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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

(35118 résultats)
Il y a 2 ans et 302 jours

PRE BATIMAT // NOVAL présente ses nouvelles motorisations pour volets persiennes, baies XXL et baies minimalistes

A l’occasion du salon BATIMAT, le concepteur et fabricant de solutions de motorisation NOVAL présentera une nouvelle solution de motorisation pour volets persiennes – une première – et fait évoluer ses systèmes de motorisations pour baies coulissantes XXL et minimalistes. Désormais, l’industriel propose de gérer une charge d’entrainement jusqu’à 400 kg en applique et 1,2 […]
Il y a 2 ans et 302 jours

SAINT-GOBAIN GLASS lance la première gamme de verre BAS CARBONE

Saint-Gobain Glass franchit une étape essentielle pour la construction durable, en proposant une gamme de verre avec la plus faible empreinte carbone du marché. Cette première dans l’industrie a été obtenue grâce à une production associant un contenu élevé en verre recyclé (environ 70 % de calcin), l’utilisation d’énergie renouvelable, ainsi qu’un effort important en […]
Il y a 2 ans et 302 jours

Un conte fantastique : l'hôtel du domaine de Chaumont-sur-Loire par Patrick Bouchain et Construire

Le programme lecture de l'été sera dense pour les architectes, confirmés et apprentis. L'Académie d'architecture a dévoilé les nommés 2022 au prix du livre d'architecture et au prix du livre d'architecture pour la jeunesse. Au total, 11 ouvrages concourent au palmarès. De l'enquête documentaire, du […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 302 jours

Ce qu’il faut savoir avant d’acheter une charpente en bois en kit

Vous envisagez d’acheter une charpente en bois en kit ? Notez que ce choix peut vous offrir différents avantages. Il suffit de bien choisir le modèle dont vous avez besoin. Vous obtiendrez ainsi une construction solide répondant parfaitement à vos attentes. Vous pouvez aussi confier l’intervention à un spécialiste en charpente de maison. C’est quoi une charpente en bois en kit ? Généralement coupée par le constructeur, une charpente en bois en kit affiche de bonnes mesures pour couvrir votre habitation. Vous pouvez tomber sur un modèle doté de différents éléments réassemblés. De nombreuses essences de bois peuvent être proposées sur le marché. Vous pouvez par exemple opter pour l’épicéa ainsi que le pin sylvestre. N’oubliez pas de solliciter un couvreur charpente pour vous aider à réaliser les travaux dont vous avez besoin. Il faut noter que l’opération peut prendre moins de temps que prévu surtout si vous contactez un spécialiste. Les principaux points à retenir Votre charpente est normalement offerte avec un dossier de montage, mais aussi les accessoires qu’il faut. Vous n’aurez aucune rectification à réaliser pour assurer la réalisation de votre toiture. Cela est dû au fait que le fabricant réalise les découpages convenables en usine. Il faut noter que des techniciens qualifiés s’occupent de tout pour faciliter la pose de votre revêtement. Il suffit de ce fait de contacter un professionnel comme cet artisan couvreur charpentier en Bas de Rhin sur ce site : https://www.couvreur-charpentier-67.fr/  pour réaliser les travaux comme il se doit. Vous êtes libre de choisir le modèle dont vous avez besoin avec l’aide du spécialiste que vous choisirez. Un kit de charpente en bois pour couvrir votre garage N’oubliez pas qu’un kit de charpente en bois ne se pose pas uniquement sur le toit de votre maison. Vous avez aussi la possibilité de faire ce choix pour couvrir d’autre construction. Cela est par exemple le cas pour le toit de votre garage qui doit être assez solide et résistant. Ce type de réalisation se fait en principe avec 1 ou 2 pentes. Vous pouvez en choisir en plus pour ces dernières pour profiter d’une meilleure qualité pour la charpente. Les principaux points forts de ce type de kit Le choix d’un kit de charpente en bois offre des avantages considérables. Le matériau peut en premier lieu améliorer l’esthétisme de votre habitation. Vous pouvez par exemple ajouter une décoration avec des poutres apparentes. Il suffit d’avoir les bonnes connaissances pour réaliser les travaux comme il se doit. D’ailleurs, l’opération de pose de la réalisation ne prend pas beaucoup de temps. Il ne faut pas non plus négliger la durée de vie de votre construction qui peut aller jusqu’à 50 ans. Il suffit de trouver un modèle qualifié FCBA et proposé avec le marquage CE. Combien coûte un kit de charpente en bois ? Vous devez savoir qu’un kit de charpente en bois ne coûte pas une fortune. Il suffit de préparer le budget essentiel pour obtenir le modèle dont vous avez besoin. Une couverture avec une seule pente peut par contre coûter 135 €/m² contre 150 €/m² si vous en avez deux. Une commande pour kiosque peut toutefois atteindre 320 €/m². Cela implique que vous devez prendre le temps de bien choisir le style que vous voulez adopter pour votre habitation. Tout peut toutefois dépendre du produit que vous voulez adopter en prenant en compte l’essence utilisée ainsi que le style que vous voulez adopter. La dimension de votre charpente est aussi à prendre en compte pour la préparation de votre budget.
Il y a 2 ans et 304 jours

Aux Pays-Bas, à la recherche d'espace pour l'énergie solaire

Aux Pays-Bas, et en Europe en général, c'est le grand sujet pour l'industrie solaire, promise à un déploiement massif au vu des objectifs énergétiques et climatiques des Etats: où trouver l'espace pour s'implanter, et se faire accepter ?"On regarde partout", répond Maarten De Groot, du groupe GroenLeven, filiale de l'allemand BayWa, qui mise sur ces espaces où les installations peuvent faire "double usage".Ainsi Piet Albers accueille-t-il, en guise de serre, des toits en panneaux photovoltaïques, posés à trois mètres du sol au-dessus de ses précieuses framboises."Je voyais les étés s'allonger, et ces fruits de la forêt brûler sous les serres. Il fallait les protéger", raconte-t-il.L'agriculteur, qui produit, en monoculture, plus de 200 tonnes de framboises par an, n'engrange pas de loyer de la part de l'énergéticien, mais tire d'autres avantages depuis trois ans: des températures plus constantes, 25% d'arrosage en moins, une protection contre les grêlons, du plastique de serre économisé...Un large sourire fend son visage buriné, alors que 37°C s'annoncent cette semaine dans sa région : "Sous serre, j'aurais dû jeter 10 à 20% des fruits".BayWa en revanche a des surcoûts à assumer: panneaux non standard et moins productifs (semi-transparents pour filtrer la lumière), maintenance plus compliquée, énumère Maarten De Groot, pour qui "l'essor des projets à +double usage+ dépendra du soutien de l'Etat".Un projet "agrivoltaïque" peut induire une perte de 15-25% de revenu par rapport aux parcs solaires au sol. Ces derniers, moins chers et plus productifs, resteront de ce fait nécessaires, estime le secteur.A chaque projet, ses riverainsCependant toutes les solutions émergentes ne sont pas forcément très coûteuses, souligne BayWa. A 50 km de chez M. Albers, l'entreprise a installé un parc flottant sur un lac de carrière.Cette cavité de 30 m de fond, formée par des années d'extraction du sable et remise en eau, accueille désormais 17 hectares de panneaux solaires à perte de vue, sur la moitié de sa superficie."Les flotteurs sont une technologie éprouvée, pas du tout high tech", assemblés comme des pontons, montre Hugo Parant, chef de projets chez BayWa r.e. France. L'investissement est plus important qu'au sol, mais la construction rapide, la maintenance simple, et l'eau, en évitant toute surchauffe, accroît le rendement.Sur l'eau eux aussi, une douzaine de transformateurs envoient au poste à terre 20.000 volts par un énorme câble, à destination d'environ 10.000 foyers.Ici, l'énergéticien verse un loyer à la carrière, mais souvent il vend à l'industriel une électricité décarbonée et à prix stable.Ce parc d'Uivermeertjes est avec 29,8 mégawatts (MW) selon BayWa, le 2e plus grand parc flottant d'Europe. Le premier est aussi au Pays-Bas.L'idée ne fait pas que des heureux, comme William Peters, qui y pêche carpes et tanches. "Les poissons grossissent, mais est-ce que cela continuera ?", demande-t-il aux représentants de l'industriel, qui tentent de le rassurer : une étude sur un autre plan d'eau a montré un faible écart de températures."Nous sommes un petit pays. Dès que vous avez un projet, vous trouvez un riverain, il faut vraiment réfléchir au partage de l'espace", note Maarten De Groot.Dans le pays le plus densément peuplé d'Europe, le déploiement des énergies renouvelables a commencé avec l'éolien, dans le nord, moins habité. Il s'y trouve aujourd'hui limité par les capacités du réseau électrique, tandis que le sud est très urbanisé, et les toits déjà très équipés.Or le défi est là: les Pays-Bas, qui visent la neutralité carbone en 2050, tirent des renouvelables moins de 12% de leur consommation d'énergie finale.Mondialement, le constat est similaire: 2021 a vu un déploiement inédit des capacités solaires et éoliennes, mais il faudrait en installer chaque année quatre fois plus pour garder le réchauffement planétaire à 1,5°C, souligne l'Agence internationale de l'énergie.
Il y a 2 ans et 304 jours

Près de 1000 collèges et lycées engagés dans le challenge d'économies d'énergie CUBE.S !

Au total, 71 collectivités ou organismes de gestion d’établissements privés ont ainsi rejoint l’aventure et ont vu leurs consommations et leurs factures baisser, sans travaux !Mis en œuvre par l’IFPEB et le Cerema, sous le haut patronage des ministères de la Transition écologique et de l’Éducation nationale, CUBE.S met en lice les collèges et lycées participants sur les économies d’énergie réalisées dans leurs établissements. Au-delà des actions concrètes et des économies d’énergies mesurées, l’approche permet d'éduquer et sensibiliser les élèves et de les intégrer dans une démarche collective avec toutes les parties prenantes : collectivités, personnels techniques et équipes pédagogiques de l’établissement…Jusqu’à 30% d’économies d’énergie obtenues dès la première année sans travaux !Avec le challenge CUBE.S, financé par le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE), le Cerema et l’IFPEB proposent aux collectivités et établissements scolaires de bénéficier :d’un suivi des consommations énergétiques pendant 5 ans ;d’un accompagnement pendant 1 an avec une animation inter-établissements, des formations et un appui opérationnel (aide à l’organisation d’un évènement de sensibilisation, réalisation d’un diagnostic participatif, appui aux enseignants…) ;de nombreuses ressources : matériel de mesure, outils pédagogiques, plateforme numérique.L'agendaLancement du championnat de France des économies d’énergie, au stade Arena le 13 décembre 2022.Remise des prix de la saison 2021-2022 en avril 2023.Remise des prix de l’année 2022-2023 en décembre 2023 ou janvier 2024.Les nombreuses actions mises en place ont fait l’objet d’un cahier de retour d’expériences, intégré au kit établissement des nouveaux candidats, disponible également en ligne !L’aventure CUBE continue avec le challenge CubeEcoles pour les écoles primaires.Retrouvez les cartes des départements & organismes de gestion d'établissements privés et des régions engagés dans le challenge sur le site internet du Cerema et dans la pièce jointe.
Il y a 2 ans et 304 jours

Construction industrialisée : Willy Naessens réussit son intégration dans les Hauts-de-France

Installé à Bapaume (Pas-de-Calais) en 2017, le constructeur belge de bâtiments industriels multiplie les chantiers au nord de Paris. Et réfléchit sérieusement à l’ouverture d’une usine de fabrication en France.
Il y a 2 ans et 305 jours

« Viessmann prendra sa part de responsabilité dans la transition de l’Europe », Maximilian Viessmann

A l’occasion d’un déplacement le 13 juillet dans son usine de Faulquemont (Moselle), Maximilian Viessmann, PDG du groupe allemand éponyme, a expliqué vouloir développer des systèmes capables de renforcer l’autonomie énergétique en Europe. Le fabricant allemand d'équipements de chauffage et de réfrigération estime que les batteries fabriquées en Moselle pourraient générer à termes 100 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Il y a 2 ans et 305 jours

Paschal : Emballé, c’est coffré !

Les travaux de gros œuvre ont été achevés en cinq mois. [©Paschal] En Allemagne, près d’Europapark, se situe Ringsheim, une commune de 2 000 habitants. Là, un complexe hôtelier de style méditerranéen a été construit entièrement en béton. Les travaux de gros œuvre ont été achevés en cinq mois. L’ouverture de l’hôtel est prévue fin 2022. En forme de “L”, comptant cinq étages pour une hauteur totale de 16 m, il comprendra 110 chambres et un parking souterrain. Le bâtiment est entouré de bungalows à un ou deux étages, soit 40 logements supplémentaires. Malgré sa taille imposante, le complexe offrira aux visiteurs d’Europapark une nouvelle possibilité d’hébergement confortable de proximité. Pour la construction, l’entreprise Weisenburger Bau a fait confiance aux matériels de coffrage Paschal. Paschal assure le coffrage de l’hôtel La solution Logo.3 de l’industriel a pu démontrer tous ses avantages dans ce projet. Avec seulement 430 m2 de coffrages, les compagnons ont pu réaliser toutes les surfaces verticales. Y compris les trémies d’escalier et d’ascenseur, grâce aux panneaux d’une hauteur de 3,70 m. Mais pour les murs du rez-de-chaussée, des éléments de coffrage d’une hauteur de 1,35 m ont été utilisés, en complément, en tant que coffrage de rehausse. Pour la réalisation des dalles d’étages, environ 1 300 m2 du coffrages de dalles flexibles Paschal Deck avec des poutrelles primaires et secondaires ont été utilisés sur le chantier. Lire aussi : Rhône : Paschal, l’Ile O en symbiose avec le fleuve Par ailleurs, la voie d’accès arrondie du parking souterrain a été traitée avec 112 m2 de coffrages circulaires à poutres trapézoïdales d’une hauteur de 4,50 m. D’ailleurs, les banches de coffrage ont été pré-arrondies et livrées prêtes à l’emploi sur le chantier. Enfin, Paschal a veillé à ce que toutes les exigences soient satisfaites et que les délais soient respectés. Pour cela, le service technique d’application de Steinach, où est située l’usine, a élaboré un plan de coffrage sophistiqué pour les murs, les cages d’ascenseur, les dalles et la rampe. Permettant ainsi d’obtenir une structure uniforme en qualité apparente, avec une réalisation ordonnée des joints de bétonnage.
Il y a 2 ans et 305 jours

La Clôture Française réinvente la personnalisation des clôtures avec Virtuose

Pour offrir enfin plus de possibilités aux particuliers, La Clôture Française, fabricant de clôtures et portails en PVC, bouscule le marché avec le lancement de « Virtuose » de la gamme Signature : un modèle 100 % personnalisable qui permet à chacun de créer la clôture de ses rêves en choisissant et mixant les impressions dont il a envie : effet bois, bambou, corde, haie, cuir, ou toute autre impression… les possibilités sont multiples et sans fin pour personnaliser la face intérieure de sa clôture, tout en respectant les normes imposées éventuellement par votre commune pour l’extérieur. Ultra-résistante au soleil et au vent, Virtuose est la touche déco finale qui sublimera votre extérieur.La Clôture Française, un virtuose des brise-vues !La clôture d’un jardin permet non seulement de délimiter un territoire, mais également de se protéger des regards indiscrets. Une clôture bien entretenue et embellie selon nos goûts peut alors faire la différence et refléter notre personnalité.La Clôture Française s’intéresse à cette partie du jardin souvent délaissée, en créant un univers de couleurs et de textures où seule l’imagination peut imposer des limites.Parmi les impressions proposées on pourra opter au choix entre : textures du bois, aspect de la pierre, nuances de la rouille, relief d'une haie végétale… le client peut même imprimer ses propres photos ou un dessin de son choix. Avec une finition parfaitement réaliste et une texture aussi vraie que naturelle, les visuels s’adaptent à toute dimension choisie.Qu’en est-il avec les règles d’urbanisme ? Selon la commune, il y a parfois certains paramètres à respecter au niveau des couleurs ou matériaux utilisés pour la façade extérieure. Pas de panique ! La solution de La Clôture Française est très flexible. Il est possible de personnaliser uniquement la partie intérieure de la clôture, laissant la façade extérieure neutre, en respectant l’architecture imposée.Une installation simple et robusteLe choix du client ne se limite pas seulement aux impressions. Les poteaux de La Clôture Française supportant les panneaux sont proposés en PVC ou en aluminium. Quant aux chapeaux en aluminium qui couvrent les poteaux, ils sont disponibles en 5 coloris (blanc, gris souris, gris anthracite, noir, bleu). Le projet est entièrement personnalisé pour vivre une expérience unique de A à Z !Côté installation : Virtuose s'installe sur un muret ou sur des plots béton en pleine terre. Les panneaux imprimés s'emboîtent très facilement dans des poteaux en aluminium gris anthracite ou en PVC blanc, eux-mêmes fixés à l'aide de platine à boulonner ou de tubes à sceller en acier galvanisés. L'installation est simple et rapide. Tous les panneaux sont découpés sur-mesure et sont à agencer selon les envies du propriétaire.En respectant les règles fournies par la marque et en suivant les 6 pas indiqués sur la notice de montage, la clôture est posée en une matinée ! En utilisant les meilleurs matériaux et en réunissant les technologies les plus modernes d'impression numérique haute définition, chaque clôture est une œuvre d’art unique qui représente parfaitement le goût et style de son propriétaire.Les prix sont proposés sous devis, à partir de 123,44 € TTC le mètre.Plus d’informations sur le site : ICI
Il y a 2 ans et 305 jours

Menacée par la montée des eaux, New York se protège derrière un mur

L'ouragan Sandy en 2012 et les tempêtes Ida et Henri cet été ont provoqué la mort de dizaines d'habitants et des milliards de dollars de dégâts dans la plus grande ville des Etats-Unis. Avec sa géographie si particulière, la "grosse pomme" est extrêmement vulnérable aux intempéries et a fini par adopter ces dernières années un plan titanesque baptisé "résilience climatique" chiffré à 20 milliards de dollars.Il faut dire que des experts redoutent une montée des eaux de 20 à 75 cm à l'horizon 2050 qui menacerait New York de submersion, en particulier l'île de Manhattan, encadrée par l'océan Atlantique, l'East River et l'Hudson River.Au total, la mégapole de plus de 8,5 millions d'habitants compte 836 km de littoral.Chantier de 1,45 milliard de dollarsDans le sud-est de Manhattan, des travaux pour un budget de 1,45 milliard de dollars ont ainsi débuté pour ériger un mur et des digues contre les inondations.Sur le chantier, coincé entre l'East River et la voie rapide qui la longe, Tom Foley, directeur du département de la conception et de la construction de la ville de New York, explique à l'AFP avoir également projeté de "surélever le parc dans cette zone" au bord de l'eau, où vivent quelque 110.000 New-Yorkais.Sur quatre kilomètres, l'espace vert va être complètement surélevé de trois mètres et l'érection d'un mur anti-inondations doit permettre d'éviter les dégâts catastrophiques provoqués par les derniers ouragans et tempêtes qui se forment au-dessus de l'Atlantique.Ahmed Ibrahim, superviseur des travaux, montre sur place l'installation de "pylônes qui servent de fondations profondes" et des "parois de métal qui formeront un mur de séparation souterrain pour nous protéger des inondations".L'électrochoc SandyLa prise de conscience des autorités new-yorkaises date d'octobre 2012 après l'électrochoc de l'ouragan Sandy qui avait provoqué la mort d'au moins 44 personnes, des dégâts de 19 milliards de dollars et l'absence d'électricité pendant des semaines, rappelle Sara Nielsen, directrice de la planification des parcs de New York.Dans ce quartier hyper dense du sud-est de Manhattan, l'eau était montée à un niveau record de 2,7 mètres au-dessus du niveau de la mer.Pour Sara Nielsen, après l'ouragan Katrina qui avait frappé la Nouvelle-Orléans en 2005, "Sandy a été la première catastrophe qui a accéléré notre approche du changement climatique". L'experte se félicite qu'aujourd'hui la ville, aux infrastructures parfois délabrées, se dote de "projets très importants pour protéger les New-Yorkais".La ville "investit plus de 20 milliards de dollars (dans un plan pluriannuel de) +résilience climatique+ avec une stratégie à plusieurs niveaux pour la protection de notre littoral", explique à l'AFP Jainey Bavishi, directrice du bureau du maire de New York pour la "résilience climatique".Poumon vertPas vraiment une ville arborée - à l'exception du poumon vert géant de Central Park - Manhattan va également replanter des milliers d'arbres de différentes espèces autour du chantier et améliorer les réseaux souterrains d'égouts, d'évacuation des eaux usées et d'électricité.Les urbanistes cherchent aussi à améliorer l'habitat, l'un des talons d'Achille de New York, notamment en raison du nombre de logements en sous-sol exposés aux inondations et de la piètre qualité des constructions et des isolations thermique et phonique des logements."Il y a un million de bâtiments à New York. Nous les modernisons partout où c'est possible", assure Jainey Bavishi, vantant "l'un des codes de construction les plus résilients au monde".Reste que le projet de mur anti-inondations ne plaît pas à tout le monde. Des associations de riverains le contestent devant la justice et le chantier ne devrait pas être achevé avant 2026.Terry, résident du quartier qui refuse de donner son patronyme, reconnaît que c'est "une bonne idée" mais regrette que "les choses avancent lentement".Pour Jainey Bavishi, New York et son programme de "résilience climatique" peut s'inscrire dans le volet environnemental du plan de 1.200 milliards du président Joe Biden, voté au Congrès, pour investir massivement dans les infrastructures aux Etats-Unis.
Il y a 2 ans et 306 jours

Réhabilitation du quartier Baltiss à Voiron (38)

La loi énergie-climat, qui fixe l'objectif de neutralité carbone des bâtiments d'ici 2050, accélère la rénovation des logements énergivores en France. De nombreuses communes, comme Voiron dans l'Isère, engagent des travaux de réhabilitation de certains quartiers vieillissants en modifiant l'enveloppe thermique des bâtiments. Pour la rénovation des 5 bâtiments du quartier Baltiss à Voiron, le bailleur social Pluralis Habitat a mené des travaux d'envergure dans l'objectif de donner un meilleur cadre de vie aux habitants, tout en apportant des solutions durables répondant aux enjeux environnementaux. Parce que les solutions constructives Ytong offrent de véritables atouts dans les projets de réhabilitation de l'enveloppe des bâtiments, le béton cellulaire a été choisi pour reconstituer les allèges et les trumeaux sous ITE des 140 logements sociaux du quartier Baltiss.
Il y a 2 ans et 306 jours

L'entretien des vêtements haute visibilité : une affaire de professionnels

L'entretien et la maintenance des vêtements haute visibilité sont bien plus complexes qu'il n'y paraît. Il n'est évidemment pas question de laver ces vêtements à la maison. Seul un prestataire de services textiles professionnel peut garantir le respect total des règles de protection et d'hygiène. MEWA propose des vêtements professionnels incluant l'entretien, la maintenance, le stockage et la logistique grâce à son large système de prestations de services. Le groupe, à travers ses 45 sites européens, est le leader du secteur dans ce domaine.
Il y a 2 ans et 306 jours

Materrup et Duhalde BTP s’associent pour l’utilisation de ciment bas carbone

Jean Duhalde, président de Duhalde BTP et Mathieu Neuville, président de Materrup signent le partenariat pour l’utilisation de ciment bas carbone. [©Materrup] Materrup a mis au point le ciment local Materrup Clay Cement (MCC1) bas carbone à base d’argile crue. Ce matériau réduit de moitié les émissions de CO2 (350 kgeqCO2/t). Sans compromettre la performance ou la qualité du béton. Il constitue une réponse aux enjeux de la filière en quête de matériaux moins énergivores et moins nocifs au niveau mondial. Quant à Duhalde BTP, il est spécialisé dans des solutions optimisées pour des projets de construction. L’entreprise souhaite s’inscrire dans une dynamique visant à réduire son impact carbone. Et à faire évoluer le secteur vers des modes constructifs plus respectueux de l’environnement. L’argile comme atout pour le ciment « L’expertise du béton et de la construction de Duhalde BTP, associée à notre technologie MCC1, permet ainsi de décarboner dès aujourd’hui l’industrie de la construction, en s’appuyant sur un matériau local et abondant, à savoir l’argile », déclare Mathieu Neuville, président de Materrup. En effet, cette matière première est l’atout du ciment. Elle est facilement disponible et accessible sur l’ensemble de la planète. Ainsi, le MCC1 est déployé dans la première cimenterie de Materrup, située dans le Sud des Landes. Lire aussi : Les bétons se mettent au vert Et sera aussi utilisé dans les unités de production de béton Duhalde BTP pour proposer une gamme de produits locaux et vertueux. Au niveau de la mise en œuvre, le MCC1 requiert les mêmes conditions que le ciment traditionnel. Inutile de changer d’outils ou de matériels. Dès septembre 2022, de nombreux éléments préfabriqués pour des projets d’aménagement extérieurs seront disponibles (bancs, dalles gazon, jardinières…). D’autres applications de BPE seront aussi proposées comme des bétons pour pistes cyclables ou des bétons décoratifs.
Il y a 2 ans et 306 jours

La Banque de France confirme sa prévision de croissance à 0,25% au deuxième trimestre

"Dans un environnement difficile marqué par la guerre en Ukraine et les fortes tensions sur les marchés des matières premières, l'activité continue de résister même si les chefs d'entreprise font état de perspectives en demi-teinte", indique la banque centrale française dans son enquête mensuelle de conjoncture.Après le recul de 0,2% du PIB au premier trimestre, l'activité économique est repartie à la hausse en avril, a un peu accéléré en mai, et s'est stabilisée en juin, détaille la Banque de France, qui ajoute que cette stabilisation se confirmerait en juillet, selon les premiers retours des 8.500 entreprises interrogées dans son enquête.Ce sont surtout les services qui soutiennent l'activité, en particulier certains services aux entreprises (information publicité, études de marché), même si d'autres comme les services de transport et d'entreposage sont en repli, toujours pénalisés par les difficultés de recrutement et les hausses de prix.Mais globalement dans les services, "les incertitudes repartent à la hausse", souligne encore la Banque de France, du fait du regain de l'épidémie de Covid-19 en ce début d'été, des difficultés de recrutement et des inquiétudes sur l'évolution de la demande dans le contexte d'inflation.Sur les recrutements, les problèmes que rencontrent les entreprises pour embaucher se sont encore accrus de 3 points en juin et concernent désormais 58% des entreprises "le plus haut niveau atteint" depuis le printemps 2021, date à laquelle la Banque de France a commencé à interroger les entreprises sur ce sujet. Il y a un an 37% des entreprises affirmaient avoir des difficultés de recrutement.Les secteurs les plus concernés sont les activités de programmation, l'intérim, les services techniques, l'aéronautique et le second oeuvre dans le bâtiment.A l'inverse, sur le front des prix, moins de chefs d'entreprises indiquent avoir augmenté leurs prix de vente en juin, et ceci pour le deuxième mois consécutif, signe d'un "ralentissement" de la hausse des prix des matières premières et de moindres difficultés d'approvisionnement.Cette tendance "masque des différences entre secteurs", nuance toutefois la Banque de France, avec une situation qui s'aggrave encore dans la chimie, le caoutchouc-plastique ou encore l'industrie du bois et papier. La Banque de France s'attend à une croissance de 2,3% sur l'ensemble de l'année 2022, comme l'Insee, tandis que le gouvernement table sur 2,5%.
Il y a 2 ans et 307 jours

EHRET fournit les protections solaires du nouveau quartier urbain Turley à Mannheim.

Des volets coulissants pliables en aluminium pour de remarquables constructions monolithiques en briques. Le projet de construction planifié par l’architecte Max Dudler à la demande du maître d’ouvrage Sebastian Wipfler sur l’ancien site de la caserne Turley Barracks à Mannheim est maintenant terminé. Deux immeubles d’habitation, une crèche et un bâtiment déjà existants, reliés par des allées, s’articulent autour d’une place centrale pour donner à cette nouvelle zone le caractère d’une ville fonctionnant en autarcie. Pour ce nouveau quartier, dont l’aspect est largement influencé par une caserne de l’époque impériale classée monument historique, l’architecte Max Dudler, plusieurs fois récompensé, convainc également par un langage architectural sobre et inspiré par les lieux. Le jeu des trois nouveaux bâtiments monolithiques ainsi que le choix délibéré des matériaux et des couleurs ont donné naissance à un ensemble fascinant d’architecture ancienne et nouvelle. Crédits EHRET Le crépi extérieur grossier, qui s’inspire du grès avec une précision chromatique, et le socle fin en grès dur rouge taillé et originaire de la vallée du Neckar, témoignent de détails parfaitement coordonnés en amont. Le choix de quelques matériaux simples, comme les briques crépies, le béton armé porteur, le bois et l’acier, renforce également l’architecture monolithique qui, en renonçant aux matériaux isolants, s’inscrit pleinement dans le cadre d’un mode de construction à la fois prometteur et traditionnel, et qui s’avère aussi judicieux sur le plan énergétique. Crédits EHRET Un design de façade charismatique souligné par les éléments en acier Les dormants circonférentiels et les volets coulissants pliables EHRET en aluminium, des ouvertures de fenêtres placées librement dans les façades, se détachent par contraste des murs massifs en briques de Poroton. Ils confèrent à la façade, en tant qu’élément de conception dominant, un caractère personnel indéniable. Le projet d’intégrer des huisseries circonférentielles sur 4 côtés avec des éléments coulissants et pliables modernes en aluminium représentait un grand défi. Le maître d’ouvrage a pu se convaincre de la longue expérience et de la compétence de la société EHRET par sa participation déterminante et son soutien dans la phase de planification. Les protections solaires EHRET pour vivre confortablement Les volets en aluminium EHRET, solution moderne de protection contre le vent, les intempéries et le soleil, ont été conçu dans un ton cuivre – couleur spéciale IGP- classic 591T – pour s’harmoniser parfaitement aux coloris des bâtiments. Ils s’ouvrent et se ferment aisément, comme un accordéon, avec un faible rayon d’ouverture et permettent un pliage extrêmement peu encombrant dans l’embrasure. Crédits EHRET ton cuivre – couleur spéciale IGP- classic 591T – pour s’harmoniser parfaitement aux coloris des bâtiments. Crédits EHRET ouverture et fermeture aisée, à la manière d’un accordéon, avec un faible rayon d’ouverture, permettant un pliage extrêmement peu encombrant dans l’embrasure. Au total, 502 volets coulissants et pliables EHRET ont été installés, avec un mélange réussi entre le modèle MATRICO-SL12, qui offre une transparence agréable en forme de filet, et le modèle PLANO-SL12, en tôle pleine et lisse, qui assure un obscurcissement complet, spécialement pour les chambres à coucher. Crédits EHRET Crédits EHRET Crédits EHRET. Au-delà des exigences esthétiques pointue, ces volets ont été choisis notamment pour les fines mailles des grilles de 62 x 25 x 9,0 x 2,0 mm du panneau « Matrico »qui assurent non seulement un climat intérieur optimal, mais créent en outre des conditions d’éclairage d’ambiance qui soulignent avec raffinement l’atmosphère des pièces intérieures. Les parquets en chevrons, les fenêtres en bois, les murs en briques lisses et les plafonds en béton armé toujours visibles créent des espaces de bien-être à l’architecture parfaite. Crédits EHRET Crédits EHRET EHRET signe une réalisation répondant en tout point au cahier des charges de l’architecte Suisse de renommée internationale, Max Dudler. Un projet à nouveau exemplaire qui marie à merveille esthétique, qualité, fonctionnalité et confort. N°1 des volets aluminium en Europe, la marque condense design et compétence pour concevoir un style de vie mouvant entre tradition et modernité. Depuis plus de 50 ans, la marque EHRET est synonyme de qualité supérieure et d’idées innovantes qui inspirent et émeuvent.    
Il y a 2 ans et 307 jours

La production de tuiles est à son plus haut niveau depuis 2014

La production de tuiles et accessoires est en hausse de 15,9% en 2021 par rapport à 2020 et de 5,9% sur les 6 premiers mois de 2022 par rapport à la même période en 2021.Depuis 2020, la profession se mobilise pour répondre à une demande hors norme et servir ses clients dans des conditions d’activités difficiles (crise sanitaire et crise de l’énergie).Les lignes de production tournent à plein régime malgré l’augmentation massive et inédite des prix de l’énergie.Les niveaux de stock sont historiquement bas, les fabricants constatent une forte baisse du taux de retour des palettes consignées.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « Les équipes des fabricants sont conscientes des difficultés rencontrées par les sinistrés et elles sont mobilisées pour tout mettre en œuvre pour produire et servir les clients dans des conditions très tendues pour tous et avec un niveau de demande déjà très élevé. Les lignes tournent à plein régime, souvent organisées en 5x8 pour produire 24h sur 24 et sur 7 jours sur 7. La profession vend au négoce tout ce qu’elle produit, les stocks sont historiquement bas. Les tensions durent depuis plusieurs mois et les récents et tragiques épisodes de grêle n’arrangent rien. Sur le terrain et au travers de leurs organisations professionnelles, les fabricants, les négoces, les couvreurs travaillent pour prioriser les sinistrés. »+15,9% pour la production de tuile et +15 % pour les livraisons en 2021La production de tuiles et accessoires en tonnes est en hausse de 15,9% et les livraisons en hausse de 15 % (+15,1 % en France et 13,9 % à l’export). Ce sont plus de 42 millions de m2 de tuiles qui ont été produits et livrés au total et 5,5 millions de m2 supplémentaires en 2021 par rapport à 2020.Le stock en tonnes au 31 décembre 2021 était de 41,6% inférieur au stock avant COVID au 31 décembre 2019 et de 27,7% par rapport à celui de décembre 2020.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « Dès mars 2020, la profession s’est mobilisée pour servir ses clients et accompagner la reprise des chantiers. La branche a été parmi les 4 premières à obtenir la validation par le ministère du travail et le ministère de la santé de son protocole de travail pendant le COVID. Fin mai 2020, le taux de production et de livraison des tuiles et briques était à 95% de son niveau par rapport à la même période de 2019*. Fin 2020, la production n’a baissé que de 7% par rapport à 2019, mais, la demande était telle, que les stocks de tuiles et accessoires avaient déjà diminué de 20%. »Une demande toujours forte sur les 6 premiers mois 2022 accentuée par les épisodes de grêleLa production de tuiles et accessoires est en hausse de 5,9% et les livraisons sont en hausse de 1,7% en France pour les 6 premiers mois 2022 par rapport à la même période de 2021.Le stock de tuiles et d’accessoires à fin juin 2022 est diminué de 45% par rapport à celui de fin juin 2019 (avant COVID) et de 16,5% par rapport à fin juin 2021.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « On nous demande pourquoi ne pas ajouter des lignes de production. Malheureusement, il est compliqué et long de modifier une ligne production. Selon les produits, les sites, les modèles, les argiles ne sont pas les mêmes, les équipements ne sont pas les mêmes, les mises au point et les réglages sont longs. Ce n’est pas possible rapidement surtout dans un contexte de forte demande et créer une ligne requiert plusieurs années. »Energies, recrutement, palettes, transport : des conditions d’activités en tensionAlors que la filière des tuiles et briques n’est pas concernée par des difficultés d’approvisionnement pour sa matière première, l’argile, car les fabricants travaillent avec des argiles extraites dans leurs carrières à proximité des usines, les tensions sont principalement liées aux postes énergie, transport, logistique et main d’œuvre. Dès l’été 2021, la profession comme d’autres industries est ainsi fortement touchée par les hausses massives, brutales et inédites du coût de l’énergie, particulièrement du gaz naturel.Le mégawattheure (MWh) de gaz coûtait au quatrième trimestre 2021 en moyenne 91€ contre 19€ au premier trimestre1. Pour l’électricité, les tarifs sont passés de 50 à 156€/MWh2. Pour fabriquer une tonne de tuiles le poste énergie coûte en moyenne cinq fois plus au quatrième trimestre 2021 qu'au premier trimestre 2021. Pour le premier semestre 2022, la moyenne du cours s’établit à environ 100€.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « L’augmentation des prix de l’énergie et en particulier du gaz pourrait aussi avoir amené certains acteurs à stocker plus qu’avant à titre préventif. La pénurie de chauffeurs routiers, les tensions en délais et en prix sur les palettes affectent aussi nos capacités à livrer nos clients dans les délais et conditions auxquels ils étaient habitués et comme beaucoup de secteurs nous avons aussi des postes à pourvoir dans les usines pour lesquels nous peinons à recruter. Nous alertons aussi les pouvoirs publics sur les conséquences désastreuses pour la filière et nos concitoyens, si nous devions arrêter des lignes de production du fait de réductions d’approvisionnement en gaz liés aux plans de délestage en cours d’élaboration pour faire face dans les mois à venir à une interruption totale ou partielle des importations de gaz russe. »
Il y a 2 ans et 307 jours

Parfaite intégration d’une maison bois de ville à une ancienne grange en briques à Londres

Cette maison à deux étages a été construite sur l’empreinte d’un bâtiment industriel en briques à Londres par l’architecte Russel Jones. [De l’architecte] Situé sur Windsor Road, à Tottenham, Londres, ce bâtiment de deux étages, appelé black House, rejoint un quartier diversifié de maisons mitoyennes victoriennes et édouardiennes. Faisant partie des locaux d’un vendeur de […]
Il y a 2 ans et 307 jours

MaPrimeRénov' : "Il faut faire plus d'un million de rénovations", B.Bazin (Saint-Gobain)

OBJECTIFS. L'État doit changer de braquet sur la rénovation énergétique, estime Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. Pour lui, ce sujet constitue en effet le "meilleur investissement" possible actuellement.
Il y a 2 ans et 307 jours

Comment affuter la chaine de votre tronçonneuse ?

Une tronçonneuse doit être robuste, mais aussi parfaitement coupante. Il faut pour cela l’affuter de manière régulière surtout si vous souhaitez vous en servir pour élaguer un arbre. Quelques astuces peuvent être prises en compte pour réaliser l’entretien de votre équipement. Vous pourrez alors vous en servir correctement et obtenir le résultat que vous attendez. Prenez note de la fréquence d’affutage de la lame Il est important de respecter la fréquence conseillée par votre fournisseur concernant l’entretien la lame de votre tronçonneuse. Vous éviterez ainsi le moindre souci pendant les prochaines utilisations tout en prolongeant la durée de vie de l’accessoire. Ainsi, il vous est recommandé de l’entretenir chaque fois qu’elle s’émousse. Vous pouvez toujours contacter un élagueur professionnel si vous avez du mal à affuter l’appareil. Il peut déterminer facilement son état et vous proposer la meilleure option pour l’entretenir. Vous pouvez affuter votre tronçonneuse à l’aide d’une lime manuelle Il suffit souvent de trouver une bonne lime pour affuter la chaîne d’une tronçonneuse. Cela ne demande pas beaucoup de conditions et ne prend pas non plus trop de temps. En effet, vous allez pouvoir entretenir rapidement votre outil de coupe avant de commencer un élagage. Il faut faire attention à porter les bons équipements pour vous protéger. N’oubliez pas non plus de serrer le frein avant même de déterminer le diamètre de l’outil d’affutage. Ceci peut dépendre du pas de votre lame. Il faudra aussi stabiliser l’appareil avant de commencer par la première gouge. Une lime rotative est aussi intéressante Vous pouvez vous servir d’une lime rotative si vous ne voulez pas travailler manuellement. Il suffit de trouver le bon kit pour travailler rapidement. Vous aurez aussi besoin d’une meule cylindrique ainsi que d’un guide d’alignement pour travailler correctement. L’opération se fera toute seule une fois que vous poserez la lame sur l’équipement d’affutage. Vous n’aurez alors aucun effort à faire tout au long de l’intervention. Il ne faut pas hésiter à contacter un expert comme ce spécialiste en élagage d’arbre dans le Doubs sur ce site : https://www.elagage-arbre-25.fr/ si vous avez du mal à vous en sortir. Vous avez la possibilité d’utiliser une affuteuse électrique Vous obtiendrez certainement un résultat plus régulier en misant sur ce type de produit. D’ailleurs, la prise en main ne devrait pas vous poser le moindre souci. Pour commencer, vous n’aurez qu’à fixer l’outil d’affutage sur un établi pour le stabiliser. Vous pouvez ensuite poser la chaine à travers l’étau de l’affuteur sans oublier de bien ajuster l’angle. Il ne vous reste plus qu’à commencer le processus en appuyant sur la gâchette. Cela ne devrait pas prendre beaucoup de temps une fois que la meuleuse sera en contact avec la dent de votre chaine. À quel moment faut-il remplacer la lame de l’appareil ? Vous devez comprendre qu’une chaine de tronçonneuse ne peut pas durer éternellement. Cela est valable, peu importe les entretiens que vous ferez sur cet accessoire. Pensez de ce fait à un remplacement quand vous verrez que la partie la plus longue de la dent de coupe ne dépasse plus les 4 mm. Il est tout à fait possible de contacter un élagueur professionnel si vous avez besoin d’aide pour le choix du prochain modèle. Vous éviterez de ce fait de vous procurer une nouvelle chaine de mauvaise qualité et incapable de répondre à vos besoins.
Il y a 2 ans et 307 jours

Lancement du manifeste Unisson(s) : vers une architecture bas carbone et du vivant

Avec son manifeste, le mouvement UNISSON(S), porté par A4MT et l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), souhaite réunir les acteurs de la construction, de l’aménagement, du paysage et de l’industrie afin d’encourager l’émergence d’une nouvelle architecture, socle de l’évolution des nouveaux enjeux.Alors que la France met en place une Réglementation Environnementale de la construction en 2022, relevant le défi environnemental qu’est le réchauffement climatique en contraignant le contenu carbone des ouvrages, le mouvement UNISSON(S) s’engage à fédérer, encourager et promouvoir les acteurs de la filière prenant part à l’élaboration d’une nouvelle écriture architecturale. Pour y parvenir, UNISSON(S) souhaite recenser et donner à voir les expériences concrètes de ces parties-prenantes, en décryptant avec eux leurs réussites et leurs écueils comme le précisent les initiateurs du mouvement.Le but : « susciter le débat entre les spécialistes et créer le dialogue avec la société à travers une itinérance dans les différentes régions de France permettant ainsi le développement d’un regard critique et avisé des concitoyens non experts », explique Laurent Morel, Président de l’IFPEB, associé de A4MT et Carbone 4, et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S).« Créer une nouvelle culture ensemble qui permette de préserver les ressources autant que faire se peut. Que toutes les parties prenantes, les architectes, les ingénieurs, soient autour de la table pour réaliser la ou les transitions en s’amusant parce qu’il y a matière à s’enchanter, en prenant même de l’avance sur les prescriptions », déclare Laëtitia George, Présidente de Contrast-e et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S), à propos du mouvement.Cette dynamique, se voulant représentante d’une « école française » au sein du Nouveau Bauhaus Européen initié en 2020 par la Commission européenne, va permettre aux architectes de montrer un nouvel imaginaire des possibles de la ville et du paysage de demain à travers une architecture bas carbone et du vivant.Pour Anne Rouzée, architecte, associée d'ATELIERS 2/3/4 et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « Construire autrement signifie concevoir autrement avec la recherche d’une nouvelle esthétique. Comme pour le textile ou le mobilier qui connaissent le boom de la seconde main, le secteur de la ville et du bâti doit vivre encore plus vite la transition. »Pour Guillaume Mangeot, architecte, directeur de l’Agence PCA et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « L’architecture est le reflet d’une culture qui est elle-même le reflet de la société. Nous devons reconstruire un nouveau récit lequel se dans projeter et vivre ensemble. C’est cela qui me motive dans l’initiative d’UNISSON(S). »Le mouvement UNISSON(S) réunit ainsi des acteurs reconnus du secteur. Premiers grands parrains et signataires du Manifeste, BNP Paribas Real Estate, Bouygues Immobilier, Bureau Veritas France, Celsius Energy, Cabinet Malaquin, Espaces Ferroviaires, Nexity, Société de la Tour Eiffel et Sogelym Dixence, partenaires et sponsors s’engagent aux côtés d’architectes, paysagistes, maîtres d’ouvrages, concepteurs, élus, écoles et tous métiers de l’aménagement et de la ville.Accompagné de ses parrains et partenaires, l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), Action for Market Transformation (A4MT), Contrast-e, Construction21 et le Nouveau Bauhaus Européen, le mouvement UNISSON(S) invite tous les acteurs de la filière à signer son Manifeste en faveur d'une architecture bas carbone et du vivant pour dessiner, ensemble, la ville de demain.Pour Dominique Boré, Présidente d’honneur de la Maison de l’Architecture Ile-de-France et Commissaire générale d’UNISSON(S) : « Il faut que l’architecte soit le garant, le primus inter pares de la transition écologique du bâtiment. La nouvelle réglementation environnementale (RE2020) va conduire à se réunir avec toutes les parties prenantes et travailler autrement, dès l’amont des projets. »Pour son lancement officiel, le mouvement UNISSON(S) sera présent au Salon de l’Immobilier Bas Carbone (SIBCA) le 23 septembre prochain au Grand Palais Ephémère.Découvrir le Manifeste.Signer le Manifeste.Site Internet.Comité scientifique et technique d’Unisson(s) Dominique BORE l Cédric BOREL l Maud CAUBET l Claire CHABROL l Pierre DARMET l Laëtitia GEORGE | Annabelle LEDOUX l Guillaume MANGEOT l Laurent MOREL l Véronique PAPPE l Thierry PAQUOT l Christophe RODRIGUEZ l Anne ROUZEE
Il y a 2 ans et 307 jours

Eiffage boucle le rachat de deux sociétés aux Pays-Bas

ACQUISITION. Le groupe Eiffage, via la filiale hollandaise de sa branche Energie systèmes, a souhaité compléter son maillage territorial aux Pays-Bas et se renforcer dans le secteur de l'industrie en procédant par croissance externe.
Il y a 2 ans et 307 jours

Hoffmann Green Cement acquiert ABC Broyage

Hoffmann Green Cement réalise sa première opération de croissance externe, en rachetant ABC Broyage. [©ACPresse] Hoffmann Green Cement réalise sa première opération de croissance externe, en rachetant ABC Broyage, spécialiste du broyage, détenant lui-même la société AB Cesar. Ceci, pour internaliser le traitement de ses matières premières. Grâce à cette acquisition, Hoffmann intègre une activité industrielle qui lui permettra de broyer des laitiers de hauts fourneaux, l’une des éléments utilisés dans ses ciments H-UKR et H-Iona. Un gain de dépendance Ce rachat constitue une opportunité stratégique pour l’industriel, puisqu’en internalisant ce traitement, il va gagner en indépendance. Mais aussi élargir sa capacité de sourcing et sécuriser ses marges dans un contexte inflationniste. Le site de production d’ABC Broyage, implanté au Nord de la Dordogne, s’intègre ainsi dans le schéma logistique local d’Hoffmann. En effet, il est localisé à proximité, à la fois du port de La Rochelle. Où seront réceptionnés les laitiers de hauts fourneaux bruts. Ainsi que des sites de production H1 et H2 de Hoffmann de Bournezeau, en Vendée. Où les ciments de la marque sont produits.
Il y a 2 ans et 308 jours

BWT France lance son réducteur de pression d’eau BWT D1

Conçu et fabriqué avec le savoir-faire et l’expertise de BWT France, ce réducteur de pression diminue les consommations d’eau, apporte une protection aux équipements et une barrière contre les impuretés. Une autre façon de préserver durablement nos ressources.Pourquoi réduire la pression d’eau ?Une pression excessive de l’eau de ville a des effets dommageables souvent méconnus.D’abord une surconsommation d’eau inutile, puisqu’on estime que 1 bar de pression en trop génère 20% de consommation d’eau supplémentaire. Pour une famille type de 4 personnes cela représente environ 120 € annuels*.Trop de pression nuit également à tout le circuit résidentiel de distribution d’eau sanitaire -canalisations, chaudière, installations sanitaires, robinetterie et appareils électroménager consommant de l’eau- et peut entrainer une usure prématurée de ces équipements.Enfin, une pression excessive peut générer des « coups de bélier » sonores et très néfastes pour la plomberie (fuites, déformation de conduits, cassures, usure des joints…).La solution pour parer à tous ces problèmes : l’installation d’un réducteur de pression pour diminuer la pression d’eau à la valeur souhaitée et à la juste valeur nécessaire.*Pour une consommation moyenne de 150 m3/an au prix moyen de 4 € le m3Le réducteur de pression BWT D1 : une nouvelle barrière protectriceConcepteur, fabricant et intégrateur de solutions de traitement d’eau, BWT France est leader dans son domaine et maîtrise toute la chaîne du traitement de l’eau de la maison. En ajoutant un réducteur de pression à sa gamme, BWT propose une nouvelle solution simple et efficace pour une eau de qualité et le confort des utilisateurs.Conçu comme une station de protection, ce réducteur en bronze assure comme fonction principale de réguler la pression entrante (jusqu’à 16 bars) à la valeur souhaitée (conseillée et pré-réglée d’usine à 3 bars). L’utilisation d’un effet Venturi breveté optimise le contrôle de pression et limite les pertes de charge sur l’installation. La graduation visible des deux côtés de la molette facilite le réglage et le contrôle de la valeur de pression sortante.Pour améliorer encore la qualité de l’eau, le BWT D1 est également équipé d’un tamis filtrant 160µm en inox qui retient les impuretés les plus grossières de l’eau (sables, particules, résidus de tartre ou de corrosion…) et protège l’installation. Son bol en plastique transparent permet un contrôle facile de l’état du filtre. En cas d’encrassement il se démonte sans outil.Le + produit : en enregistrant son réducteur de pression BWT D1 sur l’appli mobile BEST WATER HOME du fabricant, l’utilisateur reçoit des notifications pour le remplacement et le nettoyage du tamis filtrant en inox et peut suivre ses économies d’eau en temps réel.Pour en savoir plus sur le réducteur de pression BWT D1 : cliquez iciLe bon moment, les bons arguments pour faire le bon choixDans le cas d’une installation existante, le réducteur de pression est recommandé lors d’un remplacement de chaufferie ou de ballon d’eau chaude sanitaire (ECS). Et généralement, il vient compléter le système de filtration à l’arrivée d’eau générale.Pour une nouvelle installation, il est idéal de s’équiper de la station de protection E1 : une station complète et prête-à-installer qui combine 5 fonctions : filtration à 90µm, réducteur de pression, manomètre de contrôle, clapet anti-retour et vanne de coupure d’eau. La station E1 offre une protection maximale du réseau d’eau contre impuretés et excès de pression, pour un encombrement minimal.En maison individuelle, collective ou appartement, ces deux solutions BWT réduisent considérablement les risques de grippage des équipements et prolongent leur durée de vie. Elles réduisent la consommation d’eau. Enfin, elles offrent aux utilisateurs le confort d’une eau sans Impuretés et composants indésirables.Pour en savoir plus sur la station de filtration BWT E1 : cliquez ici
Il y a 2 ans et 308 jours

Transformation du site industriel de Saint-Thégonnec (29) et développement de nouvelles solutions PAC, climatisation et hydrogène : Bosch Thermotechnologie poursuit ses ambitions

Le site industriel de Saint-Thégonnec dédie son savoir-faire au ballon inox  L’usine Bosch Thermo technologie de Saint-Thégonnec, sur une surface de 23 000 m2, vit sa plus importante transformation, devenant exclusivement un Centre de compétence ballon inox. Avec l’arrêt des chaudières fioul et gaz à fin juin 2022, le site industriel rebondit : s’appuyant sur […]
Il y a 2 ans et 308 jours

IKO INSULATIONS devient le 1er industriel à obtenir un DTA pour le panneau IKO enertherm ALU XL PRO

 Le Groupe Spécialisé N°5.2 «Produits et procédés d’étanchéité de toitures-terrasses, de parois enterrées et cuvelage» du CSTB a accordé un Document Technique d’Application (n° à venir prochainement) au panneau d’isolation avec une âme en mousse rigide de PIR, IKO enertherm ALU XL PRO.  En 2015, IKO Insulations était déjà le premier industriel à obtenir une […]
Il y a 2 ans et 308 jours

LE FILMM édite une nouvelle brochure sur le confort d’été dans la RE 2020 et détaille les solutions pour un confort d’été efficient

La Réglementation Environnementale – RE 2020 – a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. Ainsi, comme l’explique la brochure du FILMM, la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h.  Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont […]
Il y a 2 ans et 308 jours

Nouveaux groupes d’eau glacée – ECOi-W au R32 pour Panasonic

Groupe d’eau glacée réversible ou froid seul ;  Dix capacités disponibles (de 50 à 170 kW) ;  Efficacité saisonnière élevée grâce au réfrigérant R32 ;  Haute qualité et durabilité (tests réalisés en usine) ;  Solution personnalisable.  Gennevilliers – Panasonic annonce le lancement de ses nouveaux groupes d’eau glacée ECOi-W au R32. Avec un large choix […]
Il y a 2 ans et 308 jours

L’industrie cimentière lance sa nouvelle plateforme des métiers en ligne !

Le Syndicat Français de l’Industrie Cimentière (SFIC), l’Ecole Française du Béton (EFB), et les partenaires sociaux de la branche de l’Industrie cimentière, lancent en partenariat avec OPCO2i une nouvelle plateforme des métiers en ligne à destination des étudiants et des personnes en quête de reconversion pour accompagner ses ambitions en matière de recrutement, de formation […]
Il y a 2 ans et 308 jours

Le biofioul, alternative au fioul domestique, est distribué progressivement depuis quelques jours

Avec l’entrée en vigueur depuis le 1er juillet du décret n°2022-8 relatif à la performance environnementale des équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire, l’installation de matériels utilisant à titre principal un combustible émettant plus de 300 g CO2eq/kWh PCI tout au long de son cycle de vie n’est plus autorisée.En conséquence, si le fioul traditionnel pourra continuer à être utilisé par plus de 3 millions de résidences principales recourant à cette énergie stockable, les installations neuves fonctionneront désormais avec un biofioul F30, lequel répond à l’exigence du plafond d’émission de 300 g CO2eq/kWh PCI fixé par le décret.Sous réserve de la publication d’un arrêté ministériel autorisant sa mise sur le marché, la distribution du biofioul F30 débutera dès le mois de juillet en Alsace, Auvergne-Rhône-Alpes et Ile-de-France. Les 200 premiers distributeurs qui le proposeront seront identifiés sur le site internet Biofioul.info dès la parution de l’arrêté ministériel. La distribution se poursuivra progressivement pour couvrir l’ensemble du territoire à l’automne 2022.Concrètement, depuis le 1er juillet :L’installation de chaudières neuves utilisant un combustible liquide[iii] reste autorisée à la condition d’utiliser du biofioul F30, dont le niveau des émissions tout au long du cycle de vie est inférieur à 300g CO2eq/kWh PCI. Une quinzaine de références d’équipements sont d’ores et déjà disponibles chez les constructeurs suivants : ATLANTIC – CHAPPÉE – CUENOD – DE DIETRICH – OERTLI – PERGE – WEISHAUPT.Les chaudières actuellement en service et installées suivant des devis signés jusqu’au 30 juin 2022 peuvent continuer à fonctionner avec du fioul domestique traditionnel (limité à 7% d’énergie renouvelable selon les spécifications actuelles).Pour Frédéric Plan, Délégué Général de la FF3C : « L’arrivée du biofioul est une alternative pour accélérer la fin du fioul domestique traditionnel à condition que sa fiscalité le rende attractif. En effet, les chaudières en service peuvent être adaptées à l’usage du biofioul notamment à l’occasion d’un changement de brûleur. C’est au législateur d’en prendre l’initiative. Si le gain de consommation d’une chaudière neuve de haute performance énergétique (de 25 à 30%) permet de gommer son surcoût, ce n’est pas le cas pour les chaudières existantes dont la longévité dépasse les 25 ans. »Le fioul domestique est la 3e énergie de chauffage en France. Il équipe plus de 3,5 millions de logements, dont 3,1 millions de résidences principales, sur un total de 29,8 millions, soit 12% du parc, principalement dans des territoires ruraux et périurbains, que les réseaux de chaleur ou le gaz de ville ne desservent souvent pas (sources Ceren et Ademe, 2017). En France, 25.000 communes ne sont pas raccordées aux réseaux de gaz, ce qui représente, sur l’ensemble du territoire, 13,4 millions de Français, soit 20% de la population (sources GRDF et Insee, 2018).
Il y a 2 ans et 308 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs sera construite près de Grenoble, un projet à 5,7 milliards d'euros

"C'est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle : c'est 1.000 emplois à la clé", a commenté le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, sur Twitter.Les projets d'investissements industriels, qui seront présentés lundi après-midi à Versailles (6,7 milliards d'euros d'investissements, "plus de 4.000 emplois créés"), tombent à point nommé pour le gouvernement, pressé par l'inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat. La future usine de semi-conducteurs bénéficiera d'un "soutien financier important de l'Etat français", ont précisé le groupe franco-italien STMicroelectronics et l'américain GlobalFoundries.Elle s'inscrit dans le cadre du "Chips Act", le programme de l'Union européenne pour retrouver une place aux côtés de l'Asie et de l'Amérique dans la production mondiale de semi-conducteurs. Marquée par la pénurie de ces précieux composants, à la suite de la crise du Covid-19, l'Europe veut remonter sa part à 20% de la production mondiale, contre moins de 10% aujourd'hui.Les semi-conducteurs produits à Crolles, près de Grenoble, serviront notamment des marchés finaux "tels que l'automobile, l'industriel, l'internet des objets et les infrastructures de communication".Les premières productions devraient être lancées à partir de la fin 2023, avec une montée en charge progressive jusqu'à 2025/2026, selon l'Elysée. La production sera pour environ 58% destinée à GlobalFoundries, le reste étant pour STMicroelectronics, ont indiqué les deux entreprises.M. Macron se rendra mardi sur place pour présenter ce projet d'usine, qui sera à terme "le plus important site de production de puces français et l'un des plus importants d'Europe".Ces annonces surviennent dans un climat tendu, après des révélations dimanche soir par le journal Le Monde des liens qui ont uni Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie (2014-2016), et la société Uber. S'appuyant sur différents témoignages et documents, ces "Uber Files" concluent à l'existence d'un "deal" secret, visant à aider la plateforme à consolider ses positions en France, ce qu'ont vivement dénoncé des élus de gauche.AttractivitéPour l'Elysée, la participation record de patrons étrangers à "Choose France" - ils étaient 120 à 130 lors des précédentes éditions - montre un "très fort intérêt des patrons étrangers, suite à la réélection du président".Malgré la perte de la majorité absolue par le gouvernement, "il n'y a pas d'inquiétude des grands patrons" sur la poursuite d'un programme favorable aux investissements industriels en France, assure l'entourage du chef de l'Etat.Les dirigeants de Coca-Cola, Disney, Siemens, Merck Allemagne, des banques américaines Citi, JP Morgan, Morgan Stanley, du conglomérat chinois Fosun ou du groupe australien de services financiers Macquarie se retrouveront sous les ors de Versailles.M. Macron rencontrera aussi les "grands fonds souverains", comme ceux des Emirats, d'Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar et de Corée, ainsi que des fonds canadiens.Parmi les autres projets annoncés dans le cadre de "Choose France", le spécialiste des colis express FedEx va créer 1.000 emplois permanents à Roissy (Val-d'Oise). L'espagnol Amadeus (gestion de réservations touristiques) 800 emplois, notamment à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), le cabinet de conseil Accenture 500 en Bretagne et le vietnamien Vinfast (automobile) 350 à 400 dans des showrooms et ateliers, selon l'Elysée.Le géant britannique du médicament GlaxoSmithKline (GSK) va investir dans des essais cliniques, l'américain Collins Aerospace (avionique, systèmes d'information - groupe Raytheon) dans la recherche-développement et l'allemand Vorwerk se doter d'une deuxième usine Thermomix, en Eure-et-Loir.Le groupe néerlandais de travail temporaire Randstad va recruter par ailleurs 7.000 collaborateurs en CDI intérimaire d'ici la fin 2022. La France s'enorgueillit d'être le pays le plus attractif en Europe pour les investisseurs étrangers par le nombre de projets - 1.222 en 2021 -, leur taille étant en revanche généralement plus petite, selon le baromètre du cabinet EY.Près de 80 projets d'investissements, représentant 12 milliards d'euros et 21.000 emplois, ont été annoncés dans le cadre des sommets "Choose France" depuis 2018 : 25 ont été réalisés, 50 sont en cours et cinq ont été abandonnés ou reportés.
Il y a 2 ans et 308 jours

Saint-Gobain veut industrialiser la construction en terre grâce aux terres excavées

MATÉRIAU. Saint-Gobain encourage l'économie circulaire en déployant des systèmes constructifs en terre. Le groupe prévoit leur commercialisation massive au sein des magasins de sa filiale Point.P.
Il y a 2 ans et 308 jours

Portalp invite les prescripteurs à découvrir Bloomframe® sur le salon Architect@Work Paris

Rendez-vous incontournable des architectes, architectes d’intérieur et autres prescripteurs (maîtres d’ouvrage, urbanistes et économistes), ARCHITECT@WORK est l’occasion pour les industriels de présenter leur innovation dans un écrin d’exposition. Ainsi, Portalp, fabricant français de portes automatiques, dévoilera Bloomframe®, ouverture de façade interactive et automatisée née du partenariat avec l’architecte néerlandais Hofman-Dujardin. Du 22 au 23 septembre 2022, l’équipe de prescription de Portalp sera heureuse d’accueillir les visiteurs à Paris sur son stand n°87 afin de leur expliquer tous les avantages de cette nouvelle solution architecturale conçue par Hofman- Dujardin et fabriquée et installée par Portalp dès l’automne 2022. http://www.portalp.com
Il y a 2 ans et 308 jours

BEISSIER unifie l’identité visuelle de ses packagings PRESTONETT et lance de nouveaux conditionnements

Si Beissier a impulsé en 2021 une nouvelle identité visuelle pour sa gamme Prestonett en grands conditionnements, le spécialiste de la préparation des fonds confirme, pour 2022, un travail d’unification sur ses offres en petits conditionnements. Reconnaissance visuelle forte avec un facing emblématique en fond kraft, facilité d’identification comme de choix (grâce à la lettre […]
Il y a 2 ans et 308 jours

L'avenir du béton, décarboné et circulaire, se dessine dans les centres R&D Lafarge

Les investissements sont massifs, et les innovations sont nombreuses : Lafarge et sa maisons-mère, le groupe Holcim, sont tournés vers l’avenir du béton. Le point sur les recherches actuelles.
Il y a 2 ans et 308 jours

Tensions dans le BTP : fournisseurs et clients s'engagent à davantage de "solidarité"

Cette "déclaration de solidarité", présentée lundi à Bercy en présence de la ministre déléguée aux PME Olivia Grégoire, est le résultat du travail du comité de crise du bâtiment et des travaux publics créé mi-juin 2021, rappellent le ministère de l'Économie et le médiateur des entreprises dans un communiqué.Le comité de crise, présidé par le médiateur des entreprises Pierre Pelouzet, avait d'abord été chargé de régler dans l'urgence les différends entre entreprises du BTP plutôt que de recourir à la voie juridique.Ce secteur, comme d'autres, souffre des difficultés d'approvisionnement en matières premières comme le bois et l'acier, liées à la vigueur de la reprise économique post-pandémie de Covid-19, qui ont fait gonfler les prix et créent des tensions entre fournisseurs et clients.Les bonnes pratiques listées dans cette déclaration "visent à limiter l'impact de ce contexte exceptionnel pour préserver l'activité et l'emploi, avec une évaluation régulière de leur mise en oeuvre", selon le texte élaboré avec une dizaine d'organisations, comme l'Association française des industries des produits de construction (AIMCC), France Bois Industries Entreprises (FBIE), la Fédération Française du Bâtiment (FFB), la Fédération Nationale des Travaux Public (FNTP) ou encore la Fédération des Distributeurs de Matériaux de Construction (FDMC).Parmi ces bonnes pratiques figurent en particulier l'engagement de diffuser "une information précise, fiable en temps réel ou temps court, sur les perspectives d'approvisionnement en matières premières et matériaux" et de "justifier les hausses de coûts" à ses clients, jusqu'au consommateur final. Autres attitudes recommandées : éviter les augmentations de prix "sans délai de prévenance raisonnable", avoir une "allocation équitable des ressources aux entreprises, quelle que soit leur taille", "l'insertion d'une clause de rencontre et/ou de réexamen en cas de circonstances imprévues", ou encore permettre de prolonger ou de suspendre les délais d'exécution des marchés sans sanctions "dès lors que les difficultés d'approvisionnement ne permettent pas de les respecter".Les professionnels participants sont désormais incités à déployer ces bonnes pratiques "au plus près des acteurs de terrain" et se sont engagés à se réunir "au moins tous les trois mois" pour faire le point sur le suivi de leur mise en œuvre.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « La signature de cette déclaration de filière pose la première pierre indispensable au lancement sans délais des Assises du BTP, annoncées il y quelques semaines par Bruno Le Maire. Elles doivent permettre de déboucher sur un net renforcement de la solidarité de filière au service de nos clients et de l'emploi en France, avec un accompagnement de l’État. »La CAPEB dénonce un résultat "pas à la hauteur" et refuse de signer la déclarationLa CAPEB salue le travail réalisé par la médiation des entreprises pour tenter de mettre en place une solidarité économique de filière qui est plus que nécessaire dans cette période troublée tant par la pandémie qui ne cesse pas que par la guerre en Ukraine. Pour autant, force est de constater que le résultat n’est pas à la hauteur des espérances de la CAPEB. En particulier, aucun engagement ne figure dans la déclaration commune concernant un éventuel délai de prévenance pour avertir en amont les entreprises des futures hausses de prix. Or, il s’agit d’un aspect primordial pour les entreprises du bâtiment pour qu’elles puissent élaborer leurs devis de manière plus sereine et éviter qu’elles ne supportent, à elles seules, les augmentations de prix des matériaux et équipements en rognant leurs marges. Dans ces conditions, la CAPEB considère que cette déclaration commune ne répond pas à l’objectif initial d’une mise en place d’une solidarité économique de la filière. C’est évidemment regrettable car comment préserver le niveau d’activité du secteur du bâtiment si les efforts ne sont pas partagés ? Et ce d’autant plus que la CAPEB a conclu, en avril 2022, avec certains de ses partenaires, une déclaration commune dans laquelle les signataires (distributeurs et industriels) se sont engagés à un délai de prévenance d’un mois.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Nous sommes déçus même si la médiation des entreprises a fait un travail remarquable pour élaborer cette déclaration commune, d’une part, et pour raccourcir fortement les délais de publication des index BT, d’autre part. Nous regrettons que, dans un moment difficile, la filière du bâtiment n’ait pas pu être en capacité de faire preuve de solidarité. Rappelons que nous sommes dans un contexte économique, où nous craignons, de plus en plus, une baisse importante de l’activité dans le bâtiment à la fin du second semestre 2022. Nous espérons, en conséquence, que nous puissions encore obtenir des avancées sur les engagements des différents acteurs de la filière, à l’occasion des Assises du BTP dont les travaux commencent aujourd’hui. »
Il y a 2 ans et 309 jours

JO-2024 : touchée mais pas coulée, la piscine d'entraînement d'Aubervilliers validée par la justice

"Le projet sur lequel la Cour s'est prononcée avait très nettement évolué par rapport au projet initial", a estimé la cour administrative d'appel de Paris dans un communiqué."Deux permis modificatifs sont intervenus, qui ont profondément modifié le projet d'origine en supprimant d'abord le restaurant initialement prévu, puis les équipements qui devaient empiéter sur le périmètre des jardins ouvriers", a-t-elle justifié.Pour obtenir ce feu vert, la ville d'Aubervilliers, sommée de revoir sa copie, a présenté au juge une nouvelle version du projet, délesté de certains équipements annexes.Elle a pour cela exclu l'objet central des crispations: la construction d'un "solarium", sorte de terrasse minérale grignotant 4.000 m2 de parcelles vivrières sur les 2,5 hectares (25.000 m2) des Jardins des Vertus.Les opposants voyaient dans cet équipement un symbole de la "bétonisation" qui asphyxie davantage les villes, à rebours selon eux de l'urgence écologique.Les travaux auraient causé "des conséquences difficilement réversibles" dans ce "noyau primaire de biodiversité", avait estimé le juge des référés en mars, sommant la ville d'arrêter cette partie du chantier.Les jardins concernés avaient déjà été détruits par les tractopelles."Le projet a été abandonné. Le solarium ne se fera pas", a affirmé jeudi la Ville d'Aubervilliers à l'AFP.Des engins de chantiers sont toujours présents sur site, a constaté l'AFP."Conformément à la décision du juge, il y a eu une remise en état pour éviter l'effondrement" du secteur, impliquant le comblement de fontis, des effondrements du sol en surface, a expliqué la Ville.Il reviendra à Grand Paris Aménagement, propriétaire du lieu, de décider de l'utilisation de ce terrain, accolé à d'autres parcelles de verdure demeurées intactes, a-t-elle ajouté."Cette décision est une victoire car elle prend acte du fait que les jardins sont sanctuarisés, le permis ne touche plus à ces espaces verts", a réagi auprès de l'AFP Ziad Maalouf, un des jardiniers à l'origine des recours, aux côtés de deux associations de défense de l'environnement."J'appelle Grand Paris Aménagement à pendre acte de cette décision et à reconstituer ces jardins détruits", a-t-il ajouté.Calendrier serréAprès deux interruptions par la justice, le chantier va donc pouvoir reprendre sur la partie autorisée."Deux grues se sont installées courant juin pour préparer la reprise des travaux", a d'ailleurs dévoilé la Ville. Le terrassement est "en cours d'achèvement" et le gros-oeuvre doit démarrer "d'ici fin juillet".La livraison de l'équipement est prévue en "avril 2024", juste à temps pour les Jeux (26 juillet-11 août).La tenue du calendrier est d'autant plus cruciale que le comité d'organisation de Paris-2024, sollicité à maintes reprises sur ce projet, a indiqué qu'il trouverait un autre site pour l'entraînement des nageurs si la piscine d'Aubervilliers ne voyait pas le jour dans les temps.Aubervilliers, qui rêve d'un bassin olympique depuis longtemps, bénéficie d'une enveloppe de 10 millions d'euros de la Solideo, la société chargée des ouvrages olympiques.Soit environ un tiers du budget total de la piscine, réévalué à 32 millions d'euros, la nouvelle version sans solarium faisant baisser la facture d'un million d'euros, a indiqué la Ville.A deux ans des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, la Seine-Saint-Denis tente d'engranger le maximum d'infrastructures pérennes qu'elle veut constituer en "héritage".La carte des sites a encore bougé fin juin, puisque les épreuves de tir quittent le département, qui accueillera en échange les phases de qualifications du tournoi de boxe.
Il y a 2 ans et 309 jours

Le Palmarès des Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment pousse le réemploi

Durant la semaine du 20 au 24 juin, huit jurys ont attribué 26 prix au total. Ce lundi 4 juillet, le Grand Jury s’est réunit et a décerné des distinctions supplémentaires dans quatre grandes catégories.
Il y a 2 ans et 309 jours

Architecture Student Contest 2022 : Saint-Gobain met en lumière les architectes de demain

Lors de ce 17e concours international qu’organise Saint-Gobain pour les étudiants en architecture, interview exclusive de Benoît Bazin, directeur général de Saint-Gobain, venu à la rencontre des futurs architectes.
Il y a 2 ans et 309 jours

Valame innove contre l’amiante

L’entreprise nordiste Valame a mis au point un procédé chimique pour le traitement des déchets amiantés. Son usine pilote, unique au monde, les transforme en matériaux à valoriser.
Il y a 2 ans et 309 jours

Interclima mondial du bâtiment AIRWELL lauréat de bronze des awards de l’innovation pour la solution ma maison HYBRIDE

 Lundi 4 juillet, pour la solution Ma Maison Hybride, Airwell acteur majeur créateur français de solutions climatiques et thermiques est Lauréat de Bronze dans la catégorie Construction Tech® – Start-Up et Nouvelles Technologies. Ma Maison Hybride conçue par Airwell est une solution globale de services qui permet à l’utilisateur de reprendre en main sa consommation […]
Il y a 2 ans et 309 jours

Le fabricant de nacelles Haulotte souscrit un PGE de 96 millions d'Euros

L'ETI dirigée par Alexandre Saubot, président de France Industrie, indique dans un communiqué que "ce financement permet de sécuriser la trésorerie du groupe pour faire face à un contexte opérationnel qui demeure compliqué, tout en conservant la faculté de saisir les opportunités actuelles et à venir d'un marché dynamique".Le groupe coté sur Euronext Paris indique être "confronté depuis plusieurs mois à des difficultés d'approvisionnement de composants, notamment électroniques, et des perturbations fortes des chaines logistiques, conséquences de la crise sanitaire et du conflit ukrainien".Haulotte annonce avoir "sollicité l'ensemble des prêteurs de son crédit syndiqué ainsi que Bpifrance pour l'obtention, le 28 juin dernier, du prêt qui sera garanti à hauteur de 90% par l'État français, avec une maturité d'un an, et une option d'extension jusqu'à cinq années additionnelles", soit juin 2028.Le numéro un européen de la nacelle élévatrice a réalisé en 2021 un chiffre d'affaires de 495,8 millions d'euros, en croissance de 13%, avec un résultat net consolidé redevenu positif de 8,1 millions.La prévision de croissance du groupe, qui a mis en service au printemps sa nouvelle usine chinoise pour servir la zone Asie-Pacifique où la demande est soutenue, est de l'ordre de 20% sur l'année 2022.
Il y a 2 ans et 309 jours

Ouvrage maritime : Les éoliennes de Fécamp

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Une véritable forêt minérale est née au cœur de la zone portuaire du Havre. [©ACPresse] C’est une véritable forêt minérale qui remplit l’horizon havrais, du moins celui de sa zone portuaire. Une fois passée la chaussée de l’Amiral Bonnivet, elle apparaît, impressionnante. Là, quai de Bougainville, s’achève la construction des 71 fondations gravitaires du futur parc éolien de Fécamp. Des éléments majestueux en forme de cône inversé surmonté d’un fût circulaire, d’une hauteur totale oscillant entre 48 et 54 m, pour un poids unitaire maximum de 4 818 t. Une contrainte stricte, car, au-delà, les opérations de levage deviennent trop complexes. Car, oui, chacune de ces fondations devra être levée, posée sur des chariots multi-roues et transférée vers un cargo-barge. A vrai dire, trois fondations gravitaires voyageront ensemble depuis Le Havre jusqu’au large de Fécamp. C’est entre 13 et 22 km des côtes qu’est localisé le parc. Il se développe sur une aire de l’ordre de 60 km2 (total de la superficie concédée par l’Etat pour une durée de 40 ans). 30 000 m3 de ballast Au large, on ne touche pas au fond marin : il convient à l’usage attendu. La seule opération préparatoire voit la mise en place d’une couche d’assise d’une épaisseur minimale de 70 cm, avec des granulats d’une dimension allant de 25 à 100 mm. Chaque trio de fondations arrivé à destination, une grue maritime très haute capacité Saipem 7000, en position dynamique, les reprend une à une. Puis, les pose sur le fond marin. « Le transfert par flottaison avait été envisagé, mais au final n’a pas été retenu pour des questions de planning », explique directeur technique du projet pour Bouygues Travaux Publics. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 309 jours

Alkern : Une politique de prévention qui a fait ses preuves

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Des formations régulières sensibilisent les équipes évoluant sur les zones de chargement/déchargement. [©Alkern] Tout commence en 1972 avec la création dans le Pas-de-Calais de l’entreprise Hecquet, qui deviendra Tarmac en 1990, puis Alkern après un rachat en 2010. L’expansion se fait pour l’essentiel par l’acquisition externe de petites structures, le plus souvent à l’occasion du départ en retraite de leurs dirigeants. Ces unités possèdent chacune leur histoire et leur mode de fonctionnement. Mais ont en commun la fabrication de composants en béton, des produits pondéreux nécessitant d’être fabriqués à proximité de leur zone de chalandise. Les marchés d’Alkern concernent pour moitié le bâtiment, avec les blocs béton sous toutes leurs déclinaisons, et les planchers. L’autre moitié de l’activité englobe les travaux publics, avec les bordures, les pavés de voirie, l’assainissement, les regards, le mobilier urbain, les margelles de piscine, les chapeaux, les poteaux… Au total, les 55 unités de production emploient 1 000 personnes pour un chiffre d’affaires annuel de 250 M€. Pour les dirigeants, la contrainte première est de mettre en place, et surtout de faire respecter dans la durée, des procédures identiques sur tous les sites de production. Les résultats obtenus prouvent que les méthodes choisies sont efficaces. Les mesures de prévention se situent à plusieurs niveaux. En premier lieu, elles concernent la gestion du risque d’écrasement, du port des charges ou de la mécanisation (qui ne peut être totale). Puis, viennent la surveillance de la co-activité entre piétons, chargeurs et véhicules sur les zones de stockage et de chargement. Sans oublier, la gestion du risque routier, pour les commerciaux qui parcourent l’Hexagone. La problématique des interventions sur machines Différents dispositifs de protection interdisent toute intervention sur une machine en marche. [©J. B. Vetter/Alkern] En temps normal, les différents systèmes de sécurité mis en place, sur et autour des machines, qu’il s’agisse des barrières physiques ou des procédures de consignation, interdisent toute possibilité d’intrusion auprès de mécanismes en mouvement. Néanmoins, l’expérience montre que le cerveau humain, pour de multiples raisons, ne fonctionne pas toujours de façon rationnelle et amène à des prises de risques inconsidérées. Les causes sont variées : l’envie d’aller plus vite, de brûler les étapes, de penser que l’accident n’arrive qu’aux autres… Pour supprimer ces comportements à risques, l’équipe en charge de la prévention et de la sécurité (4 personnes au niveau du siège) multiplie les formations, insiste sur le respect absolu des procédures de consignation et sur la nécessité de prendre le temps de se mettre en sécurité. L’expérience dans l’entreprise est aussi prise en compte. Les nouveaux arrivants et les intérimaires n’interviennent jamais sur les machines. Les statistiques démontrant, assez logiquement, que les incidents et accidents sont majoritaires chez ce profil de personnel. Grâce à un turn-over limité, la mise en place progressive d’une culture de groupe est une réalité, que seules des formations et informations dans la durée permettent de cultiver et d’ancrer dans les esprits. Dans ce contexte, l’accueil, l’information et la formation des nouveaux arrivants comme des intérimaires est une priorité permanente. Chacun prenant en charge un nouveau poste avec ses propres expériences, bonnes ou moins bonnes, il importe d’apporter aux personnels venus de l’extérieur une culture de prévention qui doit être identique pour tous les salariés. Cette démarche vaut aussi auprès des chauffeurs extérieurs à l’entreprise, qui bénéficient à leur arrivée sur chaque site de production, d’un accueil les informant des règles de sécurité, avec vérification du port des EPI prévus pour cette fonction. Transmettre “la bonne parole” Les performances en termes de prévention et de sécurité sont mises en valeur par l’organisation de moments festifs. [©Alkern] Le partage d’information (accidents, bonnes pratiques…) est un élément essentiel de pédagogie permanente. Ainsi, tout incident ou accident est de manière systématique remonté et analysé. A la clef, des décisions en rapport avec l’évènement, qui peuvent se situer au niveau de l’information, des formations auprès du personnel, voire de l’ergonomie des postes concernés. Afin d’identifier au maximum tous les risques existants, et donc sources potentielles d’accidents, Alkern favorise la contribution de tous ses collaborateurs au travers des remontées de “presqu’accidents”. Pour faciliter ce processus, l’industriel a ainsi développé sa propre application mobile spécifique pour plus de simplicité et de réactivité. Chaque risque identifié doit faire l’objet d’une action correctrice. Tous les managers de l’entreprise, quelles que soient leurs fonctions, participent à ce processus, avec un œil “neuf”. Une autre difficulté consiste à faire passer les messages, sans déperditions, auprès des salariés et intérimaires. Pour cela, d’une part, l’équipe “hygiène/santé/sécurité” se déplace sur les différents sites pour assurer la transmission des différents messages et réaliser des audits ponctuels. Environ chaque mois, les collaborateurs en charge de la prévention définissent des problématiques et des campagnes de prévention spécifiques. Ceci, pour éviter la routine et les messages trop répétitifs, dont l’impact diminue dans la durée. D’autre part, tous les responsables d’usine organisent une réunion sécurité hebdomadaire. En complément et deux fois par an, lors d’une demi-journée sécurité, ils rassemblent leur personnel pour des réunions de sensibilisation. Ces dernières se veulent à la fois ludiques et renouvelées, au travers de documents écrits, de dessins et de vidéos, mettant en exergue les différents risques et les moyens de les éviter. Enfin, Alkern tient à mettre en avant les bons résultats, en termes de sécurité. Dès qu’une unité de production atteint 1 000 j sans accident, l’évènement est valorisé par un moment festif et un arrêt de la production. Port de charges, poussières et bruits Les différentes zones de circulations piétons/engins/camions sont matérialisées, afin d’éviter toute co-activité. [©J. B. Vetter/Alkern] Malgré l’automatisation poussée des lignes de production, les opérateurs doivent toujours gérer quelques interventions manuelles. Par exemple, lors des opérations de tri sur ligne. Pour ces manutentions incontournables et quelques autres, les gestes et postures sont analysés, avec un travail, poste par poste, d’optimisation ergonomique. L’arrivée sur le marché des exosquelettes est vue comme une piste possible par les dirigeants d’Alkern, sachant que ces systèmes doivent encore s’affiner pour “coller” aux besoins spécifiques de chacun. Chez l’industriel, les responsables de la prévention en sont au stade d’observation, pour comprendre et imaginer quels équipements peuvent aider et dans quelles configurations. Sous cet angle, Alkern intègre aussi la problématique des chantiers, la réduction de la fatigue et les risques de TMS à moyen et long terme. A titre d’exemple, depuis 10 ans, les blocs béton rectifiés permettent de réduire les volumes de mortiers-colles fabriqués et manutentionnés. Ceci, avec l’atout d’une mise en œuvre plus précise. Par ailleurs, les unités de béton préfabriqué doivent prendre en compte les contraintes des émissions de poussières et de bruits. La captation des poussières est réalisée à la source, grâce à des systèmes d’aspiration sur machine, le nettoyage des postes étant permanent. De plus, des expérimentations sont en cours concernant les espaces extérieurs de stockage et de chargement, pour procéder à un arrosage à intervalles réguliers à l’aide d’eau non potable. En fonction des zones de bruits et des désirs de chacun, le personnel est équipé de casques et/ou de bouchons d’oreille, personnalisés ou non. Enfin, les espaces de stockage et de chargement intègrent plusieurs procédures de prévention et de sécurité. Tout risque de co-activité est écarté par une séparation complète des circulations piétons/camions/chargeurs. Gérard Guérit Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine