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Il y a 3 ans et 206 jours

INNOVATION fischer : FIS V Zero, la première résine d’injection exempte de substances dangereuses pour l’environnement et la santé des utilisateurs !

En tant que pionnier dans le domaine des solutions de fixation durables, fischer a mis au point la première résine d’injection sans substances dangereuses :  FIS V Zero. Avec une formule chimique brevetée, sans peroxyde de benzoyle, la FIS V Zero assure un usage sans risque car elle ne nuit pas à l’environnement et à la santé des utilisateurs. Universelle, polyvalente et aussi performante qu’une résine traditionnelle, elle dispose de nombreux ETE (Evaluation Technique Européenne) – béton fissuré et non-fissuré, maçonneries, fers à béton, forages inondés – et d’une résistance au feu R120. Par ailleurs, elle combine une prise sûre dans tous les matériaux de construction courants avec les exigences les plus élevées en matière de santé et de sécurité. Sans nuisance pour l’utilisateur et l’environnement Innovante, la résine FIS V Zero fischer est exempte de peroxyde de benzoyle, une substance couramment utilisée dans les scellements chimiques et classée comme allergisante, irritante pour les yeux et dangereuse pour l’environnement. fischer a remplacé ce composé par des substances respectueuses de l’environnement et un nouveau procédé de durcissement breveté. Grâce à cette formulation classée A+, la résine répond aux exigences les plus élevées pour maintenir une bonne qualité de l’air intérieur avec de faibles émissions de COV (Composés Organiques Volatils) comme le confirme le certificat Eurofins Indoor Air Comfort Gold, ce qui la rend idéale pour une utilisation dans des pièces fermées. Une résine polyvalente… La résine FIS V Zero fischer convient à toutes les applications de fixation chimique courantes dans le domaine du bâtiment comme du bricolage. Elle permet le scellement de fers à béton, la fixation de garde-corps, de stores bannes, de mains-courantes, d’éléments de charpente, de constructions métalliques, d’équipements de jardins, de cuisines et de sanitaires… et est agréée pour tous les matériaux de construction (brique pleine, brique pleine silico-calcaire, bloc creux en béton léger, maçonnerie creuse…). Avec la FIS V Zero, l’ancrage se fait sans contrainte d’expansion, ce qui permet des distances aux bords et des entraxes réduits. D’une résistance au feu R120, elle dispose d’ETE pour béton fissuré et non-fissuré, maçonnerie creuse et pleine et reprise de fers à béton. Flexible, cette résine d’injection peut être utilisée tout l’année sur les chantiers, dans des trous de forage inondés et par des températures de -10°C à 40°C. Son temps de durcissement est de 60 minutes à une température de 22 °C. Pratiques, que l’on soit professionnel du bâtiment ou particulier, les cartouches usagées de la FIS V Zero peuvent être jetées avec les déchets ménagers habituels. Et, puisqu’aucune substance dangereuse n’entre dans sa composition, elle ne nécessite pas l’affichage de pictogrammes de danger sur l’étiquette et de fiche de données de sécurité, ce qui lève les contraintes de logistique et de stockage liées aux produits chimiques. Comme les autres scellements d’injection, la FIS V Zero s’injecte dans le trou de perçage nettoyé. Lors de l’activation de la cartouche, les 2 composants (résine et durcisseur stockés séparément) sont mélangés et activés dans le bec mélangeur. Les cartouches ouvertes peuvent être réutilisées. En fonction du matériau, de la profondeur d’ancrage ou du projet (intérieur ou extérieur), la résine peut être associée à différents accessoires homologués pour offrir un maximum de sécurité : tiges filetées FIS A (M8 à M24), douilles taraudées RG MI (M8 à M16),  barres de traction FRA (M12 à M24), fers à béton (ø8 à ø25) et tamis d’injection FIS HK.
Il y a 3 ans et 206 jours

Mb Rock Premium de Rockwool élu « coup de cœur » du jury parmi les nouveautés Artibat 2021

Salon incontournable de la construction et des travaux publics depuis plus de 30 ans, ARTIBAT réunit cette année à Rennes plus de 1.000 exposants et 40.000 professionnels de la construction. A l’occasion du salon est édité le Guide des Nouveautés qui valorise les innovations de moins d’un an proposées par les fabricants industriels et distinguées par un jury d’experts de la filière BTP. Cette sélection prend en compte non seulement l’avantage pour le professionnel, l’amélioration des performances, l’intérêt pour le client final mais également les préoccupations environnementales. Parmi la liste des produits qui ont retenu l’attention du Jury cette année, le nouvel Mb Rock Premium figure parmi les nouveautés « Coups de Cœur ».Spécialement adapté à l’isolation des constructions à ossature bois, Mb Rock Premium de ROCKWOOL est un panneau entièrement composé de laine de roche qui apporte un excellent confort thermique tout au long de l’année. En hiver, il permet de garder la chaleur à l’intérieur. En période de fortes chaleurs, Mb RockPremium offre un excellent confort d’été : il limite la pénétration de la chaleur dans l’habitat, réduit la surchauffe et permet de maintenir un air relativement frais.Grâce à sa densité (masse volumique de 65 kg/m3) et sa conductivité thermique (lambda 32), Mb Rock Premium augmente l’inertie thermique de la paroi, permettant de maintenir une température intérieure agréable tout au long de l’année. Ce produit possède une faible diffusivité permettant de retarder et d’atténuer le transfert du flux de chaleur de l’intérieur vers l’extérieur et vice-versa.En outre, Mb Rock Premium contribue à améliorer la qualité de l’air intérieur comme en témoigne l’étiquetage sanitaire A+ réservé aux produits qui émettent très peu de composants organiques volatils. Recyclable à l’infini et incombustible, Mb Rock Premium ne contribue pas au développement de l’incendie. Il est recommandé sur les murs à ossature bois de tout type de bâtiment, résidentiel ou professionnel, individuel ou collectif. Il permet également une facilité d’installation procurant un confort et un gain de temps dans la pose.« Nous sommes fiers de proposer un produit qui permet de garantir à nos clients tous les avantages de l’isolation en laine de roche tout en s’adaptant aux nouvelles tendances de la construction et en répondant aux objectifs de la RE2020. Aujourd’hui, le bois n’est plus cantonné à la maison individuelle et gagne du terrain dans tous les segments de la construction. Il était donc indispensable pour ROCKWOOL d’offrir un produit durable, facile à installer et qui convient totalement aux constructions en ossature bois. Incombustibles par nature, les panneaux Mb Rock Premium apportent une protection incendie optimale et permettent de ralentir la propagation du feu, ce qui est évidemment essentiel pour des bâtiments en ossature bois », déclare Matthieu Biens, Directeur Marketing et développement produits pour l'Europe du sud chez ROCKWOOL.
Il y a 3 ans et 206 jours

Wienerberger lance des produits terre cuite innovants en réduisant ses émissions de CO2

Wienerberger, fabricant de matériaux de construction en terre cuite, engage 60 millions d’euros d’ici à 2025 pour réduire ses émissions de CO2 et promet des innovations.
Il y a 3 ans et 206 jours

Saint-Gobain dévoile un plan stratégique basé sur le zéro carbone

Le groupe Saint-Gobain qui veut devenir « le leader mondial de la construction durable » a détaillé ses objectifs de croissance pour la période 2021-2025.
Il y a 3 ans et 206 jours

CAIB devient WIBAIE à partir du 1er janvier 2022

Ce nouveau nom reflète l’évolution de CAIB, entreprise résolument moderne et connectée, toujours en phase avec son ADN : concevoir et fabriquer des fenêtres, baies et portes d’entrée multi-matériaux (aluminium, PVC, Bois-alu et acier) pour le secteur de la Distribution Bâtiment & Bricolage (négoces, GSB et réseaux spécialisés). Ce changement intervient moins d’un an après la fusion de l’ensemble des marques sous le nom unique CAIB (mars 2021). Par ailleurs, WIBAIE est le nom de la première baie coulissante intelligente et connectée, lancée en juin 2020.Devenant WIBAIE, CAIB changera aussi d’identité visuelle et de charte graphique sur l’ensemble de ses outils de communication et de vente (site Web, documentations, etc.). 2022 sera également porteuse de lancements majeurs de nouveaux produits (gamme pvc, portes d’entrée…) et d’importants investissements sur ses sites (nouvelle ligne PVC, agrandissement de l’usine Alu, et nouveaux bureaux).« Nous avons été capables d’anticiper les grandes mutations du marché et du comportement des clients pour nous transformer profondément. Ces dernières années, CAIB a relevé le défi du numérique et inventé de nouveaux services, imaginé des produits plus esthétiques et ergonomiques, plus performants techniquement et toujours plus automatiques et connectés. Sur le plan industriel, notre puissance et notre efficacité se sont renforcées et notre effort d’investissement va se poursuivre et s’accentuer. Nous ouvrons une nouvelle page de l’histoire de l’entreprise avec toujours l’ambition d’être une vraie référence de notre métier ! » Patrice Bondy, Directeur Général de WIBAIE« Avec l’aide de ses clients, partenaires et salariés, CAIB continue de préparer l’avenir du métier de la fabrication et distribution des fenêtres et portes. Le nom WIBAIE est plus explicite de notre univers métier que le précédent ! Et choisir le nom d’une innovation produit, lancée il y a deux ans, est un clin d’œil sympathique à l’histoire du groupe Liébot, car je me souviens que K LINE et MéO étaient eux aussi des produits innovants avant de devenir des noms d’entreprises. » Bruno Leger, Directeur Général du Groupe LiébotNouveau nom et nouvelle identité graphiquePour symboliser et célébrer cette étape-clé dans l’histoire de l’entreprise, WIBAIE fait le choix d’une nouvelle identité. Le logo allie modernité, design et sobriété, à l’image des produits, tout en conservant les couleurs historiques de l’entreprise.Pour Edith Chouteau, Responsable Marketing Opérationnel et Communication : « WIBAIE identifie clairement l’activité de l’entreprise. Le mot BAIE désigne la fabrication de menuiseries, notre activité, et le WI illustre nos efforts de développement pour concevoir des produits innovants en phase avec les attentes nouvelles du marché et l’appétence des solutions connectées qui apportent confort et sécurité ».
Il y a 3 ans et 206 jours

Webinar : Éliminer efficacement les nuisances sonores à l’intérieur

Armacell, inventeur de la mousse flexible pour le marché de l’isolation d’équipements et fournisseur de mousses techniques invite les décideurs du bâtiment à s’inscrire gratuitement à son prochain webinar le…Cet article Webinar : Éliminer efficacement les nuisances sonores à l’intérieur est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 206 jours

Nouveau Politerm® R

EDILTECO® France présente le nouveau Politerm® R sur Artibat, procédé d’agrégat isolant pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques. Cette nouvelle version est conçue avec du polystyrène recyclé et s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire et responsable. Le fabricant récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication. Elles sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves. Politerm® R permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.
Il y a 3 ans et 206 jours

INNOVATION Fischer : FIS V Zero

Limiter l'impact des produits utilisés dans l'industrie, la construction, la décoration... sur l'environnement et la santé des personnes devient une vraie nécessité. En tant que pionnier dans le domaine des solutions de fixation durables, fischer a mis au point la première résine d'injection sans substances dangereuses : FIS V Zero. Avec une formule chimique brevetée, sans peroxyde de benzoyle, la FIS V Zero assure un usage sans risque car elle ne nuit pas à l'environnement et à la santé des utilisateurs. Universelle, polyvalente et aussi performante qu'une résine traditionnelle, elle dispose de nombreux ETE (Evaluation Technique Européenne) - béton fissuré et non-fissuré, maçonneries, fers à béton, forages inondés - et d'une résistance au feu R120. Par ailleurs, elle combine une prise sûre dans tous les matériaux de construction courants avec les exigences les plus élevées en matière de santé et de sécurité.
Il y a 3 ans et 207 jours

Virginie Gatin, directrice RSE de Legrand

Virginie Gatin est nommée directrice de la Responsabilité Sociétale et Environnementale (RSE) de Legrand en septembre 2021. Elle devient, à ce titre, membre du comité de direction de l'entreprise.
Il y a 3 ans et 207 jours

Delta Dore se sépare de sa branche Smart Building

STRATÉGIE. Delta Dore annonce avoir cédé Delta Dore EMS, spécialisée dans le "Smart Building" (gestion intelligente des bâtiments). Le spécialiste de la gestion des Bâtiments souhaite se recentrer sur le logement connecté.
Il y a 3 ans et 207 jours

La Banque de France anticipe une croissance d'environ 2,3% au troisième trimestre

La Banque centrale française estime que l'activité "se situerait en octobre presque à 100% de son niveau d'avant-crise", selon son point de conjoncture publié lundi.Les chefs d'entreprises anticipent notamment une amélioration de l'activité dans l'industrie et les services, et une stabilisation dans le secteur du bâtiment.La Banque de France a ainsi confirmé sa prévision d'une croissance de 6,3% pour l'ensemble de 2021.L'Insee table, elle, sur une croissance de 2,7% au troisième trimestre, puis de 0,5% au quatrième, et de 6,25% sur l'ensemble de l'année 2021. Le gouvernement, lui, vient de rehausser sa prévision à 6,25% également.En septembre, l'activité globale a progressé, pour atteindre 99,5% de son niveau d'avant crise, mais elle est en légère baisse dans l'industrie, souligne la Banque de France.L'industrie souffre en effet de plus en plus de difficultés d'approvisionnement, puisqu'en septembre 56% des entreprises de ce secteur disent avoir été pénalisées, contre 51% en août.C'est vrai en particulier dans l'automobile, alors que de nombreux constructeurs ont dû réduire leur production faute de composants.Le taux d'utilisation des capacités de production y est ainsi tombé à 56%, contre 69% en août, très en deçà de la moyenne de l'ensemble des sous-secteurs industriels, qui était de 77% en septembre, très proche de son niveau d'avant-crise (78%).Dans les services, une embellie se dessine dans les activités de loisirs, de service à la personne et la restauration.Le secteur du bâtiment résiste désormais mieux aux difficultés d'approvisionnement, soutenu par des carnets de commande bien garnis.Ces difficultés d'approvisionnement s'accompagnent toujours d'une hausse des prix des matières premières et des produits finis. Mais "dans certains secteurs, les hausses de prix sont moins marquées que les mois précédents", souligne la Banque de France, citant l'automobile, la métallurgie, les produits en caoutchouc et le plastique.D'ailleurs, les chefs d'entreprises anticipent une hausse un peu plus modérée en octobre.Le gouvernement relève sa prévision de croissance pour cette année à 6,25%Conséquence d'une reprise économique plus dynamique qu'anticipé, le gouvernement a relevé sa prévision de croissance pour 2021, à 6,25%, contre 6% attendu précédemment, s'alignant ainsi sur les prévisions de la plupart des grandes institutions."La croissance est forte, elle est solide, elle est dynamique. Nous réviserons donc la prévision de croissance pour 2021, de 6 à 6,25%. Nous retrouverons en décembre 2021 le niveau d'activité d'avant-crise", a annoncé le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, à l'Assemblée nationale, devant les députés qui entamaient lundi après-midi l'examen du dernier budget du quinquennat.Le gouvernement s'aligne ainsi sans surprise sur la prévision de l'Insee et se rapproche de celles de la Banque de France (6,3%) ou de l'OCDE (6,3%) publiées en septembre.Ce rebond de l'économie française intervient après une récession historique en 2020 du fait de la crise sanitaire, qui a provoqué une chute de 8% du produit intérieur brut (PIB).Si le gouvernement affichait une volonté de "prudence" jusqu'ici, le succès de la campagne de vaccination et la mise en place du pass sanitaire cet été, sans trop de conséquences sur l'activité, lui permettent désormais de revoir légèrement ses ambitions.Après un début 2021 atone, du fait du maintien des restrictions sanitaires, l'activité est fortement repartie depuis la mi-mai. Elle devrait désormais retrouver d'ici la fin d'année son niveau de fin 2019, avancent les économistes comme le gouvernement.Outre un rebond mécanique avec la réouverture de nombreuses activités, le ministre de l'Economie y voit aussi le succès de "la politique économique" du gouvernement, des mesures de soutien au plan de relance, en passant par les choix économiques d'avant-crise.Signe révélateur mis largement en avant par l'exécutif ces dernières semaines: l'emploi se situe à des niveaux inédits. Le taux de chômage pourrait retomber à 7,6% au troisième trimestre, du jamais-vu depuis la crise financière de 2008."Plein emploi" sous deux ansAlors que le risque sanitaire semble s'éloigner pour l'instant, Bruno Le Maire a relevé trois nouveaux dangers pour l'économie française, dont le risque de conflit "exacerbé" entre les nations, qui doit conduire la France et l'Europe à reconstruire leur "indépendance", notamment industrielle.Emmanuel Macron présentera mardi dans cette optique un plan d'investissement, baptisé "France 2030", qui vise à financer le développement de technologies d'avenir (hydrogène, biotechnologies, espace, nucléaire, etc.).Les autres risques pointés par le ministre de l'Economie sont l'inflation, dont la poussée, tirée par les prix de l'énergie, grève le pouvoir d'achat des Français, et les difficultés de recrutement croissantes dans un certain nombre de secteurs (restauration, bâtiment, etc.)."Le plein emploi, nous pouvons y arriver sous deux ans", a affirmé Bruno Le Maire devant les députés, dans un discours aux accents de campagne électorale, à six mois de l'élection présidentielle.Il a aussi défendu le sérieux budgétaire du gouvernement, malgré l'explosion de la dette publique et du déficit durant la crise.Ce dernier, attendu jusqu'ici à 4,8% du PIB l'an prochain (après 8,4% cette année), devrait finalement avoisiner les 5%, le gouvernement devant encore prendre en compte les dépenses engendrées par le plan "France 2030", le futur revenu d'engagement promis pour les jeunes, que le gouvernement peine à finaliser, et les mesures de compensation face à la hausse des prix de l'énergie.
Il y a 3 ans et 207 jours

Comment "horizontaliser" une tour, selon l'architecte du futur plus haut gratte-ciel de France

Baptisé "The Link" ("le Lien"), il accueillera le nouveau siège du géant français du pétrole TotalEnergies et culminera à 242 mètres.Un projet à un milliard d'euros imaginé par l'architecte Philippe Chiambaretta, du cabinet PCA-Stream, habitué de l'immobilier professionnel, et connu entre autres pour son projet de réaménagement des Champs-Elysées."J'ai hésité à me lancer, car j'étais persuadé que le modèle de la tour de bureaux à La Défense était tout ce qu'il ne fallait pas faire", expliquait à l'AFP l'architecte, sourire aux lèvres, sur le chantier jeudi.Ce modèle de la tour reste difficile à dépasser. "Cela permet de concentrer sur la même unité beaucoup de personnes", concède Roland Cubin, directeur opérationnel chez Groupama Immobilier, financeur du projet.Pas de table rase, donc, mais une "tour nouvelle génération", argue M. Cubin.Car pour son premier projet de ce type, l'architecte n'ambitionne rien de moins qu'un aggiornamento. "Le défi architectural a été de mettre de l'horizontalité dans cette forme de tour, par essence verticale", poursuit M. Chiambaretta.Pour étirer la tour en largeur, "The Link" est en fait deux tours, de 228 et 165 mètres de hauteur, qui seront reliées entre elles par pas moins de 30 larges passerelles, en grande partie végétalisées.Les liens entre les deux bâtiments permettront de créer des "plateaux" de 3.000 mètres carrés. Voire de 6.000 mètres carrés, car les étages de chaque tour seront reliés par paire par des escaliers ouverts: le but est de permettre aux salariés de rejoindre le plus possible de collègues sans jamais prendre l'ascenseur."Une surface inédite pour une tour de La Défense", se félicite Roland Cubin. Au total, The Link accueillera jusqu'à 12.000 occupants sur 130.000 mètres carrés.Le travail post-Covid"The Link est le fruit de dix ans de réflexion autour des évolutions du monde du travail", explique M. Chiambaretta, dont la revue qu'il dirige publiait en 2012 un numéro intitulé "After Office" (après le bureau).Le secteur tertiaire est marqué par de profonds changements, explique-t-il. "Nous ne sommes plus dans l'administration de l'industrie, mais dans un capitalisme de la connaissance. L'intelligence collective est le moteur de la réussite", affirme l'architecte.Une émulation favorisée selon lui par les rencontres et les échanges impromptus entre salariés: "Il faut que les espaces intérieurs fabriquent ces liens."Les passerelles et jardins de "The Link" seront autant d'espaces pensés pour favoriser ces rencontres. "L'agora" au pied de l'immeuble et le "club panoramique" au milieu des tours sont pensés comme des "places de villages".Des aménagements que l'architecte a déjà expérimentés ailleurs, notamment au #Cloud sur les Grands Boulevards qui abrite les bureaux de Facebook, Instagram et BlaBlaCar, ou dans les nouveaux bureaux de la banque d'affaire Lazard.Si le projet a été conçu avant le Covid, il n'épouse pas moins les contours du monde du travail post-pandémie, selon Philippe Chiambaretta: "La crise du Covid a accéléré des tendances de fond comme le besoin d'extérieur et d'horizontalité."10.000 mètres carrés d'espaces extérieurs sont ainsi prévus.Après des mois de télétravail, "venir au bureau doit être désirable" explique-t-il, "pour attirer les talents"."On cherche à donner du sens au siège", complète Roland Cubin.Dans cette optique, le bien-être des salariés devient crucial. Pour l'assurer, l'architecte a par exemple aménagé des espaces végétalisés (2.800 m2 au total) accessibles à moins de 30 secondes de n'importe quel poste de travail.Les bureaux sont alors pensés comme des outils de productivité pour les salariés, et non plus seulement comme un simple toit."Ce sujet est à présent pris en charge par les ressources humaines. Ce n'est plus seulement un mal nécessaire, appréhendé au prisme financier du coût par poste", dit M. Chiambaretta.
Il y a 3 ans et 207 jours

Saint-Gobain fournit ses solutions de construction pour l'exposition universelle de Dubai

L’Exposition Universelle 2020 de Dubai est aussi la vitrine du savoir-faire de Saint-Gobain qui fournit des solutions de matériaux de construction innovantes sur de nombreux pavillons.
Il y a 3 ans et 207 jours

Graneet lève 2,4 M€ pour aider les PME du BTP à mieux gérer leur entreprise

Le BTP représente près de 10% du PIB en Europe pour 3 millions d'entreprises, majoritairement des PME, et est une des industries les moins digitalisées. Si la construction est un secteur clé de l'économie, chaque année en France, 10.000 entreprises du BTP mettent la clé sous la porte. Graneet a vu le jour en 2020 avec pour objectif de résoudre ce problème.Graneet a développé la première solution de gestion commerciale à destination des PME du BTP qui les aide à booster leurs marges et à fiabiliser leur facturation tout en leur faisant gagner un temps précieux.Concrètement, la solution permet aux entreprises de chiffrer leurs projets en débours, de créer des devis, de suivre leurs opportunités commerciales, et de générer leurs factures d'avancement sans erreurs en gérant tous les paramètres spécifiques au BTP. Elles sont par ailleurs payées plus rapidement grâce à un meilleur suivi de l'activité via des tableaux de bord. Toute l'entreprise peut collaborer au sein de la même plateforme, ce qui permet des gains considérables en efficacité.Graneet adresse tous les corps d'état du BTP, avec des clients dans le Gros Oeuvre, le Second Oeuvre ou les Travaux Publics."Cette levée de fonds valide nos succès initiaux et va nous donner les moyens d'accélérer le développement de notre solution. Nous allons ajouter des fonctionnalités clés pour nos clients, telles que la relance automatique des factures impayées, la génération des bons de commande fournisseurs, la consultation des sous-traitants, ou encore la digitalisation du processus collaboratif de validation des situations de travaux entre l'entreprise et son client. Nous développons ces fonctionnalités en co-construction avec nos clients, afin de nous assurer qu'elles vont simplifier leur quotidien et les aider à gérer leurs entreprises de manière encore plus efficiente." explique Jean-Gabriel Niel, le CEO de Graneet.“Chez Point Nine, nous avons investi dans des SaaS dédiés à une industrie spécifique depuis plus de 10 ans, et nous avons toujours gardé un oeil sur l'industrie du BTP. Graneet adresse le problème majeur de la gestion financière et de manière plus générale de la santé financière des PME du BTP. Les PME représentent la quasi-totalité du marché de la construction en Europe et génèrent la majeure partie du volume d'activité du secteur. Le produit que l'équipe Graneet développe va permettre à ces entreprises de mieux planifier et suivre leur activité, de réduire les délais de paiements et de mieux contrôler leurs marges en s'assurant de générer les bénéfices qu'ils attendent de leurs opérations.” affirme Ricardo Sequerra, Partner chez Point Nine.“Nous assistons à une tendance de fond sur plusieurs marchés mondiaux au développement de solutions qui simplifient la gestion des activités des PME. Graneet est idéalement positionnée pour profiter de cette tendance en Europe. La capacité d'exécution de l'équipe nous a impressionnés et a une trajectoire similaire aux solutions leaders de gestion pour PME que l'on peut voir aux Etats-Unis et en Asie.” détaille Patric Hellermann, General Partner de Foundamental.
Il y a 3 ans et 208 jours

Nucléaire : les petits réacteurs modulaires au coeur du plan "France 2030" ?

ÉNERGIE. Emmanuel Macron envisagerait de réorienter l'industrie nucléaire en direction des petits réacteurs modulaires, ou SMR. Une décision qui s'inscrirait dans le cadre du plan d'investissements "France 2030", et qui ferait suite au fonds de soutien au secteur atomique mis en place par France Relance, dont les premiers lauréats ont d'ailleurs été annoncés.
Il y a 3 ans et 208 jours

La transition énergétique progresse trop lentement pour limiter le réchauffement climatique à 2°C

Des progrèsBoom des renouvelablesLes énergies renouvelables sont désormais la 2e source d'électricité dans le monde, à 26% du total en 2019, après le charbon mais avant le gaz ou le nucléaire.Éolien et photovoltaïque ont vu leurs prix dégringoler, et ont crû depuis 1990 à des taux annuels moyens de 22% et 36%. Même en 2020, année Covid, 260 gigawatts (GW) de capacités ont été ajoutés, dont la moitié en Chine, dépassant le précédent record annuel de 30%, selon l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (Irena).Mais cela ne suffit pas. La part des combustibles fossiles dans la consommation d'énergie finale (électricité, carburants, gaz et charbon utilisés directement dans les usines...) est aussi élevée qu'il y a dix ans: charbon, pétrole et gaz représentaient 80,2% en 2019 (80,3% en 2009).Virage dans l'autoPoussés par les normes ou encore le déclin du diesel, les constructeurs sont dans l'après-moteur thermique.Volvo, Jaguar, Lancia seront bientôt 100% électriques, Stellantis (Peugeot, Fiat etc) ne développe plus de moteur à essence.Mais les électriques composent moins de 5% des ventes de neuf (7,5% en Europe). La star reste le SUV: 42% du marché en 2020, un record qui lui a fait émettre plus de CO2 qu'en 2019, tandis que les autres secteurs voyaient leurs émissions fondre, note l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Ambitions dans l'hydrogeneChine, Japon, UE, Australie... des dizaines de pays et nombre d'entreprises sont lancés dans la course à l'hydrogène décarboné, c'est-à-dire produit sans recourir aux hydrocarbures et donc à même de vraiment verdir industrie et transports lourds.Mais la demande et la baisse des coûts doivent être mieux soutenues, appelle l'AIE, et les investissements quadrupler d'ici 2030.Un prix au carboneA mi-2021, 47 juridictions (pays, province ou groupement de pays/province), soit 60% du PIB mondial, disposaient d'un prix du carbone (taxe ou marché de quotas), selon I4CE, l'Institut de l'économie pour le climat.Cependant, ce prix oscille entre 1 et 123 dollars par tonne de CO2 et reste inférieur à 10 dollars pour plus de 75% des émissions couvertes. Or les prix devraient être entre 40 et 80 dollars pour suffisamment dissuader du recours aux fossiles.Engagements a foisonLes entreprises multiplient les promesses et comme des États, s'engagent à la neutralité carbone d'ici 2050. Mais leur impact reste difficile à évaluer.Des inquiétudesRelance grisePour le réseau d'experts Ren21, "2020 aurait pu changer la donne", mais les plans de relance des États accordent six fois plus d'investissements aux fossiles qu'aux renouvelables.Les émissions de CO2, après un recul de 7%, devraient atteindre un niveau record d'ici 2023 et continuer à croître, si les investissements ne sont pas réorientés.Émergents a la peineL'investissement dans les énergies vertes recule depuis quelques années dans les pays émergents et en développement (hors Chine), et le Covid n'a rien arrangé.Ces régions affichent à peine 20% des investissements nécessaires à leur décarbonation, selon l'AIE: elles "abritent deux tiers de la population mondiale, génèrent 90% de la croissance des émissions mais reçoivent 20% des financements consacrés aux énergies propres".Indétrônable charbonAvec la reprise, la demande de charbon, 1er vecteur du réchauffement, devrait dépasser son niveau de 2019, du fait des besoins électriques de l'Asie.Aujourd'hui, 82% des projets de centrales sont concentrés en Chine (55%), Inde, Vietnam, Indonésie, Turquie, Bangladesh. Depuis 2015, le nombre de projets a cependant baissé de 76%, selon le think tank E3G et 44 pays ont promis de ne plus ouvrir de sites. Pékin, premier bailleur public, a annoncé en septembre qu'il ne construirait plus de centrales charbon à l'étranger."Il est temps que le secteur privé - qui finance 87% du charbon à l'étranger - suive", pointe Kevin Gallagher, de la Boston University.Foret peau de chagrinLes forêts primaires tropicales ont perdu en 2020 une surface équivalente à la Hollande, selon Global Forest Watch. En cause, l'agriculture, la coupe de bois, l'activité minière, les incendies.En Amazonie brésilienne, la déforestation en 2020 a transformé ce puits de carbone fondamental en émetteur net de CO2.
Il y a 3 ans et 208 jours

Une histoire de béton entre ETPO et Le Voyage à Nantes

Le Pied, Le Pull-Over et Le Système digestif de Daniel Dewar et Grégory Gicquel, œuvres monumentales du port de Saint-Nazaire. Campées dans le sable et les rochers, ces gigantesques figures, constituées de blocs de béton sculpté, s’élèvent jusqu’à près de 7 m de haut. [©Franck Tomps _ LVAN] Chaque année, Le Voyage à Nantes invite des artistes du monde entier à venir sur les deux rives de la Loire réaliser leurs œuvres. Le Voyage à Nantes est avant tout une société publique locale, qui développe le tourisme à Nantes. Ceci, via l’évènement du même nom et ses créations artistiques, et ce, depuis 2012. Il propose une soixantaine d’étapes artistiques le long d’une ligne verte dessinée au sol de 22 km. On y découvre les installations permanentes qui ponctuent la ville et ses alentours, ou celles, éphémères, qui restent le temps d’un été. Cette année, le groupe ETPO a accompagné ces artistes, afin de réaliser leurs œuvres. En s’adaptant à chacune de leurs idées. Le groupe nantais est spécialisé dans les travaux maritimes, fluviaux et sous-marins, les ouvrages d’art et le génie civil, le bâtiment. Il est présent en France métropolitaine et dans les départements d’Outre-mer. Et se développe à l’international en Afrique de l’Ouest et au Canada. Deux projets pour ETPO Pour Versus, il fallait répondre à l’architecture fin XVIIIe siècle de la place Graslin. Ceci, avec des lignes tendues et élégantes. Le béton a permis cela. [©Julien Lanoo _ LVAN]  « Nous avons participé à deux projets. Déjà, Le Pied, Le Pull-Over et Le Système digestif de Daniel Dewar et Grégory Gicquel, œuvres monumentales du port de Saint-Nazaire, explique Didier Moretti, chargé d’affaires chez ETPO. En effet, à proximité de la capitainerie, sur la plage jalonnée de pins parasols qui plonge dans le bassin de l’avant-port de Saint-Nazaire, l’œuvre se compose de trois sculptures. Campées dans le sable et les rochers, ces gigantesques figures, constituées de blocs de béton sculpté, s’élèvent jusqu’à près de 7 m de haut. « Tels des fragments de corps, d’architecture ou de monuments portuaires, elles dressent à l’échelle du paysage le portrait d’une civilisation moderne soumise à l’érosion et à la colonisation des éléments », indiquent les artistes Daniel Dewar et Grégory Gicquel, qui pratiquent la sculpture à quatre mains depuis 1998. Didier Moretti est chargé d’affaires chez ETPO. [©ETPO] Et Didier Moretti, de poursuivre : « Nous sommes intervenus aussi dans la piste de roller, Versus, place Graslin, à Nantes. Nous avons conçu une partie des études d’exécution. En clair, nous avons traduit les œuvres, en termes de faisabilité. Nous avons fourni le mode opératoire, structurel et réglementaire. Il a fallu concilier impératifs de construction et attentes artistiques. Nous avons utilisé des bétons résistants les agressions maritimes. Les granulats ont été choisis par les artistes avec des couleurs et des granulométries différentes. Pour la piste de roller, le béton a été livré par la centrale Lafarge de Saint-Herblain ». Un écho à l’architecture de la fin XVIIIesiècle Quelque 28 éléments préfabriqués ont été nécessaires pour les bordures. Le piste en béton auto-portant blanc a été coulé en place. Elle a été conçue très simple épurée, de 38 m de diamètre en écho, à l’architecture très efficace du théâtre. [©Martin Argyroglo _ LVAN] Romain Decroix, responsable technique du Voyage à Nantes. [©Le Voyage à Nantes] « Pour Versus, la piste devait être réversible, montable et démontable. Elle a ainsi été démontée en l’espace de 5 j. Elle sera remontée en 2023 dans un nouvel espace urbain de la ville, sur l’île de Nantes à la pointe Ouest, dans le quartier de la création », complète Romain Decroix, responsable technique du Voyage à Nantes. De plus, il fallait répondre à l’architecture fin XVIIIesiècle de la place Graslin.  « Ceci, avec des lignes tendues et élégantes. Le béton a permis cela. La piste est en forme de cercle qui épouse la place. Quelque 28 éléments préfabriqués ont été nécessaires pour les bordures. Le piste en béton auto-portant blanc a été coulé en place. On l’a conçu simple de 38 m de diamètre en écho, à l’architecture très efficace du théâtre. La glisse, c’est quelque chose de positif et de frais. Le ballet des rollers, des vélos, des piétons sur la place a ainsi créé un mouvement perpétuel et une perspective troublante », conclut Romain Pradeau, de l’agence d’architectes Titan.  Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 208 jours

Le Rustol dans tous ses états

Même si son aspect peut paraître déco, la rouille n’en reste pas moins un fléau qui détruit tout ce qu’elle attaque si on ne la maîtrise pas rapidement. Elle fait son travail de sape, lentement mais sûrement et sans action le support peut même disparaître.Professionnels, industriels, particuliers sont tous concernés. Il suffit d’agir pour prévenir ou corriger une fois l’attaque constatée et surtout ne jamais laisser la rouille s’installer ! Structures métalliques, meubles et objets en métal ferreux et même l’ossature d’une structure bois ou béton comportant des clous, sont la cible de la rouille. En cas d’attaque, ils risquent de se détériorer rapidement ou de voir des coulures disgracieuses altérer le support. Il faut agir en prévention et en protection.Pourquoi la rouille apparaît à coup sûr sur le métal ferreux non protégé ?La rouille est une réaction d’oxydation qui apparaît sur du métal ferreux lorsque celui-ci est en contact avec de l’air ou de l’humidité : le fer s’oxyde et devient de la rouille. Le processus s’accélère en présence d’eau ou d’humidité. Une fois la formation de rouille démarrée, elle n’arrête pas de se propager. Pour arrêter le phénomène, il faut l’éliminer et protéger l’ensemble de la structure concernée. En amont, il est possible de prévenir son apparition en protégeant les parties métalliques du support.Agir - prévenir, protéger ou rénover les ouvrages en métal ferreux : Quelles options avec quelle action ?Détruire, transformer, neutraliser, explications pour chaque action :Les destructeurs de rouille détruisent la rouille en mettant le métal à nu pour le débarrasser entièrement de la rouille formée. Il faut ensuite appliquer une protection sur l’ouvrage afin que le métal ne soit pas de nouveau attaqué.À savoir : l’étape nettoyage des particules du destructeur, avant l’application d’une protection, amène de fait de l’humidité risquant ainsi de renouer avec le cycle de formation de rouille.Les transformateurs de rouille transforment l’oxyde de fer en un autre oxyde de fer plus stable qui va mieux résister à l’oxydation. Néanmoins, cette transformation ne garantit pas l’exclusion d’un nouveau repiquage car des points de rouille restent toujours dans le support et pourront permettre à la rouille de redémarrer. Par ailleurs, le film laissé par le transformateur peut se décoller facilement obligeant à une nouvelle application.Neutraliser : le principe consiste à stopper la rouille à l’intérieur du support en l’imprégnant pour bloquer le process et stabiliser l’ensemble. Dans ce cas l’ouvrage est protégé dans la durée contre toute reprise.Chez Durieu, l’antirouille légendaire RUSTOL travaille en neutralisateur : il imprègne le support, se diffuse et neutralise toutes les particules de rouille.Il était une fois le Rustol…Le RUSTOL naît en France en 1956 d’une collaboration entre Durieu et une société américaine. À l’origine le RUSTOL est formulé pour l’automobile et notamment les garages où il apporte enfin la solution pour protéger les bas de caisse et toutes les parties délicates des automobiles et des cycles. Il entre ensuite dans l’industrie (bâtiment, marine, automobile…) et les magasins de bricolage.Aujourd’hui, toujours à la pointe de la technologie et fruit d’une expertise jamais égalée, le RUSTOL affiche les qualités essentielles attendues d’un antirouille : une protection longue durée, un produit tout en un qui stabilise et une utilisation à la portée de tous…RUSTOL le secret : aucune action chimique, à base d’huiles végétales naturelles et sans aucun pigment toxique, son arme tient en son pouvoir d’imprégnation. Ni destructeur ni transformateur, il travaille de l’intérieur pour aller neutraliser la rouille partout où elle se trouve et l’empêcher de repartir.Rustol en 3 mots : imprégner, neutraliser, durerIMPRÉGNER : grâce à son formidable pouvoir d’imprégnation et d’auto étalement, le RUSTOL s’infiltre partout dans le support et traque les particules de rouille.NEUTRALISER : dès qu’il est en présence de particules de rouille, RUSTOL les enrobe et fait corps avec elles pour former en séchant un film protecteur ultra-souple et isolant. La rouille est neutralisée et stoppée de l’intérieur. Le support devient imperméable à l’air et l’humidité.DURER : la protection est totale et durable : une fois dans le support, le RUSTOL continue à se propager après l’application grâce à son pouvoir d’imprégnation et reste actif jusqu’à ce que toutes les particules de rouille soient encapsulées.À savoir : sur des structures bois contenant des clous oxydables, il suffit d’une passe de RUSTOL pour prévenir d’une attaque de rouille sur les clous.Malin : additionné aux peintures, le RUSTOL les rend antirouilles, leur donne une meilleure adhérence tout en permettant aussi de retarder le temps de prise.Et pour décorer : le Rustol-DécoÀ base de RUSTOL, le RUSTOL-DÉCO bénéficie de ses qualités exceptionnelles d’imprégnation et s’applique directement sur la rouille ou sur toute surface oxydée (une fois cette dernière nettoyée et débarrassée de tous résidus de rouille instables). De même il vient protéger les supports neufs pour prévenir la rouille en garantissant un maximum d’adhérence et une protection à toute épreuve contre la corrosion.Comme avec le RUSTOL qui neutralise toutes les particules de rouille de l’intérieur, le RUSTOL-DÉCO imprègne le support à coeur pour isoler les particules de rouille du reste du support qui est ainsi protégé durablement contre toute attaque ou reprise de rouille, en même temps qu’il le décore avec ses 10 teintes essentielles.Pour plus d'info, consultez la page Rustol sur Batinfo ou le site Rustol.
Il y a 3 ans et 208 jours

Saint-Gobain rachète le distributeur de matériaux Raboni Normandie

Le groupe de matériaux Saint-Gobain a annoncé l'acquisition du distributeur Raboni Normandie, étendant ainsi un peu plus son réseau de points de vente en France.
Il y a 3 ans et 208 jours

Territoires d'industrie : 209 relocalisations sur 1416 projets subventionnés

Lancé en novembre 2018, le programme Territoires d’industrie a permis de soutenir 1416 projets dans 146 bassins industriels. La Nouvelle-Aquitaine et l'Ile-de-France ne sont pas à plaindre.
Il y a 3 ans et 210 jours

Le norvégien Statkraft achète des parcs éoliens en Allemagne et en France

La transaction, dont le montant est confidentiel, porte sur 39 fermes éoliennes en Allemagne d'une capacité installée totale de 311 MW et quatre autres en France de 35 MW, 16 turbines au total, dans les régions de Normandie, Pays de la Loire et Nouvelle Aquitaine.Ce seront ses premiers actifs éoliens du groupe détenu à 100% par l'Etat norvégien dans ces deux pays.Présent essentiellement dans l'hydroélectrique mais aussi dans le photovoltaïque, l'éolien ou encore le gaz, Statkraft revendique à ce jour une capacité de production de 65 térawattheures, dont 92% dans les énergies renouvelables.L'entreprise emploie 4.600 personnes dans 18 pays.
Il y a 3 ans et 211 jours

Placo veut "permettre au bâtiment d'avoir un impact environnemental moins important"

DÉVELOPPEMENT DURABLE. Engagée comme bien d'autres industriels dans une politique de responsabilité sociétale des entreprises, la marque Placo a dévoilé une feuille de route ambitieuse, qui table par exemple sur une multiplication par quatre de la quantité de plâtre recyclée dans ses produits d'ici à 2030. Détails.
Il y a 3 ans et 211 jours

Bousculé, l'immobilier de bureaux mise sur son intégration dans la ville

Dans cet espace de 9.000 mètres carrés à deux pas de la gare Saint-Lazarre, les entreprises, essentiellement des start-up, peuvent louer un abonnement pour des salles ou des postes de travail sur des périodes assez réduites, en moyenne 18 mois, à des prix autour de 800 euros le poste de travail par mois, sur un engagement court."On propose de la flexibilité et de la simplicité. Les entreprises peuvent s'engager que pour six mois si elles veulent, et les salariés n'ont qu'à venir pour brancher leur ordinateur et profiter des services et animations. C'est pratique pour des entreprises en croissance, qui ne veulent pas d'un bail trop long et contraignant", décrit à l'AFP Stéphane Bensimon, le dirigeant de Wojo.Contrairement aux grandes tours d'immeubles dans les quartiers affaires, qui peinent à revenir à leur taux de remplissage d'avant-crise, son espace a vite rebondi et retrouvé une forte affluence. M. Bensimon rêve désormais d'implanter des espaces jusque dans des hôtels."Il y a de l'accueil 24/24, des restaurants, des salles de réunion. Avec la perte de client en voyages d'affaires, les hôteliers se montrent plus ouverts", juge-t-il.Plusieurs espaces ont déjà été installés dans des établissements du groupe Accor, qui détient Wojo à égalité avec Bouygues Immobilier."Le modèle de la tour des années 1960 dans lequel on amasse des gens dans un espace sans aucun service autre que la cantine est terminé", estime Philippe Bourguignon co-fondateur du Shack, un lieu de travail et de vie intégrée près d'Opéra, à Paris.Il espère développer ses projets de bureaux intégrés dans des magasins vacants des centres commerciaux, ou encore en profitant des espaces vides sous-loués par des grandes entreprises en raison du télétravail.Dans les métiers ou le télétravail s'est fortement développé, "pour faire revenir les collaborateurs, il faut que l'on soit mieux au bureau qu'à la maison", a également affirmé Loic Daniel, managing director à Nexity Immobilier mardi au cours d'une conférence lors du salon international de l'immobilier (Mipim).FlexibleAu delà de l'activité et de l'animation, la localisation joue aussi un grand rôle pour l'attractivité des bureaux."Avant même la pandémie, il y avait une forte demande pour les bureaux en centre-ville", observe Staffan Ingvarsson, dirigeant de Stockholm Business Region, chargé de l'attractivité de la capitale suédoise. "Quand on s'éloigne, cela devient plus dur. Plus les bureaux sont loin, plus il faut faire des efforts pour attirer des gens, avec des services."Mais le modèle flexible ne convient pas à tous les types d'emploi."Avec le télétravail, les entreprises sont tentées de réduire beaucoup les surfaces, en ayant recours au flex office, où aucun salarié n'a de place attribuée. Le bureau reste la deuxième dépense des entreprises, derrière les salaires", rappelle Ingrid Nappi, professeur de management et chercheur à l'ESSEC sur la chaire immobilier et développement durable."Or, tous les salariés ne souhaitent pas cette organisation", dit-elle, s'appuyant sur la troisième étude "mon bureau post Covid", qu'elle dirige, et qui a été présentée mardi au Mipim. "Le flex n'est adapté qu'à certains secteurs d'activités, avec notamment les CSP+, mais pas aux usagers de bureaux qui y passent toute la journée, comme les agents de maîtrise ou les employés qui veulent avoir leur place attitrée."
Il y a 3 ans et 211 jours

Hygiène : poignées de porte et de fenêtre antimicrobiennes SecuSan®

SecuSan® est la solution, éprouvée, testée et certifiée, permettant de soutenir des mesures d'hygiène dans les bâtiments publics ou privés.SecuSan® est un revêtement antimicrobien et antibactérien offrant une protection active contre la propagation de germes et bactéries sur la poignée :Réduit la croissance des germes jusqu'à 99%Contribue à mettre en place des normes d'hygiène élevéesConserve son efficacité sur le long termeRésiste durablement à l'usureNe nécessite aucun entretien particulierDisponible sur un large choix de poignées HOPPEComment ça fonctionne ?Le revêtement SecuSan® contient des ions d'argent qui sont incorporés dans une structure en vitrocéramique. Ils constituent le principe actif du revêtement et suppriment, de manière permanente, la croissance bactérienne et microbienne sur la poignée (tests indépendants réalisés en laboratoire ou in situ).Un large choixAvec une gamme qui s'est élargi en 2021, HOPPE propose désormais son revêtement SecuSan® sur 6 designs de poignées en aluminium et inox pour porte intérieure (rosaces et plaques), fenêtre mais également sur des poignées battantes et des sets pour portes coulissantes. À découvrir dans notre nouvelle brochure !Un savoir-faire reconnuLes poignées de porte SecuSan® répondent aux exigences de la norme EN 1906, catégorie d'utilisation grade 3, gage d'une résistance durable pour les bâtiments publics.Leur montage est simple et permet d'équiper les portes rapidement même en seconde pose (carré à montage rapide de HOPPE).Toutes les poignées SecuSan® bénéficient de 10 ans de garantie sur leur fonctionnement mécanique et sont fabriquées en Europe.Pour télécharger la brochure : cliquez ici
Il y a 3 ans et 211 jours

Le marché des matériaux de construction revient à des niveaux d'activité d'avant crise

Cette “normalisation” des tendances, en partie liée à l'atténuation des effets de base, est commune à bon nombre de matériaux et s'accompagne d'un contexte conjoncturel qui demeure porteur. Côté Bâtiment, les carnets de commandes dans le gros œuvre affichent toujours des niveaux très élevés (9,5 mois) même si les contraintes d'approvisionnement pèsent sur le bon déroulement des chantiers. La confiance des professionnels du secteur reste de mise en ce début d'automne, y compris dans TP, bien que le niveau des prises de commandes soit encore poussif. Mais les carnets actuels devraient encore alimenter l'activité de la fin 2021 et d'une partie de 2022.Atterrissage des tendancesD'après les premiers résultats des enquêtes mensuelles, la production de granulats se serait redressée entre juillet et août (+3,3%) mais serait en repli par rapport à août 2020 et août 2019 (-4,3% et -1% respectivement, données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus, la tendance se contracte de -4,2% par rapport au trimestre précédent, une baisse plus modérée si on ramène la comparaison à la même période de 2020 (-2,7%) et de 2019 (-2%). Le jeu des effets de base se régule peu à peu et la progression du cumul sur les huit premiers mois de l'année revient à +15,5%, au regard de 2020 (+9,4% en cumul sur les douze derniers mois). Ces évolutions sont en fait le reflet d'un retour des volumes d'activité aux niveaux d'avant crise (-0,2% et -0,5% en progressions respectives par rapport à 2019). Côté BPE, les constats diffèrent peu. En recul de -3,4% sur juillet, les livraisons de BPE ont cédé -13,1% par rapport à août 2020 et -3,2% sur août 2019 (données CVS-CJO). Sur les trois mois allant de juin à août, les cubages ont perdu -6,3% au regard des trois mois précédents et -7,7% comparé à ceux de l'an passé. Pour autant, ils n'affichent qu'un repli de -2% sur la même période de 2019. Au total, pour les huit premiers mois de 2021, l'activité BPE affiche une hausse de +16,6% et de +11,9% en cumul sur douze mois. Ces progressions masquent toutefois un très léger repli des niveaux d'activité en référence à 2019 (-1,2% sur huit mois et -1,4% sur douze mois). Notre indicateur matériaux décrit les mêmes freinages : après un rebond de +25,1% sur un an au premier semestre 2021 (CJO), le rythme d'activité reviendrait à +14,8% sur huit mois soit un niveau encore un peu supérieur à celui constaté sur la même période de 2019 (+1,2%).Bâtiment : une offre contrainteInterrogés en septembre par l'INSEE, les professionnels du bâtiment gardent confiance dans leur activité future et leurs carnets de commandes, les soldes d'opinion correspondants continuant de grimper, surplombant leur moyenne de long terme. Dans le même temps, leur opinion sur l'activité passé s'effrite un peu, et ce, bien que les capacités de production frôlent leur taux d'utilisation maximal (93,2% contre 87,9% en moyenne). Le maintient de tensions élevées dans le recrutement et l'approvisionnement peuvent expliquer cette érosion, plus de la moitié des entreprises du gros oeuvre (55,9%) ne pouvant produire plus, faute de personnel (pour 68% d'entre eux) ou faute de disponibilité de certains matériaux (pour 14,5% des entrepreneurs du bâtiment). Côté construction neuve, s'il est vrai que le segment du non-résidentiel peine à se relever du choc sanitaire (avec des mises en chantier qui, en cumul à fin août, sont encore -12,3% sous leur niveau des huit premiers mois de 2019, et des autorisations à -14,2%), l'activité côté résidentiel s'est quant à elle nettement raffermie. En effet, à fin août et en cumul depuis janvier, les mises en chantier dépassaient de 3,4% leur niveau de 2019 (+16,8% au regard de 2020), un constat valable dans le collectif (+4,9% comparé à 2019 et +17% comparé à 2020) comme dans l'individuel (+1,5% et +16,5% respectivement). Cette dynamique pourrait perdurer dans les mois à venir, notamment dans l'individuel si l'on en croit les dernières données sur les permis. Ainsi, sur les huit mois de 2021, les autorisations de logements grimpaient de +26,9% sur un an (+4,5% comparé à 2019), dont +36,1% dans l'individuel (+17,3%). Dans le collectif, les difficultés structurelles qui pèsent sur l'offre (pénurie de foncier, freins locaux, procédures d'urbanisme, acceptabilité sociale en zone tendue…) freinent le rebond des projets. Ainsi, les permis, en hausse de +19,9% sur un an au cours des huit premiers mois de 2020 restent en dessous des niveaux de 2019 (-4,5%), et ce, en dépit d'un besoin pérenne en logements neufs et de conditions financières qui sont historiquement attractives. Ce constat, qui rejoint les premières conclusions du Rapport Rebsamen (1er tome remis le 22 septembre) a conduit le Premier ministre à s'engager sur des pistes de relance de la construction neuve en zone tendue. L'annonce de la prise en charge par l'Etat de l'exonération de la taxe foncière des bailleurs sociaux pourrait inciter les maires (jusqu'ici privés de ces ressources fiscales) à délivrer plus de permis.De même le recentrage du Plan de relance sur des « contrats locaux » entre Etat et collectivités (175 millions d'euros) pourrait favoriser la construction de logements collectifs en zone tendue tandis que la mobilisation du foncier public (via le fonds friche du Plan de relance dont l'affectation sera priorisée sur la création de logements) devrait permettre la construction de 21 000 logements dès 2022 et 50 000 autres dans les années à venir selon Matignon.Prochainement inscrites dans le PLF2022, ces mesures devraient soutenir le secteur locatif social et lever certains freins à la construction de logements dans les grandes agglomérations. Enfin, côté travaux publics, la concrétisation du Plan de relance en investissements est toujours attendue. Après le rebond du premier semestre lié à l'achèvement de chantiers en cours et/ou stockés pendant la pandémie, les carnets peinent encore à se regarnir. Pour autant, les entrepreneurs demeurent plutôt optimistes sur leur activité future.Perspectives 2021-2022Les tensions d'approvisionnement devraient encore peser sur l'activité en cette fin d'année, la demande restant solide dans le bâtiment et plus modérée dans les TP. En dépit d'un second semestre en repli, la production de granulats de 2021 serait 9% supérieure à celle de 2020 mais proche de celle de 2019 (-0,5%, données brutes). Côté BPE, les livraisons gagneraient elles aussi +7,5% par rapport à 2020, mais seraient inférieures de -1,5% à celles de 2019. Le niveau actuel des carnets dans le gros oeuvre, freiné dans leur réalisation par les difficultés d'offre, permettrait au moins de stabiliser l'activité BPE en 2022 tandis que le réveil graduel de la demande publique et privée, côté TP, ainsi que la mise en place des projets du Plan de relance, pourraient soutenir un peu plus l'activité granulats.
Il y a 3 ans et 211 jours

La plaque de plâtre à horizon 2030 : légère, recyclée, démontable et décarbonnée

Les plaques de plâtre, toutes à base de matière recyclée, s’allègeront pour répondre aux exigences bas carbone selon Placo-Saint-Gobain qui dévoile sa feuille de route 2030.
Il y a 3 ans et 211 jours

L'Insee anticipe une nette baisse du taux de chômage dès l'automne

Dans une note de conjoncture, l'Institut national de la statistique souligne que "le fort rebond de l'emploi en milieu d'année se traduirait par une baisse du chômage, qui passerait de 8% en moyenne au deuxième trimestre à 7,6% aux troisième et quatrième trimestres".Le taux de chômage se retrouverait ainsi à "quasiment un point de moins que deux ans plus tôt", avant la crise du Covid-19 (8,5% au 3e trimestre 2019), note l'Insee. Ces prévisions doivent encore se confirmer, les résultats pour le 3e trimestre étant attendus le 19 novembre.Dans sa précédente note de conjoncture en juillet, l'Institut prévoyait une quasi-stabilité du taux de chômage, à 8,2% fin 2021, après 8,1% en début d'année."On s'attend sur le marché du travail à une nette baisse du taux de chômage dès l'automne, dès le troisième trimestre, car il y a un fort rebond de l'emploi salarié", a souligné Julien Pouget, chef du département de la conjoncture à l'Insee lors d'une conférence de presse. Le taux de chômage, "au fond, retrouverait son rythme tendanciel de baisse observé avant la crise", a-t-il ajouté.Dans sa note, l'Institut souligne que "l'onde de choc" liée à la crise sanitaire du Covid-19 a été "très amortie s'agissant du marché du travail", l'emploi salarié ayant dépassé son niveau d'avant-crise dès le deuxième trimestre 2021."Le rythme des créations ralentirait quelque peu d'ici la fin de l'année, mais au total, environ 500.000 créations nettes d'emplois salariés succéderaient aux quelque 300.000 destructions nettes enregistrées en 2020", souligne l'Insee.L'inflation toujours élevéeOlivier Simon, chef de la division Synthèse conjoncturelle a relevé lors de la conférence de presse que la progression de l'emploi a été "surtout portée par le secteur tertiaire marchand (restauration, commerces, loisirs, etc)", fortement touché par les restrictions sanitaires."Au second semestre, le rythme de progression sera beaucoup plus modéré", a-t-il ajouté, avec quelque 76.000 emplois salariés créés entre fin juin et fin décembre (+56.000 au 3e trimestre et +20.000 au 4e).Dans le même temps, l'activité économique "retrouverait globalement - mais sans le dépasser contrairement à l'emploi - son niveau d'avant crise d'ici la fin de l'année, poursuit l'Insee, qui maintient sa prévision de croissance pour 2021 inchangée à 6,25% (après -8% en 2020).Quant à l'inflation, qui inquiète de plus en plus les ménages et le gouvernement à six mois de l'élection présidentielle, elle devrait rester "un peu supérieure à 2% jusqu'en décembre", en raison principalement de la hausse des prix de l'énergie, selon l'Insee.La hausse des prix "atteindrait 2,3% en octobre puis refluerait légèrement (2,1% prévu en décembre), sous l'hypothèse conventionnelle d'un prix du pétrole fixé à 75 dollars le baril de Brent et d'une stabilité des autres cours de matières premières", ajoute l'Institut."La principale raison, ce sont les prix de l'énergie qui reflètent la hausse du prix du pétrole, qui se transmet de façon quasi immédiate sur les prix à la consommation", a résumé Olivier Simon.Moins optimiste, le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux a estimé sur LCI mercredi que l'inflation pourrait être "plus forte" que 2%, évoquant une inflation supérieure à 4% aux Etats-Unis et en Allemagne."Aujourd'hui, les augmentations de prix (...) ne sont pas encore passées dans les prix finaux", prévient-il.Concernant la consommation des ménages, l'Insee estime qu'elle devrait retrouver "tout juste, en fin d'année, son niveau de deux ans auparavant", avec +4% au troisième trimestre puis +1,5% au quatrième, soit une évolution annelle de 4,1% en 2021, après une chute de 7,2% en 2020.L'Insee précise que les prévisions présentées dans sa note de conjoncture sont réalisées en faisant l'hypothèse d'absence de nouvelles restrictions sanitaires, "mais aussi de nouvelle aggravation des tensions sur l'offre".
Il y a 3 ans et 211 jours

Terreal déjà dans le futur

Industrie - Lancé depuis 2017 dans un vaste plan de numérisation de son activité, le spécialiste des tuiles tire un premier bilan positif de la modernisation de son outil de production.
Il y a 3 ans et 212 jours

Le nouveau plan quinquennal de Saint-Gobain

Benoit Bazin a dévoilé le 7 octobre 2021 sa nouvelle feuille de route baptisée « Grow & Impact » dont «l'ambition» est «d'accélérer significativement » la croissance du groupe et de faire de Saint-Gobain le leader mondial de la construction durable. Retour et détails.
Il y a 3 ans et 212 jours

LafargeHolcim débouté face à Cem’In’Eu

Usine Aliénor Ciments à Tonneins (47). [©ACPresse] LafargeHolcim a été débouté par le tribunal de commerce de Saint-Nazaire suite à un litige avec la société Cem’In’Eu. En juillet 2019, l’industriel suisse assignait la start-up spécialisée dans la fabrication et la distribution de ciment pour concurrence déloyale. LafargeHolcim s’est ainsi basé sur le motif d’une communication trompeuse et dénigrante. « Si le but apparent était pour LafargeHolcim de mettre fin à une concurrence déloyale, le but réel était de freiner notre développement », déclare Cem’In’Eu dans un communiqué de presse. Lire aussi : Cem’In’Eu : Conteneur, train ou barge : Le clinker voyage propre Finalement, le 28 avril 2021, le tribunal a débouté LafargeHolcim Ciments et LafargeHolcim Distribution de toutes ses demandes. Le groupe est même condamné à verser une indemnisation à hauteur de 54 500 € pour dommages et intérêts et frais “article 700”1 à Aliénor Ciments, filiale de Cem’In’Eu. Par la suite, LafargeHolcim n’a pas fait appel au jugement dans les délais de recours autorisés. Une concurrence déloyale ? « Le tribunal de commerce de Saint-Nazaire juge que la présentation positive par Cem’In’Eu de ses concepts comme étant innovants n’est pas de la concurrence déloyale. Tel que la communication sur la proximité du lieu d’ensachage du ciment, sur des petits sites proches des chantiers de ses clients. Mais aussi, la communication sur les avantages environnementaux du transport maritime, ferroviaire ou fluvial. Ou encore, le fait de vanter son procédé d’ensachage et son procédé de broyage de clinker qui sont localement moins émetteurs. » En effet, Cem’In’Eu met en avant l’aspect bas carbone de ses ciments. Un calcul possible par l’optimisation du processus de fabrication, en substituant une partie du clinker ou en travaillant sur la sobriété énergétique, par exemple, et de la logistique. Mais aussi, parce que le clinker qu’utilise la start-up, matériau de base du ciment très émissif en CO2, n’est pas produit en France. Ainsi, son poids carbone ne rentre pas dans l’impact environnemental des produits commercialisés par l’industriel. 1Remboursement des frais irrépétibles
Il y a 3 ans et 212 jours

Première mondiale : le béton ultra bas carbone sur le Grand Paris Express

Les premiers voussoirs en béton Exégy Ultra Bas Carbone de Vinci pour le lot 1 de la ligne 18 du Grand Paris Express. [©Vinci] Au fur et à mesure que la construction des différentes lignes de métro du Grand Paris Express avance, chaque chantier peut devenir un champ d’expérimentation. Ainsi, après les voussoirs en béton fibré métallique, sur la ligne 16 – lots 1 et 2, voici qu’arrive le béton ultra bas carbone. Cette fois-ci, c’est le lot 1 de la ligne 18 qui est concerné par cette première mondiale, annoncée par la Société du Grand Paris et Vinci Construction, mandataire des travaux. Ceci, dans la cadre d’un test à l’échelle 1. Le pilote a pour objet de confirmer la formulation d’un béton à très faible impact environnemental. Mais aussi de vérifier sa capacité de coulage en moules dans un cadre de cadencement industriel. Puis, de contrôler le comportement du produit fini dans sa phase de stockage et d’exploitation.  Une réduction de 70 % de l’empreinte carbone Pour cette opération, Vinci Construction a fait le choix de la solution Exégy, sur laquelle il travaille depuis plusieurs années déjà. L’Exégy Ultra Bas carbone (UBC) est formulé sur la base du liant alcali-activé Ecocem Ultra. Ce béton permet une réduction significative de l’impact carbone, de l’ordre de 70 % par rapport à un béton traditionnel. Et de 50 % en comparaison à un béton dit “très bas carbone”. Soit un impact de 90 kg CO2/m3 pour l’ExégyUBC, versus 170 kg CO2/m3 pour le “très bas carbone” et 330 kg CO2/m3 pour le traditionnel. L’ExégyUBC fait l’objet d’un brevet conjoint détenu par Ecocem et Vinci Construction.  Une phase de test a eu lieu chez CDB, filiale préfabrication de Vinci Construction, afin d’élaborer la formulation spécifique aux voussoirs. Aujourd’hui, l’opération entre dans sa phase d’industrialisation chez Stradal, sous-traitant industriel du béton retenu par Vinci Construction pour assurer la préfabrication des voussoirs. Elle va permettre de réaliser 5 anneaux complets, soit un équivalent de 40 voussoirs, aux dimensions du projet. Les premiers exemplaires, à l’échelle 1, serviront aux essais de la qualification du produit : résistance au feu ISO, épreuves de charges.  Rentrer en conformité avec la norme NF EN 206/CN La mise en œuvre de voussoirs préfabriqués définitifs en béton ultra bas carbone dans une section de tunnel de métro en service sera une première mondiale. Mais surtout, l’opportunité de procéder à une étude de référence de l’application d’un matériau nouveau, plus respectueux de l’environnement dans les tunnels. Lancée dès 2019, une Evaluation technique européenne (ETE) est d’ailleurs en cours d’instruction. Elle doit permettre de faire agréer l’Ecocem Ultra, afin d’autoriser les formules de bétons intégrant ce liant alternatif de rentrer en conformité avec la norme NF EN 206/CN. « Nous sommes très fiers de pouvoir permettre à nos partenaires de tester de nouvelles solutions sur nos chantiers, qui pourront profiter à l’ensemble de la filière du BTP par la suite, conclut Bernard Cathelain, membre du directoire de la Société du Grand Paris. Depuis le début du projet, nous encourageons toutes les initiatives qui permettent, entre autres, de réduire l’impact carbone de nos chantiers. Nous serons donc très attentifs aux résultats de l’expérimentation. »
Il y a 3 ans et 212 jours

Cheminées Poujoulat sera à Artibat hall 10A - stand F28 pour parler RE2020 et chauffage bois en maison individuelle

Organisé par la CAPEB Pays de la Loire, ARTIBAT réunit tous les 2 ans à Rennes plus de 1 000 exposants leaders dans leur domaine et accueille près de 40 000 visiteurs professionnels en veille constante sur les innovations du marché et les solutions industrielles.Cheminées Poujoulat sera présent les 13, 14 et 15 octobre 2021 pour le salon ARTIBAT au Hall 10A - Stand F28 pour présenter ses différentes solutions, parler innovation et partager projets et retours d'expériences.Cette année, le projecteur est mis sur 3 solutions conçues pour les maisons individuelles dans le cadre de la RE2020 :AIRWOOD : la solution de récupération et de distribution de la chaleur bois disponible en 3 versions pour s'adapter à chaque configurationVENTÉLIA : la sortie de toit spécial ventilation la plus performante du marchéEFFICIENCE : le conduit triple paroi avec arrivée d'air canalisé conçu pour les appareils à bois étanchesPrésence sur le stand HydrotisCheminées Poujoulat sera également présent sur le stand Hall 7 - Stand C27 d'Hydrotis, l'association d'industriels au service des professionnels du bien être dans le bâtiment pour présenter ses solutions :3CE Thermo-D : le conduit collectif pour chauffe-eaux thermodynamiquesConduits Dualis pour les chaudières gaz et bois (bûches et granulés)Informations pratiquesParc Expo Rennes Aéroport - La Haie Gautrais -35170 BRUZMercredi 13 Octobre : 9:00 - 19:00Jeudi 14 Octobre : 9:00 - 21:00 NocturneVendredi 15 Octobre : 9:00 - 18:00Le pass sanitaire sera obligatoire pour accéder au salon ARTIBAT.
Il y a 3 ans et 212 jours

Open BIM Schöck pour étudier les ponts thermiques en amont des projets

Open BIM Schöck permet aux bureaux d’études, structure et thermique, de dimensionner, implanter et optimiser le traitement de ponts thermiques avec les rupteurs de plancher de la gamme Rutherma© du…Cet article Open BIM Schöck pour étudier les ponts thermiques en amont des projets est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 212 jours

KP1 : à fond la jeunesse

Marine Ballarin, responsable des formations de KP1 [©KP1] La quête de nouveaux talents pour KP1 est lancée. La rentrée 2021-2022 rime avec jeunesse. En effet, l’industriel du béton propose plus d’une cinquantaine de postes en alternance sur ses 39 sites répartis en France. Le groupe témoigne de son engagement auprès des “jeunes pousses”, en présentant de nombreux métiers. Ainsi, les étudiants auront accès à des formations en ressources humaines, commerciales, industrielles ou encore logistiques.  Lire aussi : Artibat : Le rendez-vous des innovations « L’alternance est un sujet clef chez KP1 et c’est une vraie démarche gagnant/gagnant, explique Marina Ballarin, responsable formation de KP1. C’est une réelle volonté de faire découvrir nos métiers, de transmettre des savoirs et notre passion. Et d’accompagner sur le long terme les nouvelles générations. » L’objectif du groupe français : dénicher de nouvelles pépites et les préparer à la vie professionnelle. KP1 : Un groupe aux perspectives d’avenir Malgré une forte demande dans le bâtiment, le secteur de la construction se retrouve souvent confronté à des problèmes de recrutement. Pour pallier cette difficulté, KP1 souhaite « mieux faire connaître l’entreprise auprès des écoles » et rendre plus attractive leur filière industrielle. Lire aussi : KP1 : 100 % en recyclé Par ailleurs, certains anciens alternants ont réussi à se faire une place au sein du groupe. Exemple avec Gaëtan Guillaume, responsable méthode centrale à béton et dalle alvéolée. Embauché en tant que technicien laboratoire, il n’a eu besoin que d’une année pour prendre en charge les activités du centre béton de Pujaut (30).
Il y a 3 ans et 212 jours

SALON ARTIBAT, EDILTECO® FRANCE PRÉSENTE SON NOUVEAU POLITERM® R

EDILTECO® France sera exposant du salon Artibat, au sein du Pôle Gros Œuvre, Hall 10A – Stand D52. Le fabricant y présentera notamment le nouveau Politerm® R, procédé d’agrégat isolant idéal pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques. Cette nouvelle version Politerm® R est conçue avec du polystyrène recyclé et s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire et responsable. EDILTECO® récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication afin de réintégrer le PSE dans les processus de production. Les chutes sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves. Politerm® R permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc. Autre solution de sol exposée sur le stand : LA CHAPE XXs®, chape légère et fibrée qui se destine à l’amélioration de l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. LA CHAPE XXs® est conçue à base de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 – 3 mm). La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques. Sa simplicité de mise en oeuvre va permettre de l’utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu’à 15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1). Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d’une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur béton, 2 cm en pose désolidarisée sur bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples. Pour finir la nouvelle gamme planchers présentera : Delti-Poutrelles, une gamme complète de poutrelles précontraintes. Conçues en T inversé avec un crantage bi-alterné sur le dessus et des armatures dépassantes de chaque extrémité de la poutrelle, une attention particulière est portée sur la finition des poutrelles. Cette parfaite maîtrise des finitions leur assure une épaisseur de talon sans accumulation de béton et des abouts de poutrelle parfaitement droits, notamment par l’utilisation de séparateurs en PSE lors du moulage. Conçue dans les règles de l’art, la gamme Delti-Poutrelles respecte l’ensemble des exigences du référentiel DTU 23.5. Certifiée conforme au référentiel de certification NF 395 Poutrelles en béton pour systèmes de planchers à poutrelles et entrevous, cette gamme assure d’excellentes performances à la flexion et garantit la réalisation de planchers robustes, stables et durables dans le temps. Il existe 3 gammes de poutrelles et chacune rassemble plusieurs types de poutrelles. Chaque gamme commence par « DP » suivi de la hauteur de la poutrelle (de 110 à 130) et du type de précontrainte. La gamme RE est dotée d’un renfort en acier passif permettant de gagner en portée sans étai. Elles permettent d’atteindre de grandes portées 5,10 m de long sans étais et 8,30 m avec étais, qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Du fait de l’attention portée à la qualité de fabrication, la gamme Delti-Poutrelles est en mesure de supporter des charges importantes. DELTIVOUTAIN + CI – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre son correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d’isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1 «Planchers et accessoires de plancher» qui ont examiné respectivement ce procédé. Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d’assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l’isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en œuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation. Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d’une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l’économie d’éléments structurels devenus inutiles.
Il y a 3 ans et 213 jours

Face à une forte demande, Vie & Véranda agrandit son usine de Feyzin (69)

EXTENSION. Afin de répondre à une demande en forte croissance, le fabricant Vie & Véranda a décidé d'agrandir son site de production de Feyzin, siège de l'entreprise.
Il y a 3 ans et 213 jours

Bauma Innovation Award 2022 : participez-y !

Les inscriptions pour le Bauma Innovation Award 2022 sont ouvertes jusqu&rsquo;au 3 mai 2022. [©Bauma] Les inscriptions au Bauma Innovation Award 2022 sont ouvertes jusqu’au 3 mai 2022. La cérémonie de remise des prix fera office d’ouverture de l’édition prochaine de la Bauma, qui aura lieu du 24 au 30 octobre 2022. Les candidats peuvent soumettre leurs dossiers via le formulaire sur le portail web. Ce concours se voit doter de nouvelles catégories, qui apportent ainsi un souffle nouveau à la compétition. Et mettent en valeur des technologies d&rsquo;avenir pour le secteur de la construction : &#8211; Catégorie 1 : Protection du climat&#8211; Catégorie 2 : Digitalisation&#8211; Catégorie 3 : Génie mécanique&#8211; Catégorie 4 : Bâtiment&#8211; Catégorie 5 : Recherche Il est important que les innovations soumises au jury aient un lien avec l&rsquo;industrie de la construction, des matériaux de construction, des équipements miniers&#8230; Le jury évaluera avant tout la viabilité et la pertinence pratique des projets. Avec &#8211; petit plus cette année -, une attention particulière portée à la protection du climat.
Il y a 3 ans et 213 jours

Découvrez les 5 axes du nouveau plan stratégique de Saint-Gobain

STRATÉGIE. Après le plan "Transform and grow" (2018-2020), le géant français des matériaux de construction, Saint-Gobain, lance un nouveau plan baptisé "Grow and Impact" (2021-2025). Au coeur de ce programme, la rentabilité et la durabilité.
Il y a 3 ans et 213 jours

Hager Group accélère sa transformation

Sur son site d’Obernai, le groupe concrétise un investissement clé et innovant avec la construction d’un nouveau laboratoire de puissance électrique à hauteur de 15 millions d’euros. ©Hager Group Hager Group consolide son ancrage territorial en matière de R&D et d’innovation. L’entreprise accélère sa transformation en réponse à de fortes ambitions sur le marché des bâtiments tertiaires, en France comme à l’international. Le nouveau laboratoire, un banc d’essai de court-circuit basse tension, permettra de développer et valider des disjoncteurs et des systèmes de distribution de forte puissance (appareillages de protection et armoires électriques). Parmi les plus puissants en Europe « Ce laboratoire complète notre savoir-faire en matière d’innovation, de technique et de R&D. Il sera le plus performant du Grand-Est et l’un des plus puissants en Europe. Cet investissement de 15 millions d’euros positionne notre site industriel d’Obernai comme un centre d’excellence de référence » explique Franck Houdebert, Directeur des ressources humaines Hager Group et membre du directoire. Il intégrera notamment un alternateur de forme cylindrique de plus de 7 mètres de long et 3 mètres de diamètre, pesant plus de 100 tonnes et capable de générer un courant de court-circuit de 150 000 ampères. Concrètement, cela permet de multiplier par 15 le courant de court-circuit et la durée de l’essai par rapport à ce qui existe actuellement. La pose de la première pierre, le 22 septembre 2021, a donné le coup d’envoi opérationnel du chantier. Mise en service au début de l’année 2023. Un centre d’excellence ouvert sur l’extérieur « Ce projet stratégique consolide l’ancrage de Hager Group à Obernai, où le centre de R&D compte plus de 150 ingénieurs. Il ouvrira également ses infrastructures aux clients externes qui pourront bénéficier de moyens d’essais performants et de l’appui de nos experts. La proximité avec les écoles et les universités favorisera également la création de synergies et de partenariats » commente Jean-François Bonnardot, directeur R&D Hager Group. Franck Houdebert, Directeur des ressources humaines groupe de Hager Group, accompagné de Jean Rottner, Président de la Région Grand-Est, en train de poser la première. ©Hager Group
Il y a 3 ans et 213 jours

L'ONU appelle à mettre le paquet sur des énergies propres et accessibles à tous

"Nous avons un double impératif: mettre fin à la précarité énergétique et limiter le changement climatique", a asséné Antonio Guterres à l'occasion du Dialogue de haut niveau sur l'énergie organisé en marge de l'Assemblée générale des Nations unies. Et il existe une solution: les énergies propres.Plus de 35 États, des organisations et des entreprises comme TotalEnergies, Schneider Electric et Google, ont détaillé vendredi leur feuille de route dans ce domaine, dans des "Energy Compacts" dont le montant total s'élève à plus de 400 milliards de dollars.Ces engagements, déjà connus pour la plupart, visent aussi bien à travailler sur des technologies comme l'hydrogène qu'à étendre l'accès à l'électricité dans les pays émergents.Plusieurs d'entre eux, comme ceux du Malawi ou du Danemark, ont fait de l'accès à des procédés de cuisson des aliments non polluants, autres que le charbon de bois, le bois ou le kérosène, une priorité.Selon l'ONU, près de 760 millions de personnes dans le monde n'ont pas accès à l'électricité et environ 2,6 milliards ne cuisinent pas avec des énergies propres.Dans le même temps, les émissions provenant de l'énergie représentent 75% des émissions de gaz à effet de serre.Réduire les subventions au pétrole"L'an dernier, la part des énergies renouvelables dans la production mondiale d'électricité s'est hissée à 29%", a rappelé M. Guterres à l'entame de ce Dialogue de haut niveau, le premier consacré à l'énergie depuis 40 ans. Et "dans la plupart des pays, le solaire photovoltaïque est désormais la source d'énergie la moins chère".Mais les progrès sont encore trop lents. Il faudrait d'ici 2025 diviser par deux le nombre de personnes sans accès à l'électricité et apporter des solutions propres pour cuisiner à un milliard de personnes, a avancé le responsable.Pour décarboner les énergies, il faudrait multiplier par quatre les énergies solaires et éoliennes d'ici 2030 et arrêter dès cette année de construire des centrales à charbon.Autre objectif: tripler les investissements dans les énergies renouvelables et les économies d'énergies à 5.000 milliards de dollars par an, en utilisant par exemple les subventions aux énergies fossiles pour les renouvelables.Selon une étude publiée vendredi par le Fonds monétaire international (FMI), les subventions directes et indirectes aux combustibles fossiles se sont élevées à 5.900 milliards de dollars en 2020 dans le monde, soit environ 6,8% du PIB mondiale.Pour les économistes de l'organisation, ces subventions "entraînent une surconsommation de combustibles fossiles".Il faut mettre en place des prix qui reflètent "pleinement" les coûts réels de ces énergies fossiles, mais aussi les coûts environnementaux, a recommandé Kristalina Georgieva, la directrice générale du FMI.Augmenter les coûts du carburant est "bien évidemment très difficile", a reconnu la responsable. "Mais ne rien faire va poser des problèmes bien plus importants."Afin de ne pas creuser les inégalités, les investissements dans les énergies propres doivent aussi s'accompagner de formations aux nouveaux métiers des énergies renouvelables et de protection sociale pour ceux affectés par la transition énergétique, a souligné M. Guterres.Pour Jennifer Layke de l'ONG World Resources Institute, la présentation des "Energy Compacts" permet de proposer à d'autres États et organisations un exemple sur lequel s'appuyer et "s'engager dans une action collective". Elle permet aussi à la société civile de demander plus facilement des comptes sur l'avancée des projets.Mais "pour vraiment faire une différence pour le climat", souligne-t-elle auprès de l'AFP, "on a encore un long chemin à parcourir pour atteindre le niveau de transformation nécessaire en matière de transition énergétique".
Il y a 3 ans et 213 jours

Rendez-vous au Village Béton sur Pollutec

La filière béton s’engage pour présenter ses solutions de gestion durable de l&rsquo;eau. [©Cérib] Du 12 au 15 octobre prochain, la filière béton sera présente dans le Village Béton sur le salon Pollutec 2021, à Lyon Euroexpo. C’est sous la bannière des Smarts Systèmes en Béton (produits et systèmes préfabriqués en béton) qu’elle s’engage collectivement. Ceci, pour présenter ses solutions de gestion durable de l&rsquo;eau. Et pour mieux faire connaître sa contribution à l&rsquo;économie circulaire au travers des Combustibles solides de récupération (CSR) utilisés en cimenterie. Autour de la Fib, du Cérib et de Cimbéton, ce village rassemblera les principaux acteurs de l’industrie du béton. Représentée par les entreprises Alkern, Blard, Cimentub, CRP, Libaud, LPB, Normandy Tub, Sobemo, Stradal, Thébault et Urvoy, le Fib Assainissement y présentera la diversité des solutions industrielles en béton les plus efficientes. Et ce, pour la maîtrise des risques d’inondation et la protection du milieu naturel.&nbsp; Hall 6 &#8211; Stand E48&nbsp;
Il y a 3 ans et 213 jours

Cemex s’engage dans la Charte d’amélioration des ports

Signature de la Charte d&rsquo;amélioration des ports par Florence Boutmy, directrice de Cemex Ile-de-France. [©Cemex] Cemex vient de signer la nouvelle édition de la Charte d&rsquo;amélioration des ports (CAP). Cette dernière a été initiée par Haropa Port, la Ville de Paris, l’Unicem Ile-de-France, la Fnade1&nbsp;Ile-de-France, Federec, Point.P et Raboni. Acteur industriel historique de l’Axe Seine, Cemex réaffirme ainsi son engagement pour la préservation de l’environnement des ports franciliens.&nbsp;« L&rsquo;histoire de notre groupe est intimement liée à la Seine depuis 1884. Nos activités fluviales demeurent un axe de développement auquel nous sommes très attachés. Et échanger avec nos parties prenantes fait partie intégrante de notre démarche. Ceci, pour être un acteur industriel durable du paysage fluvial », indique Florence Boutmy, directrice de Cemex Ile-de-France.&nbsp; Pourquoi une charte&nbsp;? Cette charte est une démarche environnementale de progression pour favoriser l’amélioration continue de l’exploitation des activités portuaires et industrielles en Ile-de-France. Ceci, afin de faire évoluer leurs pratiques pour préserver un environnement de qualité et pour s’engager pour un développement durable des activités en bord de voie d’eau. A ce jour, 45 industriels présents sur les ports franciliens adhèrent à la charte. Parmi eux, 31 acteurs majeurs du BTP et 14 entreprises de la filière des produits valorisables. Ceux-ci représentent 114 sites industriels impliqués dans la démarche et audités chaque année (contre 46 sites il y a 10 ans). Quelque 31 espaces portuaires gérés par Haropa Port sont aussi audités chaque année. Pour cette nouvelle édition, un renforcement des exigences de la CAP a été opéré pour mieux traduire l&rsquo;impératif absolu de protection de l&rsquo;environnement et du cadre de vie pour les activités en bord de voie d&rsquo;eau. Créer un dynamique Cette démarche repose donc sur la réalisation d’un audit annuel des activités et des installations par un organisme indépendant. A l’issue de l’audit et après étude des résultats, un plan d’actions est défini si nécessaire. Cette démarche proactive a permis, en 10 ans, d’enregistrer une progression notable de l’état des installations. Ainsi que des activités portuaires comme industrielles. « La Charte d’amélioration des ports crée une dynamique dans laquelle chaque initiative bénéficie à l’ensemble des acteurs, insiste Florence Boutmy.&nbsp;Elle est garante d’une bonne gestion environnementale et sociétale des 20 sites de notre dispositif fluvial. Ce qui concourt à la pérennisation de nos activités bord à quai, essentielle dans le cadre de notre stratégie de transport durable. » 1Fédération nationale des activités de dépollution et de l’environnement.
Il y a 3 ans et 213 jours

Stellantis Sochaux contruit l'une des plus grandes centrales solaires en ombrières de France

Le projet prévoit l'installation de près de 64.000 modules photovoltaïques sur le parking des expéditions de l'usine sochalienne, qui peut accueillir jusqu'à 10.000 véhicules, sur une surface de 22 hectares particulièrement bien ensoleillée, ont précisé les mêmes sources.La centrale développera une puissance de 29 mégawatts-crête (MWc), soit l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 13.300 habitants, ou de 30% de l'usine Stellantis de Sochaux, ajoute-t-on.Les panneaux photovoltaïques sont installés par l'énergéticien Engie Green, qui prendra en charge l'investissement de 36 millions d'euros et assurera l'exploitation pendant 30 ans. L'électricité produite sera ensuite livrée sur le réseau d'Enedis en 20.000 volts.Le chantier a débuté en septembre 2020 et la mise en service totale de la centrale est prévue en octobre 2022. Il s'agit de l'un des plus importants projets de centrale photovoltaïque en ombrières en cours en France, qui permettra d'éviter l'émission de 1.000 tonnes de CO2.C'est un projet "emblématique" par l'importance de la surface disponible pour l'installation des ombrières qui abriteront les véhicules, a estimé lors d'une conférence de presse sur le site Christine Lafaix, directrice chez Engie Green, leader français sur l'activité éolienne et photovoltaïque.L'initiative s'inscrit dans le projet de modernisation "Sochaux 2022" de l'usine historique et centenaire de PSA, devenue Stellantis après la fusion du groupe français avec Fiat Chrysler Automobiles.Pour Stellantis, cette installation permet de "valoriser notre foncier", note Didier Edelblutte, pilote du projet au sein du groupe.Le constructeur veut parvenir à "un site neutre en carbone" et "nous sommes complètement engagés dans cette démarche" de développement durable, souligne Frédéric Maliczak, directeur des services techniques de l'usine Stellantis de Sochaux.Selon Luc Vignal, responsable bâti et ombrières chez Engie Green, cette installation va par ailleurs permettre de générer 130.000 euros de revenus par an pour les collectivités locales grâce à la fiscalité engendrée par l'exploitation du projet.
Il y a 3 ans et 213 jours

Hoppe présent au salon Artibat

Espace Smart Home / Smart BuildingLes ePoignées de fenêtreCes poignées communiquent avec la box et émettent un signal radio dès qu’elles changent de position. La position de la fenêtre est ainsi transmise au système Smart Home grâce au capteur directement intégré dans la poignée et au mouvement de rotation de celle-ci (technologie EnOcean).Elles fournissent donc au système Smart Home/Smart Building des informations permettant d’améliorer les processus programmés, comme la gestion du chauffage, de la climatisation et de l’alarme.Les ePoignées de fenêtre HOPPE fonctionnent sans pile et sans câble. Leur mise en service est facile et instantanée : la poignée est connectée, détectée puis intégrée au système comme les autres composants.L’ePoignée de porte HandsFreeEn démonstration sur notre stand 11A11, cette ePoignée de porte HandsFree permet de déverrouiller la serrure de la porte d’entrée sans utiliser de clé et sans avoir à poser ce que l’on a dans les mains !Les personnes autorisées à entrer sont automatiquement reconnues à quelques mètres de la porte grâce à un signal crypté émis par le transpondeur (au format porte-clés) qu’elles ont sur elles. A l’approche de la porte (côté extérieur), un point lumineux est projeté au sol. Un léger mouvement du pied au-dessus de ce point lumineux (bleu, rouge ou vert) déverrouille la serrure motorisée de la porte d’entrée qui peut ensuite être ouverte, sans la toucher et en toute simplicité.Espace sécuritéLa poignée de fenêtre à verrouillage automatique SecuForte®Il s’agit de LA nouvelle poignée de fenêtre avec retardement à l’effraction HOPPE avec un concept de protection unique et innovant :Verrouillage automatique de la poignée de fenêtre en position fermée (0°) et oscillo-battante (180°)Protection contre les effractions par percement de la vitre au niveau du joint d’étanchéité, du profil ou encore déplacement de la ferrureS’adapte à tout type de fenêtreÉgalement disponible en version verrouillable à cléLes poignées de fenêtre SecuForte® sont très facile à utiliser : il suffit d’appuyer (1) sur la poignée, la tourner (2) et ouvrir normalement la fenêtre.Espace hygièneLes poignées de porte et de fenêtre antimicrobiennes SecuSan®Pour ouvrir une porte, nous attrapons instinctivement la poignée à pleine main. Mais ce geste, si anodin soit-il, est devenu source d’inquiétude !Les poignées SecuSan® permettent une protection active et réduisent jusqu’à 99% la croissance des germes. Elles aident à mettre en place des normes d'hygiène élevées et conservent leur efficacité sans entretien particulier. Avec une gamme qui s’est élargit en 2021, HOPPE propose désormais ce revêtement antimicrobien et antibactérien sur 6 designs de poignées de porte et de fenêtre mais également sur des poignées battantes et des sets pour porte coulissantes.Espace design et techniqueUn même design de poignées pour équiper toutes les menuiseries intérieures et extérieures d’un bâtimentFort de son savoir-faire et de ses innovations, HOPPE est le seul fabricant à proposer avec un même design de poignées (ligne Hamburg et Toulon), toute une gamme complète et adaptée à l’ensemble des menuiseries d’un bâtiment (porte d’entrée, porte intérieure, fenêtre, baie vitrée, menuiserie alu,…).