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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 3 ans et 89 jours

Nouvelles plaques Onduline Easystyle : une couverture imitation tuile facile à poser, durable et sûre

Pour offrir à ces structures annexes une couverture esthétique, durable et facile à poser, Onduline Easystyle, expert en toitures et sous-toitures légères, lance la nouvelle plaque bitumée au profil moderne imitation tuile : Onduline Easystyle. Au plus près des attentes des bricoleurs, les nouvelles plaques Onduline Easystyle - composées à 50 % de matière recyclée - s'intègrent à la perfection aux différents aménagements grâce à leur bel aspect imitation tuile. Légère, souple, facile à manipuler et à installer, cette plaque bitumée garantie 10 ans offre une couverture durable et respectueuse de l'environnement. Un rendu esthétique De couleur rouge ombré, les nouvelles plaques de bitume ondulées Onduline Easystyle apportent une couverture contemporaine avec un effet relief qui imite les vraies tuiles. Ce rendu est très esthétique pour les couvertures de bâtiments auxiliaires extérieurs de petite à moyenne taille (abris de jardin, pergolas, carports, cabanes pour enfants, niches pour animaux…). À base de bitume renforcé, les nouvelles plaques Onduline Easystyle sont étanches et très résistantes aux chocs et aux intempéries. Leur épaisseur de 2,6 mm leur confère une bonne rigidité et une grande solidité, ce qui permet au fabricant de les garantir pendant 10 ans. Les fuites et autres infiltrations sont évitées et les constructions sont ainsi protégées pour longtemps. Une installation rapide et accessible à tousLégères et souples, les nouvelles plaques Onduline Easystyle ne pèsent que 2,8 kg/m2 ce qui les rend très faciles à manipuler lors de l’installation et évite d’avoir recours à un équipement de levage pour poser les plaques. Simples d’installation, elles peuvent être montées sur un support plein ou discontinu avec des chevrons espacés au maximum 36,6 cm sur une pente de 15 % minimum.Côté fixation, c’est à l’installateur de choisir en fonction de la qualité du support. Onduline propose des vis universelles de 60 mm munies de leur collerette d’étanchéité. Pour assurer une finition soignée de la toiture, le fabricant a également développé des rives et des faîtières associées. Ces dernières, proposées dans le même matériau et les mêmes coloris que les plaques, permettent un rendu uniforme et harmonieux.Un matériau fiable et respectueux de l’environnementDes pigments naturels, issus du service de recherche et développement d’Onduline, sont utilisés pour la coloration de la plaque Onduline Easystyle. Composés de fibres recyclées, les matériaux de cette plaque n’émettent aucune substance dangereuse dans l’atmosphère pendant l’installation ou tout au long de son cycle de vie.
Il y a 3 ans et 89 jours

Girard Hervouet (Soprema) construit un nouveau site dédié à la charpente métallique

INVESTISSEMENT. Girard Hervouet, filiale du groupe Soprema spécialisée dans la fabrication de métallerie, annonce la construction d'un centre de production robotisé dédié à la charpente métallique à Clisson (44).
Il y a 3 ans et 90 jours

Crues des Alpes-Maritimes: la parole aux habitants

"Quand on donne la parole aux citoyens, il ne faut pas cracher dans la soupe": Eliane Guigo, 71 ans, retraitée à Venanson, a pris place dans la petite salle de cinéma Jean-Gabin de Saint-Martin-Vésubie. Autour d'elle, beaucoup de retraités, mais aussi des jeunes actifs, comme ces deux agricultrices d'une trentaine d'années, des artisans, des commerçants ou un architecte.Depuis début janvier, le micro a été tendu aux résidents des trois vallées, où les crues historiques d'octobre 2020 ont fait 10 morts et huit disparus. Jeudi et vendredi, c'était le tour des habitants de la Vésubie, dont les propositions seront ensuite soumises aux maires, sous l'égide de la Direction interministérielle à la transformation publique.Sur les 5.000 habitants de la vallée, où les stigmates de la tempête sont encore partout visibles, 80 s'étaient portés candidats à cette consultation. Cinquante ont finalement été tirés au sort, défrayés 50 euros par jour, a précisé à l'AFP Domitille Arrivet, la modératrice, directrice conseil chez État d'Esprit, entreprise spécialisée dans les missions de concertation publique.Pour Mme Guigo, la question "fondamentale" dans la Vésubie reste de se trouver un toit, avec toutes ces habitations détruites ou endommagées. Résultat: "La demande est en hausse de 35% sur les deux dernières années" pour des logements sociaux, souligne-t-elle, très au fait du dossier. Et de nombreuses familles consacrent jusqu'à "50% de leurs revenus" pour se loger, alors que certains "ont déjà un niveau de vie très bas".Animatrice du débat, Mme Arrivet n'a pu que constater à quel point "la vue du désastre reste encore prégnante chez les habitants", avec cette obsession d'une "réhabilitation de la beauté de leur vallée". "C'est assez poignant quand ils parlent du bruit qui résonne encore dans leur tête"."Pas une commission postiche"Kamil Monge, de Lantosque, souligne lui les problèmes de mobilité, ces personnes "qui ont toujours des difficultés pour se rendre à leur travail, à Carros ou Nice, avec des voies de communication encore en mauvais état".Mais pour Sarah de Caqueray, agricultrice de 30 ans, "il faut surtout aider les gens qui sont sur le territoire à y rester". Logement, emploi, "des sujets sensibles et longs à débrouiller" selon cette productrice de fruits, habitante de Saint-Martin-Vésubie.Au fil des débats sont aussi évoqués la remise en état des canaux d'irrigation, la nécessité d'un tourisme "plus harmonieux", ou encore le manque de crèches et "les opportunités" de la fibre optique.Parallèlement à ces débats publics, une plateforme a été ouverte sur Internet, afin de recueillir les doléances des habitants. Ce sont plus de 120 projets qui ont émergé, de la création d'une Maison de pays pour les produits locaux à l'ouverture d'un café associatif.Sur les 572 millions d'euros consacrés à la reconstruction, "l'Etat a réservé 50 millions d'euros pour ces projets, potentiel porté à 100 millions grâce aux collectivités et à l'Union européenne", explique Xavier Pelletier, préfet délégué à la reconstruction, assurant que "les petits projets ne seront pas oubliés".Le 14 février, l'ensemble des participants aux concertations dans les trois vallées se réuniront au Musée du sport de Nice, pour dégager les grandes lignes d'une reconstruction qu'ils veulent tous "durable", puis ces demandes seront présentées aux élus, le 28 février.Mais comment s'assurer que les recommandations seront bien prises en compte ?"Le préfet Pelletier nous a garanti, je le cite, que +ce ne serait pas une commission postiche+", veut croire M. Monge. "Nous l'espérons, car quand on voit ce qui s'est passé avec la commission sur le climat ou les doléances des gilets jaunes, on a parfois l'impression que c'est de bon ton d'interroger les citoyens mais que ça n'aboutit pas à grand chose..."
Il y a 3 ans et 90 jours

Les propositions de la Filière Béton pour une construction décarbonée basée sur une chaîne de valeur locale

Pour aller plus loin, des propositions en termes de dynamisation de l’activité dans les territoires seront développées dans le cadre des élections législatives. La Filière Béton est favorable à la RE2020 et est engagée dans une stratégie ambitieuse de réduction de ses émissions, en phase avec la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC). La décarbonation du secteur est un process continu puisque les émissions de carbone du ciment ont baissé de 39% entre 1990 et 2018 et la trajectoire fixée prévoit une baisse supplémentaire de 24% d’ici 2030. Des investissements conséquents sont en cours et l’ensemble de la profession travaille sur les innovations de demain, qui permettront d’aller plus loin et d’atteindre -80% en 2050. Il est important de souligner que les efforts consentis aujourd’hui ou demain sont conditionnés à un certain nombre de paramètres pour que l’industrie puisse rester compétitive.La Filière souhaite ainsi que soit reconnue sa trajectoire de décarbonation, de sorte que les matériaux de construction qu’elle propose ne soient pas discriminés. Les propositions formulées par la Filière Béton, dans le cadre de l’élection présidentielle, s’articulent autour de 5 axes : le logement, l’urbanisme, l’économie circulaire, les réseaux et la gestion de l’eau.Les premiers fruits de cette réflexion menée par la Filière Béton, dont ces propositions sont issues, ont été transmis récemment aux candidats et à leurs équipes dans le cadre d’un processus collaboratif.
Il y a 3 ans et 90 jours

MILLIKEN & COMPANY ANNONCE UNE NEUTRALITÉ CARBONE POUR L’ENSEMBLE DE SES GAMMES DE REVÊTEMENT DE SOLS

La division revêtements de sol lance son programme de neutralité carbone M/PACT dans le cadre de sa stratégie globale environnementale. Le fabricant mondial Milliken & Company franchit une nouvelle étape en matière de responsabilité environnementale. L’ensemble des dalles textiles, des dalles vinyles « LVT » et des solutions d’entrée produites par Milliken, sont désormais neutres […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Herige au plus haut en 2021

RÉSULTATS. Herige, qui s'illustre dans le négoce, le béton et la menuiserie, à travers VM, Edycem et Atlantem, annonce des résultats en hausse sur ces trois métiers sur l'année 2021.
Il y a 3 ans et 90 jours

"Folie" ou projet "d'intérêt général" ? Dans la forêt landaise, un parc solaire XXL à l'étude

A Saucats, commune de 3.200 habitants à 20 km au sud de Bordeaux, les opérateurs Engie, Neoen et RTE veulent établir d'ici quatre ans une gigantesque centrale solaire.Cette centrale générerait chaque année l'équivalent "d'un cinquième à un quart" de la production électrique d'un réacteur nucléaire. Mais ce projet d'énergie renouvelable, enjeu de la présidentielle d'avril avec l'actuelle flambée des prix de l'énergie, se heurte pourtant à une forte opposition locale de tous bords.Baptisé "Horizeo", le projet d'un milliard d'euros prévoit aussi l'installation de batteries de stockage, d'une unité de production d'hydrogène vert, d'un centre de données et d'une surface associant cultures maraichères et panneaux solaires."C'est vraiment immense", dit cet agriculteur, qui exige l'anonymat tant le projet divise localement. Au volant de son pick-up sur des routes départementales puis des pistes sableuses, il met plus de 20 mn pour contourner les clôtures de la zone d'étude du projet.Pour ses parcelles de maïs doux et de haricots cultivées juste à côté, il redoute l'apparition d'îlots de chaleur et la répétition d'inondations, que provoquerait, selon lui, un futur déboisement.Car pour bâtir Horizeo, il faudra défricher 1.000 hectares de pins maritimes actuellement exploités -l'équivalent de 1.400 terrains de football- dans cette commune boisée à 75% et où le projet est soumis à un grand débat public, encadré par l'Etat, depuis l'automne dernier."C'est une folie" guidée par "la rentabilité financière", s'insurge, également sous couvert d'anonymat, Sabine, une chargée de communication de 51 ans qui réside à 6 km."Les centrales nucléaires sont en fin de vie, il faut d'autres solutions", rétorque un habitant de 34 ans, qui soutient l'installation de la centrale solaire car "tant que la société continuera de consommer, il faudra produire de l'énergie".Pour atteindre la neutralité carbone en 2050 en France, il faudrait entre 7 et 22 fois plus de capacité de production photovoltaïque qu'aujourd'hui, rappelait en novembre la Commission nationale chargée du débat public, en se basant sur les scénarios nationaux du gestionnaire du réseau électrique RTE - qui vont d'une production électrique 100% renouvelable à un duo renouvelable-nucléaire à 50-50.C'est donc pour "l'intérêt général" que le Conseil municipal a "donné un accord de principe" à Horizeo, défend le maire socialiste Bruno Clément.Mais situé à l'endroit exact où démarra le feu de forêt le plus meurtrier de l'histoire moderne du pays, qui tua 82 personnes en août 1949, le parc solaire ne se fera que s'il ne présente "aucune aggravation des risques incendie et inondation", prévient-il.AccaparementPour son gigantisme, ses risques sur l'environnement et la biodiversité, le projet est fraîchement accueilli, des Verts menés par le maire de Bordeaux Pierre Hurmic, qui réclament "un projet alternatif", jusqu'aux partis d'extrême droite (RN et Reconquête), farouchement opposés."On doit être attentif au maintien du massif forestier", tempère Alain Rousset, président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine, première productrice d'énergie photovoltaïque, qui vise un mix énergétique 100% renouvelable d'ici 2050.Horizeo permettrait pourtant à lui seul "d'atteindre 15% des objectifs régionaux", défend Mathieu Le Grelle, son porte-parole."Une opportunité rare", car situé à quelques kilomètres d'un des seuls postes électriques capables d'injecter autant d'électricité dans le réseau, souligne-t-il, rappelant que les entreprises s'engagent à reboiser "deux arbres pour un coupé".Si Horizeo reste soutenu par les professionnels du secteur, la Chambre du Commerce et de l'Industrie, et, "avec des réserves", par la section locale de Greenpeace, il se heurte à un arc d'opposants hétéroclites - riverains, syndicats sylvicole, agricole et viticole, chasseurs et associations environnementales locales - qui émergent au fur et à mur de l'avancée du projet.Selon des opposants, le terrain serait loué entre 3.000 et 4.000 euros l'hectare chaque année durant 40 ans par les porteurs d'Horizeo - qui n'ont pas souhaité commenter ces montants- contre 3.000 à 5.000 euros l'hectare pour une vente foncière classique entre professionnels du bois.Pour Stéphanie Lafitte, sylvicultrice voisine, l'écart est tel que si "ce giga-projet est validé", "l'industrie (du renouvelable) finira par s'accaparer la forêt".D'après l'inventaire des autorités publié par la Dreal et les objectifs du Conseil régional, les espaces déjà artificialisés - sites pollués, parkings, friches - disponibles pour y établir de nouvelles plateformes photovoltaïques sont largement "insuffisants" pour couvrir les besoins.
Il y a 3 ans et 90 jours

Perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil Biturbo : les premiers outils dotés du système électronique de détection d’angle

Leur moteur haute performance sans charbon combiné à la batterie ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah), offre un rendement très élevé. Avec un couple maximal de 150 Nm et jusqu’à 2 200 tours par minute, les deux outils garantissent une progression de travail rapide dans de multiples matériaux, notamment le bois, le métal et la maçonnerie.La fonction « Electronic Angle Detection » (EAD), une première sur le marchéGrâce à la nouvelle fonction électronique de détection d’angle, couvreurs et menuisiers peuvent réaliser facilement et avec une grande précision le vissage des contre-lattages, de l’isolation thermique...Ces vissages doivent suivre un angle précis par rapport à l’inclinaison d’un toit ou d’une pente. Jusqu’ici il fallait utiliser un gabarit, mais avec cette fonction EAD intégrée les vissages inclinés avec de longues vis sont un vrai jeu d’enfant.L’utilisateur appuie sur la touche EAD à l’avant de la machine et peut choisir parmi 2 angles courants prédéfinis de 45° et 60°. Un 3ème mode, symbolisé par un Smartphone, permet de personnaliser l’angle de vissage via la connectivité Bluetooth de l’outil couplée à l’application Toolbox sur un Smartphone. Artisans et professionnels sont sûrs de ne pas se tromper dans l’angle d’inclinaison, le vissage est très précisGrâce à la nouvelle fonction électronique de détection d’angle, couvreurs et menuisiers peuvent réaliser facilement et avec une grande précision le vissage des contre-lattages, de l’isolation thermique...Ces vissages doivent suivre un angle précis par rapport à l’inclinaison d’un toit ou d’une pente. Jusqu’ici il fallait utiliser un gabarit, mais avec cette fonction EAD intégrée les vissages inclinés avec de longues vis sont un vrai jeu d’enfant.L’utilisateur appuie sur la touche EAD à l’avant de la machine et peut choisir parmi 2 angles courants prédéfinis de 45° et 60°. Un 3ème mode, symbolisé par un Smartphone, permet de personnaliser l’angle de vissage via la connectivité Bluetooth de l’outil couplée à l’application Toolbox sur un Smartphone. Artisans et professionnels sont sûrs de ne pas se tromper dans l’angle d’inclinaison, le vissage est très précis.Une protection élevée de l’utilisateurPour une utilisation plus sûre, les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO Bosch se caractérisent également par une protection élevée de l’utilisateur grâce au KickBack Control. Si l’outil se coince ou tourne brusquement sur son axe de perçage, le capteur intégré coupe le moteur en une fraction de seconde. Elle évite les risques de blessures. Si le KickBack Control n’est pas nécessaire pour certaines applications, par exemple lors du perçage avec une scie cloche, les utilisateurs peuvent activer et désactiver la fonction selon leurs travaux de vissage ou de perçage.Des outils robustes et ergonomiquesD’une grande fiabilité et d’une grande robustesse, les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO sont dotées d’un mandrin métallique et d’un mécanisme d’engrenage tout en métal, ce qui accroît la longévité des machines. Leur design compact et ergonomique leur confère une bonne prise en main. Une poignée supplémentaire garantit aux artisans de toujours avoir leur outil sous contrôle. Elle peut être verrouillée dans 36 positions pour une flexibilité maximale.Les perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil BITURBO Brushless Bosch fonctionnent de manière optimale avec les batteries ProCORE18V haute performance de 5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah. Elles sont compatibles avec les anciens outils électroportatifs et chargeurs de même catégorie de voltage.
Il y a 3 ans et 90 jours

RE2020 : les experts Rockwool décryptent la nouvelle réglementation environnementale à travers des vidéos pédagogiques

Le secteur du bâtiment qui représente 46% de la consommation énergétique nationale et 19% des émissions de gaz à effet de serre se doit ainsi de participer à l'effort de lutte contre le réchauffement climatique en réduisant ses consommations d'énergies.Une démarche déjà initiée depuis de nombreuses années par ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, à travers ses process de décarbonation notamment grâce aux évolutions progressives de ses lignes de production vers des fours électriques performants et moins émetteurs de CO2. Cette démarche est complétée par son service de recyclage des déchets de chantiers Rockcycle qui permet de réduire l'utilisation de ressources et donc l'impact environnemental de la laine de roche.De plus, la laine de roche est un isolant naturel et durable dont les performances thermiques permettent de réduire les dépenses énergétiques des bâtiments et donc les émissions de gaz à effet de serre, tout en offrant également des performances acoustiques et de protection contre l'incendie. De la pédagogie pour mieux comprendre les enjeux de la RE2020La réglementation RE 2020 s'applique aux maisons individuelles et logements collectifs depuis le 1er janvier. Elle sera appliquée pour les bureaux et bâtiments d'enseignement primaire et secondaire dès le moins de juillet. Quant aux bâtiments tertiaires (EHPAD, commerces, gymnases, restaurants…), constructions provisoires et extensions, la mise en application est programmée à partir de 2023.Dans ce contexte, afin de familiariser l'ensemble de son écosystème à la RE2020 - artisans, clients et particuliers - ROCKWOOL a imaginé une série de 7 vidéos « l'instant ROCKWOOL – tout sur la RE2020 ». Animées par ses experts Julien Molinier Expert Performance Energie ROCWOOL France et Vincent Marcolla, Chef de produit ROCKWOOL France, qui expliquent à travers des séquences concises et pédagogiques les enjeux de cette nouvelle réglementation, les différences avec la RT 2012 et le fonctionnement des indicateurs de performance énergétique et environnementale qui seront mis en œuvre. Les experts de ROCKWOOL prodiguent également des conseils pour les maisons individuelles en termes de niveaux d'isolation et apportent des premiers retours d'expériences de cas d'études, à travers des cas réalistes.Trois objectifs principaux de résultats pour la RE 2020 auxquels répondent les solutions ROCKWOOLDonner la priorité à la sobriété énergétique : les solutions en laine de roche permettent d'atteindre des hauts niveaux de performance thermique des bâtiments et donc la réduction des gaz à effet de serre générés par les consommations énergétiques de ces derniers.Diminuer l'impact carbone des énergies et de la construction des bâtiments : c'est le cas chez ROCKWOOL qui œuvre pour une meilleure performance énergétique des process et leur décarbonation notamment en faisant évoluer progressivement ses lignes de production vers des fours électriques performant et moins générateurs de CO2.Garantir le confort thermique des bâtiments en cas de forte chaleur : à ce titre ROCKWOOL propose une large palette de solutions participant à l'amélioration du confort d'été dans les bâtiments tout en innovant constamment pour valoriser la robustesse et durabilité des performances des produits dans le temps.Outre ce dispositif diffusé sur le site internet www.rockwool.fr et les réseaux sociaux de ROCKWOOL France youtube -Twitter et Linkedin – un service d'assistance téléphonique est à disposition des professionnels pour tout avis technique ou question de mise en œuvre.
Il y a 3 ans et 90 jours

Les experts ROCKWOOL décryptent la RE à travers des vidéos pédagogiques

Afin de familiariser l’ensemble de son écosystème à la RE2020 – artisans, clients et particuliers – ROCKWOOL a imaginé une série de 7 vidéos « l’instant ROCKWOOL – tout sur la RE2020 ». Animées par ses experts Julien Molinier Expert Performance Energie ROCWOOL France et Vincent Marcolla, Chef de produit ROCKWOOL France, qui expliquent à travers des séquences concises et pédagogiques les enjeux de cette nouvelle réglementation, les différences avec la RT 2012 et lefonctionnement des indicateurs de performance énergétique et environnementale qui seront mis en œuvre. Les experts de ROCKWOOL prodiguent également des conseils pour les maisons individuelles en termes de niveaux d’isolation et apportent des premiers retours d’expériences de cas d’études, à travers des cas réalistes. https://www.youtube.com/user/rockwoolfrance   Cet article Les experts ROCKWOOL décryptent la RE à travers des vidéos pédagogiques est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 90 jours

La Région Nouvelle-Aquitaine comble le financement manquant pour la LGV Sud-Ouest

L'ensemble des élus du conseil régional, à l'exception des groupes écologiste et Rassemblement national, ont voté pour cette "avance" financière afin de "sécuriser" le plan de financement avant son examen par le Conseil d'État le 15 février, qui doit ouvrir la voie à la création de l'établissement public chargé de piloter le projet.Ce projet de ligne à grande vitesse, qui doit faire gagner une heure de trajet de Paris vers Toulouse et 20 minutes vers Dax, est estimé à 14,3 milliards d'euros.Son financement, prévu à 40% par l'État, 40% par des collectivités locales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine et 20% par l'Union européenne, était jusqu'ici incomplet après le refus de plusieurs collectivités néo-aquitaines d'y contribuer.Si les collectivités d'Occitanie s'étaient rapidement mises d'accord pour réunir 2,2 milliards d'euros, celles de Nouvelle-Aquitaine ne sont pas parvenues à rassembler l'ensemble du 1,7 milliard d'euros qui leur était demandé dans le plan de financement.La communautés d'agglomération Pays basque, celle du Grand Dax ainsi que les départements de Lot-et-Garonne et de Gironde ont ainsi refusé de participer, tandis que le département des Pyrénées-Atlantiques a contribué moins que prévu.C'est "un investissement pour un siècle, la réponse à l'encombrement autoroutier de Bordeaux" s'est réjoui lundi le président socialiste de la région Alain Rousset qui voit également dans ce vieux projet, relancé l'an dernier par le gouvernement, un moyen de développer le fret ferroviaire.L'"avance" consentie par la région lui sera "remboursée" "en priorité" via des retours fiscaux ou des ponctions sur les futurs péages ferroviaires, ce qui pourrait rapporter au total entre "800 millions et 1 milliard d'euros", a ajouté M.Rousset.
Il y a 3 ans et 90 jours

Olivier Guise rejoint Ecocem pour une mission inédite

Olivier Guise devient le premier directeur exécutif stratégie, technologie et nouvelles activités d’Ecocem. [©Ecocem] Depuis de nombreuses années, Ecocem propose des solutions cimentaires à faible émission de carbone. Afin d’encadrer son développement et ses ambitions, Ecocem a créé un nouveau poste, celui de directeur exécutif stratégie, technologie et nouvelles activités. Et c’est Olivier Guise qui se voit confier cette mission. Avec, à ses côtés, l’ensemble de l’équipe de direction du groupe, Olivier Guise aura pour objectif d’accroître le développement d’Ecocem et de mettre en œuvre la stratégie du groupe, en accélérant le déploiement de sa technologie. A son arrivée, Olivier Guise déclare : « Après avoir observé la croissance d’Ecocem, c’est passionnant de rejoindre l’entreprise pour contribuer à l’élaboration et à la réalisation de sa stratégie ». Et Donal O’Riain, Pd, de poursuivre : « Nous continuons à croître et à évoluer. L’arrivée d’Oliver à bord nous apportera un soutien et un leadership précieux pour atteindre notre plein potentiel ». Le parcours d’Olivier Guise Cette nomination fait suite à d’autres recrutements, tels que ceux de Pat Cox en tant que président du conseil d’administration, de Paul Ross en qualité de directeur général d’Ecocem pour le Benelux. Et enfin, de Joris Schoon, au poste de développeur technique de la région Benelux. Diplômé de Polytechnique en 2005, Olivier Guise débute sa carrière au sein du groupe LafargeHolcim en tant que responsable des ventes. Il occupe successivement différents postes alliant innovation, technologie et management. D’abord en tant que directeur du développement et directeur de l’innovation et de la distribution de Lafarge Algérie. Puis, directeur général de l’activité granulats dans le Sud de la France. En 2015, il est nommé directeur général de l’activité ciment pour la France. Et intègre le comité exécutif de LafargeHolcim France jusqu’en 2021.
Il y a 3 ans et 91 jours

Un compromis trouvé pour le réaménagement du site de la Tour Eiffel excluant une partie du Champ-de-Mars

Le premier adjoint Emmanuel Grégoire, chargé de l'urbanisme, a accepté la demande des élus écologistes de retirer du projet la partie nord du Champ-de-Mars, correspondant selon lui à 5% de la surface du projet, et de limiter les événements prévus sur la célèbre esplanade, visitée chaque année par des millions de touristes."A partir du moment où la partie du Champ-de-Mars est retirée, le projet dans l'ensemble est satisfaisant", a commenté pour l'AFP Fatoumata Koné, présidente du groupe écologiste au Conseil de Paris.Le Conseil doit se prononcer mardi l'après-midi sur la mise en compatibilité du plan local d'urbanisme (PLU) avec ce projet, avant le début des travaux dans les prochaines semaines.La délibération devrait donc être adoptée avec un amendement des écologistes imposant un moratoire sur le permis d'aménager du Champ-de-Mars afin de réaliser "la réhabilitation de la totalité du Champ-de-Mars lors d'une seule même phase d'aménagement, postérieure aux Jeux olympiques et paralympiques" de 2024.Les Verts souhaitent aussi que la Ville "s'engage à respecter un total de 250 jours de relâche totale où aucun événement n'aura lieu sur l'ensemble du site". Un comité de gestion va être créé en ce sens, a indiqué l'exécutif à l'AFP.Le projet "OnE" choisi en 2019, pour lequel la mairie table désormais sur un budget de 107 millions d'euros, vise notamment à la réduction de la place de la voiture de part et d'autre du pont d'Iéna, appelé à devenir "le premier pont végétalisé de Paris", ainsi que sur la création d'un "amphithéâtre végétalisé" place du Trocadéro, où la circulation sera réorganisée en demi-lune.Les travaux permettront la création d'1,6 hectare d'espaces verts de pleine terre, souligne la majorité, qui promet aussi une légère diminution de l'emprise au sol des bâtiments de la Société d'exploitation de la Tour Eiffel (Sete).Ce projet suscite l'opposition des trois maires d'arrondissement concernés, tous dans l'opposition LR. Celui du XVIe Francis Szpiner a demandé au ministère de la Culture de classer la place du Trocadéro comme monument historique afin d'empêcher sa transformation.Les opposants au projet se sont fortement mobilisés lors de la participation du public par voie électronique (PPVE) menée pendant l'automne.
Il y a 3 ans et 91 jours

Brico Dépôt et Castorama accélèrent la formation de leurs managers au digital

TRANSFORMATION DIGITALE. Kingfisher, qui dispose en France des enseignes de bricolage Castorama et Brico Dépôt, a décidé d'accélérer la formation de ses managers à la culture numérique.
Il y a 3 ans et 91 jours

Somfy accompagne les professionnels dans la mise en place de la RE2020

INITIATIVE. Pour accompagner les acteurs de la construction dans l'application de la nouvelle Réglementation Environnementale 2020, le spécialiste de l'automatisation des ouvertures et des fermetures de la maison et du bâtiment, Somfy, a décidé de créer un démonstrateur en ligne visant à les aider pour bien choisir les protections solaires.
Il y a 3 ans et 91 jours

A l'approche de l'élection présidentielle : l'énergie en cinq chiffres

19% de renouvelableEn 2020, les énergies renouvelables représentaient 19,1% de la consommation finale brute d'énergie en France, selon des données collectées par Eurostat. Si cette part augmente rapidement - 14,8% en 2015 -, la France a échoué à atteindre l'objectif de 23% d'énergie renouvelable en 2020 que lui avait fixé l'Union européenne.Avec cette cible, la France aurait dû se classer 10e parmi les 27. Elle n'est dans les faits que 17e, notamment dépassée par l'Espagne (21,2%), l'Italie (20,4%) ou l'Allemagne (19,3%) dont les objectifs étaient pourtant moins élevés.Les pays nordiques sont les champions européens des énergies renouvelables: la Suède (60,1%) est en tête dans l'Union européenne, l'Islande (83,7%) et la Norvège (77,4%) hors Union.18 centrales nucléairesDepuis la mise à l'arrêt de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin) en 2020, la France n'exploite plus que 18 centrales nucléaires, mais conserve le deuxième plus grand parc au monde, derrière les Etats-Unis.La France est même le pays le plus nucléarisé pour le poids de l'atome dans sa production d'électricité (environ 70%).Cette part est toutefois amenée à diminuer, le pays ayant décidé de l'abaisser à 50% à l'horizon 2035, dans un souci de diversification des sources de production d'électricité et pour permettre l'essor des énergies renouvelables.Un seul réacteur nucléaire est actuellement en chantier dans le pays, celui de l'EPR de Flamanville (Manche), qui a connu de nombreux retards et surcoûts. Son démarrage vient d'être repoussé une nouvelle fois, au deuxième trimestre 2023.Près de 9.000 éoliennesLa France compte 1.550 parcs pour 8.905 éoliennes, selon un rapport de France énergie éolienne (FEE), l'association qui regroupe les professionnels de la filière. Ces chiffres ont presque doublé depuis 2014. Le pays ne comptait alors que 4.800 éoliennes répartis dans 730 parcs. En moyenne, sur la période, près de 600 nouvelles éoliennes ont été mises en service chaque année.Selon le rapport de FEE, les Hauts-de-France et le Grand Est sont en pointe et "représentent à elles seules 50% de la puissance raccordée en France".Il ne s'agit pour l'heure que d'éoliennes terrestres. En mer, sept projets ont été attribués, certains depuis 2012, mais, d'obstacles réglementaires en recours juridiques, aucun n'est encore en service. Le premier à entrer en fonctionnement sera celui de Saint-Nazaire, fin 2022.Et même pour l'éolien terrestre, la filière, qui fait face depuis quelques mois à un regain d'opposition, estime que l'objectif de 34 gigawatts (GW) fixé pour 2028 sera "difficile à atteindre" au rythme actuel. Les projections de FEE plafonnent à 26,8 GW à cette échéance.68.000 emplois dans le renouvelableLes énergies renouvelables faisaient travailler en 2018 un peu plus de 68.000 équivalents temps plein (ETP), selon les données du ministère de la Transition écologique.Parmi ces emplois, les trois quarts se concentrent dans quatre secteurs: le bois-énergie (23%), les pompes à chaleur (19,1%), l'hydroélectricité (17,5%) et l'éolien terrestre (15,5%). En revanche, le photovoltaïque, qui représentait en 2010 plus du tiers des emplois du renouvelable avec environ 30.000 ETP, n'en emploie plus que 6.000 (8,7%).Les effectifs du renouvelable sont globalement en légère hausse depuis 2017, soutenus selon le ministère "par le niveau élevé des installations d'éoliennes et des ventes de pompes à chaleur", mais ils restent très inférieurs au pic de 2010, quand ils flirtaient avec les 80.000 ETP.Et 220.000 dans le nucléaireS'il n'existe pas de statistique officielle, le nucléaire représenterait 220.000 emplois en France, soit 6,7% de l'emploi industriel français, selon le Gifen, le syndicat professionnel de la filière, qui ne précise toutefois pas s'il s'agit d'équivalents temps plein.
Il y a 3 ans et 91 jours

Marine Charles devient la nouvelle Directrice Générale de Saint-Gobain Weber France

Elle a pris ses fonctions le 1er février, succédant à Charlotte Famy, appelée à de nouvelles responsabilités au sein du Groupe Saint-Gobain. Marine Charles aura en charge la poursuite et le développement de la stratégie Weber en termes d’innovation, de performance et de développement durable.Marine Charles, 40 ans, accède à son nouveau poste chez Weber, forte d’une solide connaissance du Groupe Saint-Gobain qu’elle a intégré dès 2013 en tant que Directrice Stratégie et M&A du Pôle Distribution Bâtiment. Elle avait rejoint en 2016 l’enseigne Lapeyre, détenue par Saint-Gobain, d’abord comme Directrice Générale adjointe, puis Directrice Générale. Diplômée de Sciences Po Paris et HEC, Marine Charles, a également occupé diverses fonctions de Direction pour le Groupe Casino entre 2008 et 2013, au sein des équipes Stratégie et Finance. Soulignons qu’au rang de ses multiples compétences, l’ouverture et l’adaptabilité s’avèrent de mise puisqu’elle a vécu 13 ans à l’étranger (Cameroun, Royaume-Uni…).Pour Marine Charles, Directrice Générale de Saint-Gobain Weber France : « Ravie de rejoindre cette belle entreprise » et prenant toute la mesure de sa nomination, Marine Charles met déjà en exergue sa volonté de « poursuivre et déployer une stratégie de croissance durable, basée sur l’innovation et la satisfaction clients. Ce dernier axe m’est particulièrement cher, ayant été plutôt du côté des clients (B2B et B2C) ces dernières années. Je suis également très attachée à une culture d’entreprise collaborative et respectueuse des individus, tout en demeurant exigeante et toujours en recherche d’excellence. Il me semble que cela correspond bien à la culture Weber. »Notons que ses équipes accueillent Vincent Hannecart, Directeur Marketing France, qui prend la suite de Meriem Dussart, elle-même nommée Directrice Régionale Nord Centre Ile-de France de Saint-Gobain Weber France.
Il y a 3 ans et 91 jours

Nouveau Webinar by Tramico : « Tramichape – Réussir une isolation acoustique performante sous chape »

Participez au webinar pour connaître les bonnes pratiques de mise en œuvre du TRAMICHAPE et les préconisations des experts TRAMICO pour garantir une isolation acoustique performante sous chape. Ce webinar sera co-animé par Antoine Fréville, Responsable Projet Développement et Thomas Olivier, Responsable Commercial Ile de France. Rappel des infos du Webinar :Thème : « TRAMICHAPE – Réussir une isolation acoustique performante sous chape » Réglementation acoustique, isolation aux bruits d'impact et règles de mise en œuvre : les solutions des experts TRAMICO.Dates & horaires du webinar : (durée du webinar 30min)Vendredi 11 février 2022 – 13h00Mardi 15 février 2022 – 17h30N’attendez plus et inscrivez-vous à la date et l’heure qui vous conviennent le mieux à cette adresse.Tramico, fabricant français, propose un vaste choix de solutions techniques pour le bâtiment dans les domaines de l’isolation acoustique et de l’étanchéité (à l’air et à l’eau).Au fil des années, TRAMICHAPE est devenu une marque forte sur le secteur de la chape et a su s’imposer auprès des professionnels qui apprécient notamment leur haut niveau de technicité et de qualité.
Il y a 3 ans et 92 jours

Patrice Ruaz est le nouveau Directeur Opérationnel en France pour GREE

GREE, le plus grand fabricant de climatiseurs au monde, a annoncé l'arrivée d'un nouveau Directeur Opérationnel pour la France. Patrice Ruaz a rejoint l'entreprise en janvier 2022, avec une carrière déjà riche dans le secteur.
Il y a 3 ans et 92 jours

Soprema va construire un centre d'expertise dédié à la R&D sur les isolants

LABORATOIRE. Spécialiste de l'isolation et de l'étanchéité, Soprema, annonce la réalisation d'un centre d'expertise destiné à montrer son savoir-faire en matière d'isolants biosourcés, en polyuréthane et en polystyrène extrudé.
Il y a 3 ans et 92 jours

Saint-Gobain va de nouveau se séparer d'une activité de transformation de verre

CESSION. Saint-Gobain prévoit de vendre son activité régionale de transformation de verre Baltiklaas OÜ en Estonie. Depuis 2018, le groupe s'est séparé de plusieurs activités de transformation de verre en Europe.
Il y a 3 ans et 92 jours

Plus de 90% des responsables énergie pensent que leur entreprise réussira à réduire ses émissions CO2 de 55% en moins de 10 ans

D’après l’étude, ils ne sont que 7% à déclarer que leur entreprise n’a pas encore engagé d’actions concrètes pour baisser ses émissions et atteindre les ambitieux objectifs de neutralité carbone fixés par l’Union Européenne.La transformation écologique et énergétique des entreprises bat son plein, poussée par le double facteur des objectifs climatiques européens et des attentes des citoyens. C’est ce que révèle une nouvelle étude effectuée par l’institut OnePoll pour Statkraft, le plus grand producteur d’énergie renouvelable d’Europe. Lors de cette vaste enquête menée dans huit pays européens dont la France, 16,000 particuliers et 620 industriels responsables des achats d’énergie ont été interrogés sur leurs perspectives en matière de transition énergétique.Le constat est sans appel : 80% des Français déclarent être préoccupés par le changement climatique. Ils ne sont en outre que 10% à estimer que la lutte pour le climat ne relève pas de leur responsabilité personnelle et près de 69% à souhaiter davantage d’initiatives gouvernementales en faveur du climat. Cette tendance lourde dans les attentes des consommateurs constitue un puissant moteur de la transformation des entreprises.Enfin l’étude révèle que les Français, à l’instar des autres peuples européens, tiennent les producteurs de combustibles fossiles comme premiers responsables du changement climatique, devant l’utilisation de plastiques à usage unique et le transport.L’énergie renouvelable reste quant-à-elle la source d’électricité préférée des Français : Ils ne sont que 4% à avoir une opinion négative de l’énergie solaire, devant l’éolien terrestre avec à peine 13% d’opinion défavorable, contre 29% d’avis négatif pour nucléaire. De plus, 61% des sondés considèrent comme important que l'électricité qu'ils utilisent à la maison provienne d'une source renouvelable.Des bouleversements industriels à venirParmi les industriels européens, les Français sont aussi ceux qui sont les plus fermement convaincus que leur secteur d’activité va connaitre une profonde transformation. En effet, 70% des professionnels français interrogés estiment avec conviction que leur secteur industriel connaitra de grands bouleversements au cours des trois décennies à venir, soit près de 20 points de plus que leurs homologues Européens.L’industrie automobile en sera un exemple emblématique. L’enquête confirme en effet l’engouement populaire pour les véhicules hydrides ou tout électrique. Plus de 20% des Français compte se séparer de leur véhicule thermique au profit de l’électrique au cours des 24 prochains mois. Cette tendance s’accentuera fortement avec la démocratisation progressive de la mobilité électrique, puisque 58% des personnes qui n’envisagent pas d’adopter de véhicule électrique à ce jour, pointent leurs prix excessifs comme frein numéro un.Nos industriels français ont aussi une vision précise de l’action gouvernementale qu’ils souhaitent voir venir en soutien à leur transition énergétique.Parmi les diverses initiatives que le gouvernement devrait selon eux prendre, les professionnels français citent les subventions pour les énergies renouvelables comme étant le facteur le plus important, suivis des subventions pour les industries électro-intensives, les subventions pour l'énergie en général, et enfin une mise en place rapide et efficace des plans climatiques gouvernementaux.
Il y a 3 ans et 92 jours

Le britannique Octopus rachète le français Plüm énergie

Le fournisseur britannique d'énergie renouvelable Octopus Energy va racheter le français Plüm énergie, et vise un million de clients en France d'ici 2025.
Il y a 3 ans et 92 jours

La CNIM cède sa filiale de dépollution Lab à l'allemand Martin GmbH

Le groupe industriel CNIM, placé en procédure de sauvegarde judiciaire, va céder sa filiale Lab au groupe allemand Martin GmbH, son partenaire historique, pour un montant non rendu public.
Il y a 3 ans et 92 jours

Xella dévoile son nouveau site internet

Historiquement, Xella fabriquait et commercialisait des murs et des cloisons en béton cellulaire via la marque Ytong, et les outils de communication arboraient essentiellement les couleurs de la marque. Au fil des décennies, l’offre produits Xella s’est diversifiée et étoffée pour couvrir l’ensemble des besoins du marché en matière de solutions constructives, saines et durables. De nombreuses marques, dont les solutions sont complémentaires, sont ainsi venues renforcer le portefeuille du groupe :Ytong : Mur gros œuvre et coupe-feu passif en béton cellulaireSiporex : Aménagement intérieur et cloison en béton cellulaireSilka : Mur silico-calcaireHebel : Dalle en béton cellulaire arméMultipor : Isolation minérale thermique et coupe-feu Au travers de ses 5 marques, Xella peut répondre à toutes les demandes que ce soient pour des projets de constructions neuves, en rénovation ou réhabilitation, en maisons individuelles, logements collectifs, bâtiments industriels et tertiaires ou établissements recevant du public. C’est dans l’objectif de valoriser l’offre du groupe dans sa globalité, les champs d’application et de mise en œuvre de chaque solution constructive, et de proposer une expérience utilisateur optimale que Xella lance son nouveau site internet www.xella.fr. Un site riche qui présente tous les avantages de construire durable et sainement Arborant la charte graphique et la couleur bleue du groupe, le nouveau site corporate www.xella.fr est une véritable vitrine du savoir-faire Xella, des services et produits proposés. Destiné aux professionnels de la construction, ce site responsive a été développé pour offrir une expérience utilisateur agréable et fonctionnelle. La navigation est particulièrement fluide et agréable, les pages sont épurées et le contenu aéré, que ce soit sur un ordinateur, un Smartphone ou une tablette. Une homepage défilante permet de visualiser, d’un seul coup d’œil et de manière intuitive, l’ensemble du portefeuille des marques Xella. Plusieurs « entrées » sont proposées pour que chaque visiteur puisse trouver la ou les solutions constructives Xella les mieux adaptées à leur projet, accompagnées de vidéos et des avantages produits :Par projets : regroupe l’offre produits selon que le projet soit une maison individuelle, des logements collectifs, des bâtiments industriels et logistiques, des établissements recevant du public, de la rénovation ou réhabilitation.Par solutions : permet de trouver le produit selon l’application souhaitée - mur porteur, coupe-feu, isolation, traitement de ponts thermiques... ou les bénéfices recherchés : résistance au feu, confort de vie...Par produits : présente les principales caractéristiques de chaque solution constructive.Par marques : met en avant les particularités de chacune des marques. D’autres rubriques sont également rapidement accessibles pour accompagner au mieux les visiteurs : Documentations : rassemble l’ensemble de la documentation technique et commerciale de chaque marque, Services : présente les services Xella mis à disposition des partenaires distributeurs et des professionnels de la construction,Entreprise : met en avant l’histoire, les valeurs, le savoir-faire de l’entreprise Xella France et du groupe.www.carriere.xella.fr : un site internet pour attirer de nouveaux talents Le lancement du site corporate s’accompage du nouveau site www.carriere.xella.fr. Cette plateforme permet de valoriser la politique sociale et environnementale engagée par le groupe, de présenter les différents métiers exercés au sein de l’entreprise, de faire connaître les avantages dont bénéficient les collaborateurs, et de diffuser les offres d’emplois. Enfin, ce site permet de repositionner Xella France au sein de Xella Group, un groupe international, le plus gros producteur mondial de béton cellulaire. Cet outil entend attirer ainsi de nombreux talents pour étoffer les équipes Xella.
Il y a 3 ans et 92 jours

Autogyre présente sa nouvelle gamme de déshumidificateurs Autodry

Afin d’optimiser la qualité de l’air et le confort intérieur dans chacune des pièces, le taux d’humidité doit idéalement se situer entre 45 et 65 %.Pour y parvenir, une bonne ventilation ainsi qu’un déshumidificateur adapté sont la combinaison parfaite. Le déshumidificateur va réguler le taux d’hygrométrie ambiant sans faire varier la température des pièces dans lequel il est installé. Le chauffage va donc fonctionner de manière optimale, améliorant le confort des occupants et évitant les déperditions d’énergie.AUTOGYRE, fabricant spécialisé dans la qualité de l’air intérieur depuis plus de 60 ans, étend son expertise au traitement de l’humidité en proposant une nouvelle gamme de déshumidificateurs AUTODRY. Composée de 5 modèles, cette gamme permet de répondre aux différents besoins, en offrant une capacité d’extraction allant de 10 à 50 litres pour des pièces de 15 à 60 m2.Une meilleure hygrométrieLes déshumidificateurs AUTODRY d’AUTOGYRE fonctionnent avec un timer réglable et un contrôle par hygrostat de 30 à 80 % HR réglable par palier de 5 %.Disposant d’un mode déshumidification et d’un mode ventilation, pour extraire l’humidité et assécher rapidement les pièces humides, ils permettent de réduire les dépenses énergétiques car l’air est chauffé plus rapidement.Pratiques et fonctionnels, ils peuvent fonctionner de manière autonome sans avoir à vider le réservoir d’eau collectée car ils sont livrés avec un tuyau qui permet l’évacuation directe des condensats.Des appareils respectueux de l’environnementLes appareils de la gamme AUTODRY, fonctionnent avec un réfrigérant écologique d’origine naturelle, le R290, ayant un faible impact environnemental.Des appareils discretsLes déshumidificateurs AUTODRY se déplacent facilement, soit avec des roulettes pour les AUTODRY 12L, 20L, 30L et 50L, soit grâce à leur poids plume pour l’AUTODRY 10L (9,5 kg).Compacts et silencieux (
Il y a 3 ans et 95 jours

Composition dynamique pour le RIS de Rouen, signé Artefact

A Rouen (Seine-Maritime), à deux pas du centre-ville, la vocation de Rouen Innovation Santé (RIS), conçu par l’agence Artefact, est d’accueillir des entreprises du secteur d’activités de la santé liées notamment aux biotechnologies et technologies et médecines du futur. La gamme Elistic Perforation de Gantois Architecture illustre cette ambition. Le projet Rouen Innovation Santé (RIS), […] L’article Composition dynamique pour le RIS de Rouen, signé Artefact est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 95 jours

Comment améliorer la productivité des chantiers en zone urbaine grâce à la digitalisation ?

61% des entreprises du secteur gèrent des chantiers en zone urbaine. À l’approche des JO 2024 et du développement des chantiers affiliés, les problèmes de congestion, de pollution (de l’air, sonore…) ne vont que croître, notamment en Ile-de-France. D’un côté, les villes vont devoir réduire leur impact environnemental tout en améliorant la logistique urbaine, et de l’autre, les acteurs du BTP vont devoir accélérer leur digitalisation afin d’optimiser leur productivité. Mais le chemin à parcourir reste encore long, et une prise de conscience doit s’opérer le plus tôt possible.BTP et logistique urbaine : un enjeu commun lié à la productivitéEn moyenne, les PME et TPE du bâtiment ont réalisé 113 chantiers en 2020, dont 61% en zone urbaine. Sans surprise, les villes continuent donc d’être au cœur de la construction. Et au cours des 10 dernières années, les acteurs les plus actifs du secteur ont affirmé avoir eu le sentiment de gagner en productivité : +40% pour les entreprises réalisant de 1 à 10 chantiers, et +68% pour celles réalisant plus de 100 chantiers.Seulement, si ces acteurs se trouvent aujourd’hui plus performants qu’il y a 10 ans, le niveau de productivité pourrait être encore amélioré. En effet, nombreuses sont les entreprises qui se fournissent en matériaux de manière extrêmement régulière : tous les 1 ou 2 jours soit en moyenne 14 fois par mois. Une régularité d’approvisionnement qui pourrait s’expliquer par le manque d’espaces de stockage en zone urbaine ou encore des problématiques organisationnelles et prévisionnelles.Pour y répondre, les acteurs du BTP disposent le plus souvent d’une flotte de véhicules dédiée avec en moyenne 4 VUL (Véhicules Utilitaires Légers) et moins d’un PL (Poids Lourd) par entreprise. Mais cette flotte interne peut s’avérer contre-productive. Les répondants déclarent en moyenne plus de 12 jours d’immobilisation par an de leurs véhicules sur les chantiers et plus de la moitié des entreprises sondées (58%) affirment que ces approvisionnements rendent inactives plusieurs personnes pendant 2h en moyenne, soit près de 4,5 mois-homme d’improductivité par entreprise chaque année, ou encore 10% du temps de travail d’une équipe de 4 personnes.Une digitalisation encore faible malgré la pandémie Aujourd’hui, le digital fait office de pivot novateur pour de nombreux secteurs. Cependant, seules 20% des entreprises interrogées ont déclaré qu’Internet et l’informatique ont amélioré leur productivité ou fait baisser les coûts de leurs chantiers pendant la pandémie. La raison ? Dans un univers encore très traditionnel, l’échange physique reste pour de nombreux acteurs une habitude bien ancrée. Seule 1 entreprise sur 6 effectue des achats de matériel (gros œuvre ou outillage) en ligne et près de 30% des entreprises du BTP se rendent directement chez le négoce pour effectuer leurs commandes, quand 66% les effectuent par téléphone.La digitalisation du secteur est donc faible. En effet, 8 entreprises sur 10 n’utilisent pas de logiciels ou d’applications pour faciliter leur productivité sur les chantiers. La consultation des sites est effectuée par une minorité et seulement pour les devis ou pour regarder les stocks, mais beaucoup plus rarement pour l’achat de matériel.La livraison : une solution plébiscitée par les professionnels La livraison est l’un des points cruciaux et stratégiques de la productivité des entreprises. Pour les professionnels interrogés, le prix et les délais de livraison constituent les deux priorités dans le choix d’un distributeur de matériaux. Seulement, selon les sondés, une minorité d’entreprises du BTP (35%) se fait livrer en zone urbaine directement sur le chantier. Et les raisons évoquées devraient pourtant inspirer la majorité : le gain de temps (38%), la facilité/praticité/le confort car c’est le fournisseur qui décharge (28%) et enfin cela permet de faire venir de grandes quantités, volume, poids, charges importantes (27%). En faisant appel à des solutions de logistique externe, les acteurs du secteur peuvent désormais se concentrer pleinement sur leurs chantiers et leur productivité. Ces solutions permettent d'organiser le transport de matériaux vers leurs chantiers en 3 clics, tout en répondant aux normes environnementales actuelles, de la vignette Crit’air 2 à la livraison verte.Vers un développement de la livraison verte ?Et une prise de conscience est en train de se produire : 25% des entreprises interrogées sont déjà prêtes à payer un peu plus cher pour passer à de la livraison verte. 20% sont d’ailleurs prêtes à payer - en moyenne - 57€ supplémentaires par livraison pour passer à de la livraison propre. Au global, plus de la moitié (55%) des entreprises sont sensibles à l’argument des véhicules verts mais plus de la moitié d’entre elles évoquent également le manque de prestataires pour expliquer ce qui les empêchent de passer à de la livraison électrique. Pour Guillaume Fournier, CEO et fondateur de Supervan : “ Aujourd’hui, la notion de productivité sur les chantiers est le principal challenge des professionnels du bâtiment. Avec l’apparition des politiques d’urbanisation ou encore les JO 2024, les prochaines années vont être décisives. Il est donc nécessaire de changer leurs habitudes dès à présent et de leur ouvrir de nouveaux horizons. L’étude démontre ainsi à quel point le digital est une opportunité de taille aussi bien pour le développement des entreprises du secteur - productivité, économies,... - que pour répondre aux enjeux colossaux liés à l’environnement. “
Il y a 3 ans et 95 jours

Matignon annonce 5,6 milliards d'euros pour décarboner l'industrie

Ce budget aidera notamment le sidérurgiste ArcelorMittal, premier producteur mondial d'acier, à investir dans des équipements lui permettant d'abandonner une partie du charbon qu'il utilise pour fabriquer de l'acier - grâce à de l'hydrogène - et à acheter des fours électriques en remplacement de trois des cinq haut-fourneaux dont il dispose sur les sites de Dunkerque (Nord) et de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône)."La France sera le premier pays à consacrer une telle enveloppe pour sa décarbonation à cette échelle", dit-on à Matignon."Il ne s'agit pas de réduire nos émissions en délocalisant, cela n'aurait aucun intérêt écologique ni économique" ajoute-t-on au ministère de la Transition écologique. "La démarche que nous mettons en oeuvre, c'est d'avoir un accompagnement des industriels pour contrer la prise de risque car les technologies utilisées ont peu de précédent".Concrètement, le ministère de l'Industrie a expliqué qu'un "mécanisme innovant va être mis en place pour soutenir la décarbonation industrielle", sur la base d'une coopération entre la France et l'Union Européenne.De fait, l'État achètera des tonnes de carbone non émises par des industriels grâce à leurs projets de décarbonation.Ce mécanisme "vise à acheter les tonnes de carbone abattues dans un cadre concurrentiel et au meilleur prix", a-t-on ajouté de même source.Les autorités publiques "s'engageront sur la durée du soutien (10 ou 15 ans) à couvrir l'écart de prix, pour la baisse d'émissions constatée, entre le prix du CO2 exprimé sur le marché et le prix du CO2 contractualisé dans le cadre de l'appel d'offres", a-t-on précisé.Ce mécanisme sera utilisé pour distribuer 4 des 5,6 milliards du plan France 2030 consacrés à la décarbonation, a indiqué Matignon.Sur le montant restant, 1 milliard ira pour aider les petites entreprises qui souhaitent se décarboner avec des technologies "sur étagère". Les 600 millions restant iront à la recherche.
Il y a 3 ans et 95 jours

Clestra devient un acteur de poids des salles blanches

Le groupe d’aménagement d’espaces de bureaux prend le contrôle d’un concepteur et constructeur de salles blanches pour l’industrie, ce qui va lui apporter un relais de croissance.
Il y a 3 ans et 95 jours

Holcim s'engage dans l'acquisition du Groupe PRB

Holcim a signé un accord pour l’acquisition du Groupe PRB, première entreprise indépendante de son secteur avec une prévision de chiffre d’affaires de 340 millions d’Euros pour 2022. PRB propose une large gamme de produits haute performance pour l’isolation thermique et le rénovation pour la construction : des revêtements spéciaux des façades aux solutions adhésives et des mortiers techniques aux solutions pour les sols.Avec son leadership en écoconception et en développement durable, le Groupe PRB apporte des réponses essentielles à la nouvelle réglementation environnementale française pour la construction, entrée en vigueur au 1er janvier 2022 et destinée à renforcer l’efficacité énergétique et la performance carbone des bâtiments.Les produits et les solutions du groupe PRB sont complémentaires de ceux proposés par Holcim et ils sont particulièrement pertinents pour le marché en forte croissance de la rénovation et de l’isolation thermique.Le Groupe PRB emploie plus de 700 salariés travaillant au sein d’installations dernier cri dont son centre de recherche et développement, ses 5 usines de production et ses 26 dépôts logistiques. PRB s’appuie également sur 1300 points de distribution.Pour Jan Jenisch, PDG du groupe Holcim : “C’est un démarrage très fort en ce début d’année avec l’arrivée du Groupe PRB au sein de la famille Holcim. C’est également une nouvelle étape enthousiasmante pour le développement de notre branche Solutions & Produits et le déploiement de notre “Stratégie 2025 d’accélération de la croissance verte”. Les succès remportés par la famille Laurent, à la tête du Groupe, sont impressionnants tout comme le sont l’expertise et l’engagement des équipes PRB dans leur ensemble. J’ai aujourd’hui hâte de pouvoir accueillir chaleureusement tous les employés de PRB au sein de Holcim et d’investir pour un nouveau chapitre de la croissance de l’entreprise tout en gardant son focus permanent sur l’innovation, le développement durable et le marketing.”Jean-Jacques Laurent, Président du Groupe PRB : “Je suis enthousiaste à la perspective de l’entrée de PRB au sein de la famille Holcim qui est depuis longtemps un partenaire de confiance. Ce rapprochement est un nouveau chapitre presque naturel pour les deux entreprises qui partagent les mêmes valeurs et la même vision. Ensemble, nous allons pouvoir accélérer encore davantage notre stratégie de croissance. Tout comme PRB, Holcim est engagé fortement dans l’économie circulaire et veut contribuer à rendre le secteur de la construction plus durable. Avec Holcim, qui est leader mondial de son secteur, je sais que notre entreprise sera entre de bonnes mains pour atteindre un nouveau niveau de performance.”Créé en 1975, le groupe PRB a rapidement connu la croissance pour devenir le leader des revêtements techniques de façade en France. Le Groupe PRB est très bien positionné au niveau de produits hauts de gamme pour l’efficacité thermique et la rénovation des bâtiments. Avec son centre de recherche et développement et son engagement pour le développement durable, le Groupe PRB innove continuellement pour sa gamme de produits en termes de conception écologique mais aussi en alliant hautes performances et facilité d’utilisation. Sa ligne de produits “Responsables et durables” constitue la première et la plus complète gamme de solutions techniques à empreinte carbone réduite pour la construction. Avec les 7,5 milliards EUR du plan de relance du gouvernement français alloués aux constructions à faible émission de carbone, le marché de la rénovation du bâtiment représente un potentiel de croissance de l’ordre de 18 %, une base solide pour la poursuite de la croissance du Groupe PRB.Cette acquisition s’intègre parfaitement dans la stratégie « Accelerating Green Growth » de Holcim, qui vise l’expansion de ses activités Solutions & Produits pour représenter 30 % du chiffre d'affaires net du groupe d'ici à 2025, et ce grâce à la pénétration des segments les plus attractifs dans la chaîne de valeur de la construction, allant des toitures à la réparation et à la rénovation. Cette acquisition s'inscrit aussi dans l’engagement de Holcim à veiller à une discipline financière rigoureuse et est soumise aux approbations réglementaires d’usage en France. Sa finalisation est attendue au deuxième trimestre 2022.
Il y a 3 ans et 95 jours

Béton Pratique : Comment identifier une armature de qualité ?

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Les usines doivent utiliser des aciers certificiés NF Afcab. [©Snaam] Essentielles au béton armé, noyées donc invisibles, les armatures n’en restent pas moins une partie structurante et technique du processus de construction. De leur qualité de production et de pose dépend aussi la réussite d’un chantier. 1 – Qu’est-ce qu’une armature ? Une armature est un élément en acier incorporé dans le béton. Elle est obtenue à partir d’aciers pour béton armé (barres, couronnes, treillis soudés) utilisés en l’état ou après diverses opérations, telles que le dressage, le façonnage ou le soudage. Intimement intégrées dans le béton qui résiste bien à la compression, mais mal à la traction et au cisaillement, les armatures reprennent ces derniers efforts, conférant au matériau ses caractéristiques si particulières. Avant de devenir armatures, les aciers peuvent subir à la fois un dressage, lorsqu’ils proviennent de couronnes, des coupes à longueur, du façonnage, afin de leur donner la forme prévue au plan. Ces opérations peuvent être complétées par un assemblage ou un formage, et par l’ajout de dispositifs spéciaux, tels que ceux de raboutage ou d’ancrage (coupleurs). Le marché de la construction définit trois grandes familles d’armatures : les armatures sur catalogue, qui sont fabriquées par les armaturiers pour assurer une fonction déterminée (chaînage, poteau, semelle, linteau…). Elles doivent être validées par un bureau de contrôles techniques. Elles sont présentées dans un catalogue, vendues sur stock et destinées surtout à la maison individuelle ;les armatures sur plans ou “traditionnelles”, qui peuvent être : – “coupées-façonnées” à partir d’éléments fabriqués suivant les plans du client et posées sur chantier (surtout en travaux publics) ; – “coupées-façonnées-assemblées”. Dans ce cas, l’armaturier livre sur chantier des produits tridimensionnels prêts à poser. Ce qui permet, en particulier dans le bâtiment, de gagner en productivité et en qualité de réalisation. les armatures spéciales comprenant des dispositifs spéciaux (en général, des coupleurs) ou encore constituées d’aciers particuliers (galvanisés ou inoxydables). 2 – Comment reconnaître une armature de qualité ? Quels sont les critères déterminants ? Les armatures peuvent être “coupées-façonnées” ou “coupées-façonnées-assemblées”. [©Snaam] Dans les faits, une armature de qualité répond aux exigences implicites et explicites d’un client. Pour rappel, la production d’une armature passe d’abord par les calculs du bureau d’études béton qui fournit un plan établi par logiciel. Le calcul de sections d’acier se faisant en respectant les Eurocodes. Dès réception des plans par l’armaturier, les “décortiqueurs” se chargent de les traduire en éléments fabricables, transportables et permettant une mise en œuvre simple et rapide. Lors de cette étape, il est fondamental pour le bureau d’études béton et le client final de pouvoir s’appuyer sur l’expérience et la technicité de l’armaturier. Ceci, afin de définir ensemble une armature optimisée, conforme et répondant parfaitement aux besoins du chantier. Dans ce cadre, les décortiqueurs peuvent proposer de décomposer les armatures en sous-éléments pour simplifier leur mise en place ou d’ajouter des accessoires de type “boîtes d’attente”, “coupleurs” et “goujons”, afin de faciliter leur utilisation. Dans tous les cas, la décision finale revient au bureau d’études béton. Une armature de qualité doit avant tout être fabriquée avec un acier de qualité. Pour cela, les armaturiers doivent choisir un acier certifié NF Afcab2. Mais de façon volontaire, ils peuvent pousser l’exigence plus loin, en choisissant de manière systématique un acier B 500 B (obligatoire pour les zones soumises à réglementation sismique) et de préférence laminé à chaud, qui offre plus de ductilité qu’un acier laminé à froid. De son côté, la RE 2020 est venue apporter une nouvelle exigence, celle des productions bas carbone détaillées par les Fdes. Pour assurer une empreinte carbone la plus basse possible, les armatures doivent être fabriquées à partir d’un acier français et local issu de la filière électrique. De plus, pour participer à la baisse de l’impact carbone, il est préférable de se fournir auprès d’une usine de production d’armatures à proximité du chantier. Ceci, pour optimiser le transport et bénéficier d’une plus grande réactivité de l’armaturier. Dans le même ordre d’idées, la pratique qui consiste à remplacer le diamètre 6 mm par un diamètre 8 mm est à proscrire, puisqu’elle augmente le tonnage d’armatures (jusqu’à + 10 %) et les coûts en proportion. En plus, elle pénalise, de fait, le bilan carbone. 3 – Existe-t-il d’autres agréments ou certifications ? Qu’apportent-ils en plus par rapport à la normalisation ? La RE 2020 est venue apporter une nouvelle exigence, celle des productions bas carbone détaillées par les Fdes. [©Snaam] En France, nous disposons de la certification NF Afcab, qui s’appuie sur un référentiel précis et deux audits par an et par usines. Cette certification permet aux clients de s’assurer du scrupuleux respect de la norme NF A 35-027. Il s’agit d’une certification volontaire, mais qui est exigée dans la plupart des chantiers de génie civil (Fascicule 65). Toutefois, elle reste encore trop peu exigée dans les cahiers des charges des chantiers de bâtiment. Depuis près de 30 ans, une norme européenne pour les aciers pour béton armé est en discussion… En 2005, la norme NF EN 10080 a été publiée, mais n’étant plus harmonisée, elle ne permet pas encore le passage au marquage CE, demandé par le Règlement des produits de la construction. Pour l’heure, les travaux de la Commission européenne de normalisation continuent… 4 – Quelles sont les normes qui régissent les armatures ? Sont-elles d’application obligatoire ? Les armatures sont surtout chapeautées par la norme NF A 35-027 – Armatures, qui regroupe les armatures sur catalogue, les armatures sur plans (dressage, coupe, façonnage, assemblage par soudage) et les armatures spéciales (armatures mettant en œuvre des dispositifs de raboutage ou d’ancrage, des boîtes d’attente, des aciers inoxydables). Les aciers pour la fabrication des armatures sont, eux, définis par différentes normes :   La plus importante est la NF A 35-080–1 – Aciers pour béton armé – Aciers soudables (Partie 1 – Barres et couronnes), qui couvre la très grande majorité des aciers utilisés type B 500 A et B 500 B ;Cette norme est complétée par la NF A 35-080-2 – Aciers pour béton armé – Aciers soudables (Partie 2 – Treillis soudés). Il faut optimiser les distances de transport entre le chantier et l’usine pour réduire l’empreinte carbone. [©Snaam] Ces deux normes décrivent notamment les classes techniques des aciers utilisables pour fabriquer des armatures : – B 500 A : acier de limite d’élasticité Re ≥ 500 MPa et d’Agt (allongement sous charge maximale) de 2,5 % mini ; – B 500 B : acier de limite d’élasticité Re ≥ 500 MPa et d’Agt de 5 % mini. Pour d’autres types de produits ou applications particulières, on peut citer les normes : NF A 35-014 – Aciers pour béton armé – Aciers inoxydables soudables – Barres et couronnes ;NF A 35-025 – Aciers pour béton armé – Barres et couronnes pour béton armé galvanisées à chaud ;NF A 35 020 – Dispositifs de raboutage et dispositifs d’ancrage d’aciers pour béton armé à verrous ou à empreintes; Sujet réalisé en collaboration avec le groupe Snaam : Jean-Michel Sohm, conseiller technique de la direction générale, et Marc Abadias, vice-président de l’APA1 et directeur de site. 1Association professionnelle des armaturiers. 2Association française de certification des armatures du béton. A propos de la Snaam Fort de 90 ans d'expérience, le groupe Snaam est le leader français des solutions pour le béton armé. Basé à Lyon, il compte 30 sites de production répartis dans toute la France. Et animés par plus de 1 000 collaborateurs partageant les mêmes valeurs : technicité, proximité, convivialité. Le groupe Snaam s’est donné pour mission d’optimiser la performance de tous les chantiers, du génie civil à la maison individuelle. Ceci, grâce à ses solutions innovantes et son expertise dans la production d’armatures sur mesure ou sur catalogue. Et enfin, grâce à la mise à disposition d’une gamme complète de produits techniques pour les chantiers (boîtes d’attente, de réservation, coupleurs, distanciers, goujons…). Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 95 jours

Côte-d’Or : Des résultats qui se fêtent

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Remise d’un diplôme symbolique de Ciments 2170 à BNP Paribas. [©JPS Granulats] Il est des étapes qui se fêtent. Filiale du groupe JPS Granulats, Ciments 2170 a ainsi remis symboliquement un diplôme à BNP Paribas, après avoir économisé 2,7 Mkg de CO2 sur l’année 2021. Fares Hasnaoui, représentant de la banque, a reçu des mains d’Olivier Stocker, gérant de Ciments 2170, le cadeau symbolique du bonus carbone du ciment CEM II 42,5 N CE, en présence de Gilles du Manoir (Vicat) et de Gwendoline Stocker (JPS Granulats). Pour obtenir ce résultat, Olivier Stocker s’est appuyé sur un principe simple. « Dans le béton, c’est le clinker qui est émetteur de CO2, pas l’eau ni les granulats. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Bourgogne-Franche-Comté Partant de là, le groupe JPS Granulats a travaillé à faire baisser le taux de clinker dans la formulation globale de ses bétons. L’industriel est donc passé par un mélange, intégrant des fillers calcaires micronisés Adca, pour un taux de substitution de 25 %. Rappelons que JPS Granulats est d’ailleurs à l’origine de la modification du référentiel de certification NF Liants Hydrauliques, ouvrant la voie des usines de mélange en France. « Jusque-là, le concept de béton bas carbone n’était pas facile à vendre aux clients. Mais avec l’arrivée de la RE 2020, les solutions économisant du CO2 deviennent essentielles à la construction. De toutes les manières, notre objectif est à la fois d’augmenter nos volumes de vente, ainsi que le taux de substitution du clinker. » Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 95 jours

Les nouvelles éditions des catalogues SFA sont disponibles

Que l’on soit professionnel (prescripteur, artisan plombier, entreprise et acteur du TP et de l’assainissement) ou bien particulier, SFA propose en effet à chacun une édition propre qui cristallise les solutions de l’industriel tricolore, synonymes de performances comme de simplicité et facilité de mise en œuvre. Catalogue SFA Domestique 2022 Enrichie encore de 12 pages cette année (124 pages), la référence historique auprès des professionnels (négoces et professionnels de la plomberie sanitaire) constitue une découverte de l’ensemble des réponses SFA pour des utilisations domestiques. Et force est de constater que de nombreuses innovations viennent compléter les offres 2022 en WC équipés de broyeur, pompes de relevage domestiques, pompes vide-cave, stations de relevage à poser ou à enterrer, mais aussi en pompes de relevage de condensats de climatiseurs et de chaudières ou encore bacs et séparateurs de graisse. (disponible en version feuilletable et téléchargement de pdf sur www.sfa.fr et tirage en 19 000 exemplaires).SFA Projets 2022 Dévolue à la prescription (architectes, bureaux d’études…) comme aux professionnels du TP et de l’assainissement, cette édition prend elle aussi de l’ampleur avec, cette fois, pas moins de 16 pages complémentaires (112 cette année). Une offre particulièrement exhaustive (eaux grises, eaux-vannes ou eaux pluviales) qui concerne tant les stations de relevage à poser, que les stations de relevage à enterrer, les pompes, les accessoires ou encore les séparateurs de graisse. (disponible en version feuilletable et téléchargement de pdf sur www.sfa.fr et imprimé en 25 000 exemplaires).Catalogue SFA GSB 2022 Au sein de cette documentation de 12 pages sont rassemblées toutes solutions SFA dédiées aux problématiques du particulier bricoleur. Créer de nouveaux WC, une nouvelle salle d’eau, une cuisine, n’importe où et sans gros travaux, s’avère un véritable jeu d’enfant. Dans la même logique de facilité d’installation, SFA leur met également à disposition ses Sanipompe Condensats et Sanicondens Clim Déco pour qu’ils puissent compléter leur installation de climatiseur ou de chaudière. (disponible en version feuilletable et téléchargement de pdf sur www.sfa.fr et imprimé en 20 000 exemplaires).SFA Pocket 2022 Résolument dévolu aux artisans et entreprises pour l’avoir toujours à disposition, que ce soit sur chantier ou bien en clientèle, cette bible de poche, enrichie des 8 nouveautés 2022, ouvre le champ des possibles pour dévoiler toutes les solutions SFA envisageables, performances à la clé. (imprimé en 50 000 exemplaires).
Il y a 3 ans et 95 jours

Essonne : Ecocem ouvre son centre d’innovation

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine L’équipe “Innovation” d’Ecocem compte 24 personnes dédiées à la R&D et effectue des essais à l’échelle industrielle en collaboration avec des partenaires et des universités. [©Ecocem] Fournisseur européen de solutions cimentaires à faible teneur en carbone, Ecocem vient d’ouvrir son Centre pour l’innovation, à Champlan, dans le Sud de Paris. Baptisé “Centre d’excellence”, le lieu a pour objectifs d’accélérer le développement de nouvelles technologies et de nouveaux produits. Ceux-ci aideront les industries du ciment et de la construction à décarboniser plus rapidement leurs productions. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Le Centre d’excellence permettra à l’équipe “Innovation” du groupe Ecocem de se concentrer sur le test, l’évaluation et l’amélioration de ses nouvelles solutions. Composée de 24 personnes dédiées à la R&D, cette équipe effectuera des essais en grandeur réelle, en collaboration avec des partenaires industriels et des universités, dont celles de Paris-Saclay et de Toulouse. « Ecocem s’engage en faveur d’une décarbonatation profonde et rapide de l’industrie mondiale du ciment. C’est essentiel pour la planète et les générations futures. Et cela peut être réalisé par l’innovation et la technologie », déclare Laurent Frouin, directeur de l’innovation d’Ecocem. Et de conclure : « Les industries du ciment et de la construction développent et déploient une série de technologies visant à réduire les émissions de carbone. Ecocem et son nouveau Centre d’excellence ajouteront une dimension supplémentaire à leurs efforts ». Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 95 jours

Constantin Brodzki : Le “style CBR”, moderne et brutaliste

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Constantin Brodzki (1924-2021) devant l’immeuble CBR, en Belgique. [©Merlin Meurisse] Au début des années 1970, l’architecte polono-belge Constantin Brodzki (1924-2021) dessine et conçoit le siège social du cimentier, CBR, sis au 185 de la chaussée de la Hulpe, à Watermael-Boitsfort, en Belgique. « Je voulais exprimer la liberté du béton. Et la courbe m’apparut être idéale pour cela », indiquait l’architecte à l’époque. Constantin Brodzki est surtout connu pour avoir marqué Bruxelles de son “style CBR”, du nom de cette réalisation moderne emblématique. Avec ce bâtiment, il a sans doute écrit une page de l’histoire de l’architecture belge, et même internationale. En effet, en 1980, le siège social de CBR a été inclus par le Museum of Modern Art (MoMa) de New York comme ouvrage de référence. Ceci, dans l’exposition “Transformation in Modern Architecture” (Transformations dans l’architecture moderne). 
Le catalogue le qualifie alors « d’étape significative dans le développement du Modernisme dans le monde ». Son parcours De père polonais et de mère belge, Constantin Brodzki s’est installé en Belgique peu avant la Seconde Guerre Mondiale. Jeune diplômé de l’Ecole nationale supérieure d’architecture et des arts de La Cambre, il s’inspire de son stage qu’il a effectué à New-York chez Harrison & Abramovitz pour la construction du siège social de l’ONU. Ainsi, il a conçu quelques perles architecturales modernistes, fonctionnalistes et brutalistes en Belgique. Et particulièrement, à Bruxelles et sa banlieue : les bâtiments Swift, le deuxième en association avec l’architecte Ricardo Bofill, ou l’immeuble Generali. Le siège social du cimentier, CBR. Ce bâtiment a sans doute écrit une page de l’histoire de l’architecture belge. [©Merlin Meurisse]Vue de l’extérieur du CBR. [©Generali]Façade du CBR aux connotations très années 1970. [©Archive Alec Brodzki] Il admirait l’Américain Frank Lloyd Wright (1867-1959), l’un des fondateurs de l’architecture moderne. Mais aussi Ludwig Mies van der Rohe (1886-1959), maître du Bauhaus. « A la fin de sa carrière, étant rattrapé par la vague post-moderniste, ses références vont à Paul Bonatz (1877 – 1956), qui a construit le Kunstmuseum de Bâle, en Suisse ou la gare de Stuttgart, en Allemagne, dévoile Alexandre Brodzki, fils de Constantin et architecte lui aussi. Cet architecte allemand prônait une architecture un peu néoclassique, avec un mélange d’éléments modernistes et historiques. Par la suite, c’est devenu Philip Johnson (1906-2005), surtout pour l’architecture qu’il a pu faire à la fin de sa vie. Il est alors rentré dans une période “d’Heroic Fantasy”, comme la décrivait lui-même mon père. » La courbe apprivoise le béton Dans les années 1970, Constantin Brodzki a fait évoluer la réflexion sur le béton. C’est ce qu’il expliquait encore récemment lors d’un entretien avec la Fédération du béton belge : « On oublie trop vite que le béton n’est pas un matériau dur, il est d’abord liquide. En mettant l’accent sur cette fluidité, j’ai changé la façon, dont nous regardons le béton. A travers cette vision, j’ai fait comprendre que les éléments en béton ne doivent pas nécessairement avoir une forme droite ». Constantin Brodzki à l’intérieur du CBR, réalisation moderniste et brutaliste de cet architecte polono-belge. [©Archive Alec Brodzki]A l’origine siège du cimentier CBR, les locaux furent vendus et transformés plusieurs fois[. ©Archive Alec Brodzki]Intérieur du CBR. [©Archive Alec Brodzki]Intérieur du CBR. [©Archive Alec Brodzki] Par ailleurs, Constantin Brodzki est très tôt fasciné par l’industrialisation. Lorsqu’il conçoit le siège social de CBR, il est à la recherche d’une méthodologie pour construire un bâtiment qui pourrait être préfabriqué sur une base industrielle. Pendant sept ans, il travaille avec le cimentier sur une technique permettant de réaliser des panneaux de béton préfabriqués aux formes fluides. L’ensemble de l’usine CBR (le site actuel de l’industriel du béton Ergon, à Lier) est mis à sa disposition pour la mise en place de son concept. Il réalise d’abord deux petits “bâtiments tests” en béton avant de commencer la grande structure. Et cela donnera le bâtiment que l’on connaît avec ses fenêtres arrondies, de type alvéoles. Une première à l’époque. Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 95 jours

Groupe BMS : « Nous restons centrés sur les travaux souterrains et les fondations »

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 98 Depuis quatre ans, Jean de Saint-Julien est le président de l’entreprise BMS. [©ACPresse] Pourquoi avoir voulu reprendre l’entreprise BMS ? Jean de Saint-Julien : J’ai toujours eu un côté entrepreneurial. Aussi, reprendre une entreprise était dans la logique des choses, mais à condition de continuer à évoluer dans le secteur des travaux souterrains et des fondations. Ce sont des métiers que je connais bien, héritage de ma vie professionnelle passée et dans lesquels je reste crédible. J’ai rencontré Christian Mallet, l’ancien dirigeant de BMS, à l’occasion d’une Bauma, à Munich. Les choses sont allées assez vite après… Où en est BMS depuis sa reprise en 2017 ? L’entreprise a poursuivi l’essor de ses activités historiques de forage, d’injection, de pompage des bétons et de travaux souterrains. Ainsi, le chiffre d’affaires de 12,5 M€, envisagé pour l’année 2021, a été atteint, porté par la croissance de la location, de la maintenance et des pièces de rechange. Lancée en 2019, l’agence de Toulouse a atteint son rythme de croisière. Quant à la nouvelle filiale NFM Engineering, elle a été créée en 2020 à partir du bureau d’études du constructeur de tunneliers NFM. Elle ne constitue, pour l’heure, qu’une activité de type start-up. Mais le potentiel est important, car nous avons aussi repris le catalogue des 120 tunneliers construits par la marque. Ainsi, nous sommes tout à fait prêts à relancer une production, sous réserve d’être soutenus par un partenaire financier et industriel. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 95 jours

Eqiom : Les Ardoines se parent de beaux bétons

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine La gare des Ardoines, à Vitry-sur-Seine fait la part belle au béton architectonique. [©Gérard Rollando/Eqiom] Bien que les lots T2A et T2B de la ligne 15 du Grand Paris Express soient réalisés par des groupements d’entreprises distincts, ils ont un point en commun. Tous deux profitent du même fournisseur de bétons. En l’occurrence Eqiom. Mais l’industriel n’est pas seul dans cette aventure, s’étant associé à Lafarge et à la Société Francilienne de Béton (SFB, groupe Nivet). Toutefois, il est le mandataire de l’opération. « Ces deux lots nécessitent un total de 760 000 m3 de bétons, à livrer sur des chantiers répartis sur près de 14 km entre Villejuif et Champigny-sur-Marne, au Sud-Ouest de Paris », résume Fateh Kichah, responsable coordination grands chantiers d’Eqiom. Et de poursuivre : « Au total, nous avons mobilisé neuf unités de production ». Dans le détail, Eqiom a dédié ses centrales d’Alfortville et de Lagny-sur-Marne. Lafarge a mis à disposition son installation de Bercy et une unité mobile à Villiers-sur-Marne. Quant à SFB, il a réservé ses deux unités de Valenton et celle de Bonneuil. A quoi s’est ajoutée une centrale mobile installée sur le site des Ardoines, à Vitry-sur-Seine et une autre, à Villiers-sur-Marne.  Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 95 jours

Delorenzo BTP : Entre ingénierie, préfabrication et BPE

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 98 Michel Caubet, directeur général du groupe Delorenzo BTP. [©Delorenzo BTP] A la base, Delorenzo BTP s’est spécialisée dans la construction de maisons individuelles et de petits collectifs. D’année en année, la société implantée en Nouvelle-Aquitaine évolue pour devenir un groupe et se diversifie avec de nouvelles activités complémentaires. Sous la houlette de Michel Caubet, le directeur général, trois entités viennent de voir le jour. Le groupe s’attaque aussi à d’autres secteurs d’activité, et réalise des lotissements ou encore des centres commerciaux. Et ce, principalement auprès de promoteurs privés. Leur point de convergence : le béton. « Nous faisions beaucoup de plans ou de contrôles pour nos confrères. Nous avons donc décidé d’intégrer un bureau d’études structure béton qui s’appelle IMC1. » Cette création n’est qu’une première étape. « Il y a quatre ans, nous nous sommes retrouvés orphelins de préfabricant, lorsque notre sous-traitant s’est fait racheter… Après un appel d’offres réalisé dans la région, qui s’est avéré peu concluant, nous avons décidé de nous lancer directement dans l’industrie du béton. » Ainsi, avec l’arrivée de son fils Florian Caubet, le projet “préfa” a pu prendre forme. « Le 26 mars 2019, nous avons obtenu le permis de construction à Samazan, entre Bordeaux et Agen, pour l’érection de deux halls d’usine de 6600 m2 et des bureaux. » Mais, à ce moment-là, les banques n’ont pas suivi. C’est finalement début 2021, que le budget définitif sera validé et les halls de production comptent désormais 4 030 m2. Au total, 7,35 M€ d’investissements sont nécessaires pour la création de deux nouvelles activités : Préfa 2 Gascogne et Bétons 2 l’Avance. Cette dernière sera consacrée au BPE. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 95 jours

Saint-Gobain Nova : Répondre aux besoins du groupe

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Claude-Sébastien Lerbourg, directeur des partenariats externes en Europe de Saint-Gobain. [©Saint-Gobain] Créé il y a une quinzaine d’années, Saint-Gobain Nova a réellement accéléré son activité en 2019. L’entité compte 13 collaborateurs, menés par Minas Apelian et dédiés à la structuration de partenariats avec les start-up. En effet, Saint-Gobain Nova sert de passerelle entre des jeunes pousses innovantes et les différentes filiales du groupe. Près de 150 partenariats ont déjà été noués. Présente en Asie, en Europe et aux Etats-Unis, l’entreprise propose une couverture géographique décentralisée à l’image du groupe. « Nous évaluons les différents besoins selon les spécificités des régions, explique Claude-Sébastien Lerbourg, directeur des partenariats externes en Europe. Nous cadrons aussi nos axes de recherches en fonction des tendances du marché et répondons à une demande ou bien nous proposons des innovations. » Saint-Gobain Nova s’intéresse aux start-up déjà structurées qui testent leur solution ou qui débutent la phase d’industrialisation. De grandes tendances et des besoins spécifiques Logo Saint-Gobain Nova. [©Saint-Gobain] « La fenêtre de tir n’est pas très large. Si nous pouvons investir entre 50 000 € et 2 ou 3 M€, l’aspect financier n’est pas une fin en soi. Nous sommes surtout un “outil” stratégique et agile pour générer plus de partenariats avec des start-up. » De plus, à travers cette entreprise, Saint-Gobain cherche à valoriser l’entrepreneuriat au sein même de ses collaborateurs avec le programme InPulse. Ce dernier aide les employés à développer un business qui s’ancre dans les intérêts du groupe. Saint-Gobain Nova passe aussi par des fonds d’investissement spécialisés dans le domaine. En termes de tendances, Saint-Gobain Nova suit de nombreuses grandes thématiques. Parmi lesquelles, l’économie circulaire, la performance des bâtiments, la durabilité, le confort. Mais aussi, la productivité dans la construction, la robotique sur chantier ou encore la préfabrication et la digitalisation des métiers. Plus qu’un investissement financier « Il y a des spécificités par pays. En Europe par exemple, la France dispose d’un maillage très fort avec son activité distribution. Nous allons plus avoir de remontées de problématiques dans ce sens-là. En Allemagne, les tendances métiers ne sont pas les mêmes et dans les Pays nordiques ou au Royaume-Uni, nous remarquons un plus grand développement de start-up autour de la fabrication hors site. » Parmi les derniers investissements (plus de 10 start-up ont été repérées en 2021), Saint-Gobain Nova s’est intéressée au Britannique AMT. « Cette start-up a développé une solution pour rectifier et automatiser les finitions des objets imprimés en 3D. » L’entreprise compte aussi des acteurs comme EcoDrop, développeur français d’une application de collecte de déchets de construction, ou encore Unity Home, spécialisée dans la construction hors site flexible avec conception numérique. Sivagami Casimir Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 95 jours

Vaucluse : Avignon choisit KP1 pour son second parc relais

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Opération de pose de poutres sur le parc relais de Saint-Chamand, en Avignon. [©ACPresse] Le Grand Avignon poursuit le développement de son réseau de transport en commun, pour « apaiser le centre-ville, comme le précise Daniel Bellegarde, vice-président du Grand Avignon, en charge de la mobilité. L’idée est de laisser sa voiture à un terminus et de basculer sur le bus ou le tramway pour ses déplacements urbains ». Pour ce faire, les travaux du futur parc relais du quartier de Saint-Chamand sont en cours. « C’est le second sur les cinq programmés. Il sera le seul en superstructure. » L’ouvrage s’inscrit sur une parcelle contrainte de 5 655 m2, l’occupant presque en totalité, obligeant une organisation particulière du chantier. Très vite, maîtrise d’ouvrage, architecte (Jean-Paul Cassulo) et entreprise générale (NéoTravaux) ont pris le parti d’une structure réalisée en béton préfabriqué. Un défi relevé par KP1 Bâtiments, avec un argument de poids : son usine de Pujaut, située à moins de 15 km du chantier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Provence-Alpes-Côte d’Azur Le programme était chargé. A commencer par 76 poteaux de 6 et 10 m de haut, agrémentés de nombreux corbeaux (jusqu’à 20) pour permettre la reprise des planchers. A cela s’ajoutaient 255 poutres en béton précontraint, de 16 m de portée au maximum, et des poutres garde-corps en “L”, soit une longueur cumulée de 1 833 m. Quelque 500 dalles alvéolaires, elles aussi précontraintes, de 16 m de portée pour des épaisseurs de 32 et 36 cm, complétaient le tableau. De quoi permettre la construction d’un parking aérien capable d’accueillir près de 360 voitures sur 6 demi-niveaux. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 95 jours

Hellio déploie une offre de destratification pour optimiser le chauffage des bâtiments industriels de grande hauteur

Parmi elles, la mise en place d'un système de destratification constitue une solution efficace pour réaliser des économies d'énergie, notamment sur les bâtiments ayant une hauteur sous plafond supérieure ou égale à 5 mètres.Dimensionnement, fourniture et pose du matériel par des entreprises partenaires qualifiées, gestion administrative du dossier de financement avec les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, se charge de tout !Une solution clés en main pour faire jusqu'à 30 % d'économies d'énergieLe chauffage constitue une part non négligeable de la consommation énergétique des bâtiments et représente un important gisement d'économies d'énergie. Dans un contexte de hausse des prix de l'énergie, la capacité des industriels à maîtriser leurs dépenses énergétiques est la clé de la compétitivité de demain.Dans les bâtiments de grande hauteur, la différence de température entre le plafond et le sol peut être importante et entraîner ainsi une surconsommation énergétique.La mise en place d'un système de destratification, permettant une meilleure homogénéisation de la température du bâtiment, constitue une solution efficace pour réaliser des économies sur le chauffage des bâtiments de 5 mètres de hauteur et plus : usines, sites industriels, etc.Comment fonctionne un système de destratification ? L'air chaud étant plus léger que l'air froid, celui-ci a tendance à remonter, entraînant une différence de température entre le sol et le plafond du bâtiment. Plus la hauteur du bâtiment est importante, plus la différence de température est élevée. La destratification consiste au brassage de l'air dans le but d'homogénéiser la température du bâtiment et maintenir une température constante. Il existe plusieurs types de destratificateurs, les plus couramment utilisés étant le déstratificateur à pâles et le destratificateur caréné. La mise en place d'un système de destratification offre plusieurs avantages :Réduction des déperditions thermiquesJusqu'à 30 % d'économies de chauffageBaisse des émissions de CO2Amélioration du confort thermique des occupants Des travaux simples et rapides à mettre en place Après la qualification des besoins du projet par les experts Hellio, une visite technique du site par une entreprise de travaux partenaire est organisée. Une proposition détaillant la solution technique adaptée aux besoins ainsi que le devis incluant la déduction de la prime CEE est ensuite envoyée. Une fois le devis signé, place à la réalisation des travaux qui durent généralement entre une journée et quelques semaines au maximum, sans nécessité d'arrêter complètement l'activité mais simplement de l'adapter au moment de l'intervention. Ils sont mis en oeuvre par des acteurs généralistes du BTP, des plombiers-chauffagistes, des électriciens ou encore des entreprises de génie climatique.Un financement via les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE)La mise en place d'un système de destratification est une opération éligible aux Certificats d'Économies d'Énergie1 (CEE), dispositif permettant de bénéficier d'une prime incitative pour la réalisation des travaux. Depuis 2008, Hellio développe une expertise énergétique et propose une prime CEE pour la mise en place de projets d'économies d'énergie, tout en assurant la gestion administrative du dossier de financement. Cette prime est directement déduite du devis pour moins d'avance de trésorerie. Hellio a ainsi permis la valorisation de plus de 3 500 opérations dans le secteur industriel.Exemple de cas concret Installation d'un système de destratification dans une usine de 2.000 m2Hauteur sous plafond : 8 mNombre de destratificateurs installés : 12 Coût des travaux :9.150 € – 6 400 € de primes, reste à charge : 2.750 €Financement à 70 %
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Ille-et-Vilaine : Lafarge Ciments développe son réseau en régions

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Le groupe BHR vient d’intégrer le réseau Galaxim Béton Planet de Lafarge Ciments. [©BHR] L’offre Galaxim Béton Planet de Lafarge Ciments s’articule en particulier autour des ciments à l’empreinte carbone réduite EcoPlanet. Mais surtout d’une ingénierie de formulation des bétons et du bénéfice d’une marque commerciale forte. Ceci, pour répondre aussi bien aux contraintes constructives qu’aux nouvelles exigences de la RE 2020. Cette offre est aujourd’hui proposée aux acteurs indépendants du béton prêt à l’emploi. « Accompagner les producteurs de BPE est un enjeu majeur pour l’ensemble de la filière, explique Lafarge Ciments. Bénéficier d’une offre Galaxim Béton Planet est un levier de développement pour devenir un acteur de la construction responsable, apte à proposer toute une gamme de solutions, notamment bas carbone. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Bretagne Ainsi, Galaxim Béton Planet propose des formulations béton transparentes, en affichant une note de performance environnementale. Cette dernière prend en compte le poids carbone du ciment utilisé, allant de – 20 % à plus de – 70 % de réduction, et le pourcentage de matériaux recyclés. Durant l’année 2021, plusieurs grands noms du BPE régional ont choisi d’adopter cette offre. A commencer par le groupe BHR, implanté en Bretagne et dans les Pays de la Loire. « L’accompagnement proposé nous a permis de constituer une gamme de bétons éco-responsables qui répond aux exigences de RE 2020, avec une marque à la clef pour mieux faire connaître ce nouveau savoir-faire », explique Philippe Hamard, président de BHR. Le groupe Daniel, en Nouvelle-Aquitaine et Occitanie, l’industriel Michel, dans le Haut-Rhin, et Sagra Bétons, en Auvergne – Rhône-Alpes, ont aussi signé ce partenariat avec Lafarge Ciments. D’autres devraient rejoindre très vite ce quatuor, le réseau Galaxim Béton Planet étant appelé à se développer sur le territoire. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
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La Manufacture du Béton : Le raffinement à l’état brut

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 98 Table « Trèfle ». Contraste entre la rigidité du béton et la douceur de la courbe. Béton blanc fibré ultra performant. Design Malherbe Paris. [©La Manufacture du béton] « A partir d’une matière brute, le béton, notre travail consiste à créer des éléments de design, aux formes inattendues et raffinées », annonce d’emblée Arnaud Deverre, co-fondateur de La Manufacture du Béton. Avec son associé, Antoine Courtiol, le Monsieur Béton de l’entreprise, ils ont fixé la barre haute. Ils se sont spécialisés dans les meubles “compliqués”, haut de gamme, coulés en une seule pièce, aux formes épurées et élégantes. Leur béton n’est autre qu’un Bfup de formulation maison, mis au point dans leur atelier de Brive-la-Gaillarde, en Corrèze. « La compacité de ce béton confère à nos produits une qualité de parement exceptionnelle, permettant toutes les extravagances de textures : béton mat, brillant, “fondu”, aspect bois, cuir, ardoise, peau de serpent ou carapace de tortue, bullé, lisse soyeux, avec inclusions… C’est aussi un atout supplémentaire pour la pérennité des créations en extérieur. » Le Bfup sans limites De plus, les caractéristiques mécaniques du Bfup sont 3 à 5 fois supérieures à celles d’un béton traditionnel. Elles permettent de concevoir des structures minces (jusqu’à 10 mm) et de fabriquer meubles, objets de décoration et éléments structurels “poids plume”. Table basse « O² », simple et brute. Design Antoine Courtiol. [©La Manufacture du béton] Sophistiqué, brut et industriel, le béton, tout comme les éléments de décoration, sont uniques. « Ce que nous inspire le béton ? Un défi technique intéressant, la création de porte-à-faux par exemple, qui tiennent bizarrement. Pour cela, nous inventons un mouvement et une dynamique. Nous générons une identité graphique. Le contraste entre le matériau et le résultat doit surprendre et éveiller la curiosité. Surtout, séduire celui qui regarde », explique Arnaud Deverre. Et de poursuivre : « Le béton n’a de limites que celles de l’imagination. Il joue la carte de l’innovation et du design. Matériau vivant, il permet de réaliser une large palette de surfaces ». Ainsi, le piètement et le plateau à trois pétales de la table basse “Clover” sont coulés ensemble.Les inserts en laiton viennent sublimer les pétales, et apportent délicatesse et raffinement à cet imposant meuble. Le dessin de la table “Nervure” reprend, elle, de façon stylisée, celui des nervures d’une feuille ou celles constituant les ailes d’un avion. Ainsi naît le contraste entre le dessin aérien et le matériau brut. Fabrication de ses propres moules De son côté, la table “Trèfle” met en exergue la rigidité du béton et la douceur de la courbe. Elle est moulée en un seul bloc, au drapé parfait. Aux formes florales et lisses. Elle peut être réalisée en plusieurs couleurs différentes et en plusieurs finitions. Ou bien encore, la table “Fragment Béton” s’inspire des tableaux de Mostapha El Oulhani. Le plateau est constitué de strates de bétons de teintes variées, créant un zoom dans un fragment de zellige. Une mosaïque dont les éléments, appelés “tesselles”, sont des morceaux de carreaux de faïence colorés, qui sont découpés un à un et assemblés sur un lit de mortier pour former un assemblage géométrique. Là, ce sont des morceaux de béton… Arnaud Deverre, fondateur et co-associé à La Manufacture du béton. [©La Manufacture du béton] Table « Nervure ». Le dessin reprend, de façon stylisée, celui des nervures d’une feuille ou des nervures constituant les ailes d’avion. Les techniques de moulage employées et le type de bétons utilisé permettent la réalisation de cette structure en nid d’abeille qui confère à la table sa solidité, malgré la finesse des parois en béton. Design Marco Marino. [©La Manufacture du béton] Simple, épurée, une merveille. [©La Manufacture du béton] Bois et béton pour une parfaite harmonie. [©La Manufacture du béton] « Nous réalisons nous-mêmes les pièces moulées. Dans un premier temps, un soin particulier est apporté à la conception et à la fabrication des moules, qui sont fabriqués dans notre atelier de menuiserie. Cette étape est primordiale : dimensions précises, montages soignés, qualités de surfaces du moule et choix des matériaux utilisés. Autant de détails qui participent à la qualité du meuble à venir. » Après démoulage, chaque pièce de béton est finie à la main : ponçage et lustrage des arrêtes. « C’est cette dernière opération qui permet l’harmonie des lignes et la douceur du toucher. Enfin, nous réalisons la patine sur le béton, qui a pour fonction de le protéger contre les tâches. Nous en proposons trois, faites à la main. C’est la dernière touche qui fait du meuble une pièce unique », conclut Arnaud Deverre. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 98