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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Informatique

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Il y a 3 ans et 128 jours

Présidentielles 2022 : le syndicat des Énergies Renouvelables présente ses propositions pour la transition énergétique

L’urgence climatique impose en effet de mettre en place un véritable plan de bataille pour respecter la trajectoire fixée par l'accord de Paris. Les mesures transversales et sectorielles détaillées par le SER dans le second volet de son Livre Blanc 2022 permettraient ainsi de répondre à ces objectifs de décarbonation tout en pérennisant des industries créatrices d’emploi et d’économie durable dans les territoires.A l’heure de la révélation des programmes des candidats à la Présidentielle, le SER souhaite porter ses propositions auprès de l’ensemble des acteurs de la campagne et partager l’énergie d’un nouvel élan pour la France.Agir pour la transition énergétique à tous les échelonsL’Ademe et le gestionnaire du Réseau de transport d’électricité français (RTE) l’ont désormais rappelé : pour garantir notre sécurité d’approvisionnement et permettre à la France d’atteindre la neutralité carbone en 2050, près de 75% de notre consommation d’énergie devra être satisfaite par des énergies renouvelables à cet horizon. Un projet qui nécessite d’agir aux niveaux international et européen mais aussi à l’échelle des territoires. En première ligne pour planifier et participer à la concertation autour des projets d’énergies renouvelables, ils en sont les acteurs majeurs mais aussi les premiers bénéficiaires d’un point de vue socio-économique. Pour Jean-Louis Bal, Président du SER : « Pour être au rendez-vous en 2050, la France doit dès à présent passer à la vitesse supérieure en matière de renouvelables. C’est aussi un enjeu de responsabilité et de crédibilité par rapport aux jeunes générations, qui attendent une mobilisation forte de toutes les parties-prenantes. Dans ce contexte, les candidats doivent se saisir des outils déjà existants et être en capacité d’en faire émerger de nouveaux pour accélérer et accompagner le formidable projet rassembleur qu’est la transition énergétique. »Les clés pour déployer nos énergies dans les filières renouvelablesAprès avoir livré une vision de ce que la France peut retirer du développement massif des renouvelables, le second volet du Livre blanc du SER présente une série de 10 mesures transversales et concrètes pour passer à l’action dans le cadre du quinquennat à venir : 01. Un « Fonds social pour le climat » pour accompagner les plus vulnérables et permettre une transition énergétique pour tous.02. Un « Parcours renouvelable » pour décrocher un emploi dans la transition énergétique.03. Une « étude d’impact climatique » sous l’autorité du Premier ministre pour une meilleure cohérence des politiques publiques.04. Une ambition énergétique cohérente avec celle de l’Union Européenne et assise sur une fiscalité allégée pour les énergies renouvelables.05. Un nouveau programme industriel « France Renouvelables » pour renforcer la souveraineté de la France dans les technologies stratégiques de la transition énergétique.06. Un pacte « Investir en confiance » pour renouveler les modes de financement des énergies renouvelables.07. Un programme national de sortie des énergies fossiles dans les secteurs encore dépendants.08. Un renforcement des ressources humaines et des capacités de pilotage de la politique de développement des énergies renouvelables pour respecter les objectifs fixés.09. Un programme national d’information sur les énergies renouvelables pour un débat éclairé et fondé sur des faits.10. Une France exemplaire en Europe et dans le monde pour se positionner comme une nation leader de la transition énergétique.En complément de ces propositions, près de 50 mesures sectorielles ont été élaborées afin de répondre aux enjeux des 12 filières du renouvelable français et ainsi générer des retombées environnementales et économiques significatives.Les biocarburants. Objectif : pérenniser les industries et les emplois liés à la production de biocarburants conventionnels et développer les emplois liés à la production de biocarburants avancés.Le bois-énergie individuel. Objectif : améliorer la qualité de l’air grâce au remplacement d’appareils anciens et polluants par des équipements labellisés, tout en participant à la stabilité du réseau électrique.Le bois-énergie collectif. Objectif : pérenniser et développer des emplois ancrés dans les territoires et souvent générés par des PME pour renforcer et structurer l’ensemble de la chaîne de valeur.L’éolien terrestre. Objectif : permettre à chacun de disposer des clés pour en comprendre les enjeux et participer au débat, accélérer les instructions des projets et faire bénéficier les communes d’implantation des retombées directes des parcs à travers la mise en place d’un nouveau fonds.L’éolien en mer. Objectif : lancer un exercice de planification maritime dès 2022 et conclure un Pacte de filière pour formaliser des engagements relatifs à sa pérennisation et demander un engagement de l’État sur le rehaussement des ambitions de développement, à moyen et long-terme.Les énergies marines renouvelables (EMR). Objectif : doter la France d’un objectif de développement pour tirer parti de ces ressources en métropole comme en Outre-mer.Les gaz renouvelables. Objectif : produire et injecter 12 TWh de biométhane dans les réseaux gaziers à horizon 2023 et créer près de 16 000 emplois directs et indirects d’ici la fin de la décennie.La géothermie. Objectif : doubler la production de chaleur par géothermie en dix ans, soit une économie de 1,1 million de tonnes équivalent pétrole.L’hydroélectricité. Objectif : optimiser la production des installations existantes et en développer de nouvelles.Le solaire photovoltaïque. Objectif : créer de nouvelles implantations industrielles innovantes pour positionner la France comme un véritable acteur du solaire, crédible en Europe et dans le monde.Le solaire thermique. Objectif : accélérer son développement pour diversifier les solutions de production de chaleur renouvelable, en particulier pour l’industrie et les réseaux de chaleur.La valorisation énergétique des déchets. Objectifs : tendre vers 100 % de valorisation des déchets en complément du recyclage.
Il y a 3 ans et 128 jours

Action coeur de ville dépasse ses objectifs avec 67.000 logements engagés

VILLES MOYENNES. Alors que le programme Action coeur de ville entre dans sa dernière année, l'ANCT donne à voir les résultats obtenus dans les villes moyennes bénéficiaires, et esquisse la prochaine étape du programme, qui se poursuivra jusqu'en 2026.
Il y a 3 ans et 128 jours

HeidelbergCement France, nouveau mécène des Arts et Métiers

Signature de la convention de mécénat par Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement, et Laurent Champaney, directeur général des Arts et Métiers (tous les deux au centre de la photo). [©HeidelbergCement France] Le 8 février dernier, HeidelbergCement France et l’Ecole des arts et métiers ont signé une convention de mécénat, pour une durée de 3 ans. Des actions spécifiques seront organisées pour les étudiants, comme des visites des différentes installations d’HeidelbergCement France. Aujourd’hui, le groupe compte 300 sites de production répartis sur le territoire. Ainsi, les étudiants des différents campus seront directement en contact avec les professionnels. Par ailleurs, HeidelbergCement France prévoit un recrutement de 25 à 30 ingénieurs en 2022/2023, ainsi qu’une intégration de jeunes talents dans ses rangs. « Le partenariat s’appuiera sur le programme “Engineers in training”, qui permet un accompagnement au poste pendant 18 mois, constituant ainsi un excellent parcours d’intégration. Ouvert à tout jeune diplômé, ce dispositif prévoit une formation globale, alliant théorie et pratique, en France au sein de nos filiales », témoigne Jérémie Pieri, directeur des ressources humaines d’HeidelbergCement France. Et Aurore Friedlander, directrice marketing et communication des Arts et Métiers, d’ajouter : « Faire participer les professionnels et industriels aux orientations de recherche et de formation permet aux étudiants d’être préparés aux réalités qui les attendent sur le terrain ». Un mécénat en faveur de la transition écologique Les Arts et Métiers ont affirmé leur volonté d’intégrer la notion de transition écologique au sein de ses programmes d’enseignement. Quant à HeidelbergCement France, l’entreprise souhaite devenir une référence en matière de décarbonation de l’industrie cimentière. Pour cela, le groupe souhaite miser plus de 400 M€ en France. Les Arts et Métiers et HeidelbergeCement France partagent tous deux des valeurs communes et s’engagent pour une industrie plus durable. « Ce partenariat avec les Arts et Métiers s’inscrit dans la transformation en cours de l’entreprise. Les écoles sont essentielles. Puisqu’elles forment nos futurs collaborateurs et portent ainsi en elles une part de l’avenir de notre entreprise. C’est une aventure passionnante pour construire ensemble le monde de demain », conclut Bruno Pillon, président des activités d’HeidelbergCement France. Charline David
Il y a 3 ans et 129 jours

A Bordeaux, quai de Paludate, un projet mixte signé COSA

Quai de Paludate à Bordeaux (Gironde), l’agence parisienne COSA (Benjamin Colboc et Arnaud Sachet) construit un programme mixte associant un immeuble tertiaire et commerces et un second bâtiment où sont superposés un équipement municipal (centre de propreté), un parking silo de 420 places et 56 logements. Superficies : 12 000 m². Livraison 2022. Communiqué. Les métapoles […] L’article A Bordeaux, quai de Paludate, un projet mixte signé COSA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 129 jours

Aux Bassins des Lumières de Bordeaux, une rêverie immersive au cœur de Venise

Jusqu'au 2 janvier 2023, l'exposition "Venise la Sérénissime", installée dans une ancienne base sous-marine de la Seconde guerre mondiale, invite le visiteur à déambuler le long de quatre immenses bassins parallèles de 110 mètres de long, 22 mètres de large et 12 mètres de hauteur sur lesquels sont projetés des centaines d'images sonorisées.Canaletto, Le Titien, Bellini, Le Tintoret ou Véronèse...: pendant une quarantaine de minutes, tableaux et gravures représentant la cité lacustre s'enchaînent aux sons de Verdi, Vivaldi ou de réinterprétations plus contemporaines."Il ne s'agit pas d'un catalogue sur l'une des villes les plus connues au monde mais d'une promenade entre intérieur et extérieur. On ouvre des portes, on découvre un plafond, un sol en marbre", explique Gianfranco Iannuzzi, directeur artistique, lui-même d'origine vénitienne."Ce qui m'a toujours fasciné pendant mon enfance, ce sont les canaux et les reflets de la ville dans l'eau. Ici, c'est l'endroit idéal pour récréer cette sensation. Le lieu valorise les images et leur donne un peu de magie", souligne ce précurseur dans la création d'installations d'art numérique, à l'origine de toutes les expositions immersives de l'organisme privé Culturespaces, qui gère le site.Par un subtil jeu de perspectives et d'images détourées, le visiteur navigue sur le Grand Canal, admire au plus près les mosaïques et l'orfèvrerie byzantines de la basilique Saint-Marc ou tournoie sous les lustres de Murano lors de bals masqués.Les chefs d'oeuvre de l'art italien du 12e au 17e siècle côtoient les visions chatoyantes d'autres peintres : Monet, Signac, Turner.Des photos de stars des années 50-60, Marcello Mastroianni, Sean Connery ou Sophia Loren, rappellent que Venise, c'est aussi la Mostra.L'exposition est suivie d'un programme immersif plus court (10 minutes) consacré au peintre espagnol Jaoquin Sorolla et ses "Promenades en bord de mer".Les Bassins des Lumières ont attiré 570.000 visiteurs l'an passé. Après Bordeaux, l'exposition rejoindra d'autres lieux de Culturespaces, à commencer par les "Carrières de lumières" aux Baux-de-Provence et "l'Atelier des Lumières" à Paris.
Il y a 3 ans et 129 jours

Rénovation énergétique : PROFEEL dresse le bilan final de ses 3 années de programme et édite une collection importante de ressources innovantes

Après 3 années de mobilisation de toute la filière bâtiment, le programme PROFEEL présente le bilan des 9 projets menés collectivement en faveur de la rénovation énergétique. Toute une collection d’outils et de ressources est désormais disponible gratuitement pour accompagner les professionnels dans leurs pratiques quotidiennes et à toutes les étapes des projets de rénovation. […]
Il y a 3 ans et 129 jours

132 logements à Saclay pour Béal & Blanckaert et Charles-Henri Tachon

Les agences d’architecture Béal & Blanckaert et Charles-Henri Tachon sélectionnées pour réaliser un programme de 132 logements familiaux porté par Legendre Immobilier dans le quartier de Moulon, à Gif-sur-Yvette (Essonne). Livraison prévue : 2025. Communiqué. A la suite de la consultation d’opérateurs lancée en mai 2019, l’EPA Paris-Saclay, en concertation avec les collectivités du territoire, a […] L’article 132 logements à Saclay pour Béal & Blanckaert et Charles-Henri Tachon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 129 jours

504 logements du futur village olympique en Vefa entre VINCI Immobilier et CDC Habitat

VINCI Immobilier et CDC Habitat ont signé la Vente en l’État de Futur Achèvement (VEFA) de 504 logements et de locaux d’activités, situés au cœur du projet d’aménagement du futur village olympique Universeine à Saint-Denis. L’ensemble immobilier sera reconverti après les JO de 2024, comportera 151 logements locatifs intermédiaires, 203 logements abordables contractualisés, une résidence étudiants Student Factory de 150 logements, 1 200 m² de locaux commerciaux et un pôle médical. Conçu par les agences Pascal Gontier, Gaëtan Lepenhuel, Lina Gotmeh et Triptyque, sous la coordination de l’agence Clément Vergély architectes, le projet architectural prévoit une utilisation prépondérante du bois, notamment pour l’ossature des façades et la structure de 54 logements, ainsi que la mise en œuvre de matériaux tels que la terre cuite et l’acier. Les logements disposeront d’espaces extérieurs privatifs tels que loggias, balcons et terrasses, et les toitures seront végétalisées et accessibles aux résidents. Conçus selon des principes bioclimatiques, les bâtiments visent un bilan carbone inférieur de 40 % à celui de bâtiments conventionnels. 75 % des matériaux des ouvrages démontés à l’issue des Jeux seront réemployés ou recyclés et 10 % de la masse de certains équipements seront issus du réemploi. Une centrale photovoltaïque sera par ailleurs installée sur les toitures en complément des surfaces végétalisées. Le programme vise les labels Biodiversity, E+C- et BBCA ainsi que la certification NH Habitat HQE niveau Très Performant. Il s’intègre dans le projet d’aménagement Universeine, l’opération de requalification d’une ancienne friche industrielle réalisée en partenariat avec la SOLIDEO, la Ville de Saint-Denis et Plaine Commune. Cet article 504 logements du futur village olympique en Vefa entre VINCI Immobilier et CDC Habitat est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 129 jours

Covid-19 et qualité de l’air dans les écoles : le collège Jean Jaurès, un chantier exemplaire

Entièrement équipé par Kingspan Light + Air en dispositifs de ventilation naturelle, le collège Jean Jaurès est le premier établissement à s’engager aussi massivement pour améliorer la qualité de l’air intérieur ; une bonne aération constituant un geste barrière contre la Covid.Le plus grand projet d’équipement en solution de ventilation naturelle réalisé par KingspanLe collège Jean Jaurès est un chantier exemplaire qui a mobilisé l’expertise de Kingspan Light + Air associé au bureau d’étude LESS is MORE, pour mettre en place un dispositif permettant d’assurer de manière optimale le confort et la sécurité des élèves et enseignants. Lancé en 2019, le chantier s’est achevé en juin 2021, avec l’installation d’un système de ventilation naturelle Windcatcher dans chaque salle de classe, soit 40 appareils au total. En cas de forte chaleur, ou d’augmentation de CO2 supérieur aux exigences réglementaires, les tourelles Windcatcher s’ouvrent automatiquement, permettant un renouvellement de l’air complètement naturel sans ouvrir les fenêtres.Répondant à un Marché Global de Performance, l’objectif de résultat réel prend sur cette opération toute son importance. C’est pourquoi un suivi en temps réel de la composition de l’air dans chaque salle de classe (température, taux de CO2, consommation en chauffage) permet de veiller au respect des normes et seuil de consommation énergétique.Kingspan Light + Air est allé encore plus loin, en intégrant des fonctions complémentaires, spécialement destinées aux écoles, comme l’assainissement mécanique de la salle de classe avec un programme de renouvèlement de l’air intérieur qui s’enclenche automatiquement durant la pause déjeuner. En cohérence avec les enjeux de transition environnementale et d’économie d’énergie, le Conseil départemental de la Gironde et le collège de Jean Jaurès, souhaitaient trouver une solution de ventilation plus écologique pour assurer le confort des occupants durant les épisodes caniculaires tout en consommant moins. Le système de ventilation naturelle proposé par Kingspan permet de réduire considérablement la consommation et la maintenance électrique : un Windcatcher photovoltaïque consomme moins qu’une ampoule !Comment ça marche ?Windcatcher®, est une solution unique en France qui assure le renouvellement de l’air, le rafraîchissement des bâtiments et la diminution de la concentration en CO2 en utilisant la force éolienne et la convection thermique.Solution à énergie passive, ce système utilise les mouvements naturels de flux d’air dans l’espace (ascension de l’air chaud vicié).Quelle que soit la direction du vent, ces tourelles à énergie passive captent l’air des vents dominants pour rafraichir le bâtiment et évacuer l’air vicié. Elles équipent aujourd’hui des locaux d’envergure comme les écoles, hôpitaux, grandes entreprises, et autres bâtiments recevant du public.
Il y a 3 ans et 130 jours

Nouvelle école de Gouesnou, par ENO architectes

A Gouesnou (Finistère), le projet du nouveau groupe scolaire du château d’eau en chantier. Piloté par BMa SPL et conçu par l’agence brestoise ENO Architectes, ce projet de 11.25 M € HT vise l’exemplarité énergétique et environnementale. Livraison prévue :  septembre 2023. Communiqué de l’opérateur de l’aménagement. Le programme comprend une école « nouvelle génération » pouvant accueillir […] L’article Nouvelle école de Gouesnou, par ENO architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 132 jours

HeidelbergCement France, mécène d’Arts et Métiers

Arts et Métiers et HeidelbergCement France viennent de signer une convention de mécénat, pour une durée de trois ans, afin de nouer des liens durables entre les étudiants et les professionnels du secteur des matériaux de construction. Les partenaires vont approfondir leurs liens étroits et organiser des actions spécifiques dans trois Campus : Angers, Bordeaux-Talence et Châlons-en-Champagne. Les élèves d’Arts et Métiers pourront accéder rapidement à des postes à responsabilité chez HeidelbergCement France, qui prévoit un recrutement de 25 à 30 ingénieurs en 2022/2023 ainsi qu’une intégration réussie de jeunes talents dans ses rangs. Le 14 janvier dernier, l’industriel avait déjà donné rendez-vous aux étudiants du Campus de Châlons-en-Champagne pour un premier forum stages. Des visites de différents sites d’HeidelbergCement France sont également au programme.
Il y a 3 ans et 133 jours

Bilan final du programme PROFEEL pour faciliter et fiabiliser la rénovation énergétique des bâtiments existants

Toute une collection d’outils et de ressources est désormais disponible gratuitement pour accompagner les professionnels dans leurs pratiques quotidiennes et à toutes les étapes des projets de rénovation. Artisans, entreprises, acteurs de la maîtrise d’œuvre et maîtres d’ouvrages, trouveront dans cette boîte à outils, des solutions pratiques et innovantes pour favoriser des décisions de rénovation performante et sécuriser la qualité des travaux engagés. Ces ressources sont accessibles via le site programmeprofeel.fr. Un double enjeu : favoriser les travaux et sécuriser l'atteinte des performancesFruit de la réflexion de 16 organisations professionnelles de la filière Bâtiment, le programme PROFEEL s'inscrit dans une dynamique d'accélération des projets de rénovation. Sur l'année 2021, l'Anah a comptabilisé plus de 750 000 logements rénovés, soit le triple de 2020. Les perspectives pour 2022 sont encourageantes, boostées par un nouveau fléchage budgétaire de l'Etat pour MaPrimeRenov' et par le lancement, le 12 janvier dernier, de France Renov', qui devient l'unique service public pour tous les projets de rénovation.Les actions menées dans le cadre du programme PROFEEL répondent ainsi à deux grands enjeux :Favoriser des décisions de rénovation performante et accentuer le volume de travaux de rénovationSécuriser l'atteinte des performances recherchées et améliorer la qualité des travaux engagés9 projets ont été mis en oeuvre entre 2019 et fin 2021 par l'Agence Qualité Construction (AQC) et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), les deux porteurs du programme. Plus d'une centaine de scientifiques, d'experts techniques et de professionnels en activité, ont ainsi été mobilisés durant 3 années.« Cette mobilisation s'est construite autour d'une volonté commune de s'appuyer sur l'innovation, qu'elle soit technique ou numérique, pour outiller et accompagner les professionnels du bâtiment sur le marché de la rénovation énergétique. Elle s'appuie également sur le constat partagé que le renforcement de la confiance entre les maîtres d'ouvrages et les professionnels est une clé importante pour atteindre nos objectifs d'amélioration de l'efficacité énergétique du parc des bâtiments existants. » Nadia Bouyer, Présidente de PROFEELDes outils innovants pour accompagner toutes les étapes de la rénovationPROFEEL, c'est aujourd'hui toute une collection d'outils pratiques, mis gratuitement à disposition des acteurs de la rénovation sur le site du programme : programmeprofeel.fr.Artisans, entreprises du bâtiment, architectes, bureaux d'étude, mais aussi particuliers, bailleurs ou collectivités territoriales… des ressources PROFEEL existent pour accompagner chaque acteur de l'acte de rénover dans ses pratiques professionnelles et ses futurs projets de rénovation. Si certains outils s'adressent à plusieurs métiers, d'autres peuvent concerner un métier très spécifique.Par ailleurs, la collection d'outils PROFEEL rassemble une grande variété de formats : des services web tels que GO-Rénove et Rénover-Densifier, des applications numériques à l'instar de Check'Réno et PAC'Réno, des référentiels techniques, des collections de fiches pratiques, des protocoles de mesure avec leurs kits opérationnels tels que SEREINE, ainsi qu'un ensemble d'outils de sensibilisation et de ressources pédagogiques accessibles en ligne, sous la forme de podcasts, tutoriels vidéo, webinaires thématiques, MOOC, etc…Ces ressources permettent de faciliter et optimiser toutes les étapes d'un projet de rénovation énergétique : aussi bien en amont, pour donner envie de s'engager dans des travaux, qu'au cours des travaux et à l'issue de ceux-ci, pour sécuriser l'atteinte des performances.« Notre enjeu, maintenant, est de faire connaître toute la richesse de ces productions collectives, pour qu'elles soient partagées par le plus grand nombre et qu'elles contribuent efficacement à une massification qualitative de la rénovation. » Nadia Bouyer, Présidente de PROFEEL
Il y a 3 ans et 133 jours

Tryba poursuit ses objectifs de croissance pour 2022 et dévoile les résultats prometteurs de 2021

Ces résultats encourageants en 2021 vont permettre à Tryba, qui a déjà convaincu les porteurs de projet par son concept pérenne et rentable depuis 42 ans, de poursuivre son développement sur tout le territoire.Le réseau dispose cependant encore d’une trentaine de secteurs disponibles en France, autant dans des grandes villes que dans des villes de taille moyenne. Forte de son expertise dans l’accompagnement de ses concessionnaires, la marque intègre aujourd’hui 80 % d’entrepreneurs qui ne sont pas issus du secteur de la menuiserie, affichant, au bout de 3 ans, une rentabilité de 8 à 10 %. Des objectifs atteints pour 2021Avec 15 ouvertures en 2021, Tryba enregistre de bonnes performances, et ce, malgré la crise sanitaire. Ce bilan met en lumière la dynamique du réseau et la confiance des Français envers la marque alsacienne.Répartis sur toute la France, les nouveaux points de vente Tryba sont venus étendre en 2021 le maillage territorial de la marque en offrant plus de proximité à ses clients grâce à l’ouverture de 7 Espaces-Conseil (zone de chalandise de 150 000 à 200 000 habitants), 7 magasins secondaires et 1 Carré Tryba. Tous ces magasins servent à renforcer la présence d’un concessionnaire sur le secteur géographique exclusif qui lui est concédé.Dorénavant, il est possible de découvrir l’enseigne dans les villes suivantes : Espace conseil : Saint Maur des Fossés (94) Lons le Saunier (39) Seclin (59) Dunkerque (59) Lille (59) Saint-Berthevin (53) Maromme (76) Magasin secondaire : Sézanne (77) Monistrol (43) Crest (26) Propriano (20) Saint-Girons (09) Les Sables d'Olonne (85) Carré Tryba : Mayenne (53)En parallèle des ouvertures de concessions, le modèle de franchise participative, dénommé « Carré Tryba » instauré en 2013 (zone de chalandise de 70 000 habitants), continue de se développer avec une ouverture à Mayenne (53) en 2021. Ainsi, depuis 2013, Tryba a développé 19 Carrés, dont 11 sont devenus concessionnaires en 3 ans.Quant aux reprises de fonds de commerce, elles sont régulières puisque la marque âgée de plus 40 ans dénombre des concessionnaires qui ont rejoint le réseau depuis de longues années et qui veulent notamment partir à la retraite après une belle carrière aux côtés de l’enseigne. Tryba leur trouve alors un successeur. Ainsi, en 2021, 4 rachats de concessions ont eu lieu dans le réseau.Une dynamique qui se poursuit en 2022Alors que les Français viennent de passer plusieurs mois chez eux, le marché de l’amélioration de l’habitat bénéficie aujourd’hui de l’effet confinement. En effet, une étude de l’institut CSA pour HomeServe révèle que 94% des Français se voient investir autant (73%), voire plus (21%) dans les postes de dépenses liés à la maison (aménagement, entretien, travaux), au détriment d’autres postes (loisirs, sorties, etc.)[1]. De fait, les 15 points de vente Tryba ouverts en 2021 connaissent un bon lancement.Tryba va également étendre son réseau au 1er semestre 2022, avec 14 magasins en cours d’ouverture dans les secteurs géographiques suivants :Espace-Conseil :Faulquemont (54)Chaumont (54)Châtellerault (86)Saint Marcel Les Valences (26)Alès (30)Sotteville-les-Rouen (76)Beaune (21)Les Lilas (93)Angoulême (16)Abbeville (80)Magasin secondaire :Langon (33)Gaillan en Médoc (33)Veigné (37)Pontcharra (38)Grâce à son réseau mature, Tryba compte actuellement le plus grand nombre de points de vente de menuiseries en France. Si elle confirme sa position de leader sur le marché de la rénovation des fenêtres, portes d’entrée, volets, portes de garage et accessoires, la marque garde le cap des objectifs d’implantations dans les régions suivantes, où des secteurs sont encore disponibles :Hauts-de-France : Béthune (62) et Lens (62)Normandie : Le Havre (76), Yvetot (76), Dieppe (76), Saint-Lô (50), Coutances (50) et Bayeux (14)Bretagne : Brest (29), Montfort-sur-Meu (35) et Redon (35)Pays de la Loire : Pornic (44) et Les Herbiers (85)Centre : Loches (37)Nouvelle-Aquitaine : Niort (79), Bressuire (79), Cognac (16), Villeneuve-sur-Lot (47), Agen (47) et Mont-de-Marsan (40)Grand Est : Charleville-Mézières (08), Bar-le-Duc (55) et Epinal (88)Auvergne - Rhône-Alpes : Montluçon (03), Moulins (03) Roanne (42) et Aurillac (15)Bourgogne – Franche-Comté : Auxerre (89), Nevers (58), Fontaine-les-Dijon (21), et Avallon (89)Corse : Bastia et AjaccioTryba offre également de nombreuses opportunités de reprises sur tout l’hexagone, aux entrepreneurs qui préfèreraient racheter une concession existante, avec un chiffre d’affaires établi et une équipe déjà en place.Une formation initiale et un accompagnement solideTryba a à cœur de transmettre son savoir-faire unique aux porteurs de projet, d’autant plus que 80 % de ces derniers ne sont pas issus du secteur de la menuiserie. Pour y parvenir, le franchiseur Tryba dispense auprès des nouveaux concessionnaires une formation initiale gratuite de trois semaines, indispensable pour maitriser tous les domaines : produits, commerce, technique, logiciels informatique.La marque aide et accompagne étape par étape ses nouveaux entrepreneurs, tout au long du processus de création ou de reprise d’une concession, au travers de différentes actions :La présentation des secteurs disponibles en création et/ou des concessions à racheter.La découverte précise du métier avec un stage « vis ma vie » sur le terrain, en concession-pilote.La recherche et la négociation de locaux adaptés.La recherche de financement.La création de la société.La formation du concessionnaire à son nouveau métier.Après ce processus d'environ 9 mois pour mener à bien leur projet personnalisé, les nouveaux concessionnaires prennent la tête d'une structure à taille humaine, avec une équipe polyvalente de 6 à 8 personnes (assistant, commerciaux et techniciens-poseurs), positionnée comme référence sur un secteur géographique exclusif étendu.En parallèle, de nombreux outils permettent également aux concessionnaires de se former en continu : formations « produits » et pose chaque année, tutoriels ou encore programmes e-learning. Par ailleurs, ils bénéficient pendant 6 mois, d’un accompagnement soutenu par 3 formateurs techniques de la cellule ouverture . Véritable lien entre les franchiseurs Tryba et leur réseau, 9 animateurs-réseau sont répartis par grandes régions.
Il y a 3 ans et 134 jours

MILLIKEN & COMPANY ANNONCE UNE NEUTRALITÉ CARBONE POUR L’ENSEMBLE DE SES GAMMES DE REVÊTEMENT DE SOLS

La division revêtements de sol lance son programme de neutralité carbone M/PACT dans le cadre de sa stratégie globale environnementale. Le fabricant mondial Milliken & Company franchit une nouvelle étape en matière de responsabilité environnementale. L’ensemble des dalles textiles, des dalles vinyles « LVT » et des solutions d’entrée produites par Milliken, sont désormais neutres […]
Il y a 3 ans et 134 jours

Le Cluster Lumière s’installe dans Lumen

L’équipe d’animation du Cluster Lumière et du Campus Lumière vient de s’installer dans Lumen, la Cité de la Lumière, dans le quartier de Confluence au cœur de Lyon. Ce nouveau hub européen de la lumière va offrir dans les mois qui viennent de nombreuses prestations liées à l’éclairage et à la lumière : espace recherche & innovation, espace formation, innovation Trail (show-room permanent de 23 boxes permettant aux entreprises de présenter leurs innovations)… Le programme d’animations de 2022 compte une trentaine d’événements aux formats variés sur le terrain régional, mais aussi national et européen, une partie sera organisée dans Lumen. « Se croiser dans un bâtiment ne suffit pas. L’animation pilotée par le Cluster Lumière autour de Lumen doit créer un maximum d’opportunités entre les résidents de Lumen mais aussi avec d’autres professionnels, en amont et en aval, pour alimenter toute la chaine de valeur. Lumen offre la possibilité d’imaginer un futur ensemble », indique Philippe Badaroux, président du Cluster Lumière. Cet article Le Cluster Lumière s’installe dans Lumen est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 135 jours

Rénovation énergétique : Profeel tient ses promesses

Après trois ans de travail, ce programme de recherche appliquée a permis de mettre au point une variété d’outils numériques et de ressources pour engager la prise de décision et mener à bien les travaux de rénovation.
Il y a 3 ans et 136 jours

Carrier et Barrisol lancent en Europe une gamme de solutions innovantes de plafonds CVC

A partir d’une solution tout air, chauffer, rafraîchir, ventiler, épurer l’air, sans bruit, ni mouvement d’air discernable, c’est la promesse du nouveau procédé développé par Carrier et Barrisol
Il y a 3 ans et 136 jours

Fabien Roussel (PCF) propose une grande loi de programmation pour le logement

PRÉSIDENTIELLE 2022. Le candidat communiste à la magistrature suprême a déroulé les principales orientations de son programme pour le secteur de la construction, lors d'une intervention devant la fondation abbé Pierre.
Il y a 3 ans et 136 jours

La France se pose en leader de la protection des océans

La France affiche son ambition, avant le One Ocean Summit qu’elle a programmé du 9 au 11 février à Brest : « Avec la deuxième zone économique exclusive du monde », elle détient « les moyens d’être l’une des rares puissances d’équilibre en mer », estime le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian. La vingtaine de chefs d’Etats et de gouvernements attendus planchera notamment sur le renforcement des normes internationales de protection, sans abandonner pour autant l’idée d’une exploitation durable des ressources, y compris éoliennes.
Il y a 3 ans et 139 jours

Logement : "Je suis du côté des maires bâtisseurs", promet la candidate Anne Hidalgo

PRÉSIDENTIELLE 2022. Construction, logements sociaux, encadrement des loyers... la maire PS de Paris et candidate à l'élection présidentielle Anne Hidalgo a longuement dévoilé son programme sur le logement, dans un entretien donné à la fondation abbé Pierre.
Il y a 3 ans et 139 jours

Comment améliorer la productivité des chantiers en zone urbaine grâce à la digitalisation ?

61% des entreprises du secteur gèrent des chantiers en zone urbaine. À l’approche des JO 2024 et du développement des chantiers affiliés, les problèmes de congestion, de pollution (de l’air, sonore…) ne vont que croître, notamment en Ile-de-France. D’un côté, les villes vont devoir réduire leur impact environnemental tout en améliorant la logistique urbaine, et de l’autre, les acteurs du BTP vont devoir accélérer leur digitalisation afin d’optimiser leur productivité. Mais le chemin à parcourir reste encore long, et une prise de conscience doit s’opérer le plus tôt possible.BTP et logistique urbaine : un enjeu commun lié à la productivitéEn moyenne, les PME et TPE du bâtiment ont réalisé 113 chantiers en 2020, dont 61% en zone urbaine. Sans surprise, les villes continuent donc d’être au cœur de la construction. Et au cours des 10 dernières années, les acteurs les plus actifs du secteur ont affirmé avoir eu le sentiment de gagner en productivité : +40% pour les entreprises réalisant de 1 à 10 chantiers, et +68% pour celles réalisant plus de 100 chantiers.Seulement, si ces acteurs se trouvent aujourd’hui plus performants qu’il y a 10 ans, le niveau de productivité pourrait être encore amélioré. En effet, nombreuses sont les entreprises qui se fournissent en matériaux de manière extrêmement régulière : tous les 1 ou 2 jours soit en moyenne 14 fois par mois. Une régularité d’approvisionnement qui pourrait s’expliquer par le manque d’espaces de stockage en zone urbaine ou encore des problématiques organisationnelles et prévisionnelles.Pour y répondre, les acteurs du BTP disposent le plus souvent d’une flotte de véhicules dédiée avec en moyenne 4 VUL (Véhicules Utilitaires Légers) et moins d’un PL (Poids Lourd) par entreprise. Mais cette flotte interne peut s’avérer contre-productive. Les répondants déclarent en moyenne plus de 12 jours d’immobilisation par an de leurs véhicules sur les chantiers et plus de la moitié des entreprises sondées (58%) affirment que ces approvisionnements rendent inactives plusieurs personnes pendant 2h en moyenne, soit près de 4,5 mois-homme d’improductivité par entreprise chaque année, ou encore 10% du temps de travail d’une équipe de 4 personnes.Une digitalisation encore faible malgré la pandémie Aujourd’hui, le digital fait office de pivot novateur pour de nombreux secteurs. Cependant, seules 20% des entreprises interrogées ont déclaré qu’Internet et l’informatique ont amélioré leur productivité ou fait baisser les coûts de leurs chantiers pendant la pandémie. La raison ? Dans un univers encore très traditionnel, l’échange physique reste pour de nombreux acteurs une habitude bien ancrée. Seule 1 entreprise sur 6 effectue des achats de matériel (gros œuvre ou outillage) en ligne et près de 30% des entreprises du BTP se rendent directement chez le négoce pour effectuer leurs commandes, quand 66% les effectuent par téléphone.La digitalisation du secteur est donc faible. En effet, 8 entreprises sur 10 n’utilisent pas de logiciels ou d’applications pour faciliter leur productivité sur les chantiers. La consultation des sites est effectuée par une minorité et seulement pour les devis ou pour regarder les stocks, mais beaucoup plus rarement pour l’achat de matériel.La livraison : une solution plébiscitée par les professionnels La livraison est l’un des points cruciaux et stratégiques de la productivité des entreprises. Pour les professionnels interrogés, le prix et les délais de livraison constituent les deux priorités dans le choix d’un distributeur de matériaux. Seulement, selon les sondés, une minorité d’entreprises du BTP (35%) se fait livrer en zone urbaine directement sur le chantier. Et les raisons évoquées devraient pourtant inspirer la majorité : le gain de temps (38%), la facilité/praticité/le confort car c’est le fournisseur qui décharge (28%) et enfin cela permet de faire venir de grandes quantités, volume, poids, charges importantes (27%). En faisant appel à des solutions de logistique externe, les acteurs du secteur peuvent désormais se concentrer pleinement sur leurs chantiers et leur productivité. Ces solutions permettent d'organiser le transport de matériaux vers leurs chantiers en 3 clics, tout en répondant aux normes environnementales actuelles, de la vignette Crit’air 2 à la livraison verte.Vers un développement de la livraison verte ?Et une prise de conscience est en train de se produire : 25% des entreprises interrogées sont déjà prêtes à payer un peu plus cher pour passer à de la livraison verte. 20% sont d’ailleurs prêtes à payer - en moyenne - 57€ supplémentaires par livraison pour passer à de la livraison propre. Au global, plus de la moitié (55%) des entreprises sont sensibles à l’argument des véhicules verts mais plus de la moitié d’entre elles évoquent également le manque de prestataires pour expliquer ce qui les empêchent de passer à de la livraison électrique. Pour Guillaume Fournier, CEO et fondateur de Supervan : “ Aujourd’hui, la notion de productivité sur les chantiers est le principal challenge des professionnels du bâtiment. Avec l’apparition des politiques d’urbanisation ou encore les JO 2024, les prochaines années vont être décisives. Il est donc nécessaire de changer leurs habitudes dès à présent et de leur ouvrir de nouveaux horizons. L’étude démontre ainsi à quel point le digital est une opportunité de taille aussi bien pour le développement des entreprises du secteur - productivité, économies,... - que pour répondre aux enjeux colossaux liés à l’environnement. “
Il y a 3 ans et 139 jours

Béton Pratique : Comment identifier une armature de qualité ?

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Les usines doivent utiliser des aciers certificiés NF Afcab. [©Snaam] Essentielles au béton armé, noyées donc invisibles, les armatures n’en restent pas moins une partie structurante et technique du processus de construction. De leur qualité de production et de pose dépend aussi la réussite d’un chantier. 1 – Qu’est-ce qu’une armature ? Une armature est un élément en acier incorporé dans le béton. Elle est obtenue à partir d’aciers pour béton armé (barres, couronnes, treillis soudés) utilisés en l’état ou après diverses opérations, telles que le dressage, le façonnage ou le soudage. Intimement intégrées dans le béton qui résiste bien à la compression, mais mal à la traction et au cisaillement, les armatures reprennent ces derniers efforts, conférant au matériau ses caractéristiques si particulières. Avant de devenir armatures, les aciers peuvent subir à la fois un dressage, lorsqu’ils proviennent de couronnes, des coupes à longueur, du façonnage, afin de leur donner la forme prévue au plan. Ces opérations peuvent être complétées par un assemblage ou un formage, et par l’ajout de dispositifs spéciaux, tels que ceux de raboutage ou d’ancrage (coupleurs). Le marché de la construction définit trois grandes familles d’armatures : les armatures sur catalogue, qui sont fabriquées par les armaturiers pour assurer une fonction déterminée (chaînage, poteau, semelle, linteau…). Elles doivent être validées par un bureau de contrôles techniques. Elles sont présentées dans un catalogue, vendues sur stock et destinées surtout à la maison individuelle ;les armatures sur plans ou “traditionnelles”, qui peuvent être : – “coupées-façonnées” à partir d’éléments fabriqués suivant les plans du client et posées sur chantier (surtout en travaux publics) ; – “coupées-façonnées-assemblées”. Dans ce cas, l’armaturier livre sur chantier des produits tridimensionnels prêts à poser. Ce qui permet, en particulier dans le bâtiment, de gagner en productivité et en qualité de réalisation. les armatures spéciales comprenant des dispositifs spéciaux (en général, des coupleurs) ou encore constituées d’aciers particuliers (galvanisés ou inoxydables). 2 – Comment reconnaître une armature de qualité ? Quels sont les critères déterminants ? Les armatures peuvent être “coupées-façonnées” ou “coupées-façonnées-assemblées”. [©Snaam] Dans les faits, une armature de qualité répond aux exigences implicites et explicites d’un client. Pour rappel, la production d’une armature passe d’abord par les calculs du bureau d’études béton qui fournit un plan établi par logiciel. Le calcul de sections d’acier se faisant en respectant les Eurocodes. Dès réception des plans par l’armaturier, les “décortiqueurs” se chargent de les traduire en éléments fabricables, transportables et permettant une mise en œuvre simple et rapide. Lors de cette étape, il est fondamental pour le bureau d’études béton et le client final de pouvoir s’appuyer sur l’expérience et la technicité de l’armaturier. Ceci, afin de définir ensemble une armature optimisée, conforme et répondant parfaitement aux besoins du chantier. Dans ce cadre, les décortiqueurs peuvent proposer de décomposer les armatures en sous-éléments pour simplifier leur mise en place ou d’ajouter des accessoires de type “boîtes d’attente”, “coupleurs” et “goujons”, afin de faciliter leur utilisation. Dans tous les cas, la décision finale revient au bureau d’études béton. Une armature de qualité doit avant tout être fabriquée avec un acier de qualité. Pour cela, les armaturiers doivent choisir un acier certifié NF Afcab2. Mais de façon volontaire, ils peuvent pousser l’exigence plus loin, en choisissant de manière systématique un acier B 500 B (obligatoire pour les zones soumises à réglementation sismique) et de préférence laminé à chaud, qui offre plus de ductilité qu’un acier laminé à froid. De son côté, la RE 2020 est venue apporter une nouvelle exigence, celle des productions bas carbone détaillées par les Fdes. Pour assurer une empreinte carbone la plus basse possible, les armatures doivent être fabriquées à partir d’un acier français et local issu de la filière électrique. De plus, pour participer à la baisse de l’impact carbone, il est préférable de se fournir auprès d’une usine de production d’armatures à proximité du chantier. Ceci, pour optimiser le transport et bénéficier d’une plus grande réactivité de l’armaturier. Dans le même ordre d’idées, la pratique qui consiste à remplacer le diamètre 6 mm par un diamètre 8 mm est à proscrire, puisqu’elle augmente le tonnage d’armatures (jusqu’à + 10 %) et les coûts en proportion. En plus, elle pénalise, de fait, le bilan carbone. 3 – Existe-t-il d’autres agréments ou certifications ? Qu’apportent-ils en plus par rapport à la normalisation ? La RE 2020 est venue apporter une nouvelle exigence, celle des productions bas carbone détaillées par les Fdes. [©Snaam] En France, nous disposons de la certification NF Afcab, qui s’appuie sur un référentiel précis et deux audits par an et par usines. Cette certification permet aux clients de s’assurer du scrupuleux respect de la norme NF A 35-027. Il s’agit d’une certification volontaire, mais qui est exigée dans la plupart des chantiers de génie civil (Fascicule 65). Toutefois, elle reste encore trop peu exigée dans les cahiers des charges des chantiers de bâtiment. Depuis près de 30 ans, une norme européenne pour les aciers pour béton armé est en discussion… En 2005, la norme NF EN 10080 a été publiée, mais n’étant plus harmonisée, elle ne permet pas encore le passage au marquage CE, demandé par le Règlement des produits de la construction. Pour l’heure, les travaux de la Commission européenne de normalisation continuent… 4 – Quelles sont les normes qui régissent les armatures ? Sont-elles d’application obligatoire ? Les armatures sont surtout chapeautées par la norme NF A 35-027 – Armatures, qui regroupe les armatures sur catalogue, les armatures sur plans (dressage, coupe, façonnage, assemblage par soudage) et les armatures spéciales (armatures mettant en œuvre des dispositifs de raboutage ou d’ancrage, des boîtes d’attente, des aciers inoxydables). Les aciers pour la fabrication des armatures sont, eux, définis par différentes normes :   La plus importante est la NF A 35-080–1 – Aciers pour béton armé – Aciers soudables (Partie 1 – Barres et couronnes), qui couvre la très grande majorité des aciers utilisés type B 500 A et B 500 B ;Cette norme est complétée par la NF A 35-080-2 – Aciers pour béton armé – Aciers soudables (Partie 2 – Treillis soudés). Il faut optimiser les distances de transport entre le chantier et l’usine pour réduire l’empreinte carbone. [©Snaam] Ces deux normes décrivent notamment les classes techniques des aciers utilisables pour fabriquer des armatures : – B 500 A : acier de limite d’élasticité Re ≥ 500 MPa et d’Agt (allongement sous charge maximale) de 2,5 % mini ; – B 500 B : acier de limite d’élasticité Re ≥ 500 MPa et d’Agt de 5 % mini. Pour d’autres types de produits ou applications particulières, on peut citer les normes : NF A 35-014 – Aciers pour béton armé – Aciers inoxydables soudables – Barres et couronnes ;NF A 35-025 – Aciers pour béton armé – Barres et couronnes pour béton armé galvanisées à chaud ;NF A 35 020 – Dispositifs de raboutage et dispositifs d’ancrage d’aciers pour béton armé à verrous ou à empreintes; Sujet réalisé en collaboration avec le groupe Snaam : Jean-Michel Sohm, conseiller technique de la direction générale, et Marc Abadias, vice-président de l’APA1 et directeur de site. 1Association professionnelle des armaturiers. 2Association française de certification des armatures du béton. A propos de la Snaam Fort de 90 ans d'expérience, le groupe Snaam est le leader français des solutions pour le béton armé. Basé à Lyon, il compte 30 sites de production répartis dans toute la France. Et animés par plus de 1 000 collaborateurs partageant les mêmes valeurs : technicité, proximité, convivialité. Le groupe Snaam s’est donné pour mission d’optimiser la performance de tous les chantiers, du génie civil à la maison individuelle. Ceci, grâce à ses solutions innovantes et son expertise dans la production d’armatures sur mesure ou sur catalogue. Et enfin, grâce à la mise à disposition d’une gamme complète de produits techniques pour les chantiers (boîtes d’attente, de réservation, coupleurs, distanciers, goujons…). Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 139 jours

Saint-Gobain Nova : Répondre aux besoins du groupe

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Claude-Sébastien Lerbourg, directeur des partenariats externes en Europe de Saint-Gobain. [©Saint-Gobain] Créé il y a une quinzaine d’années, Saint-Gobain Nova a réellement accéléré son activité en 2019. L’entité compte 13 collaborateurs, menés par Minas Apelian et dédiés à la structuration de partenariats avec les start-up. En effet, Saint-Gobain Nova sert de passerelle entre des jeunes pousses innovantes et les différentes filiales du groupe. Près de 150 partenariats ont déjà été noués. Présente en Asie, en Europe et aux Etats-Unis, l’entreprise propose une couverture géographique décentralisée à l’image du groupe. « Nous évaluons les différents besoins selon les spécificités des régions, explique Claude-Sébastien Lerbourg, directeur des partenariats externes en Europe. Nous cadrons aussi nos axes de recherches en fonction des tendances du marché et répondons à une demande ou bien nous proposons des innovations. » Saint-Gobain Nova s’intéresse aux start-up déjà structurées qui testent leur solution ou qui débutent la phase d’industrialisation. De grandes tendances et des besoins spécifiques Logo Saint-Gobain Nova. [©Saint-Gobain] « La fenêtre de tir n’est pas très large. Si nous pouvons investir entre 50 000 € et 2 ou 3 M€, l’aspect financier n’est pas une fin en soi. Nous sommes surtout un “outil” stratégique et agile pour générer plus de partenariats avec des start-up. » De plus, à travers cette entreprise, Saint-Gobain cherche à valoriser l’entrepreneuriat au sein même de ses collaborateurs avec le programme InPulse. Ce dernier aide les employés à développer un business qui s’ancre dans les intérêts du groupe. Saint-Gobain Nova passe aussi par des fonds d’investissement spécialisés dans le domaine. En termes de tendances, Saint-Gobain Nova suit de nombreuses grandes thématiques. Parmi lesquelles, l’économie circulaire, la performance des bâtiments, la durabilité, le confort. Mais aussi, la productivité dans la construction, la robotique sur chantier ou encore la préfabrication et la digitalisation des métiers. Plus qu’un investissement financier « Il y a des spécificités par pays. En Europe par exemple, la France dispose d’un maillage très fort avec son activité distribution. Nous allons plus avoir de remontées de problématiques dans ce sens-là. En Allemagne, les tendances métiers ne sont pas les mêmes et dans les Pays nordiques ou au Royaume-Uni, nous remarquons un plus grand développement de start-up autour de la fabrication hors site. » Parmi les derniers investissements (plus de 10 start-up ont été repérées en 2021), Saint-Gobain Nova s’est intéressée au Britannique AMT. « Cette start-up a développé une solution pour rectifier et automatiser les finitions des objets imprimés en 3D. » L’entreprise compte aussi des acteurs comme EcoDrop, développeur français d’une application de collecte de déchets de construction, ou encore Unity Home, spécialisée dans la construction hors site flexible avec conception numérique. Sivagami Casimir Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 139 jours

Rhône : Alphi sur la tour To-Lyon

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Alphi a fourni un large panel d’équipements de coffrage pour la construction de la tour To-Lyon. [©Alphi] Imaginée par l’architecte Dominique Perrault, la tour To-Lyon a été pensée comme un symbole de la mixité urbaine, en phase avec la transformation du quartier de la Part-Dieu. Placé sous la maîtrise d’ouvrage de Vinci Immobilier, ce projet mixte comprend un immeuble de grande hauteur de 170 m, composé de 66 000 m2 de bureaux. Et un hôtel 4* de nouvelle génération de 168 chambres, appuyant ainsi l’attractivité économique et touristique de Lyon. Mais aussi des commerces en pied d’immeuble pour animer le quartier et s’adapter aux différents usagers. Et enfin, une place basse, qui propose une galerie commerciale, directement connectée à la gare de La Part-Dieu. Cette même place basse a été pensée pour accueillir tout type de mobilités (parking voitures, vélos, dépose-minute…). Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes La conception de cet ouvrage de 43 étages intègre une démarche environnementale et propose une performance énergétique de haute qualité. Sa façade plissée créera reliefs et profondeur. Et deviendra le prochain grand symbole architectural du paysage lyonnais. Pour réaliser ces travaux, Vinci Construction France a en particulier opté pour les équipements issus de l’offre Alphi. Au programme :  coffrages TopDalle Eco et VerticAL, étaiements TourEchaf et poutrelles AL100. De quoi permettre la réalisation les clavetages des poutres préfabriquées, la réalisation des poutres en place et le coulage des quelque 60 000 m2 de planchers béton. A noter aussi l’utilisation de 1 200 m2 du tout nouveau coffrage de dalles par panneaux proposé par Alphi : le système HorizontAL. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 139 jours

Vaucluse : Avignon choisit KP1 pour son second parc relais

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Opération de pose de poutres sur le parc relais de Saint-Chamand, en Avignon. [©ACPresse] Le Grand Avignon poursuit le développement de son réseau de transport en commun, pour « apaiser le centre-ville, comme le précise Daniel Bellegarde, vice-président du Grand Avignon, en charge de la mobilité. L’idée est de laisser sa voiture à un terminus et de basculer sur le bus ou le tramway pour ses déplacements urbains ». Pour ce faire, les travaux du futur parc relais du quartier de Saint-Chamand sont en cours. « C’est le second sur les cinq programmés. Il sera le seul en superstructure. » L’ouvrage s’inscrit sur une parcelle contrainte de 5 655 m2, l’occupant presque en totalité, obligeant une organisation particulière du chantier. Très vite, maîtrise d’ouvrage, architecte (Jean-Paul Cassulo) et entreprise générale (NéoTravaux) ont pris le parti d’une structure réalisée en béton préfabriqué. Un défi relevé par KP1 Bâtiments, avec un argument de poids : son usine de Pujaut, située à moins de 15 km du chantier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Provence-Alpes-Côte d’Azur Le programme était chargé. A commencer par 76 poteaux de 6 et 10 m de haut, agrémentés de nombreux corbeaux (jusqu’à 20) pour permettre la reprise des planchers. A cela s’ajoutaient 255 poutres en béton précontraint, de 16 m de portée au maximum, et des poutres garde-corps en “L”, soit une longueur cumulée de 1 833 m. Quelque 500 dalles alvéolaires, elles aussi précontraintes, de 16 m de portée pour des épaisseurs de 32 et 36 cm, complétaient le tableau. De quoi permettre la construction d’un parking aérien capable d’accueillir près de 360 voitures sur 6 demi-niveaux. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 139 jours

Vinci Construction France : L’ultra bas carbone fait son entrée sur le Grand Paris Express

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Les premiers des 40 voussoirs en Exegyubc, destinés à la ligne 18 lot 1 du Grand Paris Express. [©Vinci] La Société du Grand Paris a fait de l’innovation et du bas carbone ses deux chevaux de bataille. Avec son nouveau béton Exegy ultra bas carbone (ubc), Vinci Construction coche les deux cases à la fois. « Vinci Construction a lancé sa nouvelle gamme de solutions Exegy en septembre 2020 », rappelle Bruno Paul-Dauphin, directeur du programme Exegy. Et François Cussigh, expert béton de l’entreprise, de compléter : « Depuis 2016, Vinci Construction focalise ses recherches sur la baisse de ses émissions de carbone. Le béton se situe naturellement au centre de cette approche ». La première grande expérimentation du béton Exegyubc s’est déroulée dans le cadre de la construction du nouveau siège du groupe, à Nanterre. Aujourd’hui, elle se poursuit sur le lot 1 de la ligne 18, avec la mise en œuvre de voussoirs. Réalisés par l’industriel Stradal dans son usine d’Aubergenville (78), ces éléments sont coulés en Exegyubc. Ils sont au nombre de 40, ce qui permettra de réaliser 5 anneaux complets du tunnel principal. Le reste de la construction sera traité avec la solution Exegy très bas carbone retenue dans le cadre du marché. A savoir, un béton formulé sur la base d’un CEM III, additionné de fibres métalliques structurelles ArcelorMittal. Un impact CO2 exprimé en kg De fait, cette composition reste innovante à son niveau, puisque l’utilisation de bétons fibrés pour préfabriquer des voussoirs pour tunnels n’a été autorisée sur les chantiers du Grand Paris que récemment… La fibre retenue n’est autre que la HE++90/60. Sa particularité est d’être munie de crochets d’extrémité. Elle avait déjà été utilisée sur d’autres lots. Présente aussi sur le lot 18-1, elle a été reprise pour la formulation spécifique en Exegyubc. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 140 jours

Aux Sables-d’Olonne : un logement en bail réel solidaire dans le quartier des Roses

La ville des Sables-d’Olonne accueillera l’une des premières maisons inscrites dans le programme du bail réel solidaire
Il y a 3 ans et 140 jours

Jean-Luc Mélenchon se prononce pour le blocage des loyers dans certaines zones

PRÉSIDENTIELLE 2022. Loyers, transactions, construction : le candidat de la France insoumise a avancé plusieurs points de son programme devant la Fondation Abbé Pierre, le 2 février.
Il y a 3 ans et 140 jours

Les stores et volets toujours absents des aides de MaPrimeRénov' en 2022

Pour le Groupement Actibaie, syndicat professionnel des filières portes, portails, stores et volets, il s'agit d'une erreur car les protections solaires permettent d'améliorer efficacement et durablement le confort d'été en limitant le recours à la climatisation, responsable de 5% des émissions de GES du bâtiment.En 2021, près de 60.000 logements ont aussi bénéficié d'une rénovation globale, via le programme Habiter mieux de l'Anah ou à MaPrimeRénov' Copropriété. Un chiffre qui reste relativement faible. Pour le Groupement Actibaie, « les objectifs ambitieux fixés par l'état en matière de rénovation globale ne pourront être atteints que si les gestes liés au confort d'été sont intégrés dans le dispositif d'aide. Quand on pense économie d'énergie, on associe souvent la consommation d'énergie au chauffage. Or avec le réchauffement climatique, il faut aussi prendre en compte la hausse des températures des périodes estivales. On parle de « confort d'été », mais bientôt il s'agira simplement de confort selon les dernières projections du GIEC. Les stores et volets permettent de réduire la température de 5° voir plus si cela est piloté automatiquement. Sans ces solutions, les Français auront recours à la climatisation. Selon l'Ademe, 25%1 des Français en seraient équipés.Suivre l'exemple de pays européensLe délégué général poursuit : « nous espérons que les pouvoirs publics intégreront rapidement les solutions de protections solaires dans MaPrimeRénov'. Ces gestes de rénovations sont déjà subventionnables dans les DOM-TOM, comme chez certains de nos voisins européens, comme en Allemagne ou en Italie. Et contrairement à l'industrie de la climatisation, la quasi-totalité des solutions de protection solaires sont fabriquées en France ou dans l'Union Européenne. Il s'agit d'une industrie qui ne nécessite pas de lointaines délocalisations et est un moteur de l'économie locale. »1Étude de l’ADEME 2021
Il y a 3 ans et 140 jours

L’Inrap a vingt ans

L’Institut national de recherches archéologiques préventives célèbre ses vingt ans d’existence, de recherches et de découvertes archéologiques. De 2002 à 2021, ses archéologues ont réalisé près de 50 000 opérations archéologiques, dont 5 000 fouilles en France métropolitaine et ultramarine. Liée à l’aménagement du territoire, cette intense activité de sauvegarde des archives du sol a entraîné un profond renouvellement de la connaissance du passé, du Paléolithique au XXe siècle. Établissement singulier dans le paysage international, l’Inrap est la plus importante structure de recherche archéologique en Europe. Il compte aujourd’hui 2 300 collaborateurs et est doté d’un budget de 175 M€. Ce vingtième anniversaire s’accompagne d’un dense programme scientifique et culturel. Créé le 1er février 2002 en application de la loi sur l’archéologie préventive de janvier 2001, l’Inrap est un établissement public placé sous la tutelle des ministères en charge de la Culture et de la Recherche. Sa mission est triple : il est opérateur de diagnostics et de fouilles ; il assure l’exploitation scientifique de leurs résultats ; il concourt à l’enseignement, à la diffusion culturelle et à la valorisation de l’archéologie. Dans un contexte concurrentiel parfois complexe, l’Inrap a conduit avec succès ses opérations de terrain, développé une ambitieuse politique de recherche et mené une active politique culturelle. En 2020, il surmonte la crise sanitaire et affiche en 2021 un résultat financier positif pour la quatrième année consécutive. Le rapport d’évaluation que rend le Haut conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (Hcéres) en 2019 consacre la place et l’importance de l’Institut au sein de la communauté scientifique. Ce 20e anniversaire s’accompagne d’une importante programmation culturelle : publications, colloques, expositions… témoigneront des apports de l’archéologie partout sur le territoire. https://www.inrap.fr Photo : Décapage sur le site paléolithique d’Havrincourt (Pas-de-Calais), 2010. © Denis Gliksman, Inrap  
Il y a 3 ans et 140 jours

Béton[s] le Magazine n° 98 vous emmène six pieds sous terre

Retrouvez le n° 98 dans la boutique Six pieds sous terre. Le clin d’œil était trop tentant, quand on aborde les travaux souterrains. Sachant que les tunnels et autres galeries, creusés en ce moment dans le cadre des chantiers du Grand Paris, se situent à une profondeur bien plus importante… Toujours est-il que ce sont les bétons utilisés pour ces travaux particuliers qui sont mis en avant. Au programme, p. 22 et suivantes : bas carbone, retour d’expérience, projection et bétons architectoniques. Sans oublier les prestations de formation, qui se développent en ce moment. Pour ceux qui sont claustrophobes, un petit tour à Dakar semble être une meilleure idée, histoire de visiter, p. 34, l’aire de préfabrication des caissons de la digue de protection du terminal gazier de Grand Tortue (Partie #2). Mais là, il ne faut pas être agoraphobe… Si les coffrages des caissons sont gigantesques, il en existe aussi des plus petits, construits sur mesure par quelques spécialistes du domaine. Qui fait quoi ? C’est à découvrir dans le dossier “zoom sur…”, en p. 44. Dans la même rubrique, un second focus met l’accent sur les additions pour bétons, en p. 50. Quant au Laboratoire de la Matière, il parle durabilité, listant les avantages et les inconvénients de l’utilisation des bétons bas carbone (p. 59). Et pour bien finir, quoi de mieux que d’en savoir plus sur le “style CBR”, initié par l’architecte polono-belge Constantin Brodzki ? Frédéric Gluzicki Directeur de la publication
Il y a 3 ans et 141 jours

Concours Acier 2022 : réinventer l'habitat

L'édition 2022 du concours Acier, ouvert aux étudiants des écoles d'architecture et d'ingénieur de France, est lancée. Au programme : réinventer l'habitat ! Envoi des projets avant le 17 avril 2022. Pour l'édition 2022 du concours Acier, ConstruirAcier propose aux étudiants des écoles […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 141 jours

Courbes mystérieuses, un gymnase par Rémy Marciano et l'agence AT

L'édition 2022 du concours Acier, ouvert aux étudiants des écoles d'architecture et d'ingénieur de France, est lancée. Au programme : réinventer l'habitat ! Envoi des projets avant le 17 avril 2022. Pour l'édition 2022 du concours Acier, ConstruirAcier propose aux étudiants des écoles […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 142 jours

Une résidence sociale pour renouer avec le confort, par CoBe à Paris

L'édition 2022 du concours Acier, ouvert aux étudiants des écoles d'architecture et d'ingénieur de France, est lancée. Au programme : réinventer l'habitat ! Envoi des projets avant le 17 avril 2022. Pour l'édition 2022 du concours Acier, ConstruirAcier propose aux étudiants des écoles […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 142 jours

Yannick Jadot veut consacrer 10 Mds€ par an à la rénovation thermique des logements

PRÉSIDENTIELLE 2022. Le candidat écologiste à la magistrature suprême a dévoilé les grandes lignes de son programme lors d'une réunion publique organisée à Lyon le 29 janvier. Sans grande surprise, le chef de file d'Europe Écologie - Les Verts veut progressivement arrêter les centrales nucléaires tout en accélérant le déploiement des énergies renouvelables, mais également mettre un terme aux "grands projets inutiles" tels que le Lyon-Turin ou le Grand Paris Express.
Il y a 3 ans et 142 jours

Thiers : le chantier de l’ex-Défi Mode avance

La réhabilitation de l’immeuble ex-Défi Mode est l’une des plus importantes opérations dans le cadre de l’Action cœur de ville et du nouveau programme de renouvellement urbain de la ville de Thiers.
Il y a 3 ans et 142 jours

Yerres : amélioration des performances énergétiques de quatre bâtiments publics en 2022

La commune de Yerres a programmé quatre projets de rénovation thermique pour cette année
Il y a 3 ans et 142 jours

ELEC CALC™ BIM : SIMPLIFIER LA CONCEPTION ÉLECTRIQUE BIM

Trace Software vient de lancer la dernière version d’elec calc BIM, logiciel permettant d’intégrer le dimensionnement électrique dans un processus collaboratif Open BIM avec l’échange d’informations au travers d’une maquette numérique. Les évolutions de cette nouvelle version sont principalement axées autour de la récupération de données depuis une maquette numérique Revit®. Beaucoup de professionnels utilisent Revit® pour la conception d’installations électriques. Le plugin Revit®, intégré à elec calc BIM pour répondre à ce besoin, permet de prendre en charge automatiquement la communication entre le moteur de calcul elec calc et la maquette Revit®. Avec cette version d’elec calc BIM, Trace Software est allé plus loin dans les développements afin de simplifier et d’augmenter la productivité de la conception d’installations électriques. LES NOUVELLES FONCTIONNALITES Récupération des circuits Revit® elec calc BIM permet de récupérer l’ensemble des circuits déclarés dans le navigateur du système électrique et de les affecter à leur tableau dans l’explorateur IFC. Grâce à cette fonctionnalité, il n’est plus nécessaire d’effectuer une double saisie des données. L’utilisateur gagne ainsi en temps de conception sur son projet et le risque d’erreur est considérablement réduit. A l’issue de l’étude, il est possible de synchroniser avec Revit® tous les circuits complétés dans elec calc BIM à partir du plugin. Création des circuits à partir des espaces Il est maintenant possible de générer les circuits à partir des espaces présents dans la maquette numérique. Une interface permet de configurer le nombre maximal de récepteurs par circuit. L’utilisateur sélectionne ensuite les espaces dans le viewer. La création est plus rapide car la sélection des composants est groupée. Tracé des fils dans Revit® Le plugin elec calc BIM permet maintenant de récupérer le détail des liaisons et de tracer automatiquement les fils avec les étiquettes pour compléter le schéma du plan d’exécution électrique directement dans Revit®. Création de coupes dans le viewer Le viewer permet de générer des coupes et de les mémoriser dans une vue spécifique. Ces coupes, qui peuvent être consultées à tout moment, permettent d’isoler des parties du bâtiment pour un meilleur repérage des locaux. De plus, les fonctionnalités du viewer ont été optimisées afin de faciliter la navigation. Optimisation du routage L’algorithme de routage a été enrichi afin de router les câbles en automatique dans la majorité des cas de figures, réduisant ainsi les créations manuelles. Les utilisateurs d’elec calc BIM sont automatiquement avertis depuis leur logiciel de la disponibilité de cette nouvelle version. Trace Software présentera les innovations du Logiciel elec calc BIM au salon BIM World Paris qui se tiendra les 5 et 6 avril Prochains à Paris Expo Porte de Versailles.  A propos de Trace Software International Depuis plus de 30 années Trace Software conçoit des applications pour la conception et l’exploitation d’installations électriques et solaires pour le bâtiment et l’industrie. Les solutions de Trace Software couvrent les besoins depuis le chargé d’affaires jusqu’à l’exploitation en passant par le dimensionnement des réseaux. Trace Software est également présent sur le marché de la maquette numérique avec une plateforme complète de conception d’installations électriques en Open BIM. Trace Software est distribué en Europe, Afrique, Amérique du Sud et en Asie via des distributeurs et des filiales en Allemagne, Espagne, Maroc et Chine. www.trace-software.com/fr
Il y a 3 ans et 142 jours

Un bilan très encourageant pour l'anniversaire de la Fondation Castorama

Avec le constat de la progression du mal-logement en France et le contexte du Covid-19 qui a renforcé les inégalités de conditions de logement, la Fondation Castorama a mis un point d’honneur à accompagner les plus fragiles dans l’amélioration de leur logement. Depuis sa création, la Fondation a soutenu 26 associations et plus de 37 000 personnes ont bénéficié de son soutien.Un engagement solidaire sur l’ensemble du territoireLa Fondation Castorama agit au niveau local et a soutenu depuis sa création 26 associations de lutte contre le mal-logement, réparties dans toute la France. Ces associations sélectionnées au travers d’appels à projets ont bénéficié d’un soutien financier s’élevant à 230 000 euros. A l’échelle nationale, des partenariats ont été conclus, comme avec la Fondation Abbé Pierre qui a reçu une dotation de 100 000 euros. La Fondation Castorama a également soutenu à hauteur de 60 000 euros les Compagnons Bâtisseurs dans le projet Bricobus, ayant permis d’aider des personnes démunies confrontées à des problèmes de logement.Pour Yosr Dallegi, Chargée de Programme et Fondations Abritées de la Fondation de France : « La Fondation Castorama et l’ensemble des collaborateurs sont très investis dans leur démarche. L’engagement dont ils font preuve localement et les convictions qu’ils défendent collectivement constituent des relais de solidarité précieux pour les associations et les bénéficiaires qui en ont grandement besoin. »L’action locale des collaborateurs en faveur du mieux-logementDepuis la création de la Fondation Castorama, les collaborateurs de l’enseigne sont pleinement impliqués sur le terrain au travers d’actions locales. En 2021, une centaine de collaborateurs des magasins et du siège ont participé à la réhabilitation de logements à destination de personnes en situation de précarité.Par ailleurs, sept partenariats entre magasins et antennes locales de l’association les Compagnons Bâtisseurs ont pris la forme de dons de produits et de mécénat de compétences.Des initiatives concrètes auxquelles s’ajoute le financement de Castorama à travers la vente de sacs de caisse et de sapins de Noël au profit de la Fondation ainsi que la participation des collaborateurs de l’enseigne à des défis sportifs, tels que le Boost’n’go. Une dynamique qui se poursuit en 2022Dans le prolongement des initiatives solidaires déjà engagées, la Fondation Castorama apportera en 2022 son soutien à 10 nouveaux projets associatifs de lutte contre le mal- logement pour un montant total de 120 000 euros. Les collaborateurs pourront de nouveau participer à une dizaine de chantiers solidaires organisés dans toute la France et s’engager collectivement en se challengeant sur des défis sportifs avec Boost’n’go. Pour Franck Moreno, Président de la Fondation Castorama et Directeur de l’enseigne Castorama en France : « La création de la Fondation est la concrétisation d’un engagement de longue date de Castorama dans la lutte contre le mal-logement. Nous sommes extrêmement fiers de soutenir sur le terrain des projets pour aider les plus démunis. Je remercie vivement mes équipes pour leur enthousiasme et leur implication. Nous nous réjouissons de poursuivre l’aventure en 2022 avec de nouvelles associations et de nouveaux projets. »
Il y a 3 ans et 143 jours

Résultats du troisième appel à projets France Relance visant à renforcer l’accompagnement à la transformation numérique des TPE et des PME

Opéré par Bpifrance, le troisième appel à projets, lancé le 14 septembre dernier, a permis de retenir 12 groupements d’opérateurs supplémentaires (liste des lauréats en annexe). Ainsi, avec 42 groupements retenus lors des trois appels à projets, ce sont au total plus de 93.000 entreprises qui pourront suivre gratuitement ces formations financées par France Relance. Les TPE et PME pourront, par exemple, bénéficier de formations leur permettant d’améliorer leur référencement en ligne, de mieux communiquer avec leurs clients, de gérer leur notoriété, d’utiliser les réseaux pour recruter ou encore de numériser la gestion de leur facturation et sécuriser les données de leur entreprise. Les sessions organisées par les opérateurs lauréats permettent d’établir un premier bilan : Parmi la variété de thématiques proposées, les plus couramment délivrées concernent la communication, la recherche et la fidélisation de clients (37%). La visibilité sur les réseaux sociaux (21%) et le développement des ventes (16%) sont également très demandés. Grâce au troisième appel à projet, des accompagnements sur la thématique de la cyber-sécurité peuvent être proposés.A ce jour, les régions les plus représentées sont l’Ile-de-France (18% des entreprises accompagnées à fin 2021), l’Auvergne-Rhône-Alpes (16%) et le Grand-Est (13%). Ce troisième appel à projet permet de renforcer l’offre dans les collectivités d’Outre-Mer, notamment à la Réunion, en Guyane et en Nouvelle-Calédonie.Ce dispositif a aussi pour ambition de s’adapter aux besoins des métiers et des secteurs d’activité. A ce titre, des groupements spécialisés proposent des formations spécifiquement adaptées aux secteurs suivants : artisanat, bâtiment, commerce, tourisme, hébergement et restauration, conseil et ingénierie, automobile…Deux tiers des sessions ont eu lieu à distance, en raison notamment de la situation sanitaire.Le programme des sessions de formation gratuites est publié sur le site francenum.gouv.fr.
Il y a 3 ans et 143 jours

Retour à la normale pour l'immobilier neuf en stations de ski avec des opportunités à saisir

Même si la montagne française a montré qu’elle savait s’adapter depuis bientôt deux ans, cette normalité retrouvée permet de profiter de l’intérêt des acheteurs pour la résidence secondaire post-confinement et de la valeur refuge qu’a l’immobilier. Grâce aux données du site spécialisé dans l’immobilier neuf : Trouver-un-logement-neuf.com, découvrez les stations du sillon alpin où cela construit et les prix qui y sont pratiqués en résidence de tourisme ou en copropriété classique.Comment investir dans l’immobilier neuf en station de ski ?Dans l’immobilier neuf en montagne, il existe principalement deux types de produit. Il y a l’achat en résidence de tourisme plutôt axée sur l’investissement locatif avec possible occupation des lieux quelques semaines par an ou la copropriété classique pour acquérir une résidence secondaire traditionnelle. Deux produits différents qui entraînent une diversité de prix. Différence de prix entre copropriété classique et résidence de tourismeManque de foncier, PLU plus restrictif, les emplacements premium sont de plus en plus rares et donc chers. Pour pouvoir construire en stations, il faut racheter d’anciens hôtels, reconstruire entièrement sur d’anciennes copropriétés… sans oublier la montée en gamme assumée des opérateurs et des appartements volontairement plus grands… d’où des prix en stations qui ont tendance à augmenter. Les prix en résidence de tourisme restent en général moindres que pour un appartement neuf en copropriété classique, notamment grâce à la récupération de TVA que procure le statut LMNP de la location meublée. Illustration à Samoëns en Haute-Savoie : 330.000 € HT pour un trois-pièces en résidence de tourisme, 390.000 € TTC pour un T3 en copropriété classique.Même s’il est compliqué de comparer deux programmes neufs dans une même station, autre exemple à Praz-sur-Arly, toujours dans le 74 : 206.000 € HT pour un T3 en résidence de tourisme, contre 426.000 € TTC en copropriété classique.Ce qui peut expliquer cette différence de prix, ce sont les « contraintes » qui ne sont pas les mêmes. Si vous devenez pleinement propriétaire de votre bien en copropriété classique, investir en résidence de tourisme impose de s’engager à louer le bien via un gestionnaire exploitant. De quoi attirer des investisseurs au ticket d’entrée moindre et qui ne veulent occuper le bien que quelques jours par an.Des prix du neuf crescendos en montagne Quelle que soit la formule : résidence de tourisme ou copropriété classique, Trouver-un-logement-neuf.com recense actuellement une quarantaine de programmes neufs en commercialisation en stations sur son site spécialisé dans l’immobilier neuf. Comme toujours en immobilier, les prix connaissent de grandes disparités selon la renommée de la station, l’emplacement skis aux pieds ou non, la gamme proposée… Pour devenir propriétaire d’un trois-pièces en montagne, il faut compter actuellement à partir de 233.000 € aux Carroz d’Arâches, domaine skiable du Grand Massif. Comptez moins de 300.000 € pour investir à Châtel, à Pralognan-la-Vanoise… Plus la station est cotée, plus les prix grimpent forcément : 325.000 € HT à Tignes, 600.000 € TTC à Megève, à partir de 665.000 € TTC à l’Alpe d’Huez et jusqu’à un programme neuf à Courchevel 1650 avec un trois-pièces à partir de 1.150.000 € TTC.Les biens d’exception à la montagneSi vous rêvez d’un chalet neuf à la montagne, c’est encore possible. De temps en temps, des opérations sortent de terre et elles permettent de devenir propriétaire d’un bien immobilier neuf d’exception en station. Exemple à La Plagne Montalbert avec 7 chalets mitoyens à partir de 1.116.000 €, avec des surfaces allant de 150 m² à 190 m², de 5 ou 6 chambres. Conseil pour trouver les meilleurs prix en station Deux temps forts pour profiter des meilleurs prix du neuf en stations : lors du lancement commercial ou quand la livraison approche. Réserver un appartement neuf à la montagne lors de la mise en vente d’un programme immobilier en station, c’est s’offrir le plus large choix possible, c’est-à-dire toutes les typologies, les meilleures orientations… C’est ainsi pouvoir trouver le bien qui correspond le plus à votre budget, dans la station de votre choix. Autre moment-clé : lorsque le programme neuf est en livraison immédiate ou à quelques semaines de sa livraison définitive. Cela permet de pouvoir visiter la résidence et son environnement, les appartements… et d’en profiter plus rapidement. L’achat neuf en montagne se fait sur un temps plus long qu’une opération résidentielle classique en ville, il est habituel d’avoir encore des lots disponibles lors de la livraison. De quoi profiter des avantages du neuf sans l’attente de la durée du chantier plus long en altitude.
Il y a 3 ans et 143 jours

Le CCCA-BTP lance l’appel à projets « Investissements innovants »

Depuis 2020, le CCCA-BTP déploie un ambitieux programme d’appels à projets, pour financer des expérimentations et innovations portées par les organismes de formation aux métiers du bâtiment et des travaux publics et en assurer le déploiement. Dans ce cadre, le CCCA-BTP lance l’appel à projets « Investissements innovants », doté d’un budget de 75 millions d’euros sur trois ans, pour accompagner le financement de deux types de projets d’investissements innovants : les projets immobiliers directement liés à un projet pédagogique ou éducatif innovant et les projets pédagogiques d’achats et de mise en œuvre de matériel pédagogique ou éducatif innovant. Tout organisme de formation en apprentissage aux métiers du BTP est éligible au dépôt d’un ou plusieurs projets. Le porteur de projet peut présenter un projet seul, ou avec des partenaires en consortium. Le CCCA-BTP encourage les candidatures groupées, notamment avec des partenaires et des entreprises du secteur du BTP, afin de renforcer et promouvoir des coopérations existantes et la création de coopérations innovantes et originales entre acteurs publics et privés d’un territoire, acteurs historiques et émergents. L’appel à projets est publié sur la plateforme dédiée du CCCA-BTP : https://www.appels-a-projets-cccabtp.fr. Chaque porteur de projet devra créer son espace candidat, afin de pouvoir déposer son dossier. Les dossiers peuvent être déposés à tout moment sur le site, jusqu’au 31 décembre 2024. Ils seront évalués au fur et à mesure de leur dépôt, dans le respect des dates des instances du CCCA-BTP.  
Il y a 3 ans et 146 jours

Rénovation thermique et pilotage nucléaire, deux "enjeux majeurs" du prochain quinquennat

DÉCARBONATION. Quatre dossiers devront être traités en priorité durant le prochain quinquennat, selon l'association Négawatt : le lancement d'un vaste programme de rénovation énergétique du parc immobilier, la mise en place d'une mobilité électrique durable et d'une stratégie industrielle respectueuse de l'environnement, et la réforme du mode de pilotage de l'énergie nucléaire. Tout cela étant censé permettre d'atteindre la neutralité carbone en 2050.
Il y a 3 ans et 146 jours

Forte augmentation du nombre d'auto-entrepreneurs à fin juin 2021 selon les Urssaf

Le nombre de radiations s’établit quant à lui à 326.000 comptes sur la même période, en hausse de 16,6 % par rapport à l’année précédente. Au deuxième trimestre 2021, 1.145.000 auto-entrepreneurs déclarent un chiffre d’affaires (CA) positif, soit 30,6 % de plus qu’au deuxième trimestre 2020, qui avait été marqué par le confinement sanitaire. Ces auto-entrepreneurs économiquement actifs représentent 51,3 % des inscrits au deuxième trimestre 2021. Cette part est plus élevée que le niveau bas enregistré un an plus tôt au plus fort de la crise (47,7 %), mais reste nettement inférieure aux niveaux qui prévalaient avant la pandémie (59,1 % au deuxième trimestre 2019), en lien, au moins en partie, avec le dynamisme des immatriculations (les premières déclarations de chiffre d’affaires pouvant prendre du temps). Après le ralentissement observé en 2020 dans le contexte de la crise, le chiffre d’affaires global renoue avec le fort dynamisme enregistré en 2018 et 2019 à la suite du doublement des plafonds donnant droit au statut d’AE : il dépasse ainsi pour la première fois les 5 milliards d’euros au deuxième trimestre 2021, soit 58 % de plus qu’au deuxième trimestre 2020 et 31 % de plus qu’au deuxième trimestre 2019. Le chiffre d’affaires trimestriel moyen (4.567 euros) est quant à lui en hausse de 21,3 % sur un an et de 6,1 % sur deux ans. Au 30 juin 2021, le nombre d’AE augmente dans tous les secteurs sur un an. Les immatriculations restent particulièrement dynamiques dans les activités de poste et de courrier et dans le commerce de détail non spécialisé, compte tenu du développement de la livraison à domicile et de la vente à distance. La région Île-de-France se démarque avec une évolution annuelle du nombre d’AE économiquement actifs dépassant 33 % alors que les autres régions se situent entre 27 % et 30 %.Fin juin 2021, le nombre d’auto-entrepreneurs (AE) inscrits ayant ou non déclaré un chiffre d’affaires est de 2,230 millions, en hausse de 17,2 % par rapport à l’année précédente. Cette progression est portée par le dynamisme des immatriculations, dont le nombre s’établit à 719.000 sur 12 mois fin juin 2021. Après être tombée à + 3,5 % fin 2020 (après + 7,5 % aux deux trimestres précédents), l’évolution annuelle des immatriculations est passée à + 14,7 % au premier trimestre 2021 avant d’atteindre + 30,1 % au deuxième trimestre 2021. Le nombre de radiations progresse aussi mais moins fortement que les immatriculations : au 30 juin 2021, on dénombre 326.000 radiations sur 12 mois , soit + 16,6 % sur un an. En 2020, la crise sanitaire et les mesures de restrictions ont pesé sur le chiffre d’affaires des auto-entrepreneurs. Ainsi, la part d’AE économiquement actifs s’établissait à 47,7 % au deuxième trimestre 2020, au plus fort de la crise, contre 59,1 % un an plus tôt. Au deuxième trimestre 2021, elle atteint 51,3 %.Ce niveau encore relativement faible s’explique, au moins en partie, par le dynamisme des immatriculations, les nouvelles activités pouvant mettre plusieurs mois avant de donner lieu à la déclaration d’un chiffre d’affaires. Néanmoins, compte tenu de la forte croissance du nombre d’auto1 Une immatriculation peut correspondre à une ré immatriculation rattachée à un SIREN existant. Il s’agit donc d’une notion différente de celle de la création d’entreprise retenue par l’Insee. 2 En tenant comptes des radiations automatiques de 2021 à effet au 31 décembre 2020 des AE n’ayant déclaré aucun chiffre d’affaires durant deux années consécutives, ainsi que des radiations automatiques qui n’avaient exceptionnellement pas eu lieu en 2020 en raison de la crise entrepreneurs, le nombre d’AE économiquement actifs augmente de 30,6 % sur un an et de 23,8 % sure deux ans. De même, le chiffre d’affaires trimestriel global progresse de 58,4 % par rapport au point bas du deuxième trimestre 2020, et de 31,3 % par rapport au deuxième trimestre 2019. Il s’établit à 5,2 milliards d’euros au deuxième trimestre 2021, dépassant ainsi pour la première fois les 5 milliards d’euros.Ce dynamisme est par ailleurs soutenu par la hausse du chiffre d’affaires moyen : au deuxième trimestre 2021, il atteint 4 567 euros, dépassant de 21,3 % le niveau bas (3 301 euros) enregistré un an plus tôt et de 6,1 % le niveau du deuxième trimestre 2019.Un dynamisme retrouvé dans tous les secteurs…Tous les secteurs affichent une hausse sur un an du nombre d’AE économiquement actifs, souvent très forte compte tenu du point bas du deuxième trimestre 2020. En particulier, les activités de poste et de courrier (+ 81,7 %), la restauration et débits de boissons (+ 46,4 %), le transport routier de frêt et déménagement (+ 36,5 %) et le commerce de détail non spécialisé (+ 33,8 %) continuent de bénéficier des changements de modes de consommation (vente à distance, livraison à domicile), accélérés par la crise. Ces quatre secteurs représentent un quart des nouvelles immatriculations sur 12 mois. Le secteur du conseil pour les affaires (+ 39,2 %) et les activités immobilières (+ 39,3 %) sont aussi très dynamiques. Ces dernières affichent en outre l’une des plus fortes hausses sur deux ans (+ 47,1 %), avec les activités de nettoyage (+49,1 %) et les activités de poste et courrier (+ 137,3 %). Le secteur des arts et spectacles et autres activités récréatives, et celui des activités sportives, qui ont singulièrement pâti de la crise sanitaire, rebondissent (respectivement + 40,1 % et +28,8 %) mais ne reviennent pas à leur niveau du deuxième trimestre 2019 (respectivement - 7,6 % et - 2,7 % sur deux ans).L’évolution du chiffre d’affaires (CA) moyen est positive sur un an dans tous les secteurs, à l’exception des activités de poste et de courrier (- 11,2 %) et du commerce de détail non spécialisé (- 11,9 %). Dans ces secteurs, le poids des AE nouvellement immatriculés, en général peu générateurs de revenus, pèse fortement sur le CA moyen. Sur deux ans, les plus fortes progressions du CA moyen concernent les secteurs de l’informatique, l’information et la communication (+ 21,6 %) et de la santé (+ 21,1 %). A contrario, le CA moyen est en nette baisse sur deux ans dans les secteurs des taxis-VTC (- 32,6 %), de l’hébergement (- 26,0 %) et de la restauration et débit de boissons (- 22,8 %). Au deuxième trimestre 2021, les activités immobilières dégagent le CA trimestriel moyen le plus élevé (8.617 euros, soit 17,0 % sur deux ans). A l’inverse, le secteur des activités de poste et de courrier se caractérise par un CA moyen très bas, à 1.576 euros. …et toutes les régions La hausse sur un an des AE économiquement actifs concerne toutes les régions. Elle est la plus marquée en Île-de-France (+ 33,8 %), en lien notamment avec la croissance des effectifs des activités de poste et de courrier. Elle est en revanche la moins forte en Bretagne (28,8 %) et en Occitanie (27,8 %). La progression sur un an du chiffre d’affaires global est quant à elle plus soutenue en Pays de la Loire (+ 64,4 %) et en Nouvelle Aquitaine (+ 61,4 %).