Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

(35116 résultats)
Il y a 2 ans et 326 jours

Schindler pose les premiers escaliers mécaniques dans la future gare Villejuif Institut Gustave-Roussy du Grand Paris Express

Schindler, l’un des leaders ascensoristes depuis plus de 150 ans, annonce ce jour la pose d’un premier escalier mécanique dans la future gare emblématique Villejuif Institut Gustave-Roussy (IGR) de la ligne 15 Sud du Grand Paris Express. La gare sera desservie par la ligne 14 (mise en service en 2024) et la ligne 15 (mise en service fin 2025) et prévoit d’accueillir quotidiennement 100.000 voyageurs. A chaque gare son design, approche artistique et culturelle La Société du Grand Paris (SGP) a voulu insuffler un vent artistique différent à chaque gare (68) pour lui créer une identité singulière. Ainsi des tandems architecte/artistes contemporains ont été formés pour habiller les futures gares du métro. Chaque œuvre vient s’intégrer à l’architecture de chaque gare. Quant à la future gare Villejuif IGR, l’architecture a été imaginée par Dominique Perrault en forme de cylindre de 70 mètres de diamètre, et a été pensée comme un connecteur du monde du dessous au monde du dessus, et vice-versa. Un espace de 30 mètres évidé à l’intérieur du cylindre, entouré de galeries en balcons, accueillera début 2023 4 grands escaliers monumentaux signés Schindler. Par leur design, construction et longueur, ces derniers épouseront parfaitement les profondeurs de la gare. Pour dialoguer avec le travail de Dominique, l’artiste chilien Ivàn Navarro intègrera une œuvre en illusion d’optique (un jeu de lumières et de miroirs). Les escaliers Schindler : la mobilité axée sur la sécurité et le respect de l’environnement181 escaliers mécaniques signés Schindler permettront le transport vertical des usagers dans 8 gares du tronçon sud de la ligne 15. Concernant la gare IGR, les équipes Schindler ont travaillé, dès la phase d’appel d’offre, à la définition des charges et des reprises d’efforts sur les appareils monumentaux. Après que la Société Grand Paris (SGP) a demandé un ajout de divers éléments qui augmentent la charge sur les escaliers mécaniques (habillages latéraux, antichute en verre, sonorisations et éclairages), un calcul structurel complexe de ces derniers était nécessaire. Schindler a fourni les notes de calcul nécessaires bien en amont du marché, afin que les travaux de génie civil puissent débuter sereinement.Tout au long du projet, la sécurité et le respect de l’environnement ont été les maîtres mots. Sécurité : Pour permettre à la Société du Grand Paris d’assurer la sécurité de son réseau, les escaliers mécaniques sont conçus pour garder leur stabilité dans une gare en cas d’incendie. Les analyses de tenue au feu des structures ont permis à la SGP de mieux appréhender ces besoins en protection de charpente contre le feu, tout en conservant l’esthétique des escaliers mécanique voulue par le designer.Les études d’évacuation ont aussi permis de proposer un fonctionnement de redémarrage automatique des escaliers mécaniques dans le sens de la sortie, incluant les préconisations relatives à l’entretien et la maintenance de ces équipements.Enfin, Schindler est précurseur depuis 2014 dans la mise en place de plaques podotactiles aux abords des escaliers mécaniques. Ce dispositif a été très apprécié et explicitement demandé par le designer de ce grand projet pour la sécurité des usagers.L’environnement : Soucieux de proposer des produits de qualité tout en veillant à la préservation de l’environnement, tous les escaliers mécaniques que Schindler va installer sur le projet du Grand Paris Express sont totalement recyclables et/ou valorisables et de nombreux composants sont fabriqués à partir de produits recyclés, tels que l’aluminium ou l’acier. Tous les escaliers mécaniques que Schindler va installer sur le projet du Grand Paris Express sont issus de leur usine de production moderne, implantée à Dunajska Streda en Slovaquie, avec un approvisionnement de composants européens à plus de 75%.Cette proximité, au sein de l’Union Européenne, assure un maintien de l’emploi et de la production au sein de l’Europe, une grande flexibilité dans le circuit de livraison sur site et un bilan carbone très favorable.
Il y a 2 ans et 326 jours

Emmanuel Guyart, nouveau Directeur Commercial KE France

Cet homme de terrain a travaillé pour différents industriels partout dans le monde tout au long de sa carrière. Emmanuel GUYART débute chez Legrand en tant que Responsable de zone export sur l’Asie et le Moyen-Orient puis évolue vers le marché du textile technique. Il travaille notamment 7 ans chez Dickson-Constant comme Chef de Marché Marine et Directeur International puis 3 ans à Shanghai pour la maison mère Glenraven avant de rejoindre la société Serge Ferrari en tant que responsable France pour la gamme Mobilier & Marine.Emmanuel GUYART a rejoint KE France en mars 2022. Son goût pour l’élégance du design Italien s’allie à une forte conviction que le Made in France est incontournable pour l’avenir de nos industries. Ces deux critères l’ont naturellement amené à rejoindre KE France.Dans le cadre de ses fonctions, Emmanuel GUYART a la charge de la mise en place de la politique commerciale de KE France et de l’animation du réseau commercial : équipes terrain et administration des ventes. Il est également force de proposition pour la stratégie marketing.À 54 ans, ce père de deux grandes filles est un globe-trotter dans l’âme. Il a voyagé dans près de 80 pays. C’est également un amateur de sports nautiques et un amoureux de la nature.
Il y a 2 ans et 326 jours

AREFIM GE annonce la signature d’un centre logistique inédit de 50 000 m2 sur Airport Park , un projet ambitieux, fruit d’un travail collaboratif avec la Division Sanitaire Chauffage (DSC) de Saint Gobain France.

Société foncière immobilière, AREFIM GE vient d’officialiser la signature avec DSC (Groupe Saint Gobain) d’un contrat de bail de 9 ans fermes d’une base logistique optimisée et bas carbone sur l’Airport Park® de Bresles (Oise).  50 000 m2 pour DSC – Saint Gobain  Dans le cadre de sa démarche de transformation environnementale et sociétale, DSC […]
Il y a 2 ans et 327 jours

Palmarès 2022 du concours “les rubans du Patrimoine”

Les lauréats de la 28ème édition du concours « les rubans du Patrimoine » ont été désignés. Ce concours, organisé en partenariat avec l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité, la Fédération Française du Bâtiment, la Fondation du patrimoine, la Fédération nationale des Caisses d’Epargne et le Groupement français des entreprises de restauration de Monuments Historiques, récompense des communes et des intercommunalités ayant réalisé des opérations de restauration ou de mise en valeur de leur patrimoine bâti. Présidé par Nicolas KNAUF de l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité, le jury national a étudié les 19 dossiers proposés par les jurys régionaux, parmi les 118 dossiers éligibles reçus cette année. 5 prix nationaux ont été attribués : Prix national au titre des communes et structures intercommunales de moins de 3500 habitants : Brétigny (27) pour la restauration de l’église Saint-Cyr et Sainte-Julitte Prix national au titre des communes et structures intercommunales entre 3500 et 20000 habitants : Communauté de Communes de la Grande Vallée de la Marne (51) pour la reconversion des anciens pressoirs Pommery en Centre d’interprétation sensorielle des vins de Champagne à Aÿ-Champagne, Pressoria Prix national au titre des communes et structures intercommunales de plus de 20000 habitants : Epernay (51) pour la réhabilitation du château Perrier en musée du vin de Champagne et d’archéologie régionale Prix spécial du jury : Soulomès (46) pour la restauration du chœur et assainissement de l’église Sainte-Marie-Madeleine Prix spécial “dynamisme territorial” : La Flèche (72) pour la réhabilitation d’un ensemble immobilier en complexe cinématographique et commerces La cérémonie officielle de remise des prix nationaux aura lieu lors du Salon international du Patrimoine culturel fin octobre à Paris. 14 prix régionaux ont également été attribués aux communes dont les dossiers ont été sélectionnés par les jurys régionaux pour concourir au niveau national et 42 prix départementaux ont été décernés cette année par les jurys régionaux. Les remises de prix régionaux et départementaux seront organisées localement par les représentants des cinq partenaires au cours du dernier semestre 2022. Photo : Ville de La Flèche
Il y a 2 ans et 327 jours

La tuilerie Aléonard a 150 ans

Créée en 1872 à Pontigny par Jules Aléonard, l’entreprise de tuiles, carrelages et briques a su s’adapter à l’ensemble des révolutions industrielles du XXe siècle. La fin de la première guerre mondiale est un tournant pour l’entreprise Aléonard puisque les dégâts de la guerre nécessitent des efforts considérables en matière de reconstruction. C’est ainsi que l’emblématique tuile Monuments Historiques voit le jour pour une première rénovation historique celle de l’Abbaye de Pontigny. Rachetée par le groupe Koramic en 1997, la marque Aleonard entre dans le giron de Wienerberger et se recentre sur la production de tuiles uniquement. L’usine de Pontigny (89) est située dans le département de l’Yonne à 25 km d’Auxerre. D’une superficie totale de 45 300 m2, la tuilerie Aléonard emploie 38 personnes réparties sur deux unités de production et garantes d’un savoir-faire ancestral permettant de sublimer les toitures d’édifices historiques telles que les églises ou cathédrales, rénover d’anciennes bâtisses ou de réaliser des constructions neuves au caractère unique. Le site de Pontigny présente aujourd’hui une production annuelle de 5,4 millions de tuiles par an réparties en plusieurs modèles : Saint Vincent, Pontigny, Patrimoine et Monuments Historiques. Afin de faire face à l’accroissement de la demande, Wienerberger France investit, en 2000, dans une nouvelle unité de production (tuiles filées, fours et séchoirs cellules) pour l’usine de Pontigny. Signe que depuis toutes ces années, Aléonard est devenue une marque symbole du savoir-faire français reconnue et appréciée au niveau international, national et régional, Marie-Guite Dufay, Présidente de la région Bourgogne Franche Comté, et Patrick Gendraud, Président du département de l’Yonne, ont fait le déplacement à Pontigny pour venir célébrer les 150 ans du site.
Il y a 2 ans et 327 jours

Livret A : Après une augmentation de 1,37 milliard d'euros en mai, le taux augmentera en août, indique le gouverneur de la Banque de France

La collecte nette réalisée le mois dernier par ce placement – très populaire, défiscalisé et dont les fonds sont accessibles à tout moment – est inférieure aux chiffres de 1,87 milliard d'euros d'avril et 1,81 milliard de mai 2021.Après 2020 et 2021, c'est néanmoins la troisième collecte la plus importante pour un mois de mai depuis 2009, la pandémie de Covid-19 ayant encouragé la constitution d'épargne.Le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) a pour sa part engrangé 160 millions d'euros nets, soit moins que les 420 millions de mars, et que les 510 millions d'il y a un an.Au total, le surplus de dépôts du Livret A et du LDDS a totalisé 1,53 milliard d'euros sur le mois, ce qui a porté l'encours total à 487,4 milliards d'euros.Géré conjointement par la Caisse des dépôts et les réseaux bancaires, le Livret A sert essentiellement à financer le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire, ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.Ils sont souvent considérés comme des placements refuge. L'année dernière, les Français ont déposé 15,17 milliards d'euros de plus qu'ils n'en ont retiré sur leurs Livrets A, et 3,94 milliards d'euros sur leurs LDDS.Une augmentation du taux prévue pour aoûtLe taux du Livret A connaîtra une nouvelle hausse en août, a indiqué mercredi 22 juin le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau, chargé de transmettre au gouvernement une proposition d'évolution de la rémunération du produit d'épargne préféré des Français."Il y aura une nouvelle hausse du Livret A au 1er août prochain", a affirmé le gouverneur sur RTL, sans préciser toutefois l'ampleur de cette augmentation, qui sera la deuxième depuis le début de l'année.Il est depuis le 1er février fixé à 1%, contre un plancher de 0,5% auparavant.Le taux du Livret A est calculé deux fois par an en faisant la moyenne entre, d'une part, le taux d'inflation moyen des six derniers mois et, d'autre part, la moyenne des taux interbancaires, auxquels les banques s'échangent de l'argent à court terme.Or l'inflation a fortement accéléré depuis le début de l'année, atteignant 5,2% en mai, selon l'Insee.La Banque de France est chargée de transmettre au ministère de l'Economie une proposition d'évolution du taux en fonction de cette formule. Charge ensuite au gouvernement de décider s'il accorde un coup de pouce supplémentaire ou non au résultat ainsi obtenu.
Il y a 2 ans et 327 jours

Holcim crée sa division Building Envelope

ORGANISATION. Firestone Building Products devient la division Holcim's Building Envelope du département Solutions & Products du groupe Holcim. Cette nouvelle division regroupe plusieurs marques parmi lesquelles Firestone qui change de nom pour s'appeler Elevate.
Il y a 2 ans et 327 jours

Qui sont les nouveaux députés les plus concernés par les passoires énergétiques dans leur territoire ?

Nul doute que la rénovation thermique des bâtiments, et notamment des logements énergivores dits “passoires thermiques” restera un dossier prioritaire. La loi Climat et résilience du 22 août 2021 prévoit notamment l'interdiction progressive à la location des “passoires” dès 2023, 2025 et 2028, selon leur classe de Diagnostic de Performance Énergétique (DPE).Force est de constater que les circonscriptions représentées par leurs nouveaux députés ne sont pas à égalité selon leur implantation géographique, la densité de la population et l'état du parc immobilier plus ou moins vieillissant. Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, fait le point sur les dix circonscriptions et leurs nouveaux députés qui comptent le plus de passoires thermiques !MéthodologieLa méthode de classement des circonscriptions utilisée reprend les Fichiers démographiques sur les logements et les individus (Fidéli 2018), sur la base des DPE de 2017 et 2018 (ancienne version avant la réforme), recoupés avec la carte interactive des DPE de l'Ademe, et se focalise sur le taux de logements F et G sur la totalité des logements par département.Ce classement est également illustré par un autre indicateur : le taux de vulnérabilité énergétique des ménages à l'échelle régionale. La vulnérabilité énergétique, également appelée précarité énergétique par l'Observatoire national de la précarité énergétique (ONPE), se définit comme “le fait d'éprouver dans son logement des difficultés particulières à disposer de la fourniture d'énergie nécessaire à la satisfaction de ses besoins élémentaires en raison de l'inadaptation de ses ressources ou de ses conditions d'habitat”.Cette méthode a permis de dégager 10 circonscriptions qui comptent le taux le plus élevé de logements classés F et G au DPE. Par ordre de classement : les deux circonscriptions du Cantal, la circonscription de la Creuse, les deux circonscriptions de la Nièvre, les deux circonscriptions de la Haute-Loire et enfin les trois premières circonscriptions des Vosges.Pour Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques Hellio : “À la suite de ce constat, les nouveaux députés récemment élus des dix circonscriptions qui comptent le plus de logements classés F et G au DPE ont cinq ans pour prendre part au défi des 700.000 rénovations – globales nous l'espérons – par an annoncées par Emmanuel Macron, afin d'améliorer la qualité des logements sur leur territoire. La rénovation énergétique des bâtiments est pourtant freinée par l'insuffisance et l'instabilité des aides financières aux ménages et copropriétés, les nombreux changements réglementaires, les difficultés de la filière des travaux à recruter et à former dans un objectif de promouvoir seulement des rénovations globales et non plus par petits gestes. La prise de conscience et l'implication des parlementaires sur ces sujets seront déterminantes !”La région Auvergne-Rhône-Alpes en tête du classement des circonscriptions dont le taux de "passoires énergétiques" est le plus élevéEn tête des circonscriptions qui comptent le plus fort taux de logements classés F et G, selon les Fichiers démographiques sur les logements et les individus (Fidéli 2018) et sur la base des DPE 2017 et 2018 de l'Ademe (ancienne version avant la réforme) : le département du Cantal compte 47% de logements classés F et G par le DPE. Cela représente 27.600 logements sur un total de 59.121 logements. La faible densité de logements expliquerait aussi le fort taux de logements classés F et G au DPE.Sur la carte interactive des DPE de l'Ademe les logements classés F et G se concentrent principalement dans la deuxième circonscription du Cantal, représentée par le député Jean-Yves Bony, réélu pour une seconde législature (LR).La lère circonscription du Cantal, représentée par Vincent Descoeur (LR), se situe en 2ème position du classement des logements classés F et G.En 6ème et 7ème position des 10 circonscriptions comptant le plus de passoires énergétiques, deux autres se situent également en région Auvergne-Rhône-Alpes la lère et la 2ème circonscription de la Haute-Loire (43), qui recensent 34.504 logements classés F et G au DPE, sur un total de 92.304, soit 37%.Ces circonscriptions sont à nouveau représentées par la députée Isabelle Valentin (LR) réélue dans la 1ère circonscription de la Haute-Loire et le député Jean-Pierre Vigier (LR) réélu dans la seconde circonscription du département.Il est à souligner que l'ensemble de ces députés, qui comptent dans leur circonscription un fort taux de logements classés F et G, doivent aussi être vigilant sur le taux de vulnérabilité énergétique. En effet, la région Auvergne-Rhône-Alpes, dont font partie les circonscriptions du Cantal et de la Haute-Loire, compte sur son territoire 609.719 ménages vulnérables énergétiquement, ce qui représente 18,60% des ménages de la région.Si les logements classés F et G ne sont pas forcément occupés par des ménages vulnérables énergétiquement, un certain nombre d'entre eux occupent tout de même ces logements. De fait, la lutte contre les “passoires thermiques” revêt un enjeu de justice sociale pour ces personnes. Les nouveaux élus ont tout intérêt à monter en compétences et analyser les données de leur territoire pour relever le défi de la rénovation énergétique.Les circonscriptions de la Creuse, de la Nièvre et des Vosges complètent le classementLa circonscription de la Creuse (23) se place en 3ème position, les deux circonscriptions de la Nièvre (58) en 4ème et 5ème position et les trois circonscriptions des Vosges (88) occupent les trois dernières places du classement. Ces départements comptent respectivement un taux de logements classés F et G de 44%, 41% et 33%.Concernant le taux de vulnérabilité, les circonscriptions du département des Vosges se situent dans la région Grand-Est qui recense 559.071 ménages en situation de vulnérabilité énergétique soit environ 24,30% des foyers de la région. Pour ces ménages, les dépenses d'énergie nécessaires pour chauffer leur logement et l'eau chaude sanitaire représentent une part élevée de leurs revenus. Pour l'année 2019, on estime que les dépenses en énergie moyenne des ménages s'élevaient à 1.602 €.Les nouveaux députés élus : Catherine Couturier, NUPES – LFI (circonscription de la Creuse), Patrice Perrot, LR (2ème circonscription de la Nièvre), Perrine Goulet, Ensemble – LREM (1ère circonscription de la Nièvre), Stéphane Viry, LR (l ère circonscription des Vosges), Christophe Naegelen, UDI (3ème circonscription des Vosges) et David Valence, Ensemble – PR (2ème circonscription des Vosges) sont appelés à tenir compte de la qualité des logements et de vie des ménages de leur territoire.Focus sur la capitale : Paris, un nombre très élevé de passoires énergétiques malgré un taux relatif de logements classés F et G au DPESelon l'enquête Fidéli de 2018 et sur la base des DPE de l'Ademe de 2017 et 2018, le département de Paris arrive en 8ème position des départements les plus énergivores. Comparé aux autres départements présents dans le précédent classement, le 75 compte un nombre beaucoup plus important de passoires à rénover : 327.733 logements contre 34.900 logements en moyenne pour les départements du top 10. Sur un total de 1.062.232 logements, la part représente pour autant seulement 31% du parc immobilier de la ville de Paris.Face à la vétusté de ce parc immobilier, les règles d'urbanisme et les contraintes architecturales qui s'appliquent aux bâtiments haussmanniens ne facilitent pas les rénovations performantes et globales qui permettraient de sortir ces logements de la classe énergétique F ou G. S'ajoutent les problématiques de gouvernance des copropriétés et de l'insuffisance des financements octroyés aux travaux.
Il y a 2 ans et 327 jours

Rep : Le cahier des charges des éco-organismes au Journal Officiel

Près de 5 000 t/an de matières recyclées sont utilisées sur les sites de production d’Isover de laine de verre (la laine de verre est composée a minima de 40 % de verre recyclé) et 200 t de déchets récupérés sur les chantiers en 2019. [©Saint-Gobain] Après des reports, des sessions de discussions, de multiples consultations, la Rep pour les produits et matériaux de construction du bâtiment (PMCB) devient plus claire. Ainsi, le 21 juin dernier, le cahier des charges des éco-organismes a été publié au Journal Officiel (arrêté du 10 juin 2022). Les différentes entités à l’image d’Ecominéro ou encore Valobat vont pouvoir constituer leur dossier pour être agréées et prendre part à la récupération et le recyclage des déchets du bâtiment. Lire aussi : Dossier : Recyclage et valorisation Selon l’arrêté, plusieurs éco-organismes peuvent s’inscrire dans le même secteur et des initiatives individuelles peuvent subsister. Cependant, ils doivent coopérer et œuvrer sous l’égide d’organismes coordonnateurs. Ces derniers sont chargés : – d’assurer la coordination des travaux entre les éco-organismes, – de créer un service de guichet unique proposant une mise en relation avec les services de la Rep pour les usagers. Mais aussi une interface administrative unique pour les collectivités territoriales en charge du service public de gestion des déchets (SPGD), – de répartir les obligations des éco-organismes relatives à la collecte des déchets issus de PMCB, notamment de ceux générés par des catastrophes naturelles ou accidentelles et de ceux abandonnés de manière sauvage. Toutes les spécificités du rôle et les devoirs des organismes coordonnateurs sont à retrouver dans l’annexe III de l’arrêté du 10 juin 2022. Des organismes coordonnateurs comme interlocuteurs uniques Le texte fixe aussi des taux de collecte, de recyclage et de réemploi. Pour les déchets inertes, l’objectif de collecte est de 82 % en 2024 et de 93 % en 2027. Pour les autres matériaux, le taux s’élève à 53 % en 2024 et 62 % en 2027. En termes de valorisation, il faudra atteindre 77 % en 2024 et 88 % en 2027 pour les déchets inertes et 48 % en 2024 et 57 % en 2027 pour les autres. Lire aussi :Valobat : La Rep en fer de lance pour le recyclage des déchets Les taux de recyclage devront s’élever à 35 % et 43 % (respectivement en 2024 et 2027 pour les déchets inertes) et 39 % et 45 % (respectivement en 2024 et 2027 pour les autres déchets hors métaux). Certains flux de matériaux disposent de taux de recyclages précis. Ainsi, pour les paliers 2024 et 2027, les chiffres sont de : 60 % pour le béton (pour les deux paliers),90 % pour le métal (pour les deux paliers),42 %, puis 45 % pour le bois,19 % et 37 % pour le plâtre,17 % et 24 % pour les plastiques,4 % et 18 % pour le verre. Le réemploi et la réutilisation font aussi l’objet d’objectifs. Ainsi, les éco-organismes des PMCB devront atteindre un pourcentage minimal de 2 % en 2024 et 4 % en 2027.Pour le moment, la mise en place de la Rep Bâtiment est toujours fixée au plus tard au 1er janvier 2023. D’ici là, la liste des éco-organismes agréés et des organismes coordonnateurs ne devrait pas tarder à se faire savoir…
Il y a 2 ans et 327 jours

Nouvelle formule pour les enduits en pate PLACOMIX PRO et PLACOMIX PRO ALLEGE : PLACO au rendez -vous de la glisse

 Placo® réaffirme son expertise en matière d’enduits de jointoiement. Après avoir lancé en 2005 l’une des premières offres d’enduits en pâte pour le traitement des joints entre plaques de plâtre, il fait aujourd’hui évoluer ses gammes Placomix® Pro et Placomix® Pro Allégé pour proposer une solution ergonomique aux professionnels et bricoleurs. Gain de temps et […]
Il y a 2 ans et 327 jours

La société Néolithe réalise avec succès sa troisième levée de fonds d’un montant de 20 millions d’euros, marquant une étape clé pour son développement.

Chalonnes-sur-Loire, juin 2022_ Néolithe, jeune start-up industrielle française lauréate de la nouvelle promotion du French Tech Green20, à l’origine d’une innovation majeure dans le traitement des déchets, vient de réaliser sa troisième levée de fonds d’un montant total de 20 millions d’euros auprès de Otium Capital et d’investisseurs familiaux. Une étape supplémentaire dans le développement […]
Il y a 2 ans et 327 jours

Nouveau RX CUBE de CDVI : gérer et contrôler des accès via smartphone le plus simplement du monde !

Fabricant de systèmes de contrôle d’accès et de verrouillage électronique, CDVI s’attache depuis près de 40 ans à développer des solutions qui allient une grande facilité d’installation et d’utilisation, le tout en assurant un niveau de sécurité optimal. Aujourd’hui, CDVI illustre une nouvelle fois cette volonté et lance RX CUBE, un micro-récepteur radio contrôlé par Bluetooth® qui, associé à une application smartphone, simplifie la gestion et l’ouverture des accès. Un petit cube pour centraliser les accès depuis un smartphone ou une seule télécommande De la taille d’une boîte d’allumettes, le RX CUBE est un micro-récepteur radio qui s’intègre à tous les automatismes de porte, portail ou portillon pour déclencher leur ouverture. Alimenté par une tension de 12/24 V, il est contrôlé par Bluetooth® et offre ainsi un mode de fonctionnement hybride par télécommande radio classique (433,92 MHz) mais aussi par smartphone grâce à l’application RX Cube dédiée, téléchargeable gratuitement sur l’App Store et Play Store. Au-delà de limiter les problématiques liées à la gestion d’un grand nombre de télécommandes dans un immeuble résidentiel ou tertiaire, l’application RX Cube facilite le travail des installateurs et des administrateurs puisque toute la configuration et la gestion des accès s’effectue directement via le smartphone. Une gestion et une configuration encore plus simple et plus rapide Intuitive, l’application RX Cube de CDVI propose trois profils différents protégés par un mot de passe : – « Installateur » pour la mise en œuvre sur place du récepteur RX Cube, à partir duquel le professionnel réalise, à proximité, le paramétrage de son fonctionnement (gestion de la temporisation du relais selon les temps d’ouverture souhaités…). Plus besoin d’accéder physiquement au boîtier, tous les réglages se font depuis le smartphone pour un réel confort d’utilisation. Il est également possible d’effectuer le premier appairage, à l’unité ou groupé, entre les récepteurs RX Cube et les émetteurs (télécommandes ou smartphone), – « Administrateur » destiné aux gestionnaires de bâtiment, syndicats de copropriété… qui vont pouvoir gérer jusqu’à 250 émetteurs différents, leur attribuer des droits d’accès selon leurs profils, mais aussi configurer le récepteur RX Cube en fonction des besoins et/ou du fonctionnement des équipements qui lui sont liés (portail, portillon, barrière…). A tous moments, ils bénéficient d’une vue d’ensemble de l’installation et peuvent effectuer des appairages supplémentaires pour ajouter ou modifier des émetteurs ou encore supprimer des droits en cas d’émetteur perdu ou non restitué dans le cas d’une télécommande, par exemple, – « Utilisateur » qui pour déclencher l’ouverture d’un accès n’a plus qu’à lancer l’application RX Cube sur son smartphone et à appuyer sur le bouton central sur lequel est indiqué « ouvrir le portail ». Autre avantage non négligeable, administrateurs et installateurs peuvent gérer à proximité, dans la même application, les accès de plusieurs sites différents. Compatible avec la gamme complète de télécommandes CDVI et les digicodes Galeor utilisant le protocole Keeloq@Hopping code, RX CUBE rend le contrôle virtuel des accès fiable et accessible à tous, clients professionnels comme utilisateurs finaux. http://www.cdvi.com/
Il y a 2 ans et 327 jours

1m2 , un escalier gain de place sûr et facile   installer pour remplacer les échelles inconfortables ou les marches disgracieuses.

L’escalier dénommé « 1m² » existe parce que les petits espaces exigent un aménagement plus créatif à l’heure où les prix au mètre carré augmentent.  Cet escalier innovant n’occupe qu’un mètre carré d’espace. Conçu par EeStairs, fabricant néerlandais leader du marché mondial d’escaliers haut de gamme, « 1m² » répond à une demande croissante des […]
Il y a 2 ans et 327 jours

Nouveauté : les interrupteurs et prises gallery disponibles avec un traitement antibactérien

Hager complète sa gamme d’appareillage mural gallery avec des références de prises et interrupteurs dotées d’un traitement antibactérien. Elles répondent aux besoins de tous les lieux où l’hygiène est primordiale : établissements de santé, maisons de retraite mais aussi les écoles, les espaces collectifs. Risque de prolifération et d’infection réduit 23 références blanches sont concernées […]
Il y a 2 ans et 327 jours

USM à la Milano Design Week – True Pink !

Du lundi 6 juin au dimanche 12 juin 2022, tous les jours de 10h00 à 19h30 Vélos Rossignoli, Corso Garibaldi 71, Brera, Milan Pour cette nouvelle édition du Fuorisalone 2022, USM, le fabricant suisse de mobilier haut de gamme modulable pour le bureau et la maison, investit le magasin Rossignoli Bikes à Brera ! Au […]
Il y a 2 ans et 327 jours

Firestone s’appelle dorénavant Elevate

Un peu plus d’un an après son rachat par Holcim, le spécialiste dans les solutions d'étanchéité en EPDM devient la division Holcim Building Envelope. Quant à la marque produit, elle change de patronyme.
Il y a 2 ans et 328 jours

Gree intègre ses données certifiées Eurovent dans ses objets BIM, grâce à son partenaire BIM&CO

Pour la première fois, un industriel intègre des données certifiées issues d’Eurovent à ses objets BIM. Gree, associé à BIM&CO, a travaillé en ce sens dans le but de booster la qualité des livrables de ses clients. En intégrant le jeu de données certifié Eurovent à ses produits HVAC, Gree permet à ses clients des gains de temps significatifs, et un accès à des données critiques de l’objet prenant donc un état certifié, ce qui permet de limiter les vérifications. Gree mise sur des objets BIM aux données certifiées Eurovent Gree, le plus grand fabricant de climatiseurs au monde, est passé au BIM car “Le monde digital des projets de construction avance vite et, sans outils permettant de simuler les projets, il n’y a pas d’espérance de survie.”, d’après Philippe Caron, Directeur Marketing chez Gree. Le fabricant innove aujourd’hui en misant sur des objets BIM aux données certifiées dans le but de faciliter la prescription de ses produits pour ses clients. En effet, ces derniers seront dotés de packages garantis par Eurovent sur leurs produits HVAC. Eurovent est reconnu comme le leader européen de la certification tierce partie des performances des produits dans les domaines du chauffage, de la ventilation, de la climatisation et de la réfrigération. Ses membres de toute l’Europe représentent plus de 1 000 fabricants. Pour Philippe Caron, l’intérêt des données certifiées Eurovent pour un fabricant HVAC se trouve dans “La qualité et la richesse des informations remises, la confiance du client, la simplification de son travail (car des contrôles par un organisme indépendant ont été faits en amont). À terme, des éditeurs vont également exploiter leurs données encapsulées et encore gagner en  temps.  Il n’y aura plus besoin d’aller fastidieusement chercher les informations sur les sites des bases actuelles.” Vous êtes fabricant HVAC et souhaitez que les données de vos objets soient certifiées Eurovent ? Échangez avec l’un de nos experts ! Découvrez la suite dans notre communiqué de presse ! 
Il y a 2 ans et 328 jours

MADEL exporte ses fichiers BIM en format CAO sur Traceparts

Le partenariat TraceParts et BIM&CO permet aux fabricants de publier sur la plateforme TraceParts, directement depuis les outils développés par BIM&CO, sans coûts supplémentaires.  Le fabricant d’éléments de diffusion, réglage et contrôle de l’air Madel bénéficie de ce partenariat pour la diffusion de ses produits aux formats CAO et BIM sur les deux plateformes, permettant un véritable gain de temps et une réduction des coûts.  Découvrez les détails de ce partenariat, et surtout le processus d’exportation des fichiers BIM de Madel sur Traceparts.  Partenariat BIM&CO et Traceparts, pour faciliter la vie des fabricants Les fabricants de la construction, tels que Madel, doivent aujourd’hui fournir de nombreuses données aux différents métiers du BTP. La multitude de formats géométriques et de données produits demandés rendent la phase de création et de maintenabilité de ces éléments complexes. Face à ces besoins, les processus sont souvent dupliqués, engendrant des coûts de gestion de projets supplémentaires, et les délais de mise sur le marché des données produits sont allongés. Pour répondre à ces enjeux, TraceParts et BIM&CO ont choisi d’unir leurs forces, en permettant aux fabricants qui le souhaitent de faire modéliser leurs produits et de les diffuser dans une multitude de formats BIM et CAO en s’appuyant sur un processus unique. Baptiste MULLIE, CEO de BIM&CO commente  : « Les solutions de gestion de contenu BIM&CO permettent de convertir les modèles BIM en CAO à la volée, via un processus complètement transparent. Les fabricants pourront centraliser leur bibliothèque et structurer la publication digitale de l’ensemble de leurs produits au sein d’un seul et même workflow. Cette solution simplifiée représente un gain de temps, mais surtout d’argent puisque la diffusion sur TraceParts.com est totalement gratuite pour nos clients actuels et futurs ! » Madel, fournisseur de produits CVC, fait partie de ces fabricants ayant pour objectif de créer et diffuser ses produits à la fois en fichiers CAD pour l’industrie, mais aussi en fichiers BIM pour la construction. Découvrez la suite dans notre communiqué de presse ! 
Il y a 2 ans et 328 jours

KSB équipe le plus haut bâtiment des Pays-Bas de pompes

Nelly Philipponnat, ingénieur ESTP, a depuis plus d’une vingtaine d’années assumé des postes de marketing, communication et de représentation au sein des différentes instances professionnelles en lien avec le matériau verre. Elle est actuellement directrice des bâtiments durables de Saint-Gobain Glass bâtiment France. Feuille de route 2022-2025 Faire vivre le référentiel CEKAL au rythme des évolutions techniques pour un programme de certification exigeant, adapté à la réglementation et aux développements technologiques du secteur. Suivre les évolutions des textes européens et s’y adapter. Faciliter l’apprentissage des centres certifiés aux évolutions normatives relatives à la fabrication de produits entrant dans le domaine de compétence de CEKAL. Achever enfin le retour à un rythme de croisière après la crise de la pandémie, avec une vigilance toujours forte sur le suivi et l’évaluation des constituants qui équipent les vitrages.Mener à bien les évaluations annuelles du Cofrac.Échanger avec les centres certifiés et les informer, via les Rencontres régionales CEKAL organisées chaque année avec un nouveau programme. En 2022, elles se dérouleront à Nancy le 12 mai, à Grenoble le 5 juillet (avec la visite des laboratoires du CSTB), à Bordeaux le 19 octobre.Participer à la grande rencontre des acteurs du bâtiment avec la conférence CEKAL organisée le 5 octobre 2022 sur Batimat.Communiquer vers les utilisateurs, notamment au travers de la mise à disposition de vidéos sur les contrôles et le marquage pour les vitrages isolants, feuilletés et trempés et continuer à proposer un site Internet ouvert et transparent. Le mot de Nelly Philipponnat : le dévouement et l’implication à mes côtés des membres du nouveau Bureau, des présidents et membres des commissions et comités à notre cause commune seront, comme toujours, essentiels pour tenir l’objectif d'une certification rigoureuse qui bénéficie à toutes les parties prenantes. Nous aurons à cœur de faire vivre le référentiel au rythme des évolutions techniques, de suivre au plus près l'évolution des textes européens et s'y adapter, d’évaluer les constituants qui équipent les vitrages, et ne pas baisser la garde en matière de confidentialité et d'impartialité
Il y a 2 ans et 328 jours

SPECIAL BOIS

Atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050 avec le Bois https://www.urbaindesbois.fr/ https://www.savare-eiffage.fr/ https://www.samse.fr/ https://www.groupe-isb.fr/ https://www.isover.fr/ https://pathpromotion.com/ https://graamarchitecture.fr/ https://www.horizons-bois.com/ https://www.uicb.pro/ https://www.charpentes-bois.com/
Il y a 2 ans et 328 jours

Résistance thermique des panneaux isolants de toiture : QUICKCIEL défend le consommateur et publie tous ses R Paroi

Division spécialisée de Knauf pour l’Isolation Thermique par l’Extérieur des toitures, QUICKCIEL lance une alerte pour la défense des intérêts et du confort du consommateur en pointant certaines valeurs thermiques passées sous silence. Le point fondamental garantissant la performance d’un isolant est sa résistance thermique, exprimée en R. S’il existe deux catégories de cet indice, […]
Il y a 2 ans et 328 jours

Le Rapport AGC Glass sur le développement durable 2022 est désormais en ligne

Ces réalisations sont le fruit de l’engagement continu de tous les sites d’AGC Glass Europe pour atteindre les objectifs environnementaux de l’entreprise à l’horizon 2030. Activités de production : Coup d'œil sur les réalisations de 2021 Récupération d’énergie et production d’électricité : AGC a commencé à installer des panneaux PV et des installations de récupération de chaleur en 2009. Depuis, la production d’électricité n’a cessé de croître pour atteindre 32.221 MWh d’énergie récupérée et autoproduite en 2021.Air : Sur une base comparable, par tonne de verre vendu, la partie Upstream Operations a réduit ses émissions directes de CO2 de 10% depuis 2002. L’utilisation de fiouls lourds a diminué de manière constante au cours de cette période, pour disparaître complètement en 2020. Depuis 1999, les émissions spécifiques de poussières ont été réduites de quelque 63%Eau : Entre 1998 et 2021, AGC Glass Europe est parvenu à réduire sa consommation d’eau de 69% sur une base comparable.Déchets solides : Aujourd'hui, la quantité de déchets solides produits par le Groupe avoisine les 220.000 tonnes/an, dont 97% environ sont encore recyclés ou récupérés sur site par les fournisseurs ou entrepreneurs du Groupe.Transport : 57% des matières premières sont transportées par bateau, péniche et train, soit l’équivalent de quelque 57.985 camions en moins par an sur les routes. En 2021, près de 42.000 tonnes de produits verriers finis ont été transportés par train et par camion, soit quelque 2.100 camions en moins par an sur les routes.Emballages : Aujourd'hui, la plupart des emballages de verre sont réutilisables. AGC Glass Europe présente un taux très élevé de réutilisation de ses emballages. En Belgique, 98 % des emballages sont réutilisés.Recyclage : AGC Glass Europe recycle environ 1.000.000 de tonnes de verre chaque année, économisant près d’1.150.000 tonnes de matières premières et 700.000 tonnes d’émissions de CO2. Production d'énergie verte dans les usines AGC AGC a commencé à installer des panneaux photovoltaïques et des installations de récupération de chaleur en 2009. De nombreux projets sont à l'étude pour augmenter encore la production d'énergie verte et de réduire la consommation d'électricité du réseau et les émissions de CO2 associées. Le dernier projet confirmé concerne l'usine de verre float d'AGC à Seingbouse (France), où une installation ORC pour la récupération de la chaleur résiduelle et une centrale photovoltaïque seront installées en partenariat avec l’énergéticien E.ON . Empreinte Carbone 1:9AGC Glass Europe contrôle l'empreinte carbone totale de ses opérations en suivant les directives du GHG Protocol. Le premier calcul de l'empreinte carbone d'AGC a été effectué en 2009 et il s’est fait tous les trois ans jusqu'en 2020. Il est désormais calculé chaque année afin de mieux suivre la progression de la feuille de route carbone d'AGC Glass Europe. Le dernier calcul montre que les activités d'AGC Glass Europe sont responsables, directement et indirectement, de 3.535.000 tonnes de CO2 émises par an (année de référence 2020). AGC Glass Europe contrôle également le carbone évité par l'utilisation de ses produits, ce qui donne 33.530.000 tonnes de CO2 évitées. Cela signifie que pour chaque tonne de CO2 émise par AGC, près de 9 tonnes sont évitées grâce à l'utilisation des produits AGC.Découvrez dès maintenant le Rapport* AGC Glass sur le développement durable en surfant sur www.agc-glass.eu.(*) Le Rapport sur le Développement Durable n’est disponible qu’en ligne et en anglais.
Il y a 2 ans et 328 jours

Nouvelle collection OUVELLE COLLECTION FLOTEX HÔTELLERIE et LOISIRS : faire de tous les espaces un endroit unique

Si  » l’instagrammabilité  » des lieux de villégiature s’impose comme LA grande tendance, gageons que Forbo Flooring va en moduler les codes avec sa nouvelle collection Flotex Hôtellerie & Loisirs. Il ne s’agira plus seulement, pour les accros aux photos, de poster sur les réseaux les plus beaux paysages, mais de capturer l’esthétique et l’inventivité des […]
Il y a 2 ans et 328 jours

Cemex décarbone le transport de ses matériaux de construction

Cemex s’est ainsi engagé à réduire ses émissions de carbone liées aux transports routier, ferroviaire et fluvial de 12 % d’ici à 2024. [©Photothèque Cemex] Conscient de l’enjeu majeur que représente la décarbonation de ses activités, y compris dans le transport des matériaux. Cemex incite ses transporteurs réguliers à investir dans des véhicules utilisant des carburants alternatifs. Ainsi, plusieurs des camions transportant les matériaux du groupe roulent au gaz naturel, au biogaz ou encore au biocarburant. Déjà engagé depuis de nombreuses années dans la décarbonation de ses activités, le bétonnier s’oriente davantage dans celle de ses transports. En effet, depuis le printemps 2022, les véhicules du groupe utilisant des carburants alternatifs ou de l’énergie électrique sont signalés d’un marquage spécifique. « L’un de nos transporteurs en Ile-de-France utilise un semi-remorque roulant au gaz naturel et équipée d’une toupie indépendante de 12 m3 100 % électrique. Ce camion figure parmi les premiers semi-remorques avec cuve électrique en France. Le tracteur a été construit par Volvo et la remorque par le Belge Debuf. Il présente l’avantage d’être moins polluant que les véhicules conventionnels, pour lesquels jusqu’à 40 % de l’énergie est dédiée à faire tourner la cuve », indique Emanuel Mendes, directeur logistique BPE. Un marquage pour valoriser l’action climatique de Cemex Le groupe a ainsi imaginé le logo “Future In Action” pour ses véhicules roulant aux énergies moins polluantes et spécifiant l’énergie alternative utilisée. Entre mars et juin, les premiers marquages ont été réalisés sur un camion-benne, un deux toupies, dont une sur un semi-remorque électrique. Dans les mois à venir et partout en France, tous les nouveaux véhicules utilisant des carburants alternatifs seront logotés. « Cemex est engagé de longue date en faveur de la réduction de son empreinte carbone. A travers “Future In Action”, notre stratégie d’action climatique, nous nous sommes fixés pour objectif de réduire de 55 % d’ici à 2030 les émissions de carbone de nos activités en Europe. Ceci, afin d’atteindre les objectifs des accords de Paris », conclut Louis Natter, directeur développement durable. Cemex s’est engagé à réduire ses émissions de carbone liées aux transports routier, ferroviaire et fluvial de 12 % d’ici à 2024.
Il y a 2 ans et 328 jours

NOUVEAU SYSTÈME DE RAILS INSERT

Nouvelle génération de système de rails insert pour plus de flexibilité et de facilité de mise en oeuvre !  En tant que leader mondial des systèmes de fixation, fischer s’attache à développer des solutions d’ancrage innovantes, aux performances élevées et assurant une grande sécurité aux ouvrages. Pour les applications très exigeantes dans le domaine de la […]
Il y a 2 ans et 328 jours

Nouvelle Collection Création 2022 Gammes Création 40 et Création 55

Une collection All in 1, pensée de manière transversale, offrant un choix à la carte en matière de design et de solutions de pose selon l’usage (rénovation ou neuf) et le trafic (léger ou modéré) Gerflor, pionnier des dalles et lames vinyles depuis 1985, confirme avec ces innovations esthétiques et technologiques son leadership sur le […]
Il y a 2 ans et 329 jours

Soprema et Berkem créent un panneau isolant en fibre de bois

COLLABORATION. Le spécialiste de l'isolation et l'étanchéité, Soprema, et Berkem, spécialiste de l'intégration de la chimie du végétal, se sont associés pour mettre au point un panneau isolant en fibres de bois plus résistant face aux mirco-organismes.
Il y a 2 ans et 329 jours

Trois nouveaux directeurs au sein du Sfic

Pôle “Application” du Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic), Cimbéton vient de nommer trois nouveaux directeurs. En charge respectivement des questions de bâtiment, de génie civil, et des routes et terrassements. « Ce renforcement des équipes s’inscrit pleinement dans les ambitions et les objectifs de l’industrie cimentière en faveur de la décarbonation et du développement d’une construction durable », indique le Sfic. Le parcours de Stéphane Herbin Stéphane Herbin est nommé directeur bâtiment. Il succède à Laurent Truchon. « Incontournable dans la construction, le béton est destiné à toutes formes d’ouvrages et doit, à ce titre, répondre aux enjeux majeurs du développement durable. Et accompagner les nécessaires mutations du secteur du bâtiment dans les prochaines années. RE 2020, économie circulaire, flexibilité et mixité, gestion de ressources et des déchets, sont les principales thématiques. Sur lesquelles l’industrie cimentière œuvre, met au point et diffuse des solutions », rappelle Stéphane Herbin, définissant ainsi les orientations qu’il entend porter en tant que directeur bâtiment. Architecte DPLG, Stéphane Herbin débute sa carrière, en exerçant pendant une dizaine d’années au sein de diverses agences d’architecture. En 2000, il rejoint le Centre technique industriel de la construction métallique (CTICM), qui lui confie une mission de développement et de promotion des systèmes constructifs à base d’acier pour le logement collectif. Par la suite, il dirige des projets de recherche et d’innovation sur les différents aspects du développement durable. Mais aussi sur la problématique de la corrosion des bâtiments et ouvrages, ainsi que de l’application du BIM dans la modélisation des données. Ces travaux se sont traduits par l’élaboration de Fdes collectives, la création du configurateur save-construction.com, et la participation active aux normes NF EN 15804 et NF EN 15978 aux niveaux français et européen. Après une vingtaine d’années au service du CTICM, il apporte ses compétences auprès d’UPFactor, spécialisé dans la surélévation de bâtiments existants. Puis, rejoint en mai 2022 Cimbéton, le pôle application du Sfic. Le parcours de Benjamin Daubilly Benjamin Daubilly rejoint le Sfic en mars 2022 en tant que directeur génie civil. Il succède à Patrick Guiraud, qui a fait valoir ses droits à la retraite. « Les solutions en béton offrent une large palette d’utilisations en génie civil, dont la pérennité n’est plus à démontrer. Les constituants du béton, le dimensionnement des ouvrages… font l’objet de nombreuses avancées techniques qui sont compatibles avec les enjeux de la société. A savoir, le respect de la biodiversité, l’économie circulaire, la réduction des émissions de gaz à effet de serre… Il convient de promouvoir ces avancées, en particulier auprès des maîtres d’ouvrage, comme des solutions efficaces et durables », rappelle Benjamin Daubilly. Et de conclure : « Si les attentes sont grandes, les possibilités du béton sont, elles, infinies ». Ingénieur, diplômé des Mines d’Alès en 1999, option génie civil, ressources et aménagement, Benjamin Daubilly débute sa carrière en Nouvelle Calédonie en tant que responsable d’exploitation sur une mine de nickel. Avant de revenir en métropole, intervenant sur des sites d’exploitation de granulats, de roches massives et de sablières. En 2006, il rejoint la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), prenant en charge les sujets de normalisation et de réglementation technique. Dans ce cadre, il participe à la révision de la norme béton EN 206 et de son complément national. Ainsi qu’à l’élaboration des fascicules du CCTG portant sur le référentiel “Génie civil 2010”. En 2015, il est nommé délégué général de l’Union des métiers de la terre et de la mer (UMTM), organisme affilié à la FNTP, qui regroupe quatre syndicats professionnels dans le domaine des fondations spéciales, des terrassements, des travaux maritimes et fluviaux et des travaux souterrains. Le parcours de Cédric Le Gouil Cédric Le Gouil rejoint le Sfic, en mai 2022, en tant que directeur routes et terrassements. Il succède à Joseph Abdo. « Les performances structurelles et de durabilité des infrastructures mises en œuvre à base de matériaux aux liants hydrauliques ne sont plus à démontrer. Aujourd’hui et demain, les produits cimentiers vont continuer d’apporter des solutions pérennes et innovantes, tant pour la construction que pour l’entretien des infrastructures routières », explique Cédric Le Gouil. HerbinEt de poursuivre : « Historiquement engagée dans les évolutions de l’aménagement territorial, la profession va poursuivre ses efforts et accélérer sa transformation des process industriels pour les rendre encore plus vertueux. Le développement de nouvelles formulations de liants et de matériaux, l’optimisation des méthodes de construction, ainsi que l’apport de nouvelles fonctionnalités au travers de produits innovants contribueront pleinement à cette démarche de développement responsable. En phase avec les enjeux économiques, environnementaux et sociétaux. Je m’attacherai, dans mes nouvelles fonctions, à promouvoir toutes ces nouvelles solutions développées par l’industrie cimentière ». De formation universitaire scientifique et diplômé du Conservatoire national des arts et métiers de Paris, option matériaux avancés et management en 2002, Cédric Le Gouil travaille pendant 20 ans au sein de la Direction technique, R&D du groupe Colas, à Magny-Les Hameaux (78). Il y fait ses premières armes au service “Enrobés bitumeux”, avant de rejoindre celui des matériaux et liants hydrauliques. Poursuivant sa carrière chez Colas, Cédric Le Gouil intègre, en 2021, la direction développement en tant que responsable technique et développement.
Il y a 2 ans et 329 jours

Communauté réinventée dans la Tour de Bretagne à Nantes

A Nantes (Loire-Atlantique), des masses aux multitudes : une communauté de travailleurs dans la Tour Bretagne de Louis Fiolleau est un projet total qui ajoute à l’acte de réhabiliter une portée, utopique, sociale et politique. Premier prix ex-aequo du concours Construire Acier 2022 pour cette utopie coopérative. Le thème du concours Construire Acier 2022 interrogeait les […] L’article Communauté réinventée dans la Tour de Bretagne à Nantes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 329 jours

Les bornes de recharge pour véhicules électriques descendent en sous-sol

L'opérateur Q-Park a annoncé mardi l'installation de 4.000 bornes de recharge d'ici à 2025 dans ses parkings français, où il gère 126.000 places. Le leader français du stationnement, Indigo, a déjà installé 1.050 points de recharge et en a annoncé presque 7.000 de plus d'ici 2025."Notre ambition est d'amener ce service de recharge en coeur de ville", a déclaré à l'AFP Michèle Salvadoretti, directrice générale de Q-Park France. Les bornes prévues par Q-Park délivrent une puissance moyenne de 7 à 22 kilowatts, visant les automobilistes qui "viennent trois heures pour faire des courses, se garer la nuit ou pendant leur travail". Q-Park prévoit notamment d'installer ses premières bornes dans les souterrains de La Défense, où les salariés des tours commencent à s'équiper en véhicules électriques.Les Airbnb du parking sont aussi sur les rangs : la plateforme Yespark, qui loue des places inoccupées sous des immeubles d'habitation, a installé 300 bornes à Paris en 2021 et prévoit d'accélérer en 2022.Ces annonces donnent un coup d'accélérateur à l'équipement des villes en bornes ouvertes au public, qui a pris du retard en France. Si les particuliers ont commencé à s'équiper et que les bornes ouvertes au public fleurissent sur certains grands axes routiers et sur les parkings de supermarchés, elles restent encore bien absentes des centre-villes."Pour être au bon niveau d'équipement du territoire, il manque 15.000 bornes d'ici 2025", avait indiqué le ministre des Transports fin 2021.Alors que la Commission européenne compte interdire la vente de véhicules thermiques en 2035, la loi l'orientation des mobilités (LOM) impose de connecter une place sur vingt dans les parkings des bâtiments d'entreprises existants, et de pré-équiper 20% des places dans les nouveaux parkings depuis 2021. Une aide publique couvre les coûts de fourniture et d'installation à hauteur de 60%.Entre 15 et 30 euros le pleinParallèlement, de nombreuses métropoles comptent sur les parkings souterrains pour accueillir les voitures chassées du stationnement en surface.Mais les contraintes de sécurité incendie rendent coûteuse l'installation de bornes souterraines. Jusqu'en 2009, la loi limitait à trois le nombre de véhicules électriques garés en sous-sol. Désormais, si un opérateur veut installer plus de 20 bornes à un étage, des bornes ultra-rapides, ou en installer en dessous du très demandé premier niveau du parking, il faut qu'il équipe tout le niveau de coûteux "sprinklers", des extincteurs automatiques à eau."Le coût du sprinklage peut être prohibitif par rapport à une équation de la recharge qui n'est déjà pas simple", explique Quentin Derumaux, auteur d'une étude sur les bornes pour le cabinet Sia Partners."Les opérateurs peuvent aussi se trouver en concurrence avec une offre que la collectivité locale déploie en voirie et sans trop de visibilité sur ce qu'elle va déployer", relève-t-il.Q-Park va lancer son offre à un tarif avantageux (hors coût du parking), à un euro la charge et 30 centimes le kWh, sans contrainte de temps, soit entre une quinzaine et une trentaine d'euros le "plein", selon la taille de la batterie.La tarification pourrait évoluer dans quelques années avec la multiplication des voitures électrifiées, et notamment prendre en compte le temps de charge pour accélérer les rotations et éviter les voitures-ventouses, a précisé Q-Park.D'autres opérateurs souterrains misent déjà sur la charge rapide (entre 20 minutes et une heure pour le plein), notamment à destination des flottes d'entreprises, des loueurs, des VTC et taxis.Total prévoit d'installer dix stations de recharge avec des bornes de 50 kW dans des parkings souterrains parisiens. Indigo a également annoncé la signature prochaine d'un partenariat pour lancer dès 2022 des stations puissantes dans une quarantaine de parkings français.
Il y a 2 ans et 329 jours

Domomat, e-fournisseur de tous vos travaux

Domomat, le e-fournisseur de tous vos travaux, propose une large gamme de produits de bricolage pour la réalisation de vos travaux. L’équipe de Domomat a ainsi sélectionné pour ses clients particuliers et professionnels près de 50 000 références en ligne et plus de 200 marques spécialistes. Domomat, du matériel électrique au bricolage Le parcours de Domomat est ponctué d’évènements significatifs pour son développement : 2013 : Avant Domomat, il y avait le-materiel-electrique.com – Site de vente en ligne essentiellement tourné vers la vente en ligne de matériel électrique 2015 : la société s’appelle désormais Domomat avec de nouvelles gammes de produits 2018 : L’entreprise affirme sa proposition de valeur et se positionne comme le e-fournisseur de tous vos travaux 2020 : Domomat déménage sur Alby-sur-chéran dans des locaux plus vastes et augmente sa surface de stockage Le e-commerçant Domomat pour réaliser ses travaux En devenant le  « e-fournisseur de tous vos travaux », Domomat propose à l’achat une multitude d’articles à la typologie variée. Parmi elles : La climatisation avec des clims mobiles mais aussi des climatiseurs réversibles et des rafraichisseurs d’air. Toujours afin de limiter la sensation de chaleur, les ventilateurs de plafond ou ventilateurs sur pied. Les radiateurs et sèche-serviettes, connectés ou non, déclinés en plusieurs couleurs ou simplement blanc. Vous retrouverez ainsi dans le catalogue en ligne : des radiateurs Atlantic, Thermos ou Acova mais aussi les accessoires vous permettant de les programmer en toute simplicité. Les prises et interrupteurs de toutes marques pour commander l’éclairage, des équipements électriques ou encore les volets-roulants. Ainsi les prises de courant Odace Schneider Electric côtoient les prises RJ45 Céliane de Legrand, les plaques habillent les variateurs Legrand Dooxie… Le matériel de plomberie pour l’alimentation en eau potable mais aussi l’évacuation des eaux usées avec des tubes PER ou du multicouche, des L’éclairage, pour mettre en lumière vos espaces. Un choix large allant de la borne extérieure au spot encastré pour meubles, du hublot à la suspension design… L’outillage, indispensable pour l’installation des équipements. Parmi les références appréciées : une perceuse visseuse, des tournevis, des pinces… Le sanitaire avec la robinetterie, les cuvettes et autres douches, afin d’équiper vos salles de bains, WC ou encore cuisine. Et bien évidemment le matériel électrique divers avec des disjoncteurs, des interrupteurs différentiels etc pour assurer la protection des installations électriques et des habitants, mais également des coffrets électriques vides ou précâblés ainsi que des câbles électriques… Domomat, spécialiste du matériel électrique 3 raisons de commander chez Domomat Toute l’équipe de Domomat est basée en France, en Haute-Savoie. Que ce soit avant, pendant, ou après l’achat, c’est une trentaine de collaborateurs qui vous accompagnera dans votre projet. Parfois en direct via le service client et le service technique ou dans les coulisses avec les services informatique, rédaction, achats, communication et logistique. Ainsi, le service client est joignable de 9h à 12h et de 14h à 17h par mail ou via un numéro gratuit. Autre raison de commander chez Domomat, l’entreprise livre dans toute la France mais aussi à l’étranger. Plusieurs modes de livraison peuvent être proposés en fonction de la typologie de produits. Colissimo, Chronopost, point relais, retrait entrepôt ou directement au pied de l’immeuble via transporteur, le choix est donné aux clients particuliers et professionnels pour faire en fonction de leurs besoins. Chez Domomat.com, vous trouverez également un catalogue en ligne qui offre un vaste choix dans les références de produits disponibles sur le site, toujours avec l’objectif de proposer du matériel de qualité à prix réduit. Ce catalogue évolue chaque jour et si un produit n’existe pas, il suffit d’en faire la demande via le formulaire. L’équipe fera alors le nécessaire pour enrichir son site en fonction des disponibilités des références chez leurs fournisseurs.
Il y a 2 ans et 329 jours

Badi Deco, un nouveau badigeon 100% chaux aérienne prêt a l’emploi

En effet l’application d’un régulateur en première couche n’est pas nécessaire. Le lancement du badigeon s’accompagne également d’un nouveau nuancier et de nombreuses teintes sur mesure pour répondre aux demandes de coloris spécifiques. Formulé sans COV, BADI DECO s’applique aussi bien sur les façades que sur les murs intérieurs en rénovation comme en neuf.Un badigeon facile a appliquerDéveloppé pour répondre aux contraintes du bâti ancien, BADI DECO de PAREXLANKO est un nouveau badigeon aux multiples vertus. Il se compose de chaux grasse en pâte 100% aérienne (selon la norme NF EN 459-1) prête à diluer. BADI DECO assure une excellente perméabilité à la vapeur d’eau pour une meilleure durabilité dans le temps. Le nouveau badigeon a également été pensé pour une application sur des bâtiments neufs. Dès lors que les supports ne sont pas fermés ni hydrofugés, le nouveau badigeon de PAREXLANKO s’utilise à la fois comme régulateur pour la première passe et / ou comme produit de finition sur différents supports selon la dilution choisie (badigeon, eau forte, patine, …).En outre, BADI DECO ne contenant pas de COV (composés organiques volatiles), il autorise son application dans l’habitat tout en préservant la qualité de l’air intérieur. Il existe plusieurs supports admissibles tel que les maçonneries anciennes ou neuves enduites conformément au NF DTU 26.1, les enduits PAREXLANKO de la gamme PATRIMOINE, les mortiers d’interposition PARINTER RENOVATION ou encore les mortiers de plâtre et de chaux (MPC) ainsi que les pierres calcaires ou les briques.BADI DECO pensé pour l’applicateurPensé pour réduire la pénibilité sur les chantiers, PAREXLANKO a conçu son badigeon BADI DECO, prêt à l’emploi, avec une nouvelle formulation offrant une plus grande facilité d’application.Coloris : une réponse aux tendances actuellesLa commercialisation de BADI DECO s’accompagne d’un tout nouveau nuancier proposant 8 teintes, les plus prisées en façades. PAREXLANKO répond à une tendance forte des prescripteurs le blanc : celui de PAREXLANKO révèle une extrême blancheur grâce à son coloris 1000.Pour autant, afin de répondre à toutes les demandes et éventuelles contraintes de chantiers (coloris pouvant être exigé par les Architectes des Bâtiments de France, imposé par une commune, etc.), PAREXLANKO propose également un large panel de teintes sur mesure (avec un minimum de commande). Enfin, selon sa dilution, le nombre de passes, mais également de la technique de finition (brossée, chaulée, à l’eau-forte, patinée, etc.), le nouveau badigeon BADI DECO de PAREXLANKO offre un vaste éventail de finitions à l’aspect.
Il y a 2 ans et 329 jours

Avec Chryso et GCP, Saint-Gobain veut devenir numéro 2 mondial de la chimie de construction

"40% des émissions de gaz à effet de serre mondiales viennent de la construction, et on peut répondre à ces problèmes avec la chimie du bâtiment, un secteur en pleine croissance", a déclaré mardi à la presse David Molho, directeur général des Solutions hautes performances de Saint-Gobain lors d'une visite de presse du principal centre de recherche et site de production de Chryso, à Sermaises dans le Loiret.La chimie de la construction basée sur des adjuvants et des additifs permet à l'industrie du bâtiment d'imperméabiliser, de fixer, protéger, renforcer ou isoler aussi bien les façades que les fondations ou les enduits et mortiers, et de décarboner les ciments et bétons, très émetteurs de gaz à effet de serre.Sur un marché mondial estimé entre 80 et 90 milliards d'euros, en croissance de 6 à 8% par an, Saint-Gobain espère peser "environ 4 milliards d'euros" dans ces activités une fois intégré GCP, a indiqué M. Molho, contre près de 3 milliards actuellement.Soit derrière le numéro un mondial, le suisse Sika, qui vient lui de racheter l'ancien numéro deux, l'allemand Master Builders Solutions, en novembre 2021, pesant quelque 10 milliards d'euros au total."Il y a une incroyable consolidation dans le secteur", a commenté Thierry Bernard, directeur général de Chryso, créé il y a 80 ans, et passé dans le giron de Saint-Gobain en septembre 2021."Nous avions besoin d'investissements massifs à cause des thématiques de durabilité et j'ai considéré que c'était le moment de rejoindre un grand groupe", a dit M. Bernard qui dirigeait Chryso depuis 10 ans lors de la reprise, et est resté aux commandes opérationnelles.Dans les laboratoires Chryso, on teste toutes sortes de combinaisons de bétons, de ciments, auxquels sont ajoutés des adjuvants à base de polymères synthétisés industriellement sur place dans d'immenses réacteurs chauffés.Ces produits, ajoutés au béton frais, garantissent au client sa texture, son étalement, sa fluidité et permettent son transport en camion toupie jusqu'au chantier. Chryso en produit 60.000 tonnes par an.Béton durableLe groupe vient de participer à un essai grandeur nature après plus de deux ans de recherche et développement, d'un béton d'argile décarboné n'utilisant aucun clinker - l'élément du ciment dont la fabrication émet le plus de gaz à effet de serre - en lien avec la start-up Hoffmann Green et le groupe Bouygues construction.Les adjuvants de béton faits par Chryso, qui représentaient 76% de ses ventes en 2021, sont utilisés par les bétonniers mondiaux comme Holcim, Cemex ou USConcrete, ou constructeurs comme Bouygues, Heidelberg ou Vinci. Et se retrouvent aussi bien sur la route du littoral de l'île de la Réunion que sur les travaux du Grand Paris Express, ou le pont 1915 récemment inauguré en Turquie."Pendant 30 ans, on a surtout parlé amélioration de la performance (mécanique, chimique etc.) des matériaux et de leur productivité, en permettant de construire plus vite notamment", dit M. Bernard. "Maintenant il y a un troisième axe qui est en train de tout bousculer, le grand sujet c'est la réduction de l'empreinte carbone du ciment et du béton".En France, l'entrée en vigueur de la nouvelle réglementation RE2020 depuis le début de l'année, qui impose une limite de kilogrammes de CO2 par mètre carré construit, "pousse tout le secteur à bouger" ajoute M. Bernard, même si pour l'instant les grands acteurs sont encore en train d'affûter leur stratégie.Saint-Gobain compte sur Chryso pour faire évoluer l'ensemble des matériaux vers plus de "sustainability", le terme maison qui désigne durée de vie, bilan carbone et rentabilité. Saint-Gobain et Chryso prévoient notamment l'ouverture d'une nouvelle usine d'adjuvants en Inde fin 2023, et d'une en Côte d'Ivoire.Restera ensuite à décarboner la production elle-même des polymères utilisés comme additifs, pour l'instant largement issus du pétrole, alors que l'énergie des chaudières vient du gaz. "On est en train de regarder pour du chauffage électrique", indique Jean-Claude Maesano, directeur industriel de Chryso France.
Il y a 2 ans et 329 jours

Transformer de vieilles baskets en sous-couche de parquet

C'est l'objectif que s'est fixée la société Revival by impacte.capital, lauréate du Challenge Innovation 2021 de l'éco-organisme Refashion et partenaire de Bouyer Leroux. Photo © ThomasWolter - Pixabay
Il y a 2 ans et 329 jours

Clareo éclaire la Sorbonne avec des arches lumineuses LED

C’est un projet qui se regroupe autour de 4 établissements avec chacun leurs spécificités. On y retrouve une zone restaurant, une zone bibliothèque de 3 étages, de grandes salles d’amphithéâtres et de spectacles, ainsi que des salles de travaux dirigés, de bureaux administratifs et associatifs.L’université Paris Sorbonne souhaitait un produit spécifique pour les 3 étages de bibliothèques.Caractéristiques Techniques :Type Ligne LumineusePuissance LED 31W – 48WDurée de vie - L70B50 50 000 heuresDimensions (mm)-A L1600xl100xH550Dimensions (mm)-B L2500xl100xH550IK IK04IP IP20Couleur : 4000°KLes Arches Lumineuses : une fabrication française 100% sur-mesurePour les besoins de ce projet, CLAREO a été sollicité pour concevoir un produit unique sur le marché : les Arches Lumineuses.Réalisées sur-mesure à 100 % et fabriquées en France, leurs tailles ont été adaptées directement aux dimensions des tables de la bibliothèque, le tout avec un design innovant et résolument moderne.Au total, CLAREO a fourni plus de 100 Arches Lumineuses sur-mesure pour ce projet !
Il y a 2 ans et 332 jours

Au Brésil, une favela de Rio tourne à l'énergie solaire

"Certains habitants doivent choisir entre payer ces factures ou acheter à manger", déplore Stefano Motta, président de la première coopérative d'énergie solaire dans une favela au Brésil.Cette coopérative a installé 60 panneaux sur le toit du local d'une association de quartier, pour fournir de l'énergie à 34 familles.La production est connectée au réseau électrique local et le distributeur tient compte de cet apport d'énergie solaire pour réduire le montant des factures, avec un tarif variable selon la production.Résultat : une électricité moitié moins chère pour Marcia Campos, assistante sociale de 51 ans, bénéficiaire de ce projet mis en place en juillet 2021 par plusieurs associations, en partenariat avec l'ONG Revolusolar.Avant, sa facture s'élevait à 500 réais par mois (environ 95 euros), près de la moitié du salaire minimum au Brésil."Aujourd'hui, je paie autour de 260 réais, et j'ai même eu des mois à 180 réais" lors des périodes les plus ensoleillées, explique-t-elle.Au total, la favela compte 104 panneaux photovoltaïques, avec quatre installations, l'une d'entre elles sur le toit de l'auberge de jeunesse de la colombienne Bibiana Angel Gonzalez."Avant, on consacrait une bonne partie de notre maigre chiffre d'affaires au paiement de l'électricité", raconte-t-elle."Nous avions fait des devis de panneaux, c'était hors de prix. Mais en s'associant à d'autres, grâce à la coopérative, nous avons réussi à réduire les coûts de transport", ajoute-t-elle."Croissance rapide""Les habitants se plaignent de plus en plus du prix des factures d'électricité, et nous leur montrons que l'énergie solaire, c'est important pour l'environnement, mais aussi pour faire des économies", explique Stefano Motta, Italien de 45 ans originaire de Sicile installé depuis une dizaine d'années au Brésil.Il habite à Chapeu Mangueira, la favela voisine de Babilonia. André Luiz Campos, réceptionniste de 49 ans, n'est pas encore adhérent de la coopérative et a vu le montant de ses factures grimper en flèche ces derniers mois."J'ai juste un frigo, un congélateur et une télé et je paie 800 réais (150 euros) par mois. Comment est-ce possible ?", s'interroge-t-il. Le prix de l'électricité a augmenté de 7% en moyenne au Brésil en 2021 par rapport à 2020, une hausse qui devrait s'accélérer fortement cette année, à 21%, selon les dernières prévisions.Les tarifs ont notamment augmenté à cause de la sécheresse historique qui a touché le Brésil l'an dernier, dans un pays où 57,6% de l'énergie est fournie par des centrales hydroélectriques.Selon l'Association brésilienne d'Energie solaire (Absolar), la part du photovoltaïque dans la production nationale d'électricité est de seulement 1,8% dans ce pays tropical inondé de soleil.C'est pourtant "une alternative durable pour faire baisser le prix des factures des populations pauvres", assure Carlos Aparecido, spécialiste d'ingénierie électrique à l'Université fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ).D'autant plus que le secteur connaît une "croissance rapide", avec une progression de 29,3% de la capacité installée en 2021."Une nécessité"Il estime par ailleurs que l'installation de panneaux photovoltaïques dans les favelas pourrait faire baisser le nombre de connexions sauvages au réseau électrique, qui représentent 1,5 milliard de réais (environ 300 millions d'euros) de pertes par an dans le pays, selon une association du secteur.Selon lui, les distributeurs "font payer la note aux consommateurs" pour compenser ces pertes.Stefano Motta espère que le succès du projet de Babilonia fera des émules à Rio, qui compte 763 favelas où vivent près d'1,4 million d'habitants, environ un quart de la population de la ville.La première à suivre l'exemple est Elma de Aleluia, fondatrice de l'ONG SER Alzira, dans la favela de Vidigal, toute proche du quartier chic de Leblon.Elle a installé des panneaux photovoltaïques en décembre dernier, grâce à des dons d'entreprises. "C'était une nécessité. Grâce à ces économies, on a plus de moyens pour investir dans nos projets" socio-éducatifs, explique la militante associative.
Il y a 2 ans et 332 jours

Après un quinquennat agité, l'heure de la valse des collaborateurs de députés

Après les élections législatives de 2017, quelque 1.300 collaborateurs avaient été licenciés dans la foulée du débarquement des troupes LREM. Cette année, la vague de renouvellement devrait cependant être moins importante si la majorité présidentielle est confirmée."On connaît les règles du jeu. Mais ce n'est jamais évident, c'est toujours une histoire qui se termine", lâche l'un d'eux à l'AFP.Au service des 577 députés, ils sont au total 2.000 collaborateurs, dont 40% travaillant au Palais Bourbon et 60% en circonscription. Neuf sur dix sont en CDI: si leur député ne se représente pas ou est battu, ils sont licenciés; si leur député est réélu, ils sont automatiquement reconduits.Souvent "couteaux suisses", ces assistants assurent des tâches diverses, secrétariat, rédaction d'amendements, communication... et ne sont pas forcément du même bord politique que leur député, même si c'est souvent le cas.Ils sont employés par chaque élu, qui recrute, fixe conditions de travail et salaire, sur une enveloppe mensuelle de 10.581 euros attribuée par l'Assemblée, qui permet d'employer une à cinq-six personnes.L'affaire de l'emploi fictif de l'épouse de François Fillon les avait mis cruellement en lumière en 2017. "L'image de celui qui attend son chèque est restée, plutôt que celle de collaborateurs très investis pour la plupart", déplore l'une de ces petites mains.L'interdiction pour les parlementaires d'employer des membres de leur famille proche avait été votée dans la foulée.Après cet épisode, nouveau coup de projecteur sur les conditions de travail des collaborateurs: les situations de harcèlement ont été plus vivement dénoncées sous la mandature qui s'achève.Travail de nuit, promiscuité, relation de pouvoir... Face à ces conditions propices, l'Assemblée nationale a musclé en février 2020 son dispositif, avec la création d'une cellule anti-harcèlement, pluridisciplinaire et indépendante.En 2021, 24 personnes - surtout des collaborateurs - ont saisi cette cellule, pour du harcèlement moral principalement. Et la justice a été saisie pour un cas de harcèlement sexuel."Mercenarisation"Parfois en lien, le turn-over a fortement augmenté. Quelque 5.875 contrats ont été conclus entre mi-2017 et fin 2021, dont 3.950 ont été rompus (43% pour fin de CDD), selon les derniers chiffres connus.La durée moyenne en CDD s'établit à trois mois, signe d'une "mercenarisation" des collaborateurs, embauchés pour une tâche bien définie à un moment clé, souligne un vieux routier.Le Canard Enchaîné a établi un palmarès des 20 députés les plus "consommateurs", avec en tête Laurence Maillart-Méhaignerie (LREM), présidente sortante de la commission du Développement durable, qui a usé 29 assistants."Il y a eu beaucoup de ratés. Les députés de la majorité étaient souvent peu expérimentés, et ont recruté des collaborateurs peu expérimentés aussi. Beaucoup ont mal choisi", déplore un de ceux qui a dû changer de patron en cours de route.Les élus s'étaient entourés de nouveaux profils, comme d'ex-militants de leur campagne, voire de leurs suppléants -pratique pas interdite - pour 87 d'entre eux."Je dis aux plus jeunes de ne pas en faire leur métier à vie. C'est très prenant, très dur. On passe beaucoup de temps à faire la carrière d'un autre, pas la sienne", rapporte Brayen Sooranna (CFDT collaborateurs), dont la députée ne se représente pas et qui, à 37 ans, ne sait pas encore s'il va poursuivre.Effet bénéfique de l'affaire Fillon: des avancées ont été entérinées, avec notamment des accords en 2018 sur une "fiche métier" et en 2021 sur la reconnaissance de l'ancienneté, conclus avec l'Association des députés employeurs. "Nous ne sommes ni chauffeurs, ni baby-sitters ou femmes de ménage", clament encore les collaborateurs."L'effort de professionnalisation n'a pu porter ses fruits du fait du turn-over important", regrette Astrid Ribardière (Unsa-USCP). Au menu de la prochaine mandature, toujours: la demande d'un véritable statut, "avec des droits applicables", et non plus "précarité et opacité", réclament les syndicats.
Il y a 2 ans et 332 jours

Une nouvelle feuille de route pour Rexel

STRATÉGIE. A l'occasion du Capital Markets Day organisé à Zürich, le spécialiste de la distribution de matériels électriques, Rexel, affiche ses ambitions pour 2022-2025.
Il y a 2 ans et 332 jours

Les courtiers en crédit immobilier sous la pression de la remontée des taux

Les banques traditionnelles rejettent actuellement 21% des demandes de prêts apportées par les courtiers, soit quatre fois plus qu'en fin d'année dernière, indique le directeur général de l'Association française des intermédiaires en bancassurance (AFIB) Géraud Cambournac."Nous arrivons à une situation de blocage qui devient insupportable", s'alarme-t-il, "avec des banques qui refusent purement et simplement (tous) les dossiers, comme le groupe Société Générale".Sans intermédiaire, plus de commission à régler par la banque ni à intégrer dans le calcul du taux effectif global du prêt (TAEG), plafonné par la loi.La banque au logo rouge et noir confirme à l'AFP qu'elle "a décidé d'arrêter temporairement le recours aux prescripteurs (courtiers, agences immobilières locales, etc.)" mais souligne qu'elle continue à en accorder directement à ses clients.Ce type de refus de dossier "est dommage, mais l'offre (de crédit) bancaire est encore suffisamment importante", tempère Cécile Roquelaure, du réseau de courtage Empruntis.Les relations entre banquiers et leurs apporteurs d'affaires ont toujours été émaillées de tensions, mais c'est la remontée rapide des taux d'intérêt qui a rallumé l'étincelle.Ces derniers sont passés d'une moyenne de 1,12% en décembre à une fourchette de 1,25% à 1,30% en avril, selon la Banque de France.De l'air pour les margesÀ ce taux nominal s'ajoute l'ensemble des frais liés à l'obtention d'un crédit, dont la commission demandée par les courtiers et le coût de l'assurance emprunteur.Le total ne doit pas dépasser le taux d'usure, destiné à protéger les particuliers de conditions d'emprunt abusives et qui est fixé chaque trimestre par la Banque de France.À titre d'exemple, le taux d'usure est actuellement de 2,40% pour un emprunt sur 20 ans, un niveau jugé désormais trop bas par de nombreux acteurs du marché, qui ne trouvent plus suffisamment d'air pour leurs marges.D'autres contraintes entrent aussi en jeu, comme le plafonnement des traites mensuelles en fonction des revenus et la limitation de la durée d'endettement dans certains cas.Il est "actuellement plus difficile d'obtenir un prêt", résume une note du comparateur Assurland.com, même si pour le moment les volumes ne baissent pas.La Banque de France ne constate en effet pas de ralentissement de l'octroi de nouveaux crédits à l'habitat : l'encours était même en hausse de 6,3% sur un an en avril.Laisser passer l'orageKissy Peron, courtière et animatrice d'un communauté autour de la vulgarisation du crédit sur les réseaux sociaux, ne voit pour l'instant pas le flux de clients se tarir.Les gens "continueront à acheter" des biens immobiliers, explique-t-elle à l'AFP, et les courtiers "savent se diversifier vers des produits qui sont au moins aussi rémunérateurs : regroupement de crédits, crédit à la consommation, voire des formations sur l'investissement immobilier".Eu égard à sa méthode de calcul, il faudra attendre le 1er octobre pour que le taux d'usure remonte de façon significative, sauf décision politique d'ici là."Certains pourront passer l'orage, pour d'autres ce sera plus difficile", s'inquiète M. Cambournac.À plus long terme, le président du réseau de courtage CAFPI Olivier Lendrevie écarte la menace durable d'une remontée des taux pour sa profession. Ce nouvel environnement de marché "rendra les emprunteurs plus sensibles à l'importance de faire le tour du marché, de comparer les taux des différentes banques", estime-t-il.Ces dernières resteront néanmoins en position de force : la fin des taux bas signifie pour elles plus de marge, tandis que la rémunération des courtiers, en honoraires auprès du client et de la banque, dépend du volume de crédits.
Il y a 2 ans et 332 jours

Holcim dévoile un clinker 100% recyclé

INNOVATION. Le cimentier, Holcim, annonce avoir produit un clinker 100 % recyclé. Suite à cette innovation, l'industriel espère pouvoir créer un béton 100 % recyclé d'ici au troisième trimestre 2022.
Il y a 2 ans et 332 jours

La finance verte s’infiltre dans les budgets locaux

Greenwashing, usine à gaz ou authentique outil de la transition écologique ? Toutes ces lectures de la finance verte se sont librement exprimées, le 16 juin à la journée annuelle de l’Agence France locale. Forte de ses 5 milliards d’euros de crédits qui la hissent au quatrième rang du prêt aux collectivités huit ans après sa naissance, la banque créée par et pour ces dernières conforte son statut de plaque tournante des débats sur la finance locale.
Il y a 2 ans et 332 jours

L'activité des matériaux de construction enregistre un net repli en Avril

Le rythme de l’activité dans la filière construction semble désormais assujetti à la disponibilité des inputs et surtout à leur prix. Attisée par un contexte géopolitique tendu, la flambée des coûts de l’énergie et des céréales se diffuse au reste des biens et services, bousculant les équilibres financiers du côté de l’offre (entreprises) comme du côté de la demande (ménages et collectivités). Dans le BTP, l’équation qui consiste à assurer la réalisation des chantiers avec des process productifs sous tension et de plus en plus coûteux reste difficile à résoudre tandis que, côté TP, les carnets qui peinaient déjà à se regarnir depuis la crise sanitaire paient le prix d’un sursaut d’attentisme de la part des collectivités.Accentuation du recul des productions en avrilAprès un premier repli en mars, l’activité dans le secteur des matériaux de construction a de nouveau baissé en avril, selon les résultats encore provisoires de notre enquête mensuelle. Ainsi, côté granulats, la production affiche une contraction de -8,8% entre mars et avril, laissant les volumes -8,5% en dessous de ceux d’avril 2021 (données CVS-CJO). Au cours des trois derniers mois, l’activité se stabilise quasiment à son niveau des trois mois précédents (+0,4%) mais fléchit au regard de la même période de février à avril 2021 (-1,1%). En cumul sur les quatre premiers mois de l’année 2022, la production de granulats baisse de -0,9% sur un an, tandis qu’elle revient presque à son niveau d’un an plus tôt s’agissant du cumul sur douze mois (-0,4%).Si ce repli trouve sans doute son origine dans le fléchissement de l’activité constructive lié aux difficultés d’offre et d’approvisionnement des chantiers, il doit aussi être nuancé : le mois d’avril 2021 avait été particulièrement dynamique et, comparé à un mois d’avril moyen (calculé sur ces dix dernières années), le recul apparaît trois fois moins marqué. S’agissant du BPE, la tendance est comparable. Entre mars et avril, les livraisons se sont contractées de -7,2% (données CVS-CJO) et chutent de -10,1% au regard d’avril 2021 qui, lui aussi, avait été particulièrement vigoureux pour le BPE puisque +10% au-dessus d’un mois d’avril « normal ».Au cours des trois derniers mois, l’activité du béton cède -1,6% par rapport aux trois mois précédents et -2,6% comparé à la même période de l’an passé. En cumul sur les quatre premiers mois de 2022, la production de BPE se contracte de -1,8% sur un an et de -1,9% en cumul sur les douze derniers mois.Notre indicateur matériaux indique lui aussi un nouveau fléchissement en avril, plus appuyé que celui de mars (-8,7% après -2,9% en données CJO et provisoires). Tous les matériaux sont concernés par ce repli, ce qui laisse désormais la tendance des quatre premiers mois de l’année sur une pente négative de -1,9% en glissement annuel.Bâtiment : un appareil productif toujours sous tensionsEn mai 2022, le climat des affaires se serait légèrement détérioré dans l’industrie du bâtiment selon la dernière enquête menée par l’INSEE. En effet, les professionnels se sont montrés moins positifs sur leur activité passée mais affichent plus d’optimisme que le mois précédent pour leur activité future. En dépit d’un léger repli, l’indicateur de climat des affaires se situe donc encore à un haut niveau. D’ailleurs, dans le gros oeuvre, le jugement des professionnels sur leurs carnets de commandes se redresse un peu, de même que le volume de ces carnets qui rejoint sa moyenne du second semestre 2021 à 9,9 mois. La demande reste donc vigoureuse, sans doute en partie alimentée par les difficultés de l’offre productive à y répondre dans les délais initialement convenus.Les indicateurs disponibles montrent en effet que l’appareil de production demeure fortement bridé par les contraintes d’approvisionnement. En mai, encore plus d’un entrepreneur sur deux (soit 57%, contre un sur trois en moyenne de long terme) se déclare dans l’incapacité de produire plus en cas de commandes supplémentaires. Même si cette proportion tend à baisser depuis le point haut de janvier (61,7%), elle illustre bien les fortes tensions sur l’offre qui se couplent désormais de pressions sur les coûts. En témoigne la forte hausse des prix de vente prévus par les chefs d’entreprise ces prochains mois, solde qui enregistre un plus haut jamais atteint depuis fin 1979 début 1980.Du côté de l’activité constructive, le secteur non résidentiel continue de se redresser avec une progression des locaux commencés de +19,6% sur un an au cours des trois mois de février à avril, ce qui laisse la tendance à +11,6% en cumul sur douze mois, certains segments se montrant très dynamiques (entrepôts et bâtiments industriels affichent respectivement +50,8% et +46,3% sur les trois derniers mois). Ces hausses ne permettent cependant pas de renouer avec le niveau des mises en chantier atteint avant la crise sanitaire.Côté logement, en revanche, ce niveau a été dépassé depuis plusieurs mois. A fin avril et sur douze mois, 392 600 logements étaient commencés (+4,1% sur un an), une tendance toutefois ralentie sur les trois derniers mois, sans doute en raison des difficultés d’approvisionnement (-1,4% sur un an). La dynamique des dépôts de permis, quant à elle, ne se dément pas : à fin avril, en cumul sur douze mois, on enregistrait 500 400 autorisations, soit +20,7% sur un an, un rythme encore plus soutenu sur les trois derniers mois (+24,4% sur un an), que ce soit dans le segment de l’individuel (+21,4%) ou du collectif (+25,6%). L’entrée en vigueur des nouvelles normes et réglementations, les perspectives de hausses de coûts et de taux d’intérêt expliquent sans doute ce rebond qui va continuer d’alimenter l’activité constructive de ces prochains mois mais aussi les tensions. Dans le même temps, le marché de l’immobilier neuf décroche : au premier trimestre, les ventes ont chuté de -8,5% sur un an, le contexte économique, politique et bancaire freinant probablement les velléités d’investissement des ménages. Le niveau des prix de vente moyens continue de grimper (+3,7% sur un an pour le m² d’appartement et +7,1% pour une maison), une tendance appelée à se poursuivre avec l’inflation des coûts de construction et la rareté de l’offre des promoteurs (mises en ventes en repli de -8,8% sur un an au premier trimestre).TP : attentisme et inflation des coûtsTout comme pour les matériaux, le recul d’activité en mars dans les travaux publics s’est confirmé en avril, le volume des travaux réalisés accusant une baisse de -18,3% (CVS-CJO) par rapport à avril 2021, un mois également très dynamique dans ce secteur. Certes, depuis janvier, le chiffre d’affaires enregistre une légère progression (+0,7%), mais compte tenu de la hausse des coûts de production, mesurée par l’index TP01 de l’INSEE, l’activité en volume ressort sur une tendance négative (-7,7%). Et l’atonie des prises de commandes ne suggère pas d’amélioration à court terme. Sur les trois derniers mois, les marchés conclus ont perdu -9%, laissant le cumul depuis janvier 2022 sur un recul de -7,4% en glissement annuel selon la FNTP. Le réveil des projets des collectivités locales, espéré avec le retour de la phase favorable du cycle électoral, se fait toujours attendre…
Il y a 2 ans et 332 jours

En France, les acteurs de l'éolien en mer attendent "l'accélération" promise

Au salon professionnel Seanergy du Havre, tous les grands développeurs du continent sont là: le marché français attire, 2e gisement européen par sa façade maritime et ses régimes de vents.Les chiffres auraient pourtant pu faire réfléchir les potentiels investisseurs: il faut aujourd'hui 10 ans en France pour mettre un site en service, cinq en Allemagne, six au Royaume-Uni... Sept parcs (3,6 gigawatts au total) ont à ce jour été attribués à des opérateurs, mais l'Hexagone vient juste de produire ses premiers électrons, avec son parc de Saint-Nazaire en cours d'achèvement.Or selon toutes les projections, pour atteindre en 2050 la neutralité carbone nécessaire et éviter les pires effets du réchauffement, la France devra massivement déployer l'éolien offshore, qu'elle relance le nucléaire ou pas. Pour RTE, le gestionnaire du réseau haute tension, il en faudra 22 à 62 GW, selon le bouquet choisi.Mais le pays pourra-t-il y arriver?"Le rythme des projets devra être plus soutenu et ce dès cette décennie", souligne Vincent Balès, DG France de l'énergéticien allemand wpd, appelant comme le reste du secteur à une planification, plutôt qu'au lancement de projets "au coup par coup".L'horizon de 40 GW (environ 50 parcs) évoqué pour 2050 par Emmanuel Macron "a donné une perspective à la filière, mais quelle sera la mise en oeuvre?", dit-il. "En Europe, les planifications qui ont marché identifient des zones propices. En France, nous sommes échaudés par les planifications par façade, qui définissent surtout des zones d'exclusion. Il y a une inquiétude de la filière sur la méthode".Dans les travées du salon, on cite l'Allemagne et sa cartographie "assez fine", aux zonages pour le court et le long terme."Trou d'air""La planification au niveau national, ce n'est pas le choix qu'on a fait en France, car il faut un dialogue avec les acteurs et les territoires", a répondu au Havre Eric Banel, directeur général des Affaires maritimes au secrétariat d'Etat chargé de la Mer, annonçant devant le Syndicat des énergies renouvelables (SER) la "relance d'un cycle de planification" par façade.Pour le SER, cela risque d'être beaucoup trop tard. L'association demande à l'Etat de prépositionner de grandes zones potentielles, avant de lancer les débats sur zones pour affiner. Au risque sinon d'un "trou d'air" après 2023, date des derniers appels d'offres prévus à ce jour, délétère pour le secteur, ses usines et ses sous-traitants.Elodie Martinie-Cousty, qui a participé pour France Nature Environnement (FNE) à tous les débats publics de l'éolien offshore, ne cache pas non plus sa frustration: l'Etat devra changer de méthode, sauf à générer de nouveaux recours et contestations, dit-elle.Cette vice-présidente du Conseil économique social et environnemental (Cese) lui reproche de ne pas considérer l'état global - "désastreux" - de la mer, notamment de ne pas mettre à plat aussi les impacts des activités traditionnelles, pêche et transports."L'éolien est nécessaire, il faut donner aux opérateurs une visibilité pour qu'ils puissent investir. Mais on ne peut planifier l'entrée d'une nouvelle activité industrielle massive sans avoir mesuré les impacts des activités +historiques+. On demande à l'Etat de faire son travail d'Etat stratège. En un an on peut faire cette planification si tout le monde se met autour de la table".Le SER, comme FNE, demandent aussi plus de moyens humains pour mettre les services de l'Etat "à la hauteur de l'enjeu": les agents chargés d'instruire les dossiers sont cinq fois moins nombreux qu'aux Pays-Bas, déplore le SER.Le secteur a malgré tout déjà bénéficié de simplifications, notamment avec la loi "Essoc" de 2018 et la prise en charge par l'Etat des concertations publiques, désormais organisées avant désignation des développeurs.Dans le contexte de la guerre en Ukraine, le gouvernement doit encore présenter d'ici fin juillet au conseil des ministres un "projet de loi d'accélération" des renouvelables. Mais ce texte ne concernera qu'à la marge l'éolien en mer.
Il y a 2 ans et 332 jours

Bientôt des bornes de recharge pour voitures électriques dans les hôtels des enseignes Accor

A partir de fin 2022, seront progressivement équipés en "bornes de recharge rapide et ultrarapides", 68 établissements "principalement situés en zones urbaines", - soit un total de 362 points de charge- "en commençant par Paris et Lyon", précise un communiqué commun jeudi.Ces stations de recharge, "intégralement alimentées en énergie verte, seront accessibles à tous", "clients des hôtels, particuliers en itinérance ou encore flottes professionnelles (taxis, VTC, logistique, autopartage...)Les parkings des hôtels seront accessibles 24 heures sur 24 et 7jours sur 7 et les automobilistes "pourront bénéficier des services des hôtels pendant la charge de leur véhicule", précisent les partenaires. "Notre réseau d'hôtels offre un maillage territorial unique, qui doit être mis au service des utilisateurs de voitures électriques", estime Franck Bermond, directeur technique d'ESG AccorInvest, cité par le communiqué."Cet engagement vise à faciliter la mise en place des zones à faibles émissions dans toutes les agglomérations de plus de 150.000 habitants, à la suite de l'adoption de la loi Climat et résilience", rappellent les deux entreprises.Electra sera chargée de l'installation et de l'exploitation des stations, et pourra ainsi s'"ancrer plus encore dans les principales métropoles de France autour des grands axes routiers, des gares et des aéroports", affirme Aurélien de Meaux, co-fondateur en 2021 de la société au côté Augustin Derville et Julien Belliato.Autrefois pôle immobilier d'Accor, qui n'en possède plus que 30%, la société AccorInvest est propriétaire et exploitante d'un parc de 800 hôtels sous différentes marques du géant français de l'hôtellerie (Ibis, Novotel, Mercure...) dans 27 pays, en Europe, en Amérique Latine et en Asie.