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Il y a 3 ans et 176 jours

Vent d'opposition contre des projets de carrières de sable dans les campagnes

A Saint-Colomban, deux carrières appartenant à GSM et Lafarge extraient 700.000 tonnes de sable alluvionnaire par an sur plus de 100 hectares. Les industriels envisagent d'exploiter 70 ha supplémentaires sur des terres classées "espaces agricoles pérennes", suscitant l'opposition locale."Les sablières sont éloignées de trois kilomètres, mais elles se rejoindront probablement à terme, ce qui représenterait 300 ha exploités, car il y a une forte demande en béton dans la région", s'inquiète Benjamin Boileau, membre du collectif La tête dans le sable (LTDS).Consommation de terres agricoles, assèchement des ressources en eau, hausse du prix du foncier, perte de biodiversité, paysages constellés de "gigantesques trous d'eau" entourés de merlons de terre: les griefs ne manquent pas contre les carrières. La France consomme 350 millions de tonnes de granulats par an pour la construction.Jean-Claude Camus, riverain, redoute notamment une baisse du niveau des nappes phréatiques. "Quand vous creusez un trou à 18 mètres, vous pompez l'eau environnante. GSM est déjà venu chez moi six fois pour remplir mon étang", raconte le retraité.Interrogé par l'AFP, l'industriel répond que "tout est mis en oeuvre pour maîtriser les éventuelles incidences". Lafarge assure, lui, surveiller "de près l'effet potentiel de [ses] activités sur (...) le niveau des nappes et des plans d'eau"."Davantage qu'une +consommation+ des terrains, nous considérons notre exploitation comme un +emprunt+", plaide Loïc Leuliette, directeur de la communication de Lafarge France. Une fois exploités, "les terrains sont rapidement remis en état pour leur redonner une vocation agricole à chaque fois que c'est possible", précise-t-il.Mais pour les opposants, "retrouver une terre agricole avec les qualités d'origine est illusoire"."bétonisation"Face à cette contestation, le maire de Saint-Colomban Patrick Bertin prévoit de consulter la population le 9 janvier."Si le sable vient de plus loin, on multiplie les camions. S'il est extrait en mer, on détruit l'écosystème marin. Or dans le Pays de Retz, on a programmé la construction de 1.600 logements par an, et un logement, c'est 200 à 300 tonnes de sable. Qu'on me dise comment on fait des logements sans sable?", interroge-t-il.Des collectifs anti-carrières, "contre la bétonisation", voient le jour partout en France: en Savoie, dans le Var, les Yvelines, la Loire, l'Eure, l'Ardèche... "Il y a de plus en plus d'opposants à l'ouverture de nouvelles carrières, mais c'est souvent par méconnaissance", estime Sébastien Colin, géologue au Bureau de recherches géologiques et minières.Dans son Livre blanc présenté en 2017, l'Union nationale des producteurs de granulats, qui représente la profession, en appelle à "plus de transparence et de participation du public pour améliorer l'acceptabilité de l'activité".Deuxième ressource naturelle la plus exploitée en volume après l'eau, avec une demande qui a triplé en vingt ans, selon l'ONU, le sable entre dans la composition du béton, du verre, des microprocesseurs, routes, engrais, pneus, peintures, cosmétiques, etc...En France, qui compte 2.300 carrières de granulats, il n'y a "pas de pénurie" mais "une problématique d'accès à la ressource", explique Sébastien Colin. "Certaines régions sont sous tension en raison d'un déficit de carrières, d'un épuisement des gisements ou de leur inaccessibilité avec l'urbanisation".En Loire-Atlantique, le sablage des cultures maraîchères pour favoriser la pousse et le ramassage mécanique, suscite aussi beaucoup de questionnements. Interrogée, la Fédération des maraîchers nantais évoque une consommation "ancestrale indispensable, stable et hyper optimisée" d'environ 500.000 tonnes annuelles."On consomme trop de sable dans le monde", avertit Eric Chaumillon, professeur de géologie marine joint par l'AFP. "Ce n'est pas durable pour une ressource non renouvelable qui met au minimum plusieurs millénaires à se former", poursuit-il.Pour préparer l'avenir, les carriers assurent économiser la ressource et développer le recyclage des bétons de démolition.Mais pour Jean-Christophe Gavallet, président de la FNE des Pays de la Loire, "le sable est encore trop peu coûteux pour justifier des politiques innovantes de recherche de matériaux alternatifs".
Il y a 3 ans et 176 jours

Publication des grands enseignements du Bilan mondial de l'action climat par secteur 2021

Six ans après l’adoption de l’Accord de Paris, cette publication propose une synthèse unique de l’action climat au niveau mondial dans les grands secteurs d’émissions : énergie, transports, bâtiments, industrie, déchets, usage des sols.À l'heure où les États doivent rehausser leurs engagements à Glasgow, Climate Chance poursuit ainsi sa mission d’observation de la mise en œuvre des actions annoncées, de suivi de l’évolution des émissions et d’analyse des stratégies des acteurs par rapport aux objectifs climatiques internationaux."Retour vers le futur. 2021 : la grande accélération de l’action climat… et des émissions"La reprise mondiale des émissions laisse entrevoir des profils régionaux bien distinctsLa dépendance au charbon trace une ligne de fracture entre les régions qui s’en détournent (États-Unis, Europe) où la reprise des émissions n’efface pas la baisse due à la pandémie, et les régions où le charbon a conservé le soutien des pouvoirs publics (Asie-Pacifique). À tel point qu’il est la cause principale du rebond des émissions à des niveaux supérieurs à ceux de 2019.L’adoption des énergies renouvelables et de la mobilité bas carbone accélère dans les grandes économiesDes transitions relatives s’opèrent à l’échelle régionale avec l’adoption accélérée d’énergie renouvelable et de la mobilité électrique. En revanche, il n’y a toujours pas de transition observable à l’échelle globale à proprement parler. Plutôt qu’une substitution nette des modes de production et de consommation bas carbone à des modes carbonés et émissifs, la tendance de la période reste à l’accumulation des énergies fossiles et bas carbone, du parc de véhicules thermiques et électriques, des nouvelles constructions aux normes et du bâti ancien à rénover, etc.L’électrification des usages et la décarbonation du mix électrique sont aujourd’hui désynchroniséesL’efficacité du « tout électrique » pour le climat ne peut être assurée que par un mix électrique dominé par les énergies bas carbone. Or, si la production d’origine renouvelable est au plus haut en 2020, les mix des grands marchés que sont la Chine, l’Inde, les États-Unis et dans une moindre mesure l’Europe, restent majoritairement dépendants du charbon et du gaz.La demande en biens et services bas carbone dépasse la capacité d’adaptation des chaînes d’approvisionnement de l’économie mondialeTrop lentes pour le climat, les transitions régionales vont trop vite pour les chaînes d’approvisionnement mondiales. C’est donc un moment charnière d’adaptation à marche forcée de l’économie mondialisée aux nouvelles exigences d’un monde bas carbone auquel nous assistons, dans un contexte de restrictions et de pénuries provoquées par la pandémie et ses conséquences.Boussole des engagements depuis l’Accord de Paris, la « neutralité carbone » intègre les stratégies de relance et de croissance des grandes entreprisesLes grands groupes privés se saisissent du concept de la « neutralité carbone » et formulent des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre de plus en plus souvent associés à des plans d’action détaillés. Y compris dans des secteurs très carbonés comme les compagnies pétrolières et minières. Il reste néanmoins à vérifier que cet engagement à trente ans ne masque pas les retards dans les mesures à 10 ans, alors que c’est la rapidité de la baisse qui est le socle des scénarios de stabilisation du climat sous les deux degrés.Ruptures d'approvisionnement et engagements à la ‘neutralité carbone’ poussent les entreprises à la concentration et à l'intégration verticale des filièresL’adaptation des acteurs aux pénuries multiples et à l’économie bas carbone se lit également à travers la concentration progressive de certains marchés autour de quelques acteurs dominants, et l’intégration verticale des filières entre fournisseurs de matières premières et fabricants de produits finis. La fin de mécanismes d’aides publiques à la production d’énergie et l’explosion des Power Purchase Agreement renforcent l’émergence d’un « marché de gros », plutôt favorable aux grands énergéticiens qu’aux entreprises municipales et aux coopératives citoyennes.Les technologies de ruptures gagnent en crédibilité pour les secteurs qui ne parviennent pas à se décarbonerÀ la faveur de la reprise économique et des plans de relance, l’hydrogène bas carbone et la capture du carbone (CCUS), ont bénéficié d’investissements massifs en 2020 et d’un regain d’intérêt politique. À l’heure actuelle, leur utilisation à des fins de décarbonation demeure toutefois marginale, et leur développement repose beaucoup sur les énergies fossiles.Entre investissements verts et bruns, les États orientent la reprise d’une manière ambigüeFace aux pressions sur les chaînes d’approvisionnements en biens et matières premières stratégiques à la transition, les États occidentaux tentent de reconstituer des écosystèmes industriels régionaux orientés vers les technologies bas carbone. Aux côtés de plans de sauvetage, souvent sans contreparties climatiques pour des industries émettrices, une partie des plans de relance portés dans le G20 tente d’orienter la reprise vers la transition.Souvent moteurs de l’accélération de l’action climat, les gouvernements locaux adaptent le tempo de la transition aux besoins et capacités de leurs territoiresPour l’approvisionnement en énergie renouvelable, la transformation de la mobilité urbaine, la gestion des déchets ou l’encadrement de la construction et de l’approvisionnement énergétique des bâtiments, les gouvernements locaux peuvent accélérer la création d’un environnement favorable à la transition. À l’inverse, les réticences de certains États américains à l’abandon des énergies fossiles dans les bâtiments ou la mobilité montrent que les gouvernements locaux peuvent freiner la transition lorsqu’elle menace les intérêts économiques de leurs territoires.Avec l’activisme actionnarial, la société civile élargit son répertoire d’actionAprès les marches et grèves pour le climat, puis l’émergence d’une culture militante non-violente propre à ce sujet, l’activisme actionnarial fait entrer la lutte climatique au cœur des assemblées générales des grandes entreprises, au point de parvenir à intégrer des conseils d’administration. Dans un autre registre, le travail continu des ONG indonésiennes commence à porter ses fruits en renforçant la culture normative dans la filière huile palme.
Il y a 3 ans et 176 jours

Travaux de maçonnerie : interventions et budget à prévoir

En effet, pour réussir à mener à bien vos travaux de maçonnerie, vous devez anticiper les étapes indispensables à suivre. Parallèlement, il est également impératif de prévoir le budget essentiel pour l’exécution de toutes ces interventions. Dans cette optique, faire appel à un maçon reste la meilleure alternative pour assurer la qualité de votre projet, principalement lorsqu’il s’agit de gros œuvre. Ce type d’opération revêt effectivement une grande importance dans la mesure où elle garantit la protection, la stabilité ainsi que la résistance de votre construction. Autrement dit, que ce soit dans le cadre d’une rénovation ou d’une nouvelle édification, vous ne devez en aucun cas négliger cet aspect. Réalisation de gros œuvre Dans la pratique, grâce au savoir-faire d’un professionnel, l’ensemble de ces tâches permet de : Garantir la solidification des bases de votre future maison, Améliorer la résistance des constructions existantes. En effet, sans les compétences essentielles dans ce domaine, ces travaux sont susceptibles d’être mal exécutés, ce qui engendrera des risques de malfaçon. Or, cette défaillance fragilisera votre édifice en provoquant des soucis graves, à l’instar de : Problème de fissurations, Phénomène affaissement de terrain, Effondrement… Pour ce faire, le spécialiste réalisera des opérations spécifiques, telles que : Le terrassement, Le soubassement, La fondation. Concrètement, elles ont pour finalité d’édifier les structures fondamentales de votre habitation qui sont destinées à : Soutenir son poids total, Assurer sa protection contre les intempéries. Dans cette optique, selon les circonstances, il peut prévoir de former l’ossature de votre construction ou bien d’en modifier la structure. Il est effectivement probable que soyez amené à planifier : La création d’une extension ou une dépendance, L’installation d’un portail, la démolition da façon partielle de vos murs porteurs, L’agrandissement de votre bâtiment, La mise en place d’une fenêtre ou d’une porte… Fourchette de prix sur le marché Comme le coût d’un projet en maçonnerie peut varier selon l’envergure de vos travaux, il est effectivement plus que recommander de demander un devis au préalable. A titre indicatif, vous trouverez ci-après les prix moyens sur le marché. Pour une installation d’un mur en brique, il faut prévoir 35 à 65 euros/m² ; s’il s’agir d’un monomur, comptez plutôt entre 50 à 80 euros/m². Si vous voulez des parois en béton cellulaire, tablez entre 30 à 90 euros/m², contre 40 à 100 euros/m² pour des revêtements en parpaing. Si vous souhaitez entreprendre le coulage d’une chape en béton, le prix sera de 35 à 45 euros/m² en intérieur et de 40 à 55 euros/m² en extérieur. Pour une dalle en béton, le tarif est estimé à 130 à 220 euros/m² en intérieur et de 100 à 200 euros/m² en extérieur. Autrement, pour des interventions de création : Une dépendance vous coûtera 400 à 600 euros/m², Une fondation vous reviendra entre 100 à 200 euros/m³. En somme, le bon déroulement de vos travaux de maçonnerie dépendra de différents facteurs tels que l’ampleur de votre chantier et le budget y afférent. Afin d’avoir la sérénité de mener à bien votre projet, il est fortement recommandé de faire appel à un maçon expérimenté comme sur ce site : https://www.macon-varois.fr/ . Ainsi, vous serez à l’abri d’éventuels risques de malfaçon.
Il y a 3 ans et 176 jours

Les Canalisateurs du Sud-Est se mobilisent contre le changement climatique et la raréfaction de l'eau en PACA-Corse

Dans l'objectif d'agir pour anticiper le changement climatique, les participants à cette 9e édition ont travaillé sur la sécurisation de la ressource en eau et la valorisation des eaux usées.Collaboration entre le Canal de Provence et le Canal de Marseille, stockage de l'eau, installation prochaine d'un Parlement de l'Eau, prise en considération des milieux aquatiques et « Re-Use », les solutions... et les défis sont nombreux. Si l'esprit visionnaire des anciens a été salué à plusieurs reprises, de la qualité du lien qui unit collectivités locales et entreprises de la région dépend la gestion durable de l'eau ainsi que... son succès, même si une prise de conscience nationale est urgente et nécessaire.« La gestion durable de l'eau est un équilibre subtil et fragile entre pompage, stockage et partage » souligne Yves BOURDAIS délégué régional PACA Corse des Canalisateurs du Sud-Est, en accueil de ces 9e rencontres, qui contribuent à renforcer le lien entre entreprises, collectivités et syndicats des eaux du territoire. « Agriculture, industrie, énergie, tourisme, consommation d'eau potable et milieux naturels aquatiques longtemps négligés..., tous ont besoin de ce bien devenu rare et... trop bon marché ! Il est vital que collectivement, nous travaillons main dans la main à la gestion globale de l'eau, pour nous et nos générations futures. C'est le sens de cette journée de travail qui nous uni ! » précise Yves BOURDAIS.« Dans le contexte de réchauffement climatique actuel, la gestion de la ressource en eau nous concerne tous ! Nous n'allons pas créer de l'eau en plus. Il faut donc maîtriser cette richesse absolue, cet or bleu qui nous est confié, en le canalisant et en l'économisant ! » précise Michel REGUILLON, président des Canalisateurs du Sud « nous posons des maillons étanches et nous canalisons l'eau pour tous les usagers, dans le respect des milieux naturels ; nous sommes des acteurs de la réduction de la consommation d'eau et pas de simples poseurs de tuyaux ! » Les Canalisateurs du Sud-Est - qui ont accusé en 2020 une baisse de 13% d'activité par rapport à 2019 - vont continuer les actions en faveur du grand cycle et du petit cycle de l'eau, dans le cadre du plan d'action 2021-2024. Sur cette période, les Canalisateurs du Sud-Est - qui représentent 118 entreprises pour un total de 9 000 salariés en Rhône-Alpes-PACA-Corse continueront à fédérer toujours plus les entreprises adhérentes pour défendre les intérêts de la profession, promouvoir ses métiers et agir pour la transition écologique. « Avec des rencontres comme celle d'aujourd'hui, nous renforçons le partenariat entre entreprises de canalisations, maîtres d'ouvrage et maîtres d'œuvre, tout en sensibilisant les pouvoirs publics et le grand public sur les enjeux liés à l'eau. » souligne Michel REGUILLON.Sécuriser la ressource en eau devient impératif ; Il y a déjà des conflits d'usage...Si l'approvisionnement en eau de la région PACA est relativement sécurisé grâce au barrage de Serre-Ponçon (83), la vision est un peu faussée ...« Le changement climatique d'ici à 2050 et la baisse de 10 à 20% de la ressource naturelle vont mettre le système en tension et la distribution va être compliquée ! alerte Philippe PICON, directeur de la ressource en eau du Syndicat Mixte d'Aménagement de la Vallée de la Durance (SMAVD) qui porte une démarche de gestion devenue « ultra-fine » entre l'impétuosité de la Durance et les impératifs du barrage de Serre-Ponçon construit en 1962 initialement pour recueillir l'eau de la fonte des neiges afin de faire face à un manque d'eau.Le ton de la journée est donné, repris par Hervé PAUL, président de la Régie Eau d'Azur, Vice-Président de Métropole Nice Côte d'Azur (MNCA) mobilisé à la fois par la reconstruction complète des assainissements de la vallée de la Vésubie (sans pénurie d'eau), par l'augmentation des capacités de pompage en raison des étiages mi-août- pendant la période de plus forte consommation - et des conflits d'usages en alimentation d'eau potable Var v/s Nappe phréatique...qui commencent à émerger.Le changement climatique influe également sur la qualité de l'eau dont la température de 25 °C augmente régulièrement chaque année ! « Notre action est de veiller à sa potabilité. Pour cela, nous amenons de l'eau pure plus froide grâce à une collaboration entre le Canal de Provence et le Canal de Marseille » soulignent à l'unisson Didier REAULT, Vice-Président Environnement, Eau & Assainissement de la Métropole Aix Marseille Provence (MAMP), Administrateur de l'Agence de l'Eau Rhône Méditerranée Corse, Vice-Président du Conseil Départemental des Bouches du Rhône et Benoit MOREAU, directeur du développement du Canal de Provence. « Et pourquoi ne pas couvrir les canaux de panneaux solaires pour maintenir la qualité d'eau fraiche en dessous ? » souligne ce dernier qui rappelle que le principe de financement de l'eau « l'eau paie l'eau » a pour objectif d'investir et de rénover les infrastructures et que son excédent n'a pas vocation à financer la biodiversité.Le prochain Parlement de l'Eau permettra d'envisager l'avenir collectivementPartagée entre agriculteurs, industriels, consommateurs d'eau potable, touristes, énergéticiens et milieux aquatiques, la ressource en eau et sa sécurisation sont les enjeux collectifs des prochaines décennies. La mise en place prochaine d'un Parlement de l'Eau, dans le cadre du Schéma Aménagement Gestion des Eaux, est très attendue ! Il réunira près de 120 personnes Collectivités, Usagers de l'eau et Administrateurs de l'Etat « Nous allons pouvoir faire de la prospective pour envisager l'avenir, préserver l'accès à l'eau pour tous tout en préservant les milieux aquatiques et optimiser l'utilisation des fonds européens ! » soulignent Philippe PICON et Hervé PAUL enthousiastes mais néanmoins inquiets pour l'avenir de leur territoire !Le taux d'eaux usées réutilisées est de 98% en Israël, 80% en Espagne et 0,6% en France. Le Re-Use a fait ses preuves... à l'étranger. En France, il y a trop de contraintes !« Au Qatar où le stress hydrique est fort et où la température monte à 54°C l'été, 100% des eaux usées sont réutilisées, mais il n'y a pas de schéma directeur et les camions font la queue à la station d'épuration... En Israël, le taux d'eaux usées réutilisées est de 98%, 80% en Espagne et 0,6% en France. » souligne Gautier MAIN, Directeur Pôle technique eaux urbaines d'EGIS Eau.Le Re-Use a fait ses preuves et a donc de beaux jours devant lui comme le souligne Eric LAHAYE, Directeur Régional de VEOLIA PACA, qui a mis en place la réutilisation, dès 2006, les eaux usées pour arroser le Golf de Sainte-Maxime (83), et ce dans le respect des qualités physico-chimiques. « Nous avons contribué à la réduction de 12% de la consommation d'eau potable du golf, qui avec des besoins de 12 000 m3 par jour, est le plus gros consommateur d'eau potable du département du Var », précise-t-il.Cette solution pourrait être étendue aux nettoyages et arrosages des centre-ville ainsi qu'à l'irrigation des terres agricoles, mais elle se heurte en France à une réglementation qui fixe une qualité d'eau forte. Malgré la surveillance et des règles draconiennes, l'Agence Régionale de la Santé (ARS) souhaite éviter tout risque sanitaire. L'élimination du paracétamol par exemple et autres perturbateurs endocriniens reste problématique. « Il y a des néanmoins des signes encourageants » souligne Marion BOUCAULT, Directrice régionale d'EGIS Eau, et « l'état d'esprit des décideurs et du grand public évoluent ; les nouveaux projets imposent des critères eaux durables comme pour nettoyer les bateaux par exemple ! ».L'objectif serait d'aller vers 100% des eaux issues des stations d'épuration (STEP) soulignent les trois intervenants, sans rêver. Il y a bien à ce jour quelques projets, comme à Cannes (06) pour nettoyer les véhicules techniques de la ville avec des eaux usées et Sables d'Olonne en Vendée (85) avec le Projet Jourdain de la STEP qui crée une zone de rejet bio pour alimenter l'eau potable... mais c'est bien trop peu.La nappe du Var est un véritable enjeuL'occasion pour Annick MIEVRE, Directrice de la Délégation PACA Corse de l'Agence de l'Eau (photo de gauche) de rappeler son action au service des collectivités pour aider les projets dans le domaine du petit cycle et grand cycle de l'eau. A ce jour, la moitié du programme est utilisé pour des projets d'assainissement ainsi que pour des actions de mesure du SDAGE, des projets de désimperméabilisation, rétention et séparation de réseaux Eaux Pluviales Eaux Usées afin de limiter le déversement d'eaux usées dans les milieux... Et sur les 180 millions € du plan de rebond mis en place dans le cadre de la crise sanitaire, 43 millions € ont été consommées en PACA Corse. « Mais aujourd'hui un usager souffre, c'est le milieu naturel. Il n'a pas suffisamment d'eau pour fonctionner normalement. La nature rend des services gratuits, le cours de l'eau recharge la nappe mais la biodiversité s'éteint. Il faut économiser l'eau potable pour résoudre les problèmes à venir de déficit en eau » alerte Annick MIEVRE comme un cri d'alarme.... « Nous n'en sortirons que par la solidarité, que si on travaille ensemble, la nappe du Var est un véritable enjeu ! »Il faut une ambition nationale !Le président des Canalisateurs Alain GRIZAUD (photo de droite) souligne que la prise de conscience collective qui ressort de cette journée de travail riche en témoignages et exemples doit non seulement se faire à l'échelle des métropoles mais aussi à l'échelle de tout le territoire national. « Nous ferons remonter au gouvernement les initiatives du terrain et nous recevrons les candidates et les candidats à l'élection présidentielle. Il faut une ambition nationale ! »
Il y a 3 ans et 176 jours

La buse de nottoyage PlusClean d’Alfa Laval PlusClean révolutionne le nettoyage des cuves avec une couverture à 100 %

Avec sa nouvelle buse de nettoyage PlusClean®, le portefeuille de produits de nettoyage de cuves d’Alfa Laval fait un pas de géant. La buse PlusClean offre une couverture de nettoyage à 100 % de la cuve, jusqu’à 80 % d’économies en eau et en produits de nettoyage, et garantit l’absence de contamination des produits. Associée à un dispositif de nettoyage monté sur le dessus et à un système de rinçage installé sur la paroi ou sur le fond de la cuve, PlusClean augmente la productivité tout en réduisant le coût total de possession. Pas de zones oubliées, pas de risque de contamination « Lors du processus de nettoyage de cuve, les buses PlusClean d’Alfa Laval ne laissent aucune chance aux contaminants », déclare Janne Pedersen, responsable du portefeuille international des équipements de nettoyage de cuves, Alfa Laval. « Maintenant, la promesse d’un nettoyage optimal des cuves est une promesse réaliste. Pas de zones oubliées et pas de risque de contamination du produit. C’est tout. » Facile à installer, simple à utiliser Grâce à son système de pulvérisation optimisé à fort impact, la buse PlusClean nettoie à 100 % les zones difficiles d’accès que les autres buses de nettoyage ne peuvent pas atteindre. Installée sur la paroi ou du fond de la cuve, la buse de nettoyage est dotée d’une fonction de réglage intégrée révolutionnaire qui facilite l’installation et l’utilisation, pour un nettoyage sans faille même dans les zonnes difficiles d’accès comme sous les pales de l’agitateur. Cela garantit un nettoyage de la cuve complet et inégalé par les autres dispositifs. Avantage concurrentiel Idéale pour les industries pharmaceutique, laitière, alimentaire, des boissons et des soins personnels à domicile, cette buse de nettoyage novatrice vous offre un résultat inégalé et améliore l’efficacité et la sécurité des process ainsi que la qualité des produits. Ceux qui choisissent d’intégrer la buse PlusClean à leurs processus de nettoyage de cuve bénéficient d’une productivité supérieure et d’un avantage concurrentiel. Notre priorité : la durabilité Le développement durable est au cœur des activités d’Alfa Laval, et c’est dans cette optique que la buse PlusClean a été conçue. Cette buse de nettoyage révolutionnaire vous permet de réaliser d’importantes économies d’eau et de produits de nettoyage, réduisant ainsi votre impact sur l’environnement. Pour les applications hygiéniques exigeantes La buse PlusClean d’Alfa Laval est vendue sous la forme d’une buse actionnée par ressort pour le nettoyage des cuves pour process hygiéniques. Une version spéciale à entraînement pneumatique est également disponible. Pour le nettoyage des cuves de process stériles et aseptiquess, nous proposons la buse PlusClean UltraPure d’Alfa Laval, qui est accompagné de la documentation Q-doc d’Alfa Laval pour assurer une traçabilité complète tout au long de la chaîne d’approvisionnement. Découvrez comment la couverture de nettoyage à 100 % de la buse PlusClean d’Alfa Laval augmente le rendement tout en réduisant les coûts. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.alfalaval.com/plusclean. Pour plus d’informations, veuillez contacter les personnes suivantes : Janne Pedersen Responsable du portefeuille mondial, équipements de nettoyage de cuves, Alfa Laval Téléphone : +45 22 77 84 52 E-mail : janne.pedersen@alfalaval.com Marianne Hojby Responsable de la communication marketing chez Alfa Laval Mobile : +45 28 95 44 71 Adresse électronique : marianne.hojby@alfalaval.com Présentation d’Alfa Laval L’entreprise Alfa Laval est active dans les domaines de l’énergie, de la marine ainsi que dans celui de l’alimentation et de l’eau. Elle offre son expertise, ses produits et ses services à de nombreuses industries dans une centaine de pays. Elle s’est engagée à optimiser les processus, à créer une croissance responsable et à favoriser le progrès en allant toujours plus loin pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs commerciaux et de développement durable.  Les technologies innovantes d’Alfa Laval sont dédiées à la purification, au raffinage et à la réutilisation des matériaux, favorisant ainsi une utilisation plus responsable des ressources naturelles. Elles contribuent à améliorer l’efficacité énergétique, la récupération de chaleur et le traitement de l’eau ainsi qu’à réduire les émissions. Alfa Laval accélère ainsi non seulement le succès de ses clients, mais également celui des personnes et de la planète. Pour améliorer le monde, chaque jour. C’est tout cela, Advancing betterTM. Alfa Laval compte 16 700 employés. En 2020, ses ventes se sont élevées à environ 4 milliards d’euros. La société Alfa Laval est cotée en bourse au Nasdaq OMX. www.alfalaval.com
Il y a 3 ans et 176 jours

Équerre d'argent 2021: zoom sur les cinq nommés de la catégorie Culture, jeunesse et sport

  Découverte en détails des cinq réalisations en lice pour obtenir l'Équerre d'argent 2021, dans la catégorie Culture, jeunesse et sport. Au total, vingt bâtiments et projets de paysage, regroupés en quatre catégories, sont dans la course. L'annonce du palmarès et la remise des prix se tiendront le 22 novembre 2021, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 177 jours

Wavin Academy

Expert en solutions destinées à la collecte des eaux pluviales et usées pour le Bâtiment et les Travaux Publics, Wavin considère la formation des équipes de ses partenaires comme une priorité. Le développement international des centres de formation a donné naissance à un nouveau concept : la Wavin Academy. Le fabricant se pose comme objectif de mettre en place des centres de formation dans l'ensemble des pays où il est implanté.
Il y a 3 ans et 177 jours

En Inde, rentabiliser le désert grâce à l'énergie solaire

Pour l'heure, l'Inde est le troisième plus gros émetteur de carbone du monde. Environ 70% de son électricité provient de centrales à charbon.Mais le Premier ministre Narendra Modi a annoncé lundi que le pays allait porter, d'ici 2030, sa part d'énergies renouvelables de 100 gigawatts (GW) actuellement à 500 GW, soit plus que toute sa production électrique actuelle. A cette date, 50% de l'énergie du pays devra être propre, a-t-il promis, tout en affirmant que l'Inde visait la neutralité carbone à l'horizon 2070.D'une surface équivalente à la République de Saint-Marin, la ferme de Bhadla est située dans l'État désertique du Rajasthan. Avec ses 325 jours d'ensoleillement par an, c'est l'endroit idéal pour entamer cette révolution énergétique indienne.Le projet est présenté par ses promoteurs comme un modèle de haute technologie, d'innovation et de collaboration public-privé.Au Rajasthan, "nous disposons d'énormes espaces où aucune herbe ne pousse. Maintenant on n'y voit plus le sol: on ne voit plus que des panneaux solaires. C'est une transformation gigantesque", se félicite Subodh Agarwal, un des responsables de la politique énergétique de "l'État-désert", tel que le Rajasthan est surnommé."État solaire"Au cours de la prochaine décennie, "ce sera un Rajasthan différent. Ce sera l'État solaire du Rajasthan", s'enthousiasme-t-il.La construction de Bhadla, en plein désert, a eu un impact minimal sur l'habitat humain et l'agriculture. Quelques centaines de personnes veillent sur les installations mais ce sont des robots qui enlèvent la poussière et le sable sur les 10 millions de panneaux photovoltaïques.D'autres méga-projets sont en cours. Au Gujarat, Narendra Modi a lancé l'an dernier, dans un autre désert, la construction d'un parc d'énergies renouvelables de la taille de Singapour. Plusieurs des plus grandes fortunes d'Inde, comme Mukesh Ambani et Gautam Adani, les deux hommes les plus riches d'Asie, commencent à investir lourdement dans le secteur.Il y a urgence: selon un rapport publié en 2019, 21 des 30 villes à l'air le plus pollué du monde se trouvent en Inde. Et le pays de 1,3 milliard d'habitants à l'urbanisation effrénée est de plus en plus vorace en énergie.Au cours des 20 prochaines années, l'Inde devra ajouter à son système de production électrique actuel des capacités équivalentes à celles de l'Europe pour répondre à la hausse vertigineuse de sa demande nationale, estime l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Et si les capacités indiennes en énergies renouvelables ont été multipliées par cinq au cours de la dernière décennie, elles devront encore être quintuplées pour atteindre l'objectif de 500 GW en 2030.Vinay Rustagi, directeur du cabinet de consultants en énergie renouvelable Bridge to India, est sceptique. Selon lui, le gouvernement indien cherche surtout "à montrer au monde que nous sommes sur la bonne voie"."Malheureusement, je crois qu'il n'existe aucune façon pour nous d'atteindre cet objectif", regrette-t-il.Remodeler le système énergétiqueCar même si installer des panneaux solaires est relativement bon marché, remodeler de fond en comble le système énergétique indien nécessitera encore beaucoup de temps et d'efforts, préviennent les experts.Ainsi, pour l'heure, environ 80% des panneaux sont importés de Chine, les capacités de production nationales étant très insuffisantes.Et si les projets d'énergie solaire géants comme celui de Bhadla sont présentés comme des succès, ils pourraient se heurter à terme à des problèmes d'acquisition de terres, et à la multiplication des procès intentés par des propriétaires expropriés.Certains experts estiment donc que l'avenir de l'énergie solaire en Inde passera plutôt par la multiplication des petites unités de production.Comme celles que le médecin et agriculteur Amit Singh a installé dans son village de Bhaloji, au Rajasthan.Alors que le village était frappé par des coupures de courant à répétition et par les pénuries d'eau, le Dr Singh a eu une idée. "Depuis toujours je voyais le soleil et ses rayons, et je me suis demandé: pourquoi ne pas le maîtriser pour générer de l'électricité?" raconte-t-il à l'AFP.Il a commencé par installer des panneaux photovoltaïques sur le toit de son dispensaire, ce qui a permis de couvrir la moitié des besoins en électricité de l'établissement. Il a ensuite dépensé ses économies pour installer une centrale d'un mégawatt dans sa petite exploitation agricole familiale.Cette mini-centrale solaire a coûté 35 millions de roupies (400.000 euros). Un investissement qui s'avérera rentable dans un délai raisonnable puisque chaque mois, elle rapporte 400.000 roupies (4.600 euros) en ventes au réseau électrique indien. "J'ai l'impression de contribuer au développement de mon village", se félicite M. Singh.Arunabha Ghosh, expert en politique climatique auprès du Conseil de l'énergie, de l'environnement et de l'eau, estime essentiel de faire baisser les coûts de ce type de petite installation."Quand un paysan est capable de générer de l'électricité à l'aide d'une centrale solaire près de sa ferme et de pomper de l'eau, quand un habitant de la campagne peut faire tourner une usine textile grâce à des panneaux solaires placés sur le toit, alors nous pouvons amener la transition énergétique au plus près des gens", estime-t-il.
Il y a 3 ans et 177 jours

La Roche-sur-Yon : le collège Les Gondoliers est complètement rénové

À La Roche-sur-Yon, les travaux d’agrandissement et de modernisation du collège Les Gondoliers sont achevés. Le coût total du chantier s’élève à 10 M€.
Il y a 3 ans et 178 jours

Daikin ne veut plus utiliser de terres rares pour ses pompes à chaleur

ENGAGEMENT. Le spécialiste du génie climatique, Daikin, indique vouloir se passer de terres rares dans ses futures pompes à chaleur. Première étape de cette ambition : une nouvelle génération de pompes à chaleur éco-énergétiques qui devraient sortir dès l'année fiscale 2022.
Il y a 3 ans et 178 jours

Saint-Gobain investit dans une plateforme d'intermédiation en Inde

PARTICIPATION. Saint-Gobain prend une participation minoritaire dans Livspace, entreprise numérique implantée en Inde et en Asie du Sud-Est.
Il y a 3 ans et 178 jours

A la COP climat, les renouvelables voudraient prendre la relève

Éolien, solaire, géothermie, hydroélectricité... sont passés de 8,7% à 11% de la consommation énergétique mondiale de 2009 à 2019. Mais sur fond de demande accrue, pétrole, gaz et charbon sont toujours à plus de 80%, souligne ce réseau réunissant chercheurs, agences de l'énergie, ONG, industriels... Alors que faire?"115 pays continuent à subventionner les énergies fossiles", souligne Rana Adib, provoquant des distorsions au détriment du photovoltaïque et de l'éolien, qui sont pourtant "l'option au moindre coût", dit-elle. "Les gouvernements doivent cesser ces investissements, qui sont des actifs irrécupérables pour le futur, et in fine le contribuable paie".Selon un rapport du FMI, plus de 11 millions de dollars sont consacrés chaque minute aux subventions aux fossiles (5.900 milliards de dollars en 2020, 6,8% du PIB mondial), contribuant à saper les objectifs climatiques.Villes et entreprises à la manœuvre"L'énergie fossile n'est pas mentionnée une seule fois dans l'accord climat de Paris, alors qu'elle produit 75% du CO2. C'est déjà un souci", dit Rana Adib. "Les négociations à la COP ce sont les ministres de l'Environnement. Où sont les ministres de l'Economie, de l'Energie?"Venue de la société civile et même de l'ONU, "il y a une mobilisation contre les fossiles, mais on ne donne pas la même voix à ce qui doit les remplacer: on vient donc faire entendre celle des énergies renouvelables" (ENR).Dans la "zone de l'action" du centre de conférence de Glasgow, où se déroule la COP (Conférence des parties à la Convention de l'Onu sur le climat), on "réseaute", on échange, en marge des tractations entre Etats."Le climat est une question transverse, et la COP un des rares événements où l'on croise tout le monde". A commencer par les villes."Ces 50 dernières années les gouvernements ont géré l'approvisionnement énergétique. Or les ENR sont une solution décentralisée."Aujourd'hui 25% de la population urbaine vit dans une ville avec un projet renouvelable.Le Cap, qui ne pouvait choisir lui-même son fournisseur, a poursuivi l'Etat en justice, Barcelone a en premier imposé du solaire au bâtiment, d'autres interdisent le diesel, dit la directrice de Ren21. Les élus locaux "sont plus près des citoyens, et, disons-le, moins la cible du lobbying des entreprises fossiles"."Beaucoup de gouvernements affichent des objectifs, mais ne créent pas de cadres réglementaires", souligne-t-elle. Quant aux plans de relance post-Covid, ils accordent six fois plus d'investissements aux hydrocarbures qu'aux renouvelables."Changer les perceptions"Autre levier: les entreprises. Les contrats passés directement auprès de fournisseurs d'énergie renouvelable ont crû de 18% de 2019 à 2020. Pour des raisons environnementales et de coût, note Ren21.Pour ces promoteurs des renouvelables, celles-ci doivent sortir du seul argument climat. En 2020, 83% des nouvelles capacités électriques sont renouvelables, largement du fait de leur coût, insistent-ils.Pour des questions de résilience aussi, l'armée américaine s'est lancée dans le solaire et le vent, et le pays a vu un essor des "mini-réseaux" depuis l'ouragan Katrina.Mais quid de l'irrégularité du solaire ou de l'éolien?"Il y a des solutions de flexibilité", répond Rana Adib. Avant même de développer le stockage, "ce qui compte c'est diversifier ces ressources" avec la géothermie, l'hydroélectricité, la biomasse, les énergies marines..., explique-t-elle."Il faut changer les perceptions, travailler pour rendre les ENR obligatoires, s'appuyer sur les citoyens, montrer l'intérêt social: au Danemark, les agriculteurs, d'abord dérangés par les éoliennes, ont été rémunérés."Mais les renouvelables ont leurs bémols: impact environnemental des barrages, soutenabilité des biocarburants, recyclabilité des équipements..."Il faut en parler franchement", dit Rana Adib.Pour garder le réchauffement mondial à 1,5°C, il faudrait d'ici 2030 installer chaque année quatre fois plus de capacités solaires et éoliennes qu'en 2020, année record, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Il y a 3 ans et 178 jours

Mitsubishi devient l'un des fournisseurs officiels de la coupe du monde de rugby 2023

PARTENARIAT. La division chauffage-climatisation de Mitsubishi vient d'annoncer devenir l'un des fournisseurs officiel de la coupe du monde de rugby qui se tiendra en 2023, en France.
Il y a 3 ans et 178 jours

Les syndicats prudents suite à l'annonce de Macron sur la construction de nouveaux réacteurs nucléaires

Mardi, Emmanuel Macron a annoncé que la France allait relancer un programme nucléaire et construire de nouveaux réacteurs sur son sol, en reportant toutefois à plus tard les précisions sur ces futurs EPR.Le renouvellement du parc nucléaire "est un défi industriel et social sans précédent", a estimé auprès de l'AFP Virginie Neumayer, représentante syndicale CGT chez EDF."Le président ne cherche pas à entraîner les salariés avec lui", a-t-elle déploré car dans le même temps, "on a des annonces de régression sociale sans précédent".Chez EDF, "les exigences de rentabilité sur le court terme sont incompatibles avec un engagement d'investissement sur le nucléaire", détaille Mme Neumayer.Le son de cloche est différent chez Nicolas Vincent, secrétaire général CGT de la centrale de Penly (Seine-Maritime), désignée mercredi pour accueillir un futur réacteur EPR. "La nouvelle est très bien perçue", a-t-il relayé.La centrale, âgée de 30 ans, "pouvait envisager une exploitation vers les 60 ans mais là, c'est vraiment prolongé", a-t-il salué, indiquant que le défi résidait désormais dans le besoin de main d'oeuvre pour réaliser les travaux - entre 8 et 10.000 personnes selon M. Vincent."Construire de nouveaux outils nucléaires est incontournable si on veut continuer la transition énergétique", a indiqué Dominique Bousquenaud, secrétaire général de la fédération chimie-énergie à la CFDT. Il a également appelé à "continuer le développement de l'ensemble des énergies décarbonnées" pour limiter la part du nucléaire dans la production d'électricité à "50%".Chez SUD Energie, on se refuse à toute prise de position sur le bien-fondé du nucléaire ou non. Mais "il faudrait que ce soit un choix démocratique", par le biais d'un référendum, plaide Anne Debrégeas, porte-parole du syndicat."Le choix du nucléaire ou non ne peut pas être basé sur un choix économique, c'est un choix politique", estime-t-elle. "Est-ce que les gens préfèrent le risque d'accident et des déchets nucléaires ou bien avoir plein d'éoliennes ou de panneaux solaires ?", interroge-t-elle.D'après Mme Debrégeas, "on a les moyens de mener ce débat grâce aux travaux de RTE" et d'autres, mais "le président s'assoit dessus alors qu'il y a un vrai enjeu à impliquer les gens dans ces choix".
Il y a 3 ans et 178 jours

Le marché de l'immobilier logistique progresse fortement (+35%) au 3e trimestre 2021

Avec une hausse significative de 35% au troisième trimestre, le secteur connaît une belle évolution. Les terrains dédiés à la logistique se font rares. Les prix ont même été multipliés par 3 en douze mois sur certains secteurs et les coûts de construction ont progressé de près de 10% en 1 an. Autre fait marquant de ce trimestre : le retour des opérations de très grande taille, supérieures à 50 000m2. Zoom sur un marché qui a su rebondir après la crise sanitaire et qui, selon les régions, annoncent des résultats bien au-delà des prévisions initiales.Le 3ème trimestre confirme une belle année pour le secteur de la logistique en FranceSi le contexte économique est revenu plus ou moins à la normale, il en ressort tout de même quelques spécificités : Les prestataires logistiques sont les acteurs majeurs du marché : ils réalisent à eux seuls plus de 65% des transactions sur les immeubles existants. La raréfaction des terrains dédiés à la logistique s'accélère : il n'y a plus de terrain de plus de 5 hectares libres sur les principaux pôles logistiques de l'hexagone. Les prix des terrains dédiés à la logistique ont donc été multipliés par 3 sur certains secteurs. Les coûts de construction ont progressé de près de 10% en 1 an.Les taux de capitalisation prime sont proches de 3,5%.EOL confirme sa place d'acteur de référence du secteur En 2021, EOL comptabilise 2 479 000 m² de surfaces placées pour 93 transactions et ce, en l'espace de 9 mois seulement. Des chiffres à peu près équivalents à 2019 (2 449 000 m² pour 85 transactions) contre 1 818 000 m²pour 65 transactions en 2020.En France, au global, EOL a conclu 570 000 m2 de projets logistiques sur des bâtiments existants ou des développements, notamment une opération emblématique de plus de 110 000 m2 pour le compte de La Redoute à Cambrai (59)En Europe, Après avoir accompagné Carrefour pour un projet industriel et logistique à proximité de Bruxelles, EOL vient de signer un terrain de plus de 20ha en Pologne pour y développer un site de plus de 40 000 m2 pour l'un de ses clients français.EOL accélère la décarbonation des entrepôtsEOL a initiée dès 2016 une stratégie de décarbonation des entrepôts ce qui lui permet aujourd'hui d'accompagner les acteurs majeurs du marché dans une démarche unique et innovante. Avec l'application du décret tertiaire oblige les exploitants des entrepôts à diminuer de 40% les consommations d'énergie, EOL apporte une approche globale et un savoir-faire technique dans le choix des sites logistiques.Le marché en régionsLa région des Hauts-de-France :La région des Hauts-de-France bat un record historique avec près de 880 000 m2 de surfaces placées (soit 1/3 du marché français) pour seulement 25 transactions (en l'espace de 9 mois).Le choix politique d'accueillir des opérations logistiques de grande taille aboutit à des résultats exceptionnels et la stratégie « logistique friendly » de cette région s'est avérée très pertinente. Cela lui a permis d'attirer des projets d'envergure, notamment 2 opérations de plus de 100 000m2 pour le compte de SEB et de La Redoute.« Nous estimons que la logistique aura créé dans cette région plus de 2500 emplois au cours des 9 premiers mois et généré un investissement privé de plus 500 millions d'euros » indique Laurent Sabatucci - directeur associé, fondateur EOL.Le marché en Rhône-Alpes (Lyon) :Très forte tension sur l'offre avec un taux de vacance historiquement bas (3%).Les quelques opérations lancées en blanc et les terrains disponibles pour des clefs en main ont été commercialisés.Peu de développements à venir et peu de solutions de report sur des marchés périphériques.Le marché dans les Bouches-du-Rhône (Marseille) :Un rebond important au 3ème trimestre.Une baisse continue du taux de vacance (4%).Des loyers en hausse.A la différence du marché lyonnais, le marché marseillais propose quelques solutions de développement notamment à proximité du port de Fos.Le marché en Centre-Val-de-Loire (Orléans) : L'activité reste très soutenue en Centre Val de Loire. Ce secteur est devenu plus important que Marseille ou Lyon.Le nombre d'opérations lancées en blanc et en cours de développement garantissent une certaine fluidité du marché.Le taux de vacance est stable. Les loyers sont en hausse modéréeLe marché en Nouvelle-Aquitaine (Bordeaux) :Peu de transactions et très peu d'offres disponibles dans un marché sous tension.Les opérations lancées en blanc ont été commercialisées.Le marché en Occitanie (Toulouse) : Un marché devenu marginal compte tenu du manque d'offres disponibles et du peu de transactions.Un taux de vacance toujours en baisse.
Il y a 3 ans et 178 jours

Restauration de la chapelle Saint-Hubert du château royal d’Amboise

Le programme de restauration de la chapelle Saint-Hubert du château d’amboise porte sur les charpentes et couvertures suivant le dernier état connu et voulu par Ruprich-Robert (architecte en chef des monuments historiques en charge des travaux de restauration à la fin du XIXe), ainsi que sur une reprise de maçonnerie des façades. Une harmonisation des pierres, une restauration des sculptures et des verrières est également prévue. En parallèle, sera menée la reprise de l’étanchéité du parvis. Le chantier a débuté en octobre 2021 pour se terminer en octobre 2023. L’État a pris pleinement mesure du caractère majeur de ce chantier (représentant au total 2,7 millions d’euros), puisqu’il contribuera au budget des différents travaux engagés sur le site (intégrant, donc, ceux sur la chapelle) à hauteur de 2,16 millions d’euros, au titre du Plan de relance économique. Il s’agit là de la dotation la plus importante accordée à un édifice privé, propriété de la Fondation Saint-Louis. Celle-ci intervient opportunément pour cet édifice et dont les charpentes présentaient des fragilités dont il fallait se préoccuper sans délai au moment où le monument subissait de plein fouet les effets de ses fermetures successives et de la raréfaction des visiteurs. Placé sous l’autorité de l’architecte en chef des Monuments historiques, Etienne Barthélémy, ce chantier de restauration de la Chapelle Saint-Hubert revêt un caractère tout à fait exceptionnel puisque les derniers travaux d’une telle ampleur opérés sur la chapelle datent du milieu du XIXème siècle et de l’après-guerre. Il sera fait appel aux savoir-faire régionaux contribuant, ainsi, à mobiliser les entreprises du patrimoine vivant. La DRAC Centre-Val de Loire a initié l’opération : « Une école, un chantier… des métiers » afin de porter de nouvelles ambitions en faveur de la jeunesse autour des métiers et des savoir-faire. L’accueil de 4 classes des collèges du secteur est prévu, pour un suivi tout au long des phases du chantier, avec des visites incluant l’intervention de professionnels des entreprises artisanales (techniciens dédiés), et du patrimoine. Source et photo : Drac Centre-Val-de-Loire
Il y a 3 ans et 179 jours

Barbara Pompili annonce 10 mesures pour accélérer le développement des énergies renouvelables citoyennes

Avec la publication de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie en avril 2020, la France s’est engagée pour l’augmentation de la part d’énergies renouvelables avec des objectifs de déploiement ambitieux. Les énergies renouvelables représentaient 19,1% de la consommation totale d’énergie en 2020 et devront atteindre 33% du mix énergétique total d’ici 2030. Pour atteindre ces objectifs, les projets citoyens sont aujourd’hui un facteur clé pour permettre un développement équilibré des énergies renouvelables, fondé sur l’initiative des citoyens et des collectivités. En effet, les projets citoyens permettent d’optimiser les retombées socio-économiques locales avec des emplois pérennes à la clé et sont ainsi des moyens de dynamiser les territoires ruraux et urbains. En 2021, 256 projets d’EnR à gouvernance locale sont déjà lancés, dont 142 sont en fonctionnement pour environ 200 MW en exploitation, dont 15 projets éoliens qui totalisent près de deux tiers de la puissance totale et 94 projets photovoltaïques. Près de 100 projets supplémentaires sont également à l’étude. Au total, 19 000 citoyens sont impliqués dans ces projets. L’objectif du Gouvernement est d’amplifier cette dynamique en accompagnant et facilitant le développement d’initiatives citoyennes.Sur la base des conclusions rendues par le groupe de travail, Barbara Pompili annonce aujourd’hui 10 mesures pour accélérer le développement des énergies renouvelables citoyennes, parmi lesquelles : Le développement de 1 000 nouveaux projets à gouvernance locale qui associent collectivités et citoyens à horizon 2028, objectif qui sera inscrit dans la prochaine PPE et en phase avec la proposition de la Convention citoyenne pour le climat, qui avait fixé le cap d’une communauté d’énergie renouvelable par intercommunalité (EPCI) ;Le renforcement de l’accompagnement dans les territoires grâce à une augmentation de 50% des effectifs du réseau de conseillers de l’ADEME ; Le lancement d’une campagne de communication nationale pour sensibiliser le grand public aux énergies renouvelables citoyennes ; Le travail conjoint avec les acteurs financiers pour simplifier l’accès au financement bancaire dans le cadre de ces projets. Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, déclare : « Les scénarios proposés par RTE pour atteindre la neutralité carbone en 2050 apportent une certitude : nous devons massivement développer les énergies renouvelables et ce que quel que soit le chemin retenu pour l'avenir de notre mix énergétique. J’en ai la conviction depuis toujours, les projets citoyens constituent une solution pertinente pour contribuer à ce développement en misant sur des dynamiques locales. Aujourd’hui, nous franchissons un cap : après des mois de travaux, le groupe de travail que j’avais lancé pour aller plus loin dans les projets à gouvernance locale a abouti à la feuille de route que nous publions aujourd'hui. Notre ambition est claire : multiplier par cinq d'ici 2028 le nombre de projets citoyens sur notre territoire. J'invite tous les acteurs à se saisir de ces mesures, déjà opérationnelles ou à déployer, pour faire de cet objectif une réalité concrète ».
Il y a 3 ans et 179 jours

Le bureau d’études Construire innove avec la géothermie sur plan d’eau

Descriptif du système de géothermie sur plan d’eauUn lac possède en hiver des températures de 7 à 8 °C au fond. Afin de pouvoir obtenir et exploiter cette chaleur il faut déposer et recouvrir des tubes de graviers pour favoriser l’incrustation de la vase. Au bout de 2 à 3 ans, la vase s’est installée. La température de fond augmente d’année en année de 4 à 5° C au début par la fermentation organique. Pour un coût 5 fois moins élevé que le forage sur les grandes puissances, on obtient des caractéristiques d'échange bien meilleures que celles d’un forage. On peut produire plus d’énergie par mètre de sonde que dans le cas d’un forage.Le PEHD est biocompatible car complètement inerte. Il ne se dégrade pas, ce qui dément le préjugé des plastiques polluants. Étant non biodégradable (la décomposition s’étale sur des millions d'années) une utilisation sur le très long terme est sans aucun risque et totalement respectueuse de l’environnement. Elle ne génère aucun déchet. Pour les zones à température hivernale très faible il peut être nécessaire de glycoler l'eau. Dans ce cas il faut utiliser du MPEG (monopropylène glycol) et non du MEG toxique et cher.Facilité juridique de mise en œuvre La règlementation des lacs est peu contraignante car il s’agit d’espaces favorables à l'environnement. Il n’existe aucune contrainte administrative en dessous de 1.000 m2 de surface. Jusqu’à 20.000 m2, une simple déclaration suffit. Au-delà il faut une autorisation. Pour un système de 80 kW, 1.000 m3 d'eau suffisent.Un exemple de réalisation et son avantage financier Un lac de 1.000 m3 coûte entre 5 et 10 k€ HT. Les échanges thermiques dans un lac ou sur un autre plan d'eau (bras de rivière ...) sont optimisés, si bien que la quantité de tubes à installer est bien moindre que pour des forages ou autres systèmes de captage par sonde. L'eau permet d'obtenir un coefficient d'échange entre les tubes et l’eau bien meilleur que celui issus du contact avec la terre dans le cas des sondes classiques. Seul le plastique du tube est isolant (idem avec les sondes standards). Le coefficient d'échange obtenu est de l'ordre de 14 W/m/K. Pour un cours d'eau ou de l’eau en mouvement ce coefficient est encore plus élevé. Avec une température de 7 à 8° C au fond, la puissance de captage est de plus de 97 W/m alors qu’elle serait de 50W/m avec un forage classique. Un forage par système de sondes verticales est environ 10 fois plus cher qu’un système de captage sur plan d’eau à caractéristiques de captage équivalentes. La seule contrainte est la nécessité d'avoir à minima 500 m2 de terrain. C'est malgré tout beaucoup moins que l’espace nécessaire pour un système de captage par sonde horizontale traditionnel.La société SUNDERMANN & SEYS Géothermie et son bureau d'études CONSTRUIRE rendent rentable la géothermie à partir de 10 k€ HT de dépenses annuelles de chauffage /climatisation. (Retour sur investissement hors subventions en moins de 5 ans). Ce seuil est vite atteint pour une grande majorité de bureaux et de projets particuliers d’envergure. Pour le bureau d’études CONSTRUIRE, les systèmes non rentables dans la durée ne devraient pas être considérés comme écologiques. Le coût hors subventions constitue un indicateur très fiable de l’énergie consommée à la production. Il ne faut pas oublier que les moyens humains ont un coût financier et écologique élevé. La géothermie permet de diviser par 5 la dépense en énergie pour le chauffage / climatisation, soit une réduction de 40% de la dépense énergétique globale. Les Suisses et les Suédois l'on comprit, 15% de leurs systèmes de chauffage fonctionnent selon ce système, contre quelques % en France.Le retour sur investissement (hors taxes et hors subventions) est assuré en moins de 5 ans.Une première mise en œuvre : L’école maternelle, l’école primaire, le collège et des locaux associatifs à Rambouillet ( réalisation en 2022) Le projet des établissements scolaires et locaux associatifs à Rambouillet a la particularité de se faire sur une friche industrielle. Ces bâtiments seront à énergie positive sur un site industriel abandonné pendant plus de 5 ans. Sur ce projet une installation de chauffage / climatisation et eau chaude sanitaire par géothermie sur plan d'eau sera réalisée. Il s'agit d'un système de 80 kW prévu pour chauffer 2.000 m2 de locaux de type ERP catégorie 5 et 400 m2 de locaux de type salle de danse pour les associations de la ville de Rambouillet. Il est prévu d'installer 1.000 mètres de tubes PEHD permettant de capter 97.14W/m dans le bassin pour le chauffage en hivers ou pour la climatisation des locaux en été.. L’utilisation de cette technologie permettra d'économiser au maitre d'ouvrage 180 k€ HT de forage sans aucune perte en qualité du système de chauffage / climatisation et ECS.Le recours à cette technologie alternative est une aubaine car la taille du terrain ne permettait pas l'installation de capteurs horizontaux et les contraintes règlementaires interdisaient l'utilisation de la ressource nappe phréatique. La solution retenue est donc la meilleure en tous points. Le projet permettra également une rénovation généralisée de tout le réseau de chauffage du bâtiment avec le remplacement de l'ancienne tuyauterie et l’installation de radiateurs en nombre suffisant pour assurer un chauffage à eau chaude à moins de 35°C. Cette température de l'eau de chauffage relativement basse permet l’optimisation maximale du rendement des pompes à chaleurs mises en place. Celles-ci fonctionneront avec un COP de 5. Le COP système général est estimé supérieur à 4.5 en moyenne. Le système fonctionnera à plein régime pendant 2.100 heures par an pour une énergie totale utile produite de 160 MWh et une énergie couteuse (l'électricité) consommée de 35 MWh. A moyen terme il est prévu d'améliorer encore les performances thermiques et écologiques du bâti par l'installation de panneaux solaires, d’éoliennes 20kW et de batteries électriques Tesla ou équivalent sur le terrain afin de produire et pouvoir stocker l'électricité nécessaire pour faire fonctionner les pompes et les autres consommateurs du bâtiment (ordinateurs et luminaires). Le développement de la géothermie par plan d’eau permet d’améliorer le rendement énergétique et la rentabilité de l'industrie de la construction. Avec les subventions de l'ADEME pour la géothermie, le retour sur investissement de ce chantier sera obtenu en moins d'un an.
Il y a 3 ans et 179 jours

Mitsubishi Electric, fournisseur officiel de la Coupe du monde de rugby 2023

La division Chauffage & Climatisation du fabricant japonais accompagne cet événement sportif, qui se déroulera en France.
Il y a 3 ans et 179 jours

LumiNature de Sylvania, la plus naturelle des lumières artificielles

Depuis toujours, le soleil, qui rythme les journées de chacun, est indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Pourtant, de l’enfance à l’âge adulte, l’être humain passe jusqu’à 90% de son temps en intérieur : écoles, bureaux, établissements de santé… Dans tous ces lieux de vie, il est le plus souvent soumis à un éclairage artificiel qui n’égale pas les bienfaits de la lumière naturelle sur la santé. Conscient que l’éclairage intérieur joue un rôle majeur sur le bien-être, le confort et la performance des usagers, Sylvania repousse les limites de l’innovation et lance à l’échelle européenne une véritable solution d’éclairage centrée sur l’humain : LumiNature, la plus naturelle des lumières artificielles. Une lumière au plus proche du spectre naturel du soleil La lumière naturelle impacte de façon significative les fonctions biologiques essentielles du corps humain. Au delà de ce qu’elle permet de percevoir, elle régule le rythme circadien qui regroupe l’ensemble des changements mentaux et comportementaux durant un cycle de 24 heures. Stimulée par la lumière du jour, cette horloge biologique interne influence les fonctions cognitives, la physiologie, l’humeur, le mode de vie mais aussi les cycles d’éveil et de sommeil. C’est durant ce dernier, en l’absence de lumière, qu’est sécrétée la mélatonine. Indispensable au bien-être, cette hormone du sommeil, dont le niveau varie en fonction de l’exposition à la lumière du jour, favorise l’endormissement. Trop de temps passé sous un éclairage artificiel peut donc perturber ce cycle. Même si les solutions d’éclairage LED « tunable white » actuelles reproduisent les différentes températures de couleur de la lumière naturelle, elles ne couvrent pas la totalité du spectre lumineux dont la courbe évolue en fonction du lieu et du moment. En début de soirée, un pic de lumière bleue, naturellement présent dans la lumière du soleil en 1ère partie de journée, persiste même dans les teintes chaudes, ce qui perturbe le rythme circadien. Cela entraîne alors une stimulation de l’organisme et retarde la sécrétion de la mélatonine. Une lumière artificielle plus naturelle peut préserver ce cycle. C’est pourquoi Sylvania, qui place le confort visuel et le bien-être des usagers au cœur de ses développements depuis plus de 100 ans, s’est intéressé à la qualité de l’éclairage artificiel, en particulier dans les lieux de vie (bureaux, crèches, EHPAD…) où le temps passé s’avère relativement long (en moyenne 8 à 10 heures par jour). Souhaitant proposer une solution qui va au-delà de la simple variation de température de couleur, Sylvania a mobilisé l’équipe Recherche & Développement de son site de production de Saint-Etienne pour travailler conjointement sur la source lumineuse et l’optique. Elle a conçu LumiNature qui reproduit au plus proche le spectre lumineux du soleil, sans ultra-violet (UV) ni infrarouge (IR), et supprime aussi le pic de lumière bleue des LED conventionnelles afin de respecter le rythme circadien. LumiNature offrant une distribution spectrale complète et équilibrée, toutes les couleurs de la lumière naturelle sont représentées de manière uniforme. Apportant la même qualité de lumière que le soleil, cette innovation centrée sur l’activité et les besoins de l’humain garantit en plus un confort optimal aux occupants grâce aux optiques anti-éblouissement (jusqu’à UGR97)(4) dans toutes les tonalités, y compris les rouges (R9>90), LumiNature offre la reproduction la plus fidèle des teintes de la lumière naturelle dans les espaces intérieurs. Idéale pour éclairer les pièces avec peu ou pas d’accès à la lumière naturelle, elle constitue la meilleure solution pour toutes les applications nécessitant une parfaite perception des nuances telles que la santé, le commerce ou encore l’industrie, dans le cadre de contrôles qualité. Une gestion d’éclairage dynamique 100% adaptée au rythme circadien Associée à la solution de gestion d’éclairage sans fil SylSmart Standalone, LumiNature reproduit à 100% l’évolution de la lumière naturelle pour accompagner au mieux les besoins du rythme circadien. De façon simultanée et en toute simplicité, grâce à une programmation qui s’effectue intégralement via l’application mobile dédiée, ce système intelligent combiné à LumiNature apporte : • la bonne lumière (contrôle personnalisé de la température de couleur et de l’intensité lumineuse, spectre complet et équilibré), • au bon endroit, grâce au réglage automatique zone par zone, • au bon moment, pour distribuer uniformément, uniquement si nécessaire, un éclairage adapté à chaque activité, au temps d’occupation et à l’ambiance recherchée. Offrant ainsi un maximum de bien-être et de confort visuel aux usagers, sa totale flexibilité lui permet de s’adapter à tous les environnements tels que : • les espaces de travail pour améliorer la productivité et la performance, • les lieux d’apprentissage pour favoriser la concentration et la créativité, • les établissements de santé pour faciliter la récupération des patients et stimuler l’humeur des occupants. Outre la version HCL SylSmart Standalone, les luminaires intégrant LumiNature se déclinent également avec une température de couleur fixe (3000K, 4000K DALI ou courant constant). Une innovation intégrée aux luminaires les plus performants Ascent 100, downlights décoratifs. Diamètres d’encastrement : 120 et 160 mm. Flux lumineux : de 1 100 à 2 650 lm. Fabriquée en Angleterre et 100 % personnalisable. Versions LumiNature disponibles : 3000 K fixe DALI, 4000 K fixe DALI, HCL SylSmart Standalone. Ratio mélanopique (MR) : 0,75 à 4 000 K ; >1,12 à 6 500 K OPTIX, un luminaire au confort visuel optimal. Disponible en version encastrée, linéaire, surface et suspendue. Dimensions : 600 x 600 et 1200 x 300 mm. Fabriquée en France et 100 % personnalisable. Versions LumiNature disponibles : 4 000 K fixe courant constant, 4 000 K fixe DALI, HCL SylSmart Standalone. Ratio mélanopique (MR) : 0,77 à 4 000 K ; >1,07 à 6 200 K. Très basse luminance : L
Il y a 3 ans et 179 jours

Oknoplast investit dans les solutions Prosperences

Les atouts du Réseau Partenaire Premium OKNOPLASTDepuis plus de 6 ans maintenant, OKNOPLAST a lancé son réseau de Partenaires Premium et compte aujourd’hui plus 220 membres premium actifs. OKNOPLAST a toujours eu la volonté d’être au plus proche de ses revendeurs afin de collaborer dans un esprit d’engagement gagnant-gagnant. La marque OKNOPLAST doit être au service du développement de ses clients et les clients contribuent au développement d’OKNOPLAST.L’objectif au travers de cet accord de partenariat est d’offrir à nos partenaires une image de marque connue, de leur permettre de bénéficier d’une communication nationale prise en charge par le groupe, de bénéficier de formations et d’un savoir-faire éprouvé constituant un avantage concurrentiel. Tout en conservant leur indépendance, sans être isolé.Un nouvel outil d’animation commercialeDepuis maintenant 2 ans, OKNOPLAST est porteur de solutions 2.0 auprès de ses clients afin de les accompagner au mieux grâce à des outils pour suivre et piloter leur activité commerciale notamment avec MyOknoplast, un CRM dédié à 100% au pilotage de leur activité (suivi des commandes, livraisons, SAV, gestion des leads, commandes des outils marketing…) ainsi que PrefWeb pour la partie chiffrage avec une transmission directe des commandes à l’usine de production.En cette fin d’année 2021, OKNOPLAST investit dans un outil d’analyse et prospective dédié au marché de la menuiserie développé par PROSPERENCES. Cette solution a pour vocation de venir accompagner les partenaires revendeurs sur les études de leurs zones de chalandises potentielles, en vue de venir développer leur présence sur leur secteur et ainsi développer leurs prises de part de marché et par conséquent leur chiffre d’affaires.Constatant également que de plus en plus de partenaires endossent une casquette d’investisseur, OKNOPLAST sera à même de les accompagner dans leurs études de marché avant implantation en tant qu’expert d’aide au développement business.Ce nouvel outil et le renforcement de ce volet collaboratif avec nos Partenaires Premium permet de venir consolider nos engagements et notre volonté de les accompagner toujours plus dans leur croissance et développement.
Il y a 3 ans et 180 jours

Evacuation en banlieue parisienne de 240.000 tonnes de déblais

Contactée, la Direction régionale et interdépartementale de l'environnement, de l'aménagement et des transports (Drieat) a confirmé une information du journal Le Parisien.Ces terres de chantier, censées être inertes, ont été apportés progressivement depuis 2019 sur une zone de stockage située à Saint-Martin-la-Garenne, près de Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines.C'est le groupe LafargeHolcim qui exploite cette carrière, où sont acheminés les déchets liés aux travaux du tunnelier du projet Eole, qui creuse sous terre le prolongement de la ligne E du RER à l'ouest de Paris, jusqu'à Nanterre puis Mantes-la-Jolie."Nos services ont été contactés par Lafarge en début d'année 2021 après le constat d'une coloration rouge, caractéristique de la présence d'oxydation, sur les déchets", a indiqué la Drieat à l'AFP.Ces déblais contiennent de la pyrite, une pierre "qui peut s'oxyder en présence d'eau et d'oxygène, ce qui créé notamment des sulfates, des oxydes de fer de couleur rouge, et de l'acide sulfurique".La pyrite n'est donc pas un déchet inerte (qui ne produit aucune réaction chimique) et sa présence sur la carrière pouvait créer une pollution des nappes phréatiques et un danger pour l'alimentation en eau potable du secteur."Les résultats des analyses et études commandées aussitôt auprès d'organismes indépendants confirment clairement l'absence de risques à court terme pour l'environnement", a rassuré Lafarge, contacté par l'AFP. La préfecture des Yvelines a pris un arrêt en avril avant d'imposer le 3 août 2021 le retrait sous six mois de ces déblais.Ces déchets sont évacués depuis octobre vers un site spécialisé de Seine-Maritime pour y être rendus inertes, a indiqué Lafarge."Cette évacuation sera achevée avant la fin de l'année", a précisé le cimentier."SNCF Réseau s'interroge maintenant sur la chaîne de responsabilité alors que ces mêmes terres sont actuellement déposées sur plusieurs autres sites exploités par des concurrents de Lafarge-Holcim, sites sur lesquels cette situation n'a pas été constatée", a-t-elle fait savoir dans un communiqué.En Île-de-France, l'excavation et le traitement des déchets des différents projets liés au Grand Paris provoque la grogne de nombreuses associations environnementales ou d'habitants, qui dénoncent des risques de pollution malgré l'encadrement du tri des déblais.
Il y a 3 ans et 180 jours

Réemploi : StockPro lève 4 M€

Demeter, Schneider Electric et SMA BTP entrent au capital de la start-up pionnière du réemploi de matériaux neufs de construction pour lui permettre d’accélérer son développement en France et à l’international.
Il y a 3 ans et 180 jours

Saint-Gobain porté par la reprise confirme un chiffre d'affaires plus élevé que prévu

Saint-Gobain a annoncé un chiffre d'affaires plus élevé qu'attendu par les analystes au 3e trimestre, porté par la hausse des prix des matériaux et la reprise du secteur du bâtiment et de l'économie.
Il y a 3 ans et 180 jours

L’usine Isover d’Orange n'utilisera plus de sable dès 2030

La principale usine d’Isover va être transformée à partir de 2022 pour fonctionner uniquement à partir de matières premières issues du recyclage et réduire drastiquement son empreinte environnementale
Il y a 3 ans et 180 jours

Un géant du sport s’installe à Strasbourg

Depuis mai 2021 la marque Puma a installé son nouveau siège français à Strasbourg. Un espace de 4200 m2 conçus par les équipes de DRLW architectes. L’ensemble repose sur 350 pieux avec des modes constructifs multiples comme des poutres, prédalles en béton armé, dalles… Le bâtiment tout en transparence  reflète un environnement empreint de culture et d’histoire. Sa façade vitrée se déploie selon un principe de double peau, maîtrisé par le fabricant-installateur Druet, partenaire de Schüco sur cette opération, elle lui confère une lumière naturelle abondante modulable. La double peau de verre enserre une lame d’air générant une ventilation naturelle. Dans ce même espace, entre le mur-rideau et la paroi en verre extérieur collé, se glisse un brise-soleil orientable (BSO) caché par un système de cassettes aluminium. Chaque nez de dalle est équipé de capteurs scolaires pour activer les éléments du BSO selon l’ensoleillement via la GTB ou via la tablette de chaque employé.  La combinaison de vitrages alliée au système d’ombrage mécanique permet une gestion énergétique et une isolation phonique et thermique améliorées pour le confort des usagers. Contrôlé par GTB et parcouru de capteurs de luminosité et température, l’immeuble vise la certification Breeam au niveau Very good.
Il y a 3 ans et 180 jours

Saint-Gobain va investir 400 millions de dollars aux États-Unis

Cet investissement, étalé sur quatre ans, concernera quatre "sites de production clés" en Californie et dans le sud-est du pays, qui produisent toitures, isolants et plaques de plâtre."Les investissements cumulés permettront de réduire les déchets de plus de 50% et les émissions de CO2 de plus de 20% par rapport aux technologies existantes", souligne Saint-Gobain.Ils s'inscrivent dans le cadre du nouveau plan stratégique "Grow & Impact" et "visent à la fois à renforcer le leadership du groupe en Amérique du nord et à accélérer sa croissance dans la région", en complétant la gamme de construction légère qui représente 45% des ventes de produits de construction en Amérique du nord.En mars, Saint-Gobain avait annoncé un accord d'achat d'énergie durable pour une période de 12 ans avec Invenergy aux Etats-Unis, visant à permettre au groupe d'atteindre son objectif de neutralité carbone d'ici à 2050.
Il y a 3 ans et 180 jours

Le coût des sinistres climatiques en France pourrait doubler d'ici 2050

La facture totale des sinistres climatiques sur la période 2020-2050 pourrait doubler par rapport aux 30 années précédentes, a estimé la Fédération française des assurances (FFA).
Il y a 3 ans et 183 jours

Socoda et Richardson créent AlliX

RELATION CLIENT. Socoda, réseau de distributeurs indépendants pour les secteurs du Bâtiment et de l'Industrie, et Richardson, spécialiste du négoce professionnel dans le sanitaire chauffage, ont décidé de créer ensemble AlliX, une alliance visant à améliorer leur relation client.
Il y a 3 ans et 183 jours

Nouveau contrat d'engagement de la filière de l'énergie pour décarboner et réindustrialiser la France

"L'objectif de ce nouveau contrat est de faire de la transition écologique un levier pour la reconquête industrielle", a expliqué Barbara Pompili, la ministre de la Transition écologique.Ce nouveau contrat fait suite à un premier contrat de 2019, qu'elle a signé aux côtés d'Agnès Pannier-Runacher, la ministre déléguée chargée de l'Industrie, des représentants du Comité stratégique de filière "Nouveaux systèmes énergétiques" et des syndicats du secteur.La filière rassemble l'ensemble des industriels de la transition énergétique (énergies renouvelables, hydrogène bas carbone et renouvelable, efficacité énergétique, réseaux et stockage énergétiques). Elle représente 40 milliards d'euros de chiffre d'affaires et 210.000 emplois en France."On a des besoins gigantesques, que ce soit sur le nucléaire ou le renouvelable, et c'est encore mieux que ces besoins soient servis par une industrie française à valeur ajoutée", a fait valoir Mme Pannier-Runacher.Concrètement, le texte réitère les objectifs de développement des énergies renouvelables compétitives et met l'accent sur l'éolien marin, l'énergie solaire, l'hydrogène, le biogaz et les capacités de stockage de l'énergie pour la période 2021-2023.Egalement présente à Bercy, la présidente du comité stratégique de filière et directrice générale adjointe d'Engie, Claire Waysand, s'est félicitée que les acteurs du secteur aient réussi à mettre en oeuvre 70% des mesures du dernier contrat signé en 2019, grâce à l'implication d'environ 600 contributeurs.Le contrat signé jeudi prévoit aussi le lancement d'une plateforme de mise en relation des acteurs de l'énergie décarbonée et des industriels."Notre enjeu est que les entreprises n'aillent pas taper à la porte d'offreurs de solutions étrangers alors qu'ils ont à côté de leur zone industrielle des gens qui peuvent leur apporter des solutions compétitives", a expliqué Mme Pannier-Runacher à l'AFP après la signature.Le contrat s'appuie sur le 4e programme d'investissement d'avenir annoncé par l'Etat en janvier 2021. Il doit notamment financer à hauteur de 515 millions d'euros la stratégie du gouvernement pour développer l'innovation et la pré-industrialisation dans les domaines du photovoltaïque, de l'éolien flottant et des réseaux énergétiques, a précisé Mme Pannier-Runacher.Le gouvernement et les industriels s'accordent sur la nécessité de développer la formation alors que de manière générale, l'industrie peine à recruter des salariés qualifiés, avec actuellement 73.000 postes vacants dans l'industrie et 225.000 intentions de recrutement futur.Ce contrat se renouvelle alors qu'Emmanuel Macron a annoncé fin octobre une série de mesures destinées à décarboner et relancer l'industrie grâce au plan France Relance. Le Président de la République envisage notamment la construction de deux usines d'électrolyseurs pour devenir "leader de l'hydrogène vert".
Il y a 3 ans et 183 jours

Demathieu Bard et Cycle Up annoncent leur partenariat

Photo d’une devanture d’un ancien garage à Lyon destiné à être déconstruit pour laisser place à des bureaux. [©Demathieu Bard] L’entreprise de BTP, Demathieu Bard, et Cycle Up, spécialisé dans le recyclage de matériaux de construction, ont signé un partenariat. Celui-ci se focalisera sur une stratégie de réduction de l’impact carbone des activités de Demathieu Bard. Il vise à favoriser le réemploi des produits issus des chantiers, notamment de la déconstruction et de la rénovation pour les intégrer dans des projets neufs. Lire aussi : Cemex et la LPO : un renouvellement pour la biodiversité En toute logique, ce partenariat s’inscrit dans la démarche d’innovation et de RSE du groupe de BTP. D’ailleurs, en 2020, ce dernier a crée une direction dédiée aux solutions techniques. Elle centre ses recherches sur l’efficacité énergétique, ainsi que sur l’évolution des modes constructifs et des matériaux. Une manière de contribuer à l’amélioration de ses pratiques en matière de construction et de promotion immobilière.  Une collaboration divisée en quatre missions Dans le cadre de cette collaboration, les deux sociétés ont axé leur stratégie autour de plusieurs missions. Parmi elles, la réalisation de diagnostics des ressources liées aux opérations de Demathieu Bard. L’application Diag It, développée par Cycle up s’occupera d’évaluer ces matériaux. Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Mais aussi, la création et la mise à disposition d’une base de données géolocalisées des produits analysés au préalable. Par la suite, l’ensemble de ces ressources seront regroupées et vendues sur le site de Cycle Up. Enfin, la dernière mission de ce partenariat a pour vocation d’accompagner l’entreprise de construction dans l’élaboration de sa stratégie d’économie circulaire.
Il y a 3 ans et 183 jours

Cemex et la LPO : un renouvellement pour la biodiversité

Michel André (à droite), directeur des activités matériaux de Cemex, et Allain Bougrain Dubourg (à gauche), président de la LPO, renouvellent leur partenariat pour la préservation de la biodiversité. [©Cemex] Cemex renforce son engagement pour la biodiversité. En effet, l’industriel a renouvelé son partenariat avec la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) pour la 18e année consécutive. La convention a été signée lors d’un évènement centré sur l’économie circulaire organisé par Cemex, le 21 octobre dernier. En place depuis 2003, cette collaboration est désormais repartie pour 3 années supplémentaires. « Nous sommes partenaires depuis 18 ans, souligne Michel André, directeur des activités matériaux de Cemex. Ainsi, cela illustre notre volonté de préserver la biodiversité et de maîtriser notre impact sur l’environnement. » Cet engagement permettra à la LPO d’accompagner Cemex dans son programme “Entreprises engagées pour la nature”. Ce dernier a été acté auprès du ministère de la Transition écologique et de l’Office français de la biodiversité.  Lire aussi : Cemex, mécène d’Odyssée La convention s’articule autour de deux volets. La partie “Accompagnement” permet aux deux collaborateurs de mettre en commun leurs compétences. Une façon pour Cemex de renforcer ses actions de préservation de la biodiversité sur ses sites. Puis, le “Mécénat”, porté par la LPO, soutient des programmes de conservation du patrimoine naturel. Cemex en faveur de la biodiversité Par ailleurs, Cemex et la LPO ont dévoilé leur démarche pour la sécurité animale. Dont, le plan d’action “Hirondelles de rivage” qui se poursuit. Initié en 2013, il vise à concilier l’exploitation de carrières et l’accueil des oiseaux au sein de ses sites. Après 9 ans d’analyse, les résultats ont été collectés et diffusés auprès des collaborateurs de Cemex pour encourager les bonnes pratiques. Lire aussi : Agir pour sauver la biodiversité et la planète Dans le cadre de leur partenariat, l’industriel et la LPO se focaliseront aussi sur la démarche “Cemex Bétons agit pour la biodiversité”. Entamé en 2012, ce projet veut contribuer à l’accueil de la nature en ville pour favoriser la biodiversité. En parallèle, Cemex soutient financièrement les programmes de la LPO. Ainsi, l’industriel se mobilise pour la sauvegarde du vison d’Europe en Charente et du moineau domestique de Paris.
Il y a 3 ans et 183 jours

Chiffre d'affaires en hausse pour Vicat au troisième trimestre 2021

RESULTATS. Vicat affiche un troisième trimestre en hausse de 13,9% porté par la sortie de crise progressive. Sur les 9 premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires du cimentier est aussi en augmentation.
Il y a 3 ans et 183 jours

Gisement foncier : plus de 2.700 friches potentielles répertoriées en Ile-de-France

Espaces verts ou ferroviaires, logements, entrepôts : au total 2.721 friches ont été répertoriées par l'Institut Paris Region, selon une cartographie présentée et assortie d'une plateforme d'analyse.
Il y a 3 ans et 183 jours

Vicat engrange les bons résultats

Sur les 9 premiers mois de l'année, le cimentier français a réalisé un chiffre d'affaires de 2,35 milliards d'euros, en hausse de 19,7% par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 183 jours

District 2020, héritage durable et intelligent de l'Expo 2020 Dubai

Livrable d’ici octobre 2022, ce nouveau quartier sera un tout nouveau type d'expérience urbaine dans la région. Ce lieu a pour ambition d’être une communauté inclusive et diversifiée conçue autour de l'équilibre et du bien-être ; un lieu qui inspire de nouvelles idées, facilite une croissance durable, développe le potentiel humain.District 2020 : une ville intelligente résolument tournée vers l'avenir Dotée d’une infrastructure physique et numérique, District 2020 sera une communauté à usages multiples où les habitants pourront vivre, travailler et profiter d’un vrai cadre de vie avec des commerces. Ils pourront y vivre et y travailler en tout équilibre, en ayant accès aux dernières technologies (5G et IoT) tout en étant dans un environnement intégré et à usage mixte pour favoriser l’épanouissement de chacun. Héritant de l'infrastructure numérique et de technologies de communication avancées d'Expo, le District 2020 s’entoure de partenaires de choix pour façonner une ville intelligente : Siemens : le géant allemand était déjà partenaire officiel de numérisation des infrastructures de l'Expo 2020 Dubaï.Terminus Technologies : la société chinoise, leader dans l’intelligence artificielle et l’Internet of Things, y établira un centre de Recherche & Développement. Une collaboration issue de sa participation à l'Expo 2020 en tant que partenaire robotique officiel. Comme toute ville intelligente, District 2020 conjuguera la technologie à des pratiques durables intégrées. Des capteurs et compteurs intelligents fourniront des analyses précises de l'utilisation de l'eau et de l'énergie, pour contrôler et réduire leur consommation, et ainsi améliorer la vie de ses résidents et travailleurs.Une ville centrée sur l'humain Afin d'assurer le bien-être de sa population, District 2020 a accordé une attention particulière à la mobilité intelligente et à la réduction du temps de trajet. Des itinéraires de véhicules autonomes et des sentiers piétonniers interconnectés ont été pensés pour permettre aux usagers de se déplacer rapidement et en toute transparence, à pied, à vélo ou en voiture. Les personnes pourront également se déplacer plus facilement grâce aux transports en communs, la ville étant en lien direct avec le réseau de métro de Dubaï et trois grandes autoroutes. En intégrant des bâtiments emblématiques de l’exposition universelle comme l’Al Wasl Plaza ou le Centre des Expositions, les habitants du District 2020 pourront profiter d'événements sociaux, culturels et commerciaux.Un lieu unique pour permettre aux entreprises de se développerTPE, PME, ou grande entreprise, District 2020 propose des espaces de bureaux modernes, flexibles et locatifs, avec l’opportunité de travailler avec d'autres parties prenantes, de partager ses connaissances et de trouver de nouvelles façons de prospérer. Il fournira également aux entreprises un écosystème d’affaires centré sur l’innovation, la technologie et la transformation numérique pour développer leur croissance industrielle. Grâce à son laboratoire urbain, la ville permettra aux entreprises de participer à des projets pilotes répondant aux problématiques urbains, qui pourront bénéficier aux habitants du District 2020. Avec son infrastructure physique et numérique, Scale2Dubai, des entreprises internationales de toute taille pourront innover au sein d'industries intelligentes tout en collaborant avec des institutions gouvernementales, des accélérateurs de recherche, des incubateurs et les 500 plus grandes entreprises américaines du “Fortune 500”.
Il y a 3 ans et 183 jours

Notre-Dame de Paris : seulement quelques jours pour candidater au chantier

Jusqu’au 16 novembre, répondez aux appels à candidatures relatifs à la restauration de la flèche et des transepts et, jusqu’au 22 novembre, à l’appel d’offres ouvert pour la réalisation de restaurations intérieures. L’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, maître d’ouvrage du chantier, lance deux consultations pour la réalisation des travaux de restauration de la flèche et des transepts et de restaurations intérieures. Afin de réunir les meilleures compétences et permettre l’accès au chantier de restauration au plus grand nombre d’entreprises, dont les PME, les TPE et les artisans des métiers du patrimoine, l’établissement public a mis en place un allotissement permettant autant que possible à des entreprises de toute taille de répondre, seules ou en groupement, aux différents appels d’offres et appels à candidatures. Au-delà de l’échéances du 16 novembre, la restauration de la flèche et des transepts s’accompagnera d’une dizaine d’autres lots qui seront mis en consultation fin novembre. La publication d’autres appels d’offres de travaux se poursuivra jusqu’à la fin de l’année et en 2022. Au total, le chantier de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris conduira à l’attribution de plus d’une centaine de lots. Comment candidater ? Pour participer à la restauration de la flèche et des transepts : les trois appels à candidatures relatifs à la restauration de la charpente en bois, de la couverture en plomb et à l’échafaudage permettant la réalisation de ces travaux sont consultables sur www.marches-publics.gouv.fr. Pour participer aux opérations de restaurations intérieures : l’appel d’offres ouvert relatif aux opérations de restaurations intérieures est également consultable sur www.marches-publics.gouv.fr. Il est constitué de 37 lots distincts.
Il y a 3 ans et 183 jours

Vicat a réussi à compenser la hausse des coûts de l’énergie par l'augmentation de ses prix de vente

A 794 millions d'euros, le chiffre d'affaires réalisé sur la période juillet-septembre porte à 2,35 milliards celui sur les neuf premiers mois de 2021, soit une progression de 13,9% par rapport à la période comparable de 2020, a indiqué le cimentier dans un communiqué.Les chiffres publiés mercredi reflètent "le dynamisme" des marchés de Vicat "dans un contexte de sortie progressive de la crise sanitaire", a jugé son PDG Guy Sidos cité dans un communiqué. Le troisième trimestre est marqué par une base de comparaison "particulièrement défavorable en France, dans la zone Amérique et en Inde", puisque le 3e trimestre 2020 avait connu un effet de "rattrapage" après la crise Covid du début d'année.Sur neuf mois, les hausses les plus importantes de chiffre d'affaires sont enregistrées dans la zone Méditerrannée (+36,3% à 166 millions d'euros au 30 septembre 2021), et la zone Asie (+30,6% à 320 millions d'euros).En France, le chiffre d'affaires a progressé de 15,5% à 824 millions d'euros sur neuf mois, et en Afrique de 22,3% à 242 millions d'euros. Seule la zone Europe (hors France) recule de 4,8% à 301 millions d'euros, essentiellement en raison de la cession de l'activité de préfabrication Creabéton enregistrée le 30 juin 2021.Par activité en France, le chiffre d'affaires opérationnel de l'activité Ciment est en hausse de 10,8% à périmètre constant sur les neuf mois, malgré un recul de 9,3% au 3e trimestre, dû à la reprise "exceptionnelle" enregistrée l'an dernier à pareille époque. Les prix de vente et les volumes sont "en nette progression" sur les neuf mois.Idem pour l'activité Béton et granulats, où le chiffre d'affaires progresse de 19,5% à périmètre constant, avec des prix de vente en progression dans les granulats et stables dans le béton.Aux Etats-Unis comme au Brésil, "le secteur reste dynamique, facilitant notamment les hausses de prix".La construction d'une nouvelle ligne de cuisson de l'usine de Ragland en Alabama s'est poursuivie avec pour objectif une mise en service au premier trimestre 2022, a indiqué le groupe. Cette installation "permettra à la fois de répondre à la forte demande du marché en augmentant la capacité de l'usine, de réduire fortement les coûts de production, et contribuera à la baisse des émissions de CO2 du groupe".Sur l'ensemble de l'exercice 2021, dont les résultats seront annoncés le 15 février 2022, le groupe s'attend à une progression de son bénéfice d'exploitation Ebitda, ainsi qu'une "évolution favorable des prix de vente moyens".
Il y a 3 ans et 184 jours

Chiffre d'affaires en hausse sur les 9 premiers mois pour Serge Ferrari

RÉSULTATS. Après un premier semestre au beau fixe, le spécialiste de la toile tendue, Serge Ferrari, poursuit sur sa lancée en annonçant une hausse de son chiffre d'affaires sur les 9 premiers mois de l'année.
Il y a 3 ans et 184 jours

Saint-Gobain accélère son développement aux Etats-Unis

INVESTISSEMENT. Le spécialiste des matériaux de construction, Saint-Gobain, veut accélérer son développement aux Etats-Unis. Il annonce une enveloppe de plus de 400 millions de dollars (environ 346 millions d'euros) pour améliorer ses capacités de production dans trois domaines.
Il y a 3 ans et 184 jours

Legrand : forte hausse des résultats sur neuf mois

Sur les neufs premiers mois de 2021, le résultat net du fabricant de matériels électriques et numériques a atteint 699 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 5,17 milliards d'euros, en amélioration de 15%. Et ce malgré l'intensification des difficultés d'approvisionnement.
Il y a 3 ans et 184 jours

Isover recycle la laine de verre, et compte augmenter les volumes

La filiale de Saint-Gobain sait recycler la laine de verre, et compte bien développer cette tendance à coup d’investissements et de maillage territorial de collecteurs agréés. Mais certains obstacles restent encore à lever.
Il y a 3 ans et 184 jours

La fabrication par Lapeyre - 90 ans de savoir-faire

Un fort ancrage industriel en FranceDès 1932, Martial Lapeyre se lance dans l'aventure de la menuiserie industrielle aux côtés de Marcel Pastural. Devenu l'un des plus grands spécialistes de la menuiserie industrielle multi-matériaux (bois, aluminium, PVC …), Lapeyre dispose aujourd'hui d’outils de production modernes et performants sur ses différents sites, où sont fabriqués ou assemblés plus de la moitié des produits distribués. Ils permettent à Lapeyre de proposer des produits en standard et sur-mesure pour répondre à toutes les configurations ainsi que des produits coordonnés et/ou personnalisables pour mettre en scène son intérieur en accord avec sa personnalité.Chaque site est spécialisé dans des domaines précis de l'habitat :Pastural (Epernay, 51) : fenêtres et baies coulissantes aluminiumMenuiseries du Centre (Ydes, 15) : meubles de cuisines et de salles de bainsLagrange (La Magdelaine-sur-Tarn, 31) - portes intérieures, placards, rangementsCordier (Magenta, 51) : escaliers bois et métalPoreaux (Saint-Martin-sur-le-Pré, 51) : fenêtres, volets et portails boisAzur Production (Onville, 54) : fenêtres et portes de service PVCGiraud (Cours, 69) : baies coulissantes aluminiumCougnaud (Aizenay, 85) : fenêtres, portes et baies coulissantesOuest Production (La Chaize-Giraud, 85) : portes d’entrée bois, aluminium et acier et volets PVC et aluminium.SBL (Marcoing, 59) : vérandas aluminium et bois, portails bois et PVCL’enseigne travaille plus que jamais au maintien de son activité industrielle en France qui permet d’assurer qualité, durabilité et accessibilité avec des produits pouvant être garantis jusqu’à 30 ans.Elle dispose également d’un laboratoire de tests, situé dans la Marne, à Saint-Martin-sur-le-Pré. Au cœur de la démarche de recherche, développement, qualification et certification des produits fabriqués en France par Lapeyre, ce laboratoire de 700 m² permet de réaliser plus de 100 tests différents. Les équipes dédiées peuvent ainsi tester, entre autres, la sécurité des produits, la performance acoustique d'une fenêtre, le comportement au vieillissement du bois, la résistance à l'arrachement, la qualité des couleurs.En magasin : près de 90 prestations personnalisées dans l’Atelier LapeyreUne maîtrise des matériaux qui se vérifie aussi dans les points de vente Lapeyre avec le service Atelier. Les menuisiers accompagnent avec rapidité et fiabilité les professionnels et les particuliers dans leurs différents projets. Ils mettent à profit leur expertise à travers une large palette de prestations pour remplacer portes ou volets lors de rénovations, recouper les produits Lapeyre aux dimensions voulues, assembler et poser des accessoires :Une adaptation sur mesure : les menuisiers recoupent, ajustent, personnalisent et accessoirisent les produits standards achetés chez Lapeyre (plans de travail, plans de toilette, portes intérieures, portes de placard…) pour les faire correspondre aux caractéristiques recherchées.Un montage professionnel : ils réalisent l’assemblage et le montage des meubles de cuisines et de salles de bains, des escaliers ou encore des aménagements de placard pour une pose facilitée.Des solutions uniques de rénovation : les professionnels Lapeyre rénovent et adaptent les portes et les volets sans changer le bâti.Lapeyre : un ADN françaisLapeyre s’est associé à l’opération « #Meublez-vous français », lancée par l’Union nationale des industries de l’ameublement, et s’engage ainsi à valoriser le savoir-faire français. Cette opération permet aux clients d’identifier rapidement les meubles produits en France grâce à une signalétique dédiée, sous la forme d’un logo « #Meublez-vous français » et d’un slogan « fabriqué avec coeur dans nos régions ».Une campagne de communication spéciale AnniversaireLapeyre fête ses « 90 ans… et pour longtemps ! »Un dispositif a été spécialement mis en place afin de montrer l'évolution de la marque dans le temps, tout en se tournant vers l'avenir et en valorisant ce qui va compter encore longtemps.Au programme, des vidéos sous forme cinémagraphes pour Facebook, des stories animées et carrousels sur Instagram, un thread géant de 90 tweets sur Twitter traitant de l’histoire de l’enseigne, des projets réalisés et à venir...Des contenus prévus pour engager le public autour de l’idée créative « Il y a beaucoup de chose qui ont changé en 90 ans mais pas ce qui compte », tout en prouvant la force des fondamentaux de la marque :la qualité de nos produits et la fabrication française : « Vous avez toujours préféré acheter près de chez vous alors on s’engagera toujours à produire autant que possible en France » ;l'accompagnement : « Vous avez toujours eu des projets plein la tête alors on fera tout pour vous aider à les réaliser » ;l’accessibilité prix : « Il y a toujours eu des budgets serrés alors on fera tout pour ne pas déborder »Afin d'animer ce dispositif, un jeu concours a été déployé dès le 12 octobre avec des bons d’achat de 250 € à la clé. De quoi fêter cet anniversaire avec Lapeyre !
Il y a 3 ans et 184 jours

Rénovation de façade : le réseau de franchise Vertikal poursuit son ascension

Lancée en 2003 par Christian Badia, la franchise Vertikal spécialiste de la rénovation de façades, vient d’être rejointe d’un coup par sept nouveaux adhérents, portant leur nombre total à 30. Interview