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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

(35092 résultats)
Il y a 3 ans et 109 jours

Knauf se lance dans le biosourcé

Le spécialiste des panneaux isolants en polystyrène expansé, polyuréthane et laine de bois a présenté le 20 janvier Knauf ThermaSoft natura, son premier isolant à base de fibres végétales naturelles et recyclées : coton, lin et jute.
Il y a 3 ans et 109 jours

Les prêts immobiliers rebondissent en 2021, les taux toujours bas

"La demande s'est redressée dès le début du printemps dernier", constatent les auteurs de cette étude, référence dans le secteur. Sur l'ensemble de l'année 2021, le nombre de prêts accordés a progressé de 4,6% par rapport à l'année précédente.Ce rebond est à mettre en perspective avec la lourde chute observée en 2020 du fait de la crise sanitaire: -18,1%, selon la même source.Les offres acceptées l'an dernier atteignent un total de 190 milliards d'euros (hors renégociations, rachats de crédit et prêts relais), un chiffre provisoire qui surpasse déjà celui de 2019 (189,8 milliards).Cette progression est due à la bonne santé du marché immobilier en France pour les logements neufs comme pour les logements anciens, ainsi qu'à des taux d'intérêt extrêmement bas."Les conditions de crédit sont très bonnes, excellentes même", affirme Michel Mouillart, professeur d'économie chargé de la présentation des résultats de l'étude.Le taux moyen des crédits accordés par le secteur privé était de 1,05% au quatrième trimestre 2021, contre 1,17% en 2020 et 1,20% en 2019."C'est un plancher", reprend M. Mouillart. Les taux pratiqués par les banques l'an dernier "sont les plus bas depuis le début des années 50. De plus, la quasi-totalité des taux servis sur l'ensemble de l'année 2021 sont inférieurs à l'inflation, du jamais-vu", souligne-t-il.L'inflation a en effet nettement accéléré ces derniers mois, atteignant +2,8% en décembre sur un an, selon l'Insee.Ces conditions favorables s'expriment aussi en matière de durée des crédits. En moyenne, les nouveaux prêts immobiliers courent sur près de 20 ans au quatrième trimestre 2021, un niveau historiquement long, de neuf mois supérieur à celui observé en décembre 2019.Crédit Logement est une société de financement spécialisée dans la garantie des prêts immobiliers destinés aux logements des particuliers, en se basant sur des critères comme la solvabilité de l'emprunteur ou la valeur du bien. Elle se targue de garantir un prêt immobilier sur trois.
Il y a 3 ans et 109 jours

À Marseille, le maire signe le coup d'envoi des travaux de rénovation des écoles

CHANTIER. L'édile de la seconde plus grande ville de France a assisté au début des travaux d'un chantier de rénovation d'une école. Au total, 470 établissements scolaires marseillais doivent être réhabilités, notamment pour offrir des conditions plus "dignes" de aux enfants.
Il y a 3 ans et 109 jours

La toiture du parc des expos de Düsseldorf, conçue par SOP : lumineuse et légère

Pour la nouvelle entrée du parc des expositions Messe Düsseldorf (Allemagne), l’agence d’architecture Slapa Oberholz Pszczulny (SOP) a opté pour les membranes Frontside View 381 et PTFE Verseidag du groupe Serge Ferrari, lesquelles bénéficient d’une classification Euroclasse A2 tout en offrant une solution à la fois durable et économique. La nouvelle entrée sud du parc […] L’article La toiture du parc des expos de Düsseldorf, conçue par SOP : lumineuse et légère est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 109 jours

Un léger freinage des productions de matériaux de construction en novembre 2021

Selon le rapport de l'Unicem de janvier 2022, la conjoncture pour les matériaux de construction en novembre s'annonce peu dynamique.
Il y a 3 ans et 109 jours

Loubat Fermetures rejoint le groupe Estémi

Cette opération s'inscrit dans le cadre du développement externe du groupe ESTÉMI orchestré par son président Jean-Luc Nouveau à la tête du groupe depuis 2007. Loubat Fermetures vient compléter les 4 sites de fabrication et de production du groupe Estémi (tout nouvellement nommé) implantés sur le territoire national.Pour Jean- Luc Nouveau, président du Groupe Estémi : « La construction du groupe Estémi, depuis son origine, s’appuie sur la proximité locale et le produire en France sur des sites déjà ancrés sur leur territoire pratiquant une relation de proximité avec leurs clients, professionnels indépendants de la pose et entreprises générales. Loubat Fermetures devient le 5ème site de fabrication et production du groupe Estémi et vient ainsi enrichir, grâce à son expertise reconnue, notre offre de fermetures sur-mesure, performantes, durables et de fabrication française. Cette opération amène à l’équilibre notre offre de menuiseries et notre offre de fermetures tout en nous permettant de continuer à mailler le territoire national. » Loubat Fermetures est une société spécialisée dans la conception et la fabrication de fermetures sur-mesure implantée à Sainte-Livrade-sur-Lot (47) depuis 1952. Monsieur Kim Van Roy, Président depuis 2020, poursuivra avec son équipe le développement de l’entreprise tant sur le plan industriel que commercial. La société a acquis et capitalisé une expérience et un savoir-faire importants dans le métier de la fermeture sur-mesure et en matière de fabrication industrialisée depuis son origine. Ses produits sont distribués par des artisans professionnels de la pose et des entreprises générales sur une grande partie du territoire français. L’ensemble de son offre de volets roulants, volets battants, volets coulissants et portes de garage, essentiellement en aluminium, est certifiée NF. L’entreprise a été précurseur en France pour la certification NF de volets battant (2016). Ce rachat conforte l'assise financière de Loubat Fermetures et lui permettra de bénéficier à terme, au sein d'un groupe industriel à taille humaine, des synergies d'ordre commercial, productif et administratif, ainsi que d'un appui opérationnel et stratégique. De son côté, Loubat Fermetures apporte au groupe Estémi un savoir-faire et une expertise technique reconnus depuis des décennies dans les métiers de la fabrication de fermetures et notamment des volets battants.Pour Jean- Luc Nouveau, président du Groupe Estémi : « Cette acquisition élève le groupe Estémi à un CA de 88 millions d’euros avec un effectif de 450 salariés. Une nouvelle croissance externe sur le Rhône-Alpes reste d’entière actualité et sera, nous l’espérons le prochain chapitre du groupe sur 2022. »
Il y a 3 ans et 110 jours

Le groupe de matériaux Saint-Gobain confiant pour 2022

Le groupe de matériaux de construction Saint Gobain confiant en l'avenir après avoir traversé en 2021 "la meilleure année de son histoire". Photo © Gilles Trillard
Il y a 3 ans et 110 jours

Première laine de verre labellisée Solar Impulse Efficient Solution

La labellisation Solar Impulse Efficient Solution a pour objectif de prouver que l’investissement dans des produits technologiques propres est une opportunité économique et industrielle, mais aussi une nécessité pour limiter le changement climatique. Pour obtenir ce label, la Nouvelle Laine ISOVER a fait l’objet d’un processus d’évaluation rigoureux faisant intervenir des experts indépendants. Son accréditation garantit sa rentabilité économique au sein d’un procédé de fabrication respectueux de l’environnement. Elle certifie la combinaison des performances environnementales et économiques. Cette laine de verre a été étudiée pour répondre aux plus hautes exigences de performances, aussi bien phoniques que thermiques, et ce, quelle que soit la saison. Elle répond aux problématiques de froid, de chaud et de bruit rencontrées par les usagers des bâtiments. Elle a été conçue dans le plus grand respect du confort des poseurs : c’est une matière douce, légère, agréable à poser, facile à manipuler et à découper. Son bilan environnemental a également été optimisé : sa composition et fabrication brevetées (10 brevets au total) intègrent un liant 100 % biosourcé, à base de matières premières issues des industries sucrière et céréalière.
Il y a 3 ans et 110 jours

Nouveau Bauhaus européen : candidatures ouvertes pour les prix 2022

Comme lors de la première édition, les prix 2022 du nouveau Bauhaus européen récompenseront les idées de jeunes talents ainsi que les projets existants en faveur de la durabilité, de l'inclusion et de l'esthétique qui mettront le pacte vert pour l'Europe à la portée des citoyens et des communautés locales.Pour la commissaire chargée de l'innovation, de la recherche, de la culture, de l'éducation et de la jeunesse, Mme Mariya Gabriel : «Le nouveau Bauhaus européen s'inspire de la culture, de l'éducation, de la science et de l'innovation européennes pour matérialiser la promesse du pacte vert pour l'Europe sous la forme d'améliorations dans notre vie quotidienne. Je me réjouis à la perspective de voir le meilleur de la créativité européenne se concrétiser dans les candidatures envoyées cette année.» Pour Mme Elisa Ferreira, commissaire à la cohésion et aux réformes : «Aujourd'hui plus que jamais, nous avons besoin d'idées durables et innovantes pour transformer notre façon de vivre et de travailler, en ne laissant personne de côté. Le nouveau Bauhaus européen récompense les concepts qui s'avèrent les meilleurs, les plus ambitieux et les plus brillants pour améliorer nos régions et nos villes, d'une manière respectueuse à la fois des personnes et de la planète. La politique de cohésion contribuera à faire de ces idées nouvelles une réalité dans toute l'Europe, dans l'intérêt de toutes nos communautés.» Les prix seront décernés aux projets et aux idées qui contribuent à la création de lieux qui allient beauté, durabilité et inclusion, dans quatre catégories :se reconnecter à la nature;retrouver un sentiment d'appartenance;donner la priorité aux lieux et personnes qui en ont le plus besoin;favoriser une réflexion à long terme, sur le cycle de vie et intégrée dans l'écosystème industriel.Ces catégories reflètent les quatre axes thématiques de transformation du nouveau Bauhaus européen. Ceux-ci ont été définis au cours de la «phase de co-conception» de l'initiative, avec la participation de milliers de personnes et d'organisations qui ont fait part de leurs points de vue et de leurs expériences. Les contributions seront évaluées sur la base des trois valeurs fondamentales de l'initiative: durabilité, esthétique et inclusion. Les ressortissants de tous les États membres et des pays du monde entier sont encouragés à présenter leur candidature pour autant que leurs projets/idées soient situés dans l'Union européenne. Dans chacune de ces catégories, le concours comportera deux volets :les «prix du nouveau Bauhaus européen» — pour les projets existants achevés ces deux dernières années; etles «étoiles montantes du nouveau Bauhaus européen» — pour les concepts ou idées présentés par de jeunes créateurs de moins de 30 ans.Contexte Le nouveau Bauhaus européen est un projet environnemental, économique et culturel, qui vise à combiner conception, durabilité, accessibilité, caractère abordable et investissement afin de contribuer à la réalisation du pacte vert pour l'Europe. Lancé par la présidente von der Leyen dans son discours sur l'état de l'Union de 2020, le nouveau Bauhaus européen a été conçu conjointement avec des milliers de personnes et d'organisations dans toute l'Europe et au-delà.En septembre 2021, l'initiative est passée de la conception conjointe à la mise en œuvre avec une communication de la Commission définissant les actions et les financements qui permettront de concrétiser l'initiative.
Il y a 3 ans et 110 jours

Industrialisation de la fossilisation des déchets non-recyclables

Dans le cadre du développement à échelle industrielle de son procédé de fossilisation des déchets non-recyclables, Néolithe annonce la création de son site industriel de plus de 11 hectares à Beaulieu-sur-Layon (49). Accompagné par Alter Eco dans les différentes étapes de ce projet immobilier : de l’étude du besoin, à la gestion technique, juridique et opérationnelle jusqu’au portage financier, la première phase de 4 800m² de la première tranche de 9 500m2 devrait sortir de terre en septembre 2022 pour être livrée en juillet 2023. Ces premiers 4 800m2 sont dédiés à l’atelier d’assemblage, puis seront ensuite construits le laboratoire de 1 700m2 et le siège social de 3 000m2. Le procédé de fossilisation des déchets consiste à transformer les déchets non-recyclables, non-inertes et non-dangereux, en granulats minéraux normés utilisables dans le secteur de la construction. Outre la fabrication d’un liant bas-carbone, élément indispensable permettant la transformation des déchets en minéral, Néolithe conçoit et fabrique des fossilisateurs, unités de traitement des déchets, destinés aux opérateurs de traitement des déchets, aux industriels et aux collectivités territoriales. Dès cette année, l’entreprise prévoit de fabriquer et de vendre 4 fossilisateurs. Cet article Industrialisation de la fossilisation des déchets non-recyclables est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 110 jours

Dynaco D-6 : nouvelles portes industrielles à haute performance

Dynaco, le fabricant belge de portes industrielles implanté à Moorsel, a conçu ses portes rapides à enroulement D-6 pour offrir une solution plus rapide, solide et silencieuse que jamais. Associées au tout nouveau contrôleur Dynalogic 5, un coffret de commande haut de gamme, les portes Dynaco D-6 innovantes sont prêtes à relever tous les défis de l'industrie 4.0.
Il y a 3 ans et 110 jours

Kawneer optimise sa production sur son site de Montpellier

LIGNE DE PRODUCTION. Kawneer annonce avoir mis en route une nouvelle ligne de sertissage sur son site de Montpellier. Huit recrutements en apprentissage ont été réalisés dans ce cadre.
Il y a 3 ans et 110 jours

Le marché des matériaux de construction peu dynamique en novembre

Il est vrai que, entre les effets de rattrapage d’un côté, les effets de base de l’autre, l’impact des difficultés d’approvisionnement et autres tensions sur l’appareil productif, l’activité peine encore à stabiliser sa tendance dans ce contexte pandémique perturbé depuis près de deux ans.Pour autant, en 2021, les livraisons de granulats et de BPE devraient quasiment retrouver leur niveau d’avant crise à la faveur d’un contexte conjoncturel plutôt porteur côté Bâtiment. Dans ce secteur en effet, le climat des affaires demeure très favorable et la demande ne faiblit pas. Côté travaux publics, en revanche, l’activité n’a pas encore retrouvé le niveau de 2019 et les carnets de commandes, notamment de la clientèle publique, tardent à se regarnir.Novembre, meilleur pour le BPE que pour les granulatsSelon les dernières données, encore provisoires et disponibles pour le mois de novembre, l’activité de nos matériaux aurait connu un repli au regard de 2020. Ainsi, côté granulats, la production aurait reculé de - 1,9 % par rapport à octobre (données CVS-CJO) et de – 6,0 % comparé à novembre 2020, un mois il est vrai particulièrement dynamique (+ 5 % au-dessus d’un mois de novembre moyen sur longue période). Toutefois, au regard de novembre 2019, la production affiche aussi un retrait de - 3,7 % confirmant l’atonie relative de l’activité granulats pour ce mois de novembre. Sur le dernier trimestre allant de septembre à novembre, le niveau de production demeure en hausse au regard des trois mois précédents (+ 1,6 %) mais il s’inscrit en repli par rapport à la même période de 2020 (- 1,1 %) et de 2019 (- 2,2 %). En cumul sur les onze premiers mois de l’année, l’activité a ainsi accéléré de + 10,4% sur un an, ce qui laisse les niveaux produits juste un peu en-deçà de ceux de 2019 (- 0,8%). Du côté du BPE, les livraisons se sont quasiment stabilisées par rapport à octobre (- 0,2 %) mais ont cédé - 3,5 % au regard de novembre 2020 dont l’activité était, elle aussi, bien supérieure (+ 12,7 %) à un mois de novembre moyen. Au cours du dernier trimestre, les cubages ont gagné + 3,5 % par rapport au trimestre précédent, se stabilisant quasiment à leur niveau constaté sur les trois mois de septembre-novembre de l’an passé (- 0,3 %) et surpassant celui observé sur la même période de 2019 (+ 3,0 %). Sur les onze mois de l’année 2021, la production de BPE enregistre ainsi une hausse de + 11,3 % sur un an, retrouvant exactement son niveau de 2019.Après un repli de - 8,1 % sur un an au troisième trimestre, l’indicateur matériaux, encore provisoire pour le mois de novembre, suggère une tendance de + 10 % sur un an pour les onze premiers mois de 2021. Comparé à 2019, l’activité du panier de matériaux minéraux ressort en hausse de + 1,5 % (donnée CJO).Climat des affaires au beau fixe dans le bâtimentLe moral des chefs d’entreprise du bâtiment ne faiblit pas. En effet, selon l’enquête menée en décembre par l’INSEE, le climat des affaires gagne encore deux points se situant 16 % au-dessus de sa moyenne de long terme. Encore plus optimistes sur l’évolution à venir de leur activité que le mois précédent, les entrepreneurs sont également plus nombreux à juger que le niveau de leurs carnets de commandes est supérieur à la normale. Dans le gros œuvre, avec 9,8 mois de travaux en stock, les carnets surpassent de 3,5 mois leur niveau moyen de long terme. En dépit d’une hausse des effectifs, les chefs d’entreprise sont toujours confrontés à un manque de personnel et les difficultés d’approvisionnement continuent de limiter leur production.Dans le segment du gros œuvre, plus de la moitié des entreprises (57,3 %) ne pourrait produire plus s’il en était besoin compte tenu de leurs moyens actuels (contre 33,7 % en moyenne sur longue période) et 71,8 % éprouvent des difficultés à recruter (contre 50,8 % en moyenne).Quant aux problèmes d’approvisionnement de matériaux, ils continuent de se durcir : près d’un tiers des entreprises du bâtiment y sont confrontées en décembre, contre un quart d’entre elles il y a 6 mois, soit beaucoup plus qu’en situation “normale” (moins de 5 %).Côté construction, l’activité de mise en chantier de logements a gagné + 0,6 % de septembre à novembre, sur le trimestre précédent, une hausse surtout liée à la dynamique de la maison individuelle (+ 4,4 % contre - 2,1 % pour le collectif, données CVS-CJO). En cumul depuis janvier, on enregistre une hausse de + 13,6 % sur un an des logements commencés (soit + 2,6 % comparé à 2019), la progression étant partagée entre l’individuel (+ 14,3 % et + 6,4 % comparé à 2019) et le collectif (+ 13,1 % et 0 % comparé à 2019).S’agissant des permis, leur nombre a reculé de - 1 % au cours de trois derniers mois (septembre à novembre) comparé aux trois mois précédents avec une dynamique contrastée entre le segment de l’individuel (- 4,2 %) et celui du collectif (+ 1,7 %) (données CVS-CJO). Au total, sur les onze mois de 2021, les autorisations de construire des logements augmentent de + 21,5 % sur un an (dont + 29 % pour l’individuel et + 15,9 % pour le collectif hors résidence) et affichent également une hausse au regard de 2019 (+ 5,9 % dont + 11 % pour l’individuel et- 0,6 % pour le collectif hors résidence).Cette dynamique devrait alimenter l’activité constructive en 2022 : dans son dernier scénario prévisionnel, la Fédération Française du Bâtiment table sur une hausse des mises en chantier de + 2,1 % en 2022 (à 398 000 unités).En revanche, côté non résidentiel, les surfaces de locaux commencés ne devraient guère évoluer en 2022 (- 0,2 % à 25,1 Millions de m2). À ce jour, ce segment demeure en crise avec des ouvertures de chantier, certes en hausse de + 10,2 % sur les onze mois de 2021 mais encore en recul de - 10,2 % au regard de 2019. Quant aux permis, malgré le rebond de + 14,5 % enregistré en 2021, leur niveau reste - 9,1 % en dessous de celui de 2019.Ces évolutions sont cependant assez peu cohérentes avec, d'une part, le jugement très favorable que portent les entreprises du bâtiment sur l’activité dans le non résidentiel (enquêtes INSEE) et, d’autre part, les budgets primitifs des collectivités locales qui annonçaient une forte progression des dépenses de bâtiment pour 2021.L’exercice annuel de révision des données sur l’activité constructive qui interviendra le mois prochain permettra peut-être de lever certaines interrogations.Travaux publics : en attendant le rebond des commandesAprès un troisième trimestre en repli, l’activité des travaux publics a réamorcé son redressement en octobre mais peine à renouer avec les niveaux d’avant crise. Sur les dix premiers mois de l’année, le niveau des facturations a augmenté de + 12,9 % sur un an mais demeure - 2,8 % en deçà de celui de 2019. Plus inquiétant encore, le niveau des prises de commandes (- 18,3 % comparé à 2019), notamment de la part de la clientèle publique dont on serait en droit d’attendre un réel rebond plus d’un an après les élections municipales et en réponse au Plan de relance.
Il y a 3 ans et 110 jours

Corian design

Présentation de l’entreprise : Corian® Design, groupe DuPont, est l’inventeur et le fabricant de Corian® Solid Surface depuis 1967. Grâce à… Cet article Corian design est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 110 jours

L'économie française témoigne d'une "bonne résistance" face à la vague Omicron

Les secteurs de l'industrie et du bâtiment se portent bien malgré les désorganisations liées à la vague Omicron, selon la note de conjoncture de la Banque de France publiée le 11 janvier. (Photo © Jcomp)
Il y a 3 ans et 110 jours

Création de Bouygues Bâtiment IDF Industrie et Equipements publics

Portrait de William Nippert, directeur général de Bouygues Bâtiment IDF Industries et Equipements Publics. [©Bouygues Bâtiment IDF Industries et Equipements Publics] Faisant suite à la fusion entre Bouygues Bâtiment IDF Ouvrages publics et Brézillon Génie civil, une nouvelle entité opérationnelle a vu le jour avec, à sa tête, William Nippert. En effet, l’activité “génie civil” de la filiale Brézillon et celles “ouvrages publics” de Bouygues ont été regroupées pour former une seule entité sous le nom de Bouygues Bâtiment IDF Industrie et Equipements publics. Cette nouvelle unité opérationnelle interviendra en construction neuve, ainsi que sur des projets de réhabilitation. Et ceci, sur la région Ile-de-France et Picardie. Le tout regroupant quelque 800 collaborateurs. Son parcours William Nippert est nommé à la direction générale de cette nouvelle entité. « Notre raison d’être est d’apporter à nos clients des solutions sur mesure de conception et de réalisation de leurs projets d’équipements publics ou industriels. Et ce, avec des collaborateurs engagés et fiers de participer à un développement durable des territoires », insiste l’intéressé. Diplômé en génie civil, William Nippert a débuté sa carrière au sein de Bouygues Bâtiment IDF en 1997, comme responsable travaux. Pendant 23 ans, il a évolué chez Bouygues Bâtiment et a occupé des postes, tels que directeur travaux chez Brézillon, directeur général de Bati-Rénov, ainsi que directeur du pôle génie civil industriel et environnement.
Il y a 3 ans et 110 jours

Comment Actis fabrique des isolants recyclés 100% recyclables

Le fabricant d’isolants réflecteurs alvéolaires vient de voir sa gamme de produits certifiée par le label international Cradle to Cradle qui exige des critères stricts d'introduction de matériau recyclé et recyclable dans le cycle de production et de politique RSE des entreprises.
Il y a 3 ans et 110 jours

Nouvelle offre RSOFT Bas Carbone PRÉMURS & PRÉDALLES de RECTOR pour la sobriété carbone de la structure des bâtiments

La décarbonation de la construction est un enjeu majeur de la nouvelle réglementation environnementale (RE 2020). La Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) ambitionne pour le secteur du bâtiment une réduction de ses émissions de près de 50% d’ici 2030 (par rapport au niveau de 2015). Dès la phase de construction, tous les composants voient leur empreinte carbone quantifiée et additionnée pour constituer l’impact environnemental global du bâtiment. Cet indicateur réglementaire, soumis à un seuil maximal dans le cadre de la RE2020, sera par ailleurs revu à la baisse tous les trois ans. C’est dans cette optique de sobriété carbone, initiée il y a tout juste un an avec ses premiers Prémurs béton bas carbone, et pour marquer son propre engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique que RECTOR crée aujourd’hui Rsoft, une offre de prémurs et prédalles bas carbone. Une large gamme de produits et systèmes préfabriqués bas carbone pour répondre à tous les projets de construction Fruit d’un travail de recherche et développement sur l’impact carbone de ses produits, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR se compose de systèmes constructifs qui garantissent un bilan carbone nettement réduit tout en améliorant la productivité, la sécurité et l’efficacité des chantiers : . Prédalles BA Rsoft, pour un bilan carbone allégé à tous les étages ; . Prémurs Rsoft : en infrastructure ou superstructure les verticaux profitent d’une meilleure empreinte environnementale ; . Thermoprédalles BA 0,45 Rsoft, la solution de plancher préfabriqué à rupteurs thermiques intégrés qui contribue à la réduction des consommations d’énergie et lutte contre les émissions de gaz à effet de serre ; . Prédalle SPD Rsoft en association avec le plancher-dalle Caméléo pour une structure à l’empreinte environnementale optimisée. Rsoft, des matériaux sobres aux performances garanties Pour alléger l’empreinte environnementale des constructions neuves, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est basée sur l’économie circulaire. Elle intègre, en effet, des formulations béton à faible intensité carbone, des armatures issues d’aciers recyclés et profite d’un processus de fabrication et d’étuvage optimisé afin de garantir la qualité et la performance de ses produits. Ses performances sont certifiées par des FDES, disponibles sur la base INIES. Rsoft, tous les atouts de la préfabrication béton L’offre de prédalles et prémurs Rsoft Bas Carbone offre tous les avantages de la préfabrication : . une mise en œuvre rapide, . des délais d’exécution maîtrisés, . une qualité de parement optimale, . des performances structurelles de l’ouvrage inchangé et identique à des produits en béton classique. A ceux-ci s’ajoutent : . la garantie sur les gains carbone annoncés grâce à un process de qualité industrielle, . une résistance à jeune âge du béton maîtrisée en usine et garantie à la livraison sur chantier. L’ensemble de l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est disponible sur l’ensemble du territoire grâce au maillage industriel national du fabricant. Cette proximité participe également à la réduction de l’empreinte environnementale liée au transport.http://www.rector.fr/
Il y a 3 ans et 110 jours

Les menuiseries Performance 70 Sapa participent à la rénovation d’une maison des années 1980

La bâtisse était construite de plain-pied et avait pour particularité de posséder des toitures quatre pans avec une faible hauteur. L’architecte a imaginé une villa-patio, en concevant quatre extensions cubiques, permettant d’atteindre environ 250 m2 de surface habitable. Il a travaillé de concert avec le fabricant-installateur DUTHOIT Menuiseries (Lesquin - 59) pour habiller ces volumes et percer les toitures d’une multitude d’ouvertures Sapa. Baies coulissantes, porte d’entrée, fenêtres fixes, à la française..., la gamme PERFORMANCE 70, large et éprouvée, est mise en avant mais dans des formats XXL. Ces grandes dimensions, conjuguées à des masses d’aluminium réduites, optimisent les apports lumineux, et créent une relation immuable entre les espaces intérieurs et le jardin.Pour Richard Claeyman, dirigeant de l’entreprise DUTHOIT Menuiseries : « Ce projet de rénovation a requis beaucoup de savoir-faire. Au-delà des formats « oversize », il a fallu faire preuve de technicité par exemple en intégrant sur la porte d’entrée grand trafic GTI+ (L. 1,20 x H. 2,70 m) un système connecté avec reconnaissance des empreintes palmaires. Les doubles châssis fixes en angle à 45°, des solutions murs-rideaux de la gamme ELEGANCE 52, constituaient également un vrai défi. Nous avons effectué une pose bord à bord pour un maximum de finesse et mis en œuvre des manchons sur-mesure pour garantir une étanchéité maximale. »Voir la vie en grandDepuis le grand espace de vie salon/séjour/cuisine, les trois chambres, la salle de bain ou encore le hall d’entrée, les occupants profitent de larges vues sur l’extérieur grâce aux menuiseries PERFORMANCE 70 Sapa :la baie coulissante côté piscine atteint 7 m de longueur (3 vantaux) sur une hauteur de 2,50 m. Cette version forte charge conserve l’esthétique épurée originelle de PERFORMANCE 70 CL,deux coulissants de 3,50 m de longueur chacun permettent d’accéder au patio,une baie coulissante de 2,20 m au niveau de la chambre parentale offre une bulle cocooning et lumineuse,deux grands fixes (L. 2 x H. 2,70 m), de part et d’autre de la porte d’entrée, créent un hall d’accueil monumental,six fenêtres à ouvrants cachés OC+ baignent de lumière les quatre chambres et la salle de bain.Ces solutions Sapa sont revêtues d’un noir structuré 9005. Cette teinte participe à l’écriture contemporaine du projet et s’harmonise parfaitement aux tuiles et au bardage aluminium noir structuré. La protection face aux rayons du soleil est assurée grâce à un vitrage à contrôle solaire.Sapa ouvre les portes virtuelles de cette villa-patio grâce à son nouveau showroom digital lancé depuis fin septembre.Les professionnels peuvent voir et manipuler en réalité virtuelle les gammes Sapa, et découvrir toutes les informations disponibles autour des menuiseries (performances, configurations, brochures digitales, vidéos promotionnelles, posters techniques...).
Il y a 3 ans et 111 jours

Vinci "réfléchit" à une évolution de sa gouvernance

Le mandat d'administrateur comme ceux de président et de directeur-général de M. Huillard, qui fêtera ses 68 ans en juin 2022, arrivent à échéance en avril lors de la prochaine assemblée générale des actionnaires et le conseil "réfléchit" à l'évolution éventuelle de la gouvernance, mais sans changer les statuts du groupe, a indiqué M. Huillard lors d'une rencontre avec la presse lundi.Les statuts actuels de Vinci prévoient une limitation à 70 ans pour les fonctions de directeur général, et à 75 ans pour la fonction de président, a-t-il rappelé."Une éventuelle dissociation des fonctions lors du prochain mandat n'est pas écartée" a-t-il dit, tout en minimisant un effet de "mode" actuel qui imposerait une telle mesure dans le monde anglo-saxon."Le monde grand-breton est favorable à une dissociation des fonctions, mais pas le monde américain" a-t-il relevé, relevant qu'en France, la tendance actuelle observée au sein de grands groupes du CAC40 (L'Oréal, Saint-Gobain, ou Air Liquide) à scinder les deux fonctions permettait surtout de réaliser des transitions en douceur entre les anciens PDG et leurs "poulains"."C'est un sujet sensible qui dépend de l'histoire de l'entreprise et de la phase dans laquelle elle se trouve" a-t-il estimé. "A supposer que le conseil décide de me proposer un renouvellement de mon mandat en assemblée générale en avril 2022, je serais confirmé PDG, mais je quitterais mon poste de DG en cours de mandat, car le groupe n'a pas l'intention de changer les statuts" a-t-il dit, estimant "pouvoir être utile en tant que président"."Il faut se mettre au service exclusif du nouveau directeur général, accepter de ne plus prendre personne au téléphone, cela suppose une vraie générosité et une volonté de réussir" a-t-il commenté.Le géant français du bâtiment et des infrastructures doit annoncer le 4 février ses résultats annuels 2021.Jusqu'au 3e trimestre, la crise du Covid a fortement marqué Vinci, la construction, notamment en France, restant soutenue par les chantiers du grand Paris Express, alors que la branche Aéroports pâtissait de la crise sanitaire et de l'effondrement du trafic aérien mondial."Est-ce-que cette forme de mobilité a ou non des potentiels de développement ? Notre réponse est oui, à condition que la filière se décarbone" a dit M. Huillard, en citant "deux aéroports au Japon déjà neutres en carbone", et le projet de celui de Lyon de le devenir en "2026".Vinci, qui exploite au total 53 aéroports dans 12 pays, vient d'annoncer le rachat de sept concessions aéroportuaires au Brésil, dont Manaus. "Sans aéroport, dans l'Amazonie, ils sont morts" a-t-il dit.
Il y a 3 ans et 111 jours

Europan 16 : Le pari du vivant, projet lauréat pour l'agglomération de Douai

  Dans les environs de Barcelone, sous les tentures de la mythique « Fabrique », cimenterie devenue agence d'architecture luxuriante, il a conçu des projets titanesques livrés aux quatre coins du monde. En France, de Noisy-le-Grand à Montpellier, en passant par Paris, l'architecte Ricardo Bofill, fieffé homme d'affaires, a […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 111 jours

10 ans de Clareo, retour sur une success story

Ce bilan démontre à lui seul une belle success story : Clareo réalise en 2021 un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros, possède un espace de stockage de plus de 20.000 m2, emploie 70 personnes, et commence à se développer à l’international.En 10 ans, la société a réussi à se créer une place d’acteur référent sur le marché de l’éclairage LED, avec un positionnement unique de fabricant et distributeur.Ainsi, cet anniversaire marque une décennie de croissance, de partage et d'engagement pour offrir le meilleur de l’éclairage LED.10 ans chez ClareoUn chiffre d’affaires multiplié par 100 Depuis sa création, la société connaît au minimum, tous les ans, une croissance à deux chiffres. 2021 ne déroge pas à la règle, car la société a réalisé, en dépit de la conjoncture, 33% de croissance et un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros. Clareo enregistre d’ailleurs cette année la plus forte croissance du marché de l’éclairage LED.Plus de 2 000 références produits développéesUn seul produit en 2012, 84 en 2013 et Clareo propose aujourd'hui une gamme de 2.000 références produits dont 250 conçues pour la seule année 2021. La société développe au quotidien des produits de plus en plus innovants avec l’émergence du Smart lighting et des bâtiments intelligents. Plus de 4 millions de produits vendus Sur ce plan, l’évolution de Clareo est également impressionnante. En 10 ans, la société a multiplié par 60 le nombre de produits vendus. Pour la première fois en 2021, le million de produits vendus est dépassé. 190 « Grands Projets » réalisésEn 2014, Clareo enregistrait pour la première fois un "Grand Projet", d’un montant de 70.000€ ; 4 "Grands Projets" étaient quant à eux réalisés en 2015. Cette période est révolue puisqu'en 2021, ce sont 57 "Grands Projets" qui ont été signés. Clareo accompagne donc au quotidien ses clients sur tous les projets possibles, que ce soit du retail à l’industrie en passant par les bureaux, les hôtels, ou le résidentiel. Des équipes commerciales et techniques parmi les plus importantes du marchéClareo fêtera son 10ème anniversaire entouré de ses 70 collaborateurs. Aujourd’hui, la société compte 35 commerciaux et 15 ingénieurs et possède donc l’une des plus importantes équipes commerciales et techniques en France du marché de l’éclairage LED. Un développement européen déjà lancéLa success story de Clareo ne serait évidemment rien sans le soutien et la confiance de ses clients. Clareo accompagne au quotidien ses clients installateurs électriques comme SPIE, ENGIE, VINCI, mais également des promoteurs, architectes et prescripteurs. Depuis 10 ans Clareo a de très belles références comme le siège de France Télévision, les caves de Moët et Chandon ou encore l’Hôpital Européen Georges Pompidou. Les futures ambitions Afin de poursuivre sa révolution, Clareo a de nombreuses perspectives pour l’année 2022. En effet l’entreprise va poursuivre son développement à l’international tout en continuant à répondre à la demande en France en s’axant vers le Smart lighting. Enfin, consciente des enjeux actuels, l’entreprise souhaite mettre au cœur de son développement la problématique du développement durable.
Il y a 3 ans et 111 jours

La fréquentation des aéroports parisiens meilleure qu'en 2020, mais encore faible

Près de 42 millions de passagers sont passés par Roissy-Charles-de-Gaulle et Orly l'année dernière, une augmentation de 26,8% par rapport à 2020, a précisé le Groupe ADP, leur gestionnaire, dans un communiqué.Les installations ont connu en 2021 une "reprise progressive, conformément aux prévisions", a résumé l'entreprise contrôlée par l'État français, et partie de très loin puisqu'en 2020, le trafic des aéroports parisiens s'était effondré de 69,4% sur un an.ADP avait estimé que la fréquentation des aéroports de Roissy-Charles-de-Gaulle et d'Orly atteindrait entre 30 et 40% de celle de 2019 l'année dernière, encore marquée par des vagues épidémiques et des fermetures de frontières, en particulier en Asie et en Amérique du Nord.Cette dichotomie se retrouve dans les chiffres de Roissy et d'Orly : le premier aéroport a pâti de sa spécialisation dans les long-courriers et n'a retrouvé en 2021 que 34,4% du trafic de 2019, la hausse sur un an n'ayant été que de 17,7%.En revanche, Orly, qui dessert surtout les lignes intérieures, européennes et les territoires d'outre-mer, a vu sa fréquentation bondir de 45,6% sur un an, pour atteindre 49,4% du trafic de 2019.Toujours dans les aéroports parisiens, le niveau de trafic varie énormément selon les liaisons : les lignes en France métropolitaine ont atteint en 2021 52,7% de leur niveau de 2019, après avoir crû de 26,6% sur un an. Le chiffre est encore meilleur vers les territoires d'outre-mer : 63,6% de l'avant-crise, grâce à une progression de 16,3%.Asie en berneEn revanche, le trafic en dehors des frontières reste bloqué à environ un tiers du niveau de 2019, qu'il s'agisse des liaisons intra-européennes (37,8%) ou au-delà du Vieux Continent (34,9%). Toutes les destinations enregistrent néanmoins de fortes progressions en volume sur un an, à l'exception de l'Asie-Pacifique, où de nombreux pays sont restés fermés aux voyageurs (-51,8% sur un an).Le Groupe ADP gère également une vingtaine d'aéroports dans le monde, du Chili à la Jordanie. Pour l'ensemble du périmètre, ses équipements ont vu passer en 2021 un total de 160 millions de passagers, également une amélioration (+37,2%) par rapport à 2020, pour atteindre 45,6% du niveau de 2019.Là aussi, ADP a tenu l'objectif énoncé fin juillet 2021, soit entre 40 et 50% du total d'usagers d'avant la pandémie qui a mis le secteur aérien mondial à genoux.Sur l'ensemble des installations gérées par ADP dans le monde, la dégringolade de la fréquentation avait atteint 60,4% en 2020 par rapport à 2019.Le groupe ADP publiera ses résultats financiers annuels 2021 le 16 février prochain. Il a subi au premier semestre de l'année dernière une perte nette de 172 millions d'euros, après un exercice 2020 dans le rouge de 1,17 milliard d'euros, malgré des mesures drastiques incluant des fermetures de terminaux et un plan d'économies tous azimuts incluant une nette réduction de ses effectifs.Dans l'immédiat, le groupe n'a pas donné de prévisions pour l'année qui vient de commencer et dont le début est marqué par le variant Omicron du Covid-19, très contagieux.Cette énième vague épidémique a provoqué de nouvelles restrictions de mouvement dans le monde et sapé une tendance à la reprise graduelle du transport aérien européen qui s'était installée depuis l'été 2021, s'est inquiété jeudi dernier l'organisme de surveillance du trafic Eurocontrol.Cette érosion ne transparaît pas franchement dans les chiffres d'ADP pour décembre : les aéroports parisiens ont retrouvé 64,5% de leur trafic de 2019, après un mois de novembre à 65,5%, au plus haut depuis le début de la crise du Covid-19 en Europe en mars 2020.
Il y a 3 ans et 111 jours

Paris retrouve sa poste rue du Louvre, mais plus 24 heures sur 24

L'immense bâtiment, achevé en 1888, couvre tout un pâté de maisons à deux pas des Halles. Derrière sa fière façade de pierre se cache un fleuron de l'architecture industrielle de la fin du XIXe siècle, avec notamment une armature métallique que la restauration a magnifiée."Ce qui nous a guidé, c'est évidemment le patrimoine", a expliqué l'architecte Dominique Perrault, choisi en 2012 pour restructurer les lieux, lors d'une brève cérémonie d'inauguration la semaine dernière."Le baron Haussmann (qui a transformé Paris sous le Second Empire, ndlr) ne voyait pas d'un oeil ravi l'apparition d'une usine proche du Louvre et l'architecte Julien Guadet a apporté une réponse tout à fait extraordinaire : il a monumentalisé l'usine de l'époque, il lui a donné une dimension tout à fait urbaine, tout à fait exceptionnelle", a-t-il raconté, estimant que l'édifice rappelait plutôt les immeubles du sud de Manhattan, à New York."Cet héritage, nous avons voulu le protéger, mais aussi l'intégrer, l'insérer, le projeter (...) dans l'avenir, afin d'y accueillir non seulement La Poste, mais aussi d'autres usages", a-t-il expliqué.Le centre de tri qu'accueillait le bâtiment --une véritable usine-- est depuis longtemps parti en banlieue, et les quantités de lettres transportées ont fondu. Le groupe public, toujours propriétaire des lieux, a donc trouvé des locataires, qui lui permettront d'occuper l'espace et d'amortir les 150 millions d'euros qu'a coûté le chantier. "La Poste du Louvre est un lieu emblématique de la capacité de notre groupe à se transformer", décrit le PDG de La Poste Philippe Wahl.Dernière levée à 18H00Un hôtel de luxe a déjà ouvert ses portes. Appelé "Madame Rêve", il ouvrira au printemps un bar offrant une vue imprenable sur le centre de Paris, installé sur le toit arboré. Le programme immobilier comprend aussi des logements sociaux, un commissariat, des bureaux, une halte-garderie et treize commerces thématiques, que La Poste veut "conceptuels".L'immeuble se déploie désormais sur neuf niveaux pour un total de 32.000 m2 de surface de plancher, tandis que la cour centrale est devenue un patio ouvert sur les rues adjacentes.La Poste va y reloger la partie banque privée de La Banque Postale, et aménage pour Colissimo un vaste espace dédié à la logistique urbaine, au sous-sol où étaient installées les écuries jusqu'en 1908."Les colis vont arriver en véhicule électrique et repartir à vélo" pour être distribués dans quatre arrondissements parisiens, note Nicolas Fournel, directeur de projets à Poste Immo.Et puis, bien sûr, il y a le retour du bureau de poste, qui était fermé depuis 2015. Il est resté dans la mémoire des Parisiens qui s'y précipitaient pour envoyer leur déclaration d'impôt au dernier moment, le cachet de la poste faisant foi."Après six années de travaux, nous renouons avec la tradition d'une poste très accessible. Nous sommes sur une combinaison du patrimonial et de la modernité", insiste Nathalie Collin, directrice du réseau et du numérique.Le décor des années 1960 a disparu pour faire place à un espace très contemporain, lumineux, ouvert tant sur la rue que sur la cour intérieure.Cette restauration radicale a néanmoins permis de retrouver les peintures originales du plafond.Les traditionnels guichets ont disparu, à l'exception d'un unique bureau au fond, près de la vitrine philatélique. A leur place, des bornes de vente et des écrans multimédia attendent les clients, de même qu'une vénérable estafette Citroën, transformée en mini-salle d'examen pour passer le code de la route."Des chargés de clientèle vont être au plus près des clients (...) en se déplaçant avec leur smartphone pour répondre à leurs besoins", explique la directrice du bureau Linda Prince.Le bureau ne sera plus ouvert 24 heures sur 24, mais de 08H00 à minuit du lundi au samedi, et de 10H00 à minuit le dimanche. La dernière levée est à 18H00, comme dans les autres postes parisiennes, mais il sera toujours possible de faire tamponner son courrier jusqu'à la fermeture avec le cachet du jour, précise La Poste.
Il y a 3 ans et 111 jours

A Belfort, Eiffage réalise la première station d'hydrogène renouvelable

CONTRAT. Eiffage Energie Systèmes – Clemessy a remporté le marché clé en main pour la conception et la réalisation du site de production et de distribution d'hydrogène qui sera mis en service au printemps 2023.
Il y a 3 ans et 111 jours

Urgence climatique : Syntec-Ingénierie appelle au déploiement rapide du jumeau numérique

À l’occasion d’InfraBIM Open, congrès international dédié à la transformation digitale des Infrastructures, qui débute ce lundi 10 janvier, Syntec-Ingénierie se positionne résolument en faveur du déploiement du jumeau numérique. À travers une note de position et une vidéo, les entreprises d’ingénierie mettent en pleine lumière les nombreux atouts du jumeau numérique au regard de l’urgence climatique. Elles appellent à généraliser son usage au plus vite, aussi bien dans le bâtiment, l’industrie, que les infrastructures, pour atteindre la neutralité carbone.Le jumeau numérique, un levier d’action majeur pour lutter contre le dérèglement climatiqueAvec l’adoption de la première Stratégie Nationale Bas-Carbone en 2015, la France s’est engagée à atteindre la neutralité carbone en 2050. Alors que de nombreux progrès restent à faire, Syntec-Ingénierie appelle à déployer massivement l’usage du jumeau numérique. Encore trop peu utilisé, cet outil technologique innovant jouit pourtant d’un énorme potentiel : il permet de réduire au minimum l’empreinte carbone de tous les ouvrages. Véritable clone d'un ouvrage réel, il améliore la gestion de son cycle de vie, à toutes les étapes et en temps réel.Dans sa note de position, publiée à l’occasion d’InfraBIM Open, les entreprises d’ingénierie énumèrent ses avantages, en particulier :En phase de spécification et de conception préliminaire ou détaillée, il aide dès l’initialisation du cycle de développement à objectiver les exigences attendues et à prévoir les coûts d’investissement et d’exploitation.En phase de prototypage, il permet d’optimiser les performances en les simulant de manière prédictive à partir de modèles multi physiques ou comportementaux dédiés.En phase de chantier ou d’industrialisation, il peut intégrer des modèles destinés à améliorer respectivement la construction et la chaîne de fabrication.En phase d’exploitation, couplé aux données collectées dans l’environnement opérationnel, il permet de se corriger et de s’ajuster aux comportements réels de l’ouvrage, pour en améliorer les usages.Un levier technologique complexe, parfaitement maîtrisé par l’ingénierie systèmeOptimisation des flux, réduction drastique des quantités de matériaux et des ressources utilisés… À titre d’exemple, la rénovation du lycée Bréquigny à Rennes par l’intermédiaire du jumeau numérique a permis de diviser par 2 le prix au mètre carré, et par 2,5 l’empreinte carbone des produits de construction, par rapport à la construction d’un bâtiment neuf. Si le jumeau numérique est un outil puissant, Syntec-Ingénierie insiste néanmoins sur le fait qu’il est un outil complexe. Et rappelle que l’ingénierie système détient toutes les compétences nécessaires pour en exploiter le plein potentiel.Pour Blaise Sola, Pilote du GT Jumeau Numérique/Climat de Syntec-Ingénierie : « Parmi la multitude d’acteurs qui interviennent dans la réalisation des ouvrages, des installations industrielles et des bâtiments, l’ingénierie se démarque par son rôle de pilote méthodologique. Les entreprises d’ingénierie ont, en effet, la particularité d’intervenir tout au long du cycle de vie des ouvrages Fortes de leur vision d’ensemble des systèmes complexes et dynamiques, elles sont en première ligne pour opérer le jumeau numérique et appellent aujourd’hui à son déploiement rapide, au regard de ses multiples potentialités. »
Il y a 3 ans et 111 jours

Soprofen affiche une nouvelle identité visuelle

Acteur majeur sur le marché de la fermeture, SOPROFEN opère en 2022 un changement de son logo et adopte une nouvelle identité visuelle. En adéquation avec la stratégie de développement de l’entreprise, cette évolution fait écho à sa volonté d’expansion à l’échelle européenne. Si le nouveau logo conserve la griffe apparue en 2009, garantie de qualité de fabrication présente sur tous les produits, il affiche désormais 4 pictogrammes inédits. Ceux-ci illustrent l’ensemble des activités de l’entreprise : volet roulant, porte de garage, protection solaire et moustiquaire. Du passé, SOPROFEN a souhaité garder la couleur bleue reconnaissable depuis de nombreuses années par ses clients et qui figure parmi les coloris préférés des français. Elégante et technique, cette teinte, associée au jaune de la griffe, incarne le dynamisme, la créativité et l’innovation qui animent l’entreprise. Evoquant aussi le drapeau européen, elle traduit la dimension et la volonté d’expansion du fabricant. Autre changement significatif, SOPROFEN ayant rejoint le groupe Bouyer Leroux en 2019, la baseline Soprofen Network, bannière qui réunissait les différentes marques fermetures de SOPROFEN, disparaît. A la fois moderne et simple, le nouveau logo sera décliné sur tous les supports de la marque. http://www.soprofen.fr/
Il y a 3 ans et 111 jours

Avec la création du pôle Edilians Energie Environnement dirigé par Olivier Delattre, Edilians mise sur la technicité du toit pour se développer

Tout en continuant de se concentrer sur son métier historique, Edilians, leader français de la tuile terre cuite, anticipe le futur en mettant en place une nouvelle organisation. Avec la création du pôle Edilians Energie Environnement et la nomination d’Olivier Delattre à sa direction, l’entreprise se dote d’une équipe dédiée au marketing stratégique et au développement d’une offre systèmes complète au service de l’éco-habitat. Olivier Delattre nommé à la tête d’Edilians Energie Environnement A 51 ans, Olivier Delattre vient de prendre la direction du nouveau pôle Edilians Energie Environnement. Membre du comité exécutif, il a en charge le marketing stratégique et la RSE. Il aura pour mission de créer des synergies entre la tuile et tous les éléments de la toiture que sont le solaire, l’isolation, la ventilation, l’étanchéité et la collecte des eaux pluviales. Titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’ICAM et d’un MBA de l’EM Lyon Business School, il bénéficie d’une solide expérience de près de 30 ans dans l’industrie des matériaux de construction en France et à l’international. En 1993, il débute sa carrière en audit interne chez Lafarge, groupe dans lequel il occupe ensuite différentes fonctions de marketing, d’innovation et de développement. En 2014, il rejoint le groupe Knauf Insulation aux postes de Directeur Développement International Produits Marchés puis Directeur Innovation. « Je suis ravi et fier de rejoindre le leader français de la tuile terre cuite et de porter son ambition de façonner un avenir durable en plaçant la toiture au cœur de l’éco-habitat » souligne Olivier Delattre. Pascal Casanova, Président d’Edilians déclare « c’est avec grand plaisir que nous accueillons Olivier Delattre dont la nomination démontre notre engagement en faveur du développement durable et de l’éco-habitat ». Une organisation commerciale France et Export repensée En parallèle à la création du pôle Edilians Energie Environnement, Edilians renforce son engagement de proximité auprès de ses clients couvreurs et négociants. Cette volonté s’illustre par une réorganisation de l’équipe commerciale en s’appuyant sur l’expertise de collaborateurs présents dans l’entreprise depuis plusieurs années. Pilotée par Frédéric Fabien, celle-ci repose désormais sur : • deux Directeurs des Ventes France, Stéphane Ducruet pour le Nord et l’Est et Pierre-Jean Raynaud pour la zone Ouest et Sud, • ainsi que sur Carine Mereni, Directrice des Ventes Export. Quant à Thierry Fajardo, il reste Directeur Régional des Ventes pour la région Sud Ouest. Enfin, pour définir et mettre en œuvre la stratégie commerciale France et Export, Olivier Lafore est nommé Directeur Stratégie Commerciale et Grands Comptes Négoces. http://www.edilians.com/
Il y a 3 ans et 111 jours

Valobat : Rami Jabbour nommé directeur de la communication et du marketing

Cet ancien de chez Placo rejoint le futur éco-organisme.
Il y a 3 ans et 111 jours

Holcim, le cimentier suisse, rachète PRB, fabricant français d'enduits pour isolation et protection

Le cimentier suisse Holcim va racheter l'entreprise vendéenne PRB, annonce-t-il ce mardi 11 janvier sans divulguer le montant de la transaction.
Il y a 3 ans et 112 jours

Travaux d’entretien de la RN6 passant par l’Essonne

Le département de l’Essonne s’engage à réaménager la RN6 sur la section allant de Villeneuve-Saint-Georges jusqu’à l’échangeur de la Croix-de-Villeroy.
Il y a 3 ans et 112 jours

Kingspan rejoint l’équipe Mercedes-AMG Petronas Formule 1 comme partenaire officiel

Kingspan pilotera le nouveau groupe de travail sur le développement durable pour l’équipe Mercedes. La mission de ce groupe de travail sera de rassembler l’expertise de divers domaines pour contribuer à atteindre l’objectif de l’équipe : réduire les émissions de CO2 dans le sport automobile grâce à de nouvelles approches et technologies. Toto Wolff, directeur d'équipe et PDG de l'équipe de Formule 1 Mercedes-AMG PETRONAS : « Nous sommes ravis d'accueillir Kingspan dans notre équipe à la fois en tant que partenaire et en tant que président de notre nouveau groupe de travail sur le développement durable. Trouver une entreprise dont les ambitions sont de proposer des solutions durables qui visent à réduire les émissions de carbone dans leur industrie correspond exactement à notre vision et représente une réelle opportunité pour les deux partenaires. Nous faisons de réels progrès dans la transformation de notre entreprise pour qu'elle fonctionne de manière plus durable. La capacité de partager l'expertise, les ressources et l'inspiration avec Kingspan via notre nouveau groupe de travail sur la durabilité contribuera véritablement à accélérer le changement et la sensibilisation au sein de notre équipe et, espérons-le, de notre sport. »Basé en Irlande, Kingspan est l’un des acteurs mondiaux en matière de solutions d'isolation et d'enveloppe du bâtiment pour des bâtiments à haute performance énergétique et à faible émission de carbone. Après avoir lancé son premier programme de développement durable (Net Zero Energy) en 2011, le groupe poursuit le déploiement de son plan d’action climatique « Planet Passionate », qui s'appuie sur des objectifs scientifiques d’envergure alignés sur le scénario de 1,5 degré du GIEC. Kingspan vise la neutralité carbone d'ici 2030, avec notamment une politique d’achat et d’approvisionnement responsable pour réduire l’empreinte carbone de ses activités (optimisation de la chaine logistique avec la mise en place de circuits courts et recours aux énergies renouvelables).De son côté, l'équipe Mercedes-AMG Petronas F1 s'est fixé pour objectif de réduire de 50% les émissions de CO2 dans ses opérations d'ici 2022 et travaille sur des objectifs ambitieux pour atteindre la neutralité carbone. L'usine de châssis de haute technologie de l'équipe à Brackley, au Royaume-Uni, utilise déjà des énergies renouvelables pour alimenter toutes ses opérations, tandis que son centre technologique de Brixworth dans le Northamptonshire produit plus de la moitié de son électricité à l'aide de panneaux solaires et d'une usine CCHP sur site.Cet engagement fait écho aux produits, systèmes et technologies de Kingspan qui répondent aux défis critiques de l'environnement bâti, notamment l'amélioration de l'efficacité énergétique, la réduction du carbone incorporé, l’économie circulaire et la préservation des ressources naturelles en particulier l’eau.Les produits Kingspan ont été utilisés pour aider à créer des bâtiments haute performance dans le monde entier pour la société mère de l'équipe, Mercedes-Benz.Gene Murtagh, PDG de Kingspan Group : « Deux des grands défis de notre époque sont la décarbonisation des transports et la décarbonation de l'environnement bâti. Kingspan et l'équipe de Formule 1 Mercedes AMG Petronas partagent la même détermination à relever ces défis grâce à la technologie, l'innovation et le travail d'équipe. Je suis ravi de transmettre ce message à un public de 500 millions de fans de Formule Un. »La haute performance, la durabilité, le travail d'équipe et l’innovation sont les thèmes clés de ce nouveau partenariat. Le logo Kingspan sera présent sur les voitures de l’équipe lors du Grand Prix d'Arabie Saoudite, alors que Lewis Hamilton se bat pour le championnat des pilotes et que Mercedes-AMG Petronas vise le prix des constructeurs.
Il y a 3 ans et 112 jours

Europan 16 : Symbiotic Boom ! projet lauréat à Bassens

Le parcours de l'architecte Edmond Lay est remarquable et fascinant. Pourtant, l'œuvre de celui qui a été récompensé par le grand prix national de l'Architecture en 1984 demeure mal connue (lire Référence dans AMC n°296). Profondément marqué par l'architecture organique de Frank Lloyd Wright, Edmond […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 112 jours

Face à la hausse des prix de l'énergie, le gouvernement engage des mesures exceptionnelles

En complément des mesures déjà engagées, le Gouvernement a décidé d’augmenter à titre exceptionnel de 20 TWh le volume d’ARENH qui sera livré en 2022, afin que l’ensemble des consommateurs bénéficie de la compétitivité du parc électronucléaire français. Ces volumes seront accessibles à tous les consommateurs, particuliers, collectivités comme professionnels, via leur fournisseur selon des modalités qui seront précisées très prochainement. Les fournisseurs répercuteront intégralement l’avantage retiré au bénéfice des consommateurs. Ce point fera l’objet d’une surveillance étroite, en lien avec la Commission de régulation de l’énergie.La révision des volumes additionnels d'ARENH Dans le même temps, afin d’assurer une juste rémunération de l’outil de production qui contribue à la protection de l’ensemble des consommateurs français face à cette hausse de prix, le prix de ces volumes additionnels d’ARENH sera révisé à 46,2€/MWh. Les autorités européennes ont été informées de cette décision qui s’inscrit dans le cadre des mesures exceptionnelles d’adaptation à la situation de crise des prix de l’énergie qui touche l’ensemble des pays européens. Ce relèvement du plafond de l’ARENH s’ajoute à la baisse pour un an de la taxe portant sur l’électricité (TICFE) à son niveau minimum prévu par le droit européen à compter du 1er février prochain. Cette baisse représente un coût budgétaire pour l’Etat de 8 milliards d’euros. Combinée au relèvement du plafond de l’ARENH, elle apportera un soutien massif au pouvoir d’achat de tous les consommateurs. Ces mesures permettront de sécuriser la mise en œuvre du bouclier tarifaire pour l’électricité annoncé par le Premier ministre et inscrite dans la loi de finances pour 2022. En effet, comme il s’y était engagé, le Gouvernement bloquera la hausse des tarifs réglementés de vente de l’électricité à 4% TTC au 1er février pour les consommateurs résidentiels alors que, sans intervention de sa part, la hausse aurait atteint 35%.Le gouvernement étend le bouclier tarifaire Compte tenu de la situation exceptionnelle, le Gouvernement a également décidé d’étendre le bouclier tarifaire en limitant la hausse des tarifs réglementés de vente d’électricité à 4% pour les petits consommateurs professionnels qui en bénéficient en métropole, ainsi que pour l’ensemble des consommateurs professionnels des territoires ultramarins et de la Corse (zones non interconnectées) qui bénéficient de ces tarifs. Ces mesures viennent en complément de l’action résolue du Gouvernement depuis plusieurs mois pour atténuer les conséquences de la hausse des prix des énergies pour l’ensemble des consommateurs, et notamment les plus modestes, qui s’est traduite par des mesures d’accompagnement fortes :Un chèque énergie exceptionnel de 100 € a été distribué au cours du mois de décembre 2021. Ce nouveau chèque aide les 5,8 millions de ménages qui avaient déjà reçu un chèque énergie d’un montant moyen de 150€ en avril 2021 à régler leurs factures d’énergie. Ce soutien ciblé sur les ménages les plus en modestes représente une aide de près de 600 M€.Un bouclier tarifaire a été mis en place pour les prix du gaz, pour lequel les tarifs réglementés ont été gelés à leur niveau du mois d’octobre 2021 durant toute la durée de l’hiver et au besoin jusqu’à la fin de l’année 2022. L’État prendra en charge le surcoût induit par ce gel pour les fournisseurs, conformément aux dispositions prévues dans la loi de finances pour 2022.Enfin, une indemnité inflation, d’un montant de 100 €, est attribuée aux 38 millions de personnes résidant en France dont le revenu net mensuel est inférieur à 2 000 €, entre décembre 2021 et février 2022, soit un soutien additionnel de l’État de 3,8 Md€. L’aide est versée en une fois par les employeurs aux salariés, ceux-ci étant intégralement compensés par l’État de ces versements via une aide au paiement de leurs charges sociales. Le Gouvernement continuera à suivre avec la plus grande attention l’évolution de la situation des marchés de l’énergie au cours des prochaines semaines et veillera à ce que les mesures prises aujourd’hui soient pleinement répercutées par les fournisseurs à leurs clients.Pour Barbara Pompili, ministre de la Transition Écologique : « Nous restons mobilisés, comme nous le sommes depuis le début de la crise, pour protéger tous les consommateurs face à la hausse exceptionnelle des prix de l’énergie et sécuriser notre tissu économique et industriel. Cette situation nous rappelle l’importance d’investir dans les économies d’énergie, comme nous le faisons notamment grâce 2 milliards d’euros prévus en 2022 pour les aides à la rénovation énergétique des logements. Dans le même temps, nous préparons l’avenir et sommes engagés pour faire évoluer au niveau européen les marchés de l’énergie vers un fonctionnement qui soutienne une transition énergétique juste. » Pour Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance : « Ces mesures complémentaires et massives traduisent l’engagement total de ce Gouvernement en faveur du pouvoir d’achat des ménages et de la compétitivité des entreprises. Elles sont rendues possibles par la compétitivité du parc nucléaire français, qui permet de bénéficier d’une énergie peu chère et totalement décarbonée. »
Il y a 3 ans et 112 jours

Présidentielle : les gaziers braquent les projecteurs sur les renouvelables

INDUSTRIE. À trois mois de l'élection présidentielle, la filière gazière publie son "manifeste", un document recensant une douzaine de propositions en faveur d'une transition énergétique "réussie". Les professionnels demandent notamment un véritable équilibre du bouquet énergétique, un développement massif de l'hydrogène et autres gaz renouvelables ainsi qu'un renforcement de l'efficacité énergétique des logements. Ce qui passerait, entre autres, par un maintien des aides aux chaudières gaz pour les ménages modestes.
Il y a 3 ans et 112 jours

Ricardo Bofill s’en est allé

Les Espaces d’Abraxas à Noisy-le-Grand (93). [©Chabe01/Wikimedia Commons]Aujourd’hui, la Fàbrica évoque non seulement les ruines des maisons imaginaires de l’artiste Giovanni Battista Piranesi (XVIIIe siècle), mais aussi des décors d’un film de Rainer Werner Fassbinder. [©Courtesy of Ricardo Bofill Taller de Arquitectura]Les Échelles du Baroque ont été construites à Paris, en 1985 sous la direction de Ricardo Bofill. [©piotr iłowiecki/Wikimedia Commons]A Montpellier, Ricardo Boffil s’est plongé dans la Grèce antique pour le quartier d’Antigone. [©Cérib] Agé de 82 ans, l’architecte espagnol Ricardo Bofill s’en est allé, suite à des complications liées au Covid-19. La “starchitecte” a marqué le paysage international avec de très nombreuses réalisations dans une cinquantaine de pays. Et notamment en France avec plusieurs bâtiments remarquables. Ricardo Bofill est né en 1939 à Barcelone. [©Reexporta/Wikimedia Commons] Né en 1939 à Barcelone, en pleine période franquiste, Ricardo Bofill suit les traces de son père architecte et intègre l’école d’architecture de sa ville en 1957, puis celle de Genève, en Suisse. En 1963, il fonde son propre atelier (la Fàbrica) pluridisciplinaire, la Ricardo Bofill Taller de Arquitectura (RBTA). Il investira d’ailleurs une ancienne cimenterie dès 1973 pour en faire un espace de travail à son image. Lire aussi :Ricardo Bofill : Ciment(rêv)erie En effet, le dessin de l’architecte fait référence à différentes périodes, mêlant post-modernisme et utopie sociale. Ses bâtiments font la part belle aux formes géométriques, mais se concentrent aussi sur l’optimisation de l’espace. Par exemple, Ricardo Bofill prend à cœur de créer des logements confortables, tournés vers l’idée de communauté et adaptables aux différents modes de vie que peuvent accueillir ces bâtiments. Des citations architecturales riches C’est le cas de la structure en nid d’abeilles de Walden 7, à Saint-Just Desvern, au Sud de Barcelone. Pour Ricardo Bofill, l’architecture est une langue universelle centrée sur l’humain. Ce “nomade”, comme il aimait se définir, a ainsi laissé son empreinte en France. A Noisy-le-Grand (93), il imagine les Espaces d’Abraxas. Avec son allure rétro-futuriste en béton, le complexe a ainsi servi de décors à plusieurs films, comme Brazil de Terry Gilliam ou, plus récemment, Hunger Games de Francis Lawrence. Lire aussi :Les lieux emblématiques en béton du cinéma A Montpellier (34), Ricardo Bofill s’est plongé dans la Grèce antique. Le quartier d’Antigone s’étend comme la colonne vertébrale de la ville sur près de 36 ha et représente l’un de ses plus grands projets urbains. Près de la gare Montparnasse, à Paris (75), l’architecte rend, cette fois-ci, hommage à la piazza italienne mêlant colonnades baroques et verres miroirs. La pluralité de ces projets et des centaines autres réalisés à travers le monde montre bien l’intelligence et la diversité culturelle du dessin de Ricardo Bofill. En cela, il a toujours su se réinventer, laissant ainsi une œuvre forte, témoin de son passage…
Il y a 3 ans et 112 jours

Les chambres de commerce et d'industrie présentent leurs propositions pour les élections présidentielles

Parmi les propositions des CCI, on retrouve la nécessité de former les jeunes, notamment dans les métiers en tension, mais également le rôle important des commerces de proximité dans la « reconquête » des centres ruraux et urbains et la protection du tissu productif français ainsi que son soutien pour doper les exportations françaises.Les CCI, qui représentent 3,8 millions d'entreprises du commerce, de l'industrie et des services, attendent donc un soutien à l'alternance et à l'apprentissage avec par exemple des aides pour les entreprises et les centres de formation mais aussi pour la mise en avant de la formation continue.Selon les CCI, l'entrepreneuriat doit être un enseignement de spécialité lors du baccalauréat et un dispositif de « conduite accompagnée » pour ceux qui souhaitent lancer ou reprendre une entreprise doit être créer.Afin de lutter contre la concurrence du commerce en ligne, les CCI proposent la création d'un « fonds d'aide national dédié au commerce de centralité urbaine et rurale » et attendent une « équité fiscale » et un « différenciation tarifaire » pour soutenir les commerces physiques.Elles proposent également de mobiliser des fonds publics pour aider à « structurer » les filières industrielles et de « multiplier les plateformes technologiques partagées à disposition des TPE-PME » dans le cadre de la réindustrialisation du pays.Enfin, pour augmenter les exportations françaises, les CCI ont proposé « l'instauration d'un crédit d'impôt pour les PME proportionnel à l'accroissement de leur chiffre d'affaires à l'export ».Cette liste de propositions comporte aussi des suggestions de financer la digitalisation des entreprises et leur transition écologique, ou encore d'inciter à la consommation de produits Made in France.
Il y a 3 ans et 112 jours

Les 5 grandes tendances du CES 2022 qui devraient impacter les secteurs du bâtiment et de la ville

Dans ce cadre, Construction Tech a créé différentes actions tels que le Challenge Start-Ups Construction Tech, qui vient de dévoiler les lauréats de sa 4ème édition, l’Annuaire des Start-Ups enrichi régulièrement ou encore l’espace Construction Tech installé tous les deux ans au salon BATIMAT.Construction Tech® décrypte par ailleurs les grandes tendances du secteur du bâtiment et l’impact des innovations sur l’évolution du marché à travers des observatoires et des études réguliers. Dans ce cadre, Construction Tech propose chaque année une analyse des tendances émergentes du CES de Las Vegas.Malgré un contexte sanitaire difficile, l’événement s’est tenu du 5 au 8 janvier 2022 et a, encore une fois, fait éclore de nouvelles idées et de nouveaux concepts.Nul doute que la crise sanitaire actuelle a accéléré certains développements mais les forts enjeux climatiques sont aussi à l’origine d’une proposition de technologies prometteuses. Construction Tech dévoile les 5 tendances phares repérées au CES 2022, dont les applications auront des répercussions profondes sur l’usage des bâtiments mais aussi plus largement sur la manière de vivre la ville.Smart Home 2.0 : Une petite révolution grâce à de nouveaux protocoles de communicationJusqu’à présent, l’un des principaux freins au déploiement de la domotique est la grande diversité des protocoles de communication incompatibles les uns avec les autres. Le rêve d’un langage unique qui permettrait à chaque solution d’interagir avec une autre, voire avec plusieurs autres solutions, semble toutefois à portée de main.Protocole de communication sans fil, Thread a déjà été adopté par de nombreux grands groupes tels que Amazon, Belkin, Schneider Electric, Aqara (filiale de Xiaomi) ... qui ont profité du CES 2022 pour l’annoncer. Thread ne comporte toutefois pas de couche d’application, domaine de Matter qui peut, lui, être transporté par de multiples réseaux compatibles tel que Thread mais aussi par WiFi ou Bluetooth par exemple. Matter permet ainsi de rendre compatibles entre eux des objets connectés de différentes marques. De son côté, le BLE ou Bluetooth Low Energy offre une grande simplicité d’emploi pour les utilisateurs et fonctionne parfaitement pour la configuration appareil par appareil dans un logement.La course à l’IA et aux robots les plus performantsSi l’IA offre un large champ à l’imaginaire, elle est aussi une formidable opportunité d’aide au quotidien. La multiplicité des usages mais aussi le travail des développeurs et des fabricants pour proposer des solutions accessibles au plus grand nombre permettent aujourd’hui d’envisager un déploiement massif de cette technologie.Des exemples très concrets ont été repérés au CES 2022 de Las Vegas. Ainsi, la start-up française Niryo commercialise des robots destinés à l’éducation, la formation et la R&D afin de répondre aux besoins d’une industrie 4.0 en plein essor. Toujours dans le secteur de l’automation industrielle, ITRI lance un bras robotisé intelligent et doté de captures 3D. De son côté, Nvidia propose une plateforme ouverte, Omniverse, conçue pour la collaboration virtuelle et les simulations en temps réel. Une thématique aussi développée par Ansys qui développe des IA de simulation des bruits, vibrations et autres aléas environnementaux sur les véhicules électriques. Des solutions dont l’utilisation dans le BIM et la conception semble envisageable.Le boom des healthtechsCorollaire d’une crise sanitaire qui perdure, les solutions de smart home en lien avec les préoccupations autour de la santé des habitants se multiplient. Amélioration de la qualité d’air, protection de la santé des personnes, obstacle à la propagation des germes... autant de problématiques qui trouvent leurs réponses dans la mise en place de solutions adaptées, comme la fonctionnalité « touchless » mise en place par de nombreux fabricants pour leurs produits tel que le robinet intelligent Moen Smart Faucet. La qualité de l’air des habitations et des bureaux est aussi une problématique phare dont les industriels s’emparent en proposant de nombreux purificateurs d’air pour tous types d’espaces, comme chez LG avec le PuriCare Aero Tower ou comme la solution Lod Protect dont la promesse est de désinfecter l’air à 99 % grâce aux UV-C produits par ses éclairages.Climat et environnement : la promesse du tout électrique décarboné et produit localementLes solutions de production d’énergie se font enfin une place remarquée au sein du CES 2022. En lien direct avec les préoccupations liées au climat et à l’environnement, les propositions autour de la production et de la gestion d’énergie connaissent un véritable essor. Ainsi, les voiles photovoltaïques d’Héole sont capables d’alimenter en énergie des bateaux, mais aussi des bâtiments et sont parfaitement adaptées à la construction bioclimatique. Pour la production d’hydrogène, Doosan développe un système de production « Trigen hydrogen fuel cell » basé sur la pyrolyse de plastique issu du recyclage. De son côté Schneider Electric propose un tableau électrique intelligent, “Wiser Energy Center” qui permet de collecter et d’analyser les données de consommation électrique du foyer pour mieux la piloter et l’optimiser. Finz, start-up française, développe une solution d’aide à la décision du financement des projets d’eau, d’énergie ou d’adaptation climatique en contexte de smart cities/ports/agriculture par la prédiction des risques cognitifs humains, climatiques, géopolitiques, une garantie blockchain et la mesure de l’impact carbone.La e-mobilité arrive sur le chantierLa mobilité est toujours un sujet phare du CES 2022. Elle est aussi liée au développement des véhicules électriques et gagne du terrain notamment sur les chantiers où la recherche d’un travail plus vertueux s’impose petit à petit. Véhicule 100 % électrique, Pickwheel présente par ailleurs la particularité de n’être piloté qu’à l’aide des pieds, libérant ainsi les mains des opérateurs pour d’autres tâches. Toujours dans ce segment d’utilitaires électriques, Goupil développe des véhicules électriques adaptés à différentes activités (maintenance, collecte des déchets, logistique...). Qui dit véhicules électriques dit besoin de recharger. ChargePoly a créé une solution de charge rapide et multi-véhicules.Pour Guillaume Loizeaud, Directeur du salon Batimat : « Les enjeux liés à la transformation de l’acte de construire et de l’habitat offrent une réelle opportunité aux géants de la tech mais aussi aux entrepreneurs. On le voit, ces nouvelles technologies qui apparaissent dans un premier temps sur les marchés grand public, émergent deux à trois ans plus tard sur les marchés professionnels. On observe ces phénomènes pour l’IA, la robotique, la mobilité ou la commande sans contact. Les enjeux environnementaux jouent aussi leur rôle dans le développement de solutions autour de la décarbonation de l’énergie. Du côté du smart home, l’ouverture des protocoles de communication et leur interopérabilité élargit le champ des potentiels. Bien évidemment, on ne peut passer sous silence la pandémie mondiale qui s’est déclarée en 2020 et qui a aussi accéléré un certain nombre de développements notamment sur le marché des healthtechs. »
Il y a 3 ans et 112 jours

L’application Villeroy & Boch

Pour en savoir plus : pro.villeroy-boch.com/villeroybochapp
Il y a 3 ans et 112 jours

Flashback : Bofill, le "nouveau philosophe"

Dans le cadre de la construction du Village des athlètes des Jeux Olympiques de Paris 2024, la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solidéo) lance deux appels à création artistique autour des thèmes « Symbiose » et « Seuils ». Il s’agit d’imaginer des projets singuliers invitant à un nouveau regard […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 113 jours

Ricardo Bofill (1939-2022)

  Dans les environs de Barcelone, sous les tentures de la mythique « Fabrique », cimenterie devenue agence d'architecture luxuriante, il a conçu des projets titanesques livrés aux quatre coins du monde. En France, de Noisy-le-Grand à Montpellier, en passant par Paris, l'architecte Ricardo Bofill, fieffé homme d'affaires, a […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 113 jours

100 millions d’euros supplémentaires pour le recyclage des friches

Entre 20 000 et 30 000 hectares sont aujourd’hui grignotés chaque année sur la nature et les terres agricoles dans notre pays. La loi Climat et Résilience a l’objectif Zéro Artificialisation Nette en 2050, et de réduire par deux la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers d’ici 2032. 650 millions d’euros du Plan de Relance ont déjà été mobilisés pour recycler les friches et le foncier artificialisé. Plébiscité par les élus locaux et les acteurs économiques, le fonds a été plus que doublé en juillet 2021. Le Premier ministre, en déplacement à Amiens aux côtés de la ministre de la Transition écologique et la ministre déléguée chargée du Logement, a décidé de redéployer 100 millions d’euros supplémentaires du Plan de Relance à destination de ce fonds friches. Ce fonds finance l’acquisition, la dépollution et la démolition de friches dans le cadre d’opérations d’aménagement urbain. Ces projets sont sélectionnés à l’issue d’appels à projets (AAP) régionaux « recyclage foncier » pilotés par les Préfets de Région, mais aussi, la reconversion de friches polluées issues d’anciens sites industriels ou miniers, dans le cadre d’appels à projets de l’ADEME. 503 projets ont déjà été sélectionnés lors de la 2ème édition de ces AAP, pour un total de 280 millions d’euros de subventions octroyées. Plusieurs exemples concrets de projets en cours de réalisation sont consultables en cliquant ici, et la carte de l’intégralité des lauréats est accessible ici. 21 nouveaux lauréats viennent d’être dévoilés au titre des projets financés par l’ADEME. Bénéficiaires de 18 millions d’euros d’aides, ces projets vont générer plus de 85 000 m² de logements dont plus d’un tiers de logements sociaux, et près de 250 000 m² de surfaces économiques dont la moitié dédiée aux activités industrielles.
Il y a 3 ans et 113 jours

Terreal, Bouyer Leroux et Edilians s’allient pour la valorisation des terres de chantier du métro de Toulouse

Possédant des sites à proximité immédiate du chantier, les trois sociétés unissent ainsi leurs efforts au sein d’un Groupement Momentané d’Entreprises (GME) afin de proposer l’expérimentation de la valorisation des matières excavées par intégration au processus de fabrication de matériaux en terre cuite.TISSEO-INGENIERIE, maître d’ouvrage délégué représentant le Syndicat Mixte des Transports en Commun de l’agglomération toulousaine, a lancé cette procédure collaborative en vue du lancement d’appels d’offres pour la valorisation de 2,8 millions de m3 de terres excavées des ouvrages souterrains dans le respect de la réglementation environnementale.Face aux enjeux environnementaux de ce chantier de taille, les sociétés BOUYER LEROUX, EDILIANS et TERREAL ont groupé leurs capacités d’accueil pour proposer :la valorisation de la matière par son introduction dans les matériaux de construction en terre cuite pour le gros-œuvre et la toiture, en cohérence avec la Loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (loi n° 2020-105 du 10 février 2020) ;la valorisation en remblais de carrière.La distance maximale de 10km de ces sites (tuilerie et briqueteries) à la gare de Colomiers permettra également d’assurer un bilan carbone limité en matière de transport.Pour Martin Piotte, Mandataire du Groupement : « Ancrées dans leur territoire et fortement engagés dans une démarche d’économie circulaire, nos entreprises participent à leur niveau à la conservation et la gestion responsable des ressources naturelles, notamment en se mobilisant afin de réduire l’impact de leurs activités sur les écosystèmes. »
Il y a 3 ans et 113 jours

La préfabrication peut-elle rendre la construction plus écologique et abordable ?

On peut définir le concept de préfabrication par la production en usine d’éléments, de parties ou de bâtiments entiers transportés sur un chantier pour une installation rapide. Alors, quel est son impact pour l’environnement et les coûts de construction ? Cela représente de nombreux avantages par rapport aux méthodes de construction traditionnelles, par sa rapidité, sa précision […]