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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 3 ans et 184 jours

Lafarge France mise sur le béton de bois

Lafarge France entre au capital de CCB Greentech, le créateur du béton de bois TimberRoc. [©Lafarge] Lafarge France entre au capital de CCB Greentech, le créateur du béton de bois TimberRoc. Les deux industriels annoncent un rapprochement capitalistique, industriel et commercial pour développer l’invention de la start-up. Cette dernière permet la préfabrication en usine de murs porteurs et de dalles en béton de bois. Ce produit bénéficie de qualités techniques, telles que la résistance au feu ou un bon déphasage thermique. D’ailleurs, cette technologie repose sur 15 ans de recherche et développement et sur 10 brevets. Ainsi, la filiale du groupe suisse a décidé de s’engager au côté de la start-up pour valoriser la construction bas carbone. Un partenariat pour la construction bas carbone En effet, le TimberRoc se positionne comme un matériau présentant un bilan carbone négatif. Ses granulats de bois forestiers labellisés PEFC permettent de construire des bâtiments, tout en répondant aux enjeux environnementaux actuels et à la RE 2020. Ainsi, Lafarge France met à disposition son laboratoire d’essai et son réseau commercial, en suivant deux objectifs. Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Tout d’abord, en promouvant ce produit auprès de ses partenaires pour déployer de nouveaux utilisateurs et de nouvelles applications. Ensuite, en développant des solutions inédites pour le chantier avec les granulats de bois. « La technologie de CCB Greentech, associée à notre savoir-faire de cimentier et de bétonnier, offre des synergies enthousiasmantes, souligne François Petry, directeur général de Lafarge France. Nous sommes prêts à le développer ensemble pour offrir à nos clients des solutions constructives biosourcées innovantes et bas carbone. »
Il y a 3 ans et 184 jours

L’Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP voit le jour

Le CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners dévoilent le premier Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP. [©OPPBTP] Le secteur du bâtiment est en quête de nouveauté. Le CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners se sont associés pour dévoiler le premier “Observatoire des tendances d’innovation”. Celui-ci permet aux professionnels d’appréhender les principaux champs d’innovation à l’œuvre dans le secteur. L’objectif est d’en faire un vecteur de transformation positive et durable. Ainsi, cet observatoire décrypte les dernières solutions pour tous les métiers de la filière. Lire aussi : Le CCCA-BTP lance sa plateforme pour les jeunes Il regroupe des thématiques comme la sécurité, la formation et la prévention. Sa création donne une vision plus claire des nouvelles tendances dans le secteur du bâtiment. Le CCCA-BTP et ses partenaires ont décidé de s’aider des 222 start-up recensées au sein d’Impulse Partners pour réaliser cet observatoire. Celles-ci se développent et constituent un précieux révélateur des transformations dans le BTP. Après une étude approfondie, les tendances se regroupent autour de trois grandes problématiques et de leurs solutions en développement. La production : un enjeu majeur de l’Observatoire Tout d’abord, l’observatoire met en exergue l’accroissement de la productivité des entreprises. Dans cette logique, il souligne l’avènement des solutions de construction hors site. Ces dernières permettraient de réaliser 80 % de la production en usine. Cette technique constructive mènerait à une nette évolution des métiers, des méthodes et des risques associés. La question de la productivité s’étend tout autant sur les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et d’ouvrages (capteurs IoT, plate-forme BOS). Ces objets connectés offrent l’opportunité de saisir de nouveaux marchés dans le Smart Building. De leur côté, les outils d’édition et de partage du jumeau numérique renforcent la sécurité des chantiers. Des produits de meilleures qualités Les études de l’observatoire se concentrent aussi sur la réalisation d’ouvrages de meilleures factures. En effet, un produit de bonne qualité se démarque par ses performances et son moindre impact sur l’environnement. Ainsi, les tendances actuelles et l’évolution de la réglementation font la part belle au bois. Lire aussi : La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation Ce matériau, de plus en plus sollicité, exige de nouvelles compétences (logistique, réglage…) et propose une autre approche pour le secteur du BTP. Toujours dans cette thématique, les plates-formes et les outils favorisant le réemploi constituent aussi un levier majeur de transformation, notamment pour la filière de déconstruction. Tout comme le “lean management” (gestion sans gaspillage), avec ses outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité. La sécurité avant tout Le troisième objectif majeur réside dans l’amélioration de la sécurité sur les chantiers. Les outils digitaux comme la réalité virtuelle sont étudiés. Ils permettent de former et de sensibiliser aux différents risques du chantier. De plus, les études de l’observatoire mettent en avant les dispositifs de détection d’accidents comme les robots, les caméras ou l’intelligence artificielle. Enfin, des équipements de protections individuelles connectées sont prévus pour assurer une sécurité maximale lors des chantiers.
Il y a 3 ans et 185 jours

"Contrat d'engagement jeune", mode d'emploi

Que prévoit le CEJ ?Le Contrat d'engagement jeune se substitue à la Garantie jeunes, lancée en janvier 2017 pour favoriser l'accès à l'emploi des 16-25 ans. Il s'agit d'harmoniser les dispositifs d'aide existants et de proposer un suivi plus intensif et individualisé.D'une durée de neuf à 18 mois, la Garantie jeunes, pilotée par les missions locales, proposait un accompagnement intensif pendant les six premières semaines. Le CEJ, qui pourra durer de six à douze mois, entend proposer "un accompagnement intensif de bout en bout", avec une activité obligatoire de 15 à 20 heures par semaine.Contrat aidé, atelier de curriculum vitae, prépa apprentissage, formation, etc.: c'est en résumé tout l'éventail des solutions proposées par la plateforme "1 jeune, 1 solution" qui sera "enveloppé" dans ce dispositif. Il pourra être proposé par les 900 agences de Pôle emploi et les 1.400 missions locales, ainsi que par d'autres organismes publics ou privés.Une application mobile permettra à chaque bénéficiaire d'échanger avec un référent dédié, de s'informer et de faire la preuve de son "assiduité" et de sa "motivation", selon le gouvernement.Les jeunes détachés fiscalement ou rattachés à un foyer non imposable pourront bénéficier d'une allocation allant jusqu'à 500 euros. Et, fait nouveau par rapport à la Garantie jeunes, les jeunes rattachés à un foyer imposable, de tranche I, pourront également toucher une allocation d'un montant de 300 euros par mois.A qui s'adresse le contrat d'engagement ?Le CEJ s'adresse aux jeunes de moins de 26 ans qui sont "durablement sans emploi, ni formation, souvent par manque de ressources financières, sociales et familiales et qui souhaitent s'engager activement dans un parcours vers l'emploi". Il concerne en priorité les majeurs même si les 16-17 ans pourront exceptionnellement être aidés.Le gouvernement estime qu'ils sont 500.000, parmi le million de jeunes NEET (ni en emploi ni en formation ni en études), à ne pas être "en mesure de trouver seuls un emploi, bien qu'ils veuillent travailler".L'objectif du gouvernement est d'aider 400.000 d'entre eux en 2022, deux fois plus que les 200.000 jeunes devant bénéficier de la Garantie jeunes en 2021. A noter que l'Accompagnement intensif des jeunes (AIJ), piloté par Pôle emploi, et qui peut durer six mois maximum, a pour ambition d'aider 240.000 jeunes en 2021.Quel est le coût de la mesure ?Le Contrat d'engagement jeune représente un investissement de 2,6 milliards d'euros, dont 2,050 milliards d'euros font partie des 5,4 milliards d'euros du budget du plan "1 jeune, 1 solution", et 550 millions d'euros supplémentaires qui viendront abonder par amendement le projet de loi de finance 2022.Cette somme est destinée à financer "les solutions de formations et d'activités supplémentaires dont nous avons besoin (...), le coût de l'allocation (150 millions d'euros) et le renforcement de Pôle emploi", a détaillé le Premier ministre Jean Castex.Matignon précise que les effectifs de Pôle emploi seront renforcés à hauteur de 900 emplois équivalent temps plein en CDI, et que les missions locales recevront une subvention complémentaire de 75 millions d'euros. Au total, ce sont 100 millions d'euros de plus qui seront consacrés aux services publics de l'emploi.Quelles critiques se font jour ?La mesure a été vivement critiquée à droite de l'échiquier politique, LR dénonçant une logique d'"assistanat" et un "chèque de plus" à l'approche de l'élection présidentielle.La gauche, le secteur de l'insertion et les associations de jeunesse pointent du doigt une mesure aux ambitions rabotées, qui concerne trop peu de jeunes, avec une logique de durée qui ne permet pas de se "stabiliser", et un discours qui fait la part belle à la logique des "droits et devoirs" quand le fait de disposer d'un revenu minimum devrait selon eux être un droit.Dans un contexte d'embellie économique, le gouvernement assume de se centrer "sur les jeunes qui en ont réellement besoin et qui sont éloignés de l'emploi", a souligné M. Castex. "Nous pensons et nous avons toujours pensé que le travail, l'activité (...) sont des valeurs centrales dans la société", a-t-il fait valoir.
Il y a 3 ans et 185 jours

Novoferm acquiert Manugestion

ACQUISITION. Le fabricant de systèmes de fermetures industrielles et habitat, Novoferm, vient de mettre la main sur le groupe Manugestion dont sa filiale Manuregion est fortement implantée sur le quart Nord-Est de la France.
Il y a 3 ans et 185 jours

Geberit voit son bénéfice net bondir, contrairement aux prévisions des analystes

RÉSULTATS. Le fabricant suisse d'équipements sanitaires enregistre un bénéfice net sur neuf mois meilleur que ce qui était prévu. Pour faire face à l'inflation des coûts des matériaux, l'entreprise a augmenté ses prix.
Il y a 3 ans et 185 jours

Lafarge France investit dans le béton de bois

RAPPROCHEMENT. Lafarge France a signé un partenariat avec CCB Greentech, une entreprise spécialisée dans le béton de bois. Objectif : accélérer le développement de cette technologie.
Il y a 3 ans et 185 jours

Développer des nouvelles solutions en béton de bois

Développer de nouvelles solutions constructives à base de béton de bois, tel est entre autre l'objectif du rapprochement de Lafarge France et de CCB Greentech.
Il y a 3 ans et 185 jours

Lafarge investit dans le béton...de bois

Le cimentier va entrer au capital de CCB Greentech, inventeur de la technologie du béton de bois TimberRoc.
Il y a 3 ans et 185 jours

L'équilibre économique du régime des catastrophes naturelles est tendu, selon la FFA

"Il est important que les politiques de prévention et d'adaptation s'intensifient très nettement dans notre pays", a déclaré Florence Lustman, qui rappelle que les assureurs contribuent également au financement de la transition écologique.En 2020, ils ont ainsi augmenté de 30% leurs placements verts, en les portant à 113 milliards d'euros, soit 4% des 2.700 milliards d'euros versés par les assurés.Avec le changement climatique, le secteur des assurances va être de plus en plus mis à contribution. Selon la FFA, qui a publié jeudi une étude sur le sujet, le coût total des sinistres climatiques en France pourrait doubler sur la période 2020-2050 comparée à 1989-2019.Outre la prévention, nécessaire pour adapter les bâtiments et les constructions "aux nouveaux risques" et limiter ainsi les sinistres à indemniser, des pistes de réflexion sont en cours pour revoir le périmètre des dommages couverts, a souligné Mme Lustman.Par exemple, "la sécheresse endommage les bâtiments mais parfois ce n'est que purement esthétique. Donc nous pourrons nous demander s'il faut continuer à couvrir les conséquences qui ne seraient que de cet ordre", indique la présidente de la FFA, qui souhaite "préserver les grands fondamentaux de ce régime (catastrophes naturelles): la solidarité et l'universalité".Mais ce n'est qu'une fois l'accent mis sur la prévention et l'adaptation qu'il conviendra de "regarder comment adapter la tarification de ce régime", plaide-t-elle.Depuis plusieurs années, les tarifs des réassureurs mondiaux, qui assurent les assureurs, notamment face aux grands risques, n'ont cessé d'augmenter pour faire face à des catastrophes de plus en plus fréquentes.
Il y a 3 ans et 185 jours

Thierry Legrand devient le président Europe de Fortera

Thierry Legrand est le nouveau président Europe de Fortera [©DR] A l’occasion de son arrivée sur le marché européen, l’américain Fortera accueille Thierry Legrand au poste de président Europe. Cette nomination est le premier pas vers un développement international du groupe. Depuis 2019, date à laquelle Fortera a été créée, l’entreprise a pour ambition  d’accompagner les acteurs de la construction dans la réduction de leurs émissions de carbone. Pour cela, elle a développé un procédé de recarbonation, qui convertit les émissions de CO2. Provenant des fours cimentiers en un produit cimentaire. De plus, d’ici 2022, Fortera commercialisera son propre ciment.  Vers la réduction des émissions carbone Aujourd’hui, le monde entier essaye, tant bien que mal, de réduire ses émissions de carbone. Pour cela, l’Europe s’est fixée de nombreux objectifs. Des dispositifs ont été mis en place, afin d’inciter l’arrivée de nouvelles technologies, qui vont dans ce sens. Fortera y a vu une opportunité de croissance à l’international. « En confiant notre développement européen à Thierry Legrand, nous sommes convaincus. Que nous pourrons déployer notre technologie efficacement et rapidement », témoigne Ryan Gilliam, directeur général et co-fondateur de Fortera. En effet, fort de son expérience, Thierry Legrand a pour mission de piloter l’ensemble de l’implantation de Fortera en Europe. Rappelons qu’en 2019, le secteur de la construction a rejeté19,95 Gt de CO2à l’échelle mondiale. Thierry Legrand souligne ainsi la nécessité de réduire cette empreinte carbone : « Il n’y a pas de sujet plus important pour la construction aujourd’hui que la neutralité carbone. Des innovations sont nécessaires pour réduire les émissions de CO2. Mais celles-ci doivent être accessibles à un coût raisonnable. » Le parcours de Thierry Legrand Polytechnicien et ingénieur de formation, Thierry Legrand a débuté sa carrière chez Saint-Gobain, dans les secteurs de l’optimisation des procédés et de l’organisation des usines. En 1992, il poursuit sa carrière, en intégrant Lafarge Ciments. Il restera chez Lafarge et Holcim pendant plus de 20 ans à des postes de direction en Afrique, en Asie et en Europe.  1Selon une étude menée par l’Alliance mondiale pour le bâtiment et la construction et du Programme des Nations unies pour l’environnement. 
Il y a 3 ans et 185 jours

Nouveau module ProDevis, 3D, Diapason et Ramasoft

#1 Le nouveau module Interventions de ProDevisProDevis, le logiciel n°1 de chiffrage et gestion commerciale Menuiserie, Store, Fermeture, présente son nouveau module Interventions ! Son objectif : permettre aux 20.000 utilisateurs de gérer tous types d'interventions (dépannage gratuit ou payant, SAV, fin de chantier…) de manière globale, de simplifier leur traitement, tout en bénéficiant d'une analyse fine et précise de cette activité.De son côté, ProDevis START, l'application de chiffrage et commande 100% web pour les Artisans présente ses modules Favoris et Médias. Deux nouveaux modules, un objectif commun : toujours plus simplifier la création de leurs devis et gagner en efficacité dans leur activité quotidienne !#2 Le 1er configurateur 3D fenêtres 100% web pour les IndustrielsELCIA présente son 1er configurateur 3D fenêtres 100% web à destination des particuliers. A disposition des Industriels du secteur, ce configurateur 3D s'intègre dans leur site web ou encore leurs bornes de showroom. Leurs clients particuliers y modélisent leur projet Menuiserie simplement et rapidement via une représentation 3D fidèle et précise. Outil d'aide à la vente, le configurateur permet à l'industriel de générer des leads et capter de nouveaux clients. Déployée chez un client pilote, la solution sera dévoilée sur le salon.#3 Les configurateurs 3D BatiTrade accessibles depuis ProDevis – Elu nouveauté ARTIBAT 2021ELCIA poursuit également son objectif de démocratiser l'usage des configurateurs 3D grâce à l'interface entre ProDevis et BatiTrade ! Plus de 20.000 menuisiers peuvent désormais accéder aux configurateurs 3D BatiTrade directement depuis leur logiciel de chiffrage et gestion commerciale ProDevis, pour réaliser leur projet de portails, clôtures, portes de garage, garde-corps, portes d'entrée, pergolas, lames de terrasse ou encore placard/dressing en 3D. C'est toute l'expérience clients entre l'industriel, l'installateur et le particulier qui est révolutionnée !#4 Diapason innove dans la gestion des écrans AteliersLa gestion des écrans ateliers de Diapason prend un nouveau virage. Dédiée aux ateliers de production, son objectif est d'optimiser le pilotage de la production, d'apporter un support « 0 papier » aux opérateurs et d'assurer un suivi qualité, directement depuis les écrans ateliers. 100% Web, cette nouvelle brique est facile à déployer pour un gain de productivité immédiat.Autre nouveauté : Diapason s'interface également avec Microsoft Power BI pour créer des rapports et tableaux de bord dynamiques. Au travers d'un nouveau module, Diapason mettra à disposition un puissant moteur d'extraction pour permettre à des key users sans connaissance technique d'exploiter facilement toutes les données de l'entreprise.#5 Ramasoft et ProDevis se connectent pour simplifier la gestion commercialeLogiciel de fabrication de menuiseries PVC et Alu sur-mesure, Ramasoft se connecte à ProDevis pour offrir de nouvelles possibilités aux fabricants du secteur. Grâce à cette interface, après avoir chiffré leurs menuiseries les plus complexes avec Ramasoft, ces derniers pourront importer automatiquement leurs chiffrages et ainsi piloter toute leur gestion commerciale avec ProDevis. Inversement, toutes les commandes signées dans ProDevis pourront être transférées dans Ramasoft en un clic pour lancer en fabrication.
Il y a 3 ans et 186 jours

LOGGIA : le parfait équilibre entre design et technologie

Le radiateur plat ou extra plat s'intègre parfaitement dans tous les espaces grâce à son très faible encombrement. Ultra discret et design, il devient un véritable objet de décoration sans pour autant réduire ses performances thermiques. Les radiateurs BREM sont conçus pour répondre à tous les besoins fonctionnels et esthétiques de l'architecte. Avec LOGGIA, le fabricant italien propose un radiateur et sèche-serviette audesign ultra tendance qui participe pleinement à l'ambiance de la pièce. Sa technologie de pointe offre un confort de chauffe idéal. LOGGIA dépasse sa fonction de chauffage et devient un meuble à part entière grâce à ses multiples dimensions et à ses finitions spéciales. Le radiateur et sèche-serviette existe en trois variantes à eau chaude, électrique ou mixte.
Il y a 3 ans et 186 jours

Le site JOUPLAST fait peau neuve

Acteur majeur sur le marché des plots de terrasse, JOUPLAST®, marque de la société française TMP CONVERT, propose aux artisans, paysagistes et particuliers des gammes et solutions pour aménagements extérieurs. Les produits, développés et fabriqués en France, sont issus de matières recyclées, ce qui démontre l'engagement environnemental de l'entreprise. L'obtention du label MORE « MObilisés pour REcycler» atteste de la démarche du fabricant. L'innovation selon JOUPLAST® apparaît clairement sur son site, qui vient de prendre un coup de jeune et aide l'utilisateur à aller droit au but.
Il y a 3 ans et 186 jours

Flambée des prix de l'énergie

Dès les premiers froids, le chauffage devient indispensable. Face à la hausse des prix de l'énergie, notamment du gaz, le bois constitue une solution économique pour de nombreux foyers. Écologiques et performants, les poêles à granulés de bois Qlima cumulent les avantages et s'imposent de plus en plus en tant que mode de chauffage individuel privilégié pour réaliser des économies d'énergie. De plus, les granulés de bois Qlima, fabriqués à partir des sous-produits forestiers de l'industrie du bois (sciures, écorces et autres copeaux…), sont 100 % naturels. Enfin, Qlima, qualifié RGE Qualibois, met tout son savoir-faire au service des particuliers en leur proposant l'installation et la mise en service de ses poêles à granulés de bois, avec l'assurance d'un rendement optimal en toute sécurité.
Il y a 3 ans et 186 jours

Au moins sept morts et des dizaines d'ouvriers coincés après l'effondrement d'un immeuble en construction au Nigeria

Au total, sept personnes ont été sauvées des ruines de l'immeuble de 21 étages, a déclaré à l'AFP Ibrahim Farinloye, un responsable de l'Agence nationale de gestion des urgences (Nema)."Il y a sept morts et sept rescapés", a-t-il affirmé à l'AFP, en ajoutant : "Il y a encore de l'espoir, beaucoup d'autres sont à l'intérieur. J'ai parlé à certains d'entre eux il y a quelques minutes et leurs voix sont fortes", a-t-il poursuivi.Les sauveteurs continuaient de s'activer mardi matin devant la montagne de gravats de cet immeuble situé sur une des avenues les plus chics de Lagos, dans le quartier d'Ikoyi, et qui s'est effondré lundi après-midi alors que des dizaines d'ouvriers se trouvaient sur le chantier.Dans la matinée, des journalistes de l'AFP présents sur place ont entendu la faible voix d'un homme criant à l'aide depuis les décombres, tandis qu'une douzaine de membres des services d'urgence et de la police tentaient de le localiser. Deux pelleteuses creusaient parmi les décombres.Dans un communiqué publié lundi soir, le président nigérian Muhammadu Buhari a exhorté les autorités "à intensifier les efforts dans les opérations de secours" aux victimes.Gerrard Road, l'artère très fréquentée où se situait l'immeuble, a été partiellement bloquée dans la matinée pour faciliter l'arrivée sur place des secours. La veille, un embouteillage monstre a empêché les secours et les équipes chargées de déblayer les gravats d'accéder au site pendant près de deux heures."Je déteste ce pays !"Plus de cent personnes, pour la plupart proches des victimes ou des portés disparus ainsi que des témoins, étaient rassemblées devant les gravats. Les services de secours ont extrait les deux rescapés des décombres sans que la foule, qui criait, ne puisse les voir. Une femme, dont le mari était à l'intérieur de l'immeuble quand il s'est effondré, pleurait.Témoin de l'effondrement la veille, Enahoro Tony est revenu sur place dire sa colère. "J'ai extrait trois corps et ensuite nous avons été chassés par l'armée", lâche-t-il."Qu'est ce qu'il se passe dans ce pays ?", souffle-t-il en montrant la montagne de gravats haute de plus de dix mètres. "Je déteste ce pays de merde !""Des gens sont en train de mourir sous les décombres !", criait un autre.L'effondrement de bâtiments est une tragédie fréquente au Nigeria, le pays le plus peuplé d'Afrique, où des millions de personnes vivent dans des immeubles délabrés et où la législation concernant la construction est régulièrement bafouée.Assis près de la montagne de gravats de plus de dix mètres de hauteur, les frères Fawas Sanni, 21 ans, et Afolabi Sanni, 17 ans, attendent en état de choc des nouvelles de leur soeur. "Notre soeur est à l'intérieur", se lamente Fawas, une larme coulant sur la joue."Je suis le dernier à lui avoir parlé avant qu'elle aille au travail hier matin", raconte le frère aîné en se couvrant la tête de ses mains.Dans l'une des pires catastrophes de ce type, un immeuble appartenant à une église s'était effondré en 2014 à Lagos, faisant plus de 100 morts, pour la plupart des Sud-Africains.Une enquête avait ensuite révélé que l'immeuble avait été construit de manière illégale et présentait des défauts structurels.Deux ans plus tard, 60 personnes avaient perdu la vie dans l'effondrement d'un toit d'une église évangélique à Uyo, la capitale de l'Etat d'Akwa Ibom, dans l'est du pays.
Il y a 3 ans et 186 jours

COP26 : comment construire et produire durablement pour le monde de demain ?

Les émissions de gaz à effet de serre ne cessent de croître. La température de la planète a déjà augmenté de 1 °C en 150 ans. Les premiers signes du changement climatique sont déjà visibles. Pour limiter les conséquences, le réchauffement de la planète doit être contenu sous 2°C. C'est l'engagement qui a été pris lors de la COP21 à Paris. Mais pour tenir cet objectif, les États doivent redoubler d'efforts.Les entreprises du monde entier ont aussi un rôle à jouer : produire, construire, fabriquer de façon éco-responsable pour assurer l'avenir des prochaines générations. Le défi ? Mettre en place des processus et des techniques durables tout en répondant à une demande sans cesse en croissante. Pour les secteurs du BTP, c'est une double problématique. Depuis 2007, les villes hébergent plus de la moitié de la population mondiale, un chiffre qui devrait atteindre 60 % d'ici 2030. De l'autre côté, en raison des préoccupations relatives au changement climatique et à l'épuisement des ressources naturelles, une pression croissante s'exerce sur les acteurs du BTP pour une construction durable et pour réduire considérablement leur impact environnemental. Le secteur industriel doit également répondre à ces enjeux.L'exemple d'Autodesk qui travaille d'ores et déjà sur des projets dans le monde entier, tels que :La création d'un « tech hub » en Chine par l'entreprise suédoise Sweco grâce au cloud et aux logiciels d'Autodesk :Les architectes et les ingénieurs utilisent Autodesk BIM 360 pour réaliser leurs maquettes numériques et les intégrer à un flux de travail unifié qui regroupe la conception, l'ingénierie et la construction. Grâce à ce mode de fonctionnement, les architectes de Sweco ont pu soumettre leurs structures les plus avant-gardistes à des essais de résistance sur la base de calculs paramétriques.La fabrication de skis à la fois plus performants et plus durables par l'entreprise WNDR Alpine grâce au logiciel Fusion 360 d'Autodesk :Les designers ont utilisé la bio-fabrication pour concevoir des skis avec des matériaux dérivés de microalgues. Ce nouveau matériau, développé par Checkerspot, l'entreprise de biotechnologie propriétaire de WNDR Alpine, offre des performances améliorées et une empreinte carbone réduite.La restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris avec la technologie de pointe du BIM d'Autodesk :L'établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris a décidé de se doter de cette technologie de premier plan. Cette méthode de travail collaborative et intelligente permet aux acteurs du chantier de bénéficier en temps réel d'une base de données 3D partagée et évolutive qui regroupe des informations riches et nécessaires au bon déroulement de ces opérations.En définitive l'adoption de techniques de production durable prépare les entreprises du BTP et leurs clients à l'avenir. Avec le temps, l'apprentissage sera plus aisé; les processus pour le moment marginaux s'imposeront comme les règles de l'art à mesure que les acteurs du secteur seront plus nombreux à répondre aux besoins de construction durable.
Il y a 3 ans et 186 jours

Saint-Gobain continue sa croissance au 3ème trimestre 2021

RÉSULTATS. Après avoir signé des "performances records" au premier semestre, Saint-Gobain continue sur sa lancée au 3ème trimestre.
Il y a 3 ans et 186 jours

Cemex, mécène d’Odyssée

Julia Borderie et Eloïse Le Gallo pendant la confection de “Chirurgie des sables, le fleuve nous regarde”, avec les matériaux de Cemex. [©Cemex] Cemex : le passionné de culture. Le spécialiste du béton prêt à l’emploi a participé à Odyssée, le rendez-vous culturel, environnemental et solidaire dédié à la Seine. L’industriel a contribué à l’élaboration d’une œuvre d’art performée par Julia Borderie et Eloïse Le Gallo. La collaboration entre Cemex et les artistes semblait invraisemblable. Et pourtant, cela est bien arrivé. « Nous nous réjouissons de participer à Odyssée, en mettant nos matériaux à disposition des artistes, déclare Florence Boutmy, directrice du secteur Ile-de-France chez Cemex. Ce partenariat nous a semblé tout naturel, du fait de notre présence historique sur le fleuve, de nos activités et de nos nombreuses implantations en Ile-de-France. »  Cemex : Une collaboration artistique Cette collaboration n’est pas anodine. Ce projet s’intègre dans la politique RSE de Cemex. C’est “Dans le sens de Barge” qui est à l’origine de cette association. « Ce collectif nous a contactés pour réaliser un projet itinérant sur 2 ans, explique Eloïse Le Gallo. Il nous a aidées à entrer en contact avec Cemex pour nous permettre de réaliser notre objectif. » L’industriel a ainsi fourni environ 300 t de sables et de graviers pour réaliser leur sculpture.  Lire aussi : In béton veritas “Chirurgie des sables, le fleuve nous regarde” n’est pas une œuvre comme les autres. Julia Borderie et Eloïse Le Gallo ont réalisé une sculpture qui sort de l’ordinaire. Au premier abord, l’œuvre des deux artistes semble banale. Pourtant, il n’en est rien ! Ces 300 t de matériaux n’ont pas été utilisées au hasard. « Notre sculpture pour Odyssée a évolué au fil de l’évènement, explique Julia Borderie. Nous avons commencé avec un gros tas de sable et de graviers que nous avons transformé au fur et à mesure en une montagne avec un escalier. »  Une œuvre tout sauf banale Les deux artistes préparent leur oeuvre pour l’Odyssée. [©Cemex] Et Eloïse Le Gallo d’ajouter : « Nous avons ensuite creusé un trou en forme de cône inversé pour rappeler l’extraction des sédiments. Le fait d’avoir placé un escalier nous a permis de dynamiser notre œuvre. » De plus, les deux artistes ne se sont servies que d’outils en bois, réalisés par elles-même. Ainsi, à travers cette œuvre, elles ont rappelé qu’avec peu de moyens, on peut faire beaucoup. En parallèle, Julia Borderie et Eloïse Le Gallo ont qualifié leur œuvre de “geste poétique éphémère”. Une fois Odyssée terminé, elles ont laissé la nature reprendre ses droits. Les sédiments utilisés pour l’œuvre se sont dispersés dans l’air comme si la montagne n’avait jamais existé. Cependant, dans le cœur des milliers de visiteurs, leur sculpture restera gravée à jamais dans les mémoires.
Il y a 3 ans et 186 jours

Rénovation des combles : le confort passe par le toit

Si vous avez un projet de rénovation de vos combles aménagés, c’est le moment idéal de découvrir nos dernières solutions d’isolation en double couche. Toutes les solutions en laine de roche ROCKWOOL sont naturelles et durables et affichent un excellent étiquetage sanitaire (A+ pour la majorité d’entre elles). Même après 55 ans, elles conservent ces performances et offrent un confort maximal.Selon le chantier à isoler, deux possibilités existent : Si le chantier a des écarts de chevrons réguliers, ROCKWOOL propose la solution Rockcomble + Rockplus Premium ;Si le chantier a des écarts de chevrons irréguliers, ROCKWOOL propose la solution Deltarock + Rockplus Premium.Rockcomble est un isolant idéal pour vos chantiers de rénovation. Il s’adapte parfaitement aux espaces entre chevrons sans découpe en première couche grâce à son bord flexible. Rockcomble offre d’excellentes performances thermiques (λ33) et acoustiques. Agréable à poser grâce à son bord flexible et douceur au toucher. Rockplus Premium vous offre la meilleure performance thermique en laine de roche : λ32 et garantit ainsi un confort d’été maximal. Il s’utilise en une seule couche ou en deuxième couche sous chevrons. Rockplus Premium existe en deux finitions, revêtu ou non d’un kraft polyéthylène. Doux au toucher, il apporte un très bon confort à la pose. Deltarock est un isolant spécialement conçu pour un entraxe de chevrons irréguliers et est idéal pour vos travaux de rénovation. Ces panneaux triangulaires se glissent l’un contre l’autre et s’adaptent ainsi à tous les espaces irréguliers entre chevrons en 1re couche. Cela permet de gagner du temps à la pose de l’isolant tout en évitant des chutes. Facile à poser et doux au toucher, Deltarock isolant vous offre d’excellentes performances thermiques (λ33) et acoustiques.Conseil ROCKWOOLEstimatif de quantité (en unité ou m²) pour un chantier de 90 m², sur la base de d’une performance thermique R=6 m².K/W : Si celui-ci est avec des écarts entre chevrons réguliers : 2 palettes de Rockcomble et 3 palettes de Rockplus Premium.La 1ère couche en Rockcomble est soit en 60 mm soit 80 mm, respectivement R=1.80 m².K/W et R=2.40 m².K/W (entre 41.39 m²/palette et 59.13 m²/ palette selon la largeur et l’épaisseur du panneau).La 2nd couche en Rockplus Premium doit permettre de compléter pour obtenir un R=6 m².K/W soit 140 mm R=4.35 m².K/W et 120 mm R=3,75 m².K/W (29.16m²/ palette).Si celui-ci est avec des écarts entre chevrons irréguliers :3 palettes de Rockplus Premium et 2 palettes de Deltarock.La 1ère couche est soit en 60 mm soit 80 mm, respectivement R=1.80 m².K/W et R=2.40 m².K/W (entre 48,60 m²/ palette et 68,04 m²/pal, selon l’épaisseur du panneau).La 2nd couche en Rockplus Premium doit permettre de compléter pour obtenir un R=6 m².K/W soit 140 mm R=4.35 m².K/W et 120 mm R=3,75 m².K/W (29.16m²/ palette).En savoir plus : cliquez ici
Il y a 3 ans et 186 jours

Kiloutou lance sa gamme environnementale “Impakt”

Kiloutou dévoile sa nouvelle gamme “Impakt” pour réduire l’empreinte carbone des activités de leurs clients [©Franck Dunouau] Le spécialiste de la location de matériels, Kiloutou poursuit sa stratégie environnementale. Le groupe propose sa nouvelle gamme “Impakt”, pour accompagner les professionnels dans leur démarche de réduction d’émissions de CO2. La collection réunit environ 3 500 matériels électriques, hybrides ou bi-énergie. Depuis plus de 10 ans, le loueur s’engage en faveur de la transformation durable du secteur de la location. Lire aussi : Unilin Insulation rejoint le programme environnemental “Circular Foam” En effet, le groupe a pris conscience que les actions de ses clients représentaient 94 % de ses émissions totales de CO2, dont 63 % sont liées aux chantiers. Kiloutou a donc fait évoluer son offre pour offrir des produits à énergies alternatives. Parmi ces matériels : il propose des nacelles hybrides, des découpeuses ou encore, des bétonnières. L’avantage majeur de ces équipements est leur faible impact environnemental. Mais aussi, lors de leur utilisation, ils réduisent les nuisances sonores, les troubles musculo-squelettiques ou les émissions de particules fines.  Kiloutou au service des professionnels En parallèle, Kiloutou a lancé une campagne d’information. Afin de faire connaître ses produits aux professionnels, l’industriel a dévoilé son “guide de matériels”. Cet ouvrage propose une présentation détaillée des produits. Et regroupe les caractéristiques des matériels, comme l’autonomie ou les coûts. Il identifie aussi les performances des équipements pour déterminer lequel est le plus éco-responsable. Cela a pour but de sensibiliser aux enjeux environnementaux liés à ces solutions. Lire aussi : France Rénov’ à votre service De plus, le spécialiste de la location a créé un espace dédié à la gamme “Impakt” sur Internet. Un peu comme le guide, le site donne les caractéristiques techniques des appareils. Néanmoins, il permet aussi aux maîtres d’œuvre et d’ouvrage de visualiser l’impact carbone de leurs projets grâce à la “calculette carbone”. Enfin, les collaborateurs de Kiloutou ont été formés pour conseiller et aider les professionnels à choisir leur matériel. Ils les accompagnent et les sensibilisent sur le fonctionnement et les performances des nouveaux matériels.
Il y a 3 ans et 186 jours

142 M€ d’aide pour 1288 communes en faveur des logements durables

Dans le cadre du plan France Relance, le Gouvernement a mis en place en septembre 2020 une aide à la relance de la construction durable, répondant au double objectif de production de logements et de lutte contre l’artificialisation des sols. Le dispositif prévoit le versement d’une aide forfaitaire de 100€ par m2 de surfaces de logement construit au-delà d’un seuil de densité pour les programmes d’au moins deux logements autorisés à la construction. En complément de ce forfait, les opérations de transformation de bureaux en logements et les opérations dans des opérations d’aménagement exemplaires bénéficient d’un bonus. Un arrêté du 25 octobre 2021 fixe les montants d’aide. Ce sont ainsi près de 142 M€ qui seront versés à 1288 communes pour les accompagner dans leur effort de construction de logement, en contribuant au financement des équipements publics, infrastructures et autres aménités urbaines favorables à l’accueil de nouveaux ménages et à l’amélioration du cadre de vie des habitants. L’aide sera versée aux communes avant la fin de l’année par les services des préfets de département. Au total, ces communes ont délivré 2499 permis de construire pour des opérations de logements dépassant les seuils de densité fixés. Ces permis ont autorisé la construction de 67 450 logements au total dont plus de 1,357 millions de m² construits au-delà des seuils, soit environ 19 500 logements.
Il y a 3 ans et 186 jours

Sto dévoile sa nouvelle gamme de produits vertueuse AimS® à base d'huile de pin

En remplaçant 30% du liant hydrocarboné de ses produits par de l'huile de pin, le spécialiste de la façade contribue à préserver les ressources avec à la clé moins de consommation de pétrole, tout en maintenant la qualité reconnue des produits d'ITE Sto. L'huile de pin permettant cette substitution provient de restes de scieries et autres transformations du bois.Disponible à partir de février 2022, la nouvelle gamme AimS ® intègre un sous-enduit, un enduit de finition taloché et une peinture de façade, qui, ensemble, constituent le premier système ITE complet optimisé en termes de CO2.Une gamme pour « Bâtir en responsable »Fidèle à sa devise, Sto souhaite offrir à ses clients, qu'ils soient maîtres d'ouvrage, prescripteurs ou applicateurs, des solutions leur permettant de construire de manière durable et en toute conscience, tout en conservant d'excellentes performances et propriétés de mise en œuvre.Qualité, protection du climat et préservation des ressources sont les mots d'ordre de la nouvelle ligne de produits développée par Sto, baptisée AimS ® (Aim Sustainability = Objectif Durabilité).Avec sa gamme AimS®, Sto entend contribuer à établir durablement l'utilisation de produits et matériaux respectueux de l'environnement dans le secteur de la construction.« Pour développer AimS®, notre objectif était le suivant : les nouveaux composants ne devaient pas être obtenus en faisant concurrence à l'industrie alimentaire, ils ne devaient contenir ni éthanol, ni huile de palme et en aucun cas être associés au travail des enfants ou à de longues distances de transport. Avec un liant à base d'huile de pin, toutes ces conditions sont remplies : l'écorce de pin est un matériau résiduel produit en masse par l'industrie du bois. C'est de cette matière première que nous extrayons l'huile. En même temps, ses propriétés sont comparables à celles des liants hydrocarbonés. De cette manière, nous pouvons maintenir nos standards de qualité pour tous les produits AimS ® », souligne le département R&D du groupe Sto.Pourquoi 30% d'huile de pin ?Pour développer sa nouvelle gamme AimS®, Sto n'a pas souhaité faire de compromis sur la qualité. Si la proportion de matières premières renouvelables était plus importante, les produits seraient moins performants et leurs propriétés de mise en œuvre modifiées.StoTherm AimS®, le nouveau système d'ITE en faveur du développement durableStoTherm AimS® est le premier système complet constitué de plusieurs couches optimisées en matière de durabilité, qui, dès sa fabrication, permet d'économiser des hydrocarbures.En effet, l'enduit de base, l'enduit de finition, et même la peinture de façade, avec sa technologie Lotus-Effect®, sont fabriqués à partir de matières premières renouvelables et largement disponibles. L'isolant, quant à lui, est le Sto-Panneau en laine de roche, fabrique à partir de la roche, une matière première disponible en abondance.Concrètement, pour chaque projet, cela se traduit par l'économie de nombreux litres d'hydrocarbures (exemple : 173 litres de pétrole économisés sur un immeuble collectif pour 800 m2 de surface de façade). Sans faire de concession, les propriétés de mise en œuvre éprouvées et le rendu esthétique, qui sont la marque de fabrique des systèmes ITE StoTherm, restent inchangés. Tout comme leurs excellentes propriétés de protection contre les intempéries, les micro-organismes, les fissures et les sollicitations mécaniques.Autant de raisons qui ont valu au système StoTherm AimS ® d'être récompensé par le label environnemental « Ange Bleu » (Blauer Engel).StoTherm AimS® en un coup d'œilComposé à plus de 95% de matières premières renouvelables et disponibles en abondanceIdéal pour les immeubles de grande hauteur, les bâtiments publics et constructions hors normesRésistant aux fissures et aux chocsClasse de réaction au feu : A2-s1, d0 selon EN 13501-1Récompensé par le label environnemental allemand « Ange Bleu » (Blauer Engel)StoArmat Classic AimS®, le nouveau sous-enduit à empreinte carbone réduiteStoArmat Classic AimS est un sous-enduit organique et sans ciment fabriqué à partir de matières premières renouvelables et suffisamment disponibles. Il associe le respect de l'environnement à d'excellentes propriétés de mise en œuvre et de lissage.Sa résistance aux chocs est pratiquement imbattable : il absorbe des coups d'une puissance de 10 joules, correspondant à l'impact d'une boule de pétanque, sans qu'aucune fissure ne se forme. Avec une réaction au feu A2-s1,d0, les exigences les plus élevées de la protection incendie sont remplies.StoArmat Classic AimS® en un coup d'œil30% du liant est à base d'huile de pinRésistant aux fissures et aux chocsExcellent confort d'application, de lissage, lié à la qualité du grain employé.Exempt de solvantClasse de réaction au feu : A2-s1, d0 selon EN 13501-1Stolit AimS®, l'enduit de finition respectueux de l'environnementCôté enduit de finition, Stolit AimS® utilise des principes et des matériaux naturels sans biocides pour offrir une protection naturelle contre les algues et les champignons sur la façade.La proportion d'hydrocarbures dans le liant a été réduite : 30% ont été remplacés par la matière première renouvelable qu'est l'huile de pin. Enfin, l'enduit est exempt de solvant.Grâce à Stolit AimS® , la façade reste belle pour longtemps, la longévité restant toujours la solution la plus durable !Stolit AimS® en un coup d'œil30% du liant est à base d'huile de pinProtection naturelle contre la contamination d'algues et/ou de champignonsDiffusion élevée de la vapeur d'eau (classe V2)Exempt de solvantClasse de réaction au feu : A2-s1, d0 selon EN 13501-1StoColor Lotusan AimS®, la peinture naturellement innovanteReconnue pour ses propriétés autonettoyantes, la peinture de façade StoColor Lotusan, dotée de la technologie Lotus-Effect® , se décline désormais dans une nouvelle formulation intégrant l'huile de pin.StoColor Lotusan AimS® est composée à plus de 95% de matières premières renouvelables et/ou disponibles en abondance.StoColor Lotusan AimS® en un coup d'œilPeinture respectueuse de l'environnement (30% huile de pin, sans protection de film biocide)Peinture de façade innovante régulatrice d'humidité et autonettoyante grâce à sa technologie Lotus-Effect® et son excellente perméabilité à la vapeur d'eau Protège durablement contre l'encrassement végétalParticulièrement adaptée aux façades fortement exposées aux intempériesRallonge le délai entre 2 entretiens tout en conservant l'esthétique de la façadeEn tant que leader de l'isolation thermique par l'extérieur, Sto établit avec sa nouvelle gamme AimS ® de nouveaux standards écologiques, économiques et sociaux en termes de durabilité.
Il y a 3 ans et 186 jours

Rénov’aides, un nouveau service destiné aux artisans RGE

Pour simplifier les démarches administratives, accompagner les artisans qualifiés RGE et leur permettre de réaliser plus de chantiers, ISOVER a développé Rénov’aides, une plateforme qui permet de mutualiser la gestion…Cet article Rénov’aides, un nouveau service destiné aux artisans RGE est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 186 jours

Le chiffre d'affaires de Saint-Gobain gonflé par la hausse des prix et la reprise du bâtiment

Au troisième trimestre 2021, Saint Gobain a réalisé un chiffre d'affaires de 10,8 milliards d'euros, en hausse de 6,7% par rapport aux trois mois équivalents de 2020, portant à 32,9 milliards d'euros le chiffre des ventes sur les neuf premiers mois, soit un bond de 18,1% par rapport à la période équivalente de 2020.Le consensus des analystes de Factset tablait sur un chiffre d'affaires trimestriel de 10,67 milliards.Le groupe "confirme la très forte progression de son résultat d'exploitation à un nouveau plus haut historique" en 2021, indique le groupe.Saint-Gobain a maintenu la révision en hausse de ses coûts en énergie et matières premières pour 2021 en raison de l'inflation dans le secteur, soit environ 1,5 milliard d'euros sur l'année, au lieu de 1,1 milliard annoncé fin juillet.Mais porté surtout par la hausse de ses propres prix de vente, il se dit "confiant dans sa capacité à compenser l'inflation" sur l'ensemble de l'année, "étant donné la forte accélération de la hausse des prix à +8,7% au troisième trimestre par rapport à la période équivalente de 2020".En Europe du Nord, son principal marché, le chiffre d'affaires a progressé de 12% sur le trimestre à 3,8 milliards d'euros, plus que ce qu'attendaient les analystes, grâce à une "forte accélération des hausses de prix".Les pays nordiques ont enregistré une "solide croissance", en particulier dans les solutions de construction légère sur le marché "porteur" de la rénovation.Le rythme de croissance en Allemagne a décéléré compte tenu de l'impact du recul du marché automobile sur la demande de verre, même si la construction modulaire reste "bien orientée", indique le communiqué.Au Royaume-Uni, la croissance a été tirée "exclusivement par les prix" dans un marché "perturbé par des difficultés de chaînes d'approvisionnement".En Europe du Sud (qui inclut le Moyen Orient et l'Afrique), les ventes du groupe se sont élevées à 3,15 milliards d'euros, soit quasiment autant que ce qu'attendaient les analystes (3,17 milliards d'euros).En France, Saint-Gobain a continué d'observer de "bonnes tendances", soutenues par le marché de la rénovation, et surtout les incitations à la rénovation énergétique impulsées par le plan de relance de l'économie. 400.000 dossiers de demande d'aide publique (MaPrimeRenov') ont été déposés en France depuis le début de l'année, indique le groupe qui compte sur la rénovation de bâtiments publics en 2022.Interrogé par les analystes sur la poursuite de la hausse des prix de matériaux d'ici la fin de l'année, le directeur général du groupe Benoit Bazin a répondu qu'il s'agissait d'une "priorité" pour le groupe, qui bénéficie d'une bonne "acceptation" de ses clients.Le titre Saint Gobain, coté au CAC40, a progressé de 0,89% jeudi à 60,89 euros, dans un marché en hausse de 0,75%.
Il y a 3 ans et 186 jours

Jo Taillieu - Portrait

L'architecte gantois Jo Taillieu fonde son agence en 2004. En 2009, il entame une collaboration prolifique avec Jan De Vylder et Inge Vinck, avec qui il conduit architecten de vylder vinck taillieu (ADVVT).  En 2018, ils reçoivent le lion d'argent lors de la 16e Biennale de Venise pour la transformation d'un pavillon abandonné de l'hôpital psychiatrique […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 187 jours

Et si l'usine du futur s'adaptait toute seule à la demande ?

Emmanuel Macron se rend lundi dans l'entreprise Sileane à Saint-Etienne, spécialisée en robotique, vision et intelligence artificielle, pour promouvoir les initiatives du récent plan d'investissements France 2030 dans ce domaine, indique-t-on au cabinet de la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher.En avril 2019, les députés Bruno Bonnell et de Catherine Simon s'inquiétaient dans un rapport ("Robotique et systèmes intelligents") d'un retard français dans la robotisation des processus industriels, source de perte de compétitivité dans des secteurs-clés.L'enjeu est énorme. Car à elle-seule, la Chine, usine du monde, représente un tiers de la demande mondiale en terme de robots industriels, selon la banque d'affaires Bryan Garnier spécialisée dans les technologies.La France, qui souhaite relocaliser une partie de son industrie, est en 7e position mondiale pour le nombre de robots, derrière la Chine, le Japon, les Etats-Unis, la Corée du Sud, l'Allemagne et l'Italie, selon la Fédération Internationale de la robotique (IFR) basée à Francfort en Allemagne.Et avec des machines âgées en moyenne de 17 ans dans les PME industrielles françaises, Bercy se désole de voir qu'une partie des 8.000 projets de modernisation qui ont pu voir le jour grâce au guichet "industrie du futur" du plan de relance en 2020, n'aient pas bénéficié à des constructeurs français."Robotique adaptative"Raison pour laquelle le plan France 2030 consacre un budget pour aider à la production de robots et à la structuration de projets locaux autour de sites industriels.L'usine Sileane prise en modèle par Emmanuel Macron lundi pratique la "robotique adaptative", c'est-à-dire l'intelligence artificielle.Agée d'une vingtaine d'années et employant une centaine de personnes, elle produit notamment des robots qui conditionnent des poches de perfusion pour le domaine médical, ou qui gèrent les déchets dans le domaine nucléaire. Ils sont conçus pour gérer des situations imprévisibles, capables, si les choses ne se passent pas comme prévu, de s'ajuster et d'évoluer."Nous avons besoin d'usines plus flexibles, capables de se reconfigurer pour faire face à des brutales variations de la demande", explique Thierry Weil, conseiller au groupe de réflexion "La fabrique de l'industrie" et animateur de la chaire "Futurs de l'industrie et du travail" à Mines Paris, PSL.En clair, des "usines intelligentes" avec des chaînes d'assemblage qui "croisent intelligence artificielle, robotique et objets connectés", ajoute Stéphane Pezeril, directeur Innovation et recherche d'Ausy, cabinet de conseil du groupe Randstad, dans le livre blanc de l'industrie pour 2030 publié par Randstad."On a vu pendant la crise du Covid des constructeurs ou des équipementiers automobiles fabriquer des respirateurs. Il savent assembler des pièces de métal et de plastique, de l'électronique et des ventilateurs, mais ils faut pouvoir reconfigurer rapidement des machines polyvalentes comme les robots et réarranger les lignes de production" dit-il.Reste la lourde et délicate question de l'emploi. Est-ce que cette automatisation industrielle risque de "détruire" demain tous les emplois industriels humains? Un rapport du Sénat "demain les robots" s'en inquiétait en décembre 2019.La réponse n'est pas facile. Dans un premier temps, l'aide à la modernisation industrielle va au moins permettre une augmentation de 30% des formations en alternance, dont une partie dans la robotique.L'entreprise Technics Développement Robotique, située à Lallaing dans les Hauts-de-France (20 salariés) et spécialisée dans la robotisation des PME, a notamment bénéficié d'une aide exceptionnelle pour recruter quatre personnes dont trois apprentis en alternance issus de formations professionnelles en robotique ou en ingénierie d'automatisation et d'informatique grâce au dispositif "un jeune, une solution".
Il y a 3 ans et 190 jours

Combien coûte une nouvelle toiture?

Qu’il s’agisse d’un toit à deux versants, d’un toit en croupe ou d’un toit plat : une structure de toit doit avant tout être solide afin de résister à toutes les conditions climatiques pendant de nombreuses décennies. C’est pourquoi un propriétaire d’immeuble ne devrait pas recourir à des offres bon marché en ce qui concerne le toit d’une maison. Mais combien coûte une nouvelle toiture ? Toit plat ou toit en pente : à quels coûts peut-on s’attendre ? Il est difficile de donner une réponse précise à la question « Combien coûte une nouvelle toiture ? », mais il est possible de vous donner quelques indications pour estimer le prix. Coût du nouveau toit en pente La taille du toit est toujours d’une importance décisive pour le prix. Pour un toit à deux versants, vous devez vous attendre à des coûts en moyenne de 60 euros par mètre carré pour la structure du toit en coque. À cela s’ajoutent les coûts de l’isolation thermique, qui coûtent entre 30 et 60 EUR par mètre carré de surface de toiture. Une isolation thermique efficace selon les dernières normes nécessite un investissement initial plus élevé — et permets d’économiser la plupart des coûts énergétiques. Lorsqu’il s’agit de choisir la couverture de toiture, vous pouvez le plus tourner la vis du prix : avec des coûts de 20 à 100 euros par mètre carré, ce facteur de coût a la plus grande fourchette. Le matériau que vous choisissez détermine principalement le prix réel. Si ce type de toiture vous convient, n’hésitez pas à faire appel à une entreprise de couverture expérimentée comme sur ce site : https://www.entreprise-couverture-62.fr/ . Elle saura vous donner un bon prix. Coût du nouveau toit plat Une toiture plate simple, comprenant une couche de gravier et une isolation thermique moyenne, vous coûtera environ 80 à 90 euros le mètre carré. Avec une isolation thermique aux normes, vous devrez généralement payer nettement plus de 100 euros par mètre carré. Les autres facteurs qui influencent le coût de la toiture Au moment de faire appel à une entreprise de couverture, gardez à l’esprit que les toits en pente doivent être particulièrement résistants aux intempéries. Ils sont donc plus chers. Dans l’ensemble, vous devez tenir compte des différences de prix régionales dans le secteur de l’artisanat. Si votre nouveau toit doit être érigé sur une vieille maison, les coûts de démolition de l’ancien toit sont ajoutés au prix final. Si vous souhaitez équiper votre toiture d’une lucarne et/ou d’une façade vitrée, il faut s’attendre à un prix plus élevé. Étude de cas : Combien coûte une nouvelle toiture pour une maison unifamiliale ? Une maison individuelle reçoit un toit à deux versants de 170 mètres carrés, une isolation thermique et une toiture de haute qualité. S’ajoute à cela le prix de la lucarne et de la charpente. Il faut prévoir pas moins de 27 000 euros pour avoir une nouvelle toiture. Cette somme inclut donc le remplacement de la charpente, les travaux d’isolation thermique et le remplacement de l’ancienne toiture. Économisez grâce aux subventions Les travaux d’isolation de toiture constituent un investissement colossal, mais économique. Si vous avez des revenus assez modestes, vous pouvez profiter de subvention proposée par l’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat). Créée il y a une cinquantaine d’années, elle octroie une aide équivalente à 60 % du montant total de la rénovation de toiture.
Il y a 3 ans et 190 jours

La SGP signe deux nouveaux marchés de travaux pour les systèmes de la ligne 18

Le maître d’ouvrage du Grand Paris Express a notifié deux marchés d’équipement et de travaux, l’un, de haute tension-basse tension à Bouygues Energies Services/Colas Rail ; l’autre, portant sur les voies ferrées et le troisième rail à Alstom.
Il y a 3 ans et 190 jours

L'économie française a retrouvé son niveau d'avant-crise

"C'est un chiffre qui est au-delà nos espérances", a déclaré à l'AFP le ministre de l'Économie Bruno Le Maire quelques minutes après la publication du chiffre par l'Insee vendredi, le qualifiant de "résultat exceptionnel".Alors que produit intérieur brut (PIB) n'est plus inférieur que de 0,1% à celui du quatrième trimestre 2019, l'économie française "revient à son niveau d'avant-crise", selon l'Institut national des statistiques."L'objectif que nous nous étions fixé était de retrouver ce niveau au mieux fin 2021 ou peut-être début 2022", a rappelé Bruno Le Maire. Par comparaison, l'Allemagne ou l'Italie n'ont pas encore tout-à-fait retrouvé leurs niveaux d'avant-pandémie.Le ministre a remercié "tous les Français qui ont participé à cette croissance avec leur consommation, tous les entrepreneurs qui ont investi, qui se sont remis à exporter, tous les salariés qui se sont remis au travail après cette crise".Il s'agit de la croissance la plus élevée depuis le troisième trimestre 1968, hormis le rebond de l'été 2020 (+18%) suite au premier confinement, une bonne nouvelle pour Emmanuel Macron à six mois de l'élection présidentielle, lui qui joue la carte de la compétence économique depuis le début de la crise. A fortiori avec le reflux du chômage.L'estimation de croissance pour le deuxième trimestre est par ailleurs révisée en hausse de 1,1% à 1,3%, a encore rapporté l'Insee. Au premier trimestre, elle était de 0,1%.Même si l'économie stagnait au dernier trimestre de l'année, la croissance sur l'année serait donc au minimum de 6,6%, a expliqué à l'AFP Charlotte de Montpellier, économiste de la banque ING... donc largement au-dessus des prévisions du gouvernement et de l'Insee, qui étaient de 6,25%.Avec la réouverture des secteurs liés aux loisirs et au tourisme, les dépenses de consommation des ménages ont notamment fortement accéléré, gagnant 5% sur un trimestre, a précisé l'Institut."Nous avons une politique économique qui a protégé la rémunération des salariés pendant la crise, ça a favorisé la consommation", a souligné Bruno Le Maire qui a expliqué que les Français avaient commencé à dépenser une partie des 160 milliards d'euros accumulés pendant la crise sanitaire."Le pass sanitaire a probablement joué favorablement, les gens se sont sentis sécurisés en sortant", a estimé Philippe Waechter, économiste du gestionnaire d'actifs Ostrum.Environnement inflationnisteL'économie a été tirée par la réouverture des services, l'activité de l'hôtellerie-restauration bondissant de 58,9% sur le trimestre.En revanche, la production de biens manufacturiers reste à 6% en dessous de son niveau d'avant-crise."Si la production manufacturière marque le pas c'est par pénurie de matériaux et également par pénurie de main d'oeuvre", explique Bruno Le Maire."Quand vous regardez dans la construction, il n'y a pas de bois, pas d'acier, pas d'aluminium", a-t-il ajouté.Au troisième trimestre, la contribution du commerce extérieur à la croissance a par ailleurs été positive de 0,6 point de PIB, les exportations accélérant de 2,3% tandis que les importations sont restées quasi-stables.Mais cette tendance pourrait s'inverser lorsque l'industrie française, grosse importatrice d'équipements, se remettra à importer davantage, a expliqué à l'AFP Selin Ozyurt, économiste de l'assureur-crédit Euler Hermes.Le rebond de l'activité a aussi fait baisser le nombre de chômeurs de 5,5% sur le trimestre, tandis que de nombreux secteurs connaissent des difficultés de recrutement.L'embellie de l'emploi pourrait atténuer les craintes qui pèsent sur le pouvoir d'achat, même si ce dernier n'a pas baissé avec la crise et a progressé de 8% depuis le début du quinquennat, selon le gouvernement.La pénurie de main d'oeuvre accroît en effet le pouvoir de négociation des salariés et devrait déboucher sur des augmentations de salaire de 1,8% à 2% cette année et de 2,5% en 2022, selon Selin Ozyurt, qui voit s'installer durablement un "environnement plus inflationniste" à 2% environ de hausse des prix.En octobre, l'indice des prix à la consommation a progressé de 2,6% sur un an, après 2,2% en septembre.
Il y a 3 ans et 190 jours

Actibaie demande l'intégration des stores et volets au dispositif MaPrimeRénov'

Sur MaPrimeRénov', le délégué général Hervé Lamy salue certaines recommandations en faveur de la rénovation globale et de l'audit énergétique mais déplore que le rapport n'intègre pas les gestes de rénovations manquants, notamment ceux qui permettent d'améliorer le confort d'été et de limiter le recours à la climatisation, responsable de 5% des émissions de GES du bâtiment. C'es notamment le cas des volets et stores. Les consommations des bâtiments sont responsables en France de 28%[1] des émissions de gaz à effet de serre (GES). La Stratégie nationale bas carbone (SNBC) adoptée en 2015 et révisée en mars 2020, vise notamment dans le bâtiment une réduction de 49% des émissions de GES en 2030 par rapport à leur niveau en 2015. Le rapport note : « malgré une baisse depuis la crise de 2008, la trajectoire tendancielle de la réduction des émissions des CO2 est insuffisante pour atteindre ces objectifs ».Le calendrier prévu par le projet de Loi Climat et Résilience pour la rénovation des bâtiments permettra en moyenne, sur la période 2021-2034, de sortir 200.000 logements supplémentaires de « l'indécence énergétique », regroupant les classes E à G, précise le rapport. « L'atteinte des différents objectifs n'est pas garantie avec les tendances observées ces dernières années » pour le comité indépendant.L'efficacité énergétique des rénovations remises en questionLe dispositif MaPrimeRénov' a rencontré un franc succès comptant depuis 2020, 600.000 primes validées pour un montant de 2,0 milliards. Pour le comité, le problème est que 86 % de ces rénovations sont mono-gestes. En effet, le rapport indique que seuls 389 dossiers de rénovations globales ont été validés. Mais là encore, impossible d'estimer le nombre de rénovations performantes sans audit énergétique.Même si Hervé Lamy, délégué général du Groupement Actibaie partage ce constat, il déplore néanmoins que le rapport évalue uniquement les gestes de rénovations intégrés à MaPrimeRénov'. « Les objectifs ambitieux fixés par l'état ne pourront être atteints que si les gestes liés au confort d'été sont intégrés dans le dispositif d'aide. Quand on pense économie d'énergie, on associe souvent la consommation d'énergie au chauffage. Or avec le réchauffement climatique, il faut aussi prendre en compte la hausse des températures des périodes estivales. On parle de « confort d'été », mais bientôt il s'agira simplement de confort selon les dernières projections du GIEC. Les stores et volets permettent de réduire la température de 5° voir plus si cela est piloté automatiquement. Sans ces solutions, les Français auront recours à la climatisation. Selon l'Ademe, 25%[2] des Français en seraient équipés. Un chiffre alarmant toujours en hausse, dont les équipements contribuent à 5% des émissions de GES. »Suivre l'exemple de pays européensLe délégué général poursuit : « nous espérons que les pouvoirs publics intégreront rapidement les solutions de protections solaires dans MaPrimeRénov'. Ces gestes de rénovations sont déjà subventionnables dans les DOM-TOM, comme chez certains de nos voisins européens, comme en Allemagne ou en Italie. Et contrairement à l'industrie de la climatisation, la quasi-totalité des solutions de protection solaires sont fabriquées en France ou dans l'Union Européenne. Il s'agit d'une industrie qui ne nécessite pas de lointaines délocalisations et est un moteur de l'économie locale. »En conclusion, le délégué général salue néanmoins les recommandations sur les futures évaluations. « Il serait nécessaire que chaque dossier soit attaché à un audit énergétique qui permettrait d'établir les gains énergétiques ainsi que les économies de GES réalisables à partir des travaux » précise le rapport.[1] Direction générale de l'énergie et du climat-DGEC (2020)[2]Étude de l'ADEME 2021
Il y a 3 ans et 190 jours

Robimax, le kit pour simplifier l'installation de robinetterie

Robimax, un raccordement de robinetterie breveté qui s'adapte à toutes les configurations !Le kit Robimax facilite l'installation de la robinetterie sur les cloisons en plaque de plâtre grâce à un système de raccordement complet, modulable et fiable entre le tube (PER ou Multicouches) et le robinet (ou mitigeur). Il est composé d'une platine INOX, de coudes en laiton avec leurs raccords, de bouchons plastiques 15/21 avec joint pré-monté, de chevilles, et d'un adhésif pour permettre une étanchéité parfaite à l'air. La platine en INOX est sécable et s'adapte à toutes les configurations (mono, entraxe 80, entraxe 150mm). Ses coudes sont orientables à 360° ce qui permet aux coudes de s'aligner avec l'arrivée d'eau. Même après installation, Robimax est visitable. Comme dans toutes ses innovations, RAM a souhaité apporter aux professionnels une solution de fixation qui leur simplifie l'installation tout en garantissant des performances dans le temps.RAM, engagée pour répondre aux besoins des artisansDepuis 70 ans, RAM développe des solutions de fixation qui allient performance et simplicité de mise en œuvre pour permettre aux artisans d'intervenir dans de meilleures conditions chez leurs clients. Les produits de RAM sont disponibles dans le réseau de la distribution professionnelle. « Plusieurs fois par an, RAM anime des ateliers avec des plombiers, électriciens... En ressortent des idées, des envies, des besoins qui sont le terreau de nos futurs développements. Être en prise directe avec les artisans utilisateurs nous permet de nourrir les réflexions du département R&D et de viser juste », indique Bernard Fournier, PDG de RAM.RAM, made in France depuis toujoursRAM a toujours fait le choix de maintenir sa production en France avec une usine de production implantée à Wissous (91) de laquelle sort chaque année plus de 60 millions de fixations. Aujourd'hui, ce choix est d'autant plus pertinent qu'il apporte aux partenaires distributeurs de RAM la maîtrise de l'approvisionnement, la garantie d'une qualité dans le temps et une cohérence sur les préoccupations RSE.
Il y a 3 ans et 190 jours

Au-delà du marketing vert, l'arbre, matière architecturale - Exposition

L'architecte gantois Jo Taillieu fonde son agence en 2004. En 2009, il entame une collaboration prolifique avec Jan De Vylder et Inge Vinck, avec qui il conduit architecten de vylder vinck taillieu (ADVVT).  En 2018, ils reçoivent le lion d'argent lors de la 16e Biennale de Venise pour la transformation d'un pavillon abandonné de l'hôpital psychiatrique […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 190 jours

L’entreprise française Humidistop prend le virage du 100% digital et poursuit son développement malgré la crise

Leur secret ? Avoir su faire preuve d’agilité en s’adaptant aux enjeux actuels et en investissant pour accélérer leur transition digitale. Un pari qui au départ pouvait sembler audacieux mais qui s’est finalement avéré largement rentable.L’exemple du spécialiste français des produits contre l’humidité, Humidistop France, est particulièrement flagrant.Face à la crise sanitaire, la société toulousaine a immédiatement décidé de réagir en transformant toute son organisation sanitaire.« Nous avons délibérément choisi d’abandonner les visites au domicile des particuliers, qui étaient pourtant jusque-là notre principal vecteur de vente. A la place, nous avons opté pour un modèle 100% digital reposant sur un diagnostic par téléphone et des commandes en ligne. » William COIGNARD, le fondateurCette stratégie s’est avérée gagnante : aujourd’hui Humidistop est en pleine croissance malgré la crise et continue son expansion à l’international.Le digital, un véritable accélérateur de croissance à l’ère de la Covid-19Au moment où troisième vague épidémique contraignait le Gouvernement à reconfiner davantage de départements et à adopter de nouvelles contraintes sanitaires, Humidistop développait une stratégie qui pour intégrer les règles de distanciations sociales.Son approche en ligne est également en phase avec le “monde d’après”, dans la mesure où les Français utilisent désormais massivement Internet et les téléphones mobiles.Cette société française dynamique s’est donc dotée d’un nouveau site internet qui lui a permis d’étendre son offre à l’ensemble de la France et aux pays voisins.Humidistop propose ainsi :Un diagnostic à distance gratuit, pour identifier le problème et trouver la solution adaptée : Tâches & moisissures, Inondation & dégâts des eaux, Buée & condensation excessive, Salpêtre et mur humide, Façade, sous-sol ou cave humide.Des prix “direct usine” ultra-compétitifs afin de démocratiser l’accès aux produits contre les remontées capillaires et l’humidité dans les murs dans tous les types de bâtiments (églises, bureaux, appartements et maisons) pour résoudre définitivement les problèmes d’humidité.Une boutique en ligne intuitive et performante pour commander des appareils anti-humidité d’une redoutable efficacité.La fabrication française des inverseurs de polarité contre l’humidité dans les murs.Pour les pros : des solutions alternatives pour tous les travaux de rénovation via Help HumiditéDepuis février dernier, Humidistop a confié la distribution de ses produits aux professionnels à la société Help Humidité, qui dispose également d’une boutique en ligne.Cette démarche leur permet d’élargir leur offre en proposant des alternatives complémentaires aux travaux de rénovation. Les inverseurs de polarité STOP ONE (électromagnétique) et GEOSTOP (géomagnétique) conviennent en effet à tous les types d’habitation et à tous les budgets.« Nos produits sont appréciés par les particuliers pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour tous les professionnels de l’habitat. » William COIGNARDZoom sur les produits phares HumidistopSTOP ONE : l’inverseur de polarité électromagnétiquePour lutter contre l’humidité dans les murs, cet appareil simple et efficace se branche à une prise de terre, à poser ou à fixer dans la zone humide, sans toucher à la maçonnerie.Le ratio d’émission de STOP-ONE s’étend de 30m2 à plusieurs centaines de mètres carrés selon la version installée et fonctionne à travers les murs et cloisons.L’assèchement des murs s’effectue ensuite par évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et le suivi des recommandations).STOP-ONE est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1 100 € (selon le modèle choisi).GEOSTOP : l’inverseur de polarité géomagnétiqueLa centrale géomagnétique GEOSTOP ne nécessite aucun travaux, ni batterie, ni branchement sur secteur. Ce boitier cylindrique fonctionne uniquement avec l’énergie des champs électromagnétiques.Complètement autonome, il permet d’assécher les murs grâce à l’évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et du suivi des recommandations).GEOSTOP est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1100 € selon le modèle choisi.Humidistop : plus de 10 ans d’expertise dans le traitement de l’humiditéWilliam Coignard crée sa société Humidistop France en février 2012.Constatant que plus d’un foyer sur deux connaît des problèmes d’humidité et que les solutions existantes semblent toujours inaccessibles ou trop coûteuses, il choisit d’investir ses compétences dans ce domaine encore mal développé. Il participe activement au traitement de l’humidité dans les bâtiments : infiltrations, remontées capillaires, moisissures, salpêtre, humidité de l’air, dégât des eaux...Au fil des années, des interventions et des progrès de la science, il élargit l’éventail de ses possibilités et connaît rapidement une forte croissance. Plus que sa motivation commerciale, c’est aussi ses convictions qui le pousse à se dépasser.Entreprise certifiée QUALIBAT, Humidistop intervient auprès des particuliers, des maîtres d’ouvrages, DGS, des assureurs, des syndics, mais aussi directement auprès des médias. William Coignard intervient régulièrement dans les médias pour toutes les questions relatives aux problèmes d’humidité.Aujourd’hui, Humidistop ambitionne de continuer à développer ses diagnostics à distance gratuits et la vente de ses produits via son nouveau site web.« Entrepreneur militant, je suis en lutte contre les phénomènes d’humidité et je souhaite rendre le traitement contre l’humidité accessible à tous. Je vais au-delà d’une simple démarche commerciale de vente de produits. » William COIGNARD
Il y a 3 ans et 191 jours

Kingspan mise sur la France

Industrie -
Il y a 3 ans et 191 jours

Les députés approuvent 254 millions d'euros pour les écoles de Marseille

"Si ces crédits sont inscrits, c'est que nous sommes dans l'idée d'un plan d'urgence", a affirmé la ministre de la Cohésion des territoires, Jacqueline Gourault, lors de la présentation de cet amendement gouvernemental au projet de loi de finances (PLF)."Nous sommes dans un état de délabrement des écoles qui fait que l'Etat a décidé d'intervenir", a-t-elle ajouté, précisant que 174 établissements seront "aidés". "Il y a 1,2 milliard de travaux", a-t-elle souligné, en reprenant l'évaluation faite par la mairie de Marseille sur le coût de la remise en état de ces 174 écoles.L'amendement précise que ces crédits "seront complétés par d'autres financements issus d'opérateurs publics", entre autres sur présentation de dossiers à l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru). Le montant de ces aides de l'Etat dans le cadre de ce type de programme de rénovation urbaine n'est pas encore connu."Bien sûr, le reste des financements est apporté par la ville de Marseille", a souligné la ministre."C'est quelque chose d'assez rare et de particulier qui vient de se produire, c'est la traduction du fait qu'avec de la volonté, avec du travail et de l'acharnement, on peut relever cette ville", a déclaré à l'AFP le maire de Marseille, le socialiste Benoît Payan, qui avait appelé l'Etat à l'aide.M. Payan a pris la tête de la ville il y a près d'un an, après 25 ans de gestion par la droite et dans le sillage de la victoire du Printemps Marseillais, un collectif réunissant partis de gauche et écologistes."C'est la traduction de la volonté très forte de l'Etat de porter avec nous le projet pour cette ville", a-t-il ajouté, louant le fait que "même s'il n'est pas de la même famille politique, le président de la République (...) se soit tenu" à ses engagements.Si ces dispositions sont définitivement approuvées par le Parlement, le conseil municipal de Marseille doit se réunir d'ici la fin de l'année pour approuver la création de la société associant l'Etat et la ville qui pilotera le programme de rénovation, afin ensuite de lancer au plus vite les premiers travaux.Dans l'amendement, six millions d'euros supplémentaires sont prévus pour la mise en place et le fonctionnement de cette société ainsi que pour les premières études prévisionnelles.Le montant total du grand plan d'Emmanuel Macron pour Marseille n'a pas été établi formellement mais la participation de l'Etat est évaluée à 1,5 milliard d'euros, hors rénovation des écoles. Le chef de l'Etat avait dévoilé ce plan à Marseille le 2 septembre.Préfabriqués glacés l'hiver, fuites d'eau, rats, nombres d'écoles marseillaises souffrent de délabrement.
Il y a 3 ans et 191 jours

Zehnder Breeze, nouveau diffuseur d’air invisible pour les plafonds climatiques Zehnder

En ayant recours à des modes constructifs peu émissifs et à des équipements toujours plus performants prenant en compte le confort d’été, la RE2020 bouleverse les habitudes du secteur du bâtiment. Dans ce contexte, les architectes et maîtres d’ouvrage restent extrêmement sensibles à l’intégration esthétique des équipements techniques. Pour répondre à ce double enjeu, Zehnder complète sa gamme de plafonds chauffants rafraîchissants pour les bâtiments tertiaires avec un nouveau diffuseur d’air intégré. Invisible, il garantit un renouvellement d’air confortable et hygiénique. Zehnder Breeze, un échange d’air assuré en toute discrétion Invisible, le nouveau diffuseur d’air Zehnder Breeze, qui garantit le renouvellement d’air dans les bâtiments tertiaires, s’intègre dans toutes les solutions de plafonds chauffants rafraîchissants métalliques avec cassettes perforées du fabricant. Raccordé au système de ventilation double flux, il utilise l’effet Coanda pour éviter tout inconfort aux occupants. L’air soufflé prend ainsi la température ambiante et limite tout courant d’air dans la zone d’occupation. Le diffuseur d’air Zehnder Breeze offre une distribution homogène de la température et assure une classe de confort A selon la norme DIN EN ISO 7730 relative à l’ergonomie des ambiances thermiques. Avec un débit de 50 à 300 m3/h selon les modèles (pour manchettes de 80, 100, 125 et 160), Zehnder Breeze garantit un renouvellement d’air hygiénique. http://www.zehnder.fr/
Il y a 3 ans et 191 jours

Enquête rénovation énergétique : plus de la moitié des répondants n'envisage pas la réalisation de travaux pour leur copropriété

Mais avec la loi Climat et résilience, plus le choix ! Les copropriétés vont devoir prendre le pas de la rénovation énergétique, sous peine de se heurter à des sanctions, comme la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025. Cette loi, promulguée le 22 août 2021, cible particulièrement la gestion locative et les copropriétés. Deux univers en interconnexion car 60% des logements dans les grandes villes sont la propriété d'investisseurs et sont donc occupés par des locataires. Face à l'urgence climatique, la rénovation énergétique globale et performante est considérée comme le seul moyen d'atteindre l'objectif de neutralité carbone en 2050.Conscient que ces obligations vont fortement impacter les copropriétés, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, a souhaité sonder leur perception des travaux de rénovation énergétique et évaluer leur connaissance des aides. Cette enquête, réalisée en ligne entre le 15 août et le 30 septembre 2021 à laquelle 300 copropriétaires, membres et responsables de conseils syndicaux répartis sur toute la France ont répondu, laisse apparaître que la tâche est immense !Pour commenter les résultats de cette étude, Hellio a réuni, autour d'Henry Buzy- Cazaux, président fondateur de l'IMSI (Institut du management des services immobiliers), des experts du secteur des services immobiliers, dans le cadre d'une table ronde le 20 octobre 2021 : Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, Estelle Baron, directrice des projets Soliha, José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier – Réseau immo de France et Tanguy Dupont, directeur du pôle habitat collectif de Hellio.La rénovation énergétique des copropriétés : un enjeu de tailleUn enjeu réglementaireAlors que beaucoup d'assemblées générales n'ont pu se tenir ou se sont tenues à distance avec tous les freins inhérents, en raison du contexte sanitaire, les copropriétés ont pourtant la lourde tâche de s'engager sur le chemin de la rénovation énergétique et doivent expérimenter un certain nombre de réformes votées dans le cadre de la loi Climat et résilience :Un DPE devenu opposable et à double seuil (émission de CO2 et efficacité énergétique) depuis le 1er juillet 2021,Un audit énergétique obligatoire pour les logements G, F, E et D à partir de 2022 (1er janvier 2022 pour les logements de classes F ou G ; 1er janvier 2025 pour les logements de classe E ; 1er janvier 2034 pour les logements de classe D),Un échéancier sur l'interdiction de location des logements les plus énergivores (G en 2025, F en 2028, E en 2035),Un nouveau calcul du fonds travaux,Le Plan Pluriannuel de Travaux obligatoire.Concrètement, ce sont 23 millions de logements classés de G à D (habitat collectif et maisons individuelles), qui doivent être rénovés car le législateur ne s'est pas limité à l'éradication des passoires thermiques (4,8 millions).Un enjeu financierOutre l'obligation réglementaire, les charges de copropriété trimestrielles pèsent lourd dans le budget des ménages : 749 € en moyenne en 2020[1].Selon les résultats de l'enquête Hellio, près d'1 répondant sur 2 (49%) estime que le poids de l'énergie est supérieur à 20% des charges. Une proportion qui devrait encore s'accentuer dans le contexte actuel de la hausse des prix de l'énergie si aucun travaux n'est entrepris dans les copropriétés.Des obstacles à surmonterLa méconnaissance de la rénovation énergétiqueLe premier enseignement de l'enquête réalisée par Hellio est la méconnaissance des copropriétés sur plusieurs sujets étroitement liés à la rénovation énergétique.50% des répondants ne connaissent pas l'étiquette énergétique de leur copropriété et seuls 15% estiment l'avoir prise en compte lors de leur achat. Pourtant, l'énergie devient de plus en plus une composante à prendre en compte. Cette prise en considération devrait logiquement évoluer avec la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025 : la valeur verte aura une influence sur le prix de vente d'un bien immobilier et sur sa location. Mais face à cette future interdiction, le risque est que certains copropriétaires bailleurs envisagent plutôt de vendre, à l'image de Brigitte :« J'ai pris la décision de mettre en vente mon appartement parce qu'il y a trop de contraintes sans aucune information autour. J'aime les choses claires, on m'informe, je prends une décision. Aujourd'hui je n'ai pas d'information, c'est compliqué, je vends ! ».À la question « Connaissez-vous la rénovation globale en copropriété ? », près de 3/4 des répondants ont répondu par la négative.Même constat du côté des aides à la rénovation globale : 70% ne les connaissent pas. Des résultats peu surprenants puisque la rénovation globale est un axe du gouvernement depuis peu, MaPrimeRénov' copropriétés ayant été lancée il y a moins d'un an.Les freins pour faire voter les travaux de rénovation énergétiqueConséquence directe de la méconnaissance, convaincre les copropriétaires d'investir dans des travaux ambitieux n'est pas une tâche aisée ! Les copropriétaires prennent trop peu souvent la décision d'engager des travaux de rénovation énergétique sauf pour des motifs financiers : la baisse des charges pour 78% des répondants et la valeur du bien pour 69%. Ces résultats confirment bien que l'immobilier est le 1er poste d'investissement des Français.Les solutions pour surmonter les obstaclesL'accompagnement des syndicsAu coeur du processus de décision, les syndics ont un rôle clé à jouer. Cependant, 82% des répondants déclarent ne pas avoir eu de recommandations sur les travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété de la part de leur syndic professionnel.« Il nous faut des partenaires qui finalement gèrent pour nous toute la partie en amont du vote des travaux. Une fois que tout est géré avec le montant des travaux, les éventuelles aides qu'on peut avoir, le reste à charge, ça nous permet de pouvoir présenter en AG et là en général, c'est bien construit, ça passe ! Mais sans aide et sans de bons partenaires, on n'y arrive pas ! », témoigne Emmanuelle Thomas, gestionnaire de copropriétés au sein du Cabinet Thomas.Bien que le syndic soit là pour permettre aux copropriétaires d'avoir une vision plus longue (ils sont propriétaires de leur bien pendant 7 ans en moyenne), le besoin d'accompagnement est prépondérant pour leur apporter des préconisations et mobiliser les aides disponibles. Des conditions sine qua non pour convaincre les copropriétaires de passer à l'acte.Un constat partagé par Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, qui confirme que les syndics doivent être accompagnés par des professionnels maîtrisant les aides afin de faire prendre la bonne décision au bon moment lors des assemblées générales. D'autant plus que l'année qui vient de s'écouler a été une année blanche, sans gros postes de travaux votés.La rénovation globaleLa priorité politique donnée à la rénovation énergétique des copropriétés se heurte à une demande de travaux insuffisamment stimulée. 53% des répondants n'envisagent pas la réalisation de travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété et 50% ne comptent pas réaliser la rénovation globale alors que c'est l'une des solutions face à l'obligation de rénover les passoires énergétiques à partir de 2025. De plus, grâce à la rénovation globale, les copropriétés pourraient réduire le montant des charges liées à l'énergie de 15% minimum[2].Pour ceux qui la projettent, elle n'est envisagée qu'à long terme pour 19% (4 ans et plus) des répondants. Il y a pourtant urgence car les délais de prise de décision des copropriétés sont longs. Selon Hellio, le temps moyen de réalisation d'une rénovation globale est de 3 ans.L'étude réalisée par Hellio laisse, toutefois, entrevoir des perspectives encourageantes. Lorsque les copropriétaires sont informés, ils identifient l'isolation thermique par l'extérieur comme le poste de travaux le plus efficace pour réaliser le plus d'économies d'énergie (48%).« Accompagner un projet d'isolation et de ravalement, par exemple, d'une réflexion globale sur les autres travaux à envisager permettrait aux copropriétaires de bénéficier d'aides plus importantes grâce à la rénovation globale, tout en réalisant davantage d'économies d'énergie », souligne Tanguy Dupont, directeur des solutions Hellio pour l'Habitat Collectif.La rénovation globale arrive en 4ème position du top 10 des travaux de rénovation énergétique cités. Un signal positif témoignant d'un début de prise de conscience.Le concept de rénovation globale est accepté par tous les intervenants du débat même si certains ne l'envisagent pas comme une solution de massification.Pour Estelle Baron, directrice des projets Soliha, cette démarche ambitieuse laisse trop de résidences de côté (notamment les petites) et doit passer par un audit solide qui permet de voir jusqu'où il est possible d'aller au regard de la typologie des copropriétaires. Une rénovation par étape peut être plus appropriée dans certaines copropriétés, d'autant qu'il ne faut pas oublier les autres postes de travaux d'entretien à réaliser, en particulier dans les copropriétés fragiles et en difficulté.Pour José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier, Réseau Immo de France, la marche est trop haute ! Il doute de la capacité de la plupart des résidences d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques requis pour bénéficier de MaPrimeRénov' copropriétés. C'est la raison pour laquelle il milite pour un abaissement du seuil à 20%. On retiendra la phrase de José de Juan Mateo qui a travaillé sur le sujet avec Procivis Lab' : « Le mieux est l'ennemi du bien ! ».Faire émerger les instruments de financement pour la rénovation globalePlus économique au final, une rénovation globale et performante est aussi plus difficile à faire voter car la décision est prise sur la base d'un coût global.Le rapport Sichel a chiffré en moyenne le coût de la rénovation par logement à 15 000 € en habitat collectif, un montant sous-estimé selon les intervenants. Il n'en reste pas moins que 75% des répondants de l'enquête Hellio se disent prêts à allouer 5 000 € aux travaux de rénovation énergétique, soit le montant moyen du reste à charge par copropriétaire d'une rénovation globale après déduction des aides (MaPrimeRénov', CEE), selon Hellio.« MaPrimeRénov copropriétés permet de financer 25% du montant des travaux, à condition d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques. Á cela s'ajoutent les Certificats d'Économies d'Énergie, une aide privée financée par fournisseurs d'énergie, à hauteur de 10 à 20% du montant des travaux », détaille Tanguy Dupont.Mais la majorité des répondants ne connaissent pas les aides à la rénovation globale, preuve d'un besoin de simplification pour les rendre plus accessibles et en faire un élément déclencheur.Se pose aussi la question du financement du reste à charge des ménages les plus modestes et les plus âgés qui rencontrent le problème d'accès au crédit. Les banques montrent peu d'appétence pour le financement de la rénovation énergétique, jugée peu rentable au regard des contraintes techniques imposées, même si l'appréhension de ces dispositifs par les banques évolue positivement, avec notamment l'instauration du prêt avance rénovation à partir du 1er janvier 2022.La proposition de Hellio : expérimenter le modèle d'accompagnement proposé par France Stratégie, un opérateur ensemblier agréé par l'Etat qui proposerait une solution de tiers financementCes « opérateurs ensembliers », entreprises privées ou des sociétés d'économie mixtes sélectionnées par les autorités publiques établiraient le diagnostic de performance énergétique du logement et la rentabilité anticipée de l'opération. Ils avanceraient le financement des travaux et les réaliseraient puis se rembourseraient mensuellement sur la baisse de la facture énergétique, en captant 3/4 des économies. Labellisés et adossés à une garantie publique, ils devront gagner la confiance des ménages qui n'auraient, eux, aucun frais à avancer.Le schéma du financement est inédit : faire porter le financement sur l'opérateur, qui se rembourse et génère la marge de son contrat de prestation à partir des économies d'énergie réalisées. L'opérateur se porte dès lors garant de ces économies, via un Contrat de Performance Énergétique (CPE).La source de financement pourrait provenir de fonds spécialisés, des green bonds, par exemple. Le dispositif serait par ailleurs sécurisé par une garantie publique. A noter : l'opérateur se finançant sur les économies d'énergie aurait la bonne incitation pour accompagner le ménage, le former et l'aider à réaliser les économies qui ne dégradent pas son confort.En conclusion, les intervenants s'accordent à dire que cette solution est intéressante mais que cela ne peut être qu'un outil parmi d'autres car elle ne répond pas à tous les types de copropriétés (petites tailles, centres anciens, copropriétés où le chauffage n'est pas collectif, etc.).« Je trouve qu'on a mis en avant des problèmes mais aussi beaucoup de solutions sur la base de ce que pensent les propriétaires et les professionnels sur le terrain. On n'a pas négligé la réalité, elle nous a servi de tremplin pour ce débat », conclut Henry Buzy-Cazaux.[1]https://www.pap.fr/actualites/copropriete-les-charges-reculent-de-2-en-2019-2020/a22439[2] Calcul basé sur une dépense énergétique de 400 € par an.
Il y a 3 ans et 191 jours

Enquête rénovation énergétique : 53% des répondants n'envisagent pas la réalisation de travaux pour leur copropriété

Mais avec la loi Climat et résilience, plus le choix ! Les copropriétés vont devoir prendre le pas de la rénovation énergétique, sous peine de se heurter à des sanctions, comme la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025. Cette loi, promulguée le 22 août 2021, cible particulièrement la gestion locative et les copropriétés. Deux univers en interconnexion car 60% des logements dans les grandes villes sont la propriété d'investisseurs et sont donc occupés par des locataires. Face à l'urgence climatique, la rénovation énergétique globale et performante est considérée comme le seul moyen d'atteindre l'objectif de neutralité carbone en 2050.Conscient que ces obligations vont fortement impacter les copropriétés, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, a souhaité sonder leur perception des travaux de rénovation énergétique et évaluer leur connaissance des aides. Cette enquête, réalisée en ligne entre le 15 août et le 30 septembre 2021 à laquelle 300 copropriétaires, membres et responsables de conseils syndicaux répartis sur toute la France ont répondu, laisse apparaître que la tâche est immense !Pour commenter les résultats de cette étude, Hellio a réuni, autour d'Henry Buzy- Cazaux, président fondateur de l'IMSI (Institut du management des services immobiliers), des experts du secteur des services immobiliers, dans le cadre d'une table ronde le 20 octobre 2021 : Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, Estelle Baron, directrice des projets Soliha, José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier – Réseau immo de France et Tanguy Dupont, directeur du pôle habitat collectif de Hellio.La rénovation énergétique des copropriétés : un enjeu de tailleUn enjeu réglementaireAlors que beaucoup d'assemblées générales n'ont pu se tenir ou se sont tenues à distance avec tous les freins inhérents, en raison du contexte sanitaire, les copropriétés ont pourtant la lourde tâche de s'engager sur le chemin de la rénovation énergétique et doivent expérimenter un certain nombre de réformes votées dans le cadre de la loi Climat et résilience :Un DPE devenu opposable et à double seuil (émission de CO2 et efficacité énergétique) depuis le 1er juillet 2021,Un audit énergétique obligatoire pour les logements G, F, E et D à partir de 2022 (1er janvier 2022 pour les logements de classes F ou G ; 1er janvier 2025 pour les logements de classe E ; 1er janvier 2034 pour les logements de classe D),Un échéancier sur l'interdiction de location des logements les plus énergivores (G en 2025, F en 2028, E en 2035),Un nouveau calcul du fonds travaux,Le Plan Pluriannuel de Travaux obligatoire.Concrètement, ce sont 23 millions de logements classés de G à D (habitat collectif et maisons individuelles), qui doivent être rénovés car le législateur ne s'est pas limité à l'éradication des passoires thermiques (4,8 millions).Un enjeu financierOutre l'obligation réglementaire, les charges de copropriété trimestrielles pèsent lourd dans le budget des ménages : 749 € en moyenne en 2020[1].Selon les résultats de l'enquête Hellio, près d'1 répondant sur 2 (49%) estime que le poids de l'énergie est supérieur à 20% des charges. Une proportion qui devrait encore s'accentuer dans le contexte actuel de la hausse des prix de l'énergie si aucun travaux n'est entrepris dans les copropriétés.Des obstacles à surmonterLa méconnaissance de la rénovation énergétiqueLe premier enseignement de l'enquête réalisée par Hellio est la méconnaissance des copropriétés sur plusieurs sujets étroitement liés à la rénovation énergétique.50% des répondants ne connaissent pas l'étiquette énergétique de leur copropriété et seuls 15% estiment l'avoir prise en compte lors de leur achat. Pourtant, l'énergie devient de plus en plus une composante à prendre en compte. Cette prise en considération devrait logiquement évoluer avec la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025 : la valeur verte aura une influence sur le prix de vente d'un bien immobilier et sur sa location. Mais face à cette future interdiction, le risque est que certains copropriétaires bailleurs envisagent plutôt de vendre, à l'image de Brigitte :« J'ai pris la décision de mettre en vente mon appartement parce qu'il y a trop de contraintes sans aucune information autour. J'aime les choses claires, on m'informe, je prends une décision. Aujourd'hui je n'ai pas d'information, c'est compliqué, je vends ! ».À la question « Connaissez-vous la rénovation globale en copropriété ? », près de 3/4 des répondants ont répondu par la négative.Même constat du côté des aides à la rénovation globale : 70% ne les connaissent pas. Des résultats peu surprenants puisque la rénovation globale est un axe du gouvernement depuis peu, MaPrimeRénov' copropriétés ayant été lancée il y a moins d'un an.Les freins pour faire voter les travaux de rénovation énergétiqueConséquence directe de la méconnaissance, convaincre les copropriétaires d'investir dans des travaux ambitieux n'est pas une tâche aisée ! Les copropriétaires prennent trop peu souvent la décision d'engager des travaux de rénovation énergétique sauf pour des motifs financiers : la baisse des charges pour 78% des répondants et la valeur du bien pour 69%. Ces résultats confirment bien que l'immobilier est le 1er poste d'investissement des Français.Les solutions pour surmonter les obstaclesL'accompagnement des syndicsAu coeur du processus de décision, les syndics ont un rôle clé à jouer. Cependant, 82% des répondants déclarent ne pas avoir eu de recommandations sur les travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété de la part de leur syndic professionnel.« Il nous faut des partenaires qui finalement gèrent pour nous toute la partie en amont du vote des travaux. Une fois que tout est géré avec le montant des travaux, les éventuelles aides qu'on peut avoir, le reste à charge, ça nous permet de pouvoir présenter en AG et là en général, c'est bien construit, ça passe ! Mais sans aide et sans de bons partenaires, on n'y arrive pas ! », témoigne Emmanuelle Thomas, gestionnaire de copropriétés au sein du Cabinet Thomas.Bien que le syndic soit là pour permettre aux copropriétaires d'avoir une vision plus longue (ils sont propriétaires de leur bien pendant 7 ans en moyenne), le besoin d'accompagnement est prépondérant pour leur apporter des préconisations et mobiliser les aides disponibles. Des conditions sine qua non pour convaincre les copropriétaires de passer à l'acte.Un constat partagé par Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, qui confirme que les syndics doivent être accompagnés par des professionnels maîtrisant les aides afin de faire prendre la bonne décision au bon moment lors des assemblées générales. D'autant plus que l'année qui vient de s'écouler a été une année blanche, sans gros postes de travaux votés.La rénovation globaleLa priorité politique donnée à la rénovation énergétique des copropriétés se heurte à une demande de travaux insuffisamment stimulée. 53% des répondants n'envisagent pas la réalisation de travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété et 50% ne comptent pas réaliser la rénovation globale alors que c'est l'une des solutions face à l'obligation de rénover les passoires énergétiques à partir de 2025. De plus, grâce à la rénovation globale, les copropriétés pourraient réduire le montant des charges liées à l'énergie de 15% minimum[2].Pour ceux qui la projettent, elle n'est envisagée qu'à long terme pour 19% (4 ans et plus) des répondants. Il y a pourtant urgence car les délais de prise de décision des copropriétés sont longs. Selon Hellio, le temps moyen de réalisation d'une rénovation globale est de 3 ans.L'étude réalisée par Hellio laisse, toutefois, entrevoir des perspectives encourageantes. Lorsque les copropriétaires sont informés, ils identifient l'isolation thermique par l'extérieur comme le poste de travaux le plus efficace pour réaliser le plus d'économies d'énergie (48%).« Accompagner un projet d'isolation et de ravalement, par exemple, d'une réflexion globale sur les autres travaux à envisager permettrait aux copropriétaires de bénéficier d'aides plus importantes grâce à la rénovation globale, tout en réalisant davantage d'économies d'énergie », souligne Tanguy Dupont, directeur des solutions Hellio pour l'Habitat Collectif.La rénovation globale arrive en 4ème position du top 10 des travaux de rénovation énergétique cités. Un signal positif témoignant d'un début de prise de conscience.Le concept de rénovation globale est accepté par tous les intervenants du débat même si certains ne l'envisagent pas comme une solution de massification.Pour Estelle Baron, directrice des projets Soliha, cette démarche ambitieuse laisse trop de résidences de côté (notamment les petites) et doit passer par un audit solide qui permet de voir jusqu'où il est possible d'aller au regard de la typologie des copropriétaires. Une rénovation par étape peut être plus appropriée dans certaines copropriétés, d'autant qu'il ne faut pas oublier les autres postes de travaux d'entretien à réaliser, en particulier dans les copropriétés fragiles et en difficulté.Pour José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier, Réseau Immo de France, la marche est trop haute ! Il doute de la capacité de la plupart des résidences d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques requis pour bénéficier de MaPrimeRénov' copropriétés. C'est la raison pour laquelle il milite pour un abaissement du seuil à 20%. On retiendra la phrase de José de Juan Mateo qui a travaillé sur le sujet avec Procivis Lab' : « Le mieux est l'ennemi du bien ! ».Faire émerger les instruments de financement pour la rénovation globalePlus économique au final, une rénovation globale et performante est aussi plus difficile à faire voter car la décision est prise sur la base d'un coût global.Le rapport Sichel a chiffré en moyenne le coût de la rénovation par logement à 15 000 € en habitat collectif, un montant sous-estimé selon les intervenants. Il n'en reste pas moins que 75% des répondants de l'enquête Hellio se disent prêts à allouer 5 000 € aux travaux de rénovation énergétique, soit le montant moyen du reste à charge par copropriétaire d'une rénovation globale après déduction des aides (MaPrimeRénov', CEE), selon Hellio.« MaPrimeRénov copropriétés permet de financer 25% du montant des travaux, à condition d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques. Á cela s'ajoutent les Certificats d'Économies d'Énergie, une aide privée financée par fournisseurs d'énergie, à hauteur de 10 à 20% du montant des travaux », détaille Tanguy Dupont.Mais la majorité des répondants ne connaissent pas les aides à la rénovation globale, preuve d'un besoin de simplification pour les rendre plus accessibles et en faire un élément déclencheur.Se pose aussi la question du financement du reste à charge des ménages les plus modestes et les plus âgés qui rencontrent le problème d'accès au crédit. Les banques montrent peu d'appétence pour le financement de la rénovation énergétique, jugée peu rentable au regard des contraintes techniques imposées, même si l'appréhension de ces dispositifs par les banques évolue positivement, avec notamment l'instauration du prêt avance rénovation à partir du 1er janvier 2022.La proposition de Hellio : expérimenter le modèle d'accompagnement proposé par France Stratégie, un opérateur ensemblier agréé par l'Etat qui proposerait une solution de tiers financementCes « opérateurs ensembliers », entreprises privées ou des sociétés d'économie mixtes sélectionnées par les autorités publiques établiraient le diagnostic de performance énergétique du logement et la rentabilité anticipée de l'opération. Ils avanceraient le financement des travaux et les réaliseraient puis se rembourseraient mensuellement sur la baisse de la facture énergétique, en captant 3/4 des économies. Labellisés et adossés à une garantie publique, ils devront gagner la confiance des ménages qui n'auraient, eux, aucun frais à avancer.Le schéma du financement est inédit : faire porter le financement sur l'opérateur, qui se rembourse et génère la marge de son contrat de prestation à partir des économies d'énergie réalisées. L'opérateur se porte dès lors garant de ces économies, via un Contrat de Performance Énergétique (CPE).La source de financement pourrait provenir de fonds spécialisés, des green bonds, par exemple. Le dispositif serait par ailleurs sécurisé par une garantie publique. A noter : l'opérateur se finançant sur les économies d'énergie aurait la bonne incitation pour accompagner le ménage, le former et l'aider à réaliser les économies qui ne dégradent pas son confort.En conclusion, les intervenants s'accordent à dire que cette solution est intéressante mais que cela ne peut être qu'un outil parmi d'autres car elle ne répond pas à tous les types de copropriétés (petites tailles, centres anciens, copropriétés où le chauffage n'est pas collectif, etc.).« Je trouve qu'on a mis en avant des problèmes mais aussi beaucoup de solutions sur la base de ce que pensent les propriétaires et les professionnels sur le terrain. On n'a pas négligé la réalité, elle nous a servi de tremplin pour ce débat », conclut Henry Buzy-Cazaux.[1]https://www.pap.fr/actualites/copropriete-les-charges-reculent-de-2-en-2019-2020/a22439[2] Calcul basé sur une dépense énergétique de 400 € par an.
Il y a 3 ans et 191 jours

Edycem dévoile ses bétons bas carbone Vitaliss

Edycem BPE a lancé Vitaliss, sa gamme de bétons à empreinte carbone réduite. [©Herige/Charles Marion] Vitaliss : tel est le nom de la gamme des bétons à empreinte carbone réduite. Tout juste lancée sur le marché par Edycem BPE (groupe Herige). « Vitaliss a été formulé pour offrir des réductions d’émissions de CO2allant de 20 % à plus de 50 %. Ceci, en comparaison des bétons traditionnels de résistances et de caractéristiques d’utilisations similaires », résume Olivier Collin, directeur général BPE et Préfa d’Edycem. La gamme se décline en quatre classes de réduction, identifiées par un référentiel de type “Ecoscore”. Et baptisé Vitascore dans le cas présent. Ce dispositif permet d’évaluer le niveau de baisse de l’impact environnemental des bétons. Exprimé en kg de CO2éq/m3. Ainsi, l’entrée de gamme affiche un Vitascore C, soit une réduction comprise entre 20 et 30 %. Viennent ensuite les bétons de Vitascore B (- 30 à – 40 %) et de Vitascore A (- 40 à – 50 %). Tous les bétons en Vitascore B au minimum Enfin, le Vitascore A+ identifie les bétons de la ligne Vitaliss affichant une réduction de l’impact carbone supérieure à 50 %… Pour ces derniers bétons, Edycem est en partenariat avec Hoffmann Green Cement, qui assure la fourniture du liant. Une demande d’Avis technique, faite par le cimentier, est aussi en cours pour cette application, car « nous sommes dans une technique non courante ». La gamme Vitaliss est adaptée pour permettre sa production sur chacun des sites BPE d’Edycem. Soit un accès potentiel au niveau des 33 centrales à béton de la marque. Et Didier Collin, de conclure : « Dans les trois ans qui viennent, je souhaite que l’essentiel de nos bétons commercialisés corresponde à un Vitascore B… »
Il y a 3 ans et 191 jours

Ouverture du Centre d’innovation d’Ecocem

Composée de 24 personnes dédiées à la R&D, cette équipe effectuera des essais à l’échelle industrielle en collaboration avec des partenaires industriels et des universités. [©Ecocem] Fournisseur européen de solutions cimentaires à faible teneur en carbone, Ecocem a ouvert, mi-octobre, son Centre pour l’innovation. Sis à Champlan, dans le Sud de Paris. Baptisé “Centre d’excellence”. Le lieu a pour objectifs d’accélérer le développement de nouvelles technologies et de nouveaux produits. Ceux-ci aideront les industries du ciment et de la construction à se décarboniser plus rapidement.  Le Centre d’excellence permettra à l’équipe “Innovation” du groupe Ecocem de se concentrer sur le test. Ainsi que l’évaluation et l’amélioration de ses nouvelles solutions. Composée de 24 personnes dédiées à la R&D, cette équipe effectuera des essais en grandeur réelle, en collaboration avec des partenaires industriels et des universités. Dont celle de Paris-Saclay et celle de Toulouse. « Ecocem s’engage en faveur d’une décarbonisation profonde et rapide de l’industrie mondiale du ciment. C’est essentiel pour la planète et les générations futures. Et cela peut être réalisé par l’innovation et la technologie. Les industries du ciment et de la construction développent et déploient une série de technologies visant à réduire les émissions. Ecocem et son nouveau Centre d’excellence ajouteront une dimension supplémentaire à ces efforts », déclare Laurent Frouin, directeur de l’innovation d’Ecocem.
Il y a 3 ans et 191 jours

Isover, Placo® et Isonat s'associent pour accompagner le développement de la construction bois

Les trois marques entendent les accompagner dans l'accélération de leurs projets de construction bois en développant des partenariats pour co-construire des solutions en réponse aux problématiques techniques de ce mode constructif.Des expertises métiers au service des enjeux de la construction boisForts de leurs connaissances techniques dans les domaines de l'efficacité énergétique, l'acoustique, la protection au feu et l'hygrométrie, quatre enjeux majeurs de la construction bois, ISOVER, Placo® et Isonat proposent une gamme complète de solutions fabriquées en France :ISOVER conçoit des solutions d'isolation durable pour répondre aux enjeux d'efficacité thermique, d'acoustique et de protection au feu. Le spécialiste s'inscrit dans une démarche continue d'optimisation de l'impact environnemental de ses produits, de l'efficacité énergétique, de la qualité de l'air intérieur et du bien-être.Placo® est engagé dans le développement de produits dédiés à l'habitat durable. Pionnier de la plaque de plâtre en France, l'expert innove en permanence afin de proposer des solutions techniques qui répondent aux exigences acoustiques, thermiques, décoratives, de qualité de l'air intérieur… des particuliers et des professionnels.Isonat, entreprise innovante, est spécialisée dans l'isolation biosourcée en fibres de bois. L'entreprise conçoit et s'approvisionne en France pour l'ensemble de ses gammes et panneaux isolants dédiés à l'isolation par l'intérieur et l'extérieur.Ces trois experts comptent à leur actif plusieurs références dans le domaine. En témoigne leur participation au projet Sensations à Strasbourg, premier programme de structure bois en France développé par l'Eurométropole de Strasbourg et réalisé par Bouygues Immobilier et KOZ Architecture. Plusieurs solutions ont été prescrites : Placoplatre BA 18S et Placoflam® qui participent à la protection feu, la laine de verre GR 32 pour la performance thermique, Placomarine® pour la résistance à l'humidité, Placo® Duo'Tech® 25 et Domisol LR pour optimiser l'acoustique, les plaques de plâtre Activ'Air® pour la qualité de l'air intérieur.Des partenariats forts pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché« Nous avons pour ambition de créer des synergies avec les acteurs de la construction bois, afin de faire grandir ensemble la filière. Notre récent partenariat avec MATHIS, acteur majeur dans la conception, la fabrication et la construction de bâtiments à structure en bois, témoigne de cette volonté forte. La multiplication de ce type de synergies va nous permettre de nourrir mutuellement nos réflexions pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché. ». Nicolas FERRY, Directeur Marketing ISOVER, Placo® et Isonat« ISOVER et Placo® possèdent une expertise très complémentaire à celle de MATHIS pour relever les défis liés à la construction bois, notamment en termes de feu et d'acoustique. Cela nous a permis, dans des délais courts, de développer en partenariat le système de plancher AZURTEC-Placo® qui apporte une solution haute performance au marché. Nous avons également pu nous appuyer sur les compétences de l'équipe Développement Durable d'ISOVER et de Placo® pour réaliser la FDES de ce système. ». Frank Mathis, Président Directeur Général MATHIS« Faciliter l'accélération de l'avènement de la ville durable, s'accompagne immanquablement de la démonstration massive de l'aptitude durable à l'emploi des solutions constructives bas carbone. La construction de cette démonstration par l'évaluation, permet la structuration plus rapide des filières associées, grâce à la reconnaissance de leurs procédés en technique courante. Que ce soit à l'échelle du développement des produits, comme à l'échelle de la ville, c'est le but pragmatique que nous nous sommes fixés et que nous poursuivons au travers de toutes les missions d'accompagnement à l'innovation assurées auprès des plus grands donneurs d'ordres. Les nombreuses démarches d'évaluations engagées par ISOVER, Placo® et Isonat, entrent parfaitement dans cette même stratégie. ». Eric DIBLING, Fondateur et Dirigeant d'INGENECO Technologies ; Assistance à Maîtrise d'Ouvrage, Ingénierie, Expertise, Recherche« ISOVER, Placo® et Isonat sont engagés depuis de nombreuses années pour promouvoir des solutions innovantes, tout en assurant l'ensemble de la filière de la qualité des solutions proposées et mises sur le marché. Ainsi, les nombreux avis techniques dont ISOVER, Placo® et Isonat disposent, validant le domaine d'emploi et la mise en oeuvre des solutions, les validations par des essais feu ou acoustiques, sont autant d'éléments de preuve à disposition de nos clients. Les concepteurs de bâtiments bois peuvent donc s'appuyer en toute confiance sur notre expertise conjointe pour les accompagner sur leurs projets. » Stéphanie ROCHE, Responsable Marketing - Pôle Marchés Bâtiments ISOVER, Placo® et IsonatDes apporteurs de solutions globales pour toutes les paroisInformer, accompagner, guider : un coffret en édition limitéeISOVER, Placo® et Isonat ont créé à l'occasion du Forum International Bois Construction un coffret en édition limitée, conçu tel un guide de la construction bois pour les logements collectifs. Il est introduit par une présentation des valeurs et des engagements des trois experts en matière de gestion durable des ressources naturelles, d'éco-innovation, de logistique et de l'analyse du cycle de vie.Cet outil didactique se compose de 43 fiches produits recto/verso couvrant les quatre parois :cloisons,façades,planchers,toitures.Pédagogiques, elles présentent les fondamentaux de chaque solution via une vue 3D, leurs champs d'application, leurs bénéfices, leurs performances une composition détaillée schématisée du système et un descriptif technique.Des engagements durables pour répondre aux enjeux de la construction boisGestion durable des ressources et des matières premièresISOVER, Placo® et Isonat ont pour valeur commune la gestion durable des ressources et des matières premières. Tout est mis en oeuvre pour respecter cet engagement majeur au coeur de leur ADN. Par exemple, les laines de verre ISOVER contiennent entre 40 % et 80 % de verre recyclé. 100 % biosourcé, le liant de sa nouvelle laine est élaboré à partir de matières premières issues des industries céréalières et sucrières. Les plaques de plâtre Placo® concernées intègrent en moyenne 20 % de matières recyclées. Le carton utilisé provient de forêts gérées de manière responsable ou de matière 100 % recyclée. Placo® réalise une exploitation responsable de ses carrières souterraines et aériennes avec suivi environnemental et remise en état. De son côté, Isonat utilise le Pin Douglas, certifié PEFC, pour la fabrication de ses isolants. Les plaquettes de bois qui composent ses produits proviennent de déchets de scieries du bassin roannais, sourcés dans un rayon maximum de 60 km autour de l'usine.Éco-innovationLes trois experts mettent tout en oeuvre pour répondre aux exigences des professionnels visant des démarches de labellisation HQE, E+C-, Bâtiment Biosourcé… Leurs produits et solutions disposent de FDES, disponibles sur la base de données INIES et calculées sur une durée de vie de 50 ans. ISOVER et Placo® sont les premiers fournisseurs de FDES en France. Autre service exemplaire : l'offre LEAN by Placo® qui permet de minimiser les déchets sur chantiers en livrant la bonne quantité prédécoupée au bon endroit.Gestion de fin de vie des produitsISOVER et Placo® n'ont pas attendu l'avènement de la loi AGEC pour s'engager dans la gestion de la fin de vie de leurs produits. La laine de verre ISOVER et les plaques de plâtre Placo® sont recyclables à 100 % et à l'infini. ISOVER a mis en place la première filière au monde de recyclage de déchets de laine de verre issus du BTP : ISOVER Recycling. Premier recycleur de plaques de plâtre en France, la filière Placo® Recycling permet depuis 13 ans un recyclage des déchets de plaques de plâtre, réintroduits dans la production de nouveaux produits.
Il y a 3 ans et 192 jours

Bruno Le Maire demande aux industriels d'accueillir plus d'élèves en visite d'usines

"Il faut inciter les jeunes à s'orienter vers les métiers de l'industrie", qui manque de bras, car "l'image de l'industrie est décalée par rapport à la réalité", a dit le ministre en suggérant à un parterre d'industriels reçus à Bercy "d'inviter les enfants à se rendre dans les usines" pour "découvrir juste ce que c'est, comment cela fonctionne et qu'ils s'en fassent une autre idée"."On emmène des enfants du primaire et du collège visiter des lieux de mémoire, des musées, des lieux du patrimoine, tant mieux, c'est indispensable de transmettre nos mémoires mais notre mémoire est aussi industrielle. Et si l'industrie fait partie de notre culture, pourquoi est-ce que nous n'inviterions pas nos enfants à partir du collège, du primaire?", a-t-il lancé.Selon lui, "la seule façon de remédier" à la désindustrialisation qui touche la France depuis 40 ans, c'est de "recréer une volonté industrielle"."La relocalisation est indispensable et vitale pour l'emploi, mais aussi pour la lutte contre les extrêmes, pour redonner confiance", a ajouté le ministre.Car, "là où une usine ferme, il y a une permanence du Front National qui ouvre, c'est une réalité politique", a ajouté M. Le Maire, qui s'exprimait en clôture d'un colloque sur la relocalisation d'activités essentielles sur le territoire national, organisé par Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'Industrie.Sur la désindustrialisation, M. Le Maire, plusieurs fois ministre, a fait son mea-culpa: "nous sommes collectivement responsables", a-t-il dit, citant "les politiques, les chefs d'entreprise, les filières industrielles, tous ceux qui ont inventé le fameux concept de +fabless industries+ (les entreprises sans usines, dépendant de la sous-traitance dans des pays à bas coût, NDR), tous ceux qui ont recouvert d'un vernis scientifique ce qui était une défaite politique"."La France a abandonné son industrie et nous en payons encore aujourd'hui le prix économique, le prix financier, le prix en termes d'emplois et le prix politique", a-t-il jugé.Estimant que, sans industrie, il n'y a ni indépendance, ni transformation énergétique, ni cohésion sociale, Agnès Pannier-Runacher a de son côté rappelé que les emplois de ce secteur sont à 70% "dans des communes de moins de 20.000 habitants".Pour un "choc de réindustrialisation", il faut "essayer de réconcilier, souvent les mêmes d'ailleurs, ceux qui veulent des médicaments produits en France, des emplois dans les territoires, avec ceux qui relaient une image passéiste dans l'industrie sans voir que nos investissements améliorent drastiquement les conditions de travail des salariés, créent de la richesse et nous aideront (...) à affronter concrètement les transitions environnementales et numériques", a-t-elle ajouté.Elle a rappelé les six secteurs considérés comme "stratégiques": santé, agroalimentaire, électronique, nucléaire, applications industrielles de la 5G, intrants essentiels de l'industrie (chimie, matériaux, métaux, matières premières transformées).
Il y a 3 ans et 192 jours

Trois ans de prison ferme pour extorsions de promoteurs immobiliers à Marseille

"Ces faits sont vraiment graves car ils troublent l'équilibre économique Ils ne sont plus supportables dans cette cité où il y a des règles qui s'appliquent pour tous. En d'autres circonstances, cela s'appelle du racket", a indiqué la présidente du tribunal Céline Ballérini. Le tribunal a prononcé un mandat de dépôt contre Gérard Haddad, 55 ans, à effet différé de "trois ou quatre mois pour mettre ses affaires en état".Il est reconnu coupable d'avoir négocié le retrait de ses recours contre des sommes très importantes et est aussi condamné à une amende pénale de 45.000 euros et doit, même en cas d'appel, immédiatement dédommager 13 sociétés immobilières en leur versant un total de près de 3,4 millions d'euros de dommages et intérêts.Il est définitivement interdit d'exercer une profession commerciale ou industrielle. Le tribunal s'est montré plus sévère que le parquet qui avait requis une peine de quatre ans de prison dont deux ans assortis d'un sursis probatoire.Il a écarté l'idée, défendue par la défense, d'un David, soucieux de lutter contre la défiguration de Marseille par les opérations immobilières, contre un Goliath incarné par de puissants promoteurs immobiliers.Si un recours administratif ne bloque pas la construction, "Gérard Haddad ne pouvait ignorer, en tant que marchand de biens, que dès lors qu'un permis est attaqué, cela pose des difficultés pour obtenir les concours et garanties bancaires", a estimé le tribunal.Un grand nombre de procédures intentées par Gérard Haddad et par son frère Albert Haddad, un médecin généraliste décédé en juillet, avaient été écartées par le tribunal administratif mais plusieurs entreprises avaient fait le choix de signer un protocole transactionnel dans le cabinet de leurs avocats.Le juge d'instruction avait recensé 19 protocoles leur ayant rapporté plus de 2,2 millions d'euros. "Beaucoup transigeaient avec vous dans des conditions de contrainte morale", a observé le tribunal.Lors de l'audience le 23 septembre, M. Haddad s'était présenté comme une sorte de Robin des Bois défenseur de Marseille. "Vous avez vu ces constructions neuves comme elles sont moches", avait-il lancé.Le juge d'instruction avait évalué à plus de 7 millions d'euros le patrimoine immobilier de la "sphère Haddad".
Il y a 3 ans et 192 jours

Matières premières : Akzonobel pourrait manquer de peinture bleue

PÉNURIE. Le PDG Thierry Vanlancker d'Akzonobel, fabricant néerlandais de peintures (Dulux Valentine,Sikkens...), a déclaré faire face à des difficultés d'approvisionnement au niveau mondial. Et c'est la peinture bleue qui pourrait en être la principale victime.