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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 3 ans et 192 jours

Matières premières : Akzonobel pourrait manquer de peinture bleue

PÉNURIE. Le PDG Thierry Vanlancker d'Akzonobel, fabricant néerlandais de peintures (Dulux Valentine,Sikkens...), a déclaré faire face à des difficultés d'approvisionnement au niveau mondial. Et c'est la peinture bleue qui pourrait en être la principale victime.
Il y a 3 ans et 192 jours

Le plan de relance français efficace à court terme doit faire ses preuves sur le long terme

"L'objectif macro-économique de court terme est atteint ou va bientôt être atteint en termes d'activité et encore plus en termes d'emplois", s'est félicité le président du comité d'évaluation, Benoît Coeuré, lors d'une présentation à la presse.Toutefois, "on ne sait pas quantifier la contribution spécifique" de ce plan, baptisé "France Relance", " par rapport à l'ensemble des facteurs" qui ont permis le redressement, a nuancé M. Coeuré.Il a souligné que c'était la première fois qu'un plan de soutien public était évalué aussi rapidement et de manière indépendante, alors que le plan de 100 milliards d'euros, lancé à l'été 2020, court jusqu'à fin 2022.L'économiste a aussi salué le travail de "Bercy en tant que coordinateur", car "les objectifs opérationnels seront tenus", notamment celui d'engager 70 milliards d'euros avant fin 2021.A la fin août 2021, 47 milliards d'euros avaient été engagés et 29 milliards décaissés.De son côté, le gouvernement a pris "bonne note des résultats du rapport et de ses conclusions", rappelant que le comité "poursuivra ses travaux", selon un communiqué."La rapidité de déploiement du plan a été rendue possible par les efforts déployés pour la lisibilité et l'accessibilité des mesures, le ciblage des mesures et la mobilisation des acteurs économiques", a-t-il souligné.Benoit Coeuré a toutefois estimé qu'il y avait un risque "qu'en privilégiant un décaissement rapide et une massification des aides, on perde en qualité ce qu'on a obtenu en quantité, et qu'on ne sache pas mesurer l'impact transformationnel, sur la compétitivité ou sur la transition énergétique, de ce plan".France Relance assure la transition entre les mesures d'urgence prises pour préserver l'appareil productif pendant la crise sanitaire et le plan d'investissement de long terme France 2030, a-t-il souligné.Dans le détail, le rapport Coeuré relève que le dispositif MaPrimeRénov de rénovation énergétique des logements de particuliers, préexistant à la crise, a été élargi, ce qui a permis d'en faire profiter plus de ménages, y compris à revenus intermédiaires ou supérieurs. Malgré cet élargissement, "81% des bénéficiaires étaient des ménages aux revenus modestes ou très modestes", selon le comité.Le bilan est plus mitigé pour la rénovation des bâtiments publics car la mise en oeuvre, "tant de l'Etat que des collectivités locales, a privilégié les travaux pouvant être exécutés rapidement", ce qui a parfois "conduit à sélectionner des gros projets à impact énergétique plus faible", regrette M. Coeuré.Priorité à l'offreSur le volet industriel, il a estimé que le plan est très utile pour les PME mais que, pour les grandes entreprises, certains projets d'investissements étaient déjà dans les tuyaux et qu'on est "simplement passé d'un auto-financement ou d'un financement bancaire à un financement par subventions publiques".Par ailleurs, "compte tenu de la rapidité de sélection" des projets soutenus, "on ne peut pas être sûr qu'il y a derrière une grille d'analyse tournée vers des objectifs de transformation de l'outil industriel", a ajouté le président du comité d'évaluation.Par conséquent, "on est un peu circonspect sur l'impact de long terme", notamment "l'impact croisé des aides industrielles sur la transformation écologique et sur la décarbonation, pour laquelle on a vraiment très peu d'éléments à ce stade", a encore dit M. Coeuré.Au niveau européen, le plan de relance français s'inscrit "dans la moyenne des pays européens par sa taille, la France ayant privilégié comme le Royaume-Uni les mesures d'offre". Au vu des problèmes actuels sur les chaînes d'approvisionnement, ceci est "plutôt positif, car de nature à desserrer les contraintes sur l'offre", a jugé le président du comité.La France se distingue aussi avec l'Allemagne par sa rapidité de décaissement, tandis que le plan italien, d'une dimension plus importante, est plus lent à être mis en oeuvre.
Il y a 3 ans et 192 jours

Plus de 2700 friches potentielles répertoriées en Ile-de-France

Espaces verts ou ferroviaires, logements, entrepôts : au total 2 721 friches ont été répertoriées par l’Institut Paris Région, selon une cartographie présentée mercredi 27 octobre et assortie d’une plate-forme d’analyse pour " optimiser " les usages possibles de ces sites délaissés.
Il y a 3 ans et 192 jours

Girpav aux 24 Heures du Mans

Quelque 150 pavés sur mesure signés Girpav trônent au sein du village du circuit des 24 Heures du Mans. [©Méhat Girpav] Sarthe. L’industriel Girpav est positionné comme un spécialiste des produits en béton destinés à l’aménagement extérieur. Ceci, depuis plus de 75 ans. Son expertise lui a permis de prendre pied sur le mythique circuit des 24 Heures du Mans, dans la Sarthe. En effet, l’industriel a fourni des pavés sur mesure en coloris Cobaltium (gris clair), à l’occasion de l’évènement solidaire “24h United”, organisé par l’Automobile Club de l’Ouest. Au total, ce sont 150 pavés – dont 60 personnalisés – comportant les noms et prénoms des mécènes ayant fait un don en faveur de l’European Society of Intensive Care Medicine (ESICM), société européenne de soins intensifs. Ces éléments ont été posés au cœur du village du mythique circuit des 24 Heures du Mans. Une véritable fierté pour Girpav, retenu ici pour sa proposition technique et la qualité de ses produits fabriqués en France. Et même tout près du circuit… En effet, l’industriel vient d’ouvrir sa nouvelle usine à moins de 25 km au Nord du Mans, complétant ainsi ses implantations nationales. 
Il y a 3 ans et 192 jours

Cheminées Poujoulat renforce son accompagnement auprès des distributeurs professionnels

C'est pourquoi Cheminées Poujoulat souhaite renforcer son maillage territorial par le recrutement de 5 Animateurs(trices) des Ventes Merchandiser (AVM) afin d'accompagner quotidiennement et travailler en proximité avec ses clients distributeurs. Les distributeurs et Cheminées Poujoulat, c'est une histoire qui dure depuis toujours et reste la base historique de l'activité du leader européen des conduits de fumées et sorties de toit métalliques.Des animateurs des ventes merchandiser pour former et animer les négocesPour Cheminées Poujoulat l'animateur des ventes merchandiser joue un rôle important en complément du commercial qui suit le client.Véritables ambassadeurs de la marque, les Animateurs des Ventes Merchandiser sont chargés de faire monter en compétences les distributeurs en assurant, en relais du commercial, le suivi des opérations, l'animation et la formation proposés par Cheminées Poujoulat. L'objectif est le développement du chiffre d'affaires des distributeurs quelle que soit leur activité.Structurés par région, les AVM viennent compléter l'action commerciale et assurent le relais commercial avec les enseignes.Un accompagnement humain complémentaire à la démarche d'e-merchandisingCheminées Poujoulat n'en délaisse pas pour autant l'e-merchandising. Depuis plusieurs années, l'entreprise déploie un éventail de services digitaux pour accompagner et faciliter le quotidien de ses clients distributeurs et installateurs :disponibilité des produits via l'Espace pro Cheminées Poujoulatdes bannières et bases de donnéesdes vidéos et tutoriels de montagedes outils numériques « CAT-TOOLS » :CAT-DRAW Pour le calcul du dimensionnement des conduitsCAT-CHECK Carnet de chauffage en ligneCAT-RANGE Catalogue en ligneCAT-DESIGN Configurateur de mise en situation de l'appareil, du conduit et de la sortie toit"Les points de vente et les sites Internet sont étroitement liés. Nous sensibilisons les enseignes à déployer des outils digitaux pour les installateurs qui vont souvent sur le web avant de se rendre au sein du point de vente. Nous les accompagnons dans leur démarche d'e-merchandising et de merchandising en leur fournissant du contenu produits, réglementaire, des photos, vidéos, et même des bannières si besoin", relève Stéphane Thomas, directeur de la stratégie et du développement de Cheminées Poujoulat.
Il y a 3 ans et 192 jours

Xtremfix I-Road d’Hauraton France, nouveau système de caniveaux

Xtremfix I-Road est conforme à la norme EN 1433 et possède un marquage CE. [©Hauraton] Xtremfix I-Road, système de caniveaux en béton armé haute performance C60/75 est la nouvelle solution de drainage robuste, polyvalente et rapide à poser d’Hauraton France.Ceci, pour les zones à fortes contraintes jusqu’à la classe de charge D400. Il est ainsi adapté à la circulation importante, ainsi qu’aux charges lourdes. Conçu et fabriqué en France, ce système propose, pour la première fois sur le marché, une dimension de 3 m d’un seul tenant par un emboîtement à triple mâchoires. Garantissant une bonne étanchéité. Le drainage, quant à lui, est performant, puisque le débit d’eau absorbé est maximal. De plus, il assure la réduction des pertes de charge. Ce caniveau est doté d’une cornière enveloppante galvanisée monobloc. La présence des crochets Artéon sur les côtés assurent une manutention rapide et sécurisée. Le béton est ultra lisse, avec un coefficient de Manning-Strickler1supérieur à 0,95. Sa structure auto-portante de type I lui offre une mise en œuvre simplifiée et permet de circuler dessus en phase chantier. Xtremfix I-Roadest conforme à la norme EN 1433 et possède un marquage CE.  1Capacité d’un liquide à s’écouler sur une surface lisse.
Il y a 3 ans et 192 jours

L’objectif climatique des 1,5 degrés sera inatteignable sans l’hydrogène vert, selon un rapport de Statkraft

Statkraft, le plus grand producteur d'énergie renouvelable d'Europe, élabore chaque année son Scénario de Faibles Emissions (Low Emissions Scenario), en analysant l'évolution des marchés mondiaux de l'énergie. L'analyse est utilisée comme base pour les investissements futurs de Statkraft.Selon le rapport, l'effet combiné de la baisse des coûts des énergies renouvelables et du renforcement des politiques climatiques entraînera des émissions carbones menant à une trajectoire de 2 degrés. Pour réduire davantage le réchauffement climatique, une augmentation substantielle des ambitions politiques et du rythme de l'action mondiale sont nécessaires. En particulier, l'hydrogène propre doit passer de zéro à plus de 5% de la demande totale d'énergie, si l’on veut pouvoir se rapprocher de la trajectoire des 1,5 degré.« Le monde a été appelé à répondre présent, à travailler à l'unisson pour ralentir le réchauffement de notre planète. C'est la mission d'une vie, celle qui marquera notre génération. Avec la réouverture lente du monde, les émissions reviennent également aux niveaux prépandémiques, renforçant notre conviction que la seule voie vers une trajectoire à 1,5 degré passe par une accélération de la transition énergétique », déclare Christian Rynning-Tønnesen, PDG de Statkraft.La croissance des énergies renouvelables est « inarrêtable »Le rapport note que les investissements verts ont augmenté en 2020 malgré le ralentissement économique causé par la pandémie. En particulier, les investissements dans les énergies renouvelables ont augmenté de 7% en 2020 par rapport à 2019. Mais même si 2020 a vu un développement record de l'énergie solaire et éolienne, il faudra en installer plus du double chaque année d'ici 2050 pour limiter le réchauffement climatique à deux degrés.Les coûts du renouvelable sont sur une tendance continue à la baisse. En général, pour un euro investi dans le solaire photovoltaïque et l'éolien aujourd'hui, on obtient environ quatre fois plus de rendement qu'il y a dix ans. L'énergie renouvelable est déjà dans la plupart des endroits moins chère que les combustibles fossiles lorsqu'on investit dans de nouvelles capacités.Le rapport prévoit que la demande d'électricité va plus que doubler jusqu'en 2050 et que celle-ci sera largement couverte par l'énergie renouvelable, qui devrait représenter environ les deux tiers de la production électrique mondiale.Développer massivement l’hydrogène vertL'hydrogène propre permet la décarbonation rapide de secteurs à fortes émissions dans l'industrie et les transports, et jouera un rôle clef dans le système énergétique du futur. Il sera le quatrième pilier d’un monde alimenté par l'énergie solaire, éolienne et hydraulique. Par une journée venteuse, les électrolyseurs alimentés par l'énergie éolienne peuvent produire des quantités massives d'hydrogène vert.Les coûts des électrolyseurs ont baissé de 60% au cours des cinq dernières années. Cette baisse devrait se poursuivre en raison de l'automatisation et des améliorations technologiques. Le rapport prévoit que les coûts d'investissement pour la production d'hydrogène vert diminueront de 60% supplémentaires d'ici 2050.Selon le rapport, 9,6% de la demande mondiale d'électricité proviendra de la production d'hydrogène vert en 2050, un niveau qui monte à 20% pour l'Europe.La majorité de l'hydrogène propre ira à l'industrie : à la fois pour remplacer la consommation d’hydrogène existante et pour éliminer les émissions dans les industries où l'électrification directe est impossible ou trop coûteuse, par exemple dans l'industrie sidérurgique.L'électrification réduit les émissions locales et mondialesL'électrification est le principal outil de réduction des émissions de CO2. La part de l'électricité dans la demande énergétique mondiale finale va plus que doubler pour atteindre 47% en 2050.L'électricité est plus efficace que les sources d'énergie fossiles dans la plupart des applications, selon le rapport. Par exemple, pour chauffer une maison, une pompe à chaleur n'a besoin que d’un tiers de l'énergie utilisée par une chaudière à gaz. Il en va de même pour les véhicules électriques, qui nécessitent environ un tiers de l'énergie dont les véhicules à combustibles fossiles ont besoin pour parcourir la même distance.2020 a été une bonne année pour les véhicules électriques. Les ventes mondiales de voitures électriques à batterie ont augmenté de 40%, même si les ventes totales de voitures ont chuté. Le scénario à faibles émissions estime que presque tous les nouveaux véhicules légers seront alimentés par batterie, tandis qu'environ la moitié des nouveaux véhicules plus lourds fonctionneront sur batterie ou à l’hydrogène en 2050 dans le monde.
Il y a 3 ans et 192 jours

Une 7e édition réussie pour les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) 2021

Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) 2021 ont rassemblé quelque 2 400 visiteurs. [©Juan Jerez] La 7eédition des Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) est un salon professionnel consacré aux matériaux innovants pour l’architecture, le design, la décoration et l’aménagement d’intérieur. Elle s’est tenue conjointement dans les espaces Commines et Marais.Marais, à Paris (IIIe). Chacun d’eux a accueilli architectes, designers, artisans d’art et industriels autour de cycles de conférences, de discussions et de workshops. La scénographie immersive a été conçue sur mesure par le studio de design Frédéric Imbert.  Quelque 59 exposants et 2 400 visiteurs Pour la première fois, l’événement Fair(e) s’est déroulé dans un nouvel espace dédié à l’artisanat contemporain, à l’espace Marais.Marais. Ce nouveau lieu de 350 m2réparti sur 3 niveaux, a dévoilé aux professionnels la diversité de la création artisanale contemporaine, ainsi qu’un riche panel de matériaux innovants.  Lin, bois, béton, cuir, verre, bambou, céramique, pierre naturelle, chanvre… Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) ont permis la découverte des potentiels créatifs et techniques de matières connues comme inattendues. L’évènement était destiné à impulser rencontres et collaborations entre les industriels, concepteurs de matières et les prescripteurs, architectes, designers, agenceurs, bureaux d’études…  Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) ont eu lieu dans les espaces Commines et Marais.Marais, à Paris dans le IIIe arrondissement. [©ACPresse] Cet évènement a regroupé quelque 59 exposants, experts dans leur domaine. Et rassemblé 2 400 visiteurs. Imaginée, conçue et organisée par Bookstorming, la 7eédition a accueilli 63 % d’architectes d’intérieur et de décorateurs. Ainsi que 31 % d’architectes DE et 6 % autres.« Nos exposants sont ravis de leurs échanges avec les 2 400 visiteurs présents et soulignent la qualité des contacts. Pour l’édition 2022, nous préparons quelques surprises, notamment une nouvelle adresse prestigieuse… », dévoile Sébastien Maschino, directeur général adjoint, associé et coordinateur du Rendez-vous de la matière – Fair(e) chez Bookstorming. Retours d’expérience de certains exposants A l’espace Commines, voici quelques marques qui ont retenu notre attention et leurs retours d’expérience : Confédération européenne du lin et du chanvre Matériau biosourcé, le lin déploie des atouts, en termes d’isolation – thermique et acoustique –. Tout en participant à l’aspect visuel et esthétique. Son approche multi-sectorielle met en lumière une application intérieure et extérieure. Il est devenu l’emblème des éditeurs souhaitant conjuguer esthétique et écologie. « Les solutions biosourcées lin & chanvre ont toujours accueilli une belle audience aux Rendez-Vous de la Matière depuis la première participation de la Confédération européenne du lin et du chanvre en 2016. L’année 2021 est marquée par une fréquentation toujours aussi accrue, renforcée pour cette édition par des enjeux réglementaires, en termes d’utilisation de matériaux biosourcés en vue de la RE 2020 », résume Julie Pariset, directrice innovations de la Confédération européenne du lin et du chanvre. Et Brice Roussel, responsable matériaux et innovations, de poursuivre : « Un retour au présentiel qui a permis des échanges enrichissants et nombreux, témoins de cette tendance de fond d’augmentation de l’utilisation du lin et du chanvre dans le design et l’architecture ». Kebony En pose verticale ou horizontale, le bois développé par Kebony illustre avec brio l’innovation portée aux matières naturelles. Misant sur un dégradé de nuances qui apparaît au fil du temps, les gammes imaginées par le fabricant français s’engagent dans une autre vision de l’architecture.  « Les Rendez-Vous de la Matière était un salon intimiste et très agréable, nous ayant permis de rencontrer beaucoup de personnes travaillant dans des cabinets d’architectes parisiens. L’organisation était telle que nous avons presque été en permanence sollicité par les visiteurs qui étaient, pour la plupart, à la recherche de matériaux biosourcés », explique Olivier Loheac, responsable commercial France. Et Julia Agnese, responsable vente Sud-Est, de conclure : « Comme son nom l’indique, Les Rendez-Vous de la Matière invitent les architectes à découvrir de nouvelles matières. C’est une des raisons pour laquelle ce salon a été intéressant pour Kebony. Avec beaucoup de passage, nous avons eu l’occasion de rencontrer de nombreux architectes parisiens, dont la plupart ont été conquis par le produit. Notamment par le toucher de la matière des échantillons. Ils ont aussi apprécié l’aspect écologique et la garantie de 30 ans proposée par Kebony. Nous sommes très contents d’avoir participé à ce salon qui, pour nous, est incontournable ». Laudescher Avec des lignes intemporelles et un relief travaillé, les panneaux de Laudescher misent sur une esthétique contemporaine, sans négliger l’aspect naturel du bois. Présentées aux Rendez-Vous de la Matière, ces solutions acoustiques rassemblent les performances propres à la marque, développées depuis trois générations. « Laudescher participait pour la deuxième fois aux Rendez-Vous de la Matière. Nous souhaitions mettre en avant nos solutions acoustiques en bois massif pour plafond suspendu et habillage mural. Et cela fut un vrai succès ! Le visitorat était très qualitatif et portait un réel intérêt aux solutions présentées. Ce qui laisse présager de beaux projets », indique le fabricant norvégien. [©ACPresse][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez] Matières Marius Aurenti Pionnier du béton ciré millimétrique, Matières Marius Aurenti conçoit et développe une palette de matières décoratives depuis plus de trente ans. Disposant d’un réseau d’artisans qualifiés, l’industriel accompagne des projet commerciaux et résidentiels dans toute la France et à l’international. « Nous avons apprécié de revenir rencontrer les architectes après cette période de Covid. Le salon était notre premier rendez-vous depuis la pandémie. Et nous avions à cœur de faire un salon aussi beau que qualitatif. Nous avons aimé participer à la scénographie sur notre stand, mais aussi mettre en avant les réalisations des artisans d’art avec les tables en béton ciré Marius Aurenti. Les rencontres que nous avons faites nous ont confortés dans notre envie d’innover autour de notre matière qu’est le béton. Ceci, toout en poursuivant le développement de nos panneaux en béton prêt à poser et des objets en béton », indique Aude Chevalier, cheffe de produit et marketing digital. Rieder Fort de son expertise dans le béton naturel, Rieder allie performance et créativité tout en s’engageant dans une éthique écologique et durable. Par une nouvelle palette de nuances et de textures, révélée en 2019, la marque ne cesse d’imaginer une façade innovante, en lien avec les désirs esthétiques des architectes. « Nous avons participé à l’édition 2017 et 2021. J’ai trouvé que la fréquentation du salon était très bonne. Il y avait très peu de périodes “creuses”, et les horaires semblent être bien adaptés au public. J’ai l’impression que le ratio des architectes par rapport aux architectes d’intérieur était plus faible cette année. Et j’ai eu assez peu de contacts avec des architectes. Il est possible aussi qu’ils aient été un peu plus discrets. J’ai quand même eu 3-4 contacts très qualitatifs. En ce qui concerne le stand, l’emplacement était très bien, tout près de l’entrée, mais j’avais l’impression que les visiteurs étaient plus happés par la scénographie générale, puis regardaient plus en détail ce qui se passait sur les desks. J’avais disposé nos nuanciers et c’est ce qui a attiré le plus l’œil – j’ai eu beaucoup de compliments pour les couleurs. Le lieu est agréable et la taille parfaite. L’équipe du salon était très sympathique, comme toujours ! », résume en détail Christa Kleindienst, directrice des ventes. 
Il y a 3 ans et 193 jours

Artibat 2021 conforte son positionnement de salon de référence pour la filière

Côté répartition, ARTIBAT conforte son positionnement habituel, avec l’accueil de tous les corps de métier au travers de ces 5 pôles d'activité synonymes d’offre globale.Ainsi, les entreprises de moins de 20 salariés représentent 45% du visitorat et les entreprises de plus de 20 salariés 18%. La prescription n’était pas en reste puisque 17% de profils d’architectes et maîtres d’œuvre se sont déplacés sur le salon pour y découvrir les nouveautés, millésime 2021. Notons que le visitorat était également composé de 7% de fabricants, 5% de distributeurs et 4% de sociétés de services.Enfin, soulignons une particularité pour cette édition 2021 : la forte fréquentation des apprentis, notamment des CFA de Bretagne et Pays-de-Loire. Ces futurs professionnels (4% du visitorat) sont en effet venus nombreux, comme s’en félicite Valérie Sfartz, Directrice du Salon : « A l'heure où le recrutement constitue une vraie problématique pour l'ensemble du secteur, ARTIBAT s'est imposé cette année comme lieu incontournable de rassemblement de toute la filière, avec une forte mobilisation des professionnels de demain venus échanger avec leurs pairs et futurs fournisseurs. »Au-delà d’une convivialité reconnue et appréciée de tous, ce salon d’affaires s’est à nouveau inscrit en véritable temps fort incontournable pour les professionnels français du BTP, appréciant découverte des innovations, qualité des échanges et business, comme en témoignent ces exposants.EDYCEM : Olivier Collin, Directeur Général« L’édition Artibat 2021 aura été une très belle occasion de retrouver l’ensemble de nos partenaires professionnels, un rendez-vous de qualité tant par son contenu que par sa fréquentation. Nous avons eu le plaisir de présenter au public nos innovations, et tout particulièrement notre gamme de bétons bas carbone Vitaliss, l’obtention du DTA pour notre chape sans pellicule Kalkiss SP Evolution, et le Vertical Bloc qui connaît un grand succès auprès de nos clients. »MALERBA : Lydie Chastan, Responsable Communication & Marketing« Artibat 2021 était une très belle édition placée sous le signe du soleil et de la bonne humeur. Au-delà du plaisir de se rencontrer à nouveau et d’échanger de vive voix, c’était aussi la vitrine parfaite pour présenter les nombreuses nouveautés mises au point au cours de ces longs mois de confinement. Salon après salon, ARTIBAT confirme qu’il est un RDV attendu et incontournable pour les professionnels du bâtiment. »SCHÖCK : Daniel Costa, Directeur Commercial et Marketing« Les 3 jours passés au salon Artibat ont répondu à nos attentes, tant en termes d’organisation que de qualité du visitorat et des échanges que nous avons pu avoir au fil de nos rencontres. Notre participation au salon nous a notamment permis de présenter notre nouveau logiciel Open BIM Schöck, avec la présence de notre partenaire et développeur CYPE France sur notre stand qui a réalisé des démonstrations en avant-première ! Résultat : une approche interactive pour présenter nos nouveautés, obtenir de premiers retours et échanger de manière constructive sur les défis auxquels doit faire face le secteur du bâtiment en matière de sobriété énergétique et décarbonation avec nos partenaires maîtres d’ouvrages, architectes, bureaux d’études thermique et structure. »WEBER : Frédéric Sevestre, Chef de Projet Communication« La richesse des échanges avec nos clients et le plaisir de nous retrouver dans un cadre convivial confirment plus que jamais l’importance de la proximité et du contact humain dans nos métiers. Année après année, Artibat continue de s’imposer comme un lieu de rencontre et de partage incontournable pour les professionnels du bâtiment. »
Il y a 3 ans et 193 jours

Une commission du Sénat dénonce le manque d’anticipation du Gouvernement sur l’énergie

Elle rappelle que cette flambée des prix n’a pas été anticipée par le Gouvernement. Interrogée par la commission sur la nécessité de « revaloriser le chèque énergie » durant la crise de la Covid‑19, en avril 2020, l’ancienne ministre chargée de l’énergie avait estimé : « les factures ne vont pas augmenter significativement ».La commission rappelle également qu’un rééquilibrage de notre mix au bénéfice de l’énergie nucléaire n’a pas toujours été souhaité par le Gouvernement. Dans le cadre de l’examen de la loi « Climat et résilience », du 21 août 2021, l’encadrement des fermetures de réacteurs introduit par la commission – et conservé in fine dans le texte final – avait été qualifié de « ni fait ni à faire » par l’actuelle ministre chargée de l’énergie.La commission constate aujourd’hui que les revirements du Gouvernement sur ces deux sujets lui donnent, bien et trop tardivement, raison.Elle regrette l’incomplétude des annonces faites par le Premier ministre face à la flambée des prix :L’attribution de 100 euros via le « chèque énergie » ou l’« indemnité inflation » est limitée, au regard de la multiplication par 2 du prix de marché du gaz, par 3 de celui du pétrole et par 9 de celui de l’électricité, entre le printemps 2020 et l’automne 2021; Les blocages ou compensation de prix envisagés se focalisent sur les tarifs règlementés de vente du gaz (TRVG) et de l’électricité (TRVE) : ces tarifs ne concernent qu’un tiers des ménages se chauffant au gaz et que deux tiers de ceux se chauffant à l’électricité, le TRVG ayant de surcroît vocation à s’éteindre dès 2023 ;Les 4 millions de ménages, souvent ruraux et parfois précaires, se chauffant encore au fioul sont largement ignorés, ce combustible ayant pourtant dépassé la barre des 1.000 euros pour 1.000 litres ;Les entreprises, dont les industries fortement consommatrices d’énergie des secteurs de la métallurgie, de la chimie, de la papeterie ou de la cimenterie notamment, sont totalement omises, alors qu’elles sont confrontées à des risques graves et immédiats pour leur compétitivité et leur viabilité.Plus largement, la commission estime que ne pouvons pas nous satisfaire d’une politique énergétique naviguant à vue, car toute ambiguïté, toute insuffisance dans nos choix de production finit toujours par se payer, l’hiver venu, sur la facture d’énergie et notre sécurité d’approvisionnement.Il faut donc plus d’anticipation, de constance et de rigueur dans la conduite de notre politique énergétique, une énergie peu chère et peu émissive constituant une condition de la relance de notre économie, mais aussi de sa décarbonation.Pour y contribuer, la commission a décidé de plusieurs travaux de contrôle :un cycle d’auditions sur la souveraineté énergétique, au cours duquel elle reçoit un économiste, sur la flambée des prix des énergies, le Médiateur national de l’énergie, sur l’impact de cette flambée sur les consommateurs, le président-directeur général d’EDF et son directeur exécutif en charge du nouveau nucléaire, sur la filière nucléaire, le directeur général du projet ITER, sur la recherche nucléaire, et le président du directoire de RTE, sur le scenario « 100 % renouvelable » ;un rapport sur l’impact de la flambée des prix sur les ménages et les entreprises dans le cadre de l’examen des crédits « Énergie » du projet de loi de finances pour 2022 ;un rapport d’information sur les perspectives de développement de la filière française de l’énergie et de l’hydrogène nucléaires.Son groupe de travail transpartisan sur les réformes du marché de l’électricité, en charge du suivi des négociations européennes sur la réforme de l’accès régulé à l’énergie nucléaire historique (Arenh), le projet de réorganisation « Hercule » – devenu « Grand EDF » – et le devenir des concessions hydroélectriques va par, ailleurs, poursuivre ses travaux.
Il y a 3 ans et 193 jours

Saint-Gobain s’implante sur le marché mexicain de la chimie

En 2020, Impac a réalisé un chiffre d’affaires de près de 50 M€. [©Impac] Saint-Gobain a signé un accord pour acquérir Impac. Qui est un acteur de référence sur le marché de la chimie de la construction au Mexique. En 2020, Impac a réalisé un chiffre d’affaires de près de 50 M€. L’entreprise gère une usine de production à Monterrey et emploie environ 630 personnes. Cette acquisition permettra au groupe Saint-Gobain de consolider sa position de leader en Amérique latine. Tout en accélérant sa dynamique de croissance dans la région. Et en étoffant son offre de solutions à destination des marchés de la construction durable. Au Mexique, Saint-Gobain emploie déjà 7 500 personnes et dispose de 11 sites industriels.  La finalisation de cette transaction est soumise à l’obtention de l’autorisation des autorités mexicaines de la concurrence et devrait avoir lieu dans les prochains mois.
Il y a 3 ans et 193 jours

Ideal Standard dévoile sa nouvelle collection I.LIFE lors du Together World Tour à Paris

La tournée mondiale Together d’Ideal Standard est récemment arrivée à Paris pour la quatrième étape de son voyage cinématographique inspirant autour du monde. L’événement du 21 octobre a été l’occasion pour Ideal Standard de présenter sa dernière collection de salle de bain i.life. i.life, une collection contemporaine et polyvalente Le Together World Tour, qui s’est déroulé à Paris, a permis à Ideal Standard de dévoiler sa collection i.life, une solution de salle de bain complète pour le quotidien. Elaborée pour apporter de la beauté dans tous les types d’habitat, i.life offre la simplicité avec des lignes pures pour un intérieur de salle de bain serein où fonction et praticité se marient à merveille. Conçu en collaboration avec le studio de design italien Palomba Serafini Associati, i.life permet aux utilisateurs de créer un intérieur de salle de bain dont ils peuvent profiter jour après jour. Composé d’une sélection de lavabos, toilettes et bidets caractérisés par des formes douces et arrondies et un design accessible, i.life est à la fois pratique et esthétique. Avec i.life, même les petites salles de bains disposent d’équipements de qualité. A propos de cette collection contemporaine, Roberto Palomba, Directeur du design d’Ideal Standard, a déclaré « La collection de salle de bains i.life est un véritable exemple de design qui crée une toile de fond pour bien vivre ; un design qui favorise un espace sûr. C’est une collection intelligente et polyvalente où l’esthétique, le confort et l’hygiène se marient à merveille et nous avons hâte que nos clients en fassent l’expérience chez eux. Ideal Standard a également profité de cet événement parisien pour présenter les nouveaux produits de ses collections Atelier primées : Extra, Linda-X et Tipo-Z.» Roberto a poursuivi : « Atelier Collections est la version de la Haute Couture d’Ideal Standard, un projet magnifiquement conçu et organisé, incarnant la valeur éternelle d’un bon design. Avec ces produits, nous avons pu saisir l’essence du temps et la traduire en designs qui accompagnent l’évolution de la société. Comme l’ont prouvé les grands noms parisiens, le fondement d’un design intemporel repose sur des valeurs plutôt que sur des tendances, et c’est exactement ce qui a inspiré nos gammes phares Atelier Collections. » La tournée mondiale d’Ideal Standard s’est arrêtée à Paris Le Together World Tour est une série d’événements liés à six destinations – chacune sélectionnée en raison de sa célèbre contribution au design et à la culture. Alors que Together World Tour plonge dans la beauté unique de chaque ville, Ideal Standard lance simultanément de nouvelles collections de produits destinées à la communauté de l’architecture et du design à travers un format engageant et artistique. Après le succès des trois précédents événements de la tournée à Milan, Berlin et Londres, le dernier de la série s’inspire de l’une des capitales mondiales de la mode pour offrir un aperçu unique des tendances et explorer l’évolution du design de la salle de bain. Jan Peter Tewes, co-Directeur Général d’Ideal Standard, a déclaré « Paris est mondialement connue pour sa théâtralité et sa haute-couture, abritant certains des designers et artistes les plus emblématiques du monde. Tout au long de l’histoire, cette capitale ayant présenté à la société des milliers de tendances au fur et à mesure de l’évolution du style, il nous a donc semblé juste de choisir cet endroit pour montrer comment nous avons affiné nos propres processus de fabrication tout au long de nos 200 ans d’expérience. Le processus créatif d’Ideal Standard est en interaction sans fin avec la recherche et l’expérimentation, toujours dans le but de développer des produits de la plus haute qualité. Grâce à une expérience numérique cinématographique avec Paris comme point d’ancrage, nous avons pu cerner l’évolution de la société, de l’atelier à l’industrie de la céramique, et transmettre notre véritable passion pour la conception de salle de bain. » Le film a offert aux téléspectateurs un aperçu exclusif des coulisses de l’usine de fabrication d’Ideal Standard, résumant les étapes de la conception d’une collection et le processus de fabrication innovant, qui utilise les dernières technologies pour créer un design saisissant. Jan Peter a poursuivi « un atelier n’est pas seulement un lieu physique, mais un lieu emblématique où les maîtres actuels enseignent aux futurs maîtres comment fabriquer des pièces. Ils assurent la fiabilité grâce à des pratiques éprouvées, tout en ayant la liberté de jouer et d’appliquer de nouvelles techniques et technologies. Pour Ideal Standard, cela signifie fixer les objectifs de qualité les plus élevés, produire en série sans négliger les moindres détails qui améliorent l’expérience client. » Le prochain événement de la tournée mondiale Together aura lieu à Dubaï, la ville du futur, le 22 novembre 2021. Il s’agira d’un voyage dans l’évolution de l’architecture moderne et de la manière dont la diversité, la jeunesse d’esprit, l’ambition et la vision de la ville influencent son avenir. https://www.idealstandard.fr/
Il y a 3 ans et 193 jours

Fischer lance Fis V Zero, une résine d’injection sans substances dangereuses

Innovante, Fis V Zero est exempte de peroxyde de benzoyle. [©Fischer] Spécialiste des fixations, Fischer vient de mettre sur le marché Fis V Zero, première résine d’injection sans substances dangereuses. Innovante, cette résine est exempte de peroxyde de benzoyle, une substance utilisée dans les scellements chimiques. Et classée comme allergisante, irritante pour les yeux et dangereuse pour l’environnement. Fischer a remplacé ce composé par des substances respectueuses de l’environnement et un nouveau procédé de durcissement breveté. D’une résistance au feu R120, FIS V Zero dispose d’Evaluations techniques européennes pour béton fissuré et non-fissuré, maçonnerie creuse et pleine, et reprise d’armatures à béton. Universelle, polyvalente et aussi performante qu’une résine traditionnelle, elle convient à toutes les applications de fixation chimique courantes dans le domaine du bâtiment comme du bricolage. Elle permet le scellement de fers à béton, la fixation de garde-corps, de stores bannes. Mais aussi de mains-courantes, d’éléments de charpente, de constructions métalliques, d’équipements de jardin, de cuisines et de sanitaires… Son temps de durcissement est de 60 mn à une température de 22 °C.
Il y a 3 ans et 193 jours

Le forum du patrimoine

Cette année, le Forum du Patrimoine prend la forme d’un plateau TV au cœur du Salon, au stand B59 dans la Delorme. Il comprend un programme de douze émissions, des tables-rondes d’une vingtaine de minutes chacune, animées par des experts reconnus. Elles seront l’occasion de décrypter l’actualité et les grands enjeux du secteur du patrimoine. Il s&rsquo;agit de la seconde édition du Forum du Patrimoine, mis en place par le magazine Atrium patrimoine et restauration et Ateliers d’Art de France et avec le soutien de la Fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine. Jeudi .rich_web_div_block_1_34 ul#Rich_Web_BTimeline-menu { height: 50px; text-align: center; } .rich_web_div_block_1_34 ul#Rich_Web_BTimeline-menu li { position: relative; float: left; list-style: none; margin: 0px; padding: 0px; } .rich_web_div_block_1_34 ul#Rich_Web_BTimeline-menu li a { display: block; text-decoration: none; font-size: 16px; padding: 10px; padding-top: 20px; color: black; font-weight: bold; border-bottom: 5px solid transparent; } section.rich_web_timeline_1_34 {width:100%; position: relative; padding-bottom: 24px; overflow: hidden; } section.rich_web_timeline_1_34:before { position: absolute; content: ''; left: 49.95%; height: 100%; z-index: 4; width: 2px; } section.rich_web_timeline_1_34 div[class*='group'] { text-align: center; font-weight: bold; font-size: 1.2em; letter-spacing: 5px; margin: 25px 0px 25px 4px; } section.rich_web_timeline_1_34 > article { position: relative; margin-bottom: 20px; } section.rich_web_timeline_1_34 > article > div.rich_web_timeline_panel { display: inline-block; 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Les métiers d’art ont le vent en poupe entre reconversions professionnelles et jeunes talents, les besoins en formations sont conséquents. La refonte des diplômes interroge la filière.Olivier Mallemouche, Souffleur de verre, Administrateur et Président de la commission Formation d’Ateliers d’Art de FranceMarion Boisjeol, Responsable de formation à la Maison de la céramique des Pays de DieulefitElie Hirsch, sculpteur, créateur de bijoux et dinandierVoir la vidéo 28 Oct 12 h 00 Les matériaux du patrimoine entre avenir et tradition La restauration du bâti ancien nécessite l’emploi de matériaux souvent traditionnels. Ces matériaux font appel à l’innovation pour leur élaboration dans le respect des techniques de mise en oeuvre...Frédéric Létoffé, Vice-président du GMHJérome Carraz, Responsable de l’institut de la charpente et construction boisOlivier Dupont, Directeur adjoint du Centre technique des matériaux naturels de construction (CTMNC)Voir la vidéo 28 Oct 16 h 00 Plan de relance, commande publique: quelles perspectives pour le patrimoine ? Suite à la crise sanitaire et son impact sur le secteur des métiers d’art, le plan de relance gouvernemental sera-t-il suffisant et adapté pour répondre aux enjeux économiques des professionnels.Daniel Pelegrin, Ebéniste, Administrateur et Président de la commission Patrimoine d’Ateliers d’Art de France Christian Laporte,  Architecte du Patrimoine Président de l’association des Architectes du PatrimoineChristophe Degruelle, Vice-Président de l’Assemblée des communautés de France (ACF)  en charge de la culture et Président de Blois Agglopolys Voir la vidéo 28 Oct 17 h 00 Le bois français dans le patrimoine : une fondation engagée Suite à l’incendie de Notre Dame de Paris, la filière forêt bois s’est engagée pour la sauvegarde du patrimoine en créant une fondation: La fondation France bois forêt pour notre patrimoine. Un tour d’horizon de ses actions.Henri de Revel, délégué de la Fondation France Bois ForêtJérome d’Anglejan, propriétaire de l’abbaye de Longues lauréat de la fondation FBFBernard Lechevalier, rédacteur en chef du magazine AtriumVoir la vidéo let pages = 1; let count = 15; let showType = ""; // loadMore if(showType == "Load More"){ document.getElementById('loadMore1_34').onclick = createLoadMore; } var counter = 1; function createLoadMore(){ if(counter == pages){ jQuery("#loadMore1_34").hide(); } if(showType != "Load More"){ return; } var allTimeLines = document.querySelectorAll("article[data-tim='rw_tim']"); var array = []; for(var i=0; i 1) { str += 'Prev'; } // Show all the pagination elements if there are less than 6 pages total if (pages < 6) { for (let p = 1; p 2) { str += '1'; if (page > 3) { str += '..'; } } // Determine how many pages to show after the current page index if (page === 1) { pageCutHigh += 2; } else if (page === 2) { pageCutHigh += 1; } // Determine how many pages to show before the current page index if (page === pages) { pageCutLow -= 2; } else if (page === pages-1) { pageCutLow -= 1; } // Output the indexes for pages that fall inside the range of pageCutLow // and pageCutHigh for (let p = pageCutLow; p pages) { continue } active = page == p ? 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Elle est assurée par de nombreux et divers acteurs pour répondre à une forte demandeBenoît Melon, directeur de l’école de ChaillotPhilippe Tourtebatte, formateur aux Maisons paysannes de FranceYann de Carné, président du GMH 29 Oct 12 h 30 La ville historique et durable Revitaliser les coeurs de ville est un enjeu majeur pour préserver notre cadre de vie. Ces actions doivent intégrer écologie, patrimoine et économie locale pour répondre aux attentes des habitants.Laurent Mazurier, directeur de Petites Cités de CaractèreMartin Malvy, ancien ministre, président de sites et citésFabien Sénéchal, Architecte des bâtiments de France, président de l’ANABF 29 Oct 16 h 00 Les labels : valoriser le patrimoine et les métiers d’art dans les territoires Dans un contexte de généralisation du commerce en ligne, les labels permettent d’identifier la qualité et l’éthique des produits. Néanmoins, leur multiplication peut brouiller le compréhension du consommateur. Qu’en est-il vraiment?Sophie Guyot, Ennoblisseur textile et Administratrice d’Ateliers d’Art de France Françoise Gatel, Sénatrice d’Ille-et-Vilaine et Présidente de Petites Cités de Caractères de France Jean-Pierre Lebureau, Ornemaniste et membre de la commission Patrimoine d’Ateliers d’art de France  29 Oct 17 h 00 Notre-Dame de Paris : mobilisation d’une filière autour de la restauration de la charpente A la suite de l’incendie de Notre Dame de Paris, les compagnons du devoir ont l’intuition d’un projet de maquette de la charpente à l’échelle 1/20. Ce projet pédagogique mené en collaboration avec l’école de Chaillot a débouché sur une exposition passionnante. Cette manifestation présentée en juillet dernier au Grand Palais éphémère à Paris devrait entamer prochainement une tournée nationale.François Auger, architecte du Patrimoine et compagnon du devoirUn compagnon du devoir ayant participé au chantierVéronique villaneau, architecte du patrimoine 29 Oct 18 h 00 Le concours VMF AAF Depuis 2013, VMF et AAF récompensent chaque année  un professionnel de la restauration du patrimoine en aidant financièrement son projet d’investissement ou de développement.Aude Tahon, présidente de Ateliers d’art de FrancePhilippe Toussaint, président de VMF M. de Vitton,  lauréat 2021 let pages = 1; let count = 15; let showType = ""; // loadMore if(showType == "Load More"){ document.getElementById('loadMore2_67').onclick = createLoadMore; } var counter = 1; function createLoadMore(){ if(counter == pages){ jQuery("#loadMore2_67").hide(); } if(showType != "Load More"){ return; } var allTimeLines = document.querySelectorAll("article[data-tim='rw_tim']"); var array = []; for(var i=0; i 1) { str += 'Prev'; } // Show all the pagination elements if there are less than 6 pages total if (pages < 6) { for (let p = 1; p 2) { str += '1'; if (page > 3) { str += '..'; } } // Determine how many pages to show after the current page index if (page === 1) { pageCutHigh += 2; } else if (page === 2) { pageCutHigh += 1; } // Determine how many pages to show before the current page index if (page === pages) { pageCutLow -= 2; } else if (page === pages-1) { pageCutLow -= 1; } // Output the indexes for pages that fall inside the range of pageCutLow // and pageCutHigh for (let p = pageCutLow; p pages) { continue } active = page == p ? 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Néanmoins, les flux  se concentrent sur quelques lieux. Comment éviter la sur-fréquentation et mieux répartir cette manne économique ?Laurent Mazurier, directeur de Petites cités de caractère  Marika Arabi-Onnela, réseau des Grands sites de France 30 Oct 12 h 00 Le patrimoine vecteur de lien social Le patrimoine est un élément essentiel du cadre de vie matériel et immatériel. Sa préservation permet la création d’un environnement favorable et sa sauvegarde mobilise des acteurs bénévoles ou professionnels tissant ainsi des liens sociaux.Olivier Lenoir, délégué général union RempartValérie Charollais directrice fédération des CAUE 30 Oct 15 h 00 Les bénévoles soutien essentiel de la sauvegarde du patrimoine Devant l’ampleur de la tâche, il appartient à chacun de se mobiliser pour la sauvegarde du patrimoine. L’action des bénévoles est fondamentale pour répondre à l’enjeu.Guy Sallavuard vice-Président Maisons paysannes de France Olivier Lenoir, délégué général union RempartHervé Lancelot délégué régional IdF Fondation du Patrimoine 30 Oct 17 h 00 Le patrimoine à l’heure du numérique Relevés, applications, réalité augmentée… le patrimoine s’empare des nouvelles technologies pour investir de nouveaux horizons.Farès Khima, Architecte du Patrimoine Valérie Charollais directrice fédération des CAUEArt Graphique et patrimoine (intervenant à définir) 30 Oct 17 h 50 Cloture du Forum de patrimoine Aude Tahon, Présidente d’Ateliers d’art de FranceBernard Lechevalier, rédacteur en chef du magazine Atrium let pages = 1; let count = 15; let showType = ""; // loadMore if(showType == "Load More"){ document.getElementById('loadMore3_88').onclick = createLoadMore; } var counter = 1; function createLoadMore(){ if(counter == pages){ jQuery("#loadMore3_88").hide(); } if(showType != "Load More"){ return; } var allTimeLines = document.querySelectorAll("article[data-tim='rw_tim']"); var array = []; for(var i=0; i 1) { str += 'Prev'; } // Show all the pagination elements if there are less than 6 pages total if (pages < 6) { for (let p = 1; p 2) { str += '1'; if (page > 3) { str += '..'; } } // Determine how many pages to show after the current page index if (page === 1) { pageCutHigh += 2; } else if (page === 2) { pageCutHigh += 1; } // Determine how many pages to show before the current page index if (page === pages) { pageCutLow -= 2; } else if (page === pages-1) { pageCutLow -= 1; } // Output the indexes for pages that fall inside the range of pageCutLow // and pageCutHigh for (let p = pageCutLow; p pages) { continue } active = page == p ? 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Il y a 3 ans et 194 jours

La hausse des dépenses publiques prévues en 2022 s'intensifie

La stratégie du gouvernement "repose sur deux piliers, l'investissement et la protection. Nous investissons pour le long terme dans les compétences et dans les nouvelles filières industrielles (...) et nous devons dans le même temps, dans ce projet de loi de finances (2022), protéger les Français contre des augmentations de prix qui sont insupportables pour eux", a déclaré vendredi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire en présentant à la presse les modifications que le gouvernement entend apporter à son projet de budget 2022.La première version, présentée fin septembre, contenait déjà une hausse sensible de 11,8 milliards d'euros des dépenses des ministères mais c'était sans compter sans certaines annonces attendues faites depuis par le gouvernement. Des manques, qui avait d'ailleurs ulcéré le Haut conseil des finances publiques (HCFP), chargé d'évaluer la crédibilité des prévisions du gouvernement.Le gouvernement vient donc d'ajouter 10,2 milliards d'euros de dépenses supplémentaires, qui comprennent les premiers crédits du plan France 2030 annoncé par Emmanuel Macron en faveur des filières industrielles d'avenir (2,8 milliards) et le financement du plan compétences dévoilé fin septembre par Jean Castex, ainsi que le futur contrat d'engagement pour les jeunes (1,2 milliards).Mais le gros morceau est composé de toutes les mesures prises ces dernières semaines pour compenser la flambée des prix de l'énergie (gaz, électricité et carburants). Au total, elles coûteront 6,2 milliards d'euros en 2022, dont 2,3 milliards pour achever le versement de l"'indemnité inflation" annoncée jeudi soir par le Premier ministre pour 38 millions de personnes.Le reste comprend la prise en charge du plafonnement de la hausse des tarifs de l'électricité et l'indemnisation des entreprises gazières pénalisées par le gel des prix jusqu'à la fin de l'année."Si vous mettez tout bout à bout (...) ça constitue une protection solide contre l'augmentation des prix à laquelle nous assistons aujourd'hui, et qui est je le rappelle la conséquence de la forte reprise économique", a justifié Bruno Le Maire en déplacement à Briançon.Dette sous les 114%L'économie française devrait ainsi faire mieux que prévu en 2021, avec une croissance déjà révisée à 6,25% par le gouvernement, contre 6% précédemment, et une progression de l'emploi bien meilleure qu'anticipée."Nous estimons qu'en 2021, l'économie française aura créé non pas 325.000 mais 460.000 emplois salariés marchands supplémentaires, ce qui est un résultat exceptionnel", s'est félicité M. Le Maire.Conséquence: le gouvernement pourra compter sur des recettes fiscales bien meilleures que prévu, avec 10 milliards de plus sur 2021 et 2022. De quoi se donner un peu d'air pour absorber les dépenses nouvelles.... et pour contenir le déficit public.Il sera finalement de 8,1% du PIB en 2021, contre 8,4 précédemment anticipé, et 9,4% en 2020, avant de décroître à 5% du PIB en 2022.C'est 0,2 point de plus que ce qui était inscrit jusqu'ici dans le projet de budget, mais Bercy avait déjà indiqué que ce ne serait pas tenable, tout en promettant de ne pas dépasser les 5%."Nous tenons notre parole. Nous sommes une nouvelle fois sincère, nous tenons les 5% de déficit en 2022", a défendu Bruno Le Maire, ajoutant que la dette publique serait ramenée "sous les 114%" du PIB, en réponse aux critiques de ceux dans l'opposition qui fustigent une flambée des dépenses à quelques mois de l'élection présidentielle.
Il y a 3 ans et 194 jours

Roto rachète le groupe Prestia

ACQUISITION. Le fabricant allemand de systèmes de ferrures pour fenêtres et portes, fenêtres de toit et escaliers escamotables, Roto, annonce avoir mis la main sur le groupe Prestia, spécialiste du traitement anticorrosion de l'acier au travers de prestations et de services haut de gamme.
Il y a 3 ans et 194 jours

La croissance française s'est tassée dans le secteur privé en octobre

L'indice Flash composite de l'activité globale s'est replié à 54,7 points en octobre, contre 55,3 points en septembre, atteignant son plus bas niveau depuis 6 mois, selon les données recueillies auprès d'un panel d'entreprises.Un indice supérieur à 50 marque une expansion de l'activité tandis qu'un indice inférieur à 50 témoigne d'une contraction.Si ce chiffre témoigne "d'un fort taux de croissance" de l'économie française, le tassement provient essentiellement des difficultés d'approvisionnements de l'industrie manufacturière, dont la production a décru en octobre, une première depuis janvier 2021."Alors que jusqu'à présent les pénuries d'intrants s'étaient principalement traduites par des hausses de prix, elles se répercutent désormais de manière tangible sur les niveaux de production et sur les carnets de commandes, les entreprises ne disposant pas de stocks nécessaires à la production de leurs biens manufacturés et les clients se trouvant obligés d'annuler ou de reporter leurs commandes", souligne Joe Hayes, économiste chez IHS markit, cité dans le communiqué.Conséquence: le taux d'inflation des coûts a atteint son plus haut niveau depuis 17 ans, du fait du renchérissement des matières premières, de la hausse des coûts de carburant et des frais salariaux.La croissance s'est aussi légèrement ralentie dans le bâtiment, tandis qu'à l'inverse, l'activité dans les services a nettement progressé en octobre, soutenant la progression générale de l'activité.Les services bénéficient de l'assouplissement des restrictions de voyage et d'une croissance du volume de nouvelles affaires dans de nombreux secteurs, même s'il reste "très vulnérable à l'introduction de nouvelles mesures sanitaires", selon le cabinet."Parmi les divers scénarios de reprise décrits par différentes lettres de l'alphabet, il semble que la France s'oriente vers une reprise en K, caractérisée par un creusement des inégalités, notamment entre les secteurs d'activités", estime Joe Hayes.
Il y a 3 ans et 194 jours

Le béton : matériau d’avenir au service de la construction

Le béton, matériau d&rsquo;avenir au service de la construction. [©Techni Prefa] Pourquoi le béton n&rsquo;a pas une bonne image L&rsquo;utilisation massive, intensive du béton lors des cinq dernières décennies a pu générer un désenchantement vis-à-vis de ce matériau. En effet, l&#8217;employer de façon quasi-systématique dans les aménagements urbains (ronds-points, troittoirs&#8230;), privés (terrasses, mobilier de jardin&#8230;) ou de vouloir en faire le matériau de prédilection pour la construction, y compris pour les éléments non porteurs, a pu conduire à une utilisation abusive du béton, aujourd&rsquo;hui décriée. En cause, la vision d&rsquo;espaces totalement entourés de béton, alors que depuis de nombreuses années déjà il existe des solutions alternatives éprouvées, mettant en œuvre des matériaux plus adaptés sur les plans esthétique et écologique. « Le bois, matériau de construction écologique » : une fausse bonne idée L&rsquo;engouement contemporain pour les matériaux à base de bois semble à l&rsquo;inverse nous faire oublier l&rsquo;importance de sa source : l&rsquo;arbre. Le bois est souvent traité, collé, usiné, transporté (et parfois sur des milliers de kilomètres) pour être utilisé, quand bien même l&rsquo;environnement lui serait défavorable. Mais utiliser le bois de façon intensive et non adaptée, c&rsquo;est oublier l&rsquo;importance de l&rsquo;arbre et de nos forêts, qui, dans certains pays, sont exploités de manière de plus en plus sinistre. Or la forêt est une ressource indispensable qui abrite plus de la moitié de la biodiversité terrestre et assure la subsistance de 2 Md de personnes à travers le monde. Source majeure d&rsquo;oxygène, d&rsquo;eau, actrice de la dépollution et de la lutte contre le réchauffement climatique, la forêt doit être préservée. Comme pour le béton (et les autres matériaux comme l&rsquo;acier et le PVC), il s&rsquo;agit de bien de réfléchir à l&rsquo;usage du bois, pour s&rsquo;en servir en bonne quantité et là où il le faut. Vers la construction composée Face aux enjeux économiques et écologiques du XXIe siècle, il est urgent d&rsquo;utiliser les matériaux de façon complémentaire en fonction de leurs spécificités propres, en faisant preuve de bon sens. Ainsi seulement, nous participerons à protéger chaque ressource sans que l&rsquo;une ne soit favorisée au détriment de l&rsquo;autre. «&nbsp;Chez Techni Prefa, explique Richard Poupart, directeur général, nous pensons que le béton armé est le matériau le plus économiquement adapté pour la structure des bâtiments et qu&rsquo;il est l&rsquo;un des meilleurs pour ses qualités de résistance aux chocs, au feu, à l&rsquo;eau, aux agressions chimiques. Il est aussi un très bon isolant acoustique lors de son utilisation dite de « loi de masse ». Mais d&rsquo;autres matériaux peuvent être employés autour de la structure d&rsquo;une construction ! il faut donc savoir utiliser « le bon béton » là où il le faut, et en quantité optimisée.&nbsp;» Le béton, engagé dans une démarche environnementale Les producteurs de ciment se sont engagés à baisser le bilan carbone des bétons à hauteur de 30 % d&rsquo;ici à 2030 avec un objectif de « zéro empreinte carbone » en 2050. Pour cela, de nombreux chantiers d&rsquo;envergure pour la modernisation ou la reconstruction des usines voient actuellement le jour. À l&rsquo;instar des cimentiers qui se sont engagés dans cette démarche volontariste, nous ne pouvons pas nous satisfaire d&rsquo;en récolter les fruits, en nous félicitant d&rsquo;utiliser des ciments bas carbone. A notre niveau, il nous faut réfléchir à la place qu&rsquo;occupe notre métier dans la filière et proposer des solutions que nous devons nous imposer, en termes de développement durable et de lutte contre le réchauffement climatique. Un objectif de « zéro empreinte carbone » en 2050 «&nbsp;Nous pensons aussi qu&rsquo;il est de notre responsabilité de faire évoluer l&rsquo;utilisation du béton armé, en optimisant les calculs, la conception des modules et leurs assemblages, afin de permettre une industrialisation de la fabrication, ajoute Richard Poupart. Il ne faut pas omettre dans la démarche environnementale tout ce qui a trait à la mise en œuvre du matériau. Nous sommes soucieux de la réutilisation des moules, de la réduction des déchets et de tout composant servant à la fabrication des éléments.&nbsp;» Cette démarche sera longue, car elle demande de convaincre toute la filière de la construction d&rsquo;un projet, de sa conception jusqu&rsquo;à sa livraison, dans une logique de standardisation ou semi-standardisation de la fabrication. À terme, la production de modules de construction hors-site devrait bénéficier à l&rsquo;ensemble de la profession, sous réserve d&rsquo;une prise de conscience de chaque acteur dans son rôle pour des chantiers optimisés et conséquemment plus responsables. EN SAVOIR PLUS SUR TECHNI PREFA Fort de notre vision globale du secteur de la construction et de notre maîtrise totale de la fabrication hors-site, nous concevons et fabriquons en usine des éléments de structure béton pour fournir nos clients dans les secteurs du bâtiment, des TP et du génie civil. Nous imaginons des solutions techniques innovantes et investissons très largement dans la modernisation de notre outil industriel. Techni Prefa est également engagé dans une démarche de recherche et développement, que ce soit sur le plan de nos méthodes de travail (planification, pilotage, augmentation de la qualité des processus et des produits) pour utiliser de manière optimale les moyens de production et limiter les gaspillages des outils, tant sur le plan constructif (optimisation et rationalisation des profilés, études d&rsquo;assemblage, outils de calculs performants&#8230;) que sur le plan de l&rsquo;impact environnemental (gestion des déchets et de l&#8217;empreinte carbone&#8230;). En mettant l&rsquo;accent sur l&rsquo;industrialisation de notre organisation, ainsi que sur l&rsquo;hygiène, la sécurité et le bien-être au travail, nous favorisons un environnement stimulant pour la montée en compétence des collaborateurs, tout en diminuant les facteurs de pénibilité. En intégrant nos partenaires dans une collaboration gagnant-gagnant et en accentuant nos efforts visant à réduire notre impact environnemental, nous entendons devenir le spécialiste de l&rsquo;industrialisation de bâtiment le plus à même de répondre aux exigences du marché et de ses évolutions. TECHNI PREFA &#8211; Rue du Champ de l&rsquo;Ormeau &#8211; 79 100 Thouars Tél. : 05 49 66 27 82 &#8211; beton-prefabrique.fr
Il y a 3 ans et 194 jours

Rockwool accompagne les particuliers dans leurs travaux de rénovations énergétique

En tant que leader des solutions en laine de roche, ROCKWOOL propose aux particuliers un service dédié à leur accompagnement de A à Z pour le choix des matériaux tout en mettant à leur disposition les professionnels RGE de son réseau.Pour garantir des économies sur sa facture d’énergie et maintenir le meilleur confort thermique dans son logement, il faut construire ou rénover avec les bons matériaux. Pourtant, si l’isolation thermique constitue une étape non négligeable, avec une économie pouvant atteindre 70% de la consommation d'énergie, il n’est pas toujours facile, d’y voir clair parmi les aides et les technologies existantes, et de savoir par quel biais entamer la transition écologique de son logement. Une des thématiques phares du salon qui ouvre ses portes à Vincennes du 24 au 26 septembre.Accompagner, conseiller et mettre à disposition des particuliers le bon professionnel RGEDans cette optique, ROCKWOOL propose un accompagnement inédit aux particuliers dans leur projet de rénovation thermique en leur offrant une page spécialement dédiée sur son site. Cette page comprend notamment un guide la rénovation énergétique à télécharger qui répertorie les aides de l’état actuelles, comme MaPrimeRénov’ associées à des simulations en fonction de chaque projet (situation géographique, typologie de maison et performance énergétique), les solutions adaptées à chaque projet et éligibles aux aides, les avantages de la rénovation, ainsi que les qualités de la laine de roche : résistance au feu et excellentes performances confort thermo-acoustiques permettant de réduire la facture d’énergie tout en limitant la pollution sonore à l’intérieur comme à l’extérieur.En remplissant un formulaire, le particulier peut ainsi être mis directement en relation avec une équipe conseil dédiée et avec les artisans du réseau RGE recommandés par ROCKWOOL.
Il y a 3 ans et 194 jours

Ciments bas carbone : enfin une norme

Longtemps attendue par les professionnels de l’industrie cimentière, la norme européenne NF EN 197-5 a été publiée le 1er octobre. Elle permet notamment de nouvelles combinaisons d'ajouts bas carbone dans la composition du ciment.
Il y a 3 ans et 194 jours

La Haute-Marne se pare d'un bâtiment hybride élégant mêlant sport et culture

DIAPORAMA. L'agence Chabanne Architecte signe un projet qui met en avant des pratiques pluridisciplinaires. Piscines, terrains sportifs et salles de spectacles sont réunis au sein d'un même bâtiment.
Il y a 3 ans et 194 jours

Premier « Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP »

Elle permet de s’adapter aux nouveaux besoins et également de repenser les problématiques liées à la prévention et de toujours améliorer la performance des entreprises. Avoir une vision claire des tendances d’innovation est ainsi devenu une nécessité stratégique pour l’ensemble des acteurs du secteur du BTP.Dans cette optique, Impulse Partners, CCCA-BTP et l’OPPBTP, acteurs engagés au service du secteur du BTP, se sont associés pour réaliser et publier un « Observatoire des tendances d’innovation du BTP ». Celui-ci décrypte les grandes tendances d’innovation, leurs impacts sur les métiers, la sécurité, la prévention et la formation.Son objectif est de permettre à tous les acteurs de la filière, qu’ils soient industriels, constructeurs, entreprises, grandes ou petites, mais aussi centres de formation, fédérations et organisations professionnelles, de comprendre et d’appréhender au mieux les principaux champs d’innovation à l’oeuvre dans le secteur, pour en faire un vecteur de transformation positive et durable. Pour cela, il sera enrichi régulièrement et diffusé chaque année.Les objectifs majeurs de l'innovationGrâce à une étude approfondie des acteurs de l’innovation dans le BTP, l’Observatoire révèle que les grandes tendances d’innovation se concentrent autour de trois objectifs majeurs :Accroître la productivité des entreprisesTrois tendances majeures transforment les métiers du BTP : les solutions de construction hors site permettent de réaliser 80 % de la production en usine, ce qui fait évoluer massivement les métiers, les méthodes de production et les risques qui y sont associés. Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages (capteurs IoT, plateformes BOS…) offrent l’opportunité de saisir de nouveaux marchés dans le smart building avec une très haute valeur ajoutée pour les métiers concernés. Enfin, les outils d’édition et de partage du jumeau numérique constituent l’un des leviers de la modernisation des métiers et renforcent la sécurité sur les chantiers.Réaliser des ouvrages de meilleure qualitéLa qualité des ouvrages repose sur leur conformité au cahier des charges, leur performance et l’impact environnemental des chantiers. Les solutions favorables à l’emploi du matériau bois, de plus en plus sollicité, bouleverse les chaînes de valeur traditionnelles et exigent des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…). Les plateformes et outils pour le réemploi constituent également un levier de transformation majeur, en particulier pour la filière déconstruction. Par ailleurs, les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité accompagnent les professionnels dans une démarche de lean management et de contrôle qualité continu, vecteurs de productivité et de prévention des risques.Améliorer la sécurité sur les chantiersEnfin, l’amélioration de la sécurité sur les chantiers exige une anticipation des risques en amont ainsi qu’une gestion de ceux-ci au cours des travaux. Pour y parvenir, les EPI connectés et les dispositifs de détection des accidents (capteurs, robots caméra, intelligence artificiels) mobilisent un grand nombre d’acteurs de l’innovation, du fait de leur très fort impact sur la réduction du risque d’accident. En outre, les outils digitaux pour la formation des professionnels, tels que les outils e-learning ou utilisant la réalité virtuelle, permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.Un Observatoire de l’innovation qui s’inscrit dans les missions du CCCA-BTP et de l’OPPBTPAfin de s’adapter aux évolutions majeures qui impactent le secteur (transition écologique, digitalisation…), l’innovation est au coeur des enjeux du BTP. Le CCCA-BTP et l’OPPBTP sont tous deux mobilisés pour accompagner son développement et aider l’ensemble des acteurs à s’en saisir pour en tirer tous les bénéfices. D’une part, le CCCA-BTP, premier acteur de l’apprentissage en France, a pour mission d’anticiper les métiers de demain et l’évolution des compétences pour adapter les parcours de formation et ainsi mieux répondre aux besoins des entreprises de la construction. D’autre part, en tant qu’organisme de branche, l’OPPBTP se positionne comme un moteur pour détecter, accompagner et promouvoir l’innovation au profit de l’ensemble des acteurs du secteur. L’analyse des tendances d’innovation sous l’angle de la santé-sécurité lui permet d’adapter les actions de prévention à mener au plus proche des problématiques émergentes. Dans ce cadre, l’Observatoire des tendances d’innovation du BTP représente un précieux outil de veille pour décrypter les tendances de la filière. Il permet à la fois de mettre en lumière le rôle de la formation dans l’évolution des compétences et d’apprécier les conséquences de l’innovation sur les métiers et les problématiques de sécurité. Sa promotion auprès de tous les acteurs est essentielle pour leur permettre d’évoluer collectivement vers une plus grande performance opérationnelle.Une méthodologie basée sur une étude des acteurs de l’innovation dans le BTPLe CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners ont décidé d’appuyer cet Observatoire sur les 222 start-up recensées au sein de l’écosystème d’Impulse Partners. En effet, celles-ci se développent depuis plusieurs années à un rythme accéléré et leurs champs d’action constituent un précieux révélateur des transformations en cours dans le BTP. L’ensemble des start-up a été regroupé en 41 champs d’innovation. Pour chacun de ces champs d’innovation, l’observatoire détaille les enjeux majeurs et les principaux outils et solutions développés par les innovateurs pour y répondre. La dynamique économique de chaque champ d’innovation a également été mesurée selon trois indicateurs clefs : le nombre de start-up, le chiffre d’affaires cumulé des acteurs et le volume de fonds levés par ceux-ci. Par ailleurs, l’observatoire donne une estimation du potentiel de transformation pour la filière, sur le plan des métiers, de l’impact en matière de prévention, ainsi qu’en termes de besoins nouveaux de formation pour les professionnels.Enfin, les partenaires ont également interrogé plusieurs professionnels représentant des grandes entreprises, entreprises de tailles intermédiaires, fédérations ou organisations représentatives de toute la profession :David Amadon, Directeur technique de la CAPEB Nationale ;Guillaume Bazouin, Responsable start-up et programme intrapreneuriat au sein de Leonard ;Mathieu Boussoussou, Responsable innovations durables au sein d’Eiffage Construction ;Valérie Cassous, Membre du directoire et directrice communication du groupe Cassous ;Jonathan Chemouil, Directeur innovation technique au sein de Demathieu Bard ;Dominique Chevillard, Directeur technique et de la recherche de la FNTP ;Christian Cremona, Directeur technique et R&D au sein de Bouygues Construction ;Isabelle Dubois-Brugger, R&D et Innovation Manager au sein de LafargeHolcim ;Marc Esposito, Directeur du Lab GSE ;Antoine Gibour, Directeur stratégie, marketing et innovation au sein de Léon Grosse ;Claire Guidi, Chargée de mission FFB ;Philippe Robart, Directeur technique de l’OPPBTP.Ces interviews ont largement guidé la structuration de l’observatoire et ont permis de collecter l’avis du marché sur les innovations recensées.Des tendances structurées autour de trois principaux objectifs : la productivité, la qualité et la sécuritéL’étude des 41 champs d’innovation et les échanges avec les entreprises ont permis aux trois partenaires de mettre en évidence trois objectifs majeurs à toutes démarches d’innovation dans le BTP, non exclusifs les uns des autres : atteindre un plus haut niveau de productivité, de qualité et de sécurité. Pour avancer dans chacune de ces directions, les acteurs peuvent mettre en oeuvre différents leviers d’action qui rassemblent plusieurs champs d’innovation complémentaires.Une plus grande productivité des entreprisesL’un des principaux défis pour le secteur du BTP est sa faible productivité. Il s’agit de l’un des seuls secteurs de l’économie dont la productivité n’a pas augmenté ces 20 dernières années, mais a au contraire baissé en Europe. Sur l’ensemble de la chaîne de valeur, industriels, concepteurs, constructeurs, exploitants de bâtiments et d’infrastructures cherchent à réduire leurs coûts pour consolider leurs marges. La productivité est donc le premier objectif majeur qui pousse à innover dans le secteur.L’observatoire fait ressortir six principaux leviers d’action : la maîtrise des coûts du foncier, des matières premières, de la main-d’oeuvre, des frais généraux des entreprises, des coûts d’usage des ouvrages, ainsi que la réduction du poids économique des équipements et de la logistique. Il révèle également que les trois champs d’innovation en faveur d’une plus grande productivité des entreprises les plus dynamiques sur le plan économique sont :✓ Les outils d’édition et de partage du jumeau numérique, qui permettent de partager l’information entre les différentes parties prenantes d’un projet de construction et d’assurer un suivi continu de l’information sur le cycle de vie d’un ouvrage. Ils s’imposent sur les grands projets de construction depuis plusieurs années et constituent l’un des principaux leviers de la transformation digitale et industrielle du secteur.✓ Les outils digitaux collaboratifs de suivi de chantier. Simples, mobiles et adaptés aux process et méthodes actuelles, ces outils digitaux permettent de digitaliser et d’optimiser le travail du chef ou du directeur de chantier pour assurer un suivi de l’avancement des tâches et partager les informations entre tous les acteurs.✓ Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages, tels que les capteurs IoT ou les plateformes Building Operating Systems. Ces dispositifs permettent d’optimiser les consommations énergétiques, d’organiser une meilleure gestion des déchets, d’assurer un confort aux usagers et de réduire les coûts d’exploitation. Ils ont également un fort potentiel de transformation des métiers du BTP vers des métiers à très haute valeur ajoutée.✓ Par ailleurs, l’observatoire fait ressortir les solutions de construction hors site parmi les champs d’innovation à fort potentiel de transformation des métiers du secteur, puisqu’elles permettent de réaliser 80 % de la production, ce qui développe fortement la productivité.Des ouvrages de meilleure qualitéLe deuxième enjeu majeur pour le secteur est l’amélioration de son niveau global de qualité. Les exigences de la maîtrise d’ouvrage se renforçant dans de nombreux domaines, cette exigence de qualité ne s’évalue plus seulement sur la simple conformité à un cahier des charges fonctionnel, mais aussi sur un nombre croissant de critères de performance (dont l’impact environnemental). Cette qualité s’évalue bien sûr sur l’ouvrage lui-même sur toute sa durée de vie, mais aussi au travers de critères propres aux chantiers (impact sur l’environnement, nuisances…).✓ Les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité apparaissent comme étant à la fois les solutions innovantes les plus dynamiques et parmi les plus transformatrices du secteur. Elles permettent de détecter les erreurs de mise en oeuvre éventuelles, pour les corriger rapidement, afin d’en réduire les coûts et d’assurer que le construit est conforme au conçu.Parmi les champs d’innovation pour une meilleure qualité des ouvrages les plus dynamiques économiquement, on trouve également :✓ Les solutions pour la qualité de l’air : pour améliorer la santé et le confort des occupants, des capteurs IoT, des plateformes d’analyse des données et de simulation de la qualité de l’air se développent. Cette dynamique a par ailleurs été renforcée par le contexte de la crise sanitaire qui a placé cette problématique au coeur des enjeux du bâtiment.✓ Les solutions pour l’usage de nouvelles énergies sur les chantiers tels que les solutions hydrogène, les biocarburants ou l’électrification des engins et matériels, qui permettent de réduire les consommations d’énergie non renouvelables et les émissions de gaz à effet de serre.Enfin, les champs d’innovation pour la qualité au plus haut potentiel de transformation du secteur sont :✓ Les solutions favorables à l’emploi du matériaux bois, de plus en plus sollicité du fait de ses atouts écologiques et environnementaux. La construction bois est souvent synonyme de construction industrialisée et bouleverse à ce titre les chaînes de valeur traditionnelles. Le chantier bois exige par ailleurs des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…) pour des acteurs qui historiquement ont une meilleure maîtrise de la construction en béton.✓ Les plateformes et outils pour le réemploi. Le réemploi constitue un challenge important pour les fabricants de matériaux et leurs distributeurs, mais aussi un levier de transformation majeur pour la filière déconstruction, afin de permettre un démontage propre et sélectif des matériaux pouvant être réemployés.Un accroissement de la sécurité sur les chantiersLa sécurité sur les chantiers est un enjeu de progrès continu pour toutes les entreprises du BTP. Le secteur comporte en effet encore de nombreux risques contre lesquels des politiques de prévention, renforcées par l’innovation, peuvent être efficaces. Plusieurs champs d’innovation favorables à la productivité et à la qualité ont aussi un impact positif sur la sécurité. De plus, certains champs d’innovation peuvent être totalement focalisés sur ces enjeux de sécurité. Les deux leviers d’action identifiés pour accroître la sécurité sur les chantiers sont l’anticipation des risques en amont, ainsi que leur gestion pendant les travaux.L’observatoire fait ressortir trois champs d’innovation, qui sont à la fois les plus dynamiques et les plus transformateurs pour le secteur en matière de sécurité :Les EPI connectés : les équipements de protection individuelle sont de plus en plus connectés, afin de renforcer la sécurité des compagnons au-delà des protections dites classiques. Ils permettent, par exemple, d’alerter en cas de situations de danger (fuites de gaz, éboulement, etc.), de réduire les accidents Homme/machine, ou d’effectuer un suivi en temps réel des compagnons.Les dispositifs de détection des accidents : grâce à des outils tels que des capteurs, des robots caméras ou l’intelligence artificielle, de nombreux dispositifs permettent de réduire les accidents sur site en analysant les situations à risque, ou d’intervenir rapidement s’ils ont lieu.Les outils digitaux pour la formation des professionnels : on estime aujourd’hui à 430 000 les besoins annuels en formation initiale et continue. Ces nouveaux outils ont pour objectif de massifier la formation et de la rendre la plus impactante possible au travers de nouvelles méthodes pédagogiques (outils e-learning, formations en réalité virtuelle et augmentée, outils d’ancrage qui cumulent présentiel et digital…). Ils permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.« Innover aujourd’hui dans notre secteur c’est aussi repenser les enjeux de prévention et de sécurité pour en faire des atouts pour la performance des entreprises. C’est aussi intégrer très tôt les besoins de formation et d’évolution de compétences. C’est le sens de notre partenariat avec l’OPPBTP et le CCCA-BTP dans la réalisation de cet observatoire. » Antoine Thuillier, Associé Impulse Partners.« En tant qu’Organisme de prévention des risques du BTP, nous sommes convaincus que la performance des chantiers rime avec prévention et que l’innovation technique est le premier facteur d’amélioration des conditions de sécurité et de travail. Sachons-nous saisir collectivement de cet observatoire des tendances d’innovation dans le BTP pour faire grandir la performance opérationnelle de nos chantiers et de nos opérateurs. » Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.« Le digital est un facilitateur, un accélérateur. Il est d’une aide précieuse dans le parcours de formation des jeunes et des professionnels qui se forment tout au long de leur vie professionnelle. Mais au-delà de la transformation intrinsèque des métiers, le digital peut être également un facilitateur de l’articulation et de la coordination dans la réalisation des projets : un catalyseur de productivité. Il favorise le décloisonnement entre les métiers, pour gagner en polyvalence et en transversalité et contribue également à une plus grande ouverture entre les sujets (smartcity, bien être, etc.) » Franck Le Nuellec, Directeur Marketing, Développement et Innovation Stratégique de CCCA-BTP.Le rapport complet de l’Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP est disponible ici.
Il y a 3 ans et 194 jours

La production d’un ciment décarboné mobilise 40 M€ d’investissement sur le site lorrain de Vicat

Le groupe Vicat investit 40 millions d’euros en vue de faire de sa cimenterie de Xeuilley (Meurthe-et-Moselle) le laboratoire mondial de sa stratégie de décarbonation. Le site, qui utilise d’ores et déjà 80 % de combustibles alternatifs, mettra en service en 2023 une unité de production d’argile activées, un substitut au clinker.
Il y a 3 ans et 194 jours

Perspectives de l’immeuble bois et manque de scieries

L’Association pour le Développement des Immeubles à Vivre Bois, Adivbois, a organisé le 18 octobre un événement pour dresser le panorama du travail accompli et tracer les perspectives de l’immeuble à Vivre Bois. Animée par Anne Fraisse, administratrice d’ADIVbois et directrice d’Icade-Urbain des Bois, une table ronde a croisé les regards de « grands témoins » sur les thématiques d’avenir de l’immeuble bois et du Vivre Bois. Jean Piveteau, président de Piveteau, témoignait de la matière et des produits disponibles, Laurent Girometti, directeur général, EPAMARNE-EPAFRANCE, apportait le point de vue de l’aménageur, Jérôme Coumet, marie du 13e arrondissement de Paris, le point de vue de la ville, et Julien Pemezec, président du directoire, Woodeum, intervenait en tant que promoteur immobilier. Quelques belles idées ont été émises au cours de ces échanges : &#8211; Planter massivement et déployer deux types de forêt : des forêts de production et des forêts de biodiversité… Inutile d’arbitrer pour flécher le bois vers tel ou tel type de projets : il faut un VRAI CHOC INDUSTRIEL. Tout est réuni (en ce compris des investissements exceptionnels) pour que l’on construise davantage en bois dans les années à venir ! Jean Piveteau &#8211; Standardisation n’est pas forcément un gros mot et pas obligatoirement synonyme de laideur. Elle peut accompagner une meilleure et qualité de vie si plus d’architectes travaillent sur ce sujet. Laurent Girometti &#8211; Quand on vit dans un immeuble en bois, on a la chance de vivre une expérience sympathique. Une qualité de vie qu’il faut savoir mettre en avant. Mais aujourd’hui, l’instabilité règlementaire est très mauvaise : pour les domaines de l’immobilier comme pour l’avenir d’une vraie qualité de vie avec un environnement bois. Jérôme Coumet &#8211; La production carbonée va devenir obsolète… Aussi, les investisseurs veulent des placements verts. Résultat ? Il n’y a jamais eu autant de moyens financiers sur les marchés qu’aujourd’hui… La volonté politique est là et les retours d’expérience des habitants des 500 logements que nous avons déjà livrés démontrent une très forte envie de vivre dans le bois. Julien Pemezec Tous les quatre, ont dressé quatre priorités pour les années à venir : une réglementation claire, stable et sans excès, le besoin de formation, en particulier pour les maîtres d’oeuvre, la sensibilisation et le développement nécessaire de scieries.
Il y a 3 ans et 194 jours

La Bourse de Commerce, un écrin en béton pour l’art contemporain

Ce bâtiment historique situé dans le Ier arrondissement de Paris accueille désormais la collection personnelle d’art contemporain de François Pinault [©Vladimir Partalo] Retrouvez bientôt en exclusivité la video sur la Bourse de Commerce Après 34 mois de travaux menés tambour battant, les équipes de Bouygues Bâtiment Ile-de-France Rénovation Privée ont livré la Bourse de Commerce à Pinault Collection. Ce bâtiment historique situé dans le Ier&nbsp;arrondissement de Paris accueille désormais la collection personnelle d’art contemporain de François Pinault. Son ouverture a eu lieu au printemps dernier. La Bourse de Commerce est le 3esite permanent de la collection d’art contemporain de l’entrepreneur français. Comme les deux précédents, le Palazzo Grassi et la Punta della Dogana à Venise, il a été rénové et aménagé par l’architecte japonais Tadao Ando. Accompagné, cette fois, de Niney et de Marca Architectes et Pierre-Antoine Gatier, architecte en chef des Monuments historiques. Pour le bâtiment parisien, Tadao Ando « a très vite eu l’intuition d’un cylindre dans la rotonde de la Bourse du Commerce », se souvient Thibault Marca, de Niney et Marca Architectes. Comme à son habitude, l’architecte japonais travaille avec des formes simples, voire primaires&nbsp;: le triangle, le carré, le cercle…, toujours inspirées de la nature. Le tout, ici, transposé dans un bâtiment historique.&nbsp;« Je pense que le béton est un matériau qui représente le XXIe&nbsp;siècle. Nous l’avons utilisé dans une forme géométrique simple au cœur d’un bâtiment pluri-centenaire. Non seulement la structure de ce bâtiment est conservée, mais elle reste vivante grâce à la création d’une nouvelle architecture »,&nbsp;indique Tadao Ando. Un cylindre en écho à la circularité du bâtiment Il faut laisser glisser sa main sur ce béton lisse pour deviner combien ce travail a été minutieux et rigoureux. Lors de sa dernière visite du chantier, Tadao Ando a déclaré que ce béton figurait parmi les plus beaux qu’il ait jamais vus. Le cahier des charges pour le béton était de proposer une formulation innovante, qui puisse surprendre le public, tout en gardant le geste de l’architecte Tadao Ando. C’est-à-dire la reconstitution d’un béton à partir d’un calepinage de tatamis. «&nbsp;Le challenge consistait à proposer une solution démontable, car François Pinault n’est pas propriétaire du lieu. Il n’était donc pas question d’un voile massif en béton. Il a fallu imaginer une structure métallique habillée de part et d’autre, d’une peau de 12 cm d’épaisseur sur une hauteur de 9,33 m. Nous avons utilisé des bétons auto-plaçants, provenant de la centrale Unibéton d’Aubervilliers&nbsp;», explique Roland Merling, responsable national de la prescription chez Ciments Calcia. La Bourse de Commerce a ainsi été restaurée dans son état de 1889 sans l’altérer. [©Vladimir Partalo/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]La majestueuse verrière plafonne à 35 m de hauteur, datant de 1889. [©Marc Domage/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Comme à son habitude, l’architecte japonais travaille avec des formes simples, voire primaires : le triangle, le carré, le cercle…, toujours inspirées de la nature. Le tout, ici, transposé dans un bâtiment historique. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Pour accueillir le cylindre en béton et les œuvres d’art, la structure a été renforcée, les planchers, qui pouvaient jadis porter 250 kg/m2, supportent désormais 700 kg/m2. Et jusqu’à 1 t/m2 par endroits. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection] La Bourse de Commerce a ainsi été restaurée dans son état de 1889 sans l’altérer. Les ajouts techniques ont été réalisés, tout en préservant la structure « Celui-ci prend naissance en sous-sol, puis émerge au rez-de-chaussée, en s&rsquo;immisçant à travers les trémies de la structure existante par la mise en œuvre d&rsquo;une douzaine de poteaux. Ceci, pour éviter une réalisation massive et permettre de conserver la structure. Pour le plancher métallique, une dalle en béton a été coulée sur le dessus. Le cylindre est ici hybride, espace scénographique et symbolique, mais aussi technique. Il gère ainsi le climat, la lumière, l&rsquo;acoustique… », insiste Thibault Marca. Pour accueillir le cylindre en béton et les œuvres d’art, la structure a été renforcée, les planchers, qui pouvaient jadis porter 250 kg/m2, supportent désormais 700 kg/m2. Et jusqu’à 1 t/m2 par endroits. Une formule de béton sur mesure Pour ce chantier d’exception, Unibéton et Ciments Calcia ont conçu une formule de béton sur mesure, qui a répondu à la complexité du coulage liée aux banches et aux armatures. Cette formule a aussi permis d’obtenir une teinte gris clair spécifique et homogène pendant toute la période de coulage, sur plusieurs mois.&nbsp;«&nbsp;Une caractérisation du béton avait lieu au départ de la centrale. Et ensuite, une deuxième lors de la mise en place à la pompe.&nbsp;»&nbsp;Quelque 650 m3&nbsp;de béton esthétique ont été mis en œuvre, pour un total de 4&nbsp;500 m3&nbsp;pour la globalité du chantier. Composé de 863 panneaux perforés, le cylindre présente quatre ouvertures identiques. Autour de lui, un escalier en béton dessert quatre niveaux d’exposition, dont un en sous-sol. Il offre aux visiteurs des points de vue variés sur le bâtiment historique. Une fois avancé au centre de ce vaste espace, le visiteur lève naturellement le regard vers la majestueuse verrière, qui plafonne à 35 m de hauteur. Il y a encore quelques mois, un échafaudage de 600 t empêchait la diffusion de la lumière. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Après 34 mois de travaux menés tambour battant, les équipes de Bouygues Bâtiment Ile-de-France Rénovation Privée ont livré la Bourse de Commerce à Pinault Collection. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Le geste de l’architecte Tadao Ando reconstitue un béton à partir d’un calepinage de tatamis. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection] Il y a encore quelques mois, un échafaudage de 600 t empêchait la diffusion de la lumière. Restaurée, la verrière laisse aujourd’hui la lumière du jour inonder l’intérieur du bâtiment. Elle remet en valeur le panorama marouflé de 1889, qui dépeint le commerce mondial sur les 1 400 m² de la voûte. Cette œuvre qui renvoie près d’un siècle et demi dans le passé peut désormais être observée de plus près. En montant sur une coursive qui entoure la cime du cylindre de béton, conférant à ce dernier une fonction tant pratique qu’esthétique. Une attente forte de l’acoustique Etant donné la position de la Bourse de Commerce, au centre de Paris, dans un lieu exigu, il n’y pas eu de grues. Aussi les banches ont, elles, été transportées à la main. Il ne devait y avoir aucun défaut lors du décoffrage. Pas question non plus de détruire certaines banches comme souvent sur d’autres chantiers. Une grande rigueur était de mise. Les critères du cahier des charges mettaient en avant la maîtrise maximale de l’acoustique. «&nbsp;Comme il y a un vide entre les deux voiles, nous avons imaginé des pièges à sons. Certains écarteurs de banche ont été munis d’amortisseurs acoustiques. En plus de la réalisation d’un gommage de la peau du béton, outre le lissage de l’entièreté de la teinte du béton, a permis de casser le renvoi unidirectionnel des ondes sonores et de le provoquer de façon multidirectionnelle. Et de participer à l’amélioration de l’acoustique du lieu »,&nbsp;conclut Roland Merling.&nbsp; Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 194 jours

Recyclage des matériaux isolants haute performance en polyuréthane rigide : Unilin Insulation s’engage dans le projet européen CIRCULAR FOAM

Recycler la mousse de polyuréthane rigide utilisée comme matériau isolant dans le secteur de la construction, tel est l’objectif ambitieux du nouveau projet européen CIRCULAR FOAM dans lequel Unilin Insulation s’implique activement. Un nouvel écosystème circulaire Leader européen sur le marché des panneaux de toiture et 2ème producteur de plaques de polyuréthane, Unilin Insulation s’engage dans l’économie circulaire en rejoignant le nouveau programme CIRCULAR FOAM, financé par l’Union Européenne*. Coordonné par l’entreprise Covestro, leader dans l’industrie des polymères, CIRCULAR FOAM réunit 22 partenaires issus de l‘industrie, du monde universitaire et de la société civile de 9 pays. « i>Nous sommes convaincus que le polyuréthane dispose de tous les atouts pour devenir un matériau d’isolation circulaire performant. Nous voulons faire partie des premiers acteurs du marché à recycler le polyuréthane. Telle est l’ambition d’Unilin Insulation/i> » explique Lieven Malfait, Président d’Unilin Insulation. Le projet CIRCULAR FOAM vise en effet à apporter de nombreuses améliorations au cycle de vie actuel du matériau. L’objectif de cette initiative est de rassembler aussi les acteurs de la chaîne de valeur et de mettre en place d’ici 4 ans un nouvel écosystème circulaire durable des mousses de polyuréthane rigides utilisées comme matériau isolant dans le secteur de la construction et les réfrigérateurs. En plus de se concentrer sur le développement de deux nouvelles filières de recyclage du polyuréthane rigide en fin de vie, le projet contribuera : &#8211; à la mise en place et au fonctionnement des systèmes logistiques et de collecte des déchets, &#8211; à l’élaboration de solutions de démantèlement et de tri, &#8211; ainsi qu’à la conception de futurs produits plus faciles à recycler. Le programme CIRCULAR FOAM est déployé dans plusieurs régions modèles telles que la zone métropolitaine d’Amsterdam aux Pays Bas, la Silésie en Pologne&#8230; Les études de cas permettront de dresser une ébauche de solution systémique susceptible d’être reproduite dans d’autres zones géographiques. De cette façon, le projet contribuera à la Mission Horizon Europe qui consiste à aider au moins 150 régions en Europe à s’adapter d’ici 2030 au changement climatique. « En tant que partenaire du projet CIRCULAR FOAM, nous allons tester les matières premières recyclées et créer un prototype d’isolant en polyuréthane éco-responsable. Afin de disposer à l’avenir de nouveaux systèmes d’isolation favorisant le recyclage, Unilin Insulation mise également sur l’éco-conception de ses produits. De quoi améliorer le cycle de vie de nos isolants » déclare Aster Onderberke, Ingénieur Développement Durable. Une fois mis en place dans toute l’Europe, le projet CIRCULAR FOAM permettrait, dès 2040, d’économiser 1 million de tonnes de déchets, 2,9 millions de tonnes d’émission de CO2 et 150 millions d’euros de coûts d’incinération par an. http://www.unilininsulation.fr/
Il y a 3 ans et 194 jours

Inauguration du premier immeuble en France doté d'une façade "dépolluante"

Le revêtement de la résidence de 51 appartements du promoteur régional Trianon est conçu pour décomposer de façon naturelle les particules polluantes et ainsi empêcher leur fixation sur la façade, ont expliqué le promoteur et le cabinet DLRW, architecte du projet.La brique dont se pare l'immeuble intègre un ciment mis au point par le fabricant Ciments Calcia qui applique la photocatalyse, c'est-à-dire le fait d'utiliser la lumière pour accélérer le phénomène d'oxydation en mesure de transformer en "composés anodins", non polluants, des substances organiques et inorganiques, a exposé Damien Cordier, architecte et dirigeant de DRLW.Ainsi dotée de "propriétés dépolluantes, autonettoyantes et bactéricides", cette façade est la première du genre "pour des logements en France, d'après nos recherches" a souligné M. Cordier, précisant que de tels procédés avaient été déjà mis en œuvre sur des bâtiments tertiaires.Cette innovation a représenté un surcoût de 100.000 euros sur les 6,5 millions d'euros de montant des travaux, a indiqué Cédric Simonin, PDG de Trianon Résidences.Le C02 qu'absorbe l'immeuble de Saint-Louis équivaut à celui de "50 arbres plantés", a comparé M. Simonin.Si ce prototype "qui marche" se généralise, il pourra apporter une contribution significative à "l'objectif de bâtir des villes plus vertes", a-t-il commenté lors de la cérémonie d'inauguration.
Il y a 3 ans et 197 jours

Faible collecte du Livret A en septembre

A titre de comparaison, l'an dernier à la même période, les Français avaient placé 1,26 milliard d'euros de plus qu'ils n'en avaient retiré sur leur Livret A, et un milliard en septembre 2019.Le mois de septembre était traditionnellement un mois de décollecte jusqu'en 2019, année où le prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu et la suppression de la taxe d'habitation ont inversé la tendance.Plus récemment, la collecte nette avait atteint 1,67 milliard d'euros au mois d'août.En dépit d'un niveau de rémunération au plus bas à 0,5%, le Livret A, qui sert notamment à financer le logement social en France, est devenu un placement refuge pour les épargnants pendant la crise déclenchée par le Covid-19, voyant son encours bondir.Celui-ci a cependant quelque peu perdu de sa superbe depuis le début de l'été et tandis que les restrictions sanitaires se sont allégées.Le Livret de développement durable et solidaire (LDDS), qui finance notamment l'économie sociale et solidaire et les économies d'énergie dans les logements, a connu une décollecte nette de 260 millions d'euros en septembre, alors qu'il avait été quasiment à l'équilibre sur le même mois en 2020.Au total, le Livret A et le LDDS réunis ont connu une décollecte nette de 20 millions d'euros le mois dernier.L'encours total sur ces deux produits d'épargne atteint 472,3 milliards, soit une hausse d'environ 6,5% en un an.
Il y a 3 ans et 197 jours

Résultats "records" pour Sika sur les 9 premiers mois de 2021

RÉSULTATS. Dans un contexte toujours marqué par la pandémie, le fabricant de colles pour le bâtiment, mortiers et produits d'étanchéité, sika annonce des résultats "records" sur les 9 premiers mois de l'année.
Il y a 3 ans et 197 jours

Noémie Chocat, directrice de la stratégie du groupe Saint-Gobain

Rattachée à Sreedhar N., Directeur Financier, et membre du comité exécutif, Noémie Chocat est nommée directrice de la stratégie du groupe Saint-Gobain en octobre 2021. Elle succède à Maud Thuaudet, qui sera appelée à occuper d’autres fonctions au sein du groupe.
Il y a 3 ans et 197 jours

NOUVEAUTÉ FIBERDECK : BARDAGE WEO®60 Un bardage en bois composite coextrudé à faux claire-voie contemporain et durable

Si le bardage offre un rendu esthétique aux façades, il améliore également l’efficacité énergétique du bâtiment et renforce son confort thermique. Incité par les dernières réglementations thermiques, acoustiques et au feu ainsi que les avancées technologiques, le bardage en bois composite connaît un bel engouement en France. Son aspect moderne, sa pérennité, sa stabilité et son faible entretien en font un habillage de façades porteur et tendance, que recherchent les prescripteurs, les architectes, les maîtres d’œuvre&#8230; Fiberdeck a développé de nouvelles lames de bardage en bois composite coextrudées à faux claire-voie : WEO®60. Idéales pour une isolation par l’extérieur (ITE) de maison individuelle, de collectif ou ERP le bardage WEO®60 est durablement esthétique grâce à la technologie exclusive de coextrusion. Il bénéficie d’une résistance exceptionnelle aux UV, pendant 20 ans, et il est très facile à mettre en œuvre. &nbsp; FIBERDECK : Un bois composite aux performances inégalées Fabricant et concepteur d’aménagements extérieurs en bois composite coextrudés, Fiberdeck sélectionne d’excellentes matières premières et maîtrise les meilleures technologies pour que ses produits bénéficient d’un haut niveau de qualité et de performances exceptionnelles. D’une durée de 20 ans sans aucune décoloration visible à l’œil, les lames de bardage en bois composite coextrudées à faux claire-voie garantissent des ouvrages perennes. Des matériaux haute qualité pour un ouvrage durable Le bardage WEO®60 Fiberdeck est parfaitement adapté à tout type de complexe d’ITE, en construction neuve, en réhabilitation de l’ancien, en extension, et à tout type d’isolant. Une garantie de 20 ans anti-décoloration et un entretien limité ! Le bardage en bois composite WEO®60 a la particularité d’être étanche à l’eau, très résistant aux UV et aux agressions extérieures, qui fragilisent bien souvent les bardages traditionnels en bois. Grâce à la technologie de coextrusion, un film en polyéthylène qui enrobe la surface du profil, les lames du bardage sont insensibles aux taches, aux intempéries et à la décoloration, et ce pendant 20 ans ! Elles sont impustrescibles et ne risquent aucune reprise d’humidité. De plus, leur entretien est considérablement réduit. Un comportement au feu semblable au bois D’une grande longévité, le bardage composite WEO®60 profite du même comportement au feu en termes de réaction et de résistance au feu (classe D s1d0) que le bardage bois grâce à sa composition – fibre de bois et polymère (PEHD) – qui intégre un adjuvant ignifuge. Un profil alvéolaire à faux claire-voie tendance et stable Avec un profil unique, un décor à faux claire-voie composé de petites ondes fines et régulières, le bardage WEO®60 offre un relief marqué et rythmé à la façade. Esthétique et contemporaine, la forme trapézoïdale et prononcée des ondes, assure un bon écoulement de l’eau de pluie et imite parfaitement l’aspect claire-voie des bardages bois. Posées verticalement, les lames accentuent l’impression de hauteur, ou de profondeur lorsqu’elles sont fixées horizontalement. Par ailleurs, le profil WEO®60 est stabilisé grâce à sa sous-face. La structure est équipée d’ergots au dos des lames, qui permettent une fine circulation d’air entre le support et le revêtement. En pose verticale, cela permet de ne poser les lames que sur une simple ossature bois ou métal (hors avis technique, voir DTU). La technologie du bois composite coextrudé Le procédé de coextrusion consiste à appliquer un film de polyéthylène très fin haute densité (PEHD) en fusion directement sur le bois composite. Ce film étanche protège le bois de toute reprise d’humidité, stabilise le matériau et réduit la dilatation. Un aspect bois ultra-réaliste Le bardage composite WEO®60 Fiberdeck constitue une véritable alternative écologique au bardage en bois tropicaux. Il combine les performances de durabilité de la coextrusion avec l’aspect naturel et chaleureux du bois. Constituées de 50 % de fibres de bois, des sciures de l’industrie du bois, et 50 % de polyéthylène recyclé, les lames sont fabriquées à partir de 95 % de matériaux recyclés et sont 100 % recyclables. Sans produit toxique, sans colle ni métal lourd, elles offrent un environnement sain. Esthétiques, les lames de bardage WEO® imitent parfaitement l’aspect naturel du matériau bois, tant par le toucher chaleureux que les couleurs intenses aux teintes multichromatiques aléatoires. Le résultat est très réaliste. Aucune lame n’est identique, le décor est unique ! Décliné en 4 coloris &#8211; Cedar, Teak, Ipé, Dark grey &#8211; le bardage WEO®60 peut répondre à tous les projets architecturaux. Enfin, pour que la façade soit parfaitement uniforme, les fixations du bardage sont invisibles. La vis vient se dissimiler directement dans des languettes prévues à cet effet, afin d’avoir le rendu le plus épuré possible. Un bardage facile à mette en œuvre Les lames WEO®60 se fixent très facilement sur l’ossature bois ou métal avec seulement 1 vis inox à tête colorée par point de fixation. Elles s’emboîtent rapidement et peuvent être ajustées entre-elles à l’aide d’un jeu réglable. Ce système simple et rapide permet non seulement de les ajuster en réglant la profondeur d’emboîtement mais aussi de procéder à une fixation très discrète des lames. De plus, elles sont démontables et remontables pour simplifier les opérations de maintenance. Enfin, le profil trapézoïdal permet une pose horizontale ou verticale. Lame Bardage WEO® 60 &#8211; Profil faux claire-voie Dimensions : Épaisseur 33 x Largeur utile 140 mm x Longueur 3600 mm Recouvrement : 0.5 m² Poids d’une lame : 7,5 kg Fixation sur liteaux d’entraxe 60 cm : par vis inox SR2 teintées au coloris des lames Points de vente : Négoces en matériaux
Il y a 3 ans et 197 jours

Lafarge France a obtenu une ATEx pour Airium Combles

La mousse minérale Airium affiche un λ = 0,037W/m.K. [©Lafarge France] Lafarge France a obtenu une ATEx pour Airium Combles, une solution d’isolation performante et bas carbone, destinée à la rénovation des combles. L’industriel conforte ainsi son positionnement sur le marché de l’isolation des combles perdus avec une solution certifiée. Grâce à l’offre Airium Combles, il s’engage dans la rénovation thermique des bâtiments. Ceci, pour réduire la consommation énergétique des ménages. S’inscrivant pleinement dans le plan de rénovation thermique du parc de logements en France. Airium Combles est éligible aux différents dispositifs d’aides proposés par l’Etat, tels que CEE et MaPrimeRénov’. Disposant d’une durée de vie équivalente à celle d’un béton, la mousse minérale Airium offre une grande durabilité (pas de tassement, résiste aux éléments, aux rongeurs…). Tout en affichant un&nbsp;λ =&nbsp;0,037W/m.K.&nbsp;«&nbsp;Lafarge France vise ainsi en 2022, sur le secteur de la rénovation, la réalisation d’un volume de chantiers équivalent à 1 000 maisons individuelles. En s’appuyant sur un réseau d’au moins une vingtaine d&rsquo;entreprises de mise en œuvre réparties sur tout le territoire national&nbsp;»,&nbsp;peut-on lire dans le communiqué de presse.
Il y a 3 ans et 197 jours

Eldotravo.fr devient Eldo et accélère son déploiement européen

La start-up mène ce projet depuis plus d'un an et a mobilisé l'intégralité de ses équipes, 55 collaborateurs, pour offrir le meilleur à ses partenaires et utilisateurs. Les deux frères co-fondateurs, Hugo et Jean-Bernard Melet, ont dit au revoir à leur ancien nom, trop long et trop “français” et opté pour Eldo : duplicable et interprétable à l'international, qui met mieux en avant l'offre SaaS de la start-up.Un rebranding pour préparer une expansion européenne et asseoir sa position d'éditeur de logiciel pour les pros et les marques du BTPAvec plus de 100.000 avis et photos de particuliers sur son site, Eldo a réussi à devenir leader des avis clients du BTP avec l'obtention, en mars 2021, de sa certification AFNOR pour ses processus de collecte, modération et restitution d'avis.Un gage de qualité et de confiance, notamment pour les particuliers qui sont 88% à se fier aux avis clients en ligne lorsqu'ils recherchent des pros pour leurs travaux. Avec sa certification et son nouveau site internet, modernisé et repensé pour répondre aux besoins des visiteurs particuliers, Eldo améliore l'expérience utilisateur et renforce sa position de tiers de confiance du BTP.« Le Covid a changé la donne, avec le confinement, le BTP a connu une explosion historique de la demande de travaux : nous avons constaté une augmentation de 100% des demandes sur notre site et via les 1500 fiches Google my Business qui sont gérées via notre solution SaaS. Sur le 1er semestre 2021, il y a eu plus de 9 millions de recherches de professionnels supplémentaires.” explique Jean-Bernard Melet, CEO d'Eldo. “50% des consommateurs se disent insatisfaits du parcours client. Les professionnels ne doivent plus uniquement satisfaire sur la qualité des travaux, mais aussi être hyper réactif et qualitatif sur l'expérience client. »300 marques et 20.000 professionnels en Europe d'ici 2025Aujourd'hui, Eldo collabore avec plus de 50 industriels et marques, nationales et internationales du secteur, telles que SOMFY, Schneider Electric, Ariston ou encore Treppenmeister.Déjà présente en Belgique et Suisse avec son partenaire Murprotec, Eldo ambitionne d'ici 2022 de conquérir l'Europe et s'ouvrir ensuite à ses voisins espagnols et allemands.Le rebranding d'Eldo permet à la start-up d'élargir son offre, au-delà du site d'avis, et d'étendre sa plateforme marketing SaaS aux installateurs et marques d'Europe. Les travaux de rénovation résidentiels représentent un marché de 560B d'euros en Europe : soit plus de 5000 marques et 3,4 millions d'entreprises.Eldo, spécialiste de l'accompagnement digital des professionnels et marques du secteur de l'amélioration de l'habitatDepuis sa création en 2016, Eldo accompagne 2.500 pros et 50 marques du secteur à se digitaliser pour croître et assurer la meilleure expérience au client final. Eldo propose une suite applicative marketing, développée avec et pour eux, permettant de gérer simplement leurs principaux besoins du quotidien et leur faire gagner du temps :Réputation en ligne : collecte, gestion et diffusion d'avis clientsVisibilité locale Google : solution de référencement local et rayonnement de la marqueGestion intelligente des leads : centralisation des contacts, pilotage marketing et commercialAssistant digital commercial : envois automatiques de sms et rappels, conseils personnalisés« Je ne pensais pas que le partenariat prendrait si vite et si fort. Eldo était une toute petite boite, c'est aujourd'hui notre meilleur partenariat communication et d'aide à la vente.» Témoigne Pascale Anselme, Responsable marketing communication chez Profils Systèmes, filiale du groupe Corialis, un des acteurs majeurs de la menuiserie aluminium en France.Les outils digitaux constituent des ressources uniques pour développer des relations solides et garantir des réalisations qui durent. La maison est au centre de tout : le projet de vie des particuliers, l'accompagnement de ces derniers par les professionnels ainsi que les matériaux derrière ces projets, apportés par les industriels. Eldo s'attache à créer une solution pensée pour apporter de la valeur aux 3 parties indissociables : redonner force et considération aux professionnels, rassurer le particulier et faire rayonner les marques pour construire et rénover l'habitat de manière durable.
Il y a 3 ans et 198 jours

Saint-Gobain se renforce sur le marché de la chimie de construction au Mexique

ACQUISITION. Le spécialiste des matériaux de construction, Saint-Gobain, va acquérir Impact, un expert du marché de la chimie de la construction basé au Mexique.
Il y a 3 ans et 198 jours

Flambée des prix de l’énergie – Les poêles à granulés de bois Qlima, une option économique

Dès les premiers froids, le chauffage devient indispensable. Face à la hausse des prix de l’énergie, notamment du gaz, le bois constitue une solution économique pour de nombreux foyers. Écologiques et performants, les poêles à granulés de bois Qlima cumulent les avantages et s’imposent de plus en plus en tant que mode de chauffage individuel privilégié pour réaliser des économies d’énergie. De plus, les granulés de bois Qlima, fabriqués à partir des sous-produits forestiers de l’industrie du bois (sciures, écorces et autres copeaux…), sont 100 % naturels. Enfin, Qlima, qualifié RGE Qualibois, met tout son savoir-faire au service des particuliers en leur proposant l’installation et la mise en service de ses poêles à granulés de bois, avec l’assurance d’un rendement optimal en toute sécurité. Tour d’horizon des modèles Qlima de l’année Les poêles à granulés de bois Qlima associent le meilleur de la performance, du design et de la technologie. Derrière leurs formes arrondies ou cubiques, ils offrent des rendements élevés et un grand confort d’utilisation. Nouveau poêle étanche et canalisable Amadea 116 Qlima L’Amadea 116 Qlima est un poêle à granulés de bois étanche pouvant être contrôlé par WiFi. À haut rendement (94,39 %), ce modèle peut être relié à un réseau de canalisations. Ainsi, la chaleur émise bénéficie à une pièce secondaire en plus de celle où l’appareil est installé. Poêle étanche Lindara 77 Smart Qlima Bénéficiant d’une certification CSTB, le poêle à granulés de bois Lindara 77 Smart Qlima peut être installé en sortie horizontale (zones 1 et 2) ou en sortie ventouse horizontale (zone 3). Moins coûteuse, l’installation en zone 3 ne nécessite pas de conduit de cheminée existant, et réduit donc le volume des accessoires de fumisterie nécessaires à la pose. Poêles Ronda 88 Smart S-Line et 110 Smart S-Line Qlima Avec leur design galbé, les poêles à granulés de bois Ronda 88 Smart S-Line et 110 Smart S-Line Qlima sublimeront tous les intérieurs, des plus classiques aux plus contemporains. À haut rendement, ils disposent d’un atout essentiel : une programmation efficace qui optimise leur fonctionnement et réduit la consommation de combustible. Poêle Fiorina 78 S-Line Qlima Moderne et économique, le poêle à granulés de bois Fiorina 78 S-Line Qlima fournit un chauffage naturel sans qu’il soit besoin de transporter et de stocker des bûches. Conçu pour des pièces de grand volume (225 m3), ce modèle affiche une efficacité thermique exceptionnelle de 94,39 % et autorise jusqu’à 19,5 heures de chauffe en continu. Poêle d’angle Isotta 94 S-Line Qlima Fini la perte de place dans le salon ! Avec son évacuation possible sur les côtés ou au-dessus du poêle, le modèle à granulés de bois Isotta 94 S-line Qlima s’adapte à toutes les configurations d’angle pour optimiser l’espace de vie. Original et élégant, il est l’un des seuls poêles d’angle disponible sur le marché. &nbsp; Installation : les pros entrent en scène La pose d’un poêle à granulés est une étape primordiale à ne surtout pas négliger. Pour une totale sécurité et des performances optimales, l’appareil doit être installé conformément aux normes en vigueur (DTU 24.1 et 24.2). Qlima, qualifié RGE Qualibois, propose l’installation et la mise en service de ses poêles à granulés de bois par des professionnels agréés. Cas d’une installation par le particulier Qlima propose un forfait MISE EN SERVICE d’un montant de 169 € HT. Le professionnel contrôlera l’installation effectuée par le particulier, procédera aux réglages optimaux de l’appareil pour sa mise en service, et délivrera les conseils nécessaires à son bon fonctionnement. Cas d’une installation + mise en service par le professionnel Qlima propose également 3 forfaits ACHETÉ C’EST POSÉ. Ces offres clés en main (fumisterie + pose + mise en service par un professionnel RGE) permettent au particulier de bénéficier d’une garantie de 2 ans, d’une TVA réduite, d’un crédit d’impôt (si éligible) et de la prime énergie (si éligible) &#8211; Installation d’un poêle à granulés de bois Qlima à partir d’un conduit de fumée existant : forfait de 1 319 € HT comprenant la fumisterie, la pose et la mise en service. &#8211; Installation d’un poêle à granulés de bois Qlima avec la création d’un conduit extérieur en double parois isolées : forfait de 2 233 HT comprenant la fumisterie, la pose et la mise en service. &#8211; Installation du poêle étanche Lindara 77 Smart Qlima en sortie ventouse : forfait de 918 € HT comprenant la fumisterie double flux, la pose et la mise en service.
Il y a 3 ans et 198 jours

Vicat fait pousser des micro-algues à Montalieu-Vercieu

Le démonstrateur est installé dans la cimenterie Vicat de Montalieu-Vercieu (38). [©Vicat] Le cimentier français Vicat s’est associé à AlgoSource Technologies, TotalEnergies et l&rsquo;Université de Nantes. Ceci, pour accélérer le développement de la production de micro-algues à partir de CO2 et de chaleur fatale. Dans le cadre du projet de recherche industrielle “CimentAlgue”. Le démonstrateur est installé dans la cimenterie Vicat de Montalieu-Vercieu (38). Ce procédé innovant permet la valorisation d’effluents industriels en matières premières essentielles au développement de ces organismes. Et ainsi participer à la réduction des émissions de CO2 dans l’atmosphère. Zoom sur la valorisation de la spiruline La micro-algue en culture est l’Arthrospira platensis (plus communément appelée spiruline). Ce système permet de maîtriser tous les paramètres de la culture (lumière, température, CO2, nutriments) pour une croissance optimale. [©Vicat] Pour mémoire, rappelons que les micro-algues consomment 5 à 10 fois plus de CO2 au m² que les plantes terrestres. Préalablement validé à plus petite échelle par des essais au sein de la plate-forme AlgoSolis de l’université de Nantes et du CNRS, le démonstrateur CimentAlgue de 800 m² installé dans la cimenterie permet : d’atteindre les objectifs de culture de micro-algues à une échelle représentative (capacité d’environ 1 t de micro-algues sèches/an) ; d’optimiser les paramètres de culture maîtrisée des micro-algues ; de mesurer finement le bilan CO2 de la symbiose industrielle ; de définir les règles de dimensionnement d’autres installations pouvant être appliquées à d’autres sites/industries ; de réaliser des “essais grandeur nature” sur différents types de cultures de micro-algues et démontrer la viabilité industrielle et économique de leur culture ; de tester la compatibilité de ce procédé de récupération des fumées avec une application dans le domaine des biocarburants (du point du vue technique et règlementaire). Biocraburants dans la ligne de mire [©AlgoSource Technologie] Les différentes souches de micro-algues testées, comme la spiruline notamment, permettront de développer des produits vers des marchés adaptés à l’échelle industrielle des cimenteries. Les lipides, protéines ou sucres qui seront extraits pourront être utilisés en ingrédients alimentaires pour les animaux, comme biostimulants végétaux. Ou pour réaliser des matériaux biosourcés… Des souches oléagineuses à fort potentiel de croissance seront aussi testées dans le but de produire des biocarburants de 3e génération. Sur place, la culture de la spiruline a commencé cet été, avec un objectif de 1t/an pour les deux ans à venir, afin de recueillir des données en volume et qualité. Et valider le projet. Vicat prévoit aussi de cultiver une deuxième souche, une nannochloropsis, micro-algue lipidique pouvant servir de base à des biocarburants. Plus globalement pour réduire ses émissions de CO2, Vicat table en premier lieu sur le remplacement à 100 % des combustibles fossiles dans ses fours par des combustibles alternatifs d&rsquo;ici à 2025. Lire aussi&nbsp;: Vicat s’équipe pour décarboner son usine de Montalieu-Vercieu
Il y a 3 ans et 198 jours

isolation et préservation du patrimoine : les solutions actis

Comment entreprendre des travaux d’isolation de toiture sans modifier l’aspect extérieur du bâti ancien tout en garantissant une parfaite étanchéité? La conservation du patrimoine (immeubles haussmanniens, châteaux, manoirs, &#8230;) et sa rénovation énergétique sont des enjeux majeurs pour les maîtres d’œuvres. A l’occasion du Salon du Patrimoine, ACTIS, fabricant français d’isolants réflecteurs depuis 40 ans, présente ses solutions d’isolation, tant appréciées des Compagnons du Devoir couvreurs pour leurs performances thermiques et esthétiques. TRISO-TOITURE, UNE ISOLATION QUI PRÉSERVE L’ARCHITECTURE DU BÂTIMENT En rénovation, le choix de l’isolation est avant tout motivé par la performance énergétique du bâtiment et le confort thermique des occupants. Cependant, l’isolation occupe un volume non négligeable se soldant souvent par un compromis sur l’espace habitable ou l’architecture du bâtiment. Grâce à la souplesse de ses composants permettant d’utiliser judicieusement l’espace entre chevrons, Triso-Toiture, bénéficiant de la technologie alvéolaire brevetée d’Actis, se pose en crémaillère, sans rehausse importante de la toiture et sans modification de l’aspect du bâti. Solution haute performance 3 en 1, Triso-Toiture assure une isolation très efficace contre le froid en hiver grâce à une résistance thermique très élevée (R>6,20 m2.K/W), mais aussi contre la chaleur, en été, grâce aux films réflecteurs renvoyant jusqu’à 95% des rayonnements infrarouges. Elle garantit également l’isolation phonique ainsi que l’étanchéité à l’eau et à l’air selon les normes NF EN 1928 méthode A et NF EN 12114. Se présentant sous forme de pack, Triso-Toiture se compose de deux isolants complémentaires : • un isolant réflecteur avec pare-vapeur intégré : Triso Hybrid’ • un isolant réflecteur perspirant avec écran HPV intégré : Boost’R Hybrid’ Les deux composants sont mis en œuvre de manière à former une enveloppe isolante et étanche. Triso-Toiture d’Actis est insensible à l’humidité et sa légèreté lui assure une forte résistance au tassement, ce qui permet de maintenir ses caractéristiques mécaniques et ses performances thermiques dans le temps. Léger et peu encombrant, Triso-Toiture est rapide et facile à mettre en œuvre. (https://bit.ly/Actis_TrisoToiture) BOOST’R HYBRID’, ISOLANT DE SOUS-TOITURE HPV Préconisé en rénovation pour réaliser l’étanchéité de la toiture en complément d’une isolation existante, Boost’R Hybrid’ d’Actis est un isolant réflecteur alvéolaire souple perspirant de sous-toiture qui intègre un écran HPV de dernière génération. A la fois isolant et pare-pluie perméable à la vapeur d’eau (Sd
Il y a 3 ans et 198 jours

L'Etat et EDF lancent le fonds d'investissement "France Nucléaire"

La création de ce fonds était prévue dans le cadre du plan France Relance destiné à redynamiser l'économie française après la crise liée à la pandémie de Covid-19. Ce plan prévoyait une enveloppe globale de 470 millions d'euros pour la filière nucléaire française.Dans des communiqués distincts, le gouvernement et EDF ont annoncé le lancement du "Fonds France nucléaire" avec une souscription à part égale. Cela "pour un montant de 50 millions d'euros chacun et avec pour cible un investissement total de 200 millions d'euros à horizon 2023", détaille EDF.Le fonds "a pour objectif de réaliser des investissements destinés à accompagner la croissance des PME et des ETI de la filière nucléaire", précise EDF.Une société de gestion indépendante (Sigefi Private Equity) a été choisie et elle donnera la priorité aux "investissements dans les entreprises françaises possédant un savoir-faire important pour l'industrie nucléaire nationale".Le gouvernement a par ailleurs annoncé 61 nouveaux projets lauréats du volet nucléaire du plan France Relance, dont 43 portant sur la modernisation de l'outil industriel et l'innovation et 18 en matière de compétences et de formation professionnelle."Au total, ce sont désormais 95 projets de la filière nucléaire qui sont soutenus par France Relance à hauteur de 110,5 millions d'euros, pour un montant total d'investissements pour l'industrie de près de 366 millions d'euros", souligne le gouvernement.Le nucléaire bénéficie aussi d'une enveloppe dans le plan "France 2030" récemment annoncé par le président Emmanuel Macron. Il prévoit un investissement d'un milliard d'euros dans l'énergie nucléaire d'ici 2030 pour développer des "technologies de rupture", notamment les petits réacteurs (dits SMR).
Il y a 3 ans et 198 jours

Goran Ostojic, nouveau directeur du développement de Wizzcad

Goran Ostojic est le nouveau directeur du développement de Wizzcad. [©Wizzcad] Goran Ostojic rejoint Wizzcad à la direction du développement. Cette nomination illustre la stratégie du spécialiste du conseil des acteurs de l&rsquo;immobilier et de la construction dans leur transformation digitale à renforcer ses équipes. Ceci, pour accélérer son engagement auprès des acteurs du BTP. Mais aussi de tous les acteurs qui franchissent le cap du numérique. Le recrutement de talents se poursuivra sur les prochains mois, dans toutes les lignes métiers. Goran Ostojic aura pour mission d&rsquo;accélérer la trajectoire de croissance de l&rsquo;entreprise vers la scale-up1. « C&rsquo;est l&rsquo;âge d&rsquo;or du numérique en France et dans le monde entier d&rsquo;ailleurs, alors ceux qui savent que je n&rsquo;aime pas m&rsquo;arrêter sur ce que je sais ne sont pas du tout surpris de mon choix pour Wizzcad ! Leur plate-forme technologique est la plus avancée d&rsquo;Europe en matière de BIM et leur solution digitale utilisée par bon nombre d&rsquo;acteurs différents m&rsquo;a séduit dès le départ. Elle dispose en outre d&rsquo;un track2 record sans égal dans ce domaine d&rsquo;avenir. L&rsquo;entreprise est moderne et le bonheur au travail s&rsquo;y ressent dès l&rsquo;intégration. Je me réjouis donc de rejoindre cette équipe dynamique où il fait bon travailler et innover ensemble pour un monde de demain plus efficient ! », déclare Goran Ostojic. Son parcours Goran Ostojic dispose d&rsquo;une solide expérience de plus de 20 ans dans le management, la stratégie, le commerce, le marketing et les technologies du numérique. Après des études de commerce, d&rsquo;audit et de gestion d&rsquo;entreprise, puis de management, il a débuté sa carrière chez Ecus, un fabricant français de solutions de protection électrique data center. Il décide ensuite de s&rsquo;orienter vers un marché en pleine croissance et rejoint le premier fournisseur d&rsquo;accès Internet, c&rsquo;était alors les débuts du digital en France en 1998. Il est séduit quelques années plus tard par un éditeur de logiciels Alpi France, grâce auquel, en tant que membre du directoire, il oriente la stratégie vers l&rsquo;automatisation des documents et le processus BIM. Depuis ce jour, sa perception de la modélisation des données du bâtiment et son souhait d&rsquo;aller vers les solutions digitales n&rsquo;a cessé de grandir. « Les seules limites que je vois à la digitalisation sont celles de notre vision », conclut Goran Ostojic. 1La scale-up est une start-up passée à l’étape numéro 2. D’où le mot anglais “Scale”, qui signifie “échelle” en français. De la start-up à la scale-up, le changement d’échelle se manifeste à tous les niveaux, car l’entreprise adopte volontairement une stratégie de croissance. A ce stade, l’offre et le business model sont validés. L’objectif d’une scale-up est donc d’être capable de changer d’échelle pour faire croître son business et son chiffre d’affaires de façon significative. 2Le track record désigne l’historique de vie d’une entreprise ou d’un fonds de placement.
Il y a 3 ans et 198 jours

Alistair Lenczner devient le directeur de l’innovation projets pour l’Arep

Alistair Lenczner rejoint l’Arep au poste de directeur de l’innovation projets. [©Arep] En septembre dernier, concepteur pluridisciplinaire et spécialiste dans l’architecture et l’ingénierie, Alistair Lenczner a rejoint l’Arep1 au poste de directeur de l’innovation projets. Nouvellement créée, cette fonction est rattachée directement à la direction générale. Alistair Lenczner aura deux missions des plus importantes. La première sera de structurer l’innovation pour les projets de maîtrise d’œuvre. Cette mission sera en lien avec l’orientation stratégique de l’agence. Il lui faudra aussi veiller à une bonne articulation entre les différents métiers. La seconde mission sera de collaborer à la mise en place de la stratégie de développement de l’Arep. La priorité va à la zone Europe, avec la direction clients publics-privés. «&nbsp;L’arrivée d’Alistair Lenczner traduit une évolution renforcée du management de l’innovation au sein de l’agence. Et notre ambition de développement sur le périmètre européen&nbsp;», témoigneRaphaël Ménard, président de l’Arep. De plus, soucieuce de prendre en compte les problématiques d’aujourd’hui, l’Agence de l’architecture interdisciplinaire souhaite encore plus prendre en compte l’aspect environnemental pour chacun des projets. Le parcours d’Alistair Lenczner «&nbsp;L’un de mes principaux objectifs sera de faire en sorte que l’ensemble du groupe se maintienne à la pointe de la conception innovante, à la fois en termes d&rsquo;utilisation de nouvelles technologies et en termes de nouveaux types de collaboration. En cohérence avec les ambitions d&rsquo;Arep, une attention particulière sera portée à l&rsquo;atteinte d&rsquo;objectifs environnementaux sur tous les projets », insiste Alistair Lenczner. Diplômé en génie civil à l’Impérial College de Londres, il termine ses études en 1981. Il débute sa carrière au bureau d’études Arup, en tant que concepteur de grands projets. Pendant 13 ans, il participe à l’élaboration et à la recherche de structures innovantes pour des projets internationaux. A cette occasion, il arrive en France pour 2 ans chez RFR2 Paris. En 1998, il rejoint l’agence Foster+Partners en qualité d’architecte associé. Il y pilotera des projets importants. Il a notamment été en charge du viaduc de Millau. En 2014, Alistair Lenczner rejoint le bureau d’études Expedition Engineering, où il apporte son expertise sur la conception de nouveaux projets d&rsquo;infrastructures portant des objectifs durables. Par ailleurs depuis 2016, il enseigne le design à l&rsquo;Architectural Association de Londres. Pendant sa vie professionnelle, Alistair Lenczner a ainsi touché à différents aspects de l’architecture et de l’ingénierie. 1Agence de l’architecture interdisciplinaire. 2Agence d’ingénierie et d’architecture.
Il y a 3 ans et 198 jours

Saint-Gobain acquiert Impac et entre sur le marché de la chimie du bâtiment au Mexique

L’entreprise, qui a généré un chiffre d'affaires de près de 50 M€ en 2020, gère une usine de production à Monterrey et emploie environ 630 personnes.
Il y a 3 ans et 198 jours

Unilin Group présente une innovation mondiale avec le recyclage de panneaux MDF et HDF

Jusqu'à présent, il était techniquement impossible de recycler, une fois en fin de vie, les 100 millions de m3 de panneaux MDF et HDF qui sont produits chaque année à travers le monde. Unilin Group, dont le siège est basé en Flandre, a aujourd'hui mis au point une technologie innovante unique permettant de recycler les fibres de bois de ces panneaux et de les réutiliser pour la production de panneaux de fibres de qualité à l'échelle industrielle. Le chaînon manquant d'une histoire durableLes panneaux de fibres MDF (panneau de fibres à densité moyenne) et HDF (panneau de fibres à haute densité) sont couramment utilisés dans l'industrie de l'ameublement, l'aménagement intérieur et pour la production de sols stratifiés. Unilin Panels, la division d'Unilin Group chargée de la fabrication des panneaux, se lance dans l'utilisation du bois dit « de réemploi » pour sa production. Il s'agit de bois qui n'est plus utilisable ou de déchets de bois, destinés à l'incinération. De cette manière, Unilin Group évite l'abattage d'arbres pour sa production et donne une nouvelle vie aux chutes de bois par le biais d'une autre application. Aujourd'hui, le groupe va donc encore plus loin.Véronique Hoflack, présidente d'Unilin Panels, qui est elle-même à l'origine de la nouvelle technologie de recyclage, explique : « De par l'utilisation de colle comme liant pour les fibres de bois, il n'existait pas encore de méthode réalisable sur le plan industriel pour recycler les fibres des déchets de panneaux une fois en fin de vie. La majeure partie était donc brûlée après utilisation (en moyenne 14 à 20 ans). Nous sommes aujourd'hui parvenus à développer un procédé innovant afin de recycler ces fibres de bois et de les réutiliser pour produire de nouveaux panneaux. Pensez par exemple à nos panneaux décoratifs Evola ou aux sols stratifiés de Quick-Step. Nous doublons ainsi la durée de vie des fibres de bois ! Une durée de vie allongée qui permet, dans l'intervalle, à de nouveaux arbres de pousser et de stocker à leur tour du CO2. Il s'agit donc d'un grand pas en avant vers la circularité. »L'économie circulaire et la durabilité comme ADN Le développement de cette technologie révolutionnaire s'inscrit parfaitement dans la stratégie de durabilité d'Unilin Group. Dans ce contexte, l'entreprise s'engage à contribuer à l'objectif de l'Accord de Paris sur le climat visant à limiter le réchauffement climatique à 1,5 C. Unilin Group voit son sens de l'innovation comme une condition importante pour concrétiser ces objectifs ambitieux. Dans les deux ans à venir, elle prévoit d'investir encore 160 millions d'euros en Belgique, dans la recherche et le développement, entre autres. Bernard Thiers, CEO d'Unilin Group : « L'économie circulaire et la durabilité sont parties intégrantes de l'ADN d'Unilin Group. Nous avons débuté nos activités en 1960 en tant que fabricant de panneaux agglomérés en lin et nous avons trouvé une solution pour les déchets issus de l'industrie locale du lin. Nous voyions à l'époque les défis liés au réemploi des matériaux comme une opportunité. Et c'est encore le cas aujourd'hui. Notre nouvelle technologie nous permet désormais de boucler complètement la boucle pour nos panneaux MDF et HDF (la base du stratifié Quick-Step). Ce développement est dans la droite lignée de notre stratégie relative aux matières premières durables, dans le cadre de laquelle nous n'utilisons que du bois de réemploi ou recyclé et allongeons au maximum la durée de vie de ce matériau. »Au cours d'une première phase, Unilin Group emploiera la technique pour le recyclage de matériau utilisé en interne sur le site de production de Bazeilles, où l'entreprise investit depuis des années déjà dans une technologie de pointe pour la production de panneaux MDF et HDF. Au cours d'une phase ultérieure, la capacité de recyclage sera augmentée afin de pouvoir également recycler des panneaux de fibres et des sols stratifiés d'autres acteurs de la filière. Cette technologie, qui a entre-temps été brevetée, est véritablement une exclusivité mondiale. D'ici 2030, au moins 25% du mix de matières premières d'Unilin Group devraient être remplacés par des fibres recyclées. De cette manière, 380 000 tonnes de CO2 resteront chaque année stockées dans les fibres de bois qui se verront offrir une nouvelle vie au moyen de cette technologie.
Il y a 3 ans et 199 jours

La question des énergies renouvelables et de la fin du nucléaire, s'invite dans le débat présidentiel

Le réseau d'experts, pionnier dans la réalisation de ce genre d'exercice prospectif, avance son nouveau scénario à horizon 2050 quelques jours avant que le gestionnaire du réseau électrique à haute tension RTE présente les siens, très attendus par les pouvoirs publics.NégaWatt constate d'abord que l'on pourrait réduire nettement les besoins énergétiques en rénovant efficacement les bâtiments : en passant de 30.000 à 800.000 rénovations thermiques globales par an d'ici 2030, avec des travaux globaux et pas par morceaux.L'électrification des voitures, complétée par de l'hybride biogaz (pour limiter le recours au lithium), le report modal, ainsi qu'une redevance pour les transports routiers permettant de financer le ferroviaire ("l'idée n'étant pas de moins partir en vacances") forment l'autre levier d'action sur la demande pour sortir des fossiles, sources du réchauffement.In fine, la consommation d'énergie se trouve divisée par deux en 2050 par rapport à aujourd'hui.L'approvisionnement, lui, repose sur les éoliennes dont il faudra doubler le nombre, à 18.500, quand l'Allemagne en compte déjà 30.000. "Ce n'est pas une invasion comme certains veulent le faire croire", commente Marc Jedliczka, un porte-parole.Mais aussi le photovoltaïque, en doublant la croissance annuelle actuelle. Le scénario table aussi sur une forte hausse du biogaz agricole.Corollaire : nul besoin de construire de réacteurs nucléaires, ni même de démarrer l'EPR de Flamanville, qualifié d'"échec industriel majeur".Et "en fermant les anciens réacteurs entre leur 40e et 50e année, le système électrique peut se passer de l'atome tout en assurant la sécurité d'approvisionnement via le stockage et le pilotage des flexibilités électriques" générées par les renouvelables, a calculé l'association."Loin du renoncement ou de l'illusion de solutions faciles", ces propositions s'ancrent dans "un réalisme opérationnel", dit le porte-parole de négaWatt, Yves Marignac.Selon l'association, la neutralité carbone du pays pourrait être atteinte dès 2047, avec des puits de carbone permis par l'agroécologie et "zéro artificialisation nette"."Une feuille de route""À rebours des injonctions à produire et consommer toujours davantage, au mépris des limites planétaires", le scénario, qui se veut "une feuille de route pour le quinquennat" à venir, prône aussi une relance industrielle "vertueuse" combinant filières d'avenir (éolien offshore, batteries, électrolyseurs...) et optimisation des ressources (recyclage, matières biosourcées, écoconception...).Cette publication quinquennale, prenant aussi en compte les besoins en minerais et les émissions de nos importations, intervient en plein débat sur l'avenir énergétique de la France, qui s'est engagée à la neutralité carbone en 2050. Comment y parvenir ?À la demande du gouvernement, RTE a travaillé plus de deux ans à imaginer la production électrique de demain, mais aussi la demande, qui pourrait être soutenue avec l'essor du véhicule électrique et de l'hydrogène.Plusieurs scénarios devraient ainsi être présentés lundi, pointant tous le nécessaire essor des renouvelables : des hypothèses allant du 100% jusqu'au renouvelable-nucléaire à 50-50.L'atome produit aujourd'hui plus de 70% du courant en France, un record mondial. Le gouvernement a choisi de le ramener à 50% d'ici 2035 pour diversifier son bouquet, mais la suite fait l'objet de rugueux débats, ravivés dans le contexte électoral.L'État devait se prononcer sur la poursuite du programme de construction d'EPR au plus tard en 2023, lorsque Flamanville aura normalement démarré.Dans l'immédiat, le président Emmanuel Macron a déjà acté du soutien à la fabrication de prototypes de "petits réacteurs" SMR, via le plan d'investissement "France 2030"."Le futur électrique de la France est-il une affaire déjà conclue?", s'est inquiété mercredi le Réseau action climat. "L'étude de RTE et les autres scénarios récents doivent permettre un débat démocratique", réclame la fédération d'ONG, pour qui l'option de nouveaux réacteurs sera "trop lente pour agir sur le climat dans la décennie".Les écologistes, avec Yannick Jadot et Matthieu Orphelin, doivent aussi tenir un point presse, accusant Emmanuel Macron de sortir "l'artillerie lourde pour tenter de démontrer que le lancement d'un nouveau programme d'EPR s'impose d'urgence".