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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 3 ans et 213 jours

Hoppe présent au salon Artibat

Espace Smart Home / Smart BuildingLes ePoignées de fenêtreCes poignées communiquent avec la box et émettent un signal radio dès qu’elles changent de position. La position de la fenêtre est ainsi transmise au système Smart Home grâce au capteur directement intégré dans la poignée et au mouvement de rotation de celle-ci (technologie EnOcean).Elles fournissent donc au système Smart Home/Smart Building des informations permettant d’améliorer les processus programmés, comme la gestion du chauffage, de la climatisation et de l’alarme.Les ePoignées de fenêtre HOPPE fonctionnent sans pile et sans câble. Leur mise en service est facile et instantanée : la poignée est connectée, détectée puis intégrée au système comme les autres composants.L’ePoignée de porte HandsFreeEn démonstration sur notre stand 11A11, cette ePoignée de porte HandsFree permet de déverrouiller la serrure de la porte d’entrée sans utiliser de clé et sans avoir à poser ce que l’on a dans les mains !Les personnes autorisées à entrer sont automatiquement reconnues à quelques mètres de la porte grâce à un signal crypté émis par le transpondeur (au format porte-clés) qu’elles ont sur elles. A l’approche de la porte (côté extérieur), un point lumineux est projeté au sol. Un léger mouvement du pied au-dessus de ce point lumineux (bleu, rouge ou vert) déverrouille la serrure motorisée de la porte d’entrée qui peut ensuite être ouverte, sans la toucher et en toute simplicité.Espace sécuritéLa poignée de fenêtre à verrouillage automatique SecuForte®Il s’agit de LA nouvelle poignée de fenêtre avec retardement à l’effraction HOPPE avec un concept de protection unique et innovant :Verrouillage automatique de la poignée de fenêtre en position fermée (0°) et oscillo-battante (180°)Protection contre les effractions par percement de la vitre au niveau du joint d’étanchéité, du profil ou encore déplacement de la ferrureS’adapte à tout type de fenêtreÉgalement disponible en version verrouillable à cléLes poignées de fenêtre SecuForte® sont très facile à utiliser : il suffit d’appuyer (1) sur la poignée, la tourner (2) et ouvrir normalement la fenêtre.Espace hygièneLes poignées de porte et de fenêtre antimicrobiennes SecuSan®Pour ouvrir une porte, nous attrapons instinctivement la poignée à pleine main. Mais ce geste, si anodin soit-il, est devenu source d’inquiétude !Les poignées SecuSan® permettent une protection active et réduisent jusqu’à 99% la croissance des germes. Elles aident à mettre en place des normes d'hygiène élevées et conservent leur efficacité sans entretien particulier. Avec une gamme qui s’est élargit en 2021, HOPPE propose désormais ce revêtement antimicrobien et antibactérien sur 6 designs de poignées de porte et de fenêtre mais également sur des poignées battantes et des sets pour porte coulissantes.Espace design et techniqueUn même design de poignées pour équiper toutes les menuiseries intérieures et extérieures d’un bâtimentFort de son savoir-faire et de ses innovations, HOPPE est le seul fabricant à proposer avec un même design de poignées (ligne Hamburg et Toulon), toute une gamme complète et adaptée à l’ensemble des menuiseries d’un bâtiment (porte d’entrée, porte intérieure, fenêtre, baie vitrée, menuiserie alu,…).
Il y a 3 ans et 213 jours

Spie batignolles devient constructeur imprimeur de solutions 3D

« La technique de l'impression 3D s'inscrit pleinement dans notre stratégie d'innovation visant à accélérer la transformation de nos métiers. L'intégration définitive de cette brique d'innovation dans notre activité est issue de la réussite de deux POC (proof of concept). Les enjeux auxquels l'impression 3D peut répondre sont nombreux et présagent d'un marché en très forte croissance au cours des années à venir. C'est dans cette perspective que Spie batignolles a décidé de s'équiper d'une première imprimante 3D destinée à produire des éléments pour nos besoins en propre et pour le compte d'autres clients » - explique Jean-Charles Robin, président de Spie batignolles.« L'acquisition d'un système industriel XtreeE par notre partenaire Spie batignolles permettra de développer rapidement l'emploi d'éléments imprimés en 3D sur des projets de construction, afin de gagner en productivité et de réduire de plus de 50% l'empreinte carbone de certains éléments massifs en béton (voussoirs, piles ou murs). Une telle réduction de l'empreinte carbone peut être atteinte en optimisant la forme des éléments, désormais fabricables à coûts maîtrisés grâce à l'impression 3D, et en utilisant des matières imprimables bas carbone » indique Jean-Daniel Kuhn, directeur général et cofondateur d'XtreeE.De la R&D à la productionFort de premiers tests concluants avec l'impression de coffrage de nœuds de poutres et de boîtes de réservation mis en œuvre sur ses chantiers, Spie batignolles a souhaité se doter d'un système d'impression 3D en propre afin d'étendre le champ des possibles sur un marché à fort potentiel.La stratégie du groupe repose ainsi sur deux axes principaux :1er axe : le développement d'une nouvelle activité d'imprimeur au travers d'un catalogue de composants imprimables standards ou sur-mesure pour le compte de tiers.2ème axe : les gains de productivité sur les chantiers du groupe avec l'impression d'éléments facilement réplicables (boîtes de réservation par exemple).Une partie du temps robot sera également dédié à la Recherche et au Développement de nouveaux produits en lien avec XtreeE et l'écosystème de la construction.« L'impression 3D répond aussi à un enjeu environnemental car la technique permet d'économiser de la matière. C'est une véritable réponse aux enjeux de pénurie de matériaux et de délais d'approvisionnement. La technique offre de belles perspectives de développement avec l'emploi de matières recyclées par exemple. Nous n'en sommes qu'aux prémisses, notamment en matière de règlementation technique pour l'obtention d'ATEX », précise Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignolles.Un potentiel d'impression considérableLa cellule d'impression 3D béton acquise au mois de juillet dernier par Spie batignolles auprès de son partenaire XtreeE comprend un bras robotisé sur lequel vient se connecter le système d'impression issu de la technologie brevetée par la start-up. Ce système d'impression multi-matériaux peut imprimer du béton, mais pas seulement : mortiers, matériaux à base de terre, plâtre et géopolymères font également partie des possibilités.Le robot sera installé sur un piédestal de 2m de hauteur pour permettre une impression 3D à 360° sur un rayon de 5 m et offrir un large volume imprimable allant jusqu'à 5 m de hauteur.L'imprimante 3D sera livrée et installée en novembre sur la plateforme matériel de Spie batignolles située à Ollainville (91) et la production démarrera en janvier 2022 après une phase de formation et de montée en compétence des équipes.Les 2 ingénieurs dédiés à cette nouvelle activité de production s'appuieront sur le savoir-faire d'XtreeE et poursuivront ainsi le partenariat démarré en 2020 entre la start-up et Spie batignolles.Par cette acquisition et le lancement de sa nouvelle activité, Spie batignolles s'engage pleinement dans le BTP 4.0 et poursuit l'industrialisation de ses métiers au service de leur performance.
Il y a 3 ans et 213 jours

Spie batignolles : Constructeur imprimeur de solutions 3D

« La technique de l'impression 3D s'inscrit pleinement dans notre stratégie d'innovation visant à accélérer la transformation de nos métiers. L'intégration définitive de cette brique d'innovation dans notre activité est issue de la réussite de deux POC (proof of concept). Les enjeux auxquels l'impression 3D peut répondre sont nombreux et présagent d'un marché en très forte croissance au cours des années à venir. C'est dans cette perspective que Spie batignolles a décidé de s'équiper d'une première imprimante 3D destinée à produire des éléments pour nos besoins en propre et pour le compte d'autres clients » - explique Jean-Charles Robin, président de Spie batignolles.« L'acquisition d'un système industriel XtreeE par notre partenaire Spie batignolles permettra de développer rapidement l'emploi d'éléments imprimés en 3D sur des projets de construction, afin de gagner en productivité et de réduire de plus de 50% l'empreinte carbone de certains éléments massifs en béton (voussoirs, piles ou murs). Une telle réduction de l'empreinte carbone peut être atteinte en optimisant la forme des éléments, désormais fabricables à coûts maîtrisés grâce à l'impression 3D, et en utilisant des matières imprimables bas carbone » indique Jean-Daniel Kuhn, directeur général et cofondateur d'XtreeE.De la R&D à la productionFort de premiers tests concluants avec l'impression de coffrage de nœuds de poutres et de boîtes de réservation mis en œuvre sur ses chantiers, Spie batignolles a souhaité se doter d'un système d'impression 3D en propre afin d'étendre le champ des possibles sur un marché à fort potentiel.La stratégie du groupe repose ainsi sur deux axes principaux :1er axe : le développement d'une nouvelle activité d'imprimeur au travers d'un catalogue de composants imprimables standards ou sur-mesure pour le compte de tiers.2ème axe : les gains de productivité sur les chantiers du groupe avec l'impression d'éléments facilement réplicables (boîtes de réservation par exemple).Une partie du temps robot sera également dédié à la Recherche et au Développement de nouveaux produits en lien avec XtreeE et l'écosystème de la construction.« L'impression 3D répond aussi à un enjeu environnemental car la technique permet d'économiser de la matière. C'est une véritable réponse aux enjeux de pénurie de matériaux et de délais d'approvisionnement. La technique offre de belles perspectives de développement avec l'emploi de matières recyclées par exemple. Nous n'en sommes qu'aux prémisses, notamment en matière de règlementation technique pour l'obtention d'ATEX », précise Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignolles.Un potentiel d'impression considérableLa cellule d'impression 3D béton acquise au mois de juillet dernier par Spie batignolles auprès de son partenaire XtreeE comprend un bras robotisé sur lequel vient se connecter le système d'impression issu de la technologie brevetée par la start-up. Ce système d'impression multi-matériaux peut imprimer du béton, mais pas seulement : mortiers, matériaux à base de terre, plâtre et géopolymères font également partie des possibilités.Le robot sera installé sur un piédestal de 2m de hauteur pour permettre une impression 3D à 360° sur un rayon de 5 m et offrir un large volume imprimable allant jusqu'à 5 m de hauteur.L'imprimante 3D sera livrée et installée en novembre sur la plateforme matériel de Spie batignolles située à Ollainville (91) et la production démarrera en janvier 2022 après une phase de formation et de montée en compétence des équipes.Les 2 ingénieurs dédiés à cette nouvelle activité de production s'appuieront sur le savoir-faire d'XtreeE et poursuivront ainsi le partenariat démarré en 2020 entre la start-up et Spie batignolles.Par cette acquisition et le lancement de sa nouvelle activité, Spie batignolles s'engage pleinement dans le BTP 4.0 et poursuit l'industrialisation de ses métiers au service de leur performance.
Il y a 3 ans et 213 jours

Opter pour une bûche de ramonage pour votre entretien d’appoint

Si vous souhaitez effectivement optimiser le rendement de votre appareil de chauffage, vous pouvez entreprendre des travaux de ramonage de cheminée chimique. Il s’agit d’une technique d’appoint qui permet d’utiliser une bûche spécifique, afin de dégager les suies qui restent encore accrochées à votre conduit. En effet, malgré le passage d’un artisan spécialisé, si vous exploitez intensément votre foyer durant la période de chauffe, il est préférable de recourir à cette alternative. Dans cette optique, l’intervention sera en complément de l’entretien annuel obligatoire qui devait être assuré par un professionnel certifié. Pour cette solution de secours, vous n’êtes plus tenu de faire appel à un ramoneur qualifié, il vous suffit de suivre méticuleusement les recommandations d’usage. Guide d’utilisation D’après le centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB), la manipulation des produits de ramonage chimique, tels que la bûche reste sans danger pour les utilisateurs. En effet, ils sont considérés comme des solutions synthétiques propres compte tenu de leurs compositions (sciure de bois compactée, sels minéraux métalliques, sulfate de cuivre pentahydrat). Autrement dit, ces mélanges ne contiennent pas des ingrédients nocifs pour la santé tels que le soufre ou le chlore. Toutefois, leur mise en œuvre doit tenir compte des indications recommandées par le fabricant pour être en conformité aux normes en vigueur. Pour une utilisation optimale, les producteurs préconisent les démarches suivantes : Allumage du feu 2 à 3 heures au préalable, Maintien du feu à vif pour permettre à la chaleur de réchauffer le conduit et ramollir ainsi le goudron pour qu’ils se décollent plus facilement. Sortie de la bûche de son étui, tout en gardant dans son emballage en papier, avant de la déposer sur les braises. Prévision d’une bonne heure de combustion. Extinction avec de l’eau ou de la neige carbonique après l’opération. Avantages et inconvénients Le choix d’une bûche de ramonage présente effectivement des avantages comme des inconvénients que vous devez savoir avant son utilisation. Parmi ces bénéfices, il s’agit d’une solution sans odeur et qui n’est pas susceptible de provoquer des risques d’allergie, tout en permettant d’activer les bistres. Autrement, il est maniable et reste particulièrement léger en ne pesant pas plus de 1Kg. Il est également bon marché, car il ne coûte que 10 à 15 euros. En ce qui concerne les points négatifs, il est important de noter que cet entretien ne remplace nullement la méthode mécanique réalisée par un ramoneur certifié. Par conséquent, il n‘est pas pris en considération par les compagnies d’assurance, en cas de sinistre. Cependant, cette opération vous offre l’opportunité d’améliorer la performance de votre appareil de chauffage, si vous l’effectuez 15 j avant l’exécution de la méthode traditionnelle. De plus, solliciter les services d’un professionnel vous accorde le privilège d’obtenir un certificat de ramonage en bonne et due forme. En cas de manquement, vous vous exposez à de lourdes sanctions qui sont estimées à plus de 450 euros d’amende dans certains départements. Bref, il est intéressant d’utiliser une bûche pour entreprendre des travaux de ramonage de cheminée d’appoint, afin d’optimiser le rendement de votre système de chauffage. Toutefois, rien ne vaut les prestations d’un professionnel si vous souhaitez bénéficier d’un certificat de ramonage. Par conséquent, vous devez faire appel à un ramoneur pour obtenir des garanties en cas de sinitres.
Il y a 3 ans et 213 jours

Raboni Normandie dans le giron de Saint-Gobain

Saint-Gobain a finalisé l’acquisition de Raboni Normandie. [©Raboni Normandie] Saint-Gobain a finalisé l’acquisition de la société Raboni Normandie. Qui est un distributeur multi-spécialiste de matériaux de construction sur le marché de la rénovation résidentielle. Ainsi que de l’efficacité énergétique en France. Raboni Normandie emploie plus de 100 personnes, dispose d’un réseau de 12 points de ven. Et a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 30 M€ en 2020. Ces points de vente permettront de compléter la présence territoriale de Point.P en Normandie. Où l’enseigne est déjà implantée avec un réseau de 70 distributeurs. Saint-Gobain renforce ainsi ses positions sur le marché de la distribution en France.
Il y a 3 ans et 214 jours

Vachette veut accélérer sur le secteur tertiaire

TROIS QUESTIONS A... Si le spécialiste des systèmes de sécurité, Vachette (groupe Assa Abloy), est davantage présent sur le segment du résidentiel, il affiche aujourd'hui de fortes ambitions dans le tertiaire où il souhaite doubler son chiffre d'affaires d'ici à 3 ans.
Il y a 3 ans et 214 jours

A la recherche du temps ailleurs

La sculpture de certains esthètes à la mode des tenants de l’Industrie du luxe ou du Big Pharma est au mieux baroque, et au pire, dépassée avant même de s’être montrée. Une histoire du temps ? Impossible de parler de temps sans faire référence à Stephen Hawking, physicien théoricien et cosmologiste britannique qui malgré une grave […] L’article A la recherche du temps ailleurs est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 214 jours

Le patrimoine des ménages a progressé en 2020 malgré la crise

Le patrimoine des ménages s'établit ainsi fin 2020 à 13.440 milliards d'euros, soit 9,3 fois leur revenu disponible net, en hausse de 6,4% sur un an.Leur patrimoine non financier, quasi exclusivement constitué des biens immobiliers, a ainsi progressé de 6,6%, après +5,5% en 2019.Il est notamment tiré par "l'accroissement marqué des prix de l'immobilier fin 2020", et cela "même si la crise sanitaire perturbe la dynamique des ventes immobilières en provoquant une contraction de l'investissement", soulignent les deux institutions dans une note commune.Le patrimoine financier net des ménages a lui aussi continué de croître, mais à un rythme bien plus lent qu'en 2019 (+6% contre +10,3%), année qui avait été marquée par une forte hausse des cours boursiers.L'an dernier, les ménages ont gonflé leurs dépôts et leurs placements, les restrictions sanitaires ayant entrainé une chute de la consommation et la constitution d'une épargne "forcée", dans un contexte de maintien des revenus grâce aux aides de l'Etat (chômage partiel, etc...).Les entreprises (hors secteur financier) ont, elles aussi, vu leur patrimoine croître nettement l'an dernier à +11,2%, après +4,3% en 2019, à 3.372 milliards d'euros.Comme pour les ménages, leur patrimoine non financier a profité de la hausse des prix de l'immobilier, tandis que leur patrimoine financier net est resté stable, la hausse de leurs passifs (prêts garantis par l'Etat, etc.), étant compensée par la progression de leurs actifs (encours d'actions, etc.).De même, le patrimoine des sociétés financières s'est accru de 23% à 682 milliards d'euros.A l'inverse, le patrimoine des administrations publiques a chuté de 39,9%, à 189 milliards d'euros, après une hausse de 8,9% en 2019.Cela s'explique par la hausse des emprunts que ces administrations ont été contraintes de contracter pour financer les mesures de soutien aux entreprises et aux ménages, mises en place pour faire face à la crise sanitaire.Au total, le patrimoine économique national a continué d'augmenter pendant la crise, avec une hausse de 6,9%, après +5,7% en 2019. Il atteint 17.682 milliards d'euros, soit 9,6 fois le produit intérieur net (produit intérieur brut auquel on retranche la dépréciation subie par le stock d'actifs).
Il y a 3 ans et 214 jours

Enquête ouverte sur l'attribution du marché public du parc éolien en baie de Saint-Brieuc

Le PNF avait été saisi fin août par le Comité des pêches des Côtes-d'Armor, qui dénonçait un recel de favoritisme dans l'attribution en 2012 de ce marché public à Ailes Marines, filiale de l'entreprise espagnole Iberdrola.Ce projet de parc éolien suscite une vive hostilité des pêcheurs, qui s'inquiètent notamment de son impact sur l'environnement marin et sur leur activité.Contactée par l'AFP, la société Ailes Marines a refusé de faire des commentaires."Dès lors qu'un risque pénal sérieux pèse sur l'opérateur, les cartes peuvent être rebattues", ont pour leur part réagi auprès de l'AFP Me William Bourdon et Me Vincent Brengarth, avocats du Comité des pêches des Côtes-d'Armor."Un dialogue effectif est toujours possible et souhaitable avec des pêcheurs responsables et légitimes dans leurs revendications", ont-ils ajouté.Lorsqu'ils avaient effectué leur signalement auprès du PNF, les deux avocats avaient rappelé dans un communiqué qu'en avril 2012, la société Ailes Marines avait été choisie par les ministres de l'Ecologie et de l'Industrie pour la construction de ce parc alors que la société concurrente "Eolien maritime France" avait été désignée par la Commission de régulation de l'énergie (CRE).Or, ce choix a depuis été jugé "irrégulier" par le Conseil d'Etat, "dans deux décisions de juillet 2019 (...) car l'exécutif avait pris en compte des conditions qui n'avaient pas été incluses dans le cahier des charges, pour favoriser Ailes Marines plutôt que la société concurrente", avaient observé les avocats.Les pêcheurs ont aussi déposé fin août une plainte au parquet de Brest contre "l'intégralité du projet", notamment pour "rejet de substance polluante" et "atteinte à la conservation des espèces animales non domestiques".Le 24 septembre, Mes Bourdon et Brengarth ont par ailleurs annoncé avoir déposé deux recours devant le tribunal administratif de Rennes pour faire suspendre puis annuler un arrêté autorisant les travaux du parc éolien.Le recours pour excès de pouvoir et le référé suspension "demandent respectivement la suspension puis l'annulation de l'arrêté du préfet maritime de l'Atlantique autorisant le navire Aeolus à se rendre sur le chantier du parc éolien marin dans la baie de Saint-Brieuc", avaient-ils expliqué.Propriété de la société néerlandaise Van Oord, le navire de forage Aeolus est responsable de deux fuites de fluides hydrauliques les 14 juin et 28 juillet. Des fluides "facilement biodégradables" avec "un faible impact sur l'environnement", selon Ailes marines.Mais pour la défense du Comité départemental des pêches, "l'urgence, condition nécessaire en matière de référé suspension, est d'autant plus caractérisée que la saison de la pêche de la coquille Saint-Jacques commence le lundi 4 octobre".La date d'audience du référé suspension a été fixée au 7 octobre.Le parc éolien de la baie de Saint-Brieuc doit être érigé à 16,3 kilomètres de la côte. D'une capacité totale de 496 MW, avec 62 éoliennes, il est censé produire 1.820 GWh par an, l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 835.000 habitants, selon Ailes Marines.Sa mise en service est prévue fin 2023 mais le chantier a pris du retard en raison d'incidents techniques et de difficultés liées à la nature du sol.
Il y a 3 ans et 214 jours

Des tutoriels simples et courts pour installer le meilleur système d'évacuation d'eau

Afin d'accompagner les professionnels dans leur quotidien et projets, Rheinzink à a mis en ligne trois nouveaux tutoriels simples et courts afin d'installer le système d'eau le plus adapté aux besoins de l'ouvrage et des habitants. Interactifs, clairs et dynamiques, ces tutos donnent les clés d'installation d'une gouttière en zinc qu'elle soit demi-ronde ou nantaise ainsi qu'un système de descente d'eaux pluviales.Un accompagnement ludique pour une installation optimaleCes nouveaux tutoriels ont été réalisés pour aider les professionnels à installer de la meilleure des façons le système d'évacuation des eaux pluviales le plus adapté à la configuration du bâtiment et des contraintes architecturales. A travers ces vidéos ludiques et courtes, le professionnel est accompagné tout le long de l'installation grâce à des conseils, des astuces et des bonnes pratiques. Grâce à l'ensemble de ces vidéos, il peut ainsi se laisser guider en toute confiance et procéder en toute simplicité à l'installation d'un système d'évacuation des eaux pluviales.La gouttière demi-ronde en zinc Rheinzink :Ce tutoriel permet de retrouver l'ensemble des étapes et des bonnes pratiques pour l'installation d'une gouttière pendante en zinc par l'intermédiaire de la gouttière demi-ronde Rheinzink ainsi que ses accessoires indispensables : talons, naissances, équerres, joint de dilatation, protection de gouttière, crapaudine.La gouttière nantaise en zinc Rheinzink :En 13 minutes, le professionnel retrouvera toutes les étapes pour installer une gouttière nantaise en zinc Rheinzink avec ses accessoires les plus courants : talons, équerres, joint de dilatation, doublis.Système de descente d'eau pluviales :Pour profiter d'un système optimal d'évacuation des eaux pluviales, un dernier tutoriel est proposé afin d'installer en 3 minutes un système de descente d'eau. Découpé en plusieurs étapes, ce tutoriel guide et indique les bonnes pratiques à appliquer.Pour accéder aux tutos, cliquer ici
Il y a 3 ans et 214 jours

Saint-Gobain acquiert le distributeur de matériaux Raboni Normandie

Raboni Normandie, spécialiste des matériaux de construction, emploie plus de 100 personnes, dispose d'un réseau de 12 points de vente et a réalisé un chiffre d'affaires d'environ 30 millions d'euros en 2020, indique Saint-Gobain dans un communiqué.Le montant de l'opération n'a pas été divulgué.Saint-Gobain, leader de la distribution de matériaux de construction en France avec plus de 2.000 points de vente, est déjà présent dans la région avec l'enseigne Point.P (70 points de vente en Normandie)."Saint-Gobain renforce ainsi ses positions sur le marché de la distribution en France et accroît la profondeur de son offre pour répondre au mieux aux besoins croissants des artisans et de leurs clients", ajoute le groupe dans son communiqué.En 2020, Saint-Gobain a réalisé un chiffre d'affaire de 38,1 milliards d'euros. Au premier trimestre 2021, il a enregistré un bénéfice net record à 1,298 milliard d'euros.
Il y a 3 ans et 215 jours

Les diagnostics énergétiques des logements anciens reprendront en novembre

Le DPE permet de détecter les logements très énergivores, qui doivent être progressivement interdits à la location à partir de 2025. Son édition avait été suspendue fin septembre en raison de "résultats anormaux" pour certains types de logements.La ministre déléguée chargée du logement, Emmanuelle Wargon, doit rencontrer lundi les représentants des professionnels du secteur, avant la publication vendredi d'un arrêté sur la méthode de calcul."Cette nouvelle méthode pourra être mise en oeuvre à partir du 1er novembre prochain, le temps que les corrections soient apportées aux logiciels utilisés par les diagnostiqueurs", indique le ministère dans un communiqué.Les DPE réalisés pour les logements les plus énergivores (classés F ou G) depuis le 1er juillet seront automatiquement réédités, sans frais pour les propriétaires, est-il ajouté.Les propriétaires de logements classés D ou E pourront aussi demander un nouveau calcul. Les diagnostiqueurs seront indemnisés pour la réédition de ces DPE.Le 1er juillet, le mode de calcul avait été modifié pour ne plus se baser sur les factures d'énergie, mais plutôt sur les caractéristiques du bâtiment.Le ministère recommande d'attendre le 1er novembre avant d'effectuer de nouveaux diagnostics.Au total, le gouvernement estime à 4,8 millions le nombre de "passoires thermiques", classées F et G. Un tiers seraient occupées par des propriétaires à faibles revenus.
Il y a 3 ans et 215 jours

Saint-Gobain achève l'acquisition de Raboni Normandie

ACQUISITION. Le spécialiste des matériaux de construction, Saint-Gobain, a finalisé le rachat de Raboni Normandie, un distributeur multi-spécialiste de matériaux de construction.
Il y a 3 ans et 215 jours

Siporex Easyfix, nouvelle colle vinylique prête à l'emploi

Avec cette colle SI pratique et prête à l’emploi, finies les longues minutes de préparation des mortiers traditionnels, les erreurs de dosage et les salissures.Classée A+ et labellisée EC1 Plus, la colle SIPOREX Easyfix est parfaitement adaptée aux travaux d’intérieur car sa formulation est saine et écologique. A très faible émission de COV, elle répond aux plus hautes exigences en matière d’environnement et de santé. SI facile à utiliser, SIPOREX Easyfix est une colle qui permet un montage à sec, rapide, sans préparation préalable, ni eau ni outillage ! Un véritable gain de temps.SI ergonomique, le flacon à double embout (espacé de 4 cm) assure une bonne répartition de la colle. Avec un temps d’ajustement de 10 minutes, SIPOREX Easyfix permet un parfait positionnement du carreau. Son conditionnement en bouteille de 1 kg permet d’encoller 50 m linéaire de carreaux SIPOREX, ce qui correspond à une surface allant de 9 m² (carreau hauteur 25 cm) à 14 m² (carreau hauteur 50 cm).Réaliser de nouveaux espaces à vivre en intérieur comme en extérieur avec les solutions en béton cellulaire SIPOREX et la colle SIPOREX EasyFix n’a jamais été SI facile et rapide !3 bonnes raisons d’utiliser SIPOREX EasyfixUn montage facile et sans salissures : sans préparation, ni eau, ni outil.Un conditionnement bien étudié : une bouteille double embout d’1 kg = 50 m de linéaire de carreaux SIPOREX encollables.Un véritable engagement environnemental : Colle vinylique à très faible émission de COV. 1 kg de colle = 5 kg de mortier traditionnel.Prix public conseillé : 17,50 euros HTPoints de vente : GSB, Négoces en matériauxDes outils de communication dédiésPour accompagner le lancement de la nouvelle colle SIPOREX Easyfix, Xella met à la disposition des partenaires distributeurs un leaflet didactique, à destination des utilisateurs, qui présente les avantages du produit et son mode d’emploi.Une vidéo type motion design est également proposée. Elle met en avant la colle, ses applications dans l’univers de l’aménagement et reprend les 3 bénéfices évoqués dans le leaflet. Elle sera disponible courant juillet.Enfin, des ILV et des offres de lancement pour les points de vente (1 carton acheté = 1 carton offert) comme pour les utilisateurs (2 bouteilles pour le prix d’1) sont aussi proposées. Avec ces outils, les points de vente peuvent profiter d’une bonne rotation produits en magasin.
Il y a 3 ans et 215 jours

Avec 11.000 offres en juillet 2021, l'emploi dans l'ingénierie retrouve son niveau d'avant-crise

Après avoir perdu 11% de son chiffre d'affaires en 2020, l'ingénierie a déjà retrouvé le chemin de la croissance. Les entreprises d'ingénierie industrielle et de la construction, qui embauchaient 80 000 nouveaux collaborateurs chaque année, alertent néanmoins sur le manque de professionnels formés en France.Des entreprises qui font preuve de résilience et responsabilité face à la crise...Fermeture de sites industriels, chantiers à l'arrêt… En 2020, l'activité des entreprises d'ingénierie est profondément impactée par la crise et les confinements successifs. Un ralentissement qui se répercute sur le nombre de nouvelles embauches. Alors qu'en avril 2019, la profession recrutait 9 000 collaborateurs, un peu moins de 6 000 recrutements sont engagés en avril 2020.Si le choc est brutal, les niveaux repartent néanmoins à la hausse dès septembre 2020, soit moins de 6 mois après le début du premier confinement. En octobre de la même année, les offres d'emplois publiées atteignent la barre des 9 000, contre 8 000 le même mois en 2019. Une belle performance, qui se confirme tout au long de 2021 où les niveaux sont comparables ou supérieurs à 2019. En juillet 2021, 11 000 offres sont publiées, tout comme en juillet 2019.« Le choc de la crise liée à la Covid-19 a été rude pour toute la profession, qui a perdu 11% de son chiffre d'affaires en 2020. Et pourtant, moins de 6 mois après le début de la pandémie, les recrutements ont retrouvé des niveaux comparables à ceux de 2019. C'est une performance particulièrement remarquable, quand l'on sait que l'activité de nos entreprises était, il y a peu, encore ralentie, voire stoppée dans certains secteurs industriels. Il faut bien comprendre que notre richesse réside dans nos collaborateurs. C'est pour nos idées, notre matière grise que nos clients font appel à nous. En cela, les entreprises d'ingénierie ont tout fait pour préserver l'emploi et les compétences. » explique Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie… qui seront confrontées à court terme à des difficultés de recrutementSi la profession se félicite de ce retour à la croissance, Syntec-Ingénierie rappelle que l'ingénierie était avant crise un secteur en tension. Selon une étude réalisée en décembre 2018 par le cabinet EY pour le compte de l'OPIIEC, l'ingénierie souffre d'un sous-effectif structurel de 2 à 4%. Sur les 33 000 technicien(ne)s formé(e)s chaque année en France, seules 14 000 personnes sont effectivement disponibles et 58% choisissent de poursuivre leurs études. Les femmes sont par ailleurs sous-représentées dans la profession et ne constituent que 30% des effectifs formés. Un sous-effectif qui risque, à court terme de freiner les entreprises dans leur redémarrage économique et dans la conduite des projets qui leur sont confiés.“Il est urgent de former plus d'ingénieurs et de techniciens en France. N'oublions pas que le manque de professionnels formés coûte chaque année 500 millions à 1 milliard d'euros à nos entreprises. Avec notre fédération professionnelle, nous menons depuis de nombreuses années des actions de sensibilisation auprès des jeunes publics et des femmes pour susciter des vocations. Cela n'est pas suffisant, nous appelons les pouvoirs publics à promouvoir plus largement l'enseignement scientifique et technique et à lancer une grande campagne de sensibilisation aux métiers de l'ingénierie, qui recrutent, malgré la crise !” appelle Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie.Meet'ingé, le rendez-vous annuel pour les étudiants et jeunes diplômés à la recherche d'opportunités dans l'industrie et la constructionPlus de 1 500 étudiants et jeunes diplômés sont attendus pour la 20e édition du Meet'ingé, qui aura lieu le jeudi 14 octobre de 9h à 17h au Carreau du Temple. L'événement, qui compte +30% d'inscrits par rapport à 2019, est devenu au fil des ans le rendez-vous incontournable pour les jeunes à la recherche d'opportunités professionnelles dans les secteurs industriels et de la construction.53 entreprises proposeront leurs offres de stages, alternances, mais aussi premiers emplois en CDI aux jeunes, issus notamment de plus de 110 écoles d'ingénieurs partout en France. Les premières offres sont à consulter sur le site de l'événement.L'événement, gratuit, proposera également des ateliers aux participants :un bar à CV, tenu par des experts en recrutement ;un studio photos, pour bénéficier d'une photo professionnelle à insérer dans le CV ;des conférences proposées par les professionnels de l'ingénierie.Au cœur de Meet'ingé, une grande exposition photos sera également organisée. Près de 30 clichés signés Factstory, filiale de l'AFP, mettront en lumière les professionnels de l'ingénierie aux côtés de leurs œuvres : ponts, usines, data center, préservation de zones humides pour la biodiversité...
Il y a 3 ans et 215 jours

Des façades plus contemporaines et performantes pour une résidence des années 60

La résidence de la Saussaie, à Thiais (Val-de-Marne), vient de connaître une rénovation énergétique qui apporte à ses locataires plus de confort et la satisfaction d'habiter un immeuble à l'aspect redynamisé et plus contemporain.Propriété du bailleur social francilien Immobilière du Moulin Vert (SAIMV), cet immeuble R+4 abrite soixante logements desservis par quatre cages d'escaliers. Construit dans les années 1960 en pierre naturelle, il a déjà bénéficié du remplacement de ses menuiseries extérieures mais aucune isolation des murs de façade n'a été réalisée. Il présente une étiquette énergétique E (consommation de 231 à 330 kWh/m2 an). L'objectif est d'atteindre le niveau C (91 à 150 kWh/m2 an).Objectif énergétique ambitieuxCette intervention est réalisée dans le cadre d'un plan lancé en 2014 par cette entreprise sociale pour l'habitat. « L'objectif était d'amener l'ensemble de notre parc de 9 000 logements à l'étiquette énergétique C, explique Pierre Bainson, responsable patrimoine et proximité de SAIMV. Le but est aujourd'hui atteint à 90% ».Le programme des travaux comprend la réalisation d'une isolation thermique par l'extérieur, le remplacement des chauffe-eaux individuels par le raccordement à la chaufferie collective et la réfection des systèmes de ventilation dans les logements.Un jeu de teintes subtilC'est à ECI Management, dirigée par Alexandrin Chorao, qu'est confiée la maîtrise d'œuvre de l'opération. Pour donner une image plus contemporaine au bâtiment, l'architecte propose de réaliser une isolation thermique extérieure revêtue d'un enduit lisse beige clair. Les fenêtres sont soulignées par des cadres en tôle d'aluminium laqué pliée de teinte grise ou, aléatoirement, de couleur rouge. « Ces pastilles de couleur viennent dynamiser la façade », expose Alexandrin Chorao. Les façades des halls d'entrée, en décrochement, sont marquées par une couleur grise qui se prolonge sur le soubassement, lui-même séparé de l'enduit beige par une large bande blanche.Assistance au démarrage de chantierLorsqu'elle se voit attribuer le lot façades, la société FPRS Maillard se tourne vers Sto, son fournisseur favori, pour l'aider à choisir les produits les mieux adaptés. Les solutions préconisées par la chargée d'affaires de Sto sont l'ITE StoTherm Mineral 1 avec finition Stolit K1 teinté (référence 31437) pour les parties courantes et le système de bardage StoVentec R avec finition Stolit Milano poncé à l'aspect béton pour les halls d'entrée. Avant de démarrer le chantier, des tests d'arrachement sur la pierre sont effectués afin de choisir les chevilles les mieux adaptées à ce support.Des témoins des deux types de revêtements sont réalisés et validés par l'architecte. Les travaux peuvent ensuite commencer, avec l'assistance d'un technicien Sto. L'opération est réalisée en deux tranches, d'abord une moitié d'immeuble sur ses deux faces puis l'autre moitié pour gêner le moins longtemps possible les locataires des logements traversants.Enduit aspect bétonLes panneaux de laine de roche de 140 mm d'épaisseur de l'ITE sont calés et chevillés sur le mur de façade. L'enduit de base StoLevell Uni blanc est posé manuellement, à la taloche, et une trame en fibre de verre est marouflée dans cet enduit. L'enduit de parement teinté Stolit K1 est ensuite appliqué avec une finition talochée. Les garde-corps existants, conservés, ont été déposés avant la réalisation de l'ITE et leurs pattes de fixation rallongées avant de les refixer sur la façade.L'habillage des avancées des halls d'entrée est réalisé au moyen du bardage ventilé StoVentec R. Les panneaux de billes de verre expansé supports de l'enduit sont fixés sur une ossature verticale en chevrons de bois eux-mêmes chevillés directement sur le support en béton. Les panneaux reçoivent après leur pose un sous-enduit mince à base de liant organique ou minéral, armé d'un treillis de fibre de verre. La finition est assurée par un enduit à l'aspect de béton. Il s'agit du Stolit Milano, appliqué à la spatule en plusieurs étapes, à la manière d'un stucco. Une couche de Stolit K1 est d'abord appliquée. Après séchage, l'enduit Stolit Milano est à son tour posé en raclant légèrement dans toutes les directions. Les jours suivants, lorsque la surface est bien sèche, on procède au ponçage.Les locataires sont aujourd'hui satisfaits. Ils habitent un immeuble aux façades plus contemporaines et ils vont voir leurs charges de chauffage réduites. Quant à l'architecte, il estime avoir réussi à réaliser une façade esthétique et performante pour un budget limité : « Nous avons uniformisé la façade qui comporte de nombreuses baies tout en la dynamisant avec les encadrements de fenêtres en relief et colorées de rouge aléatoirement. Le tout avec assez peu de moyens. » Fiche techniqueType de bâtiment : réhabilitation de logements collectifsLocalisation : 103-107 rue de la Saussaie, 94320 ThiaisSurface de façade traitée : environ 2 000 m2 Maître d'ouvrage : Société Immobilière du Moulin Vert (SAIMV)Maître d'œuvre : ECI Management, Alexandrin ChoraoEntreprise applicatrice : FPRS MaillardDate de livraison : 2021Solutions utilisées : ITE StoTherm Mineral 1 finition Stolit K1 teinté, bardage ventilé StoVentec R finition Stolit Milano aspect béton, peinture StoColor Jumbosil
Il y a 3 ans et 217 jours

Les vestiges de la carrière grecque de Marseille, source de la discorde, bientôt réenfouis

Pointant du doigt l'état de "grande fragilité" des vestiges, la préfecture de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur avait indiqué mercredi dans un communiqué que l'option du réenfouissement était "la mieux à même" d'en garantir la préservation, confirmant une information du site d'investigation local Marsactu.Au même moment, associations et riverains manifestaient sur place leur opposition à un tel scénario, demandant que l'Etat respecte ses engagements de valorisation des 635 m2 classés et encore visibles."On ne veut pas enterrer, même s'il ne reste qu'une colonne, elle sera le symbole de ce qu'on a pu faire contre les destructions, on la protégera jusqu'au bout", insiste auprès de l'AFP Joëlle Gilles, présidente du comité de quartier, qui veut sauver "le peu qu'il reste" des vestiges situés à deux pas du Vieux-Port, dont la majeure partie est aujourd'hui définitivement ensevelie sous l'immeuble construit.Très friables, les pierres de la carrière en activité du Ve siècle avant JC --peu après l'arrivée des Phocéens à Marseille-- au Ier siècle après JC sont notamment menacées par les infiltrations d'eau."La conservation de ces vestiges est très difficile", confirme auprès de l'AFP Dominique Garcia, le président de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), qui avait réalisé les fouilles à l'origine de la découverte: ensevelir ces vestiges "pour qu'ils ne disparaissent pas ne me paraît pas totalement dénué de sens", d'autant que "le site a été parfaitement documenté et qu'il est donc préservé, ce qui est le principe de l'archéologie préventive".Quant à l'intérêt du site, "il n'est pas comparable à la grotte Cosquer" [grotte sous-marine dont une réplique est actuellement en cours d'installation à Marseille, sur le modèle des grottes de Lascaux ou Chauvet], relativise M. Garcia, pour qui la polémique est peut-être "plus politique que patrimoniale".Même son de cloche du côté de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac), selon laquelle "la solution qui serait privilégiée est celle du réenfouissement des vestiges. Le but étant de garantir de manière pérenne la conservation" du site."Parole bafouée"A la mairie de Marseille, on assure qu'aucune information officielle n'a été communiquée sur le devenir du site depuis une réunion avec la Drac en novembre 2020. A l'époque, les trois hypothèses d'un réenfouissement total, d'une valorisation partielle via des fenêtres vitrées ou du maintien de la carrière telle qu'exhumée avec la création d'une halle de protection étaient encore sur la table.Le scénario de valorisation partielle "nous a été présenté comme quelque chose qui allait être très compliqué, coûteux", se souvient Sophie Camard, la maire des Ier et VIIe arrondissements de Marseille.Mais "pourquoi avoir sauvé cet espace pour qu'on nous dise après que (...) par défaut il serait réenfoui ? On devait nous présenter un projet pour permettre de continuer à voir ces vestiges", ce qui "était le compromis de l'époque", plaide-t-elle. Projet que les élus marseillais attendent toujours.Lors du classement d'une partie du site (d'une superficie totale de 6.500 m2) au titre des Monuments historiques par la ministre de la Culture de l'époque, Françoise Nyssen, en septembre 2018, celle-ci avait souligné que sa conservation devrait s'accompagner "d'aménagements spécifiques permettant sa visibilité".Une "visibilité" qui pourrait, en cas de réenfouissement, prendre la forme d'une réplique virtuelle du site, dont l'intégralité a fait l'objet d'un relevé 3D."Quelle que soit l'hypothèse décidée par l'Etat, il faudra qu'ils invitent la ville à se mettre autour de la table", revendique Jean-Marc Coppola, adjoint au maire de Marseille chargé de la culture. "On ne peut pas demander que la parole soit tenue pour la vente des sous-marins en Australie et que la parole et l'engagement pris par l'ancienne ministre de la Culture soient bafoués", ironise l'élu.
Il y a 3 ans et 217 jours

Gramitherm : un isolant écologique pertinent pour la rénovation et l’ossature bois BGT #013

L’offre des isolants biosourcés, alternative aux isolants minéraux, pétro-chimiques et aluminium se renforce en France. Réalisé à partir d’une ressource présente partout, l’herbe, ce matériau industriel, Gramitherm®, à bilan carbone négatif, présente de nombreux intérêts et se positionne comme l’un des plus pertinents dans la rénovation ou le remplissage d’ossature bois. Impact carbone positif Et on ne […]
Il y a 3 ans et 218 jours

Fermeture de chantiers de construction en Australie après des manifestations anti-vaccin

Ces chantiers seront fermés pendant deux semaines en réponse à l'absence de respect des régles anti-Covid et des manifestations qui ont eu lieu, selon les autorités de la seconde ville d'Australie.Plus d'une centaine d'ouvriers du bâtiment ont manifesté leur colère dans le centre de Melbourne où ils ont brisé des vitres pour protester contre l'obligation qui leur est faite de se faire vacciner.La ville de Melbourne vit depuis sept semaines en confinement strict face à la progression rapide du variant Delta. Mais des foyers d'infection ont été identifiés sur des chantiers de construction où le respect des règles est plus laxiste, selon les autorités. "Nous avons été clairs: si vous ne respectez pas les règles, nous n'hésitons pas à prendre des mesures", a affirmé le ministre des Relations industrielles de l'Etat de Victoria, Tim Pallas, en annonçant la décision des autorités de fermer les chantiers."Nous avons averti l'industrie (du bâtiment) il y a une semaine, nous avons vu des comportements scandaleux sur les chantiers et dans les rues, et donc nous agissons de manière décisive et sans hésitation", a-t-il affirmé.Cette fermeture administrative des chantiers met des dizaines de milliers d'ouvriers au chômage technique et des manifestations sont attendues mardi à la suite de cette décision.Le patron du syndicat local de la construction, John Setka, a dénoncé, dans les termes les plus vifs, le comportement des manifestants les plus violents."Ces fascistes ivres et abrutis indignes de l'Australie sont la raison pour laquelle les ouvriers du bâtiment resteront chez eux sans être payés au cours des deux prochaines semaines", a-t-il lancé.
Il y a 3 ans et 218 jours

Prix International VELUX 2022 destiné aux étudiants en architecture

Le Groupe VELUX invite les étudiants en architecture du monde entier à participer à la 10ème édition du Prix International VELUX sur le thème « La lumière de demain ». Jusqu’au 1er avril 2022. Depuis son lancement en 2004, le Prix International VELUX est devenu le plus grand concours ouvert aux étudiants qui dessineront les […] L’article Prix International VELUX 2022 destiné aux étudiants en architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 218 jours

Saint-Gobain achève l'acquisition de Panofrance

ACQUISITION. Le spécialiste des matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce avoir acquis Panofrance, distributeur spécialisé de bois et de panneaux pour la construction et l'agencement.
Il y a 3 ans et 218 jours

Tempête Alex: «Définir rapidement une doctrine nationale de gestion des reconstructions», Xavier Pelletier, préfet à la reconstruction

Un an après les crues torrentielles d’octobre 2020 dans les vallées de la Tinée, de la Roya et de la Vésubie dans les Alpes-Maritimes, le week-end des 2 et 3 octobre sera consacré à un hommage aux victimes. Engagés dans une longue et difficile reconstruction après le passage de la tempête Alex, les collectivités et l’Etat veulent aussi se tourner vers l’avenir. Xavier Pelletier, préfet à la reconstruction, fait le point.
Il y a 3 ans et 218 jours

Le chauffage électrique parfaitement adapté pour la rénovation énergétique des logements selon une étude des fabricants

Dans ce contexte, le Groupement des marques d'appareils pour la maison (Gifam) dévoile les résultats d'une étude inédite sur « la perception de l'électricité en tant qu'énergie de chauffage » qui montre à quel point le chauffage électrique est une énergie légitime et appréciée par ses utilisateurs.Les Français perçoivent positivement l'électricité en tant qu'énergie de chauffageAvec 1/3 des foyers équipés, représentant un total de 70 millions d'appareils, l'étude réalisée par le Gifam* montre que les radiateurs électriques constituent la 2e solution principale de chauffage la plus utilisée par les Français (29%) après le gaz (39%). D'ailleurs, les ¾ des Français ont déjà connu un logement avec des radiateurs électriques.En termes de perception, les Français plébiscitent avant tout le chauffage électrique pour sa facilité d'utilisation, sa fiabilité et le confort qu'il apporte pour favoriser une meilleure qualité de vie. Les équipements actuels représentent en effet un levier puissant pour améliorer la performance énergétique de nos logements. Par ailleurs, 70% des détenteurs de chauffe-eau thermodynamiques ont une image très positive de cet appareil, dont le fonctionnement permet de réduire ses émissions de CO2.Ce panorama démontre également que l'électricité comme énergie de chauffage est mieux perçue par les personnes équipées. En outre, la satisfaction augmente mécaniquement auprès des possesseurs d'appareils de nouvelle génération. Avec encore 14 millions d'appareils vétustes dans les logements, le renouvellement du parc d'appareils non performants de chauffage domestique fait partie des enjeux de demain. La maison connectée devient enfin le territoire d'expression clé pour l'avenir du chauffage électrique. D'ailleurs, 6 propriétaires de logements chauffés à l'électricité sur 10 souhaitent s'équiper d'un système de chauffage connecté et plus de 4 sur 10 d'un système d'eau chaude sanitaire connecté. Le confort thermique est en effet la sphère où les bénéfices les plus concrets (économies, régulation optimale de la température des pièces...) peuvent être apportés quand beaucoup d'autres objets connectés n'auront qu'un impact limité sur nos modes de vie.Le nouveau DPE incite à adopter des solutions électriquesSi la RE2020 a marginalisé le recours aux radiateurs électriques et chauffe-eau thermodynamiques dans la construction neuve, le nouveau DPE incite désormais les Français à rénover leur logement au profit de l'ensemble des solutions électriques, peu émettrices CO2.Alors que la nouvelle réglementation en matière de construction neuve (RE2020) écarte définitivement le recours aux radiateurs électriques et aux chauffe-eau thermodynamiques dans les logements collectifs, au profit de solutions émettrices de CO2, le nouveau Diagnostic de Performance Energétique (DPE), quant à lui prend en considération l'ensemble des solutions électriques.L'introduction de l'incidence des émissions de CO2 dans la définition des classes du DPE (de A à G), constitue un élément essentiel dans la lutte contre le réchauffement climatique et permet de rappeler que les appareils de chauffage électrique utilisent une énergie décarbonée à plus de 93%.En ce sens, le nouveau DPE, entré en vigueur le 1er juillet, permet de mieux tenir compte des enjeux climatiques dans un contexte d'accélération de la rénovation énergétique des bâtiments. Véritable pivot du volet logement de la loi Climat et résilience, le DPE perd son caractère informatif pour devenir pleinement opposable.L'estimation donnée par la nouvelle étiquette du DPE apporte une information très concrète des performances environnementales du logement, allant dans le sens de la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. « Contrairement à la récente règlementation environnementale (dite RE2020), le DPE prend véritablement la mesure de l'urgence climatique face à la déficience du parc sur le plan de l'efficacité énergétique et environnementale. La nouvelle méthode de calcul introduite dans le DPE conforte le radiateur électrique comme la solution d'avenir pour contribuer à réduire nos émissions de CO2. », commente Eric Baudry, Président de la Commission Thermique du Gifam.Le chauffage électrique est parfaitement adapté pour les personnes qui souhaitent réaliser des travaux de rénovationFace aux enjeux de rénovation, il est important de rappeler que le meilleur équipement est celui qui limite naturellement la consommation énergétique. En préambule, il faut donc avant tout que l'habitat soit bien isolé thermiquement en hiver (pour limiter les consommations de chauffage) et protégé du soleil en été (pour limiter l'utilisation de la climatisation).Couplé à des travaux d'isolation thermique, le recours aux appareils de chauffage électrique permet une nette amélioration de la sensation de confort thermique au sein des foyers grâce aux innovations apportées ces dernières années.En effet, l'intégration de nouvelles technologies permet des économies d'énergie conséquentes : lors du remplacement d'un appareil de première génération par un appareil de dernière génération, les économies d'énergie sont de l'ordre de 30%, en fonction de l'usage et des caractéristiques de l'appareil ainsi que du comportement du consommateur.Les bénéfices sont d'autant plus grands avec les appareils programmables et intelligents qui permettent de chauffer uniquement au bon endroit et au bon moment et de réduire de manière significative sa facture d'électricité. *Étude Gifam Insights menée en avril 2021 auprès de 927 Français.
Il y a 3 ans et 218 jours

Unicem Campus : le nouveau nom du CFA Unicem

Unicem Campus lance 4 nouveaux CQP, dont celui de conducteur de centrale à béton. [©ACPresse] Evolution dans le petit monde de la formation continue. Le CFA Unicem change de nom pour adopter la marque Unicem Campus. Mais continue de dispenser des formations en alternance sur ses trois campus de Montalieu, en Auvergne-Rhône Alpes, de Louvigné-du-Désert, en Bretagne, et de Bessières, en Occitanie. Surtout, l’organisme renforce son offre avec la mise en place, dès cette rentrée 2021, de quatre nouveaux certificats de qualification professionnelle (CQP). A savoir, conducteur de centrale à béton, technicien de laboratoire, pilote d’installation granulats et chef de carrière. Des dates de formation pour ces CQP sont, d’ores et déjà, programmées dans les trois campus gérés par l’Unicem.Ces nouveaux certificats s’inscrivent dans le dispositif de formation général des salariés de la filière durant toute leur carrière professionnelle. Ainsi, quelque 9 000 collaborateurs “carrières et matériaux de construction” bénéficient, chaque année, d’actions de formation continue. 1 400 nouveaux collaborateurs chaque année De plus, afin de répondre aux besoins en formation continue des entreprises, l’Unicem va labelliser des organismes tiers qui pourront assurer des formations auprès des entreprises de la filière. Ceci, en complément des formations qu’elle assurera directement. L’objectif est de proposer une offre de formation continue de qualité, complète, et à coûts maîtrisés.« Notre industrie met un point d’honneur à former ses collaborateurs. Si une formation initiale est essentielle pour intégrer nos métiers, la formation continue permet de faire évoluer les salariés. C’est pourquoi Unicem Campus poursuit son développement, en proposant cette nouvelle offre aux entreprises de la filière », résume souligne Patrick Pittalis, secrétaire général de l’Unicem, en charge de la formation. La filière “carrières et matériaux de construction” se compose de métiers très divers : de la conduite d’engins à l’ingénierie, en passant par la géologie appliquée ou la taille de pierre. Chaque année, le secteur recrute 1 400 collaborateurs. Attirer des jeunes et des talents est donc l’une des priorités de l’Unicem. 
Il y a 3 ans et 218 jours

La nouvelle stratégie des salons Batimat, Idéobain et Interclima sur la voie du succès !

Augmentés grâce à différents dispositifs digitaux, ils accompagnent d'ores et déjà les acteurs concernés jusqu'à l'ouverture des portes des salons qui se tiendront du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.Organisés par RX France, l'Afisb1 et Uniclima2, le Mondial du Bâtiment et ses trois salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA proposent aujourd'hui un modèle totalement revisité afin d'aider pleinement les professionnels à anticiper les changements auxquels font face les secteurs du bâtiment, de la ville et des territoires. Pour cela, ils s'appuient aujourd'hui sur deux piliers essentiels :Des évènements physiques et des temps forts réinventés pendant les 4 jours du salon ;Un dispositif 365 jours inédit permettant aux professionnels de s'informer et d'échanger au quotidien, grâce à différents outils digitaux.Lancé en avril dernier, le nouveau format des salons physiques augmentés grâce au digital enregistre un intérêt certain et un fort taux de participation de la part des acteurs du bâtiment (liste des exposants en annexe 1) qu'ils soient fournisseurs de solutions et d'innovations pour la construction et la rénovation de tous types de bâtiment.2/3 de la surface d'exposition déjà vendus ou réservésLe retour attendu dans le parc des expositions rénové de la Porte de Versailles à Paris créé une dynamique positive et suscite un fort enthousiasme des entreprises.Au vu des inscriptions déjà enregistrées, BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA s'annoncent comme le rendez-vous incontournable de professionnels du bâtiment, de l'architecture et de la ville en 2022.A un an de son ouverture, le Mondial du Bâtiment réunit déjà 543 exposants répartis dans les 6 pavillons du Parc Expo de la Porte de Versailles. Les réservations couvrent déjà près des 2/3 de la surface d'exposition dont le total est égal à 136 000 m². À noter également, le retour de nombreuses entreprises des différents secteurs, qui avaient délaissé les salons lors de leur tenue à Villepinte (présentées dans la liste des exposants en annexe 1).Le salon BATIMAT, organisé au sein des pavillons 1, 4, 5 et 6, enregistre l'inscription de 402 exposants dont 25% de nouveaux venus. 63% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Le salon IDÉOBAIN, organisé dans le pavillon 2, enregistre l'inscription de 51 exposants dont 29% de nouveaux venus. 70% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Le salon INTERCLIMA, organisé dans le pavillon 3, enregistre l'inscription de 90 exposants dont 33% de nouveaux venus. 70% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Outre le retour à Paris, les entreprises ont également réagi positivement à la durée plus courte des salons et au nouveau format d'exposition avec une nouvelle logique d'exposition. Elles ont ainsi très bien accueilli de pouvoir choisir leur emplacement dès l'inscription et la perspective d'un retour sur investissement (ROI) en hausse.Des salons engagés auprès des acteurs du bâtimentTrès prometteuse, l'édition de 2022 du Mondial du Bâtiment proposera également la mise en avant de nouveaux secteurs porteurs de grandes perspectives et la valorisation de tendances émergentes, poussées par les évolutions réglementaires, les transformations d'usages ou par des prises de conscience sociétales.Grâce à la création de nouveaux espaces d'exposition et l'organisation de temps forts dédiés, les 3 salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA donneront les moyens d'éclairer les enjeux majeurs de la construction et de la rénovation des bâtiments : Environnement ; Climat, Productivité ; Usagers et Habitants ; Métiers (détail dans la présentation de la conférence).Une transformation digitale inéditeEn amont des salons physiques, l'engouement des acteurs du bâtiment autour du Mondial du Bâtiment s'exprime également grâce au digital et ses nombreux moyens d'expression.Notamment, au travers de Batiradio, 1ère webradio du secteur créée il y a deux ans, dont les chiffres d'audience montrent qu'elle s'impose comme source principale de podcast auprès des acteurs du bâtiment. Sur une période d'un mois, ce lien d'échanges et de décryptages entre professionnels enregistre en moyenne 50 000 téléchargement et 56 000 écoutes de podcast.Plus récemment, diffusée chaque mois sur Batiradio, la matinale live de podcasts vidéo Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment permet d'animer la communauté du secteur et d'accueillir de nombreux acteurs reconnus pour leur expertise. Depuis avril 2021, Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment ont ainsi accueilli différents grands témoins comme la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, le ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité Franck Riester, le président du Plan bâtiment durable Philippe Pelletier, Frédéric Boissier, Délégué Générale de l'ADEME, ainsi que plus de 100 spécialistes autour de différents sujets d'actualité comme la RE2020, la REP, le plan France Relance, la rénovation énergétique dans les territoires, la construction 4.0, les métiers du bâtiment, les tendances et le design etc.Diffusés en direct chaque premier vendredi de chaque mois, Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment enregistrent en moyenne par émission 1000 auditeurs dont 1/3 en direct et 2/3 en replay. démontrant l'intérêt des professionnels de maintenir du lien tout au long de l'année.Pour aller encore plus loin dans la complémentarité entre le digital et les rencontres physiques qui auront lieu en octobre 2022, le Mondial du Bâtiment propose dès aujourd'hui batiadvisor.fr, un site inédit de salons "augmentés". Cet espace d'information, de décryptage des tendances et de valorisation de l'innovation s'appuie sur l'expertise développée ces dernières années en matière de référencement par les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA, pour proposer un blog unique.Celui-ci regroupera les univers métiers des 3 salons du Mondial du Bâtiment. Les professionnels pourront entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations et disposeront d'outils adaptés à leurs besoins :Des fiches produits conçues avec les codes du e-commerce ;Un moteur de recherche produits/solutions et fournisseurs.Des show-rooms virtuels ;Des vidéos démos ;Des contenus (études exclusives, livres blancs, baromètres inédits…) sur les métiers présents sur les salons physiques.Enfin, durant les 4 jours de l'édition 2022 du Mondial du Bâtiment, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA proposeront une expérience digitale permettant d'assister à distance à une grande partie des contenus des salons physiques."En octobre 2022 à la Porte de Versailles, la tenue du Mondial du Bâtiment sera l'aboutissement d'une révolution lancée il y a quelques mois pour répondre aux transformations de la société. Les premiers résultats de participation enregistrés à ce jour montrent que, dans cette période post Covid, le nouveau Mondial du Bâtiment est le modèle en passe de s'imposer qui combine plus de sobriété, plus de ROI et une utilisation pragmatique et continue de la puissance du digital. Ce constat renforce notre conviction et nous engage à poursuivre nos efforts pour aider les professionnels du bâtiment à appréhender et à saisir toutes les opportunités qui s'offrent à eux." déclare Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du Bâtiment.
Il y a 3 ans et 218 jours

Saint-Gobain finalise l’acquisition de Chryso

Chryso est définitivement entré dans le giron du groupe Saint-Gobain. [©ACPresse] Annoncée le 20 mai 2021, l’acquisition de Chryso par le groupe Saint-Gobain vient d’arriver à son terme. Et devient donc définitive, les autorités de la concurrence ayant donné leur feu vert.  Acteur de la chimie de la construction, Chryso est présent sur les marchés français comme internationaux. Et assure la fourniture de solutions complètes d’additifs pour ciments, d’adjuvants pour bétons et mortiers. Mais aussi propose une offre de chapes fluides. L’industriel emploie 1 300 personnes et réalise un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 400 M€. Sa valeur d’entreprise est estimée à 1,02 Md€.  Aujourd’hui, Chryso rejoint les activités du groupe Saint-Gobain servant le marché de la construction durable au sein des Solutions de Haute Performance. « L’acquisition de Chryso est alignée avec la vision stratégique de Saint-Gobain comme leader mondial de la construction durable. Chryso nous renforce sur le marché en croissance de la chimie de la construction. Marché au sein duquel nous avons réalisé 10 acquisitions et ouvert 16 usines dans 18 pays au cours des 3 dernières années. Ceci, pour dépasser les 3 Md€ de chiffre d’affaires dans 66 pays… », indique Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. Et Thierry Bernard, Pdg de Chryso, de conclure : « Nous sommes heureux de rejoindre le groupe Saint-Gobain. Les premiers échanges entre nos équipes en vue de préparer l’intégration confirment les fortes perspectives de croissance pour Chryso. En particulier dans des régions où nous ne sommes pas encore implantés. Mais aussi dans l’essor de solutions de haute performance. A cela s’ajoute la proximité culturelle entre nos équipes, qui sont très enthousiastes ».
Il y a 3 ans et 218 jours

Panofrance dans l'escarcelle de Saint-Gobain

Saint-Gobain a annoncé le 30 octobre avoir finalisé l’acquisition du distributeur spécialiste de bois et de panneaux pour la construction et l’agencement.
Il y a 3 ans et 218 jours

L’architecte Franck Hammoutène s’en est allé

L’architecte Franck Hammoutène a disparu le 14 septembre 2021. [©ACPresse] Un homme simple et accessible. Telle est l’image que je garde de l’architecte Franck Hammoutème. Né le 28 mai 1954, il est décédé le 14 septembre 2021 à Paris, à l’âge de 67 ans, des suites d’un accident vasculaire cérébral. Il aimait le béton. En 2010, il avait d’ailleurs accepté de prendre la présidence de l’association Bétocib1. Sur proposition de Daniel Kahane2, alors même qu’il était déjà président de l’Académie d’architecture. « Nous avons, vous (Béton[s] le Magazine) et nous (Bétocib), les mêmes objectifs qui sont de promouvoir la vérité du matériau, de faire connaître ses richesses et d’aider et de participer à la mise en commun des savoir-faire, m’avait dit à l’époque Franck Hammoutène, dans le cadre d’une interview. Le béton est devenu le matériau universel par excellence. Celui qui a permis la construction de masse, au sens noble du terme. Il est des plus disponibles sur la planète et, en même temps, un des plus techniques. Toujours montrer les qualités des ouvrages sans séparer l’architecture des matériaux, de leur utilisation et de leur mise en œuvre. » Prix de la Première œuvre en 1986 Franck Hammoutène est venu au monde en 1954. Sa mère était originaire du Lot. Et son père, Ali Hammoutène, fut assassiné en 1962 lors d’un attentat commis par l’OAS… Ayant grandi à La Courneuve, il a étudié l’architecture à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris-Malaquais. Ce qui ne l’a pas empêché de mener, en parallèle, une activité de musicien électro-acoustique. En particulier en jouant de l’orgue dans le groupe de recherches musicales de Pierre Schaeffer… Aménagement réalisé par Franck Hamoutène, dans le cadre de l’extension de l’Hôtel de ville de Marseille. [©ACPresse] Ce n’est qu’en 1983 qu’il fonde son propre cabinet à Paris, après un début de carrière au sein de l’agence de Pierre Riboulet. Il se fait remarquer pour des réhabilitations et extensions de bâtiments parisiens. Puis, remporte le concours du pavillon français pour l’Exposition universelle de Séville, qui ne sera finalement pas construit… Si le siège de l’entreprise Atya, à Paris, est récompensé du prix de la première œuvre, c’est l’extension de l’Hôtel de ville de Marseille, en 2006, qui lui vaudra la consécration. Avec cette réalisation, il décrochera l’Equerre d’argent. Entre temps, il signera la magnifique église Notre-Dame de Pentecôte, mitoyenne du Cnit, dans le quartier de La Défense, près de Paris. Un passionné d’architecture et de béton Même s’il n’a pas été l’homme d’un unique matériau, le béton est resté omniprésent dans son œuvre. Et son engagement à la présidence de Bétocib en est un superbe témoignage. « C’est Franck Hammoutème qui est le créateur du concours Trophée Béton Ecoles, en 2011, avec la déléguée générale du Syndicat français de l’industrie du ciment de l’époque », rappelle Claire Barbou, architecte et secrétaire générale de Bétocib. Et de poursuivre : « Il laissera l’image d’un grand président, apprécié et passionné d’architecture et de béton. Un président engagé ». Mais que pensait-il du béton, justement ? Et quelle était sa définition du “béton architectonique” ? « On a souvent désigné ainsi des ouvrages aux bétons apparents aux formes et aspects volontairement démonstratifs, voire exacerbés ou héroïques. Un béton architectonique est un béton – visible – utilisé au mieux de ses qualités et de sa nature. Un béton à la technicité, à la fabrication, à la pertinence d’utilisation, à la mise en œuvre et, bien entendu, à l’aspect maîtrisés. Beau ? Utile et qui se montre sans mentir ! Le juste béton. Mais, à vrai dire, c’est à vous que je pourrais poser cette question… », nous avait répondu Franck Hammoutène. Salut l’artiste.  Frédéric Gluzicki 1Association d’information des professionnels de la construction pour valoriser la qualité esthétique et technique de l’architecture en béton.2Daniel Kahane est un architecte français, prix de Rome en 1967, membre de l’Académie d’architecture. Il fut aussi le président de l’association Bétocib.
Il y a 3 ans et 218 jours

Poujoulat lauréat du fonds d'accélération des investissements industriels dans les territoires

Leader européen de la fabrication de conduits de cheminée pour tout type d'équipement de chauffage dans le secteur résidentiel, Poujoulat est lauréat du fonds d'accélération des investissements industriels dans les territoires dans le cadre du plan de relance.Le projet récompensé permettra à l'entreprise de :renforcer sa compétitivité et conforter sa position de leader européen en améliorant la productivité sur les biens et produits les plus techniques (conduits performants pour le raccordement des équipements de production d'énergie à partir de biocombustibles) et de diversifier sa production vers de nouveaux marchés du secteur énergétique (caches esthétiques pour pompe à chaleur et climatisation).pérenniser le haut niveau de qualification de ses opérateurs et d'anticiper la transition générationnelle (pyramide des âges). L'école de formation doit permettre d'accompagner la montée en compétences de 60 à 70 opérateurs par an notamment de jeunes.Des recrutements seront réalisés en 2021 et 2022 dans le cadre de ces investissements.accélérer la transition écologique du process industriel (chaîne de peinture plus écologique) et accentuer la performance thermique du site de production (isolation) dans un contexte où le site est d'ores et déjà chauffé à la biomasse, équipé de LED et bientôt alimenté partiellement par de l'électricité solaire photovoltaïque.Les investissements nécessaires dépasseront 6 millions d'euros sur 2021 et 2022. Le soutien de France Relance se situant à environ 10 % du montant des investissements présentés.Frédéric COIRIER, Président Directeur Général du Groupe Poujoulat déclare : « Nous sommes très honorés de la reconnaissance et du soutien de l'État et de la Région Nouvelle-Aquitaine concernant ce nouveau projet d'investissements. Le groupe, à capital familial, s'inscrit dans une relation durable avec les territoires dans lesquels il opère et reste très attaché à son ancrage local. Depuis 10 ans, nous avons, en effet, investi près de 50 millions d'euros sur notre site de Granzay-Gript. Par ailleurs, ce projet porte plusieurs enjeux fondamentaux pour l'entreprise : la compétitivité industrielle d'abord, le verdissement de nos process ensuite et la pérennisation des savoir-faire les plus techniques, enfin. »
Il y a 3 ans et 219 jours

Après les crues des Alpes-Maritimes, l'enjeu d'une reconstruction "rapide mais exemplaire"

Question: A combien sont évalués les dégâts, et quel est le montant des aides publiques pour la reconstruction ?Réponse: "Le rapport d'instruction de la dotation de solidarité retient 727 millions d'euros de dégâts sur les infrastructures publiques, sur les 1,09 milliard déclarés par les collectivités territoriales. La différence tient au fait qu'en plus des dégâts, les collectivités ont ajouté le financement d'infrastructures qui n'existaient pas avant la tempête, comme le tunnel dans la Vésubie et dans la Roya. Les assurances, sur le volet des biens privés, ont réévalué les dommages à 217 millions d'euros. Nous sommes donc sur un total de l'ordre d'un milliard d'euros.L'appui financier exceptionnel de l'Etat, conforme aux engagements du président de la République, s'élève à 572 millions d'euros, avec notamment 143 millions au titre de la dotation de solidarité, 59,3 millions de crédits du Fonds de solidarité de l'Union européenne et 50 millions réservés à l'accompagnement de projets de développement et d'attractivité pour les vallées. De plus, 120 millions d'euros sont apportés par le Fonds de prévention des risques naturels majeurs, qui permet d'indemniser les propriétaires de biens immobiliers détruits ou exposés au risque".Q: Quelles ont été les priorités de reconstruction et où en sont les travaux ?R: "La priorité a été le rétablissement de l'ensemble des fonctionnalités permettant le retour à une +vie normale+ -- mobilités, raccordement à l'eau, électricité, assainissement--, tout en assurant la protection des biens et des personnes à travers la redéfinition des zones à risques. A la fin de l'année 2022, 90% des travaux de reconstruction seront achevés. Mais certains projets d'aménagement nécessitent plus de temps, comme la réalisation des tunnels basse Vésubie et de Paganin dans la Roya.Concernant les biens privés, plus de 420 sont éligibles au fonds de prévention des risques naturels majeurs. 220 biens sont en cours de traitement. Les premières acquisitions sont intervenues en juillet. D'ici la fin de l'année, 35 autres biens seront acquis, dont 12 avec démolition".Q: Le président Macron avait promis que cette reconstruction irait vite. La promesse est-elle tenue ?R: "L'enjeu de cette reconstruction est qu'elle soit rapide mais aussi exemplaire. Et elle va vite, grâce à la mobilisation des collectivités et des opérateurs privés, avec l'aide des associations. L'Etat a tenu ses engagements en cofinançant, en étant facilitateur sur les procédures réglementaires, mais également en assurant son rôle premier de protection à travers les plus de 2.500 maisons expertisées et en redéfinissant la cartographie des risques. Les premières indemnisations des biens exposés aux risques ont démarré en juillet. C'est bien sûr toujours trop long, quand on est sinistré.Concernant la relation avec les assurances, grâce à la cellule d'appui mise en place au sein de la préfecture et le partenariat mené avec la Fédération française de l'assurance, nous avons accompagné plus d'une centaine de sinistrés. Il reste des situations qui ne nous ont pas été signalées. J'invite les personnes en difficulté, qui rencontrent des problèmes avec leur dossier d'assurance, à se rapprocher de la préfecture des Alpes-Maritimes."
Il y a 3 ans et 219 jours

Lafarge en Syrie: un ex-gestionnaire des risques mis en examen

Ahmad Jaloudi, "risk manager" - soit gestionnaire des risques - pour l'usine Lafarge de Jalabiya, au nord de la Syrie, a été placé sous contrôle judiciaire à l'issue de son interrogatoire par les magistrats du tribunal judiciaire de Paris chargés de cette enquête."Il est incontestable que M. Jaloudi a lutté toute sa vie contre les extrémismes. Je ne peux que regretter sa mise en examen, que je trouve particulièrement injuste", a déclaré à l'AFP son avocate, Me Noémie Saidi-Cottier.Dans cette information judiciaire ouverte en juin 2017, Lafarge SA est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via sa filiale Lafarge Cement Syria (LCS), près de 13 millions d'euros à des groupes terroristes, dont l'organisation Etat islamique (EI), et à des intermédiaires afin de maintenir l'activité d'une cimenterie en Syrie alors que le pays s'enfonçait dans la guerre.Lafarge est également suspecté d'avoir vendu du ciment de l'usine à l'EI.Un rapport interne commandé par LafargeHolcim, né de la fusion en 2015 du français Lafarge et du suisse Holcim, avait mis en lumière des remises de fonds de LCS à des intermédiaires pour négocier avec des "groupes armés".Mais Lafarge SA a toujours contesté toute responsabilité dans la destination de ces versements à des organisations terroristes.Selon l'Obs et le quotidien britannique The Guardian, l'usine de Lafarge aurait servi de "hub régional" pour les services de renseignement de plusieurs pays.Ancien membre des forces spéciales jordaniennes, Ahmad Jaloudi "aurait collecté des renseignements sur une trentaine d'otages, notamment sur le journaliste américain James Foley, le photographe britannique John Cantlie mais aussi sur le pilote jordanien Moaz al-Kasasbeh", mort brûlé vif dans une cage en 2015, écrit l'Obs.Dans un document d'enquête des douanes datant de 2019 consulté par l'AFP et récapitulant les échanges électroniques saisis, Ahmad Jaloudi est présenté comme "en relation constante" avec le groupe Etat islamique.Ahmad Jaloudi "informe systématiquement Bruno Pescheux puis Frédéric Jolibois", deux anciens directeurs de la filiale syrienne, "ainsi que Jean-Claude Veillard", directeur de la sûreté du groupe, "de ses contacts avec les islamistes" et "relaye (leurs) exigences", ajoute le document.Tous trois sont déjà mis en examen pour "financement d'une entreprise terroriste" et "mise en danger de la vie d'autrui".
Il y a 3 ans et 219 jours

Stéphanie Bondoux arrive chez Hoffmann Green Cement

Stéphanie Bondoux arrive au poste de directrice certification et homologation chez Hoffmann Green Cement. [©Hoffmann Green Cement] Hoffmann Green Cement annonce l’arrivée de Stéphanie Bondoux à la direction de la certification et de l’homologation. Les normes techniques et les règles du secteur de la construction sont en constantes évolutions. C’est pour cela qu’Hoffmann Green Cement a souhaité rester en alerte. Ainsi, le rôle de Stéphanie Bondoux sera d’améliorer la performance, de rendre durables les solutions et de sécuriser les diverses opérations. Et ce, en favorisant la politique d’innovation du cimentier. Stéphanie Bondoux travaillera en collaboration avec les laboratoires d’essais et les organismes offciels, tel le CSTB. Elle veillera à la bonne réalisation des essais pour obtenir les différentes certifications et homologations.  « Stéphanie va nous permettre de franchir une étape supplémentaire en matière de certification et d’homologation. Au-delà des bénéfices environnementaux de notre offre, Stéphanie va nous aider à obtenir les certifications et homologations. Qui seront nécessaires pour fournir des informations fiables sur les niveaux de performances, de durabilité et de sécurité. Ceci, en direction des acteurs de la construction en France, en Europe et dans le monde », témoignentJulien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement Technologies. Le parcours de Stéphanie Bondoux Stéphanie Bondoux est diplômée de l’université de Paris I – Panthéon-Sorbonne en marketing. Elle possède aussi un master spécialisé en maîtrise des sciences de gestion, obtenu en 2006. Elle débute sa carrière comme chef de produit fixation chez Hilti. Depuis 2016, elle y était en charge des homologations et du cadre réglementaire pour les filiales Europe de l’Ouest. Grâce à ce poste, elle est devenue une experte en matière d’homologations, d’évaluations techniques et de réglementations.  Charline David
Il y a 3 ans et 219 jours

Les solutions Rector en Maisons Individuelles pour des planchers RE 2020

Spécialiste de la fabrication d’éléments de plancher en béton précontraint et béton armé, RECTOR s’engage aux côtés de ses clients dans la réduction de l’impact environnemental en proposant, dès à présent, des solutions pensées pour répondre aux exigences de la RE2020. Ces dernières seront présentées sur le stand de RECTOR au salon ARTIBAT qui se tiendra à Rennes du 13 au 15 octobre 2021.Des solutions concrètes pour répondre aux principaux enjeux de la RE2020 en maisons individuellesPartenaire privilégié des Cmistes (Constructeurs de Maisons Individuelles) et leader sur ce marché depuis près de 70 ans, Rector propose la gamme la plus complète de solutions préfabriquées innovantes et optimisées, du soubassement aux toitures terrasse.Grâce à la pertinence de ses systèmes préfabriqués, Rector répond d’ores et déjà aux trois principaux enjeux de la RE2020 :Isolation et traitement des ponts thermiques pour chaque niveau de la maisonAvec sa gamme de planchers Equatio avec entrevous isolants (vide sanitaire, sous-sol, étage, toitures terrasses) associée à ses Box de rupteurs de ponts thermiques et leurs accessoires, Rector est l’un des seuls industriels à être capable de traiter l’ensemble des ponts thermiques du plancher en isolation 100% intégrée.Pour le vide sanitaire, Rector propose des combinaisons (planchers Equatio VS et entrevous isolants Rectosten) pour être au plus juste du PSI conforme à la réglementation RE2020, quelle que soit la zone climatique. Le département Recherche et Développement Rector a ainsi revu l’ensemble des calculs pour ajuster les performances des planchers aux nouvelles exigences de Bbio et proposer une gamme élargie d’entrevous à languette allant de l’up 40 à l’up 11.Les systèmes de planchers bas et à étage Rector avec isolation intégrée sont à privilégier par rapport à ceux avec isolation rapportée. En effet, en plus du gain de temps et de surface, ce type d’isolation permet l’application d’un revêtement directement sur la table de compression ou encore l’intégration d’un plancher chauffant/rafraîchissant directement sans chape.«Parce que nous avons pris en compte toutes les zones climatiques de France lors de nos études, nous sommes en capacité d’apporter des solutions pertinentes et standardisées, et d’accompagner tous nos clients lors de leur mise en œuvre pour des maisons conformes. Grâce à l’ajustement de nos solutions calculées au juste psi, l’atteinte des performances thermiques des planchers selon les seuils envisagés de la RE2020 est beaucoup plus simple», explique Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique.Maîtrise du bilan carboneNécessitant moins de béton pour leur fabrication et moins de transport pour les livrer sur les chantiers, les planchers préfabriqués Rector sont naturellement plus sobres en matière et bénéficient d’un impact environnemental réduit. Ils sont, en plus, dotés d’une durée de vie quasi-illimitée.Pour obtenir un bon bilan carbone, un plancher constitué de poutrelles précontraintes et d’hourdis Rector est une solution optimisée comparée à d’autres solutions telles que le dallage porté ou la dalle sur terre-plein.Enfin, Rector commercialise une gamme d’entrevous légers, en plastique 100% recyclé, en bois, pour le vide sanitaire ou les planchers en étage dont les formulations ont été pensées pour réduire l’impact carbone sur les chantiers. « Nous proposons à nos clients des solutions adaptées pour décarboner les planchers : Rectoplast Recyclé, Primolight et Rectolight ainsi que des montages mis au point pour chaque chantier », ajoute Côme Lesage.Au-delà de la composition de ses produits, Rector met au cœur de sa démarche l’économie circulaire, l’optimisation des transports, la gestion des ressources et des déchets en usine comme sur les chantiers de ses clients.Enfin, toutes les solutions de planchers préfabriqués Rector font l’objet de Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour assurer aux constructeurs et bureaux d’étude la qualité et les performances de systèmes.Prise en compte du confort d’étéRector lance une nouvelle gamme de plancher Equatio® chauffant rafraîchissant, issue de son partenariat avec Rehau.Tout en préservant l’inertie thermique du plancher, ce système, intégré dans la dalle, permet aux constructeurs de maisons individuelles d’offrir le confort à leurs clients, été comme hiver, tout en répondant à la RE2020.Avec l’ensemble de toutes ces solutions durables de planchers préfabriqués Rector, les professionnels de la maison individuelle ont l’assurance de faire le choix de la performance à coûts maîtrisés et de la conformité à la nouvelle réglementation.Pour en savoir consultez la page Rector sur Batinfo ou le site internet.
Il y a 3 ans et 219 jours

La Philharmonie des Enfants, un espace d'éveil musical et de flânerie créative

CULTURE. La Philharmonie des Enfants invite à la déambulation et à l'exploration des sons, depuis son ouverture le 29 septembre 2021. La designer Constance Guisset s'est inspirée des gammes de couleurs Tarkett pour imaginer un univers poétique et décalé.
Il y a 3 ans et 219 jours

EuroSkills 2021 : Palmarès du pôle BTP de l’Équipe de France des Métiers

31 jeunes, tous âgés de moins de 26 ans, composaient l’Équipe de France des Métiers, qui a remporté 18 médailles, parmi les 28 métiers portés par la France au niveau européen.Une belle moisson pour le pôle BTP : deux médaillés d’or, trois médaillés d’argent et deux médaillés d’excellenceLe pôle BTP tire remarquablement son épingle du jeu, avec sept médailles sur les dix-huit remportées par les tricolores, qui placent notre pays au troisième rang des nations européennes.Sur les dix jeunes en compétition dans le pôle BTP, cinq sont montés sur les marches du podium européen (une fille et quatre garçons), avec deux médailles d’or en couverture métallique et miroiterie et trois médailles d’argent en menuiserie, solier et taille de pierre. Deux jeunes, en maçonnerie et peinture et décoration, décrochent également une médaille d’excellence, attribuée à des compétiteurs qui manquent de peu la troisième marche du podium.Cette belle moisson de médailles pour le seul pôle BTP aux EuroSkills 2021 démontre une nouvelle fois l’excellence des compétences et l’ampleur des savoir-faire des jeunes, formés aux métiers du bâtiment et des travaux publics.Les entreprises et les organismes de formation aux métiers du BTP peuvent être fiers des jeunes qu’ils ont formés, préparés et accompagnés jusque à la compétition, jouant un rôle essentiel dans leur réussite finale.Le PalmarèsMÉDAILLE D’OR : Donovan LEFEUVRECOUVERTURE MÉTALLIQUEFormé à BTP CFA Sarthe (Le Mans)Salarié de l’entreprise Glot Fils Couverture (79)« Je suis très heureux. C’est une grande satisfaction. Je vis cette émotion à 100 %. Je souhaite à tout le monde de pouvoir partager ce sentiment et de s’engager dans cette démarche de compétition. C’est magique ! C’est l’aboutissement d’un parcours qui a duré quatre ans. Quand je suis monté sur le podium, j’ai pensé à la fois à mon expert métier, qui a su me pousser dans mes retranchements, à l’entreprise dans laquelle je travaille et qui m’a accompagné, en me laissant m’entraîner dans ses locaux, et à ma compagne sur laquelle je peux me reposer. »MÉDAILLE D’OR : Laura VEREECKENMIROITERIEFormée au Lycée Le Corbusier de Tourcoing« Quelle belle surprise ! Je ne regrette pas d’avoir mis ma vie professionnelle de côté pendant deux ans, pour me consacrer à la compétition EuroSkills. Ce qui me motive depuis le début, c’est l’envie d’aller au bout, de dépasser mes limites et de pouvoir me comparer aux autres candidats. Avec les EuroSkills, j’ai beaucoup appris. »MÉDAILLE D’ARGENT : Élie BERARDMENUISERIEEn contrat d’apprentissage dans l’entreprise Berthillot« Je suis heureux. J’éprouve beaucoup de fierté. Le dernier jour d’épreuve a été difficile. J’étais pris par le temps. Mais je n’ai pas cessé d’y croire, en me disant que mes concurrents avaient peut-être aussi commis quelques erreurs. Cette médaille représente trois années d’engagement et d’investissement. »MÉDAILLE d’ARGENT : Jessy DUMAS BOUGAINSOLIERFormé chez Gerflor, salariée de l’entreprise Aubonnet« Je suis fier de moi. J’ai raté de peu la médaille d’or, cela s’est joué à six points sur 800 ! Quand on m’a remis ma médaille, j’ai pensé à tous ceux qui m’ont aidé et soutenu et je me suis dit que j’avais eu raison de croire en mes compétences. Cette médaille représente tout ce que j’ai traversé, depuis la sélection régionale jusqu’à cette finale européenne. La pandémie ne m’a pas découragé. Je m’étais fixé comme objectif de décrocher une médaille. Ma passion pour mon métier m’a aidé à tenir le rythme. »MÉDAILLE d’ARGENT : Alexis TATINTAILLEUR DE PIERRESalarié de l’entreprise Atelier du Crocodile« Cela me fait très plaisir. Je suis très heureux. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre. La médaille d’or s’est jouée à quelques points. C’est une aventure qui a duré quatre ans. Je suis très reconnaissant à tous ceux qui m’ont accompagné tout au long de ce parcours et aux nombreuses personnes qui m’ont formé. J’ai vécu quelques moments de découragement à cause de la crise sanitaire, mais je me suis toujours rapidement remis dans le bain. Quand je m’engage dans quelque chose, je vais jusqu’au bout. »MÉDAILLE D’EXCELLENCE : Tanguy JEDELEMAÇONNERIEFormé chez les Compagnons du DevoirEn contrat de professionnalisation dans l’entreprise Gaby AtMÉDAILLE D’EXCELLENCE : Nancy MAURILLEPEINTURE ET DÉCORATIONFormée au CFA de la CCI de Cholet et à BTP CFA CaenSalariée de l’entreprise Évelyne DECO
Il y a 3 ans et 219 jours

Un nouvel hôpital ultra-modulable

Le nouvel hôpital de Maubeuge va accueillir ses premiers patients prochainement. Attendu depuis plus de dix ans par la communauté hospitalière, le bâtiment est très lumineux, et propose 80% de chambres individuelles. Les façades homogènes aux lignes horizontales alternent un bardage à casquette ondulée doré et un bardage grille percé de 321 menuiseries signées WICONA. Autre particularité, le bâtiment est livré en BIM 7D. Vaste rectangle de béton, le bâtiment possède une vertu, à première vue peu évidente : être ultra-modulable comme l’explique Vasiliki Noula de chez Brunet Saunier Architecture « Le bâtiment s’apparente en quelle que sorte à une gaufre. C’est un monospace rectangulaire compact percé de six patios, ce qui nous permet d’avoir des services en forme de T, les uns à côté des autres. « Ainsi, en cas de besoin, la capacité en lits de chaque service peut augmenter ou diminuer, en prenant sur les services adjacents. » Sa construction a été confiée à Bouygues Bâtiment Nord-Est, mandataire d’un groupement constitué de l’agence d’architecture Brunet Saunier, de l’entreprise Montaron (filiale de Colas Nord-Est), du bureau d’ingénierie WSP, du bureau d’études environnement Etamine et de l’acousticien Sigma.   Photo : Franck Deletand  
Il y a 3 ans et 219 jours

La gamme Rockbardage évolue avec de nouvelles performances thermiques et un nouveau format de palettisation plus stable

Plus performante avec sa conductivité thermique de 0,033 X/m.K certifiée ACERMI, la gamme Rockbardage garantit de meilleures performances thermiques tout en gardant les avantages du Rockbardage : reprise de charge, pose facile, limite les ponts thermiques et acoustiques, excellent comportement à l'eau et une protection incendie optimale.Rockbardage est un produit durable avec une durée de vie de plus de 55 ans et recyclable à l'infini.La gamme Rockbardage est référencée :dans son nouvel Avis Technique pour les tôles extérieures nervurées.dans plusieurs avis techniques de fabricants de parement.QUOI ? Rockbardage nu est un panneau isolant en laine de roche usiné pour s'intégrer aux géométries spécifiques des plateaux de bardage. Il existe en deux versions, lèvre droite ou lèvre caisson avec une entretoise de 40 mm (60 mm nu Energy, 80 mm nu Evolution). Le produit est éligible au service de recyclage Rockcycle.POURQUOI ? Optimisé pour les zones techniques, ce panneau isolant permet d'isoler les toitures-terrasses inaccessibles sur éléments porteurs en tôle d'acier nervurée. Il permet aussi de sécuriser votre chantier de par son aspect incombustible, avec une réaction au feu Euroclasse A1.QUAND ? En vente dès le 15 septembre 2021.SIGNES PARTICULIERS : Rockbardage dispose d'un lambda 33. Optimisés pour le transport, ces panneaux isolants proposent aussi un nouveau format de palettisation plus stable. Enfin, il garantit une excellente tenue dans le temps et répond aux réglementations incendie les plus strictes.A SAVOIR : La largeur et la longueur des panneaux en laine de roche restent stables face aux variations d'humidité et de température.
Il y a 3 ans et 219 jours

Saint-Gobain a bouclé l'acquisition de Chryso

4 mois après l'annonce de négociations exclusives avec le fonds d'investissement Cinven pour le rachat de cet acteur mondial de premier plan sur le marché de la chimie de la construction, Saint-Gobain a finalisé l'opération.
Il y a 3 ans et 219 jours

Vinci construira un collecteur d'orage à Toronto

Vinci Construction - à travers sa filiale Bessac (Soletanche Bachy), spécialiste de réalisation de tunnels par microtunneliers - a remporté, en groupement intégré avec l’entreprise canadienne EBC, le contrat de construction du Fairbank Silverthorn Storm Trunk Sewer System à Toronto. Un contrat d'un montant de 184 millions de dollars canadiens (environ 124 millions d’euros).
Il y a 3 ans et 219 jours

Fabrice Denis, nouveau Dg du pôle “Construire Autrement” de Bouygues Bâtiment

Fabrice Denis vient d’être nommé directeur général du pôle “Construire Autrement”. [©Bouygues Bâtiment] Fabrice Denis vient de prendre la direction générale du pôle “Construire Autrement” de Bouygues Bâtiment France Europe. Cette nomination est en étroite corrélation avec la stratégie bas carbone du groupe de BTP. En effet, Bouygues souhaite accélérer la transformation de ses procédés de construction, afin d’apporter des réponses sur le long terme aux attentes de ses clients. C’est pour cela que le nouveau pôle “Construire Autrement” a été créé. Il a pour mission de réunir et de mobiliser les ressources logistiques et organisationnelles du groupe. Ceci, afin de limiter l’impact environnemental des projets. Et ainsi, de construire plus durable. « Nous devons répondre aux besoins et attentes de nos clients : préserver notre avenir, mais aussi celui de la planète. Bénéficier d’une croissance rentable, mais contributive. En bref, faire plus et mieux avec moins. Cela implique de “Construire Autrement” !, insiste Fabrice Denis.  L’organisation du pôle “Construire Autrement” Ce pôle inédit va voir la mise en place d’une nouvelle organisation basée sur trois piliers. D’abord, les directions ingénierie des différentes unités présentes sur l’ensemble de l’Europe vont permettre un déploiement des solutions innovantes des projets. Ensuite, deuxième pilier : la transformation, qui renforcera l’engagement de Bouygues Bâtiment France Europe sur quatre thématiques différentes et interdépendantes : l’environnement, l’industrialisation et la logistique, la construction bois et enfin, les produits et l’innovation. Dernier pilier : le pôle “Construire Autrement” pourra s’appuyer sur l’expertise de la société Elan. Cette dernière étant spécialisée dans les domaines du carbone, de l’économie circulaire, de la biodiversité, de l’énergie et des certifications. Pourvu de 130 collaborateurs, Elan accompagne promoteurs, maîtres d’ouvrage et investisseurs dans leurs projets. « Grâce à ce pôle, nous allons renforcer et accélérer les efforts engagés ces dernières années. Mais au-delà de l’organisation, nous misons sur notre état d’esprit collectif », continue Fabrice Denis.  Le parcours de Fabrice Denis  Diplômé de l’Ecole spéciale des travaux publics (ESTP) en 1993, le nouveau Dg débute sa carrière en qualité d’ingénieur travaux au sein de Rabot Dutilleul. En 2000, il rejoint le groupe Bouygues au poste de chef de projet. Il dirige ensuite l’activité industrie de sa filiale GFC Construction, à Lyon. En 2010, Fabrice Denis intègre Bouygues Bâtiment International et s’envole vers l’Asie pour devenir directeur général de Byme Hong Kong. Et ce, jusqu’à 2015. Il prend ensuite le poste de directeur général de Dragages Singapour, en charge de l’Asie du Sud-Est. En 2017, il revient en France et devient directeur Europe centrale de la filiale Bouygues Bâtiment France Europe. A partir de septembre 2019, il prend la tête de la direction générale stratégie construction bois, toujours au sein du groupe.  Charline David
Il y a 3 ans et 219 jours

Saint-Gobain rachète Chryso

ACQUISITION. Annoncée au mois de dernier, l'opération scellant le rachat de Chryso par Saint-Gobain vient d'être achevée.
Il y a 3 ans et 220 jours

Restauration du pigeonnier du château de Panloy à Port-d’Envaux

En Charente-Maritime, sur le domaine du château de Panloy, sont inscrits au titre des monuments historiques, la façade principale au nord avec les deux pavillons d’angle et les toitures correspondantes, le grand salon avec son décor au rez-de-chaussée, les balustrades, la terrasse avec son portail, ainsi que le pigeonnier qui se signale à l’ouest du château. Témoignage de l’importance d’un domaine, le pigeonnier fait souvent l’objet d’une attention architecturale, comme c’est le cas ici. Néanmoins son mauvais état de conservation (enduits lessivés, charpente vrillée et sous-dimensionnée pour résister aux vents) nécessitait une intervention de restauration. Confiée à l’Atelier d’architecture Nathalie Lambert, le projet de restauration a fait l’objet d’un permis de construire délivré en 2019. La restauration est accompagnée financièrement et au titre du contrôle scientifique et technique par la Conservation régionale des monuments historiques – site de Poitiers. Le montant total de la restauration s’élève à 169 097 €, subventionné à hauteur de 30 % par la Drac de Nouvelle-Aquitaine, soit 50 729 €. Ces travaux sont suivis dans le cadre du contrôle scientifique et technique par la Conservation régionale des monuments historiques – site de Poitiers et de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine de Charente-Maritime. Source et photo : Drac de Nouvelle-Aquitaine  
Il y a 3 ans et 220 jours

Un nouveau DG pour le groupe Maine

CARNET-NOMINATION. Fabricant de portails, clôtures, volets, le groupe Maine présente son nouveau directeur général Stéphane Jacquet, nommé le 20 mai dernier, date du rachat de la société par le Groupe Bouyer Leroux.
Il y a 3 ans et 220 jours

Avec son nouveau bloc-baie Chrono One, Soprofen repousse les limites de la performance

Produit de référence en logement neuf individuel et collectif, le bloc-baie représente 44 % des volets roulants installés en France. Marqué par l’évolution constante des normes, parmi lesquelles la future RE 2020, ce marché de la construction voit les exigences de performances des bâtiments renforcées. Concepteur gammiste depuis 1984 et titulaire du 1er avis technique sur le bloc-baie, Soprofen conçoit en permanence des solutions inédites qui répondent aux directives réglementaires. Aujourd’hui, l’expert du volet roulant innove une nouvelle fois et présente Chrono One, un coffre intégré qui concentre tous les avantages attendus par les menuisiers. Plus de performances pour encore plus de confort Plaçant le client au cœur de sa stratégie d’innovation, Soprofen a consulté une vingtaine de menuisiers industriels référents dans toute la France pour recueillir leurs attentes quant à la conception d’un nouveau bloc-baie. Résultat de 3 ans de Recherche & Développement, le Chrono One additionne ainsi tous les avantages en termes de performance, fiabilité, simplicité et rapport qualité-prix. De quoi répondre aux exigences des chantiers de construction neuve et de rénovation ! Dans une volonté de proposer une solution aux performances exceptionnelles, Soprofen a équipé le Chrono One d’une sous-face en nid d’abeilles obtenue grâce à une technologie exclusive brevetée. Complétée par l’ajout d’isolants en polystyrène situés dans les joues et le coffre ainsi que par un joint sur la première lame, le Chrono One offre ainsi une excellente isolation thermique (jusqu’à Uc < 0,7 W/m2K selon calcul interne) et phonique (jusqu’à 57 dB Dne Atr). Un important travail a également été réalisé au niveau de : • la perméabilité à l’air afin d’atteindre une certification classe 4* par l’intégration de joints co-extrudés au niveau de la trappe et d’un joint mousse sur la périphérie de la joue, • l’étanchéité entre le coffre et la menuiserie par l’ajout d’un joint d’étanchéité au niveau du profilé alvéolé et d’un profil de finition doté d’un joint côté intérieur et d’un double face sur l’adaptateur. Bénéficiant de l’innovation Goodnight qui offre une occultation optimale, le nouveau bloc-baie de Soprofen est en plus réalisable dans de grandes dimensions. En effet, la mise en place de crochets pare-tempête permet d’aller jusqu’à 3 mètres ou 3,50 mètres en un seul tablier, selon les lames (ALU de 37 ou 50 mm), quelle que soit la taille du coffre (200 ou 230 mm). Plus facile à installer pour un véritable gain de temps Le nouveau bloc-baie Chrono One réunit tous les ingrédients pour offrir jusqu’à 40% de gain de temps à l’assemblage du volet en atelier, grâce à : • une étanchéité facilitée par la présence de joints réduisant l’utilisation du silicone, • un adaptateur en aluminium rigide pré-percé vissé dans le dormant qui facilite la fixation, • deux modes de montage possibles (sur dormant monobloc ou avec tapées rapportées) pour s’adapter à toutes les configurations (ITI neuf, rénovation, ITE, ossature bois, brique isolante), • une large gamme de coulisses ALU et PVC, avec plaquette d’étanchéité en partie basse, faciles et rapides à positionner grâce à un support d’indexation au niveau de la tulipe, • des brides de fixation latérales surmoulées dans la joue qui réduisent les opérations au niveau du coffre et du dormant et permettent d’avoir une surface parfaitement plane, Autant d’éléments qui permettent une rapidité de montage du coffre sur la fenêtre en moins de 8 minutes top chrono ! Ainsi qu’une grande simplicité de mise en œuvre sur le chantier grâce à : • des embouts de trappe fixes, pensés pour les poses en tunnel sous dalle, qui laissent accessible la trappe de visite après enduisage, • une possibilité de croquage du coffre pour s’adapter à toutes les poses. Une grande robustesse pour une fiabilité à toute épreuve En complément, au niveau de la liaison mécanique entre le coffre et la menuiserie, le Chrono One dispose d’un adaptateur en aluminium, de renforts d’inertie complémentaires à la traverse haute et, en option, de brides de reprise au linteau pour faciliter la fixation du coffre sur les grandes largeurs. Autant d’éléments qui, en plus d’une excellente inertie, assurent à l’ensemble une plus grande rigidité, stabilité et durabilité. Un bloc-baie éco-conçu et esthétique « Made in France » Fabriqué en France en PVC recyclé (à hauteur de 60 %), le Chrono One joue la carte de la discrétion d’un point de vue esthétique. Avec sa trappe de visite au design rectiligne et sa large palette de finitions plaxées, dont près de 50 sous Avis Technique, il s’intègre harmonieusement dans tous les intérieurs. Pour répondre aux demandes les plus courantes, le nouveau bloc-baie de Soprofen est également disponible, en option, avec un thermolaquage       « bord de mer » du coffre, des coulisses, de la lame finale et de la face extérieure en aluminium du tablier. Spécialement développé pour les régions les plus exposées, il assure ainsi une haute résistance anti-corrosion à l’ensemble qui bénéficie alors de 5 ans de garantie pour les habitations situées de 0 à 10 km du bord de mer et jusqu’à 7 ans au-delà de 10 km**. Avec Chrono One, Soprofen propose aux professionnels le meilleur du bloc-baie en alliant hautes performances, facilité de montage, adaptabilité et esthétique. Le fabricant prend ainsi une longueur d’avance qui devrait lui permettre d’être fidèle à son ambition : rester le leader français de la fermeture. *essai interne, certification en cours **selon les conditions précisées dans le carnet d’assistance et de garanties Soprofen