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Il y a 2 ans et 234 jours

Nicolas Esquillan : Grand ingénieur du béton

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Après avoir remporté le concours du Cnit, devant Nervi et Freyssinet, il réalise, en 1955, la voûte du palais qui détient toujours le record mondial de portée, de même que celui de la plus grande surface supportée point par appui. [©ACPresse] A la différence de ses aînés qui font leur carrière comme ingénieur-conseil et donc sous leur propre nom, Nicolas Esquillan (1902-1989) a fait toute la sienne aux Entreprises Boussiron. Il reste donc méconnu, les ouvrages qu’il a conçus étant signés… Boussiron. A cela s’ajoute une réserve naturelle. « Sa bienveillance et même sa chaleur se lisaient plutôt dans l’attention qu’il portait à son interlocuteur que dans des démonstrations qui n’étaient pas dans sa nature », résume Bernard Marrey, auteur de “Nicolas Esquillan, un ingénieur d’entreprise”. Le Cnit à Paris La Défense est son œuvre la plus célèbre, même si l’on oublie souvent de lui en reconnaître la paternité, voire même de le citer ! Les Entreprises Boussiron Nicolas Esquillan entre aux Arts-et-Métiers, à Châlons-sur-Marne, en 1919. Et en sort 4e de sa promotion avec une médaille d’argent. Il restera proche du milieu Gadzarts1, dans sa vie professionnelle et dans sa vie privée. Après son service militaire qu’il termine comme sous-lieutenant artilleur, il est indécis sur son orientation. Après son service militaire, le hasard lui fait rencontrer un Gadzarts1, ami de Simon Boussiron. Lequel a orienté sa société vers le béton armé. La rencontre entre les deux hommes est concluante et il rejoint la société en 1923. A la différence de ses aînés qui font leur carrière comme ingénieur-conseil et donc sous leur propre nom, Nicolas Esquillan a fait toute la sienne aux Entreprises Boussiron. [©DR] Il devait y consacrer sa vie. Il a alors 21 ans, Simon Boussiron en a 50. « En bon chef d’entreprise, ce dernier avait peut-être flairé les qualités de son futur chef d’études. » La publication en 1899 par Simon Boussiron de formules servant à calculer la résistance du béton armé est donc d’autant plus importante que les travaux théoriques étaient encore rares. Mis à part Matthias Koenen et Gustav Adolf Wayss qui, à partir du brevet de Joseph Monier, avaient publié des notes de calcul en 1886, en Allemagne, il n’y avait que Napoléon de Tesdesco qui, en France, avait publié avec Edmond Coignet en 1894 : “Du calcul des ouvrages en ciment avec ossature métallique”. Dans les années 1930, le jeune Esquillan se voit confier des responsabilités plus grandes au bureau d’études. Simon Boussiron reçoit alors la commande d’un nouveau pont à construire sur la Seine à La Roche-Guyon (95). A 31 ans, Nicolas Esquillan a la responsabilité d’un ouvrage entier. « Pour le jeune ingénieur, c’est un coup de maître. » Avec une longueur totale de 202 m et une portée de 161 m entre les naissances des arcs, il ravit au pont Saint-Pierre-du-Vauvray (27) le record mondial des ponts en béton armé à tablier suspendu détenu par Eugène Freyssinet. Les années 1930 Dans les années 1930, le jeune Esquillan reçoit chez Boussiron la commande d’un nouveau pont à construire sur la Seine à La Roche-Guyon (95). [©Carte postale vers 1864] En ces années où la circulation routière s’intensifie, les ponts suspendus datant des années 1830 et 1840 ne sont plus capables de répondre aux besoins du trafic. En 1935, c’est le département du Lot-et-Garonne qui met au concours la reconstruction du pont de Clairac sur le Lot pour remplacer le pont suspendu de 1833. S’en suivent le pont de Saint-Sylvestre (07) et celui de La Coudette (49). Avec cette réalisation, Nicolas Esquillan remporte le record mondial des ponts-routes en bow-string en béton armé. En 1936, il est nommé chef d’études des ouvrages d’art des Entreprises Boussiron. Il en devient le directeur technique en 1941 et le restera jusqu’en 1971, année du rachat de la société Boussiron. De 1936 à 1941, il conçoit et construit une halle de marché pour Fontainebleau, sa ville natale (ouvrage démoli en 2013). Caractérisée par la minceur de sa voûte et de ses piliers en béton, ou encore par l’élégance de ses formes et de ses pavés de verre Saint-Gobain, elle est considérée par l’historien Alexandre Gady, comme un « exploit technique » et un « chef-d’œuvre méconnu » d’Esquillan. La reconstruction A la fin de la guerre, il faut rebâtir. A côté d’ouvrages entièrement détruits, il y en a de nombreux autres, plus ou moins touchés, pour lesquels une remise en état est possible. « C’était un travail ingrat, souvent obscur, qui demandait de l’ingéniosité, d’autant plus que les matériaux manquaient, l’argent aussi, et qu’il fallait aller vite. » C’est ainsi qu’en 1950, Nicolas Esquillan achève la reconstruction du pont-route de Conflans-Fin d’Oise, puis le viaduc de chemin de fer de la Méditerranée sur le Rhône. Avec 124 m de portée, ce dernier remporte le record mondial des ponts-rails en béton armé à doubles voies suspendues. Puis, il construit, en 1951, le hangar à deux nefs de l’aéroport de Marignane. Et de 1952 à 1955, il entreprend le premier grand pont-rail français en béton précontraint à La Voulte-sur-Rhône. Qui, avec ses 300 m, est alors le plus long pont du monde sous voie ferrée normale en béton précontraint. Il gagne en 1954, notamment devant Riccardo Morandi (celui du pont de Gênes…), le concours du pont d’Abidjan. De 1936 à 1941, il conçoit et construit une halle de marché pour Fontainebleau, sa ville natale (ouvrage démoli en 2013). [©Daniel Villafruela] Après avoir remporté le concours du Cnit en partenariat avec Bernard Zehrfuss et Marcel Breuer, devant Nervi et Freyssinet, il réalise, en 1955, la voûte du palais qui détient toujours le record mondial de portée, de même que celui de la plus grande surface supportée point par appui. En 1957, il réalise les pylônes du pont de Tancarville, qui remportent le record mondial de hauteur des piles de pont suspendu en béton armé. Il officie en 1961 en tant qu’ingénieur-conseil du Palais des expositions de Turin et réalise le deuxième pont d’Abidjan en 1967, ainsi que le château d’eau de La Duchère. Pour les Jeux olympiques d’hiver à Grenoble, il construit en 1968 le Stade olympique de glace, considéré comme sa dernière grande œuvre. « Dans ma conception des ouvrages, ma première recherche, essentielle, a toujours été de déterminer les points d’appui les plus judicieux, soit verticaux, soit horizontaux, et d’organiser la structure pour y conduire les forces le plus rationnellement possible, et en tous cas le plus économiquement. […] L’art de dresser un projet ne consiste pas tant à résoudre un système d’équations par le calcul, que de bien les poser après avoir imaginé toutes les hypothèses plausibles. Si une culture mathématique sérieuse est utile et nécessaire pour formuler les résultats de l’expérience, il ne faut jamais oublier que l’on n’a aucune chance de retrouver à la fin d’un calcul ce que l’on aura oublié d’introduire initialement. En d’autres termes, si le projeteur a omis un effort ou une déformation en un point donné d’une structure, le calcul ne les lui fera pas retrouver », explique Nicolas Esquillan lors d’une conférence sur l’art de construire prononcée lors de sa réception comme docteur honoris causa à l’université de Stuttgart en 1965. 1Diplômé des Arts et Métiers. M. C. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 234 jours

Edilteco – CarbonCure : Maintenant en France

CarbonCure permet l’injection de CO2 dans le béton frais. [©Edilteco] Edilteco devient le distributeur exclusif en France, en Italie et au Benelux de la start-up canadienne CarbonCure. L’industriel s’occupe ainsi de la mise en relation, mais aussi de l’installation, de la maintenance et du SAV des “box”. Dans le détail, la technologie demande la mise en place d’une cuve de CO2, qui sera alimentée en gaz par un fournisseur local. Cette cuve est reliée au malaxeur de la centrale à béton. Quant aux “box”, elles sont installées au niveau du poste de commande et sur la cuve à CO2. Ces concentrés de technologie permettent à la start-up, d’une part, de récupérer les datas dans ses serveurs, de vérifier et de prévenir les centraliers en cas de problème 24 h/24. Et, d’autre part, pour la centrale, de doser le CO2 injecté dans le malaxeur en fonction de la formulation de béton établie. A l’intérieur du malaxeur, le carbone à l’état liquide se transforme en neige et forme du carbonate de calcium une fois mélangé avec les composants classiques du béton. Avec ce procédé, le béton devient un exutoire pour le CO2. A l’heure actuelle, deux unités de ce type sont déjà en service sur le territoire français et une 3e devrait être installée prochainement… Par ailleurs, Edilteco profite du rendez-vous de la porte de Versailles pour mettre en avant sa nouvelle gamme “Green”. Elaboré à partir de polystyrène recyclé, Politerm R est en le premier produit natif. Dans le respect de la démarche d’économie circulaire, les chutes de PSE issues de blocs et panneaux sont récupérées, broyées, recalibrées et ensachées pour un produit final 100 % recyclé. Hall 1 – Stand N66
Il y a 2 ans et 236 jours

Holcim rachète un acteur de l'isolation thermique par l'extérieur

ACQUISITION. Le cimentier Holcim continue de faire grandir sa nouvelle division Solutions & Products. Cette fois, il annonce la finalisation du rachat de Cantillana, expert belge dans les systèmes de construction de façades et d'isolation thermique par l'extérieur.
Il y a 2 ans et 236 jours

Holcim rachète un acteur de l'isolation thermique par l'extérieur

ACQUISITION. Le cimentier Holcim continue de faire grandir sa nouvelle division Solutions & Products. Cette fois, il annonce la finalisation du rachat de Cantillana, expert belge dans les systèmes de construction de façades et d'isolation thermique par l'extérieur.
Il y a 2 ans et 236 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050)  14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Kiribati) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com Cet article Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 236 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) et Aristide Belli (Chef de projet senir programme OSCAR) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Angel Menendez (Architecte – Atelier Lame) 14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) avec Ambre Le Ferrec (Reponsable pôle 2nde transformation et suivi de la normalisation – Fédération Nationale du Bois) et Jérôme Martinez (Responsable du label Bois de France) 11h00 : La parole à Cadwork avec Denis Roblin (Directeur vente France) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Karibati), Alec Bickersteth (Chef de projet Filière, Emploi & Formation – Fibois Île-de-France) et Ghislain Moret de Rocheprise (Directeur marketing et commercial – ISOL’en Paille) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 14h30 : La parole à Eiffage avec Thomas Doyon (Directeur Eiffage Immobilier Solutions Industrialisées)  15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) et Sandrine Bertin (Déléguée générale – SNFA) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation – SNCF Immobilier) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com
Il y a 2 ans et 236 jours

Holcim relève le défi de l’eau

Holcim compte réduire sa consommation d’eau douce sur l’ensemble de ses activités. [©ACPresse] Selon l’ONU, nos besoins en eau vont augmenter de 50 % à l’horizon 2030. Aujourd’hui, trois milliards de personnes n’ont pas accès à cette ressource vitale. Par conséquent, Holcim souhaite relever deux des défis les plus urgents au niveau planétaire : la sécurité de l’eau et le changement climatique. Le cimentier suisse rejoint ainsi la “50 l Home Coalition”1 et la “Water Resilience Coalition”2, afin de réduire la consommation d’eau et de protéger les ressources en eau douce dans le monde. « Le développement durable étant au cœur de tout ce que nous faisons, je suis heureuse que nous ayons rejoint la “50 l Home Coalition” et la “Water Resilience Coalition”, déclare Magali Anderson, responsable en chef du développement durable et de l’innovation du groupe. En nous associant à des organisations partageant les mêmes idées sur la gestion de l’eau, nous pouvons avoir un impact positif sur l’environnement. De telles adhésions renforcent réellement notre vision du progrès pour les gens et la planète. » Une gestion minutieuse Holcim utilise l’eau dans de nombreux processus de production. Pour laver les roches dans les carrières, comme matière première dans la production de béton et comme agent de refroidissement dans la fabrication du ciment. Toutes leurs centrales à béton et toutes leurs carrières disposent d’un circuit fermé, qui permet de réutiliser l’eau récupérée pour la production. En tant que membre principal de la “50 l Home Coalition”, le groupe cimentier souhaite améliorer l’efficacité de l’utilisation de l’eau en milieu urbain. Et développer une gestion stricte de cette ressource avec des indicateurs clairs et des mesures ciblées. D’ici 2030, Holcim compte réduire sa consommation d’eau douce sur l’ensemble de son activité. Une baisse de 33 % de son utilisation d’eau dans la fabrication de ciment, de 20 % dans celle des granulats et de 15 % dans le béton prêt à l’emploi. 1Plate-forme mondiale d’actions pour lutter contre la crise de l’eau en milieu urbain et relever les défis du changement climatique. 2Coalition qui a pour mission de propulser l’accès à l’eau potable en tête des priorités des entreprises.
Il y a 2 ans et 236 jours

Nouvelle collection Habitat de Forbo Flooring :   chaque espace de vie, le sol de ses envies

Collection Habitat  Fast flooring  Topshield pro  Bien sûr, l’esthétique est à l’honneur avec cette nouvelle collection de PVC acoustique destinée aux parties privatives de l’habitat. Mais il ne s’agit pas pour Forbo Flooring de simplement s’inscrire dans la tendance : les 7 nouveaux décors de ses 30 références s’avèrent autant de réponses designs parfaitement pensées, […]
Il y a 2 ans et 236 jours

SEMIN AU SALON

Industriel français spécialisé dans la fabrication de matériaux de construction, SEMIN est une entreprise familiale créée en 1838 dirigée par la sixième génération. Devenue ETI, l’entreprise a su s’imposer comme l’un des spécialistes mondiaux des solutions pour l’aménagement intérieur de l’habitat. La société dont le coeur de métier est la fabrication d’enduits à destination des […]
Il y a 2 ans et 236 jours

REPAN et ISOSTA au salon

Développé par ISOSTA, fabricant de panneaux sandwich destinés aux menuiseries et aux façades, l’unité de déconstruction REPAN, mise officiellement en service en juin dernier, disposera d’un stand au sein du pavillon « Menuiserie & Fermeture » sur le salon international BATIMAT. Ce dernier se tiendra à la Porte de Versailles à Paris du 3 au […]
Il y a 2 ans et 236 jours

BRUNO MALERBA FINANCES acquiert la société MENUISERIE MAGNIN , spécialiste des escaliers

Bruno MALERBA, Président de BRUNO MALERBA FINANCES, annonce l’acquisition au 15 septembre 2022, de la société MENUISERIE MAGNIN, dont le siège social est situé à Charlieu dans la Loire (42). Avec ce rachat, l’entreprise rejoint le giron des activités de BRUNO MALERBA FINANCES, qui inclut notamment la société MALERBA, fabricant référent de blocs-portes techniques, basé […]
Il y a 2 ans et 236 jours

Saint-Gobain intègre GCP Applied

GCP Applied Technologies apporte ainsi à Saint-Gobain une plate-forme mondiale reconnue dans les additifs pour ciment, les adjuvants pour béton et les solutions pour les infrastructures. [©GCP Applied Technologies] Nous l’avions publié fin 2021, Saint-Gobain annonçait alors l’acquisition de GCP Applied Technologies pour 2 Md€. L’industriel français vient d’obtenir les autorisations des autorités compétentes de la concurrence pour le rachat de ce spécialiste de la chimie de la construction. L’opération sera finalisée le 27 septembre prochain. GCP Applied Technologies apporte ainsi à Saint-Gobain une plate-forme mondiale reconnue dans les additifs pour ciment, les adjuvants pour béton et les solutions pour les infrastructures. Cette acquisition constitue une étape décisive pour Saint-Gobain, qui veut devenir un spécialiste mondial de la chimie de la construction.
Il y a 2 ans et 236 jours

Lars Petersson, P-DG de Velux

P-DG d'Hempel, Lars Petersson, 53 ans, rejoindra Velux le 1er novembre 2022 pour succéder à David Briggs, qui a souhaité prendre sa retraite....
Il y a 2 ans et 236 jours

Doubs : l'économie mixte réagit au quart de tour pour l'automobile

Avec la cession d'une portion inactive de l'usine Stellantis (ex-PSA) de Sochaux (Doubs), l'économie mixte locale trouve un vaste terrain...
Il y a 2 ans et 237 jours

Un nouvel acteur de la chimie de construction bientôt dans l'escarcelle de Saint-Gobain

ACQUISITION. Depuis l'acquisition de Chryso à l'automne 2021, Saint-Gobain affiche ses ambitions sur le secteur de la chimie de construction. Pour preuve, le 27 septembre prochain, il finalisera le rachat d'un acteur américain d'envergure de cette filière.
Il y a 2 ans et 237 jours

Cantillana passe sous giron Holcim

Holcim a complété le rachat de Cantillana. [©Cantillana] Holcim annonce avoir complété l’acquisition du Belge Cantillana, spécialiste des produits de gros œuvre, des enduits de façade et des granulats. Les bénéfices de Cantillana sont estimés à 80 M€ pour 2022. Les 200 employés et les neuf usines de production de la marque passent donc dans le giron d’Holcim. Avec les achats récents de PRB en France, de PTB-Compaktuna en Belgique et d’Izolbet en Pologne, Holcim renforce sa présence sur les marchés allemands, belges, français et hollandais. Les actifs et les solutions de la marque belge rejoignent le catalogue “Solution et Produits” d’Holcim. Lire aussi : Holcim en passe de racheter Cantillana « Je suis heureux d’accueillir tous les employés de Cantillana dans la famille Holcim, déclare Miljan Gutovic, responsable des marchés Europe, Moyen-Orient et Afrique d’Holcim. Cet achat constitue une nouvelle avancée dans l’expansion de notre catalogue “Solutions et Produits”. Et une progression dans notre “Stratégie 2025 -accéléré la croissance verte”. Ainsi, cette acquisition renforce notre présence en Europe. Notamment sur les secteurs de la rénovation, et des solutions d’efficience énergétique. » Cantillana a été fondée en 1875 à Sint-Niklaas, en Belgique. La société avait été acquise en 1982 pour la compagnie Stadsbader Group.
Il y a 2 ans et 237 jours

Les premières offres de systèmes pour l’autonomie énergétique des maisons individuelles

Au salon Interclima 2022, Porte de Versailles à Paris, Atlantic, Viessmann et d’autres industriels exposeront les premiers systèmes destinés à assurer l’autonomie énergétique en maison individuelle. ©Viessmann
Il y a 2 ans et 237 jours

Le groupe Poujoulat grandit et continue sa diversification

Poujoulat se porte bien, développe son activité bois énergie et exposera aux salons du Mondial du Bâtiment 2022 avec sa solution Réno VMC-gaz pour laquelle il a reçu un Award de l’innovation.(Photo © Poujoulat)
Il y a 2 ans et 237 jours

Un guide de la RE2020 pour construire des logements avec les Smart Systèmes en béton

La Fédération de l'industrie du béton (FIB) et le Cerib éditent un guide pour valoriser les performances environnementales et énergétiques des solutions préfabriquées en béton.
Il y a 2 ans et 237 jours

À Lyon, sur le bâtiment S-One, le nouveau système de châssis cadres Wicline 65 de Wicona fait le mur

Livré en mai 2022, il a été érigé en lieu et place d’un hôtel des ventes vieillissant et témoigne d’un tissu urbain qui se renouvelle. Comment, sur cette parcelle contrainte en forme de proue, délimitée par le ruisseau des planches en contrebas, construire des bureaux nouvelle génération, flexibles, adaptés aux attentes d’aujourd’hui et tirant parti de cet environnement?Porté par le Groupe Carré d’Or, le projet de SOHO répond par un bâtiment tertiaire en forme compact reprenant les codes industriels de son héritage. La contrainte du ruisseau à l’arrière du terrain a permis une audace architecturale pour respecter la distance réglementaire de toute implantation de construction à moins de 8 mètres. S-One déroule un bâtiment rectangulaire de 3.246 m2 en R+4 et 2 niveaux de sous-sol et un impressionnant porte-à-faux triangulaire de 8 mètres.Au niveau du travail de la trame des menuiseries et des façades, le choix s’est porté sur le système de façade cadre WICONA. « Notre volonté était de faire des modules préfabriqués en atelier, livrés sur le chantier et posés d’une pièce sur l’ossature du bâtiment avec l’ambition un peu nouvelle que les modules soient complément fini sur la peau intérieure et extérieure. » Afin d’apporter une dynamique et du rythme à l’ensemble, le cabinet d’architecture SOHO et l’entreprise LENOIR Métallerie ont imaginé 8 versions de modules.Pour Antoine Noyel, DGA de Lenoir Métallerie : « La spécificité du projet réside dans le synoptique de l’habillage des façades cadres qui répondaient à un double objectif : donner l’impression d’une cinétique depuis la rue via un kaléidoscope de modules positionnés de manière dynamique et faire illusion que la structure porteuse du projet se situe à l’extérieur, ne laissant apparaître que des objets d’habillage décoratifs en aluminium pour recréer cette modénature. »Pour cela, il a été décidé de décliner le système de façade cadre par élément WICTEC EL de WICONA et créé un système de châssis cadre à partir de la fenêtre WICLINE 65. En tout, 110 éléments ont été fabriqués en atelier, représentant 1.050 m2 de façade déclinée dans 8 designs différents. Chaque bloc/unité étant lui-même composé de 3 à 5 éléments de remplissage.
Il y a 2 ans et 237 jours

La FFB s'engage encore plus pour le développement des compétences dans la construction

Ce « Pact for skills in Construction » contient les engagements suivants :établir des partenariats solides, notamment avec les organismes d’enseignement et de formation professionnels (VET) ;surveiller l'offre et la demande professionnelles et anticiper les besoins en connaissances, compétences et savoir-faire ;lutter contre la discrimination ;attirer davantage de jeunes et de femmes dans le secteur ;promouvoir une culture de l'apprentissage tout au long de la vie pour tous, soutenue par des incitations adaptées.La FFB, avec la FIEC (Fédération européenne de l’industrie de la construction) et le CCCA-BTP, participe depuis le 1er janvier 2019 au projet européen « Construction Blueprint » soutenu par le programme Erasmus+. Construction Blueprint, qui réunit 24 partenaires européens et nationaux issus de 12 pays, a pour objectif de développer une stratégie sur les compétences professionnelles. Il s’agit d’identifier les besoins et attentes des entreprises en matière de compétences, notamment en lien avec les enjeux de l’efficacité énergétique, de l’économie circulaire et du numérique, ainsi que de recueillir les bonnes pratiques, nationales et régionales.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Investie de longue date dans le développement des compétences, la FFB renouvelle son engagement, aux côtés de sa fédération européenne de la construction, la FIEC. Il importe de tout mettre en œuvre pour permettre à nos entreprises de bénéficier d’une main d’œuvre qualifiée, au fait des enjeux de transitions écologique et numérique. »
Il y a 2 ans et 237 jours

Cheminées Poujoulat ensoleille sa notoriété avec un troisième parrainage météo

Pour cette troisième année consécutive de parrainage météo, les spots publicitaires du leader européen des conduits de cheminée et sorties de toit métalliques restent sur le même cap : informer les consommateurs sur l'importance d'installer un conduit de fumée de qualité pour bénéficier d'une solution de chauffage performante. Cette année, Cheminées Poujoulat décide de mettre également l'accent sur sa nouvelle solution d'aménagement extérieur : la marque Outsteel par Cheminées Poujoulat, qui propose une gamme de caches design pour pompe à chaleur et climatisation.2 spots : Cheminées Poujoulat en entré, Outsteel en sortiePendant 4 semaines, du 9 septembre au 2 octobre 2022, Cheminées Poujoulat encadrera les bulletins météo du week-end, du vendredi au dimanche, de France 2 et France 3, avec 2 spots de 12 secondes. Cette campagne TV sera également diffusée le week-end sur TV5 Monde et La Chaîne Météo.Spot d'entréeLe spot d'entrée évoque le confort d'hiver au coin du feu apporté par les solutions pour le chauffage Cheminées Poujoulat, fabricant français depuis 1950. En fin de spot, un point d'attention est porté aux téléspectateurs sur l'importance d'avoir un conduit de fumée de qualité pour bénéficier d'une solution de chauffage performante.Spot de sortieNouveauté pour la campagne TV 2022 : le spot de sortie met en lumière la toute nouvelle innovation phare développée par Cheminées Poujoulat pour l'aménagement extérieur, Outsteel. Une gamme de caches pompe à chaleur et climatisation qui s'inscrit parfaitement dans la démarche de la marque de proposer de plus en plus de personnalisation et de solutions esthétiques, plébiscitées par les consommateurs.Ancrer Cheminées Poujoulat durablement dans le quotidien des françaisDepuis 2020, Cheminées Poujoulat parraine la météo sur France 2 et France 3. En tant que marque proposant des solutions présentes dans les foyers français, qui participent au confort, le choix de ce programme s'explique par son profil fédérateur et familial. Aussi, accompagner la météo à cette période de l'année est en cohérence par rapport à l'activité chauffage.Avec cette troisième année de campagne TV, Cheminées Poujoulat continue de renforcer sa relation avec le grand public, consolidant sa notoriété d'année en année. S'adresser ainsi aux consommateurs permet non seulement de les informer des solutions existantes pour leur confort thermique, mais également de favoriser les entreprises partenaires distribuant ses produits.Cheminées Poujoulat poursuit ainsi son parcours en tant que fabricant français de référence, et dont les innovations sont régulièrement reconnues et valorisées par les professionnels du secteur.
Il y a 2 ans et 237 jours

Le top 5 des plus beaux escaliers de France et de Monaco

Auparavant considéré comme un élément de service, l'escalier tient aujourd'hui de plus en plus souvent le rôle principal à l'intérieur d'un bâtiment. Il permet aux architectes de déposer leur signature artistique grâce au savoir-faire très haut de gamme du fabricant néerlandais EeStairs.
Il y a 2 ans et 238 jours

A Lyon, l'ancien bâtiment du marché de gros réenchante la Confluence

RÉOUVERTURE. Déjà transformé en salle de musique en 2006, l'ancien bâtiment du marché de gros de Lyon renaît une nouvelle fois avec un ensemble flambant neuf pouvant accueillir 70 concerts par an. Si les ailes du bâtiment ont été détruites et reconstruites, sa façade et son esprit industriel ont été préservés. Découverte.
Il y a 2 ans et 238 jours

La révolution du béton magnétique

Les bétons magnétiques doivent permettre de recharger les véhicules électriques par induction lorsqu’ils circulent. [©Magment] On n’arrête plus le progrès ! Du béton magnétique pour recharger des véhicules électriques ! Ainsi, le groupe cimentier Holcim étend sa collaboration avec l’Allemand Magment, spécialisé dans la mise au point de bétons aux propriétés magnétiques. Ce procédé va permettre de recharger les véhicules par induction lorsqu’ils circulent sur des routes équipées d’une telle technologie. Une ambition commune « Holcim et Magment partagent un objectif commun : accélérer la transition de notre monde vers un taux net zéro, grâce à des solutions innovantes et durables, déclare Edelio Bermejo, responsable du Global Innovation Center de Holcim. D’ici 2040, pratiquement toutes les nouvelles voitures vendues seront électriques. Nous sommes ravis d’associer notre béton magnétisable à la technologie de Magment. Cela va permettre aux véhicules de se recharger pendant qu’ils se déplacent. » Électrification des sols industriels Parmi les autres applications en cours de développement, il existe aussi des projets d’électrification des sols industriels. Leur objectif est de recharger en continu les robots des entrepôts et des usines. Forte de ses 120 start-up, Holcim continue d’innover, à travers le monde, en développant de nouvelles technologies pour accélérer la transition vers le zéro carbone.
Il y a 2 ans et 238 jours

Laurent Cousin, nouveau responsable commercial Sud-Ouest Allu France

Laurent Cousin, nouveau responsable commercial Sud-Ouest Allu France. [©Allu France] Allu France tient son nouveau responsable commercial Sud-Ouest. L’industriel, producteur de matériels de recyclage et de revalorisation de matériaux utilisés, a choisi Laurent Cousin. Ce dernier a commencé sa carrière il y a plus de trente ans, en tant que responsable vente dans l’automobile. Petit à petit, Laurent Cousin grimpe les échelons jusqu’à devenir chef de toute une équipe de vente. Après trois décennies dans l’automobile, il décide de changer de secteur : « Je me suis dit : “j’ai 55 ans et il me reste 10 ans à faire”. J’ai fait le tour du secteur automobile et je suis prêt pour nouvelle aventure. » Allu et Laurent Cousin, valeurs communes Désireux d’occuper un poste de responsable commercial, Laurent Cousin a tout de suite été séduit par Allu France. « J’ai des valeurs qui me sont chères, notamment l’environnement. J’ai trouvé très intéressant le concept d’Allu : le recyclage et la revalorisation de matériaux. Je me suis retrouvé dans ces engagements ». Chez Allu France, Laurent Cousin sera chargé d’élargir le réseau du groupe et travaillera avec les professionnels. « On collabore avec des entreprises de travaux publics, des revendeurs d’engins ou encore des entreprises végétales comme les pépiniéristes. Au-delà du recyclage des matériaux, nous agissons aussi sur la décontamination des sols. »  Le nouveau responsable commercial s’est dit “enthousiaste” à l’idée de commencer cette nouvelle aventure. « En plus de mes missions commerciales, j’ai un niveau de chiffre d’affaires à réaliser. Et ça, c’est quand même très intéressant et stimulant. »
Il y a 2 ans et 238 jours

Jérôme Pécresse, haut dirigeant de General Electric, quitte ses fonctions

"GE confirme le départ prochain de son vice-président sénior Jérôme Pécresse, qui a décidé de se consacrer à de nouveaux projets", a indiqué la direction de General Electric France, confirmant une information de l'hebdomadaire Marianne.M. Pécresse, polytechnicien, était le dirigeant mondial de l'activité énergies renouvelables, qu'il a dirigée pendant "pratiquement dix années". Il est l'époux de Valérie Pécresse, présidente Les Républicains du conseil régional d'Île-de-France et candidate malheureuse à la dernière élection présidentielle.M. Pécresse a "mené le processus d'intégration des activités énergétiques d'Alstom vendues à GE" en 2015, rappelle GE. "Il a notamment été le fer de lance du développement réussi de GE dans le domaine de l'éolien offshore, qui constituera un pilier essentiel de GE Vernova", a poursuivi l'industriel américain."Je laisserai mes responsabilités opérationnelles à la fin de septembre quand débutera la phase de transition", a indiqué Jérôme Pécresse dans une lettre aux salariés, consultée par l'AFP."Je suis fier des contributions que nous avons apportées ensemble au secteur des énergies renouvelables presque partout dans le monde", écrit-il encore, se disant "convaincu que le développement des énergies renouvelables partout dans le monde continuera à s'accélérer et que la technologie permettra d'en repousser les limites"."L'avenir des entités françaises est dans les mains des Américains", redoute Philippe Petitcolin délégué CFE-CGC (GE turbines à gaz). M. Pécresse pouvait "faire passer les messages" mais "maintenant, la France n'a plus d'interlocuteurs", a-t-il ajouté, voyant dans le départ du dirigeant "un mauvais signal"."Pour nous, il est foutu dehors", sourit Alexis Sesmat, délégué Sud Industrie à l'entité turbines à gaz de General Electric. "C'était le seul et dernier interlocuteur français pour Bercy. La dernière carte du gouvernement français est tombée".Dans l'article 4 de l'accord de novembre 2014, signé entre GE et l'État français lors du rachat de la branche énergie d'Alstom, que l'AFP a pu consulter, l'entreprise s'engage en effet "à proposer au conseil d'administration de GE, après en avoir informé l'État, l'élection au Conseil d'administration de GE d'un président-directeur général de nationalité française de premier plan".Selon Alexis Sesmat, cette annonce est faite "dans la ligne directe de la réorganisation et la scission du groupe".Fin 2021, General Electric a annoncé une réorganisation de ses activités, entraînant la scission en trois entreprises de l'énergie, du médical et de l'aéronautique."Le centre de gravité de la partie énergie n'est plus en France mais bien outre-Atlantique ", dénonce le délégué syndical. Dans l'accord de 2014, valable 10 ans, GE s'engage pourtant à localiser des centres mondiaux en France.
Il y a 2 ans et 238 jours

SOPREMA Entreprises Lyon crée un complexe de façade hybride inédit

Implanté depuis dix ans en région Rhône-Alpes, le distributeur de matériaux et de solutions d’éco-construction Femat fait du bâtiment performant et de la rénovation énergétique le socle de son offre de produits et de services. Le spécialiste est sur le point d’achever son chantier phare, celui de son nouveau siège social à Dardilly (69). Ce bâtiment, baptisé le FematLab, constitue un modèle de construction responsable et performante, vitrine du savoir-faire de l’entreprise. En charge de la conception du projet, l’agence ARCHIGROUP a eu pour objectif majeur de définir un bâtiment avec une forte inertie et une étanchéité à l’air de l’enveloppe complète. L’objectif de ce bâtiment tertiaire est de répondre aux critères d’exigence Passivhaus visés par Femat. Le choix s’est ainsi porté sur un voile 100 % béton. C’est l’entreprise PRATIC Pral Rémi Assistance Technique Ingénierie Conseils) qui a assuré la maîtrise d’œuvre d’exécution et le pilotage du chantier. Fidèle à ses engagements, la maîtrise d’ouvrage était attachée à une isolation biosourcée et a retenu la solution en fibre de bois Pavatex® de SOPREMA pour l’isolation de la façade. Le projet devait répondre à un défi majeur : comment obtenir la validation du bureau de contrôle pour cet isolant, qui dispose d’un Avis Technique uniquement pour pose sur les constructions à ossature bois, sur un ouvrage avec une structure en béton ? L’agence SOPREMA Entreprises de Lyon a ainsi été consultée et a accompagné la maîtrise d’œuvre dans la recherche d’une solution adaptée. Elle a été retenue pour les lots étanchéité et façade bardage. Elle a réfléchi à un complexe technique hybride « sur-mesure » en réalisant une ossature bois sur le système en voile béton, permettant de poser l’isolant en fibre de bois Pavatex® sur l’ensemble des façades (1 000 m2). Photo : SOPREMA Entreprises Cet article SOPREMA Entreprises Lyon crée un complexe de façade hybride inédit est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 238 jours

SOPREMA Entreprises Lyon crée un complexe de façade hybride inédit

Implanté depuis dix ans en région Rhône-Alpes, le distributeur de matériaux et de solutions d’éco-construction Femat fait du bâtiment performant et de la rénovation énergétique le socle de son offre de produits et de services. Le spécialiste est sur le point d’achever son chantier phare, celui de son nouveau siège social à Dardilly (69). Ce bâtiment, baptisé le FematLab, constitue un modèle de construction responsable et performante, vitrine du savoir-faire de l’entreprise. En charge de la conception du projet, l’agence ARCHIGROUP a eu pour objectif majeur de définir un bâtiment avec une forte inertie et une étanchéité à l’air de l’enveloppe complète. L’objectif de ce bâtiment tertiaire est de répondre aux critères d’exigence Passivhaus visés par Femat. Le choix s’est ainsi porté sur un voile 100 % béton. C’est l’entreprise PRATIC Pral Rémi Assistance Technique Ingénierie Conseils) qui a assuré la maîtrise d’œuvre d’exécution et le pilotage du chantier. Fidèle à ses engagements, la maîtrise d’ouvrage était attachée à une isolation biosourcée et a retenu la solution en fibre de bois Pavatex® de SOPREMA pour l’isolation de la façade. Le projet devait répondre à un défi majeur : comment obtenir la validation du bureau de contrôle pour cet isolant, qui dispose d’un Avis Technique uniquement pour pose sur les constructions à ossature bois, sur un ouvrage avec une structure en béton ? L’agence SOPREMA Entreprises de Lyon a ainsi été consultée et a accompagné la maîtrise d’œuvre dans la recherche d’une solution adaptée. Elle a été retenue pour les lots étanchéité et façade bardage. Elle a réfléchi à un complexe technique hybride « sur-mesure » en réalisant une ossature bois sur le système en voile béton, permettant de poser l’isolant en fibre de bois Pavatex® sur l’ensemble des façades (1 000 m2). Photo : SOPREMA Entreprises
Il y a 2 ans et 238 jours

L'Union Européenne souhaite constituer des réserves de lithium et de terres rares

L'UE va constituer "des réserves stratégiques" pour éviter les ruptures d'approvisionnement pour son industrie, notamment les terres rares et le lithium dont l'offre mondiale est contrôlée par la Chine.
Il y a 2 ans et 238 jours

RECTOR &TECHNIWOOD : L’association de la préfabrication industrielle béton et bois pour une décarbonation intelligente des bâtiments

Dans un contexte règlementaire encourageant la performance énergétique par la mixité des matériaux et la sobriété carbone des bâtiments, la construction hors-site est en plein développement. Pour son retour sur le salon BATIMAT, RECTOR, spécialiste de la préfabrication d’éléments en béton, a ainsi souhaité partager son stand avec TECHNIWOOD, industriel français leader des façades biosourcées […]
Il y a 2 ans et 238 jours

Alkern : de nouveaux investissements pour accélérer la décarbonation de la construction neuve

De nouveaux investissements pour développer les solutions bas carbone  Kit Piscine  Nouveaux parements aménagement extérieur Fabricant leader de produits préfabriqués en béton, Alkern, avec un CA 2021 de 247 millions d’euros pour 1 000 collaborateurs, revendique expertise et savoir-faire dans une activité tournée autour de trois grands marchés : le bâtiment, l’aménagement extérieur et les […]
Il y a 2 ans et 238 jours

Taux d'usure : manifestation de courtiers devant la Banque de France

"Il y a aujourd'hui un blocage sur le taux d'usure", explique à l'AFP Marion Massot, courtière à Alsace Crédits venue spécialement à Paris pour participer à la manifestation.Le profil type des candidats à l'emprunt refusés selon elle: les plus de 55 ans, du fait du coût de l'assurance emprunteur, mais aussi des jeunes, dont des primo-accédants. La profession, via l'Union des intermédiaires de crédit (UIC) et sa secrétaire générale Bérengère Dubus, demande en conséquence "une rehausse exceptionnelle de l'usure au 1er octobre" et à être reçue en personne par le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau.La deuxième demande a été exaucée en début d'après-midi.Le gouverneur "a rappelé à cette occasion que le rôle de la Banque de France était de calculer le taux de l'usure du crédit immobilier sur la base des dispositions fixées par la loi pour protéger les emprunteurs", indique l'institution dans un communiqué."Compte tenu des données collectées auprès des banques, le taux de l'usure sera ainsi normalement relevé le 1er octobre, de façon bien proportionnée et plus marquée qu'en juin dernier, en accord avec le ministre de l'Économie et des Finances. Ceci permettra, dans le respect de la loi, de régler les certaines situations plus difficiles d'accès au crédit relevées ces dernières semaines", précise la Banque de France.Le taux d'usure est sous le feu des critiques notamment des courtiers qui l'accusent de freiner considérablement l'accès au crédit immobilier.Il s'élève actuellement à 2,57% pour les crédits immobiliers à 20 ans tous frais compris, dont l'assurance emprunteur et l'éventuelle commission des courtiers.Son calcul est réalisé chaque trimestre par la Banque de France, qui prend en compte les taux moyens pratiqués par les banques au cours des trois derniers mois augmentés d'un tiers.Bercy et la Banque de France ne partagent pour l'instant pas les inquiétudes des courtiers sur l'état du marché immobilier.Dans un entretien au journal Sud-Ouest dimanche en date du 21 août, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire indiquait que le marché de l'immobilier restait "dynamique".Une affirmation reprise dans la foulée par le gouverneur de la Banque de France, qui indiquait dans les colonnes de Ouest France que le secteur immobilier était aujourd'hui "correctement financé".L'encours des crédits à l'habitat était en effet en hausse en juillet, selon les derniers chiffres de la Banque de France.
Il y a 2 ans et 238 jours

Airwell : de très bons résultats semestriels

Le fabricant français de solutions climatiques et thermiques a enregistré un chiffre d’affaires de 28,8 M€, en nette progression de 26,9...
Il y a 2 ans et 238 jours

Airwell : de très bons résultats semestriels

Le fabricant français de solutions climatiques et thermiques a enregistré un chiffre d’affaires de 28,8 M€, en nette progression de 26,9...
Il y a 2 ans et 238 jours

Un immeuble vendu sur les Champs-Elysées pour un montant "record"

Le montant précis de la transaction n'a pas été communiqué mais constitue un record sur l'artère, plus que les 613 millions d'euros de la vente du siège de Nike en 2019, selon Groupama Immobilier.Situé au 150 de l'avenue parisienne, tout près de l'Arc de triomphe, l'immeuble de 17.800 mètres carrés avait été acquis en 2009 par la filiale de l'assureur, qui l'a restructuré pour y mener notamment un projet hôtelier.Groupama Immobilier a réalisé une plus-value nette de plus de 400 millions d'euros, indique le groupe.L'acquéreur, le fonds d'investissement Cheval Paris, est contrôlé par le fonds Mimco Asset Management. Au total, l'investisseur devrait débourser environ 800 millions d'euros travaux compris, a précisé une source ayant connaissance du dossier."On a plusieurs moteurs sociaux, économiques, démographiques, qui plaident pour que les Champs-Elysées retrouvent leur pouvoir d'attractivité et leur caractère emblématique", a déclaré à l'AFP Eric Donnet, directeur général de Groupama Immobilier.La mairie de Paris a lancé un plan de rafraîchissement de l'emblématique avenue, aujourd'hui plus fréquentée par les touristes étrangers et clients des boutiques de luxe que par les Parisiens.D'ici aux Jeux olympiques de 2024, la place de l'Etoile autour de l'Arc de Triomphe doit voir la circulation automobile réduite, et il est prévu que les jardins autour de la place de la Concorde, à l'autre extrémité de l'avenue, soient rendus plus accueillants.Le mobilier urbain et les terrasses doivent également bénéficier d'un coup de jeune."Ce que prouve cette transaction, c'est que ça marche, et on est un certain nombre d'investisseurs et de développeurs à croire en cette transformation des Champs-Elysées", a ajouté Eric Donnet.
Il y a 2 ans et 238 jours

Un immeuble vendu sur les Champs-Elysées pour un montant "record"

Le montant précis de la transaction n'a pas été communiqué mais constitue un record sur l'artère, plus que les 613 millions d'euros de la vente du siège de Nike en 2019, selon Groupama Immobilier.Situé au 150 de l'avenue parisienne, tout près de l'Arc de triomphe, l'immeuble de 17.800 mètres carrés avait été acquis en 2009 par la filiale de l'assureur, qui l'a restructuré pour y mener notamment un projet hôtelier.Groupama Immobilier a réalisé une plus-value nette de plus de 400 millions d'euros, indique le groupe.L'acquéreur, le fonds d'investissement Cheval Paris, est contrôlé par le fonds Mimco Asset Management. Au total, l'investisseur devrait débourser environ 800 millions d'euros travaux compris, a précisé une source ayant connaissance du dossier."On a plusieurs moteurs sociaux, économiques, démographiques, qui plaident pour que les Champs-Elysées retrouvent leur pouvoir d'attractivité et leur caractère emblématique", a déclaré à l'AFP Eric Donnet, directeur général de Groupama Immobilier.La mairie de Paris a lancé un plan de rafraîchissement de l'emblématique avenue, aujourd'hui plus fréquentée par les touristes étrangers et clients des boutiques de luxe que par les Parisiens.D'ici aux Jeux olympiques de 2024, la place de l'Etoile autour de l'Arc de Triomphe doit voir la circulation automobile réduite, et il est prévu que les jardins autour de la place de la Concorde, à l'autre extrémité de l'avenue, soient rendus plus accueillants.Le mobilier urbain et les terrasses doivent également bénéficier d'un coup de jeune."Ce que prouve cette transaction, c'est que ça marche, et on est un certain nombre d'investisseurs et de développeurs à croire en cette transformation des Champs-Elysées", a ajouté Eric Donnet.
Il y a 2 ans et 238 jours

Le gouvernement demande aux préfets d'aller plus vite sur l'éolien

Face à la crise énergétique, quatre ministres dont ceux de l'Intérieur, de la Transition écologique et de la Transition énergétique demandent aux services déconcentrés de l'Etat de "mettre en place toutes les actions requises afin de faciliter et d'accélérer le traitement des dossiers (...) en cours et à venir".Au total, ces dossiers en cours d'instruction représentent "près de 10 GW de projets photovoltaïque et éolien et environ 5 TWh de capacités de gaz renouvelables".Pour le gouvernement, il s'agit de "faire en sorte qu'aucune instruction n'excède 24 mois, sauf situation très exceptionnelle", selon cette circulaire. Les services déconcentrés de l'Etat sont également invités à observer "un objectif de 18 mois entre la date de dépôt d'un projet de renouvellement ou d'augmentation de puissance de parcs éoliens existants, et sa mise en œuvre". Selon Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne, le syndicat des professionnels de la filière éolienne (350 membres), la circulaire vise notamment l'accélération du traitement des dossiers d'éolien terrestre, sources de controverses récurrentes dans l'opinion. "Il y a 5 GW de projets (d'éolien terrestre) en attente d'autorisation, soit 15% de la capacité déjà installée sur le territoire, c'est considérable", a-t-il souligné.Alors que le développement de projets éoliens suscite de plus en plus d'opposition, freinant leur déploiement, le gouvernement veut faire adopter un projet de loi pour accélérer les procédures et rattraper le retard de la France dans l'éolien et le solaire.En février, dans un discours prononcé à Belfort, peu avant la guerre en Ukraine, le président Emmanuel Macron avait fixé les lignes de la nouvelle politique énergétique de la France, en annonçant un vaste plan de relance du nucléaire civil et l'essor de l'éolien marin, mais un coup de frein sur les éoliennes terrestres."Dans la situation énergétique que nous connaissons avec des hivers qui s'annoncent difficiles au moins jusqu'en 2025, l'indisponibilité d'une partie du parc nucléaire et la crise du gaz russe, l'éolien, le solaire et la méthanisation sont les seuls moyens de production que nous avons pour produire des megawattheures en plus", a souligné Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne.
Il y a 2 ans et 239 jours

Marché 2021 des installations solaires photovoltaïques individuelles

Ce chiffre correspond à une progression de 13,5% par rapport à 2020. Une dynamique honorable mais nettement inférieure à celle enregistrée sur le segment de 3 à 9 kW qui double ses volumes (120.680 kW, + 100,8% par rapport à 2020). L'autoconsommation reste toujours autant plébiscitée avec 90% des opérations sur le segment de 3 kW ou moins. Sur les 8 dernières années, on évalue ainsi à plus de 200 MW le volume total des installations de moins de 3 kW ayant été installées en autoconsommation en France.Géographiquement, le marché reste majoritairement localisé dans le sud de la France avec la Nouvelle Aquitaine et l'Auvergne-Rhône-Alpes comme fers de lance (40% de la puissance installée sur le segment de moins de 3 kW). Côté prix de vente des équipements, la tendance à l'augmentation, observée pour les autres technologies renouvelables destinées aux particuliers (solaire thermique, pompes à chaleur ou appareils de chauffage au bois), s'applique également ici puisqu'en moyenne, une installation s'est vendue 6 à 7% plus cher en 2021. Cependant, le début d'année 2022, marqué par la politique zéro COVID chinoise et la guerre en Ukraine, laisse présager une accentuation des problèmes d'approvisionnement et de hausse des prix en France et plus largement en Europe.Ces constats sont issus de l'étude quantitative 2022 d'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) sur le marché des installations solaires photovoltaïques individuelles.
Il y a 2 ans et 239 jours

Évolution du marché des installations solaires photovoltaïques individuelles

Ce chiffre correspond à une progression de 13,5% par rapport à 2020. Une dynamique honorable mais nettement inférieure à celle enregistrée sur le segment de 3 à 9 kW qui double ses volumes (120.680 kW, + 100,8% par rapport à 2020).L'autoconsommation reste toujours autant plébiscitée avec 90% des opérations sur le segment de 3 kW ou moins. Sur les 8 dernières années, on évalue ainsi à plus de 200 MW le volume total des installations de moins de 3 kW ayant été installées en autoconsommation en France.Géographiquement, le marché reste majoritairement localisé dans le sud de la France avec la Nouvelle Aquitaine et l'Auvergne-Rhône-Alpes comme fers de lance (40% de la puissance installée sur le segment de moins de 3 kW).Côté prix de vente des équipements, la tendance à l'augmentation, observée pour les autres technologies renouvelables destinées aux particuliers (solaire thermique, pompes à chaleur ou appareils de chauffage au bois), s'applique également ici puisqu'en moyenne, une installation s'est vendue 6 à 7% plus cher en 2021. Cependant, le début d'année 2022, marqué par la politique zéro COVID chinoise et la guerre en Ukraine, laisse présager une accentuation des problèmes d'approvisionnement et de hausse des prix en France et plus largement en Europe.Ces constats sont issus de l'étude quantitative 2022 d'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) sur le marché des installations solaires photovoltaïques individuelles.
Il y a 2 ans et 239 jours

Kingfisher : un bénéfice en repli au premier semestre 2022

RÉSULTATS. Le groupe britannique de bricolage, Kingfisher, qui possède les enseignes françaises Castorama et Brico Dépôt, affiche un résultat après impôt en recul de 32,9% au premier semestre 2022/2023. Néanmoins, les deux années précédentes ont été exceptionnelles en raison de la crise sanitaire et du regain pour la maison, le bricolage et le jardin.
Il y a 2 ans et 239 jours

UNICEM entreprises engagées : 30 ans d’engagements pour le développement durable dans la filière carrières et matériaux de construction

Cette assemblée générale qui s’est déroulée en présence d'Alain Boisselon, Président de l’Union Nationale des Industries de Carrières et Matériaux (UNICEM) et de Louis Natter, Président de l’association UNICEM entreprises engagées (UEE), a été l’occasion de revenir sur les 30 ans d’engagements en matière de développement durable de la profession à travers les actions concrètes portées par les entreprises de la filière. L’assemblée générale a constitué le point d’orgue de la série d’évènements qui se sont déroulés en régions et qui se poursuivront jusqu’à la fin de l’année.Un programme qui valorise 30 ans d’engagements Au cours de cet évènement, Catherine Bonin, Directrice de l’international, du développement et de l’innovation au Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), Présidente UEE de 2006 à 2011, Benoist Thomas, Secrétaire général du Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) et David Henry, Directeur entreprise Henry Frères, Président de l’UNICEM Bretagne, sont intervenus dans le cadre d’un débat sur le thème « 30 ans d’engagements, et maintenant ? ».Cette séquence d’échanges aura permis de montrer pourquoi les entreprises souhaitent s’engager dans une démarche de progrès, comment les actions mises en place fédèrent les équipes en interne et comment les démarches ont évolué de la dimension environnementale vers celle, plus globale, de la RSE.Pour David Henry : « Notre engagement dans la charte environnement nous a permis, grâce à l’accompagnement d'UEE, de nous lancer dans le label RSE. Afin d’assurer cette transition, nous avons lancé une concertation en interne et l’idée a été très vite acceptée par les collaborateurs. C’est une des clés du succès de la démarche du Label RSE proposé par la profession ».Pour Benoist Thomas : « Le Label RSE est une démarche de management qui offre aux collaborateurs des chemins de progrès et permet aux entreprises de s’exprimer aussi bien sur leurs outils de production que sur les solutions constructives qu’elles proposent à leurs parties prenantes. Telles étaient les raisons qui ont motivé le SNBPE au moment de son engagement ».Cette table ronde a également été l’occasion de dresser les enjeux à venir.Catherine Bonin « Parmi les grands enjeux qui attendent la profession, on peut citer la gestion de l’eau et l’indépendance minérale. Une partie de la solution résidera dans la capacité des entreprises et des territoires à être plus résilients. »L’accompagnement des PME dans leur démarche RSE et en faveur de l’environnement est au cœur des missions et actions menées par l’association. En 2020, un guide méthodologique destiné à ces entreprises a par exemple été publié afin de faciliter leur engagement dans la RSE puis plus récemment un quiz de sensibilisation à visée pédagogique sur ces enjeux leur a été proposé. La mise à disposition d’outils et l’organisation de formations à destination des adhérents font également partie intégrante des dispositifs d’accompagnement déployés par UEE.François Asselin, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) est revenu lors de cette assemblée générale sur la question « RSE, contrainte ou opportunité pour les PME ? ».Pour François Asselin : « Faire reconnaître les entreprises vertueuses fait partie des combats de la CPME. L’Etat doit absolument encourager ceux qui s’engagent dans ces démarches exemplaires et leur donner un avantage ».L’objectif immédiat est donc d’obtenir, de la part des pouvoirs publics, une reconnaissance formelle des labels sectoriels tels que le Label RSE UEE, qui valide toutes les conditions requises.Pour Louis Natter : « Cette reconnaissance est attendue par nos entreprises. Elle aura mécaniquement deux effets : mobiliser encore davantage de PME en faveur de la RSE et générer des contreparties tangibles, en particulier la prise en compte de ces démarches dans la commande publique et privée ».Une remise de prix pour saluer les engagements des entreprises adhérentes Lors de l’assemblée générale, les lauréats du concours vidéo « 30 ans d’engagements » lancé en février 2022 ont reçu leur prix des mains du jury exclusivement externe, présidé par Sylvain Boucherand, président de la commission environnement du Conseil Economique, Social et Environnemental. Le jury était composé de : Florence Cayola, Présidente du groupe presse Cayola, Guiomar Henriques, Responsable Collecte de l’OPCO2i Île-de-France, Claire Pétreault, Créatrice et Présidente des Pépites Vertes, Florence Presson, Adjointe au Maire de Sceaux déléguée aux transitions et à l’économie circulaire & solidaire.Ce concours de vidéos ouvert aux collaborateurs des entreprises adhérentes, avait pour objectif de valoriser les métiers et les actions mises en place par les professionnels de la filière, en lien avec le Label RSE ou la démarche Cap Environnement. Les Lauréats : Catégorie« Fiers de nos sites » :1ère prix, attribué à Hugo Dusseux, entreprise Lafarge2ème prix, attribué à Kévin Thirion, entreprise EiffageCatégorie « Passionnés par nos métiers » :1ère prix, attribué à Marc Chimot, groupe CB2ème prix, attribué à Carine Pires, entreprise GarandeauCatégorie « Engagés avec nos parties prenantes » :1ère prix, attribué à Anthony Nguyen, entreprise Vicat2ème prix, attribué à Abigail Torres Guerrero, entreprise CemexPrix Coup de cœur du jury, attribués à :David Wingel, entreprise CemexPierre Proy, groupe CBPrix du Public (décernés à la suite d’un vote du public sur youtube) :Catégorie « Fiers de nos sites » attribué à Antoine Moreau, entreprise Bronzo PerasssoCatégorie « Passionnés par nos métiers » attribué à Lucas Jacquemet, entreprise CMGOCatégorie « Engagés avec nos parties prenantes » Abigail Torres Guerrero, entreprise Cemex
Il y a 2 ans et 239 jours

Réouverture du bâtiment B de l’université de Caen

L’université de Caen occupe une place à part dans l’histoire des universités françaises. Fondée au 15e siècle, elle est l’une des universités les plus anciennes. Détruite entièrement pendant la seconde guerre mondiale en 1944, sa reconstruction qui s’est étalée sur presque 10 ans a été l’occasion de repenser son organisation. Ainsi, Henry Bernard, son architecte urbaniste, avait décidé de rebâtir une université monumentale sur le modèle des « campus » à l’anglo-saxonne. Ce pari audacieux symbolisait la renaissance de la cité normande. 64 ans plus tard, la rénovation du bâtiment B, classé au titre des monuments historiques depuis 1962, est une nouvelle étape de l’évolution de l’université de Caen. La restauration du bâtiment B qui vient de se terminer, après 6 ans de travaux et 29 millions d’euros de budget, permet d’offrir aux étudiants des conditions d’apprentissage optimales grâce à de nombreuses innovations pédagogiques et à un cadre de vie de qualité, tout en mettant en place des innovations technologiques. Cette rénovation intégrale du bâtiment B, première grande étape des rénovations du Campus 1, témoigne de la stratégie de l’université de Caen en matière de gestion immobilière tournée vers l’avenir : des bâtiments connectés, performants énergétiquement, vecteurs de vie étudiante et d’animation et ouverts aux nouvelles manières d’enseigner en relation avec l’utilisation du numérique.Pour Lamri Adoui, président de l’université de Caen Normandie : « La rénovation intégrale du bâtiment B est un condensé de l’ambition écologique et technique de l’université en matière de gestion de son patrimoine immobilier et témoigne de la permanence de cette vision novatrice du célèbre architecte, Henri Bernard. Projet très ambitieux, cette rénovation vise à la fois l’excellence thermique et la modularité des espaces dans un patrimoine classé. »Histoire : Tel le Phénix, l’université de Caen renaît de ses cendresLe Bâtiment B du campus 1, classé monument historique, a été conçu après la deuxième guerre mondiale par le grand architecte Henri Bernard dans le cadre de la reconstruction du centre-ville de Caen après sa destruction pendant la bataille de Normandie. Achevé en 1967 et ayant subi de multiples modifications, le bâtiment était en mauvais état et nécessitait une rénovation complète pour retrouver son dessin initial et être en phase avec les usages contemporains.Les travaux entre traditions et innovationsFermé entre 2016 et 2022, le bâtiment B a été intégralement vidé pour n’en conserver que la structure primaire. En accord avec les architectes des Bâtiments de France et selon le projet initial d’Henri Bernard, des modifications des façades ont été opérées afin d’ouvrir le bâtiment sur le campus et sur la ville, de faire entrer plus largement la lumière naturelle et d’en faciliter la circulation.L’opération a duré 6 ans durant lesquels jusqu’à 25 corps d’état se sont succédés sur le chantier. Le budget total, hors équipements, est de l’ordre de 29 M€ apportés par l’université de Caen, la Région Normandie, le département du Calvados et le Plan de relance (France Relance). Malgré les « surprises » comme la présence d’amiante qui a nécessité un désamiantage complet (15.000 m2) et les retards générés par la crise sanitaire, le planning initial a été respecté. Le bâtiment B est prêt pour la rentrée de septembre 2022 grâce, notamment, à la maîtrise de la technologie BIM (modélisation des données du bâtiment) par les équipes de l’Université.Des innovations technologiques...Afin de répondre à l’ambition de l’université en termes de développement durable, le bâtiment intègre les impératifs écoresponsables actuels. Ainsi, en choisissant la pose de fenêtres ultraperformantes alliées à une chaudière biomasse bois-gaz, l’université́ anticipe le durcissement de la règlementation en matière de consommation énergétique. De plus, le recours à des matériaux biosourcés a été privilégié par l’architecte ; ainsi, les menuiseries (tablettes, chaises) sont en hêtre, un bois local. Par ailleurs, un système de récupération de l’eau de pluie assure une part significative de la consommation du bâtiment....Aux innovations pédagogiquesL’innovation pédagogique est au cœur de la restauration du bâtiment. C’est pourquoi, l’équipe du CEMU, le service d’appui à la pédagogie de l’université qui accompagne les enseignants dans leur démarche pédagogique et l’intégration du numérique dans leurs enseignements, va prendre ses quartiers au 3ème étage du bâtiment B. Dès à présent, les enseignants peuvent utiliser tous les outils digitaux à leur disposition et compter sur les ingénieurs pédagogiques du CEMU pour les épauler dans leur démarche pédagogique, notamment dans l’intégration du numérique dans leurs enseignements.Afin de mettre les étudiants dans les meilleures conditions d’apprentissage, un ensemble de 18 salles de travail connectées d’une capacité de 8 et 12 personnes facilitant le travail collaboratif autour d’un écran sont réparties dans le bâtiment. Cela permet aux étudiants de se retrouver, d’échanger et de se poser. L’idée est de favoriser le travail collaboratif en mode projet. Les salles de cours intègrent tous les outils numériques (prises réseaux, WiFi) et les équipements audiovisuels (vidéoprojecteurs, écrans, casques, etc.). Certaines salles de cours sont modulables et peuvent, si nécessaire, devenir des grandes salles d’examen grâce à un jeu de cloisons mobiles, spécialement étudiées pour offrir une isolation phonique adéquate lorsqu’elles séparent les salles.Le bâtiment possède même son propre plateau d’enregistrement vidéo et son studio audio de qualité professionnelle.
Il y a 2 ans et 239 jours

Val-d’Oise : le Sedif poursuit les travaux de transformation de son usine pour produire une eau pure, sans calcaire et sans chlore

À Méry-sur-Oise (Val-d’Oise), le Syndicat des eaux d’Ile-de-France (Sedif) poursuit les travaux de modernisation de son usine de production...