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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 3 ans et 95 jours

Vinci Construction France : L’ultra bas carbone fait son entrée sur le Grand Paris Express

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Les premiers des 40 voussoirs en Exegyubc, destinés à la ligne 18 lot 1 du Grand Paris Express. [©Vinci] La Société du Grand Paris a fait de l’innovation et du bas carbone ses deux chevaux de bataille. Avec son nouveau béton Exegy ultra bas carbone (ubc), Vinci Construction coche les deux cases à la fois. « Vinci Construction a lancé sa nouvelle gamme de solutions Exegy en septembre 2020 », rappelle Bruno Paul-Dauphin, directeur du programme Exegy. Et François Cussigh, expert béton de l’entreprise, de compléter : « Depuis 2016, Vinci Construction focalise ses recherches sur la baisse de ses émissions de carbone. Le béton se situe naturellement au centre de cette approche ». La première grande expérimentation du béton Exegyubc s’est déroulée dans le cadre de la construction du nouveau siège du groupe, à Nanterre. Aujourd’hui, elle se poursuit sur le lot 1 de la ligne 18, avec la mise en œuvre de voussoirs. Réalisés par l’industriel Stradal dans son usine d’Aubergenville (78), ces éléments sont coulés en Exegyubc. Ils sont au nombre de 40, ce qui permettra de réaliser 5 anneaux complets du tunnel principal. Le reste de la construction sera traité avec la solution Exegy très bas carbone retenue dans le cadre du marché. A savoir, un béton formulé sur la base d’un CEM III, additionné de fibres métalliques structurelles ArcelorMittal. Un impact CO2 exprimé en kg De fait, cette composition reste innovante à son niveau, puisque l’utilisation de bétons fibrés pour préfabriquer des voussoirs pour tunnels n’a été autorisée sur les chantiers du Grand Paris que récemment… La fibre retenue n’est autre que la HE++90/60. Sa particularité est d’être munie de crochets d’extrémité. Elle avait déjà été utilisée sur d’autres lots. Présente aussi sur le lot 18-1, elle a été reprise pour la formulation spécifique en Exegyubc. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 95 jours

Seine-Saint-Denis : Cibetec, tout en courbes

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine L’immeuble So Pop de Saint-Ouen est équipé de nombreuses pièces préfabriquées par Cibetec. [©Cibetec] A Saint-Ouen, l’immeuble So Pop est le point d’orgue du nouveau quartier central du Grand Paris. Ses voiles de façade en verre se déploient sur un vaste linéaire remarquable par l’effet visuel des corniches réalisées dans les ateliers de Cibetec. Dessinés par l’architecte Ludovic Lobjoy, les 32 400 m2 de cet immeuble tertiaire se déploient sur sept étages auxquels s’ajoutent 4000 m2 de jardins et terrasses. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Ce projet architectural a nécessité la préfabrication pas moins de 52 poteaux triangulaires (365 ml), 276 corniches droites (environ 1 400 ml) et 93 corniches courbes (environ 430 ml). Le tout intégralement réalisé en béton de marbre blanc de Grèce poli. Près de 24 rayons différents ont été nécessaires pour épouser les courbures dessinées par l’architecte : 14 convexes et 10 concaves. Afin de s’assurer d’une blancheur pérenne, Cibetec a aussi utilisé un ciment de très haute performance souhaité par l’architecte, le ciment i.active Ultra 52,5 N de Ciments Calcia. Toutes les pièces ont reçu un polissage en cinq passes sur leurs différentes faces afin d’obtenir une brillance impeccable. Déjà équipé d’un polisseur, Cibetec s’est doté de supports spécifiques complémentaires pour polir les corniches droites et notamment d’un palonnier retourneur à sangles pour les poteaux triangulaires et les corniches. Même si ces dernières sont dotées d’inserts permettant leur saisie et leur fixation sur les trumeaux, leur pose a été néanmoins la partie la plus délicate en raison de leur poids allant de 2 à 4 t à une distance de 2 à 3 mm de la façade vitrée… Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 95 jours

Vendée : Aerolithys comble un bassin de saumurage

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Remplissage de l’ancien bassin de saumurage à l’aide du béton mousse Aerolithys. [©Béton Mousse Technologie] Détruite lors d’un violent incendie en février 2020, la fromagerie Eurial de Luçon, appartenant à la coopérative Agrial, a dû être momentanément fermée. Mais très vite, le propriétaire a décidé de la réouverture des lieux. Et ainsi, de la transformation de la fromagerie en une usine agro-alimentaire. Ceci, en repartant des bases encore présentes de l’ancienne occupation. C’est le Groupe Angevin, à travers son entité Donada, qui a été désigné pour réaliser l’opération de reconstruction et de réaménagement. Avec un défi majeur à résoudre : la présence d’un ancien bassin de saumurage de 1 200 m3 à combler. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Pour ce faire, le choix s’est porté sur Béton Mousse Technologie (BMT) et sa solution Aerolithys. Le bassin de 50 m x 12,50 m x 2 m, l’équivalent d’une piscine olympique, a été rempli du béton produit en direct depuis la centrale mobile de BMT. Choisie pour sa très faible densité (380 kg/m3), sa rapidité de mise en œuvre (150 m3/j) et permettant d’être support de dallage, Aerolithys a convaincu l’ensemble des acteurs. Tant et si bien que ce béton mousse a aussi été mis en œuvre pour isoler le toit-terrasse d’une partie de l’usine. Ainsi, 40 m3 supplémentaires ont été coulés, permettant à la fois d’en assurer l’isolation, et l’étanchéité. De quoi permettre au lieu de retrouver une utilité, de se remettre de l’incendie et d’offrir la possibilité aux anciens employés de retrouver le chemin de l’usine agro-alimentaire flambant neuve. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 95 jours

Le concept Element’R lauréat du Concours Innovation 2021 EnergieSprong

En décembre dernier, le groupement composé du groupe Spie batignolles, de l’agence d’architecture BLAU, du bureau d’études Energelio et de la start-up belge BuildUp recevait un trophée dans la catégorie « Solutions hors-site avec façades isolantes pour l’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments éducatifs et les conditions de travail des élèves », dans le cadre du Concours Innovation 2021 EnergieSprong. Ce prix d’innovation national récompense le concept Element’R qui s’inscrit dans l’ère de l’industrialisation des métiers de la construction/rénovation. Bien que le prix ait été remis dans la catégorie des établissements scolaires, Element’R peut s’étendre à tous types de bâtiments existants. Les partenaires ont développé une solution de blocs façades standardisés, qui s’appuie sur un configurateur 3D évolutif. Il s’agit de la conception et de l’industrialisation de caissons-modules entièrement personnalisables en perspective de leur production sur une ligne industrielle. Ces modules intègrent des isolants et revêtements, parmi un large choix de composants et de tailles. La conception sur-mesure de ces blocs de façades additionnée à leur production en usine présente de nombreux avantages en terme de productivité : la baisse du coût de production d’un élément qui devient 100 % standardisé tout en s’adaptant à tous types de bâtiments existants, l’économie de ressources employées (absence de chutes, intégration du réemploi), la rapidité d’exécution…
Il y a 3 ans et 95 jours

À Riom : l’Institution Sainte-Marie restaure ses salles de classe et construit un nouveau gymnase

La rénovation des classes de l’Institution Sainte-Marie et l’aménagement de son nouveau gymnase coûteront, au total, 5 millions d’euros
Il y a 3 ans et 95 jours

Tour d’horizon des additions pour bétons

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Le bas carbone est dans les tuyaux de nombreux acteurs des additions pour bétons. En effet, en plus de donner de nouvelles propriétés, de renforcer les caractéristiques ou encore de colorer, certaines solutions permettent de réduire l’empreinte environnementale des bétons. Retour sur les produits disponibles sur le marché. Argeco: La préfabrication, un marché porteur L’argile kaolinique est une ressource disponible sur le territoire français. [©Argeco] « Depuis la mi-2020, la demande en métakoalin a explosé avec les nouveaux projets bas carbone », explique Pierre Drelon, responsable technico-commercial d’Argeco. En effet, l’argile kaolinique est une ressource présente sur le territoire et qui, une fois transformée, dispose d’un meilleur bilan carbone (139 kgeqCO2/t) que le clinker. « Jusqu’à présent nous étions bloqués, en termes de dosage, selon la NF EN 206/CN. Cependant, les choses changent et les nouveaux ciments bas carbone, permettant l’introduction de métakaolins, vont nous ouvrir des portes. » Pour l’industriel, le monde de la préfabrication représente un marché porteur. « Ces acteurs viennent de plus en plus nous solliciter. Ils vont pouvoir dans beaucoup de cas incorporer jusqu’à 40 % de métakaolin dans leurs formulations. Notamment grâce à la méthode de l’approche performantielle qui va être autorisée début 2022. » Pour l’année à venir, Argeco compte bien étoffer ses solutions. « Le groupe Colas, dont nous dépendons, souhaite aller vite et fort sur le sujet du bas carbone. Le groupe va décupler les productions de tonnages de métakaolins/liants au métakaolin dans les années qui viennent. La ligne directrice a été donnée par notre Pdg Frédéric Gardes qui est venu visiter notre usine de production en juin dernier. » L’entrée en vigueur de la RE 2020 devrait accompagner les ambitions de l’industriel. « Les bétons connaissent enfin une vraie révolution et toutes les additions vont avoir leur place. » Condensil : Haute performance et bas carbone Condensil propose de la fumée de silice sous différentes formes. [©Condensil] En septembre, Condensil a accueilli une nouvelle directrice à sa tête. Et Marina Golhen compte bien mener la fumée de silice sur le devant de la scène “béton”, avec en particulier ses attributs bas carbone. « Avec notre addition, nous sommes sur une logique de haute performance et de durabilité avec une bonne empreinte carbone. A l’échelle européenne, le bilan environnemental de la fumée de silice devrait avoisiner les 50 kg éqCO2/t. Nous attendons les derniers arbitrages qui devraient tomber début 2022. C’est un levier en plus pour nous, acteur local. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 95 jours

Bekaert : Retour d’expérience du lot 16-1

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Eiffage Génie Civil était le mandataire du lot 16-1 du Grand Paris Express. [©Bekaert] Début 2020, en France, les voussoirs en béton renforcé de fibres métalliques ont vocation à être mis en place en phases provisoires (rôle sacrificiel) ou dans le cadre d’expérimentation. Ainsi, à cette époque et six mois après l’attribution du lot 16-1, la Société du Grand Paris demande à Eiffage Génie Civil, mandataire des travaux, s’il serait prêt à réaliser une étude de faisabilité pour la réalisation de voussoirs exclusivement renforcés en fibres métalliques. Ceci, dans le cadre d’une variante économique, sachant que le CCTP de ce lot prévoyait un renfort traditionnel des voussoirs (cages métalliques sans mise en place de fibres). C’est ainsi qu’Eiffage Génie Civil s’engage dans une phase colossale de tests, sur 18 mois. Afin de vérifier l’adéquation avec la matrice béton, des fibres de différents producteurs font l’objet d’essais, dont les Dramix 3D et Dramix 4D de Bekaert. A l’issue de cette première phase de caractérisation et de consultation, ces dernières sont déclarées les plus performantes pour les formulations présentées… Essais au feu réalisés au Cérib Les essais au feu des voussoirs ont été opérés par le Cérib. [©Bekaert] Les voussoirs sont fabriqués dans l’usine Bonna Sabla (groupe Consolis) à Conflans-Sainte-Honorine (78) pour permettre la poursuite de la campagne expérimentale. A commencer par les essais à l’échelle 1 : l’université de Tor Vergata de Rome et le professeur Alberto Meda sont désignés comme conseils d’Eiffage Génie Civil. Puis, des essais sur chant pour vérifier la tenue des voussoirs fibrés à la poussée des vérins hydrauliques. Et de flexion, pour valider la résistance à la rupture. A ce niveau, un dosage de 40 kg/m3 de fibres métalliques est finalement retenu. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 95 jours

Knauf a la fibre de l'isolation biosourcée

Industrie -
Il y a 3 ans et 95 jours

L'apprentissage atteint un nouveau record en 2021 avec plus de 700.000 contrats

Dans le secteur privé, 698.000 contrats ont été enregistrés contre 510.300 en 2020 et 354.000 en 2019, soit un quasi-doublement en deux ans malgré la crise sanitaire du Covid-19.Accessible aux jeunes de 16 à 29 ans, l'apprentissage repose sur l'alternance entre enseignement théorique et formation au métier chez l'employeur avec lequel l'apprenti a signé son contrat.Alors que la France a été longtemps très en retard par rapport à des pays comme l'Allemagne ou la Suisse, "on a une vraie révolution culturelle avec un développement de l'apprentissage à tous les niveaux de diplômes", s'est félicitée Mme Borne auprès de l'AFP.Comme les années précédentes, cette hausse reste portée par l'enseignement supérieur, qui représente 62% des contrats d'apprentissage et où cette voie est financièrement avantageuse par rapport aux études classiques. Mais la progression dans le supérieur "ne se fait pas au détriment des niveaux bac et infra bac", là où son effet sur l'insertion dans l'emploi est le plus fort, souligne Mme Borne. Ces niveaux enregistrent 21% de hausse cette année contre 13% l'année dernière.Selon les derniers chiffres datant de 2020, six jeunes sur dix sont en emploi six mois après la fin de leur apprentissage. "C'est une voie privilégiée pour se former en étant rémunéré avec à la clé très souvent un job", résume Mme Borne.La part des entreprises de moins de 50 salariés reste prépondérante. Alors qu'elles ne représentent que 19% de l'emploi, elles comptent 66% des contrats d'apprentissage.Plus de 70% des apprentis sont dans les services (commerce, gestion, banque, communication, restauration, coiffure...), 15% dans l'industrie et 11% dans la construction.Pour Mme Borne, l'apprentissage peut encore progresser fortement dans les années qui viennent, notamment dans l'industrie et le BTP "dont les métiers sont encore mal connus avec une image datée de l'usine". Des améliorations restent possibles en matière d'orientation scolaire, même si les offres d'apprentissage ont gagné en visibilité sur les logiciels d'affectation Affelnet et Parcoursup.La hausse record des contrats depuis deux ans s'explique notamment par la réforme de 2018, qui a libéralisé l'apprentissage à la fois en termes de conditions d'entrée et d'offre de formation.Près de 1.500 centres de formation des apprentis (CFA) ont été ainsi créés depuis, sans remettre en cause la viabilité des 1.200 existant comme certains le craignaient.Déséquilibre financierLe fort rebond de l'économie en 2021 a aussi poussé les entreprises, confrontées à des difficultés de recrutement, à se tourner vers l'apprentissage.Ceci d'autant plus que les aides exceptionnelles décidées pendant la crise ont été prolongées jusqu'au 30 juin 2022. Cette prime - 5.000 euros pour un mineur, 8.000 pour un majeur - rend le coût de la première année quasi nul pour l'employeur.Revers du succès, le système n'est pas équilibré financièrement.Le prochain exécutif devra d'abord se prononcer sur une éventuelle prolongation au-delà de juin de ces aides versées aux entreprises qui ont reçu près de 4 milliards d'euros.En outre, dès lors qu'un jeune et une entreprise signent un contrat d'apprentissage, le CFA est assuré d'avoir le financement de la formation, via un niveau de prise en charge (5.000 euros pour un CAP maçon par exemple) proposé par les branches professionnelles et validé par l'agence de régulation, France Compétences.Victime de ce succès, France Compétences, qui redistribue l'argent collecté auprès des entreprises et dont les recettes ont été diminuées pendant la crise, a ainsi dû recevoir une subvention de 2,7 milliards d'euros en 2021 et a prévu un déficit de 3,7 milliards dans son budget 2022."Le prochain gouvernement devra réfléchir au modèle de financement de l'apprentissage mais il ne faut absolument pas casser la dynamique. C'est un investissement qui en vaut la peine", conclut Mme Borne.
Il y a 3 ans et 95 jours

Renson Linarte, une façade exclusive pour chaque style

Avec le revêtement vertical de façade en aluminium de style Linarte, vous avez la possibilité de donner à votre maison… Cet article Renson Linarte, une façade exclusive pour chaque style est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 95 jours

Valobat se renforce dans le secteur des déchets inertes

L’éco-organisme Valobat accueille son nouveau partenaire : Cigo. [©Valobat] L’éco-organisme Valobat poursuit son renforcement et accueille un nouveau partenaire, le syndicat des Carrières indépendantes du Grand Ouest (Cigo). Ce dernier représente près d’une cinquantaine d’adhérents, soit un tiers de la production de granulats du Grand Ouest. Ainsi, il intègrera le capital de Valobat, le 23 février prochain et rejoindra le Comité de secteur “inertes”. En effet, les matériaux inertes, soumis à la Responsabilité élargie des producteurs (Rep), représentent aujourd’hui le plus important flux de déchets : environ 33,5 Mt/an. Pour l’éco-organisme, ce rapprochement permettra de mieux soutenir cette filière mature. Mais aussi, d’apporter des solutions innovantes pour monter en compétence, en termes de valorisation. Lire aussi : Valobat : Pour faire progresser le recyclage des déchets du bâtiment Et pour développer de nouvelles opportunités de réemploi. « Nous avons fait le choix d’intégrer Valobat pour sa volonté et sa force à réunir et à traiter toutes les catégories de matériaux, dont les inertes », déclare Dominique Barbier, déléguée générale de Cigo. Un secteur d’activité élargi Créé il y a 20 ans, Cigo se développe dans plusieurs autres régions. « Notre syndicat a un rôle essentiel à jouer pour faciliter la mise en application de la Rep aux professionnels de notre filière déjà tournés vers le traitement et le recyclage des granulats », conclut Dominique Barbier. Le syndicat accompagne ainsi les entreprises de l’industrie extractive pour gérer au mieux l’exploitation des ressources naturelles et leur recyclage.
Il y a 3 ans et 95 jours

Transition énergétique : des besoins en métaux qui inquiètent

Les ministres européens de l'Industrie ont réfléchi mardi à Lens (Pas-de-Calais) aux modes d'approvisionnement futurs de l'Europe en métaux "critiques" de la transition énergétique, afin de réduire leur énorme dépendance et leur retard vis-à-vis de la Chine, qui investit sur ces secteurs depuis une vingtaine d'années.Voici, secteur par secteur, leur utilisation, et les tentatives de substitution en cours pour essayer de diminuer leur consommation, telles qu'expliquées dans le rapport "sécuriser l'approvisionnement de l'industrie en matières premières minérales" présenté aux ministres, et dont l'AFP a obtenu copie partielle.1 - Éoliennes:Les éoliennes utilisent de l'aluminium, du cuivre, du plomb, du manganèse, du nickel. Elles ont aussi besoin de métaux plus rares, classés comme "critiques" par l'Union européenne comme le niobium, ou des terres rares pour fabriquer les aimants permanents de la turbine, comme le dysprosium (Dy), le neodynium et le praséodyme ajoutés à des alliages de fer, et du bore."Des recherches actives sont actuellement en cours pour concevoir des aimants sans terres rares pour les éoliennes à terre, mais pas sur les parcs offshore où le remplacement reste complexe", souligne le rapport de l'industriel Philippe Varin, présenté aux ministres européens.L'Europe est autonome à 58% pour la conception, la fabrication et l'assemblage d'éoliennes (grâce au Danois Vestals et à l'allemand Siemens essentiellement), "sans compter les usines installées par des acteurs non européens comme General Electric en France".Plus on remonte la chaîne de valeur, plus la dépendance européenne augmente vis-à-vis de l'Asie. La Chine à elle seule couvre 54% des besoins européens en matières premières pour les éoliennes, contre 1% pour l'UE.2 - Panneaux photovoltaïques:Le principe de base des panneaux solaires repose toujours sur du silicium, auquel on ajoute des alliages de terres rares pour doper les performances, comme le germanium, le gallium, l'indium, le molybdenum, le sélénium, le tellurium.L'Europe est quasiment absente des différentes étapes de la chaîne de valeur, dépendant à 70% de la Chine pour l'assemblage, à 90% pour les cellules photovoltaïques, et à 53% pour les matières premières autres que le silicium. "L'arrivée de nouvelles technologies innovantes pourrait contribuer à faire émerger" des acteurs européens, souligne le rapport.3 - Moteurs électriques:Pour sortir du pétrole, les moteurs électriques, comme ceux des éoliennes, ont besoin d'aimants permanents pour convertir l'électricité en force motrice, et donc des alliages de terres rares (dysprosium, neodynium, praséodyme) ajoutés à des alliages de fer et à du bore.L'Europe ne fournit que 1% des métaux bruts dont elle a besoin pour cela, alors que la Chine en procure 65% et 55% des métaux raffinés.4 - Batteries électriques:Les batteries Li-ion pour l'automobile utilisées en Europe sont produites à 66% en Chine (13% aux Etats-Unis, 13% dans les autres pays d'Asie et 8% dans le reste du monde). Elles reposent sur des anodes à base de graphite, des cathodes à base d'alliage de nickel, cobalt et manganèse ou aluminium, ainsi que du lithium.Pour améliorer les performances (les échanges d'électrons), on ajoute d'autres métaux en très petite quantité comme le titane, le silicium ou le niobium.L'énergie qu'une batterie est capable de stocker est directement conditionnée par la quantité de lithium que le matériau contenu dans l'électrode positive (cathode) est capable de contenir et d'échanger.Les batteries devraient garder leur composition actuelle en nickel, cobalt, manganèse et lithium au moins jusqu'en 2030-35 étant donné les investissements énormes pour construire des usines. Ensuite, les prochaines générations devraient voir réduire leur teneur en cobalt au profit du nickel.L'Union européenne qui commence tout juste à lancer ses premières giga-usines de batteries produit seulement 1% des métaux bruts dont elle a besoin, 8% des matériaux raffinés et 9% de ses électrodes.
Il y a 3 ans et 95 jours

Les limites du "label vert" pour le nucléaire adopté par la commission européenne

Périmètre restreintToutes les activités de la filière nucléaire ne sont pas reconnues dans la liste des investissements pouvant bénéficier des avantages de la finance verte.Sont concernés la construction de nouvelles centrales pour la production d'électricité et les travaux pour la prolongation de centrales existantes, ainsi que la recherche en vue du développement de technologies minimisant les déchets.Mais la gestion du cycle du combustible (extraction et enrichissement de l'uranium, traitement du combustible usé, enfouissement), élément crucial, en est exclue.Dates limitesLa Commission reconnaît l'utilité du nucléaire pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et lutter contre le réchauffement climatique, mais affirme que seules les énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque, etc...) sont réellement "durables" et restent l'objectif prioritaire de la politique énergétique européenne.Elle a souhaité fixer une limite dans le temps. Pour les nouvelles centrales nucléaires, la labellisation ne pourra s'appliquer qu'aux projets ayant obtenu un permis de construire avant 2045. Les prolongations de centrales devront avoir été autorisées d'ici à 2040.Ces limites visent en fait à encourager le recours le plus tôt possible aux futurs réacteurs de 4e génération, attendus dans les décennies à venir, plus sûrs et limitant considérablement la production de déchets. Il est prévu que ces dates puissent être repoussées "selon les progrès dans le développement de ces technologies".Meilleures technologies disponiblesLe "label vert" ne pourra être accordé qu'aux projets nucléaires mettant en oeuvre les meilleures technologies disponibles. Les nouvelles centrales concernées seront donc au moins de 3e génération (comme l'EPR français de Framatome-Siemens).Pour être reconnus par le label de finance durable de l'UE, tous les projets de centrale (construction ou extension) devront en particulier recourir à partir de 2025 à de nouveaux combustibles qui résistent aux accidents ("accident tolerant fuel").Si la Société française d'énergie nucléaire (Sfen) reconnaît l'intérêt de cette innovation en matière de sûreté, elle estime cependant qu'elle "ne saurait être une exigence" dans la mesure où ces carburants sont encore au stade de la R&D, avec un calendrier de déploiement qui reste incertain.Gestion des déchets et démantèlementBien que non reconnus parmi les activités bénéficiant du "label vert", le recours au traitement et stockage des déchets, tout comme le démantèlement des installations en fin de vie, sont des conditions nécessaires pour labelliser les projets de construction et de renouvellement de centrales.Bruxelles impose aux États membres abritant ces projets un plan de gestion de tous les types de déchets, radioactifs ou non, ainsi que la réutilisation autant que possible des combustibles usés.Mais aussi un projet détaillé pour disposer d'ici à 2050 des installations de stockage par enfouissement des déchets nucléaires à haute intensité dont certains restent dangereux pendant 100.000 ans. Un plan de financement de ces dispositifs est également requis.Contrôle bruxelloisChaque projet de nouvelle centrale ou de prolongation devra être notifié à la Commission européenne qui analysera sa conformité aux critères fixés. Il devra en outre faire l'objet tous les cinq ans d'un rapport détaillé transmis à Bruxelles pour faire le point sur son avancement.Ainsi, l'exécutif européen s'attribue de nouvelles prérogatives qui risquent de s'avérer redondantes avec celles des autorités de sûreté nationales et de rogner la souveraineté des États en matière énergétique.TransparenceToutes les entreprises devront publier la part de leurs activités dans le secteur nucléaire. Cette disposition permettra aux acteurs financiers qui le souhaitent de créer des produits d'investissement "verts" garantis sans nucléaire.
Il y a 3 ans et 96 jours

Les stores et volets toujours absents des aides de MaPrimeRénov' en 2022

Pour le Groupement Actibaie, syndicat professionnel des filières portes, portails, stores et volets, il s'agit d'une erreur car les protections solaires permettent d'améliorer efficacement et durablement le confort d'été en limitant le recours à la climatisation, responsable de 5% des émissions de GES du bâtiment.En 2021, près de 60.000 logements ont aussi bénéficié d'une rénovation globale, via le programme Habiter mieux de l'Anah ou à MaPrimeRénov' Copropriété. Un chiffre qui reste relativement faible. Pour le Groupement Actibaie, « les objectifs ambitieux fixés par l'état en matière de rénovation globale ne pourront être atteints que si les gestes liés au confort d'été sont intégrés dans le dispositif d'aide. Quand on pense économie d'énergie, on associe souvent la consommation d'énergie au chauffage. Or avec le réchauffement climatique, il faut aussi prendre en compte la hausse des températures des périodes estivales. On parle de « confort d'été », mais bientôt il s'agira simplement de confort selon les dernières projections du GIEC. Les stores et volets permettent de réduire la température de 5° voir plus si cela est piloté automatiquement. Sans ces solutions, les Français auront recours à la climatisation. Selon l'Ademe, 25%1 des Français en seraient équipés.Suivre l'exemple de pays européensLe délégué général poursuit : « nous espérons que les pouvoirs publics intégreront rapidement les solutions de protections solaires dans MaPrimeRénov'. Ces gestes de rénovations sont déjà subventionnables dans les DOM-TOM, comme chez certains de nos voisins européens, comme en Allemagne ou en Italie. Et contrairement à l'industrie de la climatisation, la quasi-totalité des solutions de protection solaires sont fabriquées en France ou dans l'Union Européenne. Il s'agit d'une industrie qui ne nécessite pas de lointaines délocalisations et est un moteur de l'économie locale. »1Étude de l’ADEME 2021
Il y a 3 ans et 96 jours

Capter le CO2 dans l’industrie

Certaines activités industrielles (cimenterie, chimie, sidérurgie par exemples) génèrent des émissions de CO2 directement issues de leur process de fabrication qui ne seront pas évitables. Pour elles, la technologie de captage de CO2 devient un levier concret de décarbonation.
Il y a 3 ans et 96 jours

Charlotte Famy quitte Weber et rejoint Chryso

Charlotte Famy en charge des acquisitions et du développement business de Chryso. [©ACPresse] Suite à l’intégration de Chryso dans le groupe Saint-Gobain, intervenue en fin 2021, Charlotte Famy vient de rejoindre l’adjuvantier. Là, elle est en charge des acquisitions et du développement business. En d’autres termes, elle pilote les synergies entre Chryso et les différentes entités de Saint-Gain, dont Weber, maison qu’elle connaît très bien. En effet, durant presque six années, Charlotte Famy en a été la directrice générale, aujourd’hui remplacée à ce poste par Marine Charles. Lire aussi : Marine Charles, nouvelle Dg de Saint-Gobain Weber France Son parcours Diplômée de l’Ecole supérieure d’ingénieurs numériques et matériaux (Esirem) de Dijon et de l’Imperial College London, Charlotte Famy a débuté sa carrière, en 1999, chez Lafarge comme chef de projet au laboratoire de recherche de Saint-Quentin-Fallavier (38). Puis, en juillet 2003, elle intègre le groupe Saint-Gobain, en qualité de directrice du département des minéraux. En 2007, elle rejoint Weber où elle a exercé différentes fonctions de direction au sein du département recherche. Avant de prendre la direction générale, en juin 2016.
Il y a 3 ans et 96 jours

« Si l’on veut avoir une juste contribution à la neutralité carbone d’ici à 2050, il faut transformer toute l’industrie », Arnaud Marquis (Tarkett)

Le leader mondial des solutions de revêtements de sol et de surfaces sportives a présenté ce jeudi 3 février sa nouvelle feuille de route Climat 2030. Présentation en détail avec Arnaud Marquis, directeur du développement durable et de l'innovation chez Tarkett.
Il y a 3 ans et 96 jours

Un nouveau directeur général pour Ariston Thermo France

CARNET-NOMINATION. Le fabricant de matériels de chauffage et de production d'eau chaude, Ariston Thermo, annonce l'arrivée de son nouveau directeur général France en la personne de Jérôme Pradal. Une nomination accompagnée d'une série de quatre autres.
Il y a 3 ans et 96 jours

Nouveau site internet xella.fr

Le site internet www.xella.fr fait entièrement peau neuve pour laisser place à une nouvelle plateforme de marques, claire et intuitive, qui présente toutes les solutions constructives du groupe.
Il y a 3 ans et 96 jours

Bouyer Leroux veut se renforcer dans l'aménagement intérieur

ACQUISITION. Bouyer Leroux est entré en négociations exclusives avec le groupe Riaux, un expert de l'escalier sur-mesure. Une opération qui vise à densifier son offre dans les solutions d'aménagement intérieur.
Il y a 3 ans et 96 jours

En l’île Rouge, sur l’Ile de Nantes, l’agence Forma6 comme chez elle

L’Île Rouge, un immeuble de bureaux (R+6) conçu à Nantes (Loire-Atlantique) par l’agence nantaise Forma6 tire son nom du métal déployé en acier Corten, référence au passé industriel du site, qui habille ses façades. Installé sur l’Ile de Nantes au cœur du quartier de la création, à quelques mètres de la nouvelle école d’architecture et […] L’article En l’île Rouge, sur l’Ile de Nantes, l’agence Forma6 comme chez elle est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 96 jours

Précarité énergétique : des aides complexes peu efficaces et un manque d'accompagnement

Un constat partagé par Régis Largillier, ancien cadre de Schneider Electric et animateur de la chaire HOPE, en pointe dans la recherche de solutions pour contrer ce fléau qui touche près d'un Français sur cinq : selon lui, il faut un véritable "accompagnement" des familles les plus gravement touchées."Pour parvenir à un réel changement d'échelle sur le volet de la rénovation et de la lutte contre la précarité énergétique, l'information et l'accompagnement des ménages sont également indispensables", souligne ainsi la fondation Abbé-Pierre, qui constate que le réseau FAIRE, créé en septembre 2018 pour guider les particuliers, connaît encore de "nombreuses défaillances".Selon une enquête menée par la fondation au premier semestre 2021, appels non décrochés, délais de réponse à rallonge, erreurs dans les conseils délivrés sont monnaie courante.Un constat d'autant plus dommageable que, comme le relève M. Largillier, la "complexité" des différentes aides est telle, "que ce soit au niveau national, européen, ou même régional, que les gens ne comprennent plus rien, ne savent plus"."Ce qu'il faut, au-delà des aides, c'est qu'il y ait un accompagnement. Un accompagnement, avec des gens formés, qui connaissent les différents types d'aides, c'est essentiel", explique M. Largillier.Il s'appuie notamment sur une étude menée en 2020 par des chercheurs de l'université de Grenoble-Alpes sur la précarité énergétique dans l'agglomération de Roanne (Loire), lors de laquelle 78% des personnes sondées ont indiqué qu'elles ne connaissaient pas les aides financières à la rénovation thermique.Cette méconnaissance entraîne souvent un "non-recours aux droits" de la part des usagers, "parce que les droits sont peu connus, peu connus des usagers, bien sûr mais peu connus aussi dans l'ensemble des institutions, des travailleurs sociaux, des collectivités territoriales qui devraient accompagner les gens qui sont en précarité énergétique", souligne M. Largillier.La fondation Abbé-Pierre pointe par ailleurs l'évolution des dispositifs d'aides "qui gonflent les chiffres du nombre de travaux enclenchés en ciblant de simples "gestes" de rénovation, peu efficaces s'ils restent isolés (changer la chaudière, isoler les combles, changer les fenêtres...), au détriment de la performance à long terme d'une rénovation globale".La "honte" d'être précaireSelon une évaluation du plan France Relance menée par France Stratégie, organisme rattaché à Matignon, "86% des travaux financés avec MaPrimeRenov' ne concerneraient qu'un geste de rénovation (changement de chaudière, isolation...), les rénovations globales ne représenteraient que 0,1% des dossiers et les sorties de passoires 0,2%...", souligne le rapport de la fondation.Dans cette étude, France Stratégie estimait cependant que "certains mono-gestes peuvent être efficients, en permettant de dégager des économies d'énergie significatives", prenant l'exemple de l'installation des pompes à chaleur air/eau.En attendant de pouvoir changer réellement la donne par des travaux, le versement d'aides aux ménages pour le paiement des factures demeure crucial.De ce côté-là, le compte n'y est pas non plus, selon la fondation Abbé-Pierre, même si elle salue un élargissement du "chèque énergie" à "deux millions de ménages bénéficiaires supplémentaires et une revalorisation du chèque de 50 euros en 2019 suite à la crise du mouvement des gilets jaunes"."En 2020, le montant moyen du chèque énergie était toujours de 148 euros, alors que la facture énergétique pour le logement était en moyenne de 1.602 euros par an en 2019. En décembre 2021, un second chèque de 100 euros a exceptionnellement été envoyé pour pallier la hausse des prix du gaz et de l'électricité", rappelle la fondation.De plus, relève-t-elle, "le taux de non-recours concerne encore un cinquième des bénéficiaires"."Ceux qui en ont vraiment besoin ne l'utilisent pas", confirme M. Largillier, selon qui les ménages plus concernés ne souhaitent pas "être redevables de l'Etat" ou que cela se sache dans leur entourage : "il y a plein de raisons liées à la honte d'être précaire", voire la crainte de recevoir une lettre qui vient de l'Etat, annonciatrice d'une mauvaise nouvelle, comme un avis d'expulsion.Un aspect qui justifie d'autant plus le besoin d'"accompagnement", selon M. Largillier.
Il y a 3 ans et 97 jours

Présidentielle : la filière forêt-bois présente ses propositions aux candidats

INDUSTRIE. Les professionnels de la filière forêt-bois souhaitent une nouvelle fois attirer l'attention sur leur secteur en dévoilant leurs 23 propositions formulées à destination des candidats à l'élection présidentielle. Leurs demandes tournent essentiellement autour d'un soutien public accru.
Il y a 3 ans et 97 jours

L'UIMM s'inquiète d'une "pénurie de compétences" dans l'industrie

"Il manque à peu près 70.000-75.000 emplois qu'on pourrait immédiatement pourvoir mais il manque des candidats", a déploré Eric Trappier lors d'une rencontre avec l'association des journalistes économiques et financiers (Ajef).L'UIMM regroupe 42.000 entreprises représentant 3,5 millions de salariés des industries aéronautique, automobile, ferroviaire, navale, métallurgique, nucléaire et électronique."On souffre de la désindustrialisation qu'on observe depuis 20 ans, a-t-il jugé, la fermeture en 2013 des hauts fourneaux de l'usine de "Florange est restée dans la mémoire de beaucoup comme (le symbole, ndlr) d'une filière qui disparaît très vite".Il faut donc selon lui une "mobilisation nationale": "aller dans l'industrie c'est noble".Encore faut-il des formations adaptées. "On a de bonnes écoles d'ingénieurs mais on a besoin de plus de techniciens" capables de réparer des robots qui équipent de plus en plus les usines, de gérer les systèmes d'information nécessaires à la production."Il faudrait que l'Éducation nationale prenne conscience qu'elle a un devoir d'orienter vers les filières qui en ont le plus besoin", que les enseignants viennent avec leurs classes dans les usines, a estimé Éric Trappier, par ailleurs PDG de Dassault Aviation."On a besoin très en amont d'avoir des jeunes qui arrivent avec un bagage scientifique, d'avoir des enfants sensibilisés aux sciences" et "revenir dès le plus jeune âge à l'apprentissage des mathématiques", selon lui.
Il y a 3 ans et 97 jours

La mairie de Paris revoit un projet de hautes tours en bord de Seine

"Les échanges au sein de la majorité démontrent qu'il est nécessaire de réajuster le projet", a indiqué la mairie à l'AFP, confirmant une information du Parisien.Les élus parisiens, la mairie d'Ivry-sur-Seine et les équipes retenues vont désormais revoir "la grande hauteur" des deux tours, mais aussi la destination des bâtiments, "notamment celle de bureaux", indique la mairie qui souligne la "responsabilité collective vis-à-vis des Ivryens qui attendent ce désenclavement depuis de nombreuses années".En bordure du périphérique qui sépare la capitale de cette commune du Val-de-Marne, et près des Tours Duo dessinées par Jean Nouvel, le projet Bruneseau nord, pour lequel quatre promoteurs avaient été choisis en mars 2019, devait voir l'édification de tout un quartier, pour un total de 95.000 m2, dont une moitié consacré au logement et un quart aux bureaux.Parmi les bâtiments prévus, 5 tours, dont une de 180 m et une de 100, suscitaient l'opposition d'associations et des élus écologistes malgré la perspective de planchers en bois, une "première mondiale", l'installation "massive" de panneaux solaires et la création d'espaces verts."Les écologistes obtiennent la fin du projet de tours sur la ZAC (zone d'aménagement concerté) Paris Rive gauche - Bruneseau", se sont félicités les élus écologistes du Conseil de Paris, alliés turbulents de la maire Anne Hidalgo.Souvent opposés aux projets architecturaux d'envergure remontant à l'époque de Bertrand Delanoë, le prédécesseur à l'Hôtel de Ville de l'actuelle candidate à la présidentielle, ou au premier mandat de cette dernière, les écologistes n'hésitent pas à faire alliance avec l'opposition de droite pour tenter d'empêcher leur réalisation, comme sur la Tour Triangle (XVe arrondissement) ou le futur bâtiment de la gare d'Austerlitz (XIIIe)."Les tours de hauteur, c'était une aberration écologique", a réagi auprès de l'AFP le conseiller EELV Emile Meunier, pour qui "la ville de demain ne pourra plus être densifiée comme elle a pu l'être jusqu'à présent".En octobre, cet élu avait sérieusement contrarié le projet de la tour de 100 m en faisant voter un amendement, activant une clause résolutoire de l'acte de vente des parcelles.Les socialistes et communistes, favorables au projet, "ont compris que si ça bloquait pour une, ça bloquerait pour toutes", estime M. Meunier, partisan d'une "verticalité raisonnable" mais qui veut "tourner une page de l'urbanisme Missika", du nom de l'ex-adjoint à l'urbanisme qui avait lancé ces projets contestés dans la capitale.
Il y a 3 ans et 97 jours

L'offre de formation 2022 de Knauf Insulation

Knauf Insulation est soucieux de vous aider à développer vos compétences et de vous accompagner dans vos projets. C'est pourquoi ils ont développé trois niveaux de formation présentés dans cette vidéo.
Il y a 3 ans et 97 jours

4 millions de tonnes de CO2 économisées les 20 prochaines années grâce aux 34.000 chaudières bois installées en 2021

Le dernier semestre 2021 a été particulièrement dynamique. Il représente plus de 31% des ventes annuelles, alors qu’en 2020 il n’en représentait que 28% et 27% en 2019. Contrairement aux années précédentes, tous les types de chauffage ont connu une augmentation des ventes. Les chaudières au granulé ont augmenté de +119%, suivi des chaudières mixtes granulés-bûches avec +103% d’augmentation. Les ventes de chaudières à plaquettes et bûches sont aussi en croissance respectivement de 5% et 11%.Le granulé performe et confirme son développement dans le collectif, tertiaire et industriel Sans surprise, le granulé est encore en tête cette année avec un doublement des ventes de chaudières à granulé. Celles-ci passent de 14.000 unités vendues, à 31.000, représentant ainsi une croissance de 120%. Les modèles les plus prisés sont ceux offrant des puissances inférieures à 36 kW avec une croissance de 120 %. En jeu, les aides de l’Etat qui sont majoritairement attribuée aux installations domestiques. Par ailleurs, pour les installations avec des puissances allant de 36 à 499 kW, l’augmentation est aussi présente, comprise entre 65% et 79%. Cela reflète une percée du granulé dans le collectif, tertiaire et industriel. Mais ce secteur de la moyenne puissance progresse moins que le domestique car il est malheureusement moins soutenu. Il doit pourtant lui aussi être décarboné.Les chaudières à bûches et à plaquettes remontentAprès des baisses successives les années précédentes, les chaudières à bûches connaissent une embellie sur l’année 2021 avec une croissance de 11%. Cette croissance concerne uniquement les petites puissances avec un peu plus de 2.000 appareils vendus pour les modèles inférieurs à 36 kW contre 1800 l’année d’avant. Par ailleurs, les chaudières à plaquettes connaissent elles aussi une vraie embellie sur les fortes puissances. Alors qu’elles étaient en baisse en 2019 et 2020 respectivement de -11% et -13%, elles remontent, notamment sur les puissances supérieures à 300 kW : 300 à 499 kW : +56 % 500 à 999 : +21 % > 1MW : +91 % avec une vingtaine de chaudières installées Les chiffres sont aussi positifs sur les petites puissances avec +31 % et +17 % pour les puissances < 36 kW et entre 36 et 69 kW. Comme pour les chaudières à bûches ou granulé, cela souligne encore une fois le rôle significatif des aides.Pour les chaudières entre 70 et 299 kW, il y a une baisse significative, en particulier dans ce contexte favorable : -34% pour 70 à 149 kW et -15% pour 150 à 299 kW. Ces baisses peuvent s’expliquer par la migration d’une partie des ventes vers le granulé.
Il y a 3 ans et 97 jours

Bonna Sabla quitte Consolis pour EiM Capital

Bonna Sabla va rejoindre les rangs d’EiM Capital, suite à sa cession par le groupe Consolis. [©ACPresse] Consolis vient de céder sa filiale française Bonna Sabla à EiM Capital. Ainsi, le spécialiste des solutions constructives en béton préfabriqué entame une nouvelle page de son histoire. Celle-ci ayant débuté en 1893 avec le dépôt du brevet du tuyau en béton armé “âme-tôle”. EiM Capital s’associera et soutiendra l’équipe de direction actuelle dans ses orientations stratégiques pour optimiser la croissance et la valeur à long terme. Les perspectives sont portées par le développement des solutions pour relever le défi de la transition écologique. Mais aussi par la croissance des réseaux ferroviaires, notamment à travers les chantiers du Grand Paris. Ou encore via la poursuite du déploiement des réseaux de télécommunication. Le projet de rachat reste toutefois soumis à la concertation avec les représentants des salariés. Consolis continuera donc à détenir et à exploiter Bonna Sabla jusqu’à la finalisation de la transaction. Celle-ci est prévue au cours des six prochains mois&#8230; Relever les défis écologique et numérique L’accord de reprise comprend toutes les activités actuelles de l’industriel. A savoir, les produits préfabriqués en béton pour l’adduction d’eau potable et la gestion des eaux usées, et pour le génie civil. Mais aussi la marque ABM (équipements pour les zones ferroviaires). Tout comme les activités funéraires, de réseaux secs pour les télécommunications (MPB) et de confinement des déchets nucléaires (SEN). « Pour cette nouvelle ère, Bonna Sabla entend relever le double défi de l’écologie et du numérique au service de ses clients. En particulier, en accélérant l’utilisation de bétons décarbonés et en accompagnant la digitalisation des solutions constructives », souligne Eric Lobbé, actuel dirigeant Bonna Sabla et Pdg annoncé de la future entité créée par le nouveau propriétaire. En effet, EiM Capital est une société de capital-investissement basée à Paris et, entre autres, centrée sur les secteurs de l’industrie, de la construction ou de la chimie. Son portefeuille comporte ainsi des marques comme Bihr ou Francioli (sous l’entité Citygie). Ce que confirme Luigi Chiaraviglio et Renaud Delaage, co-fondateurs d’EIM Capital : « Nous connaissons bien le secteur de la construction et sommes fiers de pouvoir soutenir Bonna Sabla. Nous pensons que son potentiel de développement est important grâce à son excellente réputation et à sa forte position sur le marché ».
Il y a 3 ans et 98 jours

Le centre commercial Leclerc de Saint Just en Chaussée choisit Portalp pour sécuriser et fluidifier les accès de son magasin

&nbsp;Depuis près de 60ans, Portalp, fabricant français de portes automatiques sur-mesure, propose une offre globale de produits et services pour la sécurité et l’accès des bâtiments dans de nombreux secteurs dont le commerce. C’est pour cette expertise et pour la proximité que fournit son réseau français de 26 agences régionales que le centre commercial Leclerc, [&hellip;]
Il y a 3 ans et 98 jours

La CNIM placée en sauvegarde judiciaire avant cession de ses activités

Le groupe industriel CNIM, bas&eacute; dans le Var et qui emploie quelque 2 700 salari&eacute;s, a &eacute;t&eacute; plac&eacute; en proc&eacute;dure de sauvegarde judiciaire et va &ecirc;tre vendu par activit&eacute;, a indiqu&eacute; le minist&egrave;re de l&#39;Economie le 24 janvier.
Il y a 3 ans et 98 jours

Delta Light lance sa nouvelle gamme d'outils d'éclairage Entero

Et si un seul luminaire pouvait s'adapter à toutes les situations ? S'il existait un éclairage unique pour tout type de projet : intérieur ou extérieur, dans un plafond haut ou bas, pour un éclairage rasant, général ou ciblé, pour un éclairage fonctionnel ou pour créer une lumière d'ambiance ?C'est l'objectif que s'est lancé l'équipe R&D de Delta Light.Bienvenue à ENTERODe cette idée naît Entero, un ensemble d'outils conçus pour permettre aux architectes et aux concepteurs de créer des projets d'éclairage intégrés et diversifiés. En n'utilisant qu'une seule gamme de luminaires, il est maintenant possible d'équiper l'ensemble d'un projet et d'obtenir ainsi une continuité de style dans tous les espaces.La base est constituée de trois unités d'éclairage dont chacune est composée d'une LED de haute qualité et d'un bloc optique hybride. Les LEDs diffusent une couleur uniforme, et l'optique hybride assure une lumière confortable dont les faisceaux parfaitement tracés facilitent son intégration dans le projet.Unique mais multipleMalgré sa conception uniforme, la clé de la gamme ENTERO, c'est sa variété. Ce modèle offre une série d'options en format rond ou carré, une puissance réglable, tout comme le choix d'angle de faisceau. ENTERO se présente sous forme de luminaires modulables, avec ou sans bordure, adaptés aussi à l'intérieur, qu'à l'extérieur ou dans les endroits humides. Pour plus de flexibilité et de diversité dans les projets, des options telles que Soft Dim, Tunable White, et wall Wash complètent la famille ENTERO.Un effet lèche-mur parfaitement travailléEn plus de ses quatre angles de faisceau symétriques, ENTERO offre également des optiques avec effet lèche-mur pour un éclairage uniforme des surfaces verticales. Les designers exploitent l'optique brevetée Bartenbach pour obtenir une surface éclairée parfaitement uniforme à partir d'un luminaire encastré dans le plafond. En accord avec la philosophie d'ENTERO, la version Wall wash est également disponible en différentes formes, tailles et options d'installation, parfaite pour tout projet d'éclairage.Un résultat équilibréPour Peter Ameloot, directeur général de Delta Light : "Lorsque nous avons vu pour la première fois la fiche de projet d'ENTERO, il était clair qu'il s'agirait d'un travail d'équilibre. Une liste d'indispensables et d'options supplémentaires, associés à des mots-clés tels que prix abordable, design uniforme, technique et attractif. Un défi, mais un défi passionnant. Lorsque nous voyons le résultat, nous pouvons clairement affirmer qu'ENTERO a trouvé son équilibre, à la fois comme produit et comme famille. Le produit individuel combine un arrière-plan techniquement parfait avec un design épuré à l'avant, tandis que les produits en tant que famille présentent un design uniforme dans différentes tailles, différents types d'application, et différents aspects techniques de la lumière. Un résultat équilibré."
Il y a 3 ans et 98 jours

MARMOLEUM, PAULINE ESPARON ET L’ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE DE CRÉATION INDUSTRIELLE – LES ATELIERS : INSPIRATION DESIGN !

Les Student Challenges de Forbo Flooring : des collaborations internationales en faveur de la créativité Depuis 2016, Forbo Flooring organise régulièrement des Student Challenges, incitant à la performance des étudiants d’écoles de design du monde entier (comme les étudiants en design industriel de l’université Emily Carr de Vancouver, ceux de l’Université Zokei de Tokyo, du [&#8230;]
Il y a 3 ans et 98 jours

ELEC CALC™ BIM : SIMPLIFIER LA CONCEPTION ÉLECTRIQUE BIM

Trace Software vient de lancer la dernière version d’elec calc BIM, logiciel permettant d’intégrer le dimensionnement électrique dans un processus collaboratif Open BIM avec l’échange d’informations au travers d’une maquette numérique. Les évolutions de cette nouvelle version sont principalement axées autour de la récupération de données depuis une maquette numérique Revit®. Beaucoup de professionnels utilisent Revit® pour la conception d’installations électriques. Le plugin Revit®, intégré à elec calc BIM pour répondre à ce besoin, permet de prendre en charge automatiquement la communication entre le moteur de calcul elec calc et la maquette Revit®. Avec cette version d’elec calc BIM, Trace Software est allé plus loin dans les développements afin de simplifier et d’augmenter la productivité de la conception d’installations électriques. LES NOUVELLES FONCTIONNALITES Récupération des circuits Revit® elec calc BIM permet de récupérer l’ensemble des circuits déclarés dans le navigateur du système électrique et de les affecter à leur tableau dans l’explorateur IFC. Grâce à cette fonctionnalité, il n’est plus nécessaire d’effectuer une double saisie des données. L’utilisateur gagne ainsi en temps de conception sur son projet et le risque d’erreur est considérablement réduit. A l’issue de l’étude, il est possible de synchroniser avec Revit® tous les circuits complétés dans elec calc BIM à partir du plugin. Création des circuits à partir des espaces Il est maintenant possible de générer les circuits à partir des espaces présents dans la maquette numérique. Une interface permet de configurer le nombre maximal de récepteurs par circuit. L’utilisateur sélectionne ensuite les espaces dans le viewer. La création est plus rapide car la sélection des composants est groupée. Tracé des fils dans Revit® Le plugin elec calc BIM permet maintenant de récupérer le détail des liaisons et de tracer automatiquement les fils avec les étiquettes pour compléter le schéma du plan d’exécution électrique directement dans Revit®. Création de coupes dans le viewer Le viewer permet de générer des coupes et de les mémoriser dans une vue spécifique. Ces coupes, qui peuvent être consultées à tout moment, permettent d’isoler des parties du bâtiment pour un meilleur repérage des locaux. De plus, les fonctionnalités du viewer ont été optimisées afin de faciliter la navigation. Optimisation du routage L’algorithme de routage a été enrichi afin de router les câbles en automatique dans la majorité des cas de figures, réduisant ainsi les créations manuelles. Les utilisateurs d’elec calc BIM sont automatiquement avertis depuis leur logiciel de la disponibilité de cette nouvelle version. Trace Software présentera les innovations du Logiciel elec calc BIM au salon BIM World Paris qui se tiendra les 5 et 6 avril Prochains à Paris Expo Porte de Versailles.  A propos de Trace Software International Depuis plus de 30 années Trace Software conçoit des applications pour la conception et l’exploitation d’installations électriques et solaires pour le bâtiment et l’industrie. Les solutions de Trace Software couvrent les besoins depuis le chargé d’affaires jusqu’à l’exploitation en passant par le dimensionnement des réseaux. Trace Software est également présent sur le marché de la maquette numérique avec une plateforme complète de conception d’installations électriques en Open BIM. Trace Software est distribué en Europe, Afrique, Amérique du Sud et en Asie via des distributeurs et des filiales en Allemagne, Espagne, Maroc et Chine. www.trace-software.com/fr
Il y a 3 ans et 98 jours

Un bilan très encourageant pour l'anniversaire de la Fondation Castorama

Avec le constat de la progression du mal-logement en France et le contexte du Covid-19 qui a renforcé les inégalités de conditions de logement, la Fondation Castorama a mis un point d’honneur à accompagner les plus fragiles dans l’amélioration de leur logement. Depuis sa création, la Fondation a soutenu 26 associations et plus de 37 000 personnes ont bénéficié de son soutien.Un engagement solidaire sur l’ensemble du territoireLa Fondation Castorama agit au niveau local et a soutenu depuis sa création 26 associations de lutte contre le mal-logement, réparties dans toute la France. Ces associations sélectionnées au travers d’appels à projets ont bénéficié d’un soutien financier s’élevant à 230 000 euros. A l’échelle nationale, des partenariats ont été conclus, comme avec la Fondation Abbé Pierre qui a reçu une dotation de 100 000 euros. La Fondation Castorama a également soutenu à hauteur de 60 000 euros les Compagnons Bâtisseurs dans le projet Bricobus, ayant permis d’aider des personnes démunies confrontées à des problèmes de logement.Pour Yosr Dallegi, Chargée de Programme et Fondations Abritées de la Fondation de France : « La Fondation Castorama et l’ensemble des collaborateurs sont très investis dans leur démarche. L’engagement dont ils font preuve localement et les convictions qu’ils défendent collectivement constituent des relais de solidarité précieux pour les associations et les bénéficiaires qui en ont grandement besoin. »L’action locale des collaborateurs en faveur du mieux-logementDepuis la création de la Fondation Castorama, les collaborateurs de l’enseigne sont pleinement impliqués sur le terrain au travers d’actions locales. En 2021, une centaine de collaborateurs des magasins et du siège ont participé à la réhabilitation de logements à destination de personnes en situation de précarité.Par ailleurs, sept partenariats entre magasins et antennes locales de l’association les Compagnons Bâtisseurs ont pris la forme de dons de produits et de mécénat de compétences.Des initiatives concrètes auxquelles s’ajoute le financement de Castorama à travers la vente de sacs de caisse et de sapins de Noël au profit de la Fondation ainsi que la participation des collaborateurs de l’enseigne à des défis sportifs, tels que le Boost’n’go. Une dynamique qui se poursuit en 2022Dans le prolongement des initiatives solidaires déjà engagées, la Fondation Castorama apportera en 2022 son soutien à 10 nouveaux projets associatifs de lutte contre le mal- logement pour un montant total de 120 000 euros. Les collaborateurs pourront de nouveau participer à une dizaine de chantiers solidaires organisés dans toute la France et s’engager collectivement en se challengeant sur des défis sportifs avec Boost’n’go. Pour Franck Moreno, Président de la Fondation Castorama et Directeur de l’enseigne Castorama en France : « La création de la Fondation est la concrétisation d’un engagement de longue date de Castorama dans la lutte contre le mal-logement. Nous sommes extrêmement fiers de soutenir sur le terrain des projets pour aider les plus démunis. Je remercie vivement mes équipes pour leur enthousiasme et leur implication. Nous nous réjouissons de poursuivre l’aventure en 2022 avec de nouvelles associations et de nouveaux projets. »
Il y a 3 ans et 98 jours

Bonna Sabla tombe dans l'escarcelle d'une société de capital-investissement

ACQUISITION. Jusqu'ici aux mains de Consolis spécialiste français des structures en béton préfabriqué, Bonna Sabla dispose d'un nouvel actionnaire : EIM Capital, société de capital-investissement spécialisée dans l'acquisition, la transformation et l'accompagnement d'entreprises.
Il y a 3 ans et 98 jours

L'aéroport de Bâle-Mulhouse a en partie redécollé en 2021

"Pour cette deuxième année sous le signe de la pandémie, nous avons observé une reprise progressive", a commenté Matthias Suhr, directeur de l'aéroport.En 2020, l'activité de l'EuroAiport avait chuté à 2,6 millions de passagers, très loin de son record historique de 9,1 millions réalisé en 2019.Par rapport à ce pic, le bilan 2021 reste ainsi inférieur de 60%, mais "nous avons connu une belle remontée à partir de l'été et atteint jusqu'à 60% des chiffres de 2019 au second semestre, même 80% certains week-end", a relaté le directeur au cours d'un point de presse par visioconférence.Le trafic effectivement réalisé l'an dernier est légèrement supérieur à la prévision initiale de 3,2 millions de passagers. L'EuroAirport, qui se place habituellement au 5e rang des aéroports régionaux français, espère poursuivre sa remontée cette année en atteignant le seuil de 6,2 millions, a complété Philippe Gauthier, directeur général adjoint par intérim.La croissance de 39% l'an dernier est supérieure à celles de Zurich (+22,7%) et Genève (+5,8%), les deux aéroports suisses derrière lesquels l'EuroAirport se situe en termes d'importance.Comme avant la crise du Covid-19, Easyjet demeure de loin la principale compagnie active à Bâle-Mulhouse, avec 57% du trafic capté, selon les chiffres transmis par la direction de l'aéroport.Le trafic de fret a en revanche progressé l'an dernier de 10%, pour se situer à 119.300 tonnes. Il a bénéficié de nouvelles offres de transport "tout cargo", vers Toronto avec Air Canada, et le fret express a été "porté" par la pandémie, avec le transport de produits sanitaires, selon la direction.La plate-forme emploie 6.107 salariés à fin 2021, un chiffre en légère augmentation sur un an (+57 personnes).Confronté à la pression des riverains quant à ses nuisances sonores, l'EuroAirport a engagé plusieurs mesures de réduction du bruit, dont l'interdiction des décollages "programmés" (hors retards) entre 23H00 et minuit "qui entrera en vigueur le 1er février", a annoncé M. Suhr.
Il y a 3 ans et 98 jours

Résultats du troisième appel à projets France Relance visant à renforcer l’accompagnement à la transformation numérique des TPE et des PME

Opéré par Bpifrance, le troisième appel à projets, lancé le 14 septembre dernier, a permis de retenir 12 groupements d’opérateurs supplémentaires (liste des lauréats en annexe). Ainsi, avec 42 groupements retenus lors des trois appels à projets, ce sont au total plus de 93.000 entreprises qui pourront suivre gratuitement ces formations financées par France Relance. Les TPE et PME pourront, par exemple, bénéficier de formations leur permettant d’améliorer leur référencement en ligne, de mieux communiquer avec leurs clients, de gérer leur notoriété, d’utiliser les réseaux pour recruter ou encore de numériser la gestion de leur facturation et sécuriser les données de leur entreprise. Les sessions organisées par les opérateurs lauréats permettent d’établir un premier bilan : Parmi la variété de thématiques proposées, les plus couramment délivrées concernent la communication, la recherche et la fidélisation de clients (37%). La visibilité sur les réseaux sociaux (21%) et le développement des ventes (16%) sont également très demandés. Grâce au troisième appel à projet, des accompagnements sur la thématique de la cyber-sécurité peuvent être proposés.A ce jour, les régions les plus représentées sont l’Ile-de-France (18% des entreprises accompagnées à fin 2021), l’Auvergne-Rhône-Alpes (16%) et le Grand-Est (13%). Ce troisième appel à projet permet de renforcer l’offre dans les collectivités d’Outre-Mer, notamment à la Réunion, en Guyane et en Nouvelle-Calédonie.Ce dispositif a aussi pour ambition de s’adapter aux besoins des métiers et des secteurs d’activité. A ce titre, des groupements spécialisés proposent des formations spécifiquement adaptées aux secteurs suivants : artisanat, bâtiment, commerce, tourisme, hébergement et restauration, conseil et ingénierie, automobile…Deux tiers des sessions ont eu lieu à distance, en raison notamment de la situation sanitaire.Le programme des sessions de formation gratuites est publié sur le site francenum.gouv.fr.
Il y a 3 ans et 98 jours

Le Gouvernement met en œuvre le blocage à 4% de la hausse des tarifs réglementés de l'électricité

Dans sa délibération du 18 janvier dernier, la Commission de régulation de l’énergie, autorité administrative indépendante, a proposé au gouvernement des tarifs réglementés de vente qui, conformément à la loi, reflètent les coûts d’approvisionnement sans mesure additionnelle. Les propositions de tarifs conduiraient à une très forte hausse : + 44,5 % HT, soit +35,4% TTC, pour les tarifs bleus applicables aux consommateurs résidentiels ; + 44,7 % HT, soit + 35,9% TTC, pour les tarifs bleus applicables aux consommateurs professionnels éligibles. Cette hausse s’explique principalement par l’envolée des prix sur le marché européen de l’électricité, elle-même notamment liée à la forte hausse des prix du gaz en Europe induite par la reprise économique et amplifiée par le faible niveau des livraisons de gaz russe.Le Gouvernement avait anticipé ce mouvement haussier et prévu plusieurs dispositions pour en limiter les effets :Le niveau de la taxe portant sur l’électricité (TICFE) est réduit de 95 % pour 1 an à son minimum possible prévu par le droit européen, soit 1€/MWh pour les clients résidentiels et assimilés et 0,5€/MWh pour les autres. Cette baisse, applicable à compter du 1er février, représente un coût budgétaire pour l’Etat de 8 milliards d’euros. Cette mesure fiscale permet de ramener la hausse des tarifs réglementés à 20,04% TTC pour les consommateurs résidentiels et à 20,88% TTC pour les consommateurs professionnels.De manière exceptionnelle et temporaire en 2022, le volume d’ARENH livré en 2022 augmentera de 20 TWh, afin que l’ensemble des consommateurs bénéficie de la compétitivité du parc électronucléaire français. Ce volume d’électricité à tarif régulé profitera à tous les consommateurs, particuliers, collectivités comme professionnels. Les fournisseurs répercuteront intégralement cette mesure au bénéfice des consommateurs, sous la surveillance de la Commission de régulation de l’énergie.La loi de finances autorise enfin le Gouvernement à s’opposer aux propositions tarifaire de la Commission de régulation de l’énergie à titre exceptionnel en 2022 et à en limiter la hausse à 4%. Les arrêtés publiés aujourd’hui mettent en œuvre ce plafonnement qui s’applique pour les consommateurs résidentiels et les petits consommateurs professionnels en métropole continentale et pour tous les consommateurs dans les zones non interconnectées (Corse et territoires ultramarins).Ce plafonnement permet de réduire la hausse moyenne des factures d’électricité des ménages à 38 €/an sur la facture d’un client résidentiel et environ 60 €/an pour un client professionnel. En l’absence de mesures, la hausse aurait été de 330 €/an pour un client résidentiel et de 540 €/an pour un client professionnel. Le bouclier tarifaire bénéficie à tous les français quel que soit leur fournisseur. La loi de finances prévoit en effet que tous les fournisseurs bénéficient d’une compensation en 2022 par l’Etat des charges qu’induisent pour eux le plafonnement des prix, à concurrence de l’effet du plafonnement appliqué aux tarifs réglementés. Ils pourront ainsi mettre en œuvre ce plafonnement et en faire bénéficier tous leurs clients.Ces mesures s’inscrivent dans un ensemble d’actions prises par le Gouvernement depuis plusieurs mois pour atténuer les conséquences de la hausse des prix des énergies pour les consommateurs, et notamment les plus modestes :Un chèque énergie exceptionnel de 100 € a été distribué au cours du mois de décembre 2021. Ce nouveau chèque aide les 5,8 millions de ménages qui avaient déjà reçu un chèque énergie en avril 2021 à régler leurs factures d’énergie. Ce soutien ciblé sur les ménages les plus en modestes représente une aide de près de 600 millions d’euros. Un nouveau chèque énergie sera adressé en avril 2022.Les tarifs réglementés du gaz ont été gelés à leur niveau du mois d’octobre 2021 durant toute la durée de l’hiver et au besoin jusqu’à la fin de l’année 2022. L’Etat prendra en charge le surcoût induit par ce gel pour les fournisseurs, conformément aux dispositions prévues dans la loi de finances pour 2022.Une indemnité inflation, d’un montant de 100 €, est attribuée aux 38 millions de personnes résidant en France dont le revenu net mensuel est inférieur à 2 000 €, entre décembre 2021 et février 2022, soit un soutien additionnel de l’Etat de 3,8 milliards d’euros. L’aide est versée en une fois par les employeurs aux salariés, ceux-ci étant intégralement compensés par l’État de ces versements via une aide au paiement de leurs charges sociales.Enfin, compte tenu de la hausse continue des prix des carburants, le Premier ministre a annoncé le 25 janvier 2022 une revalorisation de 10% du barème des indemnités kilométriques. 2,5 millions de foyers environ sont concernés par cette mesure dont l'effet sera rapide et direct dès leur déclaration d'impôt sur les revenus 2021 ou sur les bénéfices de l'année dernière. Cette revalorisation a vocation également à servir de référence, et donc potentiellement à se répercuter, sur les indemnités kilométriques directement versées par les employeurs à leurs salariés qui utilisent leur véhicule personnel.Le Gouvernement agit ainsi pour protéger le pouvoir d’achat des Français et la compétitivité de l’économie face à la hausse des prix des énergies.
Il y a 3 ans et 99 jours

Le centre commercial Leclerc de Saint-Just-en-Chaussée choisit Portalp pour sécuriser et fluidifier les accès de son magasin

Depuis près de 60 ans, Portalp fabricant français de portes automatiques sur-mesure, propose une offre globale de produits et services pour la sécurité et l’accès des bâtiments dans de nombreux secteurs dont le commerce. C’est pour cette expertise et pour la proximité que fournit son réseau français de 26 agences régionales que le centre commercial Leclerc, situé à Saint-Just-en-Chaussée (Oise), a fait appel à Portalp pour le remplacement des deux portes d’accès au magasin. Des portes SAS sur-mesure D’une superficie de 6500 m2 le centre commercial de Saint-Just-en-Chaussée, composé d’un supermarché Leclerc et d’une galerie marchande, accueille chaque jour près de 2500 clients. A l’origine, il était équipé de deux portes tambours rendant difficile l’accès avec un chariot. De plus, ce système s’avérant en panne régulièrement, Monsieur Deschamps, Directeur du centre, a souhaité  le remplacer pour bénéficier de portes mieux adaptées au fort trafic. Il a fait appel à Portalp qui lui a proposé une solution sur-mesure pour conserver, au maximum, la structure existante encore fonctionnelle Les portes SAS automatiques composées, chacune, de quatre vantaux fixes et de deux vantaux mobiles s’ouvrant en même temps pour fluidifier l’accès ont remplacé les installations dysfonctionnelles. « La problématique technique était de s’adapter au diamètre des deux structures cintrées existantes« , explique Christophe Ferrero, technico commercial Portalp. En amont de la fabrication de ces produits spécifiques, l’expertise de Mohamed Touach conducteur de travaux Portalp a été capitale dans la prise de cotes et la vérification de celles-ci avant leur transmission au bureau d’études pour la réalisation du plan d’exécution. « Une fois celui-ci dessiné, il est à nouveau contrôlé et validé avec le client. Et comme ce sont des portes automatiques sur-mesure, le plan est très détaillé pour que les techniciens réalisent la pose dans les règles de l’art » ajoute Lionel Landois, chef des ventes Ile-de-France Portalp. Avant la pose des deux nouvelles portes SAS coulissantes Portalp, le sol a été carrelé pour une meilleure planéité, les rails cintrés des portes d’origine enlevés et remplacés par ceux de Portalp qui ont été scellés dans une réservation pour maintenir les portes en partie basse. Compte tenu de la grande largeur de passage et pour être en conformité avec la norme EN 16005, la sécurité  des clients est assurée par trois détecteurs situés de part et d’autre, des portes SAS cintrées ainsi qu’un supplémentaire au milieu du passage libre. Un délai de fabrication et de pose très court « Le délai de fabrication de ces portes automatiques sur-mesure est de seulement 8 semaines et il faut compter 12 semaines de l’étude à la livraison. C’est ce qui fait notre spécificité chez Portalp » indique Christophe Ferrero. L’installation de chaque porte SAS a été réalisée par cinq techniciens en une semaine. Pour faciliter et optimiser le temps de pose sur chantier, la structure aluminium des portes, dont chaque vantail pèse 120 kg, est pré-assemblée et pré-percée en usine. « Afin d’optimiser la durée de vie et la fiabilité de ces deux nouvelles structures, nous avons proposé à Monsieur Deschamps un contrat de maintenance assuré par notre équipe régionale qui intervient 7 jours /7, 24 h/ 24. Une offre qu’il a immédiatement accepté car celle-ci lui permet de bénéficier en plus d’une extension de garantie à cinq ans » conclut Christophe Ferrero. Cette offre de maintenance complète le service que Portalp propose tout au long d’un projet à ses clients. De l’accompagnement à l’étude en passant par la fabrication sur mesure et made in France, les équipes expérimentées de Portalp fournissent une offre globale et complète au secteur des petites et grandes enseignes. http://www.portalp.com/
Il y a 3 ans et 99 jours

Dalkia lance sa filière de génie électrique

Le groupe EDF annonce dans un communiqu&eacute; du 25 janvier la concentration de ses activit&eacute;s de g&eacute;nie &eacute;lectrique au sein d&rsquo;une nouvelle filiale : Dalkia Electrotechnics qui int&egrave;gre notamment Citelum France.
Il y a 3 ans et 99 jours

Le marché de l’immobilier logistique s’envole en 2021

Avec une hausse significative de 34% par rapport à l’année 2020 et de 12% par rapport à l’année 2019, le secteur connaît une évolution très favorable. Point à date sur ce marché en pleine expansion malgré la crise sanitaire et qui, selon les régions, affiche des résultats bien au-delà des prévisions initiales. Quelques faits marquants : Plus de 3.700.000 m² transactés (bâtiments ICPE de plus de 10.000m²), soit une augmentation de la demande placée de 34 % par rapport à 2020 et 12 % par rapport à 2019La région des Hauts-de-France représente à elle-seule 28 % du marché globalLes opérations de plus de 50.000 m² sont de retour et représentent 28 % du marchéLes opérations de construction (clé en main) représentent environ 45 % du marché global Les prestataires logistiques sont les acteurs majeurs du marché (50% des transactions)La raréfaction des terrains dédiés à la logistique s’accélère : on observe une pénurie de terrains de plus de 5 hectares libres sur les principaux pôles logistiques de l’hexagone. Les prix ont donc été multipliés par 3 sur certains secteursLes coûts de construction et les loyers progressentLes taux de capitalisation prime sont de l’ordre de 3,5%.Chiffres clefs et tendances Sur l’année 2021, EOL comptabilise 3,7 millions m² de surfaces placées (dont 1.271.000 m² sur le dernier trimestre) pour 143 transactions. Des chiffres en forte hausse par rapport à 2020 (2.785.000 m² et 107 transactions), mais également par rapport à l’année 2019 (3.377.000 m² et 112 transactions).Les 4 marchés de la dorsale (Lille, Paris, Lyon et Marseille) représentent 70 % de la demande placée, ce résultat est principalement lié à la performance exceptionnelle des Hauts-de-France et à la bonne performance de l’Ile-de-France. Le manque d’offre disponible et l’absence de développement limitent les performances de Lyon et Marseille. Malgré le peu de fonciers disponibles et l’absence de projets de développement à court terme, l’Ile-de-France affiche une performance satisfaisante avec plus de 800.000 m² placés (+ 45 % par rapport à 2019), essentiellement sur des immeubles existants (61 % des transactions). Le marché en régionsLa région des Hauts-de-France : La région des Hauts-de-France bat encore un record inédit avec 1.070.000 m2 de surfaces placées (soit 1/3 du marché français).Pour Laurent Sabatucci, directeur associé, fondateur EOL : « Près de 3500 emplois au cours de l’année 2021 ont été créés et la logistique a généré un investissement privé de plus 500 millions d’euros. La région Hauts-de-France a mené une stratégie « logistique friendly » et a séduit de grands acteurs, rappelons-nous des opérations de Seb et La Redoute qui ont marquées l’année 2021. »Le marché en Rhône-Alpes (Lyon) : 400.000 m² transactés en 2021. 3ème région de France en termes de demande placée loin derrière les Hauts-de-France et l’Ile-de-France, Lyon souffre du manque de développement et d’un stock d’offres disponibles très faible. Très forte tension sur l’offre avec un taux de vacance historiquement bas (3%). Les quelques opérations lancées en blanc et les terrains disponibles pour des clés en main ont été commercialisés. Peu de développements à venir et peu de solutions de report sur des marchés périphériques.Le marché dans les Bouches-du-Rhône (Marseille) : 288.000 m² placés. 5ème région de France en termes de demande placée. Une baisse continue du taux de vacance (4%). Des loyers en hausse. A la différence du marché lyonnais, le marché marseillais propose quelques solutions de développement notamment à proximité du port de Fos.Le marché en Centre-Val-de-Loire (Orléans) :Avec plus de 300.000 m² conclus en 2021, cette région confirme sa position de pôle majeur et occupe la 4ième place des régions en termes de demande placée derrière les Hauts-de-France, Paris et Lyon.Le nombre d’opérations lancées en blanc et en cours de développement garantissent une certaine fluidité du marché.Le taux de vacance est stable.Les loyers sont en hausse modérée. Le marché en Nouvelle-Aquitaine (Bordeaux) : 70.000 m² transactésPeu de transactions et très peu d’offres disponibles dans un marché sous tension.Les opérations lancées en blanc ont été commercialisées. Le marché en Occitanie (Toulouse) : Un marché qui reste atone (85.000 m²) compte tenu du manque d’offres disponibles.Un taux de vacance toujours faible.EOL acteur de référence du secteur en France et à l’internationalEn France, au global, EOL a conclu 570.000 m² de projets logistiques sur des bâtiments existants ou des développements, notamment une opération emblématique de plus de 110.000 m² pour le compte de La Redoute à Cambrai (59).En Europe, après avoir accompagné Carrefour pour un projet industriel et logistique à proximité de Bruxelles, EOL vient de signer un terrain de plus de 20 Ha en Pologne pour y développer un projet de plus de 80.000 m2pour l’un de ses clients français.EOL poursuit l’accélération de la décarbonation des entrepôts EOL a initiée dès 2016 une stratégie de décarbonation des entrepôts ce qui lui permet aujourd’hui d’accompagner les acteurs majeurs du marché dans une démarche unique et innovante. L’application du décret tertiaire oblige les exploitants des entrepôts à diminuer de 40% les consommations d'énergie, EOL apporte une approche globale et un savoir-faire technique dans le choix des sites logistiques.
Il y a 3 ans et 99 jours

Nouvelle cheville DuoSeal fischer : La nouvelle fixation étanche pour zone humide, sans silicone !

Lors de la fixation d&rsquo;étagères de salle de bains ou de cuisine, d&rsquo;armoires murales, de porte-serviettes, de cabines de douche, de miroirs, de porte-savon, de rideaux de douche&#8230; dans des zones humides, il est essentiel de veiller à l&rsquo;étanchéité du trou de forage pour éviter les infiltrations d&rsquo;eau, l&rsquo;humidité ou les moisissures qui pourraient endommager les éléments de structures (mur, isolant&#8230;). Jusqu&rsquo;à présent, pour assurer la bonne étanchéité des trous de perçage, le recours au silicone était nécessaire. Mais cette solution temporaire devait être souvent renouvelée et n&rsquo;était pas conforme à la norme DIN 18534 qui réglemente l&rsquo;étanchéité des sols et des murs dans les pièces intérieures. Pour fixer tous ces éléments de salle de bains et de cuisine, fischer, toujours à la pointe de l&rsquo;innovation, lance dans la gamme DUOLINE une nouvelle cheville nylon avec fonction d&rsquo;étanchéité, la DuoSeal. Cette cheville bimatière pour tous les matériaux de construction a la particularité de rendre complètement étanche le trou de perçage, sans produit d&rsquo;étanchéité supplémentaire. Elle empêche ainsi la moisissure et l&rsquo;humidité d&rsquo;atteindre le matériau de construction tout en assurant simultanément une fixation sûre. En outre, l&rsquo;étanchéité à l&rsquo;eau de la DuoSeal a été prouvée sur la base de l&rsquo;ETAG 022 et de la DIN 18534. &nbsp; fischer DUOLINE : La gamme bimatière Haute qualité, les fixations de la gamme DUOLINE fischer sont parfaitement identifiables avec leurs couleurs rouges et grises. Les chevilles DuoPower, DuoTec, DuoBlade, DuoXpand et DuoSeal sont fabriquées à partir d&rsquo;une combinaison de matériaux souples et rigides. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, assurent un ancrage optimal avec des performances nettement supérieures à celles des chevilles nylon traditionnelles en termes de valeur de charges et de sécurité. &nbsp; Une fixation sûre et étanche La nouvelle fixation DuoSeal fischer est idéale pour les surfaces carrelées ou en faïence exposées à des projections d&rsquo;eau très fréquentes ou à des accumulations d&rsquo;eau temporaires comme la salle de bains, la cuisine, les toilettes&#8230; Universelle, cette cheville s&rsquo;adapte à tous les matériaux : béton non fissuré, brique pleine, brique perforée, matériaux de construction en panneaux&#8230; La DuoSeal se compose d&rsquo;une cheville avec un corps bimatière et d&rsquo;une vis en acier inoxydable à empreinte TX, parfaite pour les zones humides. La géométrie spéciale du fût (0) de la vis est lisse afin d&rsquo;assurer l&rsquo;étanchéité du trou de forage. Quant à la cheville, son composant rouge en nylon (1) de haute qualité s&rsquo;adapte automatiquement au support (s&rsquo;expanse, se déploie, forme un nœud) qu&rsquo;il soit plein, creux ou en plaque. La zone d&rsquo;expansion grise (2) souple est pressée contre la paroi lors de la mise en place de la vis et obture complètement le trou de forage. Elle offre une sécurité supplémentaire. Les anneaux (3) sur le corps de la cheville compensent les irrégularités du forage, de sorte que la fonction d&rsquo;étanchéité est garantie même si le trou n&rsquo;est pas parfait. La collerette (4) empêche la cheville de passer au travers du trou de forage et garantit l&rsquo;étanchéité de la fixation. Les ailettes (5) offrent quant à elles une fonction anti-rotation pour une mise en œuvre correcte. L&rsquo;étanchéité entre la vis et la cheville, et la cheville et le matériau support, est parfaitement assuré et sans silicone supplémentaire. La DuoSeal évite l&rsquo;apparition d&rsquo;humidité et de moisissures derrière le carrelage. Une étanchéité à l&rsquo;eau conforme aux normes européennes et allemandes L‘étanchéité à l‘eau de la DuoSeal fischer est attestée conformément aux normes ETAG 022 et DIN 18534 jusqu‘à la classe d‘exposition à l‘eau W3-I (surfaces très exposées à l&rsquo;eau). La norme ETAG 022 atteste de l&rsquo;étanchéité du produit aux éclaboussures d&rsquo;eau chaude ou froide permanentes. Quant à la norme d&rsquo;étanchéité DIN 18534, elle réglemente l&rsquo;étanchéité des sols et des murs dans les pièces intérieures. Elle distingue 4 classes d&rsquo;exposition à l&rsquo;eau : W0-I (surfaces peu exposées à l&rsquo;eau), W1-I (surfaces avec une exposition modérée à l&rsquo;eau) , W2-I (surfaces fortement exposées à l&rsquo;eau) , W3-I (surfaces très exposées à l&rsquo;eau). Que ce soit à l&rsquo;intérieur de la douche, autour du lavabo ou près de l&rsquo;eau &#8211; la cheville DuoSeal est étanche en permanence. &nbsp; Une fixation ultra simple La DuoSeal s&rsquo;insère rapidement dans le trou de forage par simple enfoncement, sans aucun accessoire supplémentaire ni mastic ou silicone. Elle scelle le trou de perçage sur toute la surface et maintient la paroi arrière au sec. La DuoSeal est disponible en diamètre 6 x 38 mm et diamètre 8 x 48 mm, et fournie avec des vis inox A2. Prix de vente conseillé : A partir de 44 euros TTC boîte de 100 pièces Points de vente : GSB, Négoces en matériaux
Il y a 3 ans et 99 jours

Schindler confirme son positionnement d'ascensoriste 4.0

Le groupe Schindler déplace à lui seul plus d’un milliard de personnes dans le monde chaque jour. D’origine suisse, créé en 1874, le groupe familial est présent en France depuis le début des années 60 par le rachat de la célèbre société Roux-Combaluzier. En France, l’ascensoriste assure le bon fonctionnement de 150 000 appareils, avec 60 millions de trajets par jour. Schindler couvre l’intégralité des activités liées aux ascenseurs, escaliers mécaniques et trottoirs roulants, du design à installation en passant par la maintenance, la réparation et la rénovation. Complètement intégré dans le quotidien de tous, l’ascenseur, un service d’utilité quasi-public, est le moyen de transport le plus utilisé au monde. Ce secteur connaît aujourd’hui une transformation industrielle 4.0 au cœur des Smart Cities d’aujourd’hui et de demain.Schindler : acteur des Smart Cities de demainPour assurer la pérennité de ses services, Schindler fait preuve d’innovation au quotidien avec, au cœur de son action, l’expérience passager. Il mise sur l’IA et la digitalisation pour : optimiser les temps d’attente et de trajet, proposer une télésurveillance intelligente en assurant un service sans interruption (anticipation des dysfonctionnements et des pannes…) et mettre à disposition des services connectés pour les usagers. Depuis 2018, tous les ascenseurs Schindler sont dotés d’une box connectée baptisée le Cube, siège de la maintenance prédictive. Grâce à cette technologie, il est possible d’anticiper les dysfonctionnements en relayant toutes les données relatives à l’ascenseur. La maintenance prédictive c’est : plus de 20 000 ascenseurs connectés, plus de 1000 paramètres surveillés en temps réel et une intervention des techniciens, en moyenne, 5 fois plus rapide. Dans une logique de responsabilité sociétale et environnementale, Schindler intègre dans le développement de son offre digitale, des technologies d’Edge Computing (filtrage de données pour ne pas engorger le Cloud).Schindler, un acteur éco-responsableLe nouveau siège social de Schindler se situe dans un bâtiment durable, le Quartz, certifié HQE et BREEAM, équipé pour répondre au développement digital de son activité. Situé à Vélizy-Villacoublay, en région parisienne, le Quartz héberge non seulement le siège de la maintenance prédictive mais également son centre d’appels. Schindler participe à cette évolution industrielle qui vise à changer le paysage urbain de demain. C’est dans cette optique que l’entreprise poursuit sa transformation sur le plan comportemental, technologique, organisationnel et RSE afin d’apporter un bénéfice à ses clients, partenaires et collaborateurs : politique zéro papier, électrification de la flotte automobile, partenariats avec des ONG, campagne de diversité, etc…
Il y a 3 ans et 99 jours

Isover a réalisé l’isolation thermique et acoustique du “Wonder of the Seas”, le plus grand paquebot du monde

Un chantier hors norme pour un paquebot hors normeConnu à Chantiers de l’Atlantique en tant que “C34”, son numéro de coque, ce mastodonte de 362 mètres de long pour 64 mètres de large affiche selon son armateur, la compagnie américaine Royal Caribbean International (RCI), des chiffres impressionnants et démesurés :D’un coût de plus d’un milliard d’euros, le Wonder of the Seas, dont l’assemblage a débuté en octobre 2019, a été mis à l’eau pour les essais en mer en septembre 2020. Les premières croisières à bord sont prévues au printemps 2022.Un panel de solutions ISOVER pour répondre à l’ensemble des postes d’isolation du navireParticulièrement drastiques, les normes de sécurité incendie à bord sont un enjeu essentiel dans la construction navale. La gamme de produits U SeaProtect®, fabriqué à base de la laine de roche légère ULTIMATE®, a fourni la réponse optimale avec une nouvelle génération de laine minérale haute performance qui combine tous les avantages en termes de feu, d’isolation thermique et acoustique, avec des économies de poids substantielles. 2/3 de l’isolation, soit 50 000 m² ont été réalisés avec U SeaProtect® pour assurer le confort thermique et la sécurité des passagersPour ce chantier d’envergure, le produit U SeaProtect® a été retenu pour ses excellents résultats sur tous les aspects : sa performance thermique qui garantit une forte augmentation de l’efficacité énergétique tout en réduisant significativement les coûts d’exploitation et les émissions de CO₂. De plus, U SeaProtect® est une solution au poids exceptionnellement léger : - 25 % versus un isolant classique en laine minérale. Aussi, le produit est conditionné avec un emballage comprimé et hautement rationalisé, permettant de réaliser des économies logistiques et facilité l’installation sur le chantier.U SeaProtect® répond également aux normes les plus exigeantes concernant la protection incendie, allant du plus haut niveau de réaction au feu à d’excellentes qualités de résistance au feu.100 000 m² de panneaux d’isolation PI Marine pour de hautes performances thermiques et anti-condensationFace aux enjeux thermiques et de condensation, ISOVER a proposé la gamme PI MARINE en laine de verre. Exclusive sur le marché, elle a été incontournable pour isoler thermiquement et assurer un rôle d’anti-condensation.3 produits ont été posés sur différents postes dans le navire :PI662, un panneau en laine de verre face alu qui a été utilisé pour isoler la coque et assurer l’anti-condensation sur bordée.PI682 a permis d’isoler une grande partie du réseau des conduits de ventilation.PI695, un écran coupe-tirage a été installé entre les cabines, aux plafonds et sur les ponts. Leur rôle coupe-feu permettant d’empêcher la propagation des fumées toxiques en cas d’incendie.Un navire moins lourd qui consomme moins de carburantDans la quête de navires plus gros et plus rapides, le poids des matériaux et la réduction de poids en général n’ont jamais joué un rôle aussi important qu’aujourd’hui. Avec sa gamme marine la plus légère du monde, ISOVER a permis une économie de poids de - 25 % sur l'isolation, pour un résultat identique en termes de performances, participant ainsi à la réduction de l’impact environnemental du plus gros paquebot du monde, dont la consommation en carburant a été réduite.