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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Informatique

(8207 résultats)
Il y a 4 ans et 57 jours

Oduc+ du Cérib passe en version 4.0

Logiciel de dimensionnement 4.0 du Cérib. [©Cérib] Le 16 avril dernier, le Cérib a lancé la version 4.0 d’Oduc+, son logiciel de dimensionnement des ouvrages de stockage des eaux pluviales en béton. Cet outil est accompagné des principales évolutions introduites par le memento technique “Conception et dimensionnement des systèmes de gestion des eaux pluviales et de collecte des eaux usées”. Un document édité par l’Association scientifique et technique pour l’eau et l’environnement (Astee).  Une version 4.0 d’Oduc+ Elaboré avec la Fédération de l’industrie du béton (Fib), le logiciel Oduc+ du Cérib accompagne tous les professionnels de l’assainissement. Dans la conception et le dimensionnement hydraulique mécanique des réseaux d’assainissement. Il permet aussi l’évaluation de leur impact environnemental et de leurs coûts de mise en œuvre. Cette nouvelle version 4.0 évalue du volume de stockage d’un bassin d’infiltration ou de rétention pour une restitution à débit contrôlé. Ceci, pour les différents niveaux de service et en utilisant les données de pluies réelles ou à défaut forfaitaires. En se servant des aides proposées par le logiciel. Cette application ergonomique et interactive pré-dimensionne des ouvrages de stockage des eaux pluviales. Et de choisir les revêtements perméables destinés à la collecte en amont des eaux pluviales. Pour en savoir plus
Il y a 4 ans et 60 jours

Avec le dispositif "ponts connectés", l'Etat veut moderniser ses infrastructures

INFRASTRUCTURES. Le ministre chargé des Transports vient d'annoncer les lauréats du programme "ponts connectés", pour assurer la maintenance des ponts dans l'hexagone. Des outils technologiques seront déployés, notamment des capteurs pour notifier des changements de comportement structural.
Il y a 4 ans et 60 jours

Avec VIPros un véhicule « Série Illimitée » à gagner !

À partir du 1er juin et jusqu’au 31 octobre 2021, VIPros organise un jeu 100% gagnant à destination des artisans professionnels, avec une dotation exceptionnelle : un véhicule utilitaire hybride Ford. Une opération sans précédent, rendue possible par la mutualisation du programme et valorisée par un dispositif déployé au sein des réseaux de distribution. VIPros, le programme de fidélité multi-marques, multi-enseignes et multi-canal destiné aux professionnels du bâtiment, fait encore parler de lui, avec une nouvelle opération promotionnelle exclusive, aux dotations généreuses. Avec le grand jeu « Série Illimitée », les artisans ont la possibilité de gagner un véhicule utilitaire hybride Ford Transit Custom, d’une valeur de 36 750 euros, ainsi que plusieurs lots offerts par les différentes marques partenaires du programme et de nombreux points de fidélités à valoir sur la plateforme VIPros.fr. Pour participer, rien de plus simple ! Il suffit : – De s’inscrire gratuitement au programme sur VIPros.fr ou être déjà inscrit, – De se connecter au portail de l’opération : jeu.vipros.fr à partir du 1er juin 2021, – De saisir son numéro VIPros (obtenu au moment de l’inscription) dans la plaque d’immatriculation du véhicule mis en jeu. Un tirage au sort final permettra de déterminer le lot gagné par chaque participant. Avec ce jeu 100 % gagnant, tous les inscrits sont sûrs de remporter quelque chose !   UNE MULTIPLICATION DES CHANCES POUR LES ARTISANS LES PLUS ACTIFS Du 1er juin au 31 octobre, tout VIPoint obtenu permettra de multiplier les chances de gain lors du tirage au sort de l’opération « Série Illimitée » : ainsi, plus un artisan est actif sur la période, plus il aura de chances de gagner le véhicule ou l’un des lots mis à disposition par les marques VIPros !   UNE OPÉRATION CLÉ EN MAIN ET MUTUALISÉE POUR LES MARQUE VIPROS ET LES DISTRIBUTEURS Une initiative comme « Série Illimitée » est rendue possible par la mutualisation des coûts dont bénéficient les marques au sein du programme VIPros. Elles peuvent ainsi proposer des dotations exceptionnelles et, pour la première fois, animer les points de vente avec une opération promotionnelle transversale et « clé en main », de quoi générer du trafic et des ventes additionnelles, avant même de récompenser la fidélité des artisans ! Un plan de communication est aussi déployé en ligne et en point de vente : affiches, flyers, totems, bannières web et autres supports seront déclinés pour chaque marque VIPros et mis à disposition, à la carte, tout au long de la période du jeu. Cette opération impactante viendra une nouvelle fois dynamiser le marché du bâtiment, dans l’intérêt de tous les acteurs du secteur !   OUTILS DE COMMUNICATION Bannière Web Stop Rayon Totem
Il y a 4 ans et 60 jours

Un architecte naval Breton au pôle Nord pour raconter "la banquise qui disparaît"

Le départ de "Rennes-pôle Nord" est prévu samedi à 10H00 depuis la place de la mairie à Rennes. Dans un premier temps, a-t-il expliqué jeudi, Vincent Grison rejoindra Saint-Malo en remorquant son bateau à vélo. Son canot, le "Breizh glace", sera ensuite transporté vers l'Islande, située à 300 km des côtes du Groenland, à bord d'un voilier de 16 mètres.Il souhaitait à l'origine rallier le Spitzberg (Norvège) mais en raison des restrictions internationales liées à l'épidémie de Covid-19, il a dû revoir son plan de route: il rejoindra le Groenland par l'est à la rame, aidé par le vent et des cerfs-volants fonctionnant à la manière du kite-surf.Ce grand trentenaire aux cheveux châtain a lui-même conçu et construit ce canot monoplace de couleur jaune fluorescent. Mesurant 5,50 m de long sur 1 m de large et 1 m de haut, le bateau qui est fait de matériaux composites pèse 100 kg, produit de l'électricité avec des panneaux solaires et peut embarquer 40 kg de nourriture déshydratée et aussi des recharges de gaz.Vincent Grison qui pratique déjà les courses en solitaire, pilotera son canot depuis sa cabine qui servira aussi de "lieu de vie" et de repos, assis sur un siège en toile tendu comme un hamac, comme a pu le constater un journaliste de l'AFP.Il espère être sur la banquise entre les 10 et 24 juin et prévoit de rentrer à Rennes entre la fin juillet et début août.Son projet initié "en mai 2020 après le premier confinement" fédère une trentaine de partenaires, parmi lesquels l'université de Rennes 2 qui apporte l'appui d'un "programme de détection des glaces par satellite". Ce qui doit permettre au bateau de se frayer un chemin entre les blocs de glace.Soutenu par Rennes Métropole, le projet revêt également une dimension éducative: 3.000 écoliers et collégiens rennais suivent depuis plusieurs mois la préparation de l'expédition."L'idée est de parler du pôle Nord et de sa banquise qui disparaît. C'est une zone qui se réchauffe trois à quatre fois plus vite que le reste de la planète, dans quelques années elle aura complètement disparu les étés", a expliqué jeudi avant son départ Vincent Grison.Le public pourra suivre sur Facebook (www.facebook/RennesPoleNord) le périple du trentenaire qui a prévu de donner des interviews, et de poster des photos, vidéos, qui alimenteront un podcast et un blog.Quand on lui demande s'il se voit comme le "Thomas Pesquet de Bretagne", Vincent Grison répond: "Ah, si seulement je pouvais aller dans l'espace...".
Il y a 4 ans et 60 jours

50 millions d’euros de France Relance pour accélérer la mise en œuvre du Plan Séisme Antilles (PSA) en Guadeloupe et en Martinique

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, Bruno Le Maire, ministre de l’économie, des finances et de la relance, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, Sébastien Lecornu, ministre des Outre-mer, et Olivier Véran, ministre de la santé et des solidarités, annoncent les opérations qui sont retenues pour pouvoir d’un bénéficier de financement de France Relance et qui ont vocation à s’inscrire dans le troisième plan « Séisme Antilles » en cours de finalisation. Au total, pas moins de 31 bâtiments bénéficieront de France Relance dans le cadre d’un plan séisme Antilles.En Guadeloupe, le centre hospitalier de Basse-Terre sera mis aux normes parasismiques pour un financement de 13,7 millions d’euros, tandis que la Préfecture et la sous-préfecture pourront bénéficier de travaux de confortement d’envergure souhaités depuis de nombreuses années.En Martinique, les centres hospitaliers de Saint Esprit, du François et de Rivière-Salée seront étendus et reconstruits partiellement pour un financement de 16,3 millions d’euros. 24 bâtiments public utiles en matière de gestion de crise, comme les gendarmeries du Lamentin et de la Trinité, feront aussi l’objet de travaux afin d’en améliorer la résilience.Barbara Pompili : « L’approche se veut pragmatique. Le plan de relance permettra de financer des travaux pour lutter contre les cyclones en plus des séismes sans attendre l’inscription des normes paracycloniques dans la réglementation. Il s’agit d’une belle avancée pour les Antilles. »Bruno Le Maire : « France Relance est un plan d’investissement pour tous les Français et tous les territoires. Cette mesure de France Relance renforce la résilience parasismique aux Antilles, tout en contribuant au rebond du secteur du BTP. »Gérald Darmanin : « Le ministère de l’intérieur, au cœur de la gestion de crise, pourra grâce au plan de relance remettre à niveau des bâtiments indispensables en cas de crise, au bénéfice de la police, de la gendarmerie et des services préfectoraux. Il est en effet important que les services de secours à la population soient pleinement fonctionnels en pareilles situations. Hors période de crise, le service à la population en sera également renforcé. »Sébastien Lecornu : « Les opérations financées s'inscrivent dans un programme de travaux plus vaste, d'un montant total de 135 millions d’euros. C’est autant de moyens mis en œuvre pour soutenir le secteur du bâtiment et des travaux publics, et donc toute l’économie locale, sous l’impulsion de France Relance. »Olivier Véran : « La rénovation et la mise aux normes des centres hospitaliers des Antilles est au cœur du plan séisme Antilles. Ces travaux sont un gage de la qualité de la prise en charge des patients mais aussi de sécurité face au risque sismique.»
Il y a 4 ans et 61 jours

Saint-Raphaël : le programme des travaux du réseau d’eaux pluviales se poursuit

Le programme des travaux du réseau d’eaux pluviales va redémarrer après l’été dans la commune de Saint-Raphaël.
Il y a 4 ans et 61 jours

JCDecaux repousse les limites de la scénographie urbaine pour Cartier

Plus d’un siècle après son ouverture en 1899 par Louis Cartier lui-même, l’édifice iconique du 13, Rue de la Paix écrit une nouvelle page de son histoire. Situé au cœur du quartier de la haute joaillerie, l’Hôtel particulier abritant la plus ancienne boutique de la Maison, entre dans un programme de rénovation de grande envergure. Désireuse de faire de la durée du chantier l’occasion de s’adresser autrement tant à ses clients qu’aux nombreux passants de la Rue de la Paix, Cartier a demandé à JCDecaux de concevoir une mise en scène qui marque les esprits et suscite l’émotion. Durant près d’un an ce ne sont pas moins de 100 personnes qui ont imaginé puis réalisé, sur site et en atelier, ce dispositif composé notamment d’une palissade entièrement habillée d’huisseries en bois peintes en noir, d’un espace de déambulation de plus de 25m de haut et de trois vitrines animées et mises en lumière.Aux côtés de l’équipe JCDecaux dédiée aux habillages événementiels, de très nombreux métiers et savoir-faire, architectes, artistes, scénographes, ingénieurs, alpinistes, maquettistes, sculpteurs, ferronniers d’art, peintres ou encore électriciens- ont apporté leur pierre à l’édifice.Profondément attachée à son histoire, Cartier a souhaité que l’ensemble des habillages reprenne fidèlement les détails de la façade de l’immeuble. Sur proposition de JCDecaux, la Maison a opté pour des décors exceptionnels dont un claustra monumental doré reprenant le monogramme Cartier dans l’esprit d’un moucharabieh, ou encore un passage couvert immersif entraînant les passants dans l’univers magique de la marque à la panthère.Cette réalisation est également une prouesse technique. En moins de 10 jours, JCDecaux et les sous- traitants ont conçu et installé :Une toile de plus de 500m2 habillant le passage couvert ;28 fenêtres décoratives sur-mesure comprenant chacune un encadrement couleur pierre, un balcon, un garde-corps « monogramme » en acier doré et un store rouge aux couleurs de la marque ;3 rangées de corniches fidèles à la façade ;Plus de 400m2 de panneaux façon marbre pour reproduire la boutique en trompe-l’œil ;3 vitrines décoratives animées et mises en lumière ;Plus de 50 éléments de décors faits main incluant des haut-de-colonnes, écussons, bas-de colonnes, logos et autres surfaces d’expression ;Une rangée de lanternes d’époque pour sublimer l’immersion historique ;4 caissons rétroéclairés afin d’orienter de nuit les clients de la marque ;La reproduction intégrale de la porte iconique du 13 Rue de la Paix avec ses nombreux détails ;Près de 150m d’huisseries en bois peintes en noir pour sublimer la palissade.A l’issue du chantier, les décors s’inscriront dans un processus de développement durable hautement exigeant, via un reconditionnement ou un recyclage à 100%.Isabelle Schlumberger, Directrice Générale Commerce, Marketing et Développement France, Belgique, Luxembourg et Israël de JCDecaux, a déclaré : « Nous sommes très fiers de ce partenariat avec Cartier et du formidable travail de nos équipes. En repoussant les limites de la scénographie urbaine sur le flagship mythique de la plus grande Maison de haute joaillerie mondiale, JCDecaux démontre son savoir-faire pluridisciplinaire et sa capacité unique d’embellir la ville en accompagnant les marques et magnifiant leur image à l’occasion de leurs projets de rénovation. »
Il y a 4 ans et 61 jours

Forum Diapason Digital 2021 : échanges et retours d'expérience entre industriels de la Menuiserie utilisateurs de Diapason

« La situation sanitaire ne nous a pas permis de nous rassembler physiquement, mais il était important de nous réunir, même à distance. Le Forum Diapason nous permet d'échanger avec nos utilisateurs, d'être à leur écoute et contribue à renforcer notre partenariat. Je remercie nos trois intervenants pour leurs partages d'expérience. Le rendez-vous est pris pour l'année prochaine, en espérant pouvoir nous réunir en présentiel. » - Laurent HARISTOY – Directeur des opérations ISIALancement d'un programme pour construire le Diapason de demain avec ses utilisateursPour introduire cette matinée d'échanges, Benjamin TARRIER, Directeur Produit du Groupe ELCIA et Laurent HARISTOY, Directeur des opérations ISIA, ont débuté par la présentation de la roadmap Diapason à court et long terme. Avec une annonce en avant-première : le lancement d'un programme de co-construction. Son objectif : mettre en place des ateliers (interviews, vis-ma-vie, tests, groupes de discussion…) entre les clients Diapason et les équipes ISIA afin de co-construire le Diapason de demain en collaboration avec ses utilisateurs.Trois retours d'expérience d'utilisateurs DiapasonBruno COUTON – DSI BATISTYL : le Configurateur de vente ELCIA depuis DiapasonBruno COUTON, DSI de la société BATISTYL, cliente Diapason depuis 2011, s'est exprimé sur l'interface du Configurateur de vente ELCIA avec Diapason. Suite au départ de la ressource interne en charge de la mise à jour des catalogues fournisseurs pour les produits de négoces, le choix a été fait d'interfacer le Configurateur de vente ELCIA avec Diapason. L'objectif : minimiser cette activité de mises à jour des catalogues tout en fiabilisant le chiffrage de l'offre Négoce BATISTYL.Grâce à cette interface, les mises à jour des offres négoces dans Diapason sont désormais automatiques, supprimant la ressaisie manuelle et permettant ainsi d'économiser une ressource en interne. De plus, la force de vente BATISTYL accède à des offres fournisseurs fiables, à jour, complètes ou personnalisées, avec des libellés, des images et un chiffrage précis, en toute autonomie.Armande LORENTZ – Responsable Pôle Projet CETIH : la mise en place de l'EDI entre les outils de chiffrage et l'outil de production DiapasonArmande LORENTZ, Responsable Pôle Projet de CETIH, qui utilise Diapason depuis 2006, a ensuite pris la parole au sujet de la mise en place de l'EDI entre les outils de chiffrage et Diapason.L'enjeu : améliorer et optimiser les charges de gestion et de mise à jour des scénarios commerciaux ainsi que la chaîne numérique d'intégration de commandes (lourdeur de gestion des bibliothèques, nécessité de fiabiliser l'entrée de commandes et d'assurer l'harmonisation.)Avec la mise en place de l'EDI, la charge de traitement des commandes a connu une baisse significative grâce à la suppression de la ressaisie manuelle et du risque d'erreurs. La qualité des commandes reçues a augmenté, avec des données de configuration conformes à la commande. C'est un temps précieux qui a été gagné, à consacrer aux demandes clients.David BOZON – Project Manager GROSFILLEX : mise en œuvre du WMS (gestion d'entrepôt) DiapasonPour clôturer ce partage de retours d'expérience, David BOZON, Project Manager chez GROSFILLEX est intervenu sur la mise en œuvre du WMS (gestion d'entrepôt) Diapason.Utilisateur depuis 2011, les enjeux de cette mise en place étaient triples : intégrer la gestion d'entrepôt aux autres fonctions (en particulier la gestion commerciale), simplifier le paysage applicatif et réduire le nombre d'interface tout en accompagnant les changements de métiers (nouveaux flux de transport, changement organisationnel…).Les bénéfices de la mise en œuvre du WMS ont été immédiats : gain de temps dans l'exécution des expéditions, réduction des erreurs de préparation, et augmentation de la fiabilité du stock avec mise en place d'indicateurs de performance.
Il y a 4 ans et 62 jours

Rénovation énergétique : colère de l’artisanat du bâtiment après la publication du rapport Sichel

Si l’objectif poursuivi par ce Rapport est louable, et la CAPEB partage notamment l’ambition de multiplier les travaux de rénovation énergétique, elle considère que privilégier seulement les rénovations globales serait irréaliste. La CAPEB considère qu’il ne faut donc pas opposer les deux manières de faire (rénovation globale / rénovation par étapes) mais au contraire booster ces deux manières de rénover, tout en s’assurant d’un même niveau de qualité et de performances.Jean-Christophe REPON, Président de la CAPEB : « Ce rapport nous a étonnés, il entend trouver des solutions au marché de la rénovation énergétique qui ne décollerait pas assez vite, sans prendre en compte le comportement des ménages et de leurs contraintes, en cherchant simplement à organiser et uniformiser l’offre ! Nous attendons plus d’objectivité de la part des pouvoirs publics. A ce stade, nous espérons que les sénateurs qui, après l’Assemblée nationale, aborderont à leur tour ce sujet, auront en mémoire nos propositions »Changer d’échelleLa CAPEB partage l’objectif de réaliser des travaux de rénovation énergétique en masse, avec un changement d’échelle par rapport à aujourd’hui sans pour autant que cela se fasse au détriment de la qualité des travaux. Or, la réalité économique et les pratiques notamment des clients conduisent l’immense majorité des rénovations actuelles à se faire de façon étalée dans le temps du fait de difficultés techniques liées essentiellement aux interventions en site occupé, du coût important que représente une rénovation globale et de la priorisation des particuliers sur les travaux à effectuer.Pour arriver à changer d’échelle, il faut donc à la fois augmenter le nombre de rénovations énergétiques globales et le nombre de rénovations énergétiques par étape.Accompagnateurs pour les clients, facilitateurs pour les entreprisesLa création des accompagnateurs de la rénovation énergétique est une bonne idée car les dispositifs d’aide sont effectivement très complexes. Si le rapport reconnait la complexité et la difficulté à assimiler tous les dispositifs, alors il doit le reconnaitre aussi pour les entreprises. C’est pourquoi la CAPEB continue de demander, en symétrie, pour les entreprises la mise en place de facilitateurs pour les accompagner au quotidien dans le traitement de leur dossier de qualification RGE ou de demandes de CEE et/ou de MaPrimeRénov.Quels contours de missions pour ces accompagnateurs ?Mais la CAPEB s’interroge sur plusieurs points laissés dans l’ombre du rapport. Comment seront financés les accompagnateurs de la rénovation énergétique ? Ces accompagnateurs de la rénovation énergétique seront-ils en nombre suffisant pour accompagner tous les particuliers ? Quelles seront leurs compétences ? Quel sera leur statut ? La vision de « l’accompagnateur Rénov » qui apparait comme un nouveau métier dans le rapport et dont le recours serait obligatoire pour les ménages qui voudraient s’engager dans une rénovation globale comptant au moins 5 000 euros de travaux n’est pas acceptable.Son champ de compétences ne doit pas, en effet, empiéter sur celui des maîtres d’œuvre et entreprises du bâtiment qui jouent au quotidien un rôle d’information et de conseil auprès de leurs clients.Quelle réelle nouveauté en matière de financement ?Enfin, en ce qui concerne le financement des travaux de rénovation, la CAPEB ne voit pas dans le rapport Sichel de propositions de nature à réellement booster le nombre de travaux de rénovation énergétique réalisés.Plan d’actions : 7 propositions et demandes de la CAPEBC’est pourquoi la CAPEB formule ses propositions et demandes pour qu’un véritable débat constructif s’opère entre l’État et la filière.La CAPEB rappelle que les missions des accompagnateurs de la rénovation énergétique ne doivent pas empiéter sur celles des professionnels qui interviennent déjà et notamment que ce soient les maîtres d’œuvre ou les entreprises. Au contraire, ils doivent s’appuyer dessus.La CAPEB rappelle qu’elle est totalement opposée à ce que ces accompagnateurs de la rénovation énergétique préconisent des travaux ou sélectionnent des entreprises.Compte tenu du flou sur la nature et le contenu des missions des accompagnateurs de la rénovation énergétique, la CAPEB demande impérativement à être associée étroitement à l’élaboration du ou des décrets d’application qui préciseront les modalités de mise en œuvre de ces accompagnateurs de la rénovation énergétique.La CAPEB souhaite que la lutte contre la fraude et les Eco délinquants soit intensifiée. Pour la CAPEB, il faut distinguer la lutte contre la fraude et la question des non-qualités. La CAPEB rappelle que la grande majorité des entreprises RGE font correctement leur travail. C’est pourquoi, cela ne sert à rien de d’augmenter le nombre des contrôles pour toutes les entreprises sans discernement.Pour s’assurer de la qualité des travaux, la CAPEB propose de fixer, pour toutes les entreprises, un même pourcentage de contrôle à réaliser sur les chantiers réalisés. Et non, comme c’est le cas actuellement, un nombre fixe de chantiers contrôlés quel que soit le niveau d’activité de l’entreprise. La CAPEB propose également de faire varier ce pourcentage de contrôle applicable à une entreprise en fonction des résultats constatés sur le terrain lors des contrôle chantier réalisés précédemment pour cette même entreprise : allégement du taux de contrôle si les résultats sont satisfaisants ou renforcement dans le cas contraire. La CAPEB propose enfin de largement diffuser auprès des entreprises RGE l’ensemble des fiches d’auto-contrôle élaborées dans le cadre du programme PROFEEL qui seront disponibles début mai ainsi que les fiches pour aider à une bonne réalisation des réceptions de travaux avec les particuliers.La CAPEB rappelle sa proposition que tout particulier puisse, à l’occasion de la réalisation d’un premier geste, bénéficier gratuitement d’un audit énergétique pour bâtir un plan de travaux de rénovation énergétique de son logement étalés dans le temps pour ce qui reste à faire. Ce point est essentiel pour inciter les particuliers à poursuivre dans le sens d’une rénovation énergétique complète et performante de leur logement.Pour contribuer à l’amélioration de la qualité des travaux réalisés, et notamment en rénovation globale, la CAPEB rappelle sa proposition de revoir les obligations qui pèsent aujourd’hui sur les entreprises qui interviennent dans le cadre d’un GME.Il est, en effet, essentiel que les entreprises de corps d’état différents apprennent à travailler ensemble pour gérer au mieux l’organisation des travaux et les interfaces entre travaux, avec des responsabilités strictement limitées à leur champ d’intervention.Double nécessité : disposer d’une vision à moyen long terme et d’une analyse économique exhaustiveEn conclusion, la CAPEB, au nom de ses 57.000 entreprises adhérentes, réaffirme que les entreprises artisanales sont prêtes à relever de défi de la généralisation des travaux de rénovation énergétique, mais qu’elles ont besoin d’une vision de moyen terme s’appuyant sur des mesures stables et co-construites avec les pouvoirs publics et les acteurs de la filière.Au lieu de stigmatiser systématiquement l’offre, et notamment les entreprises, la CAPEB considère qu’il serait nécessaire d’approfondir, par une étude spécifique, la connaissance des réels comportements et attentes des clients en matière de rénovation énergétique permettant de comprendre les raisons profondes de la faiblesse de la demande et à la suite d’en déduire un plan d’actions opérationnel.
Il y a 4 ans et 63 jours

Huit nouveaux sites annoncés pour la création de 15.000 places de prison

Le "Plan 15.000 places", voulu par Emmanuel Macron en 2018, se décline en deux phases: 7.000 places mises en chantier d'ici 2022, "c'est-à-dire livrées ou avancées à un stade de construction", selon une source gouvernementale, et 8.000 supplémentaires qui doivent être lancées d'ici 2022, pour une livraison finale à l'horizon 2027.Le plan prévoit en tout 18.000 créations de place, mais également la suppression de 3.000.Le centre pénitentiaire de Lutterbach, dans la périphérie de Mulhouse, doit ainsi remplacer les établissements pénitentiaires de Mulhouse et Colmar, jugés trop vétustes. L'inauguration est prévue à la fin de l'année.Pour cette deuxième phase, cinq opérations sont déjà engagées: à Muret (Haute-Garonne, 615 places, livraison 2026), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales, 515 places, livraison 2026), Entraigues-sur-la-Sorgue (Vaucluse, 400 place, livraison 2025), Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis, 715 places, 2026), Saint-Laurent-du-Maroni (Guyane, 505 places, 2026).Huit opération nouvelles doivent être annoncées mardi, pour des livraisons à l'horizon 2027: à Nîmes (Gard, 700 places), Le Muy (Var, 650 places), Pau (Pyrénées-Atlantiques, 250 places), Noiseau (Val-de-Marne, 800 places), Trélazé (Maine-et-Loire, 850 places), Crisenoy (Seine-et-Marne, 1.000 places), Vannes (Morbihan, 550 places) et une dans le Val-d'Oise sur un site encore en cours d'identification (750 places).Trois prisons expérimentales centrées sur le travail et la formation de 180 places chacune doivent encore être construites à Arras, Toul (Meurthe-et-Moselle) et Donchery (Ardennes), pour une livraison en 2025-2026."Les nouveaux établissements favoriseront le développement du travail en détention, en offrant un plus grand nombre de postes de travail dans les ateliers ainsi que des équipements permettant la diversification des activités professionnelles et de formation", a souligné une source ministérielle, alors que l'entourage du Premier ministre a mis en avant "le projet de Lutterbach, conduit de manière exemplaire, avec une architecture qui renouvelle l'immobilier carcéral, très inséré dans les paysages et les territoires".Le programme global de 15.000 places supplémentaires est doté d'un budget d'environ 4,4 milliards d'euros, "le plan le plus important depuis quinze ans", selon le ministère de la Justice./cbnLa France compte aujourd'hui 61.100 places de prison.
Il y a 4 ans et 63 jours

Huit nouveaux sites annoncés pour la création de 15.000 nouvelles places de prison

Le "Plan 15.000 places", voulu par Emmanuel Macron en 2018, se décline en deux phases: 7.000 places mises en chantier d'ici 2022, "c'est-à-dire livrées ou avancées à un stade de construction", selon une source gouvernementale, et 8.000 supplémentaires qui doivent être lancées d'ici 2022, pour une livraison finale à l'horizon 2027.Le plan prévoit en tout 18.000 créations de place, mais également la suppression de 3.000.Le centre pénitentiaire de Lutterbach, dans la périphérie de Mulhouse, doit ainsi remplacer les établissements pénitentiaires de Mulhouse et Colmar, jugés trop vétustes. L'inauguration est prévue à la fin de l'année.Pour cette deuxième phase, cinq opérations sont déjà engagées: à Muret (Haute-Garonne, 615 places, livraison 2026), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales, 515 places, livraison 2026), Entraigues-sur-la-Sorgue (Vaucluse, 400 place, livraison 2025), Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis, 715 places, 2026), Saint-Laurent-du-Maroni (Guyane, 505 places, 2026).Huit opération nouvelles doivent être annoncées mardi, pour des livraisons à l'horizon 2027: à Nîmes (Gard, 700 places), Le Muy (Var, 650 places), Pau (Pyrénées-Atlantiques, 250 places), Noiseau (Val-de-Marne, 800 places), Trélazé (Maine-et-Loire, 850 places), Crisenoy (Seine-et-Marne, 1.000 places), Vannes (Morbihan, 550 places) et une dans le Val-d'Oise sur un site encore en cours d'identification (750 places).Trois prisons expérimentales centrées sur le travail et la formation de 180 places chacune doivent encore être construites à Arras, Toul (Meurthe-et-Moselle) et Donchery (Ardennes), pour une livraison en 2025-2026."Les nouveaux établissements favoriseront le développement du travail en détention, en offrant un plus grand nombre de postes de travail dans les ateliers ainsi que des équipements permettant la diversification des activités professionnelles et de formation", a souligné une source ministérielle, alors que l'entourage du Premier ministre a mis en avant "le projet de Lutterbach, conduit de manière exemplaire, avec une architecture qui renouvelle l'immobilier carcéral, très inséré dans les paysages et les territoires".Le programme global de 15.000 places supplémentaires est doté d'un budget d'environ 4,4 milliards d'euros, "le plan le plus important depuis quinze ans", selon le ministère de la Justice./cbnLa France compte aujourd'hui 61.100 places de prison.
Il y a 4 ans et 63 jours

Découvrez ce scan 3D de Notre-Dame de Paris, d'une précision millimétrique

NUMÉRIQUE. Pour faire gagner du temps aux reconstructeurs de la cathédrale, une convention de mécénat a été passée entre la société Autodesk et l'établissement public chargé des travaux. Un scan de l'édifice, d'une précision "millimétrique", a notamment été mis à disposition.
Il y a 4 ans et 63 jours

« Pour de nouvelles ruralités » : appel à candidatures pour résidences d’architecture et de paysage dans le Grand Est

Regroupant les six Parcs Naturels Régionaux du Grand Est, le programme d’action régional intitulé « Pour de Nouvelles Ruralités » a ouvert un appel à candidatures pour six résidences d’architecture et de paysage. Inscriptions jusqu’au 14 mai 2021. @font-face {font-family:"?? ??"; mso-font-charset:78; […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 64 jours

Strohm Teka, entreprise spécialisée dans les solutions globales pour la salle de bain, fait confiance à BIM&CO

Strohm Teka, marque axée sur des solutions intégrales pour les salles de bains,  fait confiance à BIM&CO pour la modélisation, diffusion et publication de ses objets sur la plateforme publique BIM&CO. L’entreprise souhaitait que ses différentes parties prenantes aient la possibilité de collaborer de manière plus efficace. Accompagner les parties prenantes dès le début du processus Aussi agréables à vivre que propices à la détente, les salles de bain de la marque transforment les routines d’hygiène quotidiennes en moments privilégiés, et ses collections de salles de bain s’adaptent aux différents styles de vie de ses clients. Ayant ainsi pour valeur la bienveillance de ses clients, Strohm Teka cherche également à faciliter le travail d’équipe de ses collaborateurs internes et parties prenantes. Sachant que l’interaction de toutes les parties impliquées dans les différentes phases du projet minimise le risque de conflits entre les différentes phases d’exécution, c’est pour cela que l’entreprise a fait appel à BIM&CO. Juan José Rodríguez, architecte de Strohm Teka et responsable du canal Construction, commente : “En tant que fabricant, nous voulions donc faire partie, et nous le faisons, de cette solution à l’origine du processus, en accompagnant toutes les personnes impliquées et en leur apportant un soutien lorsqu’elles en ont besoin.” Un partenariat au déroulement rythmé BIM&CO a marqué le rythme de ce partenariat avec des réunions hebdomadaires,  permettant à Strohm Teka de comprendre ce que signifie un objet BIM et l’enjeu de structurer leur équipe en interne pour avancer plus vite et construire leur patrimoine de données. Les deux entreprises ont défini au préalable la liste des produits prioritaires à modéliser en fonction de la demande des clients et de la stratégie commerciale de Strohm Teka. En ce sens, cette première phase de projet se constitue de 76 objets qui correspondent à 153 références différentes. Prochainement, Strohm Teka a l’intention d’agrandir cette bibliothèque et ainsi de continuer son pari digital. C’est par le biais du groupe privé sur la plateforme publique que BIM&CO a pu échanger de manière collaborative avec Strohm Teka, qui a pu suivre l’évolution et la définition de sa bibliothèque. Grâce au viewer en ligne, Strohm Teka avait accès à la géométrie de l’objet sans passer par un logiciel natif, et pouvait également consulter en ligne l’ensemble des paramètres et valeurs associées à chaque objet. Tri d’objets et mise en relation des parties prenantes : les défis rencontrés Le principal obstacle rencontré en ajoutant ses objets sur bimandco.com a été pour Strohm Teka de comprendre quelles sont les informations essentielles et nécessaires, utiles pour toute phase de projets ou pendant l’exécution des travaux. Le fait de devoir rassembler toutes ces informations et de « dire » ce que sont leurs produits s’est alors donc être un défi. D’autre part, il n’était pas évident au premier abord de comprendre comment mettre en relation les différents départements et leurs besoins dans le cadre de cette méthodologie. Au-delà d’identifier et de définir les paramètres nécessaires pour la bibliothèque de Strohm Teka, une des problématiques et difficultés du projet a été de compiler l’ensemble de l’information 3d et 2d pour lancer les objets en modélisation. C’est là ou Strohm Teka a pris l’initiative de lancer en parallèle son projet PIM (Product Information Management), pour faire l’inventaire de l’ensemble de la data et nourrir les objets BIM. D’ailleurs aujourd’hui, il est difficile de dire quel projet a été moteur de l’autre : en effet, les objets BIM ont permis aussi de dicter les informations utiles à recenser dans le PIM. Une expérience positive pour les deux entreprises Au cours de ce projet, Strohm Teka a appris que le processus de numérisation est essentiel pour appartenir à un groupe de travail spécialisé et hautement professionnel. Pour l’entreprise, cette méthodologie est désormais devenue une nécessité, et leur équipe a appris à l’adopter rapidement et efficacement. Pour Strohm Teka et BIM&CO, la simplification des projets grâce à la plateforme fait de ce partenariat un succès : “Comme tout projet, il y a des phases plus complexes dans lesquelles le soutien de spécialistes comme chez BIM&CO est nécessaire, qui permettent d’avancer et de tout terminer à temps. L’expérience a été positive et nous allons continuer à aller de l’avant.”, dit Juan José Rodríguez. Quant au choix de BIM&CO, Juan José ajoute : “Plus qu’une solution, nous avons opté pour une équipe qui nous a dit que ce projet était aussi important pour elle que pour nous, qui s’est impliquée et a veillé à ce que nos besoins soient couverts…”. Un dernier conseil pour les autres fabricants Lorsque Juan José souhaite conseiller les autres fabricants qui ont pris la décision de faire le saut numérique, il est préférable de ne pas attendre : “Tout saut ou changement dans un processus de production implique un effort et un dévouement total, mais il est surtout important d’établir un planning raisonnable et réaliste et une communication constante, une feuille de route qui nécessitera cette numérisation, mais le conseil est que le plus tôt sera le mieux.” Si vous êtes fabricants et voulez vivre la même expérience que Strohm Teka, cliquez ici pour en savoir plus sur la digitalisation de votre catalogue produits avec des outils et services intégrés.
Il y a 4 ans et 64 jours

Retour aux phénomènes naturels - Exposition au pavillon de l'Arsenal

Regroupant les six Parcs Naturels Régionaux du Grand Est, le programme d’action régional intitulé « Pour de Nouvelles Ruralités » a ouvert un appel à candidatures pour six résidences d’architecture et de paysage. Inscriptions jusqu’au 14 mai 2021. @font-face {font-family:"?? ??"; mso-font-charset:78; […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 67 jours

Pour de nouvelles ruralités – Six résidences d’architecture et de paysage

Pour de Nouvelles Ruralités, axé sur l’Architecture et les Paysages du quotidien, est un programme d’action regroupant les six Parcs Naturels Régionaux du Grand Est et ayant pour ambition de dynamiser les milieux ruraux en encourageant l’émergence d’opérations pilotes. Appel à candidatures. Jusqu’au 14 mai 2021. Pour de nouvelles ruralités Ces opérations accompagnent les enjeux […] L’article Pour de nouvelles ruralités – Six résidences d’architecture et de paysage est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 68 jours

DOM met en place une nouvelle organisation commerciale en France

Appartenant au groupe industriel français DOM-Security, DOM réunit trois entités commerciales en France : DOM-Metalux, acteur de référence dans l’univers de la quincaillerie de bâtiment ainsi que DOM-Ronis et DOM-TSS, respectivement fabricant et distributeur de verrouillage pour l’industrie. Ensemble, elles proposent une gamme complète de solutions de verrouillage et de contrôle d’accès électronique. Aujourd’hui, afin de simplifier la lisibilité de son offre, DOM mutualise les forces de vente de ses différentes sociétés commercialisant la marque DOM en France et adopte une nouvelle organisation commerciale.   Le client au cœur de la nouvelle stratégie de l’entreprise Pour répondre aux différentes problématiques rencontrées par leurs clients, les 3 entités de DOM en France, dirigées par Patrick Bouisset, s’appuient sur un réseau commercial désormais organisé en deux pôles : un pôle Distribution & Industrie et un pôle Projets Contrôle d’Accès Electronique. Le pôle Distribution & Industrie dirigé par Bruno Bocquet, s’adresse aux clients historiques de DOM-Metalux, DOM-Ronis et DOM-TSS, à savoir : • le marché de la construction servi par la distribution professionnelle, • les industriels intégrateurs de solutions de verrouillage. Il est composé d’une équipe de 8 commerciaux. L’équipe Distribution, pilotée par Fréderic Rabeuf, a pour mission d’accompagner les distributeurs dans le référencement des produits de stock et la formation de leurs équipes commerciales, ainsi que de les conseiller dans le choix des systèmes et solutions de verrouillages mécaniques et électroniques les mieux adaptés aux chantiers de leurs clients. L’équipe Industrie collabore avec les bureaux d’études des industriels pour développer des solutions de verrouillage sur-mesure à intégrer dans leur chaîne de production. Le Pôle Projets Contrôle d’Accès Electronique dirigé par Isabelle Sipel, suit les projets de contrôle d’accès électronique sur les marchés de l’éducation, de l’administration, de la santé, du divertissement et du tertiaire. Elle s’adresse plus particulièrement aux installateurs, intégrateurs et fabricants de contrôle d’accès. Grâce à cette nouvelle dynamique commerciale axée sur les spécificités de chacun de ses clients, DOM entend bien continuer à nouer des partenariats solides avec tous les acteurs du secteur et concrétiser de plus en plus de projets de verrouillage et de contrôle d’accès mécaniques et électroniques.   La prescription, un axe de développement prioritaire DOM a marié son expertise du verrouillage mécanique avec la culture contrôle d’accès électronique d’Unitecnic, qui a rejoint l’entreprise en 2019, pour structurer son pôle Projets Contrôle d’Accès Electronique autour de trois piliers fondamentaux : • L’accompagnement avant-ventes et ventes Une équipe expérimentée de 3 chargés d’affaires et une assistante commerciale travaillent à identifier les projets en appels d’offres grâce à des outils de veille de marché, ainsi qu’à qualifier les projets potentiels parmi les leads entrants. Ensuite, les solutions DOM les plus adaptées aux besoins de sécurisation des accès sont proposées au client. • L’installation et l’aide à la mise en service 3 collaborateurs pilotés par un coordinateur technique accompagnent ensuite le client pour l’installation et la mise en service. Ils sont également un support interne dans le montage de dossier de projets complexes pour les équipes Distribution & Industrie. • Le support technique après-vente Une hotline dédiée et une assistance technique de développement logiciel pour le système de contrôle d’accès 900 IP (solution 100% radio sans câblage) complètent l’offre DOM à destination de ses clients. Cet accompagnement personnalisé, depuis l’appel d’offres jusqu’à la mise en service, voire la maintenance sur site, contribue à désacraliser les systèmes de contrôle d’accès électronique et ainsi à rassurer le client final.   Avec cette nouvelle organisation commerciale, DOM qui emploie 230 personnes en France, assoit sa position d’acteur majeur de la sécurité dans un secteur au cœur de l’innovation mêlant créativité et rigueur. http://www.dom-europe.com
Il y a 4 ans et 68 jours

Tomra Sorting Recycling et Stadler UK ont été retenus pour le recyclage des déchets de chantiers

Ayant déjà travaillé sur plusieurs projets dans le monde, STADLER et TOMRA ont planché ensemble dès le début pour s'assurer que les installations et les équipements répondraient aux exigences spécifiques de VIRIDOR.Avec sa nouvelle usine, VIRIDOR a pu passer sa capacité de 65.000 tonnes/an à 75.000 tonnes/an (soit 17 tonnes/heure). L'usine fonctionne à pleine capacité. La qualité de la production a été considérablement améliorée grâce aux nouveaux équipements TOMRA.Les matériaux traités arrivent en mélange, ils sont fournis par le Comté de Suffolk. Ils passent d'abord par un process de séparation mécanique, comprenant un tambour de dosage, un séparateur balistique STADLER PPK, un tambour de criblage, des séparateurs balistiques STADLER STT 2000, des aimants overband et des séparateurs à courants de Foucault. Après cette étape de séparation mécanique, vient l'étape de séparation par air, puis le tri avec les capteurs optiques, les machines TOMRA AUTOSORT® tout nouvellement installées.Auparavant, trois trieurs optiques TOMRA étaient déjà en place. Ils ont été remplacés par 11 nouvelles unités TOMRA AUTOSORT®. Sauf une, relativement récente (4 ans), qui a juste nécessité une mise à jour logicielle.Les lignes de production ont été programmées pour séparer les fibres en mélange (matières de type carton, papier en mélange, journaux et brochures) et trier les plastiques par type de polymère (PET, HDPE, plastiques durs, films, pots, bacs et plateau...).Le système AUTOSORT® inclut les toutes dernières technologies de TOMRA pour offrir une précision avancée des tâches de tri complexes à cadence élevée. AUTOSORT® apporte une précision constante pour toutes les fractions de matériaux ciblés, même au sein de flux complexes, là où les technologies conventionnelles sont généralement mises en échec.Le résultat du tri est soumis à un contrôle qualité final avant d'être mis en balles prêtes à être transportées vers les clients finaux basés au Royaume-Uni. Les rebuts sont envoyés à l'incinération, ou en décharge.Grâce à la mise en place de ce nouvel équipement, VIRIDOR bénéficie d'avantages opérationnels tangibles :Augmentation du débit (10.000 tonnes supplémentaires par an)Pureté des fractions obtenues. A titre d'exemple, on obtient un taux quasi parfait, à 98,5%, sur les journaux et les brochures, et à 95% sur les polymères, tels que le PET, le PEHD et les plastiques mixtesGains de rentabilité, résultant du fonctionnement à pleine capacité de l'usineRéduction du risque d'arrêt des installationsFlexibilité de la production, permettant de s'adapter aux évolutions du marché, et des flux de matériaux entrantsBaisse des coûts, grâce au tri du PET et du PEHD effectué sur place, au lieu d'être envoyé dans une autre usine du groupe comme auparavant.Steven Walsh, Ingénieur Commercial chez TOMRA Sorting Recycling, commente : " Nous avons très bien travaillé avec STADLER sur ce projet, ayant déjà collaboré ensemble tant au niveau national et international. Avant la rénovation, ce site de VIRIDOR ne pouvait trier automatiquement que des plastiques et il dépendait du tri manuel pour le carton et le papier. Aujourd'hui, nous avons l'une des usines les plus automatisées du Royaume-Uni. En intégrant les équipements de TOMRA et son expertise technique, VIRIDOR peut produire des matériaux de qualité supérieure prêts à être réintégrés dans l'économie circulaire".Benjamin Eule, Directeur de STADLER UK Limited, ajoute : " Nous avons géré le projet d'ensemble, de la mise à l'arrêt de l'usine à la fourniture d'une solution clé en main plus moderne. Ce fut l'un des délais les plus courts de notre histoire ! Il n'aura fallu que trois mois entre la discussion initiale et la signature des contrats, puis 5 mois encore pour démarrer le projet sur site. En deux semaines de mise à l'arrêt, nous avons tout refait à neuf, à l'exception d'une des trieuses optiques de TOMRA sur laquelle a simplement été téléchargé la dernière version du logiciel. Le projet – y compris la démolition des anciens équipements – a pris 80 jours au total. Nous avons installé une nouvelle charpente métallique, des convoyeurs et tous les composants électriques nécessaires au processus. Nous avons également géré les processus de mise en service. "Derek Edwards, directeur de VIRIDOR RECYCLING, a déclaré : " C'est de loin l'investissement le plus important réalisé sur un site de traitement des déchets de chantiers, en Angleterre, ces dernières années. VIRIDOR se concentre sur le développement d'opportunités pour réintroduire des matériaux issus du recyclage dans le circuit productif. Nous considérons les déchets comme une ressource et, grâce à l'engagement de Suffolk en faveur du recyclage, nous sommes bien placés pour tirer le meilleur parti du recyclage des déchets du Comté du Sufolk, et pour vendre ces matériaux aux clients finaux basés au Royaume-Uni. Le plan d'investissement visait à augmenter la capacité de l'usine, mais aussi à adapter la qualité aux exigences du marché. L'usine dispose des mêmes matières premières qu'auparavant, mais peut désormais traiter 10 000 tonnes de plus par an. Nous sommes ravis de ses performances. "
Il y a 4 ans et 68 jours

Vitrage dynamique pour le Pavillon France

La prochaine Exposition universelle se tiendra  du 1er octobre 2021 au 30 mars 2022 à Dubaï,  autour du thème « Connecter les esprits, Construire le futur ». Il sera décliné en trois sous-thèmes : Durabilité, Opportunité et Mobilité. Parmi les innovations qui seront mises en œuvre sur le Pavillon France, la Compagnie Française des Expositions (Cofrex), maître d’ouvrage du programme, et les agences d’architectures Atelier du Prado et Celnikier & Grabli Architectes, ont sélectionné le vitrage dynamique SageGlass.  Il habillera les façades du Belvédère qui accueillera, sur une surface de 1 000 m², tous les événements professionnels. Intelligente, la solution SageGlass se teinte et s’éclaircit, automatiquement ou à la demande, pour contrôler le rayonnement solaire grâce à des capteurs placés à différents endroits de la façade. Un atout qui a motivé le choix des architectes. Gage de confort intérieur, le vitrage SageGlass empêche l’éblouissement et les excès de chaleur. Des sujets majeurs dans le climat chaud et désertique de Dubaï, où la température extérieure peut atteindre 50°C.  Visuel : © COFREX / Pavillon France  
Il y a 4 ans et 69 jours

Sika teste en France sa première génération de mortiers “durables”

Sika France lance cinq nouveaux mortiers de réparation plus “durable”. [©Sika] « Plus de valeur, moins d’impact » constitue le leitmotiv de la stratégie de Sika. Le but ? S’ancrer dans une démarche environnementale, tout en garantissant des solutions techniques. « Nous nous sommes fixé six cibles stratégiques à atteindre d’ici 2023 », explique Virginie Guittard, responsable développement durable chez Sika France. Parmi ces objectifs, l’industriel s’attaque à la performance climatique et énergétique. Ainsi, Sika souhaite réduire sa consommation d’énergie par l’utilisation de nouvelles technologies et la pratique opérationnelle. Le groupe compte diminuer aussi de 12 % ses émissions de CO2/t vendues d’ici 2023. D’autre part, le traitement des déchets et de l’eau constitue un axe majeur. Avec comme ambition la réduction de 15 % de quantité d’eau par tonne vendue et l’augmentation de 25 % de part de déchets recyclés. L’engagement sociétal et la sécurité au travail font partie du programme de cette stratégie environnementale. Enfin, outre ces mesures impactant son process de fabrication et ses pratiques, l’industriel suisse développe des solutions plus en adéquation avec cette philosophie.  Une méthode dotée de critères techniques et environnementaux Afin d’évaluer cette dernière démarche, Sika s’est basé sur la méthode PSA1 du World business council for sustainable development (WBCSD). Une organisation mondiale regroupant près de 200 entreprises engagées dans la transition écologique. La méthode comprend six catégories pour la partie technique et une douzaine pour les bénéfices environnementaux [voir tableau]. Chaque critère comprend une note pour classer le produit. Des preuves, tests, essais, analyse du cycle de vie et Fdes sont nécessaires afin d’appuyer la notation.  « Nous ne voulons pas dissocier la performance et le développement durable, détaille Nicolas Chaignon, chef de marché gros œuvre. La France est la filiale pilote pour la mise sur le marché de cinq produits allant dans ce sens. » Sika France a lancé une nouvelle gamme de mortiers “développement durable” dans le domaine de la réparation des bétons. Ces solutions viendront remplacer les équivalents moins écologiques déjà présents sur le marché et dans la gamme Sika. Elles répondent toutes aux exigences de la certification environnementale Leed v4.  Une nouvelle gamme de mortiers Sika MonoTop-1010 est une protection anti-corrosion des armatures. Il a pour équivalent le Sika MonoTop 910 N. Le nouveau mortier bénéficie d’une empreinte carbone réduite de 25 %. Le mortier de réparation structurale et de surfaçage Sika MonoTop-3020 enregistre une empreinte carbone de – 15 % et – 44 % d’émissions de poussières. Il s’ancre dans la norme NF EN 1504-3 (R3) et son équivalent est le Sika MonoTop 723 N.Sika MonoTop-4012 F est l’équivalent du Sika MonoTop 412 N. Il se caractérise par une empreinte carbone de – 21 % et répond à la norme NF EN 1504-3 (R4). Le mortier de scellement et de calage SikaGrout-234, ex-Sika Grout 217, voit son empreinte carbone diminuée de 38 %.SikaWall-180 Viscorep, ancien Sika Viscorep, est un mortier de ragréage ultra fin pour murs, plafonds, utilisable en intérieur comme en extérieur. Il est caractérisé par de faibles émissions de COV (A+/Excell +) et une réduction des poussières de – 67 %. Si la nouvelle formulation de ces produits n’a pas été dévoilée, l’équipe de Sika France évoque les pistes d’amélioration. « Nous avons travaillé au cas par cas, conclut Nicolas Chaignon, chef de marché gros œuvre. Nous avons joué sur la part des matériaux recyclés, les additifs que nous avons modifiés, réduits ou substitués par d’autres. »  1Portfolio Sustainability Assessment = Evaluation développement durable du portefeuille produits.
Il y a 4 ans et 69 jours

La restauration du décor exceptionnel de la Villa Laurens

Élevée sur le domaine de Belle-Ile à Agde, bordée par le fleuve Hérault et le canal du Midi, la villa est un véritable palais des mille et une nuits imaginé dans les années 1900 par son propriétaire Emmanuel Laurens. Le monument est fascinant par l’amplitude de son décor qui embrasse tout, reflet du goût Emmanuel Laurens pour les voyages en Orient et pour l’Art nouveau. Un ambitieux programme de restauration a permis de redécouvrir un décor foisonnant, multicolore et lumineux, d’en parfaire la connaissance et de le restituer. Un collège d’expert associant l’Inspection générale des monuments historiques et la DRAC a permis d’orienter les choix de restauration. La réflexion collégiale a été déterminante pour le choix du traitement à effectuer et la définition du parti pris de restauration. Toute intervention doit rester fidèle à la conception initiale du monument. 
Il y a 4 ans et 70 jours

Wayzz : La numérisation de l’industrie du BPE se densifie

Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine 4- Les capteurs Wayzz permettent notamment de géolocaliser les toupies et d’identifier les ajouts d’eau. [©Wayzz] Wayzz évolue sur le marché des services numériques aux entreprises, à commencer par la supervision des flottes de toupies. Pouvez-vous nous en retracer la genèse ? Sandrine Issartel :Spécialisé dans les métiers du béton, Wayzz a été lancé en 2015. L’entité est rattachée à MWSC, sa maison-mère née en 2013. Nous intervenons sur toutes les problématiques liées à la remontée d’information du terrain, spécifiquement dans le domaine du transport. Avec Wayzz Béton Sync, nous proposons une solution IoT ou Internet des objets, destinée au domaine du béton. C’est là notre force : proposer une solution répondant aux besoins spécifiques de ce métier. La dématérialisation des bons de livraison et la supervision des flottes ont aujourd’hui un marché établi. Comment densifiez-vous votre offre de service ?  AlanEtrillard :Aujourd’hui, nous sommes capables de proposer aux industriels du BPE d’avoir une remontée d’information en temps réel, grâce à ces capteurs placés sur les toupies. Et suivies depuis leur sortie de la centrale, jusqu’à leur retour. Temps de trajet, d’attente, de vidange – et depuis peu, les ajouts d’eau -, tout est recueilli en direct. Ces informations sont ensuite “digérées” et dispatchées dans des modules que nous avons définis. Ce qui permet à chaque acteur du BPE de disposer de données essentielles pour la bonne supervision de ses livraisons. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 70 jours

Telle une pierre sculptée par l’eau et la lumière

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Situé à Toulouse, Côté Garonne est constitué de deux bâtiments en R+5 et R+6. [©Letellier Architectes] A Toulouse (31), le programme Côté Garonne évoque bien la dualité entre le besoin de nature et l’attractivité de la ville. Dessiné par l’agence Letellier Architectes, le projet immobilier Côté Garonne se compose de deux bâtiments (en R+5 et R+6), épousant de part et d’autre une maison traditionnelle en briques. Le tout formant ainsi un seul bloc monolithique. Installé avenue Muret, proche d’une station de tramway, cet ensemble s’élève comme une pierre sculptée. En face de la Garonne, les bâtiments Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 70 jours

CN Tower : L’élégante en béton

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. En août 1974, commence la construction de la sphère de sept étages qui abritera les galeries d’observations et le restaurant tournant. [©ACPresse] La tour CN, fierté des Canadiens ? Sans aucun doute. Elle impressionne d’autant plus les nombreux touristes étrangers, qui la visitent. Chaque année, ils sont près de 1,5 M à contempler le panorama et à profiter des multiples activités offertes. Bien que gigantesque avec ces quelques 550 m de haut, l’origine de la tour a un caractère très pratique. En effet, dans les années 1960-1970, des gratte-ciel sont construits dans le centre-ville de Toronto, la plus grande ville du Canada, en raison de l’augmentation de la population. Gênant ainsi la propagation des ondes radio. Pour remédier à ce problème, une antenne de diffusion plus haute que ces immeubles doit être érigée. C’est ainsi que la tour CN est née, émergeant au-dessus de tous les autres immeubles. Dotée de récepteurs à micro-ondes à une altitude de 338 m et d’une antenne culminant à 553,33 m, la tour CN résout les problèmes de communications. Ainsi, si le Canadien National (CN) ou Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada édifie cette tour, c’est pour démontrer le talent de l’industrie canadienne. Pour mener cet ambitieux projet à son terme, 1 537 personnes y travaillent 24 h/24, 5j/semaine, pendant 40 mois. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } ); Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 70 jours

Interface lance Embodied Beauty™ en France, les premières dalles de moquette à bilan carbone négatif

Cette collection offre toute une gamme de dalles de moquette inspirée par la nature et fabriquée pour la respecter. Les sept modèles de la collection Embodied Beauty™ sont en harmonie avec la mission Climate Take Back™ de l’entreprise (qui vise à lutter contre le réchauffement climatique) et son engagement à réduire l’empreinte carbone de ses produits. Grâce au programme Carbon Neutral Floors™, ils sont neutres en carbone tout au long de leur cycle de vie. Il s’agit en outre de la première collection Interface à proposer des dalles de moquette dont le bilan carbone de la fabrication au départ de l’usine est négatif.Une collection à l’esthétique japonaise pour une connexion à l’environnementConçue par Kari Pei, vice-présidente d’Interface chargée de la conception des produits à l’échelle mondiale, Embodied Beauty™ reflète une esthétique japonaise, mêlant minimalisme et régénération à la beauté organique du monde naturel. Cette collection fait naître un sentiment de connexion avec les autres et avec la nature en harmonie avec les principes de l’ikigai, un concept japonais qui repose sur l’« identification de la raison d’être » de chacun. Ces influences s’associent pour offrir une gamme unique allant des motifs monochromatiques étroits aux textures tuftées qui s’accompagnent de graphismes de grandes dimensions.« Embodied Beauty™ est notre première collection à inclure des produits à bilan carbone négatif et, à ce titre, elle traduit fidèlement l’idée de travail en symbiose avec la nature, un concept très présent dans la culture japonaise. Ce concept a inspiré l’esthétique du design et permis de générer une multitude de textures et de couleurs parmi lesquelles puiser. En regardant ces modèles de près, vous y trouverez des éléments du kintsugi, l’art de réparer des objets cassés afin de créer quelque chose de beau et de nouveau, mais aussi du sashiko, une forme décorative de broderie. Ces dalles de moquette composent un sol raffiné, dispensant une atmosphère calme et une élégance feutrée convenant à pratiquement tous les espaces. » souligne Kari Pei.Inspirée par la nature. Conçue pour la respecterComposée de sept modèles de dalles de moquette et de six coloris, la gammeEmbodied Beauty™ évoque la beauté délicate des textiles anciens, les texturesmaillées irrégulières, les motifs tissés et les contours doux et subtils de la nature.La collection comprend trois modèles dont le bilan carbone est négatif de la fabrication au départ de l’usine : Shishu Stitch™, Tokyo Texture™ et Zen Stitch™. Ces produits associent la nouvelle sous-couche CQuest™BioX de l’entreprise à des fibres spécifiques et des processus exclusifs de tuftage. Ils ont été conçus pour stocker davantage de carbone que n’importe quelle dalle de moquette auparavant. En emmagasinant le carbone, ces modèles innovants l'empêchent de s’échapper dans l’atmosphère où il contribue au réchauffement climatique. Ainsi, ils aident les clients d’Interface à réduire l’empreinte carbone des espaces qu’ils créent.Embodied Beauty™ comprend par ailleurs quatre autres modèles – GeishaGather™, Sashiko Stitch™, Simple Sash™ et Vintage Kimono™ – déclinés dans des gris discrets et apaisants aux tons chauds et clairs, ainsi que dans des couleurs naturelles composant une palette sophistiquée et toute en nuances. Tous ces modèles permettent de réaliser des associations et des contrastes élégants. Ils s’installent facilement et efficacement côte à côte, offrant une solution de revêtement de sol intégrée au charme intemporel.
Il y a 4 ans et 70 jours

Groupe JPS Granulats : Le bas carbone comme leitmotiv

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Olivier Stocker, président du groupe JPS Granulats : « Dans le béton, c’est le clinker qui est émetteur de CO2, pas l’eau, ni les granulats ». [©ACPresse] Président du groupe JPS Granulats, Olivier Stocker est quelqu’un qui aime faire bouger les lignes. Déjà en 2017, il a fait modifier le référentiel de certification NF Liants hydrauliques1(NF 002). Ceci, pour le mettre en phase avec les Modalités d’application du marquage CE Ciments (CE 002). Une initiative qui a ouvert la porte à la fabrication de ciments en usines de mélange en France.  Par voie de conséquence, Ciments 2170, filiale de JPS Granulats, a pu lancer une production de CEM II/B-LL 42,5 N CE NF et 32,5 R CE NF. Le premier intègre 25 % de fillers calcaire micronisés Adca, fabriqués par JPS Granulats, et 75 % de clinker, fourni par Vicat. Quant au 32,5 R, le taux de substitution grimpe à 30 %. « Notre objectif pour 2022 est de passer 100 % de notre production en CEM II/B-LL 32,5 R », explique Olivier Stocker. Et de poursuivre : « Dans le cadre de notre R&D, nous avons même formulé un ciment avec 40 % de fillers calcaire et réalisé des bétons affichant tous les critères de durabilité et de résistance qu’on doit attendre d’eux ».  L’étape suivante dans le développement de l’offre ciments s’appelle CEM II/C 42,5 et CEM VI. Des solutions bas carbone, toujours réalisées par mélange, mais ternaires. Outre le clinker et le filler micronisé, ils intègrent du laitier. Toutefois, pas de haut fourneau. « En local, nous avons identifié un industriel intervenant dans le recyclage de l’acier,reprend Olivier Stocker. Ce dernier est en mesure de nous fournir un laitier dit de recyclage, apte à la production de ciment». Mais là se pose une nouvelle fois un problème de normalisation, qui n’a pas prévu la possibilité d’utiliser du laitier de recyclage. Il faudra donc faire bouger les lignes, puisque la ressource est là… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 70 jours

Parc des Courtillières de Pantin : Vague culturelle

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Les courbes imaginées par Emile Aillaud pour le parc des Courtillières se sont réinterprétées au niveau de la couverture du hall d’accueil du nouvel espace culturel de Pantin. [©ACPresse] C’est à partir de 1954 que sont lancés, à Pantin (93), les travaux du parc des Courtillières, un des tout premiers grands ensembles d’habitation érigés en Ile-de-France. Conçue par l’architecte Emile Aillaud (1902 – 1988), la construction se caractérise par sa forme générale : un vaste serpentin en béton préfabriqué de plus de 1 km de long, comptant quelque 655 logements. Et entourant un parc de 4 ha planté de 1 500 arbres. Le projet est la conséquence directe de l’appel de l’Abbé Pierre, le 1er février 1954, et de la mobilisation de l’opinion publique autour du mal-logement qui s’en est suivi… Près de 70 ans plus tard, et après un vaste programme de réhabilitation, c’est un tout nouveau lieu culturel qui est en train de voir le jour, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 70 jours

SBM recherche un partenaire français

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Alexander Kraus est le responsable commercial centrales à béton de SBM. [©SBM] SBM est un industriel autrichien intervenant dans plusieurs domaines. Pouvez-vous nous indiquer vos spécialités ? Pour commencer, SBM est une entreprise avec 70 ans d’expérience, qui se développe autour de deux axes : la production de béton et celle de matériaux de carrière. Nous comptons 165 collaborateurs. Nos marchés principaux sont bien entendu l’Autriche, où est installée notre usine, à Oberweis. Mais aussi l’Allemagne et la Suisse. Sur ces marchés, l’ensemble de notre catalogue est plébiscité, aussi bien nos centrales fixes classiques, mobiles, super mobiles ou conteneurisées. Au total, nous sommes présents dans une trentaine de pays, en particulier avec notre unité super mobile Euromix. Surtout sur les chantiers où il est nécessaire de s’appuyer sur une centrale mobile de forte capacité. Nos solutions conteneurisées sont aussi très bien perçues sur les marchés scandinaves, où les besoins sont très spécifiques. Les centrales mobiles représentent 50 % de notre activité. Les autres 50 % se réalisent autour des projets d’infrastructure majeurs comme les lignes de chemin de fer, les autoroutes ou les ports. Nous concevons et installons des équipements sur mesure qui s’adaptent à ces projets. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } ); Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 93 Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 70 jours

Deux ans après l'incendie, le sprint final pour terminer la sécurisation de Notre-Dame

Vingt-quatre mois après le sinistre toujours inexpliqué qui avait ému le monde, les dernières sécurisations sont menées tambour battant dans l'édifice gothique de 850 ans, et autour du trou béant qu'a laissé la flèche en s'écroulant.Les appels d'offres ont été engagés et les architectes multiplient les diagnostics permettant d'établir un calendrier précis des travaux à partir de l'hiver prochain, indique l'Etablissement public chargé de la conservation et de la restauration, créé après l'incendie.Mille chênes débités sont en train de sécher pour reconstruire la flèche et la croisée du transept. Et deux chapelles-test ont été nettoyées, révélant les couleurs laissées par l'architecte Eugène Viollet-Le-Duc au XIXe siècle. Choisi par Emmanuel Macron pour conduire le chantier en cinq ans, Jean-Louis Georgelin, un général, a indiqué lors d'un déplacement début mars en forêt de Bercé (Sarthe) pour la sélection des premiers arbres: "Nous sommes dans les temps pour rendre la cathédrale au culte en 2024. Même s'il restera encore beaucoup de travail".Le président lui a confié l'Etablissement public, pour reconstruire la cathédrale "plus belle qu'avant". L'hypothèse d'un geste architectural contemporain pour remplacer la flèche détruite a été écartée.Entrelacs d'échafaudagesL'architecte en chef Philippe Villeneuve, grand connaisseur de la cathédrale, avait mis sa démission dans la balance si l'édifice n'était pas reconstruit à l'identique. Identique ne veut pas dire "fac-similé". Pour la charpente par exemple, il s'agira de choisir "un dessin proche" de la "forêt" disparue, précise-t-on à l'Etablissement public.Sur le chantier règne un entrelacs d'échafaudages, de filets et de bâches, où s'activent charpentiers, cordistes, échafaudeurs etc.L'heure est à la pose à 27 mètres de hauteur d'une soixantaine de cintres en bois sous les voûtes pour les consolider provisoirement. Un parapluie géant à la croisée du transept permettra d'assurer la mise hors d'eau.Depuis le démantèlement en décembre de l'échafaudage calciné qui entourait la flèche --40.000 tubes sciés un à un en six mois--, le danger d'un écroulement est écarté.La sécurisation a coûté 165 millions d'euros. Intempéries, travaux non prévus, interruptions (limitées) dues à la pandémie et surtout les nombreuses mesures et aménagements liés à la lutte contre les émanations de plomb ont provoqué quelques retards et surcoûts."L'école des bâtisseurs"Les équipes doivent passer par la douche et revêtir des combinaisons en raison des réglementations sur le plomb. Chaque jour.Le chantier, ou plutôt les chantiers (dont celui, très délicat, du nettoyage du grand orgue), ont mobilisé 15 métiers, 68 ateliers, 215 entreprises... Reste beaucoup à faire: sélection de pierres dans des carrières et leur pose pour remplacer celles endommagées, nettoyage de 24 chapelles, restauration des vitraux encrassés, reconstruction de la flèche, de la toiture, d'une partie de la voûte etc.Un partenariat avec une société de haute technologie, Autodesk France, permettra une modélisation numérique qui accompagnera toute la restauration et préparera les équipements indispensables (sécurité, ventilation, éclairage) dont aura besoin la cathédrale.Les quelque 833 millions d'euros de la collecte nationale et internationale (350.000 donateurs) sont encaissés ou font l'objet d'engagements fermes à 98%. Seront-ils suffisants pour les finitions au delà de 2024? Certains en doutent. Et il faudra anticiper un budget important pour l'entretien annuel.L'esprit d'équipe insufflé par le trio d'architectes, Philippe Villeneuve et ses deux acolytes, Rémi Fromont et Pascal Prunet, est salué unanimement et a eu raison de bien des obstacles. "Si le général est le chef d'orchestre, ils sont les premiers violons, à l'école des bâtisseurs du Moyen-Age", déclare Mgr Patrick Chauvet, archiprêtre de la cathédrale.
Il y a 4 ans et 70 jours

Le BIM pour la restauration de Notre-Dame de Paris

L’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris et Autodesk France ont signé une convention de mécénat technologique et de compétences mettant à la disposition des acteurs du chantier de restauration de la cathédrale la technologie BIM et les logiciels associés. Cette méthode de travail collaborative et intelligente permet aux acteurs du chantier de bénéficier en temps réel d’une base de données 3D partagée et évolutive qui regroupe des informations riches et nécessaires au bon déroulement de ces opérations. Le BIM s’appuie sur un modèle pré-incendie numérique 3D de la cathédrale dont le développement avait été initié dès juin 2019 par Autodesk grâce à l’utilisation d’un processus de scan de l’édifice d’une précision millimétrique. Cette maquette BIM a été enrichie grâce à des relevés 3D réalisés après l’incendie. Visuel : Modèle BIM de la cathédrale Notre-Dame de Paris © Autodesk France  
Il y a 4 ans et 70 jours

Le BIM pour la restauration de Notre-Dame de Paris

L’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris et Autodesk France ont signé une convention de mécénat technologique et de compétences mettant…Cet article Le BIM pour la restauration de Notre-Dame de Paris est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 71 jours

Dossier : Le portrait du pompage du béton en France

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine [©ACPresse] Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. En France, la production de bétons prêts à l’emploi a été d’environ 36,5 Mm3pour l’année 2020. Soit un recul de 9 % comparé à 2019, largement expliqué par la crise sanitaire liée au Covid-19. Aujourd’hui, près de 25 % de ce volume produit est mis en œuvre à la pompe sur site. Ceci, avec des variations régionales. Ainsi, le secteur Provence – Alpes – Côte d’Azur occupe la première marche du podium, avec près de 30 % pompés. A l’autre extrémité se situe la Bretagne, région plus orientée “tapis” pour le transfert du béton. D’une manière générale, une opération de pompage moyenne oscille entre 25 et 30 m3mis en œuvre. Par définition, le pompage est un métier de proximité, car l’acheminement de la pompe entre sa base et le chantier n’est pas comptabilisé. C’est seulement la prestation en tant que telle qui déclenche une facturation. Donc, faire rouler une pompe sur de longues distances n’a pas de sens au plan économique. D’autant plus que la motorisation de ces véhicules est optimisée pour fournir l’énergie nécessaire à l’équipement de pompage et non pour faire du transport… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. 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Il y a 4 ans et 75 jours

Campus dans une enveloppe brute et industrielle

L’agence Taillandier Architectes Associés a imaginé un programme sobre et à l’écriture industrielle marquée pour le nouveau Campus ENOVA à Labège, à proximité de Toulouse. Sa structure béton s’élève sur trois niveaux et revêt une enveloppe largement vitrée : 650 m2 de murs-rideaux GEODE et plus de 500 m2 de châssis SOLEAL 65. Des solutions en aluminium sélectionnées pour leurs profilés fins et discrets, conjugués à des performances thermiques optimales. Recouvertes d’une vêture métallique micro-perforée et pliée, ces solutions Technal maximisent le clair de vitrage. Les étudiants bénéficient d’une lumière naturelle optimale sans être éblouis par les rayons du soleil. Grâce à leurs performances thermiques (Ucw = 1,3 W/m2.K – Ug = 1 pour GEODE, et Uw = 0,9 W/m2.K, Sw = 0,50 et TLw = 0,61 pour SOLEAL 65), les murs-rideaux participent au confort thermique des occupants été comme hiver. Seul le hall traversant est totalement vitré (110 m2), offrant une large transparence depuis la rue adjacente vers le parc boisé au cœur de la parcelle. Au rez-de-chaussée, l’aile Est du bâtiment héberge également de grandes salles de cours et un amphithéâtre, largement ouverts sur le cheminement extérieur et le cours d’eau.  Brut et naturel, l’aluminium était un choix conceptuel cohérent. Pour répondre au budget, l’architecte et l’ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL P.O ont travaillé sur la rationalisation des 34 murs-rideaux, avec des dimensions identiques (L. 3,30 x h. 4,25 x m). Depuis l’extérieur, leur couleur laquée « Aluminium Gris » (RAL 9007) contraste avec cette peau en aluminium naturel. Côté intérieur, elle semble se confondre avec le béton des murs. Le Campus ENOVA a reçu la mention ETUDIER au dernier Palmarès Architecture Aluminium Technal organisé en 2019.  Crédit Photo : Technal – Photographe Roland Halbe  Architecte : Taillandier Architectes Associés   
Il y a 4 ans et 75 jours

Tempête Alex : le Département des Alpes-Maritimes reconstruit 1 100 kilomètres de sentier

Dans les Alpes-Maritimes, le Département a lancé un vaste programme de reconstruction des sentiers, ravagés durant le passage de la tempête Alex.
Il y a 4 ans et 75 jours

Enscape 3.0, la solution de rendu temps réel pour les architectes, plus intuitive et réaliste

L'objectif d'Enscape est d'offrir la possibilité d'intégrer les visualisations très réalistes dès le début du processus de conception. L'élément qui se démarque dans cet outil est ce qui est appelé « source unique de vérité » (single source of truth, en anglais) : les utilisateurs - qu'ils soient architectes, concepteurs ou architectes d'intérieur - travaillent directement dans leur programme de Conception Assistée par Ordinateur (CAO) pour la réalisation de leur modèle 3D. À partir de ce dernier, le plug-in Enscape 3.0 génère la visualisation en un seul clic, sans étapes intermédiaires ni exportation ou importation de différents formats de fichiers. Toutes les modifications apportées dans le logiciel de CAO sont instantanément visibles dans Enscape 3.0.« J'apprécie particulièrement l'utilisation d'Enscape pour son ergonomie et son extrême simplicité d'utilisation. Pour l'ambitieux projet Biotope à Lille par exemple, les rendus que nous avons créés étaient parfaits pour représenter ce que nous pensions être le meilleur pour le design. Enscape a été un outil absolument essentiel pour déterminer les décisions à prendre au cours de ce projet », témoigne Olivier Riauté, architecte-infographiste et fondateur de l'agence française KeurK Architecture.Plus qu'un outil de conception - Enscape 3.0 est un outil de travailEnscape est plus qu'un simple outil de conception. Le plug-in simplifie l'intégralité du flux de travail, dès la première esquisse.« Rendre le bâtiment mais aussi tout ce qui l'entoure et le compose, y compris l'ameublement, tangibles avant que l'ensemble ne devienne une réalité, c'est ce que nous rendons possible avec Enscape 3.0. Nos clients du monde entier sont particulièrement enthousiastes à l'égard de sa simplicité et de son intuitivité. Les architectes et les designers peuvent intégrer des visualisations architecturales dans leur processus de planification et ainsi optimiser le processus de conception », souligne Christian Lang, PDG d'Enscape.Une interaction parfaite entre le modèle 3D, les fonctions, les données BIM et la simulation : voilà ce que permet Enscape. En mode BIM, les informations stockées à partir du modèle CAO, telles que les propriétés du produit, les dimensions ou les prix, sont également affichées dans la visualisation. Il est alors possible de répondre aux questions des clients directement, sans avoir à passer du modèle original à la représentation 3D.Enscape peut aussi afficher des vues orthographiques en 2D, telles que des plans d'étage, des coupes et des élévations, directement à côté de l'illustration en 3D. Pour les clients et l'ensemble des équipes impliquées dans la construction, l'outil est souvent d'une grande aide pour expliciter l'intention de la conception. En mode Collaboration, toutes les parties-prenantes du projet peuvent positionner des annotations directement dans la visualisation et ainsi communiquer des demandes de changement. Les visualisations peuvent être exportées non seulement sous forme de vidéos mais aussi de photos, ce qui offre une valeur ajoutée considérable, même pour les présentations sur papier. En mode Blanc, le modèle est en outre affiché sous forme de modèle numérique en tons blancs.Enscape propose également une large gamme d'objets photoréalistes, tels que des personnes, des meubles et des plantes, provenant de différentes régions géographiques, ce qui permet une représentation ultraréaliste dans le plan et dans la visualisation. Les objets personnalisés peuvent être stockés dans la bibliothèque de ressources, une caractéristique particulièrement intéressante pour les architectes d'intérieur.Les nouvelles fonctionnalités d'Enscape 3.0 en un coup d'œil :Refonte de l'interface utilisateur : un fonctionnement intuitif - la nouvelle interface utilisateur guide les utilisateurs pas à pas ;Plus grande diversité de ressources : les éléments provenant de régions et de cultures spécifiques font désormais partie de la bibliothèque et sont constamment mis à jour ;Gestion des téléchargements : de meilleurs moyens de partager, gérer et organiser les téléchargements ;Rendu par lots pour Vectorworks : un gain de temps - permet désormais un rendu des groupes d'images en une seule fois ;Amélioration du rendu des surfaces réfléchissantes.Le plug-in Enscape 3.0 est compatible avec les logiciels de CAO Autodesk Revit, Rhino, ArchiCAD, Vectorworks et SketchUp. Grâce à son prix abordable de licence et à sa facilité d'utilisation, Enscape convient aussi bien aux petits cabinets d'architectes qu'aux grands bureaux.
Il y a 4 ans et 76 jours

Une formation dédiée au Smart

La Smart Buildings Alliance vient de lancer la SBAcademy, un programme de sensibilisation et de formation de tous les acteurs du bâtiment et de la ville. Son objectif : donner les clés pour mener un projet de bâtiment intelligent, améliorer sa performance énergétique, proposer des services aux occupants et accroître sa valeur.
Il y a 4 ans et 76 jours

Transition énergétique : plus de 1.000 écoles vont être rénovées en France

AIDE. La FNCCR a annoncé le lancement d'un appel à projets pour la rénovation énergétique de 1.000 écoles dans l'hexagone, à travers son programme Actee. Cette aide accompagnera les collectivités en préparant un plan d'investissement.
Il y a 4 ans et 76 jours

« Lean Construction : une démarche favorable à la prévention », le nouvel ouvrage de l’OPPBTP

Ce nouvel ouvrage en présente les résultats, qui démontrent la large convergence entre Lean et prévention et leur contribution positive conjointe à la performance des opérations de construction.Le Lean Construction, un atout à ne pas négligerNé dans les années 1980 aux Etats-Unis, le Lean se fonde sur un certain nombre de principes visant à améliorer la qualité de production, réduire le gaspillage et répondre aux nécessités de délais et de coûts.L'OPPBTP a souhaité mettre en œuvre et observer le déploiement du Lean dans le domaine de la construction et apporter sa contribution sur des chantiers. Il s'agissait d'anticiper par une étude méthodique, concertée, évolutive et évaluée, tous les engrenages du chantier dès sa conception. L'objectif était de mettre en adéquation les ressources disponibles et les moyens alloués au projet pour atteindre une qualité maximale, en s'attachant à la performance globale, à l'équilibre entre les acteurs, à la sécurité et la préservation des conditions de travail des opérateurs et encadrants.Ce nouvel ouvrage complète le rapport d'étude paru en 2018, « Lean Construction - démarche d'optimisation de la production et de réduction des gaspillages sur chantier », édité par la FFB Nouvelle Aquitaine et l'OPPBTP à la suite de la mise en place d'un programme d'observation sur chantiers. Ces chantiers expérimentaux menés par l'OPPBTP et ses partenaires ont démontré tout l'intérêt du Lean sur les opérations de construction et son rôle majeur pour permettre aux entreprises d'allier prévention et performance.Un ouvrage pédagogique et complet pour les professionnels de la constructionCet ouvrage regroupe toutes les clés pour faciliter l'appropriation et la mise en œuvre du Lean Construction par tous les acteurs d'un chantier. L'OPPBTP souhaite ainsi aider ces derniers à s'en emparer et à découvrir ce nouveau mode de travail collaboratif. Il s'agit de réunir tous les intervenants dans une démarche préventive, coopérative et performante.L'ouvrage revient sur l'historique du Lean et retrace son développement et son évaluation sur divers chantiers expérimentaux. Il propose également des outils pour un déploiement équilibré. L'OPPBTP aborde ainsi le Lean sous l'angle de la prévention des risques professionnels afin de favoriser la montée en compétence de tous les acteurs.L'OPPBTP propose une vision du Lean Construction reposant sur 8 principes fondamentaux:La transparence : formuler clairement et précisément des objectifs permettant leur acceptation et leur application par tous.Les enjeux : créer une synergie autour des enjeux des différents acteurs engagés sur un chantier pour atteindre un niveau de performance optimale.L'engagement des acteurs : inciter les acteurs à s'engager au respect des objectifs assignés.L'anticipation : maîtriser les événements grâce à une analyse multifactorielle.La participation de tous : améliorer la qualité, réduire les délais, diminuer les risques professionnels et augmenter la performance grâce au partage et à la mutualisation des informations entre tous les acteurs.La valeur ajoutée : identifier les tâches vectrices de désorganisation et de perte de temps pour proposer les solutions adaptées.L'amélioration continue : mettre en place des indicateurs fiables pour suivre les progrès réalisés en tenant compte des erreurs commises et des remèdes trouvés.Le management visuel : créer des supports visuels permettant de rendre les réunions de chantiers concrètes et opérationnelles.Ces principes s'accompagnent d'un certain nombre d'outils. L'OPPBTP détaille les avantages et les moyens de mise en pratique de chacun d'entre eux et donne de nombreux exemples d'application concrets :Le last planner system : ce planning collaboratif est un outil de pilotage de chantier exhaustif basé sur la participation et la concertation de tous les acteurs.Les indicateurs de suivi : il s'agit de la liste des objectifs à atteindre, présentée de manière simple, rapide et visuelle et accessible à tous. Chaque activité importante est liée à un indicateur pertinent dans le but de vérifier son avancement et son pourcentage de réalisation par rapport à ce qui était prévu.La méthode des 5S : cette approche a pour objectif d'améliorer la propreté et l'ordre dans l'environnement du travail selon cinq règles : Trier (Seiri) ; Ranger (Seiton) ; Nettoyer (Seiso) ; Standardiser (Seiketsu) et Respecter (Shitsuke).Le Plan d'Installation Dynamique du Chantier (PIDC) en phase de finitions : ce plan attribue des zones de rangement à chaque entreprise en fonction du poids des matériaux, des surfaces nécessaires à leur stockage, suivant des modalités de livraison prédéfinies avec les fournisseurs.Le Lean Construction au service d'une meilleure préventionCes bases établies, l'OPPBTP propose à tous les acteurs du chantier une aide précieuse pour les aider à s'approprier la démarche Lean Construction. Pour cela, l'ouvrage fournit une liste de 13 déterminants fondamentaux. Concrets et pratiques, ils couvrent la chronologie d'une opération.L'OPPBTP s'appuie sur eux pour apporter sa vision de l'acte de construire en Lean Construction, dans une optique de performance globale. Ce regard constitue une réelle innovation dans le domaine et rend son application opérationnelle en associant les principes philosophiques et les outils :La conception : elle aborde les problématiques de choix constructifs, les stratégies du projet, les définitions de missions des acteurs, l'implémentation Lean sur des problèmes particuliers et les délais que se fixe le maître d'ouvrage pour atteindre ses objectifs.Le référentiel Lean Construction : il regroupe les descriptions qualitatives, quantitatives et les attendus du projet.Les outils du Lean Construction : la démarche s'adopte progressivement et évolue au cours du temps en mettant en place, au fur et à mesure, les outils nécessaires.La concertation : cette phase doit permettre la mise en place d'un climat propice à l'échange et à la communicationÉquilibre préventif/curatif : ce déterminant vise à établir le meilleur compromis entre préventif et curatif en tenant compte des caractéristiques du chantier.Environnement du chantier : il s'agit d'un aspect très contraignant car notamment lié à des règlementations. Il doit faire l'objet d'une formulation précise pour ne pas compromettre le chantier et la sécurité des personnes.Qualité : la concertation et l'anticipation permettent de mieux équilibrer niveaux de prix et qualité de réalisation des prestations.Modes opératoires : mieux élaborer et transcrire les différentes phases nécessaires à la réalisation d'un chantier.Gestion des équipes : créer une véritable valeur ajoutée en constituant des équipes expertes et impliquées.Management : créer un nouveau mode de management capable de transmettre les bonnes pratiques et de les faire appliquer.Gestion des flux : l'étude de la gestion des flux (véhicules, engins, matériaux entrants et sortants, opérateurs) permet de dégager des marges de performance et de sécurité, et de limiter le port manuel de charges.Sécurité et propreté : l'analyse de l'environnement de travail (encombrements, accès difficiles…), des facteurs de risques physiques (rythme de travail, postures contraignantes, efforts physiques…) permet d'ajuster les mesures de prévention en lien avec une production efficace et équilibrée.Implication des fournisseurs : les process industriels des fournisseurs impactent les chantiers, notamment à travers les modalités de livraison, de colisage et de dimensionnement des véhicules. Il est donc primordial de les inclure dans la réflexion.Ces déterminants fondent un langage commun entre différents acteurs impliqués tout au long de l'acte de construction. Ils fixent un certain nombre d'objectifs clairement définis et créent une véritable dynamique de projet pour tous.Grâce à ses observations, l'OPPBTP peut aujourd'hui tirer de nombreux enseignements et préciser comment le Lean Construction déployé de manière équilibrée peut aider efficacement à une meilleure prévention.« Grâce aux études menées sur les chantiers, nous avons pu constater qu'une bonne gestion des flux a une incidence très forte sur les accidents tels que chute de hauteur et de plain-pied. Sécuriser ces flux en prenant en compte les déplacements des hommes, des matériels et des matériaux concourt considérablement à la diminution de l'accidentologie du BTP. Et c'est notamment cela que permet le Lean Construction. Avec ces cas concrets, nous avons pu mettre en évidence les répercussions positives du Lean Construction si les déterminants sont bien respectés. » Yves Chassagne, ingénieur prévention de l'OPPBTPTout l'enjeu de cet ouvrage édité par l'OPPBTP est de permettre aux différents acteurs de mettre en place une démarche Lean Construction à sa mesure, en tenant compte de ses besoins, de ses capacités et de ses enjeux. Et cela, afin de faire en sorte que les situations à risque diminuent sur les chantiers au fur et à mesure que les principes du Lean Construction seront adoptés.L'ouvrage « Lean Construction : une démarche favorable à la prévention » est disponible en téléchargement ici.
Il y a 4 ans et 77 jours

Stéphane Plaza lance son magazine sur l'immobilier et la déco

Ce nouveau bimestriel, baptisé "Bienvenue chez vous by Stéphane Plaza", constitue une "nouvelle étape" dans les stratégies respectives de l'éditeur de magazines Prisma et M6, indiquent les deux groupes dans un communiqué conjoint.La revue se présente comme une déclinaison magazine des émissions à succès de Stéphane Plaza telles que "Recherche appartement ou maison" ou "Maison à vendre", lancées au milieu des années 2000."J'ai commencé l'immobilier à 18 ans. Ce magazine, c'est l'aboutissement d'une vie de passion et de travail", déclare Stéphane Plaza, cité dans le communiqué.Au programme, "expertise immobilière, coaching décoration et lifestyle" portés par le présentateur, qui réunit près de 3 millions de téléspectateurs avec ses émissions, et "ses experts".L'arrivée du présentateur de M6 dans la presse magazine s'inscrit dans une nouvelle tendance amorcée en France en 2017 avec le lancement par l'éditeur Mondadori du bimestriel Dr Good!, associé au médecin-animateur Michel Cymes, autre vedette du petit écran.En novembre 2020, un autre bimestriel -- "S, le magazine de Sophie", un féminin pour les femmes de 50 ans porté l'animatrice Sophie Davant -- est venu étoffer les rangs de ce type de publications.Le magazine de Stéphane Plaza bénéficiera des "puissances médiatiques respectives des antennes du groupe M6 et des supports magazine et digitaux de Prisma Media qui s'adressent à 40,5 millions de français", soulignent les deux groupes s'appuyant sur des données de l'étude d'audience One Next Global 2021.
Il y a 4 ans et 77 jours

ESTP – Bâtiment Louis Vicat : Sous un ruban continu en Bfup

Retrouvez cet article dans le hors-série n° 23 “Bétons et Architectures” Signé Architecture-Studio, le nouveau bâtiment Louis Vicat constitue le nouveau repère de l’Ecole spéciale des travaux publics (ESTP). [©ACPresse] Louis Vicat constitue le nouveau repère de l’Ecole spéciale des travaux publics (ESTP), basé à Cachan, dans les Hauts-de-Seine. Il est visible jusqu’à la plate-forme d’échanges du RER B, avec la future ligne de métro 15 Sud, en cours de réalisation. Louis Vicat est le nom donné au nouveau bâtiment de l’école, celui dédié à l’enseignement des “Nouveaux bétons” et de “L’Efficacité énergétique”.  Les trois principaux acteurs du projet – Architecture-Studio, Ingerop et Léon Grosse, – ont veillé à la cohérence de l’architecture de l’édifice. Le nouveau bâtiment inaugure une dynamique de restauration du patrimoine vieillissant du campus et de l’extension de ses domaines de formation. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. 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Il y a 4 ans et 77 jours

Les nouvelles restrictions sanitaires obligent le gouvernement à revoir ses prévisions de croissance, dette et déficit

"Fermer les établissements scolaires et 150.000 commerces est indispensable pour freiner la circulation du virus. Mais ces mesures auront un impact sur l'économie française", a expliqué le ministre.Le nouveau rythme de croissance attendu à 5% reste "une ambition très élevée", notamment alors que le PIB français s'était contracté de 8,2% en 2020, mais "mécaniquement", la révision de cette prévision "a un impact sur le déficit et sur la dette", a précisé dimanche le ministre lors d'une émission télévisée LCI-RTL-Le Figaro."Nous évaluons le déficit public pour 2021 à 9%, au lieu des 8,5% qui avaient été inscrits dans le projet de loi de finance initial et nous estimons que la dette publique passera de 115% à 118% en 2021", a déclaré M. Le Maire. LenteurAvant d'engager un éventuel nouveau plan de relance, M. Le Maire veut "continuer à décaisser rapidement les 100 milliards d'euros" du programme annoncé en septembre, dont il veut dépenser la moitié d'ici la fin 2021.Le ministre de l'Économie en a profité pour fustiger à nouveau la lenteur de certains pays pour ratifier le fonds de relance européen de 750 milliards d'euros."La France devait recevoir 5 milliards en juillet. Il est hélas peu probable que nous recevions cette somme à cette date", a-t-il regretté.Quoi qu'il en soit, "je veux rassurer les Français : nous n'avons pas de difficulté à lever de la dette sur les marchés, à des taux d'intérêt très bas. La Banque centrale européenne a confirmé le maintien de sa politique monétaire de soutien à l'économie", a-t-il remarqué.Il a répété qu'il faudrait rembourser la dette après la crise, ce qui sera selon lui possible grâce à "une croissance forte, une meilleure maîtrise des dépenses publiques de fonctionnement et la poursuite des réformes structurelles - -à commencer par celle des retraites".L'économie française devrait "rebondir plus vite et plus fort lorsque les restrictions sanitaires seront levées", a prédit le ministre, rappelant qu'elle avait gagné 18% au troisième trimestre 2020.Le coût total des aides est estimé à 11 milliards d'euros en avril, a rappelé Bruno Le Maire au JDD, ajoutant que "la promesse présidentielle du +quoi qu'il en coûte+ sera tenue". Cette politique de soutien sera poursuivie "tant que la crise sanitaire durera", a-t-il souligné."Fondamentaux solides"La fin des aides publiques sera progressive, a-t-il promis dimanche: "Nous ferons les choses progressivement, pour ne brutaliser personne. Nous avons su protéger les entreprises dans la crise, nous saurons les accompagner à la sortie de la crise.""Dans certains secteurs qui resteront durablement touchés, comme l'aéronautique, un soutien sera maintenu", a noté le ministre."Croyez-moi, nos fondamentaux sont solides . Nous saurons rebondir (...) Nous restons une nation attractive", a-t-il insisté.En attendant, Bruno Le Maire a mis l'accent sur certaines mesures de soutien aux commerçants affectés par les nouvelles restrictions. Il pourront notamment recevoir comme les restaurants une aide allant jusqu'à 200.000 euros par mois."Nous indemniserons également une partie de leurs stocks d'invendus", a-t-il indiqué, tandis que les loyers élevés des entreprises "seront pris en charge dans la limite de 10 millions d'euros".Par ailleurs, le gouvernement explore actuellement de nouvelles pistes pour encourager les Français à mobiliser l'énorme masse d'épargne accumulée - volontairement ou non - depuis le début de la crise sanitaire, laquelle "s'élève environ à 130 milliards d'euros - plus que le plan de relance", a souligné M. Le Maire au JDD."Pour stimuler la consommation, nous travaillons sur la possibilité pour les parents et les grands-parents d'aider financièrement les plus jeunes, sans taxe ni impôt, pour compenser l'absence de stages ou de petits boulots", a ajouté le ministre.
Il y a 4 ans et 78 jours

Lancement d'Artizen, un outil archi-simple de gestion de l'administratif au service des artisans du bâtiment

Naissance de l’idéeArtizen est né d’une expérience banale. Foucauld avait une fenêtre à changer dans son appartement. L’artisan a parfaitement effectué les travaux prévus mais tout l’à-côté (l’administratif) a été laborieux. Il y a eu des incompréhensions dans la prise de rendez-vous, des difficultés dans la transmission des factures et un contretemps sur le paiement. Concrètement la réparation a pris une journée mais les échanges ont pris plusieurs mois jusqu’au paiement de la facture. Construction d’ArtizenSuite à cette expérience, Foucauld a décidé de passer du temps avec des artisans pour comprendre comment ils travaillaient, très vite rejoint par François. Le duo a alors passé du temps devant les magasins de fournitures de chantier puis en discutant simplement avec des artisans dans la rue devant leurs camionnettes. Ils ont aussi partagé un questionnaire envoyé à plus de 50 plombiers et électriciens et ont constitué un petit groupe de travail pour s’assurer de bien comprendre toutes les subtilités du métier et de l’organisation. C’est après plus de 6 mois d’échanges, d’écoute et d’observations qu'ils ont commencé à concevoir Artizen. Tout au long de la conception, ils n'ont cessé d’interagir avec des artisans, et en particulier le petit groupe de travail formé, pour s’assurer de répondre exactement à leurs besoins. Ces artisans, apportaient la connaissance du terrain et le duo la connaissance de l’organisation. Ils ont ensuite retranscrit fidèlement toutes ces discussions dans l’outil Artizen.Ce lien avec le terrain et avec les artisans est essentiel dans ce projet car il est la source de tout le développement. Il ne se passe pas un jour sans discussion avec un ou plusieurs artisans.Les trois constats d'ArtizenArtizen répond à trois constats simples :L’administratif, ce n’est pas le métier des artisans, ils ont l’impression de perdre du temps, c’est compliqué et ça ne rapporte pas d’argent ;Les artisans ont la pression de leurs clients, du législateur et de leur expert-comptable pour dématérialiser la gestion de leurs factures (encore plus durant cette période de covid) ;Les logiciels disponibles sur le marché sont complets, sophistiqués mais complexes à l’utilisation pour une population largement non technophile.Les fonctionnalités :Agenda avec toutes les informations du client et les raccourcis de contact et GPS. Stockage et échanges de photos du chantier ;Editeur devis et factures avec catalogue de tâches préenregistrés et envoi du document au client par SMS. Possibilité d’extraire les factures et envoi automatique au comptable ;Suivi de paiement avec possibilité de donner un statut payé ou non payé à la facture et d’extraire un rapport sur l’état de paiement des factures.Les six promesses d’ArtizenArtizen fait 6 promesses aux artisans :Vous réduirez le temps consacré à la gestion de l’administratif pour vous concentrer sur vos interventionsQuand vous rentrez chez vous, vous profitez de votre famille et de vos amis, plus besoin de rallumer l’ordinateurVous réduisez drastiquement vos impayés grâce à un suivi des paiements simple et rigoureuxVous êtes en conformité avec la loi et les règles comptables. Vous anticipez l’obligation de dématérialisation des factures qui arriventVous gagnez du temps dans vos échanges avec votre comptable grâce à l’envoi automatique des documentsVous améliorez votre image de marque auprès de vos clientsDifférence entre Artizen et les autres solutionsL’ADN d’Artizen se résume en un mot : simplicité.Un seul objectif : rendre simple les tâches qui semblent compliquées et peu intéressantes pour les artisans.Ainsi, Artizen n’est pas un logiciel parmi tant d’autres à plusieurs titres :Il est tout d’abord simple : toute personne non technophile sait s’en servir en 3 minutesIl est efficace et va droit au butIl est complet car il regroupe un agenda, un éditeur de devis et factures, un catalogue de prestations, un outil de suivi des paiements, un extracteur de facture, un système d’envoi des documents aux clients et au comptableCe positionnement clair et simple est un choix fondateur d’Artizen qui est l’exact contraire de la plupart des concurrents. La majorité des acteurs du marché offrent aux artisans des solutions très sophistiquées, très poussées techniquement, avec de multiples fonctionnalités mais extrêmement complexes et lourdes à l’utilisation. Artizen fait le pari inverse : lancer une solution archi simple pour que tous les artisans y accèdent facilement.Utilisation :Artizen propose une période d’essai gratuite pour tester les différentes fonctionnalités sans pression.Pour cela, il suffit de créer son espace en deux étapes :Renseigner une adresse mail et d’un mot de passeRenseigner un SIREN afin de pouvoir obtenir toutes les informations légales obligatoires sur les facturesA la fin de votre période d’essai, c’est-à-dire le premier jour du mois suivant votre inscription, Artizen vous proposera deux formules d’abonnement avec des prix transparents et fixes sans aucune surprise :Une formule d’abonnement annuel sur 12 mois de 35€ HT / moisUne formule d’abonnement mensuel sans engagement de 50€ HT / moisLe tarif est fixe sans aucun frais de mise à jour ou autre et avec un accès illimité au service client qui sera heureux de guider les artisans dans leurs premiers pas.
Il y a 4 ans et 80 jours

Appel à candidature – Design des mondes ruraux

Misant sur la capacité du design à redynamiser les territoires, l’École des Arts Décoratifs de Paris lance à la rentrée 2021 un programme post-master dédié au design des mondes ruraux à Nontron en Dordogne. Jusqu’au 24 mai 2021. En étroite relation avec la Communauté de Communes du Périgord Nontronnais, le Pôle expérimental des métiers d’art […] L’article Appel à candidature – Design des mondes ruraux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 81 jours

275 nouveaux collèges et lycées lancés dans le challenge d'économies d'énergie CUBE.S

Mis en œuvre par l’IFPEB et le Cerema, sous le haut patronage des ministères de la Transition écologique et solidaire et de l’Éducation nationale, CUBE.S met en lice les collèges et lycées participants sur les économies d’énergie réalisés dans leurs établissements. Au-delà des actions concrètes et des économies d’énergies mesurées, l’approche permet d'éduquer et sensibiliser les élèves aux thématiques de développement durable et de les intégrer dans une démarche collective avec toutes les parties prenantes : collectivités, personnels techniques et équipes pédagogiques de l’établissement…Avec le challenge CUBE.S, financé par le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE), le Cerema et l’IFPEB proposent aux collectivités et établissements scolaires de bénéficier :d’un suivi des consommations énergétiques pendant 5 ans ; d’un accompagnement pendant un an avec une animation inter-établissements, des formations et un appui opérationnel (aide à l’organisation d’un évènement de sensibilisation, réalisation d’un diagnostic participatif, appui aux enseignants sur l’élaboration d’un programme éducatif…) ;de nombreuses ressources incluant du matériel de mesure et des outils pédagogiques disponibles sur une plateforme numérique. La remise des prix de la saison 2019-2020 se tiendra le 8 avril de 14h30 à 16h30, avec une mise en valeur des retours d'expériences des nominés et des économies d’énergie réalisées par les lauréats ! L’aventure se poursuit puisque l’IFPEB et le Cerema se sont donné comme objectif d’accompagner 1000 établissements, collèges et lycées. Les inscriptions pour la rentrée 2021-2022 sont d’ores et déjà ouvertes sur le site internet de CUBES: https://www.cube-s.org/sinscrire/