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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

(35118 résultats)
Il y a 2 ans et 279 jours

Présentation de TH, entreprise qui conçoit et construit des habitats modulaires bas carbone en structure bois

Le saviez-vous ?Le bâtiment est le 2ème secteur le plus polluant, juste derrière les transports. Les émissions du bâtiment représentent, selon l’ONU, près de 40 % du total des émissions humaines mondiales.Avec la nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs qui impose de privilégier les matériaux bas carbone, la construction en bois a le vent en poupe. Le bois constitue une alternative très intéressante au béton de ciment de par plusieurs facteurs : il est stockeur de carbone, produit peu de déchets, a des performances d’isolation thermiques et acoustiques remarquables et une régulation naturelle de l’humidité.*Spécialisée dans la construction à impact environnemental et sociétal positif, TH conçoit et construit des habitats modulaires bas carbone en bois, sans eau et sans déchet depuis 2014 dans sa première fabrique de 5.000 m2 implantée à Dole en Bourgogne-Franche-Comté. En choisissant le bois, issu de forêts gérées durablement, comme matière première, TH apporte une solution au gâchis environnemental de la construction en béton beaucoup plus émettrice de gaz à effet de serre. Les habitats TH émettent en effet 35% de GES en moins par rapport à une construction en maçonnerie traditionnelle.*https://www.lafabriqueecologique.fr/le-beton-mis-au-defi-des-enjeux-environnementaux/Les constructions en bois présentent plusieurs avantages :Légèreté : La structure cellulaire du bois le rend léger tout en étant très solide. Son faible poids permet également d'optimiser l'énergie consommée pour sa transformation et son transport. De plus, sa légèreté permet de construire sur tous types de terrains contrairement au béton ;Isolation : Les complexes des murs en bois assurent une bonne isolation thermique. Les modules TH nécessitent une très faible consommation énergétique grâce à une isolation quasiment passive jusqu’à 800m d’altitude ;Rapidité : Le temps de production des modules TH est divisé par 4 et la durée de chantier divisée par 10. Les modules TH étant préfabriqués dans leur fabrique, le temps de montage sur le lieu du chantier est réduit ;Recyclabilité : Contrairement aux matériaux de construction traditionnels, le bois est un matériau dont la revalorisation et le recyclage sont possibles ;Techniques sèches : les constructions en bois ne nécessitent pas d’utilisation d’eau.Répondant à une forte demande, TH continue son expansion en prouvant que la reconfiguration du secteur de la construction est possible. L’entreprise compte aujourd’hui 60 employés et réalise un chiffre d’affaires de 7 Mn€ (2022). En 2023 une nouvelle fabrique de 10.000 m2 ouvrira ses portes dans les Hauts-de-France. Pour 2026, TH ambitionne de livrer 1.000 logements par an avec un déploiement national sur plusieurs sites.
Il y a 2 ans et 280 jours

Peinture réflective Solarcoat pour bâtiments industriels, commerciaux et publics

Avec l’accélération de la demande des entreprises pour rafraîchir leurs bâtiments énergivores tout en réduisant leur facture énergétique et en luttant contre le réchauffement climatique, SOLAR-PAINT s’inscrit dans une dynamique de croissance organique. Avec plus de 100.000 m2 de toits d’ores et déjà repeints, l’entreprise a l’objectif de recouvrir en peinture réflective près de 150.000 m2 de surfaces de toiture en 2022. Grâce à ce procédé de cool-roofing, technique qui consiste à revêtir les toits de peinture blanche et réflective, les bâtiments repeints peuvent ainsi voir leur température intérieure baisser en moyenne de 5°C.Une solution Made in France économique et très positive pour l’environnementLa solution SOLARCOAT est une peinture à l’eau qui intègre dans sa composition, des ingrédients naturels et des ajouts de matière recyclée comme la brisure de verre. SOLAR-PAINT s’est appuyée sur l’expertise de son fournisseur, premier fabricant français de peinture basé dans l’Ariège, pour mettre au point la formulation qui a nécessité de nombreux mois de R&D et un investissement de près de 400.000 euros.Simple, peu coûteuse (16 à 22 euros le m2 incluant la peinture et son application), durable et dotée de propriétés supérieures aux critères de référence, la solution SOLARCOAT est extrêmement performante. Son taux de réflexion solaire supérieur à 92% permet de baisser la température de 5°C en moyenne à l’intérieur des bâtiments et de limiter le recours aux climatisations en période estivale. A la clé, des économies d’énergie considérables, une amélioration du confort et du bien-être des salariés et des clients et une contribution à la lutte contre le réchauffement climatique.A titre d’exemple, quand la facture moyenne d’une grande surface en termes de consommation d’énergie est de l’ordre de 500.000 euros par an, les économies d’énergie peuvent atteindre jusqu’à 30% sur le poste climatisation des bâtiments en été. Couverte par une garantie décennale, SOLARCOAT a des capacités exceptionnelles de résistance aux eaux stagnantes, à la grêle et au feu (certification Broof (T3).SOLARCOAT a un pouvoir réfléchissant supérieur à la norme de référence SRI (Solar Reflectance Indicator) : 116,5/100. Un résultat qui place SOLARCOAT parmi les plus efficaces dans ce domaine.Pour Michel Rouault, Président de SOLAR-PAINT et de ICGroup : « La peinture athermique que nous avons mis au point constitue une réelle réponse aux économies d’énergie et donc aux émissions de gaz à effet de serre. De par sa conception écologique, sa facilité d’emploi, son faible coût et ses performances supérieures aux critères de référence, SOLARCOAT est une solution tout à fait pertinente pour réduire les coûts énergétiques et les coûts environnementaux des bâtiments avec une efficacité immédiate et pérenne dans le temps. Il y a en effet un réel besoin auquel nous entendons répondre au mieux. »Une capacité industrielle pour adresser les marchés français et européens du cool roofingIl y a aujourd’hui en France 500 millions de mètres carrés de toitures de bâtiments commerciaux, industriels publics et plateformes logistiques qui pourraient être recouverts de peintures réflectives. Peu connu en France et en Europe jusqu’alors, le cool-roofing (toit frais) qui nous vient des Etats-Unis, a un potentiel de marché considérable.Datas centers, sites industriels de secteurs d’activités très variés (industrie pharmaceutique, environnement, agro-alimentaire), plateformes logistiques, surfaces de la grande distribution, foncières immobilières, collectivités locales...les acteurs qui font appel au cool roofing pour réduire leur facture énergétique sont de plus en plus nombreux. La demande en France est boostée par la loi Elan de 2018 qui impose aux entreprises du secteur tertiaire, 40% de consommation énergétique en moins en 2030 par rapport à 2010 et 50% de réduction d’ici à 2040.Pour Michel Rouault, Président et fondateur de SOLAR-PAINT : « De par notre capacité industrielle et notre équipe intégrée d’applicateurs formés au cool roofing, nous sommes aujourd’hui très bien positionnés pour répondre à l’accélération de la demande en France et en Europe. Nous avons l’ambition d’être un acteur européen incontournable sur le marché porteur du cool roofing. On se projette d’ici à deux ans dans trois pays d’Europe du Sud avec l’Espagne en ligne de mire dès à présent du fait de notre proximité géographique avec la péninsule ibérique. »SOLAR-PAINT a signé des contrats commerciaux avec des acteurs de l’industrie et de la grande distribution en Occitanie, sa région d’origine, avant d’essaimer sur l’ensemble du territoire national avec de grandes entreprises comme E. Leclerc, Carrefour Market ou encore Aldi. L’entreprise est aujourd’hui dans une phase d’accélération de son déploiement commercial en France et en Europe. Son adossement à un groupe spécialisé dans les « services à l’industrie » et ce, depuis près de 45 années, lui procure la capacité industrielle pour répondre à un marché en forte croissance.
Il y a 2 ans et 280 jours

Pyrénées-Atlantiques : de nouveaux logements locatifs proposés par Habitat Sud Atlantic

L’Office public de l’habitat (OPH) Habitat Sud Atlantic multiplie ses offres de logement dans les Pyrénées-Atlantiques.
Il y a 2 ans et 281 jours

Le Groupe Poujoulat accélère son développement dans le bois-énergie via l'acquisition des sociétés Soccem et la Bûche Forestière

Les cessionnaires (Jean-Luc Corbin, Pascal Marchand et Johnny Corbin) ont signé le protocole de vente des deux sociétés avec les représentants du Groupe Poujoulat le 19 juillet dernier. La SOCCEM et la Bûche forestière sont respectivement producteur de charbon de bois à Saint-Ulphace et producteur/distributeur de biocombustibles à Champagné, à proximité du Mans. L'ensemble représente un chiffre d'affaires consolidé de 4 millions d'euros et emploie une vingtaine de salariés.Les actionnaires historiques accompagneront le Groupe Poujoulat dans ses nouveaux projets. En effet, le gisement foncier des structures permettra d'accélérer le développement des capacités de production de biocombustibles pour le chauffage et la cuisson.La construction d'une unité de production de bois de chauffage performant est prévue dans les prochains mois sur le site de production de charbon de bois, dont le process sera également renouvelé, pour répondre à la croissance des marchés normands, bretons, ligériens et de l'Ouest de la région parisienne. Pour Frédéric COIRIER, PDG du Groupe Poujoulat : « Avec l'acquisition de ces deux entreprises saines disposant d'une bonne rentabilité, le Groupe Poujoulat franchit une nouvelle étape dans le déploiement de son offre de biocombustibles performants pour le chauffage et la cuisson. Cette opération complète notre maillage national et nous offre des perspectives et des moyens en ligne avec nos ambitions à 2025/2026. Nous accueillons avec plaisir ces deux sociétés au sein du groupe. » Pour les actionnaires historiques : « Nous sommes heureux de rejoindre le Groupe Poujoulat, leader français des biocombustibles haute performance, porteur d'une stratégie de long terme qui correspond à nos valeurs. Nous sommes convaincus que la SOCCEM et La Bûche Forestière vont pouvoir accélérer leur développement au sein de ce groupe familial. »
Il y a 2 ans et 284 jours

Résultats records pour Rexel au premier semestre 2022

RÉSULTATS. Le spécialiste de la distribution de matériels électriques, Rexel, annonce un premier semestre "record" et confirme la hausse de ses objectifs pour 2022.
Il y a 2 ans et 284 jours

Aldes rachète son partenaire Aereco

Le rachat de ce fabricant de systèmes de ventilation hygroréglables va permettre à l'ETI lyonnaise de renforcer sa position en France et de poursuivre son développement à l’international.
Il y a 2 ans et 284 jours

La collection Organic s'enrichit de nouvelles baffles acoustiques

En neuf comme en rénovation, Organic Claustra et Organic Factory se destinent tout particulièrement aux ERP (hôtels, brasseries, restaurants…), et aux bâtiments tertiaires (bureaux, open space, locaux d’entreprises...), hors locaux humides. La collection Organic sera à découvrir sur BATIMAT, (Pavillon 1, espace K66), du 3 au 6 octobre prochain à la Porte de Versailles. Organic Claustra : une séparation esthétique des espaces doublée d’une absorption acoustique idéale Baffle acoustique rectangulaire sur câbles, superposable et modulable, Organic Claustra séduit d’emblée par l’étendue de ses possibilités. Permettant tout à la fois de rythmer les espaces, les personnaliser à souhait, cette nouvelle solution Knauf traite efficacement l’acoustique.Disponibles dans l’éventail des 25 coloris de la collection Organic, mais également en Organic Creative Impression (personnalisation par impression monochome ou polychrome de motifs) ces nouvelles baffles Organic sont proposées en plusieurs dimensions (1955/1155/955 x 295/600) pour une épaisseur de 35 mm. Le champ des possibles est ainsi varié pour répondre à toutes les envies de créations audacieuses.Avec une masse surfacique de 17 kg/m2, Organic Claustra revendique une réaction au feu B-s1, d0, ainsi qu’une réflexion à la lumière allant jusqu’à 75 % pour le coloris White.De plus, ces nouvelles baffles Organic Claustra affichent des performances acoustiques allant jusqu’à aw 0,50 pour améliorer le confort sonore des usagers.S’adaptant à tous types de supports, ces baffles offrent également une grande facilité d’installation grâce à un ingénieux et discret kit de suspension comprenant deux câbles fixés au sol et au plafond, vendus séparément (câbles de 4 mètres de long, avec deux fixations déco plafond et 2 fixations déco sol), les dalles étant maintenues sur les côtés.Organic Factory : des baffles acoustiques verticales suspendues en toute légèreté Autre innovation signée Knauf, Organic Factory, un nouveau système de baffles acoustiques de plafonds sur câbles, au style industriel, minimaliste et épuré, jouant à 100 % l’effet matière.Le prescripteur et l’acousticien pourront donc à loisir rythmer et jouer sur les divers formats proposés pour des créations uniques qui se démarquent et se remarquent, tout en étant des sources de confort sonore et visuel.Disponibles en plusieurs dimensions (1000/1200/2000 x 600/295 x 35 mm), les baffles Organic Factory se déclinent dans l’intégralité de la palette de couleurs du nuancier Organic, pour toujours plus d’audace architecturale.Les baffles Organic Factory sont équipées en usine de 2 fixations permettant une installation aisée, sûre et pérenne grâce au kit de câbles et de fixation (vendus séparément) qui comporte deux fixations déco plafonds, 2 câbles de 1 mètre et 2 embouts déco tarraudés M6.Côté performances, Organic Factory affiche le même niveau d’exigences et de résultats qu’Organic Claustra, à savoir, une absorption acoustique allant jusqu’à w 0,50, une réaction feu B-s1, d0, ainsi qu’une réflexion à la lumière allant jusqu’à 75 % pour la référence White.Organic, une gamme biosourcée et fabriquée dans la seule usine de laine de bois en France Les dalles Organic sont issues de la seule usine de laine de bois en France, implantée en Haute-Saône. Organic est un produit biosourcé (laine de bois d’épicéa de 1 mm issue d’exploitations locales situées à moins de 200 km du site de production, minéralisée et enrobée de liant ciment/chaux blanche). Ces dalles sont particulièrement appréciées et prescrites de plus en plus, en particulier dans le cadre de chantiers à approche environnementale.Organic répond totalement aux exigences des constructions HQE®, LEED et BREEAM, et justifie du label Zone Verte Excell Gold et de la meilleure classe d’émission française dans l’air intérieur A+. Outre ses qualités esthétiques, avec une large palette de couleurs et la personnalisation à souhait, Organic est aussi reconnu pour ses qualités techniques. D’un point de vue acoustique, la laine de bois permet en effet de maîtriser la réverbération des bruits et garantit ainsi un confort acoustique remarquable dans toutes les situations données.Organic sur Knaufstudio.fr, comme source d’inspiration La collection Organic est à retrouver sur le site Knaufstudio.fr. Cet espace, dédié aux acteurs de la prescription, fait la part belle à l’esthétique, la matière, l’inspiration et la créativité pour les accompagner dans la signature de projets architecturaux uniques.Pour Emmanuel Blaudez, Chef de Marché Plafonds : « Avec Organic Claustra et Organic Factory, Knauf offre aux prescripteurs de nouvelles perspectives dans l’univers des baffles acoustiques, pour des réalisations qui conjuguent créativité et performances. L’origine naturelle et biosourcée d’Organic répond également aux attentes des maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre pour des bâtiments plus responsables. »
Il y a 2 ans et 284 jours

Saint-Gobain finalise une emission obligataire d'un montant de 1,5 Md€

Cette opération doit permettre à l’industriel et distributeur d’étaler sa dette. Par ailleurs, le géant français des matériaux de construction annonce l’acquisition de l’entreprise nord-américaine Kaycan.
Il y a 2 ans et 285 jours

Un emprunt de 1,5 milliard pour Saint-Gobain

FINANCE. Afin "d'allonger la maturité moyenne de sa dette" et de déployer sa stratégie de développement durable, Saint-Gobain annonce avoir réalisé une émission obligataire de 1,5 milliard d'euros.
Il y a 2 ans et 285 jours

Herige : un bon premier semestre

Sur le second trimestre 2022, l’activité du groupe vendéen de négoce et d'industrie grimpe de +10 % par rapport à 2021. Pour l'ensemble du semestre, Herige enregistre un chiffre d'affaires de 413 M€, en croissance de +10,2 %.
Il y a 2 ans et 285 jours

Batura, nouvelle climatisation réversible, silencieuse et connectée by Sauter

Batura, la climatisation réversible pour un confort optimal en toutes saisonsLa climatisation réversible Batura est une installation 2 en 1 qui permet de profiter d’un confort thermique toute l’année, tout en réalisant des économies d’énergie. Batura offre à la fois une fonction efficace de rafraichissement l’été et de chauffage l’hiver. La température de la maison est ainsi régulée, quelle que soit la saison.5 modes sont disponibles pour s’adapter à toutes les saisons :Mode automatiqueMode rafraichissementMode déshumidificationMode ventilationMode chauffage En cas de forte variation de température, la fonction « Boost » permet de rafraichir ou réchauffer rapidement la pièce, avec un mode de mise en marche manuelle. Batura offre aussi une solution efficace contre l’humidité qui reste une préoccupation, notamment dans les chambres, pour la qualité de l’air et un intérieur sain.Batura, la climatisation "Multi-split" pour équiper jusqu'à 4 piècesBatura est une climatisation fonctionnant grâce à une pompe à chaleur, qui se compose d’une unité extérieure et d’une ou plusieurs unités intérieures qui sont réparties dans les différentes pièces du logement.Batura peut climatiser jusqu’à 4 pièces de la maison. Offrant d’excellentes performances, elle permet donc de moduler et de maîtriser selon ses besoins la température des différentes pièces de la maison.Batura, la climatisation connectéeLa climatisation Batura peut être pilotée à distance via l’application Sauter Cozytouch®.Cette application, permet de régler à distance ses équipements connectés Sauter : chauffage, radiateur sèche-serviettes, chauffe-eau, ventalition, et maintenant climatisation.Pour la climatisation, la mise en place de cette fonction nécessite l’achat du « PACK CLIM COZYTOUCH® » comprenant un Hub et une Clé Cozytouch® à brancher sur l’unité de climatisation intérieure.Avec le système connecté Cozytouch®, il est possible de :sélectionner le mode de fonctionnement de sa climatisation,visualiser et choisir la température de la pièce,régler la vitesse de ventilation,régler l’orientation des volets,programmer des modes sur des plages horaires pré-définies.Batura, la climatisation silencieuse, peu énergivore, à faible impact environnementalLa capacité à être silencieuse est un critère de choix important pour une climatisation. Le mode silence de Batura offre un niveau sonore particulièrement bas, de seulement 20 dB(A) pour les unités intérieures.Batura consomme peu d’énergie : classe énergétique A++ en mode froid et A+ en mode chaud (en mono-split) et A+++ en mode froid et A++ en mode chaud (en multi-split). La « fonction éco » réduit la consommation d’électricité avec un réglage ajusté de la température de la pièce. La technologie « Inverter » quant à elle, permet une régulation efficace des moteurs et limite les dépenses énergétiques en ajustant la puissance nécessaire en fonction de la température programmée réduisant ainsi les variations de température.Soucieux des conséquences environnementales, Batura utilise le fluide frigorigène R32, réfrigérant plus respectueux de l’environnement. Le fluide R32 garantit une meilleure efficacité énergétique et un impact environnemental limité.
Il y a 2 ans et 286 jours

Le Sénat vote un soutien supplémentaire au collectivités

Les sénateurs ont adopté plusieurs amendements en ce sens au projet de budget rectifié pour 2022, examiné en première lecture.L'Assemblée avait déjà voté fin juillet, contre l'avis du gouvernement, pour 120 millions d'euros aux départements afin de compenser la hausse de 4% du RSA qu'ils versent. Le Sénat dominé par la droite a validé la mesure.Et pour compenser la hausse de 3,5% du point d'indice des fonctionnaires, les députés avaient prévu 180 millions d'euros au profit de communes et intercommunalités en difficulté, dans un "compromis" âprement négocié.Les sénateurs ont souhaité aller plus loin, dans une "volonté commune de soutenir les collectivités". Ils ont validé un amendement du rapporteur général Jean-François Husson (LR) élargissant les critères d'éligibilité des communes et relevant le taux de compensation des dépenses énergétiques et des dépenses alimentaires pour les cantines scolaires notamment. Un autre amendement de l'Union centriste a encore accru le nombre de communes éligibles. "C'est un effort considérable" qui est fait "de manière juste", a estimé le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, saluant "le travail de compromis remarquable fait par le rapporteur général"."Il n'y a rien d'un miracle tombé du ciel", a relevé pour sa part le patron des sénateurs LR, Bruno Retailleau, soulignant que "les collectivités ne l'auront pas volé".Les communistes se sont cependant opposés à ces amendements car ils souhaitaient doter "toutes les communes de France".La chambre des territoires a en outre ajouté une compensation intégrale aux régions pour la hausse de 4% des rémunérations des stagiaires de la formation professionnelle. M. Le Maire a cherché en vain à cibler uniquement les régions les plus fragiles financièrement.Le rapporteur a évalué à 750 millions d'euros le soutien total aux collectivités, alors que le gouvernement ne proposait pas de compensation initialement.
Il y a 2 ans et 286 jours

Le bénéfice net de Vicat fléchit au premier semestre 2022

RÉSULTATS. Si le cimentier Vicat voit son chiffre d'affaires progresser, son bénéfice net est en repli de plus de 22%.
Il y a 2 ans et 286 jours

Saint-Gobain emprunte 1,5 milliard d'euros pour mieux étaler sa dette

L'emprunt est divisé en trois tranches de 500 millions d'euros, à différentes échéances (3, 6 et 10 ans), avec pour la première fois une indexation de la tranche à dix ans sur les objectifs du groupe en matière de réduction de ses émissions directes de gaz à effet de serre et de ses déchets de production non recyclés.Son endettement net s'inscrivait en légère hausse à 8,3 milliards d'euros fin juin 2022 (36% des fonds propres), contre 7,6 milliards d'euros fin juin 2021, selon un communiqué publié à l'annonce de ses résultats la semaine dernière.Saint-Gobain a annoncé lundi la finalisation de l'acquisition, pour 928 millions de dollars américains, de Kaycan, entreprise familiale nord-américaine de production et distribution de matériaux de construction et de revêtement d'extérieur, numéro un du bardage.Il avait précédemment annoncé l'acquisition du groupe français Chryso et l'intégration de l'américain GCP Applied Technologies, dans le but de devenir numéro deux mondial de la chimie de construction pour "décarboner" ce secteur.La semaine dernière, Saint-Gobain a fait état d'un bénéfice net en forte hausse (+32,8% à 1,72 milliard d'euros) au premier semestre grâce à une bonne activité dans la rénovation et la construction et en dépit du poids de l'inflation. Le groupe a tenu à rassurer sur ses objectifs et l'impact de la hausse des prix, notamment sur les matières premières.
Il y a 2 ans et 286 jours

Airwell : une croissance soutenue sur le premier semestre

Le fabricant français de solutions climatiques et thermiques a enregistré un chiffre d’affaires de 28,8 M€ en progression de 26,2 %.
Il y a 2 ans et 286 jours

Le Dévéhat Vuarnesson Architectes transforme le Centre de tri du Syctom à Nanterre (92)

La restructuration du centre de tri de Nanterre est révélatrice de l’approche de l’agence LVA. En effet, bien qu’il s’agisse ici d’un bâtiment industriel, il est aujourd’hui ouvert sur le quartier. Un soin particulier a été donnée aux qualités spatiales, aux qualités d’usages et aux conditions de travail des employés au-delà de la réponse stricte de la mise aux normes ergonomique et de sécurité.Ce projet de 12.000 m² SP, réalisé en mission complète en association avec La Superstructure, Patrice Gobert architecte et associés pour le Syctom, maître d’ouvrage, est guidé par trois principes architecturaux majeurs : faire pénétrer la lumière naturelle dans les bâtiments, développer les espaces extérieurs directement accessibles depuis les salles de travail et de repos, contribuer au développement d’espaces naturels.Sur une parcelle densément construite et contrainte (PPRI), les enjeux de la réhabilitation résidaient dans l’augmentation de la capacité de réception et de traitement de la matière (passant de 40.000 à 55.000 tonnes par an), dans la réorganisation du fonctionnement global du site et dans la mise aux normes et la rénovation thermique et environnementale des bâtiments. LVA a organisé un fonctionnement fluide et clair tout en conservant un maximum de constructions existantes.Le traitement architectural contemporain du centre de tri exprime la mixité des activités : industrielles et tertiaires. Le site s’inscrit dans un tissu urbain en « fabrication » et participe à sa définition. Quartier anciennement dédié à l’activité industrielle, l’aménagement de la ZAC des Guilleraies introduit de nombreuses activités tertiaires tout en confortant sa vocation d’origine. D’où l’importance de la relation du centre de tri à l’aménagement urbain et paysager du nouveau quartier. L’ouvrage devient aisément appropriable par les riverains, et sa relation au quartier est apaisée.La présence d’espaces végétalisés évoluant au fil des saisons, la pénétration de la lumière naturelle, les nouveaux espaces extérieurs et les nouvelles vues créées valorisent les conditions de travail en offrant une nouvelle relation au site et au paysage. Les nuisances visuelles, acoustiques et olfactives sont traitées à l’échelle du bâtiment, pour le confort des employés et pour un impact urbain adouci.Le principe volumétrique du centre, adapté aux différentes fonctions, a été conservé : le bâtiment A accueille les locaux administratifs, sociaux et les ateliers ; les bâtiments E, B, C et D, le déversement, la réception et le stockage de la matière collectée, le tri, le conditionnement et l’évacuation de la matière triée. La restructuration de la zone d’accès des véhicules et de la zone de réception des matériaux a nécessité la démolition et la reconstruction du bâtiment E et la démolition du petit bâtiment d’isolement des matières radioactives.La résille est l’élément structurant du projet, un balcon s’y accroche, la végétation commence à y grimper, elle joue avec le soleil et dessine de grandes ombres sur les façades, elle est la cohérence de l’outil industriel. Fiche technique Maître d’ouvrage : Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers, acteur public majeur de la gestion des déchets en Île-de-FranceÉquipe : Le Dévéhat Vuarnesson Architectes en association avec La Superstructure, Patrice Gobert architecte et associés et Thierry Dalcant paysagiste ; Paprec group mandataire-gestionnaire ; Cathelain Entreprise Génie Civil ; Ar-Val Process ; Inddigo BET ; Sim BET acousticien ; Area BET Fluides ; Olfacto (dépoussiérage-désodorisation) Mission : Marché de conception, de réalisation et d’exploitation ou de maintenance (CREM)Programme : Restructuration d’un centre de tri de collecte sélectiveCapacité : 55.000 T/anSurface : 12.000 m2 SPSurface de la parcelle : 18.500 m²Calendrier : Livré en novembre 2021Budget conception réalisation : 40,6 M€ HT (y compris process, hors exploitation)Opération réalisée en BIM
Il y a 2 ans et 286 jours

Colas Rail, premières au Panama

En sous-traitance d’Hitachi Rail, la filiale ferroviaire de Colas participera à la réalisation du projet de monorail de la future ligne 3 du métro de Panama.
Il y a 2 ans et 287 jours

Menuiserie : nouvelle acquisition en vue pour Atlantem

ACQUISITION. Atlantem, filiale spécialisée dans la menuiserie du groupe Herige, souhaite acquérir Poralu, fabricant sur-mesure de menuiseries et fermetures extérieures pour l'habitat implanté dans la région Rhône-Alpes.
Il y a 2 ans et 287 jours

Equans, TF1-M6 : Bouygues maintient le cap sur ses opérations de fusion-acquisition malgré leurs coûts

Bouygues a annoncé pour le 1er semestre un résultat d'exploitation courant en amélioration de 21 millions d'euros par rapport au 1er semestre, à 492 millions d'euros, mais un résultat net part du groupe de 147 millions d'euros, divisé par trois par rapport à celui de début 2021.Celui-ci intègre une charge exceptionnelle de 44 millions d'euros comprenant surtout des frais d'avocats et d'économistes liés aux deux grosses opérations structurantes dans lesquelles il est engagé : l'acquisition d'Equans auprès du groupe Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952, et le rapprochement entre TF1 et M6.La fusion-acquisition "c'est un sport de riche" a commenté le directeur général Olivier Roussat en annonçant lors d'un entretien téléphonique que le second semestre comportera encore "45 millions d'euros" de coûts exceptionnels : un tiers pour le dossier TF1-M6, et deux-tiers pour l'opération Equans. Le 19 juillet, Bouygues a obtenu le feu vert de la commission européenne pour le rachat d'Equans pour 7,1 milliards d'euros, sous réserve de la cession d'une filiale Colas Rail Belgium qui risquait de détenir une position dominante en Belgique.Mais le même jour, au Royaume-Uni, l'autorité de concurrence britannique CMA a considéré que l'opération était susceptible de conduire à un affaiblissement de la concurrence sur un appel d'offres en cours pour une ligne à grand vitesse en construction.Le groupe a déposé le 26 juillet des propositions de remèdes "sur lesquelles la CMA devrait statuer très prochainement" a indiqué Bouygues. Le bouclage du rachat d'Equans, regroupant des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la ventilation, climatisation, chauffage ou le numérique, annoncé le 12 mai, reste toujours attendu au 2e semestre 2022, a indiqué Bouygues, se disant "assez serein" sur ce calendrier projeté.Logement : demande de mesures incitativesPour ce qui est de la fusion envisagée entre TF1 et M6, le groupe espère convaincre le collège de l'autorité de la concurrence les 5 et 6 septembre de revenir sur les réserves émises par ses propres services d'instruction considérant que l'opération soulève des problèmes de concurrence significatifs sur le marché de la publicité."On a un certain nombre d'arguments à faire valoir" notamment pour demander que les marchés pertinents à prendre en compte pour jauger de la concurrence ne se cantonnent pas aux seules télévisions, mais intègrent aussi les plateformes "où la publicité est en train de naître", a dit M. Roussat."Netflix a annoncé qu'il mettait de la pub dans son offre, cela n'existait pas il y a encore un an" a-t-il fait valoir, citant aussi Amazon qui a diffusé des matches importants de Roland Garros. "Le monde a changé" a-t-il dit.Globalement pour l'ensemble de 2022, le groupe a confirmé ses ambitions : il attend une "nouvelle augmentation de son chiffre d'affaires et de son résultat opérationnel courant", ainsi que la validation par le Science Based Target Initiative (SBTI) de ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre.Il a relevé ses objectifs financiers pour sa filiale telecoms, qui a lancé des partenariats stratégiques avec Ericsson ou Nokia concernant des réseaux d'entreprise 5G.Au 1er semestre, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires total de 18,5 milliards d'euros, en hausse de 6% par rapport à 2021.L'activité de construction, tirée par Colas et l'international, a vu ses ventes progresser de 7% à 13,7 milliards d'euros, malgré un recul de 11% de Bouygues immobilier. Le chiffre d'affaires de TF1 a progressé de 5% à 1,18 milliard d'euros, ainsi que celui de Bouygues Telecom, à 3,63 milliards d'euros.Bouygues souligne que le marché de la construction de logements résidentiel est "sous-offreur en France". "Globalement, il faudrait faire 500.000 logements, et on en fait un peu moins de 300.000, il y a un besoin assez important" a commenté le groupe qui demande des "mesures incitatives" notamment pour transformer des bureaux en logements.Peu avant 12H00, le titre Bouygues, qui a perdu 7% depuis le 1er janvier, progressait de 0,65% à la bourse de Paris, à 29,47 euros.
Il y a 2 ans et 287 jours

Tractel rachetée par un spécialiste suédois de solutions d’accès vertical

Le fabricant français d'équipements de sécurité pour le travail en hauteur et d'appareils de levage a été repris par Alimak auprès du fonds Cinven.
Il y a 2 ans et 287 jours

Entrée d’air filtrante EHT2

Aldes dit stop aux pollens et particules fines dans les logements ! Le Groupe Aldes, spécialiste de la qualité d’air intérieur, innove avec le lancement d’une entrée d’air filtrante : EHT2. Cette solution simple flux homologuée fait barrage aux pollens et particules fines. Elle répond à une demande croissante des professionnels de solution de filtration […]
Il y a 2 ans et 287 jours

1er semestre en hausse et cession de la branche Solutions de Haute Température pour Imerys

RÉSULTATS ET CESSION. Le groupe Imerys, spécialisé dans la production et la transformation des minéraux industriels, affiche une santé de fer au premier semestre 2022 avec un chiffre d'affaires record en hausse de 18,7%. Il annonce aussi la cession de sa branche Solutions de Haute Température.
Il y a 2 ans et 288 jours

Saint-Gobain achève l'acquisition de l'américain Kaycan

ACQUISITION. Annoncée début juin, l'acquisition de Kaycan par le géant des matériaux de construction, Saint-Gobain, vient d'être finalisée.
Il y a 2 ans et 288 jours

En bonne forme au 1er semestre 2022, Schneider Electric revoit ses objectifs à la hausse

RÉSULTATS. Le spécialiste des équipements et solutions pour l'énergie, Schneider Electric, annonce des résultats en hausse au premier semestre 2022. On peut également souligner un deuxième trimestre tonique.
Il y a 2 ans et 288 jours

3 nouvelles entreprises pour le réseau Vertikal

Une expansion qui témoigne de la force de la cooptation au sein de ce réseau spécialiste de la rénovation de façades de maisons individuelles et petits collectifs, qui se démarque par la rigueur de son concept et la formation de ses franchisés, toujours dans la perspective de proposer des prestations de qualité à ses clients finaux.Avec ces trois nouvelles ouvertures, le réseau VERTIKAL renforce sa présence en Île-de-France (5 implantations), sur la région Pays-de-la-Loire (4 implantations) et en PACA (3 implantations), et porte à 29 le nombre de ses Applicateurs Exclusifs implantés partout en France.Viennent de rejoindre le réseau :Pictural Façades, Applicateur Exclusif sur le sud-ouest de la Loire-Atlantique dirigée par Marwène Souissi, issu du domaine du BTP, ancien technicien couvreur et peintre en bâtiment.Ravalement du Var, née de l’association entre Mathieu Chouteau, Applicateur Exclusif historique du groupement d’entreprises VERTIKAL à la tête de Façades du Var depuis 2016, et Théo Duval, ancien électricien et désormais plus jeune Applicateur du Réseau.Trianon Façades, dirigée par Paul Lindemann, issu du domaine du marketing, ancien technicien-commercial d’une entreprise historique du groupement: Ravalement du Roy. Implantée en Ile-de-France, Trianon Façades intervient sur le nord-est des Yvelines.Pour Christian Badia, Fondateur de VERTIKAL : « Deux de ces trois nouvelles ouvertures sont issues de la cooptation au sein même du réseau. Le concept VERTIKAL, sa rigueur et la qualité de l’accompagnement que nous apportons à nos franchisés, amènent nos Applicateurs Exclusifs à recommander à leur entourage de nous rejoindre. Aussi, la force de VERTIKAL passe par notre programme de formation/reconversion. Elle permet à tout un chacun, quel que soit le secteur d’activités dont il est issu, d’avoir l’ambition de réussir en tant qu’Applicateur VERTIKAL. »En Gironde, l’entreprise Atelier Façades vient d’être reprise par Emmanuel Blanc, ancien chef d'entreprise en rénovation d'habitat désormais reconverti dans la rénovation de façades de maisons individuelles et petits collectifs, intervenant sur le centre-ouest du département de la Gironde.
Il y a 2 ans et 288 jours

Sobriété énergétique : lancement du groupe de travail « Numérique et Télécommunications »

Le mois dernier, la Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont annoncé le lancement de groupes de travail thématiques sur la sobriété énergétique. Avec un objectif : réduire nos consommations d’énergie de 10% en deux ans pour, à court terme, garantir notre sécurité d’approvisionnement dans le contexte de guerre en Ukraine et, à plus long terme, sortir la France des énergies fossiles. Objectifs confirmés par le Président de la République dans son allocution du 14 juillet dernier.Les engagements des acteurs du numérique et des télécommunicationsCette première réunion du groupe de travail « Numérique et télécommunications » a permis aux ministres de rappeler leur volonté d’une action ambitieuse. Etaient représentés : le Comité stratégique de filière « Infrastructures numériques », la Fédération Française des Télécoms et notamment les quatre principaux opérateurs de télécommunications, représentants de l’écosystème French Tech, France Digitale, Numeum et Start Industrie.Collectivement, ces acteurs s’engagent, avec les instances représentatives du personnel, à mieux faire connaître et appliquer les obligations légales, en miroir de la demande d’exemplarité de la Première ministre auprès de l’administration, en matière d’éclairage des lieux de commerce (éteints à 1 heure du matin au plus tard ou 1 heure après la cessation de l'activité) et des températures de consignes des bâtiments (mettre en œuvre les moyens de baisser la température et ne pas dépasser 19°C maximum pour optimiser la consommation énergétique). La possibilité d’une organisation du travail permettant de limiter les consommations énergétiques, dont le télétravail, sera également explorée.Les participants ont également fait part de leur volonté de partager et d’amplifier les bonnes pratiques, notamment sur les évolutions technologiques les plus récentes qui permettent de réduire l’empreinte énergétique de certaines activités.A titre d’exemple, la consommation énergétique des lignes fixes a été divisée par trois avec le passage à la fibre. De plus, malgré un usage mobile toujours plus important, le passage à la 5G, dans les zones très denses, entraînera une amélioration de l’efficacité énergétique d’un facteur 10 par rapport à la 4G, et d’un facteur 50 par rapport à la 3G[1]. Enfin, la mise en place de la facture électronique ou le développement de filières de reconditionnement et l’allongement de la durée de vie des terminaux sont autant de pratiques que les représentants, présents ce jour, ont mentionnées.Au-delà, le secteur numérique est un outil au service de l’efficacité énergétique. Par exemple, dans le secteur du bâtiment, un simple programmateur de chaudière peut faire baisser de 10% la consommation d’énergie, les outils de gestions techniques de bâtiments de 30%.Les outils numériques facilitent également la décarbonation de l’énergie, par exemple dans la gestion des énergies renouvelables intermittentes.Le secteur réfléchit également à l’utilisation de capteurs déjà installés pour d’autres usages, afin qu’ils assurent le suivi et le contrôle de la consommation d’énergie dans des bâtiments. Cela pourra réduire instantanément les consommations de 10 à 15%.En ce sens, les appels à projets de la French Tech, et notamment le programme Green20, soutiennent les innovations de rupture en faveur de la transition écologique et énergétique.Une méthode de consultation pour identifier des mesures prioritaires spécifiques à chaque secteurTous les acteurs présents ont confirmé leur volonté de diminuer de 10% la consommation d’énergie d’ici deux ans. Pour y parvenir, les travaux se poursuivront en distinguant les acteurs disposant d’infrastructures techniques des acteurs de l’économie numérique, pour prendre en compte chacune de leurs spécificités.Les acteurs disposant d’infrastructures techniques (opérateurs de télécommunications et startups dans l’industrie) vont, par exemple, étudier la mise en place de mesures d’optimisation de la consommation énergétique des réseaux mobiles ;Les acteurs de l’économie numérique (notamment le Next40 et les capitales French Tech) réfléchiront à établir leur bilan carbone, préciser leurs engagements net zéro et à engager une démarche de mesure d'impact. Ils travailleront également à identifier des initiatives d’architecture technique des sites Internet à usage commercial pour que leur conception soit la plus légère possible en données.Les ministres poursuivront ces travaux avec le groupe « Numérique et télécommunications », aux côtés d’experts. Un plan d’actions de mesures simples et opérationnelles sera partagé fin septembre.Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, a déclaré : « Pour faire de la sobriété énergétique une réalité, nous devons miser sur le numérique et les systèmes connectés. Ce sont autant d’outils pour mieux piloter notre consommation d’énergie. Nous devons nous appuyer collectivement sur l’expertise et la capacité d’innovation des acteurs du numérique, tout en les accompagnant dans l’accélération de leur propre feuille de route de décarbonation. »Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition Numérique et des Télécommunications, a déclaré : « Je salue les engagements pris par les acteurs du numérique et des télécommunications en réponse à l'appel à la sobriété énergétique. La concertation initiée aujourd'hui est la première étape d'une ambition collective que nous voulons porter avec Bruno Le Maire. C'est grâce à la contribution de tous que nous répondrons à l’urgence climatique. Dès septembre, de nouvelles mesures seront présentées pour réduire la consommation d'énergie du secteur. »[1] Étude économique 2020, Fédération Française des Télécoms
Il y a 2 ans et 288 jours

Clestra placé en redressement judiciaire

En grand besoin de financements, notamment après une cyberattaque en avril qui lui a coûté entre 2 et 3 millions d'euros, et ce malgré un carnet de commandes rempli jusqu'à la fin de l'année, le fabricant de cloisons du Bas-Rhin a été placé en redressement judiciaire pour six mois.
Il y a 2 ans et 288 jours

ADEME [Finance Climact] - Présentation des Plans de transition sectoriels

Chacune de ces feuilles de route s’articule en quatre volets – Technologique, Financement, Marché/emploi et Plan d’actions publiques et privées – et s’appuie sur une collaboration étroite avec les principaux acteurs du secteur concerné (fédérations et majors des secteurs).Un Plan de Transition Sectoriel se déroule sur une durée de 12 à 18 mois selon la complexité du secteur, et est rythmé par des échanges avec les industriels (collectifs et bilatéraux) ainsi que des réunions élargies avec les parties prenantes de la filière.Concertation et modélisation au cœur de la méthodologieTravail bibliographique et échanges pour dessiner l’état des lieux technico-économique du secteurDéfinition et validation d’usines de référence sur le parc industriel françaisModélisation de chemins technologiques évaluant la capacité de réduction d’émissions et les besoins d’investissement à l’échelle du parcAnalyse de la demande en matériaux et évolutions liées à la transitionAnalyse du marché de l’emplois et des compétencesConcertation et élaboration d’un plan d’actions, publiques et privées, permettant une décarbonation viable du secteurPlusieurs livrables seront mis à disposition des pouvoirs publics, des industriels et des institutions financières tout au long du projet et serviront de support dans les processus de décisions.Les 9 secteurs concernés sont : acier, aluminium, ciment, ammoniac, chlore, éthylène, papier-carton, sucre, verre.
Il y a 2 ans et 288 jours

Casino va céder le contrôle de sa filiale énergie GreenYellow à Ardian

Ardian va devenir d'ici la fin 2022 actionnaire majoritaire de l'entreprise spécialisée dans l'énergie : le fonds a signé un accord en ce sens avec Casino, la société d'investissement Tikehau Capital et la banque publique Bpifrance qui, en octobre 2018, avaient acquis ensemble 24% du capital de GreenYellow pour 150 millions d'euros au total.Mathieu Badjeck, co-responsable du fonds de transition énergétique de Tikehau Capital, s'est félicité auprès de l'AFP d'une "très belle opération pour nous comme pour l'ensemble des parties autour de la table". Il a précisé que le fonds avait initialement investi 100 millions d'euros et la Bpi 50 dans GreenYellow, "un acteur pionnier dans la transition énergétique". "C'était vrai il y a 3 ou 4 ans, c'est d'autant plus vrai aujourd'hui".Tikehau, qui a ultérieurement précisé avoir empoché 1,9 fois sa mise, conserve une part minoritaire de Greenyellow, de même que Bpifrance et Casino. Le PDG du groupe de distribution, Jean-Charles Naouri, a ainsi dit jeudi vouloir rester "associé durablement à la création de valeur de l'entreprise".Vaste plan de cessionsCréé en 2007 par Casino, GreenYellow vend à ses clients la possibilité de "réduire leur consommation énergétique et leur impact carbone", via l'installation de panneaux solaires, ainsi que "des contrats de performance énergétique" et des services comme le conseil ou l'achat d'énergie.Son nom a fait l'actualité dernièrement dans le cadre de la fourniture de gaz à des particuliers, une activité ciblée par une action de groupe pilotée par Consommation Logement Cadre de vie (CLCV). L'association de défense des consommateurs reproche à l'entreprise des "pratiques trompeuses" pour pousser ses clients à renoncer à une offre tarifaire fixe avantageuse dans un contexte de forte inflation du coût de l'énergie.Casino espère percevoir 600 millions d'euros de la vente, qui entrera dans le cadre de son vaste plan de cession d'actifs de 4,5 milliards d'euros, engagé en juillet 2018 et dont l'échéance, initialement fixée en mars 2021, a été repoussée à "au plus tard fin 2023".Le plan de cessions s'inscrit dans le cadre du plan de sauvegarde de la maison mère de Casino, Rallye, et de sa cascade de holdings (Foncière Euris, Finatis et Euris), lourdement endettées. Décidé en février 2020 par le tribunal de commerce de Paris, il prévoit un remboursement des créanciers via la remontée de dividendes de Casino vers ses holdings, ainsi que la cession d'actifs "non stratégiques".Beaumanoir veut SarenzaDe manière plus marginale, le distributeur stéphanois dit avoir 27 millions d'euros de "cessions diverses sécurisées ou sous promesses", citant Sarenza et des opérations immobilières.Le groupe spécialisé dans le prêt-à-porter Beaumanoir a annoncé le même jour être entré en négociations exclusives avec Monoprix, enseigne du groupe Casino, pour le rachat de l'e-commerçant Sarenza. Le montant potentiel de l'opération n'a pas été divulgué.Au terme de la cession de GreenYellow, Casino dit devoir encore céder pour 500 millions d'euros d'actifs, sans préciser lesquels. Il détient notamment le site d'e-commerce CDiscount, les enseignes Monoprix, Franprix, Géant, Naturalia, ainsi que Asai ou Pao de Acucar en Amérique latine.En attendant, Casino a accru lors du premier semestre 2022 sa perte nette, de 24,5% à 259 millions d'euros, malgré un chiffre d'affaires en progression et légèrement supérieur aux attentes, à 15,9 milliards d'euros. Le groupe profite notamment du retour des touristes en région parisienne, où il est fortement implanté via ses enseignes Monoprix ou Franprix.La dette nette s'est également accrue au premier semestre de plus de 18% par rapport à la même période 2021, à 7,5 milliards, dont 5,1 en France et 2,4 en Amérique latine.A la Bourse de Paris, le titre du groupe a ouvert la séance en hausse, mais est vite repassé dans le rouge et a terminé en baisse de 1,18% à 11,76 euros, dans un marché en hausse de 1,30%.Il a perdu près de la moitié de sa valorisation depuis le début de l'année. Début 2020, avant le déclenchement de l'épidémie de Covid-19, l'action s'échangeait encore aux alentours de 40 euros.
Il y a 2 ans et 288 jours

Le premier semestre de Vicat impacté par la hausse des coûts de l'énergie

Le cimentier a vu son chiffre d'affaires progresser de 12,5%, à 1,755 milliard d'euros, mais son bénéfice net chuter de 16,8% en raison de la "forte inflation des coûts de l'énergie", liée notamment à la guerre en Ukraine.
Il y a 2 ans et 291 jours

Résultats records pour Holcim au premier semestre 2022 boostés par sa nouvelle division

RÉSULTATS. Le cimentier, Holcim, annonce des résultats records et ce, des ventes au bénéfice net. L'industriel souligne tout particulièrement les performances de sa nouvelle division "Solutions et Produits" spécialisée notamment dans la toiture et l'isolation.
Il y a 2 ans et 291 jours

Le prince héritier saoudien dévoile les plans de sa mégapole futuriste NEOM

Appelés "The Line", les deux immenses gratte-ciels parallèles de 500 mètres de haut formeront le centre de la ville sur la mer Rouge, projet phare de plusieurs centaines de milliards de dollars de Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto du royaume, qui cherche à diversifier l'économie du pays pétrolier.Avec ses taxis volants et robots domestiques, NEOM a fait beaucoup parler d'elle depuis sa première annonce en 2017, même si des architectes et des économistes ont mis en doute sa faisabilité.Au départ, NEOM a été présentée comme une "Silicon Valley" régionale, un centre de la biotechnologie et du numérique s'étendant sur 26.500 kilomètres carrés.Mais lors de la présentation lundi soir de "The Line", le prince a esquissé une vision encore plus ambitieuse, décrivant une ville utopique sans voitures, la plus vivable "sur toute la planète".L'idée est de repenser la vie urbaine sur une surface de seulement 34 kilomètres carrés pour répondre aux "crises de l'habitabilité et de l'environnement", a-t-il ajouté, suscitant une nouvelle fois le scepticisme chez certains."Le concept a tellement évolué depuis sa conception initiale qu'il est parfois difficile de déterminer sa direction", commente Robert Mogielnicki de l'Arab Gulf States Institute à Washington.Boom démographiqueLes autorités ont évoqué dans le passé le chiffre d'un million d'habitants à NEOM.Le prince héritier a désormais fixé la barre à 1,2 million d'habitants d'ici 2030 et neuf millions à l'horizon 2045, en misant sur un boom démographique nécessaire, selon lui, pour faire de l'Arabie saoudite une puissance économique capable de rivaliser dans tous les secteurs.A l'échelle nationale, l'objectif est d'atteindre 100 millions d'habitants en 2040, "près de 30 millions de Saoudiens et 70 millions ou plus d'étrangers", contre environ 34 millions d'habitants aujourd'hui, a déclaré Mohammed ben Salmane."C'est l'intérêt principal de la construction de NEOM : augmenter la capacité (démographique, ndlr) de l'Arabie saoudite (...). Et puisque nous le faisons à partir de zéro, pourquoi copier les villes normales ?".D'une largeur de 200 mètres seulement, "The Line" doit répondre à l'étalement urbain incontrôlé et nuisible à l'environnement, en superposant maisons, écoles et parcs, selon le modèle de "l'urbanisme à gravité zéro". Les résidents auront accès à "tous leurs besoins quotidiens" en cinq minutes à pied, ainsi qu'à d'autres facilités comme des pistes de ski en plein air et "un train à grande vitesse avec un trajet de bout en bout (de la ville) de 20 minutes", selon le communiqué de presse publié lundi.NEOM devrait aussi être régie par sa propre loi, en cours d'élaboration, mais les responsables saoudiens ont d'ores et déjà affirmé qu'ils n'avaient pas l'intention de lever l'interdiction de l'alcool imposée dans le royaume conservateur.Trouver des fondsAutre défi pour NEOM : respecter les promesses en matière de protection de l'environnement du pays qui s'est engagé -sans convaincre les défenseurs de l'environnement- à atteindre la neutralité carbone d'ici 2060. Selon une vidéo promotionnelle publiée lundi, le site sera totalement alimenté par des énergies renouvelables et présentera "un microclimat tempéré toute l'année avec une ventilation naturelle".NEOM est bien positionnée pour bénéficier de l'énergie solaire et éolienne, et la ville devrait accueillir la plus grande usine d'hydrogène vert du monde, note Torbjorn Soltvedt, du cabinet de conseil Verisk Maplecroft. "Mais la faisabilité de NEOM dans son ensemble n'est pas claire étant donnée l'ampleur et le coût sans précédent du projet".Le coût de la "première phase", qui s'étend jusqu'en 2030, est évalué à 1.200 milliards de riyals saoudiens (environ 319 milliards de dollars), selon le prince Mohammed.Outre les subventions gouvernementales, les fonds devraient provenir du secteur privé et de l'introduction en bourse de NEOM prévue en 2024.Le financement reste un défi potentiel, même si le contexte actuel, marqué par la flambée des prix du pétrole, est plus favorable pour le royaume que durant la pandémie de Covid-19.Par ailleurs, "le financement n'est qu'une partie de l'équation", souligne Robert Mogielnicki."La demande est plus difficile à acheter, surtout quand on demande aux gens de participer à une expérience sur la vie et le travail dans le futur."
Il y a 2 ans et 291 jours

Saint-Gobain annonce des bénéfices semestriels en hausse malgré l'inflation

Son bénéfice net a progressé de 32,8% à 1,72 milliard d'euros sur les six premiers mois de l'année. Le chiffre d'affaires a pour sa part progressé de 15,1% à 25,48 milliards, porté par la rénovation en Europe et la construction dans les Amériques et en Asie.Les résultats sont "très bons malgré un environnement relativement chahuté avec la hausse des taux d'inflation, les difficultés d'approvisionnement qu'on connaît bien et la situation énergétique et géopolitique tendue", a salué Benoît Bazin, le directeur général, lors d'une conférence de presse.Le groupe a dans la foulée confirmé ses perspectives. "Saint-Gobain confirme viser une nouvelle progression du résultat d'exploitation en 2022 par rapport à 2021 à taux de change comparables", indique-t-il dans un communiqué.Saint-Gobain a par ailleurs revu à la hausse l'effet de l'inflation, avec des coûts d'énergie et de matières premières attendus en progression de près de 3 milliards d'euros cette année par rapport à 2021, contre 2,5 milliards attendu auparavant.Cette révision concerne "plutôt les matières premières", a précisé M. Bazin. "On avait été précautionneux, on avait couvert nos achats d'énergie par anticipation sur l'année 2022 : on est couverts à 80% sur nos besoins d'énergie et on a d'ores et déjà couvert 60% de l'année 2023".Saint-Gobain se dit en outre "confiant dans sa capacité à compenser l'inflation" cette année, bénéficiant notamment d'un "écart prix-coûts positif au premier semestre".Le groupe indique par ailleurs se préparer à une éventuelle coupure totale de l'alimentation en gaz russe dans les pays qui y sont le plus sensibles : Allemagne, République tchèque et Pologne.L'effet négatif serait limité à "environ 2% du chiffre d'affaires du groupe" grâce à divers leviers (qualification d'industrie prioritaire, recours au fioul plutôt qu'au gaz, moindre utilisation d'énergie dans les usines).
Il y a 2 ans et 292 jours

Résultats en hausse et acquisition en vue dans la menuiserie bois pour Herige

RESULTATS ET ACQUISITION. Herige, qui s'illustre dans le négoce, le béton et la menuiserie, à travers VM, Edycem et Atlantem, annonce un chiffre d'affaires en hausse d'environ 10% au premier semestre 2022. A l'occasion de la publication de ses résultats, le groupe a évoqué une future acquisition dans la menuiserie.
Il y a 2 ans et 292 jours

Porté par la rénovation, le bénéfice net de Saint-Gobain s'envole au premier semestre 2022

RÉSULTATS. Le géant français des matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce un premier semestre 2022 en forte hausse. L'ensemble des segments affiche une croissance à deux chiffres. L'Europe se distingue notamment grâce au marché de la rénovation.
Il y a 2 ans et 292 jours

Iberdrola annonce un bénéfice au 1er semestre dopé par les prix de l'énergie

Le géant espagnol, l'un des leaders mondiaux des énergies renouvelables, a engrangé 2,07 milliards d'euros de bénéfice net entre janvier et juin, contre 1,53 milliard au premier semestre 2021. Son chiffre d'affaires a pour sa part progressé de près de 30%, à 24,4 milliard d'euros.Ces chiffres sont supérieurs aux prévisions des analystes interrogés par le fournisseur d'informations financière Factset, qui tablaient sur 21,1 milliards de chiffre d'affaires et 1,99 milliard de profits.Selon Iberdrola, cette bonne dynamique s'explique par un effet favorable des taux de change lié à la dépréciation de l'euro, et par une forte croissance de ses résultats aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et au Brésil, dans un contexte de flambée des prix de l'énergie.En Espagne, le groupe énergétique a en revanche vu son bénéfice reculer de 26% sur un an. Cela s'explique notamment selon Iberdrola par la flambée de ses coûts d'approvisionnement, qui n'a pas été répercutée à ses clients bénéficiant de tarifs fixes.Ces résultats surviennent alors que Madrid a annoncé la mise en place l'an prochain d'une taxe exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises énergétiques, qui permettra à l'Etat de récupérer deux milliards d'euros par an en 2023 et 2024.Cette mesure, destinée à compenser les mesures de soutien mises en place ces derniers mois face à l'envolée de l'inflation, a été critiquée par le patronat espagnol, qui a estimé qu'elle pourrait réduire les capacités d'investissement des groupes concernés.Sur l'ensemble du premier semestre, Iberdrola précise avoir investi 4,74 milliards d'euros, en grande majorité pour développer sa capacité de production d'énergie renouvelable. Le groupe précise attendre une "accélération" des investissements au cours du second semestre.Sur les 12 derniers mois, Iberdrola a installé 3.400 mégawatts (MW) d'énergie renouvelable dans le monde, dont 1.241 MW dans le secteur photovoltaïque, 996 MW dans l'éolien et 998 MW dans l'hydroélectrique.
Il y a 2 ans et 292 jours

Eqiom renforce son arsenal pour accélérer l'économie circulaire

Avec Ressourceo, le cimentier propose aux acteurs de la construction, des travaux publics, de la déconstruction ainsi qu’aux collectivités, architectes, maîtres d’ouvrage…une offre complète de gestion et de valorisation des déchets de chantiers.
Il y a 2 ans et 292 jours

La solution Ma Maison Hybride d'Airwell, lauréat de bronze des Awards de l'innovation du Mondial du bâtiment

Ma Maison Hybride conçue par Airwell est une solution globale de services qui permet à l’utilisateur de reprendre en main sa consommation énergétique pour l’habitat individuel, neuf et rénovation. Une distinction reçue dans le cadre du concours « Awards de L’innovation » destiné aux exposants Interclima, Batimat et Idéobain organisé par le Mondial du Bâtiment : 82 innovations sélectionnées - parmi 167 dossiers proposés (+20% vs 2019) - par 43 jurés professionnels (votes entre les 17 au 20 juin, 27 lauréats).Structurée autour de l’IA, Ma Maison Hybride mixte photovoltaïque (production de son énergie) et domotique.Elle intègre également la connexion de l’ensemble des équipements de la maison, pompes à chaleur, climatisation, chauffage, ventilation, eau chaude sanitaire, objets connectés, depuis un smartphone (disponible sous IOS et Android) via l’application intuitive Air Home. L’utilisateur devient maître de sa consommation en rendant sa maison plus autonome en énergie selon ses habitudes. Résultats : une consommation d’énergie contrôlée, plus écologique, un budget maîtrisé et une maison confortable, adaptée à tous les besoins.Les modes de consommation évoluent passant de l’utilisation d’un produit à une solution globale de services. Pour permettre au consommateur de mieux maîtriser sa consommation, de limiter son emprunte carbone, réduire sa facture énergétique ou encore avoir accès à des offres dotées de robotiques (dont l’intelligence artificielle et la connectivité) le Groupe Airwell a imaginé un écosystème basé sur la gestion intelligente des équipements thermiques dans l’habitat – Ma Maison Hybride a été lancée en Juin 2021.Depuis son lancement, l’application AirHome a séduit une moyenne de 900 utilisateurs par mois. En évolution permanente, l’application évoluera dans quelques mois pour intégrer un plus grand nombre d’objets connectés comme des prises électriques connectées, des sondes de température ou d’humidité, des capteurs d’analyse de la qualité d’air, des nourrices connectées de chauffage/rafraîchissement au sol.Pour accompagner les professionnels Installateurs Partenaires, dans le déploiement de cette solution, le groupe Airwell a mis en place début 2022 un dispositif d’accompagnement à la fois commercial (exposition sur des foires et salons en régions) et de formation via Airwell Academy. « Les pratiques de consommation du grand public évoluent et notre mission est d’accompagner nos partenaires, les professionnels pour prendre ce virage. Cet accompagnement se traduit par une montée en compétences sur les expertises en thermodynamique et photovoltaïque.Ma Maison Hybride – Solution sur-mesure : explications !La Maison Hybride, c’est l’alliance de l’énergie naturelle du solaire photovoltaïque à l’énergie classique (électricité, gaz). « La démarche est simple : vous produisez votre propre électricité, vous alimentez et vous pilotez tous les équipements thermiques de la maison du bout des doigts », explique Laurent Roegel. La maison devient énergétiquement plus autonome !Le plus : L’énergie récoltée, 100% renouvelable, est utilisable par tous les appareils électriques de la maison, quel que soit la marque.A partir de l’Application AirHome, le pilotage des appareils énergétiques se fait à distance depuis un smartphone (disponible sous IOS et Android).Climatisation, chauffage, ventilation, eau chaude sanitaire et objets connectés (machines à laver, lampes, volets, sécurité), le smartphone devient une véritable télécommande.Résultats :Maitrise de la consommation : Grâce au suivi en temps réel de la production des panneaux solaires et de la consommation de tous les équipements thermiques de la maison.Autonomie : La maison devient énergétiquement plus autonome.Confort & économie : Programmation : Du chauffage et de la climatisation à distance pièce par pièceDe la température de l’eau pour une meilleure gestion de l’énergieUsage & utilisation facilités via des objets connectés (par exemple caméras, volets, lampes...)Le tout centralisé par la box Airwell :Utilisation du protocole ouvert ZigBee (basse fréquence) qui n’encombre pas le débit du réseau Wi-Fi.Ma Maison Hybride : comment ça marcheL’écosystème Airwell permet d’optimiser en instantané la consommation globale en énergie de la maison, en fonction de la production d’électricité des panneaux photovoltaïques. La technologie en IA - Intelligence Artificielle intégrée à l’application AirHome permettra notamment de créer des scenarii d’optimisation énergétique et de maintenance préventive. Elle sera développée progressivement jusqu’à sa totale finalisation courant 2022.Dans les moments de surproduction, l’application ordonne automatiquement aux équipements de l’habitat de “glisser” le point de consigne. Par exemple, en zone de confort, la consigne exigée en chauffage est de 20°C dans l’habitat. En journée (heures de travail), la consigne est de 17°C. C’est pendant cette période d’inoccupation que l’application AirHome va glisser la consigne à 22°C. Ces 2°C supplémentaires permettront de minimiser la consommation de manière significative en sollicitant moins les équipements en énergie de la maison (ex : radiateurs, chaudière, pompe à chaleur, etc.), grâce à l’inertie. L’habitat se régulera de lui-même et maintiendra les pièces de la maison à 20°C par la suite.La maison hybride est une réponse économique et écologique pour reprendre le contrôle de sa consommation énergétique et préserver les ressources naturelles. Avec l’installation de solutions solaires Airwell, énergie verte 100% renouvelable, et en privilégiant les heures de fonctionnement du ballon thermodynamique grâce à l’intelligence artificielle AirHome, la production d’électricité et d’eau chaude sanitaire est optimisée.Ma Maison Hybride : une solution unique « made in France » signée AirwellActeur majeur, pionner français de la pompe à chaleur à sa création en 1947 puis fabricant européen leader dans les années 1970. En 2021, Airwell devient le Groupe Airwell et opère sa mutation avec l’objectif de basculer de fabricant de pompes à chaleur à créateur de solutions thermiques. Mieux consommer l’énergie dans l’habitat passe notamment par le développement de nouvelles solutions innovantes, fiables, simples et évolutives au service du consommateur final.Pour Laurent Roegel, PDG d’Airwell : « Pour Airwell, il n ’y a pas une recette miracle pour favoriser la transition énergétique, mais un ensemble de solutions et de technologies pour modifier les usages quotidiens et la gestion de l’énergie consommée pour l’habitat individuel en neuf ou en rénovation. Ma Maison Hybride propose une solution sur-mesure pour répondre aux enjeux majeurs de la transformation de la consommation en matière notamment de chauffage et de climatisation. »Environnement, budget, usageMa Maison Hybride : des bénéfices multiplesMaison Hybride : l’alliance de l’Energie Solaire aux énergies « classiques », un habitat plus respectueux de l’environnement grâce à l’utilisation des énergies renouvelablesMaison connectée grâce à la domotique intégrée : un pilotage pour gérer les équipements électriques de la maison par le biais de l’application Air HomeMaison autonome : La maison devient énergétiquement plus autonomeNouvel Usage : Une consommation en énergie raisonnée, maitrisée et ajustéeEconomie : Un budget réduit grâce à la gestion de sa consommationTransition écologique : Un coup de pouce pour diminuer sa consommation en énergieConfort thermique : Un gain de confort grâce à la répartition de la chaleur et de l’inertie dans la maisonGain de temps et vue globale : En un coup d’œil, pilotage et gestion des équipements énergétiques de la maison.Les atouts AirwellCertifications : la garantie pour le consommateurEUROVENT CERTIFIED PERFORMANCE : Programme de Certification européen - performances et efficacité énergétique Chauffage et Climatisation des produits Airwell.ISO 9001 : Norme Internationale : satisfaction clients, de produits et de services conformesKEYMARK : Certification européenne et référentiel, ce label validant les performances et la qualité des Pompes à Chaleur et Ballons Thermodynamiques Airwell - pour un accès aux dispositifs de soutien : Ma prime rénov’, éco prêt à taux zéro (ECO-PTZ), certificats d’économie d’énergie (CEE).
Il y a 2 ans et 293 jours

Demathieu Bard et Materrup : un partenariat sous le signe du bas carbone

Franck Becherel et Mathieu Neuville signent un partenariat sous le signe du bas carbone. [© Demathieu Bard] Depuis plusieurs années, Demathieu Bard accélère sa transition vers des modes constructifs plus respectueux de l’environnement. D’après le groupe, l’argile semble être l’un des leviers qui lui permettra de réduire son impact carbone. C’est pourquoi l’entreprise de construction et Materrup annoncent la signature d’un partenariat pour la fourniture de ciment pour les trois prochaines années. Après Duhalde BTP, c’est au tour de Demathieu Bard de bénéficier du liant “Clay Cement MCC1”. Ce dernier étant conçu pour réduire de moitié les émissions de CO2. De plus, il permet de produire des bétons structurels de type C25/30, tout en conservant les qualités et les performances du matériau conventionnel. Vers une construction bas carbone « Notre ciment MCC1 permet de décarboner l’industrie de la construction, en étant en phase avec les besoins du marché et la montée en puissance de la RE 2020, » explique Mathieu Neuville, fondateur de Materrup. Ainsi, ce partenariat traduit la volonté de Demathieu Bard d’utiliser une variété de matériaux sur ses projets. « Ce partenariat avec Materrup s’inscrit pleinement dans notre démarche de performance environnementale, Lire aussi : Accord décarboné entre Demathieu Bard et Hoffmann Green Cement déclare Franck Becherel, Dg en charge de la construction chez Demathieu Bard. Et nous permet aujourd’hui d’ajouter une nouvelle solution contribuant à la décarbonation de notre activité. Son utilisation va réduire de façon très significative l’empreinte carbone de nos chantiers, avec le recours aux matériaux biosourcés ou issus du réemploi. » Les deux entreprises vont d’ailleurs déployer le ciment sur un chantier pilote dans la région bordelaise.
Il y a 2 ans et 293 jours

Un premier semestre 2022 de bonne tenue pour Tarkett

RÉSULTATS. Le spécialiste des revêtements de sols, Tarkett, affiche de bons résultats au premier semestre 2022, avec des chiffres d'affaires en hausse dans l'ensemble de ses régions géographiques.
Il y a 2 ans et 293 jours

L’EFB récompense les futurs experts des industries de la construction

L’EFB a récompensé Amr Aboulela pour ses travaux sur l’étude de la résistance des différents matériaux cimentaires bas carbone aux attaques biologiques dans les réseaux d’assainissement. [©EFB] L’Ecole française du béton (EFB) a pour mission de soutenir et valoriser toute démarche améliorant la connaissance et l’utilisation du béton. Et à l’occasion des 40e rencontres universitaires de génie civil 2022 à Villeneuve-d’Ascq (59), le Conseil scientifique de l’Ecole a décerné un prix “Recherche EFB à dimension RSE” à Amr Aboulela, docteur en génie civil diplômé de l’Insa de Toulouse. Cette distinction met en lumière les compétences de futurs experts face aux enjeux stratégiques de l’industrie de la construction. Ainsi, le lauréat a reçu ce prix pour ses travaux sur l’étude de la résistance des différents matériaux cimentaires bas carbone aux attaques biologiques dans les réseaux d’assainissement. EFB : Une thèse pour la RSE Dans le détail, la thèse d’Amr Aboulela s’intéresse au développement d’un indicateur de performance qui pourrait classer une large palette de matériaux cimentaires selon les résultats des tests effectués en laboratoire. Cette étude pourrait d’ailleurs servir de manière efficace aux acteurs du secteur dans leur démarche RSE. « Mon travail vient en complément des recherches déjà réalisées qui s’orientent sur la compréhension des mécanismes de détériorations des matériaux dans les réseaux d’assainissement. Lire aussi : EFB : le béton entre les mains des futurs experts de la construction Ceci, afin de trouver des solutions plus intéressantes, que ce soit sur le plan environnemental ou sur le plan économique », détaille Amr Aboulela. Et de conclure : « J’aimerais continuer la recherche dans le secteur des matériaux de construction et élargir mon domaine de compétence au contexte de l’économie circulaire. C’est dans cet objectif que je réalise un post-doctorat à l’université de Sheffield, en Angleterre ».
Il y a 2 ans et 293 jours

Alkern, une gamme de blocs prête pour la RE2020

La RE2020 est une réglementation environnementale pour le secteur de la Construction répondant aux enjeux du réchauffement climatique planétaire, par une stratégie de réduction des émissions de CO₂. De cette manière et afin d’atteindre une neutralité carbone d’ici 2050, elle vise à réduire l’impact carbone des bâtiments sur tous les nouveaux projets de construction.Dans cette optique, Alkern vous propose plusieurs solutions pouvant répondre à ces nouveaux enjeux, grâce à : Une haute performance thermique sur une gamme dédiée de blocs isolants. De faibles émissions de carbone lors de la fabrication de nos blocs béton.Un confort et une qualité de vie de nos blocs bétons, pour un patrimoine durable.Nous sommes présents à travers 54 sites de production répartis sur tout le territoire national et approvisionnés en matières premières 100% locales. Cela nous permet tout d’abord de limiter le transport de matériaux, qui sont donc fabriqués près de vos chantiers. Puis, les produits du groupe Alkern se classent au rang A+, ce qui signifie qu’ils bénéficient de très faibles émissions de polluants et cette caractéristique constitue la meilleure classe possible. On peut en outre citer le fait que le béton demeure imputrescible quelque-soit son environnement, et que sa composition fongistatique lui permet d’inhiber le développement et la reproduction de champignons. La qualité de l’air à l’intérieur de votre logement reste préservée !Alkern dispose ensuite d’une sélection de blocs détenant une résistance thermique (R) allant de 0,3 jusqu’à 2,14 m² K/W. Une gamme de 8 blocs avec pour chacun, leur spécificité et différentes performances pour répondre au mieux à tous types de besoin ! La résistance thermique de cette sélection de blocs présente un avantage majeur, puisqu’elle est certifiée et garantie par la marque NFth. Tous nos blocs RE2020 sont de composition 100% minérale et leur process de fabrication ne nécessitant pas de cuisson, limite alors l’impact carbone.En conclusion de leurs propriétés avantageuses, les blocs Alkern sont 100% recyclables en fin de vie. Par conséquent, ces derniers issus de la déconstruction peuvent être réutilisés dans la production de nouveaux blocs ou comme remblais en technique routière. Retrouvez l’ensemble de notre sélection RE2020 de blocs isolants à coller.Nous pouvons par exemple citer l’ELIBLOC, présentant une empreinte carbone de seulement 9,92 kg éq. CO₂/m² (total cycle de vie hors module D) et validée par une Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES). Cette dernière s’appliquant à tous nos blocs à coller et disponible/téléchargeable sur le site inies.fr.En d’autres termes, cette réglementation permet d’évaluer les performances des produits destinés au secteur de la Construction, Alkern a ainsi fait le choix d’y contraindre l’ensemble de sa gamme. Chacun de ces documents normalisés est contrôlé et vérifié par un organisme tiers et indépendant, lui-même reconnu par un programme de vérification conventionné par l’État.Enfin, cette étape primordiale permet aussi de comprendre malgré les idées reçues, que le bloc en béton préfabriqué est un produit très peu gourmand en matière, donc en émissions de CO₂. Ce dernier pourra bénéficier prochainement des engagements de baisse d’empreinte carbone du ciment, une de ses matières premières la plus carbonée. Le bloc béton, ce produit bas carbone a donc encore de beaux jours devant lui !Nous sommes également en capacité de vous proposer des solutions traitant la problématique des ponts thermiques grâce à notre gamme de planelles isolantes ISOPLANEL et notre gamme de coffres pour volets roulants.
Il y a 2 ans et 293 jours

Somfy et Daikin annoncent un partenariat pour développer l'expérience de la maison connectée

Il est désormais possible pour les possesseurs de l’application TaHoma de Somfy, de piloter leur solution de pompes à chaleur air/air ou air/eau Daikin. La maison connectée au service de la performance énergétique Dans un contexte où l’augmentation des vagues de chaleur nous rappelle l’urgence d’optimiser la performance énergétique, la gestion du chauffage et de la climatisation joue un rôle clé dans le confort thermique du logement.Avec leur partenariat, Somfy et Daikin permettent à un plus grand nombre d’utilisateurs de bénéficier de solutions connectées, pour plus de simplicité au quotidien, tout en améliorant la performance énergétique de leur logement.Pour Angélique Longeray, Directrice Générale Somfy France : « Somfy a fait de l’ouverture et de l’interopérabilité, un pilier de sa stratégie avec le lancement du programme « So Open » en 2018. Notre solution TaHoma est compatible avec près de 300 types de produits de la maison, et nous sommes fiers d’élargir aujourd’hui cet écosystème avec Daikin, une marque référente dans son domaine. Avec ce partenariat, nous souhaitons proposer aux utilisateurs une expérience simplifiée et unifiée du logement connecté, mais également leur permettre de gérer plus efficacement la performance énergétique. »Coupler le pilotage du chauffage et de la climatisation avec les volets roulants pour économiser de l’énergieIl est désormais possible pour les possesseurs de l’application TaHoma de Somfy, de piloter simplement leur chauffage ou leur climatisation, depuis chez eux ou à distance. S’ils s’aperçoivent, par exemple, d’avoir oublié de couper le chauffage avant de partir plusieurs jours, ils pourront le faire en toute simplicité depuis leur smartphone, où qu’ils se trouvent.Pour plus de performance énergétique, les utilisateurs peuvent également créer des scénarios couplant le pilotage du chauffage avec les volets roulants. Par exemple, l’hiver en journée, les volets roulants restent ouverts pour profiter de la chaleur gratuite du soleil et le chauffage est en mode éco. Le soir, les volets se ferment à la tombée de la nuit pour conserver la chaleur et le chauffage passe en mode confort. En été, en journée, les volets se ferment automatiquement pour bloquer les rayons du soleil, permettant de conserver la fraîcheur et de limiter le recours à la climatisation.Pour François Deroche, directeur marketing de Daikin France : « Ce partenariat engagé avec Somfy, acteur historique sur le marché des outils digitaux au service de la maison connectée, illustre bien notre volonté d’étendre les compatibilités de nos solutions avec des plateformes reconnues et efficientes afin d’offrir aux utilisateurs finaux un choix multiple de fonctionnalités en restant sur place, ou à distance, avec toujours pour leitmotiv de maximiser les économies d’énergie. »Compatibilité : l’application TaHoma de Somfy est compatible avec les pompes à chaleur réversibles Daikin air / air (unités des gammes Emura, Perfera, Stylish, Comfora, Sensira et Ururu Sarara), les pompes à chaleur Daikin Altherma air / eau et les ballons d’eau chaude Daikin Altherma.Liste complète des équipements compatibles disponible sur somfy.fr
Il y a 2 ans et 293 jours

Porté par sa nouvelle division toiture et isolation, Holcim relève ses objectifs pour 2022

Le cimentier suisse a réalisé un chiffre d'affaires de près de 14,7 milliards de francs au premier semestre, en hausse de 16,9% par rapport à 2021. Les ventes de la nouvelle division, qui représentent déjà 18% des ventes totales du groupe, pourraient représenter un chiffre d'affaire de 3,5 Mds CHF en 2022.