville de Melbourne vit depuis sept semaines en confinement strict face à la progression rapide du variant Delta. Mais des foyers d'infection ont été identifiés sur des chantiers de construction où le respect des règles est plus laxiste, selon les autorités. "Nous avons été clairs: si vous ne respectez pas les règles, nous n'hésitons pas à prendre des mesures", a affirmé le ministre des Relations industrielles de l'Etat de Victoria, Tim Pallas, en annonçant la décision des autorités de fermer les chantiers."Nous avons averti l'industrie (du bâtiment) il y a une semaine, nous avons vu des comportements scandaleux sur les chantiers et dans les rues, et donc nous agissons de manière décisive et sans hésitation", a-t-il affirmé.Cette fermeture administrative des chantiers met des dizaines de milliers d'ouvriers au chômage technique et des manifestations sont attendues mardi à la suite de cette décision.Le patron du syndicat local de la construction, John Setka, a dénoncé, dans les termes les plus vifs, le comportement des manifestants les plus violents."Ces fascistes ivres et abrutis indignes de l'Australie sont la raison pour laquelle les ouvriers du bâtiment resteront chez eux sans être payés au cours des deux prochaines semaines", a-t-il lancé.
Il y a 3 ans et 276 jours

Mal-logement en Paca: "Tendance absolument catastrophique" selon la Fondation Abbé Pierre

"Les loyers du parc privé ont augmenté deux fois plus vite à Marseille et Nice qu'à Paris ou Lille", constate ainsi M. Houdmon, tandis que ces dix dernières années le taux de pauvreté régional progressait deux fois plus vite que la moyenne nationale."Avec 850.000 pauvres environ, on est loin de l'image de la région riche", souligne le directeur de la Fondation, pour qui, malgré tout, "il y a aussi des très riches dans la région, et donc de fortes inégalités sociales".L'attractivité touristique que connaît la région et spécialement son littoral "se paye au prix fort", selon lui, avec des logements aux prix "les plus élevés de France hors Paris". Résultat: le surpeuplement apparait comme un mal chronique, comparable à ce que l'on trouve en Ile-de-France.Il a notamment pointé du doigt la métropole de Nice, "la plus chère de France après Paris", qui connaît le taux de tension le plus élevé de l'hexagone pour accéder à un logement social.Malgré ce grand écart entre une population de plus en plus pauvre et des logements de plus en plus chers, "aucune métropole de la région n'a mis en place l'encadrement des loyers", regrette M. Houdmon.La Fondation Abbé Pierre relève aussi une baisse constante des programmes de logements sociaux depuis 2016, dans une région pourtant très carencée en la matière. Sur les 194 communes soumises en Paca à la loi SRU sur l'obligation de 20% à 25% de logements sociaux, seules 13 respectent ces quotas.La ville de Marseille, où la crise du logement indigne a été révélée au grand jour par le drame de la rue d'Aubagne, lors duquel huit personnes sont mortes dans l'effondrement de deux immeubles, le 5 novembre 2018, enregistre à elle seule près de la moitié des demandes de logement social des Bouches-du-Rhône."A l'échelle de la région, on avait atteint 12.000 logements sociaux construits ou agréés en 2019, or le chiffre est tombé à 7.000 en 2020", avait dénoncé en juillet le préfet de la région, Christophe Mirmand, dans un entretien à l'AFP, en précisant qu'aujourd'hui "l'objectif fixé pour la région par la ministre (NDLR: Emmanuelle Wargon) est de 12.000 logements sociaux par an"."Les choses bougent depuis quelques mois", a reconnu M. Houdmon, à propos de la rénovation urbaine à Marseille, tout en estimant que globalement "le bilan est mitigé depuis 2018 et la rue d'Aubagne".
Il y a 3 ans et 276 jours

Assurance-chômage, prix du gaz, hausse du Smic... Ce qui change au 1er octobre

ÉCONOMIE. Le 1er octobre 2021 marque un certain nombre de changements administratifs et économiques. Tour d'horizon des modifications qui sont susceptibles de concerner les secteurs du bâtiment, des travaux publics, de l'immobilier et de l'énergie.
Il y a 3 ans et 276 jours

Saint-Gobain achève l'acquisition de Panofrance

ACQUISITION. Le spécialiste des matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce avoir acquis Panofrance, distributeur spécialisé de bois et de panneaux pour la construction et l'agencement.
Il y a 3 ans et 276 jours

Le chauffage électrique parfaitement adapté pour la rénovation énergétique des logements selon une étude des fabricants

Dans ce contexte, le Groupement des marques d'appareils pour la maison (Gifam) dévoile les résultats d'une étude inédite sur « la perception de l'électricité en tant qu'énergie de chauffage » qui montre à quel point le chauffage électrique est une énergie légitime et appréciée par ses utilisateurs.Les Français perçoivent positivement l'électricité en tant qu'énergie de chauffageAvec 1/3 des foyers équipés, représentant un total de 70 millions d'appareils, l'étude réalisée par le Gifam* montre que les radiateurs électriques constituent la 2e solution principale de chauffage la plus utilisée par les Français (29%) après le gaz (39%). D'ailleurs, les ¾ des Français ont déjà connu un logement avec des radiateurs électriques.En termes de perception, les Français plébiscitent avant tout le chauffage électrique pour sa facilité d'utilisation, sa fiabilité et le confort qu'il apporte pour favoriser une meilleure qualité de vie. Les équipements actuels représentent en effet un levier puissant pour améliorer la performance énergétique de nos logements. Par ailleurs, 70% des détenteurs de chauffe-eau thermodynamiques ont une image très positive de cet appareil, dont le fonctionnement permet de réduire ses émissions de CO2.Ce panorama démontre également que l'électricité comme énergie de chauffage est mieux perçue par les personnes équipées. En outre, la satisfaction augmente mécaniquement auprès des possesseurs d'appareils de nouvelle génération. Avec encore 14 millions d'appareils vétustes dans les logements, le renouvellement du parc d'appareils non performants de chauffage domestique fait partie des enjeux de demain. La maison connectée devient enfin le territoire d'expression clé pour l'avenir du chauffage électrique. D'ailleurs, 6 propriétaires de logements chauffés à l'électricité sur 10 souhaitent s'équiper d'un système de chauffage connecté et plus de 4 sur 10 d'un système d'eau chaude sanitaire connecté. Le confort thermique est en effet la sphère où les bénéfices les plus concrets (économies, régulation optimale de la température des pièces...) peuvent être apportés quand beaucoup d'autres objets connectés n'auront qu'un impact limité sur nos modes de vie.Le nouveau DPE incite à adopter des solutions électriquesSi la RE2020 a marginalisé le recours aux radiateurs électriques et chauffe-eau thermodynamiques dans la construction neuve, le nouveau DPE incite désormais les Français à rénover leur logement au profit de l'ensemble des solutions électriques, peu émettrices CO2.Alors que la nouvelle réglementation en matière de construction neuve (RE2020) écarte définitivement le recours aux radiateurs électriques et aux chauffe-eau thermodynamiques dans les logements collectifs, au profit de solutions émettrices de CO2, le nouveau Diagnostic de Performance Energétique (DPE), quant à lui prend en considération l'ensemble des solutions électriques.L'introduction de l'incidence des émissions de CO2 dans la définition des classes du DPE (de A à G), constitue un élément essentiel dans la lutte contre le réchauffement climatique et permet de rappeler que les appareils de chauffage électrique utilisent une énergie décarbonée à plus de 93%.En ce sens, le nouveau DPE, entré en vigueur le 1er juillet, permet de mieux tenir compte des enjeux climatiques dans un contexte d'accélération de la rénovation énergétique des bâtiments. Véritable pivot du volet logement de la loi Climat et résilience, le DPE perd son caractère informatif pour devenir pleinement opposable.L'estimation donnée par la nouvelle étiquette du DPE apporte une information très concrète des performances environnementales du logement, allant dans le sens de la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. « Contrairement à la récente règlementation environnementale (dite RE2020), le DPE prend véritablement la mesure de l'urgence climatique face à la déficience du parc sur le plan de l'efficacité énergétique et environnementale. La nouvelle méthode de calcul introduite dans le DPE conforte le radiateur électrique comme la solution d'avenir pour contribuer à réduire nos émissions de CO2. », commente Eric Baudry, Président de la Commission Thermique du Gifam.Le chauffage électrique est parfaitement adapté pour les personnes qui souhaitent réaliser des travaux de rénovationFace aux enjeux de rénovation, il est important de rappeler que le meilleur équipement est celui qui limite naturellement la consommation énergétique. En préambule, il faut donc avant tout que l'habitat soit bien isolé thermiquement en hiver (pour limiter les consommations de chauffage) et protégé du soleil en été (pour limiter l'utilisation de la climatisation).Couplé à des travaux d'isolation thermique, le recours aux appareils de chauffage électrique permet une nette amélioration de la sensation de confort thermique au sein des foyers grâce aux innovations apportées ces dernières années.En effet, l'intégration de nouvelles technologies permet des économies d'énergie conséquentes : lors du remplacement d'un appareil de première génération par un appareil de dernière génération, les économies d'énergie sont de l'ordre de 30%, en fonction de l'usage et des caractéristiques de l'appareil ainsi que du comportement du consommateur.Les bénéfices sont d'autant plus grands avec les appareils programmables et intelligents qui permettent de chauffer uniquement au bon endroit et au bon moment et de réduire de manière significative sa facture d'électricité. *Étude Gifam Insights menée en avril 2021 auprès de 927 Français.
Il y a 3 ans et 276 jours

Pour lutter contre la vacance des logements, A. Montebourg propose que l'Etat les rachète

PRÉSIDENTIELLE. L'ancien ministre de l'Économie sous François Hollande a décortiqué une mesure choc pour lutter contre la vacance de certaines habitations françaises. L'homme projette de se présenter aux élections présidentielles de 2022.
Il y a 3 ans et 276 jours

22ème colloque du SER

Le Colloque annuel du Syndicat des énergies renouvelables se tiendra le jeudi 7 octobre 2021 à la Maison de l’UNESCO à Paris. Intitulée « Avec une relance verte, redonnons du…Cet article 22ème colloque du SER est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 276 jours

Remise des prix nationaux 2020 du concours des Rubans du Patrimoine

La cérémonie de remise des prix nationaux de la 26ème édition du concours « les rubans du Patrimoine », reportée suite à la situation sanitaire, se tiendra le mardi 5 octobre à 15 h 30 à la FFB. Les communes de Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire), Mortagne-sur-Sèvre (Vendée), La Ferrière-sur-Risle (Eure), Joinville (Haute-Marne), Vieille-Chapelle (Pas-de-Calais) et la communauté d’agglomération du Val de Fensch (Moselle), se verront remettre leur prix par les représentants des cinq partenaires organisateurs : l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité, la Fondation du patrimoine, la Fédération nationale des Caisses d’Épargne, le Groupement français des entreprises de restauration de Monuments Historiques et la Fédération Française du Bâtiment. L’édition 2022 sera également lancée lors de cet événement. Les dossiers devront être déposés au plus tard le 31 janvier 2022. www.rubansdupatrimoine.ffbatiment.fr
Il y a 3 ans et 276 jours

La nouvelle stratégie des salons Batimat, Idéobain et Interclima sur la voie du succès !

Augmentés grâce à différents dispositifs digitaux, ils accompagnent d'ores et déjà les acteurs concernés jusqu'à l'ouverture des portes des salons qui se tiendront du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.Organisés par RX France, l'Afisb1 et Uniclima2, le Mondial du Bâtiment et ses trois salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA proposent aujourd'hui un modèle totalement revisité afin d'aider pleinement les professionnels à anticiper les changements auxquels font face les secteurs du bâtiment, de la ville et des territoires. Pour cela, ils s'appuient aujourd'hui sur deux piliers essentiels :Des évènements physiques et des temps forts réinventés pendant les 4 jours du salon ;Un dispositif 365 jours inédit permettant aux professionnels de s'informer et d'échanger au quotidien, grâce à différents outils digitaux.Lancé en avril dernier, le nouveau format des salons physiques augmentés grâce au digital enregistre un intérêt certain et un fort taux de participation de la part des acteurs du bâtiment (liste des exposants en annexe 1) qu'ils soient fournisseurs de solutions et d'innovations pour la construction et la rénovation de tous types de bâtiment.2/3 de la surface d'exposition déjà vendus ou réservésLe retour attendu dans le parc des expositions rénové de la Porte de Versailles à Paris créé une dynamique positive et suscite un fort enthousiasme des entreprises.Au vu des inscriptions déjà enregistrées, BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA s'annoncent comme le rendez-vous incontournable de professionnels du bâtiment, de l'architecture et de la ville en 2022.A un an de son ouverture, le Mondial du Bâtiment réunit déjà 543 exposants répartis dans les 6 pavillons du Parc Expo de la Porte de Versailles. Les réservations couvrent déjà près des 2/3 de la surface d'exposition dont le total est égal à 136 000 m². À noter également, le retour de nombreuses entreprises des différents secteurs, qui avaient délaissé les salons lors de leur tenue à Villepinte (présentées dans la liste des exposants en annexe 1).Le salon BATIMAT, organisé au sein des pavillons 1, 4, 5 et 6, enregistre l'inscription de 402 exposants dont 25% de nouveaux venus. 63% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Le salon IDÉOBAIN, organisé dans le pavillon 2, enregistre l'inscription de 51 exposants dont 29% de nouveaux venus. 70% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Le salon INTERCLIMA, organisé dans le pavillon 3, enregistre l'inscription de 90 exposants dont 33% de nouveaux venus. 70% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Outre le retour à Paris, les entreprises ont également réagi positivement à la durée plus courte des salons et au nouveau format d'exposition avec une nouvelle logique d'exposition. Elles ont ainsi très bien accueilli de pouvoir choisir leur emplacement dès l'inscription et la perspective d'un retour sur investissement (ROI) en hausse.Des salons engagés auprès des acteurs du bâtimentTrès prometteuse, l'édition de 2022 du Mondial du Bâtiment proposera également la mise en avant de nouveaux secteurs porteurs de grandes perspectives et la valorisation de tendances émergentes, poussées par les évolutions réglementaires, les transformations d'usages ou par des prises de conscience sociétales.Grâce à la création de nouveaux espaces d'exposition et l'organisation de temps forts dédiés, les 3 salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA donneront les moyens d'éclairer les enjeux majeurs de la construction et de la rénovation des bâtiments : Environnement ; Climat, Productivité ; Usagers et Habitants ; Métiers (détail dans la présentation de la conférence).Une transformation digitale inéditeEn amont des salons physiques, l'engouement des acteurs du bâtiment autour du Mondial du Bâtiment s'exprime également grâce au digital et ses nombreux moyens d'expression.Notamment, au travers de Batiradio, 1ère webradio du secteur créée il y a deux ans, dont les chiffres d'audience montrent qu'elle s'impose comme source principale de podcast auprès des acteurs du bâtiment. Sur une période d'un mois, ce lien d'échanges et de décryptages entre professionnels enregistre en moyenne 50 000 téléchargement et 56 000 écoutes de podcast.Plus récemment, diffusée chaque mois sur Batiradio, la matinale live de podcasts vidéo Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment permet d'animer la communauté du secteur et d'accueillir de nombreux acteurs reconnus pour leur expertise. Depuis avril 2021, Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment ont ainsi accueilli différents grands témoins comme la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, le ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité Franck Riester, le président du Plan bâtiment durable Philippe Pelletier, Frédéric Boissier, Délégué Générale de l'ADEME, ainsi que plus de 100 spécialistes autour de différents sujets d'actualité comme la RE2020, la REP, le plan France Relance, la rénovation énergétique dans les territoires, la construction 4.0, les métiers du bâtiment, les tendances et le design etc.Diffusés en direct chaque premier vendredi de chaque mois, Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment enregistrent en moyenne par émission 1000 auditeurs dont 1/3 en direct et 2/3 en replay. démontrant l'intérêt des professionnels de maintenir du lien tout au long de l'année.Pour aller encore plus loin dans la complémentarité entre le digital et les rencontres physiques qui auront lieu en octobre 2022, le Mondial du Bâtiment propose dès aujourd'hui batiadvisor.fr, un site inédit de salons "augmentés". Cet espace d'information, de décryptage des tendances et de valorisation de l'innovation s'appuie sur l'expertise développée ces dernières années en matière de référencement par les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA, pour proposer un blog unique.Celui-ci regroupera les univers métiers des 3 salons du Mondial du Bâtiment. Les professionnels pourront entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations et disposeront d'outils adaptés à leurs besoins :Des fiches produits conçues avec les codes du e-commerce ;Un moteur de recherche produits/solutions et fournisseurs.Des show-rooms virtuels ;Des vidéos démos ;Des contenus (études exclusives, livres blancs, baromètres inédits…) sur les métiers présents sur les salons physiques.Enfin, durant les 4 jours de l'édition 2022 du Mondial du Bâtiment, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA proposeront une expérience digitale permettant d'assister à distance à une grande partie des contenus des salons physiques."En octobre 2022 à la Porte de Versailles, la tenue du Mondial du Bâtiment sera l'aboutissement d'une révolution lancée il y a quelques mois pour répondre aux transformations de la société. Les premiers résultats de participation enregistrés à ce jour montrent que, dans cette période post Covid, le nouveau Mondial du Bâtiment est le modèle en passe de s'imposer qui combine plus de sobriété, plus de ROI et une utilisation pragmatique et continue de la puissance du digital. Ce constat renforce notre conviction et nous engage à poursuivre nos efforts pour aider les professionnels du bâtiment à appréhender et à saisir toutes les opportunités qui s'offrent à eux." déclare Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du Bâtiment.