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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

(35217 résultats)
Il y a 2 ans et 323 jours

Tri’n’Collect à la conquête de l’Ouest

Tri’n’Collect possède désormais 12 agences réparties sur la côte Ouest de la France. [© Tri’n’Collect] Expert dans les solutions de tri à la source sur chantier, Tri’n’Collect poursuit son développement partant à la conquête de l’Ouest. La start-up vient d’ouvrir six nouvelles agences, à Bayonne (64), Brest (29), Caen (14), La Rochelle (17), Tours (37) et Vannes (56). Désormais, elle compte un total de 12 sites. La stratégie de développement territorial s’inscrit dans une logique de proximité. Cela, afin de limiter le transport de déchets entre les chantiers, les lieux de massification, de traitement et de valorisation des matériaux. Chaque agence a été implantée pour une raison précise. A l’image de l’agence de La Rochelle où l’opération “Zac de la Gare” du Crédit Mutuel Aménagement Foncier a été confiée à Tri’n’Collect. Celle-ci représente le plus grand projet d’aménagement de la start-up. Elle permettra l’économie de plus de 80 t de CO2. Vers un développement national A ce jour, Tri’n’Collect a évité l’enfouissement de plus de 4 300 t de matériaux qui ont pu être valorisés localement dans le respect de hiérarchie des modes de traitement des déchets. De plus en plus d’acteurs du bâtiment s’engagent pour une construction durable avec les nouvelles obligations réglementaires et la pression inflationniste des coûts de gestion des déchets. Lire aussi : Soclova et Tri’n’Collect renouvellent leur partenariat C’est pourquoi Tri’n’Collect a accueilli 20 nouveaux collaborateurs en 2022, permettant de franchir le cap des 50 partenaires. D’ici septembre, trois autres agences seront ouvertes. Le Morbihan sera renforcé avec un site annexe à Vannes. Tandis que celles de Tours et de Bayonne couvriront respectivement les départements de l’Indre-et-Loire et des Landes. Pour 2025, Tri’n’Collect vise à déployer une quarantaine d’agences. Et ainsi, occuper le territoire national.
Il y a 2 ans et 323 jours

Nouvelle Pompe à chaleur aérothermique (air/eau) Split Inverter Réversible Compress 3400 AWS

Une fois n’est pas coutume, Bosch Thermotechnologie fait évoluer son offre de Pompes à chaleur aérothermiques avec la nouvelle gamme Split Inverter Réversible Compress 3400 AWS. Ses atouts : optimiser le confort du foyer comme celui de l’installateur et de l’entreprise de maintenance. Dédiée à la maison individuelle, la Compress 3400 AWS est développée pour […]
Il y a 2 ans et 323 jours

Mondial du bâtiment 2022 : KAWNEER dévoilera ses dernières innovations sur son stand au salon BATIMAT

Spécialiste des solutions architecturales en aluminium, KAWNEER propose une offre de menuiseries et de services complète et pertinente, au plus près des attentes des professionnels. Au salon Batimat, du 3 au 6 octobre 2022 à Paris Expo, l’entreprise présentera en exclusivité ses derniers développements. Que ce soit pour le neuf ou la rénovation, pour le […]
Il y a 2 ans et 323 jours

Knauf Ceiling Solutions lève le voile sur Adagio, sa nouvelle gamme minérale de plafonds

Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline sous quatre solutions, à poser seules ou à combiner selon les effets escomptés, afin d’offrir un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace :ADAGIO ACOUSTIC+ADAGIO ALPHA+ADAGIO dB+ADAGIO HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm).Dans une salle de classe, une cafétéria, une bibliothèque, un open-space ou encore une salle de réunion, les besoins convergent vers un même objectif : le confort des occupants pour leur rendre le quotidien agréable. Dotés des plafonds ADAGIO, ils permettent de vivre une nouvelle expérience.Avec une finition plus lumineuse et plus blanche, ADAGIO maximise la réflexion de la lumière et inonde les espaces de lumière naturelle et de chaleur. Un gage de bien-être et une source d’économie d'énergie. La flexibilité créative au service de l’émotion reste l’une des priorités de KNAUF CEILING SOLUTIONS pour permettre aux architectes, designers d’intérieur et agenceurs de signer des espaces uniques et emblématiques. Hautement résistant, ADAGIO est conçu pour des intérieurs durables.Des solutions blanches et lumineuses : sérénité et économiesSynonyme d’espaces épurés, la gamme ADAGIO permet de créer de beaux espaces grâce à sa surface blanche lisse. Sa finition blanche et brillante réfléchit 90 % de la lumière, illuminant ainsi les espaces d’une lumière naturelle et chaleureuse, porteuse de bonne humeur. Le faible taux de brillance renforce la sensation d’uniformité et procure une atmosphère élégante. L’optimisation de la réflexion de la lumière participe également à la réduction de l’usage de lumière artificielle, offrant jusqu’à 16 % d’économies d’énergie.De hautes performances acoustiques pour une atmosphère paisibleA l’instar de la lumière, le son participe pleinement à la réalisation d’un environnement sain et agréable. La gamme ADAGIO se distingue par une absorption acoustique de classe A (0,90 αw) avec des niveaux d‘atténuation latérale à 42 dB afin d’améliorer la confidentialité entre les espaces adjacents. ADAGIO offre une acoustique optimale pour chaque zone d’application, garantissant la confidentialité d’un échange dans un bureau privé ou améliorant l’intelligibilité et la concentration dans les open-spaces ou les salles de classe.Des choix esthétiques pour nourrir l’imaginationVisuellement saisissante, ADAGIO s’adapte, se configure, se combine, pour aider à imaginer de nouvelles possibilités et donner vie à la vision des architectes. Large choix de formes et de dimensions…, la gamme se caractérise également par une riche palette de détails de bords apparents, semi-cachés ou entièrement cachés, afin de créer des plafonds toujours plus contemporains.Des surfaces qui résistent à l’épreuve du tempsQualité, fiabilité et durabilité, tels sont les maîtres-mots des plafonds ADAGIO qui font face aux exigences du quotidien. Leur surface, plus résistante aux rayures, se nettoie aisément et offre une utilisation prolongée. Les bords renforcés, entièrement peints, facilitent le montage et réduisent le risque d’endommagement. Les poseurs de dalles n’appréhenderont plus la casse de matériel !
Il y a 2 ans et 323 jours

Holcim continue son expansion sur la rénovation et l'efficacité énergétique

ACQUISITION. Le cimentier suisse, Holcim, qui vise les 30% de chiffre d'affaires pour sa division Solutions & Products d'ici à 2025, annonce avoir fait l'acquisition de Cantillana, un expert belge spécialisé dans les produits pour façades et systèmes d'isolation thermique.
Il y a 2 ans et 323 jours

Aldes se renforce dans la ventilation des Bâtiments

ACQUISITION. Le groupe Aldes, spécialisé dans la qualité de l'air intérieur, a racheté l'expert de la ventilation, Aereco.
Il y a 2 ans et 323 jours

La hausse du taux du Livret A pourrait mettre en difficulté les HLM

Comment le Livret A finance le logement social ?Une partie importante du Livret A est confiée, avec d'autres produits d'épargne (Livret de développement durable et solidaire, Livret d'épargne populaire), à la Caisse des dépôts et consignations (CDC).Celle-ci est tenue par la loi de dédier ces ressources en priorité à des prêts finançant le logement social et la politique de la ville, via sa filiale la Banque des territoires.Ces prêts sont octroyés pour des durées très longues, qui peuvent aller jusqu'à 80 ans.Au total, près de 80% de la dette des bailleurs sociaux est détenue par la CDC.Fin 2021, 170,7 milliards d'euros étaient affectés par la CDC au financement du logement social et de la politique de la ville, dont 11,8 milliards débloqués dans l'année.Cette somme a permis de construire 85.300 logements sociaux en 2021, et d'en réhabiliter 81.600.Que se passe-t-il si le taux augmente ?"L'impact de la hausse du Livret A est non négligeable", glisse-t-on dans l'entourage du ministre délégué au Logement, Olivier Klein.Le gros des prêts contractés par les bailleurs sociaux est en effet à taux variable, c'est-à-dire que les intérêts qu'ils doivent rembourser augmentent ou baissent en fonction du taux du Livret A."Cependant, nous avons des garde-fous", assure-t-on au ministère. "Le modèle français de financement du logement social par le Livret A va protéger (les bailleurs sociaux, NDLR) d'un impact direct de la hausse des taux, puisque les prêts de la Banque des Territoires vont rester attractifs.""A très court terme, l'impact va être limité; à plus long terme, cela dépend du temps que durera cette augmentation", assure Clément Lecuivre, directeur général de CDC Habitat, bailleur social filiale de la CDC.Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation Abbé Pierre, y voit un risque d'autant plus grand que les bailleurs sociaux ont beaucoup emprunté ces dernières années."Quand le taux était bas, ça a permis aux bailleurs sociaux de s'endetter à bas coût, donc c'était quelque chose d'assez intéressant pendant des années, et là, la remontée des taux a des effets assez coûteux pour les bailleurs sociaux, et ce n'est sûrement que le début", ajoute M. Domergue.Comment les bailleurs sociaux s'adaptent ?Ils vont fatalement devoir faire des arbitrages."Si le taux continue d'augmenter, ça va limiter les capacités d'investissements nouveaux des bailleurs", prévient Marianne Louis, directrice générale de l'Union sociale pour l'habitat (USH) qui représente les bailleurs sociaux."Moins de capacité d'investissement, c'est moins de constructions, moins de rénovations... c'est un peu ça, le sujet", dit-elle.Avec les obligations de rénover les passoires thermiques sous peine de ne plus pouvoir les louer, c'est plutôt sur la construction que vont se faire les économies, prévient-elle.Autant d'embûches supplémentaires pour les quelque 2,3 millions de personnes en attente d'un logement social.Avec un passage de 1% à 2%, "on a 1,5 milliard (de charges par an, NDLR) de plus. Et là, c'est, en gros, 70.000 réhabilitations perdues", calcule de son côté Didier Poussou, directeur général de la Fédération des entreprises sociales pour l'habitat, les bailleurs sociaux privés.Que peuvent faire les pouvoirs publics ? Ils sont face à un dilemme. En période d'inflation, augmenter trop peu le taux du livret A, prisé des petits épargnants, risquerait de les en détourner, et donc d'assécher la manne qui finance le logement social.Mais l'augmenter alourdit les coûts de fonctionnement des bailleurs sociaux.Pour éviter de choisir, il faudrait que l'Etat mette la main à la poche."La solution, c'est d'assumer qu'avoir un parc HLM qui répond à tout ce qu'on lui demande, (...) ça coûte de l'argent public", cingle Manuel Domergue, rappelant les économies imposées aux bailleurs sociaux lors du premier mandat d'Emmanuel Macron."C'est comme quand vous achetez un appartement: si les taux d'intérêt sont élevés, il faut augmenter votre apport", détaille Marianne Louis. "Donc la part +argent gratuit+. Est-ce qu'on est capables, demain, d'augmenter les aides à la pierre? C'est ça, la question."
Il y a 2 ans et 323 jours

Le recul d’activité dans les matériaux se modère en mai

La flambée des coûts de l’énergie, rajoutée aux tensions sur l’offre déjà attisées par le rebond d’activité post COVID, a eu pour conséquence de faire bondir les coûts de production dans le bâtiment et les travaux publics. Même si les carnets demeurent bien remplis, plus dans le gros œuvre que dans les TP d’ailleurs, les chantiers peinent à se réaliser, faute de facteurs de production disponibles côté entrepreneurs et/ou faute de financements suffisants côté clients, qu’ils soient publics ou privés. Cette complexité à boucler l’équation coûts-prix-devis pèse sur la demande de matériaux qui pourrait au final afficher un repli en 2022, prolongeant ainsi la tendance observée au cours des trois derniers mois sur le marché du granulat et du BPE. Mai, meilleur qu'avril, mais moins bon qu'en 2021 Selon les résultats encore provisoires pour le mois de mai, la production de matériaux se serait redressée par rapport à avril, un mois marqué par un repli sensible de l’activité. Ainsi, la production de granulats aurait augmenté de +1,6% mais demeure en retrait de -4% par rapport à celle de mai 2021 (données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus, l’activité des granulats observe un repli de -4,9% comparé aux trois mois précédents et de -4,6% au regard de la même période d’il y a un an. En cumul sur les cinq mois de l’année, la tendance s’inscrit sur une pente négative de -1,5%, soit un rythme un peu moins élevé que celui de la tendance calculée sur les douze derniers mois (-1,8%). Du côté du BPE, les livraisons de mai ont également grimpé par rapport à avril (+3,1%) mais s’affichent en deçà de celles de mai 2021 (-2%). Au cours du trimestre mars-avril-mai, les volumes de BPE livrés ont cédé -3,8% par rapport aux trois mois précédents et -5,4% par rapport au même trimestre de l’année 2021. En cumul sur les douze derniers mois, l’activité du béton se replie désormais de -3,2% sur un an, tandis que sur les cinq premiers mois de l’année, le recul atteint -1,8%. L'indicateur matériaux de l'UNICEM connaît lui aussi un fléchissement en mai plus modéré qu’en avril, avec, respectivement, un recul de -2,7% contre -8,7% sur un an (données CJO). Après un premier trimestre en hausse de +1,4% en glissement annuel, l’activité du panier de matériaux de l'UNICEM se contracte désormais de -1,6% sur un an pour les cinq premiers mois de l’année, seul le segment des tuiles et briques demeurant haussier sur la période, sans doute porté par la dynamique constructive de la maison individuelle. Chiffres clés Perspectives 2020/2021 (production) Granulats : - 4% BPE : - 3% Bâtiment et TP : Tensions sur l'offre et les coûts Interrogés en juin par l’INSEE, les professionnels du bâtiment se sont montrés un peu moins optimistes sur leur activité future mais leur opinion sur l’activité passée s’est à nouveau améliorée, maintenant ainsi l’indicateur du climat des affaires à haut niveau. Les carnets de commandes se situent toujours à un point historiquement élevé dans le gros œuvre (9,8 mois) et le ressenti des professionnels quant à ces carnets demeure très favorable et largement au-dessus de la moyenne de long terme, ce qui écarte l’hypothèse de carnets artificiellement gonflés par des retards et difficultés de réalisation des chantiers. Pour autant, ces dernières restent prégnantes et près de la moitié des entreprises de gros œuvre (48,6%) sont encore dans l’incapacité d’accroître leur production (une part en léger repli par rapport au mois de mai à 57,4%) tandis que 72% d’entre elles sont confrontées à des obstacles qui limitent leur activité (personnel, approvisionnement...). On notera toutefois que la part des entreprises du bâtiment faisant face à des difficultés d’offre se stabilise en juin, voire se modère, à l’inverse de celles faisant face à des difficultés de demande dont la part, après avoir atteint un point bas, tend à se redresser. Il faut peut-être y voir les premiers signes des effets du renchérissement du coût des chantiers et des difficultés à conclure le démarrage de travaux. L’inflexion récente des mises en chantier de logements pourrait confirmer cette assertion. En effet, sur les trois derniers mois allant de mars à mai, les logements commencés ont stagné par rapport aux trois mois précédents, déjà en recul (CVS-CJO), laissant la tendance à -5% sur un an. C’est le segment du collectif qui marque le plus le pas (-16% sur le trimestre) tandis que, du côté de l’individuel, la dynamique reste enclenchée (+12%). Au total, à fin mai et en cumul sur un an, un peu plus de 388.000 logements ont été commencés, soit +0,5% en glissement annuel. En revanche, la vigueur des permis ne se dément pas même si depuis avril le flux se modère nettement : en effet, l’anticipation de la RE2020 a généré une abondance de dépôts fin 2021 qui, compte tenu des délais d’instruction (d’environ trois mois pour l’individuel) a boosté les autorisations au premier trimestre. A fin mai, 502.800 logements étaient autorisés sur un an (dont 46% en collectifs), soit +16,4% par rapport à l’année précédente. Mais sur les trois derniers mois (mars à mai), le rythme fléchit sensiblement sur l’individuel par effet de contrecoup (-11,9% par rapport au trimestre précédent) à la différence du collectif encore soutenu (+16,6%). Ce stock de permis, qui préfigure les futurs chantiers, devrait alimenter la demande de matériaux au moins sur 2022-début 2023 sauf si les pesanteurs actuelles continuent de limiter l’ouverture des travaux et d’en freiner les délais de réalisation. Côté non résidentiel, le rebond des permis et mises en chantier reste quant à lui bien engagé et constitue un facteur de soutien plutôt encourageant. Avec 27 millions de m2 de locaux commencés à fin mai sur un an (+8,3%), le rythme de progression s’est accéléré sur les trois derniers mois (+20,2%), permettant de renouer avec les niveaux d’avant la pandémie. Quant aux surfaces autorisées, elles s’inscrivent sur une tendance de +10% sur les trois derniers mois, les ouvrages commerciaux (+66,7%), industriels (+32,1%) ou encore les bureaux (+22,4%) affichant les plus fortes accélérations. Le tableau apparaît un peu plus sombre côté travaux publics où l’activité a également connu un freinage depuis mars. En dépit d’un mois de mai mieux orienté, les travaux réalisés en cumul depuis janvier se stabilisent sur un an en valeur mais ressortent en repli de -8,6% en volume. De même, les prises de commandes, bien qu’en hausse de +4,6% en valeur sur la même période, basculent en baisse de -4,8% en volume, une fois corrigées de l’inflation des coûts (par l’indice TP01). Alors que les conditions étaient réunies pour un réveil des carnets (cycle électoral, Plan de relance...), l’atonie de la commande publique éloigne encore la perspective de redémarrage des travaux. Perspectives matériaux 2022 Dans le bâtiment comme dans les TP, les contraintes d’offre, l’inflation des coûts, des prix et des devis pèsent donc sur le volume des chantiers en cours ou à réaliser ce d’autant que le stock de commandes peine à s’étoffer, comme pour les travaux publics. Ce faisant, l’ajustement de la demande de matériaux devrait être plus marqué côté granulats que BPE : initialement attendue autour de +1% en 2022, l’activité des granulats pourrait se replier de - 4% tandis que les volumes de BPE, qui devaient se stabiliser à leur haut niveau de 2021, enregistreraient un recul de -3%.
Il y a 2 ans et 323 jours

La nouvelle laine Isover est de retour et s'étend aux solutions d'isolation des cloisons

LA nouvelle laine : 10 brevets et des qualités inéditesCette laine est fabriquée en France à partir de verre recyclé (a minima 40 %), de matières premières minérales et d’un liant 100 % biosourcé. Eco-conçue, elle est recyclable à 100 % et à l’infini, et contribue ainsi à la qualité de l’air intérieur aussi bien pour les poseurs que pour les occupants. Elle est étiquetée A+, le meilleur classement sanitaire pour un produit de construction destiné à un usage intérieur.Sa fibre, plus longue, plus souple, plus fine et plus résistante du point de vue mécanique, est également plus agréable au toucher et confortable lors de la pose. Elle est également reconnaissable à sa couleur crème.Son bilan écologique est incomparable et permet d’améliorer deux grands indicateurs environnementaux : la pollution de l’air, l’acidification des sols et de l’eau.LA nouvelle laine en PAR PHONIC possède des performances phoniques garanties.Les isolants de la gamme PAR PHONIC : 3 solutions pour les cloisons en distribution (au sein du logement) ou séparation (entre deux logements) de locaux.Loin d’être une fatalité, le bruit nécessite d’être apprivoisé. Une conception du bâtiment et de son acoustique bien pensée permet de maîtriser la qualité sonore, le confort et le bien-être de ceux qui y vivent ou y travaillent.Pour les cloisons simple ossature, le gain d’affaiblissement pouvant être obtenu grâce à la présence des laines de verre de la gamme PAR PHONIC est de 6 à 8 dB. Les cloisons “72/48” et “72/36” conviennent pour toutes applications en particulier les logements en neuf et rénovation.PAR PHONIC PROPAR PHONIC PRO permet une productivité et un confort de pose améliorés sur les chantiers intensifs de cloisons grâce à sa semi-rigidité. Il est conditionné en rouleau.Pour les cloisons à double ossature, grâce au découplage entre les parements et grâce à la double épaisseur décalée de laine de verre PAR PHONIC PRO, le gain d’affaiblissement obtenu peut aller jusqu’à 15 dB.PAR PHONIC : un véritable amortisseur acoustiqueLe PAR PHONIC joue un rôle d’amortisseur en absorbant et en réduisant l’amplitude des ondes dans les cloisons en distribution ou en séparation de locaux.Il permet de lutter contre les nuisances sonores de façon préventive.Une seule solution pour réduire les transmissions directe et indirecte du bruit à travers les parois : l’isolation acoustique. Son efficacité est assurée si les propriétés acoustiques des produits et systèmes reposent sur le principe de “masse-ressort-masse”. Il consiste à utiliser des parois doubles, comme des plaques de plâtre, séparées par un espace rempli avec un isolant souple tel que la laine de verre qui absorbe et dissipe l’énergie.Le PAR PHONIC est adapté pour la construction ou la rénovation des logements individuels et collectifs, mais aussi des bureaux, hôpitaux, écoles, Établissements Recevant du Public (ERP), locaux industriels et commerciaux.La gamme PAR PHONIC se décline dans un choix d’épaisseurs et de largeurs adaptées à tous les types de cloisons:PAR PHONIC : la référence pour tous les projets d’isolation acoustique des cloisons AvantagesLes cloisons dotées de LA nouvelle laine de verre ISOVER en PAR PHONIC peuvent répondre à toutes les exigences en termes d’incombustibilité et d’humidité.Elles sont adaptées aux zones sismiques et permettent également de viser des hauteurs importantes d’aménagement.Les isolants PAR PHONIC peuvent être associés à tous types de plaques et répondre ainsi à de nombreuses applications : celles-ci peuvent être pré-peintes ; hydrofuges, elles conviennent aux pièces humides ; extra-dures, elles sont idéales pour les pièces très sollicitées.RéglementationLA nouvelle laine en PAR PHONIC permet d’atteindre la conformité à toutes les exigences réglementaires quel que soit le type de bâtiment et d’offrir le confort aux usagers, au-delà des réglementations en vigueur.Elle dispose de toutes les certifications et déclarations - ACERMI, marquage CE, déclaration de performances (DoP) et rapports d’essais acoustiques. Les solutions cloisons en PAR PHONIC disposent d’objets BIM disponibles sur le site isover.fr dans l’espace personnalisé My Isover.Des performances économiques appréciables pour les professionnelsLes performances des solutions cloisons ISOVER avec LA nouvelle laine de verre en PAR PHONIC s’apprécient à différents niveaux :Par rapport à des cloisons traditionnelles en maçonnerie, les cloisons sur ossature métallique offrent, sans égal, le meilleur rapport gain d’affaiblissement sonore du marché/prix,La mise en oeuvre est rapide permettant une meilleure productivité sur les chantiers,Les produits PAR PHONIC sont disponibles sans délai, ne pénalisant pas la réalisation des travaux,La forte compression des produits dans leur emballage facilite le stockage, le transport et la logistique. Le principe de mise en œuvre des cloisons acoustiques légères Mise en place de l’ossatureAprès repérage d’alignement, fixation des rails hauts et bas.Coupe des montants verticaux à la hauteur solplafond minorée de 5 mm.Engagement des montants dans les rails (entraxe de 60 ou 40 cm ou 90 cm) en les clipsant par rotation d’un quart de tour. Fixation du parement de la 1ère faceDécoupe des plaques de plâtre à la hauteur solplafond minorée de 1 cm.Positionnement en butée du plafond.Vissage des plaques sur les montants verticaux tous les 30 cm, à 1 cm des bords. Pose de l’isolant gamme PAR PHONICDécoupe de l’isolant à la hauteur sol-plafond majorée de 1 cm.Calage de l’isolant entre les montants.Fixation du parement seconde faceVissage des plaques sur les montants verticaux et en quinconce par rapport à la première face de la cloison. Jointage et finition des plaques de plâtre, fixation tous les 30 cm, à 1 cm des bords.
Il y a 2 ans et 324 jours

Cosentino face aux défis de la performance environnementale

Le géant espagnol des surfaces en pierre, qui opère un site industriel de près de 4 millions de m² en Andalousie, multiplie les efforts en matière de réduction de ses consommations en eau et en énergie ainsi que les initiatives d'économie circulaire pour compenser un bilan carbone défavorable.
Il y a 2 ans et 324 jours

PRE BATIMAT // NOVAL présente ses nouvelles motorisations pour volets persiennes, baies XXL et baies minimalistes

A l’occasion du salon BATIMAT, le concepteur et fabricant de solutions de motorisation NOVAL présentera une nouvelle solution de motorisation pour volets persiennes – une première – et fait évoluer ses systèmes de motorisations pour baies coulissantes XXL et minimalistes. Désormais, l’industriel propose de gérer une charge d’entrainement jusqu’à 400 kg en applique et 1,2 […]
Il y a 2 ans et 324 jours

SAINT-GOBAIN GLASS lance la première gamme de verre BAS CARBONE

Saint-Gobain Glass franchit une étape essentielle pour la construction durable, en proposant une gamme de verre avec la plus faible empreinte carbone du marché. Cette première dans l’industrie a été obtenue grâce à une production associant un contenu élevé en verre recyclé (environ 70 % de calcin), l’utilisation d’énergie renouvelable, ainsi qu’un effort important en […]
Il y a 2 ans et 324 jours

Un conte fantastique : l'hôtel du domaine de Chaumont-sur-Loire par Patrick Bouchain et Construire

Le programme lecture de l'été sera dense pour les architectes, confirmés et apprentis. L'Académie d'architecture a dévoilé les nommés 2022 au prix du livre d'architecture et au prix du livre d'architecture pour la jeunesse. Au total, 11 ouvrages concourent au palmarès. De l'enquête documentaire, du […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 324 jours

Ce qu’il faut savoir avant d’acheter une charpente en bois en kit

Vous envisagez d’acheter une charpente en bois en kit ? Notez que ce choix peut vous offrir différents avantages. Il suffit de bien choisir le modèle dont vous avez besoin. Vous obtiendrez ainsi une construction solide répondant parfaitement à vos attentes. Vous pouvez aussi confier l’intervention à un spécialiste en charpente de maison. C’est quoi une charpente en bois en kit ? Généralement coupée par le constructeur, une charpente en bois en kit affiche de bonnes mesures pour couvrir votre habitation. Vous pouvez tomber sur un modèle doté de différents éléments réassemblés. De nombreuses essences de bois peuvent être proposées sur le marché. Vous pouvez par exemple opter pour l’épicéa ainsi que le pin sylvestre. N’oubliez pas de solliciter un couvreur charpente pour vous aider à réaliser les travaux dont vous avez besoin. Il faut noter que l’opération peut prendre moins de temps que prévu surtout si vous contactez un spécialiste. Les principaux points à retenir Votre charpente est normalement offerte avec un dossier de montage, mais aussi les accessoires qu’il faut. Vous n’aurez aucune rectification à réaliser pour assurer la réalisation de votre toiture. Cela est dû au fait que le fabricant réalise les découpages convenables en usine. Il faut noter que des techniciens qualifiés s’occupent de tout pour faciliter la pose de votre revêtement. Il suffit de ce fait de contacter un professionnel comme cet artisan couvreur charpentier en Bas de Rhin sur ce site : https://www.couvreur-charpentier-67.fr/  pour réaliser les travaux comme il se doit. Vous êtes libre de choisir le modèle dont vous avez besoin avec l’aide du spécialiste que vous choisirez. Un kit de charpente en bois pour couvrir votre garage N’oubliez pas qu’un kit de charpente en bois ne se pose pas uniquement sur le toit de votre maison. Vous avez aussi la possibilité de faire ce choix pour couvrir d’autre construction. Cela est par exemple le cas pour le toit de votre garage qui doit être assez solide et résistant. Ce type de réalisation se fait en principe avec 1 ou 2 pentes. Vous pouvez en choisir en plus pour ces dernières pour profiter d’une meilleure qualité pour la charpente. Les principaux points forts de ce type de kit Le choix d’un kit de charpente en bois offre des avantages considérables. Le matériau peut en premier lieu améliorer l’esthétisme de votre habitation. Vous pouvez par exemple ajouter une décoration avec des poutres apparentes. Il suffit d’avoir les bonnes connaissances pour réaliser les travaux comme il se doit. D’ailleurs, l’opération de pose de la réalisation ne prend pas beaucoup de temps. Il ne faut pas non plus négliger la durée de vie de votre construction qui peut aller jusqu’à 50 ans. Il suffit de trouver un modèle qualifié FCBA et proposé avec le marquage CE. Combien coûte un kit de charpente en bois ? Vous devez savoir qu’un kit de charpente en bois ne coûte pas une fortune. Il suffit de préparer le budget essentiel pour obtenir le modèle dont vous avez besoin. Une couverture avec une seule pente peut par contre coûter 135 €/m² contre 150 €/m² si vous en avez deux. Une commande pour kiosque peut toutefois atteindre 320 €/m². Cela implique que vous devez prendre le temps de bien choisir le style que vous voulez adopter pour votre habitation. Tout peut toutefois dépendre du produit que vous voulez adopter en prenant en compte l’essence utilisée ainsi que le style que vous voulez adopter. La dimension de votre charpente est aussi à prendre en compte pour la préparation de votre budget.
Il y a 2 ans et 329 jours

Comment affuter la chaine de votre tronçonneuse ?

Une tronçonneuse doit être robuste, mais aussi parfaitement coupante. Il faut pour cela l’affuter de manière régulière surtout si vous souhaitez vous en servir pour élaguer un arbre. Quelques astuces peuvent être prises en compte pour réaliser l’entretien de votre équipement. Vous pourrez alors vous en servir correctement et obtenir le résultat que vous attendez. Prenez note de la fréquence d’affutage de la lame Il est important de respecter la fréquence conseillée par votre fournisseur concernant l’entretien la lame de votre tronçonneuse. Vous éviterez ainsi le moindre souci pendant les prochaines utilisations tout en prolongeant la durée de vie de l’accessoire. Ainsi, il vous est recommandé de l’entretenir chaque fois qu’elle s’émousse. Vous pouvez toujours contacter un élagueur professionnel si vous avez du mal à affuter l’appareil. Il peut déterminer facilement son état et vous proposer la meilleure option pour l’entretenir. Vous pouvez affuter votre tronçonneuse à l’aide d’une lime manuelle Il suffit souvent de trouver une bonne lime pour affuter la chaîne d’une tronçonneuse. Cela ne demande pas beaucoup de conditions et ne prend pas non plus trop de temps. En effet, vous allez pouvoir entretenir rapidement votre outil de coupe avant de commencer un élagage. Il faut faire attention à porter les bons équipements pour vous protéger. N’oubliez pas non plus de serrer le frein avant même de déterminer le diamètre de l’outil d’affutage. Ceci peut dépendre du pas de votre lame. Il faudra aussi stabiliser l’appareil avant de commencer par la première gouge. Une lime rotative est aussi intéressante Vous pouvez vous servir d’une lime rotative si vous ne voulez pas travailler manuellement. Il suffit de trouver le bon kit pour travailler rapidement. Vous aurez aussi besoin d’une meule cylindrique ainsi que d’un guide d’alignement pour travailler correctement. L’opération se fera toute seule une fois que vous poserez la lame sur l’équipement d’affutage. Vous n’aurez alors aucun effort à faire tout au long de l’intervention. Il ne faut pas hésiter à contacter un expert comme ce spécialiste en élagage d’arbre dans le Doubs sur ce site : https://www.elagage-arbre-25.fr/ si vous avez du mal à vous en sortir. Vous avez la possibilité d’utiliser une affuteuse électrique Vous obtiendrez certainement un résultat plus régulier en misant sur ce type de produit. D’ailleurs, la prise en main ne devrait pas vous poser le moindre souci. Pour commencer, vous n’aurez qu’à fixer l’outil d’affutage sur un établi pour le stabiliser. Vous pouvez ensuite poser la chaine à travers l’étau de l’affuteur sans oublier de bien ajuster l’angle. Il ne vous reste plus qu’à commencer le processus en appuyant sur la gâchette. Cela ne devrait pas prendre beaucoup de temps une fois que la meuleuse sera en contact avec la dent de votre chaine. À quel moment faut-il remplacer la lame de l’appareil ? Vous devez comprendre qu’une chaine de tronçonneuse ne peut pas durer éternellement. Cela est valable, peu importe les entretiens que vous ferez sur cet accessoire. Pensez de ce fait à un remplacement quand vous verrez que la partie la plus longue de la dent de coupe ne dépasse plus les 4 mm. Il est tout à fait possible de contacter un élagueur professionnel si vous avez besoin d’aide pour le choix du prochain modèle. Vous éviterez de ce fait de vous procurer une nouvelle chaine de mauvaise qualité et incapable de répondre à vos besoins.
Il y a 2 ans et 326 jours

Aux Pays-Bas, à la recherche d'espace pour l'énergie solaire

Aux Pays-Bas, et en Europe en général, c'est le grand sujet pour l'industrie solaire, promise à un déploiement massif au vu des objectifs énergétiques et climatiques des Etats: où trouver l'espace pour s'implanter, et se faire accepter ?"On regarde partout", répond Maarten De Groot, du groupe GroenLeven, filiale de l'allemand BayWa, qui mise sur ces espaces où les installations peuvent faire "double usage".Ainsi Piet Albers accueille-t-il, en guise de serre, des toits en panneaux photovoltaïques, posés à trois mètres du sol au-dessus de ses précieuses framboises."Je voyais les étés s'allonger, et ces fruits de la forêt brûler sous les serres. Il fallait les protéger", raconte-t-il.L'agriculteur, qui produit, en monoculture, plus de 200 tonnes de framboises par an, n'engrange pas de loyer de la part de l'énergéticien, mais tire d'autres avantages depuis trois ans: des températures plus constantes, 25% d'arrosage en moins, une protection contre les grêlons, du plastique de serre économisé...Un large sourire fend son visage buriné, alors que 37°C s'annoncent cette semaine dans sa région : "Sous serre, j'aurais dû jeter 10 à 20% des fruits".BayWa en revanche a des surcoûts à assumer: panneaux non standard et moins productifs (semi-transparents pour filtrer la lumière), maintenance plus compliquée, énumère Maarten De Groot, pour qui "l'essor des projets à +double usage+ dépendra du soutien de l'Etat".Un projet "agrivoltaïque" peut induire une perte de 15-25% de revenu par rapport aux parcs solaires au sol. Ces derniers, moins chers et plus productifs, resteront de ce fait nécessaires, estime le secteur.A chaque projet, ses riverainsCependant toutes les solutions émergentes ne sont pas forcément très coûteuses, souligne BayWa. A 50 km de chez M. Albers, l'entreprise a installé un parc flottant sur un lac de carrière.Cette cavité de 30 m de fond, formée par des années d'extraction du sable et remise en eau, accueille désormais 17 hectares de panneaux solaires à perte de vue, sur la moitié de sa superficie."Les flotteurs sont une technologie éprouvée, pas du tout high tech", assemblés comme des pontons, montre Hugo Parant, chef de projets chez BayWa r.e. France. L'investissement est plus important qu'au sol, mais la construction rapide, la maintenance simple, et l'eau, en évitant toute surchauffe, accroît le rendement.Sur l'eau eux aussi, une douzaine de transformateurs envoient au poste à terre 20.000 volts par un énorme câble, à destination d'environ 10.000 foyers.Ici, l'énergéticien verse un loyer à la carrière, mais souvent il vend à l'industriel une électricité décarbonée et à prix stable.Ce parc d'Uivermeertjes est avec 29,8 mégawatts (MW) selon BayWa, le 2e plus grand parc flottant d'Europe. Le premier est aussi au Pays-Bas.L'idée ne fait pas que des heureux, comme William Peters, qui y pêche carpes et tanches. "Les poissons grossissent, mais est-ce que cela continuera ?", demande-t-il aux représentants de l'industriel, qui tentent de le rassurer : une étude sur un autre plan d'eau a montré un faible écart de températures."Nous sommes un petit pays. Dès que vous avez un projet, vous trouvez un riverain, il faut vraiment réfléchir au partage de l'espace", note Maarten De Groot.Dans le pays le plus densément peuplé d'Europe, le déploiement des énergies renouvelables a commencé avec l'éolien, dans le nord, moins habité. Il s'y trouve aujourd'hui limité par les capacités du réseau électrique, tandis que le sud est très urbanisé, et les toits déjà très équipés.Or le défi est là: les Pays-Bas, qui visent la neutralité carbone en 2050, tirent des renouvelables moins de 12% de leur consommation d'énergie finale.Mondialement, le constat est similaire: 2021 a vu un déploiement inédit des capacités solaires et éoliennes, mais il faudrait en installer chaque année quatre fois plus pour garder le réchauffement planétaire à 1,5°C, souligne l'Agence internationale de l'énergie.
Il y a 2 ans et 326 jours

Près de 1000 collèges et lycées engagés dans le challenge d'économies d'énergie CUBE.S !

Au total, 71 collectivités ou organismes de gestion d’établissements privés ont ainsi rejoint l’aventure et ont vu leurs consommations et leurs factures baisser, sans travaux !Mis en œuvre par l’IFPEB et le Cerema, sous le haut patronage des ministères de la Transition écologique et de l’Éducation nationale, CUBE.S met en lice les collèges et lycées participants sur les économies d’énergie réalisées dans leurs établissements. Au-delà des actions concrètes et des économies d’énergies mesurées, l’approche permet d'éduquer et sensibiliser les élèves et de les intégrer dans une démarche collective avec toutes les parties prenantes : collectivités, personnels techniques et équipes pédagogiques de l’établissement…Jusqu’à 30% d’économies d’énergie obtenues dès la première année sans travaux !Avec le challenge CUBE.S, financé par le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE), le Cerema et l’IFPEB proposent aux collectivités et établissements scolaires de bénéficier :d’un suivi des consommations énergétiques pendant 5 ans ;d’un accompagnement pendant 1 an avec une animation inter-établissements, des formations et un appui opérationnel (aide à l’organisation d’un évènement de sensibilisation, réalisation d’un diagnostic participatif, appui aux enseignants…) ;de nombreuses ressources : matériel de mesure, outils pédagogiques, plateforme numérique.L'agendaLancement du championnat de France des économies d’énergie, au stade Arena le 13 décembre 2022.Remise des prix de la saison 2021-2022 en avril 2023.Remise des prix de l’année 2022-2023 en décembre 2023 ou janvier 2024.Les nombreuses actions mises en place ont fait l’objet d’un cahier de retour d’expériences, intégré au kit établissement des nouveaux candidats, disponible également en ligne !L’aventure CUBE continue avec le challenge CubeEcoles pour les écoles primaires.Retrouvez les cartes des départements & organismes de gestion d'établissements privés et des régions engagés dans le challenge sur le site internet du Cerema et dans la pièce jointe.
Il y a 2 ans et 326 jours

Construction industrialisée : Willy Naessens réussit son intégration dans les Hauts-de-France

Installé à Bapaume (Pas-de-Calais) en 2017, le constructeur belge de bâtiments industriels multiplie les chantiers au nord de Paris. Et réfléchit sérieusement à l’ouverture d’une usine de fabrication en France.
Il y a 2 ans et 327 jours

« Viessmann prendra sa part de responsabilité dans la transition de l’Europe », Maximilian Viessmann

A l’occasion d’un déplacement le 13 juillet dans son usine de Faulquemont (Moselle), Maximilian Viessmann, PDG du groupe allemand éponyme, a expliqué vouloir développer des systèmes capables de renforcer l’autonomie énergétique en Europe. Le fabricant allemand d'équipements de chauffage et de réfrigération estime que les batteries fabriquées en Moselle pourraient générer à termes 100 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Il y a 2 ans et 327 jours

Paschal : Emballé, c’est coffré !

Les travaux de gros œuvre ont été achevés en cinq mois. [©Paschal] En Allemagne, près d’Europapark, se situe Ringsheim, une commune de 2 000 habitants. Là, un complexe hôtelier de style méditerranéen a été construit entièrement en béton. Les travaux de gros œuvre ont été achevés en cinq mois. L’ouverture de l’hôtel est prévue fin 2022. En forme de “L”, comptant cinq étages pour une hauteur totale de 16 m, il comprendra 110 chambres et un parking souterrain. Le bâtiment est entouré de bungalows à un ou deux étages, soit 40 logements supplémentaires. Malgré sa taille imposante, le complexe offrira aux visiteurs d’Europapark une nouvelle possibilité d’hébergement confortable de proximité. Pour la construction, l’entreprise Weisenburger Bau a fait confiance aux matériels de coffrage Paschal. Paschal assure le coffrage de l’hôtel La solution Logo.3 de l’industriel a pu démontrer tous ses avantages dans ce projet. Avec seulement 430 m2 de coffrages, les compagnons ont pu réaliser toutes les surfaces verticales. Y compris les trémies d’escalier et d’ascenseur, grâce aux panneaux d’une hauteur de 3,70 m. Mais pour les murs du rez-de-chaussée, des éléments de coffrage d’une hauteur de 1,35 m ont été utilisés, en complément, en tant que coffrage de rehausse. Pour la réalisation des dalles d’étages, environ 1 300 m2 du coffrages de dalles flexibles Paschal Deck avec des poutrelles primaires et secondaires ont été utilisés sur le chantier. Lire aussi : Rhône : Paschal, l’Ile O en symbiose avec le fleuve Par ailleurs, la voie d’accès arrondie du parking souterrain a été traitée avec 112 m2 de coffrages circulaires à poutres trapézoïdales d’une hauteur de 4,50 m. D’ailleurs, les banches de coffrage ont été pré-arrondies et livrées prêtes à l’emploi sur le chantier. Enfin, Paschal a veillé à ce que toutes les exigences soient satisfaites et que les délais soient respectés. Pour cela, le service technique d’application de Steinach, où est située l’usine, a élaboré un plan de coffrage sophistiqué pour les murs, les cages d’ascenseur, les dalles et la rampe. Permettant ainsi d’obtenir une structure uniforme en qualité apparente, avec une réalisation ordonnée des joints de bétonnage.
Il y a 2 ans et 327 jours

La Clôture Française réinvente la personnalisation des clôtures avec Virtuose

Pour offrir enfin plus de possibilités aux particuliers, La Clôture Française, fabricant de clôtures et portails en PVC, bouscule le marché avec le lancement de « Virtuose » de la gamme Signature : un modèle 100 % personnalisable qui permet à chacun de créer la clôture de ses rêves en choisissant et mixant les impressions dont il a envie : effet bois, bambou, corde, haie, cuir, ou toute autre impression… les possibilités sont multiples et sans fin pour personnaliser la face intérieure de sa clôture, tout en respectant les normes imposées éventuellement par votre commune pour l’extérieur. Ultra-résistante au soleil et au vent, Virtuose est la touche déco finale qui sublimera votre extérieur.La Clôture Française, un virtuose des brise-vues !La clôture d’un jardin permet non seulement de délimiter un territoire, mais également de se protéger des regards indiscrets. Une clôture bien entretenue et embellie selon nos goûts peut alors faire la différence et refléter notre personnalité.La Clôture Française s’intéresse à cette partie du jardin souvent délaissée, en créant un univers de couleurs et de textures où seule l’imagination peut imposer des limites.Parmi les impressions proposées on pourra opter au choix entre : textures du bois, aspect de la pierre, nuances de la rouille, relief d'une haie végétale… le client peut même imprimer ses propres photos ou un dessin de son choix. Avec une finition parfaitement réaliste et une texture aussi vraie que naturelle, les visuels s’adaptent à toute dimension choisie.Qu’en est-il avec les règles d’urbanisme ? Selon la commune, il y a parfois certains paramètres à respecter au niveau des couleurs ou matériaux utilisés pour la façade extérieure. Pas de panique ! La solution de La Clôture Française est très flexible. Il est possible de personnaliser uniquement la partie intérieure de la clôture, laissant la façade extérieure neutre, en respectant l’architecture imposée.Une installation simple et robusteLe choix du client ne se limite pas seulement aux impressions. Les poteaux de La Clôture Française supportant les panneaux sont proposés en PVC ou en aluminium. Quant aux chapeaux en aluminium qui couvrent les poteaux, ils sont disponibles en 5 coloris (blanc, gris souris, gris anthracite, noir, bleu). Le projet est entièrement personnalisé pour vivre une expérience unique de A à Z !Côté installation : Virtuose s'installe sur un muret ou sur des plots béton en pleine terre. Les panneaux imprimés s'emboîtent très facilement dans des poteaux en aluminium gris anthracite ou en PVC blanc, eux-mêmes fixés à l'aide de platine à boulonner ou de tubes à sceller en acier galvanisés. L'installation est simple et rapide. Tous les panneaux sont découpés sur-mesure et sont à agencer selon les envies du propriétaire.En respectant les règles fournies par la marque et en suivant les 6 pas indiqués sur la notice de montage, la clôture est posée en une matinée ! En utilisant les meilleurs matériaux et en réunissant les technologies les plus modernes d'impression numérique haute définition, chaque clôture est une œuvre d’art unique qui représente parfaitement le goût et style de son propriétaire.Les prix sont proposés sous devis, à partir de 123,44 € TTC le mètre.Plus d’informations sur le site : ICI
Il y a 2 ans et 327 jours

Menacée par la montée des eaux, New York se protège derrière un mur

L'ouragan Sandy en 2012 et les tempêtes Ida et Henri cet été ont provoqué la mort de dizaines d'habitants et des milliards de dollars de dégâts dans la plus grande ville des Etats-Unis. Avec sa géographie si particulière, la "grosse pomme" est extrêmement vulnérable aux intempéries et a fini par adopter ces dernières années un plan titanesque baptisé "résilience climatique" chiffré à 20 milliards de dollars.Il faut dire que des experts redoutent une montée des eaux de 20 à 75 cm à l'horizon 2050 qui menacerait New York de submersion, en particulier l'île de Manhattan, encadrée par l'océan Atlantique, l'East River et l'Hudson River.Au total, la mégapole de plus de 8,5 millions d'habitants compte 836 km de littoral.Chantier de 1,45 milliard de dollarsDans le sud-est de Manhattan, des travaux pour un budget de 1,45 milliard de dollars ont ainsi débuté pour ériger un mur et des digues contre les inondations.Sur le chantier, coincé entre l'East River et la voie rapide qui la longe, Tom Foley, directeur du département de la conception et de la construction de la ville de New York, explique à l'AFP avoir également projeté de "surélever le parc dans cette zone" au bord de l'eau, où vivent quelque 110.000 New-Yorkais.Sur quatre kilomètres, l'espace vert va être complètement surélevé de trois mètres et l'érection d'un mur anti-inondations doit permettre d'éviter les dégâts catastrophiques provoqués par les derniers ouragans et tempêtes qui se forment au-dessus de l'Atlantique.Ahmed Ibrahim, superviseur des travaux, montre sur place l'installation de "pylônes qui servent de fondations profondes" et des "parois de métal qui formeront un mur de séparation souterrain pour nous protéger des inondations".L'électrochoc SandyLa prise de conscience des autorités new-yorkaises date d'octobre 2012 après l'électrochoc de l'ouragan Sandy qui avait provoqué la mort d'au moins 44 personnes, des dégâts de 19 milliards de dollars et l'absence d'électricité pendant des semaines, rappelle Sara Nielsen, directrice de la planification des parcs de New York.Dans ce quartier hyper dense du sud-est de Manhattan, l'eau était montée à un niveau record de 2,7 mètres au-dessus du niveau de la mer.Pour Sara Nielsen, après l'ouragan Katrina qui avait frappé la Nouvelle-Orléans en 2005, "Sandy a été la première catastrophe qui a accéléré notre approche du changement climatique". L'experte se félicite qu'aujourd'hui la ville, aux infrastructures parfois délabrées, se dote de "projets très importants pour protéger les New-Yorkais".La ville "investit plus de 20 milliards de dollars (dans un plan pluriannuel de) +résilience climatique+ avec une stratégie à plusieurs niveaux pour la protection de notre littoral", explique à l'AFP Jainey Bavishi, directrice du bureau du maire de New York pour la "résilience climatique".Poumon vertPas vraiment une ville arborée - à l'exception du poumon vert géant de Central Park - Manhattan va également replanter des milliers d'arbres de différentes espèces autour du chantier et améliorer les réseaux souterrains d'égouts, d'évacuation des eaux usées et d'électricité.Les urbanistes cherchent aussi à améliorer l'habitat, l'un des talons d'Achille de New York, notamment en raison du nombre de logements en sous-sol exposés aux inondations et de la piètre qualité des constructions et des isolations thermique et phonique des logements."Il y a un million de bâtiments à New York. Nous les modernisons partout où c'est possible", assure Jainey Bavishi, vantant "l'un des codes de construction les plus résilients au monde".Reste que le projet de mur anti-inondations ne plaît pas à tout le monde. Des associations de riverains le contestent devant la justice et le chantier ne devrait pas être achevé avant 2026.Terry, résident du quartier qui refuse de donner son patronyme, reconnaît que c'est "une bonne idée" mais regrette que "les choses avancent lentement".Pour Jainey Bavishi, New York et son programme de "résilience climatique" peut s'inscrire dans le volet environnemental du plan de 1.200 milliards du président Joe Biden, voté au Congrès, pour investir massivement dans les infrastructures aux Etats-Unis.
Il y a 2 ans et 328 jours

Réhabilitation du quartier Baltiss à Voiron (38)

La loi énergie-climat, qui fixe l'objectif de neutralité carbone des bâtiments d'ici 2050, accélère la rénovation des logements énergivores en France. De nombreuses communes, comme Voiron dans l'Isère, engagent des travaux de réhabilitation de certains quartiers vieillissants en modifiant l'enveloppe thermique des bâtiments. Pour la rénovation des 5 bâtiments du quartier Baltiss à Voiron, le bailleur social Pluralis Habitat a mené des travaux d'envergure dans l'objectif de donner un meilleur cadre de vie aux habitants, tout en apportant des solutions durables répondant aux enjeux environnementaux. Parce que les solutions constructives Ytong offrent de véritables atouts dans les projets de réhabilitation de l'enveloppe des bâtiments, le béton cellulaire a été choisi pour reconstituer les allèges et les trumeaux sous ITE des 140 logements sociaux du quartier Baltiss.
Il y a 2 ans et 328 jours

L'entretien des vêtements haute visibilité : une affaire de professionnels

L'entretien et la maintenance des vêtements haute visibilité sont bien plus complexes qu'il n'y paraît. Il n'est évidemment pas question de laver ces vêtements à la maison. Seul un prestataire de services textiles professionnel peut garantir le respect total des règles de protection et d'hygiène. MEWA propose des vêtements professionnels incluant l'entretien, la maintenance, le stockage et la logistique grâce à son large système de prestations de services. Le groupe, à travers ses 45 sites européens, est le leader du secteur dans ce domaine.
Il y a 2 ans et 328 jours

Materrup et Duhalde BTP s’associent pour l’utilisation de ciment bas carbone

Jean Duhalde, président de Duhalde BTP et Mathieu Neuville, président de Materrup signent le partenariat pour l’utilisation de ciment bas carbone. [©Materrup] Materrup a mis au point le ciment local Materrup Clay Cement (MCC1) bas carbone à base d’argile crue. Ce matériau réduit de moitié les émissions de CO2 (350 kgeqCO2/t). Sans compromettre la performance ou la qualité du béton. Il constitue une réponse aux enjeux de la filière en quête de matériaux moins énergivores et moins nocifs au niveau mondial. Quant à Duhalde BTP, il est spécialisé dans des solutions optimisées pour des projets de construction. L’entreprise souhaite s’inscrire dans une dynamique visant à réduire son impact carbone. Et à faire évoluer le secteur vers des modes constructifs plus respectueux de l’environnement. L’argile comme atout pour le ciment « L’expertise du béton et de la construction de Duhalde BTP, associée à notre technologie MCC1, permet ainsi de décarboner dès aujourd’hui l’industrie de la construction, en s’appuyant sur un matériau local et abondant, à savoir l’argile », déclare Mathieu Neuville, président de Materrup. En effet, cette matière première est l’atout du ciment. Elle est facilement disponible et accessible sur l’ensemble de la planète. Ainsi, le MCC1 est déployé dans la première cimenterie de Materrup, située dans le Sud des Landes. Lire aussi : Les bétons se mettent au vert Et sera aussi utilisé dans les unités de production de béton Duhalde BTP pour proposer une gamme de produits locaux et vertueux. Au niveau de la mise en œuvre, le MCC1 requiert les mêmes conditions que le ciment traditionnel. Inutile de changer d’outils ou de matériels. Dès septembre 2022, de nombreux éléments préfabriqués pour des projets d’aménagement extérieurs seront disponibles (bancs, dalles gazon, jardinières…). D’autres applications de BPE seront aussi proposées comme des bétons pour pistes cyclables ou des bétons décoratifs.
Il y a 2 ans et 328 jours

La Banque de France confirme sa prévision de croissance à 0,25% au deuxième trimestre

"Dans un environnement difficile marqué par la guerre en Ukraine et les fortes tensions sur les marchés des matières premières, l'activité continue de résister même si les chefs d'entreprise font état de perspectives en demi-teinte", indique la banque centrale française dans son enquête mensuelle de conjoncture.Après le recul de 0,2% du PIB au premier trimestre, l'activité économique est repartie à la hausse en avril, a un peu accéléré en mai, et s'est stabilisée en juin, détaille la Banque de France, qui ajoute que cette stabilisation se confirmerait en juillet, selon les premiers retours des 8.500 entreprises interrogées dans son enquête.Ce sont surtout les services qui soutiennent l'activité, en particulier certains services aux entreprises (information publicité, études de marché), même si d'autres comme les services de transport et d'entreposage sont en repli, toujours pénalisés par les difficultés de recrutement et les hausses de prix.Mais globalement dans les services, "les incertitudes repartent à la hausse", souligne encore la Banque de France, du fait du regain de l'épidémie de Covid-19 en ce début d'été, des difficultés de recrutement et des inquiétudes sur l'évolution de la demande dans le contexte d'inflation.Sur les recrutements, les problèmes que rencontrent les entreprises pour embaucher se sont encore accrus de 3 points en juin et concernent désormais 58% des entreprises "le plus haut niveau atteint" depuis le printemps 2021, date à laquelle la Banque de France a commencé à interroger les entreprises sur ce sujet. Il y a un an 37% des entreprises affirmaient avoir des difficultés de recrutement.Les secteurs les plus concernés sont les activités de programmation, l'intérim, les services techniques, l'aéronautique et le second oeuvre dans le bâtiment.A l'inverse, sur le front des prix, moins de chefs d'entreprises indiquent avoir augmenté leurs prix de vente en juin, et ceci pour le deuxième mois consécutif, signe d'un "ralentissement" de la hausse des prix des matières premières et de moindres difficultés d'approvisionnement.Cette tendance "masque des différences entre secteurs", nuance toutefois la Banque de France, avec une situation qui s'aggrave encore dans la chimie, le caoutchouc-plastique ou encore l'industrie du bois et papier. La Banque de France s'attend à une croissance de 2,3% sur l'ensemble de l'année 2022, comme l'Insee, tandis que le gouvernement table sur 2,5%.
Il y a 2 ans et 329 jours

EHRET fournit les protections solaires du nouveau quartier urbain Turley à Mannheim.

Des volets coulissants pliables en aluminium pour de remarquables constructions monolithiques en briques. Le projet de construction planifié par l’architecte Max Dudler à la demande du maître d’ouvrage Sebastian Wipfler sur l’ancien site de la caserne Turley Barracks à Mannheim est maintenant terminé. Deux immeubles d’habitation, une crèche et un bâtiment déjà existants, reliés par des allées, s’articulent autour d’une place centrale pour donner à cette nouvelle zone le caractère d’une ville fonctionnant en autarcie. Pour ce nouveau quartier, dont l’aspect est largement influencé par une caserne de l’époque impériale classée monument historique, l’architecte Max Dudler, plusieurs fois récompensé, convainc également par un langage architectural sobre et inspiré par les lieux. Le jeu des trois nouveaux bâtiments monolithiques ainsi que le choix délibéré des matériaux et des couleurs ont donné naissance à un ensemble fascinant d’architecture ancienne et nouvelle. Crédits EHRET Le crépi extérieur grossier, qui s’inspire du grès avec une précision chromatique, et le socle fin en grès dur rouge taillé et originaire de la vallée du Neckar, témoignent de détails parfaitement coordonnés en amont. Le choix de quelques matériaux simples, comme les briques crépies, le béton armé porteur, le bois et l’acier, renforce également l’architecture monolithique qui, en renonçant aux matériaux isolants, s’inscrit pleinement dans le cadre d’un mode de construction à la fois prometteur et traditionnel, et qui s’avère aussi judicieux sur le plan énergétique. Crédits EHRET Un design de façade charismatique souligné par les éléments en acier Les dormants circonférentiels et les volets coulissants pliables EHRET en aluminium, des ouvertures de fenêtres placées librement dans les façades, se détachent par contraste des murs massifs en briques de Poroton. Ils confèrent à la façade, en tant qu’élément de conception dominant, un caractère personnel indéniable. Le projet d’intégrer des huisseries circonférentielles sur 4 côtés avec des éléments coulissants et pliables modernes en aluminium représentait un grand défi. Le maître d’ouvrage a pu se convaincre de la longue expérience et de la compétence de la société EHRET par sa participation déterminante et son soutien dans la phase de planification. Les protections solaires EHRET pour vivre confortablement Les volets en aluminium EHRET, solution moderne de protection contre le vent, les intempéries et le soleil, ont été conçu dans un ton cuivre – couleur spéciale IGP- classic 591T – pour s’harmoniser parfaitement aux coloris des bâtiments. Ils s’ouvrent et se ferment aisément, comme un accordéon, avec un faible rayon d’ouverture et permettent un pliage extrêmement peu encombrant dans l’embrasure. Crédits EHRET ton cuivre – couleur spéciale IGP- classic 591T – pour s’harmoniser parfaitement aux coloris des bâtiments. Crédits EHRET ouverture et fermeture aisée, à la manière d’un accordéon, avec un faible rayon d’ouverture, permettant un pliage extrêmement peu encombrant dans l’embrasure. Au total, 502 volets coulissants et pliables EHRET ont été installés, avec un mélange réussi entre le modèle MATRICO-SL12, qui offre une transparence agréable en forme de filet, et le modèle PLANO-SL12, en tôle pleine et lisse, qui assure un obscurcissement complet, spécialement pour les chambres à coucher. Crédits EHRET Crédits EHRET Crédits EHRET. Au-delà des exigences esthétiques pointue, ces volets ont été choisis notamment pour les fines mailles des grilles de 62 x 25 x 9,0 x 2,0 mm du panneau « Matrico »qui assurent non seulement un climat intérieur optimal, mais créent en outre des conditions d’éclairage d’ambiance qui soulignent avec raffinement l’atmosphère des pièces intérieures. Les parquets en chevrons, les fenêtres en bois, les murs en briques lisses et les plafonds en béton armé toujours visibles créent des espaces de bien-être à l’architecture parfaite. Crédits EHRET Crédits EHRET EHRET signe une réalisation répondant en tout point au cahier des charges de l’architecte Suisse de renommée internationale, Max Dudler. Un projet à nouveau exemplaire qui marie à merveille esthétique, qualité, fonctionnalité et confort. N°1 des volets aluminium en Europe, la marque condense design et compétence pour concevoir un style de vie mouvant entre tradition et modernité. Depuis plus de 50 ans, la marque EHRET est synonyme de qualité supérieure et d’idées innovantes qui inspirent et émeuvent.    
Il y a 2 ans et 329 jours

La production de tuiles est à son plus haut niveau depuis 2014

La production de tuiles et accessoires est en hausse de 15,9% en 2021 par rapport à 2020 et de 5,9% sur les 6 premiers mois de 2022 par rapport à la même période en 2021.Depuis 2020, la profession se mobilise pour répondre à une demande hors norme et servir ses clients dans des conditions d’activités difficiles (crise sanitaire et crise de l’énergie).Les lignes de production tournent à plein régime malgré l’augmentation massive et inédite des prix de l’énergie.Les niveaux de stock sont historiquement bas, les fabricants constatent une forte baisse du taux de retour des palettes consignées.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « Les équipes des fabricants sont conscientes des difficultés rencontrées par les sinistrés et elles sont mobilisées pour tout mettre en œuvre pour produire et servir les clients dans des conditions très tendues pour tous et avec un niveau de demande déjà très élevé. Les lignes tournent à plein régime, souvent organisées en 5x8 pour produire 24h sur 24 et sur 7 jours sur 7. La profession vend au négoce tout ce qu’elle produit, les stocks sont historiquement bas. Les tensions durent depuis plusieurs mois et les récents et tragiques épisodes de grêle n’arrangent rien. Sur le terrain et au travers de leurs organisations professionnelles, les fabricants, les négoces, les couvreurs travaillent pour prioriser les sinistrés. »+15,9% pour la production de tuile et +15 % pour les livraisons en 2021La production de tuiles et accessoires en tonnes est en hausse de 15,9% et les livraisons en hausse de 15 % (+15,1 % en France et 13,9 % à l’export). Ce sont plus de 42 millions de m2 de tuiles qui ont été produits et livrés au total et 5,5 millions de m2 supplémentaires en 2021 par rapport à 2020.Le stock en tonnes au 31 décembre 2021 était de 41,6% inférieur au stock avant COVID au 31 décembre 2019 et de 27,7% par rapport à celui de décembre 2020.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « Dès mars 2020, la profession s’est mobilisée pour servir ses clients et accompagner la reprise des chantiers. La branche a été parmi les 4 premières à obtenir la validation par le ministère du travail et le ministère de la santé de son protocole de travail pendant le COVID. Fin mai 2020, le taux de production et de livraison des tuiles et briques était à 95% de son niveau par rapport à la même période de 2019*. Fin 2020, la production n’a baissé que de 7% par rapport à 2019, mais, la demande était telle, que les stocks de tuiles et accessoires avaient déjà diminué de 20%. »Une demande toujours forte sur les 6 premiers mois 2022 accentuée par les épisodes de grêleLa production de tuiles et accessoires est en hausse de 5,9% et les livraisons sont en hausse de 1,7% en France pour les 6 premiers mois 2022 par rapport à la même période de 2021.Le stock de tuiles et d’accessoires à fin juin 2022 est diminué de 45% par rapport à celui de fin juin 2019 (avant COVID) et de 16,5% par rapport à fin juin 2021.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « On nous demande pourquoi ne pas ajouter des lignes de production. Malheureusement, il est compliqué et long de modifier une ligne production. Selon les produits, les sites, les modèles, les argiles ne sont pas les mêmes, les équipements ne sont pas les mêmes, les mises au point et les réglages sont longs. Ce n’est pas possible rapidement surtout dans un contexte de forte demande et créer une ligne requiert plusieurs années. »Energies, recrutement, palettes, transport : des conditions d’activités en tensionAlors que la filière des tuiles et briques n’est pas concernée par des difficultés d’approvisionnement pour sa matière première, l’argile, car les fabricants travaillent avec des argiles extraites dans leurs carrières à proximité des usines, les tensions sont principalement liées aux postes énergie, transport, logistique et main d’œuvre. Dès l’été 2021, la profession comme d’autres industries est ainsi fortement touchée par les hausses massives, brutales et inédites du coût de l’énergie, particulièrement du gaz naturel.Le mégawattheure (MWh) de gaz coûtait au quatrième trimestre 2021 en moyenne 91€ contre 19€ au premier trimestre1. Pour l’électricité, les tarifs sont passés de 50 à 156€/MWh2. Pour fabriquer une tonne de tuiles le poste énergie coûte en moyenne cinq fois plus au quatrième trimestre 2021 qu'au premier trimestre 2021. Pour le premier semestre 2022, la moyenne du cours s’établit à environ 100€.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « L’augmentation des prix de l’énergie et en particulier du gaz pourrait aussi avoir amené certains acteurs à stocker plus qu’avant à titre préventif. La pénurie de chauffeurs routiers, les tensions en délais et en prix sur les palettes affectent aussi nos capacités à livrer nos clients dans les délais et conditions auxquels ils étaient habitués et comme beaucoup de secteurs nous avons aussi des postes à pourvoir dans les usines pour lesquels nous peinons à recruter. Nous alertons aussi les pouvoirs publics sur les conséquences désastreuses pour la filière et nos concitoyens, si nous devions arrêter des lignes de production du fait de réductions d’approvisionnement en gaz liés aux plans de délestage en cours d’élaboration pour faire face dans les mois à venir à une interruption totale ou partielle des importations de gaz russe. »
Il y a 2 ans et 329 jours

Parfaite intégration d’une maison bois de ville à une ancienne grange en briques à Londres

Cette maison à deux étages a été construite sur l’empreinte d’un bâtiment industriel en briques à Londres par l’architecte Russel Jones. [De l’architecte] Situé sur Windsor Road, à Tottenham, Londres, ce bâtiment de deux étages, appelé black House, rejoint un quartier diversifié de maisons mitoyennes victoriennes et édouardiennes. Faisant partie des locaux d’un vendeur de […]
Il y a 2 ans et 329 jours

MaPrimeRénov' : "Il faut faire plus d'un million de rénovations", B.Bazin (Saint-Gobain)

OBJECTIFS. L'État doit changer de braquet sur la rénovation énergétique, estime Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. Pour lui, ce sujet constitue en effet le "meilleur investissement" possible actuellement.
Il y a 2 ans et 329 jours

Lancement du manifeste Unisson(s) : vers une architecture bas carbone et du vivant

Avec son manifeste, le mouvement UNISSON(S), porté par A4MT et l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), souhaite réunir les acteurs de la construction, de l’aménagement, du paysage et de l’industrie afin d’encourager l’émergence d’une nouvelle architecture, socle de l’évolution des nouveaux enjeux.Alors que la France met en place une Réglementation Environnementale de la construction en 2022, relevant le défi environnemental qu’est le réchauffement climatique en contraignant le contenu carbone des ouvrages, le mouvement UNISSON(S) s’engage à fédérer, encourager et promouvoir les acteurs de la filière prenant part à l’élaboration d’une nouvelle écriture architecturale. Pour y parvenir, UNISSON(S) souhaite recenser et donner à voir les expériences concrètes de ces parties-prenantes, en décryptant avec eux leurs réussites et leurs écueils comme le précisent les initiateurs du mouvement.Le but : « susciter le débat entre les spécialistes et créer le dialogue avec la société à travers une itinérance dans les différentes régions de France permettant ainsi le développement d’un regard critique et avisé des concitoyens non experts », explique Laurent Morel, Président de l’IFPEB, associé de A4MT et Carbone 4, et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S).« Créer une nouvelle culture ensemble qui permette de préserver les ressources autant que faire se peut. Que toutes les parties prenantes, les architectes, les ingénieurs, soient autour de la table pour réaliser la ou les transitions en s’amusant parce qu’il y a matière à s’enchanter, en prenant même de l’avance sur les prescriptions », déclare Laëtitia George, Présidente de Contrast-e et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S), à propos du mouvement.Cette dynamique, se voulant représentante d’une « école française » au sein du Nouveau Bauhaus Européen initié en 2020 par la Commission européenne, va permettre aux architectes de montrer un nouvel imaginaire des possibles de la ville et du paysage de demain à travers une architecture bas carbone et du vivant.Pour Anne Rouzée, architecte, associée d'ATELIERS 2/3/4 et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « Construire autrement signifie concevoir autrement avec la recherche d’une nouvelle esthétique. Comme pour le textile ou le mobilier qui connaissent le boom de la seconde main, le secteur de la ville et du bâti doit vivre encore plus vite la transition. »Pour Guillaume Mangeot, architecte, directeur de l’Agence PCA et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « L’architecture est le reflet d’une culture qui est elle-même le reflet de la société. Nous devons reconstruire un nouveau récit lequel se dans projeter et vivre ensemble. C’est cela qui me motive dans l’initiative d’UNISSON(S). »Le mouvement UNISSON(S) réunit ainsi des acteurs reconnus du secteur. Premiers grands parrains et signataires du Manifeste, BNP Paribas Real Estate, Bouygues Immobilier, Bureau Veritas France, Celsius Energy, Cabinet Malaquin, Espaces Ferroviaires, Nexity, Société de la Tour Eiffel et Sogelym Dixence, partenaires et sponsors s’engagent aux côtés d’architectes, paysagistes, maîtres d’ouvrages, concepteurs, élus, écoles et tous métiers de l’aménagement et de la ville.Accompagné de ses parrains et partenaires, l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), Action for Market Transformation (A4MT), Contrast-e, Construction21 et le Nouveau Bauhaus Européen, le mouvement UNISSON(S) invite tous les acteurs de la filière à signer son Manifeste en faveur d'une architecture bas carbone et du vivant pour dessiner, ensemble, la ville de demain.Pour Dominique Boré, Présidente d’honneur de la Maison de l’Architecture Ile-de-France et Commissaire générale d’UNISSON(S) : « Il faut que l’architecte soit le garant, le primus inter pares de la transition écologique du bâtiment. La nouvelle réglementation environnementale (RE2020) va conduire à se réunir avec toutes les parties prenantes et travailler autrement, dès l’amont des projets. »Pour son lancement officiel, le mouvement UNISSON(S) sera présent au Salon de l’Immobilier Bas Carbone (SIBCA) le 23 septembre prochain au Grand Palais Ephémère.Découvrir le Manifeste.Signer le Manifeste.Site Internet.Comité scientifique et technique d’Unisson(s) Dominique BORE l Cédric BOREL l Maud CAUBET l Claire CHABROL l Pierre DARMET l Laëtitia GEORGE | Annabelle LEDOUX l Guillaume MANGEOT l Laurent MOREL l Véronique PAPPE l Thierry PAQUOT l Christophe RODRIGUEZ l Anne ROUZEE
Il y a 2 ans et 329 jours

Eiffage boucle le rachat de deux sociétés aux Pays-Bas

ACQUISITION. Le groupe Eiffage, via la filiale hollandaise de sa branche Energie systèmes, a souhaité compléter son maillage territorial aux Pays-Bas et se renforcer dans le secteur de l'industrie en procédant par croissance externe.
Il y a 2 ans et 329 jours

Hoffmann Green Cement acquiert ABC Broyage

Hoffmann Green Cement réalise sa première opération de croissance externe, en rachetant ABC Broyage. [©ACPresse] Hoffmann Green Cement réalise sa première opération de croissance externe, en rachetant ABC Broyage, spécialiste du broyage, détenant lui-même la société AB Cesar. Ceci, pour internaliser le traitement de ses matières premières. Grâce à cette acquisition, Hoffmann intègre une activité industrielle qui lui permettra de broyer des laitiers de hauts fourneaux, l’une des éléments utilisés dans ses ciments H-UKR et H-Iona. Un gain de dépendance Ce rachat constitue une opportunité stratégique pour l’industriel, puisqu’en internalisant ce traitement, il va gagner en indépendance. Mais aussi élargir sa capacité de sourcing et sécuriser ses marges dans un contexte inflationniste. Le site de production d’ABC Broyage, implanté au Nord de la Dordogne, s’intègre ainsi dans le schéma logistique local d’Hoffmann. En effet, il est localisé à proximité, à la fois du port de La Rochelle. Où seront réceptionnés les laitiers de hauts fourneaux bruts. Ainsi que des sites de production H1 et H2 de Hoffmann de Bournezeau, en Vendée. Où les ciments de la marque sont produits.
Il y a 2 ans et 330 jours

BWT France lance son réducteur de pression d’eau BWT D1

Conçu et fabriqué avec le savoir-faire et l’expertise de BWT France, ce réducteur de pression diminue les consommations d’eau, apporte une protection aux équipements et une barrière contre les impuretés. Une autre façon de préserver durablement nos ressources.Pourquoi réduire la pression d’eau ?Une pression excessive de l’eau de ville a des effets dommageables souvent méconnus.D’abord une surconsommation d’eau inutile, puisqu’on estime que 1 bar de pression en trop génère 20% de consommation d’eau supplémentaire. Pour une famille type de 4 personnes cela représente environ 120 € annuels*.Trop de pression nuit également à tout le circuit résidentiel de distribution d’eau sanitaire -canalisations, chaudière, installations sanitaires, robinetterie et appareils électroménager consommant de l’eau- et peut entrainer une usure prématurée de ces équipements.Enfin, une pression excessive peut générer des « coups de bélier » sonores et très néfastes pour la plomberie (fuites, déformation de conduits, cassures, usure des joints…).La solution pour parer à tous ces problèmes : l’installation d’un réducteur de pression pour diminuer la pression d’eau à la valeur souhaitée et à la juste valeur nécessaire.*Pour une consommation moyenne de 150 m3/an au prix moyen de 4 € le m3Le réducteur de pression BWT D1 : une nouvelle barrière protectriceConcepteur, fabricant et intégrateur de solutions de traitement d’eau, BWT France est leader dans son domaine et maîtrise toute la chaîne du traitement de l’eau de la maison. En ajoutant un réducteur de pression à sa gamme, BWT propose une nouvelle solution simple et efficace pour une eau de qualité et le confort des utilisateurs.Conçu comme une station de protection, ce réducteur en bronze assure comme fonction principale de réguler la pression entrante (jusqu’à 16 bars) à la valeur souhaitée (conseillée et pré-réglée d’usine à 3 bars). L’utilisation d’un effet Venturi breveté optimise le contrôle de pression et limite les pertes de charge sur l’installation. La graduation visible des deux côtés de la molette facilite le réglage et le contrôle de la valeur de pression sortante.Pour améliorer encore la qualité de l’eau, le BWT D1 est également équipé d’un tamis filtrant 160µm en inox qui retient les impuretés les plus grossières de l’eau (sables, particules, résidus de tartre ou de corrosion…) et protège l’installation. Son bol en plastique transparent permet un contrôle facile de l’état du filtre. En cas d’encrassement il se démonte sans outil.Le + produit : en enregistrant son réducteur de pression BWT D1 sur l’appli mobile BEST WATER HOME du fabricant, l’utilisateur reçoit des notifications pour le remplacement et le nettoyage du tamis filtrant en inox et peut suivre ses économies d’eau en temps réel.Pour en savoir plus sur le réducteur de pression BWT D1 : cliquez iciLe bon moment, les bons arguments pour faire le bon choixDans le cas d’une installation existante, le réducteur de pression est recommandé lors d’un remplacement de chaufferie ou de ballon d’eau chaude sanitaire (ECS). Et généralement, il vient compléter le système de filtration à l’arrivée d’eau générale.Pour une nouvelle installation, il est idéal de s’équiper de la station de protection E1 : une station complète et prête-à-installer qui combine 5 fonctions : filtration à 90µm, réducteur de pression, manomètre de contrôle, clapet anti-retour et vanne de coupure d’eau. La station E1 offre une protection maximale du réseau d’eau contre impuretés et excès de pression, pour un encombrement minimal.En maison individuelle, collective ou appartement, ces deux solutions BWT réduisent considérablement les risques de grippage des équipements et prolongent leur durée de vie. Elles réduisent la consommation d’eau. Enfin, elles offrent aux utilisateurs le confort d’une eau sans Impuretés et composants indésirables.Pour en savoir plus sur la station de filtration BWT E1 : cliquez ici
Il y a 2 ans et 330 jours

Transformation du site industriel de Saint-Thégonnec (29) et développement de nouvelles solutions PAC, climatisation et hydrogène : Bosch Thermotechnologie poursuit ses ambitions

Le site industriel de Saint-Thégonnec dédie son savoir-faire au ballon inox  L’usine Bosch Thermo technologie de Saint-Thégonnec, sur une surface de 23 000 m2, vit sa plus importante transformation, devenant exclusivement un Centre de compétence ballon inox. Avec l’arrêt des chaudières fioul et gaz à fin juin 2022, le site industriel rebondit : s’appuyant sur […]
Il y a 2 ans et 330 jours

IKO INSULATIONS devient le 1er industriel à obtenir un DTA pour le panneau IKO enertherm ALU XL PRO

 Le Groupe Spécialisé N°5.2 «Produits et procédés d’étanchéité de toitures-terrasses, de parois enterrées et cuvelage» du CSTB a accordé un Document Technique d’Application (n° à venir prochainement) au panneau d’isolation avec une âme en mousse rigide de PIR, IKO enertherm ALU XL PRO.  En 2015, IKO Insulations était déjà le premier industriel à obtenir une […]
Il y a 2 ans et 330 jours

LE FILMM édite une nouvelle brochure sur le confort d’été dans la RE 2020 et détaille les solutions pour un confort d’été efficient

La Réglementation Environnementale – RE 2020 – a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. Ainsi, comme l’explique la brochure du FILMM, la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h.  Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont […]
Il y a 2 ans et 330 jours

Nouveaux groupes d’eau glacée – ECOi-W au R32 pour Panasonic

Groupe d’eau glacée réversible ou froid seul ;  Dix capacités disponibles (de 50 à 170 kW) ;  Efficacité saisonnière élevée grâce au réfrigérant R32 ;  Haute qualité et durabilité (tests réalisés en usine) ;  Solution personnalisable.  Gennevilliers – Panasonic annonce le lancement de ses nouveaux groupes d’eau glacée ECOi-W au R32. Avec un large choix […]
Il y a 2 ans et 330 jours

L’industrie cimentière lance sa nouvelle plateforme des métiers en ligne !

Le Syndicat Français de l’Industrie Cimentière (SFIC), l’Ecole Française du Béton (EFB), et les partenaires sociaux de la branche de l’Industrie cimentière, lancent en partenariat avec OPCO2i une nouvelle plateforme des métiers en ligne à destination des étudiants et des personnes en quête de reconversion pour accompagner ses ambitions en matière de recrutement, de formation […]
Il y a 2 ans et 330 jours

Le biofioul, alternative au fioul domestique, est distribué progressivement depuis quelques jours

Avec l’entrée en vigueur depuis le 1er juillet du décret n°2022-8 relatif à la performance environnementale des équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire, l’installation de matériels utilisant à titre principal un combustible émettant plus de 300 g CO2eq/kWh PCI tout au long de son cycle de vie n’est plus autorisée.En conséquence, si le fioul traditionnel pourra continuer à être utilisé par plus de 3 millions de résidences principales recourant à cette énergie stockable, les installations neuves fonctionneront désormais avec un biofioul F30, lequel répond à l’exigence du plafond d’émission de 300 g CO2eq/kWh PCI fixé par le décret.Sous réserve de la publication d’un arrêté ministériel autorisant sa mise sur le marché, la distribution du biofioul F30 débutera dès le mois de juillet en Alsace, Auvergne-Rhône-Alpes et Ile-de-France. Les 200 premiers distributeurs qui le proposeront seront identifiés sur le site internet Biofioul.info dès la parution de l’arrêté ministériel. La distribution se poursuivra progressivement pour couvrir l’ensemble du territoire à l’automne 2022.Concrètement, depuis le 1er juillet :L’installation de chaudières neuves utilisant un combustible liquide[iii] reste autorisée à la condition d’utiliser du biofioul F30, dont le niveau des émissions tout au long du cycle de vie est inférieur à 300g CO2eq/kWh PCI. Une quinzaine de références d’équipements sont d’ores et déjà disponibles chez les constructeurs suivants : ATLANTIC – CHAPPÉE – CUENOD – DE DIETRICH – OERTLI – PERGE – WEISHAUPT.Les chaudières actuellement en service et installées suivant des devis signés jusqu’au 30 juin 2022 peuvent continuer à fonctionner avec du fioul domestique traditionnel (limité à 7% d’énergie renouvelable selon les spécifications actuelles).Pour Frédéric Plan, Délégué Général de la FF3C : « L’arrivée du biofioul est une alternative pour accélérer la fin du fioul domestique traditionnel à condition que sa fiscalité le rende attractif. En effet, les chaudières en service peuvent être adaptées à l’usage du biofioul notamment à l’occasion d’un changement de brûleur. C’est au législateur d’en prendre l’initiative. Si le gain de consommation d’une chaudière neuve de haute performance énergétique (de 25 à 30%) permet de gommer son surcoût, ce n’est pas le cas pour les chaudières existantes dont la longévité dépasse les 25 ans. »Le fioul domestique est la 3e énergie de chauffage en France. Il équipe plus de 3,5 millions de logements, dont 3,1 millions de résidences principales, sur un total de 29,8 millions, soit 12% du parc, principalement dans des territoires ruraux et périurbains, que les réseaux de chaleur ou le gaz de ville ne desservent souvent pas (sources Ceren et Ademe, 2017). En France, 25.000 communes ne sont pas raccordées aux réseaux de gaz, ce qui représente, sur l’ensemble du territoire, 13,4 millions de Français, soit 20% de la population (sources GRDF et Insee, 2018).
Il y a 2 ans et 330 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs sera construite près de Grenoble, un projet à 5,7 milliards d'euros

"C'est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle : c'est 1.000 emplois à la clé", a commenté le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, sur Twitter.Les projets d'investissements industriels, qui seront présentés lundi après-midi à Versailles (6,7 milliards d'euros d'investissements, "plus de 4.000 emplois créés"), tombent à point nommé pour le gouvernement, pressé par l'inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat. La future usine de semi-conducteurs bénéficiera d'un "soutien financier important de l'Etat français", ont précisé le groupe franco-italien STMicroelectronics et l'américain GlobalFoundries.Elle s'inscrit dans le cadre du "Chips Act", le programme de l'Union européenne pour retrouver une place aux côtés de l'Asie et de l'Amérique dans la production mondiale de semi-conducteurs. Marquée par la pénurie de ces précieux composants, à la suite de la crise du Covid-19, l'Europe veut remonter sa part à 20% de la production mondiale, contre moins de 10% aujourd'hui.Les semi-conducteurs produits à Crolles, près de Grenoble, serviront notamment des marchés finaux "tels que l'automobile, l'industriel, l'internet des objets et les infrastructures de communication".Les premières productions devraient être lancées à partir de la fin 2023, avec une montée en charge progressive jusqu'à 2025/2026, selon l'Elysée. La production sera pour environ 58% destinée à GlobalFoundries, le reste étant pour STMicroelectronics, ont indiqué les deux entreprises.M. Macron se rendra mardi sur place pour présenter ce projet d'usine, qui sera à terme "le plus important site de production de puces français et l'un des plus importants d'Europe".Ces annonces surviennent dans un climat tendu, après des révélations dimanche soir par le journal Le Monde des liens qui ont uni Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie (2014-2016), et la société Uber. S'appuyant sur différents témoignages et documents, ces "Uber Files" concluent à l'existence d'un "deal" secret, visant à aider la plateforme à consolider ses positions en France, ce qu'ont vivement dénoncé des élus de gauche.AttractivitéPour l'Elysée, la participation record de patrons étrangers à "Choose France" - ils étaient 120 à 130 lors des précédentes éditions - montre un "très fort intérêt des patrons étrangers, suite à la réélection du président".Malgré la perte de la majorité absolue par le gouvernement, "il n'y a pas d'inquiétude des grands patrons" sur la poursuite d'un programme favorable aux investissements industriels en France, assure l'entourage du chef de l'Etat.Les dirigeants de Coca-Cola, Disney, Siemens, Merck Allemagne, des banques américaines Citi, JP Morgan, Morgan Stanley, du conglomérat chinois Fosun ou du groupe australien de services financiers Macquarie se retrouveront sous les ors de Versailles.M. Macron rencontrera aussi les "grands fonds souverains", comme ceux des Emirats, d'Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar et de Corée, ainsi que des fonds canadiens.Parmi les autres projets annoncés dans le cadre de "Choose France", le spécialiste des colis express FedEx va créer 1.000 emplois permanents à Roissy (Val-d'Oise). L'espagnol Amadeus (gestion de réservations touristiques) 800 emplois, notamment à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), le cabinet de conseil Accenture 500 en Bretagne et le vietnamien Vinfast (automobile) 350 à 400 dans des showrooms et ateliers, selon l'Elysée.Le géant britannique du médicament GlaxoSmithKline (GSK) va investir dans des essais cliniques, l'américain Collins Aerospace (avionique, systèmes d'information - groupe Raytheon) dans la recherche-développement et l'allemand Vorwerk se doter d'une deuxième usine Thermomix, en Eure-et-Loir.Le groupe néerlandais de travail temporaire Randstad va recruter par ailleurs 7.000 collaborateurs en CDI intérimaire d'ici la fin 2022. La France s'enorgueillit d'être le pays le plus attractif en Europe pour les investisseurs étrangers par le nombre de projets - 1.222 en 2021 -, leur taille étant en revanche généralement plus petite, selon le baromètre du cabinet EY.Près de 80 projets d'investissements, représentant 12 milliards d'euros et 21.000 emplois, ont été annoncés dans le cadre des sommets "Choose France" depuis 2018 : 25 ont été réalisés, 50 sont en cours et cinq ont été abandonnés ou reportés.
Il y a 2 ans et 330 jours

Saint-Gobain veut industrialiser la construction en terre grâce aux terres excavées

MATÉRIAU. Saint-Gobain encourage l'économie circulaire en déployant des systèmes constructifs en terre. Le groupe prévoit leur commercialisation massive au sein des magasins de sa filiale Point.P.
Il y a 2 ans et 330 jours

BEISSIER unifie l’identité visuelle de ses packagings PRESTONETT et lance de nouveaux conditionnements

Si Beissier a impulsé en 2021 une nouvelle identité visuelle pour sa gamme Prestonett en grands conditionnements, le spécialiste de la préparation des fonds confirme, pour 2022, un travail d’unification sur ses offres en petits conditionnements. Reconnaissance visuelle forte avec un facing emblématique en fond kraft, facilité d’identification comme de choix (grâce à la lettre […]
Il y a 2 ans et 330 jours

Portalp invite les prescripteurs à découvrir Bloomframe® sur le salon Architect@Work Paris

Rendez-vous incontournable des architectes, architectes d’intérieur et autres prescripteurs (maîtres d’ouvrage, urbanistes et économistes), ARCHITECT@WORK est l’occasion pour les industriels de présenter leur innovation dans un écrin d’exposition. Ainsi, Portalp, fabricant français de portes automatiques, dévoilera Bloomframe®, ouverture de façade interactive et automatisée née du partenariat avec l’architecte néerlandais Hofman-Dujardin. Du 22 au 23 septembre 2022, l’équipe de prescription de Portalp sera heureuse d’accueillir les visiteurs à Paris sur son stand n°87 afin de leur expliquer tous les avantages de cette nouvelle solution architecturale conçue par Hofman- Dujardin et fabriquée et installée par Portalp dès l’automne 2022. http://www.portalp.com