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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 2 ans et 238 jours

Réouverture du bâtiment B de l’université de Caen

L’université de Caen occupe une place à part dans l’histoire des universités françaises. Fondée au 15e siècle, elle est l’une des universités les plus anciennes. Détruite entièrement pendant la seconde guerre mondiale en 1944, sa reconstruction qui s’est étalée sur presque 10 ans a été l’occasion de repenser son organisation. Ainsi, Henry Bernard, son architecte urbaniste, avait décidé de rebâtir une université monumentale sur le modèle des « campus » à l’anglo-saxonne. Ce pari audacieux symbolisait la renaissance de la cité normande. 64 ans plus tard, la rénovation du bâtiment B, classé au titre des monuments historiques depuis 1962, est une nouvelle étape de l’évolution de l’université de Caen. La restauration du bâtiment B qui vient de se terminer, après 6 ans de travaux et 29 millions d’euros de budget, permet d’offrir aux étudiants des conditions d’apprentissage optimales grâce à de nombreuses innovations pédagogiques et à un cadre de vie de qualité, tout en mettant en place des innovations technologiques. Cette rénovation intégrale du bâtiment B, première grande étape des rénovations du Campus 1, témoigne de la stratégie de l’université de Caen en matière de gestion immobilière tournée vers l’avenir : des bâtiments connectés, performants énergétiquement, vecteurs de vie étudiante et d’animation et ouverts aux nouvelles manières d’enseigner en relation avec l’utilisation du numérique.Pour Lamri Adoui, président de l’université de Caen Normandie : « La rénovation intégrale du bâtiment B est un condensé de l’ambition écologique et technique de l’université en matière de gestion de son patrimoine immobilier et témoigne de la permanence de cette vision novatrice du célèbre architecte, Henri Bernard. Projet très ambitieux, cette rénovation vise à la fois l’excellence thermique et la modularité des espaces dans un patrimoine classé. »Histoire : Tel le Phénix, l’université de Caen renaît de ses cendresLe Bâtiment B du campus 1, classé monument historique, a été conçu après la deuxième guerre mondiale par le grand architecte Henri Bernard dans le cadre de la reconstruction du centre-ville de Caen après sa destruction pendant la bataille de Normandie. Achevé en 1967 et ayant subi de multiples modifications, le bâtiment était en mauvais état et nécessitait une rénovation complète pour retrouver son dessin initial et être en phase avec les usages contemporains.Les travaux entre traditions et innovationsFermé entre 2016 et 2022, le bâtiment B a été intégralement vidé pour n’en conserver que la structure primaire. En accord avec les architectes des Bâtiments de France et selon le projet initial d’Henri Bernard, des modifications des façades ont été opérées afin d’ouvrir le bâtiment sur le campus et sur la ville, de faire entrer plus largement la lumière naturelle et d’en faciliter la circulation.L’opération a duré 6 ans durant lesquels jusqu’à 25 corps d’état se sont succédés sur le chantier. Le budget total, hors équipements, est de l’ordre de 29 M€ apportés par l’université de Caen, la Région Normandie, le département du Calvados et le Plan de relance (France Relance). Malgré les « surprises » comme la présence d’amiante qui a nécessité un désamiantage complet (15.000 m2) et les retards générés par la crise sanitaire, le planning initial a été respecté. Le bâtiment B est prêt pour la rentrée de septembre 2022 grâce, notamment, à la maîtrise de la technologie BIM (modélisation des données du bâtiment) par les équipes de l’Université.Des innovations technologiques...Afin de répondre à l’ambition de l’université en termes de développement durable, le bâtiment intègre les impératifs écoresponsables actuels. Ainsi, en choisissant la pose de fenêtres ultraperformantes alliées à une chaudière biomasse bois-gaz, l’université́ anticipe le durcissement de la règlementation en matière de consommation énergétique. De plus, le recours à des matériaux biosourcés a été privilégié par l’architecte ; ainsi, les menuiseries (tablettes, chaises) sont en hêtre, un bois local. Par ailleurs, un système de récupération de l’eau de pluie assure une part significative de la consommation du bâtiment....Aux innovations pédagogiquesL’innovation pédagogique est au cœur de la restauration du bâtiment. C’est pourquoi, l’équipe du CEMU, le service d’appui à la pédagogie de l’université qui accompagne les enseignants dans leur démarche pédagogique et l’intégration du numérique dans leurs enseignements, va prendre ses quartiers au 3ème étage du bâtiment B. Dès à présent, les enseignants peuvent utiliser tous les outils digitaux à leur disposition et compter sur les ingénieurs pédagogiques du CEMU pour les épauler dans leur démarche pédagogique, notamment dans l’intégration du numérique dans leurs enseignements.Afin de mettre les étudiants dans les meilleures conditions d’apprentissage, un ensemble de 18 salles de travail connectées d’une capacité de 8 et 12 personnes facilitant le travail collaboratif autour d’un écran sont réparties dans le bâtiment. Cela permet aux étudiants de se retrouver, d’échanger et de se poser. L’idée est de favoriser le travail collaboratif en mode projet. Les salles de cours intègrent tous les outils numériques (prises réseaux, WiFi) et les équipements audiovisuels (vidéoprojecteurs, écrans, casques, etc.). Certaines salles de cours sont modulables et peuvent, si nécessaire, devenir des grandes salles d’examen grâce à un jeu de cloisons mobiles, spécialement étudiées pour offrir une isolation phonique adéquate lorsqu’elles séparent les salles.Le bâtiment possède même son propre plateau d’enregistrement vidéo et son studio audio de qualité professionnelle.
Il y a 2 ans et 239 jours

Val-d’Oise : le Sedif poursuit les travaux de transformation de son usine pour produire une eau pure, sans calcaire et sans chlore

À Méry-sur-Oise (Val-d’Oise), le Syndicat des eaux d’Ile-de-France (Sedif) poursuit les travaux de modernisation de son usine de production...
Il y a 2 ans et 239 jours

Val-d’Oise : le Sedif poursuit les travaux de transformation de son usine pour produire une eau pure, sans calcaire et sans chlore

À Méry-sur-Oise (Val-d’Oise), le Syndicat des eaux d’Ile-de-France (Sedif) poursuit les travaux de modernisation de son usine de production...
Il y a 2 ans et 239 jours

L'entreprise Le Foll TP rejoint le groupe Spie batignolles

Historiquement implantée dans l'Eure, à Corneville-sur-Risle, Le Foll TP est une entreprise familiale créée en 1922 et reprise par Madame Sophie Le Foll au décès de son fondateur, Monsieur Pierre Le Foll. Elle est dirigée depuis plusieurs années par Monsieur Pierre Gil. En plus de son siège social, Le Foll TP dispose de 3 agences situées à Pont-Audemer (27), Caen (14) et Andrésy (78).Le positionnement client et la zone géographique couverte par cette entreprise complètent parfaitement l'offre proposée par Spie batignolles et sa branche Travaux Publics et Environnement composée de Spie batignolles malet, Spie batignolles valérian, Spie batignolles favier et Spie batignolles vallia (travaux routiers, terrassement, paysage).Pour Eric de Balincourt, directeur général de la branche infrastructures de Spie batignolles : « Spie batignolles a toujours affirmé sa volonté d'élargir ses positions à l'ensemble du territoire national sur ces métiers. Fort de notre ancrage sur toute la moitié sud de la France avec les équipes de Spie batignolles malet et de Spie batignolles favier, l'acquisition de la société Le Foll TP va désormais nous permettre de rayonner sur toute la Normandie mais aussi l'Ile de France et de développer des synergies clients fortes. Nous sommes très heureux d'accueillir ces équipes au sein de notre Groupe ! »Trois autres sociétés sont également concernées par ce rachat :Transloc, spécialisée dans le transport et la location de matérielsLennuyeux, entreprise de démolition dans le bâtiment, l'industrie et les ouvrages d'artSepra, société de construction qui intervient sur des petits programmes résidentiels et des équipements publics.L'ensemble représente un chiffre d'affaires annuel de 45 millions d'euros et 270 collaborateurs.Parmi les références en grands projets de ces équipes, citons la construction de l'A28 sections Rouen (76) - Alençon (61) et Rouen - Neufchâtel (76) ou encore de l'A29 entre Beuzeville (27) et Honfleur (14), de l'A88 de Sées à Falaise (61) ou l'élargissement autoroutier de l'A13 et de l'A31 de Crimolois (21) à Langres (52).Pour Sophie Le Foll qui transmet la présidence de l'entreprise à Jean-Charles Robin, président de Spie batignolles : « Je tiens à remercier chaleureusement l'ensemble des collaborateurs de la filiale historique du Groupe pour tout le chemin parcouru au cours de ces longues années, parfois dans des conditions de marché difficiles et suis satisfaite de passer la main à un acteur majeur et reconnu qui partage nos valeurs. Je suis convaincue que ce rapprochement est une magnifique opportunité de croissance et de développement pour le futur groupe constitué. »Les différents acteurs de l'opération ont été assistés des conseils de Natixis Partners et de Fieldfisher pour les cédants et de ceux de King & Spalding, Pwc et Arsène pour Spie batignolles.
Il y a 2 ans et 239 jours

Menace de fermeture d'une usine Saint-Gobain près de Lyon : les salariés mobilisés

RÉORGANISATION. Le site vénissian (69) de l'entreprise Savoie Réfractaires, filiale du groupe Saint-Gobain spécialisée dans les matériaux réfractaires, pourrait fermer ses portes en 2023. Si les salariés tentent de sauver leur usine, Saint-Gobain semble davantage tabler sur le dialogue et le reclassement.
Il y a 2 ans et 239 jours

Parution du Smart Guide de la RE2020 – Construire des logements avec les Smart Systèmes en Béton

Un guide édité par la FIB, avec le concours du Cerib, pour valoriser les performances environnementales et énergétiques des solutions préfabriquées en béton Édité par la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB), avec le concours du Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton (Cerib), Le Smart Guide de la RE2020 – Construire des […]
Il y a 2 ans et 239 jours

25 ans après son interdiction, l’amiante continue de peser sur nos vies

Un numéro hors-série de 84 pages, pour rouvrir le dossier de l’amiante, véritable boîte de Pandore, dont on n’a pas fini de mesurer les conséquences. Une enquête fouillée et édifiante sur les millions de tonnes de matériaux toxiques qui subsistent dans de nombreux bâtiments, notamment dans les écoles de la République. Le média révèle également, alors même que leur importation est formellement prohibée, que des produits manufacturés contenant de l’amiante continuent de franchir les frontières de l’Europe. Un nouvel acte, dans cette tragédie sans fin, est en train de se jouer.L’amiante d’aujourd’hui, ce sont les cancers de demainPour réaliser ce hors-série consacré aux 25 ans du scandale de l’amiante, la rédaction d’Infodiag a interrogé de nombreux grands témoins, dont la sociologue de la santé Annie Thébaud-Mony, présidente de l’Association Henri-Pézerat, du nom de son compagnon, lanceur d’alerte en matière d’amiante dès les années 1970. Pour cette spécialiste des maladies professionnelles, on peut véritablement parler d’un « crime industriel ». « J’ai été impressionnée par la mortalité précoce chez les ouvriers. Mourir d’un cancer à 40-50 ans n’est pas la même chose que de mourir d’un cancer à 80-90 ans. Je ne m’y fais pas, je trouve toujours ça terrible », souligne-t-elle. Dans cet entretien, Annie Thébaud-Mony évoque également avec colère les années 80, et « l’usage contrôlé de l’amiante » qui constituait à ses yeux une véritable mystification. Pendant longtemps, rien n’a bougé. Et puis, en 1995, des études publiées en Grande-Bretagne ont montré que l’on s’acheminait vers une catastrophe sanitaire similaire à celle du sang contaminé. C’est alors que le couvercle a sauté.Seule une volonté politique peut changer la donne…Suite à son interdiction de 1997, la production et la commercialisation de l’amiante ont été stoppées. Mais le combat n’est pas fini. Les équipements de protection respiratoire utilisés sur les chantiers ne sont pas suffisamment étanches pour éviter l’inhalation de fibres d’amiante. Il faut donc abaisser encore les valeurs limites de façon drastique et envisager des équipements comme ceux utilisés dans l’industrie nucléaire. Le problème tient au coût très élevé du désamiantage. À partir de là, les considérations économiques reprennent le pas sur la santé. Le ministère du Travail ou les parlementaires arguent qu’un renforcement de la réglementation mettrait les entreprises en difficulté avec des milliers d’emplois supprimés.Pour Aline Archimbaud, qui a présidé le Comité de suivi de l’amiante au Sénat, autre grand témoin interrogé par Infodiag : « Seule une volonté politique, avec un pilotage national, peut changer la situation. Nous ne pourrons pas tout désamianter du jour au lendemain, vingt, trente ans ou plus seront nécessaires. Si nous n’avons pas une stratégie nationale pour identifier les urgences, nous ne nous en sortirons pas. »L’amiante à l’école : une vraie bombe à retardementLe hors-série d’Infodiag révèle un autre scandale. En France, 8 établissements scolaires sur 10 sont concernés par l’amiante, sans que l’on sache forcément où il se trouve. La réglementation est sans doute bien faite, mais elle demeure très mal appliquée dans les écoles de la République. La seule enquête réellement sérieuse qui ait été menée sur le sujet remonte à 2016. 20.000 établissements ont alors répondu à un questionnaire de l'Observatoire national de la sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement (ONS), organe de l'éducation nationale aujourd'hui disparu. Ce qu’il en est ressorti : 85% des établissements scolaires français sont sortis de terre avant 1997. Leurs bâtiments sont donc concernés par l’amiante et par l’obligation de remplir un Dossier technique amiante (DTA). Or, 30% des établissements ayant répondu à l’enquête ont indiqué ne pas disposer de ce document.38% des DTA des écoles publiques comptent au moins un matériau amianté (cela s’élève à 77% pour les lycées publics et 80% pour les lycées professionnels).En 2022, l’amiante continue de frapper durement le corps enseignant. Chaque année, on recense peu ou prou une douzaine de maladies professionnelles liées à l’amiante ; soit près de 10% des maladies professionnelles reconnues au sein de l’Éducation nationale.
Il y a 2 ans et 239 jours

Face à la crise, trop de passoires thermiques

Selon France Info, l’exécutif prévoit de relever le budget du dispositif “Ma Prime Rénov” passant d’une enveloppe de 2 milliards d’euros en 2022 à une enveloppe de 2,6 milliards d’euros dans le projet de loi de finances 2023. Alors que nous nous apprêtons à affronter des risques de pénuries, cet hiver, aussi bien au niveau des énergies fossiles que de l’électricité, une étude dévoilée cet été dresse un bilan inquiétant du nombre de passoires thermiques. Selon elle, sur les 30 millions de résidences principales que compte la France au 1er janvier 2022, environ 1,5 million de logements (5 % du parc) seraient peu énergivores (étiquettes A et B du DPE). À l’opposé, environ 5,2 millions de logements (17 % du parc) seraient des « passoires énergétiques » (étiquettes F et G du DPE). La date de construction du logement, sa taille, sa localisation, le caractère individuel ou collectif de l’habitat et le statut d’occupation figurent parmi les caractéristiques influant sur les performances énergétiques. La part des passoires énergétiques est plus élevée dans les résidences secondaires (32 %, soit 1,2 million de logements) et dans les logements vacants (27 %, soit 0,8 million de logements) ce qui porte l’estimation du nombre de passoires énergétiques à un total de 7,2 millions de logements sur l’ensemble du parc. La nouvelle méthodologie du DPE, en particulier sa nouvelle échelle de classement des logements, combinant des critères de consommations énergétiques conventionnelles et d’émissions induites de gaz à effet de serre, conduit à une plus grande part de logements chauffés aux énergies fossiles parmi les passoires énergétiques. L’observation de ces performances est aujourd’hui rendue possible par la collecte par l’Ademe de l’ensemble des DPE réalisés en France. Elle n’en demeure pas moins complexe, l’exploitation de la base des DPE de l’Ademe à des fins statistiques se heurtant à plusieurs limites. Les DPE sont en effet réalisés à certains moments de la vie des logements, lors des transactions et des mises en location. Ils ne sont donc pas représentatifs du parc (les logements neufs étant notamment surreprésentés). Cette difficulté est traitée ici par le recours au répertoire de logements de l’Insee «Fidéli», qui permet d’assurer la représentativité des résultats par rapport à certaines caractéristiques observables des logements potentiellement liées à la performance énergétique, telles que leur caractère individuel ou collectif, leur date de construction, leur surface, la qualité du bâti, etc. Source : étude de l’Observatoire national de la rénovation énergétique (ONRE) – juillet 2022  
Il y a 2 ans et 239 jours

Mastic silicone A10 Würth : une nouveauté haute performance

Grâce à sa qualité premium de type Alcoxy, ce mastic est plus respectueux des utilisateurs et de l’environnement. Il est polyvalent et possède de très bonnes caractéristiques d’adhérence sur un grand nombre de surfaces et de supports rencontrés dans l’industrie du bâtiment.Une forte technicitéIl dispose d’une grande facilité d’extrusion à toute température. Sa densité élevée lui permet d’être facilement lissable, pour une finition exceptionnelle au niveau des joints d’étanchéité. Sa polyvalence permet une adhérence optimale sur de nombreux supports, notamment sur les PVC ainsi que sur les aluminiums laqués ou anodisés. Le nouveau mastic A10 Würth dispose des labels SNJF Façade et Vitrage, d’une déclaration de performance (DOP) et d’une classification A+ au niveau dégagement des composés organiques volatiles (COV). Il est résistant aux U.V., aux agressions chimiques extérieures, à la pluie, à la température et au vieillissement.Domaines d’applicationsConvient parfaitement pour la réalisation de joints d’étanchéité et de collages dans les domaines de la construction et de la menuiserie. C’est également un obturateur élastique en vitrerie-miroiterie, sur cadres aluminium thermolaqués ou anodisés, murs rideaux et façades. Ses propriétés lui confèrent une très bonne adhérence sur aluminium, aluminium anodisé, cuivre, acier, acier zingué, inox, zinc, polyester, polystyrène, verre, PVC, bois, béton, …Utilisation – mode d’emploiL’application se réalise à l’aide d’un pistolet manuel, pneumatique ou à batterie. Il faut ensuite utiliser une spatule pour lisser le mastic. Pour une finition optimale, utiliser un agent de lissage. L’élimination du mastic encore frais et non réticulé se fait à l’aide d’un solvant adapté et non agressif. Seule une action mécanique pourra enlever le mastic sec.Le mastic silicone A10 est disponible en teinte blanche (Art. N° 0892 857 32) et en translucide (Art. N°0892 857 33).
Il y a 2 ans et 240 jours

La Fondation Holcim en deuil après le décès d’Edward Schwarz

Edward Schwarz a été directeur général de la Foundation Holcim depuis sa création en 2003 jusqu’à 2021. [©Fondation Holcim] C’est avec une grande tristesse que la Fondation Holcim a annoncé, le 3 août 2022, le décès soudain d’Edward Schwarz, son ancien directeur général. Fondateur de l’institution en 2003, son dévouement, son énergie et sa passion ont contribué à faire connaître la Fondation partout dans le monde, à travers des projets innovants de construction durable. Décrit comme quelqu’un de modeste, chaleureux, enthousiaste et d’une conviction sans faille, Edward Schwarz a grandement contribué à faire connaître l’architecture suisse et internationale. Il a façonné à son image la Fondation, en mettant en lumière le rôle fondamental de l’architecture, de l’ingénierie, de l’urbanisme et de l’industrie du BTP dans la construction d’un avenir durable. Retraité en 2021, il se réjouissait de vivre de nouvelles aventures.
Il y a 2 ans et 240 jours

Des gants alliant confort – écologie – sécurité signées Würth

Les nouveaux Ecoline E-100 par Würth [©ACPresse] Pour assurer la sécurité des travailleurs, Würth lance ses nouveaux gants Ecoline E-100. Fabriqués à partir de coton recyclé, ces gants allient confort, sécurité et style. Le tissu de renfort et le latex naturel robuste permettent une bonne prise en main. Utilisables dans des environnements aussi bien secs qu’humides, ils sont durables et ne se détériorent pas. Les gants Ecoline E-100 assurent la sécurité du travailleur. Ils protègent même contre une chaleur de 250 °C sur une courte durée. L’alliance du blanc et du vert assure une esthétique efficace qui ne passera pas inaperçue.   Würth, l’appui sur la sécurité Depuis plusieurs années, le groupe allemand Würth s’implique dans la sécurité des travailleurs. L’industriel commercialise notamment des échafaudages sécurisés, des armoires de sécurité ou des rubans de signalisation. Il propose aussi aux professionnels des vêtements haute visibilité et des chaussures de sécurité. Depuis 2020, Würth France forme les professionnels à la sécurité au travail. Ces formations sont données dans leur centre spécialisé : le “Würth training center”. 
Il y a 2 ans et 240 jours

Journées portes ouvertes de l'Unicem, à la découverte des carrières

Les 16, 17 et 18 septembre 2022, l'Unicem, Fédération de producteurs de matériaux minéraux, organise des journées portes ouvertes pour le grand public. (Photo © Lafarge Granulats)
Il y a 2 ans et 240 jours

Le projet de giga-usine de panneaux solaires de Carbon trouve un nouvel investisseur, ECM

Le groupe industriel ECM est entré au capital de la start-up française Carbon, qui porte un projet de "giga-factory" de panneaux photovoltaïques nécessitant près de 6 milliards d'euros d'investissement.
Il y a 2 ans et 240 jours

Isonat reçoit une subvention de l’ADEME dans le cadre de son engagement en faveur de la décarbonation

Décarboner son industrie est une priorité pour Isonat, en droite ligne avec l’objectif Net Zero Carbon de Saint-Gobain et ISOVER. Cet engagement fort a été récompensé par l’ADEME, qui a décidé de financer à hauteur de 850 000 euros cette réduction des émissions de CO₂, qui sera réalisée à l’occasion de la refonte de l’outil […]
Il y a 2 ans et 240 jours

MYLIGHT SYSTEM lance le module QUARTZ 425WC : un meilleur rendement pour encore plus de production solaire sur les toitures !

Équiper tous les bâtiments en panneaux photovoltaïques pour déployer le maximum d’énergie verte et locale, est le coeur de mission affirmé par le fabricant et fournisseur d’énergie MyLight Systems. Le potentiel est immense, pour autant les toits ont un espace limité. Avec l’électrification croissante des usages, le défi du spécialiste de l’autoconsommation solaire est de […]
Il y a 2 ans et 240 jours

Rector & Techniwood : l’association de la préfabrication industrielle béton et bois pour une décarbonation intelligente des bâtiments

Pour son retour sur le salon BATIMAT, RECTOR, spécialiste de la préfabrication d’éléments en béton, a ainsi souhaité partager son stand avec TECHNIWOOD, industriel français leader des façades biosourcées préfabriquées en bois. Cette association a pour objectif de proposer des solutions de préfabrication industrielle bois et béton hors-site pour une décarbonation intelligente des bâtiments.Une vision partagée de la construction durable et de la construction hors-siteGrâce à ses gammes de produits et systèmes préfabriqués bas carbone, RECTOR est résolument engagée en faveur de la décarbonation, démarche qui s’inscrit dans la stratégie RSE de l’entreprise.Spécialisé depuis 10 ans dans la fabrication de systèmes constructifs en bois (ossature bois, charpente, CLT) et particulièrement de façades bois préfabriquées avec son produit innovant Panobloc® 100% made in France, le groupe TECHNIWOOD affiche également sa volonté de s’inscrire dans une démarche vertueuse en faveur de la transition énergétique.Pour Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique de Rector : « Nous avons eu l’occasion de rencontrer les équipes de Techniwood sur des actions de prescription commune, et très rapidement, nous avons réalisé que nos visions et nos valeurs étaient très proches. »Les deux entreprises croient en la complémentarité des matériaux béton et bois car chacun dispose d’atouts propres qui justifient leur mise en œuvre au meilleur endroit pour répondre aux contraintes des bâtiments durables (thermique, acoustique, feu, bas carbone,...).Pour favoriser le développement de la construction hors-site, RECTOR et TECHNIWOOD sont convaincus qu’il est primordial de :s’appuyer sur les compétences des entreprises générales et de gros œuvre et de les accompagner, le plus en amont possible dans la transition vers un changement des modes constructifs ;proposer des solutions innovantes industrialisées laissant libre cours à la créativité des architectes. Celles-ci ne doivent pas nécessiter de techniques de mise en œuvre trop disruptives pour accélérer les délais de construction et maintenir le logement à un niveau de prix acceptable ;viser l’excellence industrielle grâce à l’utilisation d’outils numériques, tels que le configurateur Caméléo® de RECTOR, compatibles avec l’accélération des chantiers BIM.Des systèmes complémentaires pour porter une offre globaleAyant pour ambition commune d’être la référence dans son domaine pour la construction durable, les deux entreprises s’appuient sur une offre réunissant :la structure plancher-dalle préfabriquée en béton bas carbone Caméléo® sans mur porteur de RECTOR, qui intègre tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Composé d’une trame de poteaux et d’une dalle en béton armé, Caméléo® permet la construction de bâtiments évolutifs dont les espaces intérieurs et les façades peuvent être facilement reconfigurés au fil du temps. Grâce à sa grande adaptabilité (pas de retombées de poutres, ni de séparatifs lourds), les plateaux libres se prêtent à toutes les configurations et le bâtiment construit aujourd’hui s’adapte aisément à de nouveaux usages demain. La transformation peut être ainsi prévue dès la conception de l’ouvrage en choisissant judicieusement l’emplacement des poteaux. RECTOR laisse ainsi aux architectes toute latitude pour exprimer leur créativité dans un cadre évolutif, tout en minimisant les coûts et l’impact environnemental des reconversions. L’écoconception de Caméléo® privilégie systématiquement le bon matériau au bon endroit et accompagne dès les premières esquisses la mixité constructive et tout particulièrement le bois.le panneau de façades éco conçu Panobloc® CLT à isolation intégrée de TECHNIWOOD qui garantit une excellente performance de l’enveloppe du bâtiment (au niveau thermique, feu et carbone) et une mise hors d’eau et hors d’air plus rapide du chantier. Panobloc® est un treillis structurel en bois composé d’un empilage de plis croisés composé d’une alternance de lames de bois massifs et de bandes isolantes de remplissage occupant l’espace libre entre les lames de bois. Fabriqués grâce à un process industriel totalement automatisé sous assurance qualité, les panneaux de façade Panobloc® ont un impact carbone négatif. Ils apportent une grande qualité d’usage et de confort aux occupants (isolation thermique et acoustique, qualité de l’air, ...).Ce système combiné offre tous les bénéfices de la préfabrication (gain de temps, de ressources, de coûts et réduction des nuisances sur chantier) tout en garantissant un bâtiment pérenne, à impact carbone fortement réduit, conforme à la RE2020.
Il y a 2 ans et 241 jours

MAGMAA – La halle Alstom transformée en ‘Food Hall’ par DLW et VOUS

MAGMAA, premier lieu de restauration multiple (‘Food hall’) à Nantes a ouvert ses portes à l’été 2022 au cœur du quartier de la création de l’Ile de Nantes. Il s’agit de la dernière étape de la réhabilitation par DLW de l’ancienne halle Alstom ainsi transformée en un lieu vivant, abrité et animé. Le groupe CHESSÉ, […] L’article MAGMAA – La halle Alstom transformée en ‘Food Hall’ par DLW et VOUS est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 242 jours

Le trafic de Paris-Orly pour la première fois supérieur à l'avant-crise

Orly, spécialisé dans les liaisons intérieures, européennes et ultramarines, a vu transiter le mois dernier 3,13 millions de passagers, soit 107,2% du niveau d'août 2019, a précisé Groupe ADP dans un communiqué.Davantage orienté vers les long-courriers, l'autre grand équipement géré par l'entreprise en France, Roissy-Charles-de-Gaulle, est resté en retrait à 80,5% du niveau d'août 2019 avec 6,02 millions de passagers.Ces 9,15 millions de passagers cumulés en août représentent 88% de ceux du même mois il y a trois ans.C'est la première fois qu'Orly dépasse son niveau de trafic mensuel d'avant la pandémie. Celle-ci a provoqué un effondrement de la fréquentation à partir de mars 2020, suivi d'une reprise graduelle et inégale, au rythme des vagues de contaminations et des restrictions de déplacements.Ce résultat est d'autant plus significatif qu'il a été obtenu lors du pic traditionnel de l'activité aérienne dans l'hémisphère Nord. En juillet, Orly avait accueilli 99% des passagers du même mois de 2019.Ce sont les liaisons vers l'Outre-mer (112,6% d'août 2019) et l'Afrique (101%) qui tirent la moyenne des aéroports parisiens à la hausse tandis que l'Asie-Pacifique reste encore anémique (37,9%).Depuis le début de l'année, le trafic de ces plateformes "est en hausse de 34,1 millions de passagers par rapport à 2021, à 55,7 millions de passagers, soit 76% du niveau de trafic sur la même période en 2019", a souligné ADP dans un communiqué.Le groupe contrôlé par l'État français gère, en direct ou via des filiales, 29 aéroports dans le monde, de Santiago du Chili à Almaty en passant par New Delhi et Amman.Sur ce périmètre, le trafic a représenté en août 83,3% du niveau du même mois de 2019, à 29,8 millions de passagers. Sur les huit premiers mois de l'année, le trafic total atteint 75,4% de la même période de 2019.Groupe ADP avait annoncé fin juillet être revenu dans le vert au premier semestre, avec un bénéfice net de 160 millions d'euros.L'entreprise avait perdu 248 millions d'euros en 2021 et 1,17 milliard d'euros en 2020. Elle a prévu un retour aux bénéfices sur l'ensemble de l'exercice en cours.
Il y a 2 ans et 242 jours

Holcim vend ses activités indiennes

CESSION. Le cimentier, Holcim, a annoncé avoir achevé la cession de ses activités en Inde. Une opération qui vise à renforcer son bilan et à poursuivre le développement de sa branche Solutions & Products, notamment via des acquisitions.
Il y a 2 ans et 242 jours

Les Journées du patrimoine se déclinent de plus en plus au féminin

"Les femmes ont été effacées de l'Histoire", affirme à l'AFP Marie Guérini, secrétaire générale en Ile-de-France de l'association HF, qui promeut l'égalité femmes-hommes dans les arts et la culture, pour expliquer cette initiative.Des Journées européennes du patrimoine... et du matrimoineL'idée a été lancée en 2015 par le collectif regroupant les associations HF en France. D'abord concentrée dans quelques villes comme Toulouse et Tours, elle a depuis fait tache d'huile à Lyon, Marseille ou Lille.En sept ans, ce sont 400 femmes qui ont ainsi été mises en avant, selon le collectif.Rouen et Rennes ont rebaptisé cette année leurs Journées du patrimoine en Journées du matrimoine et du patrimoine, un pas déjà franchi par Nantes en 2021.Même si la ville de Paris est partenaire de l'initiative en Ile-de-France, la mairie n'a en revanche pas modifié l'appellation qu'elle donne à la manifestation. "Paris est ancrée en Europe, ce sont les Journées européennes du patrimoine, donc ce n'est pas possible de rajouter matrimoine", souligne Marie Guérini.Des initiatives similaires fleurissent toutefois en Europe : Liège, Bruxelles ou encore Florence ont ainsi depuis quelques années leurs Journées du matrimoine.Faire revivre les artistes oubliéesBalades de quartier théâtralisées, poèmes déclamés ou encore musiques interprétées : "les rendez-vous des journées du matrimoine sont bien plus vivants que ceux du patrimoine", selon Marie Guérini."On essaye de redonner vie aux créatrices du passé invisibilisées depuis des siècles. Les poétesses, on va les lire; les compositrices, on va les jouer" et les peintres femmes, "on va les mettre en scène" explique-t-elle.Pour cette édition, HF Ile-de-France a par exemple décidé de mettre à l'honneur une peintre franco-espagnole du milieu du XXe siècle, Roberta Gonzalez, dans une visite scénarisée à l'espace Antoinette-Fouque à Paris.Les visiteurs pourront aussi profiter à Paris d'une promenade littéraire sur les traces de la poétesse Marceline Desbordes-Valmore, d'une projection sur la chorégraphe Janine Solale ou encore d'une visite contée sur les dernières tenancières de salons à Paris. Au total, plus de 40 événements gratuits ont lieu ce week-end en Ile-de-France.Les figures locales à l'honneurA Lyon, la compagnie de théâtre Cybèle propose de déambuler dans les rues à la rencontre des "lyonnaises inconnues": des femmes de la Révolution jusqu'au premier lycée pour jeunes filles de la ville.Dans le centre-ville de Strasbourg, une promenade est organisée pour découvrir des femmes alsaciennes peu connues. Au travers de cette visite guidée, les visiteurs marcheront sur les pas d'Adelaide Hautval, "Juste parmi les nations", de Louise Sheppler, inventrice de l'école maternelle, ou encore de la vulcanologue Katia Krafft, tuée par une nuée ardente en 1991.Rennes, de son côté, propose une balade à vélo pour admirer des bâtiments conçus par des femmes comme celui du Fonds régional d'art contemporain, dessiné par Odile Decq. Une première pour la ville bretonne, qui a déjà fait le plein puisque toutes les visites sont complètes.
Il y a 2 ans et 242 jours

Screwfix, l'enseigne pros de kingfisher, prêt à se déployer physiquement en France

STRATÉGIE. Déjà présent sur le Web, Screwfix, enseigne dédiée aux professionnels du Bâtiment du groupe Kingfisher, disposera prochainement de points de vente physique dans l'Hexagone. On sait d'ailleurs où sera implanté le premier magasin.
Il y a 2 ans et 242 jours

Screwfix, l'enseigne pros de kingfisher, prêt à se déployer physiquement en France

STRATÉGIE. Déjà présent sur le Web, Screwfix, enseigne dédiée aux professionnels du Bâtiment du groupe Kingfisher, disposera prochainement de points de vente physique dans l'Hexagone. On sait d'ailleurs où sera implanté le premier magasin.
Il y a 2 ans et 242 jours

Nouvelle gamme box de rupteurs Equatio – moins de références, plus de performances compatibles à la RE2020

Pour vous aider à atteindre les nouvelles exigences en termes d’isolation initiées par la RE2020, nous vous présentons notre nouvelle gamme de Box Equatio, thermiquement plus performante et respectueuse de l’environnement.Trois références de box adaptées à vos besoinsNotre nouvelle gamme de box se décline en 3 références :Notre Box Vide Sanitaire, qui rassemble les rupteurs indispensables à l’isolation requise du plancher sur vide sanitaire. Elle se compose de 6 rupteurs d’about, 3 nouveaux rupteurs de rive Thermosten d’un mètre de long permettant d’améliorer le PSI du plancher et 2 Rectofix.Notre Box Etage & Toit-Terrasse, spécialement conçue pour les planchers d’étage ou en toit-terrasse avec étanchéité à froid. Elle se compose de 11 rupteurs d’about, et 7 rupteurs de rive Thermosten.Enfin, notre Box Sous-Sol & Toit-Terrasse adaptée à la réalisation de planchers Equatio en haut de sous-sol ou en toit-terrasse avec étanchéité à chaud. Elle se compose de 11 rupteurs d’about, et 7 rupteurs de rive Thermosten.Chaque box bénéficie de compléments de gamme adaptés qui offrent la possibilité de moduler la performance thermique du plancher.Et pour les planchers chauffants / rafraîchissants ?Notre nouveau Kit Collecteurs Box Rehau Quality contient tous les accessoires de pose indispensables à la pose d’un plancher chauffant / rafraîchissant ! Une gamme respectueuse de l’environnement Afin de réduire notre impact environnemental, nous avons ajusté le contenu de nos Box afin de diminuer les pertes et la quantité de déchets sur chantier. Ces dernières sont fabriquées à partir de cartons recyclés et recyclables.Ainsi, avec Rector, l’équation est simple, quel que soit l’étage ou le type de plancher : Poutrelles + entrevous + box = plancher Equatio conforme à la RE2020 !
Il y a 2 ans et 242 jours

Roberto Huet, nouveau président de Stradal

Roberto Huet est le nouveau Pdg de Stradal. [©CRH] Pdg du groupe ciment Eqiom depuis 2016, Roberto Huet vient d’être nommé à la présidence de Stradal. Une arrivée qui ouvre une nouvelle voie dans le domaine de la préfabrication en béton. « Je suis très fier de rejoindre l’ensemble des équipes de Stradal et de présider cette société industrielle, qui a une longue histoire et une expertise reconnue. Ensemble, nous poursuivrons notre mission d’accompagner l’aménagement des territoires avec des solutions durables et innovantes », commente Roberto Huet. Industriel du béton depuis 60 ans Entreprise industrielle filiale du groupe irlandais CHR, comme l’est Eqiom, Stradal est présente en France sur le secteur des produits préfabriqués en béton depuis plus de 60 ans. Elle propose une offre de solutions standards et sur mesure. Ceci, sur des secteurs d’activité aussi variés que les réseaux d’assainissement, la collecte des eaux, la gestion intégrée des eaux pluviales. Mais aussi les infrastructures souterraines, les réseaux secs, la voirie et la sécurité routière, le génie civil ou encore le ferroviaire. Roberto Huet peut s’enorgueillir d’un parcours riche et varié aussi bien au sein du groupe CRH que d’Holcim. Ainsi, il a exercé de nombreuses responsabilités tant en France qu’en Espagne ou aux Etats-Unis, dans les métiers du ciment, du béton, du granulat, des enrobés et de la route.
Il y a 2 ans et 242 jours

Le Département de la Seine-Saint-Denis pose la première pierre du nouveau collège Pierre Sémard à Bobigny

Un budget de 27 millions d'euros de travaux est prévu pour cette opération qui s'inscrit dans le cadre du plan « Éco-collège » du Département. La livraison des nouveaux bâtiments est prévue pour le premier trimestre 2024. Étaient présent·e·s pour la pose de cette première pierre Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis, Abdel SADI, Maire de Bobigny et Conseiller départemental délégué aux relations internationales et européennes, Pascale LABBE, Vice-présidente en charge de l'Observatoire départemental des violences envers les femmes et de l'égalité Femmes-Hommes, Hélène ENGASSER et Matthieu HEMERY de l'agence d'architectes Engasser & associés ainsi que les élèves, parents d'élèves et équipes éducatives du collège Pierre Sémard.Cet événement a été l'occasion pour chacun·e de découvrir les équipements du futur établissement lors d'une présentation faite par l'agence d'architectes Engasser & associés (qui a également réalisé le nouveau collège Jean Vilar à La Courneuve) : un réfectoire pour 400 demi-pensionnaires, quatre logements de fonction, une salle de sport de 360 m², un plateau sportif extérieur couvert de 2 000 m², une salle polyvalente de 120 m², une salle d'exposition de 60 m², un espace parents...Situé à côté du parc départemental de la Bergère, le nouveau collège sera mieux inséré dans la ville et entouré d'espaces verts. Il accueillera 700 élèves dans des locaux tournés vers la transition écologique, avec notamment une cour oasis, un jardin potager, des terrasses végétalisées et des espaces intérieurs largement vitrés pour favoriser l'éclairage naturel. Il utilisera le réseau CPCU de chaleur urbain pour un chauffage plus respectueux de l'environnement. Les travaux du nouveau collège se déroulent sur un terrain de plus de 11 000 m² situé au 45-62 rue des Coquetiers à Bobigny. Ils ont débuté en avril 2021 par une période de protection et de dévoiement des réseaux, suivie d'une phase de dépollution, de renforcement des sols et de terrassements afin de préparer l'installation du chantier de construction. La livraison de l'établissement est prévue pour le premier trimestre 2024.« Un chantier très attendu est officiellement lancé à Bobigny : celui du nouveau collège Pierre Sémard ! L'éducation est une priorité pour le Département, et construire de beaux collèges, où les élèves ont le plaisir d'apprendre et les équipes celui d'enseigner, c'est aussi contribuer à la réussite scolaire et à l'épanouissement de chacun·e. C'est tout le sens du plan Éco-collège que nous avons lancé fin 2020 avec Emmanuel Constant, Vice-président chargé de l'éducation et des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, pour proposer des établissements modernes et de qualité, exemplaires en matière d'écologie, où s'instruire et grandir dans les meilleures conditions. » - Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-DenisÀ propos du plan Éco-collège 2021-2030 du Département de la Seine-Saint-DenisDepuis plus de dix ans, le Département de la Seine-Saint-Denis place l'éducation au coeur de ses priorités et investit massivement dans les collèges. Avec l'adoption du Plan « Éco-collège » fin 2020, ce sont un milliard d'euros qui seront consacrés d'ici 2030 à la construction, la rénovation et la résilience écologique des collèges publics du territoire. Cela représente au total 8 nouveaux établissements, 43 rénovés et 7000 places créées.
Il y a 2 ans et 242 jours

Le matériau bois : une partie de la solution pour décarboner la construction

En France, la part du bois dans la construction (secteur résidentiel et non résidentiel) atteint près de 10 % et devrait fortement progresser dans les prochaines années*. Utilisé dans la construction depuis toujours, le bois s’impose dorénavant en tête des matériaux renouvelables et biosourcés et ses usages se diversifient. Il entre ainsi dans la construction, la réhabilitation, la rénovation et l’aménagement. Le bois représente des enjeux écologiques, sociétaux et environnementaux majeurs. Développement du Grand Paris, chantiers liés aux Jeux Olympiques, construction grande hauteur, maison individuelle... les débouchés ne manquent pas aussi bien dans la construction collective qu’individuelle, pour le tertiaire comme pour le résidentiel. La mise en application récente de la RE 2020 est également un facteur de développement du marché pour les prochaines années.BATIMAT met une nouvelle fois en lumière la construction bois et toute la filière en amont comme en aval. Un secteur de 1 521 m2, lui est entièrement dédié dans le Pavillon 1 avec près de 40 exposants inscrits à date. Il s’agit d’organismes tels que FNCB CFDT, FRANCE BOIS FORET, CODIFAB et d’industriels de renom : ADKALIS, AGIBOIS SAS, ALSAFIX, ARCLIN LLC, BEST WOOD SCHNEIDER, C.B.S.T./ SCIERIE JOSLET, CAMBRAI CHARPENTE, ESSETRE S.R.L. UNIPERSONALE, FELIX DISTRIBUTION, GOLBALUX SP. Z O.O., GRABO, GROUPE BERKEM, GROUPE SETIN, HANS HUNDEGGER AG, JUNGINGER NATURHOLZWERK GMBH, KAMEOKA CONSTRUCTION CO., LTD, KYOCERA UNIMERCO FASTENING A/S, LES FILS DE CYRILLE DUCRET, LIGNATEC, LIXOL, MACH DIFFUSION, MALAYSIAN TIMBER COUNCIL, MANUBOIS, MAX EUROPE BV, MONNET SEVE, PGB EUROPE NV, PIVETEAU BOIS, SCHILLIGER BOIS SAS, SCIERIE EYMARD, SELECTION VOSGES, SIMONIN SAS, SIMPSON STRONG TIE, STEICO SE, TECHNIWOOD.Cet espace, ainsi que les conférences dédiées permettent à la fois de saisir tous les enjeux fondamentaux de ce matériau et de valoriser la diversité des produits en bois français.* France Bois Forêt – Le Bois dans la Construction – sept 2020Les conférencesLe bois est au cœur des sujets de décarbonation et sera notamment la thématique de deux conférences Experts’Corner :Mercredi 5 octobre de 16h à 16h45. (Agora 1, Pavillon 1) :Bois & traçabilité dans le cadre des Jeux de Paris. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence sera animée par Marie Jorio, Coordinatrice du Projet France Bois 2024 (projet accompagnant le bois dans les Jeux de Paris soutenu par le CODIFAB et France Bois Forêt, accompagné par le CNDB) qui animera en présence de Georges-Henri Florentin, Président de France Bois 2024, une table ronde composée de Jérôme Martinez, Responsable du Label Bois de France ; Paul Emmanuel Huet, Directeur Exécutif PEFC France ; Aurélien Sautière, Directeur Exécutif FSC France, la Solidéo et Paris 2024.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDBJeudi 6 octobre de 16h à 16h45 :Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à horizon 2030. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence traitera en introduction de la RE2020, du positionnement des bâtiments actuels, des objectifs du futur. Une table ronde donneraensuite la parole à deux cabinets d’architectes qui viendront témoigner lors de cette session de leurs projets ou réalisations respectives, dont le cabinet A003 architecte.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDB.Il sera aussi l’une des thématiques phares du plateau TV de Bati-Journal, organisé par Éditions des Halles et BATIMAT et situé au cœur du secteur bois, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt. Le bois sera abordé lors de quatre émissions :La préfabrication des bâtiments boisConstruction bois, préserver la ressourceLe bois, matériau biosourcé par essenceLe bois, matériau des circuits courtsDemandez votre invitation gratuite pour BATIMAT
Il y a 2 ans et 242 jours

Le groupe VELUX remporte le EY Sustainability Award 2022

Le groupe VELUX a reçu hier, le Sustainability Award – catégorie stratégie climatique, décerné par EY – le géant mondial de l’audit et du conseil – et la Chambre de Commerce Danoise à Copenhague (Danemark). Ce prestigieux prix récompense les efforts de l’entreprise visant à réduire drastiquement ses émissions carbones au sein de sa chaine de valeur et à […]
Il y a 2 ans et 242 jours

De retour à INTERCLIMA, Zehnder s’ouvre au secteur tertiaire et renforce son offre pour le marché du résidentiel

Pour son retour à Interclima, Zehnder dévoile sa nouvelle offre de ventilation double flux décentralisée dédiée au tertiaire, et plus particulièrement celle pour les écoles, fruit de l’acquisition de la société française CALADAIR. Ce salon sera également l’occasion pour le spécialiste du climat intérieur sain, confortable et économe en énergie de mettre en lumière ses […]
Il y a 2 ans et 242 jours

Le biofioul, alternative au fioul domestique, sera disponible partout dans l’Hexagone

Après plus de quatre années de travail collaboratif mené sous l’impulsion de la Fédération Française des Combustibles, Carburants & Chauffage (FF3C) et comme le prévoit le décret du 5 janvier 2022 – selon lequel les nouveaux équipements de type chaudière sont autorisés en fonctionnement exclusivement avec un biocombustible liquide tel que le biofioul[1] – le biofioul F30 alimentera dès la saison de chauffe 2022-2023 toutes les nouvelles chaudières (installées sur la base d’un devis engagé à partir du 1er juillet 2022).En effet, avec l’entrée en vigueur le 1er juillet dernier du décret n°2022-8 relatif à la performance environnementale des équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire, l’installation de matériels utilisant à titre principal un combustible émettant plus de 300 g CO2eq/kWh PCI tout au long de son cycle de vie n’est plus autorisée :L’installation de chaudières neuves utilisant un combustible liquide[2] reste autorisée à la condition d’utiliser du biofioul F30, dont le niveau des émissions tout au long du cycle de vie est inférieur à 300g CO2eq/kWh PCI. Une cinquantaine de références d’équipements biocompatibles Biofioul F30 sont d’ores et déjà disponibles.Les chaudières actuellement en service et installées suivant des devis signés jusqu’au 30 juin 2022 peuvent continuer à fonctionner avec du fioul domestique traditionnel (limité à 7% d’énergie renouvelable selon les spécifications actuelles).Les chaudières actuellement en service peuvent également fonctionner au biofioul F30, à condition d’une adaptation permettant la biocompatibilité du matériel.En conséquence, si le fioul traditionnel peut continuer à être utilisé par plus de 3 millions de résidences principales recourant à cette énergie stockable, toute installation neuve doit désormais fonctionner avec un biofioul F30, lequel répond à l’exigence du plafond d’émission de 300 g CO2eq/kWh PCI fixé par le décret. Du biofioul F30 en 2022 au F55 en 2028La distribution du biofioul F30 débutera d’ici quelques jours, avec la publication imminente d’un arrêté ministériel[3] « relatif aux caractéristiques du fioul domestique F30 », autorisant sa mise sur le marché. Elle s’appuiera sur un réseau de distribution d’ores et déjà en ordre de marche pour servir les usagers concernés sur l’ensemble du territoire. Plus de 300 points de vente couvrant tous les départements de l’Hexagone sont ainsi engagés dans la mise sur le marché du biofioul F30. Leur liste sera accessible dès publication de l’arrêté sur le site internet www.biofioul.info.La mise du marché du biofioul F30 s’accompagne de perspectives d’évolution ambitieuses : le biofioul a vocation à se généraliser progressivement, avec le lancement en 2028 d’un biofioul « F55 » contenant plus de 50% d’énergie renouvelable. Une démarche européenne qui s’inscrit dans la droite ligne de la feuille de route 2050 pour un chauffage décarboné inclusif et durable pour les zones rurales et hors réseaux, annoncée le 9 septembre 2022 par Eurofuel, association des acteurs européens du fioul et des combustibles liquides pour le chauffage domestique.Les consommateurs convaincus par le biofioul mais soucieux de leur budget énergieUn sondage a été réalisé́ par Opinion Way en juillet 2022 auprès d’utilisateurs de fioul afin de recueillir leur avis sur leur mode de chauffage actuel et leur intérêt vis-à-vis d’un biocombustible liquide de chauffage. Parmi les principaux enseignements de ce sondage, marqué par le contexte de crise énergétique et d’inflation :96% des répondants trouvent le chauffage au fioul efficace et procurant une chaleur confortable.61% souhaitent conserver leur mode de chauffage ; 27% réfléchissent à un changement d’ici 2 à 5 ans.Plus de 80% seraient prêts à opter pour du biofioul en remplacement du fioul domestique et 51% pourraient faire adapter leur chaudière dès à présent, en changeant le brûleur, pour pouvoir utiliser du biofioul F30. Mais dans le contexte actuel d’inflation, seuls 38% des utilisateurs de fioul se disent prêts à payer plus cher leur énergie.Les perspectives d’évolution du biofioul séduisent : 67% des utilisateurs de fioul domestique déclarent être prêts à utiliser les différents produits qui seront mis sur le marché dans les années à venir (F55 puis F100).Pour Eric Layly, Président de la FF3C :« Le décret du 5 janvier dernier signant la naissance du biofioul F30 et l’arrêté ministériel qui en autorise la mise sur le marché marquent l’aboutissement d’un long travail collectif de toute une filière – constructeurs de matériels de chauffage, agriculteurs producteurs de colza, installateurs, producteurs et distributeurs d’énergies.»« Ce travail, mené en lien avec les services de l’Etat, nourrit une ambition forte sur le plan environnemental, prenant en compte à la fois le libre choix et les contraintes des consommateurs des territoires périurbains et ruraux. »« Aujourd’hui, la filière est fin prête pour la nouvelle saison de chauffe et pleinement en mesure de livrer du biofioul F30 comme de continuer à distribuer normalement du fioul traditionnel. »Pour Frédéric Plan, Délégué Général de la FF3C :« L’arrivée du biofioul est une solution concrète et immédiatement disponible pour accélérer la fin du fioul domestique traditionnel. Reste que pour inciter les Français à se tourner vers le biofioul, il faut que la fiscalité le rende attractif. »« En effet, les chaudières actuellement en service peuvent être adaptées à l’usage du biofioul notamment à l’occasion d’un changement de brûleur. C’est une opportunité d’aller plus vite et plus loin sur le front de la décarbonation du chauffage au fioul. Et c’est au législateur d’en prendre l’initiative. »« Si le gain de consommation d’une chaudière neuve à haute performance énergétique, de 25 à 30 %, permet de gommer le surcoût lié à l’usage du biofioul, ce n’est pas le cas pour les chaudières existantes dont la longévité dépasse les 25 ans. »Le biofioul, énergie des territoiresLe biofioul est une énergie liquide stockable, composée d’une part d’énergie renouvelable, prioritairement sous forme d’ester méthylique de colza (EMC). Le choix du colza tient aux nombreux atouts de cette plante dont la France est l’un des premiers producteurs en Europe: 100.000 agriculteurs cultivent du colza sur l’ensemble du territoire. Sa graine, composée à parts équivalentes d’huile (notamment valorisée en biofioul) et de matière riche en protéines (notamment valorisée pour l’alimentation animale), offre des réponses prometteuses et complémentaires aux enjeux des transitions agroalimentaire, énergétique et environnementale, dont celui de la souveraineté protéique de la France.Le fioul domestique, 3e énergie de chauffage en FranceLe fioul domestique est la 3e énergie de chauffage en France. Il équipe plus de 3,5 millions de logements, dont 3,1 millions de résidences principales, sur un total de 29,8 millions, soit 12% du parc, principalement dans des territoires ruraux et périurbains que les réseaux de chaleur ou le gaz de ville ne desservent souvent pas (sources Ceren et Ademe, 2017). En France, 25.000 communes sur un total de 35.000 ne sont pas raccordées aux réseaux de gaz, ce qui représente, sur l’ensemble du territoire, 13,4 millions de Français et 20% de la population française (sources GRDF et Insee, 2018).[1] https://www.ecologie.gouv.fr/gouvernement-adopte-decret-limiter-emissions-gaz-effet-serre-des-nouveaux-equipements-chauffage[2] La norme AFNOR publiée le 11 mai 2022 détermine les caractéristiques de ce nouveau biocombustible liquide: https://norminfo.afnor.org/norme/xp-m15-040/combustibles-liquides-fiouls-domestiques-f30-exigences-et-methodes-dessai/200017[3] Le code de l’énergie conditionne la mise sur le marché de tout produit énergétique à un arrêté ministériel dont la parution est imminente.
Il y a 2 ans et 243 jours

TotalEnergies revend sa participation dans un champ pétrolier au Kurdistan irakien

"TotalEnergies a finalisé la cession de sa participation de 18% dans le champ pétrolier onshore de Sarsang, dans la région du Kurdistan irakien, à ShaMaran Petroleum Corp, une société cotée au Canada et en Suède et spécialisée dans l'exploration et le développement pétroliers au Kurdistan, pour un montant ferme de 155 millions de dollars", indique le groupe dans un communiqué.TotalEnergies assure qu'un "montant conditionnel supplémentaire de 15 millions de dollars pourra s'ajouter en fonction de la production et des prix du baril".Découvert en 2011, le champ de Sarsang est exploité par l'entreprise américaine HKN, qui détient la plus grosse part du projet (62%), tandis que le gouvernement régional du Kurdistan en possède 20%.Avec sa part de 18%, TotalEnergies produisait environ 3.500 barils par jour en 2021 à Sarsang, précise-t-il.Le groupe Total, qui a promis en ajoutant "Energies" à son nom de diversifier sa production avec plus d'énergies renouvelables mais dont la stratégie pour le climat reste très critiquée, y compris par certains actionnaires, a produit quelques 14.000 barils "équivalent pétrole" par jour en Irak en 2021.Il détient également une participation de 22,5% dans le champ pétrolier d'Halfaya, au sud du pays, et a signé en septembre 2021 un contrat avec le gouvernement irakien pour des investissements qu'il estime à 10 milliards de dollars afin de construire un réseau de collecte et d'unités de traitement de gaz, une unité de traitement de l'eau de mer et une centrale photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 243 jours

Mondial du bâtiment 2022 : KAWNEER dévoile ses dernières innovations

Spécialiste des structures architecturales en aluminium, KAWNEER place ces tendances au coeur de sa stratégie d’innovation en proposant une offre de menuiseries et de services complète et pertinente, au plus près des attentes des professionnels. Au Mondial du Bâtiment, du 3 au 6 octobre 2022 à Paris Expo, l’entreprise présentera en exclusivité ses derniers développements, […]
Il y a 2 ans et 243 jours

Holcim hisse les voiles

Holcim poursuit sa conquête des flots. [©Holcim] Holcim se lance dans les courses au large. Six mois après le rachat du groupe PRB, le cimentier suisse reprend la main sur les courses nautiques. Dès fin 2022, Go Circular sera mis en mer. Ce bateau doit permettre d’inspirer le grand public sur la préservation des éco-systèmes naturels. L’objectif du groupe est aussi de sensibiliser sur le passage fondamental à une vie circulaire. Avec 50 Mt de déchets de construction recyclés, Holcim s’impose comme un leader mondial du recyclage. Cela se traduit notamment par certains de ses ciments composés de 20 % de déchets recyclés. Le groupe ambitionne d’atteindre 100 Mt recyclés d’ici 2030. 100 % solaire Holcim poursuit ainsi sa conquête des flots. En juillet 2022, le Circular Explorer était mis en mer. Premier catamaran 100 % solaire, il a pour objectif de ramasser et de recycler les déchets de la baie de Manille, aux Philippines. Le groupe suisse veut maintenant donner de la visibilité à ses actions. Pour y parvenir, le Go Circular de l’équipe Holcim-PRB prendra la mer le 6 novembre prochain pour la Route du Rhum. Il sera barré par Kevin Escoffier. Le skipper s’est réjoui de ce nouveau départ : « Nous n’avons qu’une seule planète, mais nous vivons comme si nous en avions deux. Avec Go Circular, nous mettons en lumière un changement vers un mode de vie circulaire. Cela me tient à cœur en tant que marin et surtout en tant que père ». Pour son dernier Vendée Globe, Kevin Escoffier avait été secouru par Jean le Cam. Il espère désormais atteindre le Graal ultime ! Colin Rousselet
Il y a 2 ans et 243 jours

Parution du Smart Guide de la RE2020 : Construire des logements avec les Smart Systèmes en Béton

Il a pour objectif de guider les acteurs de la construction à mieux comprendre les trois objectifs de la RE2020 et de démontrer qu’utiliser les solutions préfabriquées en béton permet d’ores et déjà de répondre pleinement aux exigences environnementales et de confort de la nouvelle réglementation et de favoriser la sobriété énergétique du bâti.Destiné à tous les acteurs de la construction et en priorité aux CMistes, promoteurs et bureaux d’études thermiques et environnementaux, ce guide de 24 pages, pédagogique, ludique et étayé par des cas concrets, est divisé en deux grands chapitres :Comprendre les objectifs de la RE2020 : ses trois objectifs (sobriété énergétique, fraîcheur des bâtiments en cas de fortes chaleurs et diminution de l’impact carbone) et son calendrier d’application, les évolutions entre la RT2012 et la RE2020, le calcul de l’impact carbone à l’échelle du bâtiment et la méthode ACV, le respect des seuils carbone construction nécessitant que tous les lots contribuent à la réduction de l’impact carbone des bâtiments.Utiliser les Smart Systèmes en Béton pour passer la RE2020 : les solutions préfabriquées en béton pour les logements pour répondre aux trois objectifs de la RE2020, et donc, construire bas carbone, diminuer toujours plus l’impact carbone des systèmes constructifs en béton et favoriser le confort d’été lié à l’inertie des bâtiments.Au travers des Smart Systèmes en Béton, la FIB a initié un programme pour valoriser l’intelligence embarquée dans chacune des solutions préfabriquées en béton, en termes d’économie des territoires, des ressources, de l’énergie et de la fonctionnalité, résolument inscrites dans une voie de production responsable et connectée.La publication du guide s’inscrit dans ce cadre et dans la communication collective initiée par la Fédération pour valoriser l’apport des solutions préfabriquées en béton pour réduire l’empreinte environnementale, notamment les murs et planchers destinés aux marchés des maisons individuelles et logements collectifs.Elle est complétée par une panoplie d’autres outils : des études de cas, outils d’aide à la décision, fiches chantiers avec le témoignage de bureaux d’études pour quantifier les paramètres d’application de la RE2020, une web série de vidéos témoignages pour faire incarner les messages par des bureaux d’études, des constructeurs…La Fédération de l’Industrie du Béton (FIB) concourt en France à la promotion des intérêts des industriels fabricants de produits en béton et assure la représentation de ce secteur industriel auprès des pouvoirs publics, des collectivités locales et de l’environnement professionnel. Elle représente 100% d’entreprises françaises TPE, PME et PMI, un maillage territorial d’industriels très dense, des entreprises industrielles locales créatrices de richesse et d’emplois locaux directs non délocalisables.Le Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton (Cerib) est un Centre Technique Industriel, reconnu d’utilité publique et institué en 1967 conjointement par le ministre chargé de l’Industrie et par le ministre chargé de l’Économie et des Finances, à la demande de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB). Avec plus de 170 collaborateurs et un haut niveau d’expertise, ses équipements d’essais des produits et matériaux du BTP se déploient sur 15.000 m 2 de laboratoires. Le Centre exerce son activité entre essais et évaluations, études et recherches, normalisation et certification, appui technique et transfert de connaissances, et dispose d’un centre de formation. Opérateur de recherche du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ses travaux de R&D éligibles peuvent bénéficier du Crédit d’Impôt Recherche.L'industrie du béton en France461 entreprises722 sites de production2,8 milliards d’€ de CA départ usine, hors taxes et hors transport, dont : 62,8% à destination du bâtiment37,2% destination des travaux publics et du génie civil20 millions de tonnes de produits en béton en volume19.200 emplois directs100% réseau localLe 1er employeur des industries de la branche carrières et matériaux de construction.
Il y a 2 ans et 243 jours

Beaucoup d'emplois pour les ingénieurs français, mais de grosses difficultés pour recruter

"Les recrutements et la mobilité ont retrouvé leur niveau d'avant-crise. L'activité a nettement rebondi en 2021 après la récession de 2020 liée à la pandémie de Covid-19", indique l'IESF.Le taux de chômage des ingénieurs, de 3,2% en incluant les jeunes diplômés (2,2% sinon), "est dans les niveaux les plus bas enregistrés", selon l'enquête. Le rebond de l'activité s'est traduit par un retour des difficultés pour les recruteurs : 20% des recruteurs interrogés "ont rencontré des difficultés à recruter sur tous les profils, un niveau inégalé ces huit dernières années", seuls 39% n'ayant pas connu de difficulté particulière.La nature des difficultés varie selon les profils recherchés, précise l'IESF, qui cite par exemple des "exigences salariales trop élevées des experts en intelligence artificielle ou en cybersécurité", ou une "absence sur le marché de certains profils d'experts techniques"."Les entreprises ont du mal à recruter des ingénieurs parce qu'on n'en fabrique pas assez", a résumé Marc Rumeau, président de l'IESF, lors d'un entretien à l'AFP.Quelque 38.000 nouveaux ingénieurs se présentent chaque année sur le marché du travail en France, alors qu'il en faudrait environ 60.000, selon M. Rumeau. La filière hydrogène manquerait de 5.000 ingénieurs, la filière de l'air et de l'espace de 10.000, le nucléaire, en plein redémarrage, manque de 10.000 ingénieurs et techniciens, selon les informations dont dispose M. Rumeau.Manque d'ingénieurs dans le nucléaireConcernant ce secteur précis, M. Rumeau pointe du doigt le manque d'impulsion politique, comme en écho aux propos récents du PDG d'EDF Jean-Bernard Lévy, sèchement recadré par le président Macron : "ça fait 30 ans qu'on a le pied sur le frein du nucléaire et très fortement depuis dix ans, donc on n'a pas recruté et encore moins formé dans ces filières-là", déplore M. Rumeau.Le phénomène de manque d'ingénieurs n'est pas nouveau, mais s'est accentué ces dernières années, en raison de plusieurs facteurs, selon lui.Il a notamment évoqué la réforme du lycée qui a supprimé les mathématiques du tronc commun dès la classe de première et provoqué une fonte substantielle des candidatures, notamment féminines, une suppression sur laquelle l'exécutif a promis de revenir."On commence à sentir une pression sur le pipeline des classes prépa et donc des écoles d'ingénieurs", a indiqué M. Rumeau.Il a également déploré le "vol des cerveaux", évoquant le cas de la filière française de l'hydrogène, dont l'écosystème se trouve en région Rhône-Alpes, et dont les nouveaux diplômés "se font aspirer", notamment pour des raisons salariales, mais pas seulement, par le voisin suisse.Plus largement, beaucoup de jeunes ingénieurs français "vont faire un double-diplôme", notamment au Québec ou aux États-Unis et "ne reviennent pas", a regretté M. Rumeau, appelant l'industrie française à "battre sa coulpe" et à offrir "des jobs attractifs".
Il y a 2 ans et 243 jours

Qui est le nouveau président de Daikin France ?

CARNET-NOMINATION. Daikin France présente son nouveau président en la personne de Hideki Nishimura.
Il y a 2 ans et 243 jours

Quatre nominations chez Ecominéro

Chrystelle Ménard, Adeline Guerlais, Stéphanie Rico et Sophie Wolff ont été nommées au comité de direction d’Ecominéro. [©Ecominéro] Ecominéro agrandit son équipe de direction avec les nominations d’Adeline Guerlais, de Chrystelle Ménard, de Stéphanie Rico et de Sophie Wolff. Créé en 2021, l’éco-organisme simplifie la vie des entreprises, afin qu’elles remplissent leurs obligations découlant de la mise en place de la Responsabilité élargie des producteurs (Rep) appliquée aux Produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment (PMCB). Adeline Guerlais nommée directrice de la communication Depuis le 5 septembre dernier, Adeline Guerlais assure la direction de la communication. « Je suis très heureuse d’intégrer Ecominéro, une société à mission, qui va permettre aux acteurs de la filière, particulièrement les producteurs de matériaux destinés au bâtiment et les artisans et entreprises du bâtiment, d’améliorer les pratiques de recyclage et de valorisation. » Adeline Guerlais a débuté sa carrière dans la communication au sein d’une collectivité locale. Elle est ensuite nommée conseillère communication auprès de la secrétaire d’Etat à l’Intérieur et du ministre de l’Industrie en 2005. En 2007, elle a rejoint la communication de la Fédération des transports routiers. Puis l’Unicem, en 2013, en tant que responsable… communication. Chrystelle Ménard, nouvelle directrice des opérations Chrystelle Ménard est la nouvelle directrice des opérations depuis août dernier. « Participer à la construction de cette Rep, au travers d’Ecominéro, est une aventure extrêmement enrichissante, enthousiasmante et motivante. Dans la mesure où je mets en adéquation mes valeurs en faveur de la protection de l’environnement et mon expérience. Ceci, dans le monde des matériaux de construction et du recyclage depuis plus de 20 ans », se réjouit l’intéressée. Ancienne élève du conservatoire national des Arts et Métiers, Chrystelle Ménard a occupé plusieurs postes de management chez Lafarge pendant 20 ans. Les enjeux liés au recyclage et à l’économie circulaire dans le milieu du bâtiment et des travaux publics font partie de son ADN. Ainsi, en 2017, elle a développé l’activité “déchets” dans le cadre d’un bureau d’études réglementaires qu’elle dirigeait. En 2019, elle intègre la société Paprec en tant que directrice d’une agence spécialisée dans le traitement des déchets du BTP. Par ailleurs en 2021, elle crée son propre cabinet de conseil en management. Stéphanie Rico devient la directrice administrative et financière Stéphanie Rico rejoint Ecominéro en qualité de directrice administrative et financière. « Je suis fière de pouvoir œuvrer à la mise en place d’un dispositif d’économie circulaire en France pour les déchets inertes du bâtiment. Rejoindre Ecominéro, c’est contribuer à la préservation de nos ressources naturelles, en nous engageant auprès de l’ensemble des acteurs de la filière. » Diplômée de l’Essec, Stéphanie Rico a d’abord été auditrice financière chez Mazars et a rejoint Cemex au poste de contrôleure interne. De 2007 à 2018, elle a occupé plusieurs postes de management en contrôle de gestion chez Safran Electronics and Defense. De plus, en 2018, elle est devenue contrôleure financière des activités de recyclage chez Suez RV France, puis responsable du contrôle financier. Sophie Wolff, nouvelle directrice clients Enfin, Sophie Wolff vient d’être nommée directrice clients. « Je suis ravie de participer à une nouvelle aventure humaine et entrepreneuriale. Qui va nous permettre d’accompagner les entreprises de la filière bâtiment. Afin qu’elles répondent favorablement à leurs obligations règlementaires. Et qu’elles aillent encore plus loin dans leurs actions de valorisation et de recyclage », déclare Sophie Wolff a commencé sa carrière dans la grande distribution pendant 20 ans. Elle s’est ensuite orientée vers la RSE et l’économie circulaire. Elle a occupé plusieurs postes pendant 12 ans au sein de l’éco-organisme Citeo et sa filiale, Adelphe. Ceci pour animer un éco-système d’entreprises clientes, de partenaires et d’organisations professionnelles.
Il y a 2 ans et 243 jours

Le Pôle Fenêtre FFB fait des propositions pour massifier les travaux de rénovation énergétique

Le Pôle Fenêtre FFB (Fédération Française du Bâtiment)* regroupe cinq organisations professionnelles représentatives des activités fenêtres, façades vitrées, vérandas, vitrages, fermetures et stores. Avec pour premier marché la rénovation (plus de 70% des chantiers), cette filière française innove, investit et crée des emplois. Forte d’environ 1.200 ETI et PME industrielles, fabricants de fenêtres et de composants, ainsi que 51.000 PME et artisans, fabricants et installateurs répartis sur tout le territoire, elle représente près de 240.000 salariés, dirigeants et travailleurs non-salariés.Au regard de la consommation actuelle du parc français des bâtiments à rénover, et des économies d’énergie possibles à moyen terme, le Pôle Fenêtre FFB souhaite être associé et contribuer aux travaux du Gouvernement. Il entend ainsi participer aux débats et travailler avec les Ministères afin de co-construire le plan de sobriété énergétique français. Le Pôle Fenêtre FFB ambitionne de valoriser les fenêtres et les protections solaires dans les incitations financières, tout en limitant les impacts budgétaires. Le Pôle Fenêtre FFB présente déjà deux premières propositions concernant les logements et les bâtiments tertiaires.Pourquoi la rénovation des fenêtres est-elle fondamentale dans le plan de sobriété énergétique ?Pour les organisations professionnelles regroupées autour du Pôle Fenêtre FFB : « L’intérêt du remplacement des fenêtres dans les gestes de rénovation pour atteindre la sobriété énergétique des bâtiments est déjà démontré. Selon leurs surfaces, les déperditions des anciennes menuiseries représentent 15 à 40% des déperditions totales du bâtiment. Le remplacement des anciennes menuiseries par des produits performants permet de réduire les besoins de chauffage jusqu’à 30%. En valeur absolue, cette réduction peut représenter jusqu’à 60 kW/m2/an, soit plus de 25% de l’amélioration nécessaire pour porter un logement de 300 à 80 kW/m2/an. De plus, en logement collectif, c’est le seul poste de travaux individuel auquel les ménages ont accès. Enfin, c’est un geste de rénovation thermique qui s’effectue à court terme avec des effets immédiats. »A l’approche de l’hiver, la priorité des ménages, des professionnels et de l’Etat est avant tout de considérer les gains de consommation de chauffage. Le remplacement des fenêtres permet d’isoler une grande partie de l’enveloppe extérieure du bâtiment et offre des apports de chaleur gratuite grâce aux apports solaires en hiver. L’économie est directement visible sur la facture d’énergie et évite un plan de restrictions. Ces travaux de rénovation sont accessibles pour un grand nombre de ménages français.Par ailleurs, après avoir vécu plusieurs épisodes de canicule, il est maintenant indispensable de maîtriser les températures intérieures et limiter les apports solaires en été. Grâce aux volets et stores qui y sont associés, la baie vitrée a ainsi contribué à la réduction des besoins de froid. C’est le seul équipement à offrir la possibilité de rafraîchissement nocturne sans consommation d’énergie. Son efficacité peut être améliorée par l’installation de protections solaires qui limitent l'entrée du froid et les déperditions thermiques en hiver. Elles permettent aussi de maîtriser les apports solaires en été, et le recours à la climatisation. Le remplacement total des menuiseries contribue également à une économie d’éclairage substantielle grâce à l’augmentation de clair de vitrage.Des propositions sur les incitations financières afin de massifier la rénovation énergétiqueAujourd’hui, les incitations financières ne permettent pas de massifier la rénovation énergétique compte tenu du reste à charge trop important et de la complexité de certaines d’entre elles. Le Pôle Fenêtre FFB présente plusieurs propositions pour le logement et le tertiaire :Pour le logementLes mesures d’incitations financières dédiées à la rénovation énergétique des bâtiments sont toutes basées sur les conditions d’éligibilité de MaPrimeRénov’.Le Pôle Fenêtre FFB propose un réaménagement des conditions d’éligibilité afin de permettre à un plus grand nombre de ménages, dont le pouvoir d’achat est aujourd’hui fortement impacté, d’accéder à ces aides et accompagnements.Ce réaménagement pourrait être basé sur la simplification des conditions d’éligibilité aux aides et incitations financières de l’Etat, des organismes bancaires et des collectivités :Quelques exemples de propositions du Pôle Fenêtre FFB :un montant forfaitaire universel, applicable dès le niveau « conditions de ressources modestes »,une bonification du forfait universel pour les revenus très modestes,la suppression de la répartition des conditions de ressources par régions de France,la suppression de l’obligation de remplacement de simple vitrage. Aujourd’hui, près d’un tiers des fenêtres remplacées sont équipées de double vitrage ancienne génération dont les performances d’isolation thermique ne sont plus adaptées aux objectifs d’économie d’énergie pris par la France,la prise en compte de la rénovation des portes d’entrée donnant sur l’extérieur, le maintien de l’éco-conditionnalité (obligation de la mention RGE pour les entreprises de mise en œuvre).Le Pôle Fenêtre FFB demande qu’en contrepartie des efforts réclamés aux industriels et aux ménages, la TVA applicable aux travaux de rénovation des menuiseries (portes extérieures, fenêtres et volets) reste au taux réduit de 5,5% sans condition particulière.Considérant la part grandissante des consommations de climatisation dans les logements, le Pôle Fenêtre FFB propose également qu’un volet « confort thermique » soit intégré dans la politique publique de rénovation énergétique des logements.Pour le tertiaireLe report possible dans l’application du dispositif Eco Energie Tertiaires semble difficile à accepter compte tenu du gisement d’économies d’énergies pour les bâtiments.Le Pôle Fenêtre FFB demande de considérer une entrée en vigueur en janvier 2023.La profession travaille sur la création de fiches standardisées Certificats d’Economies d’Energies (CEE), dédiées à la façade vitrée et aux protections solaires dans les bâtiments tertiaires. Les autres fiches standardisées CEE fenêtre en logement et en tertiaire sont en cours de révision : la filière demande également leur revalorisation.
Il y a 2 ans et 243 jours

Nouvelle édition pour Les Rendez-Vous de la Matière

Le rendez-vous annuel dédié aux professionnels de l’architecture, du design et de l’aménagement intérieur. Grâce à un positionnement atypique croisant des matériaux d’exception et des solutions industrielles, les RENDEZ-VOUS DE LA MATIÈRE + FAIR(E), sont devenus un acteur immanquable de la prescription. Au fil des années le salon s’est démarqué en créant une synergie des différents réseaux – industriels, artisans, designers… promesse de forte valeur ajoutée pour les visiteurs prescripteurs. La collaboration de MVRDV à cette 8e édition souligne l’importance des RENDEZ-VOUS DE LA MATIÈRE + FAIR(E)  sur la scène architecturale. Cette 8e édition se tiendra à l’Atelier Richelieu à Paris, hôtel particulier et ancienne imprimerie du magazine “L’illustration” les 11 et 12 octobre prochain. Deux jours de rencontres autour d’un concept scénographique immersif © Sophia Goigoux-Becker Le format de l’événement permet d’associer un lieu hors du commun au dynamisme d’un salon professionnel grâce une scénographie immersive. MVRDV et Sophia Goigoux-Becker déclineront des modules aux formes géométriques et architecturales créant ainsi une géographie harmonieuse valorisant la découverte des matériaux et les rencontres. La scénographie immersive viendra stimuler l’imagination, révéler les potentialités des matières et mettre en valeur l’excellence des concepteurs exposants. À l’occasion des RENDEZ-VOUS DE LA MATIÈRE + FAIR(E), venez rencontrer et assister aux conférences et tables rondes en présence de grands noms de l’architecture, du design et de l’industrie. >> Découvrez le programme de toutes les conférences  
Il y a 2 ans et 244 jours

Le GROUPE MULLER devient intuis

Aujourd’hui, le GROUPE MULLER doit répondre à de nouveaux défis et pas des moindres: la crise sanitaire, avec à la fois un challenge industriel à relever et un confort intérieur à repenser. Le réchauffement climatique, qui impose de nouveaux comportements. Le conflit aux frontières de l’Europe, qui impacte la politique énergétique des États et les […]
Il y a 2 ans et 244 jours

Une batterie unique pour plus de 25 marques avec la nouvelle alliance AmpShare

"AmpShare - powered by Bosch" est une batterie unique capable d'être utilisée sur plus de 200 outils professionnels dès à présent. Elle est issue de l'alliance entre Bosch, Fein et Rothenberger.
Il y a 2 ans et 244 jours

SEMIN présent au salon ARCHITECT@WORK   à Paris le 22 et le 23 septembre prochain au Paris event center

Industriel français spécialisé dans la fabrication de matériaux de construction, SEMIN est une entreprise familiale créée en 1838 dirigée par la sixième génération. Devenue ETI, l’entreprise a su s’imposer comme l’un des spécialistes mondiaux des solutions pour l’aménagement intérieur de l’habitat. La société dont le coeur de métier est la fabrication d’enduits, propose de nombreuses […]
Il y a 2 ans et 244 jours

epoignee de porte fingerscan l empreinte digitale remplace la cle

HOPPE présente la nouvelle génération de sa ePoignée de porte FingerScan : la cellule du lecteur d’empreintes digitales provient désormais du fabricant ekey. Comme auparavant, le scanner est directement intégré dans la poignée de la porte d’entrée.
Il y a 2 ans et 244 jours

"On déterre un cadavre" : la centrale à charbon de Saint-Avold prépare son redémarrage

Le silence et la fraîcheur règnent encore au milieu de la lourde machinerie inaugurée en 1981. Seul résonne le bruit des travaux de réparation qui ont débuté cet été et se termineront fin septembre. Coût de l'opération : 10 millions d'euros. Quelque 200 salariés d'entreprises sous-traitantes ont été embauchés pour l'occasion, précise Camille Jaffrelo, porte-parole de GazelEnergie, propriétaire de la centrale."Une grande révision" des machines est indispensable pour "redémarrer en toute sécurité" et éviter tout incident technique cet hiver, explique Sylvain Mergen, chef de quart de 55 ans, depuis la salle des commandes.Lui devait partir à la retraite cette année et a accepté de revenir, comme 67 autres salariés "contents d'être là", selon cet ancien mineur employé de la centrale depuis 1997. Au total, 68 salariés sur les 69 que comptaient le site le 31 mars dernier sont revenus.A la retraite depuis ses 54 ans, Denis Maury, 60 ans, avait lui déjà accepté de reprendre son poste de rondier l'hiver dernier. De retour depuis fin août, il effectue des rondes régulières pour vérifier que la machine fonctionne sans problème.Main à la pocheS'il se sentait en capacité de reprendre son travail "après six ans de vacances". Il ne le cache pas, la généreuse prime de 5.800 euros bruts par mois proposée aux salariés pour l'hiver 2022/2023 a aussi pesé dans la balance."Pour inciter les gens à revenir, il faut mettre la main à la poche", confirme Camille Jaffrelo. "Nous avons augmenté les salaires et donné un certain nombre de primes qui doublent la rémunération de nos salariés.""C'est un partage du gâteau qui nous paraît équitable", salue Jean-Pierre Damm, élu au CSE de GazelEnergie et délégué syndical Force Ouvrière (FO). Selon le syndicaliste, les six prochains mois de fonctionnement de la centrale vont rapporter entre 150 et 200 millions d'euros à l'entreprise.Très émettrice de CO2, la centrale Emile-Huchet devait fermer ses portes définitivement fin mars. Mais le gouvernement en a décidé autrement cet été pour sécuriser l'approvisionnement du pays en électricité, compte tenu du conflit en Ukraine et des déboires rencontrés par le parc nucléaire d'EDF.Il n'y a qu'une seule autre centrale au charbon, à Cordemais (ouest), encore ouverte en France. Dans l'Hexagons plus de 67% de l'électricité produite est d'origine nucléaire, la part des combustibles fossiles étant en 2020 de 7,5% dont 0,3% de charbon et 6,9% de gaz.Dans la loi pour le pouvoir d'achat votée début août, le gouvernement a inclus une mesure permettant à GazelEnergie de réembaucher les salariés cet hiver. Plus de la moitié devaient partir à la retraite, et les plus jeunes devaient être reclassés au sein des nouveaux projets de l'entreprise. GazelEnergie prévoit entre autre de construire une chaudière biomasse à la place de la centrale à charbon."On sait qu'on pollue"Sylvain Krebs, 46 ans dont 22 ans passés à gérer le charbon à Emile-Huchet, doit rejoindre l'équipe qui travaillera pour cette future chaudière biomasse. Le charbon, or noir qui a fait vivre la Lorraine pendant près de deux siècles, il en a "fait le deuil".S'il se dit toutefois "content" de voir les hautes cheminées se rallumer une dernière fois, "on a déterré un cadavre", regrette-t-il."On sait qu'on pollue", dit-il en montrant les 210.000 tonnes de charbon stockées sur le site. Derrière lui, le ballet de camions venus livrer ne s'arrête pas et le monticule atteint déjà une quinzaine de mètres de haut, tâche noire au milieu de ce site industriel entouré d'éoliennes plantées à quelques kilomètres.Au total, il faudra plus de 500.000 tonnes de charbon pour faire tourner le site d'octobre à fin mars.A cause de la guerre en Ukraine et des réacteurs nucléaires à l'arrêt, Sylvain Krebs en est convaincu, la centrale a encore "deux années de fonctionnement" devant elle. Car lorsqu'elle tourne à pleine capacité, elle peut produire jusqu'à 600 Megawattheure, et est en mesure d'alimenter un tiers des foyers de la région Grand Est.
Il y a 2 ans et 244 jours

Carbon, l'espoir d'une usine géante de panneaux photovoltaïques en France

"Nous ne pouvons plus être dépendants de la Chine pour un produit aussi stratégique !", lance Pascal Richard, PDG de Carbon, interrogé par l'AFP.Neuf des dix premiers fabricants mondiaux sont chinois et sud-coréens, adossés à leurs immenses marchés intérieurs.Le panneau solaire, de fait, est au cœur des projets énergétiques français et européens.Un projet de loi "d'accélération des énergies renouvelables" doit être présenté mi-septembre en conseil des ministres.Il prévoit la multiplication des possibilités d'implantation des panneaux solaires (obligation d'équipement sur les gros parkings, possibilité d'installation sur les délaissés routiers...) et la simplification de certaines procédures - critiquée d'ailleurs par des ONG environnementales.Pour combler le retard français sur ses partenaires européens, Emmanuel Macron avait annoncé en février vouloir décupler les projets pour atteindre 100 gigawatts (GW) installés en 2050, contre 13 en 2022.Et encore : ces objectifs ont été fixés avant la guerre en Ukraine et la prise de conscience généralisée de la dépendance au gaz russe, qui a aussi conduit en mai la Commission à présenter son plan "REPowerEU" visant à quadrupler la production photovoltaïque dans l'UE d'ici 2030.Carbon entend bien prendre sa part dans ce gâteau de la "souveraineté énergétique européenne", explique M. Richard, ancien directeur France de l'allemand SMA (onduleurs pour le photovoltaïque).D'ici 2025, Carbon prévoit la construction d'une première usine de panneaux dont la capacité installée sera de 5 GW, employant 3.000 personnes, et passerait à 20 GW et 10.000 personnes en 2030. Un énorme effet d'échelle sur les prix, espèrent ses fondateurs. Le site d'implantation - classé Seveso - n'est pas arrêté, mais il faudra 80 hectares.Chasse aux investisseursL'investissement nécessaire pour ce projet totalement intégré doit s'établir à 1,3 milliard d'euros pour la première étape, "5 à 6 milliards" au total.La chasse au investisseurs est lancée, notamment aux subventions françaises et européennes. Une première levée de fonds "de plusieurs dizaines de millions d'euros" est programmée au premier trimestre 2023. Elle servira à "la mise en place des équipes" et "la poursuite des études".Mantra des cinq associés à parts égales, parmi lesquels le fabricant grenoblois de fours destinée à l'industrie photovoltaïque ECM : "toute la chaîne de valeur sera intégrée" une fois la matière première acquise – du polysilicium provenant d'Allemagne ou de Norvège dans un premier temps.Lingots, tranches (wafers), cellules, et donc panneaux finaux seront entièrement "made in France", là où d'autres acteurs du marché européen se contentent d'assembler les composants chinois. "Il n'y a aucun projet de cette envergure" en Europe, assurent les dirigeants de Carbon.Des gros énergéticiens intègrent d'ailleurs déjà les panneaux Carbon dans leur préfiguration de centrales solaires, affirme Laurent Pélissier, PDG d'ECM, "car ils veulent diversifier leurs portefeuilles fournisseurs et ne plus se retrouver dans des situations où il n'y a plus d'approvisionnement, ou avec des prix variant soudainement".C'est le cas de la Compagnie nationale du Rhône (CNR), qui a annoncé en mai un plan "massif" d'investissement dans le photovoltaïque (1 milliard d'euros), via la "solarisation" de toitures ou de terrains dégradés."A prix quasiment identique, ce qui sera un défi, et performance égale, nous aurons bien sûr une préférence" pour Carbon, affirme Julien Marchal, directeur des nouvelles énergies, déplorant avoir "perdu parfois 6 mois sur certains projets en raison des difficultés d'approvisionnements"."Nous réduirions aussi le risque transport, le risque de change et géopolitique, comme lorsque la Chine a brusquement arrêté ses usines pour sa stratégie zéro covid. L'empreinte carbone des panneaux français serait également bien meilleure, d'autant plus si des capacités de recyclage existent sur place", ajoute ce responsable.A ses yeux, Carbon pourrait même devenir "le Verkor du solaire", allusion à cette start-up grenobloise, soutenue notamment par Renault, qui va implanter une usine géante de batteries à Dunkerque.