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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 2 ans et 232 jours

Faymonville : la remorque “spécial préfa”

La PréfaMax répond aux besoins de logistique de l’industrie du béton. [©Faymonville] Le Luxembourgeois Faymonville débarque à Munich avec une large palette de matériels, exposée sur une surface de plus de 1 400 m2. Au cœur de cette sélection figure une semi-remorque tiroir PréfaMax en version extensible. Il s’agit de la solution la plus avancée pour le transport des éléments préfabriqués et autres charges spéciales. « Notre technologie de semi-remorques tiroirs est révolutionnaire et combine des décennies d’expérience. Elle est désormais disponible dans sa dernière génération », indique Marco Andres, chargé du marketing. La PréfaMax est disponible à partir d’un poids à vide de 8,3 t. Le chargement et le déchargement sont effectués indépendamment d’un camion élévateur ou d’un chariot à fourche. En effet, la semi-remorque peut récupérer une palette à l’aide d’un levage hydraulique ou pneumatique.  Son agitateur hydraulique permet une utilisation avec tous les tracteurs du marché. La position du pivot d’attelage peut être adaptée aux véhicules à 2 essieux et 3 essieux. « Faymonville est le seul fabricant à proposer une telle flexibilité en standard ! » Dans sa version de 9,80 m de long, la PréfaMax est conçue pour une utilisation avec des tracteurs à 2 ou 3 essieux. Par ailleurs, sur la semi-remorque, le 1er et le 3e essieu peuvent être soulevés pour minimiser l’usure des pneus lors d’une conduite à vide. Enfin, la PréfaMax présente une largeur de 2,55 m, ce qui signifie qu’il n’y a pas de frais supplémentaires pour les escortes et les permis spéciaux. La semi-remorque intègre aussi beaucoup d’espaces de rangement pour des accessoires. Bauma – Zone extérieure FN – Stand 822/5 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 232 jours

Putzmeister : l’offensive électrique, mais pas que…

Première sortie officielle pour la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer de Putzmeister [©Putzmeister] Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne va pas s’ennuyer chez Putzmeister. L’industriel allemand ne vient pas à Munich les mains vides… Déjà, la ligne des pompes iOntron Hybrid profite d’un espace dédié. Pour rappel, ces machines mises sur le marché l’année passée se déclinent en trois tailles : 20 m, 30 m et 40 m. Mais ce qui les caractérise, c’est la présence d’une motorisation électrique de 92 kW, en plus de l’entraînement diesel habituel. Pour autant, il ne faut pas chercher de batteries : il n’y en a pas. L’iOntron Hybrid utilise le réseau électrique du chantier pour fonctionner. Par contre, Bauma constitue la première sortie officielle de la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer. L’équipement est basé sur un châssis 8 x 4 électrique Sany (maison-mère chinoise de Putzmeister). En ordre de marche, l’ensemble porteur + toupie de 9 m3 + charge utile atteint une PTAC de 34 t. L’énergie est fournie par une batterie d’une capacité de 350 kWh, alimentant un moteur électrique de 315 kW, qui permet entre 5 et 6 tours entre deux rechargements.  Qui dit “pompe à béton”, dit “pilotage”. A ce niveau, Putzmeister donne à chacun l’occasion de découvrir la commande Ergonic dans sa version 3. Parmi les nouveautés, deux extensions : Intelligente Boom Control (iBC), qui facilite la commande de la flèche, et Intelligente Setup Control (iSC), qui contrôle la sécurité de la machine, ici 100 % remaniée.  Putzmeister n’oublie pas non plus le monde de la préfabrication. Avec son offre Precast Automation 4.0, l’industriel propose d’adapter toutes ses solutions de pompage aux besoins spécifiques de ce secteur d’activité.  L’univers des mortiers voit l’arrivée de l’EstrichBoy EC 450. Ce transporteur-malaxeur de chapes se décline à présent dans une version 100 %, pourvue d’une motorisation de 37 kW, à 63 A. Cette puissance lui permet de fournir un débit d’air de 4,4 m3/h. L’autre innovation s’appelle Putzmeister SP 20 GHF. Profitant d’un nouveau design, cette pompe à chapes fluides reçoit un moteur thermique de 37 kW et de série, une vis d’alimentation d’un débit de 20 m3/h. Enfin, Putzmeister montre son intérêt pour les chantiers de demain. Et présente sa solution d’impression 3D béton. Son nom : Karlos. A découvrir en fonctionnement sur le stand… Bauma – Hall B6 – Stand 101 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 232 jours

Paschal : Extensions et améliorations

Avec Secuset, Paschal propose un système de protections latérales à la fois simple, sûr et universel. [©Paschal] Paschal joue la sécurité, avec un stand 100 % extérieur de 1 000 m2, bien ventilé et aux mesures d’hygiène bien pensées. Et pour pallier toute éventualité, l’industriel met même en place une présentation numérique virtuelle. Ainsi, via une application en ligne, chacun peut aussi visiter le stand, sans bouger de son salon… Plusieurs nouveautés sont à découvrir, en plus de la présence d’une bonne partie de l’offre existante de Paschal. Ainsi, le coffrage léger NeoR s’enrichit de nouvelles dimensions de panneaux (60 cm x 90 cm ou 150 cm) dédiées à la réalisation de poteaux. Donc pour une utilisation en coffrage en aile de moulin. Le Logo.3 voit l’arrivée d’un élément de 3,40 m de haut, parfait pour les coulages une face contre un élément existant par exemple. La sécurité du travail en hauteur est l’affaire du nouveau système de protections latérales Secuset. L’équipement peut être utilisé pour différentes configurations de coffrage, ou directement dans les opérations de gros œuvre ou de finition.  Pour finir, le système de surveillance de la montée en résistance du béton Maturix est proposé avec de nouveaux capteurs Gaia. Ceci, pour une durabilité extrême et une manipulation encore plus simple.  Bauma – Zone extérieure FN – Stand 618/2 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 232 jours

Liebherr : Betomix/Mobilmix revisitée

Liebherr présente la nouvelle génération de centrales à béton Betomix/Mobilmix. [©Liebherr] Constructeur de centrales à béton depuis plus de 60 ans, Liebherr dévoile en avant-première la nouvelle génération Betomix/Mobilmix, disponible seulement à partir de de 2023 ! Cette ligne s’articule autour de modules pré-assemblés et pré-câblés en usine, qui permettent de construire sa centrale idéale. Pour l’utilisateur, cette approche offre une très grande liberté de configuration. Mais aussi des délais de livraison plus courts, un montage ultra rapide et la garantie d’une disponibilité des pièces détachées. Par ailleurs, les dimensions des modules sont optimisées pour assurer leur transport routier et ne dépassent jamais les 3 m.  Liebherr intègre ses propres malaxeurs dans ses centrales. Les Betomix/Mobilmix ne dérogent pas à cette règle. L’utilisateur peut ainsi choisir entre les turbo-malaxeurs de la marque ou les malaxeurs à doubles arbres horizontaux, pour des rendements de 100 à 210 m3/h de béton vibré.  Un des grands avantages de cette nouvelle génération de centrales est la grande précision du pesage de +/- 0,5 %. Ce qui permet une belle préservation des ressources. Sur une formule type à 300 kg de ciment, il devient possible d’économiser jusqu’à 7,50 kg/m3. Un argument écologique comme économique à ne pas négliger…  Outre cette nouvelle génération de centrales, Liebherr devrait aussi présenter d’autres nouveautés “béton”, dévoilées seulement à partir de la fin du mois d’octobre ! Bauma – Zone extérieure FM – Stand 809 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 232 jours

INVITATION 03 AU 06 OCTOBRE – burgbad à IDÉOBAIN.

burgbad,ambassadeur de l’écodesign depuis 75 ansdans l’univers de la salle de bains, sera présent sur le salon incontournable IDÉOBAIN. L’occasion de faire (re)découvrir les gammes FREE – LAVO – SANAet les lancements 2022 LIN20 – MAX. Et de présenter le nouveau partenariat pour plus de durabilitéavec REFOREST’ACTION :burgbad France s’est engagé à planter 2000 arbresdans le département Eure-et-Loir où se trouve l’usine.Sur IDÉOBAIN, un […]
Il y a 2 ans et 232 jours

Mondial du Bâtiment : Un programme de conférences bien fourni

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Côté conférences, le Mondial du Bâtiment voit les choses en grand. [©Mondial du Bâtiment] Côté conférences, le Mondial du Bâtiment voit les choses en grand. En effet, de nouveaux formats d’échanges font leur apparition, afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition : “Préserver le climat et l’environnement”, “Bien vivre dans la ville en 2050”, “Transformer les méthodes”, “Valoriser les métiers”. Un programme ambitieux qui se tiendra sur 14 scènes ouvertes sur les 3 salons, dont Batimat. Près de 1 000 intervenants sont attendus avec plus de 450 conférences et animations… « C’est en quelque sorte un “Davos” du bâtiment que nous préparons », souligne Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Le programme sera exceptionnel par son ampleur, par la qualité et la diversité des intervenants et le nombre de thématiques abordées qui couvriront l’intégralité du spectre des problématiques du secteur… » Quatre grands thèmes Le programme des conférences est porté par 4 grands thèmes. Voici un aperçu non exhaustif de celles davantage axées sur les bétons : • Préserver l’environnement Lundi 3 octobre 11 h 00 – 12 h 30 : Est-il vraiment urgent d’industrialiser la construction ? 14 h 00 – 15 h 30 : Réhabiliter plutôt que de construire. Quels leviers pour atteindre la neutralité carbone ? 16 h 00 – 16 h 45 : Les territoires, acteurs de la décarbonation Mardi 4 octobre 9 h 00 – 10 h 30 : Economie circulaire, par et pour les acteurs du bâtiment 11 h 00 – 12 h 30 : Economiser les ressources et valoriser les matériaux 16 h 00 – 19 h 00 : Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone Mercredi 5 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Nouvelles filières des matériaux bio- et géo-sourcés 11 h 00 – 12 h 30 : Accélérer l’efficacité et la sobriété énergétique des bâtiments Jeudi 6 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : La formation et les compétences au centre de la transformation du secteur • Bien vivre dans la ville en 2050 Mercredi 5 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Panorama européen des architectes engagés dans la décarbonation 11 h 00 – 12 h 30 : Le futur en cours de construction 14 h 00 – 15 h 30 : Repenser notre habitat pour mieux vivre ensemble 16 h 00 – 17 h 30 : Retour sur l’opération Low Carbon Construction Tour. Décarbonation du secteur de la construction Jeudi 6 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Architecture durable, réhabiliter plus que construire 16 h 00 – 16 h 45 : Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2030 • Valoriser les métiers Lundi 3 octobre 10 h 00 – 10 h 45 : RE 2020 et études ACV. Enjeux et défis pour engager le bâtiment et les acteurs de la construction dans la démarche bas carbone 11 h 00 – 11h 45 : Renouveau urbain pour la requalification architecturale des cœurs de ville Mardi 4 octobre 9 h 30 – 10 h 15 : Quel coût de construction en RE 2020 ? 11 h 30– 12 h 15 : Les spécificités de la RE 2020 en logements collectifs 14 h 00 – 14 h 45 : Anticiper le changement d’usage d’un bâtiment dans le temps 16 h 00 – 16 h 45 : La construction bas carbone : points cruciaux et recommandations Mercredi 5 octobre 11 h 00 – 12 h 15 : Décarbonation des matériaux de construction • Transformer les méthodes Les interventions seront portées et organisées par l’Ecole des ponts Paris Tech. Lundi 3 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech autour de l’architecture décarbonée et solidaire Mardi 4 et mercredi 5 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech, de Marjolaine Meynier-Millefert, présidente Alliance HQE – GBC France, et de Romain Duballet, co-fondateur d’XtreeE, autour de la politique environnementale Jeudi 6 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech et de Guy Sidos, Pdg de Vicat, autour de l’industrie de la construction. En savoir plus ici Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 232 jours

FISCHER DUOLINE – la polyvalence des chevilles BI-MATIÈRES

 Gamme DuoLine – Pour une fixation sans concessions  La gamme de fixations DuoLine fischer regorge d’innovations technologiques. Uniques et polyvalentes, les chevilles multimatériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand, la dernière-née de la gamme, regroupent les meilleures caractéristiques techniques pour couvrir un large champ d’application.  Bi-matières, elles sont aussi puissantes […]
Il y a 2 ans et 232 jours

Engie entame la construction de son projet hydrogène en Australie

Le groupe Engie a annoncé le 16 septembre le démarrage de la construction d'un électrolyseur en Australie, associé à un parc photovoltaïque destiné à produire de l'hydrogène vert.
Il y a 2 ans et 232 jours

Wicona renforce son offre sécurité incendie avec la nouvelle porte Wicstyle 75 FP EI30

La sécurité incendie est un point de plus en plus prégnant dans les appels à projets, marchés publics et privés confondus (ERP, établissements de santé, logements, tertiaire, etc.). En cette rentrée, WICONA complète son offre de porte avec la WICSTYLE 75 FP EI30 : une porte coupe-feu 30 minutes en aluminium recyclé Hydro CIRCAL®, ingénieusement équipée pour atteindre ces performances, sans insert coupe-feu. Conçue pour le marché du neuf comme de la rénovation, cette porte, développée comme une extension de gamme dont les clients maîtrisent déjà la fabrication, autorise de grandes dimensions et cumule performances techniques, esthétique et environnementale.L'ingénierie technologique et l'ingéniosité au service de la performanceLa porte WICSTYLE 75 FP EI30 de WICONA se distingue par son ingéniosité. En effet, la performance au feu EI1-30 est obtenue sans recourir à l'utilisation d'inserts coupe-feu. Le châssis reste stable, étanche au feu pendant 30 minutes et préserve la température en dessous des 180° au côté opposé au feu. Cette performance est couverte par le PV EFECTIS EFR-19-V-005149 (marché français). Seuls le recours à une nouvelle génération de clips inox associés à des bandes intumescentes, le tout placés à des emplacements stratégiques, permet de préserver l'intégralité mécanique, l'étanchéité et l'isolation thermique de la porte WICSTYLE 75 FP EI30 durant 30 minutes.Concrètement, les clips inox sont mis en place sans usinages. Ils préservent la rigidité du système et garantissent le maintien du vitrage. Les bandes intumescentes auto-adhésives et optimisées, dissimulées derrière les joints de battement, s'expansent sous la montée en température et viennent combler les espaces entre vitrage et fond de feuillure. Les barrettes à rupture de pont thermique en polyamide recyclé sont essentielles dans l'obtention de la performance coupe-feu de cette porte, le rupteur thermique jouant pleinement son rôle.La fibre de verre qu'elles contiennent contribue à la meilleure résistance mécanique du profilé RPT face à la montée en température. La barrette extérieure (multi-chambres), sous brevet WICONA, apporte une résistance renforcée ; l'une des chambres étant conçue pour recevoir les vis de fixation des différents éléments de quincaillerie.Solution compétitive et esthétiqueLa force de WICONA est d'avoir conçu ses gammes de protection incendie comme des extensions de gammes existantes, sans en modifier les process de fabrication. Les performances coupe-feu et pare-flamme sont atteintes par simple ajout d'accessoires.Développée à partir des systèmes de portes (WICSTYLE 65 et 75) éprouvés et connus des clients, la WICSTYLE 75 FP EI30 reprend les solutions et équipements – paumelles à clamer en feuillure ou paumelles en applique, couvre-joints, équerres, poignées - avec lesquels ils ont l'habitude de travailler.Cette homogénéité des solutions et des équipements leur permet de proposer une solution économique, laissant une grande liberté dimensionnelle (jusqu'à 3,480 m de haut) et contribue aussi à l'optimisation des stocks et des temps de production.Une pérennité qui ne se fait pas au détriment de l'esthétique puisque la porte coupe-feu, disponible en un vantail, offre le même design, résolument contemporain, que celui des modèles 65 et 75 standards. Elle peut également être équipée de paumelles cachées ou visibles. Et parce que la protection incendie est un domaine de spécialistes, une formation aux spécificités incendie prodiguée par les experts WICONA est obligatoire dès la première commande.Solution durable et bas carboneToutes les applications « feu » de WICONA sont proposées en aluminium bas carbone recyclé Hydro CIRCAL®. Cet alliage de seconde fusion est le seul sur le marché à se composer d'au minimum 75% de matières recyclées post-consommation, provenant essentiellement de menuiseries aluminium issues de chantiers de déconstruction. Il affiche ainsi la plus faible empreinte carbone, soit 2.3 kg de CO² par kg d'aluminium produit.Caractéristiques techniquesOuvrant jusqu'à 3 480 mm de hauteur (1 vantail)Accessibilité PMR ou sans seuilUw = 1.3 W/(m2K), avec Ug de 1.1 W/(m2K)Acoustique : Rw (C;Ctr) = 48 (-1 ;-4) dBAEV A4 E1050 VC5/B5
Il y a 2 ans et 232 jours

Wicona renforce son offre sécurité incendie avec la nouvelle porte Wicstyle 75 FP EI30

La sécurité incendie est un point de plus en plus prégnant dans les appels à projets, marchés publics et privés confondus (ERP, établissements de santé, logements, tertiaire, etc.). En cette rentrée, WICONA complète son offre de porte avec la WICSTYLE 75 FP EI30 : une porte coupe-feu 30 minutes en aluminium recyclé Hydro CIRCAL®, ingénieusement équipée pour atteindre ces performances, sans insert coupe-feu. Conçue pour le marché du neuf comme de la rénovation, cette porte, développée comme une extension de gamme dont les clients maîtrisent déjà la fabrication, autorise de grandes dimensions et cumule performances techniques, esthétique et environnementale.L'ingénierie technologique et l'ingéniosité au service de la performanceLa porte WICSTYLE 75 FP EI30 de WICONA se distingue par son ingéniosité. En effet, la performance au feu EI1-30 est obtenue sans recourir à l'utilisation d'inserts coupe-feu. Le châssis reste stable, étanche au feu pendant 30 minutes et préserve la température en dessous des 180° au côté opposé au feu. Cette performance est couverte par le PV EFECTIS EFR-19-V-005149 (marché français). Seuls le recours à une nouvelle génération de clips inox associés à des bandes intumescentes, le tout placés à des emplacements stratégiques, permet de préserver l'intégralité mécanique, l'étanchéité et l'isolation thermique de la porte WICSTYLE 75 FP EI30 durant 30 minutes.Concrètement, les clips inox sont mis en place sans usinages. Ils préservent la rigidité du système et garantissent le maintien du vitrage. Les bandes intumescentes auto-adhésives et optimisées, dissimulées derrière les joints de battement, s'expansent sous la montée en température et viennent combler les espaces entre vitrage et fond de feuillure. Les barrettes à rupture de pont thermique en polyamide recyclé sont essentielles dans l'obtention de la performance coupe-feu de cette porte, le rupteur thermique jouant pleinement son rôle.La fibre de verre qu'elles contiennent contribue à la meilleure résistance mécanique du profilé RPT face à la montée en température. La barrette extérieure (multi-chambres), sous brevet WICONA, apporte une résistance renforcée ; l'une des chambres étant conçue pour recevoir les vis de fixation des différents éléments de quincaillerie.Solution compétitive et esthétiqueLa force de WICONA est d'avoir conçu ses gammes de protection incendie comme des extensions de gammes existantes, sans en modifier les process de fabrication. Les performances coupe-feu et pare-flamme sont atteintes par simple ajout d'accessoires.Développée à partir des systèmes de portes (WICSTYLE 65 et 75) éprouvés et connus des clients, la WICSTYLE 75 FP EI30 reprend les solutions et équipements – paumelles à clamer en feuillure ou paumelles en applique, couvre-joints, équerres, poignées - avec lesquels ils ont l'habitude de travailler.Cette homogénéité des solutions et des équipements leur permet de proposer une solution économique, laissant une grande liberté dimensionnelle (jusqu'à 3,480 m de haut) et contribue aussi à l'optimisation des stocks et des temps de production.Une pérennité qui ne se fait pas au détriment de l'esthétique puisque la porte coupe-feu, disponible en un vantail, offre le même design, résolument contemporain, que celui des modèles 65 et 75 standards. Elle peut également être équipée de paumelles cachées ou visibles. Et parce que la protection incendie est un domaine de spécialistes, une formation aux spécificités incendie prodiguée par les experts WICONA est obligatoire dès la première commande.Solution durable et bas carboneToutes les applications « feu » de WICONA sont proposées en aluminium bas carbone recyclé Hydro CIRCAL®. Cet alliage de seconde fusion est le seul sur le marché à se composer d'au minimum 75% de matières recyclées post-consommation, provenant essentiellement de menuiseries aluminium issues de chantiers de déconstruction. Il affiche ainsi la plus faible empreinte carbone, soit 2.3 kg de CO² par kg d'aluminium produit.Caractéristiques techniquesOuvrant jusqu'à 3 480 mm de hauteur (1 vantail)Accessibilité PMR ou sans seuilUw = 1.3 W/(m2K), avec Ug de 1.1 W/(m2K)Acoustique : Rw (C;Ctr) = 48 (-1 ;-4) dBAEV A4 E1050 VC5/B5
Il y a 2 ans et 232 jours

jk technic specialiste du caillebotis depuis 1996 sera present au salon batimat du 3 au 6 octobre 2022 a paris au parc des expositions de la porte de versailles

Le caillebotis, un revêtement incontournable dans l’industrie, la construction, l’architecture ou dans le domaine public.
Il y a 2 ans et 232 jours

SIPE, centrales à béton SELF pour la distribution en libre service

Sipe propose SELF, centrale à béton en libre service SIPE, producteur italien de malaxeurs et centrales à béton actif sur le marché depuis 1979, propose des solutions pour toute l’industrie du béton : chantiers de toute taille, fournisseurs de BPE, préfabricants, laboratoires, producteurs de réfractaires et de pavés.  La présence de SIPE en France est en fort développement, avec plusieurs centrales livrées et en cours de livraison cette année. Notamment les modèles mobiles – à trémies et à rayon raclant – et les centrales fixes qui sont de plus en plus nombreux dans l’Hexagone.  Parallèlement, l’industriel continue le développement et la promotion de ses centrales SELF pour la production de béton en libre-service, avec une gamme de solutions conçues pour servir les particuliers, carrières à agrégats et négoces de matériaux, fournisseurs de BPE, chantiers de grande taille et producteurs de blocs. La gamme proposée par SIPE s’appuie sur la connaissance du béton et l’innovation technologique, qui mènent à l’objectif primaire – qui est aussi le slogan de l’industriel italien : permettre à ses clients de produire du béton de qualité.  SIPE sera présent au salon BAUMA à Munich, du 24 au 30 octobre, stand 208, hall C1. Découvrez la gamme complète des centrales à béton SIPE : www.sipeitalia.com/fr/
Il y a 2 ans et 232 jours

Bords de routes, voies ferrées, et certaines terres agricoles seront sollicités pour produire de l'énergie solaire

Le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables qui sera présenté en conseil des ministres le 26 septembre portera notamment un volet de "libération du foncier", a précisé Emmanuel Macron jeudi lors de l'inauguration du premier parc éolien en mer français, au large de Saint-Nazaire.Avec l'abandon progressif des énergies carbonées pour respecter ses objectifs climatiques, la France va "massivement" accroître ses besoins en électricité, "de 40% d'ici 2050", a indiqué le président pour justifier ces projets."Dans les prochains mois et les prochaines années, nous installerons plus de panneaux solaires en identifiant tous les espaces qui s'y prêtent, en ville, au bord des routes", a déclaré M. Macron, en citant aussi "les grands parkings" où l'installation de panneaux "permet de générer des revenus complémentaires".Évoquant la "décarbonation des autoroutes", il a estimé que "les bords d'autoroute" et les "bords de voies ferrées" pourraient aussi accueillir des panneaux solaires. "Ça permet de protéger la beauté des paysages, tout en développant du renouvelable" a-t-il relevé."Je veux aussi qu'on puisse avancer sur l'agrovoltaïsme" – l'installation de panneaux solaires sur des terres agricoles - qui représente un "potentiel très important de complément de revenus" pour les agriculteurs, a-t-il poursuivi.M. Macron a toutefois insisté sur la nécessité de prévoir des "garde-fous" pour éviter qu'une production d'électricité "ne se substitue pas" aux champs, aux prairies et aux troupeaux, c'est à dire à la production alimentaire. "On sait que c'est faisable et il faut aller beaucoup plus vite", a-t-il dit. A cet effet, le gouvernement "doit présenter un amendement au projet de loi avant son passage au Sénat" pour tirer les conclusions des "concertations" récentes menées avec le Conseil de l'agriculture française et les jeunes agriculteurs, a indiqué le président.M. Macron s'était déplacé le 9 septembre à Outarville dans le Loiret pour le rendez-vous annuel du Congrès des jeunes agriculteurs (JA) "les Terres de Jim".En Europe, "nos voisins sont allés beaucoup plus vite, en particulier dans le nord ou dans le sud et tout ce qui est le bord de la mer Baltique avec une stratégie très forte aujourd'hui et le sud de l'Europe en matière d'énergies renouvelables", a-t-il relevé pour justifier l'accélération de ces énergies en France qui doit porter aussi sur l'éolien en mer et sur terre. L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) a identifié au total 843 friches industrielles et urbaines susceptibles d'accueillir des installations photovoltaïques, indique une circulaire récente, que l'AFP a pu consulter. Celle-ci a été envoyée par le gouvernement aux préfets pour organiser les délestages en cas de pénurie de gaz et d'électricité cet hiver et accélérer le développement des projets d'énergie renouvelable."Simplifier, accélérer et trouver des zones pour s'installer sont autant de thèmes que nous portons", s'est félicité le syndicat des professionnels de l'énergie solaire Enerplan jeudi soir après l'intervention du président."La nouveauté, c'est le mot important: agrivoltaïsme, car nous n'aurons pas d'autre choix pour atteindre nos objectifs (climat et énergie), et c'est intelligent car utile pour l'agriculture comme pour l'énergie", a-t-il ajouté. "Tout cela est cohérent avec nos attentes, il faudra voir la suite" a-t-il néanmoins prévenu.
Il y a 2 ans et 233 jours

Budget 2023 : le gouvernement veut montrer son "sérieux" tout en protégeant contre l'inflation

Pour contenir le déficit public à 5% du PIB, le projet de loi de finances pour 2023 table sur une hausse des dépenses inférieure à la hausse des prix, mais aussi sur une croissance économique de 1% l'an prochain, supérieure aux prévisions de la Banque de France (0,5%) et de l'OCDE (0,6%), notamment.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a reconnu les "aléas" qui entourent cette prévision, notamment la guerre en Ukraine, mais il a assuré que dans les circonstances actuelles, l'économie française "résiste" avec des fondamentaux qui "restent solides".A la sortie du Conseil des ministres, il a estimé que la prévision de croissance de 1% en 2023 était "crédible et volontariste".Réagissant aux critiques du Haut Conseil des finances publiques (HCFP), qui a jugé exagérément optimistes les hypothèses macroéconomiques du gouvernement, M. Le Maire a assuré ne pas être "sourd aux critiques". Mais "nous tenons notre ligne", a-t-il ajouté.Compte non tenu de l'inflation, la plupart des ministères voient leurs crédits budgétaires augmenter, à commencer par le premier d'entre eux, l'Education, qui gagne 3,7 milliards d'euros à 60,2 milliards.Les moyens de la Défense augmentent de 3 milliards, tandis que ceux de la mission Travail et Emploi, dévolus notamment à la formation professionnelle et à l'apprentissage, progressent de 3,7 milliards par rapport au budget rectifié 2022.Pour mieux assurer ses missions régaliennes, le gouvernement prévoit 10.764 postes supplémentaires de fonctionnaires pour l'Etat et ses opérateurs en 2023, en particulier dans les ministères de l'Intérieur, la Justice et l'Education nationale, contre seulement 294 prévus en 2022.Le ministre chargé des Comptes publics, Gabriel Attal, a tout de même réitéré l'objectif "de la stabilité de l'emploi public sur le quinquennat", laissant présager des diminutions de postes dans les années à venir. Au total, les dépenses de l'Etat devraient néanmoins diminuer de 9,6 milliards d'euros en raison de la baisse de régime du plan de relance et, à un moindre degré, du plan France 2030.Ligne rougeReste que la bonne tenue des finances publiques est compromise par les "engagements financiers de l'Etat", lesquels sont composés pour l'essentiel de la charge de la dette. Ils sont prévus au même niveau que le budget de l'Education, à 60,2 milliards d'euros.Dans ce contexte et pour permettre à la France de tenir ses engagements européens, le ministre de l'Economie a affirmé devant des journalistes que "la France est à l'euro près"."Je veux tracer une ligne rouge", a-t-il prévenu: "aucune nouvelle dépense" ne pourra être introduite au cours du débat parlementaire si elle n'est pas "financée à l'euro près".Ses déclarations n'ont pas suffi à rassurer le Medef, qui a dénoncé dans un communiqué le "manque d'ambition " du gouvernement pour réduire la dépense publique.De son côté, le Comité des finances locales, qui défend les intérêts financiers des collectivités, a critiqué par la voix de son président André Laignel (PS) un projet de budget "globalement calamiteux", qui "amplifie le recul de l'autonomie fiscale et financière" des exécutifs locaux.M. Le Maire a lui qualifié le budget de "responsable et protecteur dans des temps de grandes incertitudes", affirmant qu'"une voie étroite" existe pour rallier suffisamment de députés de l'opposition pour voter un texte que le gouvernement fera sinon adopter sans vote, en ayant recours à l'article 49-3 de la constitution.Le ministre a concédé qu'en raison de la mise en place d'un boulier tarifaire limitant à 15% en début d'année prochaine les hausses des prix réglementés du gaz et de l'électricité, le projet de budget "penche encore un peu trop du côté des énergies fossiles". Cela "ne peut que renforcer notre détermination à accélérer la transition climatique", a-t-il ajouté.Devant la commission des Finances de l'Assemblée nationale, il a appelé les énergéticiens qui proposent aux entreprises énergo-intensives des contrats de fourniture de gaz et d'électricité à des prix exorbitants à se montrer "solidaires de leurs clients". M. Le Maire a annoncé qu'il les réunirait dans ce but avec la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, "dans les prochains jours".
Il y a 2 ans et 233 jours

Rector : Avec l’industriel Techniwood

Cameleo est la solution constructive de Rector qui associe poteaux et prédalles. [©Rector] Présent sur Batimat, l’industriel du béton Rector a fait le choix d’investir la zone “Construction hors site”, située plutôt au milieu du hall 1. Un choix somme toute logique… Est-il utile de rappeler que la préfabrication est, par définition, la construction hors site ? Et ce, depuis plus d’un siècle… Rector y présente sa solution constructive Cameleo. Il s’agit d’une structure plancher-dalle, sans aucune retombée de poutres, qui vient en appui direct sur des poteaux. Cette approche impacte la manière de construire. Avec la seule présence des poteaux, les volumes intérieurs sont ouverts. Les contraintes liées aux murs et refends porteurs disparaissent. Les plafonds sont lisses par l’absence de poutres. D’un point de vue technique, Cameleo est un système complet, dont l’élément central est la prédalle SPD (Système Plancher-Dalle). Celle-ci intègre toutes les armatures nécessaires à sa tenue sans besoin de poutres porteuses. Les poteaux préfabriqués et les prémurs destinés aux cages d’escaliers et d’ascenseurs complètent le dispositif. Rector souligne que Cameleo s’inscrit en totalité dans une démarche d’éco-conception. D’où le choix de partager son stand avec l’industriel Techniwood qui, lui, présente, les solutions de remplissage. En particulier les éléments de façades non porteuses. Montrant que la mixité des matériaux est une réalité en construction et l’emploi du bon matériau au bon endroit, une démarche tout à fait pertinente. Batimat – Hall 1 – Stand L24 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 233 jours

La filière béton a des choses à dire

Le Sfic souhaite rappeler les engagements de la filière à l’horizon 2030 et 2050. [©ACPresse] Sous l’égide de Cimbéton, son pôle d’application, le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) s’installe à la porte de Versailles pour quatre jours. Une présence d’importance à l’heure de la mise en application de la RE 2020 et de la recherche de réduction de l’empreinte carbone des matériaux. En effet, l’organisme a plusieurs messages à faire passer. Le premier est de rappeler les engagements à 2030 et 2050 de la filière en matière de décarbonation de ses process industriels. L’autre est de confirmer que les matériaux béton et ciment sont conformes aux exigences de la RE 2020. En parallèle, le Sfic va apporter ses réponses aux enjeux de la construction de demain. Là encore, des rappels et des préconisations semblent nécessaires. Car il faut savoir comment éco-concevoir ? Comment et où aller chercher les bonnes évaluations environnementales ? D’autant qu’il y a beaucoup d’informations disponibles, presque trop… Quelles données utiliser, aussi ? Pour le Sfic, les Fdes constituent un passage obligé ou, a minima, la base Inies. Enfin, la filière organise une série de conférences. Une vingtaine est programmée à ce jour, intégrant les trois interventions du Cement Lab, qui fera pitcher, en particulier, neuf start-up. Pour en savoir plus, suivre ce QR-Code. Batimat – Hall 1 – Stand N 108 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 233 jours

Gaz à effet de serre : la France ne respecte pas son objectif

Pour l’Observatoire Climat-Énergie, développé par le Réseau Action Climat, la France ne respecte pas son objectif d’émissions nettes pour l’année 2021. Le principal écart vient de la moindre absorption des émissions par les forêts et les sols. Pour les secteurs émetteurs, la baisse des émissions de gaz à effet de serre reste insuffisante. Le secteur de l’industrie doit avancer plus rapidement dans sa transition, et ce malgré la reprise économique. Le secteur des bâtiments connaît un rebond en 2021 mais respecte son budget carbone en étant à 74,9 MtCO2e émises pour un objectif de 76,7 MtCO2e. Le résidentiel et le tertiaire ont tous les deux rattrapés leur niveau pré-pandémie, en étant respectivement à 1,2 MtCO2e en plus par rapport à 2021 pour le résidentiel, et à 1,7 MtCO2e en moins par rapport à 2021 pour le tertiaire. Les autres grands secteurs émetteurs, transports, agriculture, ne respectent que de justesse leur budget carbone alors que 2021 était encore une année marquée par le Covid, ce qui laisse craindre une reprise encore plus forte en 2022. La France a connu un rebond des émissions nettes* en 2021 et dépasse de plus de 20 MtCO2e son budget carbone, avec 404,4 MtCO2e émises pour un objectif de 384 MtCO2e.I l est donc nécessaire d’effectuer des changements structurels ambitieux pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, d’autant que les objectifs européens visent maintenant une réduction de -55 % des émissions nettes d’ici à 2030 par rapport aux -40 % sur les émissions brutes prévus actuellement pour la France.
Il y a 2 ans et 233 jours

Travaux en hauteur : le groupe Jarnias en pleine expansion

CROISSANCE. Le spécialiste des travaux en hauteur, Jarnias, poursuit son développement. Alors qu'il commence à se faire une place sur le marché suisse, il annonce l'acquisition d'Acousteam, un expert en solutions acoustiques visant à lutter contre la pollution sonore dans le bâtiment, les travaux publics, la voirie, ou encore l'industrie.
Il y a 2 ans et 233 jours

Seine-Saint-Denis : Innovation Rector et prédalles pour le village des athlètes

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. Environ 35 000 m2 de prédalles Rsoft signées Rector seront mis en œuvre dans les bâtiments du secteur E du Village des Athlètes. [©Rector] En 2024, le Village des Athlètes accueillera tous les sportifs en lice pour les Jeux olympiques. Il est situé sur les communes de Saint-Denis, de Saint-Ouen-sur-Seine et de l’Ile-Saint-Denis. Conformément à l’ambition de la Solideo, société en charge de la construction des lieux d’accueil pour la compétition, les bâtiments suivent des objectifs de réduction d’impact carbone. « Pour répondre aux cahiers des charges et atteindre les exigences environnementales attendues, le mode constructif de ces bâtiments repose sur la mixité des matériaux bois et béton bas carbone, explique Baptiste Retho, conducteur de travaux chez Eiffage Construction Habitat. Nous utilisons les bonnes solutions disposant d’une faible empreinte carbone au bon endroit. Ainsi, nous tirons le meilleur parti de chaque élément de structure. Et construisons durablement. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Le Village des Athlètes comprend différents secteurs ayant chacun son lot de réalisations. Au sein du secteur E, Eiffage Construction Habitat a retenu une innovation Rector pour 19 bâtiments. A savoir, les prédalles bas carbone Rsoft. Ces dernières permettent une réduction de 40 % de CO2, par rapport à une alternative classique. En effet, cette prédalle est composée d’armatures issues d’aciers recyclés et bénéficie d’un système de production optimisé. De plus, la dalle de compression est en béton formulé avec un CEM III. Sans compter que  le chantier est alimenté depuis le site de Rector Verberie (60). Une proximité qui participe à la réduction de l’empreinte carbone. « Sur chaque camion, il y a une vingtaine de prédalles. Ce qui correspond à 130 m2 de planchers. » A terme, ce sont environ 35 000 m2 de Rsoft qui seront mis en œuvre les bâtiments du secteur E. Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 233 jours

Seine-Saint-Denis : Spie Batignolles délivre et libère 80 ha pour la RTE

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. Spie Batignolles Génie Civil a mis en souterrain 4 lignes électriques existantes de 225 kV. [©Spie Batignolles] Afin de libérer du foncier à l’occasion des JO 2024, la Solideo a demandé au Réseau de transport d’électricité (RTE) de mettre en souterrain 4 lignes électriques existantes de 225 kV. Surplombant les communes de Saint-Denis, l’Ile-Saint-Denis et de Villeneuve-la-Garenne, les 27 pylônes et 15 km de câbles aériens seront démontés. Débloquant ainsi 80 ha de terrain. Pour ce faire, le RTE a choisi de recourir à un tunnelier à pression de boue. Il permettra de creuser une galerie à près de 50 m de profondeur. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Baptisé Ambre, le tunnelier de 120 m de long et 3,90 m de diamètre a réalisé une percée de 2,5 km de long. Durant cette opération, il avait une capacité de pose de 6 voussoirs, représentant un anneau. Au total 12 000 pièces préfabriquées ont été nécessaires pour la conception de cette galerie souterraine. Les voussoirs ont été fournis par Berthozat, basé à Ceyzeriat. La réalisation de la galerie a été attribuée à un groupement mené par Spie Batignolles Génie Civil et comprenant Spie Batignolles Fondations, Spac et Setec TPI. Après la phase de démantèlement du tunnelier Ambre, la galerie fera l’objet de travaux d’étanchéité. Un chantier indispensable, car la galerie souterraine se situe sous la nappe phréatique. La mise en service des lignes électriques est prévue en 2023 et le démontage des pylônes en surface entre 2023 et 2024. Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 233 jours

La FFB alerte sur la révision d'un texte européen, une "menace pour le secteur"

PRODUITS DE CONSTRUCTION. Les TPE et artisans du bâtiment pourraient-ils être concernés par des contraintes "initialement conçues pour l'industrie" ? C'est la crainte de la Fédération française du bâtiment (FFB), qui alerte sur ces possibles conséquences de la révision du règlement sur les produits de construction.
Il y a 2 ans et 233 jours

Rector : Décarbonation à tous les niveaux

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Rector dispose de 14 sites de production et de 17 dépôts, une organisation qui aide à limiter l’impact carbone. Siège du groupe à Mulhouse. [©Rector] A la fin du XIXe siècle étaient les Tuileries Oscar Lesage, entreprise familiale fabricant de tuiles et briques de terre cuite dans la région de Mulhouse. Au début des années 1960, les dirigeants alsaciens prennent le virage de la préfabrication béton, en lien avec les énormes besoins de construction de logements dans la période des Trente Glorieuses. En 1993, Lesage rachète Rector et devient licencié du procédé de poutrelles précontraintes Rector, avec la marque Lesage Préfabrication. C’est le début d’une aventure qui mène au groupe que nous connaissons aujourd’hui. En 2022, l’industriel représente en France 1 100 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 250 M€. Les 14 usines produisent chaque année 500 000 m2 de prémurs, 2 M de prédalles et 12 000 km de poutrelles. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 233 jours

Biosourcing et décarbonation primés aux Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. La start-up française CCB Greentech développe un béton composé à 90 % de bois. [©CCB Greentech] La protection de l’environnement, les matériaux biosourcés ou issus du recyclage et la décarbonation de l’acte de construire… Tels sont les thèmes forts qui occupaient une place prépondérante dans le cadre de la nouvelle édition des Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment. Deux catégories concernaient plus particulièrement des produits de la filière béton ou apparentée. • Développement des matières biosourcées Les solutions à base de matériaux biosourcés sont au cœur des préoccupations des professionnels du salon Batimat. Ainsi, l’Italien Isotex réinvente le bloc de coffrage avec Isotex Total Green, fabriqué en béton de bois, à partir de matériaux renouvelables et de récupération. Ce bloc coffrant apporte une fonction d’isolation thermique supplémentaire grâce à l’incorporation de l’isolant Neopor BMBcert de BASF, ici dans la version “Biomass Balance” du polystyrène expansé. De son côté, la start-up française CCB Greentech a développé un béton composé à 90 % de bois, issu de la région Auvergne – Rhône-Alpes. Quant à ParexGroup, il lance Parnatur Corps d’Enduit Chanvre, un mortier de dressement biosourcé au chanvre, bi-composant (liant et chènevotte). Enfin, Diasen, lauréat argent dans la catégorie “Interior & Garden”, propose Diathonite Thermostep.047. Il s’agit d’un mortier-chape écologique additionné de granulats de liège, qui est une ressource renouvelable. L’industriel utilise des bouchons et autres chutes de fabrication. • Accélération de la décarbonation des ciments et bétons Deux propositions aux Awards de l’Innovation s’attaquent de front à cette question de la décarbonation du secteur : Hoffmann Green Cement et Edilteco. Développé par Hoffmann, le H-Iona est le ciment le plus décarboné présent sur le marché. Il émet moins de 150 kg eqCO2/t, soit 6 fois moins qu’un ciment Portland classique équivalent… Pour sa part, Edilteco, assure aujourd’hui la distribution dans plusieurs pays d’Europe de la solution canadienne CarbonCure Technologies. Cette dernière n’est autre qu’un  un procédé d’injection de CO2 lors de la fabrication du béton. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 233 jours

Moselle : Meva renforce son activité

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. Meva renforce sa présence dans les pays du Bénélux. [©Meva] En début d’année 2021, Meva a acquis la société de location de coffrages Acropol, basée dans la ville de Landen en Belgique. Implanté entre Bruxelles et Liège, le site comprend un entrepôt de 3 000 m2, des bureaux, des salles de formation et d’exposition, ainsi qu’une zone extérieure de 20 000 m2 pour la logistique et l’entretien des coffrages. Un autre dépôt de distribution qui appartenait à Acropol est situé à Rodange, au Luxembourg. Ainsi, avec cette acquisition, Meva renforce sa présence dans les pays du Benelux. L’industriel propose désormais la location de sa gamme complète de produits et de services dans toute la région. Il présente par exemple le coffrage manuportable AluFix et de dalles MevaDec, le système de grands panneaux Mammut XT ou encore diverses solutions grimpantes et de plates-formes flexibles. De plus, l’acquisition d’Acropol garantit un accès proche et une grande flexibilité dans les régions voisines de France, notamment en Moselle (57), et d’Allemagne. Meva va aussi mettre l’accent sur la vente de coffrages et de prestations de service. Cette offre élargie profitera aux professionnels spécialisés dans la construction industrielle et le génie civil. Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 233 jours

Var : La chaux Saint-Astier au secours du fort du Pradeau

Article paru dans Béton[S]le Magazine n° 102 La Chaux Pure Tradi 100 – NHL5 de Saint-Astier a permis de réaliser des scellements pour la rénovation du Fort du Pradeau. [©Saint-Astier] Situé sur la pointe de la presqu’île de Giens au niveau de la commune de Hyères, le Fort du Pradeau a fait peau neuve. Propriété du parc national de Port-Cros, le site a fait l’objet d’un projet de rénovation qui s’inscrit dans une démarche de préservation du patrimoine local. Les travaux se sont déroulés entre décembre 2020 et février 2022, sous la houlette de l’entreprise Néotravaux. Les techniques et solutions mises en œuvre ont été sélectionnées avec soin, afin de respecter au maximum le mode constructif d’époque. Le plus gros enjeu du chantier a consisté à la reprise des chaînes d’angle et à la déconstruction/reconstruction de certaines parties de l’édifice. Lesquelles présentaient des fissures trop importantes ou enregistraient des pierres trop érodées. Ainsi, les moellons et les briques ont été scellés à l’aide d’un mélange de la solution Chaux Pure Tradi 100 – NHL5 de Saint-Astier et d’un sable choisi pour sa granulométrie (0/4) et sa teinte proche de celle du mortier existant. D’autre part, une fois que les murs ont été consolidés, la chaux a été utilisée pour la réalisation d’un enduit de finition. La poudrière, bâtiment particulièrement dégradé, a fait l’objet d’une attention particulière. Une partie de ses murs en moellons ont été restaurés ou remontés et son plafond voûté composé de briques, a aussi été rénové de la même façon. Au total, le chantier a nécessité 350 m2 d’enduit, 60 m2 de béton de chaux sur voûte pour la poudrière et 350 kg de coulis de confortement. Article paru dans Béton[S]le Magazine n° 102
Il y a 2 ans et 233 jours

Mills : Davantage de sécurité collective

Mills sécurise encore plus le montage de coffrages de planchers avec le garde-corps GCC. [©Mills] Associé à la tour d’étaiement Touréchaf et aux poutrelles MP3, le garde-corps GCC Mills permet de monter et de démonter en protection collective un coffrage horizontal traditionnel (composé de poutrelles) reposant sur des tours d’étaiement. Le GCC Mills est constitué de montants réglables verticalement et de lisses horizontales coulissantes et articulées. Il s’installe depuis une tour d’étaiement Touréchaf. Dans un premier temps, l’opérateur depuis la tour fixe sur cette dernière, les montants extensibles GCC en position fermée. Il les relie ensuite avec les lisses extensibles placées horizontalement. Comme pour un étai, il rehausse les coulisses des montants GCC une par une pour placer les lisses du garde-corps à la bonne hauteur par rapport au futur coffrage du plancher. La coulisse se règle à l’aide de trous espacés tous les 5 cm et d’une broche imperdable. Une lumière astucieuse permet un ajustement rapide de la sortie de la coulisse et du niveau du futur coffrage. Le GCC Mills fournit ainsi une plus grande sécurité, tout en améliorant le rendement de coffrage. Sa mise en œuvre est simple. Il est conçu et fabriqué en France dans l’usine Mills située en Corrèze. Batimat – Hall 4 – Stand D12 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 233 jours

L'activité des matériaux restée en retrait cet été, d'après l'Unicem

Les volumes de production de granulats et de béton prêt à l'emploi sont en repli (-"3,3"% et -2,4% respectivement sur un an, à la fin juillet) mais la demande "se maintient encore à des niveaux corrects" selon l'Unicem.
Il y a 2 ans et 233 jours

La centrale nucléaire qui devint un parc d’attractions

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Cette centrale nucléaire a été transformée en parc d’attraction ouvert au public. Une première mondiale ! [©Wunderland Kalkar] Réhabiliter une centrale nucléaire, jamais mise en service, pour en faire… un parc d’attractions. Il fallait y penser ! Construit sur un ancien site nucléaire, le Wunderland Kalkar est un parc d’attractions atypique. « C’est un emplacement unique, au bord du Rhin. Et c’est le seul parc d’attractions au monde installé sur une ancienne centrale nucléaire », insiste Han Groot Obbink, directeur général du parc. Situé en Allemagne, en Basse-Rhénanie, à la frontière néerlandaise, ce site de 80 ha est sans danger pour les nombreux visiteurs qui profitent, chaque jour, de plus de 40 attractions.  « Nous avons beaucoup communiqué à ce sujet, pour ne pas effrayer la population. » L’imposante tour de refroidissement de 42,30 m de haut est recouverte d’une fresque de paysage alpestre. Sa paroi en béton sert de mur d’escalade. Les bâtiments des turbines et du réacteur contiennent des chambres d’hôtel, des restaurants et des bars. Le tout dans des décors évoquant l’Egypte antique ou l’Ouest américain.  Une centrale mort-née… Dans les années 1970, l’Allemagne (à hauteur du capital de 68,5 %), la Belgique (14,75 %), les Pays-Bas (14,75 %) et le Royaume-Uni (2 %) décident de bâtir dans la ville de Kalkar une centrale nucléaire d’un genre nouveau, un “surgénérateur”. Ce dernier, ou SNR-300 (Schneller Natriumgekühlter Reaktor), est un réacteur nucléaire à neutrons rapides et à caloporteur sodium. C’est à Interatom, alors filiale de Siemens, qu’est confiée la construction du nouveau réacteur, qui commence fin 1973. Il aura fallu quelque 250 000 m3 de béton et 58 000 t d’acier pour la réalisation du site. Mais le projet soulève de nombreuses craintes. Ces protestations constituent un fait marquant dans l’histoire du mouvement anti-nucléaire en Allemagne. Et contribuent à la naissance du parti Alliance 90 / Les Verts. En effet, de dizaines de milliers de personnes se mobilisent alors contre ce projet dès 1974.  … Qui renaît en parc d’attractions Les considérations de sécurité autour de la nouvelle technologie que représente le refroidissement au sodium et les nécessaires modifications du projet accroissent les coûts d’environ 3,7 Md€. Des exigences de sécurité constamment modifiées, des procès en série, les catastrophes nucléaires de Three Mile Island, aux Etats-Unis et de Tchernobyl en URSS. Ou encore le contre-choc pétrolier de 1986… entérinent la mort du surgénérateur. Le projet est définitivement abandonné en 1991, après avoir englouti quelque 7 MdDM (environ 3,5 Md€) et mettant au chômage de centaines de personnes. Un entrepreneur néerlandais, Hennie van der Most, spécialiste de la reconversion de friches industrielles, rachète quatre ans plus tard le site et ses environs, pour quelque 2,5 MDM (1 M€). Aujourd’hui, Wunderland Kalkar accueille 500 000 à 600 000 visiteurs par an et emploie 440 personnes en haute saison (120 permanents).  Wunderland Kalkar Griether Strasse 110-120 47546 Kalkar +49 2824 9100  info@wunderlandkalkar.eu M. C. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 233 jours

Neustark : Captage de CO2 et granulats recyclés, le combo gagnant

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Neustark a commencé son développement en Suisse [©Neustark] Lancée en 2019, Neustark s’est ancrée dans une démarche environnementale et d’économie circulaire. Elle s’intéresse aussi bien au captage du carbone qu’au recyclage des bétons de démolition et à la fabrication d’un béton “écologique”. En effet, Neustark a développé toute une chaîne de valeur en Suisse. Il y a tout d’abord, un système de liquéfacteurs de CO2 capté dans l’atmosphère. Sous forme de conteneurs, la solution peut être implantée sur des sites industriels. Ensuite, le carbone à l’état liquide est transporté (à l’aide de camions roulant au biogaz) vers des recycleurs ou des producteurs de ciment ou de béton. Ici, le CO2 est mélangé dans des conteneurs Neustark, avec les granulats recyclés issus des bétons de démolition. « Ces déchets sont des puits de stockage de carbone », explique Valentin Gutknecht, co-fondateur de la start-up. Par minéralisation, le CO2 est transformé en calcaire. Ce matériau peut être utilisé comme alternative au ciment de clinker (une substitution allant, pour le moment, de 0 à 20 %), réduisant ainsi la facture carbone du béton. L’installation de transformation est mobile et s’adapte facilement à toutes les configurations industrielles. La solution de Neustark permet de stocker 10 kgeqCO₂capturé/m3 de béton. Elle peut ainsi éviter jusqu’à 20 kg de nouvelles émissions de CO₂/m³ de béton frais. L’industriel compte bien multiplier ces chiffres dès 2025, avec une nouvelle version de sa technologie. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 233 jours

Saint-Goblain Weber : La RSE par l’exemple

Marine Charles, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. [©ACPresse] Chez Saint-Gobain Weber, le programme RSE est porté par le slogan “#VertEtFier”. Pour autant, afficher un emblème n’a jamais été une fin en soi. L’action doit surtout être appliquée sur le terrain. « Notre stratégie de développement durable s’articule autour de trois axes : l’offre de produits, la manière de les produire et un engagement sur des modes constructifs plus vertueux », confirme Marine Charles, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. L’industriel a lancé nombre de démarches allant dans ce sens. Par exemple, il a fait le choix d’une électricité renouvelable. De quoi diviser par 3 les émissions de CO2 liées à l’électricité, soit une économie de 500 t/an. Autre engagement fort, l’économie de matières non renouvelables. Sur trois de ses usines (Bonneuil-sur-Marne – 94, Ludres – 54 et Nemours – 77), l’industriel utilise, à présent, des cendres de biomasse d’origines locales. Résultat : une substitution du ciment à hauteur de 15 % dans les mortiers-colles et de 30 % des fines minérales dans les mortiers et les bétons en sacs. Soit 1 700 t de matières premières économisées. Le site de Sorgues (84), lui, bénéficie d’un partenariat interne avec Saint-Gobain SEPR (industrie céramique). Ce dernier fournit son sable de moulage usagé, permettant un remplacement à 100 % de la charge minérale des mortiers produits. Réduire le gaspillage au maximum Toujours côté usines, certains process industriels ont été revus. Ludres a inauguré un système de récupération des matériaux générés lors de l’élaboration des enduits et des colles. Il s’agit des produits tombés sur les tapis, sous les ensacheuses. « A ce niveau, ce sont 145 t qui ont été réinjectées dans les produits finis en 2021. » Le site de Dissay (86), lui, a mis en place un processus permettant de réduire le volume de reliquats de chaque campagne de production. Cette initiative consiste à renvoyer le reliquat sur un seul bec d’ensacheuse au lieu de 4 auparavant, réduisant ainsi la perte globale. « Là, on parle d’une économie de 230 t/an ! » Un autre moyen de préserver la ressource est de prolonger la date limite d’utilisation des produits. Celle-ci passe à 1 an pour les produits en poudre, à 18 mois pour les enduits de façades et à 2 ans pour les colles à carrelage. Saint-Gobain Weber prend aussi soin de ses contenants. « Nous utilisons 50 % de plastique recyclé dans nos hausses, ce qui correspond à 450 t de polyéthylène vierge non utilisées et 1 000 t de CO2 non émises. » Idem pour les seaux, dont la moitié du polypropylène est issue du recyclage. Un accord de distribution exclusif Les mêmes seaux et autres sacs usagés profitent de points de collecte, grâce à un partenariat avec Rekupo. A présent, six sites Saint-Gobain Weber (Habsheim – 68, Heyrieux – 38, Ludres – 54, Mérignac – 33, Nemours – 77 et Sorgues – 84) assurent ce service. La mixité des matériaux et les nouveaux modes constructifs représentent un autre pan de la démarche engagée par Saint-Gobain Weber. Déjà, 4 systèmes d’ITE sur ossatures bois sont sous Avis technique : les webertherm XM Natura (basé sur un isolant liège), Fibre de Bois, Roche et PSE ECA. D’un point de vue esthétique, on retrouve les mêmes types de finitions minérales que sur maçonnerie. Enfin, la construction hors site laisse présager de beaux lendemains. La première étape s’appelle Tradical. « Depuis le 1er mars dernier, nous avons un accord avec le groupe Lhoist pour distribuer les produits de cette gamme », confirme Camille Fabre, nouvelle directrice stratégie et construction durable. Dans un second temps, des synergies devraient être mises en place avec des industriels de construction hors site, tant bois que béton. Des développements à suivre… Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 233 jours

Doka : L’échafaudage en ligne de mire

Doka se lance dans l’échafaudage… [©Doka] L’un des clous du stand Doka est la présentation de sa toute nouvelle activité d’échafaudage. Ceci, dans le cadre d’un partenariat stratégique avec l’industriel américain At-Pac mis en place depuis 2020. Sachant qu’At-Pac est né en 1995.  A Bauma est mis en avant l’échafaudage multi-directionnel Ringlock, qui s’articule autour d’un nœud à huit départs. L’offre compte tous les éléments nécessaires pour répondre aux besoins de la construction, quelle qu’en soit la nature. Doka présente en même temps le logiciel de gestion d’échafaudage Hi-Vis. L’univers du coffrage – raison d’être de l’entreprise – profite aussi de nombreuses innovations. Doka annonce ainsi « l’inauguration d’une nouvelle ère dans le coffrage de planchers, avec l’arrivée d’une famille de systèmes sans précédent ». Mais il faudra se rendre sur place pour en savoir plus… En revanche, on sait déjà que le coffrage-cadre Framax Xlife profite de plusieurs améliorations. Dont le lancement d’un panneau de 3 m de haut, parfait pour la construction résidentielle. Le Doka Xlight évolue de la même manière et voit la présentation de nouveaux composants permettant une utilisation du système aussi bien en coffrage de voiles que de planchers.   Le génie civil est, lui, le terrain de jeu du Doka UniKit. Poutres métalliques primaires, secondaires et tour 480 en constituant les composants de base. A assembler à loisir entre eux et/ou à intégrer à tous les autres systèmes de mâts porteurs de la marque.  Doka invite les visiteurs à tester ses solutions logicielles, dont la première s’appelle Easy Formwork Planner. Cette application mobile est destinée à rendre la planification de l’utilisation du coffrage presque intuitive. Smart Assistants, Smart Planning et Smart Site sont, elles, des solutions numériques visant à optimiser les opérations de chantier et à contribuer à l’augmentation de la productivité.  Enfin, Doka dévoile une dernière solution, lumineuse… SiteLight n’est autre qu’un support constitué de panneaux à Leds permettant l’affichage de panneaux publicitaires sur les chantiers.  Bauma – Zone extérieure FN – Stand 421 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 233 jours

Elematic : L’automatisation comme invitée vedette

Nouveau robot de positionnement des pièces de coffrage signé Elematic. [©Elematic] Le Finlandais Elematic met l’automatisation des usines de préfabrication en haut de l’affiche. Le premier à entrer en scène est le robot de positionnement des pièces de coffrage. Ceci, pour la production de murs pleins, de prémurs ou d’éléments plats. Ce robot est présenté comme le “chaînon manquant” de l’offre technologique complète d’Elematic en matière d’automatisation des process de production. Il entre aussi dans le champ d’utilisation de la suite de logiciels Plant Control. Cet élément central du passage à l’automatisation et des process de production sans papier rationalise, en effet, les opérations et les flux de travail, tout en minimisant les erreurs. Le second rôle de cette présentation est tenu par le Sawpreparer S5. Cette nouvelle famille de scies pour dalles ne se contente pas de nettoyer l’élément avant la coupe, il sait aussi tirer les torons de précontrainte, réduisant d’autant les interventions manuelles. Sa capacité de coupe va de 100 à 500 mm en profondeur et selon plusieurs angles possibles. Un carter télescopique protège la lame, ce qui réduit le bruit et bloque la projection de débris. Semi-automatique, la scie P7 constitue l’autre nouveauté dans la même famille. Elle offre une profondeur de coupe similaire.  Vient ensuite le Drillbeam E9. Cet outil de forage offre plusieurs fonctions. Non seulement il peut soulever les dalles pour les déposer sur les wagons de transport, mais ses trois forets intégrés peuvent percer en même temps et avec une précision tous les trous d’évacuation requis dans les planchers à âme creuse… Compagne du Drillbeam, le Wagon E9 est 100 % automatique et autonome, grâce à une alimentation par batterie. Des radars en assurent le guidage à travers l’usine. Bauma – Hall B1 – Stand 232 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 233 jours

Relooking intégral pour les ciments en sacs Lafarge

Les sacs Lafarge affichent dorénavant l’empreinte carbone propre à chaque ciment. [©Lafarge] Le groupe Holcim a mené un travail de longue haleine, pour aboutir à une nouvelle identité visuelle des sacs Lafarge. Il s’agit du premier chantier de refonte de packaging d’envergure internationale au niveau du groupe depuis 14 ans. Le nouveau packaging se débarrasse d’éléments non essentiels, en mettant en avant l’usage recommandé du ciment et de ses atouts clefs. Un traitement typographique unique remplace les anciens logos. La couleur historique attribuée à chaque ciment est conservée. De plus, l’indication de poids est déportée sur un côté, libérant ainsi plus d’espace. Les sacs sont ainsi plus faciles à reconnaître, grâce à une lecture immédiate de leurs qualités. En France, Lafarge dispose d’une gamme de ciments complète sur le marché avec pas moins de 10 produits. Un marquage environnemental qui évolue Afin de progresser vers une construction plus responsable, Lafarge affiche dorénavant l’empreinte carbone propre à chaque ciment. Ainsi que la réduction des émissions de CO2 comparé à un ciment Portland (CEM I). Selon les sacs, cet affichage apparaît de 2 manières. La première révèle un pictogramme en forme de flèche pour les ciments offrant une réduction de 20 % à 30 %. La deuxième applique l’Ecolabel du groupe Holcim, pour les ciments ayant une réduction supérieure à 30 %. La nouvelle forme ne change pas le fond Les ciments de la gamme Lafarge gardent la même qualité et les mêmes performances. Le nouveau design épuré et l’affichage environnemental servent à guider les clients dans le choix de produits nécessaires à leurs besoins. L’annonce de la performance carbone a aussi pour objectif de les inciter à réduire l’impact CO2 de leurs chantiers, dans le respect de la RE 2020. Une campagne 100 % digitale Avec l’aide de l’agence Fidji, Lafarge a conçu une campagne 100 % digitale pour attiser la curiosité de ses clients, maçons, particuliers et distributeurs. Sur Facebook, une campagne de teasing, volontairement décalée et qui donne peu d’indices, a été orchestrée du 23 août au 5 septembre dernier. Avant d’aboutir à une phase de révélation qui dévoile le nouveau design des sacs. Cette dernière est déployée sur une sélection des sites web de la presse spécialisée de la construction.
Il y a 2 ans et 233 jours

Nouvelle scie à onglets sans-fil GCM 18V-216 DC BITURBO Bosch Professional

Pour le travail du bois, Bosch continue d'étoffer sa gamme d'outils sans-fil BITURBO avec une nouvelle scie à onglets radiale : la GCM 18V-216 DC Professional. D'une puissance comparable à un outil filaire de 1 600 W, elle offre le plus grand nombre de coupes par charge de batterie de sa catégorie (jusqu'à 267 coupes dans du bois d'épicéa de 60 x 80 mm ), en utilisant le mode « Eco » et une batterie ProCORE18V de 8,0 Ah, et se distingue par sa grande capacité de coupe de 70 x 300 mm. Grâce à la technologie BITURBO Brushless, la GCM 18V-216 DC Professional développe des performances jusqu'à 40 % supérieures au meilleur modèle de la catégorie 36 V (confirmé par un institut de test indépendant).
Il y a 2 ans et 233 jours

Nouvelle scie à onglets sans-fil GCM 18V-216 DC BITURBO Bosch Professional

Pour le travail du bois, Bosch continue d'étoffer sa gamme d'outils sans-fil BITURBO avec une nouvelle scie à onglets radiale : la GCM 18V-216 DC Professional. D'une puissance comparable à un outil filaire de 1 600 W, elle offre le plus grand nombre de coupes par charge de batterie de sa catégorie (jusqu'à 267 coupes dans du bois d'épicéa de 60 x 80 mm ), en utilisant le mode « Eco » et une batterie ProCORE18V de 8,0 Ah, et se distingue par sa grande capacité de coupe de 70 x 300 mm. Grâce à la technologie BITURBO Brushless, la GCM 18V-216 DC Professional développe des performances jusqu'à 40 % supérieures au meilleur modèle de la catégorie 36 V (confirmé par un institut de test indépendant).
Il y a 2 ans et 233 jours

Fischer DuoLine : La polyvalence des chevilles bi-matières

La gamme de fixations DuoLine fischer regorge d'innovations technologiques. Uniques et polyvalentes, les chevilles multimatériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand, la dernière-née de la gamme, regroupent les meilleures caractéristiques techniques pour couvrir un large champ d'application. Bi-matières, elles sont aussi puissantes que résistantes. Ingénieuses, elles combinent plusieurs fonctionnalités qu'elles activent automatiquement en fonction des matériaux de construction dans lesquels elles sont installées. Fiables, elles offrent également des performances de charges élevées pour garantir un maximum de sécurité. Enfin, simples d'utilisation, elles sont faciles et rapides à installer. Dès aujourd'hui, les chevilles DuoLine se mêlent au majestueux roi des animaux pour faire des utilisateurs… le roi de la fixation ! Aussi fortes, agiles et rapides qu'un lion, les chevilles fischer possèdent de nombreuses qualités que la campagne inédite DuoLine ne manquera pas de mettre en avant. Ainsi à partir du 23 septembre et jusqu'au 25 novembre 2022, des supports physiques et digitaux vont être largement déployés pour un maximum de visibilité et ainsi faire rayonner la polyvalence des chevilles bi-matières fischer. fischer DuoLine : Des fixations innovantes pour tous les besoins
Il y a 2 ans et 233 jours

fischer DuoLine : La polyvalence des chevilles bi-matières

La gamme de fixations DuoLine fischer regorge d'innovations technologiques. Uniques et polyvalentes, les chevilles multimatériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand, la dernière-née de la gamme, regroupent les meilleures caractéristiques techniques pour couvrir un large champ d'application. Bi-matières, elles sont aussi puissantes que résistantes. Ingénieuses, elles combinent plusieurs fonctionnalités qu'elles activent automatiquement en fonction des matériaux de construction dans lesquels elles sont installées. Fiables, elles offrent également des performances de charges élevées pour garantir un maximum de sécurité. Enfin, simples d'utilisation, elles sont faciles et rapides à installer. Dès aujourd'hui, les chevilles DuoLine se mêlent au majestueux roi des animaux pour faire des utilisateurs… le roi de la fixation ! Aussi fortes, agiles et rapides qu'un lion, les chevilles fischer possèdent de nombreuses qualités que la campagne inédite DuoLine ne manquera pas de mettre en avant. Ainsi à partir du 23 septembre et jusqu'au 25 novembre 2022, des supports physiques et digitaux vont être largement déployés pour un maximum de visibilité et ainsi faire rayonner la polyvalence des chevilles bi-matières fischer. fischer DuoLine : Des fixations innovantes pour tous les besoins
Il y a 2 ans et 234 jours

Cemex : Dans l’air du temps

Le béton Vertua constitue l’offre bas carbone de Cemex. [©Cemex] Les PME, traditionnels visiteurs de Batimat, doivent prévoir une halte sur le stand Cemex. En effet, l’industriel du BPE y présente ses réponses aux enjeux de la construction d’aujourd’hui et de demain. En première ligne figure son offre de bétons bas carbone Vertua. Lancée en 2018, elle affiche une réduction de l’empreinte carbone pouvant atteindre la neutralité, grâce à un système de compensation des émissions produites. Mais pour y voir clair, Cemex indique les performances de ses bétons, non plus en pourcentages, mais en poids réels d’émissions. Hors compensation, celles-ci sont inférieures à 100 kg de CO2 par m3 de béton (qui pèse 2,35 t en moyenne, pour mémoire). Le second centre d’intérêt peut être Cemex Go. Il s’agit de la plate-forme d’intégration de la relation client de l’industriel. Digitale, celle-ci permet de demander une offre de prix, d’accéder à l’historique de ses commandes, de préparer les prochaines, de suivre les livraisons en temps réel ou encore d’accéder aux documents administratifs. Enfin, chacun peut découvrir la marque Cemex Circle, qui pilote l’engagement de Cemex dans l’économie circulaire et la protection de l’environnement. Batimat – Hall 1 – Stand M122 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 234 jours

Béton Mousse Technologie : Une mousse minérale dans les starting-blocks

Béton Mousse Technologie présente sa nouvelle Mousse Minérale. [©Béton Mousse Technologie] Matériau de remplissage léger, fluide et isolant, le béton mousse Aerolithys sera au centre du stand de Béton Mousse Technologie (BMT). Aujourd’hui, deux usages principaux sont à distinguer concernant ce produit. D’une part, comme ravoirage léger en bâtiment. D’autre part, comme remblai technique en génie civil. Et c’est pour cette dernière application que BMT vient de développer une centrale mobile de malaxage d’une capacité de production in situ de près de 100 m3/h… Mais c’est une autre innovation qu’il sera intéressant de découvrir. A savoir, la toute nouvelle Mousse Minérale, dont le développement vient de s’achever. « Les premiers chantiers tests ont eu lieu en septembre dernier, pour un lancement du produit début 2023 », indique Jacky Fronteau, président de BMT. Cette mousse cimentaire – dont le nom définitif n’a pas encore été calé – a été développée et formulée par Aerolithys. En plus d’un agent moussant de dernière génération, elle incorpore des liants de spécialités, dont la sélection a pu se faire grâce à l’étroite collaboration, sur le marché français, avec Imerys. Fabriquée in situ, selon un process de production très précis et maîtrisé, cette nouvelle mousse minérale est de type bas carbone, sans retrait et offre différentes durées de prise. Outre le ravoirage, le remplissage de structures préfabriquées en bois constituera un des principaux usages de ce matériau sous Avis technique de système. Batimat – Hall 1 – Stand P129 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 234 jours

Batimat : Retour aux sources

Le salon Batimat se tiendra à la porte de Versailles du 03 au 06 octobre.[©ACPresse] Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Après une édition annulée pour cause de Covid, le Mondial du Bâtiment fait son grand retour. Et réinvestit un lieu historique pour lui : à savoir, le Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. Sans doute, pour plus de convivialité. Le rendez-vous se tient du lundi 3 au jeudi 6 octobre, soit une durée raccourcie, mais avec des horaires élargis allant de 9 h 00 à 19 h 00. Pas de nocturne programmé, à chacun de profiter à sa guise de sa soirée parisienne. L’autre nouveauté est la dimension des stands : 99 m2 au maximum. Fini donc les mastodontes phagocytant l’espace et le visitorat au détriment des petits exposants. On peut donc considérer que cette édition du Mondial du Bâtiment devrait être très égalitaire… Comme tout salon professionnel, il constitue aussi et surtout une vitrine des tendances et de l’innovation. Les organisateurs ont vu les choses en grand, prévoyant un très large cycle de conférences. Enfin, des nouveautés produits sont à découvrir sur presque chaque stand. Nous vous en livrons ici un bref aperçu. Dossier préparé par Muriel Carbonnet et Frédéric Gluzicki Béton[s] le Magazine s’expose à Batimat « Vous nous avez manqué ! », pourrait être le leitmotiv de chacun des exposants sur le Mondial du Bâtiment. Après deux années bien sombres, en termes de rendez-vous professionnels – on s’en rappellera du Covid -, revoici enfin le retour de la vie en vrai. Sans écrans interposés, sans problèmes de connexion, sans poutres en faux chêne qui apparaissent en arrière-plan… C’est donc avec joie que nous nous apprêtons à vous accueillir sur notre stand numéroté P 134, au sein du Hall 1, dans la zone dédiée au gros œuvre, comme il se doit. Pour chacun de vous, c’est l’occasion de venir échanger avec l’équipe du journal, au grand complet. Pourquoi pas, d’acquérir quelques numéros plus anciens, dont l’indispensable n° 100 spécial anniversaire. Ou encore de découvrir notre superbe dictionnaire “Les bétons de A à Z”, dans sa 3e édition. Une fois que vous l’aurez vu, vous n’aurez qu’une seule envie : repartir avec ! Ça tombe bien, nous en avons encore un peu en stock, ainsi que des sacs pour faciliter son transport. Le rendez-vous est donc pris. Nous, on vous attend ! à batimat Hall 1 – Stand P134 Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Nouveautés Batimat Alphi : En haut du PodiumAltrad : Coffrage & Etaiement : une petite révolutionBeal : 16 nouveaux coloris exclusifsBéton Mousse Technologie : une mousse minérale dans les starting-blocksCCB Greentech : TimberRoc absorbe plus de CO2 qu’il n’en émetCemex : Dans l’air du tempsLe Cérib a le feu sacréCoffrages Cosmos : Cob+ Evo3, nouvelle banche-outilDiam Industries : Pour le sciage comme le perçageDiasen : Mortier renforcé de liègeEdilteco – CarbonCure : Maintenant en FranceEntrepose Echafaudages : Elle s’appelle… Noémi 3DHoffmann Green Cement : H-Iona à l’honneurHusqvarna Construction France : Le béton à 360°Isotex : Total GreenLayher : Toujours plus sécuriséLeviat – Plaka : Une solution “3-en-1”LPP : La tour MDS à tout niveauMills : Davantage de sécurité collectiveMT Béton : Première participationPeri : Le balcon sans contraintePRB : Un mortier sans cimentRector : Avec l’industriel TechniwoodSateco : Assembler toujours plus vite…La filière béton a des choses à direSGB – Hünnebeck : Le robot, l’escalier et le sabotTrimble : Tekla passe en version 2022Wacker Neuson : Un nouveau système d’assistanceWürth :  Evolution des écrous
Il y a 2 ans et 234 jours

Isotex : Total Green

Isotex intègre désormais un isolant issu de matières premières renouvelables. [©Isotex] Depuis 1985, Isotex a réalisé près de 400 000 logements éco-soutenables dans toute l’Europe. « Depuis 30 ans, nous sommes leader dans le secteur du bois béton, point de référence pour la réalisation de bâtiments et maisons parasismiques, en éco-construction et en accord avec les nouvelles règles de bâtiment », indique la marque. La nouvelle gamme de blocs éco-durables avec insert isolant thermique Isotex Total Green (100 % dérivé des ressources renouvelables) est une innovation qui permet de réduire les émissions de CO2 de 42 %. Et de remplacer jusqu’à 100 % des sources primaires par des matières premières renouvelables, durables et certifiées. Mais aussi d’obtenir un excellent niveau d’éco-efficacité. Et enfin, d’encourager l’économie circulaire. L’insert Isotex Total Green est fabriqué avec une isolation Made of Neopor BMBcert de BASF, dérivé des sources renouvelables, et qui caractérise la gamme Isotex de produits bois-béton (blocs et planchers). Neopor BMBcert est la version Biomass Balance du polystyrène expansible graphité Neopor de BASF. Batimat – Hall 1 – Stand T107 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 234 jours

Festival : Béton ? Ca se passe au Havre !

Un festival pas comme les autres, qui mêle la découverte architecturale de la cité havraise, la musique électro et rap, et aussi la gastronomie. [©Béton Le Havre] Trois jours et deux nuits pour découvrir le festival Béton Le Havre. Le soleil s’est invité tout le week-end. La ville était en pleine effervescence ce vendredi 26 août. Date de l’ouverture du festival. Et pas de Covid à l’horizon… Un festival pas comme les autres, qui mêle la découverte architecturale de la cité havraise, la musique électro et rap, et aussi la gastronomie. Né en 2019, l’évènement est porté par l’agence Bon Esprit (Emmanuel Brochec) et le collectif Intro (Julien Burel). Au programme, une trentaine de concerts et DJs sets, des balades axées sur l’architecture de la ville, des ateliers ouverts à tous, notamment avec l’équipe des French Vikings. Et un rendez-vous désormais incontournable, le dimanche au Marché aux poissons pour la “Criée Béton”. L’église Saint-Joseph et sa tour-lanterne, qui culmine à… 107 m. Si le bâtiment affiche la teinte brute du béton armé, c’est une symphonie de couleurs à l’intérieur… [©ACPresse]Quand le maire de la ville, Raoul Dautry, lui confie le projet de reconstruction de la ville, c’est une consécration pour Auguste Perret. Il déclare : « Je vois “un front de mer” qui regrouperait tous les monuments de la cité et escorterait les navires jusqu’à leur entrée au port. De hautes tours abriteraient les bureaux des grandes compagnies de navigation, des négociants, des industriels. Elles s’élèveraient bien au-dessus des maisons, qui ne dépasseraient pas 5 ou 6 étages ». [©ACPresse]Prouesse architecturale d’Oscar Niemeyer, l’ensemble monumental de 22 m de hauteur pour le grand Volcan et de plus de 12 000 m² au total, séduit par le dialogue instauré entre ses courbes audacieuses et le cadre urbain orthogonal d’Auguste Perret. [©ACPresse]L’homme derrière le renouveau du Havre dans les années 1950, c’est Auguste Perret (1874-1954), brillant architecte, visionnaire et avant-gardiste. Ici, la tour de la mairie du Havre qui s’élève à 72 m. [©ACPresse]L’église Saint-Joseph et sa tour-lanterne, qui culmine à… 107 m. Si le bâtiment affiche la teinte brute du béton armé, c’est une symphonie de couleurs à l’intérieur… [©ACPresse]L’homme derrière le renouveau du Havre dans les années 1950, c’est Auguste Perret (1874-1954), brillant architecte, visionnaire et avant-gardiste. Ici, la tour de la mairie du Havre qui s’élève à 72 m. [©ACPresse] Un duo à la tête du festival Rappelons que Le Havre a été, en grande partie, détruite à la fin de la Seconde Guerre mondiale. C’est l’architecte Auguste Perret qui a planifié sa reconstruction avec l’idée de faire table rase du passé et d’appliquer les codes de l’architecture moderne, somme toute classique ici, avec, comme matériau de prédilection, le béton. « Je suis Havrais pure souche. Je suis un amoureux de ma ville depuis longtemps. Quand j’étais ado, autour de moi, les gens n’aimaient pas leur ville, qui était décriée. Il fallait y remédier de façon ludique et pédagogique. En 2005, Le Havre est reconnu au patrimoine de l’Unesco (la partie reconstruite d’Auguste Perret, le Volcan d’Oscar Niemeyer…) et là, le regard des habitants a changé. Par la suite, j’ai créé l’évènement I love LH, qui a duré dix ans et qui détectait les talents locaux (musiciens, peintres, sculpteurs….). En parallèle, Emmanuel Brochec a fondé Hello Birds, à Etretat, qui fait partie de la communauté urbaine du Havre. Toujours dans le but de promouvoir le territoire. Et finalement, nous avons monté ensemble Béton Le Havre en 2019. La Ville a adhéré assez rapidement au projet », raconte Julien Burel, co-fondateur du festival. Au début des années 2000, la redynamisation de l’espace du Volcan s’engage avec l’accord d’Oscar Niemeyer. On voit encore l’empreinte des coffrages. [©Ville du Havre]Au début des années 2000, la redynamisation de l’espace du Volcan s’engage avec l’accord d’Oscar Niemeyer. On peut encore voir l’empreinte des coffrages. [©Ville du Havre]Au début des années 2000, la redynamisation de l’espace du Volcan s’engage avec l’accord d’Oscar Niemeyer. Le petit Volcan est transformé par Dominique Deshoulières en bibliothèque moderne, baignée d’une lumière zénithale.[©Ville du Havre]Au début des années 2000, la redynamisation de l’espace du Volcan s’engage avec l’accord d’Oscar Niemeyer. Le petit Volcan est transformé par Dominique Deshoulières en bibliothèque moderne, baignée d’une lumière zénithale.[©ACPresse]Lors du festival Béton Le Havre, on peut découvrir lors d’une visite guidée un appartement témoin des îlots Perret, logement typique des années 1950. Dès l’entrée, vous allez trouver un espace de vie où tout a été conçu pour optimiser la lumière naturelle. [©Ville du Havre]Prouesse architecturale, l’ensemble monumental de 22 m de hauteur pour le grand Volcan et de plus de 12 000 m² au total, séduit par le dialogue instauré entre ses courbes audacieuses et le cadre urbain orthogonal d’Auguste Perret. [©ACPresse] La grande salle de spectacle du Volcan a fait peau neuve dans les années 2000. Une excellente acoustique.[©Ville du Havre] Découvrir Le Havre autrement… C’est ainsi que les concerts ont pris place au pied de la sculpture “Catène” de Vincent Ganivet. Située près de l’entrée du port du Havre, cette installation a été créée, en 2017, pour marquer le 500e anniversaire du site. Elle se compose de conteneurs maritimes colorés disposés en deux arches.C’est une vraie volonté de faire connaître le territoire et découvrir la ville sous un regard nouveau lors de visites guidées, soit par un photographe, un graffeur, un géologue, un guide touristique… On entre ainsi dans le Volcan d’Oscar Niemeyer, depuis le parvis jusqu’aux coulisses de la salle de spectacle, en passant par la bibliothèque. Au fil de la visite se dévoilent toute la sensualité du langage du maître brésilien de l’architecture et les apports de la récente restructuration. On peut aussi découvrir un appartement témoin des îlots Perret, logement typique des années 1950. Dès l’entrée, vous allez trouver un espace de vie où tout a été conçu pour optimiser la lumière naturelle. L’architecture de Perret va vous apparaître résolument “moderne”. Ou l’église Saint-Joseph et sa tour-lanterne, qui culmine à… 107 m. Si le bâtiment affiche la teinte brute du béton armé, c’est une symphonie de couleurs à l’intérieur… Ces balades architecturales permettent d’entrer dans l’intimité du Havre, et de son visage et de ses antres en béton, loin de tout cliché. Pour la future édition en août 2023, Julien Burel et Emmanuel Brochec cherchent de nouveaux partenaires. Une idée séduisante pour vous, chers amis du béton… Au programme, une trentaine de concerts et DJs sets, des balades axées sur l’architecture de la ville, des ateliers ouverts à tous, notamment avec l’équipe des French Vikings. [©Aske]Le festival Béton Le Havre, c’est un format pluriel et une trentaine de concerts et DJs sets, des balades et ateliers axés sur l’architecture de la ville. [©Aske]Au programme, une trentaine de concerts et DJs sets, des balades axées sur l’architecture de la ville, des ateliers ouverts à tous, notamment avec l’équipe des French Vikings. [©Aske]Au programme, une trentaine de concerts et DJs sets, des balades axées sur l’architecture de la ville, des ateliers ouverts à tous, notamment avec l’équipe des French Vikings. [©Aske] Plus d’information ici. Muriel Carbonnet
Il y a 2 ans et 234 jours

Entrepose Echafaudages : Elle s’appelle… Noémi 3D

Noémi 3D accompagne les projets d’échafaudages et d’étaiements. [©Entrepose Echafaudages] Entrepose Echafaudages maîtrise le métier de l’échafaudage et de l’étaiement dans son ensemble, de la conception à la mise en œuvre, en passant par les études, la vente, la location et la formation des utilisateurs. C’est ainsi qu’à Batimat, l’industriel dévoile le logiciel Noémi 3D. Cet outil accompagne et facilite les projets d’échafaudages et d’étaiements de tous les acteurs de la construction. Pour cela, une équipe informatique a été recrutée et formée au métier de l’échafaudage et de l’étaiement. Elle assure le support et la formation des clients à cet outil. Mais Noémi 3D c’est quoi ? « C’est le logiciel le plus intuitif du marché qui permet de simplifier la conception d’échafaudages à tous les niveaux pour tous les acteurs du bâtiment et de l’industrie avec nos gammes de matériels ! Grâce à une interface intuitive, la modélisation des structures en 3D devient un jeu d’enfant. En seulement quelques clics, le tour est joué », souligne la marque. Batimat – Hall 4 – Stand D42 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 234 jours

Waste Marketplace : Le recyclage en quelques clics

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine En quatre clics, Waste Marketplace propose à ses utilisateurs les meilleurs choix de prestataires, en termes de rapport qualité/prix et de taux de valorisation. [©Waste Marketplace] C’est dans le cadre du parcours Intrapreneurs de l’incubateur Leonard (animé par Vinci), que Waste Marketplace a vu le jour en 2018. Fondée par Jérôme de Tomasi, la start-up s’est spécialisée dans la gestion des déchets de chantier et industriels. Le but ? Constituer un seul et même interlocuteur et faciliter au maximum le traitement des déchets. « En quatre clics, nous proposons à nos utilisateurs les meilleurs choix de prestataires, en termes de rapport qualité/prix et de taux de valorisation, explique Jérôme de Tomasi. Nous évaluons le besoin et nous nous occupons de la mise en relation avec les bonnes filières. » La start-up se charge ainsi des démarches administratives, des devis des prestataires, des reportings précis sur les émissions de carbone générées. Mais aussi, de la traçabilité des contenants. Une façon de répondre à certaines exigences de labellisation environnementales. Toutes ces informations restent à portée de clic pour les utilisateurs. Sur leurs chantiers, ceux-ci peuvent commander des bennes adaptées aux déchets à traiter. Ils choisissent les différentes options disponibles, les horaires et renseignent les contraintes. Ensuite, l’application permet de suivre l’état de traitement des déchets et d’accéder, en temps réel, aux données de traçabilité. Les utilisateurs peuvent aussi télécharger leurs rapports consolidés et contrôlés de leur taux de valorisation. Pour assurer un bon maillage territorial, Waste Marketplace recense 500 prestataires. Sur ses plus de 3 000 utilisateurs, principalement des grands comptes. En détail, 50 % concernent l’activité bâtiment, 25 %, les travaux publics et le génie civil, et 25 %, l’industrie. « La future Rep va aider à développer les filières de recyclage et inciter à mieux trier. » Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine