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Il y a 2 ans et 320 jours

Holcim produit le premier clinker recyclé au monde

Holcim annonce la production du premier clinker composé à 100 % de minéraux issus du recyclage. [©ACPresse] Le cimentier suisse Holcim vient d’annoncer avoir produit le premier clinker au monde composé à 100 % de minéraux issus du recyclage. L’opération s’est déroulée sur le site de la cimenterie d’Altkirch, dans le département du Haut-Rhin. « Quelque 2 000 t de clinker ont été fabriquées à partir de matériaux recyclés, indique le groupe Holcim. De quoi permettre de préserver les ressources naturelles de la carrière, en économisant l’équivalent de 3 000 t de matières premières extraites. Ce clinker n’a pas été intégré à la production du site. Mais il est en cours de transformation en ciment 100 % recyclé sur un autre site du groupe en France, avec des ajouts provenant aussi de matériaux recyclés… » Dix matériaux recyclés dans la composition L’essai s’est étalé sur 2 j sans arrêt, avec un monitoring permanent suivi par une équipe spéciale composée de 10 personnes. Parmi elles, des experts du centre de recherche de L’Isle-d’Abeau, les collaborateurs du site, la direction qualité de Lafarge et la direction industrielle. En effet, il existait plusieurs inconnues liées à cette grande première : quelle sera la réaction du mélange ? Quel sera son comportement à la cuisson ? Quel sera l’impact éventuel sur le four ? Dans le détail, Holcim a utilisé des matières premières alternatives toutes issues de l’économie circulaire et provenant, en grande partie, de sources locales. A savoir de la région Grand Est. « Dix produits recyclés différents ont été rassemblés, afin de disposer de tous les éléments nécessaires pour atteindre la composition chimique cible du clinker, reprend Holcim. Ceci, dans le but d’une conformité avec la norme ciment. Ainsi, chaque matériau a été caractérisé d’un point de vue chimique en laboratoire. » Le cimentier refuse de les citer tous, « pour des raisons évidentes de confidentialité. » Mais indique tout de même la présence de cendres de bois ou de déchets du traitement des minéraux… Une cuisson dans un four à 1 450 °C Côté fabrication, le processus est similaire à celui du clinker normal, une fois les constituants rassemblés sur le site. Pour commencer, les matériaux recyclés sont pré-mélangés dans la carrière où ils sont stockés, de façon à constituer une farine crue homogène. L’étape 2 est celle de la cuisson dans le four rotatif de la cimenterie, à la même température que les matériaux naturels habituels (calcaire et argile pour l’essentiel). C’est-à-dire à 1 450 °C. Viennent ensuite les classiques opérations de broyage et d’ajouts d’additions complémentaires qui permettront d’obtenir un ciment. Nous ne sommes donc pas ici en présence d’un véritable clinker bas carbone direct. Mais il permet une décarbonation indirecte du secteur cimentier à travers l’économie de matières premières vierges. Pour Holcim, cette première est un succès et le clinker obtenu est conforme aux objectifs de qualité fixés, ainsi qu’à la norme ciment. Il sera utilisé pour produire du ciment 100 % recyclé. En le mélangeant avec de l’eau recyclée, des armatures produites avec des aciers recyclés et d’autres composants valorisés, il deviendra possible de réaliser un béton 100 % recyclé. Holcim annonce la mise en œuvre d’un tel produit dès 3e trimestre 2022 ! Inscrit dans la trajectoire “net-zéro” « Cette percée montre ce qu’il est possible d’accomplir lorsque vous combinez l’expertise d’Holcim en matière de recyclage avec sa position producteur de ciment, indique Edelio Bermejo, directeur du Holcim Innovation Center. Développer un clinker 100 % recyclé nous fait franchir une étape supplémentaire dans notre quête de la construction circulaire. » Le nouveau clinker s’inscrit dans la trajectoire “net-zéro” d’Holcim pour décarboner l’environnement bâti. Ainsi, en 2021, le cimentier a recyclé 54 Mt de matériaux dans l’ensemble de ses activités dans le monde. Et prévoit de doubler ce taux d’ici 2030. Pour construire du neuf à partir de l’ancien, il intensifie le recyclage des déchets de construction et de démolition en nouveaux matériaux de construction. L’objectif de la démarche est d’atteindre 10 Mt d’ici 2025. En 2021, Holcim en avait recyclé 6,6 Mt. Et, en Suisse, il a lancé le premier ciment vert au monde contenant 20 % de déchets de construction et de démolition recyclés. Ceci, dans sa gamme EcoPlanet.
Il y a 2 ans et 320 jours

« Les machines Cetec travaillent en papier comme en plastique »

Nouveau hall de l’usine Cetec de Périgueux, en Dordogne. [©Cetec] Cetec vient de fêter son 50e anniversaire. Quel bilan pouvez-vous tirer du chemin parcouru ? Mathias Elié : Cetec a réussi à traverser les époques en grandissant, et a su étendre ses gammes et ses technologies. Nous avons beaucoup travaillé sur l’innovation et sur nos positions de marché. A présent, Cetec arrive à maturité comme fournisseur français de chaînes d’ensachage complètes. Ceci, sur la gamme allant de 5 à 25 kg principalement. Au-delà, il reste quelques fournisseurs européens. Que des acteurs très professionnels de la chaîne d’ensachage… Au départ, Cetec était très centré sur les machines d’ensachage de nourritures pour animaux. Mais à une période, l’entreprise s’est retrouvée en difficulté. C’est toujours dangereux d’être mono-produit… Aussi, nous nous sommes diversifiés vers d’autres industries comme la semence, la minoterie, les matériaux pour le BTP ou les produits chimiques. Ces deux dernières activités génèrent chacune 15 % de notre chiffre d’affaires France. Cetec est très bien identifié sur ses marchés. Qui est Cetec aujourd’hui ? Comment envisagez-vous l’avenir ? Nous sommes une PME familiale de 90 personnes, basée en Dordogne. C’est-à-dire au cœur des territoires. Une entreprise fondée par Jean-Claude Labrue et reprise depuis par son fils Régis. Cetec possède un unique site de production, à Périgueux et réalise un chiffre d’affaires de 13 M€. Près de 40 % sont liés à l’export en direction de l’Afrique et des Amériques. Le gisement à l’international reste énorme. Mais, malgré tout, nous avons la volonté de rééquilibrer l’origine de nos revenus entre la France et le reste du monde. Notre plan de développement actuel court jusqu’en 2025 et prévoit un chiffre d’affaires de 15 M€ à parité entre la France et l’export. Parmi nos champs d’action, les sacs de 35 kg, qui s’intègrent tout à fait à notre scope. Tout comme les sacs de moins de 5 kg, parfaits pour la nourriture pour animaux. Toutefois, les sacs de 2 kg restent notre limite basse, car en deçà, il est nécessaire de changer de machines d’ensachage. De même, nous restons centrés sur les technologies de gaines ou de sacs formés. Pas de bobines donc en ligne de mire… Avez-vous mis en place des moyens particuliers pour atteindre vos objectifs ? Nous venons d’agrandir notre usine de près de 1 900 m2, ce qui nous a permis de retrouver plus d’aisance. Mais surtout des gains en productivité et la capacité de réaliser des tests d’ensembles complets avant livraison. Cetec assure l’essentiel de sa fabrication en interne, soit plus de 80 % des sous-ensembles. Qu’il s’agisse de la chaudronnerie, de la découpe, du pliage, de la peinture… Seuls, l’électronique ou les câbles sont sous-traités. Enfin, nous restons très réactifs, en termes de service après-vente et pour la refabrication de pièces pour nos machines. La disparition progressive du plastique dans les emballages impose une évolution des machines d’ensachage… Mais quels changements cela impose-t-il ? La véritable question devrait être : ce changement de matière pour les sacs est-il durable ? En effet, régulièrement, on passe d’une technologie à une autre, mais les cycles se raccourcissent. Jusqu’à peu, le marché était très déterminé à aller vers le plastique. Puis, le contexte législatif a changé et on est reparti vers le papier. Il y a une pression gouvernementale énorme, avec la mise en place d’une taxation non négligeable sur le plastique non recyclable. Mais les filières vont progresser sur le recyclage… Il faut savoir que le papier n’est recyclable que huit fois alors que le plastique l’est indéfiniment. D’autre part, il apparaît que le papier va permettre de plus en plus de choses. Mathias Elié, responsable commercial France de Cetec. [©Cetec] Ensacheuse Polyflex en cours d’assemblage dans l’usine Cetec. [©Cetec] Le nouvel atelier de câblage est équipé d’écrans tactiles. [©Cetec] Détail de ligne de fermeture de sacs sur l’ensacheuse Polyflex. [©Cetec] Ensacheuse Polyflex complète, prête à entrer en fonctionnement. [©Cetec] Dans ce contexte, Cetec est en train de créer de nouvelles générations de machines ? Déjà, nous avons procédé à pas mal de remplacements de machines. En parallèle, nous avons développé des machines acceptant les deux technologies. Ces installations s’articulent autour de deux postes. Tout d’abord, un magasin à sacs fait office de station d’ouverture. Puis, la zone de remplissage et de fermeture. Ainsi, la ligne Polyflex existe depuis cinq ans au sein de notre offre. Régis Labrue, directeur général de Cetec, avait su anticiper cette tendance lourde du marché. Aujourd’hui, une quinzaine de Polyflex tournent en France, travaillant aussi bien en 5 kg qu’en 25 kg, en papier comme en plastique. Notre leitmotiv est simple : “Ne vous casser pas la tête à choisir entre telle ou telle technologie, nos machines savent tout faire. Soit dès le départ, soit en termes d’évolutivité”. Ainsi, nos clients n’ont plus besoin de s’inquiéter en cas de changements de législation et de tendance de marché. Mais que vont devenir les équipements plus anciens ? En premier lieu, la modification de machines existante nous intéresse, car nous cherchons toujours à proposer des solutions durables. La démarche débute par un audit pour définir ce qu’il est possible de réaliser : amélioration, transformation, modification de parties spécifiques. Nous procédons souvent ainsi, mais dans la limite de certains process et d’un risque calculé. Nous faisons du rétrofit mécanique tant que cette approche est intelligente. 
Il y a 2 ans et 320 jours

Isolation des sous-faces par projection de laine de verre

Knauf Insulation présente une solution améliorée et plus adaptée pour une parfaite isolation des sous-faces de plancher. La laine minérale de verre à projeter JETSPRAY All In One Thermal est un produit d’isolation thermique par projection pneumatique de laine minérale de verre avec liant sur parois horizontales, poutres ou structures de bâtiment. Le procédé est constitué du produit isolant JETSPRAY All In One Thermal, associé au primaire d’accrochage JetSpray Primer Plus. Le Système est destiné à l’isolation thermique et à l’absorption acoustique des parkings ouverts ou fermés de bâtiments commerciaux et d’habitations, des bâtiments de stockage y compris agricole, des passages couverts ou balcons fermés, mais également des vides sanitaires de constructions normalement ventilés, ainsi que des caves et garages de maisons individuelles. Le nouveau système proposé par Knauf Insulation permet d’optimiser l’action et la pose car le liant a été intégré dans les sacs directement sur la ligne de fabrication. Désormais, il y a 2 réferences au lieu de 3. Cet article Isolation des sous-faces par projection de laine de verre est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 320 jours

Nature, Ciselée ou Tradition : Les nouvelles gammes de portes d’entrée de la ligne Prestige d’AMCC conjuguent haute sécurité et esthétique dans l’air du temps

MONDIAL DU BÂTIMENT | HALL 6 | STANDS C050 & D032 Sur un marché en croissance (+ 7% en 2021), les portes d’entrée au design contemporain sont plus que jamais à l’honneur, même si celles au style plus classique restent une valeur sûre. Certes, l’esthétique constitue l’un des critères importants au moment de choisir sa […]
Il y a 2 ans et 320 jours

Bertrand Bedel, réélu à la présidence de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB)

Après une formation bâtiment et génie civil, Bertrand Bedel a commencé sa carrière en qualité de conducteur de travaux chez Cipec puis créé sa propre entreprise générale de bâtiment. Après deux années au sein du groupe Point P, c’est en 1983 qu’il débute sa carrière dans l’industrie des produits en béton en rejoignant Premat Yonne, qui intégrera en 1989 le groupe Alkern. Pendant 36 ans, il a occupé plusieurs postes au sein du groupe Alkern, puis sa présidence jusqu’en avril 2019, date à laquelle il a rejoint son conseil de surveillance. Parallèlement, Bertrand Bedel a présidé entre 2001 et 2007 FIB Nord Pas-de-Calais et Picardie. Sa nouvelle feuille de route s’inscrit dans la continuité de la mobilisation de la FIB, au travers des travaux initiés pour faire valoir : La réponse des solutions préfabriquées en béton aux exigences de la RE2020 pour favoriser la sobriété du bâti, avec un faible impact carbone, d’excellentes performances thermiques du bâti et un meilleur confort des occupants en été, une fabrication en usine permettant d’optimiser leurs sections et leur masse dont la diminution contribue directement à réduire l’impact carbone et des FDES pour la majorité des produits pour évaluer l’empreinte environnementale des ouvrages.La dynamique d’écologie territoriale d’une industrie de proximité, avec un maillage très dense d’usines partout en France et des industriels ancrés dans les territoires, dans une logique de création de valeur locale et durable, de traçabilité des matériaux sur l’ensemble de la chaîne de production. L’inscription de l’Industrie du Béton dans l’économie circulaire, dans un logique de circuits courts, de chantiers propres, zéro déchet, aux nuisances réduites pour les personnels et les riverains, avec l’emploi de matériaux décarbonés ou recyclés, de co-produits industriels issus de réemplois ou de matériaux agro-sourcés 100 % recyclables et une réponse innovante aux nouveaux modes de conception, construction et déconstruction sélective.La participation aux travaux d’ECOMINERO, l’éco-organisme de la filière minérale, dont la FIB est membre fondateur, pour fournir des solutions optimisées et adaptées pour la reprise des déchets inertes du bâtiment, dans le cadre de la mise en place de la REP (Responsabilité Élargie du Producteur).La Fédération de l’Industrie du Béton (FIB) concourt en France à la promotion des intérêts des industriels fabricants de produits en béton et assure la représentation de ce secteur industriel auprès des pouvoirs publics, des collectivités locales et de l’environnement professionnel. Elle représente 100 % d’entreprises françaises TPE, PME et PMI, un maillage territorial d’industriels très dense, des entreprises industrielles locales créatrices de richesse et d’emplois locaux directs non délocalisables. L’Industrie du Béton représente en France461 entreprises 722 sites de production répartis partout en France96 % de PME-PMI françaises ancrées dans les territoires2,8 milliards d’€ de chiffre d’affaires, départ usine, hors taxes et hors transport, dont :67,4 % à destination du bâtiment32,6 % à destination des travaux publics et du génie civil20 millions de tonnes de produits en béton 19 200 emplois directs et non délocalisables Le 1er employeur des industries de la branche carrières et matériaux de constructionUne proximité de livraison sur les chantiers : entre 30 et 100 km pour la plupart des produits Une proximité des matières premières : pas plus de 50 km en moyenne d’une usineUn réseau 100 % local de production au plus près des marchés
Il y a 2 ans et 320 jours

L’usine Lafarge La Malle passe à la biomasse

Dans la poursuite de sa stratégie de réduction de ses émissions de carbone, la cimenterie Lafarge de La Malle a investi près de 1 M€ supplémentaire dans ses équipements. [©Lafarge] Après avoir investi 10 M€ au cours des deux dernières années pour améliorer sa performance environnementale, l’usine de La Malle, implantée à Bouc-Bel-Air (13), poursuit sa stratégie de réduction de ses émissions de carbone. Pour cela, elle investit près de 1 M€ supplémentaire dans ses équipements. Objectif : accueillir la fine de bois, un nouveau combustible non soufré issu de l’économie circulaire. Ainsi que de baisser de 10 % les émissions de soufre grâce à l’utilisation de combustibles plus vertueux. L’exploitation des déchets de bois provenant du bâtiment – et en particulier la fine de bois, inutilisable pour d’autres usages – dans le processus cimentier a été lancée en 2018. Il y a encore quelques années, entre 3 et 4 Mt/an de déchets de bois étaient enfouis sans valorisation. En 2021, la cimenterie a utilisé 41 % de combustibles alternatifs. L’objectif, d’ici à 2030 est de parvenir à des processus de combustion intégrant 65 % de déchets. Une valorisation vertueuse Cette valorisation est vertueuse à plusieurs égards : réduction de l’élimination des déchets ou de leur mise en décharge ;limitation des quantités de bois enfouies et, en conséquence, des émissions de méthane liées à leur décomposition ;baisse du recours au coke de pétrole, énergie fossile non renouvelable ;renforcement de l’économie circulaire. Ces déchets abondants se situant souvent à proximité des cimenteries, ils n’entraînent pas de trafic et de transport importants Travaux en cours La cimenterie Lafarge de La Malle s’est engagée, le 29 avril dernier, à exploiter son site sans dérogation administrative “SO2” en 2023. Impliquant de facto une baisse de ses émissions de soufre venant des argiles transformées sur le site. Mais aussi des combustibles utilisés pour chauffer le four de la cimenterie. L’usine La Malle s’est entourée d’entreprises régionales pour la conception et la réalisation de l’ensemble du génie civil, afin de pouvoir transporter, doser, sécuriser et injecter ce produit dans le four n° 1. La charpente est déjà en cours de construction pour une mise en service des injections de bois dans le mix combustible fin août 2022. Le four n° 2 de l’usine étant, quant à lui, déjà passé en phase d’essai. Puis, de développement à un système permettant d’utiliser ce nouveau combustible. 20 000 t/an de fines bois Avec une consommation prévisionnelle de l’ordre de 20 000 t/an de fines bois, la cimenterie apporte une solution circulaire pour le traitement final de déchets qui étaient auparavant non valorisés. Pour Pascal Baudoin, directeur de la cimenterie : « La Malle s’affirme comme un maillon clef de l’économie circulaire industrielle du territoire. Dans le cadre de notre feuille de route environnementale et de notre objectif de neutralité carbone, nous avons investi dans ce levier d’avenir. Qu’est la valorisation des déchets de bois du bâtiment, dans leurs fractions les plus fines qui restaient jusqu’à aujourd’hui difficiles à valoriser ».
Il y a 2 ans et 320 jours

Cembureau, ravi de l’ajustement du carbone aux frontières de l’UE

[©Eurostat] L’Association européenne du ciment, Cembureau se félicite de l’adoption des rapports du Parlement européen sur le système européen d’échange de quotas d’émission (ETS). Ainsi que sur le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières de l’Union européenne (CBAM). « Notre secteur a besoin d’un cadre réglementaire cohérent et prévisible pour concrétiser ses ambitions de neutralité carbone, rappelle Koen Coppenholle, président du Cembureau. Les textes qui viennent d’être adoptés offrent des améliorations significatives sur des questions clefs, que nous saluons. Celles-ci concernent aussi bien le renforcement du CBAM que l’inclusion des émissions indirectes. Ou encore la nécessité d’une solution d’exportation solide pour les secteurs CBAM et l’inclusion de l’incinération des déchets dans l’EU ETS. » Toutefois, Cembureauregrette que le compromis trouvé suggère de retarder d’un an la mise en œuvre de CBAM, à un moment où les importations de ciment de l’Union européenne augmentent de façon exponentielle… Financer l’innovation En effet, les données d’Eurostat montrent que ces importations ont grimpé de 300 % au cours des cinq dernières années (2016-2021). Ceci, avec des pics spécifiques lorsque le prix du carbone était au plus haut (+ 25 % en 2020 et + 54 % en 2021). Les données disponibles pour les trois premiers mois de 2022 révèlent une nouvelle augmentation de + 47 % par rapport à la même période en 2021. Dans ce contexte, Cembureau préconise la mise en place d’un CBAM “étanche”. Ainsi qu’une mise en œuvre réaliste en ce qui concerne la suppression progressive de l’allocation gratuite. Lire aussi : Shift Project – Réduire son empreinte carbone « Dans la perspective des discussions trilogues1, nous appelons les négociateurs à renforcer davantage le CBAM. Et à convenir de son introduction en temps opportun, reprend Koen Coppenholle. Nous pensons aussi que notre industrie a besoin d’un cadre réglementaire de soutien pour la capture du carbone et pour son utilisation. Par exemple, à travers le financement de l’innovation et des règles de comptabilisation équitables du CO2. En effet, les projets de captage, d’utilisation et de stockage du carbone (CCUS) du secteur cimentier européen sont essentiels dans la décarbonisation de notre industrie. » 1Réunions tripartites informelles sur des propositions législatives entre des représentants du Parlement, du Conseil et de la Commission européenne.
Il y a 2 ans et 320 jours

Gamme LSS de Dény Security : une offre complète de serrures de haute sécurité pour répondre à tous les besoins et toutes les configurations

Spécialiste de la sécurisation des accès, Dény Security dispose d’un savoir-faire reconnu dans la protection de tous types d’installation. Pour garantir un niveau de sécurité élevé à tous les sites, des plus simples au plus exigeants et ce quels que soient les secteurs (tertiaire, industriel…), le fabricant français enrichit aujourd’hui sa gamme de serrures LSS avec de nouvelles versions mécaniques. Une gamme universelle de haute sécurité D’une grande fiabilité, la gamme LSS de Dény Security se compose de serrures multipoints équipées d’un cylindre à profil européen ou d’un cylindre à profil rond Dény. Elles sont dotées de 2 à 9 points latéraux de fermeture selon les besoins (assurés par des pênes dormants ronds de 22 mm) et d’un pêne demi-tour anti-rebond qui maintient la porte fermée en cas de coupure de courant. Offrant un niveau de sécurité élevé, les serrures LSS sont autoprotégées, c’est-à-dire indémontables porte fermée. De même, leurs pênes anti-sciage assurent une protection efficace contre toute tentative d’effraction Entièrement réversibles (gauche/droite, tirant/poussant) sans démontage, les serrures de la gamme LSS, tout inox, s’installent en applique sur tous types de porte bois, métal, alu ou PVC, pleine ou profil étroit, grâce à leurs deux largeurs d’encombrement (60 mm ou 90 mm). Certifiées EN1627 – EN1630 quand elles sont mises en œuvre sur des bloc-portes blindés des fabricants partenaires de Dény Security (Afimès, Doortal, Eliot, Baumert…), les serrures possèdent alors une résistance à l’effraction allant du niveau CR4 à CR6.   Une réponse fiable pour tous Jusqu’ici disponible uniquement en version motorisée, la gamme LSS se décline désormais également en mode : – mécanique avec un mode de fonctionnement standard (verrouillage de la serrure à la clé de chaque côté) ou sortie libre côté intérieur en appuyant sur la béquille ou en tournant le bouton, – mécanique à éjection de pêne automatique qui bénéficie des mêmes caractéristiques avec, en plus, un re-verrouillage automatique de la serrure à chaque fermeture de porte. A béquille ou à bouton, ces nouvelles références mécaniques, donc sans tirage de câble, s’avèrent idéales pour offrir la sécurité d’une serrure multipoints aux sites isolés ou aux installations n’exigeant pas un haut niveau sécuritaire.   LSS motorisée une protection optimale pour les sites à hauts risques Dans sa version motorisée, la serrure LSS de Dény Security apporte encore plus de possibilités grâce à trois modes de fonctionnement : – standard où la béquille n’actionne que le pêne demi-tour, – sortie libre mécanique côté intérieur par béquille ou bouton, – sortie libre condamnée électriquement avec une béquille contrôlée côté intérieur. En « sortie libre » et condamnée, la serrure LSS motorisée fonctionne en sécurité négative permettant de garantir un verrouillage permanent même en cas de coupure de courant, tout en autorisant une évacuation en cas d’urgence grâce à la sortie libre. Intelligente grâce à sa carte électronique de gestion intégrée, elle peut également disposer, en option, d’un sur-verrouillage qui interdit toute manœuvre de la serrure, un point technique spécifique au milieu bancaire. Il est également possible de raccorder plusieurs serrures LSS motorisées pour réaliser des fonctions de SAS. Avec les nouveaux modèles mécaniques de la serrure LSS, Dény Security propose ainsi une gamme complète pour protéger efficacement et durablement n’importe quel site, sensible ou non, quelles que soient les configurations. Une version homologuée NFS 61-937 complète la gamme et autorise leur installation, dans les Etablissements Recevant du Public, sur les portes d’issues de secours en tant que Dispositif Actionné de Sécurité (D.A.S.). http://www.deny-security.com
Il y a 2 ans et 320 jours

Une alternative efficace aux revêtements métalliques conventionnels

Armacell propose Arma-Chek® Silver comme alternative aux revêtements métalliques conventionnels. Ce système de revêtement, facile à installer, intègre la solution d’isolation thermique AF/ArmaFlex®, qui se distingue par son excellente résistance à la diffusion de la vapeur d’eau qui permet de minimiser au maximum la conductivité thermique et le risque de corrosion. La solution intègre également la protection antimicrobienne active Microban®. Elle s’impose comme une alternative efficace aux revêtements métalliques conventionnels, il s’agit d’un isolant léger et flexible, qui contribue à éviter la corrosion sous l’isolation, éliminant la corrosion galvanique et offrant une efficacité énergétique optimale à long terme. Le revêtement retrouve sa forme d’origine après avoir été soumis à une pression ou un impact. Le revêtement Arma-Chek® Silver est particulièrement recommandé pour les installations dans le secteur de l’industrie alimentaire. Cet article Une alternative efficace aux revêtements métalliques conventionnels est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 320 jours

Frédéric Didier, directeur général de Wienerberger France, nouveau président de la FFTB

Frédéric Didier a été élu lors du conseil d'administration de la Fédération Française des Tuiles et Briques le 21 juin. Il succède à Laurent Musy, CEO du groupe Terreal.
Il y a 2 ans et 320 jours

Podcast #14 – Les Pavin de Lafarge : De la monarchie à l’industrie

Article initialement publié en 2008 Ils sont deux frères. Deux frères qui ont choisi d’exploiter la carrière familiale plutôt que de suivre les usages de leur milieu social, ceux des propriétaire fonciers gérant leur patrimoine tout en profitant du bon temps. Léon Pavin de Lafarge1 a 26 ans en 1833. Alors que sa formation de polytechnicien lui ouvre de nombreuses perspectives, il choisit de prendre la direction de la carrière familiale acquise quelques années plus tôt par son aïeul. L’usine comporte deux fours. Léon décide d’en construire trois nouveaux plus hauts et plus productifs. La petite affaire familiale prend rapidement de l’essor. Léon use de ses relations, des anciens camarades de polytechnique devenus ingénieurs du Génie Maritime et des Ponts et Chaussées. La chaux de Lafarge est utilisée à la construction de ponts de la vallée du Rhône, est livrée dans les ports de Méditerranée… Léon Pavin de Lafarge. [©Lafarge] Décembre 1839. L’affaire marche bien lorsque Léon décide d’arrêter et de passer la main à son frère cadet, Edouard, un jeune autodidacte au sens inné des affaires. Un abandon de courte durée puisque Edouard et Léon s’associent en 1848 pour créer la Société de Lafarge Frères. Acquisitions de carrières, création d’antennes, ouvertures d’agences en France… En 1864, la réputation de la chaux de Lafarge traverse le bassin méditerranéen et les frères Pavin fournissent 110 000 t de chaux pour le canal de Suez. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 320 jours

Cérib : Journées Expertise & Construction 100 % digitales

Les Journées Expertise & Construction, le rendez-vous de référence de l’innovation pour tous les acteurs de la construction [©Cérib] Du 4 au 7 juillet prochain, le Cérib organise ses Journées Expertise & Construction dans un format 100 % digital pour la 2e année consécutive. Ce rendez-vous de référence de l’innovation permet de partager avec l’ensemble des acteurs de la construction les connaissances techniques et scientifiques du Cérib. Et d’échanger autour des grandes thématiques qui font l’actualité du secteur. Au programme de cette 7e édition : 5 conférences thématiques. Mais aussi des temps de partage pour questionner, débattre et échanger en direct. Les conférences seront accessibles aux jours et horaires indiqués dans le programme, depuis la chaîne Youtube du Cérib. D’une durée de 20 à 30 mn, elles seront suivies de temps d’échanges en direct. A l’issue des Journées Expertise & Construction, les conférences seront disponibles en rediffusion. Lundi 4 juillet • De 10 h 00 à 11 h 30BBClic® 2020 : un démonstrateur pour positionner les solutions préfabriquées en béton pour la RE 2020Conférence animée par Nicolas Tinseau (Cérib) et Dominica Lizarazu (Perin & Cie) Mardi 5 juillet • De 10h 00 à 11 h 30Incendie en tunnel : justifier le niveau de sécurité de vos ouvragesConférence animée par Bérénice Moreau (Cérib) et Christophe Tessier (Cérib) • De 14 h 00 à 15 h 30 L’utilisation de l’approche performantielle de la durabilité en contexte opérationnelConférence animée par Blandine Albert (Lafarge France) et Jonathan Mai-Nhu (Cérib) Mercredi 6 juillet • De 10 h à 11 h 30Et si la formation était la solution pour une filière performante et innovante aujourd’hui et demain ?Conférence animée par Aline Gouhier (Cérib), Isabelle Filannino (Cérib) et Marc Dennery (C-Campus) Jeudi 7 juillet • De 10 h 00 à 11 h 30La métrologie 4.0 au service de l’industrie du bétonConférence animée par Kais Mehiri (Cérib) et Nicolas Tempête (Cérib).
Il y a 2 ans et 321 jours

Réélection de Bertrand Bedel à la présidence de la Fib

Bertrand Bedel est réélu à la présidence de la Fib pour un mandant d’un an. [© FIB] La Fédération de l’industrie du béton (Fib) vient d’annoncer la réélection de Bertrand Bedel à sa présidence. Ceci, pour un mandat d’un an. En parallèle, celui-ci est aussi président du Cérib. Bertrand Bedel a établi sa nouvelle feuille de route dans la continuité des objectifs déjà mis en place. Ainsi, il apportera les réponses aux exigences en lien avec la RE 2020 avec des solutions préfabriquées. De plus, Bertrand Bedel mettra en avant la dynamique d’écologie territoriale de la filière béton et de ses usines partout en France. Par ailleurs, étant dans une démarche de création de valeurs locales et durables, la Fib veut pouvoir tracer les matériaux. Bertrand Bedel a donc comme ambition d’inscrire l’industrie du béton dans une approche d’économie circulaire. Enfin, la Fédération et Bertrand Bedel souhaitent participer aux travaux de l’éco-organisme Ecominéro (la Fib en est un des membres-fondateurs). Lire aussi : Bertrand Bedel, nouveau président de la Fédération de l’industrie du béton
Il y a 2 ans et 321 jours

Le gouvernement veut accélérer le raccordement aux réseaux de chaleur

La France compte aujourd'hui près de 900 réseaux de chaleur, des infrastructures en général publiques et fonctionnant pour 60% avec des énergies renouvelables ou de récupération (géothermie, biomasse, chaleur résiduelle de sites industriels ou de data centers...), le reste marchant encore au gaz."L'idée est d'instaurer le réflexe +je veux me chauffer, je réfléchis d'abord au réseau de chaleur+", dit Alexandre Dozières, sous-directeur de l'Efficacité énergétique et de la qualité de l'air au ministère de la Transition écologique, lors d'un échange avec des acteurs du secteur.Avec ce texte attendu en juillet, l'objectif "est de raccorder d'ici cet hiver un maximum de bâtiments qui sans le savoir sont à 50 mètres d'un réseau: le raccordement à +1 euro+ par logement sera mis en place, avec des aides bonifiées via des CEE" (certificats d'économies d'énergie), a-t-il précisé.Il s'agira d'"une prime forfaitaire, par bâtiment, avec peut-être une surprime en fonction du nombre de logements", a-t-il ajouté, évoquant un "raccordement gratuit ou presque, quelques euros ou quelques centaines d'euros" pour les bénéficiaires.Selon M. Dozières, "en termes de distance au réseau, il n'y a pas de critère qui enlèverait l'éligibilité: n'importe quel bâtiment à n'importe quelle distance d'un réseau peut bénéficier de la prime, néanmoins on a cherché a évaluer combien de bâtiments sont à 50 mètres, pour lesquels ce serait assez facile et pas trop cher" et qui permettraient de réduire de 2 TWh les consommations nationales de gaz.Le Syndicat national du chauffage urbain (SNCU) a recensé 3.000 bâtiments non raccordés à moins de 50 mètres d'un réseau."Ils ont là l'occasion de baisser leur dépendance au prix du gaz, qui fait des bonds de jour en jour, et d'accéder à une chaleur renouvelable", plaide la présidente du SNCU Aurélie Lehericy, qui "espère que les copropriétés vont prioriser dans les prochaines AG ce raccordement express".Selon elle, "cela reviendra entre 200 et 400 euros en moyenne (par logement), et notre expérience montre qu'à moins de 400 euros par logement, le coût est digérable, avec la compensation sur le coût de la facture" d'énergie.Dans un deuxième temps, l'Etat doit présenter une liste des réseaux de chaleur vertueux (fonctionnant à plus de 50% sur des énergies renouvelables, soit environ 500 réseaux à ce jour). Et à compter de juillet 2023, tout bâtiment situé dans le périmètre de ces réseaux et cherchant à remplacer son chauffage collectif, "sera obligé" de s'y raccorder, ajoute M. Dozières, sauf s'il trouve un mode de chauffage encore plus vert (de type géothermie ou solaire thermique).Aujourd'hui, les réseaux représentent 5% du chauffage en France, qui veut à la fois les verdir, les densifier et en construire de nouveaux.Les petites villes suffisamment denses sont également concernées. L'Etat, via l'Ademe, a lancé un appel à projets "une ville, un réseau" visant à encourager les communes de moins de 50.000 habitants à se doter de ces systèmes, pour les aider à sortir du gaz fossile.L'enjeu climatique, économique et géopolitique est majeur. Dans l'Hexagone, le chauffage représente 40% de la consommation d'énergie finale, plus que les transports ou l'industrie, et il n'est décarboné qu'à 20%.
Il y a 2 ans et 321 jours

Eau, essais et certification QB09

Marie-Cécile TrouilheParole d'expert Rencontre avec Marie-Cécile Trouilhe, chef de pôle Valorisation des performances, direction de l'Eau, CSTB. Pouvez-vous vous présenter ? Je fais partie de la direction de l'Eau où je suis responsable du pôle Valorisation des performances au sein de la division Réseaux et Ouvrages Extérieurs. Je suis également gestionnaire des marques de qualité QB09 et NF442. Pouvez-vous nous parler de la certification QB09 ? La marque QB09 certifie les produits systèmes d'assainissement sous Avis Technique concernant les réseaux et l'épuration. Les produits couverts sont notamment : les tubes pour réseaux d'eau et d'assainissement, les accessoires de réseaux, réseaux d'assainissement sous vide, réseaux de drains, dispositifs d'assainissement autonome, ainsi que quelques produits spécifiques tels que les citernes souples qui ont vocation à stocker l'eau destinée à la lutte contre les incendies , ou encore les Système Alvéolaires Ultra Légers qui permettent de réaliser des bassins de rétention d'eau (SAUL). Quelles performances certifiées ? Quels essais réalisés ? Pour l'ensemble des produits cités précédemment, la QB09 certifie les caractéristiques de durabilité, de mise en œuvre et de fonctionnalité. Des essais réalisés en laboratoires au CSTB permettent de garantir ces performances et leur constance dans le temps. La durabilité est évaluée par des essais matières (masse volumique, MFR, TIO, traction, Vicat...). Les caractéristiques de mise en œuvre et de fonctionnalité englobent des contrôles dimensionnels, des essais de résistance mécanique, d'étanchéité... Par ailleurs, des audits sont régulièrement réalisés directement en usine chez les industriels titulaires de la certification. Pour un nouveau certifié, deux audits sont ainsi menés durant les trois premières années. Si aucun problème majeur n'a été constaté à l'issue de ces six audits qui comportent également des prélèvements d'échantillons qui seront testés en laboratoires au CSTB, alors la fréquence des audits est réduite à un par an. Ces audits concernent l'ensemble du processus de fabrication, à savoir de la réception de la matière première qui compose les produits, jusqu'au produit fini et son stockage sur le parc du fabricant, ainsi que le suivi du système qualité mis en place par le fabricant. Quels avantages présente la QB09 pour les professionnels ? La QB09 permet aux professionnels d'avoir confiance dans leur choix, d'être certains de disposer d'un produit de qualité qui réponde pleinement aux besoins de l'ouvrage, et montrant que les caractéristiques et performances déclarées par les fabricants sont conformes et constantes dans le temps. C'est donc un gage de durabilité essentiel pour les maîtrises d'ouvrage. Par ailleurs, cela permet d'alléger de façon conséquente les essais réalisés à la réception des chantiers. Autre avantage concernant cette marque de qualité : c'est le CSTB qui maîtrise l'ensemble du processus de certification de A à Z, de la conception du référentiel, en passant par les aspects de gestion, les audits et les essais. Les fabricants ont donc un seul point d'entrée et donc un seul interlocuteur, le CSTB, ce qui simplifie les aspects logistiques et communicationnels. Des nouveautés à venir pour la QB09 ? Le CSTB travaille avec les professionnels de la filière pour mettre en place une évolution de la marque QB09 pour certains produits passés dans le domaine traditionnel - qui ne peuvent donc plus faire l'objet d'instruction d'Avis Techniques -, à savoir les systèmes d'assainissement en PRV gravitaires. Cette application verra le jour début 2023. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 321 jours

Anne-Sophie Douard - La parole aux professionnels

Anne-Sophie DouardLa parole aux professionnels Anne-Sophie Douard, responsable pôle gestion des opérateurs et contrôle, direction du Cycle de l'Eau, Nantes Métropole. Quel est votre rôle et celui de la direction du Cycle de l'Eau de Nantes Métropole ? Je suis responsable du pôle gestion des opérateurs et contrôle, pôle en charge à la fois du suivi et du pilotage des exploitants publics et privés d'eau potable, d'eau usée et d'eau pluviale, et du contrôle des raccordements au réseau assainissement des usagers particuliers aux industriels. Ce pôle fait partie de la direction du Cycle de l'Eau de Nantes Métropole, autorité organisatrice de la politique publique de l'eau. Celle-ci intervient dans quatre grands secteurs d'activité : l'eau potable, l'eau usée, l'eau pluviale et les milieux aquatiques. Sa mission est notamment de déterminer les grands schémas directeurs qui concernent les futurs besoins en termes d'infrastructures à rénover, mais aussi à construire pour les nouveaux usagers. Dans le même temps, elle est chargée de la maîtrise d'ouvrage de ces gros travaux. Elle est aussi garante de la gestion patrimoniale et de l'exploitation de ces réseaux et ouvrages qu'elle confie à des exploitants : Veolia (eau potable) et Suez (assainissement) pour le côté privé et la Régie de Nantes Métropole (direction des opérateurs publics de l'eau et de l'assainissement - DOPEA) côté public. La direction du Cycle de l'eau s'appuie sur sept pôles de proximité qui assurent également une activité d'autorité organisatrice assainissement dans les territoires, une organisation spécifique à Nantes Métropole. En 2019, le sud-ouest de la métropole a connu, pendant quelques mois, des apparitions de phénomène d'eau colorée. Ce problème est-il nouveau sur le réseau d'adduction d'eau potable ? Tous les propriétaires de réseaux et exploitants d'eau potable connaissent, à un moment donné, ce phénomène qui touche principalement les réseaux métalliques non revêtus. Peu fréquent, celui-ci provient d'une modification brutale du régime hydraulique, comme l'activation d'un poteau incendie, une casse sur le réseau ou une remise en eau après travaux. La répétition de ce phénomène d'eau colorée sur une période courte est le premier élément qui nous a alertés. Puis différents secteurs ont été confrontés à la même problématique. Cela a d'abord touché la partie Sud-Loire du territoire, puis, rapidement, la partie Nord-Loire, alors que ces deux zones sont alimentées par des eaux brutes différentes – eaux souterraines pour le sud, eaux de Loire pour le nord – traitées par deux usines différentes, puis distribuées par des réseaux différents. De plus, l'apparition de ces eaux colorées s'est produite sur des réseaux métalliques, mais aussi sur des réseaux plastiques sans que l'on puisse y associer une origine hydraulique. Connaître l'origine de ce phénomène est bien sûr devenu une priorité, aussi bien pour la direction du Cycle de l'eau que pour les exploitants. Ces derniers ont mené de nombreuses investigations. Ils ont effectué des manœuvres sur le réseau, des modélisations, des analyses de l'eau et des études métallographiques. Ils ont aussi contacté les usagers pour effectuer des prélèvements d'eau à leur domicile lorsque le phénomène était en cours, ce qui a permis de leur fournir les résultats sur la potabilité et l'ensemble des informations dont nous disposions à l'époque sur l'origine de cette coloration. En parallèle, la direction du Cycle de l'Eau s'est rapprochée d'autres collectivités qui avaient pu connaître ces recrudescences d'eau colorée pour essayer de trouver des similitudes entre les deux situations. Comment le CSTB vous a-t-il permis de faire disparaître ce phénomène ? À partir des nombreuses données que nous avions rassemblées, nous avons émis quelques hypothèses qu'il était nécessaire de confirmer. C'est pourquoi nous avons contacté le CSTB. Il nous paraissait intéressant d'avoir un regard extérieur critique afin de ne pas passer à côté d'une piste potentielle. Les experts du CSTB ont pu faire une synthèse de toutes les publications scientifiques qui existaient sur le sujet et réaliser une méthode statistique pour valider nos hypothèses. Il s'est avéré que les origines du problème étaient différentes entre le nord et le sud, malgré leur période d'apparition identique. Les deux usines étaient en travaux en même temps. Même si elles continuaient à produire de l'eau potable, les paramètres de celle-ci étaient légèrement modifiés à cause des travaux. Cela a entraîné une perturbation du biofilm à l'intérieur de nos réseaux et ainsi entraîné une mobilisation des dépôts à l'origine de la coloration. Nous avons alors mené des travaux en urgence sur les conduites métalliques non revêtues. Et quand les travaux n'étaient pas possibles dans l'immédiat, nous avons installé des systèmes de purge qui ont permis aux usagers de retrouver une eau sans coloration. Veolia, la Régie de Nantes Métropole (services usine et réseaux) et la direction du Cycle de l'Eau (pôles gestion patrimoniale, travaux et gestion des opérateurs) ont bouleversé leurs programmations et leurs plannings pour s'investir entièrement dans la résolution de ce problème. Au-delà du désagrément rencontré par les usagers, ce projet de recherche a été un beau travail collectif. Les conclusions de ce projet de recherche ont-elles été exploitées par Nantes Métropole pour anticiper l'apparition de ces phénomènes ? Nous avons en effet instauré une veille de certains paramètres des deux usines, bien au-delà de l'analyse de la potabilité de l'eau, qui n'est pas, dans ce cas, un indicateur pertinent. Grâce à l'expertise du CSTB, nous avons pu bien confirmer ce qu'il s'est passé et donc mettre en place cette vigilance sur certains paramètres de l'eau en sortie d'usine. Nous avons également ajusté notre programmation : le renouvellement des réseaux métalliques non revêtus, et surtout de leurs extrémités, est devenu prioritaire. Aujourd'hui, nous sommes revenus à une fréquence classique d'apparition d'eau colorée, habituelle avec les conduites métalliques non revêtues. Nous ne pouvons pas nous en contenter, notre objectif étant d'offrir un service toujours plus satisfaisant à nos usagers. Le travail d'amélioration est continu et nous menons en permanence des actions correctrices. En termes de communication, l'arbre des causes présenté par le CSTB nous permet de mieux expliquer aux usagers ce phénomène d'apparition d'eau colorée. Celui-ci a été traduit pour les exploitants afin qu'ils soient, eux aussi, en capacité de leur fournir des informations claires et précises. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 321 jours

Méthanisation des eaux usées : l'énergie renouvelable de demain ?

Photo : Adobe StockLa technique de méthanisation par fermentation des eaux usées pourrait constituer une petite révolution. Le gaz créé via ce processus pourrait en effet être réinjecté dans les réseaux de distribution d'énergie, comme c'est le cas pour l'alimentation des bus de la ville de Strasbourg. Plusieurs Avis Techniques dédiés ont été délivrés par le CSTB. La méthanisation est une technique fondée sur la dégradation de matière organique par des micro-organismes, en conditions contrôlées et en l'absence d'oxygène. La méthanisation des boues urbaines et des eaux usées issues des réseaux de canalisations génère du biogaz, mélange gazeux saturé en eau à la sortie du digesteur et composé de 50 % à 70 % de méthane et 20 % à 50 % de gaz carbonique, et de quelques traces d'autres gaz. Cette énergie renouvelable peut être utilisée sous forme de combustible pour produire de l'électricité, de la chaleur ou du carburant, ou être injectée dans le réseau de gaz naturel après épuration. « Plusieurs Avis Techniques dédiés ont été délivrés par le CSTB. Ainsi, le dispositif VERINOX permet la réalisation d'ouvrages allant jusqu'à 10 000 m3. PRIM, un classement des dispositifs d'ANC Les dispositifs préfabriqués d'épuration des eaux usées (pour des maisons jusqu'à 20 pièces principales) sont soumis à une procédure d'agrément ministériel compte tenu des enjeux sanitaires et environnementaux induits par une installation d'assainissement non collectif (ANC) composés de ces produits. Cependant, les différents retours de terrain et études in situ mettent en évidence une sinistralité importante tant sur le fonctionnement que sur la stabilité et la durabilité des ouvrages. Pour réduire cette sinistralité, les cinq gammes de dispositifs disposant d'un Avis Technique ou d'un DTA sont classés sur la liste verte de l'Agence Qualité Construction (AQC) et relèvent donc de techniques dites maîtrisées, techniques courantes reconnues par les assureurs. En complément, pour éclairer davantage les maîtres d'ouvrage et les constructeurs, PRIM, un classement des dispositifs, a été conçu par le CSTB et construit avec des collectivités. Il permet d'identifier instantanément le niveau d'un dispositif en matière de pérennité et de robustesse (PR), mais aussi l'intensité technique (I) des règles de mise en œuvre fournies par le fabricant. Enfin, un dernier critère permet de tenir compte des enjeux du milieu (M), pour s'assurer que le dispositif est compatible avec une zone dite « non sensible », avec une zone sensible, en climat tempéré, chaud tropical ou équatorial, froid, voire avec une zone inondable. Le classement PRIM sera associé à terme à la certification QB09 pour les dispositifs relevant de ce référentiel, afin d'être directement repéré sur les produits certifiés. Il permettra d'identifier les installations d'ANC en fonction du niveau de maîtrise de la technique : niveau 2 : technique maîtrisée (faisant l'objet de DTU, d'ATec ou de DTA) ; niveau 1 : intermédiaire (faisant l'objet d'un guide professionnel collectif) ; niveau 0 : niveau de base, réglementaire (faisant l'objet d'un guide rédigé par le fabricant). Impact hydraulique des toitures végétalisées sur les réseaux d'assainissement Le GS 17 « épuration », en relation avec le GS 5.2 relatif à l'étanchéité des toitures-terrasses, a établi des critères pour évaluer l'impact des toitures végétalisées sur les réseaux d'assainissement. Ces critères permettent d'évaluer le fonctionnement des ouvrages et, ainsi, de prendre en compte les services écosystémiques offerts par la gestion à la source des eaux pluviales. Une demande d'Avis Technique est en cours d'instruction sur le sujet, ce qui permettra aux maîtres d'ouvrage d'avoir des informations objectives, dispositif par dispositif, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent. Parution du fascicule documentaire FD P16-009 « Gestion décentralisée de la pollution des eaux pluviales en milieu urbain » Des travaux sur les techniques de dépollution des eaux pluviales sont menés depuis cinq ans et ont débouché sur la rédaction d'un fascicule documentaire. Par manque de maturité du domaine, il n'a pas été possible d'aboutir à une norme décrivant les modalités de construction et de choix des produits associés. Le fascicule permet toutefois de communiquer une information générale sur les techniques de dépollution, d'harmoniser le vocabulaire et de présenter les différents processus d'évaluation, que ce soit à l'échelle du produit ou de l'ouvrage. Les travaux de R&D du CSTB ont permis au GS 17 de compléter ce fascicule par une méthodologie d'évaluation des techniques de dépollution des eaux pluviales. Les Avis Techniques sur les dispositifs concernés constituent donc une source d'information complète sur leur conception et leur mise en œuvre, notamment en l'absence de norme produit et de règle de construction, et sont mentionnés par les fascicules 70.1 et 70.2 comme preuve de l'aptitude à l'usage. Tous ces travaux devraient permettre une meilleure lecture par les collectivités des solutions techniques innovantes qui émergent dans le domaine. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 321 jours

SCREENAMAX : avec son nouveau zip-screen ultra compact et extra large, Soprofen révolutionne le marché de la protection solaire

Selon le dernier rapport du GIEC, en 2021, la température moyenne de la Terre a atteint les +1,2°C depuis la révolution industrielle. D’ici 2100, elle devrait même dépasser les +3°C. Cette hausse risque d’accentuer les phénomènes météorologiques extrêmes tels que les épisodes de canicules. D’où l’importance de l’introduction, dans la nouvelle réglementation RE2020, d’un objectif de confort d’été afin de garantir un minimum de fraîcheur dans les bâtiments en cas de fortes chaleurs. Parmi les solutions efficaces pour réduire la surchauffe et éviter le recours à la climatisation très énergivore figurent les stores extérieurs. Bénéficiant d’une expertise de 25 ans dans le domaine des protections solaires, SOPROFEN propose une gamme complète de solutions performantes adaptées à tous types de baies. Aujourd’hui, le leader français de la fermeture repousse les limites dimensionnelles et lance SCREENAMAX, une nouvelle gamme de screens ZIP ultra compacts et extra larges. SCREENAMAX, pour voir les choses en grand… Ces dernières années, la tendance est aux habitations baignées de lumière naturelle grâce à des baies vitrées XXL. Souhaitant offrir un niveau de performance et de confort thermique optimal en phase avec les exigences de la RE2020, et ce quel que soit le type d’ouverture, SOPROFEN a mobilisé son service Recherche & Développement pour trouver une solution qui s’affranchit des contraintes dimensionnelles. De là est née la gamme de stores extérieurs SCREENAMAX qui associe : – un coffre en aluminium extrudé à la compacité maximale, – une toile qui filtre jusqu’à 97 % des rayons solaires, – un nouvel axe, à l’intérieur duquel est intégré un second axe précontraint muni de paliers avec des roulements. Ce système breveté, appelé Zoomtech®, compense la gravité de l’axe pour éliminer sa flexion. Exclusivité SOPROFEN, ce procédé unique garantit ainsi une parfaite rectitude et autorise désormais la conception de stores de grandes largeurs, jusqu’à 7 mètres, avec une toile totalement lisse et un enroulement optimisé, le tout intégré dans un coffre réduit. De quoi répondre aux besoins de protection des ouvertures hors normes ! … en toute discrétion Assurant une gestion optimale de la luminosité et une température intérieure maîtrisée, SCREENAMAX est disponible dans 2 tailles de coffre ultra-compact qui optimisent le clair de jour : – un coffre de 85 mm avec un axe aluminium de 58 mm pour les baies jusqu’à 6 m de large et 2,30 m de haut, – un coffre de 105 mm avec un axe acier de 78 mm pour les ouvertures jusqu’à 7 m de large et 4 m de haut. Invisibles de l’intérieur, ils affichent une esthétique dans l’air du temps dont le design lisse et épuré aux lignes rectilignes leur permet de s’intégrer harmonieusement à tous les styles architecturaux, y compris les vérandas et pergolas. Pour une finition irréprochable, SOPROFEN a soigné les moindres détails : aucune vis n’est apparente sur le coffre, la barre de charge et les coulisses. Extra fines (22 mm), celles-ci s’effacent derrière le dormant et sont dotées d’un système de glissière qui assure un parfait maintien de la toile même par temps venteux. De plus, le profilé de maintien de la barre de charge ne laisse apparaître aucune soudure visible sur la toile. A cela s’ajoute une grande liberté de choix tant dans la gamme de toiles proposées qu’au niveau des coloris. Une personnalisation sans limite Au style contemporain, le nouveau screen extérieur zip SCREENAMAX de SOPROFEN se décline dans une large palette de couleurs tendances pour : – l’encadrement (coffre, coulisses, barre de charge) grâce à 15 teintes disponibles en standard et 3 finitions (lisse-satiné, lisse-mat ou structuré-mat). Tous les coloris RAL sont également réalisables en option, de même que la haute résistance « bord de mer » obtenue grâce au thermolaquage renforcé des parties visibles en aluminium qui leur confère une protection optimale contre la corrosion, – les toiles avec 5 gammes différentes et une offre de coloris étendue (plus de 300). Pour apporter une réponse adaptée à chaque espace, les toiles existent en version micro-perforées pour garantir une luminosité suffisante à l’intérieur tout en conservant une visibilité sur l’extérieur, ou occultantes pour préserver l’intimité et satisfaire les besoins d’obscurité dans certaines pièces (chambre…). Le confort de la motorisation solaire en plus Doté d’un panneau photovoltaïque ultra plat (7 mm d’épaisseur), le nouveau screen extérieur zip de SOPROFEN récupère l’énergie solaire et l’accumule dans une batterie positionnée dans l’angle avant du coffre pour une maintenance facilitée. Efficace avec une bonne exposition et par tous les temps (-20 à +70°C), il dispose de toute l’énergie nécessaire pour assurer en toute autonomie pendant 45 jours la montée/ descente du store, même par faible ensoleillement, à raison d’un cycle quotidien. Sans fil pour une installation rapide et pratique, le SCREENAMAX à motorisation solaire s’adapte à toutes les mises en œuvre sans risque d’endommager les finitions intérieures comme extérieures de l’habitation, et ce aussi bien en neuf qu’en rénovation. Egalement disponible en version motorisée filaire ou radio, il est compatible avec les solutions domotiques du marché. Grâce à cette nouvelle gamme de screens extérieurs zip SCREENAMAX qui offre aux ouvertures de grandes dimensions un écran total de protection pour un encombrement minimal, SOPROFEN révolutionne le marché de la protection solaire et se positionne d’ores et déjà comme un acteur incontournable du secteur. http://www.soprofen.fr
Il y a 2 ans et 321 jours

Porte rapide Dynaco S-5 Atex : la solution certifiée pour réduire les risques d'explosion

Dynaco propose des solutions de qualité pour les deux zones Atex 1/21 et 2/22 qui sont doublement certifiées, permettent de gagner du temps et de l'argent et offrent la tranquillité d'esprit. En bref, en installant des portes rapides S-5 Atex dans des zones sensibles aux explosions, vous augmentez la sécurité des hommes et des produits.Un environnement de travail sûrDe nombreuses industries sont confrontées aux zones Atex : des secteurs pharmaceutique, chimique et pétrochimique aux industries alimentaire et textile. Lorsque des gaz, des vapeurs ou des combustibles inflammables entrent en contact avec l'oxygène, toute source d'inflammation peut provoquer une explosion. Les étincelles, les flammes, les températures élevées ou l'énergie statique doivent donc être évitées à tout moment. En tant qu'employeur, vous devez être en mesure de permettre aux employés de travailler dans un environnement sûr et de réduire au minimum le risque d'explosion. Les portes rapides antidéflagrantes Dynaco S-5 Atex pour la catégorie 2 (zone 1/21) et la catégorie 3 (zone 2/22) sont un atout à cet égard.Certifié deux foisAffirmer qu'une porte est antidéflagrante est une chose. Dynaco, fait de cette preuve une réalité et les solutions Atex pour les zones 1/21 et 2/22 peuvent également présenter des certificats officiels pour l'ensemble de la porte en tant que produit fini et opérationnel. C'est unique dans le secteur et c'est une valeur ajoutée importante pour leurs clients, car de cette façon Dynaco apporte une tranquillité d'esprit, et évite beaucoup de travail administratif supplémentaire. Dans les environnements Atex, tous les composants de la porte doivent être antidéflagrants : de la structure métallique aux composants électriques, en passant par le tablier et les guides. Tous ces éléments sont toujours certifiés séparément par le fabricant respectif. Mais le travail de Dynaco ne s'arrête pas là, car en plus de ces certificats sous-jacents, les portes S-5 Atex sont également accompagnées d'un certificat de type, qui se rapporte au modèle, et d'un certificat de porte avec numéro de série, qui n'est délivré qu'après inspection de la porte entièrement finie et préassemblée. Apragaz, un organisme officiel européen de contrôle par organisme notifié, a visité l'atelier de Dynaco à cette fin. Ils vérifient, contrôlent et testent la conformité aux réglementations Atex et ne délivrent qu'ensuite leur rapport d'inspection C1 officiel. De solides atoutsOutre leur double certification, les portes rapides Dynaco S-5 Atex offrent d'autres avantages importants. Par exemple, ils réduisent le risque de contamination, assurent de meilleures conditions de travail et sont économes en énergie. En outre, ces portes permettent de réduire tous les coûts liés à l'Atex. Ils permettent une répartition aisée des différentes zones, minimisant ainsi la surface qui doit être conforme aux exigences Atex. Enfin, les portes ont un faible encombrement, prennent peu de place et peuvent être adaptées aux besoins spécifiques de l'entreprise, ce qui garantit un fonctionnement sans faille.
Il y a 2 ans et 321 jours

Théâtre National de Chaillot : Eiffage mène la danse

Eiffage Construction mandataire du groupement constitué avec Eiffage Énergie Systèmes, l’Agence d’Architecture Clé Millet, le bureau d’études BETEM et le scénographe Thierry Guignard, a remporté le contrat pour la deuxième phase des travaux de rénovation du Théâtre National de la Danse du Palais de Chaillot à Paris, pour un montant global de près de 40 millions d’euros.
Il y a 2 ans et 321 jours

La France, leader mondial du solaire hybride photovoltaïque et thermique à la fois

Le marché français se classe parmi les trois premiers dans le monde pour trois segments en solaire thermique : en tête du marché du PVT, second en chauffage urbain et pour la chaleur en industrie.
Il y a 2 ans et 321 jours

« One Home », la nouvelle stratégie d'Unilin Insulation pour la construction d’un monde durable

« One Home », la nouvelle vision du groupe Unilin à laquelle Unilin Insulation contribue, en est le parfait reflet. Elle est axée non seulement sur la protection de la planète mais plus largement sur la qualité des espaces de vie dans l’habitat et sur celle de l’environnement de travail de ses salariés.One Home, 100% d’ambition pour 0% d’émissions : la vision de la durabilité en paroles et en actesEn déployant sa vision de durabilité « One Home », le groupe Unilin organise ses activités conformément à l’Accord de Paris sur le climat qui vise à limiter le réchauffement de la planète. L’entreprise s’engage à respecter des objectifs fondés sur la science. Ceux-ci seront contrôlés par l’initiative Science Based Targets, une tierce partie indépendante qui promeut les meilleures pratiques dans la lutte contre le changement climatique.Comprenant 12 objectifs à concrétiser d’ici 2050, la stratégie RSE « One Home » repose sur 3 piliers :PLANET HOME pour protéger la planète,YOUR HOME avec des produits innovants assurant des espaces de vie sains, confortables et durables,OUR HOME visant un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateurs.Planet Home, protéger la planèteEn réduisant les émissions de gaz à effet de serreEn Europe, les bâtiments sont à l’origine de près de 36 % des émissions totales de CO2, principalement dues au chauffage et à la climatisation. Même si les solutions d’isolation d’Unilin Insulation contribuent à l’efficacité énergétique de ceux-ci, il n’en demeure pas moins que les matériaux utilisés et la façon dont ils sont produits génèrent encore des émissions de gaz à effet de serre. Pour les limiter, Unilin Insulation souhaite rendre l’ensemble de ses sites de production (dont celui de Sury-le-Comtal en France et ceux de Desselgem et Feluy en Belgique) neutres en carbone d’ici à 2030.Afin d’atteindre cet objectif, l’entreprise a d’ores et déjà entrepris des actions pour réduire les émissions générées sur ses sites de production ainsi que les émissions indirectes de l’électricité qu’elle achète.5% et se tourne vers les énergies renouvelables en équipant, par exemple :Son unité de Feluy de deux éoliennes de 3,6 MW chacune (l’équivalent de la consommation d’électricité de 3 400 ménages). Depuis fin avril, les turbines fournissent à l’usine plus de 70 % de l’électricité nécessaire à la production d’une isolation durable, le reste étant injecté dans le réseau électrique de la ville ;3 sites de production, dont celui de Desselgem, sont équipés de 14 551 panneaux solaires d’une puissance de 5,7 MWp, soit la consommation énergétique annuelle de 1 385 ménages. Sur le site de Sury-le-Comtal, Unilin Insulation fabrique, au plus près de ses clients, des produits Made in France.Différents projets y sont à l’étude pour restreindre les consommations énergétiques : installation de panneaux photovoltaïques, récupération de chaleur, passage à un éclairage Led à l’intérieur des bâtiments.Au global, la production d’énergie solaire et éolienne réalisée et planifiée réduira les émissions indirectes de CO2 de 34% d’ici à la fin 2024.En développant un modèle d’économie circulaire Dans le cadre de la décarbonation de ses activités, Unilin Insulation va agir sur toutes les autres émissions de gaz à effet de serre qui ne sont pas liées à la fabrication de ses produits mais à d’autres étapes du cycle de vie de ceux-ci (approvisionnement, achats, transport, déchets, ...).70% des panneaux seront recyclés d’ici 2030 : 90% des déchets de production et de chantier et 35 % des déchets de démolition.Afin de parvenir au recyclage de ses panneaux d’isolation en mousse de polyuréthane, Unilin Insulation s’implique activement, depuis fin 2021, dans le projet européen CIRCULAR FOAM qui vise à rendre la mousse de PU rigide circulaire sans sacrifier sa qualité. Grâce au recyclage chimique, les déchets de mousse rigide de PU seront transformés en nouvelles matières premières utilisées pour fabriquer de nouveaux panneaux isolants tout aussi qualitatifs.A l’horizon 2040, cet écosystème circulaire permettra de donner une nouvelle vie à 1 million de tonnes de déchets de mousse rigide de PU par an en Europe (provenant de l’isolation des bâtiments et des réfrigérateurs) mais aussi d’éviter 2,9 millions de tonnes d’émissions de CO2 et 150 millions d’euros de coûts d’incinération.En parallèle, Unilin Insulation s’engage à ne plus jeter ses déchets mais à les recycler autant que possible et a pour triple objectif :0 déchet de production mis en décharge d’ici 2023,0 déchet de chantier mis en décharge d’ici 2025,0 déchet de démolition mis en décharge d’ici 2030.Enfin, Unilin Insulation souhaite optimiser ses économies de CO2 en utilisant des matières premières recyclées, biosourcées ou basées sur le CO2 dans sa production. Cela a déjà été initié avec ses fournisseurs et la part du carbone circulaire pour produire les panneaux d’isolation devrait atteindre 5 % d’ici 2025 et 30 % d’ici 2030.Un nouvel emballage éco-responsable déjà mis en placePour réduire son empreinte carbone, Unilin Insulation s’attaque à l’ensemble de la chaîne de production. En intégrant au moins 50% de plastique recyclé dans un nouveau film rétractable pour emballer les plaques isolantes Utherm, cette initiative, développée et initiée avec ses partenaires, diminue de près de 42% les émissions de CO2, soit un gain annuel de plus de 1 000 tonnes. De même, en rendant les emballages plastiques transparents et en utilisant 35% moins d’encre, ces derniers peuvent être recyclés plus facilement, sans aucun compromis sur la qualité. Le nouveau film a ainsi été doté d’une barrière anti-UV afin de protéger les plaques isolantes de la décoloration lorsqu’elles restent entreposées longtemps à l’extérieur.YOUR HOME, des produits innovants au service d’espaces de vie sains, confortables et durablesAutour de YOUR HOME, deuxième pilier de sa stratégie de développement durable, Unilin Insulation se positionne comme un acteur engagé de l’isolation offrant à ses clients, professionnels et particuliers, des solutions à haute valeur ajoutée garantissant des espaces de vie sains, confortables et durables, conformes aux exigences réglementaires.Sachant que près de 75% du parc immobilier européen est inefficace sur le plan énergétique, l’isolation des bâtiments est donc une étape nécessaire pour réduire leur consommation.Bénéficiant de performances élevées en matière d’isolation, les plaques PIR et les panneaux de toiture d’Unilin Insulation bénéficient d’une durée de vie aussi longue que les bâtiments qu’ils isolent. Ces solutions compactes et légères, particulièrement adaptées à la rénovation, offrent un confort optimisé été comme hiver pour une empreinte carbone limitée. De plus, en réduisant l’émission de composés organiques volatils (COV) de ses panneaux en PU (classification A+), Unilin Insulation participe à une bonne qualité de l’air intérieur. Avec pour force motrice l’innovation, Unilin Insulation continue ses efforts en faveur du climat et de la construction durable non seulement en diminuant l’impact carbone de ses panneaux en PU, mais aussi en proposant des solutions mixtes avec des matériaux biosourcés ou en facilitant et sécurisant le travail des installateurs. Les derniers systèmes d’isolation par l’extérieur lancés en sont la preuve :USYSTEM Roof OS Comfort Natural et USYSTEM Roof DS Natural WoolPanneaux de toiture, spécial éco- construction, offrant tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments.UTHERM Sarking K Anti-Slide et UTHERM Sarking K Comfort Anti-SlideGammes de plaques isolantes dotées d’un revêtement anti-dérapant et anti- réfléchissant pour une sécurité de pose en climat de montagne.Elles garantissent, en outre, un confort thermique et acoustique en toutes saisons. Dans la continuité de ces innovations, une nouvelle gamme spécial ERP verra le jour au second semestre 2022.OUR HOME, pour un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateursDernier volet de la politique RSE d’Unilin Insulation : le bien-être, la sécurité et la santé de ses salariés, des préoccupations majeures qui sont au cœur de ses activités.Visant le « 0 accident », l’entreprise a instauré une politique de sécurité positive et bienveillante afin de développer cette culture à tous les niveaux de son organisation. Les managers ayant un rôle clé à jouer, Unilin Insulation a mis en place, depuis 2019, un programme de formation pour tous les managers afin de développer les qualités de leadership en la matière. En 2021, l’entreprise a instauré des « Life Saving Rules », règles de sécurité pour sauver des vies, sur tous ses sites de production. Celles-ci garantissent une formation et une communication claires, l’analyse des situations à risque et l’élimination des obstacles qui s’opposent à un travail sûr.Enfin, Unilin Insulation déploie des programmes favorisant également le bien-être de ses employés sur et en dehors de leur lieu de travail.Afin de rendre compte de ses avancées concrètes en matière de durabilité, le groupe Unilin publiera un rapport annuel dès la fin 2022. En parallèle, les performances de durabilité de ses produits seront mesurées grâce à l’analyse de leur cycle de vie.
Il y a 2 ans et 322 jours

Zéro artificialisation nette : "On transforme des idéaux en lois", (Alain Lambert, CNEN)

DÉBAT. Comment améliorer le processus de concertation, visiblement insatisfaisant, entre l'État et les professionnels de la construction ? Plusieurs représentants de la filière en ont débattu et proposé des solutions, lors des Assises nationales du logement et de la mixité urbaine, le 2 juin 2022, à Paris, en présence d'Alain Lambert, président du Conseil national d'évaluation des normes (CNEN).
Il y a 2 ans et 322 jours

L'inflation va encore accélérer en France pesant sur la croissance cette année

Au total sur l'année, l'inflation atteindrait en moyenne 5,5%, du jamais-vu depuis 1985, ce qui amputerait le pouvoir d'achat des ménages de 1% en dépit des mesures de soutien public en place ou annoncées, soit sa plus forte contraction depuis 2013, marquée alors par la politique d'austérité post-crise financière.Comme la Banque de France - qui a publié mardi la même prévision de croissance et sensiblement la même prévision d'inflation (5,6%) sur l'année -, l'Insee estime qu'après un net bond en juin à 5,9% du fait de la hausse des prix du pétrole, de l'alimentation et des services, l'inflation serait ensuite plutôt soutenue par les augmentations de prix hors énergie "en répercussion des hausses passées des coûts de production", c'est-à-dire les prix des matières premières et les augmentations de salaires.Face à cette situation que beaucoup de Français n'ont jamais connue, la confiance des ménages parait "particulièrement affaiblie", a souligné lors d'une conférence de presse Julien Pouget, chef du département de la conjoncture à l'Insee.Et ce n'est pas la revalorisation automatique du Smic attendue en août ou septembre selon lui, du fait de l'inflation, qui sera de nature à les rassurer.Ils devraient ainsi accroître leur épargne, qui a déjà atteint un niveau record durant la crise sanitaire, et rester prudents dans leurs dépenses, avec une consommation attendue en hausse modérée (+2,3%), après un recul de 1,5% au premier trimestre.Ces prévisions intègrent les mesures de soutien du pouvoir d'achat prises ou annoncées (revalorisations des retraites, minimas sociaux et du traitement des fonctionnaires, bouclier tarifaire sur l'énergie, prime de pouvoir d'achat, suppression de la redevance, etc.), qui "contribueraient à rehausser le revenu disponible brut des ménages d'environ 1 point de pourcentage en 2022", sans totalement annuler l'impact de l'inflation, selon l'Insee.Du côté des entreprises, tandis que l'industrie et le bâtiment continueront de lutter contre la hausse de leurs coûts et les difficultés d'approvisionnement engendrées par la guerre en Ukraine, les services "porteraient l'essentiel de la croissance au deuxième semestre".L'économie pourrait toutefois compter sur un petit rebond des exportations, mais à condition que l'épidémie de Covid-19 en Chine ne vienne pas de nouveau freiner le commerce mondial.Dans ce contexte, l'emploi résisterait encore cette année, avec 260.000 créations d'emplois attendues et un taux de chômage qui baisserait à 7% à la fin 2022.
Il y a 2 ans et 322 jours

La hausse de l’alternance en décalage avec l’insertion des jeunes les moins qualifiés

Depuis les années 90, la formation en alternance constitue une mesure phare de lutte contre le chômage des jeunes, l’apprentissage améliorant l’insertion professionnelle des moins qualifiés. Cette voie de formation a fait l’objet de réformes régulières dont la dernière, qui résulte de la loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel, en a profondément modifié le pilotage et le financement. La Cour des comptes examiné les effets de cette réforme après trois années de mise en œuvre. La hausse des effectifs s’est accompagnée d’une évolution du profil des apprentis : en 2016, la part des apprentis préparant un diplôme d’un niveau inférieur ou équivalent au baccalauréat professionnel représentait 63 % du total des apprentis ; en 2020, ils n’en représentent plus que 49 %. Parallèlement, les effectifs se concentrent sur le secteur tertiaire, plutôt que sur les secteurs traditionnellement concernés, comme l’artisanat, l’industrie, la construction ou l’agriculture. L’apprentissage est désormais perçu comme une voie d’accès à des niveaux élevés de qualification. Cette recomposition ne correspond pas aux objectifs historiquement associés à la politique de l’apprentissage, qui jusqu’à présent visait à améliorer l’insertion professionnelle des jeunes présentant les plus bas niveaux de qualification (CAP, baccalauréat professionnel), ceux qui rencontrent le plus de difficulté à s’insérer sur le marché du travail. À partir du niveau de la licence, la plus-value sur l’insertion professionnelle est faible.Parallèlement, la Cour a contrôlé France compétences, établissement public créé en 2019, pour assurer la régulation et le financement de la formation professionnelle et de l’alternance. Le référé issu de ce contrôle, complété par des observations définitives, met en particulier l’accent sur la situation financière préoccupante de cet établissement, qui appelle des mesures pérennes concernant l’alternance et le compte personnel de formation.
Il y a 2 ans et 322 jours

Watts présente ses solutions adaptées à l’installation d’une PAC en neuf et en rénovation

Soutenue par les réglementations et dans un contexte de crise énergétique, la pompe à chaleur a le vent en poupe sur le marché du chauffage individuel. A l’horizon 2050, elle devrait même s’imposer comme la solution incontournable en remplacement des vieilles chaudières et équiper jusqu’à 9 maisons sur 10. Pour des installations de qualité alliant une réelle performance énergétique et un confort optimal, WATTS propose une offre PAC réunissant une sélection de ses produits phares spécifiquement adaptés à la mise en œuvre d’une pompe à chaleur en neuf comme en rénovation.   PAC monobloc ou PAC split en neuf ou rénovation : protéger le réseau de distribution d’eau potable Conformément à la réglementation en vigueur (norme EN1717), dans une installation de chauffage neuve ou existante, le réseau de distribution d’eau potable doit être protégé de toute pollution par retour éventuel de fluides tels que l’eau de chauffage. En effet, celle-ci pouvant contenir des produits antigel ou autres inhibiteurs de corrosion est considérée comme non potable. C‘est le rôle du disconnecteur hydraulique à zone de pression non contrôlable de type CA de WATTS. Destiné aux circuits de chauffage domestique d’une puissance inférieure à 70 Kw, le disconnecteur CA9C de WATTS se positionne sur le circuit de retour d’une installation de chauffage avec pompe à chaleur. Il permet alors d’empêcher un retour de fluide caloporteur dans le réseau de distribution d’eau potable, le préservant ainsi de toute contamination accidentelle. Compact, il se compose de deux clapets de non-retour séparés par une chambre communiquant avec l’atmosphère. Associé à une soupape de décharge, ce système de double clapet lui confère une parfaite étanchéité. En cas de sous pression, dépression amont ou surpression à l’aval (avec ou sans fuite au deuxième clapet), la chambre intermédiaire est mise à l’atmosphère entraînant ainsi la séparation des circuits amont et aval. Quelles que soient les contraintes, le disconnecteur hydraulique à zone de pression non contrôlable CA9C garantit une protection optimale du réseau de distribution d’eau potable. PAC split : des solutions pour encore plus de confort thermique et d’économies d’énergie Dans le cadre d’un logement existant, WATTS propose un ensemble de produits performants destinés à optimiser les consommations énergétiques tout en simplifiant l’installation de la PAC. 1 – La vanne d’équilibrage statique iDROSET® Séries CF pour réaliser des économies d’énergie et assurer une répartition homogène de la chaleur en fonction des besoins Placée notamment sur le circuit retour dans n’importe quelle position (à condition de respecter le sens d’écoulement du fluide), en aval d’un ballon tampon, la vanne d’équilibrage statique iDROSET® Séries CF permet d’obtenir et de maintenir le confort thermique souhaité dans toutes les pièces desservies par l’installation. A la conception innovante, la vanne d’équilibrage statique iDROSET® Séries CF de WATTS permet d’ajuster et de régler précisément le débit d’eau dans le système de chauffage. Pour cela, elle associe : – un corps de vanne à l’intérieur duquel un dispositif de mesure, à la technologie brevetée, garantit un ajustement millimétré du niveau de débit requis, – un cadran qui indique le changement de débit en temps réel et rend plus rapide le réglage sans avoir recours à des appareils de mesure, – une couronne extérieure qu’il suffit de tourner pour augmenter ou diminuer le débit. 2 – Le module hydraulique Flowbox HKM, équipement indispensable au bon fonctionnement d’un système de chauffage avec pompe à chaleur Utilisé pour la distribution de l’eau depuis la PAC vers le circuit de chauffage, cet élément 4 en 1 intègre : – un circulateur précablé en usine, – une vanne 3 voies motorisée qui, en plus d’offrir une plus grande flexibilité de l’installation en limitant le nombre de raccords en entrée et sortie, assure une distribution à température variable (puissance thermique jusqu’à 30 kW pour ∆T 20K), – des robinets équipés d’un thermomètre (température départ – retour de 0 à 120°C), – un clapet anti-retour Pré-assemblé en usine, l’ensemble réduit les risques de fuite et représente un véritable gain de temps lors de la pose. Disponible avec ou sans pompe à haut rendement, le module Flow box assure une parfaite distribution hydraulique dans le circuit de chauffage. 3 – La régulation filaire ou radio « Climatic Control H&C » qui, connectée au module Flowbox HKM, garantit un confort thermique optimal dans l’habitat Filaire ou radio, cette solution de régulation sur sonde extérieure contrôle la température d’eau pour système basse (planchers chauffants et rafraîchissants, ventilo-convecteurs…) et haute température (radiateurs). A ces équipements performants, WATTS ajoute dans son offre PAC un purgeur d’air, un vase d’expansion à vessie interchangeable, un aquastat de sécurité et un collecteur inox. Véritable condensé de l’expertise de WATTS dans le domaine du chauffage, de la régulation et de la protection des réseaux d’eau, l’offre PAC permet aux systèmes de chauffage par pompe à chaleur de gagner en efficacité, en neuf comme en rénovation. https://wattswater.fr/
Il y a 2 ans et 322 jours

Durcipierre plus , nouveau minéralisant prêt à l’emploi pour les murs anciens

Depuis plus de 40 ans, PAREXLANKO propose des solutions destinées à la décoration des façades du bâti neuf comme du bâti ancien. Fort de son expertise, PAREXLANKO fait évoluer son minéralisant à diluer par un nouveau produit prêt à l’emploi, DURCIPIERRE PLUS, destiné à la préconsolidation des murs, extérieurs et intérieurs, dégradés dans le bâti […]
Il y a 2 ans et 322 jours

La robe en zinc Quartz-Zinc de VMZINC enveloppe les bureaux de la maison Rémy Martin à Merpins (16)

Ce bâtiment de 5.000 m2 connecte les chais de vieillissement d’un côté et le site d’embouteillage de l’autre. Il accueille, depuis juin 2021, les 130 collaborateurs, qui travaillaient jusqu’alors dans le centre-ville de Cognac.INCA Architectes et AIA Life Designers ont imaginé un grand parc paysager dans lequel le nouvel édifice, rappelant les chais historiques, est venu s’insérer. Ce bâtiment-promenade se distingue par deux parties longilignes reliées entre elles par des passerelles. Elles abritent toutes les fonctions et dessinent un véritable lieu de vie : accueil, bureaux, salles de réunions, restaurant, salle de sport, locaux du personnel. Des parvis, patios et jardins créent une transition douce entre le dedans et le dehors. Le paysage, la lumière, la nature et l’histoire ont été de précieuses sources d’inspiration pour donner du sens à ce programme dans le respect des valeurs de la Maison Rémy Martin.La matérialité de la pierre de Charente est réinterprétée en façade de manière contemporaine et se marie harmonieusement au zinc VMZINC qui habille la toiture. Cette couverture élégante et légère dans l’expression retranscrit avec soin du détail la conception architecturale. Le bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture et celui de VMZINC ont collaboré étroitement afin de s’assurer que les systèmes VMZINC puissent techniquement répondre aux attentes esthétiques. Au total, 7.000 m2 de solutions zinc ont été mises en œuvre, soit environ 60 tonnes : Joint Debout en couverture ; Profil à Emboîtement pour les sous-face et agrafage sur-mesure sur les rives et pignons.Un seul aspect de surface, le QUARTZ-ZINC, a été retenu. Ce zinc, qui se patinera avec le temps, joue avec la lumière, une composante essentielle du projet. Au fil de la journée et selon la météo, il se nuance et crée des reflets. Les matériaux sélectionnés ; le zinc, la pierre et l’aluminium ; se distinguent par leur noblesse, leur intemporalité et leur durabilité.Détails minimalistesLes lignes épurées de la toiture en zinc ont requis une grande technicité à l’image des rives au niveau des casquettes avec débords de toit en rez-de-chaussée et au premier étage. Travaillées le plus finement possible, ces pointes effilées passent de 34 cm à quasiment 0 cm d’épaisseur sur une longueur d’1,90 m.Pour Mathias COUTANT, Gérant de l’entreprise Alain COUTANT Couverture: « Une ossature secondaire en bois a été conçue pour venir vêtir le squelette d’acier. Des flasques métalliques, doublées de bois, font la jonction avec cette ossature secondaire afin de dessiner gracieusement cette pointe si fine qui borde le bâtiment. »Toutes les couvertures (hors casquettes) sont traitées en complexe de toiture chaude Toiture VMZINC : bac acier/pare-vapeur/isolant 240 mm en double couche/écran pare-pluie/ QUARTZ-ZINC PLUS.Des chéneaux ont été intégrés en milieu de versant afin de récupérer les eaux pluviales de la partie supérieure. Encaissés, ils disparaissent du regard et permettent d’assurer la continuité esthétique de la ligne des toitures.Logistique menée d'une main de maîtreLe bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture a réalisé les plans à partir d’une maquette 3D afin d’intégrer les éléments zinc à la charpente métallique et aux menuiseries aluminium. Il a calculé et défini ses besoins en zinc avant d’effectuer les commandes de bobines auprès de VMZINC. Pour respecter le rythme des meneaux en pierre et garantir un alignement visuel des différentes joints, VMZINC a produit ces bobines dans des dimensions sur-mesure. Elles ont été refendues (largeurs 530 mm et 467 mm) selon le pas de pose défini par les différentes solutions. L’objectif étant de faire coïncider les joints creux de la sous-face avec le joint debout des bacs de la couverture.Lors de la phase chantier, un groupement d’entreprises a été constitué (Alain COUTANT Couverture, BOUCHET Couverture et SMAC) assurant la livraison de l’ouvrage en un an après le démarrage des travaux.
Il y a 2 ans et 322 jours

EDILIANS enrichit sa gamme Design avec une offre complète de tuiles émaillées et repousse les limites de l’inspiration

Avec sa gamme Design, EDILIANS invitait déjà les prescripteurs à laisser libre cours à leur créativité pour composer des bâtiments uniques. Ils pouvaient alors jouer avec les couleurs, la lumière et les finitions autour de 6 modèles de tuiles déjà reconnus pour leur esthétique avant-gardiste. Aujourd’hui, le leader français de la tuile terre cuite va encore plus loin et lance une offre complète de tuiles émaillées au rendu unique, adaptées aussi bien à la toiture qu’au bardage.   Rénover avec panache et créer en toute liberté Idéale aussi bien pour les créations architecturales de grande envergure que pour les projets de rénovation, la gamme de tuiles et accessoires émaillés d’EDILIANS repousse les limites de la personnalisation sur-mesure. Pour des restaurations de bâtiments civils, demeures historiques, palais nationaux ou édifices religieux, la technique d’émaillage en mono cuisson ou double cuisson d’EDILIANS garantit un niveau de finition irréprochable. Grâce à une palette de couleurs étendue, les jeux de teinte sont sans limite et permettent d’accorder les idées et les projets. Dans le cadre de la conception de réalisations neuves, la gamme de tuiles émaillées multiplie les possibilités en toiture et façade. Tuiles plates, à relief ou fortement galbées, d’une finition satinée à brillante, de reflets irisés ou métalliques… il suffit aux professionnels de laisser parler leur créativité pour magnifier sans limite leurs créations. Alliant haute qualité et originalité, la nouvelle offre émaillage se décline en trois gammes, toutes compatibles avec les solutions photovoltaïques d’EDILIANS (tuiles terre cuite solaires et Solaire Max).   Oser le minimalisme avec la Gamme BASIC Disponible dans cinq modèles de tuiles dotées de l’appellation de terroir Huguenot (H10, HP10, PV10, Stretto, Diamant), la gamme BASIC affiche en toute sobriété une robe BLANC PLATINE à l’aspect satiné, autre apparence de l’émail blanc. De par son coloris, son Indice de Réflexion Solaire (SRI) en fait un parfait allié pour préserver les bâtiments de la chaleur et ainsi respecter les exigences de la RE2020 relative au confort d’été.   Gamme ULTRA : l’expression illimitée de la créativité Avec sa palette de plus de 215 couleurs issues du nuancier RAL d’EDILIANS, la gamme ULTRA offre sa très haute qualité d’émail à de nombreuses tuiles parmi lesquelles : • les fortement galbées (OMEGA Max, OMEGA 10, OMEGA 13), • les faiblement galbées (Alpha 10, Delta 10, HP10, H10, Losangée Ste Foy, Standard 9, Standard 14, Diamant), • les tuiles plates (20×30, 16×38, 17×27 Ste Foy, 16×27), • les tuiles petit moule (Arboise Ecaille, Arboise rectangulaire, Beauvoise Huguenot), • et certains modèles de tuiles Canal. A l’aspect glacé, satiné ou granité, elle se pare d’accessoires de finition en terre cuite ou métalliques pour finaliser harmonieusement les réalisations architecturales jusque dans le moindre détail.   Gamme ULTIM : le sur-mesure à son paroxysme Pour répondre aux projets les plus audacieux, EDILIANS a développé la gamme ULTIM. Avec son émail de très haute qualité, la diversité de ses aspects (glacé, satiné) et son offre inédite de nuances, reflets (y compris métalliques ou irisés) et jeux de matières, elle élargit les possibilités de créations. Disponible avec des accessoires métalliques laqués sur demande, elle se compose de 14 modèles de tuiles.   Réunies sous la signature « L’inspiration sans limite », les trois gammes BASIC, ULTRA et ULTIM qui composent l’offre de tuiles émaillées d’EDILIANS, ouvrent aux architectes un véritable champ des possibles avec pour seule limite l’imagination ! http://www.edilians.com
Il y a 2 ans et 322 jours

Frédéric Didier succède à Laurent Musy à la Présidence de la FFTB

Frédéric Didier, 45 ans, a été directeur général adjoint de Wienerberger France à partir de 2016 et nommé directeur général en septembre 2020. Il a auparavant travaillé chez LafargeHolcim et Eqiom.« La Fédération Française des Tuiles et Briques poursuivra l’action portée par mes prédécesseurs au service d’une profession qui travaille chaque jour pour améliorer la qualité, les performances techniques et environnementales de ses produits. Les tuiles et briques sont riches de leur histoire et porteuses d’avenir ; la Fédération Française des Tuiles et Briques poursuivra leur promotion » a déclaré Frédéric Didier.Il ajoute « Je tiens particulièrement à souligner l’engagement de nos entreprises, petites et grandes, qui se sont mobilisées pour servir leurs clients dans les périodes tourmentées et inédites de la pandémie et ce depuis mars 2020 ».La profession s’est mobilisée en augmentant sa production et en tirant sur ses stocks alors même que la pandémie sévissait toujours et que la hausse brutale des coûts de l’énergie démarrait au cours de l’été 2021. Dans ce contexte de hausse massive et imprévisible du coût de l’énergie et particulièrement du gaz et de l’électricité qui les affecte profondément, nos entreprises s’adaptent continûment. La France, comme l’ensemble des pays européens, gère au mieux la situation de tensions sur les volumes et sur les coûts liés. »Il poursuit « La mobilisation collective conserve tout son sens pour les années à venir, riches de nombreux sujets structurants pour notre industrie. L’engagement collectif dans la feuille de route de décarbonation de la production de 27% à l’horizon 2030 et 80% à 2050 en est un exemple. La RE2020 qui modifie les critères de choix des matériaux de construction, mais aussi la mise en place d’une filière REP qui fait peser sur nos entreprises le financement de l’organisation du tri, de la collecte et du traitement des déchets des chantiers de construction et de rénovation en sont d’autres.« Au travers des groupes de travail, des outils d’informations, des échanges avec les équipes de la fédération et du Centre technique*, la profession dispose d’une vigie qui veille sur des sujets de moyen et long terme y compris au niveau européen, d’un lieu pour mutualiser les bonnes pratiques et réfléchir aux enjeux structurants pour tous et d’une force de représentation de ses intérêts vis-à-vis des pouvoirs publics, des organisations professionnelles du secteur et de toutes les parties prenantes.»Il conclut « La filière Terre Cuite a un rôle essentiel à jouer dans le débat public particulièrement sur l’industrie, vecteur de développement des territoires et sur le logement, préoccupation majeure de nos concitoyens. La FFTB continuera à promouvoir les atouts de notre matériau durable et abordable et de notre industrie tant au niveau français qu'européen. Elle le fera avec l’enthousiasme et la conviction qui animent les passionnés de l’argile et de la terre cuite que nous sommes tous, aussi bien chez les fabricants que dans les équipes de la fédération et du Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction ».*Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction
Il y a 2 ans et 325 jours

Éolien en mer du Nord : TenneT annonce un appel d'offres "à grande échelle"

Alors que l'annonce d'un recours accru au charbon en Allemagne et aux Pays-Bas suscite l'inquiétude de la Commission européenne, TenneT a indiqué dans un communiqué qu'il produira 40 gigawatts d'électricité en mer du Nord d'ici à 2030.Atteindre cet objectif "nécessite une nouvelle approche d'appel d'offres", selon TenneT, qui évalue sa capacité actuelle de connexion offshore à environ 7,2 gigawatts en mer du Nord allemande et environ 2,5 gigawatts en mer du Nord néerlandaise.Alors que les projets individuels ont "toujours fait l'objet d'appels d'offres consécutifs", ce vaste appel d'offres comprendra "une prévision de 15 à 20 systèmes de connexion au réseau offshore", selon TenneT, qui estime que le volume total des commandes pourrait aller jusqu'à 30 milliards d'euros.Le gestionnaire conclura un accord de coopération avec des partenaires clés du marché pour "une période pouvant aller jusqu'à huit ans", couvrant "les plates-formes offshore et les stations terrestres, ainsi que les convertisseurs".L'Allemagne, le Danemark, les Pays-Bas et la Belgique ont annoncé en mai vouloir installer pour près de 150 gigawatts d'éoliennes en mer du Nord d'ici à 2050, pour en faire la "centrale électrique verte de l'Europe" et se passer d'hydrocarbures russes. Un objectif intermédiaire de 65 gigawatts a lui été fixé pour 2030.Une puissance de 150 gigawatts dans l'éolien marin permet de fournir l'électricité nécessaire à 230 millions de foyers, selon les quatre pays.Alors que la Russie réduit progressivement ses flux de gaz vers l'Europe, les Pays-Bas ont annoncé en début de semaine la levée des restrictions de production électrique au charbon.L'Allemagne a activé jeudi le "niveau d'alerte" sur son approvisionnement en gaz, qui rapproche le pays de mesures de rationnement après la baisse drastique des livraisons de Moscou via le gazoduc Nord Stream.
Il y a 2 ans et 325 jours

Lancement d’une nouvelle étude métier afin d’améliorer les conditions de travail des charpentiers

A partir d’informations quantitatives et qualitatives issues d’observations de l’activité et d’entretiens, les partenaires souhaitent mettre en œuvre des pistes d’amélioration des conditions de travail pour l’ensemble des professionnels concernés.Accompagner en prévention le développement de la construction boisAvec le développement de la construction bois ces dernières années, de plus en plus d’entreprises de toutes tailles ont recours à la construction hors site pour leurs chantiers. Bien que cette méthode de construction en atelier ou en usine présente de nombreux avantages, elle induit la pose d’éléments lourds et/ou volumineux sur chantier, qui peut être facteurs de risques : adéquation des moyens de levage/manutention, prise au vent des panneaux de murs, basculement de ces derniers et risques d’écrasement des compagnons. Ces chantiers présentent aussi des situations de travail en hauteur, notamment pour l’élingage et le désélingage des murs, ou encore la mise en œuvre des étages. En outre, ces dernières années, la préfabrication des planchers a également émergé. Cette pose d’éléments horizontaux est nouvelle et il est donc nécessaire d’améliorer la connaissance du métier, pour mieux comprendre les risques auxquels sont confrontés les compagnons et y apporter les solutions adéquates.Une étude métier qui repose sur une méthodologie d’intervention spécifiquePartant de ce constat, la Fédération des SCOP du BTP, l’Union des Métiers du Bois (UMB-FFB), l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB), la CAPEB et l’OPPBTP ont initié une démarche d’étude métier afin de sensibiliser les professionnels et de pouvoir améliorer les conditions de travail des charpentiers. Celle-ci repose sur une méthodologie d’intervention dénommée « Méthode d’Analyse et d’Evaluation des Conditions de Travail » (MAECT). Elle comprend une première phase tournée vers l’observation et l’analyse d’une situation de référence préalablement déterminée par les organisations professionnelles, qui conduit à la proposition de recommandations d’actions. Une Commission d’amélioration des conditions de travail est ensuite mise en place afin de développer tout ou partie de ces actions. Afin de dresser un état des lieux précis et complet, les observations de l’activité seront simultanément associées à une métrologie spécifique aux activités du charpentier pour chaque salarié observé :Mesures d’exposition aux poussières totales (dont poussières de bois) ;Mesures d’exposition au bruit : dosimétries et sonomètre pour mesurer le bruit ambiant si nécessaire ;Mesures de la fréquence cardiaque ;Mesures d’exposition aux vibrations lors des phases de mise en oeuvre (visseuse, cloueuse et outils mécaniques à main si nécessaire) ;Relevés de température et d’hygrométrie (ambiance climatique).Une situation de travail représentative du métier de charpentier en construction boisL’étude métier se concentre sur une situation de travail fréquente et représentative de l’ensemble des facteurs de risques auxquels ces professionnels sont exposés : la mise en oeuvre de planchers et de murs à ossature bois sur un chantier de logement individuel neuf.Afin de couvrir l’ensemble des pratiques, l’étude métier permettra d’observer quatre chantiers issus d’entreprises volontaires et adhérentes de chacune des Organisations professionnelles participant au projet. Parmi ces 4 chantiers avec pose de murs à ossature bois, seront également observés :Deux chantiers mettant en œuvre un plancher préfabriqué en atelier,Deux chantiers mettant en œuvre un plancher dont les poutres et solives sont posées sur site.Pendant trois jours consécutifs, la phase d’observation permettra d’observer au plus près les conditions de travail des opérateurs, selon 21 facteurs, des plus évidents (manutention manuelle, gestes, postures…) au plus sous-estimés (communication, autonomie).L’Instance d’Amélioration des Conditions de Travail proposera ensuite des solutions pratiques et facilement applicables, quelle que soit la taille de l’entreprise concernée.Les observations sur le premier chantier sont menées en juin 2022.
Il y a 2 ans et 325 jours

Le bâtiment résiste alors que les entreprises françaises peinent en juin face à l'inflation

La croissance de l'activité dans le secteur privé en France a nettement marqué le pas en juin, passant de 57 points à 52,8 points, retombant ainsi à son rythme de janvier en pleine vague Omicron, selon un indice provisoire publié jeudi par S&P Global, et très suivi par les marchés.Un taux supérieur à 50 marque une expansion de l'activité, un taux inférieur à cette limite une contraction."Si l'on exclut ce tassement de la croissance en début d'année, l'expansion de l'activité observée en juin est la plus faible enregistrée depuis avril 2021", souligne S&P dans un communiqué.La production manufacturière a même décliné ce mois-ci, "affaiblie par une baisse de la demande et par le maintien des difficultés d'approvisionnement", tandis que l'activité globale du secteur a légèrement progressé, mais à un rythme au plus bas depuis 19 mois.Dans les services, c'est l'incertitude quant à la dégradation de la conjoncture économique qui freine l'activité, et on ne peut écarter le risque d'une contraction dans les prochains mois, estime Joe Hayes, économiste chez S&P Global, cité dans le communiqué.La confiance des chefs d'entreprises a, elle aussi, chuté à son plus bas niveau depuis 19 mois, l'inflation et ses répercussions sur la demande inquiétant particulièrement les chefs d'entreprises.Un constat que rejoint l'indicateur de climat des affaires publié également jeudi par l'Insee.Il s'est légèrement dégradé de 2 points par rapport à mai, reflétant une baisse d'optimisme dans le secteur des services et dans le commerce de détail, au moment où l'inflation atteint en France des niveaux plus vus depuis les années 1980, freinant la consommation des ménages.Le bâtiment à contre-courantA l'inverse, le climat des affaires progresse un peu dans le bâtiment (+1 point), témoignant toutefois surtout d'une opinion plus favorable sur leur activité passée qu'un plus grand optimisme pour l'avenir, ainsi que dans l'industrie (+2 points), avec de meilleures perspectives en matière de production.En parallèle le climat général de l'emploi se dégrade en juin pour le troisième mois consécutif, particulièrement dans les services, les agences d'intérim et le commerce de détail, même s'il reste supérieur à sa moyenne de long terme, note l'Insee."Le ralentissement de l'économie française est également aggravé par une nouvelle montée de l'incertitude politique", avec l'absence de majorité claire dégagée à l'issue des élections législatives, a également souligné Joe Hayes de S&P Global, qui note que les résultats de l'enquête de juin "mettent donc en évidence des risques tangibles de récession en France".Un risque écarté à ce stade par la Banque de France, qui table dans son scénario central dévoilé mardi sur une croissance de 2,3% cette année pour l'économie française.
Il y a 2 ans et 325 jours

SPIE participe à la réalisation de la plus grande centrale solaire d’Alsace

Dans un contexte marqué par le développement des énergies renouvelables et la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, le groupe allemand Krannich a remporté le marché pour la réalisation de la centrale solaire « Mine Amélie » située sur la commune de Wittelsheim. Ce marché est attribué par la Commission de Régulation de l’Electricité (CRE). Cette nouvelle centrale solaire répond aux objectifs de croissance de la filière photovoltaïque, fixés par les Programmations Pluriannuelles de l’Energie (PPE) dans le cadre de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte.Située sur le site des anciennes Mines de potasse d’Alsace, la centrale de Wittelsheim déploie 68.508 panneaux photovoltaïques sur une superficie de 27 hectares, pour une puissance de plus de 26 MWc ; ce qui la place parmi les plus gros projets de centrales photovoltaïques français. Elle répond ainsi à une demande de production d’énergie décarbonée, sans causer d’artificialisation des sols. Une solution technique unique de raccordement Grâce à une solution clé-en-main et une relation de confiance avec le client, la division Industrie de SPIE Industrie & Tertiaire s’est vu confier la conception et la réalisation du poste d’évacuation connecté au réseau 63 kV, le réseau secondaire HTA 20 KV, le branchement des 173 onduleurs photovoltaïques ainsi que le contrôle-commande de l’ensemble. Un lot hautement technique, puisque la forte puissance de la centrale ne permettait pas de la raccorder directement au réseau de distribution. Cela a nécessité la mobilisation des équipes de la division Industrie pour challenger le client et proposer une solution innovante afin de raccorder la centrale au réseau public de transport de l’électricité (RTE). La direction Solutions & Expertises de la division Industrie a accompagné le groupe Krannich dès les études préliminaires afin de définir le raccordement au réseau public (RTE), de réaliser le design ainsi que le dimensionnement électrique de l’ensemble de l’installation. L’ingénierie d’ensemble, conduite dès la phase amont, a ainsi permis de garantir le respect des caractéristiques constructives et fonctionnelles de l’installation imposées par RTE au groupe Krannich. Cette solution, dont la maitrise du savoir-faire est rare, démontre la capacité de la division Industrie à résoudre des problématiques complexes et à créer des solutions sur mesure.« Le marché de l’énergie est un marché stratégique pour la division Industrie. La réalisation de cette centrale solaire nous permet ainsi d’asseoir notre positionnement d’expert sur le marché des énergies renouvelables et plus particulièrement sur celui du photovoltaïque. C’est également l’opportunité de démontrer notre capacité à maitriser le contrôle-commande d’un réseau électrique et à superviser la production d’électricité » déclare Benjamin Hamard, chef de département au sein de la division Industrie de SPIE Industrie & Tertiaire.Une offre globale et intégrée Afin d’intervenir sur l’ensemble de la chaîne de valeur (de la conception à la mise en service jusqu’au contrôle des performances et la mise en exploitation du réseau HTB/HTA) et de se positionner en tant qu’interlocuteur unique auprès du groupe Krannich, la division Industrie s’est appuyée sur les expertises de deux filiales de SPIE France. Les équipes de SPIE CityNetworks ont ainsi réalisé les terrassements tandis que celles de SPIE Thépault, filiale de SPIE Nucléaire, avaient en charge la réalisation du poste HTB/HTA.« L’accompagnement des équipes de la division Industrie de SPIE Industrie & Tertiaire dès les phases préliminaires, leur connaissance de nos enjeux et leur savoir-faire technique ont joué un grand rôle dans l’attribution de ce marché. De plus, la possibilité d’avoir un interlocuteur unique dans une approche de conception et de réalisation fait figure d’exception », déclare Zakaria Diddou, directeur général de Krannich Solar Projekt.La centrale solaire de Wittelsheim entre désormais dans sa phase de mise en service.
Il y a 2 ans et 325 jours

A 150 ans, Aléonard se prépare aux enjeux du XXIe siècle

La filiale de Wienerberger spécialisée dans les produits de patrimoine et haut de gamme a célébré son anniversaire en annonçant des investissements majeurs dans la décarbonation.
Il y a 2 ans et 325 jours

Hexagon révolutionne la capture de la réalité avec son scanner laser de nouvelle génération, le Leica BLK360 ultra-rapide

Fort du succès de la série Leica BLK, récompensée pour ses fonctionnalités innovantes, Hexagon propose le BLK360, qui permet de créer un jumeau numérique photoréaliste et ultra précis, pour un rendu de très haute définition en 20 secondes seulement. À l’instar du modèle précédent, le BLK360 est un véritable argument en faveur de l’introduction de la capture de la réalité dans de nouveaux secteurs et marchés, pour faire bénéficier les utilisateurs de sa vitesse, sa portabilité et sa facilité d’utilisation.Les projets d’aujourd’hui exigent la collecte rapide, précise et immédiate des données. Quel que soit le champ d’application, le nouveau BLK360 est le capteur idéal lorsqu’il s’agit de fournir un scan actualisé avec vitesse et précision, notamment pour la construction digitale et le suivi du cycle de vie du bâtiment. Il permet aux utilisateurs de parcourir rapidement et sans interruption un environnement, de consulter et partager les données au cours du processus de capture et d’accéder en temps réel à des jumeaux numériques à jour.« Nous continuons d’apporter vitesse et agilité à la capture de la réalité afin d’accélérer la transformation durable du monde avec notre stratégie de Smart Digital Realities (Réalités Numériques Intelligentes), qui libère le plein potentiel de ces secteurs. La création d’un jumeau numérique parfait, actualisé et alimenté en temps réel par des données infinies issues des univers physique et numérique, vous donne un accès total à des analyses précieuses. En plus de gagner du temps, vous éliminez également l’erreur humaine pour améliorer la sécurité et réduire le gaspillage », affirme Ola Rollén, PDG d’Hexagon.« Si la capture de la réalité parvient à satisfaire, voire à dépasser, les besoins de l’industrie moderne tout en améliorant la durabilité, alors tout le monde y gagne », continue M. Rollén. « Le nouveau BLK360 est un outil indispensable pour démocratiser la capture de la réalité dans différents domaines, tels que l’urbanisme, l’architecture, la construction et l’environnement, mais aussi les médias et le divertissement grâce à la création d’effets visuels époustouflants. Les possibilités sont infinies. »Le BLK360 vient étoffer la gamme des systèmes de capteurs et logiciels d’Hexagon, qui forme le socle de sa stratégie Smart Digital Realities grâce à la rencontre en temps réel des mondes physique et numérique. L’alliance des technologies de scanner et d’imagerie intégrées au BLK360 promet une capture de la réalité à la fois extrêmement rapide et précise, pour des flux de travail accélérés à chaque étape. En fonction de la portée et de l’ampleur du projet, le BLK360 peut donner des jours, voire des semaines d’avance aux utilisateurs. Un gain de temps précieux rendu possible grâce au scan rapide, aux données pré-assemblées et au transfert à grande vitesse vers des flux de logiciels de choix. En outre, il est possible d’importer les données BLK360 automatiquement vers HxDR, la plateforme d’Hexagon basée sur le cloud, où les utilisateurs peuvent élaborer leur propre stratégie Smart Digital Realities.Le nouveau BLK360 a été dévoilé hier à l’occasion de l’évènement hybride HxGN Live Global 2022, qui s’est déroulé à Las Vegas, aux États-Unis, lors de l’intervention de Thomas Harring, président de la division Geosystems d’Hexagon. Dès aujourd’hui, le modèle BLK360 est disponible en démonstration et à l’achat sur BLK360.com.
Il y a 2 ans et 325 jours

FIRESTONE BUILDING PRODUCTS dévoile sa nouvelle identité de marque en tant que membre de HOLCIM

• Firestone, fournisseur majeur de systèmes de toiture, de façade et de revêtement à la pointe de l’industrie, prend le nom de Elevate™  • Elevate™ symbolise l’engagement continu de Holcim de créer des solutions de construction avancées de qualité supérieure et innovantes  • Firestone Building Products devient la division Holcim’s Building Envelope, un moteur de […]
Il y a 2 ans et 326 jours

Les usines de Safran voient grand

Industrie -
Il y a 2 ans et 326 jours

La Cour des comptes s'alarme d'une "impasse financière" de l'apprentissage

"L'alternance connaît une impasse financière", souligne la Cour dans un rapport dédié et un référé aux ministres de l'Economie et du Travail sur la "situation financière préoccupante" de France compétences, l'organisme qui gère les dispositifs d'alternance et de formation professionnelle.Prévu à 3,2 milliards en 2021 - malgré une subvention exceptionnelle de 2,75 mds - le déficit de France compétences, qui finance notamment les centres de formation d'apprentis (CFA) à partir de la contribution des entreprises, pourrait grimper à 5,9 milliards cette année, ce qui nécessitera un nouveau coup de pouce financier.En cause, la réforme du financement conjuguée à l'explosion des entrées de jeunes en apprentissage qui a quasiment doublé en deux ans pour atteindre le niveau record de 730.000 en 2021 et permis une hausse du taux d'emploi des jeunes."Le développement des effectifs d'apprentis, objectif affiché de la réforme, n'a pas été anticipé, pas plus que la croissance du coût unitaire par apprenti", déplore la Cour.Depuis 2020, le financement des CFA repose, non plus sur des subventions régionales complétant les versements des entreprises, mais sur un financement au contrat (5.000 euros pour un CAP maçon par exemple) dans une logique de guichet ouvert.Ce changement a fait augmenter le coût moyen par apprenti "d'au moins 17%", selon la Cour, qui recommande une diminution des niveaux de prise en charge, à l'ordre du jour du prochain conseil d'administration de France compétences le 30 juin.Le secondaire à la traîneVantée par Emmanuel Macron -qui se fixe l'objectif d'un million d'apprentis pour le second quinquennat- cette "croissance inédite" du nombre d'apprentis s'explique en partie par la réforme de 2018, qui a libéralisé l'apprentissage en termes de conditions d'entrée et d'offre de formation.Mais elle est aussi due aux aides décidées pendant la crise sanitaire et versées depuis la rentrée 2020 par l'Etat. Cette prime - 5.000 euros pour un mineur, 8.000 pour un majeur - rend le coût de la première année quasi nul pour l'employeur.Selon la Cour, le coût total des dépenses d'apprentissage a doublé en 2021 à 11,3 milliards d'euros, dont 5,3 mds de financement des CFA et 4 mds d'aides exceptionnelles.L'exécutif compte prolonger ces aides exceptionnelles jusque la fin de l'année."Il est particulièrement important que la stratégie nationale de l'alternance veille à l'efficience de la dépense publique en priorisant les situations où l'apprentissage apporte une réelle plus-value", avertit la Cour.La hausse des effectifs a été surtout portée par les apprentis du supérieur qui sont devenus majoritaires depuis 2020. Or, à partir de la licence, "la plus-value sur l'insertion professionnelle est faible", selon la Cour même si cela "contribue à démocratiser, professionnaliser et financer l'enseignement supérieur".Autre bémol, la multiplication des formations s'est faite davantage dans des secteurs tertiaires que dans les secteurs en tension comme l'industrie ou le BTP.Si le nombre d'apprentis dans le secondaire augmente peu, "c'est en raison du profil de ces élèves de plus en plus jeunes à la sortie de la classe de troisième, peu mobiles, probablement hésitants à entrer dans une formation plus exigeante", estime la Cour pour qui l'apprentissage "reste mal connu et moins considéré" par les professeurs de collège.Elle appelle à "sécuriser les parcours en favorisant les passerelles entre voie scolaire et apprentissage" et à renforcer l'accompagnement des jeunes pour limiter le taux de rupture des contrats.
Il y a 2 ans et 326 jours

Avec sa peinture Evalux, Brico-Dépôt lance sa stratégie de marque propre à 100%

STRATÉGIE. Brico Dépôt, enseigne du groupe britannique de bricolage Kingfisher, lance sa première marque propre à 100% : Evalux. Il s'agit d'une nouvelle gamme de peinture qui sera distribuée exclusivement dans ses magasins.
Il y a 2 ans et 326 jours

Intervention sur les élévations de l’Eglise de Villemaur-sur-Vanne

Après des travaux d’assainissement, le chantier de restauration des façades Est et Sud de l’église Saint-Jean de Villemaur (Aube), qui bénéficie du soutien du Plan de relance de l’économie mis en œuvre par l’Etat, se poursuit sur la restauration des élévations et la reprise des éléments de structure défaillants. La dégradation du pignon haut de la façade Sud et du parement intérieur (quais intégralement gelé) découvert sous l’enduit plâtre a confirmé l’urgence de l’intervention. L’état de dégradation avancée a nécessité l’intervention d’une entreprise de charpente et une commande supplémentaire de pierres. L’entreprise Léon Noël propose de remplacer la pierre de Chauvigny par de la Tervoux bancs 4 ou 5 car celle-ci est plus dure que la Tervoux de parement. Les fiches techniques de la pierre de Chauvigny et de la pierre de Tervoux B4 et B5 seront communiquées par l’entreprise. Dans un souci de pérennité, la pierre des glacis retenue sera de la pierre de Rocheville. Il a été décidé de conserver un grand nombre de parements calcaire très érodés pour limiter la quantité de pierres à changer et maintenir le plus d’éléments anciens en place. Des échantillons de vieillissements pour l’harmonisation de la façade sont réalisés. Les enduits plâtre ont été complètement purgés, ce qui a permis de constater l’altération d’une grande partie du parement de l’élévation, notamment au niveau des baies où l’intégralité des pierres est à changer. Un surcout total de 92 000 €, nécessaire pour la reprise du pan de bois, le remplacement de l’entrait et de la restauration du mur intérieur Sud. Ce surcoût fera l’objet d’un soutien financier de la DRAC pour soutenir la commune dans cette opération, à hauteur de 40%. Sur la charpente, au niveau du bras-sud du transept, la sablière filante sous le chéneau (faisant jonction entre le comble de l’église et le clocher) est entièrement pourrie ainsi que les pieds de chevrons et le poinçon, du à d’anciennes fuites non traitées en entretien. Suite à la découverte de la dégradation de l’entrait de la ferme de pignon, l’entreprise de charpente Didier Glais doit intervenir notamment pour la réalisation du pan de bois. Visuel : Drac Grand-Est  
Il y a 2 ans et 326 jours

Le premier clinker au monde 100% recyclé, fabriqué en France

Holcim annonce ce 17 juin le lancement du tout premier clinker 100% recyclé au monde, fabriqué à partir de minéraux recyclés à la cimenterie d'Altkirch (Haut-Rhin).
Il y a 2 ans et 326 jours

ClimaverR®, le premier conduit aéraulique pré-isolé rigide de la marque Isover

CLIMAVER® est adapté au marché neuf et à la rénovation des réseaux aérauliques pour les bâtiments tertiaires, ERP, écoles, hôpitaux, maisons de retraite, bâtiments techniques… comme les bâtiments résidentiels et logements collectifs.Avec le système CLIMAVER®, ISOVER répond aux problématiques des professionnels en offrant une solution :Plus agile pour une gestion simplifiée des chantiers avec un produit sur-mesure et façonnable sur place,Plus performante thermiquement et acoustiquement grâce à la laine de verre reconnue pour ses hautes qualités d’isolation,Plus économique dans son coût de revient,Plus écologique grâce à la recyclabilité à 100% de la laine de verre et son moindre coût de transport. CLIMAVER® est conçu avec a minima 65 % de matériaux recyclés.Avec CLIMAVER®, ISOVER de se positionne en spécialiste des conduits aérauliques pré-isolés et contribue à professionnaliser la filière.La laine de verre, l’atout performance n° 1 de CLIMAVER®La laine de verre est reconnue pour ses hautes propriétés isolantes. Elle assure une isolation à la fois thermique (λ0,032 W/m.K) et phonique (α) des conduits, notamment pour pallier au bourdonnement des flux d’air dans les conduits de ventilation. Les panneaux pré-isolés CLIMAVER® bénéficient d’une réaction au feu A2-s1,d0, qui répond aux exigences en matière de sécurité. Ils assurent également une étanchéité optimale de classe C, identique à celles des meilleurs conduits métalliques, limitant au maximum les fuites d’air.Réalisés en laine de verre, un matériau constitué a minima 65 % de verre recyclé, ces conduits sont également recyclables à l’infini.CLIMAVER® bénéficie d’une faible empreinte carbone, environ 10 kg/m².Tous les conduits pré-isolés CLIMAVER® ont une surface intérieure lisse, induisant de faibles pertes de charges et est résistant aux méthodes de nettoyage classiques.Atout n° 2 : polyvalence et adaptation à tout type de configurationCLIMAVER® est un panneau de laine de verre haute densité ultra résistant et léger, qui permet de construire des conduits de ventilation sur-mesure, quel que soit le type de chantier.Les outils CLIMAVER® conçus spécifiquement permettent des découpes très faciles. La finalisation du conduit se fait par agrafage de la languette de recouvrement, renforcée par une bande adhésive en aluminium. Le marquage du revêtement extérieur guide et facilite la découpe pour les pièces singulières.Réalisé sur place et adaptable au millimètre près, CLIMAVER® répond ainsi avec précision aux contraintes des chantiers – coudes, angles, déviations, piquages, embranchement, réductions…).Atout n° 3 : rapidité et fiabilité des installationsCLIMAVER® est un produit adaptable qui peut être façonnable sur place. Il n’est pas nécessaire de commander chaque pièce pour qu’elle soit installée comme c’est le cas pour les conduits traditionnels. CLIMAVER® permet de façonner directement sur place chaque pièce du conduit pour un rendu parfait et sur-mesure. Un tronçon droit se réalise en moins de 10 minutes chrono !Atout n° 4 : facilité de transport et de manipulationUltra légers, les conduits pré-isolés CLIMAVER® sont au moins 2 fois plus légers que les conduits métalliques. Ils offrent une rigidité parfaite et à toute épreuve, tout en assurant une manipulation aisée grâce à leur moindre densité, un atout important qui réduit la pénibilité du travail des poseurs.Beaucoup moins volumineux que des conduits métalliques, les panneaux CLIMAVER® sont compacts, plus faciles à transporter, nécessitant donc moins de camions de livraison. Conditionnés à plat, ils génèrent un gain de place considérable sur les chantiers impliquant une plus grande facilité de stockage.Atout n° 5 : une solution économiqueCLIMAVER® est une solution économique qui permet de réduire les coûts en termes de fournitures et de pose grâce à la rapidité d’exécution des travaux.Coût fourni posé : 60 à 85 €/m².Accompagner les professionnels et développer de nouvelles compétences grâce aux formations CLIMAVER®ISOVER a développé un nouveau module de formation dédié et un système d’accompagnement pour l’apprentissage et la conception des conduits pré-isolés CLIMAVER®.Cette formation est accessible sans prérequis pour les artisans afin de devenir installateurs spécialisés de conduits CLIMAVER®.La formation ISOVER peut être réalisée dans les centres de formation ISOVER ou sur site. ISOVER a pour ambition de former les poseurs à ce nouveau métier en développant la pose de conduits pré-isolés.
Il y a 2 ans et 326 jours

Enerdigit propose un service pour le bois

La société Enerdigit propose aux entreprises de la filière industrielle du bois de participer à l’équilibre du réseau électrique lors des pics de consommation à l’aide de l’effacement électrique. Avec un contexte de hausse des prix de l’électricité, les effacements peuvent permettre de couvrir entre 5 et 10% de la facture annuelle d’un industriel. Avec pour objectif  d’atteindre la neutralité carbone en 2050 elle ne pourra pas être atteinte sans le développement des énergies renouvelables.  Pour aider à cela un appel d’offre a été mis en place en 2021 et connait une augmentation cette année en passant de 55,8k€/MW en 2021 à 59,62k€/MW en 2022.